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En RDC, l'opposant Martin Fayulu ne réclame plus le départ du pouvoir de Félix Tshisekedi et se dit même d'accord pour faire équipe avec lui à certaines conditions. À la présidentielle de 2018, il avait crié au hold-up électoral après la victoire officielle de Félix Tshisekedi. Mais aujourd'hui, il change de stratégie. Le 1er mai dernier, avec les autres opposants Joseph Kabila, Moïse Katumbi et Delly Sesanga, Martin Fayulu a signé une déclaration commune en faveur d'un dialogue national pour résoudre la guerre dans l'est du pays. De passage à Paris, le président du parti de l'Engagement pour la citoyenneté et le développement (Ecidé) et de la plate-forme Lamuka répond à Christophe Boisbouvier. RFI : Les ministres des Affaires étrangères du Congo et du Rwanda doivent finaliser d'ici à deux semaines un projet d'accord de paix. Puis, les présidents Félix Tshisekedi et Paul Kagame doivent se retrouver le mois prochain dans le bureau de Donald Trump à la Maison Blanche pour signer la paix. Est-ce que votre déclaration commune, ce n'est pas une façon de dire « ne nous oubliez pas, nous aussi, on existe ? »Martin Fayulu : Non, notre déclaration, c'est de dire qu'avant de signer cet accord, il faut que les Congolais se parlent et trouvent des solutions à la crise qui sévit au Congo. Tout accord, toute discussion tendant à aider le Congo à avoir la paix et la sécurité, nous sommes d'accord. Mais nous disons qu'on ne peut pas signer un accord sans que les Congolais se mettent ensemble dans ce que nous appelons la cohésion nationale.Mais si jamais les pourparlers avancent à Washington, si jamais il y a cet accord de paix le mois prochain à la Maison Blanche, qu'est-ce que vous allez faire ?Nous pensons que c'est quelque chose qui ne marchera pas. Tant que la plaie n'est pas soignée de fond en comble, on ne pourra pas avoir la paix. Et c'est pour cela que nous disons que nous ne sommes pas contre Washington. Nous ne sommes pas contre Doha, nous ne sommes pas contre l'Union africaine. Mais les solutions aux problèmes du Congo doivent d'abord venir du Congo.Alors, ce qui frappe dans votre déclaration commune du 1ᵉʳ mai, c'est de vous voir signer, Martin Fayulu, un document avec votre pire ennemi, Joseph Kabila, que vous accusez de vous avoir volé la victoire en 2018. Pourquoi cette volte-face ?Je l'ai accusé d'avoir fabriqué les résultats et d'avoir proclamé Tshisekedi parce qu'ils ont signé ce qu'on a appelé un compromis à l'africaine. Mais ce n'est pas mon ennemi. Moi, je n'ai pas d'ennemi. Et moi, j'ai signé avec Kabila comme demain je pourrais signer avec Tshisekedi pour sauver le Congo.Donc, ce que vous appelez le grand hold-up électoral de 2018, vous oubliez tout, vous pardonnez, c'est terminé ?Mais vous savez, on ne peut pas oublier. Ça existe. Mais maintenant, qu'est-ce que vous voulez que je continue à ressasser ça à longueur de journée, d'année en année ? Non, je dis que c'est une expérience. C'est pour cela que j'ai proposé cette réunion de vérité, réconciliation et cohésion nationale. On ne peut pas oublier ce qui s'est passé. Mais sur la base de ce qui s'est passé, nous pouvons construire l'avenir en toute sérénité.Dans votre déclaration commune, vous parlez de la guerre à l'est de votre pays, sans jamais citer le Rwanda. Pourquoi refusez-vous de nommer un pays que toute la communauté internationale désigne comme le principal soutien militaire des rebelles du M23 ?Oui, on ne le cite pas simplement parce que ce n'est pas l'objectif poursuivi. Cette déclaration avait pour objectif de dire aux amis de Washington et de Doha : « ce que vous faites, c'est bien, mais s'il vous plaît, faites attention, il y a des préalables ».Mais vous ne citez pas le Rwanda parce que Joseph Kabila a mis son veto ?Non, non, on n'a pas pensé à ça. On n'a pas pensé à citer un pays et nous savons ce que le Rwanda veut dans notre pays. On sait que le Rwanda veut les richesses du Congo et exploiter les ressources. Ça, on le dit et on le répétera.Depuis quelques semaines, le président Tshisekedi appelle l'opposition à rentrer dans un gouvernement d'union nationale. À quelles conditions pourriez-vous accepter un tel gouvernement ?On ne peut pas répondre à cette préoccupation de Félix Tshisekedi, parce que nous pensons que d'abord, il faut que les Congolais se mettent autour d'une table, autour des évêques catholiques et des pasteurs protestants, pour d'abord aller dans le fond sur les causes profondes de notre crise. Donc, on ne met pas la charrue avant les bœufs.Et si demain, il y a un dialogue national, et s'il aboutit... Est-ce que vous seriez prêts à faire équipe avec le président Tshisekedi ?Je suis Congolais, il est Congolais. J'accepterai les résolutions qui sortiront de ce dialogue parce que j'y contribuerai.Alors comme vous, les évêques de la CENCO et les pasteurs de l'ECC appellent à ce dialogue national, mais ils disent aussi vouloir respecter le mandat du président Tshisekedi jusqu'à la fin de celui-ci, c'est-à-dire jusqu'en 2028. Est-ce que vous êtes d'accord avec eux ou pas ?Écoutez, de fait, il est là ! Est-ce qu'il faudrait aller poser la condition qu'il doit partir avant de commencer la réunion ? Je ne pense pas. Je pense qu'il faut avoir des élections saines, crédibles en 2028. Il peut continuer à gérer le pouvoir.À lire aussiConflit dans l'est de la RDC: un avant-projet d'accord de paix attendu ce vendredi à Washington
HHet aantal valse identiteitsbewijzen en rijbewijzen is het afgelopen jaar toegenomen, terwijl er weinig aandacht voor is vanuit het Expertisecentrum Identiteitsfraude en Documenten (ECID). Migranten zijn goed voor relatief veel fraudegevallen, die op deze manier hun kans op asiel willen vergroten. In deze nieuwe aflevering van het Telegraafkwartier legt misdaadverslaggever Gerda Frankenhuis uit hoe de ECID valse documenten herkent en hoe makkelijk het is om er eentje op de kop te tikken.See omnystudio.com/listener for privacy information.
À Kinshasa, les réactions sont mitigées après la tournée du secrétaire d'État américain Antony Blinken, qui s'est rendu successivement au Congo et au Rwanda. L'opposant congolais Adolphe Muzito a été Premier ministre du Congo de 2008 à 2012. Aujourd'hui, il préside le parti « Nouvel Élan ». De passage à Paris, il s'exprime sur la crise entre le Congo et le Rwanda, mais aussi sur sa stratégie avant la présidentielle de 2023. Lors de sa visite à Kinshasa, le secrétaire d'État américain, Antony Blinken, s'est dit très préoccupé par les informations crédibles selon lesquelles le Rwanda soutiendrait les rebelles du M23. Est-ce que cela vous satisfait ? Ça me laisse sur ma soif. J'aurais aimé qu'il se prononce, y compris en condamnant le Rwanda, en s'engageant à prendre des sanctions dans le cadre de son pays, mais aussi dans le cadre de la communauté internationale. Mais ça ne m'aurait toujours pas satisfait parce que, pour l'essentiel, ce que nous voulons, nous, et que nous n'attendons pas d'ailleurs des États-Unis, c'est que nous, le Congo, on se prépare pour faire la guerre, pour chasser les Rwandais de notre pays. Ce que nous demandons, c'est que le gouvernement de Monsieur Tshisekedi prépare la guerre. Et nous disons qu'il faut que nous puissions montrer nos muscles. Il faut véritablement armer le Congo, nos troupes, leur donner les moyens logistiques nécessaires pour que l'on puisse dissuader les prétentions du Rwanda en RDC. Le Congo doit faire peur au Rwanda, mais pour faire peur au Rwanda, j'insiste qu'il nous faut une armée. Sur le plan intérieur, Adolphe Muzito, vous êtes l'allié politique de Martin Fayulu au sein de la plateforme Lamuka. Or, le 14 juillet, Martin Fayulu a été désigné candidat de son parti Ecidé à la présidentielle de décembre 2023. Le soutiendrez-vous ? D'abord, je ne connais pas son programme. Donc, le moment venu, s'il se dégage une convergence autour de nos programmes respectifs, à Martin et à moi, à son parti et au mien, mais aussi avec d'autres forces politiques et sociales, c'est sur cette base là que les alliances politiques et électorales pourront avoir lieu. Depuis un an, la plateforme Lamuka et le FCC de Joseph Kabila, qui étaient les pires adversaires de 2018, se sont rapprochés au sein d'un Bloc patriotique, anti-Tshisekedi. Êtes-vous d'accord avec cette stratégie ? Mon parti et moi avons dit « non » à ce Bloc patriotique parce que nous considérons qu'on ne peut pas s'appuyer sur celui qui a fait le pêché pour combattre celui qui a profité du pêché. Donc, nous pensons que les FCC ne sont pas les alliés appropriés pour lutter contre la fraude électorale et pour la vérité des urnes, parce que ce sont eux qui sont à la base de cela. C'est cela, d'ailleurs, qui fait la divergence entre Ecidé et Nouvel Élan, entre Martin Fayulu et moi. Évidemment, c'est une divergence qui peut être dépassée, je l'espère, parce qu'il faut maintenir Lamuka comme force de résistance. Êtes-vous toujours, comme Martin Fayulu, dans une opposition frontale au régime de Félix Tshisekedi ou êtes-vous plus mesuré, à présent, dans vos propos ? Je suis toujours résistant dans Lamuka. Je suis toujours dur par rapport à Monsieur Tshisekedi et à l'Union sacrée de la Nation. En ce qui concerne le processus électoral, je doute de sa crédibilité et je ne suis pas certain qu'il le respectera, auquel cas, Lamuka va rebondir pour exiger des élections transparentes dans les délais constitutionnels. L'arrestation, il y a quelques jours, du député Jean-Marc Kabund, l'ancien président du parti de Félix Tshisekedi, qui vient de passer dans l'opposition... Qu'en pensez-vous ? Je trouve qu'au-delà du fond, qui est fondé ou pas, je voudrais constater le caractère arbitraire de l'arrestation. On aurait pu, par exemple, respecter son immunité parlementaire. On aurait pu, quand même, prendre le temps de l'interroger, quitte à ce qu'il reste à la maison. C'est quand même une grande personnalité de ce pays. C'est très très inquiétant pour la démocratie congolaise. La manière de procéder donne l'impression que l'on est plutôt dans une logique de règlement de compte. Adolphe Muzito, serez-vous candidat en 2023 ? Je serai candidat en 2023. Dans moins de six mois déjà, je présenterai ma candidature au congrès de mon parti. Mais pourquoi envisagez-vous de participer à une élection dont vous doutez de la transparence ? Je ne suis pas de ceux qui préconisent le boycott des élections. Le peuple fera pression pour que ces élections soient transparentes. Vous avez été Premier ministre de Joseph Kabila de 2008 à 2012. Si vous êtes candidat, ne risquez-vous pas d'être devancé par des candidats, comme Martin Fayulu, qui n'ont aucun bilan éventuellement négatif au pouvoir et qui ont une vraie virginité politique ? La virginité politique est un atout, mais c'est en même temps une faiblesse. C'est que l'on n'a jamais mis la main à la pâte. J'ai l'avantage d'avoir un bilan, mais surtout, l'avantage d'avoir commis aussi des erreurs dans ma gestion. Parce que, dit-on, l'expérience est la somme des erreurs, donc c'est un atout. Cela me permet de savoir quelles sont les limites de l'État, quelles seront les limites de mon gouvernement dans les promesses qu'il faut faire au peuple. Et si vous êtes élu, quelle sera votre priorité économique ou financière ? D'abord, la priorité, c'est la souveraineté de l'État. Il faut un État souverain. Pour cela, il faut des ressources pour financer sa fonction régalienne. Donc, il faut doubler le PIB. Mais comment doubler le PIB ? Avec quel modèle économique ? Nous allons mettre l'accent sur les ressources naturelles qui font l'objet du bradage, hier comme aujourd'hui. J'en prends ma part de responsabilité en tant que dirigeant. Deuxièmement, nous pensons à une politique de grands travaux qui passe par la construction de routes. D'où viendront les moyens pour financer ces infrastructures ? Il faut trouver une solution pour les entreprises publiques, qui aujourd'hui sont un boulet au pied de l'économie congolaise. Je suis pour la privatisation de celles-ci et je veux que ce soit l'un des thèmes qu'il faut imposer au débat public dans notre pays. ► À lire aussi : M23: au Rwanda, Antony Blinken met en garde contre le risque d'instabilité régionale
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This week we talk with ECID about his new album and his recent departure from the Twin Cities. We talked with him on the night of his homecoming release party at the Triple Rock Justus and Derek also break down all the events going on this week, plus new Minne-mixes including Left Field & Baby Shel, Rich Garvey, Taylor J, Pilot Jonny plus more.
Sammy Warm Hands interviews emcee/producer Ecid and premieres a new song; continued from episode #30. Ecid's new album "How to Fake Your Own Death" is available May 12th on Fill in the Breaks.
Guess what? @m_jacks76 wants to talk security again – Well this time he has a good reason as he wants to share Cisco’s Annual Cyber Security report and call out the top topics that Mark thinks is important. You can download it from: http://b2me.cisco.com/en-uk-annual-cybersecurity-report-2017?DTID=001467788&ECID=?keycode=001467788&OID=&CCID= ENJOY and thanks for listening.
Sammy Warm Hands interviews his Crushkill Recordings label mate, Ecid. Part 1 covers SXSW and Ecid's early career as an emcee/producer.
Sole Joins the podcast to talk about his career as an underground legend. Also Ecid guest hosts.
Main Menu is pleased to bring you part 1 of our exhibit hall coverage of the 2014 ACB Convention. In part 1, we will hear the latest news, special pricing, and more from the Bureau of Engraving and Printing, Humanware, AI Squared,
Ecid, head honcho over at Fill in the Breaks, stopped by to discuss a plethora of things, including his performance… Read more about this episode...Episode #68 featuring Ecid The post Episode #68 featuring Ecid appeared first on Thank You Rob Podcast.
Ecid, TQD, Politics, The Carter 4 and J. ColeFile Size: 80799 kbFile Type: mp3Download File BOOOOYA!!Welcome back y'all - first off I want to give a quick plug to a fellow Jason. He goes by the name Ecid and makes crazy tunes - I put some in the background of the show and you can get his new EP HERE. Or here: On that note lets get right into the rest of the show!! Albums for the eve: Lil WayneTha Carter IV Jason1 out of 5 Not Fresh Jayson3 out of 5 So So [...]
"Clever wordplay, catchy hook, hard hitting beat." - Dirt E. Dutch, IndieFeed (Enemy Entropist and Ecid on IndieFeed Hip Hop.)
"Brutally honest bars over heart-heavy guitars." Dirt E. Dutch, IndieFeed (Ecid on IndieFeed Hip Hop.)