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À l'occasion de la COP30, la caravane fluviale Iaraçu remonte le fleuve Amazone de Manaus à Belém avec, à son bord, des spécialistes des forêts tropicales. Une formidable aventure scientifique pour échanger entre experts et avec les communautés locales sur les meilleurs stratégies pour préserver l'Amazonie, les forêts du Bassin du Congo et d'Asie du Sud-Est. Après huit jours de navigation sur les eaux tumultueuses de l'Amazone, la caravane fluviale Iaraçu est arrivée à Belém en Amazonie brésilienne. Parti de Manaus, le 28 novembre, ce bateau bleu et blanc à trois étages a embarqué à son bord une vingtaine de scientifiques, venus partager leurs savoirs entre eux et avec les communautés locales au rythme des escales. Nous avons eu la chance de vivre cette aventure organisée par l'IRD, l'Ambassade de France au Brésil et le Centre franco-brésilien de la biodiversité en Amazonie. Chaque matin, en ouvrant la porte de notre cabine, le spectacle était magique. La forêt amazonienne défilait sur les rives ponctuées de maisons colorées sur pilotis. L'Amazonie impressionne par son immensité : 4 millions de km² répartis sur neuf pays, soit l'équivalent de la superficie de l'Europe. Elle émerveille aussi par sa biodiversité exceptionnelle, avec près de 120 000 espèces animales et plus de 40 000 espèces végétales recensées. Mais les forêts du Bassin du Congo et de Papouasie-Nouvelle-Guinée possèdent, elles aussi, une extraordinaire diversité de vie, tout aussi précieuse et spectaculaire. Les stratégies à défendre à la COP 30 pour protéger l'ensemble de ces forêts tropicales étaient au cœur de nombreuses discussions à bord. Embarquez avec nous, nous vous emmenons partager ces échanges qui nous concernent tous. → Le journal de bord Iaraçu. Avec : Laurent Durieux, géographe coordinateur IRD de l'initiative One Forest vision Raphaël Tshimanga Muamba, professeur d'hydrologie à l'Université de Kinshasa co-président de l'initiative Science pour le bassin du Congo Nicolas Barbier, directeur de recherche à l'IRD en écologie tropicale Géraldine Derroire, écologue, spécialiste des forêts tropicales au Cirad Claudio Almeida, coordinateur du programme de monitoring de l'Amazonie et d'autres écosystèmes brésiliens à l'INPE Jean-Michel Martinez, directeur de recherche en hydrologie et télédétection à l'IRD. Musiques diffusées pendant l'émission - BVDC II String Band - Blue Mountain - Greenpeace Brasil - Canção pra Amazônia - Music of the Ituri Forest - Lukembi and Voice - Nilson Chaves - Tres violeiros - Orquestra Brasileira de Música Jamaicana - Ondde é que eu vou parar - Umbanda musicians at Cabocla Yacira - Lembrai, O Lembrai - Combo Cordeiro - Palácio dos Bares.
À l'occasion de la COP30, la caravane fluviale Iaraçu remonte le fleuve Amazone de Manaus à Belém avec, à son bord, des spécialistes des forêts tropicales. Une formidable aventure scientifique pour échanger entre experts et avec les communautés locales sur les meilleurs stratégies pour préserver l'Amazonie, les forêts du Bassin du Congo et d'Asie du Sud-Est. Après huit jours de navigation sur les eaux tumultueuses de l'Amazone, la caravane fluviale Iaraçu est arrivée à Belém en Amazonie brésilienne. Parti de Manaus, le 28 novembre, ce bateau bleu et blanc à trois étages a embarqué à son bord une vingtaine de scientifiques, venus partager leurs savoirs entre eux et avec les communautés locales au rythme des escales. Nous avons eu la chance de vivre cette aventure organisée par l'IRD, l'Ambassade de France au Brésil et le Centre franco-brésilien de la biodiversité en Amazonie. Chaque matin, en ouvrant la porte de notre cabine, le spectacle était magique. La forêt amazonienne défilait sur les rives ponctuées de maisons colorées sur pilotis. L'Amazonie impressionne par son immensité : 4 millions de km² répartis sur neuf pays, soit l'équivalent de la superficie de l'Europe. Elle émerveille aussi par sa biodiversité exceptionnelle, avec près de 120 000 espèces animales et plus de 40 000 espèces végétales recensées. Mais les forêts du Bassin du Congo et de Papouasie-Nouvelle-Guinée possèdent, elles aussi, une extraordinaire diversité de vie, tout aussi précieuse et spectaculaire. Les stratégies à défendre à la COP 30 pour protéger l'ensemble de ces forêts tropicales étaient au cœur de nombreuses discussions à bord. Embarquez avec nous, nous vous emmenons partager ces échanges qui nous concernent tous. → Le journal de bord Iaraçu. Avec : Laurent Durieux, géographe coordinateur IRD de l'initiative One Forest vision Raphaël Tshimanga Muamba, professeur d'hydrologie à l'Université de Kinshasa co-président de l'initiative Science pour le bassin du Congo Nicolas Barbier, directeur de recherche à l'IRD en écologie tropicale Géraldine Derroire, écologue, spécialiste des forêts tropicales au Cirad Claudio Almeida, coordinateur du programme de monitoring de l'Amazonie et d'autres écosystèmes brésiliens à l'INPE Jean-Michel Martinez, directeur de recherche en hydrologie et télédétection à l'IRD. Musiques diffusées pendant l'émission - BVDC II String Band - Blue Mountain - Greenpeace Brasil - Canção pra Amazônia - Music of the Ituri Forest - Lukembi and Voice - Nilson Chaves - Tres violeiros - Orquestra Brasileira de Música Jamaicana - Ondde é que eu vou parar - Umbanda musicians at Cabocla Yacira - Lembrai, O Lembrai - Combo Cordeiro - Palácio dos Bares.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la libération de Boualem Sansal grâce à la médiation allemande, la remise en liberté de Nicolas Sarkozy et la signature d'une coopération économique entre Kinshasa et Kigali. Ukraine : un proche de Zelensky au cœur d'un réseau de corruption Timour Minditch, un proche du président Volodymyr Zelensky, est accusé d'avoir organisé un vaste système de corruption portant sur plus de 100 millions de dollars. Que sait-on de cette affaire ? Ce scandale peut-il remettre en cause l'intégrité du président ukrainien ? Avec Kseniya Zhornokley, journaliste spécialisée pour la rédaction ukrainienne de RFI. Libération de Boualem Sansal : quel rôle a joué l'Allemagne ? Libéré ce mercredi 12 novembre 2025 après un an de détention, l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal a bénéficié d'une grâce. Le président Tebboune a accepté ainsi la demande de son homologue allemand Frank-Walter Steinmeier. Pourquoi l'Allemagne a-t-elle joué un rôle dans la libération de l'écrivain ? Avec Pascal Thibaut, correspondant de RFI à Berlin. France : pourquoi Nicolas Sarkozy a-t-il été libéré ? Incarcéré depuis le 21 octobre 2025 après sa condamnation dans l'affaire du financement libyen de sa campagne électorale de 2007, l'ancien président a pu quitter la prison de Santé, à Paris, ce lundi 10 novembre 2025. Pourquoi la Cour d'appel a-t-elle autorisé sa libération ? Nicolas Sarkozy retournera-t-il en prison à l'issue de son procès en appel prévu en mars 2026? Avec Amélie Beaucour, journaliste au service France de RFI. RDC-Rwanda : que contient l'accord économique ? Les délégations de la République démocratique du Congo et du Rwanda ont signé à Washington le volet économique de l'accord de paix conclu le 27 juin 2025. En quoi consiste la coopération économique entre Kinshasa et Kigali ? Avec Patient Ligodi, journaliste au service Afrique de RFI.
Wie een grote broer of zus heeft weet hoe het is om in iemands schaduw te staan. Maar stel je voor dat je dus ook dezelfde naam hebt als hem of haar. Dat wordt lastig googlen. De Republiek Congo kan erover meepraten. Zoek je toevallig soms zijn Belgische halfbroer, de democratische welteverstaan? Nee, echt niet? Oké, zelf weten. Dan gaan we het een uur lang hebben over Brazzaville en niet over Kinshasa. Over een betrekkelijk rustigere oever van de Kongo, laten we die oever met wat politiek gevoel de linkeroever noemen. En, we moeten het ze toch geven: het is niet alsof Kinshasa heel vinexerig klinkt, maar van de naam Brazzaville beginnen de heupjes al te wiegen. Toch?
Quá trình chuyển đổi năng lượng đòi hỏi những công nghệ sử dụng nhiều loại đất hiếm. Tuy nhiên, ngoài những căng thẳng về địa chính trị, quy trình khai thác, chiết xuất và tinh chế đất hiếm đặt ra nhiều vấn đề cho xã hội và môi trường. Tình trạng nhiễm độc thạch tín (arsenic) tại nhiều đoạn lưu vực sông Mê Kông do khai thác đất hiếm ở Lào và Miến Điện là một ví dụ mới nhất. Theo ước tính, thị trường 17 loại nguyên tố đất hiếm chiếm một tỷ trọng khá khiêm tốn : Khoảng 9 tỷ đô la/năm với sản lượng hàng năm là 150 ngàn tấn. Nhưng đây lại là những thành phần quan trọng cho thị trường các ngành công nghiệp tiên tiến có giá trị lên đến bảy ngàn tỷ đô la mỗi năm. Tính đến những năm 1980, Hoa Kỳ là quốc gia thống lĩnh thị trường sản xuất đất hiếm. Nhưng từ năm 1995, Trung Quốc chiếm thế độc quyền. Một phần là do giá nhân công rẻ, trữ lượng khoáng sản cao và các quy định về môi trường mềm dẻo hơn cho phép Trung Quốc hạ giá thành sản phẩm. Ngay từ những năm 1950, người ta đã nhận thấy vai trò thiết yếu của đất hiếm cho phát triển các ngành công nghệ cao. Ngoài các lĩnh vực như điện thoại thông minh, trí tuệ nhân tạo, thậm chí cả vũ khí, chẳng hạn như tên lửa, các nguyên tố đất hiếm này được cho là đóng một vai trò then chốt cho quá trình phát triển điều được gọi là « năng lượng xanh » như tua-bin điện gió, xe điện, tấm pin năng lượng mặt trời ... nhờ vào các đặc tính của chúng như chất xúc tác, nam châm, luyện kim và đánh bóng. Và tùy theo mỗi loại đất hiếm, chúng có một ứng dụng khác nhau trong công nghiệp. Đất hiếm : Quy trình tinh chế gây ô nhiễm Khai thác khoáng sản vốn dĩ đã là một hoạt động gây ô nhiễm. Điều này cũng không là ngoại lệ đối với đất hiếm. Theo giải thích từ nhà nghiên cứu Emilie Janots, giảng viên đại học Grenoble Alpes trên trang CNRS Terre & Univers, việc lập các khu vực thăm dò và khai thác khoáng sản là gây ô nhiễm, do những hoạt động này tạo ra các vùng tích tụ chất thải, gây ra những hậu quả tai hại cho môi trường. Nguyên nhân chính là vì các đặc tính hóa học của đất hiếm, khiến hoạt động khai thác chúng gây ô nhiễm. Bởi vì, 17 loại nguyên tố đất hiếm này có đặc điểm độc đáo là chúng hiện diện trộn lẫn với nhau trong các mỏ. Và do vậy, việc khai thác, chế biến và phân tách đất hiếm là rất tốn kém về năng lượng, nước và hóa chất. Một mặt, những mỏ lớn nhất có khoảng 5% đất hiếm nhưng trong hầu hết các trường hợp, con số nay chỉ gần 1%. Điều này giải thích vì sao nhu cầu khai thác một lượng lớn đá chỉ để thu được một tỷ lệ đất hiếm ít ỏi vào cuối giai đoạn. Có thể nói phân tách đất hiếm là một quy trình đặc biệt khó, như thể « người ta muốn phân tách các sắc thái khác nhau của mầu xám. Họ dễ tách mầu trắng khỏi màu đen. Nhưng làm sao có thể tách 5% của mầu đen, 6% của mầu đen hay 7% của mầu đen ? », theo cách giải thích ẩn dụ của nhà nghiên cứu mỏ khoáng sản Rajive Ganguli, giáo sư đại học Utah, Hoa Kỳ với Le Monde. Mặt khác, 17 loại nguyên tố đất hiếm trộn lẫn vào nhau trong một mỏ khoáng sản, nhưng người ta thường chỉ cần chiết xuất từ 3-4 loại. Mỗi lần cô lập một loại đất hiếm duy nhất phải sử dụng một lượng lớn hóa chất. Một quy trình mà theo đánh giá của giáo sư đại học Utah, Rajive Ganguli là có thể gây ô nhiễm cao, do việc « người ta phải đào nhiều hố trên mặt đất và bơm vào đấy các loại hóa chất (…) Quy trình này gây ô nhiễm cho nước, các mạch nước ngầm… » Chưa kể tại một số mỏ, đất hiếm còn bị trộn lẫn với thorium, uranium, hai nguyên tố phóng xạ. Đây là nguyên nhân người ta thường tìm thấy hai nguyên tố này trong các khoáng chất chứa đất hiếm và do vậy tạo ra chất thải phóng xạ trong quá trình khai thác. Năng lượng xanh có « sạch » hay không ? Chỉ có điều, thế giới đang đặt ra mục tiêu kìm hãm mức tăng nhiệt độ hâm nóng khí hậu và do vậy, phải hạn chế việc sử dụng năng lượng hóa thạch như điện than, khí đốt, giảm phát thải khí CO2 gây hiệu ứng nhà kính. Quá trình chuyển đổi năng lượng này đòi hỏi sử dụng nhiều công nghệ có chứa đất hiếm. Ví dụ như các thanh nam châm trong tua-bin điện gió chứa đến 70% chất neodymium. Do các đặc tính từ tính của loại kim loại này mạnh hơn nhiều so với các loại nam châm cũ nên kích thước và trọng lượng của chúng được giảm xuống, giúp tối ưu hóa hiệu suất của tua-bin gió. Tuy nhiên, việc khai thác các mỏ đất hiếm mới cũng đồng nghĩa với việc hủy hoại môi trường tự nhiên và đa dạng sinh học. Điều này làm dấy lên nỗi ngờ vực : Liệu công nghệ năng lượng xanh có thực sự « sạch » ? Chẳng hạn, để đảm bảo mục tiêu chuyển đổi năng lượng của mình, Liên Hiệp Châu Âu có kế hoạch cấm bán xe mới chạy bằng động cơ xăng dầu vào năm 2035 để rồi đạt mục tiêu trung hòa khí CO2 vào năm 2050. Nhà báo Guillaume Pitron, chuyên gia về nguyên nhiên liệu, trên kênh truyền hình TV5 Monde (15/11/2023) cảnh báo để có thể hoàn thành những mục tiêu này, châu Âu cần rất nhiều thứ kim loại để sản xuất các loại phương tiện mới. Và để có thể tìm đủ các thứ kim loại đó, các nhà sản xuất và cung cấp sẽ phải đi tìm kiếm nguyên nhiên liệu tại những nước mà các quy định về môi trường lỏng lẻo hơn nhiều so với tại châu Âu. « Ví dụ, họ có thể tìm mua ở Trung Quốc, Congo, Kinshasa, tại Bolivia, những nước không có cùng quy định, tiêu chuẩn và do vậy, cái giá phải trả cho môi trường là nghiêm trọng do việc các nhà cung cấp không có cùng tiêu chuẩn, chuẩn mực về kỹ thuật chiết xuất. Vì vậy, ở đây còn có phí môi trường, phí xã hội, phí con người, những cái giá mà chính chúng ta đã không thật sự nhận thức ra, bởi vì tất cả những điều đó diễn ra ở xa chúng ta ». Khai thác đất hiếm ở Miến Điện : Ô nhiễm arsenic trên Mêkông Đây là những gì đang xảy ra cho nhiều đoạn trên lưu vực sông Mê Kông. Theo tiết lộ của trang Mongabay (27/10/2025), nhóm nghiên cứu thuộc trung tâm tư vấn Stimson Center qua phân tích các hình ảnh vệ tinh, đã xác định ít nhất có 27 mỏ đất hiếm đã được mở tại Lào từ năm 2022. Theo đó, « mười lăm trong số các mỏ này đang hoạt động trong lưu vực sông Mê Kông, nghĩa là có 12 mỏ trên sông Nam Khan và 3 mỏ trên sông Nam Ngiep, cả hai đều đổ vào sông Mê Kông, con sông dài khoảng 4.900 km, bắt nguồn từ Tây Tạng chảy qua Miến Điện, Thái Lan, Lào, Cam Bốt và Việt Nam trước khi đổ ra Biển Đông. » Cũng theo Trung tâm Stimson, mười mỏ khai thác đất hiếm khác trên các con sông Nam hao và Nam Xan, trên lưu vực sông Ma, có nguy cơ gây ra mối đe dọa sinh thái xuyên biên giới, không chỉ đối với Việt Nam mà còn đối với Khu Bảo tồn Đa dạng Sinh thái Nam Xam, nằm ở biên giới Lào và Việt Nam, nơi sinh sống của loài vượn má trắng phương Bắc đang bị đe dọa nghiêm trọng và loài voi châu Á có nguy cơ bị tuyệt chủng. Trang Mongabay cho biết hàm lượng chất arsenic tại những con sông này cao bất thường so với trước đây. Các nhà nghiên cứu cảnh báo nguy cơ môi trường sinh thái đa dạng ở sông Mê Kông, nơi nuôi sống cho hơn 50 triệu người dân do sự phụ thuộc của họ vào nguồn thực phẩm, nguồn nước và sinh kế, bị tổn hại lâu dài và nghiêm trọng là có thực. Các hoạt động khai thác đất hiếm phi pháp tại Miến Điện, phần đông là chủ đầu tư Trung Quốc, đang làm nhiều nhánh sông đi từ Miến Điện đến các vùng phía bắc Thái Lan bị nhiễm độc thạch tín (arsenic) do tình trạng đổ bừa bãi nước thải xử lý đất hiếm ra sông mà không được kiểm soát. Chủ nghĩa thực dân môi trường Phóng sự dài do đài SBS News của Úc thực hiện cho thấy sông Kok nhuộm một màu cam kỳ lạ, cá chết nổi nhiều bất thường và bị biến dạng, cũng như là nhiều trường hợp mắc bệnh đã được ghi nhận ở nhiều ngư dân sống dọc theo con sông. Theo thổ lộ của anh Gob Kotekham, người Thái Lan, 42 tuổi với kênh SBS News, « có điều gì rất lạ đang xảy ra : những nốt phát ban xuất hiện trên người và chúng cứ lan rộng. Chúng làm tôi mẩn ngứa. Tình trạng này kéo dài hơn hai tháng, tôi chưa bao giờ cảm thấy như vậy trước đây ». Đối với nhà báo Guillaume Pitron, đây là những yếu tố các nhà hoạch định chính sách môi trường nên tính đến. « Tôi có cảm giác là mọi thứ nhà mình đều sạch sẽ nhưng trên thực tế là có một ai đó đang trả những cái giá, những khoản phí ở một đầu khác trên thế giới cách xa chúng ta hàng nghìn km mà không ai đặt chân đến cả. Một cái giá "vô hình" nhưng có thực và không thể bỏ qua. Chúng có nguy cơ làm cho quá trình chuyển đổi năng lượng còn khó chấp nhận hơn trên bình diện xã hội nếu chúng ta không làm điều gì đó để giảm nhẹ ». Nhìn chung, đất hiếm là cần thiết cho công nghệ xanh. Nhưng quá trình chế biến nó vốn quá ô nhiễm và nguy hiểm cho các nước Bắc Bán cầu, giờ đây chủ yếu được tiến hành ở các nước Nam bán cầu. Nhà nghiên cứu Simone Lobach, khi trả lời đặc phái viên đài RFI Jeanne Richard, nhân hội nghị COP 30 tại Belem, không ngần ngại ví hiện tượng này là « chủ nghĩa thực dân môi trường » !
« Le président Tshisekedi ne peut pas aller signer la paix à Washington sans qu'on puisse constater que les troupes rwandaises se sont retirées de notre territoire », déclare sur RFI, ce mercredi matin, le ministre congolais de la Communication et des Médias, Patrick Muyaya. Est-ce à dire que la poignée de main, prévue d'ici à la fin du mois à Washington, entre le Congolais Félix Tshisekedi et le Rwandais Paul Kagamé est sérieusement compromise ? De passage à Paris, Patrick Muyaya, qui est aussi porte-parole du gouvernement de la RDC, répond aux questions de Patient Ligodi et Christophe Boisbouvier. RFI : Jusqu'à la semaine dernière, vous faisiez du retrait des troupes rwandaises du Congo le préalable à toute signature d'accords. Mais vendredi dernier, à Washington, vous avez finalement signé un accord de coopération économique avec le Rwanda pour le développement futur de la sous région. Pourquoi avez-vous changé d'avis ? Patrick Muyaya : Nous avons paraphé parce qu'il y a eu un progrès. Il y a eu, dans ce qui avait été signé, une section qui a été rajoutée. Dans cette section, il est clairement dit que le cadre d'intégration économique régionale pourra effectivement être mis en œuvre après la satisfaction de l'exécution du Conops. Le Conops, c'est le volet militaire de l'accord du 27 juin qui stipule, d'une part, que nous allons traiter la question des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) et que le Rwanda va à son tour retirer ce que l'on appelle ses « mesures de défense », en réalité, la présence de ses troupes et de son matériel militaire. Dans ce qui s'est discuté, il y a des engagements qui ont été réitérés de part et d'autre, notamment en ce qui concerne le volet militaire, pour que cela facilite la signature par les deux chefs d'État. Vous avez signé parce que le principe, notamment, d'un retrait des troupes rwandaises vous semble acquis ? Nous avons signé, dans le cadre de cette section, que l'on a rajouté, parce qu'il faut que l'on s'assure que, dans cette dimension, le Rwanda fasse sa part. Dans le Conops, le volet militaire, n'oubliez pas qu'il est prévu de traiter d'une part la question des FDLR, ce que nous traitons, avec la phase de la sensibilisation – nous en ferons le point pour décider s'il y a des opérations qui doivent se faire. Mais, d'autre part, le Rwanda s'était engagé à retirer ses mesures de défense. Nous faisons notre part et eux doivent faire la leur. Comme vous le dites, la mise en œuvre de cet accord de coopération économique est conditionnée aussi à la neutralisation des rebelles hutu rwandais FDLR sur votre territoire. Mais concrètement, monsieur le ministre, avez-vous cartographié le déploiement des FDLR ? Avez-vous commencé à les désarmer ? Je crois qu'il y a un travail d'état-major qui a été fait en termes de cartographie. Il y en a certains qui sont sur la partie du territoire que nous contrôlons, et l'autre partie sur le territoire qui est sous contrôle des forces d'occupation. Dans les parties que nous contrôlons, au moment où je vous parle, il y a des experts militaires qui sont sur place pour procéder à la phase de sensibilisation qui est, elle aussi, prévue dans le cadre du Conops, qui est annexé à l'accord du 27 juin. Dans cet ordre, nous faisons cette première partie. S'il y a des résistances, dans le cadre de ce qui est prévu, nous passerons à la phase suivante pour nous assurer que nous nous sommes acquittés de notre part dans le cadre de l'exécution du Conops. Du côté des négociations avec les rebelles de l'AFC/M23, vous avez signé avec eux, il y a un mois, un accord créant un mécanisme de surveillance du cessez-le-feu. Où en est ce mécanisme ? Fonctionne-t-il ? Il doit fonctionner normalement en fonction des structures qui ont été mises en place. Je crois que la première réunion devrait être convoquée incessamment pour voir comment cela peut se mettre en place. Ce n'est pas simplement la question du mécanisme du cessez-le-feu, mais aussi cette question de prisonniers. Vous parlez d'échange de prisonniers. Vous négociez à ce sujet avec le M23 depuis plusieurs mois à Doha, mais cela n'avance pas. Beaucoup disent que c'est vous qui bloquez, car vous refuseriez la libération d'un certain nombre de prisonniers politiques. Je n'irai pas à dire que nous bloquons ou que nous n'avançons pas. Le fait, déjà, que nous ayons parlé préalablement des mécanismes qui ont été signés, notamment sur le cessez-le-feu ou la libération de prisonniers, c'est la preuve que nous avançons sur les mécanismes de prisonniers. Il y a une tâche qui a été confiée au Comité international de la Croix-Rouge (CICR), qui est en train de travailler avec les deux parties. Le moment venu, il y aura des évolutions et les choses pourront être dites. La condamnation à mort, le mois dernier, de l'ancien président Joseph Kabila par un tribunal militaire de Kinshasa ne complique-t-elle pas ces négociations ? Je ne suis pas sûr que cela complique les négociations. Il faut dissocier le président Kabila. C'est un ancien président. Je pense qu'il existe une loi qui le concerne, lui, personnellement – parce qu'on n'a pas deux anciens présidents. Au regard de cette loi et au regard de ses agissements, notamment son séjour et ses contacts réguliers – je ne dirai pas davantage –, il faut considérer qu'il n'a pas joué le rôle qu'il devrait jouer dans ce cadre et que les conséquences au plan judiciaire ont été tirées. Cette semaine, toujours à Doha, au Qatar, on attend la signature d'un accord-cadre entre l'AFC/M23 et votre gouvernement. Où en est-on ? Je pense que les discussions ont plutôt bien évolué. Il y a un besoin humanitaire urgent et pressant. Je pense que nous trouvons un compromis qui sera complémentaire à celui trouvé à Washington et qui nous permet d'aller maintenant dans la mise en œuvre effective qui sera l'étape la plus déterminante qui permette le retour de la paix effective. La Conférence humanitaire de Paris, le 30 octobre dernier, a-t-elle donné les résultats que vous espériez, ou vous a-t-elle déçu ? On ne dira pas qu'on est déçu parce qu'il y a eu une grosse mobilisation sur un sujet qui nous tient particulièrement à cœur, le sujet humanitaire. Il y a des besoins qui ont été chiffrés à peu près à 2,2 milliards et Paris s'est prononcé pour à peu près 1,6 milliard. Ce n'est pas tout ce dont nous avons besoin, mais c'est déjà quelque chose d'essentiel. Nous restons attentifs sur ce sujet aussi. La réouverture de l'aéroport de Goma pour des causes humanitaires, y croyez-vous ? Nous allons y arriver parce que nous avions convenu de cette urgence avec les humanitaires sur place. La question a fait l'objet des discussions à Paris. Ici, il faut rappeler d'abord que, si ceux qui occupent illicitement la ville de Goma et de Bukavu étaient en mesure d'ouvrir l'aéroport, ils l'auraient ouvert. C'est une question de souveraineté. Et nous, nous avons lancé un NOTAM (« Messages aux navigants », ndlr) – pour parler un langage de spécialiste –, pour dire que ces aéroports ne pouvaient pas servir. Pour des besoins strictement humanitaires, il y aura une dérogation qui pourra être faite pour des vols de type précis qui pourront être systématiquement contrôlés et être dans la mesure de fournir l'appui qu'il faut à nos populations sur place. D'ici combien de temps ? Je ne saurai pas vous donner des délais, au moment où nous parlons. Mais je sais qu'il y a des personnes qui y travaillent, que ce soit à Kinshasa ou à Paris, et qui doivent être en mesure rapidement de rendre concret ce projet. Vous êtes sur le point de signer un accord-cadre avec les rebelles AFC/M23, mais en même temps, ce mouvement est en train de recruter des dizaines, voire des centaines de magistrats pour son administration. Comment réagissez-vous ? Il est évident, le ministre de la Justice l'a déjà dit, que tout acte posé dans ces contextes sera déclaré nul et de nul effet. Vous convenez avec moi qu'ils ne sont pas en compétence de faire un quelconque recrutement parce qu'il existe un travail du Conseil supérieur de la magistrature et des critères bien établis. Nous n'accordons que peu d'attention à ce genre d'actions qui n'ont en réalité aucun avenir. Voilà plus de quatre mois que les ministres des Affaires étrangères de vos deux pays, la République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda, ont signé un premier accord de paix à Washington. C'était le 27 juin. Mais à quand un accord de paix définitif signé par vos deux présidents, Félix Tshisekedi et Paul Kagame, en présence de Donald Trump à Washington ? Mais je crois que c'est prévu et les conditions doivent être réunies. Mais il y a pour nous un facteur principal, c'est le retrait de ce qu'on appelle, en langage diplomatique, les « mesures de défense du Rwanda », mais qui sont, en réalité, son armée et tous les matériels qui sont déployés sur notre territoire. Dès que les conditions seront réunies, et il me semble que nous sommes sur la voie, le président de la République pourra faire le déplacement de Washington pour poser la signature sur cet accord de paix. Donc, pas de déplacement de Félix Tshisekedi à Washington avant un début de retrait des forces rwandaises de votre territoire ? Je crois que nous l'avons fait savoir, notamment à la médiation américaine. Vous avez vu qu'il y a eu une évolution. Je vous ai dit tout à l'heure, lorsque nous parlions de la signature du cadre d'intégration économique régionale, que cette préoccupation a été bien notée. Nous avons réagi à travers un communiqué et nous considérons que c'est un pas important qui nous permettra de faire le mouvement de Washington. Nous considérons que nous sommes sur une dynamique positive qui nous permettra, dans les jours qui viennent, de parvenir à la signature de cet accord par les présidents de la République. Signature qui pourrait avoir lieu d'ici à la fin de ce mois de novembre ? Cela dépendra aussi des agendas, mais il y a des contacts étroits pour que les mots du président Trump puissent correspondre à la réalité sur le terrain. Votre gouvernement, disons l'armée congolaise, a lancé cette campagne pour demander aux FDLR de pouvoir déposer les armes en vue d'une éventuelle reddition. A combien évaluez-vous le nombre de ces combattants FDLR en RDC? Je ne saurais peut-être pas me hasarder sur des chiffres, qui relèvent plutôt des états-majors. Mais je ne pense pas qu'ils soient en nombre considérable et qu'ils puissent véritablement causer des problèmes de sécurité au Rwanda. Mais quand vous parlez d'un nombre qui ne serait pas considérable, vous l'évaluez à combien environ ? 500 personnes ? Certains experts nous parlent de 1 000, 1500, mais c'est du domaine du renseignement militaire. Il faut laisser le travail se faire et peut être que le moment venu, nous pourrons revenir avec des chiffres plus précis dès que nous les aurons. Sur RFI, les porte-paroles des FDLR disent qu'à ce jour, les FDLR ne peuvent pas désarmer. Ils ne peuvent donc suivre la campagne qui est menée par les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), déposer les armes et donc faire cette reddition. Nous savons que nous avons des engagements. Nous savons qu'il y a des choses qui doivent être faites à notre niveau. Nous, on a commencé cette phase de sensibilisation. Évidemment, il y a des prochaines phases en fonction de l'évaluation qui sera faite. Il y a un travail qui doit être aussi fait au Rwanda parce que ce sont des Rwandais, et le Rwanda devrait être disposé à les recevoir. Pour le reste, il ne m'appartient pas de commenter les décisions de ce genre dès lors que nous avons un plan préalablement établi et sur lequel nous tenons, dans le cadre des différents accords que nous avons signés. En parlant de ce processus de Washington et de Doha, il a été convenu d'un mécanisme de suivi du cessez-le-feu. Mais sur le terrain, rien n'est fait. Encore hier, il y avait des combats sur le terrain. Il y a toujours une distance entre le moment où nous signons et le moment où les choses se mettent en place. Nous connaissons la détermination des occupants. Mais il ne faut pas oublier que nous avons une médiation qui suit ce qui se passe sur le terrain. Il ne faut pas oublier que les médiateurs disposent d'autres leviers qui peuvent servir de pression pour nous assurer que nous atteignons les objectifs que nous poursuivons. On peut dire que rien n'a été fait. Ne vendez-vous pas du vent à la population congolaise, avec tout ce qui se passe à Doha et à Washington ? Attention, nous ne vendons pas du vent parce qu'il y a des progrès. Il y a des combats sur le terrain. Mais j'y arrive. Nous sommes dans un processus diplomatique. Lorsque nous avons choisi la résolution 2773 et tout ce qu'il y a comme déploiements diplomatiques ici, il y a un travail qui doit se faire au préalable, c'est le travail diplomatique. Mais après, il y a un travail plus important, le travail de terrain. Cela veut dire qu'il y a les préalables. Lorsqu'on dit qu'on mettra en place un mécanisme de cessez-le-feu, il faut être sûr qu'on arrive à mobiliser toutes les parties prenantes, les mettre en place et qu'elles aient les moyens de déploiement. Cela ne se fait pas sur un claquement de doigt, et les médiateurs le savent. Donc on ne saura peut être pas vous dire dans l'immédiat : « On signe aujourd'hui, demain sur terrain, et ceci. » C'est pour cela qu'il y a un besoin de responsabilité pour le Rwanda, conformément à l'accord du 27 juin, de faire sa part et de s'assurer, de par le lien parental qui les lie au M23, de voir comment le M23 va aussi s'acquitter de sa part. Ce n'est qu'à ce prix que nous pourrons atteindre les objectifs fixés au plan diplomatique. Nous avons des médiateurs qataris, américains et de l'Union africaine qui suivent étroitement les processus. Dans ce cadre là, chaque fois qu'il y a des actes qui sont posés, qui ne devraient pas l'être et qui sont rapportés, ce sera le moment venu au médiateur de voir qui bloque quoi et tirer les conséquences qu'il faut. Cette rencontre à venir à Washington entre les deux chefs d'État pourrait-elle avoir lieu avant le début du retrait des troupes rwandaises du Congo ? Nous savons que le retrait des troupes rwandaises est la condition principale pour que nous puissions avancer. Parce que le président de la République ne peut pas se rendre à Washington sans que nous ne puissions être en mesure, avec les Américains avec lesquels nous travaillons, de constater qu'il y a eu retrait de ce qu'on a appelé, en langage diplomatique, des « mesures des défense », mais en réalité des troupes rwandaises et de tout ce qui les accompagne. Donc il n'y aura pas cette poignée de main avant un geste militaire de votre voisin rwandais ? En tout cas, il y a un accord qui a été signé, qui prévoit des choses. Nous, nous faisons notre part. Le Rwanda doit faire la sienne pour nous permettre d'avancer. Pour obtenir ce retrait des troupes rwandaises, on voit bien que vous comptez beaucoup sur la pression des Américains. Mais maintenant que le Rwanda accepte d'accueillir des migrants en provenance des États-Unis, ne craignez-vous pas que Washington n'ait plus aucun moyen de pression sur Kigali ? Je crois que le président Donald Trump, de manière constante, se présente comme celui qui aide à atteindre les objectifs de paix. Il l'a fait dans plusieurs pays. Pour ce qui concerne la République démocratique du Congo, il est bien au courant. Vous suivez notamment les déploiements de son envoyé spécial, Massad Boulos. Aujourd'hui, il faut considérer que nous avons fait des pas. N'oubliez pas que le président de la République, en 2019, dès son arrivée, avait fait le choix courageux de la paix, avec les voisins, notamment le Rwanda. N'oubliez pas qu'il y a une volonté américaine et qatari d'investir massivement dans la région pour en débloquer tout le potentiel. J'ai assisté à Washington en octobre dernier à une réunion, à l'initiative du Département du Trésor américain, avec tous les bailleurs qui sont intéressés par l'investissement dans cette partie de la région. Je crois qu'il y a davantage de pression sur le Rwanda pour aller vers la conclusion de l'accord, pour permettre à tous ces bailleurs de commencer à aller vers l'essentiel. L'essentiel ici, c'est nos populations. Je rappelle que le président de la République a toujours dit et répété que nous n'avions pas de problème avec le peuple rwandais. Vous voyez qu'il y a des objectifs nobles qui nous attendent. Des objectifs qui permettront à la fois aux Américains d'être sûrs de pouvoir bénéficier de ressources critiques. Nous avons tous besoin de parvenir à cet objectif de paix. Et nous avons tous besoin, dans ce cadre, que le Rwanda fasse sa part autant que nous faisons la nôtre. À lire aussiRDC: «Nous résisterons jusqu'à ce que Kigali accepte un dialogue», affirment les FDLR
« Nous voulûmes d'abord dire que la Congolexicomatisation est un trait d'union entre la culture congolaise et le monde, à travers la francophonie. C'est une coopération, un contact d'invention et de créativité, entre les langues congolaises et le linguisme francophone. [...] Alors, soyez là ! Congolexicomatisez-vous, Agglutinogénisez-vous, savanestiquez-vous ! » En 2013, lorsqu'un journaliste tombe sur Eddy Malou pendant un micro-trottoir sur le roller, la vidéo devient virale et fait le tour du monde francophone. Dans une véritable démonstration oratoire, le Kinois s'exprime dans un français soutenu, à la fois érudit et exubérant, et s'auto-présente comme « le premier savant de toute la République démocratique du Congo », cherchant à « imposer la force vers Lovanium », la première université du Congo. Intellectuel autodidacte, Eddy Malou a été professeur dans des écoles techniques, puis à l'Athénée Royal de la Gombe, où il donne cours notamment au chanteur Jean-Baptiste Mpiana. On peut le voir à partir de 1998 sur la chaîne kinoise Antenne A, où il a été animateur. Aujourd'hui, l'homme septuagénaire, ne possédant ni téléphone ni internet, est devenu une star des réseaux, suivi par plus de 300 000 personnes à travers le monde. Pendant près de dix ans, il a marché dans les rues de Kinshasa, livrant des cours improvisés aux passants. Avec lui et « la valise de mots » qu'il a dans la tête, le plus simple des échanges devient un exercice rhétorique de haute volée. Eddy Malou nous offre aujourd'hui son premier ouvrage, La Congolexicomatisation, publié par l'association Les Amis d'Eddy Malou. C'est un dictionnaire de plus de 200 mots inventés, remixés, empruntés et détournés, des mots qu'il recharge dans le même geste de sens et de savoir. Une œuvre luxuriante, l'aboutissement d'un travail qui demeurait jusqu'à présent essentiellement filmé. Valabater (v.tr.) : « Se promener physiquement et intellectuellement. » Exemple : « Eddy Malou faisant valabater sa cognostacéité au XXIè siècle. » Etymologie : Jeu sonore sur l'expression populaire « va là-bas », transformée en verbe par suffixation. Rondelade (n.f.) : « Une tournée qui revient à son point de départ. » Exemple : « Votre Savant effectue une rondelade quotidienne, partant de l'UPn, puis transitant à Matonge pour repartir au campus de l'Unikin. La curvilinéarité ! » Etymologie : De « ronde » (danse en cercle) en français, + suffixe « -lade » marquant un retour au point de départ. ► Suivre Eddy Malou sur Tik Tok. Programmation musicale : Le compositeur électro français Thylacine avec le titre Mafwe.
« Nous voulûmes d'abord dire que la Congolexicomatisation est un trait d'union entre la culture congolaise et le monde, à travers la francophonie. C'est une coopération, un contact d'invention et de créativité, entre les langues congolaises et le linguisme francophone. [...] Alors, soyez là ! Congolexicomatisez-vous, Agglutinogénisez-vous, savanestiquez-vous ! » En 2013, lorsqu'un journaliste tombe sur Eddy Malou pendant un micro-trottoir sur le roller, la vidéo devient virale et fait le tour du monde francophone. Dans une véritable démonstration oratoire, le Kinois s'exprime dans un français soutenu, à la fois érudit et exubérant, et s'auto-présente comme « le premier savant de toute la République démocratique du Congo », cherchant à « imposer la force vers Lovanium », la première université du Congo. Intellectuel autodidacte, Eddy Malou a été professeur dans des écoles techniques, puis à l'Athénée Royal de la Gombe, où il donne cours notamment au chanteur Jean-Baptiste Mpiana. On peut le voir à partir de 1998 sur la chaîne kinoise Antenne A, où il a été animateur. Aujourd'hui, l'homme septuagénaire, ne possédant ni téléphone ni internet, est devenu une star des réseaux, suivi par plus de 300 000 personnes à travers le monde. Pendant près de dix ans, il a marché dans les rues de Kinshasa, livrant des cours improvisés aux passants. Avec lui et « la valise de mots » qu'il a dans la tête, le plus simple des échanges devient un exercice rhétorique de haute volée. Eddy Malou nous offre aujourd'hui son premier ouvrage, La Congolexicomatisation, publié par l'association Les Amis d'Eddy Malou. C'est un dictionnaire de plus de 200 mots inventés, remixés, empruntés et détournés, des mots qu'il recharge dans le même geste de sens et de savoir. Une œuvre luxuriante, l'aboutissement d'un travail qui demeurait jusqu'à présent essentiellement filmé. Valabater (v.tr.) : « Se promener physiquement et intellectuellement. » Exemple : « Eddy Malou faisant valabater sa cognostacéité au XXIè siècle. » Etymologie : Jeu sonore sur l'expression populaire « va là-bas », transformée en verbe par suffixation. Rondelade (n.f.) : « Une tournée qui revient à son point de départ. » Exemple : « Votre Savant effectue une rondelade quotidienne, partant de l'UPn, puis transitant à Matonge pour repartir au campus de l'Unikin. La curvilinéarité ! » Etymologie : De « ronde » (danse en cercle) en français, + suffixe « -lade » marquant un retour au point de départ. ► Suivre Eddy Malou sur Tik Tok. Programmation musicale : Le compositeur électro français Thylacine avec le titre Mafwe.
Les réseaux sociaux nous vendent aussi de la littérature : sur les médias sociaux, de nombreux influenceurs émergent depuis quelques années pour mettre en avant des nouveautés ou des classiques ! Comment vend-on un livre aujourd'hui ? Depuis quelques années, de plus en plus de maisons d'édition font appel aux influenceurs littéraires, font appel aux influenceurs littéraires : «Les réseaux sociaux sont un énorme levier de visibilité. Le temps de lecture baisse alors que le temps passé sur les écrans augmente. Il faut donc aller chercher le lecteur là où il est», nous explique Maïa Gros, attachée de presse aux éditions de l'Observatoire. « Il faut comprendre que les réseaux sociaux, ce n'est pas le marché du contenu, mais le marché de l'attention. Des centaines de milliers de contenus sont postés chaque jour. Il faut donc capter l'attention le plus rapidement possible et créer de l'intérêt ; il faut partir du jeune vers la vidéo alors qu'à l'école, on part de l'œuvre pour aller vers le jeune ». De plus en plus de livres, moins de places dans les médias, moins de lecteurs, la littérature circule énormément sur ces nouveaux canaux d'informations, notamment chez les jeunes. «On n'a pas forcément une très bonne image des influenceurs. J'ai voulu propager des connaissances autour de la littérature sud-américaine ou plus classique, de fil en aiguille les gens se sont intéressés à ce que je disais», raconte Chris Laquieze. Et ça marche : le livre de l'autrice américaine Freida McFadden La femme de ménage a émergé grâce à TikTok. «Un bouche-à-oreille numérique efficace», selon Maïa Gros. C'est également l'occasion de faire (re)découvrir une littérature méconnue en France ou une littérature classique oubliée ou des auteurs moins connus. «J'aime bien mettre en avant des petits auteurs qui sont moins connus qui produisent des maisons d'édition des œuvres exceptionnellement bien, et dont on parle très peu parce qu'ils sont moins médiatisés», précise Chris Laquieze. Invités : Chris Laquieze, auteur et influenceur littéraire. Vous pouvez suivre son compte Instagram ou son compte TikTok. Il sortira en janvier son premier roman La rosa perdida, aux éditions J.-C. Lattès. Maïa Gros, attachée de presse aux éditions de l'Observatoire, une maison d'édition créée en 2016, qui publie des essais et des romans. Et le témoignage de Timothée, responsable de la librairie Temps-Livres au Pré-Saint-Gervais. Propos recueillis par Cécile Lavolot. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Kinshasa, en République Démocratique du Congo, où la 11è fête du Livre a lieu du 2 au 21 novembre (du 8 au 15 dans la capitale, Kinshasa). Et c'est Françoise Balais, directrice déléguée de l'Institut français de Kinshasa qui nous parlera de cet évènement ! On pourra notamment y retrouver en clôture la création de la pièce «Silence» du lauréat du Prix Rfi Théâtre 2025, Israël NZILA. Programmation musicale : L'artiste Orelsan en duo avec Yamé, avec le titre Encore une fois.
Les réseaux sociaux nous vendent aussi de la littérature : sur les médias sociaux, de nombreux influenceurs émergent depuis quelques années pour mettre en avant des nouveautés ou des classiques ! Comment vend-on un livre aujourd'hui ? Depuis quelques années, de plus en plus de maisons d'édition font appel aux influenceurs littéraires, font appel aux influenceurs littéraires : «Les réseaux sociaux sont un énorme levier de visibilité. Le temps de lecture baisse alors que le temps passé sur les écrans augmente. Il faut donc aller chercher le lecteur là où il est», nous explique Maïa Gros, attachée de presse aux éditions de l'Observatoire. « Il faut comprendre que les réseaux sociaux, ce n'est pas le marché du contenu, mais le marché de l'attention. Des centaines de milliers de contenus sont postés chaque jour. Il faut donc capter l'attention le plus rapidement possible et créer de l'intérêt ; il faut partir du jeune vers la vidéo alors qu'à l'école, on part de l'œuvre pour aller vers le jeune ». De plus en plus de livres, moins de places dans les médias, moins de lecteurs, la littérature circule énormément sur ces nouveaux canaux d'informations, notamment chez les jeunes. «On n'a pas forcément une très bonne image des influenceurs. J'ai voulu propager des connaissances autour de la littérature sud-américaine ou plus classique, de fil en aiguille les gens se sont intéressés à ce que je disais», raconte Chris Laquieze. Et ça marche : le livre de l'autrice américaine Freida McFadden La femme de ménage a émergé grâce à TikTok. «Un bouche-à-oreille numérique efficace», selon Maïa Gros. C'est également l'occasion de faire (re)découvrir une littérature méconnue en France ou une littérature classique oubliée ou des auteurs moins connus. «J'aime bien mettre en avant des petits auteurs qui sont moins connus qui produisent des maisons d'édition des œuvres exceptionnellement bien, et dont on parle très peu parce qu'ils sont moins médiatisés», précise Chris Laquieze. Invités : Chris Laquieze, auteur et influenceur littéraire. Vous pouvez suivre son compte Instagram ou son compte TikTok. Il sortira en janvier son premier roman La rosa perdida, aux éditions J.-C. Lattès. Maïa Gros, attachée de presse aux éditions de l'Observatoire, une maison d'édition créée en 2016, qui publie des essais et des romans. Et le témoignage de Timothée, responsable de la librairie Temps-Livres au Pré-Saint-Gervais. Propos recueillis par Cécile Lavolot. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Kinshasa, en République Démocratique du Congo, où la 11è fête du Livre a lieu du 2 au 21 novembre (du 8 au 15 dans la capitale, Kinshasa). Et c'est Françoise Balais, directrice déléguée de l'Institut français de Kinshasa qui nous parlera de cet évènement ! On pourra notamment y retrouver en clôture la création de la pièce «Silence» du lauréat du Prix Rfi Théâtre 2025, Israël NZILA. Programmation musicale : L'artiste Orelsan en duo avec Yamé, avec le titre Encore une fois.
En RDC, direction Kinshasa, pour aller à la rencontre de l'orchestre de la Crèche. Attention, nostalgie ! Ce sont les derniers pionniers de la rumba encore en vie. Tous les week-ends depuis plus de 30 ans, ils font revivre les plus grands classiques de la musique congolaise. Et pour la première fois de leur carrière, ils vont partir en tournée européenne en 2026. De notre correspondante à Kinshasa Au rond-point victoire, à Kinshasa, c'est sur le toit d'un immeuble défraîchi que joue l'orchestre de rumba. La moyenne d'âge des musiciens et chanteurs est de 70 ans. Ils se produisent tous les week-ends à la Crèche depuis 1984. Une longévité inédite qui a fait de cette adresse une institution de la vraie rumba à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo. « Quand nous parlons de vraie rumba, nous nous référons aux origines de la rumba. La musique congolaise a connu des étapes. Quand on parle de musique de jeunes, de musique moderne, de musique ceci, cela ... Ici, à la Crèche, quand nous jouons, ce n'est pas avec autant de variantes au fil du temps. On danse sur le même temps », nous explique le bassiste Dassi Mbelani. Tous ont évolué aux côtés des grands noms comme Franco et Grand Kallé. Et malgré le temps qui passe, ils n'ont jamais lâché micros et guitares pour continuer à jouer les plus grands classiques. À l'écoute du titre Mundi, il nous raconte : « Mundi, c'est toujours Tabu Ley. C'était vers 1956, 1957. Dans cette chanson, Tabu Ley s'en prend aux gens qui faisaient des yeux doux à sa femme, qui s'appelait Mundi. » Ces concerts sont un véritable retour dans le passé pour les plus nostalgiques comme Marcel, un habitué du lieu. « C'est la musique qui nous intéresse. C'est la musique de nos aïeux. On en profite », s'exclame le passionné de rumba. L'orchestre de la Crèche, c'est plus que de la nostalgie. C'est aussi une passion pour la musique, comme le clame Selidja, leader du groupe : « Je serai musicien jusqu'à ma mort. C'est dans le sang. Nous avons hérité de notre ascendance et nous ferons hériter à notre descendance. » L'orchestre respecte aussi l'une des règles d'or d'un bon concert de rumba : jouer jusqu'au petit matin. À lire aussiLa rumba congolaise, indémodable?
O eurodeputado socialista português Francisco Assis foi o autor de uma resolução do Parlamento Europeu condenando a RCA pela violação dos direitos humanos em relação a Joseph Figueira Martin, sequestrado no ano passado, no leste da República Centro-africana. Este antropólogo tendo sido condenado nesta terça-feira por um tribunal de Bangui a 10 anos de trabalhos forçados e ao pagamento de 50 milhões de francos cfa por preparar uma quadrilha e atentar contra a segurança interna. O eurodeputado socialista português Francisco Assis começa por reagir à sentença proferida contra o luso-belga, Joseph Figueira Martin. Em primeiro lugar, queria salientar o seguinte: Ele esteve muito tempo à espera deste julgamento. Finalmente, o julgamento ocorreu... em condições extremamente precárias, pela informação de que disponho e a defesa já anunciou que vai recorrer, porquanto as acusações que foram formuladas não foram provadas. E a sentença, na óptica da defesa, é profundamente injusta e desprovida de fundamento legal minimamente válido. Para além disso, julgo que tem de prosseguir a acção diplomática, quer da União Europeia, quer dos governos de Portugal e da Bélgica, porque nós estamos perante uma situação que atenta contra os direitos humanos. Falar de trabalhos forçados é algo de absolutamente inconcebível no contexto epocal em que nos encontramos. Portanto, eu julgo que, para além da questão do ponto de vista estritamente judicial, em que o advogado de defesa já manifestou a intenção de imediatamente recorrer desta decisão, que é profundamente, na óptica dele e na minha óptica, que acompanhei o processo profundamente injusta. Para além disso, deve haver uma ação diplomática, tendo em vista até encontrar também uma solução nesse plano. Parece me fundamental que o Joseph Figueira possa sair o mais rapidamente possível da República Centro-Africana e possa vir para um país europeu. Tem algum contacto com a ONG norte americana para a qual ele trabalhava para poder apurar também algo do que lhe foi acontecendo: ele ter sido sequestrado no leste da RCA pelas Wagner, depois ser entregue às autoridades da RCA? E os contactos que tem mantido tem sido com a família. É através da família têm sido prestadas todas as informações sobre a actividade que ele desenvolvia sobre a ONG a que ele estava associado. Tudo o que foi o seu percurso de vida. Estamos a falar de um antropólogo que se dedica fundamentalmente ao estudo do fenómeno da transumância, que fez vários estudos neste domínio e que naquele momento estava até a desenvolver um trabalho de natureza humanitária naquela região e que foi apanhado no meio de um conflito gravíssimo entre as forças rebeldes o Estado da República Centro-Africana e o Grupo Wagner. Como sabemos, é um grupo russo, de mercenários russos que tem operado agora com outra designação. Tem operado, opera já há uns anos naquela região de África. Ele é vítima de tudo isto. É uma vítima de um processo bastante político, bastante complexo. E é como vítima que tem que ser visto. E nós temos, creio eu, nós quer a nível da União Europeia, quer a nível de Portugal e da Bélgica... temos absoluta obrigação de fazer tudo quanto estiver ao nosso alcance para o retirar o mais depressa possível das prisões da República Centro-Africana. E, portanto, naquela área onde ele se encontrava quando ele acabou por ser sequestrado, poderia haver conflitos étnicos entre comunidades locais, é isso que se presume ? É uma zona de conflito. Nós estamos a falar de uma zona de grandes conflitos e conflitos complicados, porque são conflitos entre movimentos jihadistas, o Estado, o grupo Wagner. Agora com outra designação também envolvido. Portanto, eu tenho consciência que o problema é complexo e que ele foi... E ele, que estava a desenvolver um trabalho humanitário, foi apanhado no meio daqueles conflitos. Agora, o que eu não tenho dúvidas nenhumas é que as acusações que impendem sobre ele são destituídas de fundamento. Porque acompanhei o caso, falei com as pessoas, sei qual é o trabalho que ele desenvolveu, percebi qual é a natureza da sua personalidade. É alguém que estava estritamente a desenvolver um trabalho humanitário. Eu julgo que no final deste processo, o que tem que prevalecer é a preocupação dos Estados de Portugal e da Bélgica, porque tem a dupla nacionalidade. E da União Europeia, porque ele é um europeu. Temos que fazer tudo, tudo o que estiver ao nosso alcance para que ele possa sair da República Centro-Africana o mais depressa possível. Eu acredito que isso possa vir a suceder. O advogado de defesa Nicolas Tiangaye contestava a validade das provas que foram apresentadas para justificar a acusação. Falava-se, por exemplo, de um par de óculos que era suposto serem de José Figueira e que ele nem sequer reconhece. Portanto, elementos de provas que a defesa diz terem sido orquestrados, por exemplo, blocos de notas, dois telemóveis com imagens tidas como sensíveis, Uma "maquinação" diz a defesa, não é ? Sim. E eu estou absolutamente certo que assim foi. Isto tudo num contexto de uma guerra que está a ser travada naquela zona, de um confronto que é um confronto muito complexo e que evidentemente gera situações desta natureza. Lamentavelmente, agora aqui a questão fundamental para mim: esta não tenho dúvidas nenhumas que o Joseph Figueira é vítima no meio deste processo todo. foi injustamente condenado. Está há muito tempo já preso em condições indignas de uma prisão na República Centro-Africana. E nós temos obrigação absoluta de desenvolver, sobretudo a partir de agora, todo um trabalho diplomático, tendo em vista permitir a sua saída da República Centro-Africana. E estou convencido que isso é possível. O senhor eurodeputado Francisco Assis foi autor da resolução do Parlamento Europeu que condenou a RCA por violação dos direitos humanos em relação a Joseph Figueira Martin. Porquê esta iniciativa? Precisamente porque tinha consciência do que se estava a passar. Tinha sido alertado para esta situação. Estudei-a e falei com várias pessoas. Apercebi-me da natureza do problema. Entendi que estávamos perante um atropelo claro aos direitos humanos de uma pessoa em concreto. Tê-lo-ia feito se fosse de outro país. Tenho feito, aliás, imensas propostas em relação a cidadãos dos mais diversos pontos do mundo. Mas tinha uma responsabilidade, neste caso, acrescida pela circunstância de estarmos a falar de um cidadão português e portanto, acho até estranho, muito estranho, que em Portugal ninguém se mobilize. As pessoas estão sempre disponíveis para se mobilizarem para determinadas causas, e bem. Mas depois, neste caso concreto, por razões que eu não descortino, praticamente ninguém fala no assunto. O que eu acho absolutamente lamentável. E espero que a partir de agora se inicie uma campanha para que ele rapidamente saia da República Centro-Africana. Que leitura é que se pode fazer do facto de que o embaixador belga é o representante da União Europeia estiveram presentes durante o julgamento. O embaixador português na RDC não esteve apenas. O cônsul de Portugal em Kinshasa se deslocou no início da audiência. Que olhar é que tem sobre efectivamente o acompanhamento que a diplomacia portuguesa está a dar a este caso ? Ainda não compreendi a razão de ser da falta de acompanhamento por parte da diplomacia portuguesa. Tenho constatado isso. É um facto objectivo e o apoio da diplomacia belga tem sido bastante maior do que da parte da diplomacia portuguesa. Mas é um assunto que ainda procurei esclarecer. Acha que neste momento, de facto, a República Centro-Africana é uma área para se desaconselhar a qualquer cidadão europeu? À luz do que está a acontecer e nomeadamente também em relação ao caso do sequestro e do encarceramento do Joseph Figueira Martin ? Todas as zonas de conflito... e há uma parte da República Centro Africana que está a ser... E não estou com isto, a atacar as autoridades da República Centro-Africana porque também estão a confrontados com um conflito grave. A verdade é que todas as zonas de conflito são zonas desaconselháveis. É, aliás, uma zona toda de África que é hoje dominada por conflitos graves. E, portanto, o risco de ocorrer a qualquer pessoa algo de idêntico ao que ocorreu ao Joseph Figueira é real. E nessa perspectiva, evidentemente teremos. As pessoas devem ponderar seriamente para onde se deslocam.
Tuliyokuandalia leo ni pamoja na Sudan kusherehekea kambi ya kwanza kabisa ya ndondi ya wanawake nchini humo, Nairobi itakuwa mwenyeji wa michuano ya kufuzu ligi ya afrika ya basketboli mwezi huu, Kinshasa itaandaa michuano ya kitaifa ya ndondi ya chipukizi, Tanzania na Kenya zimefuzu michuano ya Kombe la Mataifa ya Afrika kwa kina dada mwaka 2026, Ethiopia itaandaa michuano ya kufuzu AFCON U17, ratiba ya mechi za mchujo kufuzu Kombe la Dunia, Paris Masters, Pogba apata jeraha jipya.
Venue de Kinshasa, la photographe, poétesse et slameuse Do Nsoseme participe à l'exposition À travers son regard – Les femmes s'élèvent pour la paix, présentée au siège des Nations Unies à New York à l'occasion du 25ᵉ anniversaire de la résolution 1325, qui a inscrit à l'ordre du jour du Conseil de sécurité l'agenda « Femmes, paix et sécurité ».Fruit d'un partenariat entre Photoville, le Département des opérations de paix des Nations Unies et ONU Femmes, cette exposition itinérante met en lumière des femmes qui œuvrent pour la paix en République démocratique du Congo, en Haïti et dans d'autres pays.« Ce n'est pas juste cliquer et partager des photos, c'est un devoir, une lutte », confie Do Nsoseme, qui considère son art comme une contribution à la construction de la paix.Ses clichés révèlent la détermination et le courage de femmes engagées pour le changement. Pour elle, raconter leurs histoires, c'est déjà un pas vers la paix.Écoutez son entretien avec ONU Info. (Interview : Do NSoseme, photographe et slameuse congolaise; propos recueillis par Alban Mendes de Leon)
Tours géantes autonomes, éco-quartiers, bidonvilles solidaires… Comment dans le contexte du changement climatique et de la raréfaction des ressources, pouvons-nous habiter la planète de manière durable ? Nos invités urbanistes et architectes montrent la voie... (Rediffusion du 20 mars 2025). En quelques décennies, le monde s'est urbanisé. Plus de la moitié d'entre nous habite en ville et la plupart de ceux qui n'y sont pas rêvent d'y vivre un jour. Résultat en Asie : Tokyo, Delhi et Shanghaï dépassent chacune les 30 millions d'habitants. En Afrique, Le Caire, Kinshasa et Lagos comptent déjà plus de 10 millions d'habitants. Pourtant cette manière d'habiter la Terre n'est pas compatible avec les limites planétaires. Il faut énormément de ressources pour construire des logements décents, des infrastructures de transports, garantir un accès à l'énergie, à l'alimentation, à l'eau… le tout dans le contexte du changement climatique qui augmente les températures et les phénomènes météorologiques extrêmes… Alors comment mieux habiter ou plutôt co-habiter avec les autres humains, mais aussi avec l'ensemble des vivants ? Avec - Michel Lussault, professeur à l'ENS à Lyon pour son ouvrage Cohabitons ! paru au Seuil - Cyrille Hanappe, de retour de Mayotte, docteur en architecture, spécialiste de la résilience architecturale en lien avec les questions sociales et environnementales. Directeur scientifique du diplôme de spécialisation et d'approfondissement (DSA) «Architecture et risques majeurs» à l'école d'architecture Paris-Belleville. - Vincent Callebaut, architecte, défenseur de l'écologie urbaine et du climat pour son livre Villes 2050 : 10 actions d'architectures climatiques pour un futur désirable (éditions Eyrolles). Musiques diffusées dans l'émission Guru - Respect The Architect Mário Lúcio - Independance.
Tours géantes autonomes, éco-quartiers, bidonvilles solidaires… Comment dans le contexte du changement climatique et de la raréfaction des ressources pouvons-nous habiter la planète de manière durable ? Nos invités urbanistes et architectes montrent la voie... Rediffusion du 20 mars 2025 En quelques décennies, le monde s'est urbanisé. Plus de la moitié d'entre nous habite en ville et la plupart de ceux qui n'y sont pas rêvent d'y vivre un jour. Résultat en Asie : Tokyo, Delhi et Shanghaï dépassent chacune les 30 millions d'habitants. En Afrique, Le Caire, Kinshasa et Lagos comptent déjà plus de 10 millions d'habitants. Pourtant cette manière d'habiter la Terre n'est pas compatible avec les limites planétaires. Il faut énormément de ressources pour construire des logements décents, des infrastructures de transports, garantir un accès à l'énergie, à l'alimentation, à l'eau… le tout dans le contexte du changement climatique qui augmente les températures et les phénomènes météorologiques extrêmes… Alors comment mieux habiter ou plutôt co-habiter avec les autres humains, mais aussi avec l'ensemble des vivants ? Avec - Michel Lussault, professeur à l'ENS à Lyon pour son ouvrage Cohabitons ! paru au Seuil - Cyrille Hanappe, de retour de Mayotte, docteur en architecture, spécialiste de la résilience architecturale en lien avec les questions sociales et environnementales. Directeur scientifique du diplôme de spécialisation et d'approfondissement (DSA) «Architecture et risques majeurs» à l'école d'architecture Paris-Belleville. - Vincent Callebaut, architecte, défenseur de l'écologie urbaine et du climat pour son livre Villes 2050 : 10 actions d'architectures climatiques pour un futur désirable (éditions Eyrolles). Musiques diffusées dans l'émission Guru - Respect The Architect Mário Lúcio - Independance.
Dans une école républicaine fondée sur les principes d'universalité et de neutralité, la présence croissante d'enseignants issus de l'immigration pose de nouvelles questions. Même s'ils ont les mêmes diplômes que leurs collègues, certains ne sont pas toujours perçus comme de « vrais » professeurs. Leur origine, leur couleur de peau ou leur nom peuvent provoquer des réactions de surprise, voire de méfiance, de la part des parents ou des collègues. On leur demande parfois de jouer un rôle particulier : expliquer certaines cultures, traduire, ou gérer les élèves « difficiles ». Ces attentes peuvent les mettre mal à l'aise, car elles les ramènent à leurs origines plutôt qu'à leur métier. L'école, malgré ses valeurs d'égalité, peut encore faire des différences. Alors, comment garantir que tous les enseignants soient respectés de la même manière ? L'origine d'un professeur doit-elle influencer son rôle dans l'école ? Peut-on vraiment séparer les différences personnelles de la fonction professionnelle ? Cette émission est une rediffusion du 25 juin 2025. Avec : • Aksel Kilic, sociologue, spécialiste des rapports sociaux et de la sociologie des professeurs des écoles, Université Paris-Est Créteil, autrice de l'article Stigmates, contradictions et dilemmes de statut. L'expérience des professeurs des écoles issus de l'immigration (Cahiers de la recherche sur l'éducation et le savoir), de L'école du like (PUF, 2024) et de L'école primaire vue des coulisses (PUF, 2022) • Lilia Larbi, enseignante d'anglais dans un lycée d'enseignement professionnel à Paris. Le Monde des enfants par Charlie Dupiot. C'est le moment du Monde des enfants ! Ils nous livrent leurs regards sur ce qui fait leur quotidien et leurs aspirations pour l'avenir, au micro de notre reporter Charlie Dupiot… Nous voici à Kinshasa en République Démocratique du Congo avec Evan, Julia, Raphaël, Yann, Grâce, Tehila-Cyra et Naël-Elikya, des enfants qui ont entre 9 et 12 ans. Ils nous avaient déjà parlé des punitions, à l'école et à la maison. Aujourd'hui, un tout autre sujet : la liberté ! En fin d'émission, la chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question d'un auditeur. Programmation musicale : ► Mi Lado - Africa Express ► Mane - Diese Mbangue.
Passer de 500 millions de dollars à 2,5 milliards de dollars d'aide humanitaire pour cette année 2025, c'est le premier objectif de la Conférence de soutien à la paix et à la prospérité des Grands Lacs, qui se tient aujourd'hui à Paris, en présence notamment du Congolais Félix Tshisekedi et du Français Emmanuel Macron. Quelles sont les plus grandes urgences de l'heure dans l'est de la RDC ? Le médecin gynécologue De-Joseph Kakisingi exerce à Bukavu et préside le Conseil National des Forums d'ONG Humanitaires et de Développement (CONAFOHD). Il est présent à Paris et répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Quel est le problème le plus urgent à régler pour les millions de Congolais déplacés par la guerre ? De-Joseph Kakisingi : Le problème le plus urgent à régler aujourd'hui, c'est d'abord l'accès à l'alimentation, à la nourriture. Parce que ces milliers de déplacés aujourd'hui sont bloqués dans une zone sans accès physique, et donc ils sont coupés de leur source d'alimentation. Et donc ça devient très urgent qu'ils aient accès à la nourriture, qu'ils aient accès aux soins médicaux. Donc, il faut l'approvisionnement en soins médicaux et, en fait, qu'ils aient aussi accès à des espaces sûrs. Est-ce que la prise des villes de Goma et de Bukavu au début de l'année par les rebelles et leurs soutiens rwandais, est-ce que cette prise a aggravé la crise humanitaire ? Effectivement, cette crise est venue aggraver davantage une crise humanitaire qui était déjà assez alarmante, et notamment par les blocus que cela fait autour de ces villes-là et autour des zones périphériques. Ça entraîne notamment la fermeture de l'espace aérien et des aéroports, comme l'aéroport de Goma et celui de Bukavu. Les routes aujourd'hui sont dégradées pendant la saison des pluies et les banques sont fermées et l'accès par les frontières est très difficile. Et donc cela vient exacerber une situation humanitaire qui était déjà assez grave. Ces millions de Congolais déplacés, ils vivent dans quelles conditions concrètement ? Alors, ils vivent dans des conditions très difficiles. Vous savez, avant la chute de Goma et de Bukavu, il y avait des camps de déplacés autour de Goma, autour de Bukavu, et donc l'assistance était assez facile à partir des ONG nationales et internationales et des Nations unies qui pouvaient subvenir aux besoins urgents de ces populations. Mais aujourd'hui, les camps de déplacés ont été fermés et ça fait que ces populations sont en train d'errer sans abri, sans assistance, sans possibilité qu'elles puissent être mieux regroupées pour être mieux aidées. Et ça fait qu'elles vivent dans des conditions très, très difficiles. Ce qui veut dire que vous-même qui êtes médecin gynécologue, vous ne pouvez pas soigner tous les malades, c'est ça ? Oui, c'est ça, effectivement, le problème est là où l'accès est difficile pour s'approvisionner en médicaments, beaucoup d'hôpitaux, beaucoup de zones de santé voient leurs stocks de médicaments en rupture, et ça fait que les hôpitaux ne peuvent plus offrir des soins de qualité parce qu'il n'y a pas de médicaments. Et nous, comme médecins, nous nous trouvons face à une grave difficulté. Parfois, on est obligé d'assister à des décès de personnes qu'on aurait pu sauver si on avait des médicaments à portée de main. Moi, je viens de Bukavu, au cœur de la crise, et il nous arrive de voir des femmes mourir ou des enfants par manque de médicaments. Il nous arrive de voir des femmes mourir d'hémorragie post-partum parce qu'on n'a pas l'ocytocine pour pouvoir prévenir les hémorragies et parce que la chaîne du froid devient difficile dans ces conditions où l'espace aérien est fermé. Il nous arrive aussi de voir des enfants mourir parce qu'on manque des médicaments essentiels et parce que les voies d'accès sont difficiles. Est-il vrai qu'il y a encore des stocks de médicaments sur plusieurs sites du Nord-Kivu et du Sud-Kivu, mais qu'on ne peut pas les acheminer jusqu'aux centres de santé, jusqu'aux populations à cause des tracasseries administratives, à cause des checkpoints ? Oui, il arrive effectivement que certaines organisations internationales disposent des stocks dans les grandes villes, mais il y a effectivement des tracasseries administratives, comme par exemple, je viens de voir une note qui est sortie il y a quelques jours au niveau de Kinshasa, où on annonce que toute tentative de contractualisation d'aide humanitaire avec les zones périphériques doit d'abord se référer au ministère national. Et quand on voit l'étendue du pays, quand on voit tout ce qu'il y a comme zones de santé et les difficultés, ça fait des tracasseries administratives en plus. Y a-t-il aussi des tracasseries du côté des rebelles du M23 ? Effectivement, c'est des deux côtés, de plus en plus. Il y a des doubles taxations, il y a des contraintes pratiquement pour les ONG nationales, il y a des menaces, des intimidations et ça rétrécit l'espace humanitaire et ça fait que l'aide humanitaire n'arrive pas. Est-ce qu'il y a au moins des corridors humanitaires ? Jusqu'à ce jour, non. On a essayé d'établir un corridor humanitaire entre Bukavu et Uvira par exemple, et cela n'a pas marché à la dernière minute. Toutes les parties au conflit se sont opposées ou ne l'ont pas permis. Cette conférence de Paris, où vous êtes ce jeudi, qu'est-ce que vous en attendez ? La première chose, c'est en fait donner un peu plus de la lumière sur la crise congolaise. Si vous voyez, il y a beaucoup de visibilité sur la crise de Gaza, beaucoup de visibilité sur la crise de l'Ukraine, mais très peu de visibilité sur la crise congolaise. La deuxième chose qu'on attend de cette conférence, c'est en fait une sensibilisation pour le financement de l'action humanitaire. Le plan de réponse humanitaire de cette année était évalué à 2,5 milliards de dollars pour pouvoir répondre aux besoins des 6,8 millions sur les 21 millions de personnes qui sont en besoin d'aide humanitaire au Congo. Mais jusqu'à ce jour, ce plan n'a été financé qu'à 500 millions de dollars. Et on attend de cette conférence, qu'il y ait un peu plus de solidarité pour qu'on arrive peut-être à lever le double de ce qui a déjà été donné et ainsi pouvoir apporter de l'aide à toutes ces communautés qui sont dans les besoins humanitaires urgents. À lire aussiRDC: à Paris, une conférence de soutien à la paix dans la région des Grands Lacs
Dans une école républicaine fondée sur les principes d'universalité et de neutralité, la présence croissante d'enseignants issus de l'immigration pose de nouvelles questions. Même s'ils ont les mêmes diplômes que leurs collègues, certains ne sont pas toujours perçus comme de « vrais » professeurs. Leur origine, leur couleur de peau ou leur nom peuvent provoquer des réactions de surprise, voire de méfiance, de la part des parents ou des collègues. On leur demande parfois de jouer un rôle particulier : expliquer certaines cultures, traduire, ou gérer les élèves « difficiles ». Ces attentes peuvent les mettre mal à l'aise, car elles les ramènent à leurs origines plutôt qu'à leur métier. L'école, malgré ses valeurs d'égalité, peut encore faire des différences. Alors, comment garantir que tous les enseignants soient respectés de la même manière ? L'origine d'un professeur doit-elle influencer son rôle dans l'école ? Peut-on vraiment séparer les différences personnelles de la fonction professionnelle ? Cette émission est une rediffusion du 25 juin 2025. Avec : • Aksel Kilic, sociologue, spécialiste des rapports sociaux et de la sociologie des professeurs des écoles, Université Paris-Est Créteil, autrice de l'article Stigmates, contradictions et dilemmes de statut. L'expérience des professeurs des écoles issus de l'immigration (Cahiers de la recherche sur l'éducation et le savoir), de L'école du like (PUF, 2024) et de L'école primaire vue des coulisses (PUF, 2022) • Lilia Larbi, enseignante d'anglais dans un lycée d'enseignement professionnel à Paris. Le Monde des enfants par Charlie Dupiot. C'est le moment du Monde des enfants ! Ils nous livrent leurs regards sur ce qui fait leur quotidien et leurs aspirations pour l'avenir, au micro de notre reporter Charlie Dupiot… Nous voici à Kinshasa en République Démocratique du Congo avec Evan, Julia, Raphaël, Yann, Grâce, Tehila-Cyra et Naël-Elikya, des enfants qui ont entre 9 et 12 ans. Ils nous avaient déjà parlé des punitions, à l'école et à la maison. Aujourd'hui, un tout autre sujet : la liberté ! En fin d'émission, la chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question d'un auditeur. Programmation musicale : ► Mi Lado - Africa Express ► Mane - Diese Mbangue.
Afropop Electrofunk congolais et jazz mandingue. Nos premiers invités Ali Boulo Santo Cissoko (Sénégal) & Volker Goetze (Allemagne) présentent l'album Sargal. Une musique qui coule comme une eau claire, suggère le calme et une vertigineuse sensation d'apaisement. Le chanteur et musicien sénégalais Ali Boulo Santo Cissoko et le trompettiste et joueur de bugle allemand Volker Goetze forment un duo d'une renversante éloquence poétique. Le premier, héritier d'une célèbre lignée de djèli (griots mandingues) joueur de kora, et le second, musicien, producteur et réalisateur, ont en commun le même élan pour des tissages musicaux naviguant entre plusieurs univers : jazz, musique mandingue, flamenco… sans jamais s'égarer dans une fusion hasardeuse et plate. Ils ont de plus invité ici un ami de bonne compagnie en la personne du célèbre percussionniste Mino Cinelu, qui intervient sur trois des douze compositions de ce bel album intitulé Sargal. Un mot wolof exprimant une idée de remerciement et de gratitude que l'on pourrait tout à fait leur adresser en retour, tant leur musique fait du bien. (Patrick Labesse). Titres interprétés au grand studio - Sargal Live RFI - Bétiyata feat. Mino Cinelu, extrait de l'album - Rokhaya Live RFI. Line Up : Volker Goetze (trompette), Ali Boulo Santo Cissoko (kora et chant). Son : Mathias Taylor et Jérémie Besset. ► Album Sargal (Motéma/PIAS/Integral 2025). Site Volker Goetze - YouTube Ali Boulo Santo Cissoko - Facebook du duo. Actu concert 29/10/25 Paris Église Bon Secours. Puis nous recevons le groupe congolais Kin'Gongolo Kiniata pour l'album Kiniata. Formé dans l'effervescence des rues de Kinshasa, Kin'Gongolo Kiniata redéfinit les contours de la musique congolaise, tout en honorant ses racines culturelles profondes. L'album Kiniata est une célébration de cette énergie brute, un hommage à la vie urbaine et aux traditions congolaises, marquées par l'usage du Lingala dans des textes qui racontent les luttes, les espoirs et les triomphes de la vie quotidienne. Leurs rythmes effrénés et leurs mélodies envoûtantes rappellent l'esprit de l'article 15 («Débrouillez-vous») dans son essence transformatrice et rebelle. Mais ici, c'est l'âme de Kinshasa qui résonne à travers chaque note, chaque percussion recyclée, chaque riff électrique. Titres interprétés au grand studio : - Toye Mabe Live RFI - Kin'gongolo, extrait de l'album - Elengi Ya Ko Vivre Live RFI. Line Up : Leebruno (chant, percussions metal), Mille Baguettes (chant, batterie), Ducap (chant percus plastique), Djino (basse) et Bébé Mingé (chœurs, harpe, guitare). En entrevue : Djino & Leebruno. Son : Mathias Taylor, Benoît Letirant. ► Album Kiniata (Hélico 2025). Kin'Gongolo Kiniata - Instagram. Actu Concerts : Primeurs de Massy 31/10 + Péniche Metaxu (Pantin) 29/11/2025.
Afropop Electrofunk congolais et jazz mandingue. Nos premiers invités Ali Boulo Santo Cissoko (Sénégal) & Volker Goetze (Allemagne) présentent l'album Sargal. Une musique qui coule comme une eau claire, suggère le calme et une vertigineuse sensation d'apaisement. Le chanteur et musicien sénégalais Ali Boulo Santo Cissoko et le trompettiste et joueur de bugle allemand Volker Goetze forment un duo d'une renversante éloquence poétique. Le premier, héritier d'une célèbre lignée de djèli (griots mandingues) joueur de kora, et le second, musicien, producteur et réalisateur, ont en commun le même élan pour des tissages musicaux naviguant entre plusieurs univers : jazz, musique mandingue, flamenco… sans jamais s'égarer dans une fusion hasardeuse et plate. Ils ont de plus invité ici un ami de bonne compagnie en la personne du célèbre percussionniste Mino Cinelu, qui intervient sur trois des douze compositions de ce bel album intitulé Sargal. Un mot wolof exprimant une idée de remerciement et de gratitude que l'on pourrait tout à fait leur adresser en retour, tant leur musique fait du bien. (Patrick Labesse). Titres interprétés au grand studio - Sargal Live RFI - Bétiyata feat. Mino Cinelu, extrait de l'album - Rokhaya Live RFI. Line Up : Volker Goetze (trompette), Ali Boulo Santo Cissoko (kora et chant). Son : Mathias Taylor et Jérémie Besset. ► Album Sargal (Motéma/PIAS/Integral 2025). Site Volker Goetze - YouTube Ali Boulo Santo Cissoko - Facebook du duo. Actu concert 29/10/25 Paris Église Bon Secours. Puis nous recevons le groupe congolais Kin'Gongolo Kiniata pour l'album Kiniata. Formé dans l'effervescence des rues de Kinshasa, Kin'Gongolo Kiniata redéfinit les contours de la musique congolaise, tout en honorant ses racines culturelles profondes. L'album Kiniata est une célébration de cette énergie brute, un hommage à la vie urbaine et aux traditions congolaises, marquées par l'usage du Lingala dans des textes qui racontent les luttes, les espoirs et les triomphes de la vie quotidienne. Leurs rythmes effrénés et leurs mélodies envoûtantes rappellent l'esprit de l'article 15 («Débrouillez-vous») dans son essence transformatrice et rebelle. Mais ici, c'est l'âme de Kinshasa qui résonne à travers chaque note, chaque percussion recyclée, chaque riff électrique. Titres interprétés au grand studio : - Toye Mabe Live RFI - Kin'gongolo, extrait de l'album - Elengi Ya Ko Vivre Live RFI. Line Up : Leebruno (chant, percussions metal), Mille Baguettes (chant, batterie), Ducap (chant percus plastique), Djino (basse) et Bébé Mingé (chœurs, harpe, guitare). En entrevue : Djino & Leebruno. Son : Mathias Taylor, Benoît Letirant. ► Album Kiniata (Hélico 2025). Kin'Gongolo Kiniata - Instagram. Actu Concerts : Primeurs de Massy 31/10 + Péniche Metaxu (Pantin) 29/11/2025.
Le nanisme peut résulter d'une centaine de causes différentes. La cause la plus fréquente de cette perturbation de la croissance est l'achondroplasie, une mutation génétique qui peut avoir un impact important sur l'état de santé, et nécessiter des prises en charge adaptées pour limiter les complications. Au-delà de la question de santé, se pose celle de l'intégration sociale, du regard des autres et de la stigmatisation. Quels sont les différents types de nanisme ? Les diagnostics prénataux sont-ils fiables ? Quelles complications peuvent survenir ? Quelles sont les prises en charge qui existent actuellement ? Dr Geneviève Baujat, généticienne au Centre de référence Maladies Osseuses Constitutionnelles à l'Institut IMAGINE de l'Hôpital universitaire Necker-Enfants malades Florence Talbi, membre du Conseil d'Administration de l'APPT, l'Association des Personnes de Petite Taille Pr Gerrye Mubungu, pédiatre-généticienne, directrice adjointe du Centre de référence des maladies rares et non diagnostiquées et cheffe du service de Néonatalogie des cliniques universitaires de Kinshasa, en République Démocratique du Congo. Programmation musicale : ► Innoss'B – Bango kaka te ► Rema – Fun.
Le nanisme peut résulter d'une centaine de causes différentes. La cause la plus fréquente de cette perturbation de la croissance est l'achondroplasie, une mutation génétique qui peut avoir un impact important sur l'état de santé, et nécessiter des prises en charge adaptées pour limiter les complications. Au-delà de la question de santé, se pose celle de l'intégration sociale, du regard des autres et de la stigmatisation. Quels sont les différents types de nanisme ? Les diagnostics prénataux sont-ils fiables ? Quelles complications peuvent survenir ? Quelles sont les prises en charge qui existent actuellement ? Dr Geneviève Baujat, généticienne au Centre de référence Maladies Osseuses Constitutionnelles à l'Institut IMAGINE de l'Hôpital universitaire Necker-Enfants malades Florence Talbi, membre du Conseil d'Administration de l'APPT, l'Association des Personnes de Petite Taille Pr Gerrye Mubungu, pédiatre-généticienne, directrice adjointe du Centre de référence des maladies rares et non diagnostiquées et cheffe du service de Néonatalogie des cliniques universitaires de Kinshasa, en République Démocratique du Congo. Programmation musicale : ► Innoss'B – Bango kaka te ► Rema – Fun.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur un mécanisme de vérification de cessez-le-feu signé entre Kinshasa et l'AFC/M23 et le Portugal en situation d'excédent budgétaire. Guerre en Ukraine : et si les missiles Tomahawk changeaient la donne ? Si Vladimir Poutine ne met pas fin à la guerre, Donald Trump menace de livrer à Kiev des missiles américains «Tomahawk». Quelle est la spécificité de cette arme ? Alors que la Russie intensifie ses attaques contre les infrastructures énergétiques ukrainiennes à l'approche de l'hiver, ces missiles pourraient-ils changer le cours de la guerre ? Avec Franck Alexandre, journaliste spécialiste des questions de défense et de sécurité à RFI. RDC : un nouveau pas vers la paix entre Kinshasa et l'AFC/M23 ? Alors que l'est de la RDC reste en proie à des tensions persistantes, Kinshasa et le groupe armé AFC/M23 soutenu par le Rwanda se sont entendus sur un mécanisme conjoint de vérification du cessez-le-feu. En quoi consiste ce dispositif ? A-t-il des chances d'aboutir à un accord de paix durable ? Avec Patient Ligodi, journaliste au service Afrique de RFI. Portugal : le pays peut-il devenir un modèle économique européen ? C'est une performance inédite depuis près d'un demi-siècle : pour la deuxième année consécutive, le Portugal perçoit plus de recettes qu'il ne dépense. Comment ce pays, considéré il y a 15 ans comme l'un des mauvais élèves de l'Europe, a-t-il réussi cet exploit ? Les autres États membres de l'UE peuvent-ils s'en inspirer ? Avec Simon-Pierre Sengayrac, co-directeur de l'Observatoire de l'économie à la Fondation Jean-Jaurès. Et en fin d'émission, la chronique « Un œil sur les réseaux » de Jessica Taieb. Au programme, les nombreuses réactions des internautes maliens face à l'embargo sur le carburant dans le pays.
De Bruxelles à Abidjan en passant par Yaoundé et Kinshasa : les spectateurs de Barber Shop Chronicles suivent les histoires de quelques habitués des salons de coiffure pour hommes... Qu'est-ce qui se raconte dans les salons de coiffure pour hommes ? En deux heures vingt de spectacle, les metteurs en scène Michael de Cock et Junior Mthombeni adaptent la pièce de l'auteur et poète anglo-nigérian Inua Ellams. Entre documentaire et fiction, la pièce nous plonge dans les questionnements qui traversent les masculinités noires d'aujourd'hui avec une douzaine de comédiens sur scène. Dans ces lieux très particuliers, on cause de tout, des femmes, de la politique, du foot et de sa famille. Quand on arrive là-bas [chez le barbier] tu existes, tu as le droit d'être sans préjugés et automatiquement, le barbier se transforme en thérapeute. On partage tout. Junior Akwety L'adaptation de cette pièce anglophone a commencé, il y a un an et demi. Il y a eu tout d'abord une traduction puis une «transplantation» vers des pays francophones tout en gardant la même trame dramaturgique. On passe donc de Londres, de l'Angola ou du Ghana à Bruxelles, Kinshasa ou Dakar. On voyage dans le quotidien des gens, mais aussi dans les situations politiques des pays concernés... Il y a beaucoup d'amusements, mais il y a aussi beaucoup de choses qui sont dites, des messages qui sont clairs qu'on arrive à passer. Salif Cissé Une pièce qui parle aussi des pères : les pères absents, les pères violents. Un lien qu'on essaye de chercher, de retrouver avec nos cultures, précise Junior Akwety. On parle aussi beaucoup de société politique, mais aussi de l'histoire de la colonisation et de l'esclavage entre deux coupes de cheveux, mais on discute aussi des langues et de... foot ! Invités : Salif Cissé, un des comédiens de la pièce et Junior Akwety, comédien. Ce dernier a également participé à l'adaptation de la pièce. Salif Cissé est un comédien né en 1992. Il grandit à La Courneuve, en banlieue parisienne. Il découvre le théâtre au lycée. Après un baccalauréat, il suit une formation au Conservatoire dont il sort diplômé en 2017, puis au Conservatoire national supérieur d'art dramatique. Il jouera avec ses camarades de promotion dans le film À l'abordage, sorti en 2020. Il enchaîne depuis les rôles au cinéma et au théâtre. Junior Akwety est un chanteur, acteur, musicien de néo-rumba né au Congo. Le spectacle Barber Shop Chronicles est à voir à la MC 93 du 15 au 19 octobre 2025, puis en tournée, en Italie, en Belgique, à Bruxelles et à Lisbonne au Portugal. Programmation musicale : L'artiste Steve Ibrahim avec le titre Sur le mur du salon.
De Bruxelles à Abidjan en passant par Yaoundé et Kinshasa : les spectateurs de Barber Shop Chronicles suivent les histoires de quelques habitués des salons de coiffure pour hommes... Qu'est-ce qui se raconte dans les salons de coiffure pour hommes ? En deux heures vingt de spectacle, les metteurs en scène Michael de Cock et Junior Mthombeni adaptent la pièce de l'auteur et poète anglo-nigérian Inua Ellams. Entre documentaire et fiction, la pièce nous plonge dans les questionnements qui traversent les masculinités noires d'aujourd'hui avec une douzaine de comédiens sur scène. Dans ces lieux très particuliers, on cause de tout, des femmes, de la politique, du foot et de sa famille. Quand on arrive là-bas [chez le barbier] tu existes, tu as le droit d'être sans préjugés et automatiquement, le barbier se transforme en thérapeute. On partage tout. Junior Akwety L'adaptation de cette pièce anglophone a commencé, il y a un an et demi. Il y a eu tout d'abord une traduction puis une «transplantation» vers des pays francophones tout en gardant la même trame dramaturgique. On passe donc de Londres, de l'Angola ou du Ghana à Bruxelles, Kinshasa ou Dakar. On voyage dans le quotidien des gens, mais aussi dans les situations politiques des pays concernés... Il y a beaucoup d'amusements, mais il y a aussi beaucoup de choses qui sont dites, des messages qui sont clairs qu'on arrive à passer. Salif Cissé Une pièce qui parle aussi des pères : les pères absents, les pères violents. Un lien qu'on essaye de chercher, de retrouver avec nos cultures, précise Junior Akwety. On parle aussi beaucoup de société politique, mais aussi de l'histoire de la colonisation et de l'esclavage entre deux coupes de cheveux, mais on discute aussi des langues et de... foot ! Invités : Salif Cissé, un des comédiens de la pièce et Junior Akwety, comédien. Ce dernier a également participé à l'adaptation de la pièce. Salif Cissé est un comédien né en 1992. Il grandit à La Courneuve, en banlieue parisienne. Il découvre le théâtre au lycée. Après un baccalauréat, il suit une formation au Conservatoire dont il sort diplômé en 2017, puis au Conservatoire national supérieur d'art dramatique. Il jouera avec ses camarades de promotion dans le film À l'abordage, sorti en 2020. Il enchaîne depuis les rôles au cinéma et au théâtre. Junior Akwety est un chanteur, acteur, musicien de néo-rumba né au Congo. Le spectacle Barber Shop Chronicles est à voir à la MC 93 du 15 au 19 octobre 2025, puis en tournée, en Italie, en Belgique, à Bruxelles et à Lisbonne au Portugal. Programmation musicale : L'artiste Steve Ibrahim avec le titre Sur le mur du salon.
Certains en mettent seulement quelques gouttes au creux du cou, sur les poignets, ou le vaporisent, d'autres semblent avoir vidé toute la bouteille. À l'origine, rituel sacré, utilisé ensuite pour dissimuler les mauvaises odeurs, le parfum revêt aujourd'hui bien d'autres significations. Derrière ce geste du quotidien, se cache un désir de séduction, de montrer son pouvoir, sa sensibilité ou tout simplement l'envie de sentir bon. Le parfum révèle aussi beaucoup de celui ou celle qui le porte. On associe d'ailleurs certaines senteurs au genre féminin, d'autres au masculin, fleuries pour les filles, boisées pour les garçons. Tout le monde a en tête un parfum qu'il reconnaîtrait parmi mille. Celui d'un amoureux ou d'une amoureuse, d'un parent, d'un être cher. Une odeur, qui nous apaise, nous réconforte, comme une madeleine de Proust ou au contraire nous irrite et nous indispose. Genre, personnalité, humeur... que révèlent nos effluves ? Laisse-moi te sentir et je te dirai qui tu es ? Cette émission est une rediffusion du 12 mai 2025 Avec : • Jeanne Doré, cofondatrice, rédactrice en chef de Nez, la revue olfactive, une publication biannuelle consacrée à la culture olfactive • Calice Becker, maître parfumeur française et directrice de l'École de Parfumerie Givaudan • Duplex Mbeleck, artisan parfumeur à Douala au Cameroun et promoteur de la marque DM PERFUME. Un nouvel épisode de notre série Le succès des repats réalisée par Charlie Dupiot. Ils et elles sont originaires d'Afrique centrale et ont décidé de rentrer chez eux pour contribuer au développement de leur pays. C'est le moment du «Succès des Repats» ! De retour à Kinshasa, Marie-Ange Lubeka a fondé «Empreinte Consulting», un cabinet de gestion et de co-gestion pour des PME, des petites et moyennes entreprises congolaises... Notre reporter Charlie Dupiot a rencontré cette cheffe d'entreprise à l'automne dernier. Programmation musicale : ► Cafuné - Gabriel Da Rosa ► Ghetto Whine – Blaiz Fazya.
Certains en mettent seulement quelques gouttes au creux du cou, sur les poignets, ou le vaporisent, d'autres semblent avoir vidé toute la bouteille. À l'origine, rituel sacré, utilisé ensuite pour dissimuler les mauvaises odeurs, le parfum revêt aujourd'hui bien d'autres significations. Derrière ce geste du quotidien, se cache un désir de séduction, de montrer son pouvoir, sa sensibilité ou tout simplement l'envie de sentir bon. Le parfum révèle aussi beaucoup de celui ou celle qui le porte. On associe d'ailleurs certaines senteurs au genre féminin, d'autres au masculin, fleuries pour les filles, boisées pour les garçons. Tout le monde a en tête un parfum qu'il reconnaîtrait parmi mille. Celui d'un amoureux ou d'une amoureuse, d'un parent, d'un être cher. Une odeur, qui nous apaise, nous réconforte, comme une madeleine de Proust ou au contraire nous irrite et nous indispose. Genre, personnalité, humeur... que révèlent nos effluves ? Laisse-moi te sentir et je te dirai qui tu es ? Cette émission est une rediffusion du 12 mai 2025 Avec : • Jeanne Doré, cofondatrice, rédactrice en chef de Nez, la revue olfactive, une publication biannuelle consacrée à la culture olfactive • Calice Becker, maître parfumeur française et directrice de l'École de Parfumerie Givaudan • Duplex Mbeleck, artisan parfumeur à Douala au Cameroun et promoteur de la marque DM PERFUME. Un nouvel épisode de notre série Le succès des repats réalisée par Charlie Dupiot. Ils et elles sont originaires d'Afrique centrale et ont décidé de rentrer chez eux pour contribuer au développement de leur pays. C'est le moment du «Succès des Repats» ! De retour à Kinshasa, Marie-Ange Lubeka a fondé «Empreinte Consulting», un cabinet de gestion et de co-gestion pour des PME, des petites et moyennes entreprises congolaises... Notre reporter Charlie Dupiot a rencontré cette cheffe d'entreprise à l'automne dernier. Programmation musicale : ► Cafuné - Gabriel Da Rosa ► Ghetto Whine – Blaiz Fazya.
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Selon l'OMS, chaque année, il y a près de 10 millions de personnes atteintes de démence dans le monde. Parmi elles, 60 à 70% seraient plus particulièrement touchées par la maladie d'Alzheimer. Santé Publique France estime qu'environ 900 000 Français en sont atteints. Maladie neurodégénérative affectant principalement la mémoire, la maladie d'Alzheimer peut également affecter le langage, le raisonnement, l'apprentissage… Quels sont les facteurs de risques ? Quand s'inquiéter ? Comment prévenir ou freiner l'évolution de la maladie ? Pr Philippe Amouyel, professeur de Santé publique au Centre Hospitalier Universitaire de Lille et directeur de la Fondation Alzheimer. Membre du Conseil mondial de la démence et coordonnateur de l'initiative internationale de recherche sur les maladies neuro-dégénératives. Auteur du livre Le Guide anti-Alzheimer. Les secrets d'un cerveau en pleine forme, aux éditions Cherche Midi Dr Premier Massamba, médecin gériatre à l'Hôpital de jour gériatrique Saint Joseph de Limete, à Kinshasa, en RDC. Un reportage de Thalie Mpouho. ► En fin d'émission, nous faisons le point sur Pasteurdon, opération annuelle d'appel aux dons de l'Institut Pasteur qui débute aujourd'hui et se poursuivra jusqu'au 12 octobre 2025. Interview du Dr Hervé Bourhy, responsable du Centre National de Référence pour la rage de l'Institut Pasteur à Paris. Programmation musicale : ► Yves Delbrah – Nkombe ► Zentone - Make You Cry.
Selon l'OMS, chaque année, il y a près de 10 millions de personnes atteintes de démence dans le monde. Parmi elles, 60 à 70% seraient plus particulièrement touchées par la maladie d'Alzheimer. Santé Publique France estime qu'environ 900 000 Français en sont atteints. Maladie neurodégénérative affectant principalement la mémoire, la maladie d'Alzheimer peut également affecter le langage, le raisonnement, l'apprentissage… Quels sont les facteurs de risques ? Quand s'inquiéter ? Comment prévenir ou freiner l'évolution de la maladie ? Pr Philippe Amouyel, professeur de Santé publique au Centre Hospitalier Universitaire de Lille et directeur de la Fondation Alzheimer. Membre du Conseil mondial de la démence et coordonnateur de l'initiative internationale de recherche sur les maladies neuro-dégénératives. Auteur du livre Le Guide anti-Alzheimer. Les secrets d'un cerveau en pleine forme, aux éditions Cherche Midi Dr Premier Massamba, médecin gériatre à l'Hôpital de jour gériatrique Saint Joseph de Limete, à Kinshasa, en RDC. Un reportage de Thalie Mpouho. ► En fin d'émission, nous faisons le point sur Pasteurdon, opération annuelle d'appel aux dons de l'Institut Pasteur qui débute aujourd'hui et se poursuivra jusqu'au 12 octobre 2025. Interview du Dr Hervé Bourhy, responsable du Centre National de Référence pour la rage de l'Institut Pasteur à Paris. Programmation musicale : ► Yves Delbrah – Nkombe ► Zentone - Make You Cry.
Kambale Musavuli, a native of the Democratic Republic of Congo, is an analyst with the Center for Research on Congo-Kinshasa. 702 Breakfast with Bongani Bingwa is broadcast on 702, a Johannesburg based talk radio station. Bongani makes sense of the news, interviews the key newsmakers of the day, and holds those in power to account on your behalf. The team bring you all you need to know to start your day Thank you for listening to a podcast from 702 Breakfast with Bongani Bingwa Listen live on Primedia+ weekdays from 06:00 and 09:00 (SA Time) to Breakfast with Bongani Bingwa broadcast on 702: https://buff.ly/gk3y0Kj For more from the show go to https://buff.ly/36edSLV or find all the catch-up podcasts here https://buff.ly/zEcM35T Subscribe to the 702 Daily and Weekly Newsletters https://buff.ly/v5mfetc Follow us on social media: 702 on Facebook: https://www.facebook.com/TalkRadio702 702 on TikTok: https://www.tiktok.com/@talkradio702 702 on Instagram: https://www.instagram.com/talkradio702/ 702 on X: https://x.com/Radio702 702 on YouTube: https://www.youtube.com/@radio702See omnystudio.com/listener for privacy information.
Si certains savent depuis leur plus jeune âge qu'ils souhaitent devenir médecin, d'autres découvrent leur vocation plus tard. Après avoir déjà entamé des études dans d'autres domaines, ils décident de tout arrêter pour se reconvertir. Comment se passe cette reconversion ? Comment s'organise-t-on au quotidien pour reprendre des études qui sont, par essence, parmi les plus longues ? Camillia Bailly, étudiante en quatrième année de médecine. Créatrice du compte Instagram Maman fait médecine Sonia Banou, interne de médecine générale et ancienne avocate Pr Samuel Mampunza, neuropsychiatre, ancien doyen de la Faculté de Médecine de Kinshasa, ancien doyen de la Faculté de Médecine de l'Université protestante au Congo, secrétaire général académique (vice-recteur) honoraire de l'Université Protestante au Congo (UPC). Président honoraire de la Société africaine de santé mentale (SASM) Dr Bamba Gaye, directeur exécutif et fondateur de l'Alliance pour la recherche médicale en Afrique. Professeur d'informatique biomédicale à la Faculté de médecine Emory d'Atlanta aux États-Unis. ► En fin d'émission, nous parlons de la baisse de prix annoncée du lenacapavir, un traitement de prophylaxie pré-exposition pour le VIH qui a un taux d'efficacité de 96% à 100%. Le traitement passe ainsi à 40 dollars par patient par an contre plus de 20 000 dollars auparavant. Interview de Nathalie Ernoult, directrice du Plaidoyer pour les enjeux d'accès aux médicaments chez Médecins Sans Frontières. Programmation musicale : ► Say She She - Disco Life ► Spyro, Tiwa Savage – Who is your guy ?
Si certains savent depuis leur plus jeune âge qu'ils souhaitent devenir médecin, d'autres découvrent leur vocation plus tard. Après avoir déjà entamé des études dans d'autres domaines, ils décident de tout arrêter pour se reconvertir. Comment se passe cette reconversion ? Comment s'organise-t-on au quotidien pour reprendre des études qui sont, par essence, parmi les plus longues ? Camillia Bailly, étudiante en quatrième année de médecine. Créatrice du compte Instagram Maman fait médecine Sonia Banou, interne de médecine générale et ancienne avocate Pr Samuel Mampunza, neuropsychiatre, ancien doyen de la Faculté de Médecine de Kinshasa, ancien doyen de la Faculté de Médecine de l'Université protestante au Congo, secrétaire général académique (vice-recteur) honoraire de l'Université Protestante au Congo (UPC). Président honoraire de la Société africaine de santé mentale (SASM) Dr Bamba Gaye, directeur exécutif et fondateur de l'Alliance pour la recherche médicale en Afrique. Professeur d'informatique biomédicale à la Faculté de médecine Emory d'Atlanta aux États-Unis. ► En fin d'émission, nous parlons de la baisse de prix annoncée du lenacapavir, un traitement de prophylaxie pré-exposition pour le VIH qui a un taux d'efficacité de 96% à 100%. Le traitement passe ainsi à 40 dollars par patient par an contre plus de 20 000 dollars auparavant. Interview de Nathalie Ernoult, directrice du Plaidoyer pour les enjeux d'accès aux médicaments chez Médecins Sans Frontières. Programmation musicale : ► Say She She - Disco Life ► Spyro, Tiwa Savage – Who is your guy ?
En 150 illustrations, Riad Sattouf, auteur de l'Arabe du futur, nous invite à (re)découvrir le récit semi-autobiographique de Saint-Exupéry «Terre des hommes». C'est un texte fondateur pour l'auteur Riad Sattouf. Il l'a lu pour la première fois quand il avait quinze ans, sa situation familiale était très compliquée, et dit le relire chaque année : «Il y avait peu de livres chez moi, cela a été une rencontre» nous dit-il. «Il y avait tout ce que je voulais trouver». Illustrer les romans d'aviation de Saint-Exupéry a toujours été un rêve pour le papa des Cahiers d'Esther. Une métaphore de la vie à venir. Un grand rêve mis en forme. Un jour, il écrit aux éditions Gallimard (la maison d'édition qui avait publié Terre des Hommes en 1939) ainsi qu'aux ayant-droits de Saint-Exupéry pour leur proposer d'illustrer «Terre des Hommes». Le projet est accepté… «Terre des hommes» a été publié quelques mois avant le début de la Seconde Guerre mondiale : en février 1939. Dans ce récit à la fois autobiographique et philosophique, l'auteur relate ses expériences de vol et de camaraderie dans l'Aéropostale et livre ses pensées philosophiques sur des thèmes tels que l'amitié, l'amour, la fraternité, la vie, la mort. Antoine de Saint-Exupéry est né à Lyon en 1900. Il devient pilote lors de son service militaire en 1921, puis pour l'Aéropostale (alors appelée Latécoère) en 1926. Parallèlement, il devient écrivain et publie ses premiers romans en s'inspirant de sa vie d'aviateur avec notamment le roman Vol de nuit publié en 1931 qui remporte le prix Femina. Terre des hommes, publié en 1939, reçoit le grand prix du roman de l'Académie française. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il est pilote de reconnaissance. Il s'installe à New-York et publie Le Petit Prince en 1943. Il disparait en mer en juillet 1944 lors d'une mission. Son avion sera retrouvé en 2000. Riad Sattouf est né en 1978. Il est très vite passionné par le dessin. Auteur de bandes dessinées telles que l'Arabe du futur qui raconte son enfance vécue entre la Bretagne et le Moyen-Orient et les Cahiers d'Esther qui relate les aventures d'une pré-ado — puis adolescente – espiègle. Ses ouvrages ont été vendus à plusieurs millions d'exemplaires et traduits dans 25 langues. En 2024, il publie Moi, Fadi, le frère volé qui relate les aventures de son jeune frère, après qu'il a été kidnappé par son père, et emmené en Syrie. Il a reçu, à deux reprises, le Fauve d'or du meilleur album au Festival d'Angoulême. Il a également remporté le Grand Prix du Festival en 2023, pour l'ensemble de son œuvre. Il a par ailleurs réalisé deux longs métrages : Les beaux gosses en 2009 et Jacky au royaume des filles en 2014. Terre des hommes est copublié par Gallimard et Les livres du futur. À voir également : L'exposition des illustrations à la galerie Gallimard à partir du 3 octobre. Et la chronique ailleurs nous emmène à Kinshasa où Etienne Russias, président de l'association Semer en territoire, nous parlera de son projet d'ateliers d'écriture Black Label autour de l'œuvre de Léon Gontran Damas, l'une des figures incontournables de la négritude. Programmation musicale : L'artiste Bertrand Belin avec le titre La béatitude.
En 150 illustrations, Riad Sattouf, auteur de l'Arabe du futur, nous invite à (re)découvrir le récit semi-autobiographique de Saint-Exupéry «Terre des hommes». C'est un texte fondateur pour l'auteur Riad Sattouf. Il l'a lu pour la première fois quand il avait quinze ans, sa situation familiale était très compliquée, et dit le relire chaque année : «Il y avait peu de livres chez moi, cela a été une rencontre» nous dit-il. «Il y avait tout ce que je voulais trouver». Illustrer les romans d'aviation de Saint-Exupéry a toujours été un rêve pour le papa des Cahiers d'Esther. Une métaphore de la vie à venir. Un grand rêve mis en forme. Un jour, il écrit aux éditions Gallimard (la maison d'édition qui avait publié Terre des Hommes en 1939) ainsi qu'aux ayant-droits de Saint-Exupéry pour leur proposer d'illustrer «Terre des Hommes». Le projet est accepté… «Terre des hommes» a été publié quelques mois avant le début de la Seconde Guerre mondiale : en février 1939. Dans ce récit à la fois autobiographique et philosophique, l'auteur relate ses expériences de vol et de camaraderie dans l'Aéropostale et livre ses pensées philosophiques sur des thèmes tels que l'amitié, l'amour, la fraternité, la vie, la mort. Antoine de Saint-Exupéry est né à Lyon en 1900. Il devient pilote lors de son service militaire en 1921, puis pour l'Aéropostale (alors appelée Latécoère) en 1926. Parallèlement, il devient écrivain et publie ses premiers romans en s'inspirant de sa vie d'aviateur avec notamment le roman Vol de nuit publié en 1931 qui remporte le prix Femina. Terre des hommes, publié en 1939, reçoit le grand prix du roman de l'Académie française. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il est pilote de reconnaissance. Il s'installe à New-York et publie Le Petit Prince en 1943. Il disparait en mer en juillet 1944 lors d'une mission. Son avion sera retrouvé en 2000. Riad Sattouf est né en 1978. Il est très vite passionné par le dessin. Auteur de bandes dessinées telles que l'Arabe du futur qui raconte son enfance vécue entre la Bretagne et le Moyen-Orient et les Cahiers d'Esther qui relate les aventures d'une pré-ado — puis adolescente – espiègle. Ses ouvrages ont été vendus à plusieurs millions d'exemplaires et traduits dans 25 langues. En 2024, il publie Moi, Fadi, le frère volé qui relate les aventures de son jeune frère, après qu'il a été kidnappé par son père, et emmené en Syrie. Il a reçu, à deux reprises, le Fauve d'or du meilleur album au Festival d'Angoulême. Il a également remporté le Grand Prix du Festival en 2023, pour l'ensemble de son œuvre. Il a par ailleurs réalisé deux longs métrages : Les beaux gosses en 2009 et Jacky au royaume des filles en 2014. Terre des hommes est copublié par Gallimard et Les livres du futur. À voir également : L'exposition des illustrations à la galerie Gallimard à partir du 3 octobre. Et la chronique ailleurs nous emmène à Kinshasa où Etienne Russias, président de l'association Semer en territoire, nous parlera de son projet d'ateliers d'écriture Black Label autour de l'œuvre de Léon Gontran Damas, l'une des figures incontournables de la négritude. Programmation musicale : L'artiste Bertrand Belin avec le titre La béatitude.
Du 27 septembre au 9 octobre se déroule la quatrième édition du Festival Pianos de Kinshasa. Il met en lumière des compositeurs congolais et internationaux et se donne surtout un objectif : rendre accessibles les concerts de piano à tous les Kinois. Reportage de notre correspondante à Kinshasa, Dans ce bar du centre de Kinshasa, les notes de piano se mélangent au brouhaha de la ville et aux klaxons des voitures. Un concert est organisé dans la rue. Divin Kaskayenga, producteur, confie : « Nous sommes sur la route 24. La 24, c'est une artère animée. Nous avons l'habitude d'être remplis de chaises et de tables pour boire, mais là, au milieu de toutes ces tables et chaises, il y a un piano, et c'est une chose à laquelle les gens n'ont pas habitué de voir. » Au clavier, il y a David Clément, pianiste professionnel. Son répertoire va au-delà de la musique classique pour proposer des rythmes rumba : « Le piano a la capacité de faire tout. C'est un instrument de musique qui n'est pas limité, il peut faire toutes sortes de musique. Ici, la concentration, c'est très difficile parce qu'il y a toute l'ambiance de Kinshasa. Tu joues et puis, tu entends les gens siffler, tu entends les gens crier, tu entends les gens parler... C'est pas du tout facile pour être vraiment concentré. » Casser les codes Quand viennent les premières compositions congolaises, Cherubin ne peut s'empêcher de bondir de sa chaise : « Ça, c'est du mutuashi, c'est ''Mamu nationale''. Tshala Muana, une grande dame, ça nous plaît ! Voilà ! » Il poursuit : « C'est ma toute première fois, de voir un piano comme ça, parce que, d'habitude, nous voyons des jeunes avec la guitare. Mais avec cette initiative, nous avons vu les gens en train de jouer avec les pianos. » Faire découvrir un instrument perçu comme élitiste, c'est l'objectif du Festival Pianos Kinshasa. Olga Piton, l'une des organisatrices de l'événement, explique : « Ça reste un instrument que peut-être on a l'habitude de voir dans des situations plus formelles. Mais ici, ça devient informel. Et pour nous, c'était très important de démystifier un petit peu l'instrument en soi. L'intérêt, c'est aussi de mettre tout le monde ensemble et voir comment, à Kinshasa, tout peut se fusionner. Des ambassadeurs qui viennent à côté des enfants qui vendent des cigarettes... Ça réfléchit aussi complètement l'âme de Kinshasa. » Une fusion réussie pour ce festival qui déborde d'énergie.
Reconnu coupable de crimes de guerre, de trahison, d'organisation d'un mouvement insurrectionnel pour ses liens avec le mouvement rebelle AFC/M23, Joseph Kabila a été condamné par contumace à la peine de mort. Toutes les charges contre l'ancien président ont été retenues. Que vous inspire ce verdict ? Qu'avez-vous pensé de ce procès inédit devant la Haute Cour militaire de Kinshasa ?
À l'occasion d'Octobre Rose, nous parlons du cancer du sein. Selon l'OMS, il est le cancer le plus fréquent au monde avec plus de 2,3 millions de femmes diagnostiquées chaque année. Quelles sont les pistes d'amélioration du diagnostic et de la prise en charge ? Pre Anne Vincent-Salomon, pathologiste. Cheffe du Pôle de Médecine Diagnostique et Théranostique et du Service de Pathologie et directrice de l'Institut Des Cancers des Femmes à l'Institut Curie à Paris. Professeure à l'Université Paris Sciences & Lettres Dr Vincent Wilfred Lokonga, oncologue médical à la Clinique Ngaliema à Kinshasa en République Démocratique du Congo. Président de la Société Congolaise du Cancer. Secrétaire général de la Société Africaine Francophone de Cancérologie. Témoignage recueilli par Raphaëlle Constant. Programmation musicale : ► Fally Ipupa – Mayanga ► KAROL G, Manu Chao - Viajando Por El Mundo.
« La sentence est tombée, lourde comme un couperet dans le silence feutré de la Haute cour militaire, constate Le Journal de Kinshasa. Ce mardi, l'ombre de Joseph Kabila a été officiellement condamnée à la peine de mort. Pour "trahison" et "participation à un mouvement insurrectionnel", la justice militaire a tranché. Aucune circonstance atténuante n'a été retenue. Le principal concerné, qui vit en exil, n'était qu'un fantôme. Le réquisitoire, impitoyable, dressait le portrait d'un homme non plus en chef d'État, mais en chef de guerre. La Cour a épousé ces allégations, peignant une réalité sombre. Elle affirme que, dans l'ombre, l'ancien président tenait à Goma et Bukavu de "véritables réunions d'état-major". Il inspectait des centres d'instruction de rebelles et se comportait en "chef incontesté de tous les mouvements rebelles" (…). Le jugement est sans appel : Joseph Kabila est désormais qualifié de "chef de la coalition AFC/M23" ». Pas de réaction pour l'instant de l'intéressé. Juste un communiqué de son parti, le FCC, le Front commun pour le Congo, publié sur le site congolais 7 sur 7 : « le FCC dénonce "la restauration de la dictature" et l'instrumentalisation "croissante, tant de la justice que de la puissance publique à des fins politiques". Le FCC, qui se positionne comme une force politique "considérable" de l'opposition, promet de combattre cette condamnation qu'elle juge "inacceptable" ». Séisme politique… Ce « verdict est une première depuis l'indépendance du Congo, en 1960 », constate le site spécialisé sur la RDC Afrikarabia : « avec une peine très lourde, des dommages et intérêts pour les victimes de l'AFC/M23 stratosphériques de plus de 30 milliards de dollars (soit deux fois le budget de l'État congolais), et désormais un ancien président en cavale et recherché par la justice congolaise. (…) Cette condamnation à mort de Kabila représente un petit séisme politique en RDC, pointe encore Afrikarabia. Ce verdict résonne d'abord comme un message d'avertissement et "préventif" à l'attention de toutes les personnes qui souhaiteraient rejoindre les rangs rebelles. (…) Et elle brise une possible coalition anti-Tshisekedi, avec à sa tête Joseph Kabila associé à une myriade d'opposants. Elle disqualifie enfin l'ex-président, aux yeux de Kinshasa, comme interlocuteur à un potentiel dialogue national ». Un « goût d'inachevé » ? Pour Le Monde Afrique, « en l'absence de l'accusé et sans avocat pour le défendre à l'issue d'une instruction bâclée, ce procès expéditif laisse un goût d'inachevé ». Avec « des charges qui reposent implicitement sur l'autorité, directe mais supposée, qu'exercerait Joseph Kabila sur la rébellion du M23. (…) D'un naturel taiseux, naviguant entre le Zimbabwe – où, selon une source, il se trouverait actuellement –, l'Afrique du Sud et la Zambie, l'ancien président avait finalement brisé le silence le 18 mars dernier, depuis Johannesburg, rappelle Le Monde Afrique, pour nier tout lien avec le M23. La plupart des observateurs jugent toutefois que Corneille Nangaa (l'un de ses fidèles lorsqu'il était au pouvoir) ne serait pas entré dans la rébellion armée sans, au minimum, l'onction de Joseph Kabila ». Et « beaucoup ont cru discerner l'ambition de ce dernier de revenir aux affaires lorsque Corneille Nangaa a exprimé son intention de renverser le pouvoir par les armes ». « Attiser le feu » ? La presse ouest-africaine s'interroge : « à quoi servira cette condamnation de Joseph Kabila ? » se demande WakatSéra à Ouagadougou. « N'est-ce pas plutôt le meilleur moyen de raidir les positions et d'attiser le feu dans l'est de la RD Congo ? (…) En tout cas, les populations civiles continuent, elles, de vivre l'enfer, alors que la convoitise des acteurs et commanditaires de la guerre, pour les richesses minières de la RD Congo, ne fait que croître ». Enfin pour Ledjely en Guinée, ce « verdict pourrait être perçu par l'opposition politique congolaise comme une manœuvre d'intimidation à l'encontre de toutes les voix dissidentes, en prévision du troisième mandat que Félix Tshisekedi caresse en secret l'ambition de briguer. C'est dire, conclut le site guinéen, que la condamnation prononcée contre Kabila pourrait contribuer à dégrader davantage les rapports de confiance entre les acteurs de la scène politique congolaise. Une méfiance qui ne pourra que galvaniser ceux dont les intérêts prospèrent dans l'insécurité chronique qui sévit en RDC depuis une trentaine d'années ».
Bienvenue dans notre rendez-vous hebdomadaire : le Club de C'est pas du vent. Des journalistes spécialistes de l'environnement, de RFI et d'ailleurs, reviennent sur les sujets environnementaux qui les ont marqués et partagent les coulisses de leur travail. L'occasion aussi de commenter les reportages produits par les vidéastes du réseau ePOP et les actions des Clubs RFI. Avec Concepcion Alvarez de Novethic : Quelle place peut prendre la Chine dans le leadership climatique ? Peut-elle enclencher un déclin des énergies fossiles ? Thuy Duong Nguyen de la rédaction vietnamienne sur les nouvelles mesures de lutte contre la pollution de l'air au Vietnam Simon Rozé du service environnement de RFI sur les protecteurs de la nature en Afrique Jeanne Richard du service environnement de RFI. De retour de Belém au Brésil, elle nous parlera de cette ville où 70 % de la population vit dans des favelas et qui se transforme pour la COP 30. La Chronique ePOP / (RFI Planète Radio/IRD) de Raphaëlle Pluskwa avec Clémence Nébie du Burkina Faso pour son film La colline de la désolation. La Chronique des Club Rfi de Sébastien Bonijol nous emmène en République Démocratique du Congo, à Kinshasa, où l'insalubrité est devenue un véritable défi pour les habitants... Musiques diffusées pendant l'émission - Oh, no ! It's Diva - Love - Nusantara Beat - Tamat.
Joseph Kabila a été condamné à mort mardi à Kinshasa. L'ex-président de la République démocratique du Congo (RD Congo) a été condamné par contumace à l'issue d'un procès devant la justice militaire du pays. Il a été jugé coupable de "trahison" et de "crimes de guerre".
Greetings Glocal Citizens! In case you missed us last week there's good reason. My glocal speak for the week was #UNGA80. The streets and sounds of NYC all pointed to the United Nations General Assembly and myriad sideline events. My week was about all thing #PanAfricanProgress and I look forward to sharing stories from the ground in the coming months. One thing is for sure, the giant that is Africa is awake with millions of youth and experienced diasporans ready to keep all of our eyes wide open. Much of that story is alive and well in my guest this week. Myra Dunoyer Vahighene is a storyteller, creative entrepreneur, and founder of Eleza Masolo, a cultural platform born on YouTube in 2020 and officially launched in 2022 to amplify African voices through storytelling, fashion, and visual arts. She authored Nyuma, the Thirsty Fish (https://a.co/d/2dY2FxR), a children's book tackling water justice in Africa, and regularly speaks across the continent — from Abidjan to Nairobi — about youth empowerment, branding, and narrative sovereignty. A Harvard-trained cultural leader, Myra blends Afro fashion, social storytelling, and entrepreneurship to inspire the new generation of African creators across borders. We meet in Nairobi at the New Cities Summit in June of this year where our common passion for elevating storytelling targeting African children forged our connection. Her most recent literary work Ceux qu'on ne sauvera pas (The Ones We Couldn't Save) (https://a.co/d/iLT8FXs), published on August 10, 2025 is a powerful book blending real-life testimonies, allegory, and prophetic narrative to recount thirty years of war and suffering in her homeland, the eastern Democratic Republic of Congo. Through this work is a moving tribute and a lasting call to remember the forgotten victims of ongoing conflict. Where to find Myra? Eleza Masolo (https://www.instagram.com/eleza_masolo/?hl=en) On LinkedIn (https://www.linkedin.com/in/myra-dunoyer-vahighene-✨-b1b449168/) On Instagram (https://www.instagram.com/myra_dunoyer_vahighene/?hl=en) On Facebook (https://www.facebook.com/myra.vahighene/) On YouTube (https://www.youtube.com/@ElezaMasolo) Who is Myra listening to? Slimane (https://www.youtube.com/@slimane_music) Other topics of interest: Congo, Kinshasa (https://en.wikipedia.org/wiki/Democratic_Republic_of_the_Congo) What's happening in Goma? (https://acleddata.com/expert-comment/qa-what-happening-and-around-goma) Kivu and the ongoig conflict in the Democratic Republic of Congo (https://www.cfr.org/global-conflict-tracker/conflict/violence-democratic-republic-congo) The Great Congo River (https://www.youtube.com/watch?v=43xTvpxWLW4) About DRC's many ethnic groups (https://en.wikipedia.org/wiki/Category:Ethnic_groups_in_the_Democratic_Republic_of_the_Congo) What is an ISBN (https://en.wikipedia.org/wiki/ISBN) France's AFNIL (https://www.afnil.org) platform Teraanga (https://bbc.com/travel/article/20201115-teraanga-the-word-that-defines-senegal) Lâche (https://www.collinsdictionary.com/dictionary/french-english/l%C3%A2che) and Faiblesse (https://www.collinsdictionary.com/dictionary/french-english/faiblesse) in English About The First Pyramid (https://en.wikipedia.org/wiki/Pyramid_of_Djoser) of King Djoser Special Guest: Myra Dunoyer Vahighene .
Good afternoon, I'm _____ with today's episode of EZ News. Tai-Ex opening The Tai-Ex opened up 158 points this morning from yesterday's close, at 25,738 on turnover of $13.5 billion NT Shares in Taiwan moved sharply lower Friday, led by large cap stocks, as investors rushed to pocket recent gains amid growing concerns that the local stock market is overvalued. Selling was seen almost across the board with non-tech stocks under heavy pressure throughout the session. Analysts say ongoing efforts by the Trump administration to put tariffs on imports to the United States also cast a shadow over future prospects. Allies Urge Taiwan Participation in UN Taiwan's diplomatic allies are once again urging the U.N. to allow the island's meaningful participation in the global body. At the close of the 80th United Nations General Assembly debate yesterday, St. Lucia's foregin minister Alva Baptiste emphasized that relevant UN resolutions do not prohibit or exclude (把…排斥在外) Taiwan's participation in the UN system. While St. Kitts and Nevis Prime Minister Terrance Drew said earlier during the meeting that allowing Taiwan to contribute to public health, technology, and disaster relief is not about taking sides, but about pragmatism (實用主義). He stressed that excluding Taiwan from organizations like the World Health Organization and the International Civil Aviation Organization harms the world's ability to solve problems together. Allies, including St. Kitts and Nevis, St. Lucia, Paraguay, the Marshall Islands, Palau, St. Vincent and the Grenadines, Belize, Tuvalu, and Eswatini, all called on the U.N. to welcome Taiwan. (NS) Missile Attack Hits Ship in Gulf of Aden Officials say a missile attack by Yemen's Houthi rebels set a Dutch-flagged cargo ship ablaze in the Gulf of Aden, wounding two mariners. The owner of the ship says the crew abandoned the damaged vessel, which caught fire in the attack. The company says the damage done to the vessel is “substantial” (重大的). The ship's owner, says crew members were evacuated by helicopter. The French military says the Iranian-backed Houthis carried out the attack. The rebels have not claimed the assault, though it can take them hours or days to acknowledge their attacks. DRC Clashes Between ProGov Militia and M23 Rebels Fighting has erupted in the east of the Democratic Republic of Congo between M23 rebels and a pro-government militia after days of a lull (暫時平靜[) in fighting. Chris Ocamringa has more from Kinshasa.. OpenAI New Parental Controls for ChatGPT OpenAI has announced new parental controls for ChatGPT to make it safer for teens. This comes after concerns about AI chatbot safety for young users, including tragic cases where teenagers took their lives after using ChatGPT. To get started, parents can send an email or text invite to their teen to link accounts. Teens can also invite parents. The new controls include automatic safeguards for teen accounts, such as reduced (減少) graphic content and restrictions on sensitive topics. Parents will have a dashboard to adjust settings and receive notifications if their child might be in distress (憂慮,悲傷,痛苦). That was the I.C.R.T. EZ News, I'm _____. ----以下為 SoundOn 動態廣告---- 蘋果愛美獎投票衝啦! 每天登入FB投票,就能抽iPhone 17、PGO文青機車、萬元LE CREUSET鍋,還有週週禮券大放送!快來選你心中的人氣診所、名醫、療程,投越多中獎率越高! https://sofm.pse.is/86vhgq -- Hosting provided by SoundOn
Pourquoi Vital Kamerhé a-t-il démissionné lundi 22 septembre de son poste de président de l'Assemblée nationale de la République démocratique du Congo (RDC) ? Est-ce le signe que le président Tshisekedi et lui ne s'entendent plus et qu'après huit ans d'alliance entre les deux hommes, Vital Kamerhé va passer dans l'opposition ? Car sa chute a été en partie entraînée par une pétition, signée par une majorité de députés du parti au pouvoir UDPS. Trésor Kibangula est analyste à Ebuteli, l'Institut congolais de recherche sur la politique, la gouvernance et la violence. En ligne de Kinshasa, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Trésor Kibangula, à l'origine de la chute de Vital Kamerhe, il y a une pétition signée par 262 députés, en majorité membres du parti au pouvoir UDPS. Pourquoi cette pétition ? Trésor Kibangula : Je pense que Vital Kamerhe a cumulé plusieurs fragilités. Vital Kamerhe a incarné un style trop personnel pour certains, presque solitaire, ce qui a fini par provoquer ou précipiter son départ. Et si la vraie raison est politique comme vous le dites, est-ce parce que le parti au pouvoir UDPS veut reprendre le contrôle de l'Assemblée nationale ? Ici, le timing, je pense, est révélateur parce qu'au début de la session, on a vu l'UDPS dire que le parti n'est pas le seul à être à l'initiative parce que les pétitionnaires se comptaient autour de 260. Donc, il y avait d'autres membres de l'Union sacrée qui voulaient aussi le départ de Vital Kamerhe. Donc l'UDPS essaye de se cacher derrière. Kamerhe l'a compris, il a demandé même pardon. Donc, c'était quand même le signe qu'il savait que son mandat vacillait. Et à ce moment-là, je pense qu'il aurait suffi d'un mot d'ordre du chef de l'Etat pour le maintenir. Or, ce signal n'est jamais venu. Donc, je pense que le silence présidentiel a beaucoup pesé, plus lourd que toutes les pétitions. Donc Félix Tshisekedi, qui est aussi chef de l'UDPS, n'a pas directement poussé Kamerhe dehors, mais il a choisi de ne pas le retenir. Alors, il y a quelques jours, lors de son déplacement à New York, le président Tshisekedi a dit qu'il n'était pour rien dans les problèmes de Vital Kamerhe et que c'était de la cuisine interne à l'Assemblée nationale. Vous pensez au contraire qu'il a laissé faire, voire même qu'il a initié cette démarche contre Vital Kamerhe ? Je pense effectivement que beaucoup de choses peuvent expliquer cette chute. On a vu l'échec ou la suspension du projet de la réforme constitutionnelle. En fin de l'année dernière, on parlait d'une possible révision de la Constitution pour permettre au chef de l'Etat de se représenter pour une troisième fois. Beaucoup ont reproché à ce moment-là à Vital Kamerhe de ne pas s'aligner sur le président Tshisekedi. Vital Kamerhe, par son profil indépendant et ses ambiguïtés stratégiques, devenait à mon sens un luxe que Félix Tshisekedi ne pouvait plus se permettre. Voulez-vous dire que, pour modifier ou changer la Constitution, il faut un feu vert du président de l'Assemblée et que Félix Tshisekedi n'était pas du tout certain qu'il aurait ce feu vert de la part de Vital Kamerhe ? Je pense que le président de la République et son camp se sont rendu compte que Vital Kamerhe ne se mouillait pas lorsqu'il y avait ces débats autour de la réforme constitutionnelle. Et il y a eu le fait qu'il n'a pas été suffisamment aligné avec le président de la République, notamment lorsque le président a tracé la ligne rouge de ne pas discuter avec les rebelles M23. Vital Kamerhe fait partie des premiers, un des rares hommes politiques à l'époque, au sein de la majorité, qui a dit que peut-être il fallait commencer à regarder la possibilité de discuter. Il a prôné le dialogue au moment où personne ne voulait entendre parler du dialogue. C'était la ligne rouge. Et aussi, une autre fragilité, c'est le fait de ne pas prendre des positions claires lorsqu'il fallait s'aligner sur la réforme de la Constitution. Ce n'est pas le premier revers pour Vital Kamerhe, il est déjà tombé du perchoir en 2009, du temps de Joseph Kabila. En 2020, il a fait un an de prison. En 2024, il a failli être assassiné à son domicile. Qu'est-ce qu'il peut faire à présent ? C'est très difficile. Je pense qu'il avait deux options immédiates. La première, c'était de dire « OK, je suis tombé, mais je reste dans la majorité ». Ou de se dire « OK avec mes députés, je m'en vais, je vais faire de l'opposition républicaine parce que j'exclus à ce stade un éventuel ralliement aux groupes rebelles ». S'il voulait le faire, je pense qu'il avait plusieurs occasions avec ses sorties répétées à l'extérieur du pays. Même avant l'ouverture de la session de septembre, il était à l'extérieur du pays et il n'a pas rejoint Goma. Donc, s'il est revenu à Kinshasa, sachant qu'il y avait cette épée de Damoclès sur sa tête, c'est parce qu'il veut jouer un rôle à Kinshasa. Ce sera quel rôle ? Pour l'instant, il a dit qu'il restait au sein de la majorité présidentielle parce que aussi, je pense qu'il y a un risque à prendre en décidant d'aller dans l'opposition, alors que vous avez des députés qui sont au sein de la coalition présidentielle. Il y a très peu de députés qui allaient le suivre. Donc il n'a pas voulu prendre ce risque. Aujourd'hui, on est en 2025, mais je pense qu'entre le président Tshisekedi et Vital Kamerhe, ce sont deux stratèges politiques, ils se regardent, ils savent qu'ils sont aujourd'hui alliés d'apparence, mais que demain, ils seront très probablement des adversaires politiques. En vue de la présidentielle de 2028 ? En vue de la présidentielle de 2028, effectivement. 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durée : 00:11:00 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - En République démocratique du Congo, la crise humanitaire demeure aiguë et les combats ont repris dans l'Est du territoire, alors même qu'au mois de juillet, Kigali et Kinshasa avaient signé le premier volet des accords de paix. Tout espoir est-il aujourd'hui vain ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Thierry Vircoulon Chercheur associé à l'Observatoire de l'Afrique centrale et orientale à l'IFRI
Au sommaire de Radio foot internationale diffusé à 16h10 TU : - Éliminatoires CDM 2026, bilan de la 8è journée. ; - Éliminatoires en Europe, le Portugal fait le plein de points, Cristiano Ronaldo empile les buts et égale un record. ; - Les Bleus souffrent, mais prennent 3 nouveaux points en battant l'Islande. - Éliminatoires CDM 2026, bilan de la 8è journée. Dans le groupe D, le Cap-Vert a frappé un grand coup en battant le Cameroun (1-0). Avec 4 points d'avance sur les Lions Indomptables, les Requins Bleus ont fait un grand pas vers la qualification pour un 1er Mondial. 1ère défaite de Marc Brys depuis son arrivée sur le banc des Vert Rouge et Jaune. - Le Sénégal renversant à Kinshasa. Et pourtant, les Léopards avaient 2 buts d'avance après un peu plus d'une ½ heure de jeu, pensaient avoir fait le plus dur. Mais les Lions ont réagi, et doublé leurs adversaires en fin de match. Ils reprennent la tête du groupe B. Un onze solide et arrivé à maturité ? - Le Gabon et la Côte d'Ivoire se sont neutralisés dans la rencontre au sommet du groupe F. Les Éléphants gardent une unité d'avance sur les Panthères. - Dans le groupe C, match nul entre Sud-Africains et Nigérians, les Bafana Bafana se rapprochent de l'Amérique. Les Super Eagles d'Éric Chelle proches de la sortie. - Éliminatoires en Europe, le Portugal fait le plein de points, Cristiano Ronaldo empile les buts et égale un record. Avec 39 réalisations au compteur, le numéro 7 rejoint le Guatémaltèque Carlos Ruiz au classement du meilleur buteur de l'histoire des éliminatoires pour une Coupe du Monde. - L'Angleterre reçue 5 sur 5. Après avoir gagné en Serbie, l'équipe de Tuchel survole le groupe K. - Les Bleus souffrent, mais prennent 3 nouveaux points en battant l'Islande. Mais la France n'a pas affiché la même solidité que face à l'Ukraine, et l'expulsion de Tchouaméni a plombé la fin de match des hommes de Deschamps. Kylian Mbappé décisif, devient 2è meilleur buteur de l'EDF, et laisse Thierry Henry dans le rétroviseur. - La presse écrite après la TV. Le Kyks s'est livré dans l'Équipe Magazine. Une interview vérité à un moment charnière de sa carrière. Le Real, le PSG, son entourage et le socle familial comme fondateur de son équilibre, a-t-il confié. Autour d'Olivier Pron : Philippe Doucet, Hervé Penot, Dominique Sévérac. Technique/Réalisation : « maestro Salerno » - David Fintzel/Pierre Guérin.
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Makengo Ma Pululu, CSB, from Kinshasa, Democratic Republic of CongoYou can read Makengo's article in the Christian Science Sentinel.For more inspiring content from The First Church of Christ, Scientist, be sure to check out our audio landing page at christianscience.com/audio.