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In Gaza, hospitals are ‘at near-total collapse' and staff are overwhelmed DR Congo: UN Human Rights chief condemns surge in M23 violence WHO issues new recommendations to counter widespread mistreatment of women giving birth
Ayer finalmente se dio el esperado encuentro entre el enviado especial de la Casa Blanca, Steve Witkoff, y Vladimir Putin en Moscú. La reu duró casi tres horas y, aunque no se saben detalles, al parecer, fue muy “útil y constructiva”. Tanto que sólo horas después, dos funcionarios de la Casa Blanca informaron a medios estadounidenses que Trump tiene planeado verse con Vladimir Putin a más tardar dentro de dos semanas, luego de una reunión trilateral con Volodymyr Zelensky.Las y los ministros electos de la Suprema Corte llegarán haciendo mucho ruido a sus puestos, con tres ceremonias para arrancar con las actividades de la nueva Corte el 1 de septiembre. Con la toma de protesta ante el Senado, la sesión de instalación en la Suprema Corte y, la entrega de bastón de mando de pueblos indígenas y afromexicanos, los ministros electos, según, buscan que los ciudadanos formen parte “de este acontecimiento histórico”.Además… Andy López Beltrán “explicó” su viaje a Tokio; Vecinos del Centro Histórico se manifestaron contra la instalación de una zona de tolerancia para fumar marihuana; Adán Augusto López volvió a decir que no tuvo nada que ver en las andadas criminales de Harán Bermúdez Requena; Se registró un tiroteo en la base militar de Fort Stewart en Georgia; Rebeldes del M23 mataron a más de 300 personas en el este de la República Democrática del Congo; Y este miércoles se conmemoraron 80 años de que Estados Unidos lanzó la bomba atómica contra la ciudad japonesa de Hiroshima.Y para #ElVasoMedioLleno…Un grupo de científicos desarrolló un test que permite detectar tumores en su estado inicial a partir de una muestra de sangre. Para enterarte de más noticias como estas, síguenos en redes sociales. Estamos en todas las plataformas como @telokwento. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Le ballet diplomatique se poursuit à Washington et à Doha pour finaliser et mettre en pratique l'accord signé fin juin entre Kinshasa et Kigali. Un accord, rappelle Le Journal de Kinshasa, qui « engage la RDC et le Rwanda à respecter l'intégrité territoriale, à cesser toute activité militaire hostile, à désarmer et encadrer les groupes armés non étatiques, et à mettre en place un mécanisme conjoint de sécurité ». « Une première réunion du comité mixte de surveillance de l'accord de paix s'est tenue à Washington », vendredi dernier, poursuit le site. Des représentants des deux pays ont approuvé les principes d'un cadre d'intégration économique régional. « Parallèlement, relève encore Le Journal de Kinshasa, des négociations ont lieu à Doha entre le gouvernement congolais et le groupe armé M23. Une déclaration de principes a été signée le 19 juillet dernier, engageant les deux parties à respecter une feuille de route pour le rétablissement de l'autorité de l'État dans l'est de la RDC. Les discussions pour un accord de paix détaillé doivent débuter au plus tard le 8 août, pour une signature prévue autour du 18 août. Enfin, une rencontre au sommet entre les présidents de la RDC et du Rwanda est attendue fin août à Washington, dans l'espoir de sceller un règlement global et durable de la crise dans la région des Grands Lacs. » À lire aussiDéclaration de principe entre la RDC et le groupe AFC/M23: ces points qui bloquent dans son application Les États-Unis ont la clé Toutefois, tempère Afrikarabia, site spécialisé sur la RDC, « aucune avancée ne s'est fait sentir sur le terrain, les affrontements se poursuivent entre milices supplétives de Kinshasa et rebelles. » « Les lignes ont certes bougé, puisque Kinshasa s'est résolu à entamer le dialogue avec l'AFC/M23 à Doha, mais le chemin est encore long puisque le retrait de l'AFC/M23 des zones qu'il contrôle reste le point de blocage majeur entre Kinshasa et la rébellion, poursuit Afrikarabia. D'autant que les prétextes ne manquent pas à chacune des parties pour ne pas respecter les engagements des accords signés. En fait, pointe le site, Kinshasa compte surtout sur Washington pour faire plier la rébellion. Donald Trump en a les moyens. Le président américain a récemment déclaré que les présidents congolais et rwandais devaient se retrouver prochainement dans la capitale américaine pour signer le texte final. Il peut sans doute arriver à ses fins, mais, s'interroge Afrikarabia, avec quelle place pour l'AFC/M23, et quelles conséquences en cas de non-respect de l'accord ? Les États-Unis revêtiront-ils de nouveau le costume du gendarme ? Pour l'instant, nous n'en savons rien. » À lire aussiEst de la RDC: des attaques du M23 malgré l'accord à Washington Vers la formation d'un nouveau gouvernement Dans le même temps, sur le plan intérieur, le président Félix Tshisekedi s'apprête à remanier son gouvernement. « Lors d'une réunion tenue avant-hier avec les cadres de l'Union sacrée de la Nation, sa plateforme politique, le chef de l'État a esquissé les grandes lignes de cette refonte imminente, pointe Afrik.com. (…) Judith Suminwa conservera son poste de Première ministre, mettant ainsi fin aux spéculations sur une éventuelle éviction ou sur la nomination d'un membre de l'opposition à la Primature. (…) Parmi les autres annonces, la réduction du nombre de membres du gouvernement : il comptera moins de 50 ministres, contre 54 actuellement. Cette rationalisation vise à rendre l'exécutif plus efficace et mieux adapté aux défis du moment. » Enfin, note encore Afrik.com, « dans une volonté affichée d'inclusivité, le président Tshisekedi a confirmé l'entrée prochaine de personnalités issues de l'opposition et de la société civile. Une ouverture politique censée renforcer la cohésion nationale dans un contexte tendu sur les plans sécuritaire, social et diplomatique ». Commentaire du quotidien Aujourd'hui à Ouaga : « guerre à l'est de la RDC, géopolitique instable, petit couac avec l'affaire Constant Mutamba, le Garde des sceaux, englué dans une affaire de détournement de 19 millions de dollars qui a dû démissionner le 18 juin dernier. Il fallait redonner un second souffle au gouvernement. Et le prochain devra être celui du combat, pour conforter l'union sacrée, mais aussi colmater les brèches et consolider le pouvoir de Tshisekedi ». À lire aussiRDC: Félix Tshisekedi s'apprête à remanier le gouvernement en maintenant Judith Suminwa en poste
Le ballet diplomatique se poursuit à Washington et à Doha pour finaliser et mettre en pratique l'accord signé fin juin entre Kinshasa et Kigali. Un accord, rappelle Le Journal de Kinshasa, qui « engage la RDC et le Rwanda à respecter l'intégrité territoriale, à cesser toute activité militaire hostile, à désarmer et encadrer les groupes armés non étatiques, et à mettre en place un mécanisme conjoint de sécurité ». « Une première réunion du comité mixte de surveillance de l'accord de paix s'est tenue à Washington », vendredi dernier, poursuit le site. Des représentants des deux pays ont approuvé les principes d'un cadre d'intégration économique régional. « Parallèlement, relève encore Le Journal de Kinshasa, des négociations ont lieu à Doha entre le gouvernement congolais et le groupe armé M23. Une déclaration de principes a été signée le 19 juillet dernier, engageant les deux parties à respecter une feuille de route pour le rétablissement de l'autorité de l'État dans l'est de la RDC. Les discussions pour un accord de paix détaillé doivent débuter au plus tard le 8 août, pour une signature prévue autour du 18 août. Enfin, une rencontre au sommet entre les présidents de la RDC et du Rwanda est attendue fin août à Washington, dans l'espoir de sceller un règlement global et durable de la crise dans la région des Grands Lacs. » À lire aussiDéclaration de principe entre la RDC et le groupe AFC/M23: ces points qui bloquent dans son application Les États-Unis ont la clé Toutefois, tempère Afrikarabia, site spécialisé sur la RDC, « aucune avancée ne s'est fait sentir sur le terrain, les affrontements se poursuivent entre milices supplétives de Kinshasa et rebelles. » « Les lignes ont certes bougé, puisque Kinshasa s'est résolu à entamer le dialogue avec l'AFC/M23 à Doha, mais le chemin est encore long puisque le retrait de l'AFC/M23 des zones qu'il contrôle reste le point de blocage majeur entre Kinshasa et la rébellion, poursuit Afrikarabia. D'autant que les prétextes ne manquent pas à chacune des parties pour ne pas respecter les engagements des accords signés. En fait, pointe le site, Kinshasa compte surtout sur Washington pour faire plier la rébellion. Donald Trump en a les moyens. Le président américain a récemment déclaré que les présidents congolais et rwandais devaient se retrouver prochainement dans la capitale américaine pour signer le texte final. Il peut sans doute arriver à ses fins, mais, s'interroge Afrikarabia, avec quelle place pour l'AFC/M23, et quelles conséquences en cas de non-respect de l'accord ? Les États-Unis revêtiront-ils de nouveau le costume du gendarme ? Pour l'instant, nous n'en savons rien. » À lire aussiEst de la RDC: des attaques du M23 malgré l'accord à Washington Vers la formation d'un nouveau gouvernement Dans le même temps, sur le plan intérieur, le président Félix Tshisekedi s'apprête à remanier son gouvernement. « Lors d'une réunion tenue avant-hier avec les cadres de l'Union sacrée de la Nation, sa plateforme politique, le chef de l'État a esquissé les grandes lignes de cette refonte imminente, pointe Afrik.com. (…) Judith Suminwa conservera son poste de Première ministre, mettant ainsi fin aux spéculations sur une éventuelle éviction ou sur la nomination d'un membre de l'opposition à la Primature. (…) Parmi les autres annonces, la réduction du nombre de membres du gouvernement : il comptera moins de 50 ministres, contre 54 actuellement. Cette rationalisation vise à rendre l'exécutif plus efficace et mieux adapté aux défis du moment. » Enfin, note encore Afrik.com, « dans une volonté affichée d'inclusivité, le président Tshisekedi a confirmé l'entrée prochaine de personnalités issues de l'opposition et de la société civile. Une ouverture politique censée renforcer la cohésion nationale dans un contexte tendu sur les plans sécuritaire, social et diplomatique ». Commentaire du quotidien Aujourd'hui à Ouaga : « guerre à l'est de la RDC, géopolitique instable, petit couac avec l'affaire Constant Mutamba, le Garde des sceaux, englué dans une affaire de détournement de 19 millions de dollars qui a dû démissionner le 18 juin dernier. Il fallait redonner un second souffle au gouvernement. Et le prochain devra être celui du combat, pour conforter l'union sacrée, mais aussi colmater les brèches et consolider le pouvoir de Tshisekedi ». À lire aussiRDC: Félix Tshisekedi s'apprête à remanier le gouvernement en maintenant Judith Suminwa en poste
Kilkadziesiąt osób ginie codziennie w Gazie, głównie podczas prób dotarcia do punktów rozdziału żywności. Międzynarodowe organizacje humanitarne mówią o coraz bardziej dotkliwym głodzie, którego ofiarą w Strefie padło już co najmniej 154 Palestyńczyków, głównie dzieci. Francja, Wielka Brytania i Kanada zapowiedziały uznanie państwa palestyńskiego na najbliższej sesji ONZ we wrześniu, a kilka innych krajów rozważa podobny ruch. Amerykański wysłannik Steve Witkoff był w Izraelu i Gazie, trwają również negocjacje między Izraelem a Hamasem z udziałem Amerykanów i Katarczyków, ale na razie nie ma w nich przełomu. Czy świat jest w stanie wpłynąć na rząd Netanjahu, wspierany przez prezydenta Trumpa? Czy uznanie państwa palestyńskiego przez kolejne kraje może przyczynić się do jego powstania? I jak sami Izraelczycy odbierają krytykę spływającą na ich kraj za działania w Gazie?Administracja amerykańska ogłosiła listę ponad dziewięćdziesięciu krajów objętych taryfami na produkty sprzedawane do USA. Lista odzwierciedla wyniki negocjacji i umów zawartych przez prezydenta Trumpa z niektórymi krajami i z Unią Europejską. Czy polityka celna Trumpa przynosi realne efekty Ameryce i jak wpłynie ona na światowy handel?Po pięciu dniach krwawych starć na granicy Kambodży i Tajlandii w tym rejonie panuje rozejm. Co było przyczyną konfliktu, w którym zginęło ponad czterdzieści osób, i kto może pomóc w jego rozwiązaniu?W Demokratycznej Republice Konga trwa napięcie po ustanowieniu w Waszyngtonie rozejmu między siłami rządowymi a wspieranymi przez Rwandę partyzantami z grupy M23. Dlaczego na wschodzie kraju ciągle trwa wojna i co w tym konflikcie robią Amerykanie i Katarczycy?A także: reklama dźwignią lecznictwa i polityki.Rozkład jazdy: (02:30) Natasha Davies: Głód w Gazie(16:20) Agnieszka Zagner: Plany uznania Palestyny, bez przełomu w negocjacjach z Hamasem(43:54) Piotr Arak: USA z nową listą państw, których produkty objęte są cłami(1:06:46) Grzegorz Dobiecki: Świat z boku - Reklamy i reklamacje(1:12:32) Podziękowania(1:18:56) Barbara Kratiuk: Konflikt Kambodża Tajlandia - o co chodzi?(1:32:47) Jędrzej Czerep: DR Konga - kraj rozbity, raj dla inwestorów(1:49:00) Do usłyszenia---------------------------------------------Raport o stanie świata to audycja, która istnieje dzięki naszym Patronom, dołącz się do zbiórki ➡️ https://patronite.pl/DariuszRosiakSubskrybuj newsletter Raportu o stanie świata ➡️ https://dariuszrosiak.substack.comKoszulki i kubki Raportu ➡️ https://patronite-sklep.pl/kolekcja/raport-o-stanie-swiata/ [Autopromocja]
Mji wa Goma mashariki ya DRC unakabiliwa na changamoto baada ya waasi wa M23 kuuchukua mji huo sasa wanamuziki wanalazimika kwenda nchi jirani kufanya Muziki. Tumezungumza naye msani Sisco laga.
À la une de la presse, ce lundi 28 juillet, l'attaque, ce week-end, des Forces démocratiques alliées (AFD) contre des fidèles rassemblés dans une église de l'Ituri, une province de l'est de la République démocratique du Congo, où les violences perdurent. La course à la présidentielle au Cameroun. La victoire de Tadej Pogacar sur le Tour de France. Et celle de l'équipe d'Angleterre à l'Euro de foot féminin.
Subscribe now to skip the ads. Don't forget to buy our “Welcome to the Crusades” miniseries! Danny and Derek also rail against the war pigs, but lack the heavy riffs. This week: the International Court of Justice rules that wealthy nations must take action on climate change or bear responsibility (1:20); clashes escalate on the Thai-Cambodian border (4:08); a ceasefire holds in Syria's Suwayda province after clashes between Druze and Bedouin groups (9:06); in Israel-Palestine, Gaza's starvation reaches catastrophic levels (13:19) as ceasefire talks barely limp along (16:23); Iran is reengaging with the International Atomic Energy Agency (20:49); the Democratic Republic of the Congo and M23 militant group sign a declaration of intent (23:05); in Ukraine, a new round of peace talks achieves little (25:24) while Zelensky responds to protests over corruption (28:27); Venezuela, the US, and El Salvador carry out a prisoner exchange amid accusations of torture (31:38); the Japan House of Councillors holds an election while PM Ishiba looks likely to resign (33:32); and Japan, the Philippines, and Indonesia make trade deals (36:10). Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
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RO 051 25, c'est le numéro du copieux dossier sur lequel les juges de la haute cour militaire du palais de justice de la Gombe vont devoir se pencher. « Une étape judiciaire inédite », raconte le site d'informations Les volcans news, fruit d'une procédure enclenchée par le parquet général militaire après la levée de son immunité parlementaire par le Sénat en mai dernier. Car Kabila est sénateur à vie, un titre qui lui permettait de passer entre les gouttes de la justice jusqu'à ce que le pouvoir en place en décide autrement et que ses collègues sénateurs ne votent en ce sens. Les chefs d'accusation font froid dans le dos : « les plus lourds jamais instruits contre une ancienne figure présidentielle en RDC », poursuit le site d'information Les volcans news, participation à un mouvement insurrectionnel, des crimes de guerre, des crimes contre l'humanité, de la trahison, de l'apologie d'actes criminels, du viol, de la torture, de l'homicide volontaire ou encore de la déportation. Alors que reproche-t-on exactement à l'ancien chef d'État ? « Un soutien présumé à la rébellion de l'Alliance fleuve congo/M23 », détaille la radio congolaise Ouragan et de poursuivre, « le parquet militaire l'accuse de trahison pour avoir entretenu des intelligences avec une puissance étrangère, en l'occurrence le Rwanda ». Celui qui est resté au pouvoir pendant deux décennies se voit désormais accusé d'avoir voulu aider une puissance étrangère à renverser le pouvoir de Kinshasa. « Rien n'indique toutefois que Kabila qui ne s'est pas présenté devant le Sénat lors de la levée de son immunité parlementaire sera présent à son procès », tempère EcoNews RDC. Un procès qui s'inscrit selon le site d'information dans la stratégie affichée du président Tshisekedi de déboulonner le système de son prédécesseur, une promesse électorale désormais concrétisée. Kabila une variable d'ajustement dans les négociations en cours à Doha ? « Il sera pris en charge par l'accord de paix négocié directement entre ses hommes et nous. Nous ne pensons pas lui réserver de traitement particulier », détaille Jacquemain Shabani, vice premier ministre et ministre de l'Intérieur, dans les colonnes de Jeune Afrique. « Ses hommes ? Ce sont ceux de la rébellion AFC/M23 », affirme Jacquemain Shabani. Sur la toile, poursuit EcoNews RDC, les partisans dénoncent le martyr que vit leur leader : « effacer un homme comme Joseph Kabila de la scène publique ne peut se faire ni par la force ni par la manipulation de la justice ». La fin d'une ère conclut le site d'actualité. Reste à savoir si elle ouvre la voie à une démocratie apaisée ou à de nouvelles tensions. À lire aussiRDC: le procès de l'ex-président Joseph Kabila s'ouvre devant la Haute Cour militaire À Madagascar, pas encore de procès, mais une enquête qui permet de lever le voile sur les circonstances de la mort de 32 personnes lors d'une fête d'anniversaire à Ambohimalaza juin dernier. Mais la scène avait tout l'air d'un réquisitoire sur les télévisions malgaches hier soir. Andry Rajoelina avait convoqué ministres, procureurs et représentants de la gendarmerie pour une émission diffusée en direct sur la télévision d'État. Plusieurs heures durant lesquelles, « le secret de l'enquête a été largement dépassé pour laisser place à l'épreuve des faits », décrit L'Express de Madagascar. Et dès le début, le président de la République veut jouer carte sur table : « l'État ne couvre personne dans cette affaire », a-t-il lancé, rapporte le site d'informations AA. Première révélation. La substance toxique utilisée pour empoisonner les victimes est l'atropine, principe actif contenu dans le datura et la belladone. « Deux fleurs présentes à Madagascar », poursuit L'Express. « L'état a défendu sans équivoque la thèse de l'empoisonnement », précise Midi Madagasikara car selon le ministre de la Santé publique, Zely Arivelo Randriamanantany, les autopsies réalisées sur les victimes montrent des symptômes qui ne collent pas avec la thèse du botulisme. Des atteintes au rein, au cœur et au foie qui ne peuvent pas avoir été causées par cette infection. Reste que selon les révélations de RFI, les analyses effectuées par l'institut de médecine légale de Strasbourg n'ont pas pu confirmer la cause des décès. Autres éléments mis en avant lors de ce moment de télévision judiciaire, la principale accusée est passée aux aveux selon le général Andriantsarafara Rakotondrazaka, ministre délégué à la Gendarmerie nationale qui évoque un acte de vengeance en raison d'une dispute familiale. « Des conversations téléphoniques et des SMS compromettants ont été découverts durant l'enquête », précise L'Express de Madagascar. Huit personnes sont sur les bancs des accusés dans cette affaire. Cinq en contrôle judiciaire et trois femmes en détention dont la suspecte principale. À lire aussiMadagascar: des sources médicales contestent l'empoisonnement défendu par les autorités lors du drame d'Ambohimalaza
Neste programa, retomamos alguns dos assuntos africanos que abordámos nos nossos noticiários, como a visita do Presidente de Angola a Portugal, a promessa de cessar-fogo na RDC e as acusações do Ministério Público contra o líder da oposição moçambicana Venâncio Mondlane. O ministro do Interior da República Democrática do Congo disse que o país está "perto" da paz, em referência ao acordo assinado, no sábado passado, com o grupo armado M23. Sérgio Calundungo, coordenador do Observatório Político e Social de Angola, olha com prudência para o texto assinado em Doha, no Qatar. O Presidente angolano, João Lourenço, está em visita oficial dias a Portugal. A viagem coincide com o debate à volta da recente aprovação no parlamento português de novas disposições da lei de estrangeiros e João Lourenço admitiu que existe “algum incómodo”. Porém, esta sexta-feira, em Lisboa, João Lourenço disse que as relações entre Angola e Portugal nunca estiveram a um nível tão alto e que o objectivo é melhorar. Entretanto, o Tribunal de Comarca de Luanda decretou a prisão preventiva para Osvaldo Caholo, co-organizador das manifestações contra o aumento dos combustíveis. O activista foi detido há uma semana, em casa. Em Moçambique, na terça-feira, o Ministério Público acusou o ex-candidato presidencial Venâncio Mondlane de cinco crimes, incluindo o de "incitação ao terrorismo", no âmbito dos protestos que marcaram o país depois das eleições gerais de 9 de Outubro. O Governo garantiu que não há ingerência do poder executivo nos tribunais, mas para o activista moçambicano Wilker Dias "o mais provável que tentem retirar Venâncio Mondlane de cena". Em Cabo Delgado, no norte do país, em resposta a novos ataques, o governador Valige Tauabo anunciou a reintrodução de escoltas militares ao longo da Estrada Nacional Número 380. No centro de Moçambique, a cidade de Mocuba, na província da Zambézia, vai acolher a futura sede do parlamento. A decisão foi anunciada pelo Presidente da República, Daniel Chapo, para quem a intenção responde à visão de descentralização das instituições governamentais. Também no centro de Moçambique, desde Janeiro foram registados 46 mil casos de turberculose, com enfoque para as províncias da Zambézia, Sofala e Tete. Os dados foram revelados pela directora do programa nacional de combate à tuberculose, Benedita José. Na Guiné-Bissau, para reivindicar 18 meses de salários em atraso e melhoria de condições laborais, os técnicos do sector da saúde estiveram esta semana em greve. Em Cabo Verde, com a nova Maternidade e Pediatria, a ilha de São Vicente passa a contar com a unidade hospitalar mais moderna do país. O empreendimento da saúde, avaliado em 1,2 milhões de contos, cerca de 11 milhões de euros, é financiado e construído pela República Popular da China. Na cultura, Cabo Verde perdeu o artista Kiki Lima. O pintor e compositor, de 72 anos, morreu na madrugada de domingo e foi um dos mais aclamados pintores do país. Em Abril de 2022, Kiki Lima contou à RFI que “sempre” retratou o povo de Cabo Verde.
Tune in for another episode of Give The People What They Want! with Zoe Alexandra, Indian journalist Prasanth R, and Roger McKenzie, international editor of Morning Star, as they reflect on two years since the coup and popular uprising in Niger, the Doha agreement between the DR Congo government and M23 militias, the return of Venezuelan migrants home from El Salvador, the climate crisis and its relationship with soaring food prices, Abahlali baseMjondolo's stand against xenophobia, as well as the new Freedom Flotilla, Handala, which set sail recently.
Aubrey converses with Thembisa Fakude, Senior Research Fellow and Director at Africa Asia Dialogues (Afrasid), about the so called “declaration of Principle” deal that DRC and the M23 rebels signed in Doha with the assistance of US and what it means for all parties concerned. The Aubrey Masango Show is presented by late night radio broadcaster Aubrey Masango. Aubrey hosts in-depth interviews on controversial political issues and chats to experts offering life advice and guidance in areas of psychology, personal finance and more. All Aubrey’s interviews are podcasted for you to catch-up and listen. Thank you for listening to this podcast from The Aubrey Masango Show. Listen live on weekdays between 20:00 and 24:00 (SA Time) to The Aubrey Masango Show broadcast on 702 https://buff.ly/gk3y0Kj and on CapeTalk between 20:00 and 21:00 (SA Time) https://buff.ly/NnFM3Nk Find out more about the show here https://buff.ly/lzyKCv0 and get all the catch-up podcasts https://buff.ly/rT6znsn Subscribe to the 702 and CapeTalk Daily and Weekly Newsletters https://buff.ly/v5mfet Follow us on social media: 702 on Facebook: https://www.facebook.com/TalkRadio702 702 on TikTok: https://www.tiktok.com/@talkradio702 702 on Instagram: https://www.instagram.com/talkradio702/ 702 on X: https://x.com/Radio702 702 on YouTube: https://www.youtube.com/@radio702 CapeTalk on Facebook: https://www.facebook.com/CapeTalk CapeTalk on TikTok: https://www.tiktok.com/@capetalk CapeTalk on Instagram: https://www.instagram.com/ CapeTalk on X: https://x.com/CapeTalk CapeTalk on YouTube: https://www.youtube.com/@CapeTalk567 See omnystudio.com/listener for privacy information.
The city of Goma in the conflict-hit east of the Democratic Republic of Congo was seized by the M23 armed group earlier this year after intense fighting with government forces. How has the city changed after six months under the group's control?After retired police officers in Nigeria held demonstrations earlier this week calling for better pensions, we look at wider pension provision and ask if young Nigerians see pension planning as a secure path to protecting their retirement? And could there be a new type of diabetes that accounts for the rising number of cases among young people in Africa.Presenter: Richard Kagoe Producers: Tom Kavanagh, Sunita Nahar and Nyasha Michelle in London. Blessing Aderogba in Lagos. Technical Producer: Jonathan Greer Senior Producer: Patricia Whitehorne Editors: Andre Lombard and Alice Muthengi
The city of Goma in the conflict-hit east of the Democratic Republic of Congo was seized by the M23 armed group earlier this year after intense fighting with government forces. How has the city changed after six months under the group's control?After retired police officers in Nigeria held demonstrations earlier this week calling for better pensions, we look at wider pension provision and ask if young Nigerians see pension planning as a secure path to protecting their retirement in the future? And could there be a new type of diabetes that accounts for the rising number of cases among young people in Africa.Presenter: Richard Kagoe Producers: Tom Kavanagh, Sunita Nahar and Nyasha Michelle in London. Blessing Aderogba in Lagos Technical Producer: Jonathan Greer Senior Producer: Patricia Whitehorne Editors: Andre Lombard and Alice Muthengi
El pasado sábado el gobierno de la República Democrática del Congo y el grupo armado M23 firmaron en Catar una declaración de principios en la que reafirman su compromiso de buscar una solución pacífica al conflicto. Hablamos con Julián Gómez Cambronero, responsable de la revista Congo Actual y autor del libro ¿A quién le importa el Congo?Escuchar audio
El hambre se apodera de Gaza. La situación humanitaria, que llevan meses denunciando muchas organizaciones humanitarias, está alcanzando niveles aún más catastróficos, con niños y adultos que mueren de hambre o son asesinados por los francotiradores israelíes cuando acuden a por comida a los centros de repartos montados por EEUU e Israel.Está previsto que comience una nueva ronda de negociaciones entre representantes de Rusia y Ucrania en Estambul, hablaremos de ello. Les hablaremos también de una nueva reunión de líderes europeos para tratar temas comerciales y de seguridad. Tendremos una entrevista para analizar el documento que han firmado el gobierno de República Democrática del Congo y el M23 para buscar una solución al conflicto en el país. Y también vamos a estar en Malaui para hablar de pobreza menstrual. Escuchar audio
Bongani Bingwa speaks to Africa Report Correspondent ,Crystal Orderson about two major developments on the continent. In the Democratic Republic of the Congo, M23 rebels and the government have signed a declaration in Qatar aimed at ending the conflict in eastern Congo, an area long plagued by violence linked to the 1994 Rwandan genocide. While the deal, brokered by Qatar and the US, marks progress, uncertainty remains over the withdrawal of M23 and Rwandan forces, with formal peace talks expected to begin on August 8. Meanwhile in Zimbabwe, Nelson Chamisa is making a political comeback by launching a new movement, deliberately not a party, to challenge ZANU-PF’s grip on power in the 2028 elections. Analysts are divided on whether this non-traditional approach can overcome Zimbabwe’s entrenched, military-backed political system. 702 Breakfast with Bongani Bingwa is broadcast on 702, a Johannesburg based talk radio station. Bongani makes sense of the news, interviews the key newsmakers of the day, and holds those in power to account on your behalf. The team bring you all you need to know to start your day Thank you for listening to a podcast from 702 Breakfast with Bongani Bingwa Listen live on Primedia+ weekdays from 06:00 and 09:00 (SA Time) to Breakfast with Bongani Bingwa broadcast on 702: https://buff.ly/gk3y0Kj For more from the show go to https://buff.ly/36edSLV or find all the catch-up podcasts here https://buff.ly/zEcM35T Subscribe to the 702 Daily and Weekly Newsletters https://buff.ly/v5mfetc Follow us on social media: 702 on Facebook: https://www.facebook.com/TalkRadio702 702 on TikTok: https://www.tiktok.com/@talkradio702 702 on Instagram: https://www.instagram.com/talkradio702/ 702 on X: https://x.com/Radio702 702 on YouTube: https://www.youtube.com/@radio702 See omnystudio.com/listener for privacy information.
Bongani Bingwa speaks to Africa Report Correspondent ,Crystal Orderson about two major developments on the continent. In the Democratic Republic of the Congo, M23 rebels and the government have signed a declaration in Qatar aimed at ending the conflict in eastern Congo, an area long plagued by violence linked to the 1994 Rwandan genocide. While the deal, brokered by Qatar and the US, marks progress, uncertainty remains over the withdrawal of M23 and Rwandan forces, with formal peace talks expected to begin on August 8. Meanwhile in Zimbabwe, Nelson Chamisa is making a political comeback by launching a new movement, deliberately not a party, to challenge ZANU-PF’s grip on power in the 2028 elections. Analysts are divided on whether this non-traditional approach can overcome Zimbabwe’s entrenched, military-backed political system. 702 Breakfast with Bongani Bingwa is broadcast on 702, a Johannesburg based talk radio station. Bongani makes sense of the news, interviews the key newsmakers of the day, and holds those in power to account on your behalf. The team bring you all you need to know to start your day Thank you for listening to a podcast from 702 Breakfast with Bongani Bingwa Listen live on Primedia+ weekdays from 06:00 and 09:00 (SA Time) to Breakfast with Bongani Bingwa broadcast on 702: https://buff.ly/gk3y0Kj For more from the show go to https://buff.ly/36edSLV or find all the catch-up podcasts here https://buff.ly/zEcM35T Subscribe to the 702 Daily and Weekly Newsletters https://buff.ly/v5mfetc Follow us on social media: 702 on Facebook: https://www.facebook.com/TalkRadio702 702 on TikTok: https://www.tiktok.com/@talkradio702 702 on Instagram: https://www.instagram.com/talkradio702/ 702 on X: https://x.com/Radio702 702 on YouTube: https://www.youtube.com/@radio702 See omnystudio.com/listener for privacy information.
Israeli forces allegedly kill dozens of aid seekers in Gaza, 19 are killed as a Bangladesh Air Force jet crashes into a school, Japan's ruling coalition loses its upper house majority, Tulsi Gabbard accuses Obama of a 2016 'treasonous conspiracy,' Iran resumes nuclear talks with Europe, A ceasefire in Syria's southern Sweida appears to hold, Treasury Secretary Bessent calls for a review of 'the entire' Federal Reserve, Sudan's prime minister pledges to rebuild Khartoum, The DRC and M23 rebels sign a peace deal in Qatar, A study finds superbugs could cost the global economy $1.7 trillion by 2050, and another study shows AI can be persuaded to comply with objectionable requests. Sources: www.verity.news
durée : 00:05:38 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Kinshasa et le groupe armé AFC/M23 ont signé une "déclaration de principe" pour ouvrir la voie à des accords de paix, dans l'est de la RDC, terrain de conflits meurtriers depuis des décennies.
EL PMA denuncia que el ejército israelí mató a más 80 palestinos que intentaban recoger comida. La ONU celebra acuerdo de paz entre el gobierno de RDC y el M23 .Guterres llama a actuar con urgencia para rescatar los ODS
Deux jours après la signature de la déclaration de principes entre le gouvernement congolais et l'AFC/M23 à Doha, sous la médiation du Qatar, place désormais à la mise en œuvre. Quel état d'esprit anime les deux parties ? Sont-elles prêtes à respecter les engagements pris ? Et concrètement, comment suivre ce processus de désescalade sur le terrain ?Jacquemain Shabani, vice-Premier ministre congolais, en charge de l'Intérieur, de la Sécurité, de la Décentralisation et des Affaires coutumières, a suivi les discussions à Doha pour le compte du gouvernement. Il est l'invité de RFI ce matin. Il répond aux questions de Patient Ligodi. RFI : Pourquoi parle-t-on d'un cessez-le-feu permanent et non pas d'un cessez-le-feu immédiat ? À partir de quand ce cessez-le-feu permanent est-il censé être entré en vigueur ? Jacquemain Shabani : Il est entré en vigueur depuis le communiqué du 23 avril. La déclaration des principes est revenue là-dessus pour insister et réaffirmer la volonté des parties sur ce principe-là. Et à quelle date est prévue la mise en place du mécanisme conjoint de vérification entre le gouvernement congolais et l'AFC/M23 ? Est-ce que la Monusco et le Qatar seront associés à ce mécanisme ? Ils seront nécessairement associés à ce mécanisme-là. Et tout cela va être explicité et décliné dans le communiqué de paix qui va bientôt être signé encore une fois à Doha. Dix jours à dater de la signature de la déclaration de principes, les équipes vont se retrouver pour la rédaction et la signature du prochain document qui est le communiqué de paix. Que se passera-t-il si l'une ou l'autre des parties ne respecte pas les dispositions de la déclaration de principes ? Depuis le communiqué du 23 avril, il y a autour de la médiation qatarie, un mécanisme d'observation et de vérification de l'état des lieux de la zone en conflit. Et il y a des rapports quotidiens qui se font, qui permettent aussi à cette médiation d'interpeller d'une certaine manière les différentes parties. Et à ce propos, les textes mentionnent que les parties s'engagent à faire en sorte que toutes les forces impliquées respectent le cessez-le-feu. Cela signifie-t-il que vous allez également influencer les Wazalendo et autres groupes armés qui combattent à vos côtés ? Nécessairement. Ici, il faut intégrer le fait que nous avons ce souci-là de stabilité, de la quiétude de nos populations qui vivent dans ces zones. Il est de notre devoir de l'influencer dans ce sens-là, et c'est le rôle que nous jouons au quotidien. Si vous suivez les activités des gouverneurs de province, c'est le rôle qu'ils sont en train de jouer. Dans la déclaration de principes, il est aussi question de la libération des prisonniers. L'AFC/M23 évoque plus de 700 détenus issus de ses rangs. Quand auront lieu les premières libérations ? Alors, cette question a été indiquée effectivement comme étant un des principes qui fera l'objet des échanges et des discussions pour la rédaction de l'accord de paix. Donc, il faut attendre encore quelques jours pour voir la signature de ce document final qui va définir et déterminer les conditions dans lesquelles les différents prisonniers, de part et d'autre, pourront être libérés. Cette question va être discutée et résolue dans l'accord de paix ou bien avant l'accord de paix ? Dans l'accord de paix. Si un accord global est signé effectivement d'ici au 17 août, quel avenir voyez-vous pour l'AFC/M23 ? Bon, je ne saurais moi-même ici aujourd'hui définir un avenir clair pour cette organisation, mais je crois que ça va faire l'objet des différentes discussions. Nous avons aussi identifié comme principe la nécessité d'un dialogue politique, donc nous verrons, entre autres, dans les différentes discussions. Mais c'est à eux aussi de s'exprimer et d'intégrer le processus dans lequel la République démocratique du Congo est en train de s'engager pour que, enfin, ce cycle de violences, de guerres et d'interventions de forces étrangères dans la déstabilisation de la République démocratique du Congo, ne se répète plus. Et de réaliser qu'il y a eu déjà auparavant un pacte républicain mis en place, arriver à l'intégrer, et à eux aussi en toute responsabilité de faire un choix pour le bonheur du peuple congolais et pour la stabilité de la République démocratique du Congo.
Un document de plus paraphé ce week-end après l'accord scellé à Washington le 27 juin entre Kinshasa et Kigali. « La quête de la paix dans l'est de la RDC avance donc sur deux fronts distincts, mais complémentaires », souligne Econews. Le texte conclu au Qatar ouvre la voie à un cessez-le-feu, mais, selon le média congolais en ligne, la « population de l'est, épuisée par des années de violence, observe ces développements avec un mélange d'espoir et de méfiance ». « Les Congolais doivent rester lucides et se dire que cet accord ne guérira pas en un jour les plaies béantes de Goma ou Bunagana », prévient aussi Le Pays. Un accord à transposer sur le terrain Econews, encore, rappelle que « les précédents accords ont échoué en raison du manque de suivi ». « Ces accords de paix sont comme des papillons, beaux et éphémères », prophétise Le Pays, « le plus souvent écrasés sous les bottes de la cupidité et des ambitions démesurées des prédateurs ». D'ailleurs, le journal congolais Le Potentiel grince : « les véritables gagnants dans cette affaire sont les États-Unis », comédiateurs dans ce conflit donc avec le Qatar. « Sans tirer un seul coup de feu, ils obtiennent un accès stratégique à une part importante des minerais du Congo contre une promesse de paix. Une paix monnayée, floue, sans véritable levier de transformation pour les populations », souffle le quotidien de Kinshasa. La situation au Sahel au cœur d'une rencontre entre la presse et Abdelmajid Tebboune Selon Dernières infos d'Algérie, le dirigeant a « rassuré » à propos de la menace que peut représenter la crise sécuritaire au Sahel, insistant sur « la grande expérience de l'Algérie en matière de lutte contre le terrorisme ». « Le pays a beaucoup aidé les frères maliens à surmonter la crise et reste disposé à le faire », mais l'Algérie refuse la présence de mercenaires russes à sa frontière a averti le président Tebboune. Les combattants de Wagner, et maintenant ceux de l'Africa Corps ont toujours « irrité » Alger rappelle TSA. Le Matin d'Algérie note en revanche les nombreuses lacunes d'un « pathétique monologue » du président Tebboune, dans un « exercice de communication bien huilé ». Aucune question sur les conséquences dans les relations avec Moscou, rien non plus sur les accusations de certains acteurs maliens qui reprochent à l'Algérie une certaine complaisance à l'égard de réseaux jihadistes opérant dans la région. Des mercenaires africains engagés par la Russie en Ukraine El Pais commence par évoquer le sort d'un Nigérian, il s'appelle Oluwagbemileke Kehinde. Il a été engagé comme par la Russie où il était venu faire ses études il y a quatre ans et a été capturé il y a quelques jours par l'Ukraine. Son cas est loin d'être isolé, Moscou promet à des Africains de travailler pour l'armée russe loin du front. L'offre est alléchante : « 2 000 euros par mois et un passeport russe », liste El Pais, mais en quelques semaines, « l'appât qui les a poussés à signer un contrat se transforme en cauchemar ». Ils sont alors envoyés dans des assauts massifs, meurent ou sont faits prisonniers. Comme le Nigérian Kehinde, des centaines de ressortissants de dix pays africains se sont retrouvés pris au piège, sauf qu'ensuite « ni la Russie, ni leur pays d'origine ne les réclament ». D'ailleurs, selon les archives de la diplomatie ukrainienne consultée par le média ibérique, seule Lomé s'est préoccupé du sort de ses ressortissants captifs.
Empresários de Cabo Delgado pedem o regresso das escoltas militares entre Macomia e Mocímboa da Praia, face a onda de raptos atribuídos a grupos terrorista. República Democrática do Congo e grupo M23 assinam acordo de cessar-fogo. Learning By Ear- Aprender de Ouvido.
Gaza: la notte infinita di bombardamenti di Deir al-Balah, mentre si continua a morire a caccia di cibo o per fame.Polonia: raro caso di colera.Siria: dopo una settimana di scontri torna la calma nella drusa Sweida.Sudan: guerra digitale e violenza contro le donne in aumento.Congo e ribelli si sono impegnati a porre fine alla guerra nell'Est.Arabia Saudita: dopo 20 anni muore il “principe addormentato”.India: non è stato ucciso dall'età il maratoneta indiano, ma da una macchina in corsa. Introduzione al notiziario: Afghanistan: l'infanzia deportata, la dignità negataQuesto e molto altro nel notiziario di Radio Bullets a cura di Barbara Schiavulli
Une déclaration de principes a été conclue entre le gouvernement de la République démocratique du Congo et les rebelles du M23, soutenus par le Rwanda, qui ont pris le contrôle d'une partie du territoire et de deux grandes villes plus tôt cette année. Les deux parties ont accepté de travailler vers un cessez-le-feu permanent, et de commencer des négociations sur un accord de paix durable dans un délai d'un mois.
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En RD Congo, la situation est tendue dans l'est du pays, où des affrontements ont été signalés ces derniers jours. Pourtant un accord de paix a été signé entre la RDC et le Rwanda à Washington fin juin. Des discussions de paix sont également en cours au Qatar, cette fois, entre les rebelles de l'AFC/M23 et les autorités congolaises.
Au Cameroun, les électeurs sont appelés aux urnes le 12 octobre 2025, pour élire leur président. Les candidats ont maintenant 10 jours pour déposer leur dossier de candidature à Élections Cameroon, l'organe en charge de l'organisation des élections. Le compte à rebours est donc enclenche pour un scrutin crucial et plein d'incertitudes pour l'avenir du pays. A ce jour, les candidatures des trois premiers du scrutin de 2018 suscitent encore des interrogations.
A recent US-brokered peace deal may have raised hopes of stability in eastern DRC. However, miners have told the BBC that M23's control of mineral-rich areas could keep the conflict going.US aid cuts are forcing HIV clinics across Africa to shut down, with South Africa hit hardest. Experts are also warning that this could stall vaccine research and reverse years of progress.And Uganda has overtaken Ethiopia as Africa's top coffee exporter, shipping 47,000 tonnes in just one month. How did they do it?Presenter: Audrey Brown Producers: Bella Hassan, Stefania Okereke and Nyasha Michelle Technical Producer: Pat Sissons Senior Journalist: Yvette Twagiramariya Editors: Alice Muthengi and Andre Lombard
C'est « le défi de Doha », avec cette interrogation de Jeune Afrique : « Kinshasa et le M23 peuvent-ils trouver un accord ? ». Il y a une semaine, la République démocratique du Congo et le Rwanda ont trouvé un accord, sous la houlette américaine ; à présent, raconte le magazine, « un nouveau round » de discussions va avoir lieu, « cette fois entre les autorités congolaises et les rebelles du M23, que soutient le Rwanda ». Avec un objectif que rappelle Actualité.cd : « aboutir également à la signature d'un accord de paix » pour « mettre fin aux hostilités dans l'est de la RDC ». Une perspective à laquelle le New Times, au Rwanda, ne croit pas vraiment : « aucun texte final n'est prêt à être signé au Qatar, contrairement à ce que prétendent les réseaux sociaux », a affirmé au journal un porte-parole des rebelles. Ces derniers multiplient les prises de parole publique, dont une conférence de presse la semaine dernière au cours, relate Jeune Afrique, ils « ont énoncé une série de ‘mesures de confiance' censées faciliter la suite des discussions » - dit autrement, des doléances pour la suite du processus… L'AFC-M23 « n'a pas l'intention, alors qu'il a eu l'avantage sur le terrain militaire, de subir la discussion », juge une source diplomatique auprès du site spécialisé. Rien n'est encore fait Certes, « les Étasuniens ont forcé tout le monde à jouer carte sur table ». Pour autant, « les deux protagonistes poursuivront-ils dans cette voie ? ». Rien de moins sûr pour Afrique XXI, qui rappelle, pessimiste, que « la réalité a d'autres facettes ». D'autant que, dans l'accord de principe signé la semaine dernière, « aucune mesure contraignante ne semble avoir été prise à l'encontre » de l'AFC-M23, ni pour les forcer à faire preuve de bonne foi, ni sur la gouvernance des territoires conquis, gérés « avec la brutalité d'une force d'occupation ». Et puis, insiste encore le journal, le président congolais Félix Tshisekedi « a besoin d'un succès diplomatique à son actif et les apparences d'un accord pourraient lui suffire ». Des turbulences pour le clan présidentiel Plusieurs proches de Félix Tshisekedi sont attaqués en justice en Belgique. Un dossier « lourd de plus de cinquante pages » raconte l'Observateur Paalga, après le récent rapport d'une ONG dans lequel « il était question d'une prédation du clan Tshisekedi, dont une dizaine de membres posséderaient des exploitations minières au Katanga », explique le journal. « Sale temps pour le régime Tshisekedi ! » renchérit le Pays… Car cette situation, juge le journal « pointe directement du doigt la gouvernance du successeur de Joseph Kabila, qui promettait pourtant de faire dans la rupture ». Un scandale dont le chef d'État se serait bien passé, lui qui « ne sait déjà pas où donner de la tête avec la grave crise sécuritaire dans l'est du pays ». Entre « un contexte sociopolitique continuel conflictuel » et « une gestion jugée chaotique », la situation « n'est guère reluisante… » et à des milliers de kilomètres de là, soupire Afrique XXI, « depuis Bukavu, Goma, Masisi, Kalehe, loin des joutes diplomatiques, un seul cri nous parvient : ‘et nous, maintenant ? qu'allons-nous devenir ?' » À la Une également, la situation tragique au Darfour En un peu plus de deux ans de guerre au Soudan, le conflit a déplacé 11,3 millions de personnes, et les camps de déplacés sont surchargés. Particulièrement donc le Darfour du nord, qui « abrite 18% du nombre total de personnes déplacées » du pays, explique le Monde Afrique. Les besoins en nourriture, énormes, sont difficilement satisfaits : « l'acheminement de l'aide jusqu'au Darfour est un véritable défi logistique. Les chaînes d'approvisionnement évoluent avec le déplacement de la ligne de front », mais aussi au gré des autorisations de transit, et des blocages des routes. Et, ajoute le quotidien, « à l'urgence alimentaire s'ajoute le risque sanitaire », car la surpopulation des camps « favorise la propagation des maladies » avec le risque notamment d'une épidémie de choléra. Et pour encore compliquer la situation, il y a le « manque de protection apporté aux infrastructures de santé » et « la diminution de l'aide publique au développement ». D'ici la fin de l'été, conclut le Monde, « le programme alimentaire mondial prévoit la rupture de plusieurs canaux d'approvisionnement », aggravant encore ce qui ne peut plus qu'être appelé « une tragédie humanitaire ».
Imigrantes e Daniel Chapo criticam "radicalismos" sobre o tema migração em Portugal. "Bernardino Rafael pode ser responsabilizado criminalmente", defende jurista moçambicano. Acordo de paz entre a República Democrática do Congo e o Ruanda recebido com ceticismo.
Ripoti ya siri ya watalaam wa Umoja wa Mataifa imeishtumu Rwanda kwa kutoa maagizo na kudhibiti shughuli za waasi wa M23.
L'occupation de Goma et de plusieurs localités dans les Kivus à l'Est de la République démocratique du Congo (RDC) par le M23 depuis la fin janvier a créé l'un des contextes opérationnels les plus complexes que la mission de paix de l'ONU, la MONUSCO, n'ait jamais eu à affronter.Certaines de ses bases se retrouvent aujourd'hui dans le territoire sous contrôle de facto de l'AFC-M23 et la Mission a dû s'adapter et innover pour continuer à remplir son mandat de protection des civils, en misant sur l'évaluation des risques, l'alerte précoce et le dialogue avec les communautés.Dans un entretien exclusif accordé récemment à ONU Info, la cheffe de la MONUSCO, Bintou Keita, évoque la complexité du terrain, les efforts de négociation pour garantir des évacuations sécurisées de civils et de militaires, mais aussi le rôle de la mission dans l'appui aux multiples processus de paix en cours.La Représentante spéciale du Secrétaire général de l'ONU revient sur le triple objectif de son déplacement récent à Goma, y compris les discussions directes et l'écoute des dirigeants du AFC-M23. Bintou Keita insiste : « Il faut accueillir toutes les initiatives et s'assurer qu'elles produisent des résultats concrets pour les populations ». Pour elle, l'enjeu reste clair : permettre aux Congolais de retrouver « une vie décente », avec un accès à la santé, à l'éducation, à l'eau, loin des violences et du déplacement forcé. « Donnons une chance à la paix et faisons en sorte que les initiatives qui sont en cours aboutissent à des résultats sur le terrain, pas seulement dans les capitales ».▶️ Écoutez l'intégralité de l'interview.(Interview : Bintou Keita, Représentante spéciale du Secrétaire général de l'ONU en RDC et cheffe de la MONUSCO ; propos recueillis par Cristina Silveiro)
A quatre mois de l'élection présidentielle, la collecte des parrainages citoyens a commencé en Côte d'Ivoire. A Goma, l'AFC/M23 s'est exprimé pour la première fois dans une conférence de presse depuis l'accord signé entre Kigali et Kinshasa : ils ont demandé l'abandon des poursuites judiciaires à leur encontre. Enfin, nous recevons dans ce journal la réalisatrice Yamina Benguigui pour son film "Rumba congolaise, les héroïnes", sur la trace des oubliées de ce genre musical iconique.
World news in 7 minutes. Friday 4th July 2025.Today: France Shein fine. Russian general hit. Greece, Turkiye fires. US Diddy trial. Colombia-US spat. Argentina, Lula Kirchner. Rwanda commands M23. Zambia elephant attack. Iran nuclear back. Indonesia ferry sinking. And emojis are good!
The conflict in the Democratic Republic of the Congo (DRC) involving a long history with neighboring Rwanda has created one of the largest humanitarian crises in the world. With a United States-brokered agreement between the DRC and Rwanda to end the war, will there be peace? In this episode: Kambale Musavuli (@kambale), Analyst, Center for Research on the Congo-Kinshasa Episode credits: This episode was produced by Amy Walters, Sonia Bhagat, and Chloe K. Li, with Phillip Lanos, Spencer Cline, Melanie Marich, Kisaa Zehra, Remas Alhawari, and our guest host, Manuel Rápalo. It was edited by Kylene Kiang. Our sound designer is Alex Roldan. Our video editor is Hisham Abu Salah. Alexandra Locke is the Take’s executive producer. Ney Alvarez is Al Jazeera’s head of audio. Connect with us: @AJEPodcasts on Instagram, X, Facebook, Threads and YouTube
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur le procès de Benyamin Netanyahu pour corruption et les mutineries de soldats au Niger. Accord de paix RDC-Rwanda : vers la neutralisation des FDLR ? Après trois décennies d'insécurité à l'est de la RDC, Kinshasa et Kigali ont signé un accord de paix à Washington, sous l'égide des États-Unis. Le texte prévoit le désengagement des forces rwandaises et la neutralisation des FDLR. Quand peut-on espérer le désarmement effectif de ce groupe de rebelles rwandais ? RDC-Rwanda : qui surveillera la bonne application de l'accord de paix ? Malgré les engagements signés entre la RDC et le Rwanda, la mise en œuvre de l'accord de paix reste incertaine dans une région marquée par la méfiance et les enjeux géostratégiques. Quels mécanismes sont prévus pour s'assurer que l'accord sera respecté ? Pourquoi les rebelles de l'AFC/M23 ne sont-ils pas mentionnés dans le document conclu à Washington ? RDC-Rwanda : à quand un accord avec le M23 ? La signature de l'accord de la paix entre Kinshasa et Kigali a eu lieu à Washington, sous la médiation américaine. Parallèlement, des négociations sont en cours au Qatar entre les autorités congolaises et les rebelles du M23, soutenus par le Rwanda. Où en sont les discussions ? Avec Patient Ligodi, journaliste au service Afrique de RFI. Israël : Benyamin Netanyahu gagne un sursis dans son procès pour corruption Alors qu'il devait comparaître cette semaine dans son procès pour corruption, fraude et abus de confiance, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu a obtenu un nouveau sursis judiciaire avec le report des audiences. De son côté, Donald Trump a déclaré qu'il ne « tolérerait pas » la poursuite du procès. Le président américain a-t-il pu influencer la décision du tribunal de Jérusalem ? Avec Michel Paul, correspondant de RFI à Jérusalem. Niger : pourquoi des soldats se rebellent-ils ? La semaine dernière, deux unités de l'armée nigérienne se sont mutinées à Filingué et Tera. Depuis le mois de mars, quatre mouvements de colère ont été recensés au sein des forces armées. Quelles sont les revendications de ces soldats ? Ces soulèvements risquent-ils de se propager ? Quel sort est réservé aux mutins ? Avec Seidik Abba, président du Centre international de réflexions et d'études sur le Sahel. Auteur de l'ouvrage « Crise interne au conseil militaire suprême du Niger » (éditions L'Harmattan).
Och så har vi en rättelse, i en kortversion av inslaget om M23 som sändes i morse saknades uppgiften att gruppen har nära band till Rwanda, rätt version finns i vår APP Sveriges Radio Lyssna på alla avsnitt i Sveriges Radio Play.
Och så har vi en rättelse, i en kortversion av inslaget om M23 som sändes i morse saknades uppgiften att gruppen har nära band till Rwanda, rätt version finns i vår APP Sveriges Radio Lyssna på alla avsnitt i Sveriges Radio Play.
Subscribe now for the full episode and access to all news specials. Derek welcomes back to the show Jason Stearns, associate professor at Simon Fraser University and author of The War That Doesn't Say Its Name: The Unending Conflict in the Congo, to talk about the state of play between the Rwandan-backed M23 armed group and the Democratic Republic of the Congo (DRC) as well as the ceasefire between the DRC and Rwanda. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
The US Senate has narrowly approved President Trump's major tax and spending bill. The chamber was evenly split between Republicans and Democrats, meaning the Vice President, JD Vance, cast the deciding vote. The legislation will now return to the House of Representatives.Also, will the M23 militia "disarm and disengage" in eastern Democratic Republic of Congo in line with the US brokered peace deal? We speak to Dr Massad Boulos, President Trump's Senior Advisor for Africa.And the remarkable story of how a father and young daughter miraculously survived falling off a cruise ship. (Photo: Alaska Senator Lisa Murkowski supported the passage of the bill after intense negotiations. Credit: Getty Images)
Um conflito que se arrasta há décadas já matou mais de 5 milhões de pessoas no coração do continente africano. No leste da República Democrática do Congo, milícias armadas se enfrentam numa guerra que é a mais mortal desde a 2ª Guerra Mundial. O gatilho para que conflitos étnicos escalassem para uma guerra brutal foi genocídio em Ruanda, em 1994. O governo ruandês é acusado de apoiar o grupo rebelde M23 para invadir e controlar territórios na República Democrática do Congo. Sobre a RDC, pesa a acusação de proteger milícias Hutus, herdeiras dos algozes do genocídio. Para além das batalhas entre etnias, há também uma disputa por riquezas minerais. Nos territórios conflagrados estão alguns dos materiais mais valiosos do mundo: caso do ouro, do cobre, do cobalto e do coltan, importante para a produção de computadores e smartphones – minérios e metais que têm como compradores as maiores empresas de tecnologia do mundo. Neste episódio, Natuza Nery recebe o jornalista Pedro Borges, da agência de notícias Alma Preta. Ele, que está há 40 dias na RDC testemunhando de perto a situação da região em guerra, conta o que viu em seus deslocamentos pelo país e como é um dos campos de refugiados que visitou. Pedro detalha ainda o que prevê a nova tentativa de acordo assinada entre a RDC e Ruanda na última sexta-feira (27), em Washington, sob a mediação do governo americano.
#cuttheclutter Democratic Republic of Congo and Rwanda on Friday signed a peace deal, marking the end of decades-long fighting in eastern DRC that upended millions of lives. In Episode 1689 of #CutTheClutter ThePrint Editor-in-Chief Shekhar Gupta traces DRC's roots, from being a Belgian colony till 1960 to Mobutu's rule and the 2009 pact that led to the birth of Rwanda-backed M23 rebel group; he also explains how large reserves of tantalum and cobalt have brought the ‘resource curse' tag upon DRC and Rwanda. --------------------------------------------------------------------------------------------- To visit ThePrint Store: https://store.theprint.in/ --------------------------------------------------------------------------------------------- Produced By: Mahira Khan
C'est ce vendredi 27 juin que les ministres des Affaires étrangères de la RDC et du Rwanda doivent signer un accord de paix à Washington, en présence de leur homologue américain, Marco Rubio. Jusqu'à ce jour, à la demande des États-Unis, les termes de l'accord sont restés secrets. Mais le chercheur américain Jason Stearns a réussi à en connaître les grandes lignes. Jason Stearns est le co-fondateur de l'institut congolais de recherches Ebuteli. Il enseigne aussi à l'université Simon Fraser, au Canada. En ligne des États-Unis, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI: Jason Stearns, quelles sont les grandes lignes de l'accord qui doit être signé ce vendredi ? Jason Stearns: On ne connaît pas le contenu exactement. Mais ce que nous pensons, c'est que ce sera un accord comme beaucoup d'autres accords dans les deux décennies passées entre le Rwanda et la RDC. Il sera basé sur le principe que le Rwanda se retire et que le Congo mène des opérations contre les FDLR, ce groupe de rebelles rwandais. Donc c'est le point, je pense, le plus important de l'accord. Parmi les points les plus controversés pendant les négociations, je pense, il y a eu le fait que cela soit mené simultanément, c'est à dire que le Rwanda retire ses troupes et que, d'une façon simultanée, la RDC commence les opérations contre les FDLR. Le problème avec cela, c'est que, comme c'est simultané, les deux côtés peuvent dire que l'autre n'a pas tenu ses promesses et que le Rwanda puisse dire que l'armée congolaise n'a pas assez fait contre les FDLR. Cela est d'autant plus vrai que les FDLR se trouvent, une grande partie au moins des FDLR, se trouvent sur le territoire contrôlé par le M23 et l'armée rwandaise actuellement. Donc c'est parmi les grands défis je pense, et il y a des autres aspects de l'accord aussi, le fait que le Rwanda devrait pousser le M23 à se retirer des grandes villes, dont Goma et Bukavu surtout, et le fait que le Congo devrait permettre aux M23 de se convertir en parti politique et de participer à la démocratie congolaise et, en même temps, le fait de laisser les combattants du M23 soit rejoindre un processus de démobilisation ou, au cas par cas, rejoindre l'armée nationale. Et à court terme, est-ce qu'il y a un mécanisme qui va s'assurer que l'armée rwandaise et les rebelles FDLR vont bien quitter le terrain du Nord et du Sud-Kivu ? Il y a un mécanisme conjoint de vérification qui sera mis en place par les deux pays avec une participation des États-Unis. Il faut dire que le calendrier pour la mise en œuvre de cet accord est ambitieux. Ça va se traiter dans les prochains trois mois. Et donc, pendant ces trois mois, il y aura une participation des États-Unis. Et je pense aussi que les pays de la sous-région pourraient justement veiller à ce que les deux côtés sont en train de mettre en œuvre les accords. Et si les États-Unis rentrent dans ce mécanisme conjoint, est-ce à dire que les satellites d'observation américains vont aider à vérifier tout ça ? Je pense, car c'est depuis 2023 que les États-Unis se sont vraiment engagés et je pense que ça va continuer pour la collecte des informations. Qu'est-ce qui garantit que l'armée rwandaise et les FDLR vont se retirer du champ de bataille ? Il n'y a pas de garantie comme tel. Donc je pense qu'il faut se poser la question : Qu'est-ce qui motive le Rwanda et la RDC à signer cet accord aujourd'hui ? Donc je pense qu'il y a des bâtons et des carottes. Les carottes sont surtout d'ordre économique. Donc, les Etats-Unis ont promis toute une série d'investissements dans la région. Côté minerai, il y a des compagnies privées américaines qui seraient prêtes à investir dans les mines à l'est de la RDC. Mais le traitement et l'exportation des minerais se feraient à partir du Rwanda. Donc comme ça, les deux côtés seraient encouragés d'investir dans la paix et pas dans l'instabilité. Alors l'un des problèmes, Jason Stearns, c'est que les rebelles du M23 ne sont pas conviés à la signature de l'accord de ce vendredi à Washington. Est-ce que ce n'est pas préoccupant ? C'est préoccupant dans le sens que le Rwanda pourra toujours dire que, voilà, ils ont tenu leur côté de l'accord. Si les M23 ne mettent pas l'accord en œuvre, ce n'est pas leur problème, comme ils ne contrôlent pas les M23. Or, nous savons que le Rwanda a une forte implication dans la gestion du M23, si on peut le dire ainsi. Mais le Rwanda pourrait toujours nier cela. Alors en effet, le gouvernement congolais espère que, si l'armée rwandaise se retire du terrain, le M23 va s'effondrer. Mais est-ce que c'est si simple que cela ? Ce n'est pas si simple dans le sens que, dans les mois passés, le M23, surtout depuis la prise de Goma, a mené des opérations très sérieuses pour recruter des milliers de nouvelles recrues, pour amener toute l'élite locale dans des camps de formation, pour mettre en place une administration parallèle sur le terrain avec des services de taxation, des services d'administration pour peser sur les chefs coutumiers, afin qu'ils se réorientent vers le M23. Donc il sera difficile de démanteler tout cela. Et donc je pense qu'il est important, pas seulement que l'accord soit signé, mais que, dans la mise en œuvre de cet accord, il y ait un suivi, pas seulement des Etats-Unis, mais de tous les autres acteurs impliqués de la sous-région et des Nations Unies et de l'Union africaine pour veiller à ce que le M23 aussi rejoigne le processus de paix. Avec Joseph Kabila et Corneille Nangaa ? Leur sort n'a pas été évoqué par cet accord, donc c'est parmi les grandes inconnues. À lire aussiVers un accord de paix RDC-Rwanda le 27 juin: «Nous espérons que, cette fois-ci, ce soit la bonne»
There is a glimmer of hope that three decades of conflict in the Democratic Republic of Congo could end after the government agreed a draft peace deal with Rwanda, a country accused of funding the M23, a group that has taken over some significant towns in the east of DRC. Representatives of the two countries will formally sign the agreement next week. But will this deal brokered by the United States work where others have failed?Also, Egypt scrambles for gas supplies after Israel's oil refineries are struck by Iranian strikes and we examine whether other countries in Africa have been affected too.And a bra-scandal: why female staff members at a university in Nigeria were touching the breasts of students before allowing them to take an exam.Presenter: Audrey Brown Producers: Yvette Twagiramariya, Bella Hassan and Blessing Aderogba Technical Producer: Chris Ablakwa Senior Journalist: Sunita Nahar Editors: Andre Lombard and Alice Muthengi
There is a glimmer of hope that three decades of conflict in the Democratic Republic of Congo could end after the government agreed a draft peace deal with Rwanda, a country accused of funding the M23, a group that has taken over some significant towns in the east of DRC. Representatives of the two countries will formally sign the agreement next week. But will this deal brokered by the United States work where others have failed?Also, Egypt scrambles for gas supplies after Israel's oil refineries are struck by Iranian strikes and we examine whether other countries in Africa have been affected too.And a bra-scandal: why female staff members at a university in Nigeria were touching the breasts of students before allowing them to take an exam?Presenter: Audrey Brown Producers: Yvette Twagiramariya, Bella Hassan and Blessing Aderogba Technical Producer: Chris Ablakwa Senior Journalist: Sunita Nahar Editors: Andre Lombard and Alice Muthengi
Kate Adie presents stories from the US, DRC, Hungary, Nigeria and Italy.There's been a heavy crackdown in Los Angeles after more than a week of protests over US immigration raids. Federal police had been targeting undocumented migrants in workplaces across the city. In a marked escalation, President Trump deployed the National Guard and the Marines, which drew sharp criticism from California's governor, Gavin Newsom. John Sudworth followed the story.Hugh Kinsella Cunningham visits a mental health clinic in South Kivu in Democratic Republic of Congo, where he hears from psychotherapists how they are helping people deal with trauma. Earlier this year, the Rwanda-backed M23 rebel group took control of Goma and Bukavu, in the latest chapter of a conflict that has blighted the lives of civilians for decades.Ellie House has visited Hungary's east where a vast Chinese-owned lithium-ion battery plan is under construction. She hears how China's forays into the European EV market are being welcomed by PM Victor Orban, but with trepidation by some locals.In Nigeria, a small town in Ogun state transforms into a vibrant cultural festival each year, drawing business leaders, traditional rulers and visitors from the diaspora. It celebrates the cultural identity of the Yoruba people. Nkechi Ogbonna went to watch the festivities which had a political undertone.And finally, Alice Gioia has been in Italy's north, to the town of Pavia, where the Pavese dialect is fast dying out. Across Italy, 90 per cent of the population using these dialects are over seventy. She reflects on what the loss of the Pavese dialect will mean for her.Series producer: Serena Tarling Editor: Penny Murphy Production coordinators: Sophie Hill & Gemma Ashman
The first group of South African soldiers deployed to the Democratic Republic of Congo, arrive back in the country today. South Africa sent around one thousand five hundred troops to the DRC as part of a wider peacekeeping mission. In February, at least fourteen soldiers were killed during heavy clashes with the M23, a group fighting against the national government led by President Felix Tishekedi. At home in South Africa there has been public debate about the need for this deployment. Richard discusses the delayed end of mission amid reports of low morale and poor conditions in DRC with the BBC's reporter, Nomsa Maseko. Also, Ghana makes significant progress in reducing child labourAnd does FIFA's expanded Club World Cup offer fresh opportunities to Africa's football clubs or not? Presenter: Richard Kagoe Producers: Bella Hassan and Yvette Twagiramariya in London and Charles Gitonga in Nairobi. Technical Producer: Pat Sissons Senior Journalist: Karnie Sharp Editors: Alice Muthengi and Andre Lombard