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There is a glimmer of hope that three decades of conflict in the Democratic Republic of Congo could end after the government agreed a draft peace deal with Rwanda, a country accused of funding the M23, a group that has taken over some significant towns in the east of DRC. Representatives of the two countries will formally sign the agreement next week. But will this deal brokered by the United States work where others have failed?Also, Egypt scrambles for gas supplies after Israel's oil refineries are struck by Iranian strikes and we examine whether other countries in Africa have been affected too.And a bra-scandal: why female staff members at a university in Nigeria were touching the breasts of students before allowing them to take an exam.Presenter: Audrey Brown Producers: Yvette Twagiramariya, Bella Hassan and Blessing Aderogba Technical Producer: Chris Ablakwa Senior Journalist: Sunita Nahar Editors: Andre Lombard and Alice Muthengi
There is a glimmer of hope that three decades of conflict in the Democratic Republic of Congo could end after the government agreed a draft peace deal with Rwanda, a country accused of funding the M23, a group that has taken over some significant towns in the east of DRC. Representatives of the two countries will formally sign the agreement next week. But will this deal brokered by the United States work where others have failed?Also, Egypt scrambles for gas supplies after Israel's oil refineries are struck by Iranian strikes and we examine whether other countries in Africa have been affected too.And a bra-scandal: why female staff members at a university in Nigeria were touching the breasts of students before allowing them to take an exam?Presenter: Audrey Brown Producers: Yvette Twagiramariya, Bella Hassan and Blessing Aderogba Technical Producer: Chris Ablakwa Senior Journalist: Sunita Nahar Editors: Andre Lombard and Alice Muthengi
C'est un nouveau phénomène. En Afrique, de plus en plus de pays se livrent à une « guerre » de leurs espaces aériens. Dernier exemple en date : en avril dernier, le Mali et l'Algérie, réciproquement, se sont fermés leurs espaces aériens. Le Niger a fait de même contre la France. Et la République démocratique du Congo a pris la même mesure contre le Rwanda. Quelles conséquences pour les compagnies aériennes et pour les passagers ? Ibra Wane est le directeur, pour l'Afrique, du courtier aérien français Avico, qui est spécialisé dans la location d'avions et de moteurs d'avion. En ligne de Dakar, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Depuis la dernière crise entre le Mali et l'Algérie en avril dernier, les deux pays se sont mutuellement fermé leurs espaces aériens. Et concrètement, les avions Paris-Abidjan, par exemple, ne peuvent plus survoler le Mali s'ils sont passés au-dessus de l'Algérie : ils doivent donc faire un grand détour par le Maroc et le Sénégal à l'ouest. Quelles conséquences pour les passagers ? Ibra Wane : La première conséquence, c'est d'abord pour les compagnies aériennes elles-mêmes, parce que ça allonge beaucoup le temps de vol. Ça peut aller jusqu'à même 50 minutes de temps de vol supplémentaire, ce qui renchérit donc le coût du carburant, le coût d'exploitation global de la compagnie. Et comme vous le savez, le poste de carburant est le premier poste de coûts directs pour une compagnie aérienne. Imaginez donc un allongement du temps de vol de 50 minutes, ce que ça peut être comme coûts supplémentaires. Est-ce que, du coup, les passagers de Corsair, de SN Brussels, de British Airways ou d'Air France payent plus cher leur billet depuis le mois d'avril ? Non, je ne pourrais pas dire que ces passagers payent plus cher les billets, parce que les compagnies aériennes ont chacune une politique commerciale différente. Je ne suis pas certain que toutes les compagnies aient répercuté le surcoût sur les billets des passagers. Mais il est clair qu'un surenchérissement des coûts qui perdure, cela mènera forcément à une augmentation des tarifs à long terme. Et ces 50 minutes de vol supplémentaires représentent quelle surconsommation de kérosène ? Cela représente à peu près jusqu'à un sixième ou un septième de surconsommation de kérosène pour tout le vol. Si vous avez un vol Paris-Abidjan par exemple, qui fait six heures et que vous augmentez 50 minutes de vol, c'est presque une heure de vol de plus. Vous voyez, vous avez augmenté à peu près un sixième de vos coûts de carburant et c'est énorme. Alors, on dit beaucoup qu'Air France est la compagnie internationale la plus impactée par tous ces événements. Mais est-ce que la compagnie Air Algérie n'est pas aussi touchée ? Elle l'est forcément, notamment en ce qui concerne le Mali. Je m'explique. Un avion qui survole l'Algérie n'a pas le droit de survoler le Mali et vice versa. Bien entendu, si les vols d'Air Algérie vers l'Afrique passaient par le Mali, tous ces vols-là sont complètement impactés. Absolument. Autre événement politique qui impacte le transport aérien, le putsch de juillet 2023 au Niger. Depuis cette date, les avions français n'ont plus le droit de survoler ce pays qui représente un cinquième de la superficie totale de l'Afrique de l'Ouest et qui est au carrefour de plusieurs couloirs aériens. Quelles conséquences pour Air France ? Vous savez, selon la convention de Chicago, chaque État a la souveraineté complète et exclusive sur l'espace aérien au-dessus de son territoire. C'est ce qui s'est passé avec le Niger. C'est une affaire bilatérale entre le Niger et la France. La conséquence immédiate, c'est qu'aucun avion français ne peut survoler le territoire nigérien. Il faut donc passer par l'est ou par l'ouest pour pouvoir rallier des territoires au sud du Niger, sur le continent africain. Et quand on regarde une carte de l'Afrique, on voit que, pour aller par exemple de Paris à Douala ou de Paris à Kinshasa, il faut survoler le Niger, sinon il faut faire un énorme détour ? Il faut faire un énorme détour, en effet. Absolument. Autre évènement politique : la conquête de Goma par les rebelles du M23 et l'armée rwandaise. Depuis ce mois de février, la République démocratique du Congo interdit le survol de son territoire aux avions rwandais. Est-ce que la compagnie RwandAir est impactée par cette mesure ? Ah oui, elle est forcément impactée. De toute façon, le territoire de la RDC, comme vous le savez, est tellement vaste par rapport au Rwanda que la plupart des vols vers l'ouest du Rwanda devaient passer par ce territoire-là. C'est vrai que cette compagnie est totalement impactée, en effet. L'un des faits majeurs de ces deux dernières années, c'est donc la fermeture de l'espace aérien du Niger à tous les avions français. Est-ce que cette mesure très restrictive profite à d'autres compagnies ? Je ne crois pas. Quand il y a une restriction, cela ne profite à personne, ni au pays qui a restreint, ni aux compagnies. Donc, nous espérons, nous, dans notre profession, que cette affaire connaîtra un épilogue favorable dans les meilleurs délais, aussi bien en ce qui concerne le Mali et l'Algérie que le Niger, parce que cela ne profite pas du tout à l'activité. C'est une crise. Ça renchérit les coûts aussi bien pour les compagnies aériennes que pour les populations et que pour les passagers. Donc cela n'a aucun bénéfice pour personne. Mais maintenant qu'Air France et Corsair ne peuvent plus atterrir à Niamey, à Agadez ou à Zinder, il y a nécessairement d'autres compagnies qui en profitent ? Je ne crois pas. D'abord, Corsair n'y allait pas, de toute façon. C'est Air France qui allait à Niamey, tout simplement. Et de toute façon, il ne faut pas oublier que cette affaire du Niger avec la France s'accompagne aussi d'une restriction des voyages eux-mêmes, parce que les problèmes de visas se posent aussi. Je crois que les relations sont telles que les voyages vont être complètement réduits. Oui, le flux des passagers a diminué sur les vols à destination du Sahel, c'est ça ? C'est ça. Absolument.
L'information fait les gros titres de la presse congolaise : le Garde des sceaux, Constant Mutamba, démissionne. Cette démission, pointe le site congolais Actualité CD, « fait suite à une série de controverses judiciaires et politiques qui ont ébranlé son mandat. Constant Mutamba avait suscité de grands espoirs lors de sa nomination en mai 2024, mais les récents scandales, notamment les accusations de détournement de fonds, ont précipité son départ. Ses ennuis ont pris une tournure décisive avec la levée de son immunité parlementaire par l'Assemblée nationale dimanche dernier, à la suite d'un réquisitoire du procureur général près la Cour de cassation. Accusé d'avoir détourné 19 millions de dollars dans un projet de construction de prison à Kisangani, il a également été visé pour outrage aux corps constitués après avoir dénoncé un prétendu complot politique contre lui. Ces accusations, combinées à l'interdiction de quitter Kinshasa et à la menace d'un mandat d'arrêt, ont rendu sa position intenable, le poussant à remettre sa démission. » Soupçons de corruption « La descente aux enfers se poursuit pour Mutamba », s'exclame Objectif Infos. « Le jeune ministre va sans détour passer du piédestal au banc des accusés. » « Le ministre de la Justice Constant Mutamba démissionne en pleine tempête judiciaire », lance le Journal de Kinshasa. « Ce nouvel épisode de la “Saga Mutamba” plonge une fois de plus le gouvernement congolais dans la tourmente, à quelques mois d'échéances politiques majeures. Alors que la présidence de Félix Tshisekedi tente de préserver sa stabilité, ce scandale met en lumière les fragilités persistantes du système politico-judiciaire en RDC. » « Constant Mutamba dans de sales draps ! », renchérit La Tempête des tropiques. « Pour les uns, cette affaire constitue une leçon pour certains responsables des institutions publiques qui gèrent les portefeuilles de l'Etat comme leurs boutiques. D'autres pensent qu'il s'agirait d'un règlement des comptes ourdi contre un ministre qui commençait à inquiéter certains magistrats véreux et de nombreux réseaux de malfaiteurs. Mais pour couper court à toutes les spéculations, la justice congolaise n'en sortira grandie que si le prévenu Constant Mutamba bénéficie d'un procès juste et équitable. » L'arroseur arrosé ? Jeune Afrique revient sur le parcours de ce jeune ministre de 37 ans : « Nommé Garde des sceaux en mai 2024, Constant Mutamba avait promis de réformer un système judiciaire qu'il qualifiait de “malade“, reprenant en cela les termes du président Tshisekedi. Il n'en aura pas eu le temps : malgré ses efforts pour échapper au couperet, affaires judiciaires et tensions politiques ont eu raison de lui. Ancien candidat à l'élection présidentielle de 2023, le fondateur du mouvement citoyen Nouvelle Génération pour l'émergence du Congo promettait de lutter contre la corruption et de promouvoir la transparence, avant que les soupçons de malversations financières ne viennent ternir son image. Il a tenté, en vain, de trouver une issue politique à ses déboires. (…) Constant Mutamba avait en effet publiquement dénoncé un “règlement de comptes“, précise Jeune Afrique, orchestré par des adversaires politiques, pointant du doigt des relations conflictuelles avec la Première ministre Judith Suminwa et le procureur général près la Cour de cassation, Firmin Mvonde, qu'il avait accusé de faire partie d'un “groupe de mafieux“ cherchant à l'humilier. Mais ces déclarations ont aggravé son cas. » En première ligne contre Kabila et le Rwanda Désormais, relève encore Jeune Afrique, « l'avenir du ministre déchu reste incertain, tout comme l'impact de cette affaire sur la dynamique politique congolaise. Constant Mutamba est en effet le ministre qui a ordonné la saisie des biens de l'ancien président Joseph Kabila et l'ouverture d'une enquête judiciaire contre ce dernier, accusé par Félix Tshisekedi d'être le “véritable patron“ de l'Alliance Fleuve Congo/M23, la rébellion soutenue par le Rwanda qui contrôle les villes de Goma et Bukavu, dans l'Est. » Qui plus est, note Actualité CD, « depuis la résurgence de la rébellion du M23, Constant Mutamba était en première ligne pour s'attaquer au Rwanda. Il avait été à la base de l'ouverture du procès public de Corneille Nangaa, leader politique de l'Alliance Fleuve Congo, ainsi que plusieurs de ses complices. (…) Constant Mutamba avait (aussi) promis une récompense à toute personne qui parviendrait à arrêter le président rwandais Paul Kagame qu'il qualifiait de “criminel de guerre“, suite à son soutien à la rébellion de l'AFC/M23. » D'ailleurs, relève encore Actualité CD, les autorités rwandaises « n'ont pas caché leur satisfaction face aux ennuis judiciaires de Mutamba. »
Hanna spyr nästan på Christopher. Lars Lerin med barn försvann ner i ett hål hos Hanna. Garplind ska in! Christopher blev räddad av Håkan Hellström på efterfest i Göteborg. Love Lyssarides om konflikten i östra Kongo och rebellgruppen M23. Lyssna på alla avsnitt i Sveriges Radio Play. Programledare: Christopher Garplind och Hanna Hellquist
Bintou Keïta, cheffe de la Monusco, s'est rendue à Goma — une première depuis que la ville est tombée aux mains des rebelles du M23. Un déplacement sous haute tension, alors que les initiatives diplomatiques se multiplient. Sur le plan politique les consultations pour un gouvernement d'union nationale peinent à réunir. Christian Moleka, analyste politique, coordonnateur national de la Dypol est notre invité pour décrypter la situation.
Kate Adie presents stories from the US, DRC, Hungary, Nigeria and Italy.There's been a heavy crackdown in Los Angeles after more than a week of protests over US immigration raids. Federal police had been targeting undocumented migrants in workplaces across the city. In a marked escalation, President Trump deployed the National Guard and the Marines, which drew sharp criticism from California's governor, Gavin Newsom. John Sudworth followed the story.Hugh Kinsella Cunningham visits a mental health clinic in South Kivu in Democratic Republic of Congo, where he hears from psychotherapists how they are helping people deal with trauma. Earlier this year, the Rwanda-backed M23 rebel group took control of Goma and Bukavu, in the latest chapter of a conflict that has blighted the lives of civilians for decades.Ellie House has visited Hungary's east where a vast Chinese-owned lithium-ion battery plan is under construction. She hears how China's forays into the European EV market are being welcomed by PM Victor Orban, but with trepidation by some locals.In Nigeria, a small town in Ogun state transforms into a vibrant cultural festival each year, drawing business leaders, traditional rulers and visitors from the diaspora. It celebrates the cultural identity of the Yoruba people. Nkechi Ogbonna went to watch the festivities which had a political undertone.And finally, Alice Gioia has been in Italy's north, to the town of Pavia, where the Pavese dialect is fast dying out. Across Italy, 90 per cent of the population using these dialects are over seventy. She reflects on what the loss of the Pavese dialect will mean for her.Series producer: Serena Tarling Editor: Penny Murphy Production coordinators: Sophie Hill & Gemma Ashman
The first group of South African soldiers deployed to the Democratic Republic of Congo, arrive back in the country today. South Africa sent around one thousand five hundred troops to the DRC as part of a wider peacekeeping mission. In February, at least fourteen soldiers were killed during heavy clashes with the M23, a group fighting against the national government led by President Felix Tishekedi. At home in South Africa there has been public debate about the need for this deployment. Richard discusses the delayed end of mission amid reports of low morale and poor conditions in DRC with the BBC's reporter, Nomsa Maseko. Also, Ghana makes significant progress in reducing child labourAnd does FIFA's expanded Club World Cup offer fresh opportunities to Africa's football clubs or not? Presenter: Richard Kagoe Producers: Bella Hassan and Yvette Twagiramariya in London and Charles Gitonga in Nairobi. Technical Producer: Pat Sissons Senior Journalist: Karnie Sharp Editors: Alice Muthengi and Andre Lombard
En RD Congo, c'est la première visite officielle de la cheffe de la Monusco depuis la prise de contrôle de Goma fin janvier par l'AFC/M23, appuyé par le Rwanda. Bintou Keita est dans la capitale provinciale pour une visite de trois jours. Elle a rencontré les chefs du groupe armé.
Au Burundi, les résultats des législatives du 5 juin sont sans surprise. Le parti au pouvoir CNDD-FDD est crédité de 96% des voix et rafle la totalité des 100 sièges de la nouvelle Assemblée nationale. Le président Évariste Ndayishimiye consolide donc son pouvoir au moment où la population s'inquiète de plus en plus de voir partir des soldats burundais au Congo, au risque de leur vie. Le Burundi risque-t-il d'être le grand oublié d'un éventuel accord entre le Rwanda et la RDC ? L'avocat congolais Reagan Miviri est chercheur sur les conflits à l'institut Ebuteli. En ligne de Kinshasa, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Le pouvoir burundais voulait faire de ces législatives un plébiscite en sa faveur. Officiellement, c'est réussi. Mais qu'en est-il en réalité ? Reagan Miviri : En réalité, c'est un pouvoir qui est de plus en plus contesté, qui est confronté à une situation économique désastreuse et à une méfiance venant d'une population qui ne comprend pas l'implication militaire en RDC alors même qu'il y a de graves problèmes au Burundi, surtout des problèmes économiques. Le principal opposant, Agathon Rwasa, n'a pas pu présenter de candidat à ces élections. Est-ce le signe que le pouvoir se méfie encore de son poids politique ? On peut le dire ainsi. Je pense que le pouvoir, surtout dans ces moments de crise économique, se rassure de ne pas avoir une autre menace de plus. Et surtout toute personne qui peut mobiliser contre le régime est écartée. La société civile burundaise accuse le président Ndayishimiye de brandir exagérément la menace militaire du Rwanda et du M23 pour justifier une répression accrue contre les opposants. Mais n'y a-t-il tout de même pas une offensive des troupes rwandaises et du M23 depuis quelques mois ? Oui, bien sûr. Je pense que la question sécuritaire est réelle. Les M23, soutenus par l'armée rwandaise, sont maintenant dans la plaine de la Ruzizi et ils se rapprochent beaucoup plus de la frontière burundaise, ce qui peut vraiment inquiéter le Burundi. Depuis l'accord de coopération militaire d'août 2023, il y a eu jusqu'à 10 000 soldats burundais qui ont combattu au côté de l'armée congolaise au Nord et au Sud-Kivu. Mais depuis la bataille de Ngungu en décembre dernier face aux troupes du Rwanda et du M23, est-ce qu'on a une idée des pertes subies par l'armée burundaise ? C'est difficile d'avoir des chiffres exacts mais les pertes pourraient aller jusqu'à des centaines, voire même peut-être un millier. Quand il y a des pertes, ça rajoute encore du mécontentement au point que le pouvoir, voyant les élections approcher, a vu qu'il fallait réduire un peu sa présence et son empreinte en RDC. Il y a eu aussi quelques contacts entre les sécurocrates burundais et rwandais. D'ailleurs à un moment, on parlait d'une sorte de pacte de non-agression et c'est depuis ces temps-là que l'on voit que dans la plaine de la Ruzizi, alors même qu'il y a encore des affrontements entre les M23 et les Wazalendo, les militaires burundais qui sont souvent dans les mêmes zones ne sont pas impliqués dans ces affrontements. À lire aussiLa RDC et le Burundi signent un accord de coopération sécuritaire Donc Gitega et Kigali se sont parlés pour ne pas s'agresser directement ? En tout cas, on peut confirmer qu'il y a eu des pourparlers. Depuis plusieurs semaines, le Rwanda et le Congo-Kinshasa sont fortement encouragés par les médiateurs à négocier en vue d'un accord à la fois politique et commercial. Est-ce que le Burundi ne risque pas d'être le grand oublié de cet éventuel accord à venir ? Oui, je pense. Si ça continue toujours dans le format Doha et Washington, il me semble que le Burundi – et pas que le Burundi d'ailleurs, il y a aussi l'Ouganda de l'autre côté – risquent d'être des parties qui vont se sentir un peu oubliées. Et je pense que ça, c'est un risque de ne pas avoir un accord durable parce que ça serait très difficile d'avoir un accord avec le Rwanda sans l'avoir avec le Burundi et l'Ouganda. Et c'est pour cela que beaucoup de voix s'élèvent, pour que les processus internationaux soient les plus inclusifs possibles. Si on n'a pas cette question sur la table et si elle n'est pas gérée, il y a risque que l'on résolve peut-être le conflit dans une partie du Congo, par exemple dans le Nord-Kivu, mais que les tensions continuent par exemple dans la plaine de la Ruzizi. Le Burundi possède des terres rares, donc si demain le Rwanda et la RDC sont autorisés à exporter plus de richesses minières vers les États-Unis, le Burundi voudra aussi y trouver son compte, c'est ça ? Oui. Je pense que, dans un deal sur le minerai, il faut prendre en compte tous les acteurs en tant que pays de production mais aussi de traitement, de transit, parce qu'on peut aussi parler par exemple de l'or du Sud-Kivu qui passait par le Burundi. Et qui maintenant passe par le Rwanda ? Oui, et ça, c'est quelque chose qui doit inquiéter le Burundi. Et le Burundi voudrait quand même aussi avoir sa part dans tous ces différents deals miniers. À lire aussiLégislatives au Burundi: le parti au pouvoir rafle la totalité des sièges en jeu à l'Assemblée
Die Suid-Afrikaanse Nasionale Weermag sê die eerste groep soldate, wat na die Demokratiese Republiek van die Kongo ontplooi is, sal môre na die land terugkeer. Hulle was deel van die Suider-Afrikaanse Ontwikkelingsgemeenskap se sending in die DRK. Hul terugkeer volg op die repatriasie van die oorskot van 14 soldate vroeër die jaar, wat tydens botsings met M23-rebelle dood is. Prins Tshabalala van die SANW sê die troepe sal by die Bloemspruit-lugmagbasis in Bloemfontein aankom:
En République démocratique du Congo, le président Félix Tshisekedi s'est entretenu avec l'opposant Martin Fayulu, 72 heures après que ce dernier a lancé un appel au dialogue. Martin Fayulu avait tendu la main au chef de l'État pour tenter de sortir de la crise politique et d'éviter un risque d'embrasement du pays. L'entretien s'est tenu au Palais de la Nation, à Kinshasa.
Chinese President Xi Jinping says dialogue and cooperation are the only correct choice for China and the U.S. during a phone call with U.S. President Donald Trump (1:03). UN Secretary-General Antonio Guterres urges the international community to keep alive the two-state solution amid the humanitarian crisis in Gaza (14:13). Political tensions flare in the Democratic Republic of the Congo as former President Joseph Kabila faces accusations of aiding the M23 rebel group (20:59).
Anfang des Jahres hat die M23 im Ostkongo weite Teile des Landes erobert, seitdem festigt die Miliz mit Gewalt ihre Macht in der Region. Bei dem Konflikt geht es nicht zuletzt um wertvolle Bodenschätze. Die Bevölkerung aber hat nichts davon. Von Antje Diekhans.
Chinese President Xi Jinping underscores dialogue and cooperation to be the only correct choice for China and the U.S. Russia blasts NATO's defense spending boost as adding fuel to the fire in its conflict with Ukraine. Political tensions are flaring in the Democratic Republic of the Congo as former President Joseph Kabila faces accusations of aiding the M23 rebel group.
durée : 00:06:02 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Dans une tribune au journal Le Monde, 75 Prix Nobel demandent à mettre fin à la tragédie congolaise. Trois décennies d'un conflit armé jamais résolu et qui connaît un regain depuis 4 ans. Guerre opposant les forces gouvernementales aux rebelles du mouvement du 23 mars, le M23, soutenu par le Rwanda.
Burundi goes to the polls this Thursday to elect MPs and local councillors. But the election has already been heavily criticised, with many candidates disqualified by the electoral commission – including longtime opposition figure Agathon Rwasa. Burundi is also affected by the conflict in neighbouring DR Congo. More than 71,000 Congolese nationals have fled the fighting between the Congolese army and the Rwanda-backed M23 rebels since January. Many have crossed into Burundi, making this the largest refugee influx the country has seen in decades. The chaos of war has torn families apart, as our regional correspondent reports.
À la Une de la presse, ce mercredi 4 juin, les bombardements israéliens, cette nuit, contre le sud de la Syrie, après des tirs vers Israël, dont Damas nie cependant toute responsabilité. Un grand reportage sur l'exploitation des "forçats du coltan", dans l'est de la RD Congo, aux mains du M23. Le bras de fer entre la France et un éditeur de sites pornographiques. Et un préservatif vieux de 200 ans.
Tras meses de negociaciones, el Gobierno de Uruguay reivindica que la responsabilidad de garantizar el retorno de los soldados de la misión de paz en República Democrática del Congo es de las Naciones Unidas. Los soldados llevan meses pidiendo el relevo y sus familiares están preocupados. RFI habló de este tema con la ministra de Defensa de Uruguay, Sandra Lazo. En enero, 13 miembros de la misión de paz de la ONU para apoyar al ejército congoleño murieron en combates con el grupo rebelde M23. El ataque, que tuvo lugar en los alrededores del aeropuerto de Goma, no solo acabó con la vida del soldado Rodolfo Álvarez, sino que dejó atrapados a los más de 700 militares uruguayos que estaban listos para ser relevados. Tras meses de negociaciones con las autoridades de República Democrática del Congo (RDC) y con su país limítrofe, Ruanda, Uruguay lo tiene claro: es la ONU quien tiene que garantizar la retirada de los soldados.“Es hora de que Naciones Unidas ejerza realmente esa conducción a la hora de que se produzca este retorno. Y después, en un paso siguiente, por supuesto, estaremos evaluando cómo hacemos ese relevo, porque aquí la gente está lista para hacer el relevo, pero también tenemos que tener la seguridad”, explica a RFI la ministra de Defensa de Uruguay, Sandra Lazo.Condiciones de seguridadLos soldados llevan desde enero pidiendo la retirada después de que su estancia en el país centroafricano excediera su acuerdo de un año. Tras meses de espera, la situación de algunos soldados es crítica, por lo que 20 de ellos decidieron regresar por sus propios medios.“El propio contrato con la misión expresa que, por la vía de excepción, quienes tengan problemas sanitarios, problemas que tienen que ver con afecciones de salud mental o con familiares en situación crítica, pueden retornar y se hace cargo Naciones Unidas. Quienes no están en condiciones de seguir, pero no aducen ninguna de estas excepciones, tienen que hacerse cargo de su regreso”, precisa Lazo.Tanto República Democrática del Congo como Uruguay dicen que traerlos lo antes posible es una prioridad. Pero por el momento, no hay ninguna fecha acordada. “Ojalá sea pronto. Yo entiendo que hay algunas cuestiones que tienen que ver fundamentalmente con las condiciones de seguridad que se establecen en un territorio donde las carreteras están destruidas, donde la población está muy afectada, y allí sacar a un contingente en forma segura de 200 personas no es una tarea sencilla. Por lo tanto, ni siquiera quisimos manejar plazos en la nota que mandamos”, indica la ministra.El conflicto, que empezó hace más de tres años, continúa agravando una crisis humanitaria crónica en la región. Según la ONU, 400.000 personas han sido desplazadas por los combates desde principios de enero.
Tras meses de negociaciones, el Gobierno de Uruguay reivindica que la responsabilidad de garantizar el retorno de los soldados de la misión de paz en República Democrática del Congo es de las Naciones Unidas. Los soldados llevan meses pidiendo el relevo y sus familiares están preocupados. RFI habló de este tema con la ministra de Defensa de Uruguay, Sandra Lazo. En enero, 13 miembros de la misión de paz de la ONU para apoyar al ejército congoleño murieron en combates con el grupo rebelde M23. El ataque, que tuvo lugar en los alrededores del aeropuerto de Goma, no solo acabó con la vida del soldado Rodolfo Álvarez, sino que dejó atrapados a los más de 700 militares uruguayos que estaban listos para ser relevados. Tras meses de negociaciones con las autoridades de República Democrática del Congo (RDC) y con su país limítrofe, Ruanda, Uruguay lo tiene claro: es la ONU quien tiene que garantizar la retirada de los soldados.“Es hora de que Naciones Unidas ejerza realmente esa conducción a la hora de que se produzca este retorno. Y después, en un paso siguiente, por supuesto, estaremos evaluando cómo hacemos ese relevo, porque aquí la gente está lista para hacer el relevo, pero también tenemos que tener la seguridad”, explica a RFI la ministra de Defensa de Uruguay, Sandra Lazo.Condiciones de seguridadLos soldados llevan desde enero pidiendo la retirada después de que su estancia en el país centroafricano excediera su acuerdo de un año. Tras meses de espera, la situación de algunos soldados es crítica, por lo que 20 de ellos decidieron regresar por sus propios medios.“El propio contrato con la misión expresa que, por la vía de excepción, quienes tengan problemas sanitarios, problemas que tienen que ver con afecciones de salud mental o con familiares en situación crítica, pueden retornar y se hace cargo Naciones Unidas. Quienes no están en condiciones de seguir, pero no aducen ninguna de estas excepciones, tienen que hacerse cargo de su regreso”, precisa Lazo.Tanto República Democrática del Congo como Uruguay dicen que traerlos lo antes posible es una prioridad. Pero por el momento, no hay ninguna fecha acordada. “Ojalá sea pronto. Yo entiendo que hay algunas cuestiones que tienen que ver fundamentalmente con las condiciones de seguridad que se establecen en un territorio donde las carreteras están destruidas, donde la población está muy afectada, y allí sacar a un contingente en forma segura de 200 personas no es una tarea sencilla. Por lo tanto, ni siquiera quisimos manejar plazos en la nota que mandamos”, indica la ministra.El conflicto, que empezó hace más de tres años, continúa agravando una crisis humanitaria crónica en la región. Según la ONU, 400.000 personas han sido desplazadas por los combates desde principios de enero.
Today, we're bringing you a bonus episode on DR Congo from Crisis Group's The Horn podcast.In this episode, Alan Boswell is joined by Richard Moncrieff, Crisis Group's Great Lakes project director, to discuss the state of the war in the eastern Democratic Republic of Congo. They discuss the extent of the Rwanda-backed M23's territorial gains in eastern Congo and why the group's military advances halted. They discuss Rwanda's motives and objectives, the state of Rwanda-Burundi relations, and Uganda's positioning inside Congo. They also delve into how the crisis has affected President Félix Tshisekedi's grip on power and the re-emergence of former President Joseph Kabila as an opposition figure. Finally, they discuss why the various African peace initiatives lost steam, the new Qatari and American peace efforts, and how to analyse this new era of peacemaking.For more, check out Richard's recent Analyst's Notebook entry “A New Great Lakes Peace Pledge Marks Progress but Questions Remain” and our DR Congo country page. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Au Mali, la justice civile rejette la plainte de plusieurs requérants, dont des hommes politiques qui contestent la décision prise le 13 mai dernier de dissoudre tous les 300 partis politiques que compte le pays. Les requérants affirment vouloir poursuivre le combat pour l'annulation de la décision de la junte de dissoudre les formations politiques .
In jedem Smartphone, Laptop oder Smartwach stecken wertvolle Rohstoffe, wie das Metall Tantal. Viele wertvolle Rohstoffe werden in der Demokratischen Republik Kongo abgebaut: Ein Milliardengeschäft, das seit Jahrzehnten Kämpfe im Ostkongo befeuert - und nicht nur Milizen, wie “M23”, wollen sich daran bereichern, sondern auch das Nachbarland Ruanda. Korrespondentin Antje Diekhans aus dem ARD-Studio Nairobi erzählt in dieser 11KM-Folge von Minen und Macht: Wer profitiert von den Bodenschätzen des Landes? Wie geht die kongolesische Regierung mit den M23-Milizen um, die auf dem Vormarsch sind und wie könnte dieser andauernde Konflikt enden? Hier findet ihr Antjes Radiofeature im Deutschlandfunk über die Herrschaft der M23-Miliz im Ostkongo: https://www.deutschlandfunk.de/konflikt-im-ostkongo-neue-machthaber-mit-besen-und-gewehren-100.html Die 11KM-Folge zur Lage in den Flüchtlingslagern in der DR Kongo findet ihr hier: https://1.ard.de/11KM_Ostkongo_Vergessener_Krieg Und alle aktuellen Entwicklungen in der DR Kongo gibt es auf tagesschau.de https://www.tagesschau.de/thema/kongo Hier geht's zu “Billig bis tödlich – Fälschern auf der Spur”, unserem Mediathek-Tipp: https://1.ard.de/billig-bis-toedlich?ndri An dieser Folge waren beteiligt: Folgenautor: Niklas Münch Mitarbeit: Sebastian Schwarzenböck Host: Victoria Koopmann Produktion: Jacqueline Brzeczek, Timo Lindemann, Marie-Noelle Svihla und Hanna Brünjes Planung: Nicole Dienemann, Christian Schepsmeier und Hardy Funk Distribution: Kerstin Ammermann Redaktionsleitung: Fumiko Lipp und Lena Gürtler 11KM: der tagesschau-Podcast wird produziert von BR24 und NDR Info. Die redaktionelle Verantwortung für diese Episode liegt beim NDR.
Le feuilleton Kabila s'accélère. Après avoir ouvertement critiqué vendredi dernier la personne et l'action de son successeur à la tête de la RDC, Félix Tshisekedi, Joseph Kabila, s'est rendu dans la foulée à Goma. Sa présence sur place a été confirmée lundi.« Joseph Kabila déjà à Goma », s'exclame 7 sur 7. « Goma, sous le contrôle de la rébellion AFC/M23, soutenue par le Rwanda, rappelle le site congolais. Des sources proches de l'ancien président précisent que cette visite s'inscrit dans le cadre de la promesse faite lors de son dernier discours à la population et à la classe sociopolitique congolaise. Les dirigeants de la rébellion AFC/M23 ont également confirmé son arrivée, lui souhaitant un “agréable séjour dans les zones libérées“. »Le vrai patron du M23 ?Pour Le Maximum, autre site congolais, les choses sont claires : « Kabila a franchi le Rubicon : Joseph Kabila a regagné le pays par la ville de Goma, sous occupation rwandaise, après une escale à Kigali. Une transgression irréversible, délibérée et hasardeuse qui laisse sans voix plus d'un observateur, s'exclame Le Maximum. Accusé récemment par son successeur à la tête de l'État d'être “le véritable patron du mouvement rebelle AFC/M23“, il conforte ainsi les spéculations de ceux qui le soupçonnent de complicité dans les incessantes agressions rwandaises du pays de Lumumba. »Et « dans l'opinion, poursuit Le Maximum, nombreux sont les Congolais qui estiment qu'à Goma, Joseph Kabila a purement et simplement rejoint les rangs des supplétifs de l'armée rwandaise, pour en prendre la tête, quoique prétendent ses partisans. Sur les réseaux sociaux, des commentaires vont bon train dans ce sens, certains allant jusqu'à affirmer que sa présence dans les régions sous occupation vise la revitalisation des troupes d'invasion et devrait relancer les hostilités de plus belle. » Avec comme objectif :« retrouver un pouvoir qu'il semble regretter avoir perdu fin 2018. »Une « déclaration de guerre »La presse ouest-africaine partage cette analyse. « Kabila à Goma : un voyage qui vaut déclaration de guerre », affirme L'Observateur Paalga à Ouagadougou qui poursuit : « avec cette visite, les masques sont tombés, et Kinshasa n'a pas d'autres choix que de le traiter comme un ennemi de la République. »« Kabila à Goma : Le pouvoir, y compris par la guerre ! », renchérit Aujourd'hui. « En voulant se présenter sous les oripeaux du sauveur et en voulant biffer d'un trait de plume ses 18 années sanguinolentes au pouvoir, pire, en faisant de moins en moins mystère de ses accointances avec l'AFC-M23, Kabila présente un visage de pyromane et non de faiseur de paix. Surfant sur la guerre à Goma, allumer ce brûlot pour qu'il serve de tremplin pour se remettre dans le jeu politique est d'un cynisme aigu. C'est la marque de fabrique d'un Néron tropical ! »La diplomatie en berne…Et par voie de conséquence, le conflit dans l'est de la RDC n'est pas près de se régler. C'est ce que constate Le Monde Afrique : « la présence de Kabila à Goma, dans le cœur battant d'une rébellion soutenue par le Rwanda, voisin élevé au rang d'ennemi numéro 1 par Kinshasa, augure mal de la tenue d'un large dialogue destiné à régler le conflit dans l'est du pays. Il y a quelques mois, le président Tshisekedi appelait pourtant l'opposition politique à l'union nationale. Cela ne semble plus d'actualité. (…) Sans option politique interne à son pays, le chef de l'État congolais semble également à court de solution diplomatique internationale, pointe encore Le Monde Afrique. “Les différents processus [Luanda, Nairobi, Washington, Doha…] menés en parallèle apportent plus de confusion qu'ils ne participent à ce jour à la recherche d'une solution durable“, confie, sceptique, un diplomate européen. »Quant à « la rencontre surprise des présidents congolais Félix Tshisekedi et rwandais Paul Kagame mi-avril à Doha, elle a fait long feu. »Alors, reste l'option militaire. Mais, précise Le Monde Afrique, « rien n'indique non plus que Kinshasa soit en mesure de reprendre la main dans les deux provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. (…) Rien n'indique que les FARDC, chassées sans gloire des positions qu'elles tenaient, soient en mesure de reprendre le terrain perdu. (…) Pourtant, s'étonne un diplomate occidental, “malgré ses échecs militaires cuisants, Félix Tshisekedi semble toujours parier sur une solution de force“. »
Good afternoon, I'm _____ with today's episode of EZ News. Tai-Ex opening The Tai-Ex opened down 45-points this morning from yesterday's close, at 21,492 on turnover of $2.9-billion N-T. Taiwan-China interactions continue despite stalled talks: MAC head Mainland Affairs Council head Chiu Chui-cheng says Taiwan and China still maintain some level of interaction, even though official dialogue has stalled. In an interview,Chiu said interactions with China are being carried out in line with the Act Governing Relations between the People of the Taiwan Area and the Mainland Area. Chiu acknowledged that maintaining "normal dialogue" is currently difficult because Taiwan will never accept China's demand to treat the "1992 Consensus," based on the "One China principle," as a precondition (前提). Nevertheless, Chiu said some interaction continues between the MAC and China's Taiwan Affairs Office, as well as between the semi-official SEF and its Chinese counterpart, the Beijing-based Association for Relations Across the Taiwan Straits. Chiu also says individuals across the Strait, including Taiwanese businesspeople, scholars and journalists, frequently travel between the two sides and share information. World Masters Games' closing ceremony The closing ceremony of the 2025 World Masters Games will take place on the evening of May 30 at the New Taipei City Art Museum, featuring a star-studded lineup and spectacular visuals. New Taipei officials said the ceremony will begin at 7:00 p.m. and blend music, light, and live performances. To complement (為…增色) the artistic setting, the outdoor area will feature four major art installations highlighting the magic of light. And a 4.5-minute fireworks display will also light up the night sky, with popular band Energy headlining the event with a 20-minute finale performance. EU Trade Negotiator on US Talks A European Union official says he has had good trade talks with the Trump administration. AP correspondent Mike Hempen reports Amnesty Accuses M23 Rebels of War Crimes Human rights group Amnesty International accused the M23 rebels in eastern Congo of killing, torturing and forcibly disappearing civilian detainees in two rebel-controlled cities. Amnesty says “these acts violate (違反) international humanitarian law and may amount to war crimes.” The decades-long conflict in eastern Congo escalated in January. The Rwanda-backed M23 advanced and seized the strategic city of Goma in North Kivu province followed by Bukavu in February. Amnesty said that between February and April it interviewed 18 civilians who had been unlawfully detained by M23. They reported suffering brutal beatings and harsh detention conditions while their relatives were denied access to the detention sites. Canada King Charles Visit Britain's King Charles III has arrived in Ottawa on a visit that Canada's leader says will underscore (強調) his nation's sovereignty. The king and Queen Camilla were greeted at the airport by Mark Carney, Canada's new prime minister, along with Canada's first Indigenous governor general, Mary Simon. Aside from meeting privately with Carney, the king is scheduled to deliver the speech from the throne, which outlines the government's agenda for the new Parliament. The king is the head of state in Canada, which is a member of the British Commonwealth of former colonies. King Charles will return to the U.K. after today's speech and a visit to Canada's National War Memorial. That was the I.C.R.T. EZ News, I'm _____. ----以下訊息由 SoundOn 動態廣告贊助商提供---- 【台灣虎航 台中獨家直飛名古屋】 開航價$2,399元起,中台灣虎迷每週3班直飛名古屋,說走就走! 立即訂購:https://sofm.pse.is/7neb2p -- 你不理財,財不理你!想學理財,玉山罩你! 玉山銀行全新Podcast節目《玉山學堂》 帶你深入淺出掌握每週市場脈動! 還有知名主持人蔡尚樺領銜的跨世代對談, 從不同的角度打好理財基本功! 現在就點擊連結收聽
En RD Congo, le Sénat a voté, à la majorité, la levée des immunités parlementaires de Joseph Kabila, ouvrant la voie à des poursuites judiciaires. L'ancien président est accusé de trahison et de complicité avec l'AFC/M23..Ce vote des sénateurs a donné lieu à de nombreuses réactions..
In this episode of The Horn, Alan Boswell is joined by Richard Moncrieff, Crisis Group's Great Lakes project director, to discuss the state of the war in the eastern Democratic Republic of Congo. They discuss the extent of the Rwanda-backed M23's territorial gains in eastern Congo and why the group's military advances halted. They discuss Rwanda's motives and objectives, the state of Rwanda-Burundi relations, and Uganda's positioning inside Congo. They also delve into how the crisis has affected President Félix Tshisekedi's grip on power and the re-emergence of former President Joseph Kabila as an opposition figure. Finally, they discuss why the various African peace initiatives lost steam, the new Qatari and American peace efforts, and how to analyse this new era of peacemaking.For more, check out Richard's recent Analyst's Notebook entry “A New Great Lakes Peace Pledge Marks Progress but Questions Remain” and our DR Congo country page. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
L'ancien président congolais, désormais sénateur à vie, est convoqué par ses pairs ce mardi à Kinshasa dans le cadre d'une commission spéciale chargée d'examiner et de statuer sur la levée de son immunité parlementaire. Sera-t-il présent ? Rien n'est moins sûr…En tout cas, « la commission spéciale du Sénat en marche ! », s'exclame Objectif Infos. « Cette commission spéciale, qui doit examiner ce dossier d'une complexité sans précédent, doit soumettre prochainement les résultats de ses travaux aux sénateurs réunis en plénière. (…) L'opposition, qui a manifesté sa désapprobation quant à la démarche initiée, va quand même prendre part à ces travaux. Elle dénonce notamment la violation de la procédure enclenchée. (…) Joseph Kabila, qui a passé 18 ans à la tête de la République démocratique du Congo, est notamment accusé d'être proche avec la rébellion du M23. »Pour leur part, pointe 7 sur 7, autre site congolais, « les partisans de Kabila contestent les faits qui lui sont reprochés et accusent, à leur tour, le président Tshisekedi de chercher un bouc-émissaire pour justifier sa gestion. »Comment en est-on arrivé là ?Jeune Afrique reprend le fil des événements… Joseph Kabila, ces dernières années, se faisait plutôt discret depuis l'Afrique du Sud, où il vivait en exil. Ce jusqu'en février dernier. Il publie alors une tribune dans le journal sud-africain The Sunday Times, dans laquelle il critique vertement le président Tshisekedi. « Une tribune qui déplait fortement aux autorités congolaises, pointe Jeune Afrique, qui voient dans ses propos la légitimation de la rébellion de l'AFC/M23. »Arrive ensuite l'affaire du vrai-faux déplacement à Goma, ville aux mains des rebelles. Mi-avril, de nombreux médias, alimentés par l'entourage de l'ancien président congolais, annoncent que Joseph Kabila est à Goma pour rencontrer les dirigeants du M23. Finalement, fausse nouvelle… « Joseph Kabila a-t-il renoncé au dernier moment ?, s'interroge Jeune Afrique. Voulait-il vraiment aller dans la capitale du Nord-Kivu ou seulement laisser croire qu'il allait le faire pour observer les réactions du gouvernement, tel un ballon d'essai ? Quoi qu'il en soit, le gouvernement a vite saisi la perche. Dès le lendemain de la supposée arrivée de Kabila à Goma, le ministère congolais de l'Intérieur suspendait le Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie, formation dont il est “l'autorité morale“. »Sans doute pas là…En fait, poursuit le site panafricain, « même si Joseph Kabila ne s'est jamais rendu à Goma, c'est l'annonce de son retour qui a agacé le pouvoir. “Quand il a dit ça, tout le monde était aux aguets“, affirme un sénateur cité par Jeune Afrique, qui préfère rester anonyme. “Était-ce bien nécessaire, poursuit-il, d'annoncer qu'il rentrait par la partie du pays où il y a des problèmes ?“ »En tout cas, croit encore savoir Jeune Afrique, Kabila ne sera pas à Kinshasa aujourd'hui… « C'est en son absence que les sénateurs risquent de décider de la levée de son immunité cette semaine. La commission spéciale, composée exclusivement de membres de la majorité présidentielle, doit remettre son rapport d'ici demain mercredi et le soumettre au vote du Sénat. »Encore plus d'instabilité ?Reste que « cette affaire provoque une onde de choc dans l'opinion publique congolaise, relève Afrik.com. Des voix s'élèvent pour réclamer la transparence, à commencer par les défenseurs des droits humains. Jean-Claude Katende, président de l'Association congolaise de défense des droits de l'homme, regrette le huis clos des débats et appelle à la publication des preuves. Pour de nombreux Congolais, cette enquête pourrait marquer un tournant dans la lutte contre l'impunité des anciens dirigeants. Mais elle pose aussi un risque d'instabilité, dans un pays où les équilibres politiques restent fragiles. »Enfin, WakatSéra au Burkina s'interroge : « l'entreprise de Félix Tshisekedi de vouloir mettre à l'ombre celui qui lui avait offert le pouvoir sur un plateau d'argent n'est-elle pas à haut risque dans le climat militaro-socio-politique, déjà bien vicié et explosif, en raison de la guerre qu'impose l'AFC/M23 de Corneille Nangaa, avec le soutien du Rwanda ? Est-ce véritablement le moment propice pour le pouvoir congolais d'ouvrir un autre front ? Quelles seront les conséquences de ce harcèlement contre Joseph Kabila, alors que le facilitateur de l'Union africaine, le Togolais Faure Gnassingbé, les médiateurs de la sous-région et le Qatar sont engagés dans une course contre la montre pour essayer de ramener la paix en RDC ? »
Les experts et journalistes de RFI répondent aussi à vos questions sur la condamnation de l'ancien président mauritanien, des propos polémiques du président William Ruto et le rapprochement entre les États-Unis et le Rwanda. RDC : nouvel appel d'offres pour les blocs pétroliers Après l'échec de l'appel d'offres lancé en 2022, le gouvernement congolais vient d'ouvrir à l'exploration de 55 nouveaux blocs pétroliers. À l'époque, pourquoi les investisseurs avaient-ils été réticents ? Que proposent les autorités pour concilier exploitation pétrolière et prise en compte des enjeux environnementaux ?Avec Paulina Zidi, correspondante de RFI à Kinshasa.Mauritanie : 15 ans de prison pour l'ancien président Condamné en première instance à cinq ans de prison ferme pour enrichissement illicite, l'ex-président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz a vu sa peine s'alourdir à quinze ans de prison lors de son procès en appel. Comment expliquer ce verdict plus sévère ? Quelles sont les chances que la peine soit réduite en cassation ? Avec Léa-Lisa Westerhoff, correspondante permanente de RFI à Dakar.Kenya : polémique après les déclarations du président sur les enlèvements politiques William Ruto affirme que les militants enlevés lors des manifestations antigouvernementales de ces derniers mois ont été rendus à leurs familles. Lors de la mobilisation contre la loi de finance, des dizaines de personnes avaient disparu dans des circonstances mystérieuses. Y a-t-il des preuves qui confirment les propos du chef de l'État ? Comment expliquer ces disparitions alors que William Ruto avait promis de mettre fin aux enlèvements politiques ? Avec Gaëlle Laleix, correspondante permanente de RFI à Nairobi.États-Unis/Rwanda : signature d'un accord inédit sur l'étain Le groupe minier Trinity Metals a signé une lettre d'intention avec la société américaine Nathan Trotter afin de créer une chaîne d'approvisionnement d'étain vers les États-Unis. Pourtant, Donald Trump a appelé le gouvernement rwandais à cesser tout soutien aux rebelles du M23. Comment expliquer ce rapprochement entre Washington et Kigali ? Avec Bob Kabamba, professeur de Sciences politiques à l'Université de Liège.
En RD Congo, plus de 300 civils ont été expulsés de Goma vers le Rwanda. Le M23, qui a pris la ville il y a quelques mois, affirme que ces personnes sont des Rwandais en situation irrégulière. La plupart vivait à Karenga, fief des FDLR, opposées au groupe rebelle.
En RD Congo, plus de 1300 militaires et policiers congolais ont été évacués de Goma vers Kinshasa. Ces militaires et policiers étaient bloqués dans la base de la Monusco à Goma depuis plus de trois mois où ils s'étaient réfugiés après la prise de la ville par les rebelles.
Good afternoon, I'm _____ with today's episode of EZ News. Tai-Ex opening The Tai-Ex opened up 1.6-points this morning from yesterday's close, at 21,732 on turnover of $3.5-billion N-T. MAC ban two Chinese nationals from World Masters Games The Mainland Affairs Council has denied two Chinese nationals registered for the upcoming World Masters Games entry onto Taiwan - citing concerns that they intended to disrupt the event with political messages. According to the council spokesperson Liang Wen-chieh, his office received reports of such planned actions from members of the public here in Taiwan, who have said some Chinese participants plan to use the event to push political agendas. Liang says the two banned individuals are suspected of planning to display the Chinese national flag and advocate (主張、提倡) for unification with Taiwan by force - and as such, his office had no choice but to reject their entry. However, the council spokesman also says that despite the two athletes being denied entry, it has approved entry permits for 371 other Chinese nationals to take part in the Games. The World Masters Games begins tomorrow in Taipei and New Taipei. US judge dismisses charges against migrants caught in military zone A federal judge has dismissed charges against nearly 100 migrants arrested for trespassing (非法侵入) on a newly declared US military zone on the border of the state of New Mexico. The ruling adds to the growing legal uncertainty surrounding President Trump's expansion (擴張) of military authority at the southern border. Ira Spitzer reports. Congo Soldiers Transferred to Goma Over a thousand disarmed Congolese soldiers and police officers, along with their families have safely been transferred from the rebel-controlled city of Goma in eastern Congo to the capital Kinshasa over the last two weeks. On Thursday, the International Committee of the Red Cross said it helped escort the 1,359 disarmed members of the government forces. The soldiers and police officers had been taking refuge at a United Nations base since January, when the decades-long conflict in eastern Congo escalated (加劇) as the Rwanda-backed M23 rebels seized the strategic Goma. The news of the successful transfer comes amid persistent tensions in eastern Congo, where fighting between Congo's army and M23 continues. Pope Meets with Greek Church Head Pope Leo XIV has met at the Vatican with the head of the Greek Catholic Church in Ukraine. It was one of his first audiences as pontiff that reaffirmed his appeal (上訴) for a peaceful, negotiated end to Russia's war. His Beatitude Sviatoslav Shevchuk said he invited Leo to visit Ukraine and presented the pope with a list of prisoners held by Russia. The Vatican under Pope Francis had worked for prisoner exchanges, as well as for the return of Ukrainian children taken to live in Russian-occupied territories. The Vatican didn't release any statement after the audience, one of the first private audiences held by Leo since his election May 8. That was the I.C.R.T. EZ News, I'm _____. ----以下訊息由 SoundOn 動態廣告贊助商提供----
Les militaires au pouvoir au Mali a annoncé la dissolution "des partis politiques et des organisations à caractère politique" dans un décret présidentiel lu à la télévision nationale, une décision redoutée depuis plusieurs semaines par les partis d'opposition. Kadida Fofana, ancienne conseillère municipale et militante est notre invitée.
Quel est le vrai bilan de la bataille de Goma, en janvier dernier, dans l'est de la RDC ? Trois mois après la prise de cette ville par les rebelles du M23, où en est la situation humanitaire ? Patrick Youssef est le directeur régional pour l'Afrique du Comité International de la Croix Rouge (CICR). De retour d'une mission en RDC, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Quelque 100 jours après la prise de Goma par le M23, est-ce que la situation humanitaire est toujours aussi grave ou est-ce que les choses s'améliorent ? Patrick Youssef : la situation se stabilise de plus en plus. Évidemment, les bombardements et la conduite des hostilités ne sont plus à la même cadence à Goma et ailleurs. Mais la crainte, effectivement, que ça se dégrade encore est bien sûr sur la table.À la fin du mois de janvier, la ville de Goma est tombée après plusieurs jours de combats qui ont fait 3000 morts selon l'ONU et 600 morts selon les rebelles du M23. Quel est le vrai bilan d'après vous ? Ce que nous pouvons dire, c'est que nos équipes sur le terrain ont été témoin des conséquences humanitaires de ce conflit, que ce soient les morts, les blessés. Je pense que je n'ai jamais entendu un constat aussi dur de la part de nos collègues, ainsi que des volontaires de la Croix-Rouge de la RDC, qui nous ont raconté l'exploit et la difficulté de récolter les dépouilles mortelles et d'enterrer plus que 1000 corps. Donc, je ne connais pas les chiffres, mais les hôpitaux étaient déjà bien saturés et certainement les morgues ont suivi. Donc, je confirme que les chiffres sont très très difficiles à avoir à ce stade.Mais en tout cas, au moins 1000 corps ont été ramassés dans les rues de Goma ? Beaucoup plus, je pense. C'était juste cette action-là. Mais je n'ai pas les chiffres, bien sûr.Les personnes tuées à Goma sont des combattants, a affirmé le M23. Qu'en pensez-vous ? Évidemment, il y a des morts et des blessés dans les rangs des militaires, mais aussi des civils. Le nombre de blessés accueillis dans les établissements médicaux soutenus par le CICR a explosé sous ce flux massif. On entend de nos collègues que les bandages étaient coupés en trois. Les médicaments administrés dans le bloc opératoire étaient réduits. Le premier trimestre 2024 avait été marqué par d'intenses combats dans l'Est de la RDC. On avait 860 patients admis. Mais en 2025, ces chiffres ont explosé. Il y a eu trois fois plus d'admissions, autour de 2350 patients dans les quatre centres de soins de santé soutenus par le CICR.En mars dernier, à Goma, quelques 130 soldats congolais qui avaient été blessés dans les combats auraient été arrachés de leurs lits d'hôpital par le M23, disent les Nations unies. Est-ce que vous confirmez ? En fait, le rôle du CICR se limite vraiment à appuyer les structures qui offrent des soins nécessaires dont les blessés ont besoin. Bien sûr, cet événement est tragique. Le CICR n'a aucune manière de contrôler l'accès aux hôpitaux qu'il soutient avec des équipes chirurgicales. Nos équipes médicales sont là pour fournir simplement des soins aux patients, mais n'ont pas les moyens d'empêcher effectivement le transfert des blessés ou de leur garde-malade.Est-ce que vous avez des nouvelles de ces quelques 130 soldats congolais disparus ? C'est toujours un dialogue en cours effectivement avec les parties concernées. Comme vous le savez, c'est le cœur de notre travail. C'est le but d'engager un dialogue pour effectivement que ces violations ne se répètent pas.Depuis sa création, il y a bientôt 200 ans, en 1864, la Croix-Rouge s'occupe aussi des prisonniers de guerre. Est-ce que vous avez pu en visiter beaucoup depuis le début de l'année ? Oui, effectivement. Je confirme que cette action est très importante pour le CICR en termes d'accès et en termes de visites répétées par le CICR. C'est d'ailleurs un des sujets qui a été abordé par la présidente du Comité international de la Croix-Rouge lors de sa visite récente à Kinshasa, pour effectivement non seulement améliorer l'accès, mais effectivement travailler avec les autorités pour l'amélioration des conditions. Nous avons vraiment un espoir, s'il y a d'autres arrestations, que le CICR soit effectivement informé et que cette action puisse être accomplie.Depuis la prise de Goma au mois de janvier, des centaines de militaires congolais, mais aussi burundais, ont été capturés par les rebelles du M23, notamment à Goma et à Saké. Est-ce que vous avez de leurs nouvelles ? Ce n'est pas forcément opportun pour nous de parler de notre action publiquement. Ce qu'on peut dire, c'est que c'est une question extrêmement sensible. On y travaille. De manière générale, on a accès à plein de détenus. Dans ce cas, on y travaille encore. Donc, on a ce dialogue avec l'ensemble des parties et on espère effectivement que l'accès, qui n'est pas encore à un niveau satisfaisant, continue à s'améliorer, comme il y a déjà eu du progrès récemment.Et donc, vous avez pu rassurer des familles de prisonniers ? À chaque fois que nous rencontrons un prisonnier, que nous proposons les services de messages Croix-Rouge, effectivement, on avise effectivement les familles et, dans ce cas précis, on a eu énormément de contacts justement avec, que ça soit des détenus ou des membres de famille, selon les visites, bien sûr !Des familles congolaises ?Oui, bien sûr !Et des familles burundaises ?Je n'ai pas cette information.À lire aussiEst de la RDC: «Plus de 900 corps ont été enterrés par la Croix-Rouge et le CICR»
« François Bayrou au pied du mur de l'affaire Bétharram », titre le Parisien-Dimanche. « Le Premier ministre a préparé en cercle restreint un rendez-vous crucial : son audition, mercredi, par la Commission d'enquête sur les violences dans les établissements scolaires. L'enjeu est considérable », remarque le journal.Bétharram, c'est cette école privée catholique qui fait face à de nombreuses plaintes et accusations pour violences et agressions sexuelles à partir des années 1980 et 1990. Le Parisien-Dimanche rappelle le contexte : « François Bayrou était ministre de l'Éducation nationale entre 1993 et 1997 et parent d'élèves scolarisés dans cet établissement où son épouse enseignait le catéchisme. Il aura d'autant moins le droit à l'erreur qu'il s'exprimera sous serment ». Le Nouvel Obs, qui consacre sa Une à l'affaire Bétharram et au Premier ministre, dit la même chose, mais plus crûment : ce sera pour François Bayrou, « l'occasion de livrer ses vérités. Espérons qu'il ait la décence de la saisir, alors qu'il s'est jusqu'ici enferré dans le déni et le mensonge ». « Le 11 février, à l'Assemblée nationale, rappelle le Parisien-Dimanche, François Bayrou a d'abord nié en bloc, assurant n'être au courant de rien, avant de changer de version par la suite. » Les plaintes s'accumulentLe Nouvel Obs, de son côté, a décidé d'élargir le sujet. Pour l'hebdomadaire, « l'affaire Bétharram est une bombe à fragmentation ». Elle nous oblige, nous dit-on, « à regarder en face le caractère endémique des violences faites aux enfants, dans les familles, mais pas seulement »car « l'école n'est pas toujours un sanctuaire pour nos enfants ».Et le Nouvel Obs dresse ce constat : « l'enseignement catholique est au cœur des dernières révélations. Pratiques déviantes, faiblesse des contrôles de l'état, voire protection de l'institution par des élites qui en sont souvent issues ». L'hebdomadaire parle donc de « bombe à fragmentation » et précise encore que « depuis février, de nouveaux cas d'établissements déviants apparaissent chaque semaine, des plaintes s'accumulent – pas moins de 200 pour Bétharram – et des affaires tues pendant des décennies font la Une des journaux. » « Aucun responsable politique local ne décroche son téléphone »De son côté, la Tribune-Dimanche a rencontré l'une des victimes de Bétharram, leur porte-parole Alain Esquerre. Il est l'auteur du livre Le Silence de Bétharram et il est, nous dit le journal, « le visage de tous ceux qui ont souffert dans ce qui s'apparente aujourd'hui à l'un des plus grands scandales de pédophilie de l'histoire de l'éducation française ». C'est lui qui a recueilli sur un groupe Facebook des dizaines de témoignages.« Aux appels d'anciens élèves, raconte la Tribune-Dimanche, succèdent ceux de la presse régionale qui commence à relater le scandale. Dans les familles, chacun découvre ce que son père, son frère, son mari a vécu dans son enfance », sans avoir jamais osé le raconter. Malgré ces témoignages, « aucun responsable politique local, tous bords politiques confondus, ne décroche son téléphone ». « On est seul, tout le monde s'en fout », constate Alain Esquerre, jusqu'à ce que le premier ministre lui-même décroche son téléphone. « Je le sens dépassé », dit-il. « Il est sincère, mais il est le reflet d'une époque qui ne comprend pas (…) Pour lui, c'est une histoire de gifles et de punitions qui ne font pas de mal aux enfants ».Des « creuseurs » des mines payés 5 dollars par jour en RDCDans la presse hebdomadaire également cette semaine, un long reportage du Point sur la République démocratique du Congo, plus précisément dans le Nord-Kivu, où les envoyés spéciaux du magazine Guillaume Perrier et Vivien Latour ont rencontré des « creuseurs » des mines de Rubaya. « Sommairement équipés, ils descendent en escalier, armés de pioches, ils font ensuite remonter le sable et le minerai en se passant des sacs de main en main. Les visages sont juvéniles (…) les éboulements sont leur hantise. » Un travail harassant « payé 5 dollars par jour ».La région est riche en minerai et notamment en coltan, et elle est depuis longtemps la cible de nombreuses convoitises, qui se concrétisent par des affrontements armés. « Le président de la RDC, Félix Tshisékédi, rappelle le Point, accuse le M23 de chercher à s'approprier les ressources du Kivu : 150 tonnes de coltan seraient, selon lui, détournées vers le Rwanda chaque mois. Kigali dément ».Calme relatifÀ Goma, le Point a rencontré Corneille Nangaa, le chef de l'Alliance Fleuve Congo, coalition formée autour du M23. « Il incarne le nouveau pouvoir », explique le magazine. Et lui aussi accuse : « Il avait acquis des titres miniers sur le gisement d'or de Zani-Kodo, en Ituri. Des proches du président Tshisekedi l'en auraient spolié après 2021 », explique le Point, qui décrit ainsi la situation depuis la fin des combats : « Goma reprend vie. Le port sur le lac Kivu retrouve son agitation vespérale (…) mais les combats de la fin janvier ont laissé des traces. Les violences ont fait entre 3 000 et 8 000 morts, selon les estimations. »Et la sérénité n'est pas vraiment à l'ordre du jour. Certains habitants se plaignent d'être « rackettés par des membres de l'armée gouvernementale en civil ». « La guerre n'est pas terminée », regrette l'un de ces habitants.
En RDC, l'opposant Martin Fayulu ne réclame plus le départ du pouvoir de Félix Tshisekedi et se dit même d'accord pour faire équipe avec lui à certaines conditions. À la présidentielle de 2018, il avait crié au hold-up électoral après la victoire officielle de Félix Tshisekedi. Mais aujourd'hui, il change de stratégie. Le 1er mai dernier, avec les autres opposants Joseph Kabila, Moïse Katumbi et Delly Sesanga, Martin Fayulu a signé une déclaration commune en faveur d'un dialogue national pour résoudre la guerre dans l'est du pays. De passage à Paris, le président du parti de l'Engagement pour la citoyenneté et le développement (Ecidé) et de la plate-forme Lamuka répond à Christophe Boisbouvier. RFI : Les ministres des Affaires étrangères du Congo et du Rwanda doivent finaliser d'ici à deux semaines un projet d'accord de paix. Puis, les présidents Félix Tshisekedi et Paul Kagame doivent se retrouver le mois prochain dans le bureau de Donald Trump à la Maison Blanche pour signer la paix. Est-ce que votre déclaration commune, ce n'est pas une façon de dire « ne nous oubliez pas, nous aussi, on existe ? »Martin Fayulu : Non, notre déclaration, c'est de dire qu'avant de signer cet accord, il faut que les Congolais se parlent et trouvent des solutions à la crise qui sévit au Congo. Tout accord, toute discussion tendant à aider le Congo à avoir la paix et la sécurité, nous sommes d'accord. Mais nous disons qu'on ne peut pas signer un accord sans que les Congolais se mettent ensemble dans ce que nous appelons la cohésion nationale.Mais si jamais les pourparlers avancent à Washington, si jamais il y a cet accord de paix le mois prochain à la Maison Blanche, qu'est-ce que vous allez faire ?Nous pensons que c'est quelque chose qui ne marchera pas. Tant que la plaie n'est pas soignée de fond en comble, on ne pourra pas avoir la paix. Et c'est pour cela que nous disons que nous ne sommes pas contre Washington. Nous ne sommes pas contre Doha, nous ne sommes pas contre l'Union africaine. Mais les solutions aux problèmes du Congo doivent d'abord venir du Congo.Alors, ce qui frappe dans votre déclaration commune du 1ᵉʳ mai, c'est de vous voir signer, Martin Fayulu, un document avec votre pire ennemi, Joseph Kabila, que vous accusez de vous avoir volé la victoire en 2018. Pourquoi cette volte-face ?Je l'ai accusé d'avoir fabriqué les résultats et d'avoir proclamé Tshisekedi parce qu'ils ont signé ce qu'on a appelé un compromis à l'africaine. Mais ce n'est pas mon ennemi. Moi, je n'ai pas d'ennemi. Et moi, j'ai signé avec Kabila comme demain je pourrais signer avec Tshisekedi pour sauver le Congo.Donc, ce que vous appelez le grand hold-up électoral de 2018, vous oubliez tout, vous pardonnez, c'est terminé ?Mais vous savez, on ne peut pas oublier. Ça existe. Mais maintenant, qu'est-ce que vous voulez que je continue à ressasser ça à longueur de journée, d'année en année ? Non, je dis que c'est une expérience. C'est pour cela que j'ai proposé cette réunion de vérité, réconciliation et cohésion nationale. On ne peut pas oublier ce qui s'est passé. Mais sur la base de ce qui s'est passé, nous pouvons construire l'avenir en toute sérénité.Dans votre déclaration commune, vous parlez de la guerre à l'est de votre pays, sans jamais citer le Rwanda. Pourquoi refusez-vous de nommer un pays que toute la communauté internationale désigne comme le principal soutien militaire des rebelles du M23 ?Oui, on ne le cite pas simplement parce que ce n'est pas l'objectif poursuivi. Cette déclaration avait pour objectif de dire aux amis de Washington et de Doha : « ce que vous faites, c'est bien, mais s'il vous plaît, faites attention, il y a des préalables ».Mais vous ne citez pas le Rwanda parce que Joseph Kabila a mis son veto ?Non, non, on n'a pas pensé à ça. On n'a pas pensé à citer un pays et nous savons ce que le Rwanda veut dans notre pays. On sait que le Rwanda veut les richesses du Congo et exploiter les ressources. Ça, on le dit et on le répétera.Depuis quelques semaines, le président Tshisekedi appelle l'opposition à rentrer dans un gouvernement d'union nationale. À quelles conditions pourriez-vous accepter un tel gouvernement ?On ne peut pas répondre à cette préoccupation de Félix Tshisekedi, parce que nous pensons que d'abord, il faut que les Congolais se mettent autour d'une table, autour des évêques catholiques et des pasteurs protestants, pour d'abord aller dans le fond sur les causes profondes de notre crise. Donc, on ne met pas la charrue avant les bœufs.Et si demain, il y a un dialogue national, et s'il aboutit... Est-ce que vous seriez prêts à faire équipe avec le président Tshisekedi ?Je suis Congolais, il est Congolais. J'accepterai les résolutions qui sortiront de ce dialogue parce que j'y contribuerai.Alors comme vous, les évêques de la CENCO et les pasteurs de l'ECC appellent à ce dialogue national, mais ils disent aussi vouloir respecter le mandat du président Tshisekedi jusqu'à la fin de celui-ci, c'est-à-dire jusqu'en 2028. Est-ce que vous êtes d'accord avec eux ou pas ?Écoutez, de fait, il est là ! Est-ce qu'il faudrait aller poser la condition qu'il doit partir avant de commencer la réunion ? Je ne pense pas. Je pense qu'il faut avoir des élections saines, crédibles en 2028. Il peut continuer à gérer le pouvoir.À lire aussiConflit dans l'est de la RDC: un avant-projet d'accord de paix attendu ce vendredi à Washington
Connecting with a human face behind the headlines can bring news home. In today's Daily, you'll meet the family trying to rebuild after being driven from its village last year by M23 rebels in the Democratic Republic of Congo. Our stories also cover Canada's leverage in US trade talks, a woman who never made it past fifth grade running a roadside library, and a Chicago crossing guard marking 50 years. Join the Monitor's Amelia Newcomb for today's news.
Les experts et journalistes de RFI répondent aussi à vos questions sur les bombardements israéliens à Damas et les accusations de haute trahison à l'encontre de Joseph Kabila. Ukraine/États-Unis : que sait-on de l'accord sur les minerais ? Après de longues négociations, les États-Unis et l'Ukraine ont signé un accord sur l'exploitation des ressources naturelles ukrainiennes. De quelles richesses minières parle-t-on ? Cet accord est-il «gagnant-gagnant» ? Comment réagit la population ukrainienne ?Avec Kseniya Zhornokley, journaliste spécialisée pour la rédaction ukrainienne de RFI. Syrie : pourquoi Israël prend la défense de la communauté druze ? En représailles aux violents affrontements confessionnels prenant pour cible les druzes dans la banlieue de Damas, Israël a bombardé vendredi autour du palais présidentiel. Pourquoi l'État hébreu se positionne-t-il en protecteur de cette communauté ? Quels sont leurs liens ? Quelle est l'origine de ces violences religieuses ?Avec Pierre Olivier, journaliste au service international de RFI. RDC : Joseph Kabila pourrait-il perdre son immunité ? Soupçonné de liens avec l'Alliance Fleuve Congo, la branche politique du M23, l'ancien président Joseph Kabila est accusé de haute trahison. Le Sénat a été saisi pour demander la levée de son immunité. Des preuves ont-elles été présentées pour étayer cette accusation ? Quelles sont les prochaines étapes du processus de levée d'immunité ? Avec Bob Kabamba, professeur de Sciences politiques à l'Université de Liège.
Gaza's health system nears collapse as UNRWA issues urgent alarm Gaza's healthcare is on the brink, warns the UN Relief and Works Agency for Palestine Refugees. The agency says one-third of vital medical supplies are gone, with another third vanishing fast—blaming Israel's siege and relentless bombardment. Commissioner-General Philippe Lazzarini grimly cautions that the blockade risks silently killing more women and children beyond the bombs. Israel's military invasion in Gaza has killed over fifty-two thousand four hundred Palestinians since October 2023, while Tel Aviv faces genocide charges at the International Court of Justice. Yemeni Houthis target Tel Aviv airport with hypersonic missile strike Yemeni Houthis said they have launched a hypersonic ballistic missile targeting Ben Gurion Airport in Tel Aviv, warning international airlines of the airport's unsafe conditions. Houthi spokesman Yahya Saree confirmed the missile hit the target, and another struck Ashkelon. Israeli authorities suspended flights at the airport after a missile landed near Terminal 3, injuring six people. Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu vowed retaliation against the Houthis and their Iranian backers. In response, US warplanes conducted airstrikes on Houthi positions in Yemen. Romania's presidential election heads to a second round Romania will proceed to a second round of presidential elections on May 18, following the failure of any candidate to secure the required 50+1 percent majority in the first round. Far-right George Simion led with over 40.2 percent of the vote, based on results from over 98 percent of ballots. He was followed by Bucharest Mayor Nicusor Dan, who garnered 20.8 percent, and Crin Antonescu of the Social Democratic Party, who earned nearly 20.5 percent. The first-round victory of pro-Russian candidate Calin Gorgescu was annulled in November 2024 following allegations of electoral violations and Russian interference, which Moscow has denied. Simion emerged to replace Gorgescu after his ban from the new race. Fighting in eastern DRC escalates as rebels take key town M23 rebels and allies seized Lunyasenge, a strategic fishing town on Lake Edward's west coast in eastern Democratic Republic of Congo, after deadly clashes with the army that left 17 dead, including seven soldiers. The Congolese military condemned the assault as a blatant ceasefire violation. As rebels advance in North Kivu, Kinshasa warns of retaliation. Rwanda faces renewed accusations of backing M23, amid ongoing peace talks in Doha and Washington. Kigali denies any involvement. Trump imposes full tariff on non-US movies President Donald Trump has announced plans to impose a 100 percent tariff on foreign-made films, claiming Hollywood of being ""devastated"" as US filmmakers turn to other countries for production incentives. The decision, shared via Truth Social media platform, follows criticism of his aggressive trade policies. While the full impact on the movie industry remains unclear, Trump insists it's a matter of national security. Meanwhile, talks with China and other nations on trade deals continue, with potential agreements on the horizon.
ORIGINALLY RELEASED Feb 15, 2024 Passy and Maurice from Friends of the Congo join Breht to discuss the history and the present of the Congo. Together, they discuss their organization, Passy's on-the-ground organizing in the Democratic Republic of the Congo, the history of the Congo, Patrice Lumumba and his legacy, European and Belgian colonialism, King Leopold II, the brutal ongoing violence and displacement occuring in the Eastern DRC, US imperialism and the Kagame Regime in Rwanda, M23, Neo-Colonialism, Colbalt and rare-earth mineral mining, modern day slavery and the industries it serves, the so-called "green capitalist transition" and its rotting underbelly, and much more. Friends of the Congo (FOTC) is a Pan African solidarity organization raising global consciousness about the challenges and potential of the Congo. Become A Friend of the Congo: http://www.congoweek.org http://friendsofthecongo.org/https://twitter.com/congofriends https://www.facebook.com/congofriends ---------------------------------------------------- Support Rev Left and get access to bonus episodes: www.patreon.com/revleftradio Make a one-time donation to Rev Left at BuyMeACoffee.com/revleftradio Follow, Subscribe, & Learn more about Rev Left Radio HERE Outro Beat Prod. by flip da hood
Die Suid-Afrikaanse Nasionale Weermag sê hy het begin om sy personeel en toerusting in fases uit die oostelike Demokratiese Republiek die Kongo te onttrek. Dit volg na ʼn bevel van die Suider-Afrikaanse Ontwikkelingsgemeenskap. Die SANW het verlede maand besluit om sy magte uit die DRK te onttrek nadat 17 soldate in gevegte met die Rwandees-ondersteunde M23-rebelle dood is. Die weermagwoordvoerder, Prince Tshabalala, sê die onttrekking sal in fases plaasvind:
Interview with Paul Barrett, CEO of Rome ResourcesOur previous interview: https://www.cruxinvestor.com/posts/rome-resources-lsermr-tin-resource-update-in-the-coming-months-6874Recording date: 29th April 2025Rome Resources (LSE) has announced the resumption of exploration drilling in the Democratic Republic of Congo (DRC) following improved security conditions in the region. CEO Paul Barrett confirmed that helicopter support has mobilized back to the country, with drilling operations expected to restart by the end of this week.The improved situation stems from M23 rebels retreating from the company's operational area back to the Kivu region, along with ongoing peace talks between Rwanda and DRC. While currently operating from Kisangani, the company plans to eventually return to Goma, which would streamline logistics with shorter helicopter flight times.Rome Resources is focusing exclusively on the Mont Agoma deposit, having already collected sufficient data from the Kalayi deposit. The strategic drilling program targets a specific data gap in the deeper part of Mont Agoma, based on their geological model suggesting increased tin grades at depth. The company also plans to drill exploratory holes on the southern fringe to determine the deposit's lateral extent.Mont Agoma represents a more complex opportunity than the pure tin Kalayi deposit, featuring additional copper and zinc mineralization. This multi-metal potential could provide significant value streams for the project, with the company exploring combined processing options for all three metals.A key near-term catalyst is the planned resource estimate expected by the end of May 2025, pending assay results from holes 24 and 26. The estimate will require independent verification to comply with AIM listing rules.Financially, Rome Resources maintains a strong position with $2.7 million in cash and a tightly controlled drilling budget of $1.6 million. The company operates with a lean structure, directing 90% of expenditures toward drilling activities.The company is also exploring collaboration opportunities with neighboring miner Alphamin for shared helicopter and fixed-wing facilities, potentially improving operational efficiency in the remote region.View Rome Resources' company profile: https://www.cruxinvestor.com/companies/rome-resourcesSign up for Crux Investor: https://cruxinvestor.com
La semana pasada los gobiernos de la República Democrática del Congo y Ruanda firmaron en Washington un acuerdo para comenzar negociaciones que pongan fin al conflicto desatado en el este del país, donde la guerrilla del M23 lleva meses operando con el apoyo del ejecutivo ruandés que preside Paul Kagame. Mientras tanto, sobre el terreno, la situación humanitaria sigue siendo muy delicada. Hablamos con Julián Gómez Cambronero, autor del libro ¿A quién le importa el Congo? y responsable de la revista Congo Actual.Escuchar audio
La mission militaire des pays d'Afrique australe, la SADEC, a commencé mardi à évacuer Goma, dans l'est de la République démocratique du Congo. Ses soldats y étaient bloqués depuis l'offensive éclair du groupe armé M23 en janvier. Ce retrait avait été acté lors d'un sommet mi-mars, après la mort de 17 militaires alors que le M23 s'était emparé de Goma et Bukavu. D'intenses combats opposent ces jours-ci les forces de Kinshasa au groupe armé M23, soutenu par Kigali. Dans le même temps, les processus de paix se multiplient. Patrick Muyaya, ministre de la Communication de la RD Congo, est l'invité du Journal de l'Afrique.
« Donald Trump bombe le torse », s'exclame le site d'information congolais Objectif Infos. « C'est une victoire sans précédent », a en effet déclaré hier le président américain, après la signature d'une déclaration de principe, vendredi à Washington, qui pose les bases d'un accord de paix entre la RDC et le Rwanda qui devrait être signé au plus tard en fin de semaine.« Dans ce document publié par le département d'État américain, précise Objectif Infos, les deux parties, congolaise et rwandaise, se sont engagées à respecter la souveraineté et les frontières établies ; à soutenir l'intégration économique régionale, notamment en renforçant la transparence dans les chaînes d'approvisionnement des minerais critiques ; et à faciliter le retour des réfugiés et des déplacés internes ».Commentaire du site congolais : « on peut dire que le chef de file des Républicains a réussi en 3 mois ce que son prédécesseur, Joe Biden, n'a pas réussi à faire lors de ses deux dernières années de mandat ».La diplomatie-business« Ceux qui pensaient que les États-Unis de Donald Trump resteraient en dehors du conflit congolais en seront pour leurs frais, relève pour sa part Afrikarabia. En difficulté sur Gaza et l'Ukraine, et inaudible en Afrique de l'Ouest, le président américain a semblé chercher un succès diplomatique rapide en se penchant sur le dossier congolais, pointe le site spécialisé sur la RDC. La visite de l'envoyé spécial de Donald Trump, Massad Boulos, à Kinshasa puis à Kigali, a fini d'acter la position américaine, qui n'est pas très éloignée (finalement) de celle de Joe Biden. Premier résultat : le M23 s'est retiré de la zone de Walikale, où se trouve la mine d'Étain de Bisie, propriété d'Alphamin, une entreprise minière à forts capitaux américains ». Il faut dire, poursuit Afrikarabia, que le futur accord de paix congolo-rwandais associe autour de la table « les autorités et le secteur privé américain. Dans ce deal entre États, ce sera business contre territoires ».La question centrale des mineraisEn effet, pointe L'Observateur Paalga à Ouagadougou, « la signature de cette déclaration de principe intervient alors qu'un accord, entre la RDC et les États-Unis, sur les minerais stratégiques est en cours de négociation. Un accord qui vise à permettre aux entreprises américaines d'accéder de manière privilégiée aux ressources minières de la RDC, telles que le cobalt, le coltan et le lithium, en échange d'une assistance sécuritaire pour lutter contre les groupes armés. En s'impliquant ainsi, Donald Trump se fait d'abord le VRP des sociétés américaines pour le contrôle des minerais stratégiques congolais, et dans ce deal, le Rwanda devrait aussi avoir sa dîme minière. Mais, relève L'Observateur, si c'est le prix à payer pour le Congo pour qu'on lui fiche la paix, pourquoi pas ? »Finalement, « peut-être qu'enfin, les mines congolaises vont servir à quelque chose d'utile pour tout le monde ! », renchérit Ledjely en Guinée. Les richesses minières de la RDC sont (donc) au cœur de l'accord de paix qui pourrait être conclu prochainement, entre Kinshasa et Kigali, sous l'égide des États-Unis de Donald Trump. En effet, c'est bien parce que le sous-sol congolais est riche en toutes sortes de minerais stratégiques que le président américain, plutôt porté sur la diplomatie transactionnelle, a consenti à s'intéresser enfin aux massacres et autres atrocités que les populations de l'est de la RDC endurent depuis trop longtemps. Nord et Sud-Kivu, pourraient donc renouer avec la paix et la stabilité. La diplomatie africaine en berneMalheureusement, relève encore Ledjely, l'Afrique n'y aura joué aucun rôle ou presque. (…) Aucun processus n'a réussi à s'imposer. Ni Luanda, ni Nairobi. Pourtant, entre les médiateurs et les facilitateurs, les acteurs africains n'ont pas manqué ».C'est vrai, déplore Le Pays au Burkina, « Washington semble engranger des points là où les organisations africaines sous-régionales, en l'occurrence la Sadec, le Communauté de développement d'Afrique australe, et la CEAC, la Communauté des États d'Afrique de l'Est, ont échoué. Certes, elles ont permis, sous la médiation du président angolais Joao Lourenço, d'arracher quelques cessez-le-feu, mais ceux-ci n'ont jamais été respectés. Preuve, s'il en est, conclut Le Pays, que l'Afrique peine toujours à trouver elle-même des solutions à ses propres problèmes ».
On this Out of the Loop, Nathan Paul Southern and Lindsey Kennedy explain the consumer decisions and corporate interests fueling conflict in Rwanda.Welcome to what we're calling our "Out of the Loop" episodes, where we dig a little deeper into fascinating current events that may only register as a blip on the media's news cycle and have conversations with the people who find themselves immersed in them. Investigative journalists Nathan Paul Southern and Lindsey Kennedy are here to help us understand why we're hearing a lot about Rwanda in recent news.Full show notes and resources can be found here: jordanharbinger.com/1145On This Episode of Out of the Loop, We Discuss:The M23 militia has recently resurged in the Democratic Republic of Congo (DRC), taking over parts of North Kivu province and effectively controlling access to valuable mineral resources like cobalt, gold, and coltan — minerals critical for modern technology including electric vehicles and AI chips.There appears to be a connection between the UK's Rwanda refugee resettlement program (which sent hundreds of millions of pounds to Rwanda) and the reemergence of the M23, which had previously disappeared when international aid was threatened to be cut off. The timing suggests the UK money may have indirectly funded the militia.Rwanda is allegedly stealing minerals from the DRC, bringing them across the border, and claiming they were mined in Rwanda — creating the appearance of "conflict-free" minerals that major tech companies like Apple and Tesla can claim to use, even though they ultimately come from conflict zones.The conflict has become increasingly complicated with the involvement of private military contractors from various countries, Russian interests, and American billionaires like Elon Musk and Eric Prince potentially making deals to control mineral resources in the region.Understanding these complex global connections can empower us to make more ethical consumer choices. By researching which companies prioritize truly ethical sourcing and supporting organizations that monitor conflict minerals, we can use our purchasing power to encourage corporate responsibility and transparency in global supply chains for technologies we rely on daily.And much more!Connect with Jordan on Twitter, on Instagram, and on YouTube. If you have something you'd like us to tackle here on an Out of the Loop episode, drop Jordan a line at jordan@jordanharbinger.com and let him know!Connect with Nathan Paul Southern on Twitter.Connect with Lindsey Kennedy at her website and on Twitter.And if you're still game to support us, please leave a review here — even one sentence helps! Consider including your Twitter handle so we can thank you personally!This Episode Is Brought To You By Our Fine Sponsors: jordanharbinger.com/dealsSign up for Six-Minute Networking — our free networking and relationship development mini course — at jordanharbinger.com/course!Subscribe to our once-a-week Wee Bit Wiser newsletter today and start filling your Wednesdays with wisdom!Do you even Reddit, bro? Join us at r/JordanHarbinger!See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Pendant ses douze années de pontificat, le pape François a entretenu une relation particulière avec l'Afrique, laissant l'héritage d'un message porteur d'espérance de paix, de justice et de réconciliation. François a visité dix pays en Afrique: le Kenya, la Centrafrique et l'Ouganda ; l'Égypte ; le Maroc puis le Mozambique, l'Ile Maurice et Madagascar ; la République Démocratique du Congo et le Soudan du Sud . Il a créé 17 cardinaux pour le continent qui compte plus 281 millions de catholiques.
Qatar has brokered talks between the government of Democratic Republic of Congo and the M23 rebel group, which is backed by Rwanda, to agree to common terms for a dialogue that includes a ceasefire. Also, Mexican President Claudia Sheinbaum bans foreign political ads on Mexican TV after a wave of anti-immigration spots sponsored by the Trump administration airs nationwide. And, as Spain's Catalonia region celebrates Sant Jordi, or Saint George's Day, there's been controversy this year over one writer who lives in Catalonia but only writes in Spanish. Plus, new research shows that the venom of some rattlesnakes has evolved to be simpler and better tailored to their prey.Listen to today's Music Heard on Air. Learn about your ad choices: dovetail.prx.org/ad-choices
In today's episode, we cover the surprise ceasefire between the Democratic Republic of the Congo and M23 rebel group, the escalating tensions between India and Pakistan, and Russia's latest strikes in the Ukrainian capital.Watch TLDR's latest videos here:https://youtu.be/FNr_cIZHrnc?si=Om8Km3NHhJRZ65E3https://youtu.be/7Uch9HGW6jc https://youtu.be/XWmXDQ6b7Bo Watch the latest episode of TLDR's World Leader Leaderboard here: https://youtu.be/J0Yl-3bRDoITLDR's Daily Briefing is a roundup of the day's most important news stories from around the world. But we don't just tell you what's happening, we explain it: making complex topics simple to understand. Listen to the Daily Briefing for your global news bulletin every weekday.Pre-order the next edition of Too Long, TLDR's print magazine, here: https://toolong.news/dailyProduced and edited by Scarlett WatchornHosted by Georgina FindlayWritten by Ben Blisset and Nadja LovadinovMusic by Epidemic Sound: http://epidemicsound.com/creator//////////////////////////////Sources:✍️ UK and EU Finalising Defence Pacthttps://www.reuters.com/world/uk/uk-pm-starmer-nears-eu-defence-pact-shadow-trump-trade-talks-2025-04-24/https://www.ft.com/content/92734ac6-5ada-4784-b694-44043d85244e?shareType=nongift✍️ DRC Agrees to Ceasefire with M23https://www.bbc.co.uk/news/articles/c3evwqxpv34o ✍️ India-Pakistan Crisishttps://www.reuters.com/world/india/india-calls-all-party-meet-summons-top-pakistani-diplomat-after-kashmir-attack-2025-04-24/ https://www.reuters.com/world/india/kashmir-resistance-group-that-claimed-attack-tourists-indian-kashmir-2025-04-23/ ✍️ Russia Strikes Kyivhttps://www.bbc.co.uk/news/articles/cd7v0lgg18xo See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Sudan's paramilitary Rapid Support Forces (RSF) have declared the formation of a rival government in areas under their control, will that change the course of the civil war that is now entering its third year? Will former president of the Democratic Republic of the Congo, Joseph Kabila who is planning to return to country, help to find a solution to the conflict with M23 rebels? Why are Kenyan ants of interest to smugglers?Presenter: Audrey Brown Producers: Tom Kavanagh in London, and Blessing Aderogba in Lagos Senior Producer: Patricia Whitehorne Technical Producer: Francesca Dunne Editors: Alice Muthengi and Andre Lombard