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Good afternoon, I'm _____ with today's episode of EZ News. Tai-Ex opening The Tai-Ex opened down 45-points this morning from yesterday's close, at 21,492 on turnover of $2.9-billion N-T. Taiwan-China interactions continue despite stalled talks: MAC head Mainland Affairs Council head Chiu Chui-cheng says Taiwan and China still maintain some level of interaction, even though official dialogue has stalled. In an interview,Chiu said interactions with China are being carried out in line with the Act Governing Relations between the People of the Taiwan Area and the Mainland Area. Chiu acknowledged that maintaining "normal dialogue" is currently difficult because Taiwan will never accept China's demand to treat the "1992 Consensus," based on the "One China principle," as a precondition (前提). Nevertheless, Chiu said some interaction continues between the MAC and China's Taiwan Affairs Office, as well as between the semi-official SEF and its Chinese counterpart, the Beijing-based Association for Relations Across the Taiwan Straits. Chiu also says individuals across the Strait, including Taiwanese businesspeople, scholars and journalists, frequently travel between the two sides and share information. World Masters Games' closing ceremony The closing ceremony of the 2025 World Masters Games will take place on the evening of May 30 at the New Taipei City Art Museum, featuring a star-studded lineup and spectacular visuals. New Taipei officials said the ceremony will begin at 7:00 p.m. and blend music, light, and live performances. To complement (為…增色) the artistic setting, the outdoor area will feature four major art installations highlighting the magic of light. And a 4.5-minute fireworks display will also light up the night sky, with popular band Energy headlining the event with a 20-minute finale performance. EU Trade Negotiator on US Talks A European Union official says he has had good trade talks with the Trump administration. AP correspondent Mike Hempen reports Amnesty Accuses M23 Rebels of War Crimes Human rights group Amnesty International accused the M23 rebels in eastern Congo of killing, torturing and forcibly disappearing civilian detainees in two rebel-controlled cities. Amnesty says “these acts violate (違反) international humanitarian law and may amount to war crimes.” The decades-long conflict in eastern Congo escalated in January. The Rwanda-backed M23 advanced and seized the strategic city of Goma in North Kivu province followed by Bukavu in February. Amnesty said that between February and April it interviewed 18 civilians who had been unlawfully detained by M23. They reported suffering brutal beatings and harsh detention conditions while their relatives were denied access to the detention sites. Canada King Charles Visit Britain's King Charles III has arrived in Ottawa on a visit that Canada's leader says will underscore (強調) his nation's sovereignty. The king and Queen Camilla were greeted at the airport by Mark Carney, Canada's new prime minister, along with Canada's first Indigenous governor general, Mary Simon. Aside from meeting privately with Carney, the king is scheduled to deliver the speech from the throne, which outlines the government's agenda for the new Parliament. The king is the head of state in Canada, which is a member of the British Commonwealth of former colonies. King Charles will return to the U.K. after today's speech and a visit to Canada's National War Memorial. That was the I.C.R.T. EZ News, I'm _____. ----以下訊息由 SoundOn 動態廣告贊助商提供---- 【台灣虎航 台中獨家直飛名古屋】 開航價$2,399元起,中台灣虎迷每週3班直飛名古屋,說走就走! 立即訂購:https://sofm.pse.is/7neb2p -- 你不理財,財不理你!想學理財,玉山罩你! 玉山銀行全新Podcast節目《玉山學堂》 帶你深入淺出掌握每週市場脈動! 還有知名主持人蔡尚樺領銜的跨世代對談, 從不同的角度打好理財基本功! 現在就點擊連結收聽
En RD Congo, le Sénat a voté, à la majorité, la levée des immunités parlementaires de Joseph Kabila, ouvrant la voie à des poursuites judiciaires. L'ancien président est accusé de trahison et de complicité avec l'AFC/M23..Ce vote des sénateurs a donné lieu à de nombreuses réactions..
In this episode of The Horn, Alan Boswell is joined by Richard Moncrieff, Crisis Group's Great Lakes project director, to discuss the state of the war in the eastern Democratic Republic of Congo. They discuss the extent of the Rwanda-backed M23's territorial gains in eastern Congo and why the group's military advances halted. They discuss Rwanda's motives and objectives, the state of Rwanda-Burundi relations, and Uganda's positioning inside Congo. They also delve into how the crisis has affected President Félix Tshisekedi's grip on power and the re-emergence of former President Joseph Kabila as an opposition figure. Finally, they discuss why the various African peace initiatives lost steam, the new Qatari and American peace efforts, and how to analyse this new era of peacemaking.For more, check out Richard's recent Analyst's Notebook entry “A New Great Lakes Peace Pledge Marks Progress but Questions Remain” and our DR Congo country page. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
L'ancien président congolais, désormais sénateur à vie, est convoqué par ses pairs ce mardi à Kinshasa dans le cadre d'une commission spéciale chargée d'examiner et de statuer sur la levée de son immunité parlementaire. Sera-t-il présent ? Rien n'est moins sûr…En tout cas, « la commission spéciale du Sénat en marche ! », s'exclame Objectif Infos. « Cette commission spéciale, qui doit examiner ce dossier d'une complexité sans précédent, doit soumettre prochainement les résultats de ses travaux aux sénateurs réunis en plénière. (…) L'opposition, qui a manifesté sa désapprobation quant à la démarche initiée, va quand même prendre part à ces travaux. Elle dénonce notamment la violation de la procédure enclenchée. (…) Joseph Kabila, qui a passé 18 ans à la tête de la République démocratique du Congo, est notamment accusé d'être proche avec la rébellion du M23. »Pour leur part, pointe 7 sur 7, autre site congolais, « les partisans de Kabila contestent les faits qui lui sont reprochés et accusent, à leur tour, le président Tshisekedi de chercher un bouc-émissaire pour justifier sa gestion. »Comment en est-on arrivé là ?Jeune Afrique reprend le fil des événements… Joseph Kabila, ces dernières années, se faisait plutôt discret depuis l'Afrique du Sud, où il vivait en exil. Ce jusqu'en février dernier. Il publie alors une tribune dans le journal sud-africain The Sunday Times, dans laquelle il critique vertement le président Tshisekedi. « Une tribune qui déplait fortement aux autorités congolaises, pointe Jeune Afrique, qui voient dans ses propos la légitimation de la rébellion de l'AFC/M23. »Arrive ensuite l'affaire du vrai-faux déplacement à Goma, ville aux mains des rebelles. Mi-avril, de nombreux médias, alimentés par l'entourage de l'ancien président congolais, annoncent que Joseph Kabila est à Goma pour rencontrer les dirigeants du M23. Finalement, fausse nouvelle… « Joseph Kabila a-t-il renoncé au dernier moment ?, s'interroge Jeune Afrique. Voulait-il vraiment aller dans la capitale du Nord-Kivu ou seulement laisser croire qu'il allait le faire pour observer les réactions du gouvernement, tel un ballon d'essai ? Quoi qu'il en soit, le gouvernement a vite saisi la perche. Dès le lendemain de la supposée arrivée de Kabila à Goma, le ministère congolais de l'Intérieur suspendait le Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie, formation dont il est “l'autorité morale“. »Sans doute pas là…En fait, poursuit le site panafricain, « même si Joseph Kabila ne s'est jamais rendu à Goma, c'est l'annonce de son retour qui a agacé le pouvoir. “Quand il a dit ça, tout le monde était aux aguets“, affirme un sénateur cité par Jeune Afrique, qui préfère rester anonyme. “Était-ce bien nécessaire, poursuit-il, d'annoncer qu'il rentrait par la partie du pays où il y a des problèmes ?“ »En tout cas, croit encore savoir Jeune Afrique, Kabila ne sera pas à Kinshasa aujourd'hui… « C'est en son absence que les sénateurs risquent de décider de la levée de son immunité cette semaine. La commission spéciale, composée exclusivement de membres de la majorité présidentielle, doit remettre son rapport d'ici demain mercredi et le soumettre au vote du Sénat. »Encore plus d'instabilité ?Reste que « cette affaire provoque une onde de choc dans l'opinion publique congolaise, relève Afrik.com. Des voix s'élèvent pour réclamer la transparence, à commencer par les défenseurs des droits humains. Jean-Claude Katende, président de l'Association congolaise de défense des droits de l'homme, regrette le huis clos des débats et appelle à la publication des preuves. Pour de nombreux Congolais, cette enquête pourrait marquer un tournant dans la lutte contre l'impunité des anciens dirigeants. Mais elle pose aussi un risque d'instabilité, dans un pays où les équilibres politiques restent fragiles. »Enfin, WakatSéra au Burkina s'interroge : « l'entreprise de Félix Tshisekedi de vouloir mettre à l'ombre celui qui lui avait offert le pouvoir sur un plateau d'argent n'est-elle pas à haut risque dans le climat militaro-socio-politique, déjà bien vicié et explosif, en raison de la guerre qu'impose l'AFC/M23 de Corneille Nangaa, avec le soutien du Rwanda ? Est-ce véritablement le moment propice pour le pouvoir congolais d'ouvrir un autre front ? Quelles seront les conséquences de ce harcèlement contre Joseph Kabila, alors que le facilitateur de l'Union africaine, le Togolais Faure Gnassingbé, les médiateurs de la sous-région et le Qatar sont engagés dans une course contre la montre pour essayer de ramener la paix en RDC ? »
L'ancien président congolais, désormais sénateur à vie, est convoqué par ses pairs ce mardi à Kinshasa dans le cadre d'une commission spéciale chargée d'examiner et de statuer sur la levée de son immunité parlementaire. Sera-t-il présent ? Rien n'est moins sûr…En tout cas, « la commission spéciale du Sénat en marche ! », s'exclame Objectif Infos. « Cette commission spéciale, qui doit examiner ce dossier d'une complexité sans précédent, doit soumettre prochainement les résultats de ses travaux aux sénateurs réunis en plénière. (…) L'opposition, qui a manifesté sa désapprobation quant à la démarche initiée, va quand même prendre part à ces travaux. Elle dénonce notamment la violation de la procédure enclenchée. (…) Joseph Kabila, qui a passé 18 ans à la tête de la République démocratique du Congo, est notamment accusé d'être proche avec la rébellion du M23. »Pour leur part, pointe 7 sur 7, autre site congolais, « les partisans de Kabila contestent les faits qui lui sont reprochés et accusent, à leur tour, le président Tshisekedi de chercher un bouc-émissaire pour justifier sa gestion. »Comment en est-on arrivé là ?Jeune Afrique reprend le fil des événements… Joseph Kabila, ces dernières années, se faisait plutôt discret depuis l'Afrique du Sud, où il vivait en exil. Ce jusqu'en février dernier. Il publie alors une tribune dans le journal sud-africain The Sunday Times, dans laquelle il critique vertement le président Tshisekedi. « Une tribune qui déplait fortement aux autorités congolaises, pointe Jeune Afrique, qui voient dans ses propos la légitimation de la rébellion de l'AFC/M23. »Arrive ensuite l'affaire du vrai-faux déplacement à Goma, ville aux mains des rebelles. Mi-avril, de nombreux médias, alimentés par l'entourage de l'ancien président congolais, annoncent que Joseph Kabila est à Goma pour rencontrer les dirigeants du M23. Finalement, fausse nouvelle… « Joseph Kabila a-t-il renoncé au dernier moment ?, s'interroge Jeune Afrique. Voulait-il vraiment aller dans la capitale du Nord-Kivu ou seulement laisser croire qu'il allait le faire pour observer les réactions du gouvernement, tel un ballon d'essai ? Quoi qu'il en soit, le gouvernement a vite saisi la perche. Dès le lendemain de la supposée arrivée de Kabila à Goma, le ministère congolais de l'Intérieur suspendait le Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie, formation dont il est “l'autorité morale“. »Sans doute pas là…En fait, poursuit le site panafricain, « même si Joseph Kabila ne s'est jamais rendu à Goma, c'est l'annonce de son retour qui a agacé le pouvoir. “Quand il a dit ça, tout le monde était aux aguets“, affirme un sénateur cité par Jeune Afrique, qui préfère rester anonyme. “Était-ce bien nécessaire, poursuit-il, d'annoncer qu'il rentrait par la partie du pays où il y a des problèmes ?“ »En tout cas, croit encore savoir Jeune Afrique, Kabila ne sera pas à Kinshasa aujourd'hui… « C'est en son absence que les sénateurs risquent de décider de la levée de son immunité cette semaine. La commission spéciale, composée exclusivement de membres de la majorité présidentielle, doit remettre son rapport d'ici demain mercredi et le soumettre au vote du Sénat. »Encore plus d'instabilité ?Reste que « cette affaire provoque une onde de choc dans l'opinion publique congolaise, relève Afrik.com. Des voix s'élèvent pour réclamer la transparence, à commencer par les défenseurs des droits humains. Jean-Claude Katende, président de l'Association congolaise de défense des droits de l'homme, regrette le huis clos des débats et appelle à la publication des preuves. Pour de nombreux Congolais, cette enquête pourrait marquer un tournant dans la lutte contre l'impunité des anciens dirigeants. Mais elle pose aussi un risque d'instabilité, dans un pays où les équilibres politiques restent fragiles. »Enfin, WakatSéra au Burkina s'interroge : « l'entreprise de Félix Tshisekedi de vouloir mettre à l'ombre celui qui lui avait offert le pouvoir sur un plateau d'argent n'est-elle pas à haut risque dans le climat militaro-socio-politique, déjà bien vicié et explosif, en raison de la guerre qu'impose l'AFC/M23 de Corneille Nangaa, avec le soutien du Rwanda ? Est-ce véritablement le moment propice pour le pouvoir congolais d'ouvrir un autre front ? Quelles seront les conséquences de ce harcèlement contre Joseph Kabila, alors que le facilitateur de l'Union africaine, le Togolais Faure Gnassingbé, les médiateurs de la sous-région et le Qatar sont engagés dans une course contre la montre pour essayer de ramener la paix en RDC ? »
Les experts et journalistes de RFI répondent aussi à vos questions sur la condamnation de l'ancien président mauritanien, des propos polémiques du président William Ruto et le rapprochement entre les États-Unis et le Rwanda. RDC : nouvel appel d'offres pour les blocs pétroliers Après l'échec de l'appel d'offres lancé en 2022, le gouvernement congolais vient d'ouvrir à l'exploration de 55 nouveaux blocs pétroliers. À l'époque, pourquoi les investisseurs avaient-ils été réticents ? Que proposent les autorités pour concilier exploitation pétrolière et prise en compte des enjeux environnementaux ?Avec Paulina Zidi, correspondante de RFI à Kinshasa.Mauritanie : 15 ans de prison pour l'ancien président Condamné en première instance à cinq ans de prison ferme pour enrichissement illicite, l'ex-président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz a vu sa peine s'alourdir à quinze ans de prison lors de son procès en appel. Comment expliquer ce verdict plus sévère ? Quelles sont les chances que la peine soit réduite en cassation ? Avec Léa-Lisa Westerhoff, correspondante permanente de RFI à Dakar.Kenya : polémique après les déclarations du président sur les enlèvements politiques William Ruto affirme que les militants enlevés lors des manifestations antigouvernementales de ces derniers mois ont été rendus à leurs familles. Lors de la mobilisation contre la loi de finance, des dizaines de personnes avaient disparu dans des circonstances mystérieuses. Y a-t-il des preuves qui confirment les propos du chef de l'État ? Comment expliquer ces disparitions alors que William Ruto avait promis de mettre fin aux enlèvements politiques ? Avec Gaëlle Laleix, correspondante permanente de RFI à Nairobi.États-Unis/Rwanda : signature d'un accord inédit sur l'étain Le groupe minier Trinity Metals a signé une lettre d'intention avec la société américaine Nathan Trotter afin de créer une chaîne d'approvisionnement d'étain vers les États-Unis. Pourtant, Donald Trump a appelé le gouvernement rwandais à cesser tout soutien aux rebelles du M23. Comment expliquer ce rapprochement entre Washington et Kigali ? Avec Bob Kabamba, professeur de Sciences politiques à l'Université de Liège.
En RD Congo, plus de 300 civils ont été expulsés de Goma vers le Rwanda. Le M23, qui a pris la ville il y a quelques mois, affirme que ces personnes sont des Rwandais en situation irrégulière. La plupart vivait à Karenga, fief des FDLR, opposées au groupe rebelle.
En RD Congo, plus de 1300 militaires et policiers congolais ont été évacués de Goma vers Kinshasa. Ces militaires et policiers étaient bloqués dans la base de la Monusco à Goma depuis plus de trois mois où ils s'étaient réfugiés après la prise de la ville par les rebelles.
Good afternoon, I'm _____ with today's episode of EZ News. Tai-Ex opening The Tai-Ex opened up 1.6-points this morning from yesterday's close, at 21,732 on turnover of $3.5-billion N-T. MAC ban two Chinese nationals from World Masters Games The Mainland Affairs Council has denied two Chinese nationals registered for the upcoming World Masters Games entry onto Taiwan - citing concerns that they intended to disrupt the event with political messages. According to the council spokesperson Liang Wen-chieh, his office received reports of such planned actions from members of the public here in Taiwan, who have said some Chinese participants plan to use the event to push political agendas. Liang says the two banned individuals are suspected of planning to display the Chinese national flag and advocate (主張、提倡) for unification with Taiwan by force - and as such, his office had no choice but to reject their entry. However, the council spokesman also says that despite the two athletes being denied entry, it has approved entry permits for 371 other Chinese nationals to take part in the Games. The World Masters Games begins tomorrow in Taipei and New Taipei. US judge dismisses charges against migrants caught in military zone A federal judge has dismissed charges against nearly 100 migrants arrested for trespassing (非法侵入) on a newly declared US military zone on the border of the state of New Mexico. The ruling adds to the growing legal uncertainty surrounding President Trump's expansion (擴張) of military authority at the southern border. Ira Spitzer reports. Congo Soldiers Transferred to Goma Over a thousand disarmed Congolese soldiers and police officers, along with their families have safely been transferred from the rebel-controlled city of Goma in eastern Congo to the capital Kinshasa over the last two weeks. On Thursday, the International Committee of the Red Cross said it helped escort the 1,359 disarmed members of the government forces. The soldiers and police officers had been taking refuge at a United Nations base since January, when the decades-long conflict in eastern Congo escalated (加劇) as the Rwanda-backed M23 rebels seized the strategic Goma. The news of the successful transfer comes amid persistent tensions in eastern Congo, where fighting between Congo's army and M23 continues. Pope Meets with Greek Church Head Pope Leo XIV has met at the Vatican with the head of the Greek Catholic Church in Ukraine. It was one of his first audiences as pontiff that reaffirmed his appeal (上訴) for a peaceful, negotiated end to Russia's war. His Beatitude Sviatoslav Shevchuk said he invited Leo to visit Ukraine and presented the pope with a list of prisoners held by Russia. The Vatican under Pope Francis had worked for prisoner exchanges, as well as for the return of Ukrainian children taken to live in Russian-occupied territories. The Vatican didn't release any statement after the audience, one of the first private audiences held by Leo since his election May 8. That was the I.C.R.T. EZ News, I'm _____. ----以下訊息由 SoundOn 動態廣告贊助商提供----
Les militaires au pouvoir au Mali a annoncé la dissolution "des partis politiques et des organisations à caractère politique" dans un décret présidentiel lu à la télévision nationale, une décision redoutée depuis plusieurs semaines par les partis d'opposition. Kadida Fofana, ancienne conseillère municipale et militante est notre invitée.
Quel est le vrai bilan de la bataille de Goma, en janvier dernier, dans l'est de la RDC ? Trois mois après la prise de cette ville par les rebelles du M23, où en est la situation humanitaire ? Patrick Youssef est le directeur régional pour l'Afrique du Comité International de la Croix Rouge (CICR). De retour d'une mission en RDC, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Quelque 100 jours après la prise de Goma par le M23, est-ce que la situation humanitaire est toujours aussi grave ou est-ce que les choses s'améliorent ? Patrick Youssef : la situation se stabilise de plus en plus. Évidemment, les bombardements et la conduite des hostilités ne sont plus à la même cadence à Goma et ailleurs. Mais la crainte, effectivement, que ça se dégrade encore est bien sûr sur la table.À la fin du mois de janvier, la ville de Goma est tombée après plusieurs jours de combats qui ont fait 3000 morts selon l'ONU et 600 morts selon les rebelles du M23. Quel est le vrai bilan d'après vous ? Ce que nous pouvons dire, c'est que nos équipes sur le terrain ont été témoin des conséquences humanitaires de ce conflit, que ce soient les morts, les blessés. Je pense que je n'ai jamais entendu un constat aussi dur de la part de nos collègues, ainsi que des volontaires de la Croix-Rouge de la RDC, qui nous ont raconté l'exploit et la difficulté de récolter les dépouilles mortelles et d'enterrer plus que 1000 corps. Donc, je ne connais pas les chiffres, mais les hôpitaux étaient déjà bien saturés et certainement les morgues ont suivi. Donc, je confirme que les chiffres sont très très difficiles à avoir à ce stade.Mais en tout cas, au moins 1000 corps ont été ramassés dans les rues de Goma ? Beaucoup plus, je pense. C'était juste cette action-là. Mais je n'ai pas les chiffres, bien sûr.Les personnes tuées à Goma sont des combattants, a affirmé le M23. Qu'en pensez-vous ? Évidemment, il y a des morts et des blessés dans les rangs des militaires, mais aussi des civils. Le nombre de blessés accueillis dans les établissements médicaux soutenus par le CICR a explosé sous ce flux massif. On entend de nos collègues que les bandages étaient coupés en trois. Les médicaments administrés dans le bloc opératoire étaient réduits. Le premier trimestre 2024 avait été marqué par d'intenses combats dans l'Est de la RDC. On avait 860 patients admis. Mais en 2025, ces chiffres ont explosé. Il y a eu trois fois plus d'admissions, autour de 2350 patients dans les quatre centres de soins de santé soutenus par le CICR.En mars dernier, à Goma, quelques 130 soldats congolais qui avaient été blessés dans les combats auraient été arrachés de leurs lits d'hôpital par le M23, disent les Nations unies. Est-ce que vous confirmez ? En fait, le rôle du CICR se limite vraiment à appuyer les structures qui offrent des soins nécessaires dont les blessés ont besoin. Bien sûr, cet événement est tragique. Le CICR n'a aucune manière de contrôler l'accès aux hôpitaux qu'il soutient avec des équipes chirurgicales. Nos équipes médicales sont là pour fournir simplement des soins aux patients, mais n'ont pas les moyens d'empêcher effectivement le transfert des blessés ou de leur garde-malade.Est-ce que vous avez des nouvelles de ces quelques 130 soldats congolais disparus ? C'est toujours un dialogue en cours effectivement avec les parties concernées. Comme vous le savez, c'est le cœur de notre travail. C'est le but d'engager un dialogue pour effectivement que ces violations ne se répètent pas.Depuis sa création, il y a bientôt 200 ans, en 1864, la Croix-Rouge s'occupe aussi des prisonniers de guerre. Est-ce que vous avez pu en visiter beaucoup depuis le début de l'année ? Oui, effectivement. Je confirme que cette action est très importante pour le CICR en termes d'accès et en termes de visites répétées par le CICR. C'est d'ailleurs un des sujets qui a été abordé par la présidente du Comité international de la Croix-Rouge lors de sa visite récente à Kinshasa, pour effectivement non seulement améliorer l'accès, mais effectivement travailler avec les autorités pour l'amélioration des conditions. Nous avons vraiment un espoir, s'il y a d'autres arrestations, que le CICR soit effectivement informé et que cette action puisse être accomplie.Depuis la prise de Goma au mois de janvier, des centaines de militaires congolais, mais aussi burundais, ont été capturés par les rebelles du M23, notamment à Goma et à Saké. Est-ce que vous avez de leurs nouvelles ? Ce n'est pas forcément opportun pour nous de parler de notre action publiquement. Ce qu'on peut dire, c'est que c'est une question extrêmement sensible. On y travaille. De manière générale, on a accès à plein de détenus. Dans ce cas, on y travaille encore. Donc, on a ce dialogue avec l'ensemble des parties et on espère effectivement que l'accès, qui n'est pas encore à un niveau satisfaisant, continue à s'améliorer, comme il y a déjà eu du progrès récemment.Et donc, vous avez pu rassurer des familles de prisonniers ? À chaque fois que nous rencontrons un prisonnier, que nous proposons les services de messages Croix-Rouge, effectivement, on avise effectivement les familles et, dans ce cas précis, on a eu énormément de contacts justement avec, que ça soit des détenus ou des membres de famille, selon les visites, bien sûr !Des familles congolaises ?Oui, bien sûr !Et des familles burundaises ?Je n'ai pas cette information.À lire aussiEst de la RDC: «Plus de 900 corps ont été enterrés par la Croix-Rouge et le CICR»
« François Bayrou au pied du mur de l'affaire Bétharram », titre le Parisien-Dimanche. « Le Premier ministre a préparé en cercle restreint un rendez-vous crucial : son audition, mercredi, par la Commission d'enquête sur les violences dans les établissements scolaires. L'enjeu est considérable », remarque le journal.Bétharram, c'est cette école privée catholique qui fait face à de nombreuses plaintes et accusations pour violences et agressions sexuelles à partir des années 1980 et 1990. Le Parisien-Dimanche rappelle le contexte : « François Bayrou était ministre de l'Éducation nationale entre 1993 et 1997 et parent d'élèves scolarisés dans cet établissement où son épouse enseignait le catéchisme. Il aura d'autant moins le droit à l'erreur qu'il s'exprimera sous serment ». Le Nouvel Obs, qui consacre sa Une à l'affaire Bétharram et au Premier ministre, dit la même chose, mais plus crûment : ce sera pour François Bayrou, « l'occasion de livrer ses vérités. Espérons qu'il ait la décence de la saisir, alors qu'il s'est jusqu'ici enferré dans le déni et le mensonge ». « Le 11 février, à l'Assemblée nationale, rappelle le Parisien-Dimanche, François Bayrou a d'abord nié en bloc, assurant n'être au courant de rien, avant de changer de version par la suite. » Les plaintes s'accumulentLe Nouvel Obs, de son côté, a décidé d'élargir le sujet. Pour l'hebdomadaire, « l'affaire Bétharram est une bombe à fragmentation ». Elle nous oblige, nous dit-on, « à regarder en face le caractère endémique des violences faites aux enfants, dans les familles, mais pas seulement »car « l'école n'est pas toujours un sanctuaire pour nos enfants ».Et le Nouvel Obs dresse ce constat : « l'enseignement catholique est au cœur des dernières révélations. Pratiques déviantes, faiblesse des contrôles de l'état, voire protection de l'institution par des élites qui en sont souvent issues ». L'hebdomadaire parle donc de « bombe à fragmentation » et précise encore que « depuis février, de nouveaux cas d'établissements déviants apparaissent chaque semaine, des plaintes s'accumulent – pas moins de 200 pour Bétharram – et des affaires tues pendant des décennies font la Une des journaux. » « Aucun responsable politique local ne décroche son téléphone »De son côté, la Tribune-Dimanche a rencontré l'une des victimes de Bétharram, leur porte-parole Alain Esquerre. Il est l'auteur du livre Le Silence de Bétharram et il est, nous dit le journal, « le visage de tous ceux qui ont souffert dans ce qui s'apparente aujourd'hui à l'un des plus grands scandales de pédophilie de l'histoire de l'éducation française ». C'est lui qui a recueilli sur un groupe Facebook des dizaines de témoignages.« Aux appels d'anciens élèves, raconte la Tribune-Dimanche, succèdent ceux de la presse régionale qui commence à relater le scandale. Dans les familles, chacun découvre ce que son père, son frère, son mari a vécu dans son enfance », sans avoir jamais osé le raconter. Malgré ces témoignages, « aucun responsable politique local, tous bords politiques confondus, ne décroche son téléphone ». « On est seul, tout le monde s'en fout », constate Alain Esquerre, jusqu'à ce que le premier ministre lui-même décroche son téléphone. « Je le sens dépassé », dit-il. « Il est sincère, mais il est le reflet d'une époque qui ne comprend pas (…) Pour lui, c'est une histoire de gifles et de punitions qui ne font pas de mal aux enfants ».Des « creuseurs » des mines payés 5 dollars par jour en RDCDans la presse hebdomadaire également cette semaine, un long reportage du Point sur la République démocratique du Congo, plus précisément dans le Nord-Kivu, où les envoyés spéciaux du magazine Guillaume Perrier et Vivien Latour ont rencontré des « creuseurs » des mines de Rubaya. « Sommairement équipés, ils descendent en escalier, armés de pioches, ils font ensuite remonter le sable et le minerai en se passant des sacs de main en main. Les visages sont juvéniles (…) les éboulements sont leur hantise. » Un travail harassant « payé 5 dollars par jour ».La région est riche en minerai et notamment en coltan, et elle est depuis longtemps la cible de nombreuses convoitises, qui se concrétisent par des affrontements armés. « Le président de la RDC, Félix Tshisékédi, rappelle le Point, accuse le M23 de chercher à s'approprier les ressources du Kivu : 150 tonnes de coltan seraient, selon lui, détournées vers le Rwanda chaque mois. Kigali dément ».Calme relatifÀ Goma, le Point a rencontré Corneille Nangaa, le chef de l'Alliance Fleuve Congo, coalition formée autour du M23. « Il incarne le nouveau pouvoir », explique le magazine. Et lui aussi accuse : « Il avait acquis des titres miniers sur le gisement d'or de Zani-Kodo, en Ituri. Des proches du président Tshisekedi l'en auraient spolié après 2021 », explique le Point, qui décrit ainsi la situation depuis la fin des combats : « Goma reprend vie. Le port sur le lac Kivu retrouve son agitation vespérale (…) mais les combats de la fin janvier ont laissé des traces. Les violences ont fait entre 3 000 et 8 000 morts, selon les estimations. »Et la sérénité n'est pas vraiment à l'ordre du jour. Certains habitants se plaignent d'être « rackettés par des membres de l'armée gouvernementale en civil ». « La guerre n'est pas terminée », regrette l'un de ces habitants.
En RDC, l'opposant Martin Fayulu ne réclame plus le départ du pouvoir de Félix Tshisekedi et se dit même d'accord pour faire équipe avec lui à certaines conditions. À la présidentielle de 2018, il avait crié au hold-up électoral après la victoire officielle de Félix Tshisekedi. Mais aujourd'hui, il change de stratégie. Le 1er mai dernier, avec les autres opposants Joseph Kabila, Moïse Katumbi et Delly Sesanga, Martin Fayulu a signé une déclaration commune en faveur d'un dialogue national pour résoudre la guerre dans l'est du pays. De passage à Paris, le président du parti de l'Engagement pour la citoyenneté et le développement (Ecidé) et de la plate-forme Lamuka répond à Christophe Boisbouvier. RFI : Les ministres des Affaires étrangères du Congo et du Rwanda doivent finaliser d'ici à deux semaines un projet d'accord de paix. Puis, les présidents Félix Tshisekedi et Paul Kagame doivent se retrouver le mois prochain dans le bureau de Donald Trump à la Maison Blanche pour signer la paix. Est-ce que votre déclaration commune, ce n'est pas une façon de dire « ne nous oubliez pas, nous aussi, on existe ? »Martin Fayulu : Non, notre déclaration, c'est de dire qu'avant de signer cet accord, il faut que les Congolais se parlent et trouvent des solutions à la crise qui sévit au Congo. Tout accord, toute discussion tendant à aider le Congo à avoir la paix et la sécurité, nous sommes d'accord. Mais nous disons qu'on ne peut pas signer un accord sans que les Congolais se mettent ensemble dans ce que nous appelons la cohésion nationale.Mais si jamais les pourparlers avancent à Washington, si jamais il y a cet accord de paix le mois prochain à la Maison Blanche, qu'est-ce que vous allez faire ?Nous pensons que c'est quelque chose qui ne marchera pas. Tant que la plaie n'est pas soignée de fond en comble, on ne pourra pas avoir la paix. Et c'est pour cela que nous disons que nous ne sommes pas contre Washington. Nous ne sommes pas contre Doha, nous ne sommes pas contre l'Union africaine. Mais les solutions aux problèmes du Congo doivent d'abord venir du Congo.Alors, ce qui frappe dans votre déclaration commune du 1ᵉʳ mai, c'est de vous voir signer, Martin Fayulu, un document avec votre pire ennemi, Joseph Kabila, que vous accusez de vous avoir volé la victoire en 2018. Pourquoi cette volte-face ?Je l'ai accusé d'avoir fabriqué les résultats et d'avoir proclamé Tshisekedi parce qu'ils ont signé ce qu'on a appelé un compromis à l'africaine. Mais ce n'est pas mon ennemi. Moi, je n'ai pas d'ennemi. Et moi, j'ai signé avec Kabila comme demain je pourrais signer avec Tshisekedi pour sauver le Congo.Donc, ce que vous appelez le grand hold-up électoral de 2018, vous oubliez tout, vous pardonnez, c'est terminé ?Mais vous savez, on ne peut pas oublier. Ça existe. Mais maintenant, qu'est-ce que vous voulez que je continue à ressasser ça à longueur de journée, d'année en année ? Non, je dis que c'est une expérience. C'est pour cela que j'ai proposé cette réunion de vérité, réconciliation et cohésion nationale. On ne peut pas oublier ce qui s'est passé. Mais sur la base de ce qui s'est passé, nous pouvons construire l'avenir en toute sérénité.Dans votre déclaration commune, vous parlez de la guerre à l'est de votre pays, sans jamais citer le Rwanda. Pourquoi refusez-vous de nommer un pays que toute la communauté internationale désigne comme le principal soutien militaire des rebelles du M23 ?Oui, on ne le cite pas simplement parce que ce n'est pas l'objectif poursuivi. Cette déclaration avait pour objectif de dire aux amis de Washington et de Doha : « ce que vous faites, c'est bien, mais s'il vous plaît, faites attention, il y a des préalables ».Mais vous ne citez pas le Rwanda parce que Joseph Kabila a mis son veto ?Non, non, on n'a pas pensé à ça. On n'a pas pensé à citer un pays et nous savons ce que le Rwanda veut dans notre pays. On sait que le Rwanda veut les richesses du Congo et exploiter les ressources. Ça, on le dit et on le répétera.Depuis quelques semaines, le président Tshisekedi appelle l'opposition à rentrer dans un gouvernement d'union nationale. À quelles conditions pourriez-vous accepter un tel gouvernement ?On ne peut pas répondre à cette préoccupation de Félix Tshisekedi, parce que nous pensons que d'abord, il faut que les Congolais se mettent autour d'une table, autour des évêques catholiques et des pasteurs protestants, pour d'abord aller dans le fond sur les causes profondes de notre crise. Donc, on ne met pas la charrue avant les bœufs.Et si demain, il y a un dialogue national, et s'il aboutit... Est-ce que vous seriez prêts à faire équipe avec le président Tshisekedi ?Je suis Congolais, il est Congolais. J'accepterai les résolutions qui sortiront de ce dialogue parce que j'y contribuerai.Alors comme vous, les évêques de la CENCO et les pasteurs de l'ECC appellent à ce dialogue national, mais ils disent aussi vouloir respecter le mandat du président Tshisekedi jusqu'à la fin de celui-ci, c'est-à-dire jusqu'en 2028. Est-ce que vous êtes d'accord avec eux ou pas ?Écoutez, de fait, il est là ! Est-ce qu'il faudrait aller poser la condition qu'il doit partir avant de commencer la réunion ? Je ne pense pas. Je pense qu'il faut avoir des élections saines, crédibles en 2028. Il peut continuer à gérer le pouvoir.À lire aussiConflit dans l'est de la RDC: un avant-projet d'accord de paix attendu ce vendredi à Washington
Connecting with a human face behind the headlines can bring news home. In today's Daily, you'll meet the family trying to rebuild after being driven from its village last year by M23 rebels in the Democratic Republic of Congo. Our stories also cover Canada's leverage in US trade talks, a woman who never made it past fifth grade running a roadside library, and a Chicago crossing guard marking 50 years. Join the Monitor's Amelia Newcomb for today's news.
Les experts et journalistes de RFI répondent aussi à vos questions sur les bombardements israéliens à Damas et les accusations de haute trahison à l'encontre de Joseph Kabila. Ukraine/États-Unis : que sait-on de l'accord sur les minerais ? Après de longues négociations, les États-Unis et l'Ukraine ont signé un accord sur l'exploitation des ressources naturelles ukrainiennes. De quelles richesses minières parle-t-on ? Cet accord est-il «gagnant-gagnant» ? Comment réagit la population ukrainienne ?Avec Kseniya Zhornokley, journaliste spécialisée pour la rédaction ukrainienne de RFI. Syrie : pourquoi Israël prend la défense de la communauté druze ? En représailles aux violents affrontements confessionnels prenant pour cible les druzes dans la banlieue de Damas, Israël a bombardé vendredi autour du palais présidentiel. Pourquoi l'État hébreu se positionne-t-il en protecteur de cette communauté ? Quels sont leurs liens ? Quelle est l'origine de ces violences religieuses ?Avec Pierre Olivier, journaliste au service international de RFI. RDC : Joseph Kabila pourrait-il perdre son immunité ? Soupçonné de liens avec l'Alliance Fleuve Congo, la branche politique du M23, l'ancien président Joseph Kabila est accusé de haute trahison. Le Sénat a été saisi pour demander la levée de son immunité. Des preuves ont-elles été présentées pour étayer cette accusation ? Quelles sont les prochaines étapes du processus de levée d'immunité ? Avec Bob Kabamba, professeur de Sciences politiques à l'Université de Liège.
Gaza's health system nears collapse as UNRWA issues urgent alarm Gaza's healthcare is on the brink, warns the UN Relief and Works Agency for Palestine Refugees. The agency says one-third of vital medical supplies are gone, with another third vanishing fast—blaming Israel's siege and relentless bombardment. Commissioner-General Philippe Lazzarini grimly cautions that the blockade risks silently killing more women and children beyond the bombs. Israel's military invasion in Gaza has killed over fifty-two thousand four hundred Palestinians since October 2023, while Tel Aviv faces genocide charges at the International Court of Justice. Yemeni Houthis target Tel Aviv airport with hypersonic missile strike Yemeni Houthis said they have launched a hypersonic ballistic missile targeting Ben Gurion Airport in Tel Aviv, warning international airlines of the airport's unsafe conditions. Houthi spokesman Yahya Saree confirmed the missile hit the target, and another struck Ashkelon. Israeli authorities suspended flights at the airport after a missile landed near Terminal 3, injuring six people. Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu vowed retaliation against the Houthis and their Iranian backers. In response, US warplanes conducted airstrikes on Houthi positions in Yemen. Romania's presidential election heads to a second round Romania will proceed to a second round of presidential elections on May 18, following the failure of any candidate to secure the required 50+1 percent majority in the first round. Far-right George Simion led with over 40.2 percent of the vote, based on results from over 98 percent of ballots. He was followed by Bucharest Mayor Nicusor Dan, who garnered 20.8 percent, and Crin Antonescu of the Social Democratic Party, who earned nearly 20.5 percent. The first-round victory of pro-Russian candidate Calin Gorgescu was annulled in November 2024 following allegations of electoral violations and Russian interference, which Moscow has denied. Simion emerged to replace Gorgescu after his ban from the new race. Fighting in eastern DRC escalates as rebels take key town M23 rebels and allies seized Lunyasenge, a strategic fishing town on Lake Edward's west coast in eastern Democratic Republic of Congo, after deadly clashes with the army that left 17 dead, including seven soldiers. The Congolese military condemned the assault as a blatant ceasefire violation. As rebels advance in North Kivu, Kinshasa warns of retaliation. Rwanda faces renewed accusations of backing M23, amid ongoing peace talks in Doha and Washington. Kigali denies any involvement. Trump imposes full tariff on non-US movies President Donald Trump has announced plans to impose a 100 percent tariff on foreign-made films, claiming Hollywood of being ""devastated"" as US filmmakers turn to other countries for production incentives. The decision, shared via Truth Social media platform, follows criticism of his aggressive trade policies. While the full impact on the movie industry remains unclear, Trump insists it's a matter of national security. Meanwhile, talks with China and other nations on trade deals continue, with potential agreements on the horizon.
ORIGINALLY RELEASED Feb 15, 2024 Passy and Maurice from Friends of the Congo join Breht to discuss the history and the present of the Congo. Together, they discuss their organization, Passy's on-the-ground organizing in the Democratic Republic of the Congo, the history of the Congo, Patrice Lumumba and his legacy, European and Belgian colonialism, King Leopold II, the brutal ongoing violence and displacement occuring in the Eastern DRC, US imperialism and the Kagame Regime in Rwanda, M23, Neo-Colonialism, Colbalt and rare-earth mineral mining, modern day slavery and the industries it serves, the so-called "green capitalist transition" and its rotting underbelly, and much more. Friends of the Congo (FOTC) is a Pan African solidarity organization raising global consciousness about the challenges and potential of the Congo. Become A Friend of the Congo: http://www.congoweek.org http://friendsofthecongo.org/https://twitter.com/congofriends https://www.facebook.com/congofriends ---------------------------------------------------- Support Rev Left and get access to bonus episodes: www.patreon.com/revleftradio Make a one-time donation to Rev Left at BuyMeACoffee.com/revleftradio Follow, Subscribe, & Learn more about Rev Left Radio HERE Outro Beat Prod. by flip da hood
Die Suid-Afrikaanse Nasionale Weermag sê hy het begin om sy personeel en toerusting in fases uit die oostelike Demokratiese Republiek die Kongo te onttrek. Dit volg na ʼn bevel van die Suider-Afrikaanse Ontwikkelingsgemeenskap. Die SANW het verlede maand besluit om sy magte uit die DRK te onttrek nadat 17 soldate in gevegte met die Rwandees-ondersteunde M23-rebelle dood is. Die weermagwoordvoerder, Prince Tshabalala, sê die onttrekking sal in fases plaasvind:
Rwanda has escorted South African troops through its territory to Tanzania as part of a phased withdrawal from the embattled eastern DRC. The troops had been assisting Kinsasha's fight against rebel groups in the region, but became stranded after an offensive by M23 rebels.
Interview with Paul Barrett, CEO of Rome ResourcesOur previous interview: https://www.cruxinvestor.com/posts/rome-resources-lsermr-tin-resource-update-in-the-coming-months-6874Recording date: 29th April 2025Rome Resources (LSE) has announced the resumption of exploration drilling in the Democratic Republic of Congo (DRC) following improved security conditions in the region. CEO Paul Barrett confirmed that helicopter support has mobilized back to the country, with drilling operations expected to restart by the end of this week.The improved situation stems from M23 rebels retreating from the company's operational area back to the Kivu region, along with ongoing peace talks between Rwanda and DRC. While currently operating from Kisangani, the company plans to eventually return to Goma, which would streamline logistics with shorter helicopter flight times.Rome Resources is focusing exclusively on the Mont Agoma deposit, having already collected sufficient data from the Kalayi deposit. The strategic drilling program targets a specific data gap in the deeper part of Mont Agoma, based on their geological model suggesting increased tin grades at depth. The company also plans to drill exploratory holes on the southern fringe to determine the deposit's lateral extent.Mont Agoma represents a more complex opportunity than the pure tin Kalayi deposit, featuring additional copper and zinc mineralization. This multi-metal potential could provide significant value streams for the project, with the company exploring combined processing options for all three metals.A key near-term catalyst is the planned resource estimate expected by the end of May 2025, pending assay results from holes 24 and 26. The estimate will require independent verification to comply with AIM listing rules.Financially, Rome Resources maintains a strong position with $2.7 million in cash and a tightly controlled drilling budget of $1.6 million. The company operates with a lean structure, directing 90% of expenditures toward drilling activities.The company is also exploring collaboration opportunities with neighboring miner Alphamin for shared helicopter and fixed-wing facilities, potentially improving operational efficiency in the remote region.View Rome Resources' company profile: https://www.cruxinvestor.com/companies/rome-resourcesSign up for Crux Investor: https://cruxinvestor.com
La semana pasada los gobiernos de la República Democrática del Congo y Ruanda firmaron en Washington un acuerdo para comenzar negociaciones que pongan fin al conflicto desatado en el este del país, donde la guerrilla del M23 lleva meses operando con el apoyo del ejecutivo ruandés que preside Paul Kagame. Mientras tanto, sobre el terreno, la situación humanitaria sigue siendo muy delicada. Hablamos con Julián Gómez Cambronero, autor del libro ¿A quién le importa el Congo? y responsable de la revista Congo Actual.Escuchar audio
Bongani Bingwa speaks to Africa Report correspondent Crystal Orderson about the growing instability in Central and East Africa. They begin with the withdrawal of South African troops from the Democratic Republic of Congo (DRC) after a costly SADC peacekeeping mission, just as DRC and Rwanda surprisingly sign a peace deal in the US. Attention then turns to South Sudan, where renewed tensions between President Salva Kiir and Vice President Riek Machar threaten to collapse the fragile 2018 peace agreement, raising fears of a return to full-scale civil war. 702 Breakfast with Bongani Bingwa is broadcast on 702, a Johannesburg based talk radio station. Bongani makes sense of the news, interviews the key newsmakers of the day, and holds those in power to account on your behalf. The team bring you all you need to know to start your day Thank you for listening to a podcast from 702 Breakfast with Bongani Bingwa Find all the catch-up podcasts here https://www.primediaplus.com/702/702-breakfast-with-bongani-bingwa/audio-podcasts/702-breakfast-with-bongani-bingwa/ Listen live - 702 Breakfast is broadcast weekdays between 06:00 and 09:00 (SA Time) https://www.primediaplus.com/station/702 Subscribe to the 702 daily and weekly newsletters https://www.primediaplus.com/competitions/newsletter-subscription/ Follow us on social media: 702 on Facebook: http://www.facebook.com/TalkRadio702 702 on TikTok: www.tiktok.com/@talkradio702 702 on Instagram: www.instagram.com/talkradio702 702 on X: www.x.com/Radio702 702 on YouTube: www.youtube.com/@radio702 See omnystudio.com/listener for privacy information.
La mission militaire des pays d'Afrique australe, la SADEC, a commencé mardi à évacuer Goma, dans l'est de la République démocratique du Congo. Ses soldats y étaient bloqués depuis l'offensive éclair du groupe armé M23 en janvier. Ce retrait avait été acté lors d'un sommet mi-mars, après la mort de 17 militaires alors que le M23 s'était emparé de Goma et Bukavu. D'intenses combats opposent ces jours-ci les forces de Kinshasa au groupe armé M23, soutenu par Kigali. Dans le même temps, les processus de paix se multiplient. Patrick Muyaya, ministre de la Communication de la RD Congo, est l'invité du Journal de l'Afrique.
« Donald Trump bombe le torse », s'exclame le site d'information congolais Objectif Infos. « C'est une victoire sans précédent », a en effet déclaré hier le président américain, après la signature d'une déclaration de principe, vendredi à Washington, qui pose les bases d'un accord de paix entre la RDC et le Rwanda qui devrait être signé au plus tard en fin de semaine.« Dans ce document publié par le département d'État américain, précise Objectif Infos, les deux parties, congolaise et rwandaise, se sont engagées à respecter la souveraineté et les frontières établies ; à soutenir l'intégration économique régionale, notamment en renforçant la transparence dans les chaînes d'approvisionnement des minerais critiques ; et à faciliter le retour des réfugiés et des déplacés internes ».Commentaire du site congolais : « on peut dire que le chef de file des Républicains a réussi en 3 mois ce que son prédécesseur, Joe Biden, n'a pas réussi à faire lors de ses deux dernières années de mandat ».La diplomatie-business« Ceux qui pensaient que les États-Unis de Donald Trump resteraient en dehors du conflit congolais en seront pour leurs frais, relève pour sa part Afrikarabia. En difficulté sur Gaza et l'Ukraine, et inaudible en Afrique de l'Ouest, le président américain a semblé chercher un succès diplomatique rapide en se penchant sur le dossier congolais, pointe le site spécialisé sur la RDC. La visite de l'envoyé spécial de Donald Trump, Massad Boulos, à Kinshasa puis à Kigali, a fini d'acter la position américaine, qui n'est pas très éloignée (finalement) de celle de Joe Biden. Premier résultat : le M23 s'est retiré de la zone de Walikale, où se trouve la mine d'Étain de Bisie, propriété d'Alphamin, une entreprise minière à forts capitaux américains ». Il faut dire, poursuit Afrikarabia, que le futur accord de paix congolo-rwandais associe autour de la table « les autorités et le secteur privé américain. Dans ce deal entre États, ce sera business contre territoires ».La question centrale des mineraisEn effet, pointe L'Observateur Paalga à Ouagadougou, « la signature de cette déclaration de principe intervient alors qu'un accord, entre la RDC et les États-Unis, sur les minerais stratégiques est en cours de négociation. Un accord qui vise à permettre aux entreprises américaines d'accéder de manière privilégiée aux ressources minières de la RDC, telles que le cobalt, le coltan et le lithium, en échange d'une assistance sécuritaire pour lutter contre les groupes armés. En s'impliquant ainsi, Donald Trump se fait d'abord le VRP des sociétés américaines pour le contrôle des minerais stratégiques congolais, et dans ce deal, le Rwanda devrait aussi avoir sa dîme minière. Mais, relève L'Observateur, si c'est le prix à payer pour le Congo pour qu'on lui fiche la paix, pourquoi pas ? »Finalement, « peut-être qu'enfin, les mines congolaises vont servir à quelque chose d'utile pour tout le monde ! », renchérit Ledjely en Guinée. Les richesses minières de la RDC sont (donc) au cœur de l'accord de paix qui pourrait être conclu prochainement, entre Kinshasa et Kigali, sous l'égide des États-Unis de Donald Trump. En effet, c'est bien parce que le sous-sol congolais est riche en toutes sortes de minerais stratégiques que le président américain, plutôt porté sur la diplomatie transactionnelle, a consenti à s'intéresser enfin aux massacres et autres atrocités que les populations de l'est de la RDC endurent depuis trop longtemps. Nord et Sud-Kivu, pourraient donc renouer avec la paix et la stabilité. La diplomatie africaine en berneMalheureusement, relève encore Ledjely, l'Afrique n'y aura joué aucun rôle ou presque. (…) Aucun processus n'a réussi à s'imposer. Ni Luanda, ni Nairobi. Pourtant, entre les médiateurs et les facilitateurs, les acteurs africains n'ont pas manqué ».C'est vrai, déplore Le Pays au Burkina, « Washington semble engranger des points là où les organisations africaines sous-régionales, en l'occurrence la Sadec, le Communauté de développement d'Afrique australe, et la CEAC, la Communauté des États d'Afrique de l'Est, ont échoué. Certes, elles ont permis, sous la médiation du président angolais Joao Lourenço, d'arracher quelques cessez-le-feu, mais ceux-ci n'ont jamais été respectés. Preuve, s'il en est, conclut Le Pays, que l'Afrique peine toujours à trouver elle-même des solutions à ses propres problèmes ».
On this Out of the Loop, Nathan Paul Southern and Lindsey Kennedy explain the consumer decisions and corporate interests fueling conflict in Rwanda.Welcome to what we're calling our "Out of the Loop" episodes, where we dig a little deeper into fascinating current events that may only register as a blip on the media's news cycle and have conversations with the people who find themselves immersed in them. Investigative journalists Nathan Paul Southern and Lindsey Kennedy are here to help us understand why we're hearing a lot about Rwanda in recent news.Full show notes and resources can be found here: jordanharbinger.com/1145On This Episode of Out of the Loop, We Discuss:The M23 militia has recently resurged in the Democratic Republic of Congo (DRC), taking over parts of North Kivu province and effectively controlling access to valuable mineral resources like cobalt, gold, and coltan — minerals critical for modern technology including electric vehicles and AI chips.There appears to be a connection between the UK's Rwanda refugee resettlement program (which sent hundreds of millions of pounds to Rwanda) and the reemergence of the M23, which had previously disappeared when international aid was threatened to be cut off. The timing suggests the UK money may have indirectly funded the militia.Rwanda is allegedly stealing minerals from the DRC, bringing them across the border, and claiming they were mined in Rwanda — creating the appearance of "conflict-free" minerals that major tech companies like Apple and Tesla can claim to use, even though they ultimately come from conflict zones.The conflict has become increasingly complicated with the involvement of private military contractors from various countries, Russian interests, and American billionaires like Elon Musk and Eric Prince potentially making deals to control mineral resources in the region.Understanding these complex global connections can empower us to make more ethical consumer choices. By researching which companies prioritize truly ethical sourcing and supporting organizations that monitor conflict minerals, we can use our purchasing power to encourage corporate responsibility and transparency in global supply chains for technologies we rely on daily.And much more!Connect with Jordan on Twitter, on Instagram, and on YouTube. If you have something you'd like us to tackle here on an Out of the Loop episode, drop Jordan a line at jordan@jordanharbinger.com and let him know!Connect with Nathan Paul Southern on Twitter.Connect with Lindsey Kennedy at her website and on Twitter.And if you're still game to support us, please leave a review here — even one sentence helps! Consider including your Twitter handle so we can thank you personally!This Episode Is Brought To You By Our Fine Sponsors: jordanharbinger.com/dealsSign up for Six-Minute Networking — our free networking and relationship development mini course — at jordanharbinger.com/course!Subscribe to our once-a-week Wee Bit Wiser newsletter today and start filling your Wednesdays with wisdom!Do you even Reddit, bro? Join us at r/JordanHarbinger!See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Pendant ses douze années de pontificat, le pape François a entretenu une relation particulière avec l'Afrique, laissant l'héritage d'un message porteur d'espérance de paix, de justice et de réconciliation. François a visité dix pays en Afrique: le Kenya, la Centrafrique et l'Ouganda ; l'Égypte ; le Maroc puis le Mozambique, l'Ile Maurice et Madagascar ; la République Démocratique du Congo et le Soudan du Sud . Il a créé 17 cardinaux pour le continent qui compte plus 281 millions de catholiques.
Die Demokratiese Republiek die Kongo en Rwanda het ʼn ooreenkoms onderteken om mekaar se soewereiniteit te respekteer en aan ʼn skietstilstand te werk. Die oostelike deel van die DRK is sedert Januarie betrokke in gevegte met die Rwandees-gesteunde M23-rebelle. Die ooreenkoms is in Washington onderteken deur die DRK en Rwanda se ministers van Buitelandse Sake, in die teenwoordigheid van hul Amerikaanse ampsgenoot, Marco Rubio. Hy sê die Verklaring van Beginsels baan die weg vir vrede, bestendigheid en vooruitgang in die streek:
« Kinshasa et l'AFC/M23 veulent fumer le calumet de la paix », annonce Africanews, alors que Média Afrique News se demande si l'on va « vers une trêve »… et souligne que « la déclaration conjointe » publiée hier, est « une première, depuis le début des négociations à Doha ». Dans cette déclaration, ajoute Média Afrique News, « les deux parties annoncent avoir "convenu de travailler à la conclusion d'une trêve" ». Mais aux yeux de Jeune Afrique, il s'agit là « d'une étape symbolique, qui montre que le plus dur reste à faire ». « Si ce communiqué marque le premier engagement commun pris entre Kinshasa et le M23 », ajoute le magazine panafricain, « il n'a pour l'instant pris la forme que d'une simple déclaration d'intention ». Un diplomate confie que « le processus prendra du temps ». « Pour l'instant », dit-il, « il fallait un engagement sur la forme, quitte à remettre le vrai débat à plus tard ».Après l'attaque du 17 avrilAu Bénin, la presse met l'accent sur les réactions internationales, après l'attaque terroriste qui a fait 54 morts le 17 avril. « La Cédéao condamne un acte barbare et lâche », titre La Nation qui cite le communiqué de la Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest, selon laquelle « cet incident tragique souligne de manière criante l'impérieuse nécessité d'une coopération renforcée entre tous les États membres, en particulier ceux qui partagent des frontières communes et sont directement confrontée à ce fléau ». Allusion, sans aucun doute, au Niger et au Burkina Faso, désormais membres de l'AES, l'Alliance des États du Sahel. De son côté, La Nouvelle Tribune s'intéresse à la réaction de la France, « solidaire du Bénin ». « L'ambassade de France à Cotonou », précise le journal, « condamne fermement ces actes violents et réaffirme son soutien total au peuple béninois ». La Nouvelle Tribune revient également sur les propos du porte-parole du gouvernement Wilfried Léandre Houngbedji, selon lequel « le président Patrice Talon a multiplié les échanges avec le haut commandement militaire pour analyser la situation sur le terrain, revoir les stratégies en cours et faire le point sur les équipements militaires attendus ou encore nécessaires ».Un témoignage qui interrogeY a-t-il des ressortissants sénégalais engagés dans les forces russes pour combattre l'Ukraine ? Question posée indirectement par l'Agence de Presse Africaine, qui a pu visionner une vidéo montrant un Sénégalais « présenté comme ayant combattu aux côtés des forces russes et ayant été capturé (par l'armée ukrainienne) dans l'est de l'Ukraine ». Sur cette vidéo, « le jeune homme livre un témoignage confus sur son parcours depuis la Russie et les circonstances de son engagement ». « Il affirme avoir étudié deux ans en Russie, avant d'être conduit, moyennant le versement d'argent à un intermédiaire, vers le front ». Le jeune homme évoque aussi une « promesse d'émigration vers l'Europe, en passant par l'Ukraine, qui n'aurait été qu'une "simple étape" ». Il ajoute que désormais, « il ne souhaite plus rejoindre l'Europe, mais simplement rentrer au Sénégal ». « La Russie c'est mauvais » dit-il, « elle m'a fait très mal ». L'Agence de presse Africaine, qui publie donc ce témoignage, souligne toutefois que pour le moment, « rien ne permet de vérifier si ces propos ont été tenus librement ».Premier film bouleversantAfrik.com nous fait découvrir le documentaire Liti Liti. Documentaire réalisé par Mamadou Khouma Guèye et qui, nous dit Afrik.com, « explore la mémoire vivante d'un quartier populaire de la banlieue de Dakar, menacé par les bulldozers du progrès ». Le réalisateur a interrogé sa propre mère, Sokhna Ndiaye « qui depuis quarante ans vit dans une maison qu'elle a bâtie pièce après pièce grâce à la solidarité de la tontine (…) Mais cette maison doit disparaître, le Train Express Régional doit y passer ». Afrik.com rend hommage au réalisateur Mamadou Khouma Guèye, et parle d'un « premier film bouleversant, à la fois cri d'amour pour sa mère, et acte politique contre un développement qui oublie les humains ».
Em Moçambique: Alcina Nhaume teve o rosto desfigurado por uma bala supostamente disparada por um agente UIR. Estudantes angolanos saem, amanhã, às ruas de Luanda para marchar contra a falta de condições nas escolas. Governo congolês e o M23 chegam a um acordo de cessar-fogo.
India and Pakistan announce tit-for-tat measures after the Kashmir tourist attack, former South Korean President Moon Jae-in is Indicted on bribery charges, the Democratic Republic of Congo and M23 rebels agree to a ceasefire, a judge blocks portions of Trump's order requiring proof of citizenship for voter registration, the EU fines Apple and Meta $800M, a student is fatally stabbed at a French highschool, Kilmar Abrego Garcia's wife relocates after the government posts her address online, Trump orders an overhaul of the college accreditation system, a study suggests eating peanuts as a treatment for allergic adults, and a viral TikTok draws hundreds of Americans to Canada's Nanaimo. Sources: www.verity.news
Esta semana, o governo da RD Congo e o grupo M23 divulgaram no Qatar uma declaração conjunta a favor de uma trégua. Na Guiné-Bissau, Bubacar Turé foi ouvido pela justiça para esclarecer as denuncias sobre a morte de pacientes em tratamento no centro de hemodiálise. Já em Moçambique, cinco membros du groupo paramilitar Naparamas foram abatidos pelas Forças de Defesa e Segurança. Em Cabo Verde, faltam trabalhadores. Em Angola, o país enfrenta forte taixa de mortalidade infantil devido à cólera. Neste 23 Abril de 2025, O governo congolês e o grupo antigovernamental M23, actualmente envolvidos em negociações no Qatar, publicaram pela primeira vez na quarta-feira uma declaração conjunta em que dizem querer "trabalhar em prol da conclusão de uma trégua". Uma declaração que surge após anos de conflito, sucessivas violações de cessar-fogo e fracassos nas diversas tentativas de mediação do conflito.Entrevistado por a jornalista da nossa redação Carina Branco, Sérgio Calundungo coordenador do Observatório Político e Social de Angola, analisa a situação, descartando uma boa notícia, mas descarta que nenhuma garantia foi dada por ambos os partidos que estas tréguas não possam ser violadas.Guiné-Bissau : Bubacar Turé ouvido pela justiça do país Na Guiné-Bissau, o Presidente da Liga Guineense dos Direitos Humanos, Bubacar Turé, foi ouvido pelo Ministério Público em Bissau para esclarecer as denuncias sobre a morte de pacientes em tratamento no centro de hemodiálise do Hospital Simão Mendes, feitas em meados de abril. Após a audiência, a defesa de Turé, representada pela advogada Beatriz Furtado, informou que o seu cliente foi ouvido como denunciante, sem nenhuma medida de coação. Moçambique : Cinco membros do grupo Naparamas abatidos pela políciaNo Moçambique, o Comando-Geral da Polícia moçambicana confirmou que, na semana passada, cinco membros do grupo paramilitar Naparamas foram mortos em confrontos com as Forças de Defesa e Segurança, em Nampula. O ataque ocorreu no posto administrativo de Mutuali, onde o grupo tentou agredir as forças de Defesa com diversas armas. Cabo Verde : Falta de mão-de-obra necessita recrutar cidadãos estrangeiros segundo o GovernoEm Cabo Verde, a falta de mão-de-obra em setores como a construção civil e a agricultura tem sido um tema recorrente da actualidade. Na terça-feira, o ministro da Família, Inclusão e Desenvolvimento Social, Fernando Elísio Freire, reconheceu que o país enfrenta um défice de trabalhadores e destacou a necessidade de recrutar cidadãos de outros países para superar essa carência.Angola : Cólera causa forte taixa de mortalidade infantil Angola regista a terceira maior taxa de mortalidade infantil em África por causa da cólera. As crianças menores de 10 anos são as mais afectadas, e a taxa de mortalidade cumulativa é de 10,6%. As províncias mais afectadas incluem Cuanza Sul, Zaire e Luanda.
Qatar has brokered talks between the government of Democratic Republic of Congo and the M23 rebel group, which is backed by Rwanda, to agree to common terms for a dialogue that includes a ceasefire. Also, Mexican President Claudia Sheinbaum bans foreign political ads on Mexican TV after a wave of anti-immigration spots sponsored by the Trump administration airs nationwide. And, as Spain's Catalonia region celebrates Sant Jordi, or Saint George's Day, there's been controversy this year over one writer who lives in Catalonia but only writes in Spanish. Plus, new research shows that the venom of some rattlesnakes has evolved to be simpler and better tailored to their prey.Listen to today's Music Heard on Air. Learn about your ad choices: dovetail.prx.org/ad-choices
In today's episode, we cover the surprise ceasefire between the Democratic Republic of the Congo and M23 rebel group, the escalating tensions between India and Pakistan, and Russia's latest strikes in the Ukrainian capital.Watch TLDR's latest videos here:https://youtu.be/FNr_cIZHrnc?si=Om8Km3NHhJRZ65E3https://youtu.be/7Uch9HGW6jc https://youtu.be/XWmXDQ6b7Bo Watch the latest episode of TLDR's World Leader Leaderboard here: https://youtu.be/J0Yl-3bRDoITLDR's Daily Briefing is a roundup of the day's most important news stories from around the world. But we don't just tell you what's happening, we explain it: making complex topics simple to understand. Listen to the Daily Briefing for your global news bulletin every weekday.Pre-order the next edition of Too Long, TLDR's print magazine, here: https://toolong.news/dailyProduced and edited by Scarlett WatchornHosted by Georgina FindlayWritten by Ben Blisset and Nadja LovadinovMusic by Epidemic Sound: http://epidemicsound.com/creator//////////////////////////////Sources:✍️ UK and EU Finalising Defence Pacthttps://www.reuters.com/world/uk/uk-pm-starmer-nears-eu-defence-pact-shadow-trump-trade-talks-2025-04-24/https://www.ft.com/content/92734ac6-5ada-4784-b694-44043d85244e?shareType=nongift✍️ DRC Agrees to Ceasefire with M23https://www.bbc.co.uk/news/articles/c3evwqxpv34o ✍️ India-Pakistan Crisishttps://www.reuters.com/world/india/india-calls-all-party-meet-summons-top-pakistani-diplomat-after-kashmir-attack-2025-04-24/ https://www.reuters.com/world/india/kashmir-resistance-group-that-claimed-attack-tourists-indian-kashmir-2025-04-23/ ✍️ Russia Strikes Kyivhttps://www.bbc.co.uk/news/articles/cd7v0lgg18xo See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Good afternoon, I'm _____ with today's episode of EZ News. Tai-Ex opening The Tai-Ex opened up 113-points this morning from yesterday's close, at 19,752 on turnover of 7.3-billion N-T. The market recorded its second highest daily point gain in history on Wednesday, as the main board soared more than 800-points, amid the possible easing of trade tensions between the United States and China. Market watchers say the upturn was completely driven by news that encouraged investors to think trade friction between Washington and Beijing is easing. Sea acceptance tests for indigenous submarine prototype not scheduled Defense Minister Wellington Koo says no dates have yet been confirmed as to when the Narwhal, or "Hai Kun" indigenous submarine prototype will begin its sea acceptance tests. The statement comes as sea acceptance testing was initially reported to begin sometime this month. According to Koo, shipbuilder C-S-B-C is still working to correct some issues and the tests will only begin once all safety requirements are met. The defense minister says although there is currently no definitive (確定的) schedule for the seas acceptance tests to begin, the vessel is still slated to be delivered to the Navy in November as scheduled. Taiwan Railway Corporation announces new fares Taiwan Railway Corporation has published its new ticket prices on its website. Publication of the updated prices comes as fares (票價) are set to rise on June 23. Ticket prices are set to increase by an average of 26.8-per cent. The railway corporation's passed a motion to increase fares across all of its services on February 5 - citing a need to reduce the company's deficit - which hit 13.79-billion N-T last year. The new fares were calculated at a profit of 0.36-per cent, which translates into an average price of 1.82 N-T per kilometer, up from the current 1.46 N-T. UN warns of dangerously low aid in Gaza The United Nations says the humanitarian crisis in Gaza has reached unprecedented levels, even as Arab mediators (調解者) are working on a proposal to end the war with Hamas that would include a five-to-seven year truce and the release of all remaining hostages. Jody Jacobs reports from the United Nations in New York. Congo Gov and Insurgents Commit to Truce A joint statement from Congo's government and a coalition of insurgents in the country's east including the M23 rebels says the two sides have agreed to work toward a truce (休戰) following peace talks in Qatar. The statement was posted online by an M23 spokesperson and confirmed by the government, said the parties had agreed to “work towards concluding a truce” and that they were reaffirming their commitment to “an immediate end to hostilities.” M23 is one of about 100 armed groups that have been vying for a foothold in mineral-rich eastern Congo near the border with Rwanda, in a conflict that has created one of the world's most significant humanitarian crises. More than 7 million people have been displaced (流離失所). Previous commitments to a ceasefire have not held. That was the I.C.R.T. EZ News, I'm _____. ----以下訊息由 SoundOn 動態廣告贊助商提供---- ✨宏匯廣場 歡慶璀璨女王節✨
Les autorités congolaises tirent à boulets rouge sur l'ancien président.Kinshasa annonce en effet, relève le site Actualité CD, « l'ouverture de poursuites judiciaires contre Joseph Kabila, accusé de “participation directe à l'agression menée par le Rwanda à travers le mouvement terroriste AFC-M23“. Kinshasa ordonne aussi la saisie de l'ensemble de ses biens mobiliers et immobiliers. Des mesures de restriction de mouvement ont été prises à l'encontre de ses collaborateurs, présumés impliqués dans ce que les autorités qualifient d'“affaire de haute trahison à l'égard de la Nation“. Enfin, le ministère de l'Intérieur a pour sa part suspendu les activités du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (le PPRD), formation dirigée par Joseph Kabila. »Le cerveau du M23 ?« Coup de tonnerre sur la scène politique congolaise ! », s'exclame Afrik.com. Il s'agit là d'un « basculement inédit dans l'histoire récente de la RDC, poursuit le site panafricain. Joseph Kabila, président de 2001 à 2019 et aujourd'hui sénateur à vie, était jusqu'à récemment resté en retrait de la vie politique active. Mais son retour et les accusations portées contre lui pourraient bien faire voler en éclats l'équilibre fragile issu de la transition démocratique. À Kinshasa, pointe encore Afrik.com, certains hauts responsables vont plus loin encore, désignant ouvertement Kabila comme le cerveau de la résurgence du M23 sous l'étiquette AFC. Une accusation grave, lourde de conséquences, qui risque d'aggraver les tensions politiques alors que l'est du pays reste en proie à de violents affrontements et à une crise humanitaire persistante. La question maintenant est de savoir, s'interroge Afrik.com, si la RDC a besoin d'un tel scénario à ce moment précis. Les mesures que s'apprête à prendre le pouvoir contre l'ancien dirigeant ne risquent-elles pas de créer plus de problèmes que d'en résoudre ? »Quel rôle ?Ce qui a mis le feu aux poudres, c'est la présence de Joseph Kabila à Goma, ville occupée par le M23. D'après plusieurs sites d'informations congolais, l'ancien président est dans la capitale du Nord-Kivu depuis vendredi. D'après l'un de ses proches, interrogé par 7 sur 7, « Joseph Kabila est venu à Goma comme ambassadeur de la paix et non pour adhérer à une opposition armée. (…) C'est le début d'un marathon dans plusieurs parties du pays. »Il n'empêche, analyse Afrikarabia, site spécialisé sur la RDC, « le retour d'exil de Joseph Kabila à Goma, après un crochet par Kigali, qui soutient les rebelles, est un pari risqué qui semble confirmer la thèse de Kinshasa qui associe l'ancien président au M23 et au Rwanda. »Afrikarabia qui s'interroge : « quel rôle peut désormais jouer Joseph Kabila ? (…) L'ancien président est-il revenu pour initier une médiation dans le conflit à l'Est ? (…) Souhaite-t-il consulter l'ensemble des forces politiques pour un dialogue interne ? Pour quelles finalités ? Peut-il rejoindre l'initiative des Églises catholiques et protestantes ? (…) Dans l'incertitude politique créée par le chaos sécuritaire à l'Est, un espace politique existe bien entre le M23 et Félix Tshisekedi. Joseph Kabila espère (peut-être) pouvoir s'y glisser, dans le rôle du rassembleur. »Reste, pointe encore Afrikarabia qu'au « sein de la société civile, on garde un bien mauvais souvenir des années Kabila : tripatouillage électoral, répression sanglante, corruption et prédation… L'ancien maître du Congo, qui a gouverné 18 ans sans partage, ferait davantage partie du problème que de la solution. »À quand l'union sacrée ?La presse ouest-africaine s'interroge également : « que compte faire Kabila au juste ?, se demande le quotidien Aujourd'hui à Ouagadougou. Quel est son poids réel sur le mouvement AFC-M23 ? Que prépare Félix Tshisekedi contre lui ? Va-t-il le faire inculper ou même embastiller ? » Ledjely à Conakry se demande si les mesures prises par Kinshasa contre Kabila « ne sont pas de nature à isoler davantage le pouvoir congolais qui a pourtant besoin d'un minimum de consensus pour faire face à la crise politico-sécuritaire. »« On le voit bien, conclut L'Observateur Paalga, la RDC n'a pas mal qu'à sa rébellion à l'est. Elle est aussi malade de la rupture d'alliance entre Félix Tshisekedi et Joseph Kabila. Plus généralement, les politiques congolais peinent à trouver le plus petit dénominateur commun indispensable pour une vraie union sacrée du pays afin de gérer les multiples crises qui l'assaillent et dont la guerre à l'est n'est que le mouvement le plus visible du dandinement inquiétant de ce géant aux pieds d'argile. »
En RD Congo, le gouvernement a ordonné des poursuites judiciaires contre l'ancien président Joseph Kabila et des responsables de son parti politique, le PPRD. Tous sont accusés de complicité avec les rebelles du M23, qui occupent de larges territoires dans l'est du pays. Ce nouveau tour de vis des autorités congolaises intervient alors que Joseph Kabila a annoncé son retour au Congo après une année d'exil.
Le conseiller principal de Donald Trump pour l'Afrique, Massad Boulos, a fait le point sur sa récente tournée sur le continent qui l'a conduit en RDC, au Rwanda, en Ouganda et au Kenya. Lors d'une conférence de presse, il a notamment réitérer la position américaine sur le conflit qui déchire l'est congolais et évoquer les discussions sur un accord minier entre Kinshasa et Washington.
Les experts et journalistes de RFI répondent à vos questions sur le contrôle du corridor de Morag par l'armée israélienne et le procès de Meta. RDC : tensions entre l'AFC/M23 et les forces internationales Le groupe armé de l'AFC/M23 accuse l'armée congolaise, la SADC et la Monusco d'être responsable des dernières attaques à Goma. Quels sont les arguments avancés par le groupe armé pour faire de telles accusations ? Cette situation peut-elle mettre en péril les initiatives diplomatiques en cours à Doha ?Avec Paulina Zidi, correspondante permanente de RFI à Kinshasa. Gaza : Israël divise l'enclave palestinienne L'armée israélienne affirme avoir pris le contrôle du corridor de Morag, dans le sud de Gaza, coupant Rafah du reste de l'enclave palestinienne. Pourquoi cette zone est-elle un axe clé pour les autorités israéliennes ? Où en sont les négociations entre le Hamas et Israël pour un accord de cessez-le-feu ?Avec Aabla Jounaïdi, envoyée spéciale de RFI à Jérusalem. Meta : Mark Zuckerberg pourrait-il perdre Instagram et WhatsApp ? Aux États-Unis, l'autorité américaine de la concurrence accuse PDG de Meta de pratiques anticoncurrentielles. À l'issue de ce procès, Mark Zuckerberg pourrait être contraint de céder Instagram et WhatsApp. Que reproche-t-on au milliardaire ? Quels sont les risques pour Meta si l'entreprise devait se séparer d'Instagram et WhatsApp ?Avec Julien Pillot, enseignant-chercheur en économie, spécialiste de l'économie de la régulation numérique à l'INSEEC. Et en fin d'émission, la chronique « Un œil sur les réseaux » de Jessica Taieb. Au programme, retour sur le morceau interdit Tell your papa du rappeur nigérian Eedris Abdulkareem.
Sudan's paramilitary Rapid Support Forces (RSF) have declared the formation of a rival government in areas under their control, will that change the course of the civil war that is now entering its third year? Will former president of the Democratic Republic of the Congo, Joseph Kabila who is planning to return to country, help to find a solution to the conflict with M23 rebels? Why are Kenyan ants of interest to smugglers?Presenter: Audrey Brown Producers: Tom Kavanagh in London, and Blessing Aderogba in Lagos Senior Producer: Patricia Whitehorne Technical Producer: Francesca Dunne Editors: Alice Muthengi and Andre Lombard
Interview with Mélanie Gouby on conflict in the Democratic Republic of the Congo - 19:40 Read more about Tristen Naylor, Kelly's new co-host, on our website: https://isd.georgetown.edu/profile/tristen-naylor/ Kelly and Tristen break down the Trump administration's new tariffs, the revival of U.S.-Iran nuclear talks, and Ecuador's recent presidential election. Later, Kelly speaks with investigative journalist Mélanie Gouby about conflict in the DRC and stalled peace talks between the government and Rwandan-backed rebels. Mélanie is an investigative journalist, writer, and documentary filmmaker based in London. Her work focuses on the systemic root causes underpinning violence and conflict, and their impact on human rights, development and the environment. She was the East Africa correspondent for the French newspaper Le Figaro from 2014 to 2016, and has contributed to outlets including the Guardian, the New York Times, the Independent, National Geographic, Foreign Policy, France 24, BBC, Deutsche Welle, and Vice. In May 2012, Mélanie covered the early days of the M23 rebellion for the Associated Press. She was previously the bureau chief for the Institute for War & Peace Reporting in the eastern DRC. The opinions expressed in this conversation are strictly those of the participants and do not represent the views of Georgetown University or any government entity. Produced by Theo Malhotra and Freddie Mallinson. Recorded on April 15, 2025. Diplomatic Immunity, a podcast from the Institute for the Study of Diplomacy at Georgetown University, brings you frank and candid conversations with experts on the issues facing diplomats and national security decision-makers around the world. Funding support from the Carnegie Corporation of New York. For more, visit our website, and follow us on Linkedin, Twitter @GUDiplomacy, and Instagram @isd.georgetown
Pour essayer de résoudre le conflit meurtrier dans l'est de la RDC, l'Union africaine va chercher aujourd'hui un médiateur qui vient d'un pays très éloigné du théâtre des opérations. Il s'agit de Faure Gnassingbé, le président du Togo. Pourquoi ce choix ? A-t-il plus de chances de réussir que son prédécesseur, l'Angolais Joao Lourenço ? Pour l'Institut Ebuteli, Pierre Boisselet est responsable des recherches sur les violences en République Démocratique du Congo. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : L'attaque des quartiers ouest de Goma le week-end dernier est-elle le signe que le M23 ne contrôle pas la totalité du territoire qu'il a conquis ces trois derniers mois dans l'est du Congo ? Pierre Boisselet : Oui, en tout cas, c'est certainement le signe que leM23 n'est pas totalement en mesure d'assurer la paix et la sécurité dans le territoire sous son contrôle. Alors les événements du week-end dernier sont probablement les plus spectaculaires qui ont eu lieu, au moins depuis que le M23 a pris les villes de Goma et Bukavu, au début de l'année… Mais il y en a eu d'autres. On pense notamment aux explosions qui ont eu lieu à Bukavu peu après la conquête de cette ville, en marge d'un meeting de Corneille Nangaa. Il y a aussi eu ces derniers jours des incursions de miliciens wazalendo aux abords de la localité de Kavumu, au Sud-Kivu, où l'on trouve le principal aéroport de cette province du Sud-Kivu. Donc, on voit que, à plusieurs endroits et à plusieurs moments, le M23 a montré que son contrôle de la situation n'était pas total.Il y a un mois, le M23 s'est emparé aussi de la ville de Walikale, sur la route de Kisangani. Et puis, quelques jours plus tard, le mouvement rebelle s'est retiré de cette position importante. Est-ce un retrait stratégique ou politique ? Alors, c'est probablement un peu des deux. Ce qu'on peut dire, c'est qu'on a constaté que le M23 avait beaucoup de difficultés à maintenir ses lignes logistiques jusqu'à cette localité de Walikale qu'il venait de conquérir, notamment la route entre Masisi et Walikale n'était pas du tout sécurisée et les convois étaient à la merci d'attaques de harcèlement. Mais par ailleurs, ce retrait est aussi intervenu au moment où les discussions étaient relancées par le Qatar. Une des conséquences de la prise de Walikale, ça a été la fermeture de la mine d'Alphamin qui est contrôlée par des capitaux américains. Et donc voilà, le fait qu'il se soit retiré, ça a permis l'annonce au moins de la reprise de la production dans cette mine. Donc on peut imaginer qu'il y a pu aussi avoir des pressions politiques qui ont abouti à ce retrait.Et le retrait du M23 de Walikale a coïncidé avec la visite d'un émissaire américain à Kigali ?Tout à fait, Monsieur Boulos, qui d'ailleurs a lui-même annoncé la reprise des activités d'Alphamin dont je parlais à l'instant. Donc voilà, on peut imaginer qu'il y a eu un message de passé à cette occasion.Y a-t-il eu un deal entre messieurs Trump et Kagame ?Alors… Là, je ne saurais m'avancer jusque-là. Ce qu'on sait, c'est qu'il y a eu des discussions. Alors en réalité, surtout entre le gouvernement congolais et le gouvernement américain sur l'accès aux immenses ressources minérales congolaises. Alors est-ce qu'il y a eu d'autres négociations parallèles ? Ça, je ne le sais pas.Du côté des médiations internationales, le Qatar a réussi un joli coup, c'était le 18 mars dernier, quand il a réuni les présidents Tshisekedi et Kagame à Doha. Mais est-ce que cela n'a pas été un succès sans lendemain ? Alors c'est peut-être un tout petit peu tôt pour l'affirmer, mais c'est vrai que ça n'a pas forcément embrayé avec un processus très convaincant, je dirais. On sait que, depuis ce 18 mars, il y a eu des délégations du M23 et du gouvernement congolais qui devaient se rencontrer à Doha pour poursuivre sur la lancée du sommet. Mais à ce stade, il y a vraiment peu d'écho. Il semblerait qu'il y ait assez peu d'avancées dans ces discussions qui ont donc suivi le sommet.Dernière surprise, c'était le week-end dernier : l'Union africaine a désigné le président togolais Faure Gnassingbé comme nouveau médiateur à la place de l'Angolais João Lourenço. Est-ce que João Lourenço se heurtait à la méfiance de Paul Kagame ? Ce qui n'est peut-être pas le cas du nouveau médiateur togolais ? Alors ce qui est certain, c'est que le Togo entretient de très bonnes relations avec le Rwanda. Ce qui était peut-être un peu moins le cas de João Lourenço. Donc ça, ça peut être un point positif.Faure Gnassingbé s'entend bien aussi avec Felix Tshisekedi ?Oui, il semblerait. Et donc, l'arrivée fracassante du Qatar dans cette médiation n'avait pas forcément été anticipée par l'Union africaine et l'a quelque peu marginalisée. Donc probablement qu'il s'agit aussi, au moins en partie, de replacer l'Union africaine dans cette médiation.En allant chercher un pays en Afrique de l'Ouest, très loin du théâtre des opérations ?Oui, notamment. Alors c'est vrai que, contrairement à João Lourenço d'ailleurs, le président togolais ne siège dans aucune de ces deux organisations que sont la SADEC et l'EAC, dont on connaît les tensions. Et donc ça pourrait lui donner un avantage en termes de neutralité. Mais peut-être que la difficulté, par contre, ça sera pour le président togolais d'arriver à convaincre les deux présidents d'arriver à un compromis. On ne voit pas forcément de quel moyen de pression, il dispose pour leur tordre le bras et y arriver.À lire aussiConflit dans l'est de la RDC: le président togolais désigné médiateur par l'Union africaine
Mtoto mmoja alibakwa katika kila nusu saa huko Mashariki mwa Jamhuri ya ya Kidemokrasia ya Congo, DRC wakati mapigano yaliposhika kasi mwanzoni mwa mwaka huu kati ya jeshi la serikali FARDC na waasi wa M23, katikati ya ufadhili finyu wa kifedha, limesema shirika la Umoja wa Mataifa la Kuhudumia Watoto, UNICEF. Anold Kayanda na maelezo zaidi.
Le retour annoncé de l'ancien président de la République démocratique du Congo est largement commenté par la presse congolaise. Joseph Kabila qui compte rentrer dans le pays par sa partie « orientale ». Il ne précise pas s'il arrivera par le Katanga ou par les zones sous contrôle du M23. C'est ce flou qui fait l'objet de nombreux commentaires.Pour Forum des As : « Que Joseph Kabila rentre au pays, dans un contexte où son successeur bat le rappel des troupes pour davantage sceller la cohésion interne et faire face à l'ennemi, personne ne s'en offusque. Seulement voilà, écrit le journal en ligne, Joseph Kabila ne précise pas clairement sa porte d'entrée. (...) la partie orientale de la RDC est vaste. Et même très vaste ». Toutefois, reconnaît le Forum des As : « dans la situation actuelle du pays, Joseph Kabila est une variable pour le retour d'une paix durable ».Accusations de complicité avec le M23Tout autre son de cloche pour Info 27, qui reprend à son compte les accusations du président Félix Tshisekedi. Joseph Kabila serait en fait un complice du M23 et préparerait une insurrection. Info 27 estime que « Le retour annoncé de l'ancien président Joseph Kabila (...) précisément par la partie orientale du pays, ne doit rien au hasard », écrit le journal. « Cette région, aujourd'hui sous occupation rwandaise (...), constitue l'épicentre des tensions et des ambitions régionales. (...) Les masques tombent, accuse Info 27, et les alliances se révèlent au grand jour ». Pour le journal en ligne, Joseph Kabila est « le véritable propriétaire de l'AFC/M23, qui s'apprête à reprendre symboliquement possession de son fief à Goma ». Joseph Kabila avait formellement démenti en mars être « complice du M23 » lors d'une conférence de presse organisée en Afrique du Sud.Cyberespace maghrébinLe Maroc a été victime de l'une des pires fuites de données de son histoire. Des milliers de documents de la Sécurité sociale et du ministère de l'Emploi ont été publiés sur internet. Les hackeurs se revendiquent Algériens, mais prudence : rien ne le prouve pour le moment. La presse marocaine, elle, semble persuadée que c'est un coup d'Alger.Défilé d'experts en cybersécurité dans tous les journaux du pays ce matin pour tenter d'expliquer comment cela a pu arriver. Les responsables marocains restent pour le moment muets sur l'affaire. Le journal Yabiladi déplore : « La rivalité entre Maroc et Algérie dépasse les querelles sur les réseaux sociaux autour du patrimoine culturel, culinaire et vestimentaire, pour s'étendre au domaine des cyberattaques. Les tensions entre les deux nations se sont propagées dans le cyberespace ».Le journal en ligne l'Opinion, lui, appelle à des investissements conséquents dans la cybersécurité dans le pays. Des efforts jugés insuffisants selon lui.« Faux experts » au Sahel« Le Sahel et les faux experts : dessous d'une campagne de propagande russe », c'est le titre d'une enquête de Jeune Afrique. Le mensuel panafricain met en lumière un réseau de médias utilisés au Sahel pour diffuser un discours favorable à la Russie et hostile à la France, encore largement répandu aujourd'hui. Des médias qui publient des articles s'appuyant sur des experts ou des journalistes spécialisés qui sont en réalité fictifs. Ces gens n'existent tout simplement pas. Jeune Afrique révèle : « ce sont des créations d'un réseau d'influence. Le plus prolifique d'entre eux, Grégoire Cyrille Dongobada, est présenté comme un observateur militaire centrafricain, chercheur en études politiques ». « Seulement », écrit Jeune Afrique, « ses traces sur internet ne remontent qu'à 2021, alors qu'il est cité dans des médias pro-russes ». Des profils comme celui-là, il en existe d'autres. L'enquête est à lire sur le site internet de Jeune Afrique.
Les experts et journalistes de RFI répondent à vos questions sur un faux journal attribué à RFI, la crise diplomatique entre l'Algérie et les pays de l'AES et la normalisation des relations franco-algériennes. Guerre en Ukraine : vers une médiation de la Chine ?Alors que les pressions américaines persistent pour un cessez-le-feu en Ukraine, la Chine pourrait à son tour jouer un rôle de médiateur entre Moscou et Kiev. Quels intérêts Pékin pourrait trouver dans cette initiative ? Connaissant les liens qui l'unissent à la Russie, comment la Chine pourrait-elle mener des négociations ?Avec Clea Broadhurst, correspondante permanente de RFI à Pékin. Intox : un faux journal attribué à RFISur les réseaux sociaux et les chaînes WhatsApp, un audio créé par l'intelligence artificielle simule un journal de RFI sur la situation en RDC. On y entend Corneille Nangaa, l'ancien président de la Céni devenu coordinateur de l'Alliance fleuve Congo, alliée au M23, présenter ses excuses aux Congolais. Comment s'assurer qu'une information provient bien de RFI ?Avec Grégory Genevrier, journaliste à la Cellule Info-Verif. Algérie : les pays de l'AES rappellent leurs ambassadeursAprès la destruction d'un drone malien par l'Algérie, le Mali, le Burkina Faso et le Niger ont rappelé leurs ambassadeurs respectifs à Alger. Bamako affirme que ce drone volait au-dessus du territoire malien, Alger assure qu'il était entré dans l'espace aérien algérien. Que sait-on de cet incident ? Pourquoi les pays de l'AES dénoncent-ils des « provocations à répétitions » de la part de l'Algérie ? Une crise plus importante est-elle inévitable ?Avec Akram Kharief, journaliste et chercheur à la Fondation Rosa Luxemburg. France/Algérie : un premier pas vers la normalisation ?Le chef de la diplomatie française, Jean-Noël Barrot, s'est rendu en Algérie pour rencontrer son homologue algérien Ahmed Attaf et le président Abdelmadjid Tebboune. Objectif, permettre un réchauffement des relations entre Paris et Alger. À l'issue de ces entretiens, quels sont les engagements concrets pris sur les questions sécuritaires et migratoires ?Avec Khadija Mohsen-Finan, politologue spécialiste du Maghreb et du monde arabe, chercheure associée à l'Université de Paris 1 – Panthéon Sorbonne (Laboratoire SIRICE).
* Israel has killed 17,000 children in Gaza * Israel launches new attacks in southern Gaza * Myanmar earthquake toll tops 3,000 * DRC govt met M23 rebels in Qatar * UK slams Israel for denying entry to British lawmakers
En RD Congo, la cité minière de Walikale est repassée sous le contrôle des forces armées congolaises. L'AFC/M23 s'était emparé de la cité de plus de 60 000 habitants il y a deux semaines après des combats. Le groupe armé, appuyé par le Rwanda, a annoncé finalement son retrait.
With Matt Ehret away, Ghost steps into the Breaking History host seat for a solo Geopolitics deep dive that covers more ground than a Mossad operation. Kicking things off with the eerie timing of “Liberation Day,” Ghost connects the dots between the commuted death sentences of three Americans in the DRC, Mossad's 2019 coup attempts, Dan Gertler's diamond cartel ties, and Yossi Cohen's shady visits with Congo's president. From there, it's a wild journey through Africa's political awakening, touching on M23 rebel negotiations, Russia's push for digital sovereignty, Senegal's rejection of colonial currency, and the historic pardons of Burkina Faso's imprisoned soldiers. Ghost wraps it all in a rich historical context: coups, corruption, child slave labor in the cobalt mines, and the multipolar power struggle playing out across the continent. If you want to understand why Africa matters in the fight against globalism, this one's a must-listen.
3.24.2025 #RolandMartinUnfiltered: SCOTUS hears Louisiana redistricting case, Trump admin Yemen war plans texts, Crockett Chronicles The Supreme Court heard arguments regarding Louisiana's addition of a second majority-Black congressional district, which some argue goes too far and amounts to unconstitutional racial gerrymandering. House Minority Leader Hakeem Jeffries says there should be a congressional hearing about the way Trump Administration officials discussed sensitive attack plans against the Houthis in Yemen in a Signal group chat. The ceasefire between Congolese forces and Rwandan-backed M23 rebels collapsed on Monday. I'll be speaking with a professor from Morehouse College about its implications for the ongoing conflict in the eastern Democratic Republic of Congo. In tonight's Crockett Chronicles, we'll show you the warning Attorney General Pam Bondi issued to Congresswoman Jasmine Crockett about her comments about Elon Musk. And we have Crockett's response to that warning. In tonight's Fit Live Win, we'll talk to two women's health advocates, Coach Gessie and Angela Yee, about the importance of detoxing. #BlackStarNetwork partner: Fanbasehttps://www.startengine.com/offering/fanbase This Reg A+ offering is made available through StartEngine Primary, LLC, member FINRA/SIPC. This investment is speculative, illiquid, and involves a high degree of risk, including the possible loss of your entire investment. You should read the Offering Circular (https://bit.ly/3VDPKjD) and Risks (https://bit.ly/3ZQzHl0) related to this offering before investing. Download the #BlackStarNetwork app on iOS, AppleTV, Android, Android TV, Roku, FireTV, SamsungTV and XBox http://www.blackstarnetwork.com The #BlackStarNetwork is a news reporting platform covered under Copyright Disclaimer Under Section 107 of the Copyright Act 1976, allowance is made for "fair use" for purposes such as criticism, comment, news reporting, teaching, scholarship, and research.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Mvemba Dizolele, senior fellow and director of the Africa Program at the Center for Strategic and International Studies, sit down with James M. Lindsay to discuss the renewed fighting in the Eastern Congo that pits the M23 rebel group backed by Rwanda against the government of the Democratic Republic of the Congo. Mentioned on the Episode: Mvemba Dizolele, Into Africa, Center for Strategic and International Studies For an episode transcript and show notes, visit The President's Inbox at: https://www.cfr.org/podcasts/tpi/conflict-eastern-congo-mvemba-dizolele
This week on the news roundup: the Copernicus Climate Change Service reports that global sea ice fell to the lowest level ever recorded in February (1:18); Alawites in northwestern Syria have been massacred over several days (3:19) while the government and SDF cut a deal (6:49); Israel intensifies its blockade of Gaza (9:38) as the US proposes a new compromise for the Strip (10:55); Armenia and Azerbaijan look to be on the cusp of a peace agreement (14:31); the Philippines arrests former president Rodrigo Duterte on an ICC warrant (16:30); Trump and China's Xi Jinping might hold a summit in June (19:23); the crisis in South Sudan continues to worsen (21:03); the Democratic Republic of the Congo (DRC) and M23 armed group look to hold peace talks (23:31); in Russia-Ukraine, the US and Ukraine produce a ceasefire proposal (25:15) while Russia retakes most of Kursk Oblast (29:46); Trump might be preparing to invade Panama (31:45); Canada elects a new prime minister (33:43); Trump continues to escalate the trade war (37:07); and former US National Security Advisor Jake Sullivan will become Harvard's inaugural Kissinger Professor of the Practice of Statecraft and World Order (39:32). Subscribe now for an ad-free experience and much more content. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices