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The DR Congo and the M23 rebels sign a framework agreement in Qatar for a peace deal to end fighting Will Nigeria's seemingly endless academic staff strikes end? And Nigeria's Eagles to miss the World Cup after defeat by DR Congo's Leopards Presenter: Nyasha Michelle Producers: Sunita Nahar and Joseph Keen in London with Madina Maishanu in Abuja. Technical Producer: Jack Graysmark Senior Producer: Paul Bakibinga Editors: Andre Lombard and Alice Muthengi
Na província de Nampula, membros do partido ANAMOLA denunciam intimidação e perseguição. O Presidente de Moçambique alerta para a infiltração de criminosos no Estado. A República Democrática do Congo e M23 assinam um novo quadro de paz. Learning by Ear - Aprender de Ouvido.
The Democratic Republic of Congo and M23, a rebel group which earlier this year seized territory in the east of the country, signed a framework peace agreement in Doha, the capital of Qatar Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Un accord-cadre a été signé à Doha entre le gouvernement congolais et le groupe armé M23, sous médiation qatarienne. Ce texte, centré sur le cessez-le-feu et l'échange de prisonniers, marque une étape vers une paix attendue depuis plus de trois ans. Mais sur le terrain, la tension reste vive. Les négociations doivent se poursuivre sur des points cruciaux, dont la restauration de l'autorité de l'Etat dans les zones passées sous contrôle rebelle et des déplacés.
Capufe despliega operativo por fin de semana largo Consumo privado muestra ligera recuperación de 0.1%: InegiRDC y rebeldes del M23 firman acuerdo rumbo a un pacto de paz Más información en nuestro podcast
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la libération de Boualem Sansal grâce à la médiation allemande, la remise en liberté de Nicolas Sarkozy et la signature d'une coopération économique entre Kinshasa et Kigali. Ukraine : un proche de Zelensky au cœur d'un réseau de corruption Timour Minditch, un proche du président Volodymyr Zelensky, est accusé d'avoir organisé un vaste système de corruption portant sur plus de 100 millions de dollars. Que sait-on de cette affaire ? Ce scandale peut-il remettre en cause l'intégrité du président ukrainien ? Avec Kseniya Zhornokley, journaliste spécialisée pour la rédaction ukrainienne de RFI. Libération de Boualem Sansal : quel rôle a joué l'Allemagne ? Libéré ce mercredi 12 novembre 2025 après un an de détention, l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal a bénéficié d'une grâce. Le président Tebboune a accepté ainsi la demande de son homologue allemand Frank-Walter Steinmeier. Pourquoi l'Allemagne a-t-elle joué un rôle dans la libération de l'écrivain ? Avec Pascal Thibaut, correspondant de RFI à Berlin. France : pourquoi Nicolas Sarkozy a-t-il été libéré ? Incarcéré depuis le 21 octobre 2025 après sa condamnation dans l'affaire du financement libyen de sa campagne électorale de 2007, l'ancien président a pu quitter la prison de Santé, à Paris, ce lundi 10 novembre 2025. Pourquoi la Cour d'appel a-t-elle autorisé sa libération ? Nicolas Sarkozy retournera-t-il en prison à l'issue de son procès en appel prévu en mars 2026? Avec Amélie Beaucour, journaliste au service France de RFI. RDC-Rwanda : que contient l'accord économique ? Les délégations de la République démocratique du Congo et du Rwanda ont signé à Washington le volet économique de l'accord de paix conclu le 27 juin 2025. En quoi consiste la coopération économique entre Kinshasa et Kigali ? Avec Patient Ligodi, journaliste au service Afrique de RFI.
« Le président Tshisekedi ne peut pas aller signer la paix à Washington sans qu'on puisse constater que les troupes rwandaises se sont retirées de notre territoire », déclare sur RFI, ce mercredi matin, le ministre congolais de la Communication et des Médias, Patrick Muyaya. Est-ce à dire que la poignée de main, prévue d'ici à la fin du mois à Washington, entre le Congolais Félix Tshisekedi et le Rwandais Paul Kagamé est sérieusement compromise ? De passage à Paris, Patrick Muyaya, qui est aussi porte-parole du gouvernement de la RDC, répond aux questions de Patient Ligodi et Christophe Boisbouvier. RFI : Jusqu'à la semaine dernière, vous faisiez du retrait des troupes rwandaises du Congo le préalable à toute signature d'accords. Mais vendredi dernier, à Washington, vous avez finalement signé un accord de coopération économique avec le Rwanda pour le développement futur de la sous région. Pourquoi avez-vous changé d'avis ? Patrick Muyaya : Nous avons paraphé parce qu'il y a eu un progrès. Il y a eu, dans ce qui avait été signé, une section qui a été rajoutée. Dans cette section, il est clairement dit que le cadre d'intégration économique régionale pourra effectivement être mis en œuvre après la satisfaction de l'exécution du Conops. Le Conops, c'est le volet militaire de l'accord du 27 juin qui stipule, d'une part, que nous allons traiter la question des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) et que le Rwanda va à son tour retirer ce que l'on appelle ses « mesures de défense », en réalité, la présence de ses troupes et de son matériel militaire. Dans ce qui s'est discuté, il y a des engagements qui ont été réitérés de part et d'autre, notamment en ce qui concerne le volet militaire, pour que cela facilite la signature par les deux chefs d'État. Vous avez signé parce que le principe, notamment, d'un retrait des troupes rwandaises vous semble acquis ? Nous avons signé, dans le cadre de cette section, que l'on a rajouté, parce qu'il faut que l'on s'assure que, dans cette dimension, le Rwanda fasse sa part. Dans le Conops, le volet militaire, n'oubliez pas qu'il est prévu de traiter d'une part la question des FDLR, ce que nous traitons, avec la phase de la sensibilisation – nous en ferons le point pour décider s'il y a des opérations qui doivent se faire. Mais, d'autre part, le Rwanda s'était engagé à retirer ses mesures de défense. Nous faisons notre part et eux doivent faire la leur. Comme vous le dites, la mise en œuvre de cet accord de coopération économique est conditionnée aussi à la neutralisation des rebelles hutu rwandais FDLR sur votre territoire. Mais concrètement, monsieur le ministre, avez-vous cartographié le déploiement des FDLR ? Avez-vous commencé à les désarmer ? Je crois qu'il y a un travail d'état-major qui a été fait en termes de cartographie. Il y en a certains qui sont sur la partie du territoire que nous contrôlons, et l'autre partie sur le territoire qui est sous contrôle des forces d'occupation. Dans les parties que nous contrôlons, au moment où je vous parle, il y a des experts militaires qui sont sur place pour procéder à la phase de sensibilisation qui est, elle aussi, prévue dans le cadre du Conops, qui est annexé à l'accord du 27 juin. Dans cet ordre, nous faisons cette première partie. S'il y a des résistances, dans le cadre de ce qui est prévu, nous passerons à la phase suivante pour nous assurer que nous nous sommes acquittés de notre part dans le cadre de l'exécution du Conops. Du côté des négociations avec les rebelles de l'AFC/M23, vous avez signé avec eux, il y a un mois, un accord créant un mécanisme de surveillance du cessez-le-feu. Où en est ce mécanisme ? Fonctionne-t-il ? Il doit fonctionner normalement en fonction des structures qui ont été mises en place. Je crois que la première réunion devrait être convoquée incessamment pour voir comment cela peut se mettre en place. Ce n'est pas simplement la question du mécanisme du cessez-le-feu, mais aussi cette question de prisonniers. Vous parlez d'échange de prisonniers. Vous négociez à ce sujet avec le M23 depuis plusieurs mois à Doha, mais cela n'avance pas. Beaucoup disent que c'est vous qui bloquez, car vous refuseriez la libération d'un certain nombre de prisonniers politiques. Je n'irai pas à dire que nous bloquons ou que nous n'avançons pas. Le fait, déjà, que nous ayons parlé préalablement des mécanismes qui ont été signés, notamment sur le cessez-le-feu ou la libération de prisonniers, c'est la preuve que nous avançons sur les mécanismes de prisonniers. Il y a une tâche qui a été confiée au Comité international de la Croix-Rouge (CICR), qui est en train de travailler avec les deux parties. Le moment venu, il y aura des évolutions et les choses pourront être dites. La condamnation à mort, le mois dernier, de l'ancien président Joseph Kabila par un tribunal militaire de Kinshasa ne complique-t-elle pas ces négociations ? Je ne suis pas sûr que cela complique les négociations. Il faut dissocier le président Kabila. C'est un ancien président. Je pense qu'il existe une loi qui le concerne, lui, personnellement – parce qu'on n'a pas deux anciens présidents. Au regard de cette loi et au regard de ses agissements, notamment son séjour et ses contacts réguliers – je ne dirai pas davantage –, il faut considérer qu'il n'a pas joué le rôle qu'il devrait jouer dans ce cadre et que les conséquences au plan judiciaire ont été tirées. Cette semaine, toujours à Doha, au Qatar, on attend la signature d'un accord-cadre entre l'AFC/M23 et votre gouvernement. Où en est-on ? Je pense que les discussions ont plutôt bien évolué. Il y a un besoin humanitaire urgent et pressant. Je pense que nous trouvons un compromis qui sera complémentaire à celui trouvé à Washington et qui nous permet d'aller maintenant dans la mise en œuvre effective qui sera l'étape la plus déterminante qui permette le retour de la paix effective. La Conférence humanitaire de Paris, le 30 octobre dernier, a-t-elle donné les résultats que vous espériez, ou vous a-t-elle déçu ? On ne dira pas qu'on est déçu parce qu'il y a eu une grosse mobilisation sur un sujet qui nous tient particulièrement à cœur, le sujet humanitaire. Il y a des besoins qui ont été chiffrés à peu près à 2,2 milliards et Paris s'est prononcé pour à peu près 1,6 milliard. Ce n'est pas tout ce dont nous avons besoin, mais c'est déjà quelque chose d'essentiel. Nous restons attentifs sur ce sujet aussi. La réouverture de l'aéroport de Goma pour des causes humanitaires, y croyez-vous ? Nous allons y arriver parce que nous avions convenu de cette urgence avec les humanitaires sur place. La question a fait l'objet des discussions à Paris. Ici, il faut rappeler d'abord que, si ceux qui occupent illicitement la ville de Goma et de Bukavu étaient en mesure d'ouvrir l'aéroport, ils l'auraient ouvert. C'est une question de souveraineté. Et nous, nous avons lancé un NOTAM (« Messages aux navigants », ndlr) – pour parler un langage de spécialiste –, pour dire que ces aéroports ne pouvaient pas servir. Pour des besoins strictement humanitaires, il y aura une dérogation qui pourra être faite pour des vols de type précis qui pourront être systématiquement contrôlés et être dans la mesure de fournir l'appui qu'il faut à nos populations sur place. D'ici combien de temps ? Je ne saurai pas vous donner des délais, au moment où nous parlons. Mais je sais qu'il y a des personnes qui y travaillent, que ce soit à Kinshasa ou à Paris, et qui doivent être en mesure rapidement de rendre concret ce projet. Vous êtes sur le point de signer un accord-cadre avec les rebelles AFC/M23, mais en même temps, ce mouvement est en train de recruter des dizaines, voire des centaines de magistrats pour son administration. Comment réagissez-vous ? Il est évident, le ministre de la Justice l'a déjà dit, que tout acte posé dans ces contextes sera déclaré nul et de nul effet. Vous convenez avec moi qu'ils ne sont pas en compétence de faire un quelconque recrutement parce qu'il existe un travail du Conseil supérieur de la magistrature et des critères bien établis. Nous n'accordons que peu d'attention à ce genre d'actions qui n'ont en réalité aucun avenir. Voilà plus de quatre mois que les ministres des Affaires étrangères de vos deux pays, la République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda, ont signé un premier accord de paix à Washington. C'était le 27 juin. Mais à quand un accord de paix définitif signé par vos deux présidents, Félix Tshisekedi et Paul Kagame, en présence de Donald Trump à Washington ? Mais je crois que c'est prévu et les conditions doivent être réunies. Mais il y a pour nous un facteur principal, c'est le retrait de ce qu'on appelle, en langage diplomatique, les « mesures de défense du Rwanda », mais qui sont, en réalité, son armée et tous les matériels qui sont déployés sur notre territoire. Dès que les conditions seront réunies, et il me semble que nous sommes sur la voie, le président de la République pourra faire le déplacement de Washington pour poser la signature sur cet accord de paix. Donc, pas de déplacement de Félix Tshisekedi à Washington avant un début de retrait des forces rwandaises de votre territoire ? Je crois que nous l'avons fait savoir, notamment à la médiation américaine. Vous avez vu qu'il y a eu une évolution. Je vous ai dit tout à l'heure, lorsque nous parlions de la signature du cadre d'intégration économique régionale, que cette préoccupation a été bien notée. Nous avons réagi à travers un communiqué et nous considérons que c'est un pas important qui nous permettra de faire le mouvement de Washington. Nous considérons que nous sommes sur une dynamique positive qui nous permettra, dans les jours qui viennent, de parvenir à la signature de cet accord par les présidents de la République. Signature qui pourrait avoir lieu d'ici à la fin de ce mois de novembre ? Cela dépendra aussi des agendas, mais il y a des contacts étroits pour que les mots du président Trump puissent correspondre à la réalité sur le terrain. Votre gouvernement, disons l'armée congolaise, a lancé cette campagne pour demander aux FDLR de pouvoir déposer les armes en vue d'une éventuelle reddition. A combien évaluez-vous le nombre de ces combattants FDLR en RDC? Je ne saurais peut-être pas me hasarder sur des chiffres, qui relèvent plutôt des états-majors. Mais je ne pense pas qu'ils soient en nombre considérable et qu'ils puissent véritablement causer des problèmes de sécurité au Rwanda. Mais quand vous parlez d'un nombre qui ne serait pas considérable, vous l'évaluez à combien environ ? 500 personnes ? Certains experts nous parlent de 1 000, 1500, mais c'est du domaine du renseignement militaire. Il faut laisser le travail se faire et peut être que le moment venu, nous pourrons revenir avec des chiffres plus précis dès que nous les aurons. Sur RFI, les porte-paroles des FDLR disent qu'à ce jour, les FDLR ne peuvent pas désarmer. Ils ne peuvent donc suivre la campagne qui est menée par les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), déposer les armes et donc faire cette reddition. Nous savons que nous avons des engagements. Nous savons qu'il y a des choses qui doivent être faites à notre niveau. Nous, on a commencé cette phase de sensibilisation. Évidemment, il y a des prochaines phases en fonction de l'évaluation qui sera faite. Il y a un travail qui doit être aussi fait au Rwanda parce que ce sont des Rwandais, et le Rwanda devrait être disposé à les recevoir. Pour le reste, il ne m'appartient pas de commenter les décisions de ce genre dès lors que nous avons un plan préalablement établi et sur lequel nous tenons, dans le cadre des différents accords que nous avons signés. En parlant de ce processus de Washington et de Doha, il a été convenu d'un mécanisme de suivi du cessez-le-feu. Mais sur le terrain, rien n'est fait. Encore hier, il y avait des combats sur le terrain. Il y a toujours une distance entre le moment où nous signons et le moment où les choses se mettent en place. Nous connaissons la détermination des occupants. Mais il ne faut pas oublier que nous avons une médiation qui suit ce qui se passe sur le terrain. Il ne faut pas oublier que les médiateurs disposent d'autres leviers qui peuvent servir de pression pour nous assurer que nous atteignons les objectifs que nous poursuivons. On peut dire que rien n'a été fait. Ne vendez-vous pas du vent à la population congolaise, avec tout ce qui se passe à Doha et à Washington ? Attention, nous ne vendons pas du vent parce qu'il y a des progrès. Il y a des combats sur le terrain. Mais j'y arrive. Nous sommes dans un processus diplomatique. Lorsque nous avons choisi la résolution 2773 et tout ce qu'il y a comme déploiements diplomatiques ici, il y a un travail qui doit se faire au préalable, c'est le travail diplomatique. Mais après, il y a un travail plus important, le travail de terrain. Cela veut dire qu'il y a les préalables. Lorsqu'on dit qu'on mettra en place un mécanisme de cessez-le-feu, il faut être sûr qu'on arrive à mobiliser toutes les parties prenantes, les mettre en place et qu'elles aient les moyens de déploiement. Cela ne se fait pas sur un claquement de doigt, et les médiateurs le savent. Donc on ne saura peut être pas vous dire dans l'immédiat : « On signe aujourd'hui, demain sur terrain, et ceci. » C'est pour cela qu'il y a un besoin de responsabilité pour le Rwanda, conformément à l'accord du 27 juin, de faire sa part et de s'assurer, de par le lien parental qui les lie au M23, de voir comment le M23 va aussi s'acquitter de sa part. Ce n'est qu'à ce prix que nous pourrons atteindre les objectifs fixés au plan diplomatique. Nous avons des médiateurs qataris, américains et de l'Union africaine qui suivent étroitement les processus. Dans ce cadre là, chaque fois qu'il y a des actes qui sont posés, qui ne devraient pas l'être et qui sont rapportés, ce sera le moment venu au médiateur de voir qui bloque quoi et tirer les conséquences qu'il faut. Cette rencontre à venir à Washington entre les deux chefs d'État pourrait-elle avoir lieu avant le début du retrait des troupes rwandaises du Congo ? Nous savons que le retrait des troupes rwandaises est la condition principale pour que nous puissions avancer. Parce que le président de la République ne peut pas se rendre à Washington sans que nous ne puissions être en mesure, avec les Américains avec lesquels nous travaillons, de constater qu'il y a eu retrait de ce qu'on a appelé, en langage diplomatique, des « mesures des défense », mais en réalité des troupes rwandaises et de tout ce qui les accompagne. Donc il n'y aura pas cette poignée de main avant un geste militaire de votre voisin rwandais ? En tout cas, il y a un accord qui a été signé, qui prévoit des choses. Nous, nous faisons notre part. Le Rwanda doit faire la sienne pour nous permettre d'avancer. Pour obtenir ce retrait des troupes rwandaises, on voit bien que vous comptez beaucoup sur la pression des Américains. Mais maintenant que le Rwanda accepte d'accueillir des migrants en provenance des États-Unis, ne craignez-vous pas que Washington n'ait plus aucun moyen de pression sur Kigali ? Je crois que le président Donald Trump, de manière constante, se présente comme celui qui aide à atteindre les objectifs de paix. Il l'a fait dans plusieurs pays. Pour ce qui concerne la République démocratique du Congo, il est bien au courant. Vous suivez notamment les déploiements de son envoyé spécial, Massad Boulos. Aujourd'hui, il faut considérer que nous avons fait des pas. N'oubliez pas que le président de la République, en 2019, dès son arrivée, avait fait le choix courageux de la paix, avec les voisins, notamment le Rwanda. N'oubliez pas qu'il y a une volonté américaine et qatari d'investir massivement dans la région pour en débloquer tout le potentiel. J'ai assisté à Washington en octobre dernier à une réunion, à l'initiative du Département du Trésor américain, avec tous les bailleurs qui sont intéressés par l'investissement dans cette partie de la région. Je crois qu'il y a davantage de pression sur le Rwanda pour aller vers la conclusion de l'accord, pour permettre à tous ces bailleurs de commencer à aller vers l'essentiel. L'essentiel ici, c'est nos populations. Je rappelle que le président de la République a toujours dit et répété que nous n'avions pas de problème avec le peuple rwandais. Vous voyez qu'il y a des objectifs nobles qui nous attendent. Des objectifs qui permettront à la fois aux Américains d'être sûrs de pouvoir bénéficier de ressources critiques. Nous avons tous besoin de parvenir à cet objectif de paix. Et nous avons tous besoin, dans ce cadre, que le Rwanda fasse sa part autant que nous faisons la nôtre. À lire aussiRDC: «Nous résisterons jusqu'à ce que Kigali accepte un dialogue», affirment les FDLR
®Questo reportage racconta la drammatica realtà delle donne congolesi impiegate nel settore minerario artigianale, in un Paese segnato da guerre, sfruttamento e profonde disuguaglianze di genere.Nel Nord e Sud Kivu, regioni ricche di minerali preziosi, il gruppo armato M23 ha preso il controllo di importanti città, mentre il settore minerario continua a essere teatro di abusi. Dopo la chiusura della compagnia nazionale SOMINKI nel 1996, molte donne sono entrate nel settore artigianale, svolgendo lavori durissimi e pericolosi, spesso senza alternative.Tra queste c'è Furaha Myamungo, una “mama twangaise” di Kamituga, che racconta le condizioni disumane del lavoro: giornate interminabili, discriminazione, malattie respiratorie e HIV contratti per la polvere di quarzo e la miseria che spinge alla prostituzione.Nonostante tutto, emergono storie di resistenza e cambiamento. Emilienne Intongwa, minatrice e vedova, è riuscita a ottenere un proprio sito minerario e ha fondato l'associazione KOKA per tutelare le lavoratrici. Angelique Nyirasafari, ex operatrice umanitaria, è oggi una delle poche donne membro attivo di una cooperativa mineraria, impegnata a dare più diritti alle minatrici.Sebbene il sistema sia ancora profondamente maschilista e corrotto, mostra anche segnali di una lenta emancipazione femminile, fondamentale per cambiare il volto dell'industria mineraria in Congo.Prima emissione: 04 aprile 2025.
Sie nennen sich M23 oder RSF. Es sind die Milizen im Kongo und im Sudan; sie führen Krieg im eigenen Land. Es geht um Macht und Rohstoffe - auf die Bevölkerung nehmen sie keine Rücksicht. Es gibt Vorwürfe schwerster Menschenrechtsverletzungen, die Lage im Sudan gilt als die aktuell größte humanitäre Krise der Welt. Zwar hat die RSF-Miliz dort einer Waffenruhe zugestimmt, doch die scheint brüchig. Was steckt hinter den grausamen Konflikten? In beiden Ländern sind Milizen oft aus lokalen Gemeinschaften entstanden, die sich selbst schützen wollten, aber dann zu Tätern wurden. Es sind Milizen, die nicht nur kämpfen, sondern wirtschaften: mit Gold, Menschen und Waffen. Es zeigt sich, wenn ein Staat zerfällt, übernehmen Milizen nicht nur die Waffen, sondern auch die Macht. Gewalt wird zur Wirtschaftsform und Straflosigkeit zur Regel. Gibt es Wege aus der Gewalt und was hilft den Menschen im Kongo und im Sudan? Wir sprechen mit der Politikwissenschaftlerin Niddal Salah-Eldin, mit Katrin Jullien, Regionalbüroleiterin der Diakonie Katastrophenhilfe in Nairobi, mit Dr. Astrid Irrgang, Geschäftsführerin des Zentrums für Internationale Friedenseinsätze und mit Nadège Kusanika, der im Kongo geborenen Autorin des Buches “Unter derselben Sonne“. Podcast-Tipp: 11KM: der tagesschau-Podcast Krieg im Sudan: Warum das Land in Gewalt versinkt Im Sudan wütet ein brutaler Bürgerkrieg. Im Kampf gegen die sudanesische Armee hat die paramilitärische Miliz “Rapid Support Forces”, kurz RSF, die Stadt Al-Faschir eingenommen. Es wird von Vergewaltigungen, Massenmorden, und brutalen Hinrichtungen berichtet. Nach UN-Angaben steht das ganze Land am Abgrund einer humanitären Katastrophe. Nina Amin aus dem ARD-Studio Kairo ordnet in dieser 11KM-Folge ein, was gerade im Sudan passiert. Sie erklärt, was den Konflikt so kompliziert macht und ob es eine Lösung in diesem laut UN „vergessenen Krieg“ geben kann. Redaktionsschluss für diese Folge war 6. November 20 Uhr. https://www.ardaudiothek.de/episode/urn:ard:episode:a50f4cfe7f29f3f6/
Our 2nd best of the week episode! RV Travel Vlogs: https://www.youtube.com/playlist?list=PLGnkhJNb0dylJlLkdFpZ5J-cDQvE0C7T-
En Côte d'Ivoire, quelques jours après la proclamation des résultats provisoires qui ont donné la victoire à Alassane Ouattara avec plus de 89% des voix, la Commission Electorale Indépendante prépare désormais les élections législatives du 27 décembre prochain.
Passer de 500 millions de dollars à 2,5 milliards de dollars d'aide humanitaire pour cette année 2025, c'est le premier objectif de la Conférence de soutien à la paix et à la prospérité des Grands Lacs, qui se tient aujourd'hui à Paris, en présence notamment du Congolais Félix Tshisekedi et du Français Emmanuel Macron. Quelles sont les plus grandes urgences de l'heure dans l'est de la RDC ? Le médecin gynécologue De-Joseph Kakisingi exerce à Bukavu et préside le Conseil National des Forums d'ONG Humanitaires et de Développement (CONAFOHD). Il est présent à Paris et répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Quel est le problème le plus urgent à régler pour les millions de Congolais déplacés par la guerre ? De-Joseph Kakisingi : Le problème le plus urgent à régler aujourd'hui, c'est d'abord l'accès à l'alimentation, à la nourriture. Parce que ces milliers de déplacés aujourd'hui sont bloqués dans une zone sans accès physique, et donc ils sont coupés de leur source d'alimentation. Et donc ça devient très urgent qu'ils aient accès à la nourriture, qu'ils aient accès aux soins médicaux. Donc, il faut l'approvisionnement en soins médicaux et, en fait, qu'ils aient aussi accès à des espaces sûrs. Est-ce que la prise des villes de Goma et de Bukavu au début de l'année par les rebelles et leurs soutiens rwandais, est-ce que cette prise a aggravé la crise humanitaire ? Effectivement, cette crise est venue aggraver davantage une crise humanitaire qui était déjà assez alarmante, et notamment par les blocus que cela fait autour de ces villes-là et autour des zones périphériques. Ça entraîne notamment la fermeture de l'espace aérien et des aéroports, comme l'aéroport de Goma et celui de Bukavu. Les routes aujourd'hui sont dégradées pendant la saison des pluies et les banques sont fermées et l'accès par les frontières est très difficile. Et donc cela vient exacerber une situation humanitaire qui était déjà assez grave. Ces millions de Congolais déplacés, ils vivent dans quelles conditions concrètement ? Alors, ils vivent dans des conditions très difficiles. Vous savez, avant la chute de Goma et de Bukavu, il y avait des camps de déplacés autour de Goma, autour de Bukavu, et donc l'assistance était assez facile à partir des ONG nationales et internationales et des Nations unies qui pouvaient subvenir aux besoins urgents de ces populations. Mais aujourd'hui, les camps de déplacés ont été fermés et ça fait que ces populations sont en train d'errer sans abri, sans assistance, sans possibilité qu'elles puissent être mieux regroupées pour être mieux aidées. Et ça fait qu'elles vivent dans des conditions très, très difficiles. Ce qui veut dire que vous-même qui êtes médecin gynécologue, vous ne pouvez pas soigner tous les malades, c'est ça ? Oui, c'est ça, effectivement, le problème est là où l'accès est difficile pour s'approvisionner en médicaments, beaucoup d'hôpitaux, beaucoup de zones de santé voient leurs stocks de médicaments en rupture, et ça fait que les hôpitaux ne peuvent plus offrir des soins de qualité parce qu'il n'y a pas de médicaments. Et nous, comme médecins, nous nous trouvons face à une grave difficulté. Parfois, on est obligé d'assister à des décès de personnes qu'on aurait pu sauver si on avait des médicaments à portée de main. Moi, je viens de Bukavu, au cœur de la crise, et il nous arrive de voir des femmes mourir ou des enfants par manque de médicaments. Il nous arrive de voir des femmes mourir d'hémorragie post-partum parce qu'on n'a pas l'ocytocine pour pouvoir prévenir les hémorragies et parce que la chaîne du froid devient difficile dans ces conditions où l'espace aérien est fermé. Il nous arrive aussi de voir des enfants mourir parce qu'on manque des médicaments essentiels et parce que les voies d'accès sont difficiles. Est-il vrai qu'il y a encore des stocks de médicaments sur plusieurs sites du Nord-Kivu et du Sud-Kivu, mais qu'on ne peut pas les acheminer jusqu'aux centres de santé, jusqu'aux populations à cause des tracasseries administratives, à cause des checkpoints ? Oui, il arrive effectivement que certaines organisations internationales disposent des stocks dans les grandes villes, mais il y a effectivement des tracasseries administratives, comme par exemple, je viens de voir une note qui est sortie il y a quelques jours au niveau de Kinshasa, où on annonce que toute tentative de contractualisation d'aide humanitaire avec les zones périphériques doit d'abord se référer au ministère national. Et quand on voit l'étendue du pays, quand on voit tout ce qu'il y a comme zones de santé et les difficultés, ça fait des tracasseries administratives en plus. Y a-t-il aussi des tracasseries du côté des rebelles du M23 ? Effectivement, c'est des deux côtés, de plus en plus. Il y a des doubles taxations, il y a des contraintes pratiquement pour les ONG nationales, il y a des menaces, des intimidations et ça rétrécit l'espace humanitaire et ça fait que l'aide humanitaire n'arrive pas. Est-ce qu'il y a au moins des corridors humanitaires ? Jusqu'à ce jour, non. On a essayé d'établir un corridor humanitaire entre Bukavu et Uvira par exemple, et cela n'a pas marché à la dernière minute. Toutes les parties au conflit se sont opposées ou ne l'ont pas permis. Cette conférence de Paris, où vous êtes ce jeudi, qu'est-ce que vous en attendez ? La première chose, c'est en fait donner un peu plus de la lumière sur la crise congolaise. Si vous voyez, il y a beaucoup de visibilité sur la crise de Gaza, beaucoup de visibilité sur la crise de l'Ukraine, mais très peu de visibilité sur la crise congolaise. La deuxième chose qu'on attend de cette conférence, c'est en fait une sensibilisation pour le financement de l'action humanitaire. Le plan de réponse humanitaire de cette année était évalué à 2,5 milliards de dollars pour pouvoir répondre aux besoins des 6,8 millions sur les 21 millions de personnes qui sont en besoin d'aide humanitaire au Congo. Mais jusqu'à ce jour, ce plan n'a été financé qu'à 500 millions de dollars. Et on attend de cette conférence, qu'il y ait un peu plus de solidarité pour qu'on arrive peut-être à lever le double de ce qui a déjà été donné et ainsi pouvoir apporter de l'aide à toutes ces communautés qui sont dans les besoins humanitaires urgents. À lire aussiRDC: à Paris, une conférence de soutien à la paix dans la région des Grands Lacs
L'est de la République Démocratique du Congo est au cœur d'un conflit qui fait rage depuis plusieurs années. D'un côté, les forces congolaises, de l'autre, le M23 soutenu par le Rwanda voisin. De nombreux morts, des blessés et des populations appauvries, prises en étau dans une zone riche en matières premières, source de convoitises et de trafics. Alors que des négociations de paix sont en cours sous l'égide des États-Unis et du Qatar. Décryptage des enjeux économiques et géopolitiques d'un conflit qui paralyse toute une région.
L'est de la République Démocratique du Congo est au cœur d'un conflit qui fait rage depuis plusieurs années. D'un côté, les forces congolaises, de l'autre, le M23 soutenu par le Rwanda voisin. De nombreux morts, des blessés et des populations appauvries, prises en étau dans une zone riche en matières premières, source de convoitises et de trafics. Alors que des négociations de paix sont en cours sous l'égide des États-Unis et du Qatar. Décryptage des enjeux économiques et géopolitiques d'un conflit qui paralyse toute une région.
The president of the Democratic Republic of Congo (DRC) has called for peace with neighboring Rwanda as tensions rise in eastern DRC. Kigali rejected the offer — raising fears of escalating conflict and failed diplomacy in the region.
Good afternoon, I'm _____ with today's episode of EZ News. Tai-Ex opening The Tai-Ex opened up 117-points this morning from yesterday's close, at 26,911 on turnover of 8.3-billion N-T. The market closed lower on Tuesday as renewed concerns over US-China trade tensions prompted (促使) investors to lock in profits. Former EVA Airways rep accused of spying for China The Supreme Prosecutors' Office has indicted a former EVA Airways representative to China on charges of spying for Beijing. The former airline representative was stationed in Sichuan and is suspected of being recruited by Chinese intelligence. Reports says he sought classified information from several officials at the Mainland Affairs Council concerning details about direct cross-strait flights. The suspect reportedly attempted to bribe at least one official with a payment of 100,000 N-T multiple times between 2012 and 2014. The Mainland Affairs Council official refused the offer and reported the case to authorities. The suspect has now been charged with violating the National Security Act. MOFA allocates funds to buy representative office space in Boston The Ministry of Foreign Affairs says it has allocated a budget of 156-million N-T for the purchase of a property (房產) to house its representative office in the U-S city of Boston. The Taipei Economic and Cultural Office in Boston is currently located in a rented building. According to the foreign ministry, the funding means it will be able to a property in the city, pending approval of the budget by the Cabinet and Legislature. The government also plans to purchase properties in Houston and Denver in the U-S and in Sydney, Australia to house its representative offices .. .. saying the aim of the purchases is to save taxpayer money that is currently being spent on renting overseas offices. Argentina Leader at White House Just hours after returning from his trip to the Middle East, US President Donald Trump is shifting (轉移) his focus to the other side of the world - hosting the Argentinian leader Javier Milei at the White House. It comes after the US agreed to a 20 billion dollar currency swap in a major bailout of the Latin American nation. Kate Fisher reports Congo M23 Establish Oversight Congo and the Rwanda-backed rebel group M23 have agreed to establish an oversight mechanism for a potential permanent ceasefire. The agreement was announced Tuesday by a Congolese government spokesperson and confirmed by a M23 spokesperson. The ceasefire monitoring body will include representatives from Congo, M23 and the International Conference on the Great Lakes Region. The U.N. peacekeeping mission in Congo will participate. The agreement is an important step toward a peace deal after recent efforts to end fighting in eastern Congo stalled. The body is expected to meet within seven days of its creation, with the U.N. peacekeeping mission in Congo providing logistical (後勤的) coordination. That was the I.C.R.T. EZ News, I'm _____. ----以下為 SoundOn 動態廣告---- 行人過馬路要注意安全! 沒有路權時不要通行,穿越馬路請遵守號誌燈指示,注意來車與周圍環境,步行安全最重要,保護自己也保護他人。
Israeli military says the last 20 living hostages have been freed by Hamas and are now in Red Cross custody in the Gaza Strip. US President Donald Trump about to address Knesset. Canadian Prime Minister Mark Carney and other world leaders attending "Summit for Peace" in Egypt. US President Donald Trump threatens to send Tomahawk missiles to Ukraine if Russia does not agree to end war soon. Hospitals in the Democratic Republic of Congo are facing severe medical supply shortages, amid clashes between Congolese forces and M23 rebels. Seniors in Montreal are learning French thanks to a special program that takes them outside the classroom.
Urgence médicaments dans l'est de la République démocratique du Congo. Dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu, plus de 80% des centres de santé connaissent de graves ruptures de stocks de médicaments. Et ceux-ci sont souvent essentiels à la survie des patients. C'est le cri d'alarme que lance le CICR, le Comité International de la Croix-Rouge, dans un rapport publié hier. Explications de François Moreillon, qui est le chef de délégation du CICR en RDC et qui s'exprime aussi sur les discussions en cours entre les belligérants pour un échange de prisonniers. RFI : Vous dites que, dans près de 40 % des centres de santé, le personnel soignant a pris la fuite. Pourquoi cette débandade ? François Moreillon : Eh bien, écoutez d'abord, ces structures ont souvent été affectées, visitées, pillées, parfois ont reçu des éclats d'obus sur les structures même. Évidemment, le personnel de santé, qui se sent menacé par cette situation, la quitte. Par la suite, ce sont les manques de moyens qui affectent ces structures et qui expliquent aussi que certains du staff n'ont plus la motivation nécessaire pour rentrer, puisqu'ils n'ont plus les moyens d'agir. Donc je pense que la raison principale est le manque de respect pour le droit international humanitaire par les parties. Est-ce qu'il y a certains centres de santé où le personnel soignant est revenu ces dernières semaines ? Oui. Par exemple, le CICR soutient quatre de ces structures qui avaient vu une perte de leur personnel et, suite à notre intervention, nous avons vu un retour de certains de ces éléments. Donc, la partie n'est pas perdue. Il y a des mesures à prendre pour changer cette situation, mais à l'heure actuelle, la tendance est très négative. Alors, le sujet le plus grave dans votre rapport, c'est la rupture de stock de médicaments. Est-ce que c'est parce qu'ils ne sont plus disponibles ou parce qu'ils ne peuvent plus être acheminés jusqu'aux centres de santé ? D'abord, il y a des problèmes pour assurer le transfert fluide de ces médicaments. Ceux-ci étaient souvent transportés par avion. Les aéroports sont fermés. De plus, les lignes de front bloquent l'accès à des structures et à des stocks encore existants. Donc, c'est un concentré de plusieurs dimensions qui amène à cette situation. Et nous avons d'ailleurs offert nos services afin de faciliter le transfert de ces médicaments vers les structures de santé qui en ont le plus besoin, et ce, des deux côtés de la ligne de front. Et j'insiste sur ce point. Est-ce que vous, avec votre drapeau Croix-Rouge, vous pouvez aider les stocks de médicaments à franchir les barrages ? Oui, effectivement, nous le pouvons. Nous l'avons fait encore une fois par le passé, dans le Rutshuru, le Masisi notamment, et nous nous offrons pour acheminer ces médicaments. Quels efforts particuliers faites-vous, au niveau du CICR, pour limiter la gravité des faits depuis la bataille de Goma de janvier dernier ? Alors, nous soutenons de multiples structures de santé, des hôpitaux, avec nos équipes, notamment nos équipes de chirurgie de guerre. Nous avons mené de nombreuses interventions au bénéfice de déplacés récents, que ce soit en nourriture, en cash ou en biens essentiels de ménage, mais également au bénéfice des populations retournées, dont la nature des besoins peut être différente, en les appuyant également en semences et outils aratoires. Depuis sa création en 1864, il y a bientôt 200 ans, la Croix-Rouge s'occupe aussi des prisonniers de guerre et des détenus liés au conflit. Est-ce que, depuis la bataille de Goma de janvier dernier, vous avez pu rendre visite à certains de ces détenus ? Alors le CICR visite effectivement certains lieux de détention. Cependant, il y a beaucoup d'individus auxquels nous n'avons pas encore accès. Nous négocions ces accès. Nous espérons pouvoir visiter davantage de personnes arrêtées en lien avec le conflit, mais la situation reste encore très en deçà de nos attentes. Il y a actuellement des pourparlers à Doha, au Qatar, entre le gouvernement congolais et les rebelles du M23. Je crois d'ailleurs que vous même avez pu assister, il y a quelques jours, à l'une des séances de ces pourparlers sur place… Effectivement. Comme le disait ce mercredi sur RFI le vice-Premier ministre congolais Jacquemain Shabani, le CICR peut faciliter un éventuel échange de prisonniers. Pensez-vous qu'un tel échange peut avoir lieu bientôt ? Alors, le CICR a effectivement été mandaté dans le cadre de l'accord de principe de Doha afin de faciliter, en tant qu'intermédiaire neutre, l'échange de détenus entre les deux parties que sont l'AFC M23 et le gouvernement. Donc, dans ce cadre, nous avons effectivement participé aux discussions à Doha. Un accord sur le mécanisme a été obtenu, ce qui est une avancée importante. Le CICR, maintenant, travaille avec les parties pour mettre en œuvre ce mécanisme. C'est un processus complexe qui prend du temps, mais le CICR, encore une fois, n'a qu'un rôle de facilitateur. Ce n'est pas nous le maître des horloges, et nous sommes là pour faciliter ce à quoi les parties s'entendent. Oui, parce que dans le mécanisme, il y a des questions juridiques à régler, c'est ça ? C'est effectivement ce qui a été expliqué de ce que je comprends par le vice-Premier ministre sur votre antenne. Et donc ça prend du temps, c'est un marathon et non un sprint.
En RDC, des combats ont repris depuis quelques jours dans l'Est du pays, mais le gouvernement refuse de dramatiser. « Les indicateurs sur le retrait des troupes rwandaises de notre territoire ne sont pas encore visibles, mais nous sommes confiants qu'on va atteindre l'objectif de la paix », affirme le vice-Premier ministre congolais Jacquemain Shabani. De passage à Paris, Jacquemain Shabani, qui est aussi ministre de l'Intérieur, de la sécurité et de la décentralisation, s'exprime aussi sur ce qu'il appelle « le génocide perpétré dans l'Est du Congo depuis 30 ans ». Il répond aux questions de Patient Ligodi et Christophe Boisbouvier. RFI : Monsieur le vice-Premier ministre Jacquemin Shabani, le 27 juin dernier, le Congo et le Rwanda ont signé à Washington un accord de paix. Mais depuis une semaine, les combats reprennent au Nord et au Sud Kivu. Est-ce à dire que la guerre a recommencé ? Jacquemin Shabani : Je ne pourrais pas dire que la guerre a recommencé, parce qu'effectivement, il y a eu cet accord de paix signé à Washington. Il y a eu aussi une déclaration de principe signée à Doha et des mesures de confiance qui vont être mises en exécution dans le prochain accord qui va être signé aussi là-bas. Je crois qu'il faut arriver à considérer que nous sommes dans un processus qui a pour objectif de mettre en place une paix dans un contexte de conflit assez difficile. Le plus important pour nous tous, c'est de retenir le fait qu'il y a un processus de paix enclenché avec des initiatives effectivement à Washington, comme vous l'avez souligné, mais aussi à Doha, qui sont en cours et qui vont nécessairement se finaliser par une paix durable. Parce que c'est ça, l'objectif. Et la prise, il y a quelques jours, par les rebelles du M23 de la localité de Nzibira, au Sud Kivu. Quelle est votre réaction ? Ça entre dans le cadre de ce que vous venez de souligner. Et il y a un mécanisme mis en place à Washington, et même à Doha, de surveillance de tous ces incidents. Et dans ce contexte-là, toutes ces questions vont trouver des règlements. À lire aussiEst de la RDC: l'AFC/M23 en quête de gains territoriaux autour de Shabunda Recrutement de policiers, recrutement de magistrats. Le M23 s'enracine dans les deux territoires du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Il commence même à délivrer des documents administratifs, ce qui, pour le ministre de l'Intérieur et de la sécurité que vous êtes, doit être difficile à supporter. Est-ce que ce n'est pas le signe que le M23 veut s'installer dans la durée ? Le M23 est dans effectivement des initiatives que je pourrais qualifier de distraction. Mais je reviens encore à ce que je vous ai dit au début, nous sommes avec le M23 à Doha en discussion. Le M23, effectivement, s'invite à la mise en place d'une administration parallèle dans le cadre de sa rébellion. Mais tout ça est pris en charge aussi dans l'initiative de Doha. Et si vous lisez la déclaration de principe que le gouvernement a signée avec le M23, nous identifions des procédures de règlement de toutes ces situations malencontreuses mises en œuvre par le M23. Tout ça est pris en charge dans la déclaration de principe, avec une projection sur un accord de paix qui va nous permettre de rétablir l'État dans sa juste position. Et on identifie ça dans la restauration de l'autorité de l'État après la cessation du conflit. Selon un communiqué conjoint que vous avez signé le 24 septembre avec le Rwanda, vos deux pays doivent mettre en œuvre, à partir de ce 1ᵉʳ octobre, des mesures de sécurité. Mais il y a quelques jours, aux Nations-Unies, le président Tshisekedi a accusé son homologue rwandais, Paul Kagamé, de manœuvres pour retarder la paix. Oui, parce que les indicateurs sur le processus de retrait, malheureusement, ne sont pas encore visibles. Et pourtant, nous avons signé à Washington. Donc, je crois que le discours du chef de l'État, Félix Tshisekedi, est une pression de plus qui permette à ce que ces forces négatives se retirent du territoire congolais. Donc en fait, ça n'avance pas ? Si c'est votre conclusion, elle est la vôtre. Nous, nous sommes dans un processus et nous sommes engagés à le faire avancer. Et nous sommes confiants que la paix est un objectif que nous allons atteindre, et nous travaillons pour cela. À la tribune de l'ONU, le 23 septembre, le président Tshisekedi a lancé un appel solennel pour la reconnaissance du génocide des Congolais dans l'Est de votre pays. Réponse du ministre rwandais des Affaires étrangères, Olivier Nduhungirehe : « Un génocide contre qui ? Contre des ethnies non Tutsies ? Contre toutes toutes celles qu'on chercherait à détruire en tant que telles ? Cette proposition est stupide ». De quoi je me mêle ? Est-il ministre de la République démocratique du Congo ? Non. Qu'est-ce qui l'embête à nous voir, nous Congolais, parler de notre pays, réclamer justice sur les souffrances et les meurtres qu'ont subies les populations congolaises ? Se sent-il coupable ? Moi, je crois que ce sont les grandes préoccupations qu'il faut se poser. Lorsqu'un ministre d'un gouvernement étranger se préoccupe autant des droits que réclame un président élu légitimement par ses concitoyens, se sent-il coupable de ce génocide ? C'est la question majeure qu'il faut se poser. Et lorsqu'on trouvera ensemble tous la réponse, je crois qu'effectivement, tel que nous sommes en train de le réclamer, ce génocide sera reconnu universellement et on aura identifié le coupable réel du génocide congolais. À lire aussiRDC: la question du retour des réfugiés au coeur des discussions de paix avec l'AFC/M23 et le Rwanda
The former president of the Democratic Republic of Congo is sentenced to death in absentia for crimes against humanity, treason and backing the Rwandan-supported M23 rebels in eastern Congo. The court has ordered his arrest, but his whereabouts remain unknown We look at the man and his life.Also in the programme: Officials in Namibia have deployed hundreds of soldiers to battle a fire that has ravaged a third of the key nature reserve, Etosha National Park.And we speak to a woman who suffered a heart attack, and we find how such attacks can be prevented.Presenter Nyasha Michelle Producers: Yvette Twagiramariya, Mark Filberforce and Ayub Ilia Senior Producer: Sunita Nahar Technical Producer: Philip Bull Editors: Andre Lombard and Alice Muthengi
« La sentence est tombée, lourde comme un couperet dans le silence feutré de la Haute cour militaire, constate Le Journal de Kinshasa. Ce mardi, l'ombre de Joseph Kabila a été officiellement condamnée à la peine de mort. Pour "trahison" et "participation à un mouvement insurrectionnel", la justice militaire a tranché. Aucune circonstance atténuante n'a été retenue. Le principal concerné, qui vit en exil, n'était qu'un fantôme. Le réquisitoire, impitoyable, dressait le portrait d'un homme non plus en chef d'État, mais en chef de guerre. La Cour a épousé ces allégations, peignant une réalité sombre. Elle affirme que, dans l'ombre, l'ancien président tenait à Goma et Bukavu de "véritables réunions d'état-major". Il inspectait des centres d'instruction de rebelles et se comportait en "chef incontesté de tous les mouvements rebelles" (…). Le jugement est sans appel : Joseph Kabila est désormais qualifié de "chef de la coalition AFC/M23" ». Pas de réaction pour l'instant de l'intéressé. Juste un communiqué de son parti, le FCC, le Front commun pour le Congo, publié sur le site congolais 7 sur 7 : « le FCC dénonce "la restauration de la dictature" et l'instrumentalisation "croissante, tant de la justice que de la puissance publique à des fins politiques". Le FCC, qui se positionne comme une force politique "considérable" de l'opposition, promet de combattre cette condamnation qu'elle juge "inacceptable" ». Séisme politique… Ce « verdict est une première depuis l'indépendance du Congo, en 1960 », constate le site spécialisé sur la RDC Afrikarabia : « avec une peine très lourde, des dommages et intérêts pour les victimes de l'AFC/M23 stratosphériques de plus de 30 milliards de dollars (soit deux fois le budget de l'État congolais), et désormais un ancien président en cavale et recherché par la justice congolaise. (…) Cette condamnation à mort de Kabila représente un petit séisme politique en RDC, pointe encore Afrikarabia. Ce verdict résonne d'abord comme un message d'avertissement et "préventif" à l'attention de toutes les personnes qui souhaiteraient rejoindre les rangs rebelles. (…) Et elle brise une possible coalition anti-Tshisekedi, avec à sa tête Joseph Kabila associé à une myriade d'opposants. Elle disqualifie enfin l'ex-président, aux yeux de Kinshasa, comme interlocuteur à un potentiel dialogue national ». Un « goût d'inachevé » ? Pour Le Monde Afrique, « en l'absence de l'accusé et sans avocat pour le défendre à l'issue d'une instruction bâclée, ce procès expéditif laisse un goût d'inachevé ». Avec « des charges qui reposent implicitement sur l'autorité, directe mais supposée, qu'exercerait Joseph Kabila sur la rébellion du M23. (…) D'un naturel taiseux, naviguant entre le Zimbabwe – où, selon une source, il se trouverait actuellement –, l'Afrique du Sud et la Zambie, l'ancien président avait finalement brisé le silence le 18 mars dernier, depuis Johannesburg, rappelle Le Monde Afrique, pour nier tout lien avec le M23. La plupart des observateurs jugent toutefois que Corneille Nangaa (l'un de ses fidèles lorsqu'il était au pouvoir) ne serait pas entré dans la rébellion armée sans, au minimum, l'onction de Joseph Kabila ». Et « beaucoup ont cru discerner l'ambition de ce dernier de revenir aux affaires lorsque Corneille Nangaa a exprimé son intention de renverser le pouvoir par les armes ». « Attiser le feu » ? La presse ouest-africaine s'interroge : « à quoi servira cette condamnation de Joseph Kabila ? » se demande WakatSéra à Ouagadougou. « N'est-ce pas plutôt le meilleur moyen de raidir les positions et d'attiser le feu dans l'est de la RD Congo ? (…) En tout cas, les populations civiles continuent, elles, de vivre l'enfer, alors que la convoitise des acteurs et commanditaires de la guerre, pour les richesses minières de la RD Congo, ne fait que croître ». Enfin pour Ledjely en Guinée, ce « verdict pourrait être perçu par l'opposition politique congolaise comme une manœuvre d'intimidation à l'encontre de toutes les voix dissidentes, en prévision du troisième mandat que Félix Tshisekedi caresse en secret l'ambition de briguer. C'est dire, conclut le site guinéen, que la condamnation prononcée contre Kabila pourrait contribuer à dégrader davantage les rapports de confiance entre les acteurs de la scène politique congolaise. Une méfiance qui ne pourra que galvaniser ceux dont les intérêts prospèrent dans l'insécurité chronique qui sévit en RDC depuis une trentaine d'années ».
Governo de Moçambique diz que alegados envolvidos no pagamento a "funcionários fantasmas" serão responsabilizados, mas para analista é apenas "conversa para boi dormir". Moçambique vai contratar quatro mil polícias que deverão custar cerca de 500 mil euros mensais. Ex-presidente da República Democrática do Congo, Joseph Kabila, condenado à morte.
Joseph Kabila a été condamné à mort mardi à Kinshasa. L'ex-président de la République démocratique du Congo (RD Congo) a été condamné par contumace à l'issue d'un procès devant la justice militaire du pays. Il a été jugé coupable de "trahison" et de "crimes de guerre".
Hii leo jaridani tunakuletea mada kwa kina inayomulika ujumbe wa Katibu Mkuu wa Jumuiya ya Afrika Mashariki EAC, Veronica Nduva ambaye alizungumza na Flora Nducha kandoni mwa UNGA80. Pia tunakuletea muhtasari wa habari kama zifuatazo.Ikiwa ni zaidi ya miaka minane tangu zaidi ya wakimbizi 750,000 waislamu wa kabila la warohingya wakimbie Myanmar kuelekea kwenye kambi kubwa nchini Bangladesh, mgogoro huo bado haujapatiwa suluhisho na leo hapa makao makuu ya Umoja wa Mataifa viongozi wamekutana kusaka suluhu ya kudumu kwa warohingya na makabila mengine madogo nchini Myanmar. Katibu Mkuu Antonio Guterres kupitia Afisa Mtawala Mkuu wa UN Courtenay Rattray amesema, “mgogoro huu, ambao umezidi kuongezeka tangu mapinduzi ya kijeshi Myanmar ya mwaka 2021, unasigina haki za binadamu, utu na usalama wa mamilioni ya watu na unatishia uthabiti wa kikanda. Haitoshi tu kutathmini hali ilivyo. Tunapaswa pia kuendeleza mshikamano na kubuni suluhisho.”Amani nchini DRC imesalia bado ahadi, ni kauli ya Bintou Keita, Mwakilishi Maalum wa Katibu Mkuu wa Umoja wa Mataifa nchini Jamhuri ya Kidemokrasia ya Congo, DRC aliyotoa wakati akihutubia Baraza la Usalama lililokutana leo kujadili hali Mashariki mwa DRC. Anasema hali inazidi kuwa tete. “Ghasia zinaendelea kushamiri jimboni Kivu Kaskazini hususan eneo la Rutshuru tangu waasi wa M23 watwae eneo hilo. Kuanzia mwezi Juni na kuendelea ujumbe wa Umoja wa Mataifa wa kulinda amani, MONUSCO umepokea maombi lukuki ya watu wakitaka ulinzi kwenye maeneo yanayodhibitiwa na M23.”.Na mashirika ya Umoja wa Mataifa leo yamesisitiza wito wa kupatikana kwa sitisho la mapigano huko Gaza, eneo la Palestina linalokaliwa kimabavu na Israel, ili kupunguza machungu wakati huu ambapo Mpango wa Marekani wa Vipengele 20 unaibua matumaini ya kukomeshwa kwa mapigano. Ricardo Pires, msemaji wa shirika la Umoja wa Mataifa la Kuhudumia watoto, UNICEF amesema, “ni muhimu tupate sitisho la mapigano na misaada iweze sio tu kuingia na kuepusha baa la njaa, bali pia kuelekezwa maeneo ya kusini. Lakini vile vile kuhakikisha watoto na familia zao wanapata malazi bora wakati huu majira ya baridi kali yanakaribia. La sivyo italeta zahma ya afya kwa watoto na familia zao.”.Mwenyeji wako ni Leah Mushi, karibu!
Good afternoon, I'm _____ with today's episode of EZ News. Tai-Ex opening The Tai-Ex opened up 158 points this morning from yesterday's close, at 25,738 on turnover of $13.5 billion NT Shares in Taiwan moved sharply lower Friday, led by large cap stocks, as investors rushed to pocket recent gains amid growing concerns that the local stock market is overvalued. Selling was seen almost across the board with non-tech stocks under heavy pressure throughout the session. Analysts say ongoing efforts by the Trump administration to put tariffs on imports to the United States also cast a shadow over future prospects. Allies Urge Taiwan Participation in UN Taiwan's diplomatic allies are once again urging the U.N. to allow the island's meaningful participation in the global body. At the close of the 80th United Nations General Assembly debate yesterday, St. Lucia's foregin minister Alva Baptiste emphasized that relevant UN resolutions do not prohibit or exclude (把…排斥在外) Taiwan's participation in the UN system. While St. Kitts and Nevis Prime Minister Terrance Drew said earlier during the meeting that allowing Taiwan to contribute to public health, technology, and disaster relief is not about taking sides, but about pragmatism (實用主義). He stressed that excluding Taiwan from organizations like the World Health Organization and the International Civil Aviation Organization harms the world's ability to solve problems together. Allies, including St. Kitts and Nevis, St. Lucia, Paraguay, the Marshall Islands, Palau, St. Vincent and the Grenadines, Belize, Tuvalu, and Eswatini, all called on the U.N. to welcome Taiwan. (NS) Missile Attack Hits Ship in Gulf of Aden Officials say a missile attack by Yemen's Houthi rebels set a Dutch-flagged cargo ship ablaze in the Gulf of Aden, wounding two mariners. The owner of the ship says the crew abandoned the damaged vessel, which caught fire in the attack. The company says the damage done to the vessel is “substantial” (重大的). The ship's owner, says crew members were evacuated by helicopter. The French military says the Iranian-backed Houthis carried out the attack. The rebels have not claimed the assault, though it can take them hours or days to acknowledge their attacks. DRC Clashes Between ProGov Militia and M23 Rebels Fighting has erupted in the east of the Democratic Republic of Congo between M23 rebels and a pro-government militia after days of a lull (暫時平靜[) in fighting. Chris Ocamringa has more from Kinshasa.. OpenAI New Parental Controls for ChatGPT OpenAI has announced new parental controls for ChatGPT to make it safer for teens. This comes after concerns about AI chatbot safety for young users, including tragic cases where teenagers took their lives after using ChatGPT. To get started, parents can send an email or text invite to their teen to link accounts. Teens can also invite parents. The new controls include automatic safeguards for teen accounts, such as reduced (減少) graphic content and restrictions on sensitive topics. Parents will have a dashboard to adjust settings and receive notifications if their child might be in distress (憂慮,悲傷,痛苦). That was the I.C.R.T. EZ News, I'm _____. ----以下為 SoundOn 動態廣告---- 蘋果愛美獎投票衝啦! 每天登入FB投票,就能抽iPhone 17、PGO文青機車、萬元LE CREUSET鍋,還有週週禮券大放送!快來選你心中的人氣診所、名醫、療程,投越多中獎率越高! https://sofm.pse.is/86vhgq -- Hosting provided by SoundOn
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la reprise des combats dans l'est de la RDC, le retrait des pays de l'AES de la CPI et le déploiement de l'armée dans le Sinaï en Égypte. Guerre en Ukraine : le revirement de Donald Trump Après avoir longtemps affirmé que la Russie finirait par l'emporter, le président américain estime que l'Ukraine est en mesure de gagner la guerre et même de récupérer l'ensemble de ses territoires. Comment expliquer cette volte-face ? Désormais, le président Zelensky peut-il espérer une aide militaire conséquente ? Avec Kseniya Zhornokley, journaliste spécialisée pour la rédaction ukrainienne de RFI. RDC : reprise des combats malgré les discussions au Qatar Malgré les négociations en cours à Doha et les accords de paix négociés à Washington, les affrontements ont repris dans le Sud-Kivu entre l'armée congolaise et les rebelles de l'AFC/M23. Comment expliquer la reprise des hostilités ? Quel bilan peut-on dresser des dernières discussions ? Avec Patient Ligodi, journaliste au service Afrique de RFI. CPI : quelles conséquences après le départ des pays de l'AES ? Le Burkina Faso, le Mali et le Niger, réunis au sein de l'Alliance des États du Sahel, ont officialisé leur retrait de la Cour pénale internationale. Quelles pourraient en être les conséquences pour les victimes ? Quid des affaires en cours ? Avec Ilaria Allegrozzi, chercheuse sur le Sahel à Human Rights Watch. Égypte : pourquoi l'armée se déploie-t-elle dans le Sinaï ? Le gouvernement égyptien a reconnu avoir déployé des troupes dans le désert du Sinaï, près de la frontière avec Israël. Comment l'Égypte justifie-t-elle le renforcement de sa présence militaire dans cette zone ? Avec Sébastien Boussois, chercheur spécialiste du Moyen-Orient à l'institut géopolitique européen à Bruxelles.
Pourquoi Vital Kamerhé a-t-il démissionné lundi 22 septembre de son poste de président de l'Assemblée nationale de la République démocratique du Congo (RDC) ? Est-ce le signe que le président Tshisekedi et lui ne s'entendent plus et qu'après huit ans d'alliance entre les deux hommes, Vital Kamerhé va passer dans l'opposition ? Car sa chute a été en partie entraînée par une pétition, signée par une majorité de députés du parti au pouvoir UDPS. Trésor Kibangula est analyste à Ebuteli, l'Institut congolais de recherche sur la politique, la gouvernance et la violence. En ligne de Kinshasa, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Trésor Kibangula, à l'origine de la chute de Vital Kamerhe, il y a une pétition signée par 262 députés, en majorité membres du parti au pouvoir UDPS. Pourquoi cette pétition ? Trésor Kibangula : Je pense que Vital Kamerhe a cumulé plusieurs fragilités. Vital Kamerhe a incarné un style trop personnel pour certains, presque solitaire, ce qui a fini par provoquer ou précipiter son départ. Et si la vraie raison est politique comme vous le dites, est-ce parce que le parti au pouvoir UDPS veut reprendre le contrôle de l'Assemblée nationale ? Ici, le timing, je pense, est révélateur parce qu'au début de la session, on a vu l'UDPS dire que le parti n'est pas le seul à être à l'initiative parce que les pétitionnaires se comptaient autour de 260. Donc, il y avait d'autres membres de l'Union sacrée qui voulaient aussi le départ de Vital Kamerhe. Donc l'UDPS essaye de se cacher derrière. Kamerhe l'a compris, il a demandé même pardon. Donc, c'était quand même le signe qu'il savait que son mandat vacillait. Et à ce moment-là, je pense qu'il aurait suffi d'un mot d'ordre du chef de l'Etat pour le maintenir. Or, ce signal n'est jamais venu. Donc, je pense que le silence présidentiel a beaucoup pesé, plus lourd que toutes les pétitions. Donc Félix Tshisekedi, qui est aussi chef de l'UDPS, n'a pas directement poussé Kamerhe dehors, mais il a choisi de ne pas le retenir. Alors, il y a quelques jours, lors de son déplacement à New York, le président Tshisekedi a dit qu'il n'était pour rien dans les problèmes de Vital Kamerhe et que c'était de la cuisine interne à l'Assemblée nationale. Vous pensez au contraire qu'il a laissé faire, voire même qu'il a initié cette démarche contre Vital Kamerhe ? Je pense effectivement que beaucoup de choses peuvent expliquer cette chute. On a vu l'échec ou la suspension du projet de la réforme constitutionnelle. En fin de l'année dernière, on parlait d'une possible révision de la Constitution pour permettre au chef de l'Etat de se représenter pour une troisième fois. Beaucoup ont reproché à ce moment-là à Vital Kamerhe de ne pas s'aligner sur le président Tshisekedi. Vital Kamerhe, par son profil indépendant et ses ambiguïtés stratégiques, devenait à mon sens un luxe que Félix Tshisekedi ne pouvait plus se permettre. Voulez-vous dire que, pour modifier ou changer la Constitution, il faut un feu vert du président de l'Assemblée et que Félix Tshisekedi n'était pas du tout certain qu'il aurait ce feu vert de la part de Vital Kamerhe ? Je pense que le président de la République et son camp se sont rendu compte que Vital Kamerhe ne se mouillait pas lorsqu'il y avait ces débats autour de la réforme constitutionnelle. Et il y a eu le fait qu'il n'a pas été suffisamment aligné avec le président de la République, notamment lorsque le président a tracé la ligne rouge de ne pas discuter avec les rebelles M23. Vital Kamerhe fait partie des premiers, un des rares hommes politiques à l'époque, au sein de la majorité, qui a dit que peut-être il fallait commencer à regarder la possibilité de discuter. Il a prôné le dialogue au moment où personne ne voulait entendre parler du dialogue. C'était la ligne rouge. Et aussi, une autre fragilité, c'est le fait de ne pas prendre des positions claires lorsqu'il fallait s'aligner sur la réforme de la Constitution. Ce n'est pas le premier revers pour Vital Kamerhe, il est déjà tombé du perchoir en 2009, du temps de Joseph Kabila. En 2020, il a fait un an de prison. En 2024, il a failli être assassiné à son domicile. Qu'est-ce qu'il peut faire à présent ? C'est très difficile. Je pense qu'il avait deux options immédiates. La première, c'était de dire « OK, je suis tombé, mais je reste dans la majorité ». Ou de se dire « OK avec mes députés, je m'en vais, je vais faire de l'opposition républicaine parce que j'exclus à ce stade un éventuel ralliement aux groupes rebelles ». S'il voulait le faire, je pense qu'il avait plusieurs occasions avec ses sorties répétées à l'extérieur du pays. Même avant l'ouverture de la session de septembre, il était à l'extérieur du pays et il n'a pas rejoint Goma. Donc, s'il est revenu à Kinshasa, sachant qu'il y avait cette épée de Damoclès sur sa tête, c'est parce qu'il veut jouer un rôle à Kinshasa. Ce sera quel rôle ? Pour l'instant, il a dit qu'il restait au sein de la majorité présidentielle parce que aussi, je pense qu'il y a un risque à prendre en décidant d'aller dans l'opposition, alors que vous avez des députés qui sont au sein de la coalition présidentielle. Il y a très peu de députés qui allaient le suivre. Donc il n'a pas voulu prendre ce risque. Aujourd'hui, on est en 2025, mais je pense qu'entre le président Tshisekedi et Vital Kamerhe, ce sont deux stratèges politiques, ils se regardent, ils savent qu'ils sont aujourd'hui alliés d'apparence, mais que demain, ils seront très probablement des adversaires politiques. En vue de la présidentielle de 2028 ? En vue de la présidentielle de 2028, effectivement. À lire aussiRDC: visé par une pétition, le président de l'Assemblée nationale Vital Kamerhe démissionne
Good afternoon, I'm _____ with today's episode of EZ News. Tai-Ex opening The Tai-Ex opened up 240-points this morning from yesterday's close, at 26,121 on turnover of 9.8-billion N-T. The market closed at another record high on Monday, rising more than 300 points, as Taiwan Semiconductor Manufacturing hit a record high on the back of ample (充足) liquidity. Land warnings for Super Typhoon Ragasa lifted The Central Weather Administration has lifted its land warning for Super Typhoon Ragasa. The weather administration is expected to lift its sea warning this evening at the earliest. Ragasa is continuing to move in a westerly direction into the South China Sea. However, rain advisories remain in effect for much of the island. Extremely torrential rain warnings have been issued for mountainous areas of Hualien and Taitung. Torrential rain alerts are in effect for lowlying areas of Hualien and Taitung as well as for mountainous areas (多山,山區) of Kaohsiung and Pingtung. While extremely heavy rain alerts are in effect for all of Yilan, lowlying areas of Pingtung as well as for mountainous areas of New Taipei, Taoyuan, Taichung and Nantou. All of those rain advisories are currently expected to be be effect through tonight. Taipei-Shanghai City Forum postponed The Taipei City Government has announced that this week's Taipei-Shanghai City Forum will not take place as scheduled due to "unresolved details." According to the city government, both sides have agreed that the annual forum should be well-prepared rather than rushed. City Hall is still working on two memoranda of understanding with the central government and its Shanghai counterpart. Deputy Mayor Lin Yi-hua says the city government sent those M-O-Us to the central government about a month ago to comply (遵守) with regulations. One is still awaiting approval from several agencies, while details of the other are still under negotiation. DRC M23 Rebels Clash with Congolese Army Fighting between the Congolese army and the M23 rebels erupted in the east of the Democratic Republic of Congo over the weekend leaving a trail of death and destruction. Chris Ocamringa has more from Kinshasa… Egypt ProDemocracy Activist Freed by Presidential Pardon Pro-democracy activist Alaa Abd el-Fattah was released from prison after being granted a presidential pardon. He and five other prisoners had been pardoned Monday after the National Council for Human Rights acted on behalf of their families and urged President Abdel-Fattah el-Sissi to consider (考慮) the prisoners' situation on humanitarian grounds. His campaign said el-Fattah was released after being imprisoned almost all of the past 12 years and was now in his home in Cairo. He was arrested 2014 for participating in an unauthorized protest and allegedly assaulting a police officer. el-Fattah was one of the most prominent Egyptian activists in the 2011 Arab Spring uprising. That was the I.C.R.T. EZ News, I'm _____. -- Hosting provided by SoundOn
Send us a message with this link, we would love to hear from you. Standard message rates may apply.Colon cancer screening saves lives by catching cancer early and even preventing it, yet only 69% of eligible adults are up to date with their screenings. We explore who needs screening, what tests are available, and how to choose the right one for you.• Most adults should start colon cancer screening at age 45, even if healthy• Family history may mean you need to start screening earlier• Stool-based tests like FIT and Cologuard are convenient home options• Colonoscopy remains the gold standard, allowing doctors to remove polyps• One in 23 men and one in 25 women will develop colorectal cancer• The best screening test is the one you'll actually completePlease get screened! Check with your doctor about which test is right for you based on your risk factors and preferences.References1. Screening for Colorectal Cancer in Asymptomatic Average-Risk Adults: A Guidance Statement From the American College of Physicians (Version 2). Qaseem A, Harrod CS, Crandall CJ, et al. Annals of Internal Medicine. 2023;176(8):1092-1100. doi:10.7326/M23-0779.2. AGA Clinical Practice Update on Risk Stratification for Colorectal Cancer Screening and Post-Polypectomy Surveillance: Expert Review. Issaka RB, Chan AT, Gupta S. Gastroenterology. 2023;165(5):1280-1291. doi:10.1053/j.gastro.2023.06.033.3. Screening for Colorectal Cancer: US Preventive Services Task Force Recommendation Statement. Davidson KW, Barry MJ, Mangione CM, et al. JAMA. 2021;325(19):1965-1977. doi:10.1001/jama.2021.6238.4. Colorectal Cancer Screening and Prevention. Sur DKC, Brown PC. American Family Physician. 2025;112(3):278-283.5. Increasing Incidence of Early-Onset Colorectal Cancer. Sinicrope FA. The New England Journal of Medicine. 2022;386(16):1547-1558. doi:10.1056/NEJMra2200869.6. From Guideline to Practice: New Shared Decision-Making Tools for Colorectal Cancer Screening From the American Cancer Society. Volk RJ, Leal VB, Jacobs LE, et al. CA: A Cancer Journal for Clinicians. 2018;68(4):246-249. doi:10.3322/caac.21459.7. Screening for Colorectal Cancer: Updated Evidence Report and Systematic Review for the US Preventive Services Task Force. Lin JS, Perdue LA, Henrikson NB, Bean SI, Blasi PR. JAMA. 2021;325(19):1978-1998. doi:10.1001/jama.2021.4417.8. Screening for Colorectal Cancer: US Preventive Services Task Force Recommendation Statement. Bibbins-Domingo K, Grossman DC, Curry SJ, et al. JAMA. 2016;315(23):2564-2575. doi:10.1001/jama.2016.5989.9. How Would You Screen This Patient for Colorectal Cancer? : Grand Rounds Discussion From Beth Israel Deaconess Medical Center. Burns RB, Mangione CM, Weinberg DS, Kanjee Z. Annals of Internal Medicine. 2022;175(10):1452-1461. doi:10.7326/M22-1961.Support the showSubscribe to Our Newsletter! Production and Content: Edward Delesky, MD & Nicole Aruffo, RNArtwork: Olivia Pawlowski
En RD Congo, un nouveau contingent de l'AFC/M23 a été présenté lors d'une cérémonie organisée dans son centre de formation au nord de Goma. Des images ont fait le tour des réseaux sociaux et qui laisse craindre une escalade de violences dans l'est congolais.
Rwanda-backed M23 shows off new recruits as talks with DRC drag - Shomari Mukandjwa Omar. by Radio Islam
Vanaf dit weekend vindt het WK wielrennen plaats in Rwanda. Het land van president Paul Kagame steunt echter ook de bloedige oorlog van M23 in Oost-Congo, een oorlog die onder meer door ons land scherp wordt veroordeeld. Hoe is Kagame erin geslaagd het WK naar zijn land te brengen? En waarom gaan het peloton en de rest van de wereld daar niet kritischer mee om? Journalist Koen Vidal | Presentatie Alexander Lippeveld | (Eind)redactie Sofie Steenhaut | Audioproductie en muziek Brecht Plasschaert | Chef podcast Alexander Lippeveld Correctie: in een eerdere versie van deze podcast werd in de intro vermeld dat "M23 al dertig jaar lang een erg bloedige oorlog voert". De beweging ontstond pas in 2012, de foute informatie werd uit de podcast geknipt.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Porte-parole du gouvernement congolais, ministre de la Communication et des médias, Patrick Muyaya était dans le journal de l'Afrique pour aborder la situation dans l'est, les négociations de paix et la question de la reconnaissance des génocides au Congo.
Aubrey Masango speaks to William Els, Senior Training Coordinator at the Institute for Security Studies on the reported presence of M23 and Rwandan militia representatives at the African Peace and Security dialogue that took place last week, without the knowledge or involvement of the South African government or the SANDF. They reflect on the implications of this alleged 'security breach' . Tags: 702, The Aubrey Masango Show, Aubrey Masango, Political Analysis, M23, Rwanda Militia, African Peace and Security Dialogue, Thabo Mbeki Foundation, Peace keeping, SADC region, SANDF Willian Els Senior Training Coordinator at the Institute for Security Studies The Aubrey Masango Show is presented by late night radio broadcaster Aubrey Masango. Aubrey hosts in-depth interviews on controversial political issues and chats to experts offering life advice and guidance in areas of psychology, personal finance and more. All Aubrey’s interviews are podcasted for you to catch-up and listen. Thank you for listening to this podcast from The Aubrey Masango Show. Listen live on weekdays between 20:00 and 24:00 (SA Time) to The Aubrey Masango Show broadcast on 702 https://buff.ly/gk3y0Kj and on CapeTalk between 20:00 and 21:00 (SA Time) https://buff.ly/NnFM3Nk Find out more about the show here https://buff.ly/lzyKCv0 and get all the catch-up podcasts https://buff.ly/rT6znsn Subscribe to the 702 and CapeTalk Daily and Weekly Newsletters https://buff.ly/v5mfet Follow us on social media: 702 on Facebook: https://www.facebook.com/TalkRadio702 702 on TikTok: https://www.tiktok.com/@talkradio702 702 on Instagram: https://www.instagram.com/talkradio702/ 702 on X: https://x.com/Radio702 702 on YouTube: https://www.youtube.com/@radio702 CapeTalk on Facebook: https://www.facebook.com/CapeTalk CapeTalk on TikTok: https://www.tiktok.com/@capetalk CapeTalk on Instagram: https://www.instagram.com/ CapeTalk on X: https://x.com/CapeTalk CapeTalk on YouTube: https://www.youtube.com/@CapeTalk567 See omnystudio.com/listener for privacy information.
En RD Congo, la situation est tendue à Uvira. Depuis plusieurs jours, des affrontements opposent l'armée congolaise et les groupes armés censés l'appuyer dans sa lutte contre l'AFC/M23. Ces tensions sont apparues avec la nomination d'un militaire haut-gradé dans cette ville de la province du Sud-Kivu. L'armée évoque une manipulation de l'AFC/M23.
En RD Congo, nouvelles tensions dans la localité d'Uvira, deuxième ville de la province du Sud-Kivu. Des manifestations de colère des groupes armés locaux ont éclaté après la nomination d'un nouveau chef des renseignements dans la ville.
En République démocratique du Congo, la rentrée scolaire, c'est ce lundi 1er septembre. La mesure-phare de Félix Tshisekedi quand il est arrivé au pouvoir en 2019, c'était l'école primaire gratuite. Quel est le bilan aujourd'hui ? Et comment va se passer cette rentrée dans les territoires de l'est qui sont occupés par les rebelles du M23 et leur allié rwandais ? Jolino Malukisa est le directeur du pilier gouvernance à l'institut congolais de recherches Ebuteli. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. À lire aussiRDC: une rentrée des classes marquée par la crise économique et l'insécurité dans l'est du pays
Subscribe now to skip the ads! Danny and Derek get in one last news update before Danny moves to an undisclosed American Prestige satellite campus. This week: In Israel-Palestine, the IPC formally declares a famine in Gaza (3:21), Israel bombs Nasser Hospital (6:34), and Trump hosts a White House “day after” meeting (13:25); Europe moves to reimpose UN sanctions on Iran (16:16); Trump's 50% tariff on Indian goods goes into effect (12:04); changes to de minimis rules force postal services to suspend US-bound shipments (27:23); South Korea's Lee Jae-myung visits DC and avoids the Zelensky treatment (29:45); in Sudan, RSF forces advance around Al-Fashir (33:15) as an Anne Applebaum Atlantic article sparks outrage (35:43); peace talks between the Democratic Republic of the Congo and M23 finally resume (38:36); Trump promises Ukraine continued security help, but there is still no end to the war in sight (39:50); the Danish government summons a US diplomat over Greenland (44:23); Trump might be preparing to oust Venezuela's Nicolás Maduro (47:00); and the Pentagon is interested in an AI propaganda tool (50:42). Danny on Hasan Piker's show Derek and Eleanor Jangea on The Majority Report The AP Discord Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Danny and Derek get in one last news update before Danny moves to an undisclosed American Prestige satellite campus. This week: In Israel-Palestine, the IPC formally declares a famine in Gaza (3:21), Israel bombs Nasser Hospital (6:34), and Trump hosts a White House “day after” meeting (13:25); Europe moves to reimpose UN sanctions on Iran (16:16); Trump's 50% tariff on Indian goods goes into effect (12:04); changes to de minimis rules force postal services to suspend US-bound shipments (27:23); South Korea's Lee Jae-myung visits DC and avoids the Zelensky treatment (29:45); in Sudan, RSF forces advance around Al-Fashir (33:15) as an Anne Applebaum Atlantic article sparks outrage (35:43); peace talks between the Democratic Republic of the Congo and M23 finally resume (38:36); Trump promises Ukraine continued security help, but there is still no end to the war in sight (39:50); the Danish government summons a US diplomat over Greenland (44:23); Trump might be preparing to oust Venezuela's Nicolás Maduro (47:00); and the Pentagon is interested in an AI propaganda tool (50:42).Danny on Hasan Piker's showDerek and Eleanor Jangea on The Majority ReportThe AP DiscordAdvertising Inquiries: https://redcircle.com/brandsPrivacy & Opt-Out: https://redcircle.com/privacy
Interview with Liam Karr — 28:50 This week, Kelly and Tristan cover the recent rounds of summit diplomacy between Presidents Trump and Putin and subsequent meetings with European leaders, the recent moves in Somaliland's quest for recognition, and the new settlements in the West Bank approved by Israel's finance minister. Kelly is then joined by Liam Karr of the Critical Threats Project for an update on the DRC-Rwanda peace process. Liam Karr is the Africa Team Lead at the Critical Threats Projects at the American Enterprise Institute. His team uses open-source intelligence to closely map the status of various conflicts from the Sahel and West Africa through to Sudan and the current conflict between Rwanda-backed rebels, known as M23, and the armed forces of the Democratic Republic of the Congo. See more of Liam's work at the Critical Threats Project here: https://www.criticalthreats.org/team/liam-karr The opinions expressed in this conversation are strictly those of the participants and do not represent the views of Georgetown University or any government entity. Produced by Abdalla Nasef and Freddie Mallinson. Recorded on August 26, 2025. Diplomatic Immunity, a podcast from the Institute for the Study of Diplomacy at Georgetown University, brings you frank and candid conversations with experts on the issues facing diplomats and national security decision-makers around the world. Funding support from the Carnegie Corporation of New York. For more, visit our website, and follow us on Linkedin, Twitter @GUDiplomacy, and Instagram @isd.georgetown
Kwa zaidi ya muongo mmoja, eneo la Nyiragongo lililoko jimboni Kivu Kaskazini nchini Jamhuri ya Kidemokrasia ya Congo, (DRC) limekumbwa na hali ya kutokuwepo kwa utulivu wa kudumu kutokana na uwepo wa makundi yenye silaha. Maelfu ya familia wamekimbia makazi yao na watoto wengi kulazimishwa kujiunga na makundi hayo ya kijeshi. Kati ya mwaka 2024 na 2025, kuzuka upya kwa mapigano kunakohusishwa na kuibuka tena kwa waasi wa M23 kumeongeza zaidi hali ya hatari kwa wakazi wa eneo hilo, hasa watoto na vijana. Ili kuleta ahueni kwa wakazi, Umoja wa Mataifa umechukua hatua. Je ni zipi hizo? Ungana basi na Anold Kayanda kwenye makala hii.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur une lettre de Jair Bolsonaro demandant l'asile politique à l'Argentine, la peine de mort requise contre Joseph Kabila et le blocage des négociations entre Téhéran et Washington sur le nucléaire. Nigeria : des cybercriminels chinois renvoyés dans leur pays Les autorités nigérianes ont expulsé 51 étrangers, dont 50 ressortissants chinois, condamnés pour cyberterrorisme. De quoi sont-ils accusés exactement ? Pourquoi autant de ressortissants chinois sont impliqués dans cette affaire ? Avec Clea Broadhurst, correspondante permanente de RFI à Pékin. Brésil : Jair Bolsonaro envisageait de s'exiler en Argentine La police fédérale brésilienne affirme avoir retrouvé sur le téléphone de Jair Bolsonaro une demande d'asile politique adressée au gouvernement argentin de Javier Milei. L'Argentine pourrait-elle accueillir l'ancien président brésilien ? Une telle demande pourrait-elle compromettre les relations diplomatiques entre Brasilia et Buenos Aires ? Avec Adriana Moysés, journaliste au service en langue brésilienne. RDC : quelles sont les preuves contre Joseph Kabila ? La justice militaire congolaise a requis la peine de mort contre l'ancien président Joseph Kabila, jugé par contumace pour trahison et crimes de guerre. Comment expliquer une réquisition aussi lourde ? Sur quels faits la justice militaire s'appuie-t-elle ? Ce procès peut-il avoir un impact sur les négociations diplomatiques entre les rebelles de l'AFC/M23 soutenus par le Rwanda et le gouvernement congolais ? Avec Bob Kabamba, professeur de science politique à l'Université de Liège. Nucléaire : l'Iran balaie toute négociation avec les États-Unis Alors que l'Iran reprend les pourparlers sur son programme nucléaire avec les Européens, le guide suprême iranien Ali Khamenei a écarté toute perspective de négociation directe avec les États-Unis. Qu'est-ce qui bloque entre Téhéran et Washington ? L'Iran affirme également avoir fabriqué une nouvelle génération de missiles avancés. Que sait-on à leur sujet ? Avec Kévan Gafaïti, enseignant à sciences po Paris.
En RDC, la peine de mort a été requise contre Joseph Kabila. Jugé par contumace, l'ancien président est accusé de collusion avec la rébellion du M23, soutenue par le Rwanda. Alors que son entourage dénonce une manœuvre politique, que vous inspire ce procès devant la Haute Cour militaire ?
Drs. Whitney Hartlage (@whithartlage11) and Sam Windham join Dr. Ryan Moenster to discuss updates in the diagnosis and management of community-acquire pneumonia. Hear from our guests on the role of rapid diagnostic tests such as multiplex PCR and urinary antigen tests in the inpatient and outpatient setting, considerations for initiating steroids and withholding macrolides, and when to use short antibiotic durations. Listen to Breakpoints on iTunes, Overcast, Spotify, Listen Notes, Player FM, Pocket Casts, TuneIn, Blubrry, RadioPublic, or by using our RSS feed: https://sidp.pinecast.co/. Visit our website! https://breakpoints-sidp.org/ References: Metlay JP, Waterer GW, Long AC, Anzueto A, Brozek J, Crothers K, Cooley LA, Dean NC, Fine MJ, Flanders SA, Griffin MR, Metersky ML, Musher DM, Restrepo MI, Whitney CG. Diagnosis and Treatment of Adults with Community-acquired Pneumonia. An Official Clinical Practice Guideline of the American Thoracic Society and Infectious Diseases Society of America. Am J Respir Crit Care Med. 2019 Oct 1;200(7):e45-e67. doi: 10.1164/rccm.201908-1581ST. PMID: 31573350; PMCID: PMC6812437. Chaudhuri D, Nei AM, Rochwerg B, Balk RA, Asehnoune K, Cadena R, Carcillo JA, Correa R, Drover K, Esper AM, Gershengorn HB, Hammond NE, Jayaprakash N, Menon K, Nazer L, Pitre T, Qasim ZA, Russell JA, Santos AP, Sarwal A, Spencer-Segal J, Tilouche N, Annane D, Pastores SM. 2024 Focused Update: Guidelines on Use of Corticosteroids in Sepsis, Acute Respiratory Distress Syndrome, and Community-Acquired Pneumonia. Crit Care Med. 2024 May 1;52(5):e219-e233. doi: 10.1097/CCM.0000000000006172. Epub 2024 Jan 19. PMID: 38240492. Odeyemi Y, Tekin A, Schanz C, Schreier D, Cole K, Gajic O, Barreto E. Comparative effectiveness of azithromycin versus doxycycline in hospitalized patients with community acquired pneumonia treated with beta-lactams: A multicenter matched cohort study. Clin Infect Dis. 2025 May 16:ciaf252. doi: 10.1093/cid/ciaf252. Epub ahead of print. PMID: 40378193. Butler AM, Nickel KB, Olsen MA, Sahrmann JM, Colvin R, Neuner E, O'Neil CA, Fraser VJ, Durkin MJ. Comparative safety of different antibiotic regimens for the treatment of outpatient community-acquired pneumonia among otherwise healthy adults. Clin Infect Dis. 2024 Oct 23:ciae519. doi: 10.1093/cid/ciae519. Epub ahead of print. PMID: 39442057; PMCID: PMC12355227. Furukawa Y, Luo Y, Funada S, Onishi A, Ostinelli E, Hamza T, Furukawa TA, Kataoka Y. Optimal duration of antibiotic treatment for community-acquired pneumonia in adults: a systematic review and duration-effect meta-analysis. BMJ Open. 2023 Mar 22;13(3):e061023. doi: 10.1136/bmjopen-2022-061023. PMID: 36948555; PMCID: PMC10040075 Schober T, Wong K, DeLisle G, et al. Clinical outcomes of rapid respiratory virus testing in emergency departments. JAMA Intern Med. 2024;184(5):528-536. Clark T, Lindsley K, Wigmosta T, et al. Rapid multiplex PCR for respiratory viruses reduces time to result and improves clinical care: results of a systematic review and meta-analysis. J Infect. 2023;86(5):462-475. May L, Robbins EM, Canchola JA, Chugh K, Tran NK. A study to assess the impact of the cobas point-of-care RT-PCR assay (SARS-CoV-2 and Influenza A/B) on patient clinical management in the emergency department of the University of California at David Medical Center. J Clin Virol. 2023:168:105597. Cartuliares MB, Rosenvinge FS, Mogensen CB, Skovsted TA, Andersen SL, Østergaard C, et al. Evaluation of point-of-care multiplex polymerase chain reaction in guiding antibiotic treatment of patients acutely admitted with suspected community-acquired pneumonia in Denmark: a multicentre randomised controlled trial. PLoS Med. 2023;20:e1004314. doi: 10.1371/ journal.pmed.1004314. Vaughn VM, Dickson RP, Horowitz JK, Flanders SA. Community-acquired pneumonia: a review. JAMA. 2024;332(15):1282-1295. Davis MR, McCreary EK, Trzebucki AM. Things we do for no reason – ordering Streptococcus pneumoniae urinary antigen in patients with community-acquired pneumonia. Open Forum Infect Dis. 2024;11(3):ofae089. Centers for Disease Control and Prevention. Laboratory Testing for Legionella. Updated June 9, 2025. Accessed July 13, 2025. https://www.cdc.gov/legionella/php/laboratories/index.html. Jain S, Self WH, Wunderink RG. Community-acquired pneumonia requiring hospitalization among U.S. adults. N Engl J Med. 2015;373(5):415-427. Kamat IS, Ramachandram V, Eswaran H, Guffey D, Musher DM. 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Lancet. 2021;397(10280):1195-1203.
M23 rebels kill dozens of civilians in the DRC. Will this undermine the US’s push for peace in the region? Plus: Trump sends naval ships to the edge of Venezuela and Nordic news. See omnystudio.com/listener for privacy information.
durée : 00:05:13 - La Revue de presse internationale - par : Mélanie Kuszelewicz - Selon un rapport de l'ONG Human Rights Watch, les rebelles du M23 ont tué 140 civils dans l'est de la République démocratique du Congo en juillet.
In this episode of The President's Daily Brief: First—we'll have the latest updates on President Donald Trump's push to end Moscow's war in Ukraine, as the White House reportedly works to organize a face-to-face meeting with Russian President Vladimir Putin and Ukrainian President Volodymyr Zelensky. Later in the show—China and India's top diplomats say they are deepening cooperation in the face of threats to free trade, the latest signal that President Trump's tariff crackdown is accelerating a thaw in relations between the two eastern powers. Plus—The Democratic Republic of Congo and M23 rebels miss a critical deadline to reach a peace agreement, but Qatari mediators are hopeful they can salvage a deal to end the years long conflict. In our 'Back of the Brief—authorities bust a Chinese national living illegally in the U.S. for smuggling firearms, ammunition and other military items to North Korea at the direction of the Kim regime. To listen to the show ad-free, become a premium member of The President's Daily Brief by visiting PDBPremium.com. Please remember to subscribe if you enjoyed this episode of The President's Daily Brief. YouTube: youtube.com/@presidentsdailybrief Lean: Visit https://TakeLean.com & use code pb20 for 20% off American Financing: Call American Financing today to find out how customers are saving an avg of $800/mo. 866-885-1881 or visit https://www.AmericanFinancing.net/PDB - NMLS 182334, https://nmlsconsumeraccess.org Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
M23 rebels say they will not return to peace talks in Doha unless the DRC government agrees to its demands. Are the talks dead in the water?Could climate change be creating child brides in Malawi?And we learn about the role of matrilineal leadership in everyday Ghana.Presenter: Audrey Brown Producers: Yvette Twagiramariya, Priya Sippy and Stefania Okereke in London Technical Producer: Francesca Dunne Senior Producer: Paul Bakibinga Editors: Maryam Abdalla, Andre Lombard and Alice Muthengi.
Air Canada flight attendants rally as they vow to defy labour board's back-to-work order. Several European leaders get ready to head to Washington on Monday to meet with US President Donald Trump and Ukraine's President Volodymyr Zelenskyy. A nationwide strike is underway in Israel -- demanding the government negotiate an end to the war in Gaza -- and the return of all hostages. Polls open in Bolivia election as country deals with 25% inflation; defeat forecast for incumbent government. Fresh fighting has broken out between government forces and M23 rebels in the east of the Democratic Republic of Congo. Quebec's Health Ministry says it's working to finalize a tuberculosis action plan for Nunavik.
Subscribe now to skip the ads. Don't forget to buy our “Welcome to the Crusades” miniseries! Danny and Derek also rail against the war pigs, but lack the heavy riffs. This week: the International Court of Justice rules that wealthy nations must take action on climate change or bear responsibility (1:20); clashes escalate on the Thai-Cambodian border (4:08); a ceasefire holds in Syria's Suwayda province after clashes between Druze and Bedouin groups (9:06); in Israel-Palestine, Gaza's starvation reaches catastrophic levels (13:19) as ceasefire talks barely limp along (16:23); Iran is reengaging with the International Atomic Energy Agency (20:49); the Democratic Republic of the Congo and M23 militant group sign a declaration of intent (23:05); in Ukraine, a new round of peace talks achieves little (25:24) while Zelensky responds to protests over corruption (28:27); Venezuela, the US, and El Salvador carry out a prisoner exchange amid accusations of torture (31:38); the Japan House of Councillors holds an election while PM Ishiba looks likely to resign (33:32); and Japan, the Philippines, and Indonesia make trade deals (36:10). Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices