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Dans Rêve ta vie, vis tes rêves, Isabelle Servant, fondatrice de l'orientation positive, propose un livre de développement personnel ludique et accessible, pour aider chacun à comprendre ses modes de fonctionnement interne et à devenir acteur de sa propre vie. Divisé en trois étapes, cet ouvrage explore l'importance de prendre sa place dans le monde, l'impact de nos pensées et croyances sur notre réalité, et comment cultiver l'épanouissement à travers l'intelligence émotionnelle et le bien-être.✅ DANS CET ÉPISODE NOUS ABORDONS :Les trois étapes clés pour comprendre son fonctionnement interne et créer sa vie.L'importance de la préparation mentale et de l'impact des croyances et pensées sur nos actions.Comment l'épanouissement personnel passe par la gestion de l'intelligence émotionnelle, des relations, et du bien-être physique.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Journal en français facile du vendredi 27 juin 2025, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BnTC.A
As AI-driven digital infrastructure continues to expand, what steps can the industry take to minimize its environmental impact? In this exclusive JSA TV interview, Miranda Gardiner, Executive Director of the iMasons Climate Accord, shares insights on balancing AI's energy demands with sustainability, industry-wide collaboration for greener solutions, and how New York's digital footprint can be lighter on the planet.Tune in to hear how data centers, policymakers, and tech leaders can work together to drive meaningful change for a more sustainable digital future.
C'est ce vendredi 27 juin que les ministres des Affaires étrangères de la RDC et du Rwanda doivent signer un accord de paix à Washington, en présence de leur homologue américain, Marco Rubio. Jusqu'à ce jour, à la demande des États-Unis, les termes de l'accord sont restés secrets. Mais le chercheur américain Jason Stearns a réussi à en connaître les grandes lignes. Jason Stearns est le co-fondateur de l'institut congolais de recherches Ebuteli. Il enseigne aussi à l'université Simon Fraser, au Canada. En ligne des États-Unis, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI: Jason Stearns, quelles sont les grandes lignes de l'accord qui doit être signé ce vendredi ? Jason Stearns: On ne connaît pas le contenu exactement. Mais ce que nous pensons, c'est que ce sera un accord comme beaucoup d'autres accords dans les deux décennies passées entre le Rwanda et la RDC. Il sera basé sur le principe que le Rwanda se retire et que le Congo mène des opérations contre les FDLR, ce groupe de rebelles rwandais. Donc c'est le point, je pense, le plus important de l'accord. Parmi les points les plus controversés pendant les négociations, je pense, il y a eu le fait que cela soit mené simultanément, c'est à dire que le Rwanda retire ses troupes et que, d'une façon simultanée, la RDC commence les opérations contre les FDLR. Le problème avec cela, c'est que, comme c'est simultané, les deux côtés peuvent dire que l'autre n'a pas tenu ses promesses et que le Rwanda puisse dire que l'armée congolaise n'a pas assez fait contre les FDLR. Cela est d'autant plus vrai que les FDLR se trouvent, une grande partie au moins des FDLR, se trouvent sur le territoire contrôlé par le M23 et l'armée rwandaise actuellement. Donc c'est parmi les grands défis je pense, et il y a des autres aspects de l'accord aussi, le fait que le Rwanda devrait pousser le M23 à se retirer des grandes villes, dont Goma et Bukavu surtout, et le fait que le Congo devrait permettre aux M23 de se convertir en parti politique et de participer à la démocratie congolaise et, en même temps, le fait de laisser les combattants du M23 soit rejoindre un processus de démobilisation ou, au cas par cas, rejoindre l'armée nationale. Et à court terme, est-ce qu'il y a un mécanisme qui va s'assurer que l'armée rwandaise et les rebelles FDLR vont bien quitter le terrain du Nord et du Sud-Kivu ? Il y a un mécanisme conjoint de vérification qui sera mis en place par les deux pays avec une participation des États-Unis. Il faut dire que le calendrier pour la mise en œuvre de cet accord est ambitieux. Ça va se traiter dans les prochains trois mois. Et donc, pendant ces trois mois, il y aura une participation des États-Unis. Et je pense aussi que les pays de la sous-région pourraient justement veiller à ce que les deux côtés sont en train de mettre en œuvre les accords. Et si les États-Unis rentrent dans ce mécanisme conjoint, est-ce à dire que les satellites d'observation américains vont aider à vérifier tout ça ? Je pense, car c'est depuis 2023 que les États-Unis se sont vraiment engagés et je pense que ça va continuer pour la collecte des informations. Qu'est-ce qui garantit que l'armée rwandaise et les FDLR vont se retirer du champ de bataille ? Il n'y a pas de garantie comme tel. Donc je pense qu'il faut se poser la question : Qu'est-ce qui motive le Rwanda et la RDC à signer cet accord aujourd'hui ? Donc je pense qu'il y a des bâtons et des carottes. Les carottes sont surtout d'ordre économique. Donc, les Etats-Unis ont promis toute une série d'investissements dans la région. Côté minerai, il y a des compagnies privées américaines qui seraient prêtes à investir dans les mines à l'est de la RDC. Mais le traitement et l'exportation des minerais se feraient à partir du Rwanda. Donc comme ça, les deux côtés seraient encouragés d'investir dans la paix et pas dans l'instabilité. Alors l'un des problèmes, Jason Stearns, c'est que les rebelles du M23 ne sont pas conviés à la signature de l'accord de ce vendredi à Washington. Est-ce que ce n'est pas préoccupant ? C'est préoccupant dans le sens que le Rwanda pourra toujours dire que, voilà, ils ont tenu leur côté de l'accord. Si les M23 ne mettent pas l'accord en œuvre, ce n'est pas leur problème, comme ils ne contrôlent pas les M23. Or, nous savons que le Rwanda a une forte implication dans la gestion du M23, si on peut le dire ainsi. Mais le Rwanda pourrait toujours nier cela. Alors en effet, le gouvernement congolais espère que, si l'armée rwandaise se retire du terrain, le M23 va s'effondrer. Mais est-ce que c'est si simple que cela ? Ce n'est pas si simple dans le sens que, dans les mois passés, le M23, surtout depuis la prise de Goma, a mené des opérations très sérieuses pour recruter des milliers de nouvelles recrues, pour amener toute l'élite locale dans des camps de formation, pour mettre en place une administration parallèle sur le terrain avec des services de taxation, des services d'administration pour peser sur les chefs coutumiers, afin qu'ils se réorientent vers le M23. Donc il sera difficile de démanteler tout cela. Et donc je pense qu'il est important, pas seulement que l'accord soit signé, mais que, dans la mise en œuvre de cet accord, il y ait un suivi, pas seulement des Etats-Unis, mais de tous les autres acteurs impliqués de la sous-région et des Nations Unies et de l'Union africaine pour veiller à ce que le M23 aussi rejoigne le processus de paix. Avec Joseph Kabila et Corneille Nangaa ? Leur sort n'a pas été évoqué par cet accord, donc c'est parmi les grandes inconnues. À lire aussiVers un accord de paix RDC-Rwanda le 27 juin: «Nous espérons que, cette fois-ci, ce soit la bonne»
Après bientôt 30 ans de conflit, le Rwanda et la RDC doivent signer ce soir à Washington un accord historique de paix sous l'égide des États-Unis. La RDC cherche à obtenir le soutien des États-Unis contre les groupes rebelles en échange d'un accès à ses abondantes ressources minérales. L'est du pays, riche en ressources naturelles et frontalier du Rwanda, est en proie à des violences depuis plus de 30 ans. Le président congolais avait évoqué en avril un accord minier avec le conseiller spécial de Donald Trump pour l'Afrique, en visite alors à Kinshasa, Massad Boulos. Décryptage de Thierry Vircoulon, chercheur associé à l'Observatoire de l'Afrique centrale et orientale à l'IFRI.
Patrick Cohen décrypte sur le plateau de “C à Vous” un point précis de l'actualité pour le replacer dans son contexte, l'analyser et le mettre en perspective, en écartant opinions et approximations.
BFM STORY du lundi au jeudi de 17h à 19h avec Olivier Truchot & Alain Marschall. Deux heures pour faire un tour complet de l'actualité en présence d'invités pour expliquer et débattre sur les grands sujets qui ont marqué la journée.
Discover the transformative power of disagreement when approached with respect and understanding. In this episode, we unravel the story of Korach's rebellion against Moshe from Parshas Korach and draw from Rashi's teachings to highlight how disagreements can be natural and beneficial if they remain respectful. By sharing anecdotes of passionate debates among former Mossad leaders and rabbis over Talmudic interpretations, we illustrate how strong opposing views can coexist within respectful discourse. These lessons are increasingly vital in a world where political and social disagreements often escalate into personal conflicts.We also reflect on the role of conflict within relationships, using Rabbi Shlomo Zalman Aurbach as an example to emphasize that a lack of conflict might indicate a lack of true engagement. Extending this idea to international relations, we tackle the complexities of achieving peace between Israelis and Iranians, showcasing the importance of offering dignified exits from conflict. We examine strategies such as those employed by Trump to highlight the importance of allowing all parties to save face. As we conclude, we share a poignant story about the protective power of Torah books during a missile attack in Israel, underscoring the enduring need for peace and safety. Join us for a thought-provoking journey that emphasizes the pursuit of peace in our lives, both personally and globally._____________This episode (Ep 7.35) of the Parsha Review Podcast by Rabbi Aryeh Wolbe on Parshas Korach is dedicated in honor of our Holy Soldiers in the Battlefield and our Torah Scholars in the Study Halls who are fighting for the safety of our nation!Download & Print the Parsha Review Notes:https://drive.google.com/drive/folders/1ncaRyoH5iJmGGoMZs9y82Hz2ofViVouv?usp=sharingRecorded at TORCH Meyerland in the Levin Family Studios (B) to a live audience on June 20, 2025, in Houston, Texas.Released as Podcast on June 25, 2025_____________Listen & Subscribe: Apple Podcasts (https://podcasts.apple.com/us/podcast/parsha-review-podcast-rabbi-aryeh-wolbe/id1651930083)Spotify (https://open.spotify.com/show/22lv1kXJob5ZNLaAl6CHTQ) to stay inspired! Share your questions at aw@torchweb.org or visit torchweb.org for more Torah content. _____________About the Host:Rabbi Aryeh Wolbe, Director of TORCH in Houston, brings decades of Torah scholarship to guide listeners in applying Jewish wisdom to daily life. To directly send your questions, comments, and feedback: awolbe@torchweb.org_____________Keywords:#Torah, #Parsha, #Numbers, #Disagreement, #Respect, #Korach, #Rebellion, #Mossad, #Peace, #Conflicts, #Israelis, #Iranians, #Trump_____________Support Our Mission:Help us share Jewish wisdom globally by sponsoring an episode at torchweb.org. Your support makes a difference!_____________Subscribe and Listen to other podcasts by Rabbi Aryeh Wolbe: NEW!! Prayer Podcast: https://prayerpodcast.transistor.fm/episodesJewish Inspiration Podcast: https://inspiration.transistor.fm/episodesParsha Review Podcast: https://parsha.transistor.fm/episodesLiving Jewishly Podcast: https://jewishly.transistor.fm/episodesThinking Talmudist Podcast: https://talmud.transistor.fm/episodesUnboxing Judaism Podcast: https://unboxing.transistor.fm/episodesRabbi Aryeh Wolbe Podcast Collection: https://collection.transistor.fm/episodesFor a full listing of podcasts available by TORCH at http://podcast.torchweb.org ★ Support this podcast ★
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Avec : Jean-Philippe Doux, journaliste et libraire. Emmanuelle Dancourt, journaliste indépendante. Et Frédéric Hermel, journaliste RMC. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
durée : 00:11:11 - L'invité franceinfo soir - Maud Bregeon, députée EPR, était l'invitée politique de franceinfo soir, mercredi 25 juin 2025. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
The Alloy Studio is an experimental, Black, queer-owned fragrance brand blending glamour with grit. Created by romantic and business partners Bryson Ammons (the perfumer) and Eddie Hodges (the creative director), their fragrances dare and delight with notes like pineapple popsicle, sativa, and 'trashy perfume.' This week, we get the inside scoop on the brand's silver/gold aesthetic, Bryson's independent but community-rooted path to perfumery, and some ACTUAL piping-hot takes. WATCH THE FULL VID EP LATER THIS WEEK ONLY ON SUBSTACK!FOLLOW: @thealloystudio @brysonammons @by.exhSHOP: stele.shopSOTD: Phlur Vanilla NectarFRAGS MENTIONED:Phlur Vanilla Nectar*, Comptoir Sud Pacifique: Vanille Banane*, Vanille Abricot; Profumum Roma Dulcis in Fundo, The Alloy Studio: Idyllic, Silver Haze, Kinesis; Perry Ellis Bold Red, Glossier You, Aesop Rozu, Maison Crivelli Ambre Chromatique, Frederic Malle Acne Studios, Versace Blue, The Alloy Studio Hypnotic Nectar, Boy Smells, Davidoff Cool Water, Baccarat, Santal 33, Bod Man, Perry Ellis 360 Black, Versace The Dreamer, The Alloy Studio: Hypnotic Nectar, Kinesis; Aesop Gloam, Rozu (* = gifted in PR)Article mentioned: The Sweet Smell of Diversity
We recently met Alex Brands, founder of the new fragrance... brand, Rite Of Way, at our scent swap last month. He gifted us his first scent Outer Realm, and we were intrigued by the packaging design, the cute little tote, and of course, the scent (which also happens to be created by Joey Rosin, former guest and perfumer for Sable's Die Hot With A Vengeance perfume). We welcome Alex on this episode to give us a breakdown of how his abundant expertise in marketing and branding led to the creation of his own independent fragrance launch. [What we smell like today: WA:IT Botanicals Aka, Chris Collins Savant Manhattan Cherry]
Tous les matins à 7h10, l'actualité économique avec Emmanuel Lechypre.
Interview avec Roger-Claude Liwanga ,de l'Université Emory, aux Etats-Unis. Professeur de droit et de négociations internationales avancées, il propose un instrument pour mesurer l'application de l'accord qui devrait être signé le 27 juin prochain entre la RDC et le Rwanda.
The glass bottle is often the single largest contributor to a wine's carbon footprint, sometimes accounting for more than half of it. In response, the Sustainable Wine Roundtable (SWR) began researching the lightweighting of still wine bottles a few years ago. This work led to the development of the Bottle Weight Accord (BWA), launched in 2023. Under the Accord, participants commit to reducing the average weight of their 750ml still wine bottles to below 420 grams by the end of 2026. Since its launch, the BWA has gained significant traction. With over 20 global companies now involved, the Accord covers approximately 7.5% of all wine sold. As the initiative continues to make progress, the natural next step is to expand into the sparkling wine sector. The SWR recently published its first progress report, laying the foundation for a Sparkling Bottle Weight Accord. In this podcast, Hanna Halmari and Dr Peter Stanbury, SWR's head of research, discuss the report's findings, the unique challenges of sparkling wine packaging, and the next steps for a Sparkling Wine Accord.
Avec : Cyril Chabanier, président de la CFTC. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
durée : 00:06:10 - "Conclave" retraites : les attentes de la CFDT de la Sarthe pour la journée de la dernière chance - Accord ou pas ? Les partenaires sociaux se rencontrent une dernière fois ce lundi pour améliorer le texte promulgué en 2023 par le gouvernement d'Elisabeth Borne. Si le recul de l'âge légal de départ de 62 à 64 ans n'est pas remis en cause, d'autres points peuvent encore être discutés selon la CFDT. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur les conséquences des essais nucléaires de la France en Polynésie et la guerre Israël-Iran. RDC-Rwanda : signature d'un accord préliminaire de paix Après plusieurs jours de discussions à Washington, experts congolais et rwandais ont paraphé un document préparatoire pour un accord de paix dans l'est de la RDC. Quel est le contenu de ce document ? Quelle est la suite pour que cet accord puisse entrer en vigueur ? Avec Patient Ligodi, journaliste au service Afrique de RFI. Essais nucléaires : la France sommée de demander pardon à la Polynésie Près de trente ans après la fin des essais nucléaires français en Polynésie, une commission d'enquête parlementaire recommande à l'État de présenter des excuses officielles à la population locale. Quelles sont aujourd'hui les conséquences de ces essais nucléaires ? Que pourrait impliquer cette demande de pardon ? Avec Baptiste Coulon, journaliste au service France de RFI. Guerre Israël-Iran : Ali Khamenei met en garde Donald Trump En réponse aux menaces de Donald Trump, l'ayatollah Ali Khamenei a menacé les États-Unis de « dommages irréparables » en cas d'intervention militaire dans le conflit. Que signifie cette déclaration ? l'Iran en a-t-il les moyens ? Guerre Israël-Iran : vers une médiation de la Russie ? Vladimir Poutine a proposé de jouer un rôle de médiateur dans le conflit qui oppose Israël à l'Iran. Si dans un premier temps Donald Trump était favorable à cette idée, il semble maintenant s'y opposer. Comment expliquer cette volte-face ? Avec Général Dominique Trinquand, spécialiste des relations internationales, ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU. Et en fin d'émission, la chronique « Un œil sur les réseaux » de Jessica Taieb. Aujourd'hui, elle revient sur les sujets du brevet en Guinée, dont un qui a beaucoup fait parler de lui sur les réseaux sociaux...
Un accord de paix entre la République démocratique du Congo et le Rwanda est-il vraiment possible le 27 juin prochain ? « Oui, répond le ministre de la Communication du Congo-Brazzaville, car, cette fois-ci, il y a l'intervention d'une grande puissance, à savoir les États-Unis ». Thierry Moungalla, qui est à la fois ministre de la Communication et des Médias et porte-parole du gouvernement du Congo-Brazzaville, s'exprime aussi sur la présidentielle prévue dans son pays au mois de mars 2026. Le président Denis Sassou-Nguesso sera-t-il candidat à sa réélection ? De passage à Paris, Thierry Mougalla répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Ce mercredi 18 juin, la République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda se sont engagés à signer un accord de paix, le 27 juin prochain, lors d'une réunion ministérielle prévue à Washington, quelle est votre réaction ? Thierry Moungalla : Nous nous réjouissons de cette avancée qui nous paraît une avancée majeure. Ce qu'il faut retenir, c'est qu'il est prôné un arrêt des hostilités, un désarmement des forces qui sont considérées comme rebelles et la possibilité d'aller vers la conclusion d'un accord de paix. Donc, nous, les pays voisins, nous nous réjouissons de cet accord et nous espérons que les différentes étapes qui semblent attendues soient franchies sans encombres. Et après 29 ans de guerre dans les Grands Lacs, vous croyez à une paix définitive ? Nous espérons que cette fois-ci, avec l'intervention d'une grande puissance comme les États-Unis, que cette fois-ci soit la bonne. Depuis deux mois, ce sont en effet les États-Unis et le Qatar qui font la médiation entre la RDC et le Rwanda. Est-ce que l'Afrique n'est pas marginalisée dans cette affaire ? Non. Je considère qu'objectivement, quand une maison brûle, tous ceux qui amènent des seaux d'eau pour éteindre l'incendie sont les bienvenus. Depuis un an, la location de 12 000 hectares de terre congolaise à une société rwandaise suscite beaucoup d'émotion à Brazzaville, mais aussi à Kinshasa, où beaucoup y voient le risque que l'armée rwandaise en profite pour ouvrir un deuxième front contre la RDC. Est-ce que c'est la raison pour laquelle vous venez d'annuler ce contrat foncier avec le Rwanda ? Non. Il faut que je précise en deux mots la situation. Il y a d'abord des accords d'État à État qui sont des accords de coopération bilatérale classiques. Ce sont des accords dans des matières essentiellement économiques. Ces accords ne sont pas remis en cause et ils n'ont aucune raison de l'être. Il y a, à côté de cela, des contrats ponctuels qui ont été conclus pour la relance de la production agricole dans des zones très riches. Ces accords ont été conclus avec des sociétés rwandaises. Et malheureusement, on a constaté leur caducité parce que les entreprises n'ont pas accompli les diligences qui étaient attendues d'elles. Et donc, naturellement, la condition de caducité a été mise en œuvre depuis le 8 décembre 2024. Et donc, comme vous le voyez, rien à voir avec le conflit que nous évoquions tout à l'heure. Il n'y avait là, il n'y a là absolument aucune connotation militaire. Et puis, d'ailleurs, comment voudriez-vous qu'il y ait des connotations militaires à ce type d'accord, alors que notre pays est situé à près de 1 500 kilomètres du théâtre des opérations concernées, c'est-à-dire l'est de la RDC et les confins du Rwanda ? En tout cas, les autorités de Kinshasa étaient inquiètes et elles vous l'avaient fait savoir. Nous échangeons régulièrement avec les autorités de Kinshasa. Je peux même vous dire que récemment, le ministre de l'Intérieur du Congo a eu l'honneur de rencontrer le président [de la RDC] Félix Tshisekedi. Et je suis certain que nous apportons au quotidien toutes les assurances de notre volonté de faire que ça se passe bien. La présidentielle au Congo, c'est l'année prochaine. Le président congolais Denis Sassou-Nguesso a le droit de se représenter, mais il est au pouvoir depuis plus de 40 ans. Est-ce que vous pensez qu'il pourrait envisager de laisser la place aux jeunes ? Bon, moi, je poserai la question plutôt dans l'autre sens. Aujourd'hui, nous sommes dans une grande stabilité. Nous avons un président de la République expérimenté. Je pense, je suis convaincu que le président de la République est celui qui va favoriser cette transition générationnelle dans la paix, dans la stabilité et dans la cohérence. Parce que quand on se précipite vers ce qui ressemble à un changement, on s'aperçoit bien vite que les mains inexpertes, à qui on confierait trop vite les choses, pourraient conduire le pays à l'impasse. Je souhaite que le président de la République soit candidat, mais ce n'est pas à l'ordre du jour au moment où nous nous exprimons, puisque nous sommes à neuf mois de l'élection présidentielle. Et le président a un mandat à remplir entre-temps. Mais cette transition générationnelle dont vous parlez, elle pourrait avoir lieu dès l'année prochaine ou non ? Non, cette transition générationnelle, c'est lui qui est le transmetteur, qui porte cette transition générationnelle. Je dis qu'il va assurer cette transition en allant vers la capacité de rajeunir les équipes, d'y inclure le maximum de jeunes. Voilà neuf ans que les opposants Jean-Marie Michel Mokoko et André Okombi Salissa sont derrière les barreaux. La justice les a condamnés à 20 ans de prison, mais beaucoup les considèrent comme des prisonniers politiques. Est-ce qu'une grâce présidentielle pourrait avoir lieu avant l'année prochaine, avant la présidentielle ? Il me semble que, dans notre législation, ce sont des éléments qui souvent doivent faire l'objet d'initiatives de la part des condamnés. Donc, je n'ai pas d'opinion sur ce sujet. Je pense que le président de la République est le seul maître de la possibilité de gracier.
La presse congolaise en fait ses gros titres : « Accord de paix RDC Rwanda : un pas décisif vers la stabilité », titre le Journal de Kinshasa, qui parle d'une « étape majeure » et résume les grandes lignes de l'accord trouvé mercredi à Washington, notamment « le respect mutuel de l'intégrité territoriale, l'interdiction totale des hostilités », ou encore « le désarmement et le désengagement des groupes armés non-étatiques ». De son côté, Le Maximum parle d'un « pré-accord », « arraché par Washington », estimant que « cet accord global a été obtenu grâce à la pugnacité de la médiation américaine ». « Pour l'oncle Sam », poursuit le Maximum, « il n'y a plus place désormais pour les tergiversations habituelles dans les négociations devant aboutir à la pacification de la région des Grands Lacs, perturbée de manière incessante par l'activisme militaro- économique du régime de Paul Kagamé ». La presse rwandaise évoque également ce « projet d'accord de paix », c'est le cas du New Times, qui précise que « le texte de l'accord, devrait être signé par les ministres des deux pays le 27 juin ». Et maintenant l'Iran ! Le coup de gueule de Pierre Sané, dans Sénéplus. Un texte de l'ancien haut fonctionnaire de l'ONU et secrétaire général d'Amnesty International, intitulé : « Bombarder une intention ». Pierre Sané évoque l'histoire récente et interroge : « N‘avaient-ils pas évoqué « les armes de destruction massive en Irak, malgré les dénégations de Saddam Hussein, appuyés par les rapports des inspecteurs des Nations Unies (…) une fois qu'ils ont détruit l'Irak et n'ont rien trouvé, ils ont insisté sur « l'intention » que Saddam Hussein aurait eue de s'en procurer ». « Je passe sur la Libye, la Syrie, l'Afghanistan, la Côte d'Ivoire, mensonges puis matraquages médiatiques » poursuit Pierre Sané, qui s'exclame « Et maintenant, l'Iran ! ». « Depuis 30 ans », dit-il, « Benyamin Netanyahu répète que l'Iran est à 15 jours de produire sa bombe et qu'Israël a le droit de se défendre « préemptivement », en déclenchant une intervention outrageusement illégale, soutenue par un Occident en total effondrement moral ». Pierre Sané qui conclut ainsi : « Nous savons que tout ce qui se construit sur le mensonge ne peut pas durer. L'empire du mensonge est en train de s'écrouler (…) Pendant ce temps, l'extermination systématique du peuple palestinien se poursuit avec une ferveur toute coloniale et une cruauté assumée ». Travel ban On reste au Sénégal avec l'affaire des visas américains refusés à plusieurs basketteuses sénégalaises. Les basketteuses devaient rejoindre plusieurs de leurs collègues, déjà arrivées aux États-Unis, pour un stage d'entraînement avant l'Afrobasket, qui aura lieu en Côte d'Ivoire du 25 juillet au 3 août . Comment interpréter cette décision ? Babacar N'diaye, le président de la Fédération Sénégalaise de Basket explique sobrement, dans Sénégal 7 : « l'Ambassade des États-Unis n'a accepté que les renouvellements de visa, les nouvelles demandes ont été rejetées, dont celles de cinq joueuses qui sont actuellement à Dakar ». Une affaire prise très au sérieux en haut lieu, puisque c'est le premier ministre Ousmane Sonko, lui-même, qui « a annoncé l'annulation du stage de préparation de l'équipe féminine aux États-Unis ». « Ce stage sera désormais organisé à Dakar, dans un cadre souverain et propice à la performance de nos athlètes » déclare ainsi Ousmane Sonko. Propos repris par Sénégo, qui salut « une déclaration ferme et engagée ». De son côté, Jeune Afrique évoque « la vague annoncée du "travel ban" américain et estime que « le Sénégal semble avoir déjà expérimenté la nervosité administrative américaine dans le secteur du sport (…) Jeune Afrique rappelle que le « travel ban » de Donald Trump, impliquerait « les ressortissants de 25 pays africains qui pourraient être interdits de voyage aux États-Unis ». 25 pays, dont le Sénégal.
Ce vendredi 20 juin, le conclave sur les retraites et les moyens qui permettront de compenser les dépenses publiques ont été abordés par Stéphane Carcillo, responsable de la division revenu/travail de l'OCDE et professeur à Sciences Po, Xavier Jaravel, professeur à la London School of Economics, et Jean-Marc Vittori, éditorialiste aux Échos, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
La presse congolaise en fait ses gros titres : « Accord de paix RDC Rwanda : un pas décisif vers la stabilité », titre le Journal de Kinshasa, qui parle d'une « étape majeure » et résume les grandes lignes de l'accord trouvé mercredi à Washington, notamment « le respect mutuel de l'intégrité territoriale, l'interdiction totale des hostilités », ou encore « le désarmement et le désengagement des groupes armés non-étatiques ». De son côté, Le Maximum parle d'un « pré-accord », « arraché par Washington », estimant que « cet accord global a été obtenu grâce à la pugnacité de la médiation américaine ». « Pour l'oncle Sam », poursuit le Maximum, « il n'y a plus place désormais pour les tergiversations habituelles dans les négociations devant aboutir à la pacification de la région des Grands Lacs, perturbée de manière incessante par l'activisme militaro- économique du régime de Paul Kagamé ». La presse rwandaise évoque également ce « projet d'accord de paix », c'est le cas du New Times, qui précise que « le texte de l'accord, devrait être signé par les ministres des deux pays le 27 juin ». Et maintenant l'Iran ! Le coup de gueule de Pierre Sané, dans Sénéplus. Un texte de l'ancien haut fonctionnaire de l'ONU et secrétaire général d'Amnesty International, intitulé : « Bombarder une intention ». Pierre Sané évoque l'histoire récente et interroge : « N‘avaient-ils pas évoqué « les armes de destruction massive en Irak, malgré les dénégations de Saddam Hussein, appuyés par les rapports des inspecteurs des Nations Unies (…) une fois qu'ils ont détruit l'Irak et n'ont rien trouvé, ils ont insisté sur « l'intention » que Saddam Hussein aurait eue de s'en procurer ». « Je passe sur la Libye, la Syrie, l'Afghanistan, la Côte d'Ivoire, mensonges puis matraquages médiatiques » poursuit Pierre Sané, qui s'exclame « Et maintenant, l'Iran ! ». « Depuis 30 ans », dit-il, « Benyamin Netanyahu répète que l'Iran est à 15 jours de produire sa bombe et qu'Israël a le droit de se défendre « préemptivement », en déclenchant une intervention outrageusement illégale, soutenue par un Occident en total effondrement moral ». Pierre Sané qui conclut ainsi : « Nous savons que tout ce qui se construit sur le mensonge ne peut pas durer. L'empire du mensonge est en train de s'écrouler (…) Pendant ce temps, l'extermination systématique du peuple palestinien se poursuit avec une ferveur toute coloniale et une cruauté assumée ». Travel ban On reste au Sénégal avec l'affaire des visas américains refusés à plusieurs basketteuses sénégalaises. Les basketteuses devaient rejoindre plusieurs de leurs collègues, déjà arrivées aux États-Unis, pour un stage d'entraînement avant l'Afrobasket, qui aura lieu en Côte d'Ivoire du 25 juillet au 3 août . Comment interpréter cette décision ? Babacar N'diaye, le président de la Fédération Sénégalaise de Basket explique sobrement, dans Sénégal 7 : « l'Ambassade des États-Unis n'a accepté que les renouvellements de visa, les nouvelles demandes ont été rejetées, dont celles de cinq joueuses qui sont actuellement à Dakar ». Une affaire prise très au sérieux en haut lieu, puisque c'est le premier ministre Ousmane Sonko, lui-même, qui « a annoncé l'annulation du stage de préparation de l'équipe féminine aux États-Unis ». « Ce stage sera désormais organisé à Dakar, dans un cadre souverain et propice à la performance de nos athlètes » déclare ainsi Ousmane Sonko. Propos repris par Sénégo, qui salut « une déclaration ferme et engagée ». De son côté, Jeune Afrique évoque « la vague annoncée du "travel ban" américain et estime que « le Sénégal semble avoir déjà expérimenté la nervosité administrative américaine dans le secteur du sport (…) Jeune Afrique rappelle que le « travel ban » de Donald Trump, impliquerait « les ressortissants de 25 pays africains qui pourraient être interdits de voyage aux États-Unis ». 25 pays, dont le Sénégal.
En RD Congo, se rapproche-t-on de la signature d'un accord de paix entre la RDC et le Rwanda ? Les experts congolais et rwandais, réunis à Washington, ont paraphé un texte provisoire sur un accord de paix, sous l'égide des États-Unis. Il prévoit notamment la fin des hostilités dans l'est de la RDC.
Dernier épisode. Ce rendez-vous mondial pour mieux protéger l'océan. La 3e Conférence des Nations unies sur l'océan vient de s'achever. À Nice, des responsables politiques, des scientifiques, des membres d'ONG, des dirigeants et dirigeantes d'entreprise, ainsi que des citoyennes et citoyens concernés se sont réunis pour faire entendre leurs voix et affirmer leur volonté d'agir pour la préservation du milieu marin. Face à l'urgence, les engagements se multiplient. La gouvernance des océans reste un défi, mais les échanges tenus à Nice marquent une avancée vers davantage de coopération. Que faut-il retenir de cette conférence ? Quelles promesses ont été faites, quelles avancées obtenues ? À l'approche de la COP30, l'heure est venue de faire le bilan - et de mesurer ce que l'océan peut encore espérer. Avec : Olivier Poivre d'Arvor, ambassadeur français pour les pôles et l'océan. Mere Takoko, chercheuse maorie spécialisée dans les savoirs océaniques autochtones. LaToya Cantrell, maire de la Nouvelle-Orléans (Etats-Unis). Carlos Santos, pêcheur brésilien engagé contre les méthodes de pêche industrielle. Antonio Guterres, Secrétaire général des Nations unies. Emmanuel Macron, Président de la République française. Rodrigo Chaves Robles, Président de la République du Costa Rica. Ilona Mayerau-Lonné et Noémie de Saint-Quentin, membres du "Réseau Jeunesse Pays et Territoires d'Outre-mer", représentantes de la jeunesse de Nouvelle-Calédonie. Romane Prigent, rédactrice au sein de la Direction des Nations unies et des organisations internationales du MEAE, chargée des sujets « climat et environnement ». Marina Lévy, océanographe, directrice de recherche au CNRS, Conseillère Océan auprès de l'IRD (Institut de recherche pour le développement). John Kerry, ancien ministre des Affaires étrangères des Etats-Unis. Henri Bourgeois-Costa, expert en environnement, pollutions plastiques et économie circulaire, membre de la Fondation Tara Océan. Marine Calmet, juriste avocate de formation, présidente de l'association Wild Legal. Gabrielle Larricq, rédactrice océan au ministère de l'Europe et des Affaires étrangères (MEAE). Nabil Medaghri-Alaoui, rédacteur océan au MEAE. Françoise Gaill, océanographe, conseillère scientifique au CNRS et vice-présidente de la Plateforme Océan & Climat. ------ Pour aller plus loin : Le baromètre Starfish, qui dresse chaque année, à l'occasion de la Journée mondiale de l'océan, un état des lieux scientifique et pédagogique de la santé de l'océan. La liste des engagements pris lors de la 3e Conférence des Nations unies sur l'océan. Un coloriage : prolongez l'expérience en coloriant vous-même la fin de la fresque à télécharger imaginée par Julie Feydel, la directrice artistique du ministère de l'Europe et des Affaires étrangères. (PDF) ------ CRÉDITS : Voix, écriture, production et réalisation : Diane Jean Edition et aide à la production : Mariane Schlegel Communication : Kaled Maddi Direction de production : Julie Godefroy Musique : 1985, Angel Salazar (Artlist) ------ DOUBLAGE : Olivier Poivre d'Arvor : Maxime Richard. Mere Takoko : Guifty Banka. Carlos Santos : Simon Derieux-Billaud. John Kerry : Matthias Lugoy. ------ À PROPOS : « Qui gouverne l'océan ? » est une série du podcast Sources diplomatiques. Réalisé par le ministère de l'Europe et des Affaires étrangères, ce podcast vous propose des documentaires, décryptages, récits intimes et conversations pour plonger dans les coulisses de la diplomatie française et comprendre les grands enjeux internationaux. Sources diplomatiques est à retrouver sur toutes les applications d'écoutes et de streaming audio.
Il y a six mois, les socialistes acceptaient de ne pas censurer François Bayrou. Aujourd'hui, le parti fait pression sur le Premier ministre en ce qui concerne le conclave sur les retraites. Certaines personnalités politiques estiment qu'Olivier Faure, réélu de justesse à la tête du PS, cherche uniquement à renforcer sa position et retrouver une influence. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:11:48 - Conclave sur les retraites : un accord possible ?
Le sommet du G7 se poursuit pour une journée encore au Canada, mais sans Donald Trump. Le président américain est parti plus tôt que prévu lundi (16 juin 2025). Il affirme vouloir se concentrer sur la guerre en cours entre Israël et l'Iran. Le Premier ministre canadien espère tout de même passer un accord sur les droits de douane avec Washington dans les semaines à venir. Les États-Unis ont décidé récemment d'appliquer des droits de douane conséquents jusqu'à 50% sur l'acier et l'aluminium en provenance du Canada, alors que ce pays est le principal fournisseur des États-Unis, rappelle notre envoyée spéciale au G7, Murielle Paradon. Une décision jugée « injustifiée et illégale » par Ottawa qui a pris des mesures de rétorsion en appliquant des taxes sur certains produits américains. Hier, à l'ouverture du G7, le Premier ministre canadien Mark Carney a rencontré Donald Trump, pour discuter de ce sujet sensible. « Je pense qu'on a des visions différentes, a estimé Donald Trump. Moi je suis pour les droits de douane, Mark [Carney] a une vision différente mais qui est aussi bonne » Une différence d'approche que le Premier ministre canadien va essayer d'infléchir. Mark Carney souhaite une meilleure coopération, pour le bien de tous : « Nous ne sommes pas forcément d'accord sur tout mais chaque point d'accord va faire une énorme différence, pour les citoyens et pour le monde, pour amener à une nouvelle ère de prospérité, j'espère, pour le bénéfice de ceux que nous servons » À l'issue de la rencontre avec Donald Trump hier (16 juin), Mark Carney a annoncé que des négociations allaient se poursuivre avec les Américains. Il se donne 30 jours pour obtenir un accord. Les médecins cubains envoyés au Mexique sont-ils victimes de travail forcé ? Depuis le début du mois de juin 2025, les conditions de travail des plus de trois mille médecins cubains qui travaillent au Mexique sont revenus dans l'actualité du pays et de la région. Ils sont envoyés depuis des années par La Havane afin de combler le manque de personnel médical spécialisé dans les régions les plus isolées du Mexique. Cet accord a été dénoncé par l'administration des États-Unis au début du mois. Dans l'ombre du Travel ban, Washington a annoncé qu'elle retirerait les visas de certains fonctionnaires de pays centraméricains qui accueillent sur leur territoire des médecins cubains via un accord avec les autorités de La Havane. L'objectif officiel : lutter contre des réseaux d'exploitation et de travail forcé mis en place par les autorités cubaines. Certains médias y voient une volonté américaine d'empêcher Cuba de faire entrer des devises sur son territoire. « C'est un message direct » adressé à Mexico estimait l'éditorialiste del Universal Salvador Garcia Soto au lendemain de l'annonce début juin. L'ancien président mexicain Andres Manuel Lopez Obrador a en effet passé un contrat avec La Havane. La pratique continue aujourd'hui. El Universal vient de publier une enquête sur la question. Durant les trois dernières années, Mexico a versé plus de 90 millions d'euros à l'entreprise cubaine nommée Comercializadora de servicios cubanos. Une partie en Pesos, l'autre en euros. Une manne importante de devises pour l'île cubaine isolée par les sanctions américaines. Dans un premier temps, el Universal affirmait ne pas avoir reçu de réponse des autorités mexicaines quant au salaire offert par le ministère de la Santé à ses travailleurs cubains. Dans l'enquête publiée hier, le journal offre plus de détails : l'institut de sécurité social mexicain prend en charge les logements, repas, et déplacements des médecins cubains. Le montant des salaires eux restent inconnus, ils sont payés par l'entreprise cubaine. Mais «il ne s'agit pas de travail forcé», a affirmé la présidente mexicaine Claudia Sheinbaum. «Il faudrait apporter des preuves à de telles accusations. Pour l'heure, on ne nous a rien signalé», affirme-t-elle. Sommet Brésil-Caraïbes : Appel à soutenir contre les gangs en Haïti Comme tous les mardis, nous revenons sur l'actualité haïtienne avec le directeur de l'agence AlterPresse, Gotson Pierre. Le site d'information revient notamment sur l'appel des dirigeants du Brésil et des pays des Caraïbes pour soutenir les efforts du gouvernement intérimaire haïtien pour démanteler les groupes armés criminels. Dans un communiqué conjoint, ils insistent sur la nécessité d'établir des bases solides pour un développement social et économique durable, et d'organiser des élections dès que les conditions de sécurité seront réunies, rapporte AlterPresse. Les signataires exhortent l'Organisation des Nations unies à jouer un rôle central et moteur dans les réponses aux défis sécuritaires majeurs auxquels est confrontée Haïti. L'exclusion systématique des femmes dans la politique haïtienne AlterPresse consacre également tout un dossier à l'absence des femmes dans la vie politique en Haïti, et ce malgré des quotas imposés par la loi. La Floride se prépare aux ouragans C'est à partir de 119 km/h que les dépressions tropicales se transforment en cyclones tropicaux connus comme des ouragans. Ces phénomènes naturels peuvent être particulièrement destructeurs dans toute la zone des Caraïbes, de l'Amérique Centrale et du sud des États. Alors que la saison des ouragans vient juste de commencer, notre envoyé spécial Eric Solo s'est rendu à Miami, capitale américaine des ouragans, pour y voir l'état de préparation de l'État de Floride.
Israël a frappé la nuit dernière des cibles militaires et nucléaires iraniennes. La veille, le président américain avait demandé à son allié de ne pas attaquer l'Iran pour laisser une chance à la démocratie. Donald Trump a exhorté l'Iran à « conclure un accord avant qu'il ne reste plus rien », et avertit Téhéran que les prochaines attaques israéliennes seraient « encore plus brutales ». Le secrétaire d'État américain Marco Rubio avait auparavant précisé qu'Israël avait agi de manière unilatérale, et que la « priorité » américaine était de protéger ses forces dans la région. Les autorités iraniennes, qui considèrent l'attaque israélienne comme une « déclaration de guerre », ont annoncé qu'elle ne se rendront pas aux pourparlers prévus avec les américains à Oman dimanche prochain. Un camouflet pour Donald Trump ? Si Trump a tenté de dissuader Benyamin Netanyahu d'attaquer l'Iran, il a été prévenu en amont de l'attaque israélienne et avait réduit le personnel diplomatique dans la région, rappelle notre correspondante aux États-Unis Loubna Anaki. « On peut avoir l'impression que Netanyahu n'a pas suivi la consigne de Trump, mais ce dernier avait donné 60 jours à l'Iran pour accepter un deal, et Israël a lancé ses frappes le 61ème jour », rappelle Romuald Sciora. Pour le directeur de l'Observatoire politique et géostratégique des États-Unis de l'Iris, le président américain est néanmoins « en difficulté sur la scène internationale. […] Après l'Ukraine et Gaza, ce conflit est un échec » pour Donald Trump qui se rêvait en faiseur de paix. Le déploiement de la Garde nationale à Los Angeles en sursis Une cour d'appel à décidé de maintenir temporairement le déploiement de la Garde nationale en Californie, qui avait été bloquée en première instance quelques heures auparavant. Donald Trump avait envoyé ses troupes pour faire face aux manifestations contre sa politique migratoire. À Jesup, dans le sud de la Géorgie, les expulsions inquiètent les sans-papiers, mais aussi les migrants qui sont légalement aux États-Unis. Le reportage d'Edward Maille. Un sénateur américain expulsé d'une conférence de presse et menotté Le sénateur de Californie Alex Padilla a été mis au sol et menotté par la police lors d'une conférence de presse de la secrétaire à la Sécurité intérieure sur la question des arrestations de sans-papiers à Los Angeles. « Si c'est comme ça que l'administration répond aux questions d'un sénateur, on ne peut qu'imaginer comment ils traitent les travailleurs sans papiers dans les fermes, dans les cuisines, partout à travers Los Angeles et à travers la Californie », a-t-il réagi quelques heures plus tard.
This is part two of what might become a short series of discussions about the importance of being on the same accord. The first episode explored the basic premise that we must be on the same accord. This episode explores why we should, but do we even care? Give us your thoughts. Martha and I truly believe in what we are doing. We are leaving a legacy for the present and future generations.
Épisode 3. Cette année où tout peut basculer. L'année 2025 s'annonce cruciale pour l'océan. Elle a, d'abord, démarré avec une session mouvementée à l'Autorité internationale des fonds marins (AIFM) qui travaille depuis plusieurs années à l'élaboration d'un code minier en vue d'une potentielle future exploitation minière des grands fonds marins. Depuis 2021, les pressions montent de toute part, avec d'un côté, les pays comme la France qui sont en faveur d'une interdiction ou a minima d'une pause de précaution pour éviter que l'exploitation ne démarre aux dépens des écosystèmes, ni des générations futures, et de l'autre, des pays ou des entreprises qui y voient une opportunité économique inespérée. En parallèle de ce projet de code minier de l'AIFM, se prépare l'un des plus grands sommets jamais organisé sur l'océan : la troisième conférence des Nations Unies sur l'océan co-organisée par la France et le Costa Rica prévu à Nice au moins de juin. Ce rendez-vous géant qui va réunir scientifiques, associations et leader a pour thème principal : « accélérer l'action et mobiliser tous les acteurs pour conserver et utiliser durablement l'océan ». Avec : Olivier Guyonvarch, ambassadeur de France en Jamaïque et représentant permanent de la France à l'Autorité internationale des fonds marins (AIFM) ; Gabrielle Larricq, rédactrice océan au ministère de l'Europe et des Affaires étrangères ; Nabil Medaghri-Alaoui, rédacteur océan au ministère de l'Europe et des Affaires étrangères ; Romane Prigent, rédactrice climat et environnement au sein de la Direction des Nations unies et des organisations internationales du ministère ; Lilou Sciortino-Monaco, coordinatrice générale de la 3e conférence des Nations unies sur les océans. ------ POUR ALLER PLUS LOIN : Une vidéo ludique et pédagogique : « À qui appartient la mer ? », à retrouver en ligne sur le compte Youtube d'Arte ; Une exposition fascinante à retrouver en physique ou en ligne : « Digital Abysses » où l'artiste Miguel Chevalier nous invite à plonger dans un univers numérique immersif qui révèle la beauté mystérieuse et fragile des profondeurs marines ; Un acteur incontournable de la diplomatie océanique : la Plateforme océan & climat, fondée en 2021, qui regroupe plus de 100 associations, fondations, et collectivités et qui s'est donné pour mission de favoriser la réflexion et les échanges entre la communauté scientifique, la société civile et les décideurs politiques ; ------ ARCHIVES & EXTRAITS : extrait du discours d'Emmanuel Macron à la COP27 en Égypte en novembre 2022 ; extraits médias (AFP, France Inter) à propos des négociations de l'AIFM publiés en 2024 et 2025 ; extraits médias (NPR, RTS, France 24) à propos du décret signé par Trump autorisant l'exploitation minière des fonds marins ; lecture d'un communiqué de TMC USA publié le 29 avril 2025 ; lecture d'un communiqué de l'AIFM publié le 30 avril 2025 ------ CRÉDITS : Voix, écriture, production et réalisation : Diane Jean Illustrations et identité visuelle : Julie Feydel Lecture et édition : Mariane Schlegel Communication : Kaled Maddi et Matthias Lugoy Direction de production : Julie Godefroy Musique : Out of Reach, Ziv Moran ; Underwater fantaisies, Omri Smadar ; Overcome, Tiko Tiko ; 1983, Angel Salazar (Artlist) ------ À PROPOS : « Qui gouverne l'océan ? » est une série du podcast Sources diplomatiques. Réalisé par le ministère de l'Europe et des Affaires étrangères, ce podcast vous propose des documentaires, décryptages, récits intimes et conversations pour plonger dans les coulisses de la diplomatie française et comprendre les grands enjeux internationaux. Sources diplomatiques est à retrouver sur toutes les applications d'écoutes et de streaming audio.
Максим Нефьодов, керівник проєкту моніторингу митниці ACCORD громадської організації Технології прогресу, голова Держмитслужби 2019-2020рр, на Radio NV про те, що відбувається у Верховній Раді, де поставили питання про звільнення міністру фінансів Сергія Марченко, які закиди лунають на його адресу, до чого тут реформа митниці, як коментують ці ганебні процеси європейські партнери, як контрабанда потрапляє в Україну та до чого тут Європа, про Вовину тисячу, національний кешбек, купівлю російських реакторів та інші питання до міністра, а також про те, що робити владі в цих обставинах.Ведуча – Власта Лазур
Ce vendredi 6 juin, l'OTAN, proche d'un accord pour une augmentation des dépenses sur sa sécurité, et des rapports plus chaleureux avec les USA, a été abordé par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Épisode 2. Cet accord qui peut tout changer. En 2004, la quasi-totalité des pays du monde entier se sont engagés dans une aventure diplomatique hors norme : construire, ensemble, un accord pour protéger l'océan et sa biodiversité. Un projet aussi ambitieux ne se concrétise pas du jour au lendemain, d'autant que les divergences entre États ont posé un défi majeur : comment concilier les intérêts de chacun tout en garantissant la préservation de l'océan et de ses richesses ? Cette aventure diplomatique a duré vingt ans. Vingt années pendant lesquelles des diplomates, des scientifiques, des ONG des quatre coins du monde ont œuvré sans relâche pour créer cet accord dit "l'accord BBNJ", ou Traité international pour la protection de la haute mer et de la biodiversité marine au delà des zones de juridiction nationale. Dans cet épisode, quatre personnes qui ont participé à ces négociations nous racontent les coulisses de cette aventure rocambolesque. Avec : Lisa Speer, directrice de l'ONG américaine Natural Resources Defense Council (NRDC), chargée des océans ; Serge Ségura, ambassadeur à la retraite, chef de la délégation française pour l'accord BBNJ pendant 14 ans ; Sandrine Barbier, directrice adjointe à la Direction des affaires juridiques, cheffe de la délégation française pour l'accord BBNJ ; Krystel Wanneau, docteure en sciences politiques et enseignante-chercheuse à Sciences-Po Grenoble, qui a travaillé sur les politiques environnementales internationales ------ POUR ALLER PLUS LOIN : L'accord BBNJ : parcourez la version intégrale de ce traité historique adopté en 2023 ; Le fascinant et merveilleux "Atlas des abysses" (éd. Arthaud, 2024), de Stéphanie Brabant (journaliste), Jozée Sarrazin (océanaute), et illustré par Julie Terrazzoni, cet ouvrage poético-scientifique transporte ses lecteurs dans l'univers fascinant des fonds marin ; L'indispensable guide "L'océan en 30 questions" signé Marina Lévy et Laurent Bopp (éd. La Documentation française, 2025) ; ------ ARCHIVES & EXTRAITS : extraits de discours au One Ocean Summit à Brest en 2022 ; extrait de l'adoption de la résolution A/72/L7 lors de l'Assemblée générale de l'ONU en 2018 ; extraits des sessions de négociations du BBNJ enregistrées à l'ONU entre 2019 et 2023 ; extraits de journaux télévisés français, brésilien, américain et italien sur la pandémie de Covid en 2020 ; lecture d'une lettre de Rena Lee, présidente des négociations BBNJ, du 9 mars 2020 ------ CRÉDITS : Voix, écriture, production et réalisation : Diane Jean Illustrations et identité visuelle : Julie Feydel Doublage voix et édition : Mariane Schlegel Communication : Kaled Maddi et Matthias Lugoy Direction de production : Julie Godefroy Musique : Falling Angels, Ketil Lien ; Staring into the Abyss, 2050 ; DKNW, sunwo0o ; Ruin My Life, Jane the Boy ; Corals under the sun, Omri Smadar ; Cookie Jar, Hans Johnson ; Atlantique, AMF Beef ; Medusa the Mournful, Louis Adrien ; Breath In Out, Nsee ; Cryostatis, Jamie Bathgate ; 1983, Angel Salazar (Artlist) ------ À PROPOS : « Qui gouverne l'océan ? » est une série du podcast Sources diplomatiques. Réalisé par le ministère de l'Europe et des Affaires étrangères, ce podcast vous propose des documentaires, décryptages, récits intimes et conversations pour plonger dans les coulisses de la diplomatie française et comprendre les grands enjeux internationaux. Sources diplomatiques est à retrouver sur toutes les applications d'écoutes et de streaming audio.
I chose this title because I have been fortunate enough to have joined a group of diverse individuals to discuss African American History. Johnnie Warner is the leader of the group. He is very proactive in getting people to know factual history of African Americans in Columbus, Georgia. Since I have had the opportunity to share my thoughts, during his discussions, it has hit me that in order for the group and me to grow, we would have to agree to be on the same accord about how we present our history. We must be willing to hear what we don't want to hear, repeatedly, and be on that same accord.
A playground filled with good vibes!
Dr. Matt Bernstein isn't just a psychiatrist—he's on the frontlines of a quiet revolution in mental health care. In this episode, Zac and Jay sit down with the founder of Accord, a pioneering residential program in Massachusetts that treats serious mental health conditions by healing the body first. The conversation starts with the question: What is metabolic psychiatry?—and opens into a raw, deeply personal, and paradigm-shifting journey.We talk about why food, sleep, movement, and mindfulness aren't just wellness buzzwords but powerful interventions for anxiety, depression, OCD, bipolar disorder, and even addiction. Dr. Bernstein shares the story of his own children's mental health collapse and the grueling search for answers that led him to understand the gut-brain connection, the ketogenic diet as a medical tool, and why most mental health diagnoses might be missing the real root causes.If you've ever felt stuck in the mental health system, burned out by meds, or overwhelmed by a diagnosis—this conversation might change the way you think about healing.Topics include:What is metabolic psychiatry?What's the real buzz around the ketogenic diet and how ketones fuel the brain.PANDAS, long COVID, and immune-related psychiatric symptoms.Why most mental health diagnoses are missing the bigger picture.Can diet replace medication for serious mental health conditions and addiction?What Dr. Bernstein wishes every parent knew about processed food, stress, and their kids' brains.The immersive approach at Accord and why it's giving people hope again.For more information about Accord, Dr. Matt Bernstein's innovative mental health program that focuses on metabolic and mental well-being, please click here: https://accordmh.com/Connect with Zachttps://www.instagram.com/zwclark/https://www.linkedin.com/in/zac-c-746b96254/https://www.tiktok.com/@zacwclarkhttps://www.strava.com/athletes/55697553https://twitter.com/zacwclarkIf you or anyone you know is struggling, please do not hesitate to contact Release:(914) 588-6564releaserecovery.com@releaserecovery
A 10h, ce mardi 27 mai 2025, les GG : Éléonore Lemaire, chanteuse lyrique et professeur d'aïkido, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, et Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent de : "Un effort à tous les Français" : d'accord avec Bayrou ?".
Épisode 1. Ces trésors de la mer qu'on voit danser. Notre voyage commence au cœur des abysses, là où les scientifiques étudient et cartographient les trésors marins à des milliers de kilomètres des tables de négociation. Car toute politique de préservation commence par une question simple : que cherche-t-on concrètement à protéger ? En 2025, l'océan reste largement inconnu : moins d'un quart de ses profondeurs sont cartographiées, et à peine 5 % véritablement explorées. Les premières découvertes éveillent déjà les convoitises, mais sans cadre clair, leur exploitation pourrait menacer des écosystèmes encore méconnus et fragiles. Plongez dans le récit de ceux qui ont arpenté les grands fonds, où chaque découverte réinvente ce que l'on croyait savoir sur le vivant. Avec : Pierre-Antoine Dessandier, océanographe à l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (Ifremer), chef de la mission Eden ; Sébastien Ybert, coordinateur « France 2030 Grands fonds marins » à l'Ifremer ; Françoise Gaill, océanographe, conseillère scientifique au CNRS et vice-présidente de la Plateforme Océan & Climat ; Marina Lévy, océanographe, directrice de recherche au CNRS, conseillère Océan auprès de l'IRD (Institut de recherche pour le développement). PRÉCISION: du discours d'Arvid Pardo, il n'existe qu'une archive écrite, aussi dans cet épisode, la lecture du texte a été réalisée à l'aide du logiciel d'intelligence artificielle, Eleven Labs ARCHIVES & EXTRAITS : bandes-annonces des films « 20 000 lieux sous les mers » (1955) et « The Abyss » (1989) ; lecture du discours d'Arvid Pardo ; enregistrements réalisés par l'Ifremer sur l'Atalante lors de la mission Eden de novembre 2024 à janvier 2025 ; POUR ALLER PLUS LOIN : Mission Eden : explorez les grands fonds à travers un retour en images de la mission Eden commenté par Pierre-Antoine Dessandier Discours d'Arvid Pardo aux Nations Unies : découvrez l'intégralité de son appel visionnaire, lancé en 1967, pour faire de l'océan un bien commun de l'humanité (en anglais uniquement). La Convention de Montego Bay : feuilletez cet accord historique, adopté en 1982, qui a posé les bases de la gouvernance internationale des océans CRÉDITS : Voix, écriture, production et réalisation : Diane Jean Illustrations et identité visuelle : Julie Feydel Édition et aide à la production : Mariane Schlegel Communication : Kaled Maddi et Matthias Lugoy Direction de production : Julie Godefroy Musique : Tripman, 2050 ; Levitator, Tamuz Dekel ; DKNW, sunwo0o ; March the Machine, Flint ; Deep Water, Adi Goldstein ; Everlasting flower, DaniHaDani ; 1983, Angel Salazar (Artlist) ------ À PROPOS : « Qui gouverne l'océan ? » est une série du podcast Sources diplomatiques. Réalisé par le ministère de l'Europe et des Affaires étrangères, ce podcast vous propose des documentaires, décryptages, récits intimes et conversations pour plonger dans les coulisses de la diplomatie française et comprendre les grands enjeux internationaux. Sources diplomatiques est à retrouver sur toutes les applications d'écoutes et de streaming audio.
Prologue. Notre avenir se joue en mer. Protéger l'océan, c'est protéger l'avenir de l'humanité. Il nous nourrit, nous soigne, nous connecte, nous amuse, nous fascine et nettoie l'air que nous respirons. Mais qui s'occupe de l'océan ? Et comment gouverner un espace aussi vaste qui n'appartient à personne et qui concerne tout le monde ? POUR ALLER PLUS LOIN : un documentaire : « Ocean » de David Attenborough (2025) nous plonge dans un monde sous-marin merveilleux tout en alertant sur les dangers qui le menacent ; un roman graphique : « Anita Conti » (éd. Casterman, 2024) qui raconte la vie, l'engagement et la passion de cette océanographe pionnière de l'écologie ; une fresque à colorier : prolongez l'expérience en coloriant vous-même la fresque à télécharger dessinée par Julie Feydel, la directrice artistique du ministère de l'Europe et des Affaires étrangères ; ARCHIVES & EXTRAITS : extraits libre de droit de marchés de poissons en Italie, au Japon, en Tunisie, en Turquie, au Brésil ; extrait de l'émission « Le journal de l'éco » sur France Culture du 13 mai 2024 ; discours d'Emmanuel Macron à l'Assemblée générale de l'ONU du 19 septembre 2017 ; message vidéo de Narendra Modi publié sur Facebook le 17 août 2024 ; discours d'António Guterres à l'ouverture du Sommet de l'avenir le 22 septembre 2024 ; message vidéo de Xi Jinping pour la 76e Assemblée générale des Nations unies diffusé le 21 septembre 2021 ; discours de Nadia Calvino du 9 septembre 2023 à l'occasion du G20 ; discours de Cyril Ramaphosa du 22 janvier 2025 lors du Forum de Davos ; annonce de Huang Runqiu à l'occasion de l'accord Kunming-Montréal adopté en 2022 ; annonce de Rena Lee à l'occasion de la fin des négociations de l'accord BBNJ en 2023 CRÉDITS : Voix, écriture, production et réalisation : Diane Jean Illustrations et identité visuelle : Julie Feydel Édition et aide à la production : Mariane Schlegel Communication : Kaled Maddi et Matthias Lugoy Direction de production : Julie Godefroy Musique : 1985, Angel Salazar (Artlist) ------ À PROPOS : « Qui gouverne l'océan ? » est une série du podcast Sources diplomatiques. Réalisé par le ministère de l'Europe et des Affaires étrangères, ce podcast vous propose des documentaires, décryptages, récits intimes et conversations pour plonger dans les coulisses de la diplomatie française et comprendre les grands enjeux internationaux. Sources diplomatiques est à retrouver sur toutes les applications d'écoutes et de streaming audio.
Is the greenback currently at an inflection point? Listen in as our Capital Markets Strategy Team weighs in on the U.S. administration's proposed economic and trade initiatives, including the Mar-a-Lago Accord—a modern echo of the 1985 Plaza Accord. Explore the implications of devaluing the U.S. dollar in today's global economy and learn more about trade deficits and some of the bold ideas from White House chief economist Stephen Miran. Can the U.S. dollar maintain its reserve currency status? Is multilateral cooperation even possible in today's geopolitical climate? Tune in to our podcast episode for all this and more
durée : 01:00:49 - René Lacaille : 70 ans de carrière ! - par : Aliette de Laleu - Le musicien réunionnais René Lacaille célèbre ses 70 ans de carrière avec un premier album solo après des décennies à accompagner ou à être accompagné par des musiciens et musiciennes. Pour Planète Ocora, il est venu avec son accordéon... - réalisé par : Noé Mignard
En Côte d'Ivoire, c'est la polémique qui enfle : la présidente du Sénat, Kandia Camara, a annoncé la signature d'une convention qui permet aux fonctionnaires de cinq institutions d'avoir accès pour eux et leurs familles à des tarifs préférentiels avec la compagnie aérienne Corsair pour leurs voyages privés et professionnels, ainsi qu'avec le luxueux Hôpital américain de Paris. "Un partenariat honteux", a dénoncé de manière unanime l'opposition.
Is the Federal Reserve truly independent? Jonathan Newman uncovers the myths behind the 1951 Treasury-Fed Accord, revealing the Fed's long history as a willing financier of America's wars and government spending.Recorded at the Mises Institute in Auburn, Alabama, on May 17, 2025.
The dollar has been the de facto global currency since World War II, pulling foreign investment into the US and allowing the federal government to borrow cheaply. A strong dollar also makes export-driven domestic industries less competitive, something the Trump administration is trying to offset through tariffs. A rumored “Mar-a-Lago Accord” would attempt to maintain the benefits of cheap borrowing while weakening the dollar. In this episode, we talk with Benn Steil, Senior Fellow and Director of International Economics at the Council on Foreign Relations, about the history behind the dollarization of global finance, the economic tradeoffs of sustained dollar strength, and how new policies could upend the dollar's role in the post-war financial system.
In Episode 6 The Bitcoin Policy Hour, the Bitcoin Policy Institute team unpacks the emerging “Riyadh Accord,” a sweeping geopolitical realignment where the United States, Saudi Arabia, and other Gulf nations are bundling AI, Bitcoin, and techno-industrial leverage into a new framework of global influence.As Blackwell chips begin to replace F-35s as diplomatic bargaining tools, and sovereign wealth funds quietly accumulate Bitcoin, Riyadh is fast becoming the epicenter of digital energy, intelligence infrastructure, and monetary power. The conversation explores how U.S. foreign policy is shifting from military entanglements toward high-tech trade agreements and capital co-investments — with AI and Bitcoin at the core.PLUS, they explore the recent slew of BTC treasury companies amping up activity and how they fit into the picture of jurisdictional and memetic arbitrage.Chapters:00:00 - Introduction01:45 - What Is the “Riyadh Accord”?07:30 - Blackwell Chips Replace F-35s in Middle East Bargains13:30 - AGI Infrastructure: Will the AI Run Happen in Riyadh?17:00 - A New Multipolar World Centered on Energy and Compute21:00 - Samourai Wallet, Legal Overreach, and Bitcoin's Core Ethos26:30 - Policy Hypocrisy: Bitcoin Freedom vs. Surveillance State31:00 - AI Feudalism and the Fight for Decentralized Money36:00 - The Open Source AI vs. Corporate Subscription Future41:00 - Bearer Assets: Bitcoin, GPUs, and Energy as Sovereign Tools46:00 - Global Reflexivity and Bitcoin Treasury Companies51:00 - Metaplanet, Nakamoto, and the Meme Wrapped in Arbitrage56:00 - Bitcoin's Geopolitical Moment: What Comes Next?01:01:00 - Closing Thoughts: Bitcoin Banks, Policy Risks, and Meme Economics⭐ Join top policymakers, technologists, and Bitcoin industry leaders at the 2025 Bitcoin Policy Summit, June 25–26 in Washington, D.C.