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Mes chers camarades, bien le bonjour !Si je vous raconte les douze travaux d'Hercule en Grèce, tout de suite il y en a qui vont bondir : “ah non, fais gaffe, à Rome on dit Hercule, mais en Grèce, on dit Héraklès !” Et c'est complètement vrai ! Mais honnêtement, si on les confonds, ce n'est pas pour rien : les Romains se sont parfois beaucoup inspirés des dieux des Grecs. Mais attention, n'allez pas croire pour autant que la religion romaine n'a rien d'original, et qu'elle n'a pas radicalement changé certains trucs en piochant des idées chez d'autres peuples ! Et comme 1 200 ans d'Histoire, ça reste quand même très long, je vous propose non pas un, mais bien deux épisodes sur la religion romaine ! Aujourd'hui on va voir en quoi la mythologie romaine est fondatrice : non seulement elle raconte la fondation de la cité, mais en plus elle fonde les rapports sociaux, publics et citoyens entre Romains… Bonne écoute !➤ Quelques corrections : ➜ Les 9 travaux d'Hercule… Dire qu'on a même fait un épisode dédié aux 12 travaux… Bref, désolé pour ce fail majestueux !➜ Observer le vol des oiseaux ne se dit pas "observer les oracles", mais "observer les augures".➜ L'année romaine ne commençait pas au mois de janvier, mais au mois de mars !➜ L'expression exacte est "regagner ses pénates".
Dario MantovaniDroit, culture et société de la Rome antiqueCollège de FranceAnnée 2024-2025Colloque - Paul Veyne au Collège de France : IntroductionThomas RömerProfesseur et administrateur du Collège de FrancePaul Veyne au Collège de France : Une rencontre organisée par Dario Mantovani, Vinciane Pirenne-Delforge et John Scheid.Au milieu des années 70, l'intitulé des chaires du Collège de France n'avait plus forcément le caractère générique et répétitif des appellations anciennes. Il fallait dès lors une certaine audace pour annoncer une « Histoire de Rome », ce dont Paul Veyne, élu en 1975, ne manquait assurément pas. Ne lui faisait pas non plus défaut la curiosité à large spectre qui l'a fait s'intéresser à presque tous les champs du savoir sur l'antiquité gréco-romaine, en les fécondant des méthodes des sciences sociales.Ce savant original, qui n'a jamais voulu faire école, n'aimait guère les hommages et ce n'est pas dans ce sens convenu que s'inscrira la journée du 10 décembre 2024. Il s'agira plutôt d'évoquer les circonstances de son élection, les dossiers qu'il a mobilisés dans ses cours et séminaires au Collège de France, la manière dont il s'inscrivait dans l'institution et le travail qu'il y a mené pendant près d'un quart de siècle (1976-1999).
Dario MantovaniDroit, culture et société de la Rome antiqueCollège de FranceAnnée 2024-2025Colloque - Paul Veyne au Collège de France : Paul Veyne « inaugure » une nouvelle histoirePaul Cournarieuniversité Bordeaux MontaignePascal Montlahucuniversité Paris CitéPaul Veyne au Collège de France : Une rencontre organisée par Dario Mantovani, Vinciane Pirenne-Delforge et John Scheid.Au milieu des années 70, l'intitulé des chaires du Collège de France n'avait plus forcément le caractère générique et répétitif des appellations anciennes. Il fallait dès lors une certaine audace pour annoncer une « Histoire de Rome », ce dont Paul Veyne, élu en 1975, ne manquait assurément pas. Ne lui faisait pas non plus défaut la curiosité à large spectre qui l'a fait s'intéresser à presque tous les champs du savoir sur l'antiquité gréco-romaine, en les fécondant des méthodes des sciences sociales.Ce savant original, qui n'a jamais voulu faire école, n'aimait guère les hommages et ce n'est pas dans ce sens convenu que s'inscrira la journée du 10 décembre 2024. Il s'agira plutôt d'évoquer les circonstances de son élection, les dossiers qu'il a mobilisés dans ses cours et séminaires au Collège de France, la manière dont il s'inscrivait dans l'institution et le travail qu'il y a mené pendant près d'un quart de siècle (1976-1999).
Dario MantovaniDroit, culture et société de la Rome antiqueCollège de FranceAnnée 2024-2025Colloque - Paul Veyne au Collège de France : L'histoire ne s'écrit pas comme un roman vrai. L'élection de Paul Veyne à la chaire d'Histoire de Rome d'après les archives du Collège de FranceDario MantovaniProfesseur du Collège de FrancePaul Veyne au Collège de France : Une rencontre organisée par Dario Mantovani, Vinciane Pirenne-Delforge et John Scheid.Au milieu des années 70, l'intitulé des chaires du Collège de France n'avait plus forcément le caractère générique et répétitif des appellations anciennes. Il fallait dès lors une certaine audace pour annoncer une « Histoire de Rome », ce dont Paul Veyne, élu en 1975, ne manquait assurément pas. Ne lui faisait pas non plus défaut la curiosité à large spectre qui l'a fait s'intéresser à presque tous les champs du savoir sur l'antiquité gréco-romaine, en les fécondant des méthodes des sciences sociales.Ce savant original, qui n'a jamais voulu faire école, n'aimait guère les hommages et ce n'est pas dans ce sens convenu que s'inscrira la journée du 10 décembre 2024. Il s'agira plutôt d'évoquer les circonstances de son élection, les dossiers qu'il a mobilisés dans ses cours et séminaires au Collège de France, la manière dont il s'inscrivait dans l'institution et le travail qu'il y a mené pendant près d'un quart de siècle (1976-1999).
Dario MantovaniDroit, culture et société de la Rome antiqueCollège de FranceAnnée 2024-2025Colloque - Paul Veyne au Collège de France : Paul Veyne et les images : échos d'un bureau partagé au Collège de FranceVinciane Pirenne-DelforgeProfesseur du Collège de FranceFrançoise FrontisiCollège de FrancePaul Veyne au Collège de France : Une rencontre organisée par Dario Mantovani, Vinciane Pirenne-Delforge et John Scheid.Au milieu des années 70, l'intitulé des chaires du Collège de France n'avait plus forcément le caractère générique et répétitif des appellations anciennes. Il fallait dès lors une certaine audace pour annoncer une « Histoire de Rome », ce dont Paul Veyne, élu en 1975, ne manquait assurément pas. Ne lui faisait pas non plus défaut la curiosité à large spectre qui l'a fait s'intéresser à presque tous les champs du savoir sur l'antiquité gréco-romaine, en les fécondant des méthodes des sciences sociales.Ce savant original, qui n'a jamais voulu faire école, n'aimait guère les hommages et ce n'est pas dans ce sens convenu que s'inscrira la journée du 10 décembre 2024. Il s'agira plutôt d'évoquer les circonstances de son élection, les dossiers qu'il a mobilisés dans ses cours et séminaires au Collège de France, la manière dont il s'inscrivait dans l'institution et le travail qu'il y a mené pendant près d'un quart de siècle (1976-1999).
Dario MantovaniDroit, culture et société de la Rome antiqueCollège de FranceAnnée 2024-2025Colloque - Paul Veyne au Collège de France : Un collègue savant, attentif et réservé. Témoignage sur Paul Veyne au Collège de FranceJohn ScheidProfesseur du Collège de FrancePaul Veyne au Collège de France : Une rencontre organisée par Dario Mantovani, Vinciane Pirenne-Delforge et John Scheid.Au milieu des années 70, l'intitulé des chaires du Collège de France n'avait plus forcément le caractère générique et répétitif des appellations anciennes. Il fallait dès lors une certaine audace pour annoncer une « Histoire de Rome », ce dont Paul Veyne, élu en 1975, ne manquait assurément pas. Ne lui faisait pas non plus défaut la curiosité à large spectre qui l'a fait s'intéresser à presque tous les champs du savoir sur l'antiquité gréco-romaine, en les fécondant des méthodes des sciences sociales.Ce savant original, qui n'a jamais voulu faire école, n'aimait guère les hommages et ce n'est pas dans ce sens convenu que s'inscrira la journée du 10 décembre 2024. Il s'agira plutôt d'évoquer les circonstances de son élection, les dossiers qu'il a mobilisés dans ses cours et séminaires au Collège de France, la manière dont il s'inscrivait dans l'institution et le travail qu'il y a mené pendant près d'un quart de siècle (1976-1999).
Dario MantovaniDroit, culture et société de la Rome antiqueCollège de FranceAnnée 2024-2025Colloque - Paul Veyne au Collège de France : IntroductionThomas RömerProfesseur et administrateur du Collège de FrancePaul Veyne au Collège de France : Une rencontre organisée par Dario Mantovani, Vinciane Pirenne-Delforge et John Scheid.Au milieu des années 70, l'intitulé des chaires du Collège de France n'avait plus forcément le caractère générique et répétitif des appellations anciennes. Il fallait dès lors une certaine audace pour annoncer une « Histoire de Rome », ce dont Paul Veyne, élu en 1975, ne manquait assurément pas. Ne lui faisait pas non plus défaut la curiosité à large spectre qui l'a fait s'intéresser à presque tous les champs du savoir sur l'antiquité gréco-romaine, en les fécondant des méthodes des sciences sociales.Ce savant original, qui n'a jamais voulu faire école, n'aimait guère les hommages et ce n'est pas dans ce sens convenu que s'inscrira la journée du 10 décembre 2024. Il s'agira plutôt d'évoquer les circonstances de son élection, les dossiers qu'il a mobilisés dans ses cours et séminaires au Collège de France, la manière dont il s'inscrivait dans l'institution et le travail qu'il y a mené pendant près d'un quart de siècle (1976-1999).
Dario MantovaniDroit, culture et société de la Rome antiqueCollège de FranceAnnée 2024-2025Colloque - Paul Veyne au Collège de France : Une idée de Paul VeyneAndrea GiardinaScuola Normale di Pisa - Accademia dei LinceiPaul Veyne au Collège de France : Une rencontre organisée par Dario Mantovani, Vinciane Pirenne-Delforge et John Scheid.Au milieu des années 70, l'intitulé des chaires du Collège de France n'avait plus forcément le caractère générique et répétitif des appellations anciennes. Il fallait dès lors une certaine audace pour annoncer une « Histoire de Rome », ce dont Paul Veyne, élu en 1975, ne manquait assurément pas. Ne lui faisait pas non plus défaut la curiosité à large spectre qui l'a fait s'intéresser à presque tous les champs du savoir sur l'antiquité gréco-romaine, en les fécondant des méthodes des sciences sociales.Ce savant original, qui n'a jamais voulu faire école, n'aimait guère les hommages et ce n'est pas dans ce sens convenu que s'inscrira la journée du 10 décembre 2024. Il s'agira plutôt d'évoquer les circonstances de son élection, les dossiers qu'il a mobilisés dans ses cours et séminaires au Collège de France, la manière dont il s'inscrivait dans l'institution et le travail qu'il y a mené pendant près d'un quart de siècle (1976-1999).
Dario MantovaniDroit, culture et société de la Rome antiqueCollège de FranceAnnée 2024-2025Colloque - Paul Veyne au Collège de France : Paul Veyne « inaugure » une nouvelle histoirePaul Cournarieuniversité Bordeaux MontaignePascal Montlahucuniversité Paris CitéPaul Veyne au Collège de France : Une rencontre organisée par Dario Mantovani, Vinciane Pirenne-Delforge et John Scheid.Au milieu des années 70, l'intitulé des chaires du Collège de France n'avait plus forcément le caractère générique et répétitif des appellations anciennes. Il fallait dès lors une certaine audace pour annoncer une « Histoire de Rome », ce dont Paul Veyne, élu en 1975, ne manquait assurément pas. Ne lui faisait pas non plus défaut la curiosité à large spectre qui l'a fait s'intéresser à presque tous les champs du savoir sur l'antiquité gréco-romaine, en les fécondant des méthodes des sciences sociales.Ce savant original, qui n'a jamais voulu faire école, n'aimait guère les hommages et ce n'est pas dans ce sens convenu que s'inscrira la journée du 10 décembre 2024. Il s'agira plutôt d'évoquer les circonstances de son élection, les dossiers qu'il a mobilisés dans ses cours et séminaires au Collège de France, la manière dont il s'inscrivait dans l'institution et le travail qu'il y a mené pendant près d'un quart de siècle (1976-1999).
Dario MantovaniDroit, culture et société de la Rome antiqueCollège de FranceAnnée 2024-2025Colloque - Paul Veyne au Collège de France : Une idée de Paul VeyneAndrea GiardinaScuola Normale di Pisa - Accademia dei LinceiPaul Veyne au Collège de France : Une rencontre organisée par Dario Mantovani, Vinciane Pirenne-Delforge et John Scheid.Au milieu des années 70, l'intitulé des chaires du Collège de France n'avait plus forcément le caractère générique et répétitif des appellations anciennes. Il fallait dès lors une certaine audace pour annoncer une « Histoire de Rome », ce dont Paul Veyne, élu en 1975, ne manquait assurément pas. Ne lui faisait pas non plus défaut la curiosité à large spectre qui l'a fait s'intéresser à presque tous les champs du savoir sur l'antiquité gréco-romaine, en les fécondant des méthodes des sciences sociales.Ce savant original, qui n'a jamais voulu faire école, n'aimait guère les hommages et ce n'est pas dans ce sens convenu que s'inscrira la journée du 10 décembre 2024. Il s'agira plutôt d'évoquer les circonstances de son élection, les dossiers qu'il a mobilisés dans ses cours et séminaires au Collège de France, la manière dont il s'inscrivait dans l'institution et le travail qu'il y a mené pendant près d'un quart de siècle (1976-1999).
Dario MantovaniDroit, culture et société de la Rome antiqueCollège de FranceAnnée 2024-2025Colloque - Paul Veyne au Collège de France : L'histoire ne s'écrit pas comme un roman vrai. L'élection de Paul Veyne à la chaire d'Histoire de Rome d'après les archives du Collège de FranceDario MantovaniProfesseur du Collège de FrancePaul Veyne au Collège de France : Une rencontre organisée par Dario Mantovani, Vinciane Pirenne-Delforge et John Scheid.Au milieu des années 70, l'intitulé des chaires du Collège de France n'avait plus forcément le caractère générique et répétitif des appellations anciennes. Il fallait dès lors une certaine audace pour annoncer une « Histoire de Rome », ce dont Paul Veyne, élu en 1975, ne manquait assurément pas. Ne lui faisait pas non plus défaut la curiosité à large spectre qui l'a fait s'intéresser à presque tous les champs du savoir sur l'antiquité gréco-romaine, en les fécondant des méthodes des sciences sociales.Ce savant original, qui n'a jamais voulu faire école, n'aimait guère les hommages et ce n'est pas dans ce sens convenu que s'inscrira la journée du 10 décembre 2024. Il s'agira plutôt d'évoquer les circonstances de son élection, les dossiers qu'il a mobilisés dans ses cours et séminaires au Collège de France, la manière dont il s'inscrivait dans l'institution et le travail qu'il y a mené pendant près d'un quart de siècle (1976-1999).
Dario MantovaniDroit, culture et société de la Rome antiqueCollège de FranceAnnée 2024-2025Colloque - Paul Veyne au Collège de France : Paul Veyne et les images : échos d'un bureau partagé au Collège de FranceVinciane Pirenne-DelforgeProfesseur du Collège de FranceFrançoise FrontisiCollège de FrancePaul Veyne au Collège de France : Une rencontre organisée par Dario Mantovani, Vinciane Pirenne-Delforge et John Scheid.Au milieu des années 70, l'intitulé des chaires du Collège de France n'avait plus forcément le caractère générique et répétitif des appellations anciennes. Il fallait dès lors une certaine audace pour annoncer une « Histoire de Rome », ce dont Paul Veyne, élu en 1975, ne manquait assurément pas. Ne lui faisait pas non plus défaut la curiosité à large spectre qui l'a fait s'intéresser à presque tous les champs du savoir sur l'antiquité gréco-romaine, en les fécondant des méthodes des sciences sociales.Ce savant original, qui n'a jamais voulu faire école, n'aimait guère les hommages et ce n'est pas dans ce sens convenu que s'inscrira la journée du 10 décembre 2024. Il s'agira plutôt d'évoquer les circonstances de son élection, les dossiers qu'il a mobilisés dans ses cours et séminaires au Collège de France, la manière dont il s'inscrivait dans l'institution et le travail qu'il y a mené pendant près d'un quart de siècle (1976-1999).
Dario MantovaniDroit, culture et société de la Rome antiqueCollège de FranceAnnée 2024-2025Colloque - Paul Veyne au Collège de France : Un collègue savant, attentif et réservé. Témoignage sur Paul Veyne au Collège de FranceJohn ScheidProfesseur du Collège de FrancePaul Veyne au Collège de France : Une rencontre organisée par Dario Mantovani, Vinciane Pirenne-Delforge et John Scheid.Au milieu des années 70, l'intitulé des chaires du Collège de France n'avait plus forcément le caractère générique et répétitif des appellations anciennes. Il fallait dès lors une certaine audace pour annoncer une « Histoire de Rome », ce dont Paul Veyne, élu en 1975, ne manquait assurément pas. Ne lui faisait pas non plus défaut la curiosité à large spectre qui l'a fait s'intéresser à presque tous les champs du savoir sur l'antiquité gréco-romaine, en les fécondant des méthodes des sciences sociales.Ce savant original, qui n'a jamais voulu faire école, n'aimait guère les hommages et ce n'est pas dans ce sens convenu que s'inscrira la journée du 10 décembre 2024. Il s'agira plutôt d'évoquer les circonstances de son élection, les dossiers qu'il a mobilisés dans ses cours et séminaires au Collège de France, la manière dont il s'inscrivait dans l'institution et le travail qu'il y a mené pendant près d'un quart de siècle (1976-1999).
durée : 00:30:00 - Carbone 14, le magazine de l'archéologie - par : Vincent Charpentier - Que sait-on des religions vécues au quotidien par les romains, puisque les sources textuelles antiques, celles de penseurs comme Cicéron, n'évoquent jamais leur existence ? Vincent Charpentier en parle avec John Scheid, grand spécialiste du sujet.
durée : 00:58:56 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit - Au cours des derniers siècles avant notre ère, les routes de la soie se multiplient et lient entre eux les empires romains, parthe, kouchan et chinois. D'un bout à l'autre de cet axe commercial, Romains et Chinois s'imaginent et s'idéalisent avant même d'établir le moindre contact direct. - invités : Anne Cheng sinologue, professeure au Collège de France, titulaire de la chaire "Histoire intellectuelle de la Chine"; John Scheid historien, épigraphiste et archéologue, spécialiste de l'Antiquité romaine, professeur honoraire au Collège de France
Même si nous possédons peu de sources sur la mort antique en dehors de celle des élites, l'historien peut retracer l'organisation des funérailles des Romains. Comment les Romains voyaient-ils la mort ? Croyaient-ils en l'au-delà ou en l'immortalité de l'âme ? Quel était le rituel des funérailles et comment la famille célébrait-elle le défunt ? Entre inhumation et incinération, existait-il des modes funéraires? Dans ce troisième volet, John Scheid cloture la série consacrée à la piété quotidienne des Romains. L'invité : Ancien directeur d'études à l'École pratique des hautes études et professeur émérite au Collège de France, John Scheid est l'auteur d'un grand nombre d'ouvrages de référence dont La religion des Romains ou encore Les dieux, l'État et l'individu et La tortue et la lyre. Il vient de publier aux éditions du Cerf Les Romains et leurs religions : la piété au quotidien (329 pages, 24 €). À lire aussi : "Dionysos, le dieu sauvage de la Grèce antique" : bit.ly/40GuZEp "Caligula, l'empereur qui voulait être un dieu" : bit.ly/3GdmYOY
De la naissance à la mort, les Romains pratiquaient de multiples rites qui jalonnaient leur existence. Ils nous disent la nature du culte domestique et privé dans la vie quotidienne de l'Urbs. L'entrée dans la famille du nouveau-né donnait-elle lieu à des rites ? La majorité constituait-t-elle un moment aussi religieux ? Acte public, le mariage avait-il une portée aussi religieuse ou spirituelle ? Quels étaient les moments de la journée pendant lesquels les Romains priaient ? Existait-il des sacrifices privés ? Dans ce deuxième volet de nos Cours d'Histoire, le grand historien John Scheid évoque la relation au divin des Romains et leur piété. L'invité : Ancien directeur d'études à l'École pratique des hautes études et professeur émérite au Collège de France, John Scheid est l'auteur d'un grand nombre d'ouvrages de référence dont La religion des Romains ou encore Les dieux, l'État et l'individu et La tortue et la lyre. Il vient de publier aux Editions du Cerf Les Romains et leurs religions : la piété au quotidien (329 pages, 24 €). À lire aussi : "Caligula, l'empereur qui voulait être un dieu" : http://bit.ly/3zVlB3T "Dionysos, le dieu sauvage de la Grèce antique" : http://bit.ly/3o1Z4Qn
Nous faisons de la religion romaine une religion d'État, en oubliant presque qu'il existait aussi un culte domestique et privé dans la vie quotidienne de l'Urbs (« ville » dans la Rome antique). Dans le film Gladiator, le héros Maximus rend grâce aux dieux après sa victoire sur les barbares et il leur demande de protéger sa femme et son fils. Scène totalement inédite dans l'histoire du cinéma, elle est visiblement proche de la réalité décrite par l'historien John Scheid dans son dernier ouvrage. Faut-il distinguer sphère et cultes publics et sphère et cultes privés ? L'individu, détaché du groupe, rend-il un culte individuel ? Peut-on avoir une prédilection sentimentale et personnelle pour une divinité ? Les Romains croyaient-ils au salut éternel ? L'invité : Ancien directeur d'études à l'École pratique des hautes études et professeur émérite au Collège de France, John Scheid est l'auteur d'un grand nombre d'ouvrages de référence dont La religion des Romains ou encore Les dieux, l'État et l'individu et La tortue et la lyre. Il vient de publier aux éditions du Cerf Les Romains et leurs religions : la piété au quotidien (329 pages, 24 €). À lire aussi : "Dionysos, le dieu sauvage de la Grèce antique" : http://bit.ly/40GuZEp "Caligula, l'empereur qui voulait être un dieu" : http://bit.ly/3GdmYOY
durée : 00:30:00 - Carbone 14, le magazine de l'archéologie - par : Vincent Charpentier - Que sait-on des religions vécues au quotidien par les romains, puisque les sources textuelles antiques, celles de penseurs comme Cicéron, n'évoquent jamais leur existence ? Vincent Charpentier en parle avec John Scheid, grand spécialiste du sujet. - invités : John Scheid Professeur émérite au Collège de France
John SCHEID, ancien professeur au collège de France, spécialiste de la religion chez les romains, présente ici les grandes lignes de la question d'histoire antique au capes et à l'agrégation d'histoire.
Colloque de rentrée 2015 Lumière, lumières La photosynthèse artificielle : transformer le soleil en carburants Marc Fontecave Collège de France Depuis la nuit des temps, la lumière a fasciné et inquiété les humains. Dans l’Antiquité, les cultes solaires étaient importants, et les historiens des religions du XIXe siècle leur ont donné une plus grande importance encore, au point de vouloir comprendre toutes les divinités antiques comme des métaphores du soleil. Très rapidement aussi, les humains ont tenté d’expliquer les manifestations de la lumière, révélées en particulier par la pratique de l’astronomie, en proposant des théories diverses qui ont abouti non seulement à des cosmologies, mais aussi à la physique et aux innombrables applications qui en sont nées. Ainsi, on peut dire que la lumière artificiellement produite ou contrôlée, qu’elle soit visible ou qu'elle soit un rayonnement électromagnétique invisible, est l’une des composantes essentielles d’un grand nombre des technologies d’aujourd’hui. À côté de ces développements scientifiques, les penseurs européens du XVIIIe siècle ont recouru à la métaphore de la lumière pour définir une démarche intellectuelle ayant pour fin d’éclairer les esprits (Lumières, Enlightenment, Aufklärung), alors que la création artistique n’a cessé de mettre en oeuvre la lumière ou l’obscurité dans la représentation ou la transfiguration de la réalité. Comité scientifique : Dominique Charpin, Antoine Compagnon, Jean Dalibard, Serge Haroche, Alain Prochiantz, Clément Sanchez, John Scheid
Colloque de rentrée 2015 Lumière, lumières La lumière au siècle des Lumières et aujourd'hui, de la biologie de la vision à une nouvelle conception du monde, de Newton à Henri Grégoire et aux Droits de l'Homme Jean-Pierre Changeux Collège de France Depuis la nuit des temps, la lumière a fasciné et inquiété les humains. Dans l’Antiquité, les cultes solaires étaient importants, et les historiens des religions du XIXe siècle leur ont donné une plus grande importance encore, au point de vouloir comprendre toutes les divinités antiques comme des métaphores du soleil. Très rapidement aussi, les humains ont tenté d’expliquer les manifestations de la lumière, révélées en particulier par la pratique de l’astronomie, en proposant des théories diverses qui ont abouti non seulement à des cosmologies, mais aussi à la physique et aux innombrables applications qui en sont nées. Ainsi, on peut dire que la lumière artificiellement produite ou contrôlée, qu’elle soit visible ou qu'elle soit un rayonnement électromagnétique invisible, est l’une des composantes essentielles d’un grand nombre des technologies d’aujourd’hui. À côté de ces développements scientifiques, les penseurs européens du XVIIIe siècle ont recouru à la métaphore de la lumière pour définir une démarche intellectuelle ayant pour fin d’éclairer les esprits (Lumières, Enlightenment, Aufklärung), alors que la création artistique n’a cessé de mettre en oeuvre la lumière ou l’obscurité dans la représentation ou la transfiguration de la réalité. Comité scientifique : Dominique Charpin, Antoine Compagnon, Jean Dalibard, Serge Haroche, Alain Prochiantz, Clément Sanchez, John Scheid
Colloque de rentrée 2015 Lumière, lumières La photosynthèse artificielle : transformer le soleil en carburants Marc Fontecave Collège de France Depuis la nuit des temps, la lumière a fasciné et inquiété les humains. Dans l’Antiquité, les cultes solaires étaient importants, et les historiens des religions du XIXe siècle leur ont donné une plus grande importance encore, au point de vouloir comprendre toutes les divinités antiques comme des métaphores du soleil. Très rapidement aussi, les humains ont tenté d’expliquer les manifestations de la lumière, révélées en particulier par la pratique de l’astronomie, en proposant des théories diverses qui ont abouti non seulement à des cosmologies, mais aussi à la physique et aux innombrables applications qui en sont nées. Ainsi, on peut dire que la lumière artificiellement produite ou contrôlée, qu’elle soit visible ou qu'elle soit un rayonnement électromagnétique invisible, est l’une des composantes essentielles d’un grand nombre des technologies d’aujourd’hui. À côté de ces développements scientifiques, les penseurs européens du XVIIIe siècle ont recouru à la métaphore de la lumière pour définir une démarche intellectuelle ayant pour fin d’éclairer les esprits (Lumières, Enlightenment, Aufklärung), alors que la création artistique n’a cessé de mettre en oeuvre la lumière ou l’obscurité dans la représentation ou la transfiguration de la réalité. Comité scientifique : Dominique Charpin, Antoine Compagnon, Jean Dalibard, Serge Haroche, Alain Prochiantz, Clément Sanchez, John Scheid
Colloque de rentrée 2015 Lumière, lumières Conclusions générales John Scheid Depuis la nuit des temps, la lumière a fasciné et inquiété les humains. Dans l’Antiquité, les cultes solaires étaient importants, et les historiens des religions du XIXe siècle leur ont donné une plus grande importance encore, au point de vouloir comprendre toutes les divinités antiques comme des métaphores du soleil. Très rapidement aussi, les humains ont tenté d’expliquer les manifestations de la lumière, révélées en particulier par la pratique de l’astronomie, en proposant des théories diverses qui ont abouti non seulement à des cosmologies, mais aussi à la physique et aux innombrables applications qui en sont nées. Ainsi, on peut dire que la lumière artificiellement produite ou contrôlée, qu’elle soit visible ou qu'elle soit un rayonnement électromagnétique invisible, est l’une des composantes essentielles d’un grand nombre des technologies d’aujourd’hui. À côté de ces développements scientifiques, les penseurs européens du XVIIIe siècle ont recouru à la métaphore de la lumière pour définir une démarche intellectuelle ayant pour fin d’éclairer les esprits (Lumières, Enlightenment, Aufklärung), alors que la création artistique n’a cessé de mettre en oeuvre la lumière ou l’obscurité dans la représentation ou la transfiguration de la réalité. Comité scientifique : Dominique Charpin, Antoine Compagnon, Jean Dalibard, Serge Haroche, Alain Prochiantz, Clément Sanchez, John Scheid
Colloque de rentrée 2015 Lumière, lumières La lumière dans le tableau Philippe Walter Laboratoire d'archéologie moléculaire et structurale, UPMC / CNRS Depuis la nuit des temps, la lumière a fasciné et inquiété les humains. Dans l’Antiquité, les cultes solaires étaient importants, et les historiens des religions du XIXe siècle leur ont donné une plus grande importance encore, au point de vouloir comprendre toutes les divinités antiques comme des métaphores du soleil. Très rapidement aussi, les humains ont tenté d’expliquer les manifestations de la lumière, révélées en particulier par la pratique de l’astronomie, en proposant des théories diverses qui ont abouti non seulement à des cosmologies, mais aussi à la physique et aux innombrables applications qui en sont nées. Ainsi, on peut dire que la lumière artificiellement produite ou contrôlée, qu’elle soit visible ou qu'elle soit un rayonnement électromagnétique invisible, est l’une des composantes essentielles d’un grand nombre des technologies d’aujourd’hui. À côté de ces développements scientifiques, les penseurs européens du XVIIIe siècle ont recouru à la métaphore de la lumière pour définir une démarche intellectuelle ayant pour fin d’éclairer les esprits (Lumières, Enlightenment, Aufklärung), alors que la création artistique n’a cessé de mettre en oeuvre la lumière ou l’obscurité dans la représentation ou la transfiguration de la réalité. Comité scientifique : Dominique Charpin, Antoine Compagnon, Jean Dalibard, Serge Haroche, Alain Prochiantz, Clément Sanchez, John Scheid
Colloque de rentrée 2015 Les planètes en lumière Anne-Marie Lagrange Institut de planétologie et d'astrophysique de Grenoble Depuis la nuit des temps, la lumière a fasciné et inquiété les humains. Dans l’Antiquité, les cultes solaires étaient importants, et les historiens des religions du XIXe siècle leur ont donné une plus grande importance encore, au point de vouloir comprendre toutes les divinités antiques comme des métaphores du soleil. Très rapidement aussi, les humains ont tenté d’expliquer les manifestations de la lumière, révélées en particulier par la pratique de l’astronomie, en proposant des théories diverses qui ont abouti non seulement à des cosmologies, mais aussi à la physique et aux innombrables applications qui en sont nées. Ainsi, on peut dire que la lumière artificiellement produite ou contrôlée, qu’elle soit visible ou qu'elle soit un rayonnement électromagnétique invisible, est l’une des composantes essentielles d’un grand nombre des technologies d’aujourd’hui. À côté de ces développements scientifiques, les penseurs européens du XVIIIe siècle ont recouru à la métaphore de la lumière pour définir une démarche intellectuelle ayant pour fin d’éclairer les esprits (Lumières, Enlightenment, Aufklärung), alors que la création artistique n’a cessé de mettre en oeuvre la lumière ou l’obscurité dans la représentation ou la transfiguration de la réalité. Comité scientifique : Dominique Charpin, Antoine Compagnon, Jean Dalibard, Serge Haroche, Alain Prochiantz, Clément Sanchez, John Scheid
Colloque de rentrée 2015 Lumière, lumières La lumière dans le tableau Philippe Walter Laboratoire d'archéologie moléculaire et structurale, UPMC / CNRS Depuis la nuit des temps, la lumière a fasciné et inquiété les humains. Dans l’Antiquité, les cultes solaires étaient importants, et les historiens des religions du XIXe siècle leur ont donné une plus grande importance encore, au point de vouloir comprendre toutes les divinités antiques comme des métaphores du soleil. Très rapidement aussi, les humains ont tenté d’expliquer les manifestations de la lumière, révélées en particulier par la pratique de l’astronomie, en proposant des théories diverses qui ont abouti non seulement à des cosmologies, mais aussi à la physique et aux innombrables applications qui en sont nées. Ainsi, on peut dire que la lumière artificiellement produite ou contrôlée, qu’elle soit visible ou qu'elle soit un rayonnement électromagnétique invisible, est l’une des composantes essentielles d’un grand nombre des technologies d’aujourd’hui. À côté de ces développements scientifiques, les penseurs européens du XVIIIe siècle ont recouru à la métaphore de la lumière pour définir une démarche intellectuelle ayant pour fin d’éclairer les esprits (Lumières, Enlightenment, Aufklärung), alors que la création artistique n’a cessé de mettre en oeuvre la lumière ou l’obscurité dans la représentation ou la transfiguration de la réalité. Comité scientifique : Dominique Charpin, Antoine Compagnon, Jean Dalibard, Serge Haroche, Alain Prochiantz, Clément Sanchez, John Scheid
Colloque de rentrée 2015 Lumière, lumières Droit et lumière, de Sumer à nos jours Dominique Charpin Collège de France Depuis la nuit des temps, la lumière a fasciné et inquiété les humains. Dans l’Antiquité, les cultes solaires étaient importants, et les historiens des religions du XIXe siècle leur ont donné une plus grande importance encore, au point de vouloir comprendre toutes les divinités antiques comme des métaphores du soleil. Très rapidement aussi, les humains ont tenté d’expliquer les manifestations de la lumière, révélées en particulier par la pratique de l’astronomie, en proposant des théories diverses qui ont abouti non seulement à des cosmologies, mais aussi à la physique et aux innombrables applications qui en sont nées. Ainsi, on peut dire que la lumière artificiellement produite ou contrôlée, qu’elle soit visible ou qu'elle soit un rayonnement électromagnétique invisible, est l’une des composantes essentielles d’un grand nombre des technologies d’aujourd’hui. À côté de ces développements scientifiques, les penseurs européens du XVIIIe siècle ont recouru à la métaphore de la lumière pour définir une démarche intellectuelle ayant pour fin d’éclairer les esprits (Lumières, Enlightenment, Aufklärung), alors que la création artistique n’a cessé de mettre en oeuvre la lumière ou l’obscurité dans la représentation ou la transfiguration de la réalité. Comité scientifique : Dominique Charpin, Antoine Compagnon, Jean Dalibard, Serge Haroche, Alain Prochiantz, Clément Sanchez, John Scheid
Colloque de rentrée 2015 Lumière, lumières La lumière : une vibration dans le regard du peintre Pascale Hémery Peintre Pascale Hémery est née en 1965. Elle vit et travaille entre Paris et la Bourgogne. Elle se consacre au dessin à la peinture et développe un travail important en gravure, sur bois particulièrement. Ses œuvres font partie de collections publiques, telles que le musée Carnavalet, la BNF, les musées des Beaux-Arts de Nevers, Belfort, le Musée du dessin et de l'estampe originale de Gravelines ainsi que de nombreuses collections privées en France et à l'étranger. Télécharger la vidéo Télécharger l'audio Biographie [320.0Ko] Lumière, lumières « Pascale Hémery dessine l'envers des grandes villes. Elle donne à voir le côté cour ou le côté terrasse avec de vastes vues plongeantes, comme si elle se tenait au sommet du plus haut immeuble. Elle compose un fragment de ville silencieux avec enchevêtrement de lignes qui laisse pressentir le chaos tout proche. Avec elle, la rêverie garde une grande précision de contour. Au fusain et parfois à la craie, elle parvient à faire vivre et respirer la surface d'un pan d'immeuble, elle fait vibrer le faisceau métallique d'une voie ferrée, elle restitue aux mastodontes urbains une part de douceur et de fragilité. Elle donne à ces dédales de ciment et de pierre la sensibilité d'un corps endormi. » Philippe Garnier in Catalogue de l'Exposition « Les Cahiers dessinées » – 2015 Depuis la nuit des temps, la lumière a fasciné et inquiété les humains. Dans l’Antiquité, les cultes solaires étaient importants, et les historiens des religions du XIXe siècle leur ont donné une plus grande importance encore, au point de vouloir comprendre toutes les divinités antiques comme des métaphores du soleil. Très rapidement aussi, les humains ont tenté d’expliquer les manifestations de la lumière, révélées en particulier par la pratique de l’astronomie, en proposant des théories diverses qui ont abouti non seulement à des cosmologies, mais aussi à la physique et aux innombrables applications qui en sont nées. Ainsi, on peut dire que la lumière artificiellement produite ou contrôlée, qu’elle soit visible ou qu'elle soit un rayonnement électromagnétique invisible, est l’une des composantes essentielles d’un grand nombre des technologies d’aujourd’hui. À côté de ces développements scientifiques, les penseurs européens du XVIIIe siècle ont recouru à la métaphore de la lumière pour définir une démarche intellectuelle ayant pour fin d’éclairer les esprits (Lumières, Enlightenment, Aufklärung), alors que la création artistique n’a cessé de mettre en oeuvre la lumière ou l’obscurité dans la représentation ou la transfiguration de la réalité. Comité scientifique : Dominique Charpin, Antoine Compagnon, Jean Dalibard, Serge Haroche, Alain Prochiantz, Clément Sanchez, John Scheid
Colloque de rentrée 2015 Lumière, lumières Lumière des bouddhas et poussière du monde dans la poésie japonaise médiévale Jean-Noël Robert Collège de France Depuis la nuit des temps, la lumière a fasciné et inquiété les humains. Dans l’Antiquité, les cultes solaires étaient importants, et les historiens des religions du XIXe siècle leur ont donné une plus grande importance encore, au point de vouloir comprendre toutes les divinités antiques comme des métaphores du soleil. Très rapidement aussi, les humains ont tenté d’expliquer les manifestations de la lumière, révélées en particulier par la pratique de l’astronomie, en proposant des théories diverses qui ont abouti non seulement à des cosmologies, mais aussi à la physique et aux innombrables applications qui en sont nées. Ainsi, on peut dire que la lumière artificiellement produite ou contrôlée, qu’elle soit visible ou qu'elle soit un rayonnement électromagnétique invisible, est l’une des composantes essentielles d’un grand nombre des technologies d’aujourd’hui. À côté de ces développements scientifiques, les penseurs européens du XVIIIe siècle ont recouru à la métaphore de la lumière pour définir une démarche intellectuelle ayant pour fin d’éclairer les esprits (Lumières, Enlightenment, Aufklärung), alors que la création artistique n’a cessé de mettre en oeuvre la lumière ou l’obscurité dans la représentation ou la transfiguration de la réalité. Comité scientifique : Dominique Charpin, Antoine Compagnon, Jean Dalibard, Serge Haroche, Alain Prochiantz, Clément Sanchez, John Scheid
Colloque de rentrée 2015 Lumière, lumières Lumière des bouddhas et poussière du monde dans la poésie japonaise médiévale Jean-Noël Robert Collège de France Depuis la nuit des temps, la lumière a fasciné et inquiété les humains. Dans l’Antiquité, les cultes solaires étaient importants, et les historiens des religions du XIXe siècle leur ont donné une plus grande importance encore, au point de vouloir comprendre toutes les divinités antiques comme des métaphores du soleil. Très rapidement aussi, les humains ont tenté d’expliquer les manifestations de la lumière, révélées en particulier par la pratique de l’astronomie, en proposant des théories diverses qui ont abouti non seulement à des cosmologies, mais aussi à la physique et aux innombrables applications qui en sont nées. Ainsi, on peut dire que la lumière artificiellement produite ou contrôlée, qu’elle soit visible ou qu'elle soit un rayonnement électromagnétique invisible, est l’une des composantes essentielles d’un grand nombre des technologies d’aujourd’hui. À côté de ces développements scientifiques, les penseurs européens du XVIIIe siècle ont recouru à la métaphore de la lumière pour définir une démarche intellectuelle ayant pour fin d’éclairer les esprits (Lumières, Enlightenment, Aufklärung), alors que la création artistique n’a cessé de mettre en oeuvre la lumière ou l’obscurité dans la représentation ou la transfiguration de la réalité. Comité scientifique : Dominique Charpin, Antoine Compagnon, Jean Dalibard, Serge Haroche, Alain Prochiantz, Clément Sanchez, John Scheid
Colloque de rentrée 2015 Lumière, lumières Lumière et molécules individuelles: l'intérieur d'une cellule comme vous ne l'avez jamais vu grâce aux balises nanométriques William E. Moerner Université de Stanford Depuis la nuit des temps, la lumière a fasciné et inquiété les humains. Dans l’Antiquité, les cultes solaires étaient importants, et les historiens des religions du XIXe siècle leur ont donné une plus grande importance encore, au point de vouloir comprendre toutes les divinités antiques comme des métaphores du soleil. Très rapidement aussi, les humains ont tenté d’expliquer les manifestations de la lumière, révélées en particulier par la pratique de l’astronomie, en proposant des théories diverses qui ont abouti non seulement à des cosmologies, mais aussi à la physique et aux innombrables applications qui en sont nées. Ainsi, on peut dire que la lumière artificiellement produite ou contrôlée, qu’elle soit visible ou qu'elle soit un rayonnement électromagnétique invisible, est l’une des composantes essentielles d’un grand nombre des technologies d’aujourd’hui. À côté de ces développements scientifiques, les penseurs européens du XVIIIe siècle ont recouru à la métaphore de la lumière pour définir une démarche intellectuelle ayant pour fin d’éclairer les esprits (Lumières, Enlightenment, Aufklärung), alors que la création artistique n’a cessé de mettre en oeuvre la lumière ou l’obscurité dans la représentation ou la transfiguration de la réalité. Comité scientifique : Dominique Charpin, Antoine Compagnon, Jean Dalibard, Serge Haroche, Alain Prochiantz, Clément Sanchez, John Scheid
Colloque de rentrée 2015 Lumière, lumières Lumière et molécules individuelles: l'intérieur d'une cellule comme vous ne l'avez jamais vu grâce aux balises nanométriques William E. Moerner Université de Stanford Depuis la nuit des temps, la lumière a fasciné et inquiété les humains. Dans l’Antiquité, les cultes solaires étaient importants, et les historiens des religions du XIXe siècle leur ont donné une plus grande importance encore, au point de vouloir comprendre toutes les divinités antiques comme des métaphores du soleil. Très rapidement aussi, les humains ont tenté d’expliquer les manifestations de la lumière, révélées en particulier par la pratique de l’astronomie, en proposant des théories diverses qui ont abouti non seulement à des cosmologies, mais aussi à la physique et aux innombrables applications qui en sont nées. Ainsi, on peut dire que la lumière artificiellement produite ou contrôlée, qu’elle soit visible ou qu'elle soit un rayonnement électromagnétique invisible, est l’une des composantes essentielles d’un grand nombre des technologies d’aujourd’hui. À côté de ces développements scientifiques, les penseurs européens du XVIIIe siècle ont recouru à la métaphore de la lumière pour définir une démarche intellectuelle ayant pour fin d’éclairer les esprits (Lumières, Enlightenment, Aufklärung), alors que la création artistique n’a cessé de mettre en oeuvre la lumière ou l’obscurité dans la représentation ou la transfiguration de la réalité. Comité scientifique : Dominique Charpin, Antoine Compagnon, Jean Dalibard, Serge Haroche, Alain Prochiantz, Clément Sanchez, John Scheid
Colloque de rentrée 2015 Lumière, lumières La lumière au siècle des Lumières et aujourd'hui, de la biologie de la vision à une nouvelle conception du monde, de Newton à Henri Grégoire et aux Droits de l'Homme Jean-Pierre Changeux Collège de France Depuis la nuit des temps, la lumière a fasciné et inquiété les humains. Dans l’Antiquité, les cultes solaires étaient importants, et les historiens des religions du XIXe siècle leur ont donné une plus grande importance encore, au point de vouloir comprendre toutes les divinités antiques comme des métaphores du soleil. Très rapidement aussi, les humains ont tenté d’expliquer les manifestations de la lumière, révélées en particulier par la pratique de l’astronomie, en proposant des théories diverses qui ont abouti non seulement à des cosmologies, mais aussi à la physique et aux innombrables applications qui en sont nées. Ainsi, on peut dire que la lumière artificiellement produite ou contrôlée, qu’elle soit visible ou qu'elle soit un rayonnement électromagnétique invisible, est l’une des composantes essentielles d’un grand nombre des technologies d’aujourd’hui. À côté de ces développements scientifiques, les penseurs européens du XVIIIe siècle ont recouru à la métaphore de la lumière pour définir une démarche intellectuelle ayant pour fin d’éclairer les esprits (Lumières, Enlightenment, Aufklärung), alors que la création artistique n’a cessé de mettre en oeuvre la lumière ou l’obscurité dans la représentation ou la transfiguration de la réalité. Comité scientifique : Dominique Charpin, Antoine Compagnon, Jean Dalibard, Serge Haroche, Alain Prochiantz, Clément Sanchez, John Scheid
Colloque de rentrée 2015 Lumière, lumières Lumière, disparitions, apparences... José-Alain Sahel Collège de France (2015-2016), Institut de la vision, Sorbonne Universités Depuis la nuit des temps, la lumière a fasciné et inquiété les humains. Dans l’Antiquité, les cultes solaires étaient importants, et les historiens des religions du XIXe siècle leur ont donné une plus grande importance encore, au point de vouloir comprendre toutes les divinités antiques comme des métaphores du soleil. Très rapidement aussi, les humains ont tenté d’expliquer les manifestations de la lumière, révélées en particulier par la pratique de l’astronomie, en proposant des théories diverses qui ont abouti non seulement à des cosmologies, mais aussi à la physique et aux innombrables applications qui en sont nées. Ainsi, on peut dire que la lumière artificiellement produite ou contrôlée, qu’elle soit visible ou qu'elle soit un rayonnement électromagnétique invisible, est l’une des composantes essentielles d’un grand nombre des technologies d’aujourd’hui. À côté de ces développements scientifiques, les penseurs européens du XVIIIe siècle ont recouru à la métaphore de la lumière pour définir une démarche intellectuelle ayant pour fin d’éclairer les esprits (Lumières, Enlightenment, Aufklärung), alors que la création artistique n’a cessé de mettre en oeuvre la lumière ou l’obscurité dans la représentation ou la transfiguration de la réalité. Comité scientifique : Dominique Charpin, Antoine Compagnon, Jean Dalibard, Serge Haroche, Alain Prochiantz, Clément Sanchez, John Scheid
Colloque de rentrée 2015 Lumière, lumières Lumière, disparitions, apparences... José-Alain Sahel Collège de France (2015-2016), Institut de la vision, Sorbonne Universités Depuis la nuit des temps, la lumière a fasciné et inquiété les humains. Dans l’Antiquité, les cultes solaires étaient importants, et les historiens des religions du XIXe siècle leur ont donné une plus grande importance encore, au point de vouloir comprendre toutes les divinités antiques comme des métaphores du soleil. Très rapidement aussi, les humains ont tenté d’expliquer les manifestations de la lumière, révélées en particulier par la pratique de l’astronomie, en proposant des théories diverses qui ont abouti non seulement à des cosmologies, mais aussi à la physique et aux innombrables applications qui en sont nées. Ainsi, on peut dire que la lumière artificiellement produite ou contrôlée, qu’elle soit visible ou qu'elle soit un rayonnement électromagnétique invisible, est l’une des composantes essentielles d’un grand nombre des technologies d’aujourd’hui. À côté de ces développements scientifiques, les penseurs européens du XVIIIe siècle ont recouru à la métaphore de la lumière pour définir une démarche intellectuelle ayant pour fin d’éclairer les esprits (Lumières, Enlightenment, Aufklärung), alors que la création artistique n’a cessé de mettre en oeuvre la lumière ou l’obscurité dans la représentation ou la transfiguration de la réalité. Comité scientifique : Dominique Charpin, Antoine Compagnon, Jean Dalibard, Serge Haroche, Alain Prochiantz, Clément Sanchez, John Scheid
Colloque de rentrée 2015 Les planètes en lumière Anne-Marie Lagrange Institut de planétologie et d'astrophysique de Grenoble Depuis la nuit des temps, la lumière a fasciné et inquiété les humains. Dans l’Antiquité, les cultes solaires étaient importants, et les historiens des religions du XIXe siècle leur ont donné une plus grande importance encore, au point de vouloir comprendre toutes les divinités antiques comme des métaphores du soleil. Très rapidement aussi, les humains ont tenté d’expliquer les manifestations de la lumière, révélées en particulier par la pratique de l’astronomie, en proposant des théories diverses qui ont abouti non seulement à des cosmologies, mais aussi à la physique et aux innombrables applications qui en sont nées. Ainsi, on peut dire que la lumière artificiellement produite ou contrôlée, qu’elle soit visible ou qu'elle soit un rayonnement électromagnétique invisible, est l’une des composantes essentielles d’un grand nombre des technologies d’aujourd’hui. À côté de ces développements scientifiques, les penseurs européens du XVIIIe siècle ont recouru à la métaphore de la lumière pour définir une démarche intellectuelle ayant pour fin d’éclairer les esprits (Lumières, Enlightenment, Aufklärung), alors que la création artistique n’a cessé de mettre en oeuvre la lumière ou l’obscurité dans la représentation ou la transfiguration de la réalité. Comité scientifique : Dominique Charpin, Antoine Compagnon, Jean Dalibard, Serge Haroche, Alain Prochiantz, Clément Sanchez, John Scheid
Colloque de rentrée 2015 Lumière, lumières Lumière des bouddhas et poussière du monde dans la poésie japonaise médiévale Jean-Noël Robert Collège de France Depuis la nuit des temps, la lumière a fasciné et inquiété les humains. Dans l’Antiquité, les cultes solaires étaient importants, et les historiens des religions du XIXe siècle leur ont donné une plus grande importance encore, au point de vouloir comprendre toutes les divinités antiques comme des métaphores du soleil. Très rapidement aussi, les humains ont tenté d’expliquer les manifestations de la lumière, révélées en particulier par la pratique de l’astronomie, en proposant des théories diverses qui ont abouti non seulement à des cosmologies, mais aussi à la physique et aux innombrables applications qui en sont nées. Ainsi, on peut dire que la lumière artificiellement produite ou contrôlée, qu’elle soit visible ou qu'elle soit un rayonnement électromagnétique invisible, est l’une des composantes essentielles d’un grand nombre des technologies d’aujourd’hui. À côté de ces développements scientifiques, les penseurs européens du XVIIIe siècle ont recouru à la métaphore de la lumière pour définir une démarche intellectuelle ayant pour fin d’éclairer les esprits (Lumières, Enlightenment, Aufklärung), alors que la création artistique n’a cessé de mettre en oeuvre la lumière ou l’obscurité dans la représentation ou la transfiguration de la réalité. Comité scientifique : Dominique Charpin, Antoine Compagnon, Jean Dalibard, Serge Haroche, Alain Prochiantz, Clément Sanchez, John Scheid
Colloque de rentrée 2015 Lumière, lumières - Espace, temps et quanta : comment les interrogations sur la lumière ont révolutionné notre vision du monde Serge Haroche Depuis la nuit des temps, la lumière a fasciné et inquiété les humains. Dans l’Antiquité, les cultes solaires étaient importants, et les historiens des religions du XIXe siècle leur ont donné une plus grande importance encore, au point de vouloir comprendre toutes les divinités antiques comme des métaphores du soleil. Très rapidement aussi, les humains ont tenté d’expliquer les manifestations de la lumière, révélées en particulier par la pratique de l’astronomie, en proposant des théories diverses qui ont abouti non seulement à des cosmologies, mais aussi à la physique et aux innombrables applications qui en sont nées. Ainsi, on peut dire que la lumière artificiellement produite ou contrôlée, qu’elle soit visible ou qu'elle soit un rayonnement électromagnétique invisible, est l’une des composantes essentielles d’un grand nombre des technologies d’aujourd’hui. À côté de ces développements scientifiques, les penseurs européens du XVIIIe siècle ont recouru à la métaphore de la lumière pour définir une démarche intellectuelle ayant pour fin d’éclairer les esprits (Lumières, Enlightenment, Aufklärung), alors que la création artistique n’a cessé de mettre en oeuvre la lumière ou l’obscurité dans la représentation ou la transfiguration de la réalité. Comité scientifique : Dominique Charpin, Antoine Compagnon, Jean Dalibard, Serge Haroche, Alain Prochiantz, Clément Sanchez, John Scheid
Colloque de rentrée 2015 Lumière, lumières - Espace, temps et quanta : comment les interrogations sur la lumière ont révolutionné notre vision du monde Serge Haroche Depuis la nuit des temps, la lumière a fasciné et inquiété les humains. Dans l’Antiquité, les cultes solaires étaient importants, et les historiens des religions du XIXe siècle leur ont donné une plus grande importance encore, au point de vouloir comprendre toutes les divinités antiques comme des métaphores du soleil. Très rapidement aussi, les humains ont tenté d’expliquer les manifestations de la lumière, révélées en particulier par la pratique de l’astronomie, en proposant des théories diverses qui ont abouti non seulement à des cosmologies, mais aussi à la physique et aux innombrables applications qui en sont nées. Ainsi, on peut dire que la lumière artificiellement produite ou contrôlée, qu’elle soit visible ou qu'elle soit un rayonnement électromagnétique invisible, est l’une des composantes essentielles d’un grand nombre des technologies d’aujourd’hui. À côté de ces développements scientifiques, les penseurs européens du XVIIIe siècle ont recouru à la métaphore de la lumière pour définir une démarche intellectuelle ayant pour fin d’éclairer les esprits (Lumières, Enlightenment, Aufklärung), alors que la création artistique n’a cessé de mettre en oeuvre la lumière ou l’obscurité dans la représentation ou la transfiguration de la réalité. Comité scientifique : Dominique Charpin, Antoine Compagnon, Jean Dalibard, Serge Haroche, Alain Prochiantz, Clément Sanchez, John Scheid
Colloque de rentrée 2015 Lumière, lumières - La lumière : un outil pour manipuler les atomes, Claude Cohen-Tannoudji Depuis la nuit des temps, la lumière a fasciné et inquiété les humains. Dans l’Antiquité, les cultes solaires étaient importants, et les historiens des religions du XIXe siècle leur ont donné une plus grande importance encore, au point de vouloir comprendre toutes les divinités antiques comme des métaphores du soleil. Très rapidement aussi, les humains ont tenté d’expliquer les manifestations de la lumière, révélées en particulier par la pratique de l’astronomie, en proposant des théories diverses qui ont abouti non seulement à des cosmologies, mais aussi à la physique et aux innombrables applications qui en sont nées. Ainsi, on peut dire que la lumière artificiellement produite ou contrôlée, qu’elle soit visible ou qu'elle soit un rayonnement électromagnétique invisible, est l’une des composantes essentielles d’un grand nombre des technologies d’aujourd’hui. À côté de ces développements scientifiques, les penseurs européens du XVIIIe siècle ont recouru à la métaphore de la lumière pour définir une démarche intellectuelle ayant pour fin d’éclairer les esprits (Lumières, Enlightenment, Aufklärung), alors que la création artistique n’a cessé de mettre en oeuvre la lumière ou l’obscurité dans la représentation ou la transfiguration de la réalité. Comité scientifique : Dominique Charpin, Antoine Compagnon, Jean Dalibard, Serge Haroche, Alain Prochiantz, Clément Sanchez, John Scheid
Colloque de rentrée 2015 Lumière, lumières - La lumière : un outil pour manipuler les atomes, Claude Cohen-Tannoudji Depuis la nuit des temps, la lumière a fasciné et inquiété les humains. Dans l’Antiquité, les cultes solaires étaient importants, et les historiens des religions du XIXe siècle leur ont donné une plus grande importance encore, au point de vouloir comprendre toutes les divinités antiques comme des métaphores du soleil. Très rapidement aussi, les humains ont tenté d’expliquer les manifestations de la lumière, révélées en particulier par la pratique de l’astronomie, en proposant des théories diverses qui ont abouti non seulement à des cosmologies, mais aussi à la physique et aux innombrables applications qui en sont nées. Ainsi, on peut dire que la lumière artificiellement produite ou contrôlée, qu’elle soit visible ou qu'elle soit un rayonnement électromagnétique invisible, est l’une des composantes essentielles d’un grand nombre des technologies d’aujourd’hui. À côté de ces développements scientifiques, les penseurs européens du XVIIIe siècle ont recouru à la métaphore de la lumière pour définir une démarche intellectuelle ayant pour fin d’éclairer les esprits (Lumières, Enlightenment, Aufklärung), alors que la création artistique n’a cessé de mettre en oeuvre la lumière ou l’obscurité dans la représentation ou la transfiguration de la réalité. Comité scientifique : Dominique Charpin, Antoine Compagnon, Jean Dalibard, Serge Haroche, Alain Prochiantz, Clément Sanchez, John Scheid
Colloque de rentrée 2015 Lumière, lumières - Présentation, Jean Dalibard Depuis la nuit des temps, la lumière a fasciné et inquiété les humains. Dans l’Antiquité, les cultes solaires étaient importants, et les historiens des religions du XIXe siècle leur ont donné une plus grande importance encore, au point de vouloir comprendre toutes les divinités antiques comme des métaphores du soleil. Très rapidement aussi, les humains ont tenté d’expliquer les manifestations de la lumière, révélées en particulier par la pratique de l’astronomie, en proposant des théories diverses qui ont abouti non seulement à des cosmologies, mais aussi à la physique et aux innombrables applications qui en sont nées. Ainsi, on peut dire que la lumière artificiellement produite ou contrôlée, qu’elle soit visible ou qu'elle soit un rayonnement électromagnétique invisible, est l’une des composantes essentielles d’un grand nombre des technologies d’aujourd’hui. À côté de ces développements scientifiques, les penseurs européens du XVIIIe siècle ont recouru à la métaphore de la lumière pour définir une démarche intellectuelle ayant pour fin d’éclairer les esprits (Lumières, Enlightenment, Aufklärung), alors que la création artistique n’a cessé de mettre en oeuvre la lumière ou l’obscurité dans la représentation ou la transfiguration de la réalité. Comité scientifique : Dominique Charpin, Antoine Compagnon, Jean Dalibard, Serge Haroche, Alain Prochiantz, Clément Sanchez, John Scheid
Colloque de rentrée 2015 Lumière, lumières - Présentation, Jean Dalibard Depuis la nuit des temps, la lumière a fasciné et inquiété les humains. Dans l’Antiquité, les cultes solaires étaient importants, et les historiens des religions du XIXe siècle leur ont donné une plus grande importance encore, au point de vouloir comprendre toutes les divinités antiques comme des métaphores du soleil. Très rapidement aussi, les humains ont tenté d’expliquer les manifestations de la lumière, révélées en particulier par la pratique de l’astronomie, en proposant des théories diverses qui ont abouti non seulement à des cosmologies, mais aussi à la physique et aux innombrables applications qui en sont nées. Ainsi, on peut dire que la lumière artificiellement produite ou contrôlée, qu’elle soit visible ou qu'elle soit un rayonnement électromagnétique invisible, est l’une des composantes essentielles d’un grand nombre des technologies d’aujourd’hui. À côté de ces développements scientifiques, les penseurs européens du XVIIIe siècle ont recouru à la métaphore de la lumière pour définir une démarche intellectuelle ayant pour fin d’éclairer les esprits (Lumières, Enlightenment, Aufklärung), alors que la création artistique n’a cessé de mettre en oeuvre la lumière ou l’obscurité dans la représentation ou la transfiguration de la réalité. Comité scientifique : Dominique Charpin, Antoine Compagnon, Jean Dalibard, Serge Haroche, Alain Prochiantz, Clément Sanchez, John Scheid
Colloque de rentrée 2015 Lumière, lumières La lumière dans le tableau Philippe Walter Laboratoire d'archéologie moléculaire et structurale, UPMC / CNRS Depuis la nuit des temps, la lumière a fasciné et inquiété les humains. Dans l’Antiquité, les cultes solaires étaient importants, et les historiens des religions du XIXe siècle leur ont donné une plus grande importance encore, au point de vouloir comprendre toutes les divinités antiques comme des métaphores du soleil. Très rapidement aussi, les humains ont tenté d’expliquer les manifestations de la lumière, révélées en particulier par la pratique de l’astronomie, en proposant des théories diverses qui ont abouti non seulement à des cosmologies, mais aussi à la physique et aux innombrables applications qui en sont nées. Ainsi, on peut dire que la lumière artificiellement produite ou contrôlée, qu’elle soit visible ou qu'elle soit un rayonnement électromagnétique invisible, est l’une des composantes essentielles d’un grand nombre des technologies d’aujourd’hui. À côté de ces développements scientifiques, les penseurs européens du XVIIIe siècle ont recouru à la métaphore de la lumière pour définir une démarche intellectuelle ayant pour fin d’éclairer les esprits (Lumières, Enlightenment, Aufklärung), alors que la création artistique n’a cessé de mettre en oeuvre la lumière ou l’obscurité dans la représentation ou la transfiguration de la réalité. Comité scientifique : Dominique Charpin, Antoine Compagnon, Jean Dalibard, Serge Haroche, Alain Prochiantz, Clément Sanchez, John Scheid
Colloque de rentrée 2015 Lumière, lumières Droit et lumière, de Sumer à nos jours Dominique Charpin Collège de France Depuis la nuit des temps, la lumière a fasciné et inquiété les humains. Dans l’Antiquité, les cultes solaires étaient importants, et les historiens des religions du XIXe siècle leur ont donné une plus grande importance encore, au point de vouloir comprendre toutes les divinités antiques comme des métaphores du soleil. Très rapidement aussi, les humains ont tenté d’expliquer les manifestations de la lumière, révélées en particulier par la pratique de l’astronomie, en proposant des théories diverses qui ont abouti non seulement à des cosmologies, mais aussi à la physique et aux innombrables applications qui en sont nées. Ainsi, on peut dire que la lumière artificiellement produite ou contrôlée, qu’elle soit visible ou qu'elle soit un rayonnement électromagnétique invisible, est l’une des composantes essentielles d’un grand nombre des technologies d’aujourd’hui. À côté de ces développements scientifiques, les penseurs européens du XVIIIe siècle ont recouru à la métaphore de la lumière pour définir une démarche intellectuelle ayant pour fin d’éclairer les esprits (Lumières, Enlightenment, Aufklärung), alors que la création artistique n’a cessé de mettre en oeuvre la lumière ou l’obscurité dans la représentation ou la transfiguration de la réalité. Comité scientifique : Dominique Charpin, Antoine Compagnon, Jean Dalibard, Serge Haroche, Alain Prochiantz, Clément Sanchez, John Scheid
Colloque de rentrée 2015 Lumière, lumières La lumière : une vibration dans le regard du peintre Pascale Hémery Peintre Pascale Hémery est née en 1965. Elle vit et travaille entre Paris et la Bourgogne. Elle se consacre au dessin à la peinture et développe un travail important en gravure, sur bois particulièrement. Ses œuvres font partie de collections publiques, telles que le musée Carnavalet, la BNF, les musées des Beaux-Arts de Nevers, Belfort, le Musée du dessin et de l'estampe originale de Gravelines ainsi que de nombreuses collections privées en France et à l'étranger. Télécharger la vidéo Télécharger l'audio Biographie [320.0Ko] Lumière, lumières « Pascale Hémery dessine l'envers des grandes villes. Elle donne à voir le côté cour ou le côté terrasse avec de vastes vues plongeantes, comme si elle se tenait au sommet du plus haut immeuble. Elle compose un fragment de ville silencieux avec enchevêtrement de lignes qui laisse pressentir le chaos tout proche. Avec elle, la rêverie garde une grande précision de contour. Au fusain et parfois à la craie, elle parvient à faire vivre et respirer la surface d'un pan d'immeuble, elle fait vibrer le faisceau métallique d'une voie ferrée, elle restitue aux mastodontes urbains une part de douceur et de fragilité. Elle donne à ces dédales de ciment et de pierre la sensibilité d'un corps endormi. » Philippe Garnier in Catalogue de l'Exposition « Les Cahiers dessinées » – 2015 Depuis la nuit des temps, la lumière a fasciné et inquiété les humains. Dans l’Antiquité, les cultes solaires étaient importants, et les historiens des religions du XIXe siècle leur ont donné une plus grande importance encore, au point de vouloir comprendre toutes les divinités antiques comme des métaphores du soleil. Très rapidement aussi, les humains ont tenté d’expliquer les manifestations de la lumière, révélées en particulier par la pratique de l’astronomie, en proposant des théories diverses qui ont abouti non seulement à des cosmologies, mais aussi à la physique et aux innombrables applications qui en sont nées. Ainsi, on peut dire que la lumière artificiellement produite ou contrôlée, qu’elle soit visible ou qu'elle soit un rayonnement électromagnétique invisible, est l’une des composantes essentielles d’un grand nombre des technologies d’aujourd’hui. À côté de ces développements scientifiques, les penseurs européens du XVIIIe siècle ont recouru à la métaphore de la lumière pour définir une démarche intellectuelle ayant pour fin d’éclairer les esprits (Lumières, Enlightenment, Aufklärung), alors que la création artistique n’a cessé de mettre en oeuvre la lumière ou l’obscurité dans la représentation ou la transfiguration de la réalité. Comité scientifique : Dominique Charpin, Antoine Compagnon, Jean Dalibard, Serge Haroche, Alain Prochiantz, Clément Sanchez, John Scheid
Colloque de rentrée 2015 Lumière, lumières La lumière : une vibration dans le regard du peintre Pascale Hémery Peintre Pascale Hémery est née en 1965. Elle vit et travaille entre Paris et la Bourgogne. Elle se consacre au dessin à la peinture et développe un travail important en gravure, sur bois particulièrement. Ses œuvres font partie de collections publiques, telles que le musée Carnavalet, la BNF, les musées des Beaux-Arts de Nevers, Belfort, le Musée du dessin et de l'estampe originale de Gravelines ainsi que de nombreuses collections privées en France et à l'étranger. Télécharger la vidéo Télécharger l'audio Biographie [320.0Ko] Lumière, lumières « Pascale Hémery dessine l'envers des grandes villes. Elle donne à voir le côté cour ou le côté terrasse avec de vastes vues plongeantes, comme si elle se tenait au sommet du plus haut immeuble. Elle compose un fragment de ville silencieux avec enchevêtrement de lignes qui laisse pressentir le chaos tout proche. Avec elle, la rêverie garde une grande précision de contour. Au fusain et parfois à la craie, elle parvient à faire vivre et respirer la surface d'un pan d'immeuble, elle fait vibrer le faisceau métallique d'une voie ferrée, elle restitue aux mastodontes urbains une part de douceur et de fragilité. Elle donne à ces dédales de ciment et de pierre la sensibilité d'un corps endormi. » Philippe Garnier in Catalogue de l'Exposition « Les Cahiers dessinées » – 2015 Depuis la nuit des temps, la lumière a fasciné et inquiété les humains. Dans l’Antiquité, les cultes solaires étaient importants, et les historiens des religions du XIXe siècle leur ont donné une plus grande importance encore, au point de vouloir comprendre toutes les divinités antiques comme des métaphores du soleil. Très rapidement aussi, les humains ont tenté d’expliquer les manifestations de la lumière, révélées en particulier par la pratique de l’astronomie, en proposant des théories diverses qui ont abouti non seulement à des cosmologies, mais aussi à la physique et aux innombrables applications qui en sont nées. Ainsi, on peut dire que la lumière artificiellement produite ou contrôlée, qu’elle soit visible ou qu'elle soit un rayonnement électromagnétique invisible, est l’une des composantes essentielles d’un grand nombre des technologies d’aujourd’hui. À côté de ces développements scientifiques, les penseurs européens du XVIIIe siècle ont recouru à la métaphore de la lumière pour définir une démarche intellectuelle ayant pour fin d’éclairer les esprits (Lumières, Enlightenment, Aufklärung), alors que la création artistique n’a cessé de mettre en oeuvre la lumière ou l’obscurité dans la représentation ou la transfiguration de la réalité. Comité scientifique : Dominique Charpin, Antoine Compagnon, Jean Dalibard, Serge Haroche, Alain Prochiantz, Clément Sanchez, John Scheid
Colloque de rentrée 2015 Lumière, lumières Lumière et molécules individuelles: l'intérieur d'une cellule comme vous ne l'avez jamais vu grâce aux balises nanométriques William E. Moerner Université de Stanford Depuis la nuit des temps, la lumière a fasciné et inquiété les humains. Dans l’Antiquité, les cultes solaires étaient importants, et les historiens des religions du XIXe siècle leur ont donné une plus grande importance encore, au point de vouloir comprendre toutes les divinités antiques comme des métaphores du soleil. Très rapidement aussi, les humains ont tenté d’expliquer les manifestations de la lumière, révélées en particulier par la pratique de l’astronomie, en proposant des théories diverses qui ont abouti non seulement à des cosmologies, mais aussi à la physique et aux innombrables applications qui en sont nées. Ainsi, on peut dire que la lumière artificiellement produite ou contrôlée, qu’elle soit visible ou qu'elle soit un rayonnement électromagnétique invisible, est l’une des composantes essentielles d’un grand nombre des technologies d’aujourd’hui. À côté de ces développements scientifiques, les penseurs européens du XVIIIe siècle ont recouru à la métaphore de la lumière pour définir une démarche intellectuelle ayant pour fin d’éclairer les esprits (Lumières, Enlightenment, Aufklärung), alors que la création artistique n’a cessé de mettre en oeuvre la lumière ou l’obscurité dans la représentation ou la transfiguration de la réalité. Comité scientifique : Dominique Charpin, Antoine Compagnon, Jean Dalibard, Serge Haroche, Alain Prochiantz, Clément Sanchez, John Scheid