POPULARITY
Categories
En Chine, Emmanuel Macron est arrivé à Pékin et a été accueilli en grande pompe. Deux grands sujets ont été évoqués autour de la table, notamment au sujet des déséquilibres commerciaux croissants entre la Chine et l'Europe. Écoutez RTL autour du monde du 4 décembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:47 - Journal de 8 h - Quels sont les liens entre Dominique de Villepin et la Chine ? L'ancien Premier ministre s'y est rendu une cinquantaine de fois depuis 2007 et sa sortie de Matignon. D'après la Cellule investigation, les factures de deux de ses conférences données là-bas ont été réglées par les autorités chinoises.
durée : 00:14:47 - Journal de 8 h - Quels sont les liens entre Dominique de Villepin et la Chine ? L'ancien Premier ministre s'y est rendu une cinquantaine de fois depuis 2007 et sa sortie de Matignon. D'après la Cellule investigation, les factures de deux de ses conférences données là-bas ont été réglées par les autorités chinoises.
durée : 00:05:33 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - L'Inde ordonne aux fabricants de téléphones portables d'équiper leurs modèles vendus sur son sol d'une application de cybersécurité conçue par le gouvernement. L'opposition dénonce une invasion de la vie privée. La Chine utilise l'intelligence artificielle pour renforcer sa surveillance en ligne.
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 03 décembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pékin accueille à partir de mercredi (3 décembre 2025) le président français Emmanuel Macron pour une visite sous le signe de l'économie. Un enjeu de premier plan pour le géant chinois engagé dans une lutte avec les États-Unis pour le leadership de l'intelligence artificielle. Pékin peut-il rattraper Washington dans ce domaine ? Quels sont les atouts de la Chine ? Quels sont les enjeux de cette bataille ? Pour en débattre : - Jean-Baptiste Monnier, vice-président de l'institut de recherches «Asia Centre» - Julien Pillot, économiste spécialiste de l'industrie numérique, enseignant-chercheur à l'Inseec Business School, chercheur associé au CNRS - Guillaume Grallet, journaliste high-tech au Point et chroniqueur à France 24, auteur du livre «Pionniers : Voyage aux frontières de l'intelligence artificielle» éditions Grasset.
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
Entre robotaxis, robots humanoïdes téléopérés et compétition géopolitique autour de l'IA, Michel Lévy-Provençal raconte trois semaines au cœur des métropoles asiatiques les plus innovantes.Michel Lévy-Provençal, prospectiviste et dirigeant de BrightnessPourquoi avoir entrepris ce long voyage en Asie et qu'est-ce qui vous a le plus frappé à Shenzhen ?Je suis parti à la fois pour respirer et pour une opportunité professionnelle qui m'a conduit dans six métropoles asiatiques. À Shenzhen, j'ai reçu une véritable claque : une ville verte, silencieuse, largement électrifiée, bien loin des clichés de mégalopole polluée. Là-bas, tout repose sur l'écosystème mobile local. Sans WeChat, on ne peut strictement rien faire : payer, s'identifier, réserver un billet. Cette dépendance crée un mélange étrange de confort et d'oppression, renforcé par la biométrie systématique aux frontières et la surveillance omniprésente. Malgré cela, l'efficacité est bluffante. J'ai compris que Shenzhen est pensée comme une scène technologique destinée à montrer, très explicitement, la puissance numérique chinoise.Comment avez-vous vécu l'expérience des robotaxis et des robots humanoïdes ?Les robotaxis ont été une découverte spectaculaire. J'ai utilisé un taxi autonome de Pony.ai pour quelques euros à peine, une démonstration assumée de maturité technologique. Certaines voitures roulent totalement sans chauffeur, d'autres disposent d'un superviseur immobile, volontairement mis en retrait pour prouver la fiabilité du système. C'est fluide, précis, impressionnant. Du côté de la robotique humanoïde, j'ai visité les laboratoires d'Engine AI. Leurs robots marchent, courent, se rattrapent, dansent, manipulent des objets avec des gestes très crédibles. Mais tout est téléopéré : aucune autonomie réelle. Les vidéos virales que nous voyons montrent des machines pilotées à distance. La mécanique est brillante, mais la couche d'intelligence embarquée manque encore pour évoluer dans un environnement complexe.Quel regard portez-vous sur la compétition technologique entre la Chine, les États-Unis et le Japon ?La Chine mène aujourd'hui une offensive technologique assumée. En IA, des modèles comme Kimi cherchent clairement à rivaliser avec les modèles américains. En robotique ou en mobilité autonome, la communication est massive, calculée, internationale. À l'inverse, le Japon m'a semblé en retrait. Lors d'un échange avec l'ancien ministre de la Transformation Numérique, j'ai été frappé d'entendre Mistral cité comme exemple positif de stratégie souveraine. On voit bien que la compétition ne se joue plus seulement sur la performance brute mais sur la vitesse d'exécution, la frugalité, la cohérence stratégique et le récit.Qu'avez-vous observé en Asie concernant l'image de la France et ses opportunités ?J'ai été surpris par la puissance de la marque France dans toute l'Asie. À Séoul, Hong Kong ou Singapour, j'ai vu des dizaines de marques jouant la carte française, parfois sans lien réel avec la France. Notre imaginaire séduit : design, qualité, exigence, poésie. Nous sous-exploitons clairement ce potentiel. Des acteurs français comme Dassault Systèmes, Airbus ou TotalEnergies y jouissent déjà d'un immense respect. Je suis convaincu que nous pourrions créer bien plus de valeur en combinant technologies venues d'ailleurs et excellence française dans l'expérience, le software ou la conception. Le marché asiatique est une opportunité majeure.Brightness France : https://www.brightness.fr/-----------♥️ Soutien : https://mondenumerique.info/don
ChatGPT et Perplexity deviennent des assistants de shopping, l'IA impacte l'emploi, l'Europe veut interdire les réseaux sociaux aux plus jeunes.Avec Bruno Guglielminetti (https://moncarnet.com/)La Chine croule sous les robotsLe robot chinois Agibot A2 a parcouru 106 km sans s'arrêter, un exploit technologique… mais aussi un symptôme. Pékin s'inquiète désormais d'une surproduction de robots humanoïdes, issus de dizaines de startups. En parallèle, Memo, petit robot américain, apprend les gestes du quotidien grâce à des capteurs portés par des humains. L'ère des robots domestiques se précise.ChatGPT et Perplexity deviennent conseillers shoppingTrois ans après son lancement discret, ChatGPT revendique 800 millions d'utilisateurs hebdos. Il devient désormais un assistant shopping intelligent, capable de recommander des produits en langage naturel. Perplexity fait de même. Claude, l'IA d'Anthropic, se spécialise quant à lui dans le code et les tâches bureautiques, avec un style grammatical jugé plus rigoureux que ChatGPT. Deux approches, deux visions de l'IA.Tesla teste la conduite autonome en FranceC'est officiel : Tesla propose en décembre des essais gratuits de son FSD (Full Self-Driving) dans 8 villes françaises. Il s'agit d'une conduite de niveau 2, sous surveillance humaine. Derrière cette campagne : une tentative d'influencer les autorités européennes avant une possible homologation du système, toujours incertaine.L'IA détruit-elle vraiment des emplois ?HP annonce 4 000 à 6 000 suppressions de postes d'ici 2028. L'entreprise cite l'IA comme principal levier de réorganisation. Mais s'agit-il d'un véritable bouleversement technologique ou d'un prétexte commode ? Une chose est sûre : l'IA augmente la productivité, réduit les besoins humains et accélère la mutation de nombreux métiers.OVH, Qwant : accrocs à la souverainetéOVHCloud est sommé par la justice canadienne de fournir des données stockées en France. Un précédent préoccupant. Dans le même temps, Qwant est débouté face à Microsoft dans une plainte pour abus de position dominante. La souveraineté numérique européenne peine à s'imposer.La tech asiatique sous haute tension, vue de l'intérieurLe prospectiviste Michel Lévy-Provençal, de retour d'un long voyage en Chine, Corée et Japon, raconte un écosystème en ébullition. Il décrit des robots impressionnants mais… téléopérés, encore très loin de l'autonomie. Derrière les démonstrations spectaculaires : une course à la communication technologique, où la Chine cherche désormais à rivaliser avec les États-Unis, y compris en IA. À écouter en intégralité dans l'épisode.Unistellar invente les jumelles à réalité augmentéeAutre innovation made in France : les jumelles N-Vision de la société marseillaise Unistellar. Son CEO, Laurent Marfisi, présente un appareil capable d'afficher constellations, sommets ou monuments directement dans le champ de vision. Un outil à la croisée de l'astronomie et de la randonnée augmentée.-----------♥️ Soutien : https://mondenumerique.info/don
l'IA qui devient hors de prix, les dettes qui gonflent, les comptables qui pleurent, Michael Burry qui nous annonce l'apocalypse… et un Nasdaq qui décide de flinguer la photo de classe en terminant dans le rouge. Magnifique. Mais tout ça, c'était avant. Parce que là, on entre dans LE MOIS POWELL : la période où la FED devient ton colocataire, ton psy, ton horoscope et ton père spirituel. Pendant dix jours, tu vas manger FED, rêver FED, analyser FED. Même si t'en peux plus. Pendant ce temps, l'Américain continue de consommer comme s'il avait gagné 4 fois l'EuroMillions : Thanksgiving → Black Friday → Black Weekend → Cyber Monday. Résultat : +9% de ventes, 11,8 milliards dépensés… avec de l'argent qui n'existe pas. Mais tout le monde trouve ça normal.
L'Europe est-elle condamnée à être le vassal de la Chine ? Retrouvez Le Club Le Figaro International présenté par Philippe Gélie. Il reçoit Bertille Bayart, François Godement, Emmanuel Lincot et Patrick Saint-Paul.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si le dioxyde de carbone, symbole du réchauffement climatique, devenait… un outil de production d'électricité ? C'est le pari que vient de concrétiser la China National Nuclear Corporation, en Chine, en raccordant au réseau le tout premier générateur électrique au monde fonctionnant grâce au CO₂ supercritique. Derrière ce terme technique se cache un état très particulier de la matière. Sous une pression et une température extrêmes, le CO₂ ne se comporte plus ni comme un gaz, ni comme un liquide, mais comme un fluide dense, capable à la fois de circuler facilement et de transporter efficacement la chaleur. Un fluide bien plus performant que la vapeur d'eau utilisée dans les centrales classiques.Le principe est simple : la chaleur fait tourner une turbine, qui produit de l'électricité. Mais avec le CO₂ supercritique, le rendement serait presque doublé, tandis que les installations deviennent plus compactes, plus sobres en matériaux et, surtout, sans émissions directes de gaz à effet de serre. Cette première mondiale a été réalisée dans une aciérie de Liupanshui, dans la province de Guizhou. La chaleur utilisée ne provient pas d'un combustible, mais des rejets thermiques de la production d'acier, habituellement perdus dans l'atmosphère. Le dispositif comprend deux unités de 15 mégawatts chacune. Et contrairement à ce que l'on pourrait croire, il ne s'agit pas de captage du CO₂ atmosphérique : le gaz est fourni par l'industrie, mis en circuit fermé, et n'est ni brûlé ni consommé.L'idée, pourtant, ne date pas d'hier. Dès la fin des années 1960, des ingénieurs italiens et américains imaginaient déjà des cycles thermodynamiques fondés sur ce fluide. Mais pendant des décennies, la technologie est restée bloquée par des limites très concrètes : matériaux incapables de résister, turbines inadaptées, coûts trop élevés. La recherche relance le concept dans les années 2000, avec l'essor des énergies propres… sans parvenir à dépasser l'expérimentation. Avec cette installation désormais reliée au réseau, Chine franchit un cap décisif. L'utilisation industrielle du CO₂ supercritique devient une réalité. Et les perspectives sont immenses : centrales nucléaires de nouvelle génération, unités énergétiques mobiles, voire applications spatiales. Reste maintenant la dernière étape, la plus délicate : passer de la démonstration technologique à l'industrialisation à grande échelle. Si elle réussit, ce fluide longtemps considéré comme une curiosité de laboratoire pourrait bien devenir un acteur clé de l'énergie de demain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La Chine inonde le monde de robots, ChatGPT devient conseiller shopping, Tesla teste la conduite autonome en France. L'IA bouleverse aussi le travail. Décryptage complet dans L'Hebdo.Envie de participer à l'aventure Frogans ? Investissez avant le 3 décembre !
durée : 00:37:00 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - À peine élue, Sanae Takaichi a provoqué l'ire de Pékin en raison de propos sur Taïwan. L'escalade verbale et militaire durant le mois de novembre 2025 a fini par se calmer, pourtant la relation entre les deux pays semble aujourd'hui contrariée. - réalisation : Vivian Lecuivre, Margot Page - invités : Philippe Pelletier géographe et professeur émérite à l'Université Lumière-Lyon 2, spécialiste du Japon. ; Jean-Yves Colin expert Asie du Nord au sein du think tank français Asia Centre.
durée : 00:58:27 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Comme chaque vendredi, une émission d'actualité en deux parties : retour de terrain avec Enguerrand Armanet qui rentre de Chine, puis table-ronde sur le Japon, où la nouvelle première ministre tient une position de fermeté face à la Chine. - réalisation : Vivian Lecuivre, Margot Page - invités : Enguerrand Armanet Journaliste au Figaro; Philippe Pelletier géographe et professeur émérite à l'Université Lumière-Lyon 2, spécialiste du Japon. ; Jean-Yves Colin expert Asie du Nord au sein du think tank français Asia Centre.
Nous sommes vers 1620, dans l'est de la Chine. Feng Menglon, un auteur prolifique et éditeur réputé, met en scène, dans un recueil de contes intitulé « Paroles éternelles pour éveiller le monde », la rencontre orageuse entre le sous-préfet Wang, décrit comme un fonctionnaire véreux, et Lu Nan, un riche excentrique tapi au cœur de son jardin. Un jardin décrit comme un lieu de rêve où poussent les fleurs les plus rares et où se tiennent des réunions amicales très généreusement arrosées. Ce petit paradis attire irrésistiblement le sous-préfet Wang, lui-même grand buveur. Celui-ci tente, à plusieurs reprises, de s'y faire inviter, mais se heurte à des échecs répétés. Lorsqu'il parvient enfin à entrer, il découvre le propriétaire des lieux ivre mort, et totalement incapable de lui réserver l'accueil respectueux auquel il estime avoir droit. Le sous-préfet Wang repart donc fou de rage. Il se précipite à la cour, lieu où se rend la justice, là où le fonctionnaire exerce son autorité. N'écoutant que sa haine, Wang accuse Lu Nan de meurtre, il le fait battre et enfermer pendant dix ans. Cette histoire reflète les relations complexes, difficiles que les lettrés pouvaient avoir entre eux dans la Chine Impériale. Ces lettrés parmi lesquels se recrutent les élites politiques, littéraires, artistiques et intellectuelles. Mais au-delà des ces relations interpersonnelles, le lettré est un homme qui navigue entre le monde rigide de l'administration et les univers de la poésie, de la peinture, de la spiritualité en lien avec la nature. Tentons une approche … Avec nous : Françoise Lauwaert, sinologue et anthropologue, membre du Centre de recherche sur l'Asie de L'Est (EAST – ULB). « Le lettré chinois, côté cour et côté jardin » ; publié par l'Académie royale de Belgique, coll. L'Académie en poche. Sujets traités : Lettré, Chine Impériale, rigueur, administrative, art,spirtualité, Feng Menglon, jardin, Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Hong Kong : l'incendie dans un complexe résidentiel progressivement maîtrisé;La Chine lance le vaisseau spatial Shenzhou-22;L'agence spatiale chinoise dévoile un plan pour stimuler la croissance commerciale et la coopération internationale;La Chine ouvre des plateformes de recherche sur la fusion alors que la coopération sino-européenne s'approfondit;La Chine construit sa première chaîne de production de batteries tout solide à haute capacité;La Chine lance un essai commercial de services d'Internet des Objets par satellite;Chine : les ventes au détail en ligne en hausse de 9,6% de janvier à octobre;Alibaba affine sa stratégie d'IA et dévoile son nouveau chatbot, Qwen Chat;Chine : lancement officiel de l'Alliance mondiale des Instituts Confucius axés sur l'agriculture;Un espace culturel multifonctionnel inauguré à Shanghai;Les bénéfices des entreprises industrielles chinoises majeures en hausse de 1,9% sur les dix premiers mois de l'année
Réunis à Brême en Allemagne, les 23 États membres de l'Agence spatiale européenne (ESA) doivent définir d'ici ce soir les priorités et le budget spatial du continent jusqu'en 2028. Dans un contexte de forte concurrence internationale et de retard technologique accumulé, l'Europe tente de préserver sa souveraineté face aux États-Unis, à la Chine. La statistique est saisissante et mérite d'être notée. Sur les 261 lancements de fusées réalisés dans le monde en 2024, l'Europe n'en compte que trois. Une faiblesse historique, qui contraste avec les 156 tirs américains et les 68 chinois. C'est dans ce contexte que les ministres de l'Espace se réunissent à Brême. L'ESA réclame 22 milliards d'euros pour la période 2026-2028, soit 5 milliards de plus que lors du cycle précédent, afin d'éviter un décrochage durable. Malgré cette hausse, le continent reste très en dessous des grandes puissances : l'Europe ne pèse que 10 % du financement spatial public mondial, loin derrière les États-Unis et la Chine. Pourtant, l'enjeu est crucial : sans satellites, pas de météo fiable, pas de GPS européen, pas d'Internet sécurisé, pas de gestion de crise. Pas de souveraineté, tout simplement. Un continent fragmenté face aux ambitions spatiales Si l'Europe veut redevenir une puissance spatiale, elle devra d'abord résoudre un problème politique : elle ne parle pas d'une seule voix. La France, longtemps locomotive du spatial européen grâce à Ariane, Kourou, Airbus ou Thalès, passe désormais au troisième rang des contributeurs derrière l'Allemagne et l'Italie. Berlin accélère, notamment dans le spatial militaire, tandis que Rome mise sur les mini-lanceurs et les constellations, profitant d'une base industrielle solide. Pourtant, les succès européens existent. Citons Copernicus, programme d'observation du climat; Galileo, le GPS européen ; IRIS², future constellation de connectivité sécurisée ou encore l'incontournable Ariane 6, le nouveau lanceur du continent. Mais contrairement aux États-Unis, où les acteurs privés sont devenus centraux, comme SpaceX, le spatial européen repose principalement sur de l'argent public. À lire aussiLa France peut-elle rattraper son retard dans le secteur spatial? L'Europe s'organise face à SpaceX et au NewSpace américain Face au succès de SpaceX et de tout l'écosystème du NewSpace américain, l'Europe tente de structurer son propre marché. L'ESA a sélectionné cinq mini-lanceurs pour développer une offre commerciale. En parallèle, la Commission européenne a présenté un « Space Act européen » destiné à harmoniser les règles, renforcer la compétitivité et aligner les stratégies nationales encore trop dispersées. Car malgré ses divisions, l'Europe conserve des atouts majeurs : une industrie performante, des ingénieurs de haut niveau et des centres spatiaux d'excellence. Reste désormais à transformer ces atouts en puissance collective. Encore faut-il parler d'une seule voix et se donner enfin les moyens de se faire entendre. À lire aussiL'Europe affine sa stratégie pour retrouver le chemin de l'espace
Selon le dernier rapport de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), l'Europe vieillit à un rythme tel que, sans action rapide, le niveau de vie pourrait reculer dans les prochaines décennies. Depuis plusieurs décennies, l'Europe vieillit. La pyramide des âges, autrefois en forme de triangle – beaucoup de jeunes à la base, peu de personnes âgées au sommet – ressemble aujourd'hui davantage à une amphore, voire à un tonneau. La population active, celle des 15-64 ans, se réduit tandis que la proportion de seniors augmente rapidement. Selon la BERD, la Banque européenne pour la reconstruction et le développement, si rien ne change, le vieillissement retirera environ 0,36 point de croissance par an d'ici à 2050 dans une large partie de l'Europe. Sur le temps long, l'impact est considérable : c'est un risque clair de baisse du niveau de vie. Dans une économie, ce sont les actifs qui produisent l'essentiel de la richesse et qui financent les retraites ainsi qu'une partie importante des dépenses publiques. Quand leur nombre diminue relativement au reste de la population, la richesse produite par habitant finit par stagner, voire reculer. À lire aussiLa démographie ou l'enjeu économique de ces dix prochaines années Pourquoi le vieillissement pèse sur le niveau de vie Trois raisons principales expliquent ce ralentissement. D'abord, la plus évidente : moins de travailleurs, c'est moins de production. La croissance est mécaniquement freinée. Ensuite, les entreprises investissent en fonction de la demande future. Si la population active stagne ou diminue, les entreprises sont moins incitées à construire de nouvelles usines et à acheter de nouveaux équipements. Résultat : la productivité est plus faible. Enfin, lorsque les jeunes générations se réduisent, c'est l'innovation elle-même qui s'essouffle : moins de chercheurs, moins d'entrepreneurs et moins d'inventeurs, avec, à terme, moins de croissance. L'Europe n'est pas le seul continent concerné, mais elle est l'un des plus exposés. La Chine, le Japon ou encore la Corée du Sud connaissent des dynamiques similaires. Au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, la fenêtre démographique se refermera d'ici à une dizaine d'années : ces pays vieilliront à leur tour. À l'inverse, l'Afrique subsaharienne, très jeune, pourrait profiter d'un volant de croissance, à condition de créer suffisamment d'emplois productifs. Quelles solutions pour atténuer les effets du vieillissement ? Plusieurs leviers existent, même s'ils ne suffiront pas chacun isolément. La première solution, souvent impopulaire, consiste à travailler plus longtemps. Reculer l'âge de la retraite permet d'augmenter le nombre d'actifs. Un autre levier majeur est d'améliorer la participation des femmes au marché du travail. Dans certains pays, elles restent sous-représentées. Réduire cet écart pourrait compenser une grande partie de la baisse démographique. La BERD évoque aussi l'immigration. Un sujet sensible, mais potentiellement efficace, est d'accueillir davantage de main-d'œuvre en âge de travailler. Cela permettrait de contrebalancer la diminution des actifs. Enfin, investir dans l'innovation demeure essentiel. L'Histoire montre que la technologie peut compenser une partie du manque de main-d'œuvre. Mais l'Europe reste en retard sur la Chine ou les États-Unis. Pour autant, prévient la BERD, aucune de ces solutions ne suffira seule. Le défi est immense et concerne un nombre croissant de pays. L'enjeu sera de combiner ces leviers pour limiter au maximum l'impact du vieillissement sur le niveau de vie des prochaines décennies.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Vous voulez réagir ? Appelez le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Vous voulez réagir ? Appelez le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ruth Elkrief dénonce le rejet de deux sondages de l'IFOP, sur l'islam et l'antisémitisme à l'université. Dans les deux cas, elle y voit une tentative d'obscurantisme qui revient à casser le thermomètre au lieu de guérir la fièvre. L'institut a porté plainte contre deux députés LFI, jugeant que leurs attaques publiques nuisaient à sa réputation et mettaient ses équipes en danger. La Chine est devenue un actionnaire majeur de Fnac Darty, enseigne emblématique du patrimoine français, via JD.com. Bercy suit de près la situation et impose des conditions strictes, dont l'interdiction d'augmenter sa participation au capital. Pascal Perri appelle à la vigilance, rappelant l'influence croissante de la Chine à travers Shein, l'automobile, le tourisme ou encore les terres rares. Condamné le 11 septembre 2025 à 27 ans et trois mois de prison pour avoir dirigé une organisation criminelle, Jair Bolsonaro a tenté de briser son bracelet électronique avec un fer à souder. Il affirme l'avoir fait par curiosité. Abnousse Shalmani estime qu'il mérite la prison, mais souligne que c'est la manière dont il a été condamné qui pose débat. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Journal en français facile du mardi 25 novembre 2025, 17 h 00 à Paris. ► EXERCICE Comprendre un extrait du journal | Worakls, un artiste du mix | niveau B1 (exercice + PDF)Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/CDND.A
Alors que le président américain Donald Trump a interrompu les négociations commerciales avec le Canada, le Premier ministre canadien, Mark Carney souhaite que son pays se rapproche de l'Inde et de la Chine. Pour quelles raisons ? Mark Carney, s'est engagé à doubler les échanges de son pays au cours de la prochaine décennie. Il a donc besoin de diversifier ses partenariats économiques. On a déjà observé un réchauffement des relations entre le chef de l'exécutif canadien et son homologue indien, Narendra Modi, en marge du récent G20 à Johannesburg, en Afrique du Sud. Renouer des liens avec la cinquième puissance mondiale Les deux dirigeants ont convenu de relancer les négociations en vue d'un accord commercial. Des discussions, au point mort depuis deux ans en raison de la crise diplomatique entre les deux pays suite à l'assassinat d'un leader sikh à Vancouver. Le Canada avait accusé les autorités indiennes d'être impliquées. Mais depuis les taxes Trump ont rebattu les cartes. « L'Inde est la cinquième économie mondiale, et c'est une grande opportunité pour les travailleurs et entreprises canadiens », a écrit Mark Carney sur la plateforme X lors du G20. De quelles opportunités parle-t-il ? Légumes, combustibles, pâte de bois et engrais partent du Canada vers l'Inde. Produits pharmaceutiques, machinerie, électronique, pierres précieuses, font le chemin inverse entre l'Inde et le Canada. Le commerce entre deux pays tourne actuellement à l'avantage du Canada grâce aux exportations de services. Ottawa souhaite aussi pérenniser l'approvisionnement de l'Inde en uranium. L'objectif est de doubler ses échanges bilatéraux avec New Dehli pour atteindre 50 milliards de dollars américains d'ici 2030. Choisir bien sa stratégie avec la Chine Pour compenser les conséquences de taxes Trump sur son économie, Ottawa veut aussi se rapprocher de la Chine. Mais d'abord il faudra mettre un terme à la guerre commerciale qui fait rage entre Ottawa et Pékin. Supprimer le droit de douane de 100 % sur les véhicules électriques chinois. Une mesure que le gouvernement fédéral examinerait actuellement. La Chine, quant à elle, devra lever les taxes imposées sur le canola, utilisé pour faire de l'huile, les fruits de mer et le porc canadiens. Des liens économiques qu'il faudra aussi étendre à la recherche et au développement, à la production industrielle et aux services. La Chine est déjà le deuxième partenaire commercial du Canada. Mais seulement 5% des exportations canadiennes partent vers la Chine, alors que près de 75% sont destinés aux États-Unis. Remplacer Washington ne sera donc pas simple. D'autant que des inquiétudes persistent par rapport à la Chine concernant les droits de l'homme et les risques de cyber ingérence. À lire aussiGuerre commerciale entre le Canada et les États-Unis: Mark Carney en quête d'alliés en Asie
Emmanuel Macron a indiqué qu'il réfléchit à une forme d'autorité qui décernerait, en quelque sorte, des brevets de bonne conduite aux médias. C'est normal qu'un président réfléchisse à la qualité démocratique, mais Ruth Elkrief pense que c'est une fausse bonne idée. On va vers une France sans budget, mais selon François Lenglet, un pays peut vivre sans budget. En Espagne, le budget 2023 va probablement être reconduit pour 2026. Finalement, toujours selon lui, un budget, c'est comme le vin, plus cela prend de l'âge, meilleur c'est. La Chine et le Japon sont à nouveau à un point d'incandescence. Par rapport à ses engagements et sa sécurité intérieure, Abnousse Shalmani pense que le Japon va forcément intervenir. Mais le Japon face à la Chine, cela ne donnera rien. Il faut que les Américains interviennent en même temps. Mais que fera Trump ? C'est un mystère. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Julie et Flo nous racontent leur incroyable voyage à vélo. Partis en 2023 de l'Aveyron, ils sont arrivés aujourd'hui jusqu'en Chine à vélo. Ils reviennent sur le déclic qui les a poussés à partir, la préparation d'un voyage sans date de retour, et les réalités d'une vie nomade au long cours.
Le parcours de Mingpo Cai est un bug dans la matrice. Originaire de l'une des régions les plus pauvres de Chine, il côtoie aujourd'hui les sommets de la finance mondiale. Son fonds d'investissement Cathay Capital gère plus de 5 milliards d'euros d'actifs et compte la moitié des sociétés du CAC 40 parmi ses partenaires. Alors que le monde est plongé dans une instabilité inédite, Mingpo les aide à construire des ponts avec la Chine, les États-Unis et le reste du globe. Dans cet épisode rocambolesque et fascinant Mingpo dévoile : Pourquoi il vient de lever 1 milliard consacré à l'IAComment différencier le cerveau, le cœur et la main et les utiliser à bon escientLes forces de la Chine et de son modèle “speed and scale”Son plan pour industrialiser la France avec des technologies du monde entierComment il maintient la performance moyenne de Cathay au dessus de 10%/anDécouvrez un homme brillant qui considère que la seule vraie réussite est celle qui est utile au monde entier. Une parole rare, et extrêmement lucide pour mieux comprendre les enjeux qui flottent actuellement au-dessus de nos têtes. Vous pouvez contacter Cathay Capital directement sur leur site web.Un coucou particulier à Valentine qui nous a aidé à rendre cet épisode possible.TIMELINE:00:00:00 : Grandir dans la campagne chinoise, sans électricité00:13:05 : “Si je suis utile à ce pays, il me laissera ma chance”00:22:40 : Mettre ses études en pause pour saisir l'opportunité d'une vie00:29:59 : Respecter ses concurrents et ne jamais chercher à les détruire00:45:07 : Les intérêts composés de la vie00:53:29 : “Si tu réussis sans résoudre de problème, quelle est ton utilité ?”01:03:28 : La mission de Cathay Capital01:20:05 : Les paradoxes du peuple chinois01:28:11 : Industrialiser la France avec les technologies du monde entier01:39:39 : Comment changer le regard des Européens sur la Chine01:50:29 : Construire des ponts entre les pays pour accélérer l'innovation01:57:43 : L'attachement de Mingpo avec la France02:05:45 : 1 milliard pour investir massivement dans l'IA02:16:02 : Les 3 cultures qui ont forgé l'identité de Mingpo02:27:49 : Être heureux c'est un choixLes anciens épisodes de GDIY mentionnés : #502 - Thomas Sammut - Préparateur Mental - Faut-il forcément souffrir pour réussir ?#433 - Pascal Rigo - Boulanger - Vendre ses boulangeries 100 millions et devenir le patron de la food de StarbucksNous avons parlé de :Cathay CapitalGroupe SEBL'acquisition de Supor par SEB en 2006Thierry de La Tour d'ArtaiseLe principe des intérêts composésDenis Barrier, cofondateur de Cathay Capital aux côtés de MingpoLe partenariat AfricInvest x CathayArtefactNablaLes recommandations de lecture :L'homme qui plantait des arbres - Jean GionoL'Alchimiste - Paulo CoelhoUn grand MERCI à nos sponsors : SquareSpace : squarespace.com/doitQonto: https://qonto.com/r/2i7tk9 Brevo: brevo.com/doit eToro: https://bit.ly/3GTSh0k Payfit: payfit.com Club Med : clubmed.frCuure : https://cuure.com/product-onelyVous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ?Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:54:22 - Le Grand Face-à-face - La Chine d'aujourd'hui a-t-elle tourné le dos à la Chine « traditionnelle » ? Débat avec Anne Cheng, professeure au Collège de France, titulaire de la chaire d'Histoire intellectuelle de la Chine depuis 2008, auteure de “Désorienter la Chine” (CNRS, Collection « Les Grandes Voix de la Recherche »). Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:54:22 - Le Grand Face-à-face - La Chine d'aujourd'hui a-t-elle tourné le dos à la Chine « traditionnelle » ? Débat avec Anne Cheng, professeure au Collège de France, titulaire de la chaire d'Histoire intellectuelle de la Chine depuis 2008, auteure de “Désorienter la Chine” (CNRS, Collection « Les Grandes Voix de la Recherche »). Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
A l'occasion de la COP 30, qui s'est tenue du 10 novembre au 21 novembre 2025, à Belém, au Brésil, un acteur inattendu a occupé le devant de la scène : la Chine. Alors que les États-Unis se retirent progressivement de l'action climatique et sont absents de cette édition, Pékin se présente comme un allié de poids dans la transition écologique. La Chine peut-elle vraiment peser sur l'avenir de la planète ? Pourquoi comparer la dynamique de la Chine à celle des États-Unis ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant, vous savez". Un podcast Bababam Originals écrit et réalisé par Magalie Bertet. À écouter ensuite : Faut-il arrêter de faire des enfants pour sauver la planète ? Faut-il devenir végétarien pour sauver la planète ? Les voitures électriques sont-elles vraiment plus écologiques ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
“La Chine veut nous arnaquer”. Depuis son retour à la Maison-Blanche, et dans la continuité de son premier mandat, Donald Trump est déterminé à s'attaquer à son ennemi numéro un : Pékin. Bien sûr, les hausses de droits de douane visant l'économie chinoise se multiplient, mais ce n'est pas le seul volet qui oppose les deux pays. Alors comment la Chine a-t-elle préparé sa riposte ? La réponse dans cette série, avec la spécialiste Alice Ekman, directrice de la recherche de l'Institut des études de sécurité de l'Union européenne. Dans ce troisième et dernier épisode, on s'intéresse à Taiwan : l'île pourrait voir s'affronter les deux puissances, mais est-ce la priorité de Donald Trump ? Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe :Présentation et écriture : Charlotte Baris Montage : Emeline DulioRéalisation: Jules Krot Crédits : HuffPost Entertainment, Arte, France CultureMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Annonce politique : Le sponsor est Instagram, qui fait partie de Meta Platforms Ireland Ltd. Cette annonce est en lien avec les réflexions des États membres de l'UE en faveur d'une majorité numérique commune pour accéder aux services en ligne.Consulter toutes les informations relatives à la transparence sur https://eur-lex.europa.eu/eli/reg/2024/900/oj/eng Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
“La Chine veut nous arnaquer”. Depuis son retour à la Maison-Blanche, et dans la continuité de son premier mandat, Donald Trump est déterminé à s'attaquer à son ennemi numéro un : Pékin. Bien sûr, les hausses de droits de douane visant l'économie chinoise se multiplient, mais ce n'est pas le seul volet qui oppose les deux pays. Alors comment la Chine a-t-elle préparé sa riposte ? La réponse dans cette série, avec la spécialiste Alice Ekman, directrice de la recherche de l'Institut des études de sécurité de l'Union européenne. Dans ce deuxième épisode, on se penche sur les nouvelles relations entre la Chine et la Russie, mais aussi avec l'Europe. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe :Présentation et écriture : Charlotte Baris Montage : Emeline DulioRéalisation: Jules Krot Crédits : HuffPost Entertainment, Arte, France Culture, Times News, CNA, France 24 Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Annonce politique : Le sponsor est Instagram, qui fait partie de Meta Platforms Ireland Ltd. Cette annonce est en lien avec les réflexions des États membres de l'UE en faveur d'une majorité numérique commune pour accéder aux services en ligne.Consulter toutes les informations relatives à la transparence sur https://eur-lex.europa.eu/eli/reg/2024/900/oj/eng Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La Chine s'attaque à la pollution du Yangtsé, l'un des fleuves les plus pollués au monde. Avec des mesures ambitieuses, Pékin veut restaurer ce cours d'eau vital pour des millions de Chinois. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et Raphaël Balenieri évoquent les enjeux autour de ce fleuve.« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en novembre 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invité : Raphaël Balenieri (correspondant des Echos en Chine). Réalisation : Willy Ganne. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : AP/Sipa. Sons : AFP, France 2, BF1TV, Extrait « Les bronzés ».Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastoryAnnonce politique : Le sponsor est Instagram, qui fait partie de Meta Platforms Ireland Ltd. Cette annonce est en lien avec les réflexions des États membres de l'UE en faveur d'une majorité numérique commune pour accéder aux services en ligne.Consulter toutes les informations relatives à la transparence sur https://eur-lex.europa.eu/eli/reg/2024/900/oj/eng Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ce mardi 18 novembre, la dépendance économique de l'Allemagne à la Chine, a été abordée par Annalisa Cappellini dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Le débat autour du rôle d'Alibaba dans les activités de l'armée chinoise a ressurgi après la publication d'un article du Financial Times. Le quotidien britannique affirmait que le géant du commerce en ligne fournirait un appui technique à certaines opérations menées par Pékin contre des cibles américaines. Pour étayer ces accusations, le journal s'appuyait sur une note interne de la Maison-Blanche, bien que ses auteurs reconnaissent ne pas avoir pu vérifier ces éléments de manière indépendante.Selon les allégations relayées dans l'article, Alibaba transmettrait au gouvernement et à l'armée des informations sensibles issues de sa plateforme, notamment des adresses IP et des historiques d'achat d'utilisateurs. Une telle coopération, si elle était avérée, représenterait selon Washington une potentielle menace pour la sécurité nationale américaine. Mais tout reste au stade des affirmations non corroborées et ne repose sur aucune preuve publique.Alibaba a immédiatement contesté ces accusations. Un porte-parole du groupe, interrogé par l'AFP, a qualifié l'ensemble des éléments rapportés de « complètement faux ». L'entreprise estime même que cette affaire serait instrumentalisée dans le cadre d'une campagne de communication hostile, visant à fragiliser le rapprochement commercial engagé récemment entre Donald Trump et Xi Jinping, après plusieurs mois de tensions et de surenchère tarifaire.La Chine a également réagi. Un représentant de l'ambassade chinoise à Washington a rappelé sur le réseau X que Pékin n'avait jamais exigé, ni n'exigerait, que des entreprises collectent ou transmettent des données à l'étranger en contournant les lois locales. Les autorités chinoises affirment régulièrement qu'elles ne forcent pas les entreprises privées, y compris les géants technologiques, à coopérer illégalement avec l'État.Ce climat tendu intervient alors que la rivalité technologique entre les États-Unis et la Chine atteint un niveau inédit. Les deux pays se disputent la domination dans des secteurs stratégiques comme les semi-conducteurs, le cloud et surtout l'intelligence artificielle. Le même jour, la start-up américaine Anthropic a indiqué avoir contré une tentative de cyberespionnage conduite en grande partie par une IA, opération attribuée à un groupe baptisé GTG-1002 et supposé lié à l'appareil étatique chinois.Interrogé sur ces accusations de cyberespionnage et sur le rôle potentiel d'Alibaba, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères a déclaré ne pas avoir connaissance de ce dossier. Il a rappelé que Pékin se dit engagé dans la lutte contre les activités de piratage informatique.À ce stade, ni preuve publique ni confirmation officielle ne viennent étayer les affirmations initiales du Financial Times. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
“La Chine veut nous arnaquer”. Depuis son retour à la Maison-Blanche, et dans la continuité de son premier mandat, Donald Trump est déterminé à s'attaquer à son ennemi numéro un : Pékin. Bien sûr, les hausses de droits de douane visant l'économie chinoise se multiplient, mais ce n'est pas le seul volet qui oppose les deux pays. Alors comment la Chine a-t-elle préparé sa riposte ? La réponse dans cette série, avec la spécialiste Alice Ekman, directrice de la recherche de l'Institut des études de sécurité de l'Union européenne. Dans ce premier épisode, on s'intéresse à la guerre commerciale qui s'intensifie. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe :Présentation, écriture et montage: Charlotte Baris Réalisation: Sébastien Salis Crédits : HuffPost Entertainment, Arte, France Culture, Arte, CNN, AP, CP24, Euronews Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Annonce politique : Le sponsor est Instagram, qui fait partie de Meta Platforms Ireland Ltd. Cette annonce est en lien avec les réflexions des États membres de l'UE en faveur d'une majorité numérique commune pour accéder aux services en ligne.Consulter toutes les informations relatives à la transparence sur https://eur-lex.europa.eu/eli/reg/2024/900/oj/eng Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Une conférence sur la souveraineté technologique en Europe se tiendra ce mardi (18 novembre 2025) à Berlin, en présence du chancelier allemand Friedrich Merz et du président français Emmanuel Macron. En matière d'innovation, l'Union européenne est aujourd'hui largement devancée par les États-Unis et la Chine, alors qu'a lieu actuellement le virage de l'intelligence artificielle. L'UE peut-elle rattraper son retard ? Comment innover tout en préservant la spécificité culturelle européenne ? La souveraineté numérique est-elle un objectif ? Pour en débattre - Philippe Latombe, député Modem de Vendée, auteur et rapporteur en 2021 du rapport «Bâtir et promouvoir une souveraineté numérique nationale et européenne» - Julien Pillot, économiste, enseignant-chercheur à l'Inseec Grande École, spécialiste de l'économie et de la régulation du numérique - Nathalie Devillier, experte en droit de l'intelligence artificielle à l'Unesco et à la Commission européenne.
Une conférence sur la souveraineté technologique en Europe se tiendra ce mardi (18 novembre 2025) à Berlin, en présence du chancelier allemand Friedrich Merz et du président français Emmanuel Macron. En matière d'innovation, l'Union européenne est aujourd'hui largement devancée par les États-Unis et la Chine, alors qu'a lieu actuellement le virage de l'intelligence artificielle. L'UE peut-elle rattraper son retard ? Comment innover tout en préservant la spécificité culturelle européenne ? La souveraineté numérique est-elle un objectif ? Pour en débattre - Philippe Latombe, député Modem de Vendée, auteur et rapporteur en 2021 du rapport «Bâtir et promouvoir une souveraineté numérique nationale et européenne» - Julien Pillot, économiste, enseignant-chercheur à l'Inseec Grande École, spécialiste de l'économie et de la régulation du numérique - Nathalie Devillier, experte en droit de l'intelligence artificielle à l'Unesco et à la Commission européenne.
Aujourd'hui dans Silicon Carne, on parle de :
durée : 00:03:35 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Pour avoir dit qu'une attaque chinoise contre Taiwan serait une « menace existentielle » pour Tokyo, la première ministre japonaise Sanae Takaichi fait l'objet d'une violence campagne hostile en Chine. La question de Taiwan reste explosive, surtout avec les ambiguïtés de Donald Trump. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
durée : 00:03:35 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Pour avoir dit qu'une attaque chinoise contre Taiwan serait une « menace existentielle » pour Tokyo, la première ministre japonaise Sanae Takaichi fait l'objet d'une violence campagne hostile en Chine. La question de Taiwan reste explosive, surtout avec les ambiguïtés de Donald Trump. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Nouveaux pilotes, un brin déjantés, à bord de la Libre Antenne sur RMC ! Jean-Christophe Drouet et Julien Cazarre prennent le relais. Après les grands matchs, quand la lumière reste allumée pour les vrais passionnés, place à la Libre Antenne : un espace à part, entre passion, humour et dérision, débats enflammés, franc-parler et second degré. Un rendez-vous nocturne à la Cazarre, où l'on parle foot bien sûr, mais aussi mauvaise foi, vannes, imitations et grands moments de radio imprévisibles !
La Chine s'est servie des terres rares pour contrer la guerre commerciale de Donald Trump alors que l'Europe industrielle et militaire a pris conscience de sa dépendance.Car Pékin domine le marché des terres rares, cruciales pour les technologies modernes, en contrôlant 60 % de l'extraction et 90 % du raffinage mondial. Les États-Unis et l'Europe intensifient leurs efforts pour réduire leur dépendance, notamment via des projets industriels et des lois sur les matériaux critiques. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et Etienne Goetz retracent les soubresauts de ce marché essentiel pour la technologie mondiale.« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en novembre 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invités : Etienne Goetz (journaliste au service Marchés des Echos) et Stéphane Crosnier (Managing director chez Inverto, groupe BCG). Réalisation : Willy Ganne. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : David Becker/Zuma/Sipa. Sons : BFM Business, LCP, TV5 Monde, RTBF Info.Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastoryAnnonce politique : Le sponsor est Instagram, qui fait partie de Meta Platforms Ireland Ltd. Cette annonce est en lien avec les réflexions des États membres de l'UE en faveur d'une majorité numérique commune pour accéder aux services en ligne.Consulter toutes les informations relatives à la transparence sur https://eur-lex.europa.eu/eli/reg/2024/900/oj/eng Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
Ce mercredi 12 novembre, les opérations d'espionnage industriel menées actuellement par la Chine, qui ciblent surtout les entreprises françaises de défense, ont été abordées par Annalisa Cappellini dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:13:38 - L'invité d'un jour dans le monde - La COP 30 s'ouvre ce lundi à Belém, aux portes de l'Amazonie. Les Etats-Unis manquent à l'appel. La Chine apparaît aujourd'hui comme le leader de la transition écologique mondiale et se place comme le nouvel acteur de cette réunion au sommet. On en parle avec Sébastien Treyer Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:36:38 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - La COP 30 s'ouvre ce lundi à Belém, aux portes de l'Amazonie. Les Etats-Unis sont absents. Par contraste, La Chine apparaît aujourd'hui comme le leader de la transition écologique mondiale et se place comme le nouvel acteur de cette réunion au sommet Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:36:38 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - La COP 30 s'ouvre ce lundi à Belém, aux portes de l'Amazonie. Les Etats-Unis sont absents. Par contraste, La Chine apparaît aujourd'hui comme le leader de la transition écologique mondiale et se place comme le nouvel acteur de cette réunion au sommet Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:04:48 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Une des plus puissantes factions de Birmanie a accepté la semaine dernière de se retirer d'une région connue pour ses rubis, commerce très lucratif. Un accord négocié par la Chine qui cherche à assurer ses intérêts économiques et sécuritaires et encourage à des élections législatives en Birmanie. - invités : Olivier Guillard Chercheur-associé à l'Institut d'études de géopolitique appliquée, directeur de l'information chez Crisis24 et chargé de cours à l'EDHEC