Podcasts about la chine

  • 810PODCASTS
  • 4,401EPISODES
  • 21mAVG DURATION
  • 1DAILY NEW EPISODE
  • Jun 17, 2025LATEST

POPULARITY

20172018201920202021202220232024

Categories



Best podcasts about la chine

Show all podcasts related to la chine

Latest podcast episodes about la chine

Choses à Savoir SCIENCES
Pourquoi la Chine construit-elle un superordinateur dans l'espace ?

Choses à Savoir SCIENCES

Play Episode Listen Later Jun 17, 2025 2:13


Le 14 mai 2025, la Chine a lancé depuis le centre spatial de Jiuquan les 12 premiers satellites d'un projet ambitieux : la création du premier superordinateur spatial au monde. Baptisée « Three-Body Computing Constellation », cette initiative vise à déployer une constellation de 2 800 satellites capables de traiter des données en orbite grâce à l'intelligence artificielle, sans dépendre des infrastructures terrestres. Une puissance de calcul inédite en orbiteChaque satellite est équipé d'un modèle d'IA de 8 milliards de paramètres, capable de réaliser jusqu'à 744 tera-opérations par seconde (TOPS). Ensemble, les 12 premiers satellites atteignent une capacité combinée de 5 péta-opérations par seconde (POPS), avec l'objectif d'atteindre 1 000 POPS une fois la constellation complète. Ces satellites communiquent entre eux via des liaisons laser à haut débit (jusqu'à 100 Gbps) et partagent 30 téraoctets de stockage. Ils sont également équipés de capteurs scientifiques, comme un polarimètre à rayons X pour détecter des phénomènes cosmiques tels que les sursauts gamma.Réduire la dépendance aux infrastructures terrestresTraditionnellement, les satellites collectent des données qu'ils transmettent ensuite aux stations au sol pour traitement. Cependant, cette méthode présente des limitations, notamment en termes de bande passante et de disponibilité des stations. En traitant les données directement en orbite, la constellation chinoise vise à surmonter ces obstacles, permettant une analyse en temps réel et réduisant la charge sur les infrastructures terrestres. Avantages énergétiques et environnementauxL'environnement spatial offre des conditions idéales pour les centres de données : une énergie solaire abondante et un vide spatial permettant une dissipation efficace de la chaleur. Cela pourrait réduire la consommation énergétique et l'empreinte carbone associées aux centres de données terrestres, qui sont de plus en plus sollicités par les applications d'IA. Une avancée stratégique majeureCe projet positionne la Chine à l'avant-garde de l'informatique spatiale, un domaine encore émergent. Alors que les États-Unis et l'Europe explorent également des solutions de calcul en orbite, la Chine semble prendre une longueur d'avance avec cette initiative à grande échelle. Cette avancée pourrait avoir des implications significatives dans les domaines économique, scientifique et militaire. En résumé, la Chine investit massivement dans l'informatique spatiale pour renforcer son autonomie technologique, accélérer le traitement des données et réduire son impact environnemental. Ce superordinateur orbital pourrait bien redéfinir les standards de l'informatique mondiale. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Chronique des Matières Premières
Le bois contreplaqué nouveau terrain de crispation entre la Chine et l'Europe

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Jun 15, 2025 2:01


L'Union européenne décide d'imposer des droits provisoires sur le contreplaqué chinois. La décision a pris effet, en fin de semaine dernière. L'UE répond avec cette mesure à une plainte déposée par un regroupement de producteurs européens.  Derrière le groupement baptisé Greenwood, on retrouve des industriels installés dans plusieurs pays européens et qui dénoncent une concurrence déloyale de la part de la Chine. Leur plainte déposée le 27 août dernier a été jugée suffisamment étayée aux yeux de la Commission européenne qui a ouvert une enquête anti-dumping le 11 octobre. Après s'être penchée sur le dossier pendant sept mois, la Commission vient décider de taxer à 62% toutes les entreprises chinoises qui exportent du contreplaqué de feuillus en Europe, à l'exception de l'une d'elle taxée seulement à 25%. Ces droits s'appliquent essentiellement sur les contreplaqués de peuplier, de hêtre et de bouleau. « Préjudice important » selon l'UE La Commission européenne dit avoir constaté qu'il y avait « un préjudice important », tant sur les prix que sur les volumes, entre le 1er juillet 2023 et le 30 juin 2024, la période étudiée.  La Chine a de fait comblé en partie le vide laissé par les exportations russes après leur interdiction en Europe, mais en raison des prix cassés pratiqués par les entreprises chinoises, ces sanctions n'ont pas profité aux producteurs européens. À titre d'exemple, un contreplaqué de peuplier basique, produit en France, est vendu autour de 1 000 euros le m3, celui qui est proposé par la Chine est à 300, voire 350 euros, fret compris. La Commission européenne estime dans son enquête qu'à ce niveau de prix, la rentabilité de l'industrie du contreplaqué de l'Union n'est plus assurée Les fabricants européens veulent des droits plus élevés Les industriels regroupés au sein de Greenwood souhaitent que ces taxes provisoires soient prolongées et à un niveau plus élevé, seule condition pour égaliser véritablement les règles du jeu, disent-ils, rappelant qu'ils sont soumis à des normes environnementales et sociales beaucoup plus strictes que celles en vigueur en Chine et qu'ils ont des coûts de production aussi nettement plus élevés.  Mais un autre lobby est très inquiet de voir l'UE se positionner sur le sujet : c'est celui des importateurs, et des vendeurs de bois regroupés au sein de la Plywood Trade Interest Alliance : ils craignent des augmentations de prix, voire une pénurie de contreplaqué. À ce stade, la Commission a tranché, l'incidence des taxes sera limitée pour les utilisateurs « au regard des effets positifs » attendus pour l'industrie européenne du contreplaqué.  Dans tous les cas, les mesures européennes seront probablement vite confrontées à leur contournement, explique Emmanuel Groutel, spécialiste des flux internationaux de bois et co-auteur du rapport CyclOpe sur les matières premières. Il ne serait pas étonnant, explique-t-il, de voir la Chine fabriquer demain plus de contreplaqué de résineux à vendre en Europe, du contreplaqué qui n'a pas le même code douanier que celui de feuillus et qui peut échapper aux nouvelles taxes.

Les actus du jour - Hugo Décrypte
Tout va changer, Trump annonce un pacte avec la Chine

Les actus du jour - Hugo Décrypte

Play Episode Listen Later Jun 12, 2025 11:31


Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.

Info éco
Droits de douane et terres rares : les Etats-Unis et la Chine annoncent un accord

Info éco

Play Episode Listen Later Jun 12, 2025 2:42


Les hauts-responsables américains et chinois sont parvenus à accord-cadre pour désamorcer le conflit commercial qui oppose Washington et Pékin, et résoudre la question des restrictions imposées par la Chine sur les exportations de terres rares.

Tout savoir en 24 minutes
Los Angeles: «C'est devenu surtout une joute politique», dit Mario Dumont

Tout savoir en 24 minutes

Play Episode Listen Later Jun 11, 2025 18:33


François Legault étudie la possibilité de repousser à plus tard l’objectif de 2030. Nuit plus calme à Los Angeles à cause du couvre-feu. 3e journée de grève à la STM. Record de fréquentation sur les pistes cyclables à cause de la grève. Une mère et son fils se noient à Lachine. Début d'un deuil national de 3 jours en Autriche au lendemain de la fusillade dans une école secondaire. Ginette Reno reçoit les grands honneurs. Tout savoir en quelques minutes avec Audrey Gagnon, Isabelle Perron et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Le retour de Mario Dumont
Grève à la STM: risques de grèves multiples dès lundi!

Le retour de Mario Dumont

Play Episode Listen Later Jun 11, 2025 18:33


François Legault étudie la possibilité de repousser à plus tard l’objectif de 2030. Nuit plus calme à Los Angeles à cause du couvre-feu. 3e journée de grève à la STM. Record de fréquentation sur les pistes cyclables à cause de la grève. Une mère et son fils se noient à Lachine. Début d'un deuil national de 3 jours en Autriche au lendemain de la fusillade dans une école secondaire. Ginette Reno reçoit les grands honneurs. Tout savoir en quelques minutes avec Audrey Gagnon, Isabelle Perron et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Dutrizac de 6 à 9
Poignardé en pleine tête par un récidiviste violent 

Dutrizac de 6 à 9

Play Episode Listen Later Jun 11, 2025 10:54


Des militants écologistes ont vandalisé l’entrée du Casino de Montréal pour dénoncer le capitalisme destructeur. Un récidiviste violent a été condamné à cinq ans de prison pour avoir poignardé un inconnu à la tête, un geste capté sur vidéo.Une mère et son jeune fils ont perdu la vie par noyade dans une piscine résidentielle à Lachine.Discussion faits divers avec Maxime Deland, journaliste à l’Agence QMI. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne Youtube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Le retour de Mario Dumont
«Bonne nouvelle pour l'économie mondiale»: les négos entre la Chine et les États-Unis avancent !

Le retour de Mario Dumont

Play Episode Listen Later Jun 11, 2025 7:07


Négociations entre la Chine et les États-Unis : on s’entend sur un cadre général. Les tarifs douaniers resteront en place jusqu’à l’appel. Joute verbale entre Musk et Trump: Elon s’excuse. Les restrictions budgétaires se font sentir dans le réseau des cégeps. Tour de table entre Isabelle Perron, Audrey Gagnon et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

La Martingale
La future crise : alerte et stratégie - Allo La Martingale #13

La Martingale

Play Episode Listen Later Jun 10, 2025 76:37


Émission du 03/06/2025 présentée par Amaury de Tonquédec avec Delphine Di Pizio-Tiger, Directrice Générale d'Indosuez Gestion et Alain Pitous, Consultant Stratégie et ESG.Vos questions en live :Comment commencer à investir à 50 ans ? Comment investir à horizon 15 ans ? Qu'est ce qui peut monter en bourse dans les 6 à 12 prochains mois ? Est-ce que Trump est vraiment une bonne chose pour les marchés financiers, doit-on investir sur la bourse américaine pour les 3 prochaines années ? Le dollar baisse : quid du risque de change quand on investit ? Comment éviter de perdre de l'argent, voire en gagner !? La Chine : stop ou encore ? Quelle sera la prochaine crise et comment l'anticiper ?

investir.ch
La Chine, l'inflation, Trump et l'interprétation qu'on en fait – 10 juin 2025

investir.ch

Play Episode Listen Later Jun 10, 2025 15:27


Après un week-end de trois jours c'est toujours un peu l'instant de la réflexion. Surtout quand on sait que le reste du monde était plus ou moins ouvert, on a un peu l'impression d'avoir raté un truc. Pourtant les marchés américains et européens ont continué à vivre sans nous. Ce qui du coup, nous permet … Continued

Chronique des Matières Premières
Comment la Chine se prépare à exploiter les ressources minières océaniques

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Jun 10, 2025 1:57


Le fond des océans est pour l'instant vierge de toute exploitation minière, mais cela ne veut pas dire qu'il n'y a pas d'opérateurs miniers intéressés, bien au contraire. Les ambitions se manifestent également au niveau des États. On connaît celles des États-Unis qui tentent de contourner les conventions internationales pour accélérer l'exploitation des ressources sous-marines. La Chine fait moins parler d'elle, mais son intérêt ne date pas d'hier. Les ambitions chinoises ne datent pas d'hier, « le pays a même longtemps été un des plus favorables à l'exploitation minière des fonds marins sans pour autant pousser pour qu'une industrie minière voie le jour rapidement », explique Anne-Sophie Roux, activiste pour l'océan et conseillère en politiques maritimes. En 2001, l'Association chinoise dédiée aux ressources minérales océaniques (COMRA) a ainsi signé un contrat avec l'Agence internationale des fonds marins (AIFM) pour l'exploration de nodules polymétalliques. C'est-à-dire de gros galets de roches riches en métaux comme le manganèse, le fer, le cuivre, ou encore le cobalt.Aujourd'hui, la Chine détient 5 des 22 contrats d'explorations délivrés par l'AIFM. Des licences portées par plusieurs entreprises - China Minmetals, China Ocean Mineral Resources, Beijing Pioneer hi-Tech Development Corporation. Pékin a aussi signé un accord avec les îles Cook, en février 2025, pour plusieurs licences d'exploration dans les eaux territoriales de l'archipel et travaille également à un rapprochement avec les Kiribati.Le défi de la technologieDe l'avis des experts, il faudrait aux entreprises chinoises probablement encore quelques années pour être opérationnelles. Rien d'étonnant à cela : développer des technologies, et des matériaux capables de résister à la pression qui règne en profondeur et à l'hostilité du milieu, est un défi pour la plupart des sociétés, et « un vrai gouffre financier » précise Anne-Sophie Roux.Il y a un an, un prototype de robot chinois capable d'extraire des minerais (Pioneer II) a réussi un test à plus de 4 000 m de profondeur. Un autre test pour collecter des nodules polymétalliques à plus de 5 000 m de fond est annoncé pour les prochains mois.Enjeu géopolitique La Chine n'a pas l'urgence des États-Unis ou de l'Europe : elle a une longueur d'avance en terme d'approvisionnement en minerais et métaux, et pourrait craindre qu'une exploitation sous-marine à grande échelle fasse baisser les cours. Le pays a jusque-là préféré jouer la carte du droit et du multilatéralisme en soutenant l'élaboration d'un code minier international, par l'AIFM, pour l'exploitation dans les eaux internationales. Mais le décret signé par Donald Trump autorisant l'exploitation dans les eaux territoriales américaines et internationales pourrait changer la donne.La Chine a été le premier pays à protester contre ce décret, mais si l'exploitation des fonds marins devait finalement commencer, en violation du droit international, interdirait-elle aux entreprises chinoises d'y aller aussi ? « Tous les scénarios sont envisageables » selon Anne-Sophie Roux. Les fonds marins sont vus aujourd'hui comme une ligne de front dans la concurrence que se livrent Pékin et Washington. « Ils sont désormais au cœur de la compétition stratégique qui se joue dans le Pacifique », écrit l'Australian strategic policy Institute.À lire aussiAux îles Cook, un accord avec la Chine déclenche la colère de la Nouvelle-Zélande

MorningBull
Les chiffres sont bidons ? Tant mieux, les marchés adorent ! | Morningbull

MorningBull

Play Episode Listen Later Jun 10, 2025 13:38


De ce monde merveilleux où les chiffres de l'emploi s'inventent, où l'inflation est toujours "attendue pour le mois prochain", et où Trump joue avec des allumettes pendant que Wall Street fait la fête.

7 milliards de voisins
Les petits plaisirs de la sieste

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Jun 9, 2025 48:30


Préconisée pour les enfants et les personnes âgées, la sieste a parfois mauvaise réputation pour ceux qui ont la malchance d'être entre les deux âges. Baisse de la productivité ou tout simplement perte de temps, nos sociétés éprises de performance ont tendance à regarder les « siesteurs » d'un mauvais œil, en particulier dans le monde du travail. Mais que les adeptes du petit somme se rassurent, la sieste a aussi ses défenseurs. C'est même une tradition dans certains pays comme en Espagne ou en Italie pour supporter les heures chaudes de l'après-midi. La Chine en a fait un droit constitutionnel. De nombreuses personnalités en ont fait l'éloge, on peut citer le peintre Léonard de Vinci, le physicien Albert Einstein ou l'ancien président français Jacques Chirac, tous les trois accros à la micro-sieste. Preuve que la sieste n'empêche ni la créativité, ni les carrières politiques. Sans nourrir forcément les plus grandes ambitions, pourquoi s'adonner aux petits plaisirs de la sieste ? Comment profiter de sa sieste sans passer pour un paresseux ? Avec : Sébastien Spitzer,écrivain et essayiste, enseignant à Sciences Po, auteur de Petite philosophie de la sieste (Édition la Martinière, 2025) Nicolas Goarant, expert sommeil de la Fondation Jean Jaurès et auteur du livre Le sommeil malmené (L'aube, 2020)Un nouvel épisode de notre série Le succès des repats réalisée par Charlie Dupiot. Le portrait de Vanessa Arago, la chimiste des eaux gabonaises.Ils et elles sont originaires d'Afrique centrale et ont décidé de rentrer chez eux pour contribuer au développement de leur pays... C'est le moment du « Succès des Repats » ! Vanessa Arago est revenue au Gabon il y a 10 ans. Avec un père ingénieur en pétrochimie, elle baigne dans la chimie depuis toute petite. En 2018, elle a lancé son laboratoire, appelé « Omilab », à Libreville. Notre reporter Charlie Dupiot l'a rencontrée sur place, alors que Vanessa Arago et son équipe s'apprêtent à mener une analyse.Programmation musicale : ► Cabossé – Pat Kalla et le Super Mojo ► Umuwuze – Code Sangala

7 milliards de voisins
Les petits plaisirs de la sieste

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Jun 9, 2025 48:30


Préconisée pour les enfants et les personnes âgées, la sieste a parfois mauvaise réputation pour ceux qui ont la malchance d'être entre les deux âges. Baisse de la productivité ou tout simplement perte de temps, nos sociétés éprises de performance ont tendance à regarder les « siesteurs » d'un mauvais œil, en particulier dans le monde du travail. Mais que les adeptes du petit somme se rassurent, la sieste a aussi ses défenseurs. C'est même une tradition dans certains pays comme en Espagne ou en Italie pour supporter les heures chaudes de l'après-midi. La Chine en a fait un droit constitutionnel. De nombreuses personnalités en ont fait l'éloge, on peut citer le peintre Léonard de Vinci, le physicien Albert Einstein ou l'ancien président français Jacques Chirac, tous les trois accros à la micro-sieste. Preuve que la sieste n'empêche ni la créativité ni les carrières politiques. Sans nourrir forcément les plus grandes ambitions, pourquoi s'adonner aux petits plaisirs de la sieste ? Comment profiter de sa sieste sans passer pour un paresseux ? Avec : Sébastien Spitzer, écrivain et essayiste, enseignant à Sciences Po, auteur de Petite philosophie de la sieste (Édition la Martinière, 2025) Nicolas Goarant, expert sommeil de la Fondation Jean Jaurès et auteur du livre Le sommeil malmené (L'aube, 2020). Un nouvel épisode de notre série Le succès des repats réalisée par Charlie Dupiot. Le portrait de Vanessa Arago, la chimiste des eaux gabonaises.Ils et elles sont originaires d'Afrique centrale et ont décidé de rentrer chez eux pour contribuer au développement de leur pays... C'est le moment du « Succès des Repats » ! Vanessa Arago est revenue au Gabon, il y a 10 ans. Avec un père ingénieur en pétrochimie, elle baigne dans la chimie depuis toute petite. En 2018, elle a lancé son laboratoire, appelé « Omilab », à Libreville. Notre reporter Charlie Dupiot l'a rencontrée sur place, alors que Vanessa Arago et son équipe s'apprêtent à mener une analyse.Programmation musicale : ► Cabossé – Pat Kalla et le Super Mojo ► Umuwuze – Code Sangala.

21 Shuttle
Indonesia Open : Gicquel/Delrue remportent le tournoi et écrivent l'histoire du badminton français !

21 Shuttle

Play Episode Listen Later Jun 9, 2025 77:46


Au bord de l'élimination au premier tour, Thom Gicquel et Delphine Delrue ont finalement remporté cet Indonesia Open 2025, devenant ainsi les premiers Français à s'imposer sur un Super 1000. An Se-young et Kim/Seo ont également été mis en difficulté avant de remporter le titre, tandis qu'Anders Antonsen a surpris Shi Yuqi en demie et a mis fin à la belle semaine de Chou Tien Chen en finale. La Chine se console avec la victoire étriquée de la paire Liu/Tan en double dames. Chapitres :0:00 - Introduction et double mixte25:31 - Simple hommes42:26 - Simple dames51:02 - Double hommes1:07:40 - Double dames1:15:02 - Conclusion Où nous retrouver : https://linktr.ee/21shuttleRejoindre notre serveur Discord : https://discord.gg/fKmkvQ2RmQ Crédit photo : Sylvain Nalet

Harold's Old Time Radio
Sergeant Preston 51-06-16 Ep0885 Ghost Of Louie Lachine

Harold's Old Time Radio

Play Episode Listen Later Jun 6, 2025 29:45


Sergeant Preston 51-06-16 Ep0885 Ghost Of Louie Lachine

The Parental Compass
Ep. 149 Internet Safety for Tweens (Guests: Nathan LaChine & Karina StarkHart)

The Parental Compass

Play Episode Listen Later Jun 4, 2025 19:02


Community Educator Nathan LaChine and Therapist Karina StarkHart discuss their collaborative workbook, 'Internet Safety with Olivia and Friends,' which aims to educate preteens and their parents about online safety. They highlight the importance of proactive conversations, mutual learning, and building a relationship with your child rooted in support.    

The Parental Compass
[Video] Ep. 149 Internet Safety for Tweens (Guests: Nathan LaChine & Karina StarkHart)

The Parental Compass

Play Episode Listen Later Jun 4, 2025 19:02


Community Educator Nathan LaChine and Therapist Karina StarkHart discuss their collaborative workbook, 'Internet Safety with Olivia and Friends,' which aims to educate preteens and their parents about online safety. They highlight the importance of proactive conversations, mutual learning, and building a relationship with your child rooted in support.  

Les Chroniques d'Eric
La Chine, en Hollande, et en santé

Les Chroniques d'Eric

Play Episode Listen Later Jun 3, 2025 22:17


Je vous offre aujourd'hui, sur l'empire du Milieu, deux perspectives inédites : l'une, vue depuis la Hollande et à travers le prisme historique de ce Plat Pays, et l'autre, selon l'angle de la santé. Le premier domaine vous parlera de hardis navigateurs bataves et de rapports très précoces avec la Chine. Le second va secouer de nombreux préjugés, et d'une nation médicalement passéiste, vous brosser le portrait d'un monde d'avenir !  Tous ces épisodes, inspirés par mes souvenirs et l'actualité, n'ont que le double but de vous amuser et de matérialiser la Chine, la rendre vivante et présente à vos oreilles. Si vous aimez ce que vous entendez, merci de reposter le lien sur Facebook, LinkedIn, Twitter, TikTok etc. J'en ai besoin, car le nombre d'auditeurs reste trop bas. Vous pouvez aussi me répondre pour commenter -sur LinkedIn, en titrant mon nom. Merci - Eric MEYER

Journal en français facile
Israël: la réaction des familles d'otages / La Chine réagit à la suspension des visas étudiants / L'impatience des supporters du PSG...

Journal en français facile

Play Episode Listen Later May 30, 2025 10:00


Le Journal en français facile du vendredi 31 mai 2025, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BiX4.A

Thinkerview
André Chieng : Doit-on avoir peur de la Chine ?

Thinkerview

Play Episode Listen Later May 27, 2025


André Chieng : Président de l’AEC et Vice-Président du Comité France-Chine.

Aujourd'hui l'économie
Les pays d'Asie du Sud-Est en quête d'équilibre entre Donald Trump et la Chine

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later May 26, 2025 3:26


Alors que le sommet de l'Asean s'est ouvert, ce lundi 26 mai, à Kuala Lumpur, les dix pays membres du bloc régional doivent faire face à des défis de taille. Pris en étau entre les menaces tarifaires des États-Unis et l'offensive diplomatique de la Chine, les pays d'Asie du Sud-Est cherchent à préserver leur modèle économique et leur neutralité stratégique. Décryptage. La question brûlante au cœur du sommet de Kuala Lumpur : les mesures commerciales que Donald Trump menace d'appliquer contre certains pays de l'Asean. Pour l'heure, ces hausses de tarifs douaniers sont suspendues, mais les avertissements sont clairs. Le Cambodge et le Vietnam sont notamment dans la ligne de mire, avec des menaces de droits de douane respectivement de 49% et 46%. Ces pressions ne sont pas sans conséquences : les économies de la région reposent fortement sur les exportations. Les États-Unis représentent à eux seuls 30% des ventes à l'étranger du Vietnam. Si les tarifs entraient en vigueur, ce seraient des millions d'emplois en péril. Des entreprises comme Nike, qui y fabrique la moitié de ses chaussures avec 500 000 salariés, ou Apple, qui emploie 200 000 Vietnamiens via des sous-traitants, seraient directement touchées.L'Asean entre consensus régional et nécessité de dialogueFace à cette incertitude, les pays de l'Asean misent sur leur principale force, le consensus. Pour éviter les sanctions, plusieurs membres ont engagé des discussions avec les États-Unis, aussi bien collectivement qu'au cas par cas. Car pour ces États, couper les liens avec Washington est tout simplement impossible. L'objectif est clair, maintenir un équilibre dans leurs relations internationales. Le modèle de développement de la région, qui a profité du retrait de nombreuses entreprises américaines de Chine sous le premier mandat de Donald Trump, pourrait être profondément remis en cause. D'où l'importance stratégique de ce sommet pour définir une position commune.À lire aussiLa Chine, grande gagnante des mesures de Donald Trump?La Chine avance ses pions et renforce ses liensPendant que Washington brandit la menace des sanctions, Pékin joue la carte de la séduction. Xi Jinping a récemment effectué des visites au Vietnam, en Malaisie et au Cambodge. Il propose à l'Asean un partenariat renforcé, notamment par des investissements dans les infrastructures, avec l'idée de créer un grand bloc asiatique capable de faire contrepoids aux États-Unis. L'Indonésie et la Chine viennent d'ailleurs de réaffirmer leur volonté de renforcer leurs relations bilatérales. Et les chiffres le prouvent. En avril, les exportations chinoises vers les pays de l'Asean ont bondi de 21%, compensant la baisse des échanges avec les États-Unis. Mais un sujet cristallise les tensions : le transbordement. Il s'agit pour Pékin de faire passer des produits par l'Asie du Sud-Est pour éviter les taxes américaines, sans qu'ils soient identifiés comme « made in China ». Une stratégie que Washington entend surveiller de près. Dans ce contexte tendu, l'Asean doit une nouvelle fois faire preuve de diplomatie et d'agilité. Son histoire le montre, elle excelle dans l'art du compromis. Le sommet de Kuala Lumpur en est une nouvelle démonstration.À lire aussiPourquoi l'essor des exportations chinoises est une mauvaise nouvelle pour Pékin

Choses à Savoir SCIENCES
Qui s'apprête à construire une centrale nucléaire sur la Lune ?

Choses à Savoir SCIENCES

Play Episode Listen Later May 21, 2025 2:28


La Chine ! Ce pays révoit bien de construire une centrale nucléaire sur la Lune, en partenariat avec la Russie, dans le cadre de leur ambitieux projet commun baptisé ILRS (International Lunar Research Station). Ce projet, annoncé officiellement par l'ingénieur chinois Pei Zhaoyu en mai 2025, s'inscrit dans la continuité du programme lunaire chinois Chang'e et vise à établir une base lunaire habitée de façon permanente à l'horizon 2030, avec un réacteur nucléaire opérationnel d'ici 2035.Pourquoi construire une centrale nucléaire sur la Lune ?L'enjeu principal est l'approvisionnement énergétique. Sur la Lune, les nuits lunaires durent environ 14 jours terrestres, période pendant laquelle l'énergie solaire devient inutilisable. Les écarts de température extrêmes (-173 °C à +127 °C) rendent la production et le stockage d'énergie très complexes. Une centrale nucléaire, en revanche, permettrait de fournir une alimentation stable, continue et indépendante de l'environnement extérieur. Cela est indispensable pour maintenir en fonctionnement une station lunaire habitée, gérer les systèmes de survie, les communications, les laboratoires et les installations minières.Un partenariat sino-russe fondé sur l'expérienceLa Chine compte sur l'expertise de la Russie en matière de nucléaire spatial. L'Union soviétique a été pionnière en la matière dès les années 1960, avec plus de 30 réacteurs spatiaux envoyés en orbite. Le réacteur TOPAZ, utilisé dans les années 1980-90, est un exemple notable de système thermionique capable de produire de l'énergie électrique dans l'espace. Cette technologie, adaptée à l'environnement lunaire, pourrait servir de base au futur réacteur.La mission Chang'e-8 comme tremplinLa mission Chang'e-8, prévue pour 2028, jouera un rôle stratégique. Elle embarquera des équipements pour tester les technologies clés nécessaires à une base permanente, notamment des modules d'habitat, des dispositifs de production d'oxygène et potentiellement un prototype de centrale nucléaire miniature. L'objectif est de valider sur place les concepts nécessaires à une présence humaine prolongée.Une course énergétique… et géopolitiqueCe projet lunaire s'inscrit dans une concurrence technologique avec les États-Unis. Si la NASA, via son programme Artemis, prévoit également des bases lunaires, elle n'a pas encore officialisé de projet aussi avancé de centrale nucléaire. La Chine pourrait donc marquer un coup diplomatique et scientifique majeur si elle devient la première à installer un réacteur nucléaire sur un autre corps céleste.En conclusionConstruire une centrale nucléaire sur la Lune n'est plus de la science-fiction : c'est un projet stratégique, technologique et symbolique, qui marque une nouvelle ère dans l'exploration spatiale — et dans la rivalité sino-américaine pour la domination au-delà de la Terre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Invité Afrique
Rencontre Trump-Ramaphosa: «L'Afrique du Sud souhaite mettre sur la table ses atouts économiques pour réparer cette relation»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later May 21, 2025 9:26


À part leur passion commune pour le golf, il n'y a pas beaucoup d'atomes crochus entre l'États-Unien Donald Trump et le Sud-Africain Cyril Ramaphosa. Surtout depuis que le président américain a accusé l'Afrique du Sud de commettre un « génocide » contre les fermiers blancs afrikaners. Mais ce mercredi, les deux chefs d'Etat vont se rencontrer à la Maison Blanche. Donald Trump et Cyril Ramaphosa vont-ils être capables de trouver un terrain d'entente sur Gaza et sur les tarifs douaniers ? La chercheuse de l'International Crisis Group, par ailleurs Sud-Africaine, Liesl Louw,  est notre invitée. RFI : Quelle est la vraie raison du raidissement des Américains contre l'Afrique du Sud ? Est-ce que c'est le sort des fermiers blancs afrikaners ou est-ce que c'est la plainte pour génocide que Pretoria a déposé contre Israël devant la Cour internationale de Justice ?Liesl Louw : Ce qui est sûr, c'est que la plainte contre Israël a beaucoup contribué à cette dégradation. Et puis aussi, depuis le début de 2022, le fait que l'Afrique du Sud ne voulait pas ouvertement condamner la Russie pour l'invasion de l'Ukraine et son insistance depuis aussi de vouloir être neutre dans ce conflit, l'Afrique du Sud étant membre des BRICS, etc. Donc il y a le conflit en Ukraine et puis sa ferme opposition à ce que fait Israël à Gaza.Et alors, sur cette question palestinienne que l'Afrique du Sud défend depuis la fin de l'apartheid, est-ce que vous pensez que Cyril Ramaphosa va lever le pied dans les prochaines semaines pour essayer de calmer le jeu avec Donald Trump?Moi, je pense que, politiquement, il ne va pas lever le pied. Il y a un large consensus en Afrique du Sud, même au sein de cette coalition du gouvernement d'unité nationale, pour condamner Israël. D'accord, il y a des nuances. L'Alliance démocratique, donc le parti de l'opposition qui fait partie du gouvernement aujourd'hui, n'a pas soutenu le procès à La Haye. Mais l'opposition de l'Afrique du Sud contre Israël a une popularité assez large. Je ne pense pas que c'est quelque chose que Cyril Ramaphosa va ouvertement changer dans cette position pro-palestinienne.À lire aussiAfrique du Sud: des diplomates aux États-Unis pour apaiser les tensions entre les deux paysDepuis le début de l'invasion de l'Ukraine il y a trois ans, l'Afrique du Sud a renforcé ses liens avec la Russie, notamment via les BRICS. Elle s'est aussi rapprochée de la Chine et de l'Iran. Est-ce que Cyril Ramaphosa n'a pas intérêt à rééquilibrer sa politique internationale s'il veut voir Donald Trump lors du sommet du G20 en novembre prochain en Afrique du Sud ?Oui, et je pense que ça, c'est vraiment l'enjeu diplomatique de cette rencontre. Parce que Ramaphosa, il faut se souvenir, à la fin du mois d'avril, il a invité Zelensky à Pretoria. Même si c'est très complexe, parce que l'Afrique du Sud, quand même, est un membre des BRICS. La Chine étant son plus grand partenaire économique. Et il y a encore très récemment des ministres du Congrès national africain (ANC) qui sont allés en Russie rencontrer Vladimir Poutine à Moscou. Donc, ce n'est pas facile de jouer les non-alignés.Sur le plan économique, les Américains sont le deuxième partenaire commercial de l'Afrique du Sud à qui ils achètent beaucoup de voitures et beaucoup de produits agricoles. Si demain Donald Trump augmente les taxes douanières de 30 %, comme il en a agité la menace le mois dernier, est-ce que cela ne risque pas de ruiner beaucoup d'agriculteurs et beaucoup d'ouvriers agricoles ?Oui, absolument. Ça, c'est vraiment la vraie raison pour cette visite et pour l'Afrique du Sud qui a un taux de chômage de 32 %. Et si encore, dans certaines zones où il y a des grandes fabriques d'automobiles, ces usines venaient à fermer, des dizaines de milliers de gens pourraient perdre leur travail et cela aggraverait le taux de chômage. Donc l'agriculture, le secteur automobile sont absolument clé pour l'Afrique du Sud.À lire aussiAfrique du Sud: les premiers «réfugiés» blancs afrikaners partis pour les États-UnisLe porte-parole de la présidence sud-africaine a évoqué il y a quelques jours un éventuel accord avec les États-Unis dans le domaine des terres rares et des métaux stratégiques comme le manganèse. Est-ce que ce serait une façon d'amadouer le président américain par un deal à la façon Volodymyr Zelensky ?Oui, absolument. Et depuis quelque temps, nous regardons de près où sont les terres rares. L'Afrique du Sud est un grand pays minier, bien sûr, et l'Afrique du Sud a des ressources stratégiques : manganèse, platine, chrome. Mais en ce qui concerne les terres rares, l'Afrique du Sud n'est pas un grand producteur de terres rares. Donc, depuis quelque temps, des économistes, des diplomates, tout le monde réfléchit, même dans les médias. Il y a énormément de débats autour de ce que l'Afrique du Sud peut offrir. Comment réparer cette relation qui est extrêmement importante, même s'il y a des choses où l'Afrique du Sud et les États-Unis ne sont pas d'accord ? La question d'Israël, par exemple. Mais pour réparer cette relation très importante, l'Afrique du Sud souhaite mettre sur la table ses atouts économiques.

Choses à Savoir SCIENCES
Pourquoi la Chine fabrique-t-elle son sable ?

Choses à Savoir SCIENCES

Play Episode Listen Later May 20, 2025 2:28


Le sable est la seconde ressource naturelle la plus exploitée au monde, après l'eau. Essentiel à la fabrication du béton, du verre, de l'asphalte ou des composants électroniques, il est au cœur des projets d'urbanisation massive — et peu de pays en ont autant besoin que la Chine. Avec 1,4 milliard d'habitants et une urbanisation toujours galopante, la Chine consomme à elle seule une part gigantesque du sable mondial. Or, cette ressource devient de plus en plus rare, poussant le pays à développer son propre sable artificiel. Scientifiquement, cette démarche repose sur des constats environnementaux, économiques et technologiques.Le sable naturel, une ressource sous pressionContrairement à une idée reçue, le sable du désert n'est pas adapté à la construction, car ses grains, arrondis par l'érosion éolienne, n'adhèrent pas bien entre eux. Le sable utilisable provient donc des lits de rivières, des carrières ou des fonds marins. Mais son extraction massive provoque des dégâts écologiques majeurs : érosion des côtes, destruction d'écosystèmes aquatiques, pollution, ou encore perturbation des cycles sédimentaires. En 2019, le Programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE) a sonné l'alarme sur le risque de pénurie mondiale de sable de construction.En Chine, le problème s'est accentué avec des politiques d'urbanisation intense. Résultat : entre 2010 et 2020, l'approvisionnement en sable naturel a chuté de près de 50 %, contraignant le pays à se tourner vers une alternative.Une réponse technologique : le sable manufacturéLa solution chinoise est le sable artificiel, aussi appelé sable manufacturé. Ce sable est obtenu par concassage et tamisage de roches (comme le granite, le basalte ou le calcaire), ou de résidus miniers. Les grains ainsi produits sont calibrés pour offrir les mêmes propriétés mécaniques que le sable naturel. Ce procédé, bien que plus coûteux en énergie, est maîtrisé technologiquement et peut être adapté aux besoins précis de l'industrie du bâtiment.D'après une étude publiée en juillet 2024 dans Nature Geoscience, plus de 80 % du sable utilisé en Chine aujourd'hui est d'origine artificielle. Ce basculement a été rendu possible par des politiques publiques strictes et un encadrement gouvernemental visant à limiter l'extraction destructrice de sable naturel.Une démarche aussi environnementaleLa fabrication de sable artificiel ne vise pas uniquement à répondre à la demande, mais aussi à réduire les dommages environnementaux. Elle permet d'épargner les zones naturelles, de ralentir l'érosion côtière et de valoriser des déchets miniers qui, autrement, seraient stockés.En somme, la Chine fabrique son propre sable par nécessité, mais aussi par anticipation : pour soutenir son développement urbain tout en préservant ses écosystèmes fragiles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Control F
La Chine et Taïwan, vers la guerre ?

Control F

Play Episode Listen Later May 20, 2025 30:29


Les hausses successives de droits de douane, ces dernières semaines, à l'initiative de Donald Trump, ont démontré une tendance à l'escalade entre Washington et Pékin. Au-delà des tensions économiques, leurs forces se préparent à une confrontation militaire concernant Taïwan, soutenue par les Américains et convoité par le Parti communiste chinois. Mais l'affrontement n'est pas encore écrit, comme l'explique dans ce nouvel épisode de L'Etat Major Jean-Pierre Cabestan, chercheur à l'Asia Centre de Paris et auteur de Demain la Chine : guerre ou paix ? (Gallimard).Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Clément Daniez Invitée : Jean-Pierre CabestanRéalisation : Jules Krot Production : Thibauld Mathieu et Charlotte Baris Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Aujourd'hui l'économie
Guerre commerciale: la Chine souffre mais garde le cap

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later May 20, 2025 3:07


En pleine incertitude liée à la guerre commerciale sino-américaine, Pékin tente de soutenir son économie par des mesures de relance monétaire. La Banque centrale chinoise a une nouvelle fois abaissé deux de ses taux d'intérêt, alors que l'activité industrielle affiche une croissance contrastée. Décryptage. La Chine donne un coup de pouce à son économie. Ce mardi, la Banque centrale a de nouveau abaissé deux de ses taux d'intérêt clés. Une décision qui intervient dans un contexte économique tendu, marqué par les tensions commerciales persistantes avec les États-Unis. Pourtant, malgré cette conjoncture incertaine, l'économie chinoise montre une certaine résilience. En avril, la production industrielle a progressé de 6,1 % par rapport à l'année précédente. Un chiffre encourageant, mais qui masque un ralentissement: la croissance industrielle est moins vigoureuse que les mois précédents. Ce sont principalement les secteurs de haute technologie – robots industriels, véhicules électriques et équipements d'impression 3D – qui soutiennent cette dynamique.À lire aussiNégociations commerciales: la Chine et les États-Unis font état de «progrès» avant un communiqué communCommerce extérieur en repli, malgré une trêve fragileCette vigueur industrielle contraste cependant avec la mauvaise performance du commerce extérieur. Le mois dernier, les exportations vers les États-Unis ont chuté de 21 %. Une baisse qui a poussé les industriels chinois à se réorienter vers l'Asie du Sud-Est, pour contourner les droits de douane imposés par l'administration Trump. Mais récemment, un changement de cap s'est opéré : les deux pays ont convenu d'une trêve commerciale de 90 jours. Les droits de douane ont été réduits, bien qu'ils restent élevés : 40 % pour les produits chinois entrant aux États-Unis, et environ 25 % pour les exportations américaines vers la Chine. Une accalmie temporaire donc, qui a poussé les importateurs américains à stocker massivement des biens chinois, soutenant artificiellement la production au moins jusqu'en juin.Une consommation intérieure en berneMalgré ces signaux, des faiblesses structurelles persistent. Le principal point noir: la consommation des ménages chinois reste faible, alors qu'elle constitue un moteur essentiel de la croissance. Pour 2025, les autorités visent une croissance de 5 %, un objectif ambitieux dans un contexte incertain. C'est dans cette optique que la Banque centrale a décidé d'abaisser ses taux directeurs, espérant stimuler la demande intérieure. Ces mesures de relance pourraient soutenir l'économie à court terme. Mais la dynamique reste conditionnée à la résolution durable de la guerre commerciale entre Pékin et Washington.À lire aussiLes dernières mesures chinoises vont-elles suffire à relancer l'économie?

Monde Numérique - Jérôme Colombain

Trump et les grands patrons de la tech en tournée dans les pays du Golfe. Paris prépare Choose France 2025. La Chine innove pour s'affranchir des Etats-Unis. La tech plus géopolitique que jamais. Découvrez Frogans, l'innovation française qui souhaite réinventer le Web tout en restant accessible et sécurisée [Partenariat]-----------L'ACTU DE LA SEMAINE :- Donald Trump et le swing du business tech aux Émirats, avec un objectif de 1 000 milliards de contrats dans le secteur de la défense et de la tech.- Emmanuel Macron organise l'édition 2025 de "Choose France" pour attirer des investissements internationaux.- La Chine dévoile une puce fonctionnelle sans silicium, une vraie rupture technologique et des promesses de rapidité et d'efficacité d'un nouveau genre.- Samsung lance son nouveau smartphone ultra-fin, le Galaxy S25 Edge.LE DEBRIEF TRANSATLANTIQUE :- Bruno Guglielminetti en Italie parle de l'IA dans le sport automobile, en mettant l'accent sur les données générées par les véhicules de Formule 1.- On évoque le lancement prochain d'un système d'exploitation pour ordinateur d'un nouveau genre signé Huawei.LES INTERVIEWS DE LA SEMAINE :- Florian Gauthier, cofondateur de Vera, présente le service Ask Vera de lutte contre les fake news.- Julien Villeret, d'EDF, nous présente une technologie révolutionnaire d'impression 3D de pièces métalliques, utilisés notamment l'énergie et l'aéronautique [PARTENARIAT].- Tommy Tran, jeune ingénieur français chez Meta, nous parle de son expérience en tant qu'expatrié et des projets innovants sur lesquels il travaille, notamment la réalité augmentée et l'intelligence artificielle.-----------

C dans l'air
Trump : business, diplomatie... et des succès ? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later May 16, 2025 64:27


C dans l'air du 16 mai 2025 : Trump : business, diplomatie... et des succès ?Depuis son retour à la Maison-Blanche, le président des États-Unis ne cache rien de sa méthode. "La meilleure chose que vous puissiez faire est de négocier en position de force. L'effet de levier est votre plus grande force. En d'autres termes, vous devez convaincre l'autre partie qu'il est dans son intérêt de conclure l'affaire", écrit le président des États-Unis dans son livre consacré à la négociation, "The Art of the Deal".Une stratégie du businessman dont Donald Trump se sert également sur la scène internationale, en matière diplomatique dans le dossier de la guerre en Ukraine ou au Moyen-Orient. Le président américain, qui achève ce vendredi une tournée fastueuse du Golf, a profité de ce premier déplacement d'envergure depuis son élection pour conclure toute une série d'accords commerciaux, assumant sans complexe de "faire de la vente". Après avoir récolté 600 milliards de dollars en Arabie saoudite et un contrat de 200 milliards de dollars pour Boeing au Qatar, il s'est vu promettre jeudi à Abou Dhabi 1.400 milliards de dollars d'investissements sur dix ans. Au cours de cette tournée, le président des Etats-Unis a aussi fait de la géopolitique avec notamment une rencontre avec le président syrien, assortie d'une levée des sanctions.Pour Donald Trump, tout est une question de business et de rapport de force. C'est ainsi qu'il a annoncé au début de son mandat la réactivation de surtaxes douanières importantes avant d'ouvrir des négociations et de rétropédaler. La Chine était particulièrement dans le viseur de cette guerre commerciale. Les taxes douanières des États-Unis contre les produits chinois étaient montées à 145 %. A l'issue de deux jours de discussions à Genève le week-end dernier, ces droits de douanes seront finalement réduits à 30 %, tandis que le taux imposé par la Chine aux produits américains, qui était passé à 125 %, tombera à 10 %. Un exemple révélateur de la négociation du businessman qui multiplie les mesures protectionnistes pour inverser le mouvement de délocalisation et faire revenir les emplois.Au cours de cette bataille commerciale, celui qui a pour doctrine "America First" a également renouvelé les appels aux entreprises étrangères pour qu'elles délocalisent leur production sur le sol américain, en échange d'une fiscalité plus avantageuse et d'un accès sécurisé au marché intérieur. Ce message, déjà martelé lors de son premier mandat, semble avoir été entendu par plusieurs grands groupes qui ont récemment annoncé de nouveaux investissements aux États-Unis : le constructeur automobile sud-coréen Hyundai prévoit d'investir 21 milliards de dollars sur les quatre années à venir, le géant pharmaceutique français Sanofi 20 milliards de dollars d'ici 2030, l'armateur français CMA-CGM 20 milliards de dollars en quatre ans.En France, le patron de Bercy a déploré l'investissement colossal des groupes français outre-Atlantique. "L'ampleur des investissements aux États-Unis, c'est sûr que c'est un mauvais signal à un moment où nous considérons et nous sommes convaincus que (...) l'Europe et la France, c'est l'endroit où il faut investir", a expliqué le ministre de l'Économie. Le président de la République qui avait appelé les entreprises françaises à suspendre leurs investissements aux États-Unis a fait son retour cette semaine sur la scène intérieure. Sur TF1, il a promis de "sauver" les sites ArcelorMittal mais sans nationaliser. La solution viendra avant tout de la faculté de "recréer les conditions d'une concurrence loyale". "Et pour cela nous allons durcir le déclenchement des clauses de sauvegarde entre l'Europe et les pays extra-européens", a expliqué le chef de l'État jeudi lors d'un point devant la presse régionale.Alors la méthode de négociation de Donald Trump est-elle efficace ? Est-il en train de perdre sa guerre commerciale face à la Chine ? En quoi consiste sa diplomatie du business ? Et que se passe-t-il chez ArcelorMittal ? LES EXPERTS :- Philippe DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance- Anne TOULOUSE - Journaliste franco-américaine,auteure de L'art de Trumper - Béatrice MATHIEU - Grand reporter - L'Express - Philippe MABILLE - Directeur éditorial - La Tribune et La Tribune Dimanche

Entendez-vous l'éco ?
Volkswagen, face à la Chine, aux Etats-Unis… et à ses actionnaires !

Entendez-vous l'éco ?

Play Episode Listen Later May 16, 2025 5:49


durée : 00:05:49 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Le premier groupe automobile européen tient aujourd'hui son assemblée générale annuelle. Un exercice délicat pour le groupe de Wolfsburg, confronté aux bouleversements du marché mondial.

Sur le fil
Droits de douane : victoire en trompe-l'oeil de la Chine

Sur le fil

Play Episode Listen Later May 16, 2025 9:17


La Chine et les États-Unis ont levé mercredi 14 mai, pour 90 jours, l'essentiel des lourdes surtaxes douanières que les deux pays s'imposaient. Ils s'accordent ainsi une trêve dans la guerre commerciale qui a bouleversé les chaînes d'approvisionnement et les marchés mondiaux. Les États-Unis ont accepté d'abaisser leurs surtaxes sur les produits chinois à 30%, tandis que la Chine réduira les siennes à 10% sur les biens américains.Pékin présente cette pause comme une victoire diplomatique et en profite pour renforcer ses liens avec l'Amérique latine et les pays asiatiques dans un but: faire front commun face à Donald Trump. Mais elle n'est que partielle, d'autant que les deux pays sont très dépendants.Invités: Alice Ekman, spécialiste de la Chine et directrice de la recherche de l'Institut d'études de sécurité de l'Union européenne, autrice de Dernier vol pour Pékin (Editions Flammarion, 2°24)Marc Julienne, directeur du Centre Asie à l'Institut français des relations internationales (IFRI)Ali Bekhtaoui, journaliste à l'AFP chargé de la macro économie.Réalisation : Emmanuelle BaillonExtraits de reportages : AFPTVDoublages : Maxime Mamet, Kadir DemirSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Journal d'Haïti et des Amériques
Les démocrates pensaient en avoir fini avec Joe Biden ? C'est raté

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later May 15, 2025 30:00


Les bonnes feuilles du livre-choc consacré à l'état de santé de l'ancien président replongent l'opposition dans le marasme politique. Son déclin cognitif, ses absences, l'acteur George Clooney qu'il n'a pas reconnu lors d'une soirée alors que les deux hommes se fréquentent depuis 20 ans, sa démarche chancelante, son futur fauteuil roulant… L'ouvrage des journalistes Alex Thompson (Axios) et Jake Tapper (CNN), à paraître le 20 mai, démontre une fois encore comment l'entourage de Biden a tout fait pour couvrir les affres du grand âge. Et à quel point le président sortant, en se retirant si tard de la course, a précipité la chute des démocrates à la dernière présidentielle. À la lumière de ces dernières révélations, POLITICO nous raconte que les cadres du parti n'ont qu'une phrase à la bouche, « il faut aller de l'avant ». Sauf que l'inventaire n'a pas été fait, et qu'il y a « encore un déni majeur au sein de notre formation à propos de l'ampleur de la défaite, soupire un élu du Massachussetts. Ceux qui veulent absolument passer à autre chose sont précisément ceux qui refusent encore d'accepter que nous avons perdu ».L'opposition reste aux prises avec ses questions existentielles malgré un agenda politique très chargé : parmi tant d'autres dossiers brûlants, cet échange tendu à la Chambre des Représentants hier, relaté par USA Today. La Commission de contrôle des services d'immigration a entendu le patron de l'agence ICE, le bras armé de la répression migratoire ordonnée par Donald Trump, qui veut expulser un million de personnes des États-Unis. Questionné par les parlementaires démocrates, Todd Lyons a fini par lâcher un chiffre : depuis l'investiture du président le 20 janvier, neuf migrants sont morts à la suite de leur placement en centre de rétention. L'administration Trump promet une enquête approfondie sur les causes de chacun de ces décès. La saison des décisions judiciaires commence aujourd'huiLa Cour Suprême se dépêche de statuer avant la pause estivale et il y a de lourds dossiers sur sa table. Peut-on interdire aux médecins de prescrire des traitements hormonaux aux mineurs qui entament une transition de genre ? Les mesures de vérification de l'âge des internautes sur les sites pornographiques sont-elles constitutionnelles ? Faut-il étendre l'usage des tests ADN aux condamnés à mort afin qu'ils puissent prouver leur innocence ? Liste quasiment exhaustive à lire dans The Hill. La plus haute juridiction américaine doit se pencher sur un minimum d'une vingtaine de procédures d'ici la fin du mois de juin. Les territoires perdus de la République d'HaïtiComme chaque jeudi, retour sur l'actualité haïtienne avec Frantz Duval, rédacteur en chef du Nouvelliste, le plus ancien quotidien de Port-au-Prince. Plongée en Une dans la commune de Mirebalais et tant d'autres territoires passés sous le contrôle des gangs armés. Situation observée de très près par la République dominicaine voisine. Dans son éditorial, Frantz Duval fait le récit de la réunion qui s'est déroulée, hier, entre l'actuel président dominicain, Luis Abinader, et ses prédécesseurs, sur fond de politique ultra-répressive envers les Haïtiens présents sur le territoire dominicain. Poison ou bénédiction ? Le rapprochement sino-colombien divise les éditorialistes La Colombie a bel et bien rejoint les nouvelles routes de la Soie, l'immense programme d'investissements porté par la Chine depuis une dizaine d'années. Pékin va soutenir l'économie colombienne en important datage de produits colombiens, et investir tous azimuts sur le sol colombien (infrastructures, santé, agro-industrie ou l'intelligence artificielle). El Tiempo y voit un choix « judicieux », mais attention, écrit le journal, « à la perception que pourraient avoir les États-Unis de ce texte signé avec Pékin. En pleine guerre commerciale, « le gouvernement Petro va devoir faire preuve de la plus grande sensibilité pour protéger les intérêts de la Colombie dans ses futurs rapports avec la Maison Blanche ».Pour le verre à moitié vide, lire la tribune explosive de Sofy Casas dans Semana. « Ce n'est pas une exagération, ce n'est pas de la rhétorique. C'est la réalité. Petro livre la Colombie à la Chine. Ce qui s'est déjà produit au Venezuela est sur le point de se répéter dans notre pays, avec le même scénario, les mêmes acteurs et la même tragédie. La Chine n'est pas un allié. C'est le propriétaire silencieux du Venezuela. La Chine a prêté plus de 60 milliards de dollars au Venezuela depuis 2007, non par générosité, mais pour le lier à une dette impayable, devenant ainsi le créancier, le protecteur et le marionnettiste du régime. » Or, poursuit Sofy Casas, le président colombien Gustavo Petro lui aussi « est allé mettre le pays en gage pour se débarrasser des États-Unis ». Selon elle, il y a désormais entre Pékin et Bogota « un alignement idéologique, la consolidation d'un modèle autoritaire soutenu par l'argent du régime chinois et un silence diplomatique complice ».Le procès historique de l'ancien président colombien Alvaro Uribe C'est le premier passage en jugement d'un ancien chef d'État en Colombie : Alvaro Uribe est poursuivi au pénal pour subornation de témoins. Et même si ses deux mandats sont déjà loin (de 2002 à 2010), il est encore aujourd'hui la figure tutélaire du camp conservateur, et l'un des hommes politiques les plus influents du pays. Son procès retransmis en direct par tous les médias provoque un vif débat et irrigue la vie quotidienne. Dossier signé Najet Benrabaa à retrouver dans l'édition du jour. L'actualité des Outre-mer avec nos confrères de la 1èreFusillades, exécutions en plein jour et en pleine rue, la violence semble avoir atteint un niveau inédit ces derniers temps en Martinique.

Learn French with daily podcasts
Tour de vis (Crackdown mode)

Learn French with daily podcasts

Play Episode Listen Later May 14, 2025 3:06


La Chine resserre la surveillance des influenceurs. Une nouvelle loi impose de signaler tout contenu sponsorisé, sous peine de lourdes sanctions.Traduction : China tightens control over influencers. A new law mandates disclosure of all sponsored content, with heavy penalties for noncompliance. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Appels sur l'actualité
[Vos questions] Tchad : le procès d'Idriss Youssouf Boy, symbole de la lutte contre la corruption ?

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later May 14, 2025 19:30


Les experts et journalistes de RFI répondent aussi à vos questions sur des armes de fabrication chinoise au Soudan, des Afrikaners aux États-Unis et le Grand Barrage de la Renaissance. Tchad : le procès d'Idriss Youssouf Boy, symbole de la lutte contre la corruption ?  Idriss Youssouf Boy, l'ancien directeur de cabinet du président Mahamat Idriss Déby, a écopé de cinq ans de prison ferme pour corruption passive. Cette condamnation est-elle un règlement de compte politique ou une réelle décision de justice dans le cadre de la lutte contre la corruption ? Comment expliquer que son accusateur soit condamné à la même peine pour corruption active ?Avec Nadia Ben Mahfoudh, correspondante de RFI à N'Djamena.  Soudan : des armes chinoises entre les mains des FSR   Selon une enquête d'Amnesty International, des armes de fabrication chinoise fournies par les Émirats arabes unis aux paramilitaires des FSR sont utilisées au Soudan dans la guerre qui déchire le pays depuis deux ans. De quelles preuves dispose l'ONG ? La Chine peut-elle être accusée de violer l'embargo sur les armes de l'ONU, alors qu'elle n'a pas directement livré ces équipements militaires aux FSR ?Avec Clea Broadhurst, correspondante de RFI à Pékin.    Afrique du Sud : pourquoi Trump offre l'asile aux Afrikaners ? Les premiers réfugiés blancs sud-africains sont arrivés lundi à Washington à bord d'un avion affrété par le gouvernement américain. Ils ont été accueillis en grande pompe par le numéro deux du département d'État. Pourquoi l'Administration Trump leur accorde-t-elle le statut de réfugiés ? Quel est le profil socio-économique de ces Sud-Africains ?Avec Cécile Perrot, maître de conférences à l'Université de Rennes 2, spécialiste de l'Afrique du Sud.   Grand barrage de la Renaissance : où en est le conflit ?  Construit par l'Éthiopie sur le Nil Bleu, le plus grand barrage hydroélectrique d'Afrique devrait être opérationnel cette année. Mais pour l'Égypte, ce projet menace la «stabilité régionale». Où en est le traitement de la plainte déposée par Le Caire en septembre 2024 auprès du Conseil de sécurité des Nations unies ? Qu'espère obtenir l'Égypte ?Avec Franck Galland, chercheur associé à la Fondation pour la recherche stratégique. 

Aujourd'hui l'économie
Les coulisses des liens économiques entre la Chine et l'Amérique latine

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later May 14, 2025 3:16


La Chine organise un sommet diplomatique d'envergure à Pékin, réunissant plusieurs dirigeants d'Amérique latine, dont ceux du Brésil, de la Colombie, du Chili ou encore du Pérou. Objectif affiché : resserrer les liens avec la région dans un contexte de rivalité croissante avec les États-Unis. Décryptage. Dès l'ouverture du forum, le ton est donné : le président chinois Xi Jinping annonce un prêt de 9,2 milliards de dollars à destination de l'Amérique latine et des Caraïbes. Une initiative qui s'inscrit dans la continuité d'une stratégie chinoise déjà bien engagée. Pékin considère depuis plusieurs années cette région comme un pilier de son expansion internationale. Infrastructures, investissements, accords commerciaux, les projets se multiplient. À ce jour, deux tiers des pays latino-américains ont rejoint les « nouvelles routes de la soie », ce gigantesque programme de développement lancé par la Chine il y a 12 ans. Dernier exemple en date, un accord de coopération signé avec la Colombie ce mercredi. À lire aussiLe Brésil, un des gagnants de la guerre commerciale de Donald Trump?Une montée en puissance chinoise qui bouscule l'influence américaine À travers ces efforts, la Chine cherche à sécuriser ses approvisionnements tout en diversifiant ses débouchés économiques. Elle est déjà devenue le premier partenaire commercial de pays comme le Brésil, le Chili ou le Pérou, détrônant les États-Unis dans une région longtemps considérée comme leur zone d'influence. En 2023, le Brésil a exporté 94 milliards de dollars vers la Chine, principalement du soja et d'autres produits agricoles, tandis que Pékin y écoule des produits à forte valeur ajoutée : semi-conducteurs, smartphones, véhicules ou médicaments. Une relation stratégique mais asymétrique Si les pays latino-américains voient dans ce rapprochement une chance d'attirer des investissements et de diversifier leurs alliances, le partenariat n'est pas sans risques. En rompant avec la dépendance américaine, certains redoutent l'émergence d'une dépendance chinoise. Par ailleurs, en restant cantonnés à l'exportation de matières premières, ces pays pourraient manquer l'opportunité d'un réel essor industriel. Ce sommet à Pékin s'inscrit donc dans un mouvement plus large de recomposition des équilibres mondiaux. Des dirigeants comme Lula (Brésil) ou Gustavo Petro (Colombie) insistent sur la nécessité de faire entendre la voix latino-américaine dans le jeu international, en tirant parti des tensions sino-américaines pour mieux défendre leurs intérêts. À lire aussiLa Chine, grande gagnante des mesures de Donald Trump?

Un jour dans le monde
Pourquoi malgré la trêve douanière, la guerre commerciale continue entre la Chine et les Etats-Unis

Un jour dans le monde

Play Episode Listen Later May 13, 2025 3:38


durée : 00:03:38 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - En suspendant leurs droits de douane prohibitifs pour une période de trois mois, Pékin et Washington font baisser la pression sur le commerce international. Mais leur guerre est loin d'être terminée, et elle se déroule notamment en Amérique latine.

Aujourd'hui l'économie
Sous le soleil de Cannes: le cinéma entre festival et marché du film

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later May 13, 2025 3:06


Le Festival de Cannes ouvre ses portes ce mardi 13 mai, et si les projecteurs sont braqués sur les stars et les projections, c'est aussi en coulisses que le cinéma se joue. Chaque année, la Croisette accueille en parallèle le plus grand rendez-vous professionnel du secteur : le Marché du film. Décryptage. Oubliez le tapis rouge, les photographes et les petits fours et parlons affaires. Pendant dix jours, Cannes devient la capitale mondiale de l'économie du cinéma. 15 000 professionnels accrédités, 4000 films et projets représentés : le Marché du film est le lieu où se négocient les droits de distribution des films que vous verrez dans les mois à venir. C'est aussi là que se montent les coproductions internationales, que se repèrent les tendances de demain. Producteurs, distributeurs et acheteurs arpentent les stands et les salons pour décider quels films feront l'actualité des écrans de l'année à venir. À lire aussiSourires aux Golden Globes, grimaces en coulisses: Hollywood face à la criseUne année 2024 dynamique, mais sans boom pour le box-office Cet événement est aussi l'occasion de faire le point sur l'état du marché. RFI a pu consulter en avant-première le rapport annuel de l'Observatoire européen de l'audiovisuel. Ce que l'on peut affirmer, c'est que même si 2024 a été exceptionnelle en termes de production, l'année n'a pas été celle du rebond espéré. Le box-office mondial atteint 28,1 milliards d'euros, mais cela reste en baisse de 9 % par rapport à 2023. Deux géants connaissent une baisse significative. La Chine, avec -24 %, et les États-Unis, à -4 %, touchés par les récentes grèves à Hollywood, qui ont gelé la production et retardé la sortie des blockbusters. Côté gagnants, on retiendra l'Inde, le Royaume-Uni et la France, qui restent des places solides. Le streaming bouleverse l'équilibre des salles Mais le cinéma aujourd'hui, ce n'est plus seulement des projections en salles. Et les professionnels l'ont bien intégré. Toujours selon l'Observatoire européen de l'audiovisuel, un tiers des films disponibles en VOD sont européens. Les plateformes de streaming sont donc devenues essentielles à la diffusion des longs-métrages, qu'ils soient exclusivement destinés à ces canaux ou qu'ils aient eu une vie en salle auparavant. Pour les exploitants – c'est-à-dire les cinémas eux-mêmes – les conséquences sont bien réelles. Le temps passé devant un écran chez soi est aussi du temps en moins en salle. C'est l'un des défis majeurs du secteur. Autre tendance forte : le renforcement des partenariats public-privés pour financer les projets, ainsi que la promotion de la coproduction internationale pour mutualiser les coûts et s'ouvrir à de nouveaux marchés. Car, on l'a dit, le cinéma reste un marché. Un marché avec des acteurs importants, en concurrence, et où le premier rôle est très convoité.

Les actus du jour - Hugo Décrypte
Trump et la Chine se rapprochent de façon exceptionnelle, explications

Les actus du jour - Hugo Décrypte

Play Episode Listen Later May 12, 2025 13:01


Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.

Entendez-vous l'éco ?
La Chine cherche des solutions alternatives pour faire face à l'instabilité du marché américain

Entendez-vous l'éco ?

Play Episode Listen Later May 12, 2025 5:44


durée : 00:05:44 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Malgré un accord commercial annoncé ce lundi entre la Chine et les États-Unis, Pékin a compris qu'avec Donald Trump le marché américain est devenu hypothétique. Alors les Chinois élaborent de nouvelles pratiques et cherchent de nouveaux partenaires.

Tout un monde - La 1ere
Le Népal veut contraindre les candidats à l'Everest à prendre un guide népalais et à gravir un autre sommet du pays auparavant

Tout un monde - La 1ere

Play Episode Listen Later May 12, 2025 21:01


(00:00:43) La Chine et les Etats-Unis repartent sur de nouvelles bases (00:09:40) Sur le chantier du bouclier oriental de l'Europe en Pologne (00:14:15) Le Népal préfère les vrais alpinistes aux touristes sur le Mont Everest et il va serrer la vis

Choses à Savoir SCIENCES
Pourquoi la Chine déploie-t-elle des satellites sur une orbite rétrograde lointaine ?

Choses à Savoir SCIENCES

Play Episode Listen Later May 11, 2025 2:30


Dans un relatif silence médiatique, la Chine vient d'accomplir une première mondiale majeure : le déploiement de la première constellation de satellites sur une orbite rétrograde lointaine (Distant Retrograde Orbit, ou DRO) entre la Terre et la Lune. Cette avancée technologique représente un tournant dans l'exploration de l'espace profond et annonce une redéfinition potentielle des stratégies de communication, de navigation et de soutien logistique pour les futures missions lunaires.Qu'est-ce qu'une orbite rétrograde lointaine ?Une orbite rétrograde lointaine est une trajectoire gravitationnelle stable qui entoure la Lune dans le sens opposé à sa rotation (d'où "rétrograde") et à une altitude très élevée, généralement située entre 60 000 et 70 000 kilomètres au-dessus de la surface lunaire. Cette orbite tire parti des équilibres gravitationnels complexes entre la Terre et la Lune, offrant une stabilité exceptionnelle avec peu de corrections nécessaires. Elle a été choisie par la NASA pour la future station spatiale lunaire Gateway, mais jusqu'à présent, aucun pays n'avait réussi à y déployer une constellation complète de satellites.C'est précisément ce que la Chine a accompli. Selon les informations fournies par l'agence spatiale chinoise (CNSA), plusieurs petits satellites ont été positionnés avec succès sur cette orbite au moyen d'une mission automatisée, conçue pour tester des capacités de communication, d'observation et de navigation dans un environnement cislunaire complexe. Les satellites peuvent se coordonner entre eux, former un maillage dynamique, et relayer des données vers la Terre et vers d'autres engins spatiaux.Techniquement, ce déploiement est une démonstration impressionnante de maîtrise de la mécanique orbitale et du contrôle autonome dans l'espace profond. Il pourrait permettre à la Chine d'assurer des liaisons stables et durables avec des missions habitées ou robotiques opérant à la surface de la Lune, ou même sur sa face cachée, où les communications directes avec la Terre sont impossibles.Au-delà de la prouesse technologique, cette mission marque l'entrée dans une nouvelle ère de l'exploration lunaire, dans laquelle les infrastructures orbitales joueront un rôle central. Les orbites rétrogrades lointaines pourraient devenir les futurs axes de circulation logistique pour les modules habités, les véhicules automatisés et les relais de communication.Alors que la NASA et l'ESA finalisent leurs plans pour Artemis et Gateway, la Chine prend une longueur d'avance discrète mais stratégique. Le déploiement de cette constellation sur orbite DRO ne vise pas seulement à soutenir des missions lunaires : il prépare le terrain pour une présence permanente dans l'espace cislunaire. Une étape de plus vers une colonisation rationnelle et géopolitiquement compétitive de notre satellite naturel. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Les actus du jour - Hugo Décrypte
Trump cible l'Europe, la Chine en profite, explications

Les actus du jour - Hugo Décrypte

Play Episode Listen Later May 7, 2025 14:12


Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.

Lenglet-Co
FRANÇOIS LENGLET - La Chine est en train de faire main basse sur la Russie

Lenglet-Co

Play Episode Listen Later May 7, 2025 3:31


Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 07 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Un jour dans le monde
Avec Zhao Xintong, la Chine tient son premier champion du monde de snooker chez les hommes

Un jour dans le monde

Play Episode Listen Later May 6, 2025 3:37


durée : 00:03:37 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Alors que les champions du monde de cette variante du billard sont quasiment tous Britanniques ou issus du Commonwealth depuis 1927, ce jeune Chinois de 28 ans s'est imposé ce lundi, au Royaume-Uni. Et ce après un parcours exceptionnel, après sa suspension pour participation à des matchs truqués.

Learn French with daily podcasts
Grand écart climatique (Climate contradictions)

Learn French with daily podcasts

Play Episode Listen Later May 4, 2025 5:19


Pour écouter mon podcast Choses à Savoir:Apple Podcast:https://podcasts.apple.com/fr/podcast/choses-%C3%A0-savoir-culture-g%C3%A9n%C3%A9rale/id1048372492Spotify:https://open.spotify.com/show/3AL8eKPHOUINc6usVSbRo3?si=e794067703c14028----------------------------La Chine bat son record de production de charbon… tout en annonçant une future taxe carbone nationale. Entre impératifs économiques et engagements climatiques, l'équilibre est fragile.Traduction :China breaks its coal production record—just as it pledges a future national carbon tax. A balancing act between growth and climate promises. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Secrets d'info
China Targets, les cibles de la Chine : comment Pékin traque ses opposants jusqu'en France

Secrets d'info

Play Episode Listen Later May 2, 2025 37:07


durée : 00:37:07 - Secrets d'info - par : Benoît COLLOMBAT, Cellule investigation de Radio France - Edition spéciale de “Secrets d'info” cette semaine. En partenariat avec le Consortium international des journalistes d'investigation (ICIJ), la cellule investigation de Radio France révèle l'ampleur de la répression menée par la Chine au-delà de ses frontières. La France n'est pas épargnée. - réalisé par : Christophe IMBERT

Géopolitique
Poussée par la guerre commerciale de Trump, la Chine accélère son découplage technologique

Géopolitique

Play Episode Listen Later May 1, 2025 3:20


durée : 00:03:20 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Les États-Unis multiplient les restrictions à l'accès de la Chine à la technologie occidentale, mais le résultat est qu'ils ont poussé Pékin à accélérer un découplage déjà engagé. Huawei incarne cette réponse chinoise au défi américain : Donald Trump a peut-être sous-estimé son adversaire.

Les actus du jour - Hugo Décrypte
Comment la Chine traque ses opposants en France

Les actus du jour - Hugo Décrypte

Play Episode Listen Later Apr 30, 2025 12:15


Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.

Les matins
Enquête #ChinaTargets : la Chine traque ses opposants à travers le monde, jusque sur le sol français

Les matins

Play Episode Listen Later Apr 28, 2025 15:23


durée : 00:15:23 - Journal de 8 h - Une vaste enquête de Radio France, en collaboration avec le Consortium international des journalistes d'investigation (ICIJ) et d'autres médias, révèle comment la Chine traque ses opposants à travers le monde jusque sur le sol français.

Géopolitique
Pourquoi la Chine a mis 24 heures pour réagir à la mort du pape

Géopolitique

Play Episode Listen Later Apr 23, 2025 3:14


durée : 00:03:14 - Géopolitique - par : Pierre Haski - La Chine a finalement publié mardi un communiqué poli sur la mort du pape, avec un retard de 24 heures sur le reste du monde. C'est le signe de l'échec du pape François à normaliser les relations du Vatican avec Pékin comme il le souhaitait : il le vivait comme l'un de ses grands échecs.