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Maintenant Vous Savez, c'est aussi Maintenant Vous Savez - Santé et Maintenant Vous Savez - Culture. La Chine fait partie des principaux producteurs de contrefaçons dans le monde. Cette fois, il n'est pas question de montres ou de sacs à main. L'Empire du Milieu va bien plus loin dans les copies et s'attaque à la reproduction à l'identique de villes européennes sur son territoire. Paris ou encore le village de Hallstatt en Autriche, il y en a pour tous les goûts. Les chinois ont à leur portée tout un tas de villes qui ressemblent comme deux gouttes d'eau aux métropoles européennes. Quelles villes peut-on trouver en Chine ? Tout copier tel quel, ça ne pose pas de problème ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant Vous Savez - Culture". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Béatrice Jumel. Première diffusion : octobre 2023 A écouter aussi : Quels sont ces classiques de la littérature censurés dans le monde ? Pourquoi certaines séries sont-elles adaptées au cinéma ? Quel film a nécessité 2900 prises ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez - Culture". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Pour le dernier Regard décalé de 2025, Amid Faljaoui analyse les grands bouleversements économiques et géopolitiques de l'année et esquisse les enjeux clés de 2026. Les Trends-Tendances podcasts rassemblent tous les podcasts de Trends-Tendances et de Trends Z francophone. Les journalistes vous proposent différents podcasts sur les thèmes qui dominent notre monde et notre société. Sous différents angles et avec un accent clair sur l'économie et les entreprises, sur les affaires, les finances personnelles et les investissements. De manière indépendante, pertinente, toujours constructive et tournée vers l'avenir. Hosted by Simplecast, an AdsWizz company. See https://pcm.adswizz.com for information about our collection and use of personal data for advertising.
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Dans cette émission spéciale, quatre journalistes économiques basés à Paris, Montréal et Yaoundé dressent le bilan de l'année 2025 dans le monde : le grand basculement géopolitique, le retour préparé et pragmatique de Trump, l'impact différencié sur le reste du monde, la révolution de l'IA et le recul écologique, les enjeux africains et l'émergence du Sud global, l'omniprésence de endettement la paralysie française, le retour de l'État stratège. NOS INVITÉS
Dans cette émission spéciale, quatre journalistes économiques basés à Paris, Montréal et Yaoundé dressent le bilan de l'année 2025 dans le monde : le grand basculement géopolitique, le retour préparé et pragmatique de Trump, l'impact différencié sur le reste du monde, la révolution de l'IA et le recul écologique, les enjeux africains et l'émergence du Sud global, l'omniprésence de endettement la paralysie française, le retour de l'État stratège. NOS INVITÉS
Ce jeudi 18 décembre, Frédéric Simottel a reçu Cédric Ingrand, directeur général de Heavyweight Studio, Fanny Bouton, directrice du quantique chez OVHcloud, et Tristan Nitot, directeur associé Communs Numériques et Anthropocène chez OCTO Technology. Ils se sont penchés sur le lancement du projet Manhattan de la Chine, la diffusion exclusive des Oscars sur YouTube à partir de 2029, ainsi que le bilan de l'année 2025, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
La récente visite d'Emmanuel Macron en Chine a placé l'intelligence artificielle au centre des échanges franco-chinois. Au menu : coopérations éducatives, données numériques, voitures autonomes et open source.Interview : Shanhui Zhang, journaliste à China Global Television Network (CGTN)Vous avez suivi le déplacement du président français en Chine. Que faut-il en retenir sur le plan technologique ?Cette visite s'inscrit dans une continuité : c'était déjà la quatrième fois qu'Emmanuel Macron se rendait en Chine. À chaque déplacement, le président français aborde plusieurs dossiers clés - énergie, géopolitique, économie - mais cette fois encore, la dimension technologique, et en particulier l'intelligence artificielle, était centrale. La France joue un rôle important au sein de l'Union européenne, notamment dans la définition des normes, et cela pèse fortement dans les discussions avec la Chine sur l'IA, la gestion des données et les coopérations industrielles.Un moment marquant a été la tenue de la septième session du comité des entrepreneurs franco-chinois, qui réunit de grandes entreprises des deux pays pour explorer les opportunités de coopération à l'ère numérique. On a vu la présence d'acteurs majeurs de l'IA chinoise comme iFLYTEK, un leader de l'intelligence artificielle spécialisé dans la traduction automatique, l'éducation et la santé, dont les technologies sont déjà largement utilisées en Chine et pourraient, à terme, s'exporter vers la France et l'Europe.La coopération éducative et scientifique semble également centrale. Pourquoi ?Parce que l'intelligence artificielle ne se limite pas aux entreprises : elle se construit aussi dans les universités. Lors de son discours à l'université du Sichuan, Emmanuel Macron a clairement évoqué les opportunités offertes aux étudiants chinois de venir étudier en France, notamment dans le domaine de l'intelligence artificielle et des hautes technologies.Mais il faut aussi souligner que la Chine a énormément investi ces dernières années dans l'enseignement de l'IA. L'avenir ne sera donc pas une coopération à sens unique, mais plutôt une exploration commune, « main dans la main ». L'objectif est un échange équilibré de compétences, de chercheurs et d'étudiants, bénéfique à la fois à la Chine et à la France.Les questions des données et de la méfiance européenne à l'égard de la Chine ont-elles été abordées ?Oui, c'est un sujet absolument central, qui touche au cœur même de la coopération technologique entre la Chine et l'Europe. En juillet 2025, un dialogue spécifique sur l'intelligence artificielle a eu lieu entre le vice-ministre chinois des Sciences et Technologies et l'envoyé spécial du président français. Les deux parties ont publié une déclaration commune insistant sur le développement d'une IA sûre, équitable et porteuse de sens, ainsi que sur la nécessité d'une gouvernance mondiale de ces technologies.La Chine cherche aujourd'hui à rassurer les Européens, notamment sur la gestion des données, en travaillant avec l'Union européenne à la création de plateformes bilatérales et à une meilleure organisation des flux de données. L'idée est de trouver des convergences entre les règles européennes, comme le Règlement général sur la protection des données (RGPD), et les lois chinoises sur la sécurité des données, afin de bâtir un cadre commun acceptable des deux côtés.Voir : China Global Television Network (CGTN)-----------♥️ Soutien : https://mondenumerique.info/don
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On August 5th,1689, Iroquois warriors launched a surprise attack against the small (375 inhabitants) settlement of Lachine, New France, at the upper end of Montreal Island. Check out the YouTube version of this episode at Video link https://youtu.be/_LBN6-w-t3Y which has accompanying visuals including maps, charts, timelines, photos, illustrations, and diagrams. Lachine Massacre books available at https://amzn.to/4pJ1zBW Iroquois books available at https://amzn.to/42Oal6k French King Louis XIV books at https://amzn.to/3HGyVkr New France books available at https://amzn.to/3nXKYzy ENJOY Ad-Free content, Bonus episodes, and Extra materials when joining our growing community on https://patreon.com/markvinet SUPPORT this channel by purchasing any product on Amazon using this FREE entry LINK https://amzn.to/3POlrUD (Amazon gives us credit at NO extra charge to you). Mark Vinet's HISTORICAL JESUS podcast at https://parthenonpodcast.com/historical-jesus Mark's TIMELINE video channel: https://youtube.com/c/TIMELINE_MarkVinet Website: https://markvinet.com/podcast Facebook: https://www.facebook.com/mark.vinet.9 X (Twitter): https://twitter.com/MarkVinet_HNA Instagram: https://www.instagram.com/denarynovels Mark's books: https://amzn.to/3k8qrGM Audio credit: France and England in North America by Francis Parkman, Jr. — Count Frontenac and New France under Louis XIV, Librivox read by C. Major.See omnystudio.com/listener for privacy information.
En 2025 les exportations d'acier de la Chine s'annoncent records. Sur les onze premiers mois de l'année, les volumes exportés ont déjà atteint plus de 100 millions de tonnes. L'acier chinois inonde toujours le monde – les exportations ont plus que doublé ces cinq dernières années – mais les destinataires ne sont plus tout à fait les mêmes. L'acier chinois à bas prix fait l'objet de plusieurs enquêtes antidumping lancées par des pays dont les producteurs crient à la concurrence déloyale. Plusieurs États ont aussi décidé d'instaurer des droits de douane sur l'acier chinois. On peut citer les États-Unis, le Vietnam ou encore la Corée du Sud. Ces mesures protectionnistes ont été compensées par une demande issue de marchés sur lesquels il y a moins de restrictions. C'est le cas en Asie du Sud-Est – aux Philippines, en Thaïlande et en Indonésie – et en Afrique où la demande s'est consolidée. L'engouement pour l'acier chinois s'observe surtout au Moyen-Orient. L'Arabie saoudite s'est imposée comme la destination phare de 2025. Sur les neuf premiers mois de l'année, les expéditions vers le royaume ont bondi de plus de 40 % selon les calculs de l'agence Bloomberg. Production en baisse depuis six mois Si les exportations de Chine atteignent des records, la production dans le pays s'est plutôt stabilisée sur la dernière décennie. Elle est même en baisse depuis six mois consécutifs. En novembre, elle a diminué de plus de 4 % par rapport à octobre et atteint son plus bas niveau en près de deux ans, soit 69,8 millions de tonnes. Cette baisse s'explique par une baisse des marges. Selon l'agence Reuters, qui cite des données du cabinet Mysteel, fin novembre environ la moitié des aciéries chinoises étaient rentables, contre les deux tiers fin octobre. La Chine a cependant toujours une capacité de production d'un milliard de tonnes par an. Une surcapacité accentuée par la faible demande intérieure liée au ralentissement prolongé du marché de l'immobilier. Les estimations font état d'une baisse de 2 % de la demande en Chine cette année et de 1 % l'année prochaine. Une contrainte pour les producteurs qui n'ont pas d'autre choix que d'exporter toujours d'énormes volumes. Encadrement des exportations chinoises La Chine vient cependant de décider d'encadrer ses exportations d'acier à partir de janvier prochain. Les exportateurs seront soumis à l'obtention d'une licence pour exporter une gamme de 300 produits. L'octroi de ces licences se fera en fonction de leurs contrats d'exportation et après étude des certificats de qualité des produits concernés. Cette mesure va-t-elle permettre un meilleur équilibre entre l'offre et la demande mondiale, comme le dit l'Association chinoise du fer et de l'acier (China Iron and Steel Association) ? Dans l'immédiat, la portée et l'impact de cette décision restent très difficiles à évaluer. À lire aussiLa Chine fausse le marché mondial de l'acier, selon un rapport de l'OCDE
Oscar et Sacha sont épuisés. Ils ont crapahuté le long de la muraille de Chine toute la matinée. Ils décident de faire une pause sur une des innombrables marches de ce gigantesque édifice, une des 7 merveilles du monde.Un podcast interprété et mis en musique par Xavier Creff© Unique Heritage Media Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pékin appelle les producteurs à suspendre les exportations de fertilisants phosphatés jusqu'à l'été 2026, officiellement pour sécuriser les semis de printemps. Derrière cette décision technique se cache une bataille stratégique sur les prix, la dépendance aux importations et la sécurité alimentaire. L'appel de Pékin a un objectif affiché : privilégier le marché intérieur et éviter une flambée des prix à l'approche des semis de printemps. La décision a été actée lors d'une réunion organisée le 11 décembre sous l'égide de la Commission nationale du développement et de la réforme, le puissant organe de planification économique. Producteurs, distributeurs et autorités y ont tiré la sonnette d'alarme : dans plusieurs régions, les prix deviennent instables et compliquent la constitution des stocks, alors même que la production nationale reste élevée. Le soufre en cause Cette volatilité a une cause majeure : le soufre. Matière première indispensable à la fabrication des engrais phosphatés, son prix a explosé. Début décembre, il atteignait plus de 4 100 yuans la tonne (environ 495 euros) dans les ports chinois, un niveau proche d'un record sur dix ans, soit une hausse de près de 200 % sur un an. La Chine est particulièrement exposée. Près de la moitié de sa consommation de soufre dépend des importations. Or, le marché mondial est sous tension. La Russie, autrefois deuxième producteur mondial, a vu sa production perturbée par des attaques sur ses raffineries et a instauré une interdiction temporaire d'exportation. À lire aussiComment la Chine pousse l'Europe vers le protectionnisme Implications mondiales Dans le même temps, les tensions persistantes sur l'offre pétrolière au Moyen-Orient alimentent la hausse des prix internationaux. En conséquence, les coûts de production s'envolent et se répercutent en aval. En novembre, les prix de certains engrais phosphatés ont bondi d'environ 500 yuans la tonne en quelques semaines, restant à des niveaux élevés en décembre. Face à ce risque, Pékin demande aux entreprises de maintenir des cadences élevées, de renoncer aux exportations, d'éviter toute spéculation et de stabiliser les prix jusqu'à la fin de la saison des semis. L'enjeu dépasse l'agriculture : pour les autorités chinoises, des engrais abordables sont un pilier de la sécurité alimentaire nationale, devenue priorité absolue depuis la pandémie et les tensions géopolitiques mondiales. À lire aussiLa Chine sort de la déflation, une bonne nouvelle pour le pays, mais à confirmer sur la durée
durée : 00:02:12 - Le brief éco - La carte du capitalisme mondial se redessine à grande vitesse, et pas en faveur de l'Europe. L'Inde s'impose comme l'un des leaders sur le marché du numérique, notamment grâce à l'intelligence artificielle. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
(00:00:33) La Genève internationale n'a pas fini de perdre des plumes. Invité: Stéphane Bussard (00:08:27) La Chine parie sur les puces bon marché pour inonder la planète de ses IA (00:15:20) 30 ans dans l'UE: pourquoi l'Autriche reste profondément insatisfaite
Le déséquilibre commercial entre la Chine et l'Union européenne atteint des niveaux records. Alors que Pékin redirige massivement ses exportations vers le marché européen, Bruxelles durcit le ton et assume un tournant plus protectionniste, au nom de la défense de son industrie et de sa sécurité économique. Le constat est sans appel. Le déficit commercial de l'Union européenne vis-à-vis de la Chine s'est envolé, atteignant près de 300 milliards d'euros cette année. L'Europe importe aujourd'hui deux fois plus de produits chinois qu'elle n'en exporte vers Pékin. Une situation dénoncée ouvertement par Emmanuel Macron. Ces derniers jours, le président français a évoqué un déséquilibre « insupportable », estimant que le continent européen est désormais confronté à une menace directe pour son tissu industriel. Cette dynamique s'est nettement accélérée depuis le durcissement de la politique commerciale américaine. Les droits de douane massifs imposés par les États-Unis ont poussé la Chine à rediriger une partie de ses marchandises vers d'autres régions du monde. Et dans ce contexte, l'Europe se retrouve en première ligne. À Bruxelles, l'inquiétude est palpable. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, parle désormais d'un « point critique » dans la relation commerciale entre l'Union européenne et la Chine. À lire aussiVisite d'Emmanuel Macron à Pékin: pourquoi la France veut désormais apprendre de la Chine Un « nouveau choc chinois » pour l'industrie européenne Les effets de cette montée en puissance des exportations chinoises se font sentir dans presque tous les secteurs. De l'automobile au textile, en passant par les jouets ou l'électronique, toute la chaîne industrielle européenne est sous pression. La guerre commerciale entre Pékin et Washington joue ici un rôle déterminant. Si les États-Unis ont réussi à freiner certaines importations chinoises, l'Europe apparaît comme la victime collatérale de ce bras de fer. Certains observateurs évoquent déjà l'émergence d'un nouveau « choc chinois », rappelant celui des années 2000, mais avec cette fois des secteurs à plus forte valeur ajoutée en première ligne. À cela s'ajoute un phénomène plus récent et particulièrement massif : le commerce en ligne chinois. Les plateformes comme Shein ou Temu expédient chaque jour des millions de petits colis vers l'Union européenne, souvent à très bas prix et en grande partie hors des circuits douaniers classiques. Bruxelles durcit le ton, au risque de représailles Face à cette situation, la Commission européenne a décidé de réagir. Vendredi, l'exécutif européen a annoncé son intention d'imposer une taxe de 3 euros sur les petits colis chinois à partir de juillet 2026. Une mesure d'urgence, destinée à limiter la concurrence jugée déloyale de ces produits et à protéger les commerçants européens. Mais ce n'est qu'un volet d'un changement de philosophie plus large. Après des décennies d'ouverture et de libre-échange, le protectionnisme n'est plus un tabou à Bruxelles. Trois grandes familles de mesures sont actuellement à l'étude. D'abord, la création d'un pôle de sécurité économique, chargé d'identifier les risques et d'anticiper les tensions commerciales. Ensuite, un encadrement plus strict des investissements étrangers, notamment chinois, avec des conditions sur les transferts de technologie et la production sur le sol européen afin d'éviter des investissements jugés prédateurs. Enfin, de nouveaux outils de défense commerciale, comme la taxation de produits fortement subventionnés par Pékin. Un pari risqué. En régulant davantage son marché, l'Europe s'expose à d'éventuelles représailles chinoises. Cela pourrait se traduire par une hausse des prix à l'importation, un impact sur l'inflation, mais aussi par une fragilisation des exportateurs européens si l'accès au marché chinois devenait plus difficile. Bruxelles avance donc sur une ligne de crête : se protéger face à une concurrence jugée déloyale, tout en évitant d'entrer dans une spirale de guerre commerciale incontrôlée.
Cette semaine : les architectes de l'IA, GPT 5.2, les meilleurs smartphones, futures lunettes google, data centers dans l'espace, rapprochements Chine et Europe, souveraineté numérique et protection des données de santé.
Invité :Benoît Perrin, Directeur de Contribuables AssociésDébatteurs :Georges Fenech, ancien magistratAlexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du FigaroHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comme grands névrosés, les IA font-elles de bons thérapeutes ? De bons responsables politiques ? On fait la revue des modèles de la semaine et une revue du matériel de la tech du moment dans cet épisode de podcast tech, avec la hausse du prix de la mémoire vive. On observe aussi comment les États-Unis voudraient gagner en indépendance vis-à-vis de l’européen ASML pour construire des appareils capables de graver les processeurs de demain. Nouveau : offrez un abonnement Patreon pour Noël : techcafe.fr/cadeau Patreon YouTube Discord Modèles de la semaine Kling O1 et le bon son. Neural Remaster, Ultra Image, LATTICE et RELIC Nano banana, la beauté de l'imperfection. Dans un océan de fake, la réponse c'est… la PSP. L'IA peut nous influencer politiquement. Moi, je voterais pour elle. En tant que grands névrosés, les LLM font pas de bons thérapeutes. Ça va ramer Aux Ram citoyens, pleurez configurations ! Un choc qui restera dans les mémoires… La Chine passe au 5nm, va-t-on acheter ? Partenaire particulé : ça s'accélère E pluribus unum : share moment share life avec Hodak. Ils plient mais ne rompent pas. Réforme des retraites chez Apple. Pour votre sécurité, soyez Reactif. Participants Une émission préparée par Guillaume Poggiaspalla Présenté par Guillaume Vendé
Aujourd'hui, Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Charles Consigny, avocat, et Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Sun Yat-Sen est considéré comme le père de la Révolution chinoise, celui qui a mis fin à 4600 ans de monarchie. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:38:07 - L'Invité(e) des Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - Les chiffres de la puissance chinoise donnent le vertige : pour la première fois, Pékin affiche un excédent commercial record de plus de 1 000 milliards de dollars. Face à cette accélération sans précédent, l'Europe est-elle condamnée à rester sur le carreau ? La Chine a-t-elle déjà gagné ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Stéphanie Balme Chercheuse et professeure, directrice du Centre de recherches internationales (CERI) de Sciences Po, spécialiste de la diplomatie scientifique, de la Chine globale et des relations Chine-US-UE.; Romain Graziani Professeur en études chinoises à l'école normale supérieure de Lyon; Jean-François Huchet Economiste, spécialiste de la Chine, et président de l'Institut national des langues et civilisations orientales
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 7 décembre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.David Djaïz, entrepreneur et essayiste.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Ce mardi 9 décembre, le record d'excédent commercial de la Chine de janvier à novembre, Paris qui pousse l'UE à taxer Pékin sur le commerce, et la place de l'Europe dans la compétitivité internationale en matière d'IA, ont été abordés par Erwann Tison, chargé d'enseignement à l'université de Strasbourg, Olivier Babeau, président de l'Institut Sapiens, et Rafik Smati, fondateur de Louxor.ai et président du groupe Aventers, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mardi 9 décembre, Jacques Lemoisson, fondateur de Gate Capital Management, était l'invité de Annalisa Cappellini dans Le monde qui bouge - L'Interview, de l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier. Ils sont revenus sur les propos menaçants de Macron qui prétend imposer des droits douaniers à la Chine, alors que la France ne fait pas le poids dans les échanges commerciaux et dans la compétition industrielle, avant de parler des pistes d'action pour lutter contre le rouleau compresseur chinois. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:38:01 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - La semaine dernière, du 3 au 5 décembre, Emmanuel Macron s'est rendu en Chine afin d'y rencontrer son homologue le président Xi Jinping. Comment lire le dialogue sino-français malgré un déséquilibre bilatéral très net ? Emmanuel Macron s'illusionne-t-il sur la capacité de la France à négocier ? - invités : François Bougon Journaliste, responsable du service international de Mediapart; Emmanuel Lincot Professeur à l'Institut Catholique de Paris, chercheur associé à l'Iris et sinologue; Françoise Nicolas Conseillère du centre Asie de l'Ifri
Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 08 décembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce lundi 8 décembre, François Sorel a reçu Enguerand Renault, directeur de la rédaction Satellifacts, Salime Nassur, fondateur de Maars, et Frédéric Simottel, journaliste BFM Business. Ils se sont penchés sur l'assaut des lunettes connectées chinoises sur les marchés occidentaux, les démissions en série chez Apple, ainsi que l'accélération de MaiaSpace dans le spatial français, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:08:45 - L'invité de 7h50 - par : Léa Salamé - L'invité du 7H50 de Benjamin Duhamel est Gérard Araud, ancien ambassadeur de France aux Etats-Unis, ancien représentant permanent de de la France auprès de l'ONU. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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durée : 00:08:45 - L'invité de 7h50 - par : Léa Salamé - L'invité du 7H50 de Benjamin Duhamel est Gérard Araud, ancien ambassadeur de France aux Etats-Unis, ancien représentant permanent de de la France auprès de l'ONU. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:38:01 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - La semaine dernière, du 3 au 5 décembre, Emmanuel Macron s'est rendu en Chine afin d'y rencontrer son homologue le président Xi Jinping. Comment lire le dialogue sino-français malgré un déséquilibre bilatéral très net ? Emmanuel Macron s'illusionne-t-il sur la capacité de la France à négocier ? - invités : François Bougon Journaliste, responsable du service international de Mediapart; Emmanuel Lincot Professeur à l'Institut Catholique de Paris, chercheur associé à l'Iris et sinologue; Françoise Nicolas Conseillère du centre Asie de l'Ifri
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Et tout porte à croire qu'avec les droits de douane de Trump, qui ferment en grande partie la porte du marché américain aux exportations de l'empire du Milieu, ce phénomène est appelé à s'amplifier et à durer. Cela traduit l'impressionnante montée en puissance de la Chine dans un grand nombre de technologies, notamment dans les industries vertes, sur lesquelles l'Europe se retrouve désormais, dans un renversement du rapport de force, en position de demandeur. Face à la Chine, sur le plan économique et commercial, l'Europe n'est plus naïve : elle filtre les investissements ; applique des droits de douane sur les biens bénéficiant de subventions à la production, comme les voitures électriques ; travaille à desserrer l'étau de sa dépendance en ressources de base, comme les terres rares et les aimants permanents ; elle prend des mesures commerciales fortes, comme les quotas qui s'appliqueront pour l'acier et l'inox au 1er janvier prochain. Elle se convertit à l'idée, très française, de préférence européenne notamment pour les achats publics. Début décembre, le commissaire Stéphane Séjourné a porté à Bruxelles un texte pour conditionner les investissements en Europe à des transferts de technologie. Ces mesures révèlent un changement de logiciel de la Commission européenne, dans un rapport de force de plus en plus tendu avec Pékin. La prise de conscience des vulnérabilités stratégiques européennes gagne des pays pour qui le libre-échange était auparavant l'alpha et l'oméga, comme l'Allemagne, les Pays-Bas ou les Scandinaves.Pour sa quatrième visite d'État en Chine depuis 2017, du 3 au 5 décembre, Emmanuel Macron, qui était accompagné en 2023 par la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, a été bien seul face à Xi Jinping. Les Chinois sont aujourd'hui en position de force dans presque tous les domaines. Les contentieux entre la France et la Chine s'accumulent. L'Ukraine en est l'exemple le plus patent, à l'heure où Donald Trump cherche à précipiter un accord de paix, au risque de s'aligner sur les positions de Vladimir Poutine : bientôt quatre ans après l'invasion russe, Pékin n'a jamais faibli dans son soutien diplomatique et industriel à l'effort de guerre russe. Le numéro un chinois a opposé une fin de non-recevoir à la demande du chef de l'État français de faire pression sur la Russie. Le président français a également pressé son hôte sur le front économique, en quête d'un grand « rééquilibrage » avec là aussi une réponse fuyante de l'« usine du monde », qui déverse ses surcapacités industrielles aux quatre coins de la planète.LE BLOC CENTRAL S'EFFONDRE-T-IL ?Le projet de loi de financement de la Sécurité sociale est revenu mardi en deuxième lecture à l'Assemblée nationale. Vendredi, les députés ont adopté son volet recettes pour 2026, par 166 voix pour et 140 contre. Paradoxalement, le gouvernement s'inquiète davantage des votes du bloc central (Renaissance, Modem, Horizons, et LR) que de ceux des oppositions. Or les députés du parti Horizons, présidé par Édouard Philippe, n'entendent pas voter pour ce texte qui « ne propose pas de réduction du déficit, repose sur de nouvelles mesures de fiscalité et ne propose pas de nouvelles mesures de réduction de dépenses », selon le patron du groupe à l'Assemblée Paul Christophe. Des gestes ont été faits, sur la Défense, ou le prix de l'électricité, mais ce coup de pression venant d'un parti qui compte trois ministres au sein du gouvernement Lecornu, est mal compris par ses partenaires. Une adoption du texte, le 9 décembre, serait un succès pour le Premier ministre, qui espère provoquer ensuite une dynamique favorable sur le projet de budget de l'État. Les incertitudes demeurent d'autant plus que l'amertume monte au sein du bloc central, après avoir dû concéder des mesures aux socialistes, dont la suspension de la réforme des retraites de 2023.À un an et demi du scrutin présidentiel, dans un bloc central affaibli par les divisions et avec l'impopularité du président sortant, aucun candidat « naturel » n'a pour l'heure émergé. Seul prétendant déclaré, l'ancien Premier ministre Edouard Philippe s'efforce de s'imposer comme le candidat de la droite et du centre et exclut de passer par une primaire. Après son appel à la démission du président de la République, un sondage est venu, depuis, ébranler son camp. Selon le dernier baromètre Odoxa publié le 25 novembre, pour la première fois au second tour, face à Édouard Philippe, Jordan Bardella recueillerait 53% des voix. Quoi qu'il en soit de la fiabilité d'un sondage de deuxième tour dont les sondeurs eux-mêmes soulignent la fragilité, en avril dernier, Édouard Philippe était donné vainqueur de Jordan Bardella au second tour, avec 54% contre 46%. Cette baisse dans les sondages affecte tout le bloc central, soulignent les philippistes, alors que les discussions budgétaires au Parlement s'enlisent. L'affaiblissement de l'ancienne majorité présidentielle dans les sondages serait selon eux le résultat d'une « succession de mauvais choix » d'Emmanuel Macron, lequel aurait « contaminé » les prétendants issus de son camp. « Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés », résume l'eurodéputée Nathalie Loiseau, membre d'Horizons. Le patron du parti macroniste Gabriel Attal se réjouit en privé, de talonner le Havrais dans les sondages et croit de plus en plus pouvoir incarner l'espace central, dans l'esprit du « en même temps » de 2017, que réfute Édouard Philippe.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:13:57 - Le Débat d'On n'arrête pas l'éco - Jeudi, à Pékin, Emmanuel Macron a appelé le président chinois Xi Jinping à favoriser des "investissements croisés" pour rééquilibrer la relation commerciale entre les deux pays. Vœu pieux ou objectif envisageable ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
En Chine, Emmanuel Macron est arrivé à Pékin et a été accueilli en grande pompe. Deux grands sujets ont été évoqués autour de la table, notamment au sujet des déséquilibres commerciaux croissants entre la Chine et l'Europe. Écoutez RTL autour du monde du 4 décembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:47 - Journal de 8 h - Quels sont les liens entre Dominique de Villepin et la Chine ? L'ancien Premier ministre s'y est rendu une cinquantaine de fois depuis 2007 et sa sortie de Matignon. D'après la Cellule investigation, les factures de deux de ses conférences données là-bas ont été réglées par les autorités chinoises.
durée : 00:14:47 - Journal de 8 h - Quels sont les liens entre Dominique de Villepin et la Chine ? L'ancien Premier ministre s'y est rendu une cinquantaine de fois depuis 2007 et sa sortie de Matignon. D'après la Cellule investigation, les factures de deux de ses conférences données là-bas ont été réglées par les autorités chinoises.
durée : 00:14:47 - Journal de 8 h - Quels sont les liens entre Dominique de Villepin et la Chine ? L'ancien Premier ministre s'y est rendu une cinquantaine de fois depuis 2007 et sa sortie de Matignon. D'après la Cellule investigation, les factures de deux de ses conférences données là-bas ont été réglées par les autorités chinoises.
Alors que la France affiche un déficit commercial record vis-à-vis de la Chine (47 milliards d'euros), Emmanuel Macron cherche à obtenir des transferts de technologies venus de Pékin. Un basculement historique qui redéfinit les rapports de force industriels entre l'Europe et la Chine. Le déplacement d'Emmanuel Macron en Chine intervient dans un contexte de déséquilibre commercial massif au profit de Pékin. Longtemps, la Chine exportait surtout des biens d'entrée de gamme. Ce temps est révolu. Désormais, Pékin expédie vers l'Europe des voitures électriques, des panneaux solaires, des batteries, ou encore des composants électroniques. Autrement dit, tout ce dont l'Europe a besoin pour réussir sa transition énergétique. Face à cette montée en puissance, la France doit revoir sa stratégie : accueillir sur son territoire des entreprises chinoises, créer de l'emploi et, surtout, récupérer du savoir-faire, ce qu'on appelle des transferts de technologies. Ce mouvement illustre un changement de rôle inédit entre la Chine et les Occidentaux. Pendant quarante ans, les technologies venaient d'Europe vers les usines chinoises. Aujourd'hui, c'est l'inverse. À lire aussiEn visite en Chine, Emmanuel Macron plaide pour un «rééquilibrage» des relations commerciales Renault, Forvia, Orano : quand les groupes français apprennent en Chine L'exemple le plus spectaculaire est celui du secteur automobile. Renault a ouvert l'an dernier à Shanghai un centre de développement dédié à l'électrique. Objectif : apprendre auprès des meilleurs ingénieurs chinois. Le résultat est plus que concret, puisque la nouvelle Twingo électrique, produite en Europe mais développée en Chine, a été conçue deux fois plus vite que les standards européens. Même dynamique pour l'équipementier automobile Forvia, qui travaille avec le géant chinois BYD, devenu premier constructeur mondial de voitures électriques. Ou encore le groupe français Orano, désormais associé au chinois XTC dans l'extraction et le traitement de métaux critiques. Ces exemples illustrent le renversement stratégique en cours. Ce sont désormais les industriels français qui viennent chercher des méthodes, des technologies et un tempo industriel en Chine – ce que certains appellent désormais le « China speed ». À lire aussiBYD dépasse Tesla: comment le géant chinois des voitures électriques conquiert le monde Une stratégie à double tranchant La France veut bien sûr préserver sa souveraineté industrielle. Mais Pékin y voit aussi son intérêt. En partageant certaines technologies, la Chine maintient son accès au marché européen, dans un contexte de tensions commerciales croissantes. Ces collaborations permettent aussi à Pékin de sécuriser des partenariats scientifiques, la France et l'Europe restant des leaders en publications de recherche, ce qui demeure un atout stratégique pour la Chine. Enfin, Pékin cherche à diversifier ses alliances face aux États-Unis et à montrer qu'elle peut être un partenaire – pas seulement un concurrent. Mais la France n'est pas seule sur les rangs. La compétition ne se joue plus uniquement entre l'Europe et la Chine. Elle se joue au sein même de l'Union européenne. Hongrie, Espagne et d'autres pays cherchent, eux aussi, à attirer les investissements chinois. Et dans cette course, chacun veut obtenir sa part du savoir-faire technologique venu de Pékin. Reste une question centrale, décisive pour les années à venir : la France parviendra-t-elle à obtenir assez de transferts de technologies pour éviter une dépendance aux filières chinoises ? C'est tout le défi industriel – et géopolitique – des prochaines années. À lire aussiLa Chine est-elle vraiment en train de bousculer l'ordre technologique mondial?
durée : 00:05:33 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - L'Inde ordonne aux fabricants de téléphones portables d'équiper leurs modèles vendus sur son sol d'une application de cybersécurité conçue par le gouvernement. L'opposition dénonce une invasion de la vie privée. La Chine utilise l'intelligence artificielle pour renforcer sa surveillance en ligne.
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 03 décembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pékin accueille à partir de mercredi (3 décembre 2025) le président français Emmanuel Macron pour une visite sous le signe de l'économie. Un enjeu de premier plan pour le géant chinois engagé dans une lutte avec les États-Unis pour le leadership de l'intelligence artificielle. Pékin peut-il rattraper Washington dans ce domaine ? Quels sont les atouts de la Chine ? Quels sont les enjeux de cette bataille ? Pour en débattre : - Jean-Baptiste Monnier, vice-président de l'institut de recherches «Asia Centre» - Julien Pillot, économiste spécialiste de l'industrie numérique, enseignant-chercheur à l'Inseec Business School, chercheur associé au CNRS - Guillaume Grallet, journaliste high-tech au Point et chroniqueur à France 24, auteur du livre «Pionniers : Voyage aux frontières de l'intelligence artificielle» éditions Grasset.
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 03 décembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pékin accueille à partir de mercredi (3 décembre 2025) le président français Emmanuel Macron pour une visite sous le signe de l'économie. Un enjeu de premier plan pour le géant chinois engagé dans une lutte avec les États-Unis pour le leadership de l'intelligence artificielle. Pékin peut-il rattraper Washington dans ce domaine ? Quels sont les atouts de la Chine ? Quels sont les enjeux de cette bataille ? Pour en débattre : - Jean-Baptiste Monnier, vice-président de l'institut de recherches «Asia Centre» - Julien Pillot, économiste spécialiste de l'industrie numérique, enseignant-chercheur à l'Inseec Business School, chercheur associé au CNRS - Guillaume Grallet, journaliste high-tech au Point et chroniqueur à France 24, auteur du livre «Pionniers : Voyage aux frontières de l'intelligence artificielle» éditions Grasset.
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Entre robotaxis, robots humanoïdes téléopérés et compétition géopolitique autour de l'IA, Michel Lévy-Provençal raconte trois semaines au cœur des métropoles asiatiques les plus innovantes.Michel Lévy-Provençal, prospectiviste et dirigeant de BrightnessPourquoi avoir entrepris ce long voyage en Asie et qu'est-ce qui vous a le plus frappé à Shenzhen ?Je suis parti à la fois pour respirer et pour une opportunité professionnelle qui m'a conduit dans six métropoles asiatiques. À Shenzhen, j'ai reçu une véritable claque : une ville verte, silencieuse, largement électrifiée, bien loin des clichés de mégalopole polluée. Là-bas, tout repose sur l'écosystème mobile local. Sans WeChat, on ne peut strictement rien faire : payer, s'identifier, réserver un billet. Cette dépendance crée un mélange étrange de confort et d'oppression, renforcé par la biométrie systématique aux frontières et la surveillance omniprésente. Malgré cela, l'efficacité est bluffante. J'ai compris que Shenzhen est pensée comme une scène technologique destinée à montrer, très explicitement, la puissance numérique chinoise.Comment avez-vous vécu l'expérience des robotaxis et des robots humanoïdes ?Les robotaxis ont été une découverte spectaculaire. J'ai utilisé un taxi autonome de Pony.ai pour quelques euros à peine, une démonstration assumée de maturité technologique. Certaines voitures roulent totalement sans chauffeur, d'autres disposent d'un superviseur immobile, volontairement mis en retrait pour prouver la fiabilité du système. C'est fluide, précis, impressionnant. Du côté de la robotique humanoïde, j'ai visité les laboratoires d'Engine AI. Leurs robots marchent, courent, se rattrapent, dansent, manipulent des objets avec des gestes très crédibles. Mais tout est téléopéré : aucune autonomie réelle. Les vidéos virales que nous voyons montrent des machines pilotées à distance. La mécanique est brillante, mais la couche d'intelligence embarquée manque encore pour évoluer dans un environnement complexe.Quel regard portez-vous sur la compétition technologique entre la Chine, les États-Unis et le Japon ?La Chine mène aujourd'hui une offensive technologique assumée. En IA, des modèles comme Kimi cherchent clairement à rivaliser avec les modèles américains. En robotique ou en mobilité autonome, la communication est massive, calculée, internationale. À l'inverse, le Japon m'a semblé en retrait. Lors d'un échange avec l'ancien ministre de la Transformation Numérique, j'ai été frappé d'entendre Mistral cité comme exemple positif de stratégie souveraine. On voit bien que la compétition ne se joue plus seulement sur la performance brute mais sur la vitesse d'exécution, la frugalité, la cohérence stratégique et le récit.Qu'avez-vous observé en Asie concernant l'image de la France et ses opportunités ?J'ai été surpris par la puissance de la marque France dans toute l'Asie. À Séoul, Hong Kong ou Singapour, j'ai vu des dizaines de marques jouant la carte française, parfois sans lien réel avec la France. Notre imaginaire séduit : design, qualité, exigence, poésie. Nous sous-exploitons clairement ce potentiel. Des acteurs français comme Dassault Systèmes, Airbus ou TotalEnergies y jouissent déjà d'un immense respect. Je suis convaincu que nous pourrions créer bien plus de valeur en combinant technologies venues d'ailleurs et excellence française dans l'expérience, le software ou la conception. Le marché asiatique est une opportunité majeure.Brightness France : https://www.brightness.fr/-----------♥️ Soutien : https://mondenumerique.info/don
durée : 00:58:27 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Comme chaque vendredi, une émission d'actualité en deux parties : retour de terrain avec Enguerrand Armanet qui rentre de Chine, puis table-ronde sur le Japon, où la nouvelle première ministre tient une position de fermeté face à la Chine. - réalisation : Vivian Lecuivre, Margot Page - invités : Enguerrand Armanet Journaliste au Figaro; Philippe Pelletier géographe et professeur émérite à l'Université Lumière-Lyon 2, spécialiste du Japon. ; Jean-Yves Colin expert Asie du Nord au sein du think tank français Asia Centre.
durée : 00:37:00 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - À peine élue, Sanae Takaichi a provoqué l'ire de Pékin en raison de propos sur Taïwan. L'escalade verbale et militaire durant le mois de novembre 2025 a fini par se calmer, pourtant la relation entre les deux pays semble aujourd'hui contrariée. - réalisation : Vivian Lecuivre, Margot Page - invités : Philippe Pelletier géographe et professeur émérite à l'Université Lumière-Lyon 2, spécialiste du Japon. ; Jean-Yves Colin expert Asie du Nord au sein du think tank français Asia Centre.
Nous sommes vers 1620, dans l'est de la Chine. Feng Menglon, un auteur prolifique et éditeur réputé, met en scène, dans un recueil de contes intitulé « Paroles éternelles pour éveiller le monde », la rencontre orageuse entre le sous-préfet Wang, décrit comme un fonctionnaire véreux, et Lu Nan, un riche excentrique tapi au cœur de son jardin. Un jardin décrit comme un lieu de rêve où poussent les fleurs les plus rares et où se tiennent des réunions amicales très généreusement arrosées. Ce petit paradis attire irrésistiblement le sous-préfet Wang, lui-même grand buveur. Celui-ci tente, à plusieurs reprises, de s'y faire inviter, mais se heurte à des échecs répétés. Lorsqu'il parvient enfin à entrer, il découvre le propriétaire des lieux ivre mort, et totalement incapable de lui réserver l'accueil respectueux auquel il estime avoir droit. Le sous-préfet Wang repart donc fou de rage. Il se précipite à la cour, lieu où se rend la justice, là où le fonctionnaire exerce son autorité. N'écoutant que sa haine, Wang accuse Lu Nan de meurtre, il le fait battre et enfermer pendant dix ans. Cette histoire reflète les relations complexes, difficiles que les lettrés pouvaient avoir entre eux dans la Chine Impériale. Ces lettrés parmi lesquels se recrutent les élites politiques, littéraires, artistiques et intellectuelles. Mais au-delà des ces relations interpersonnelles, le lettré est un homme qui navigue entre le monde rigide de l'administration et les univers de la poésie, de la peinture, de la spiritualité en lien avec la nature. Tentons une approche … Avec nous : Françoise Lauwaert, sinologue et anthropologue, membre du Centre de recherche sur l'Asie de L'Est (EAST – ULB). « Le lettré chinois, côté cour et côté jardin » ; publié par l'Académie royale de Belgique, coll. L'Académie en poche. Sujets traités : Lettré, Chine Impériale, rigueur, administrative, art,spirtualité, Feng Menglon, jardin, Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Journal en français facile du mardi 25 novembre 2025, 17 h 00 à Paris. ► EXERCICE Comprendre un extrait du journal | Worakls, un artiste du mix | niveau B1 (exercice + PDF)Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/CDND.A