POPULARITY
Kelly, PG e Gabriel Wainer trazem as principais informações do dia sobre comportamento, cultura, humor, futebol, cotidiano, política e opinião. O Timeline Gaúcha vai ao ar de segunda a sexta-feira, das 10h às 11h, com transmissão simultânea no YouTube
The Call to Fear the LordFearing the Lord steadies your walk when life becomes uncertain.
Soixante et un conflits dans 36 pays. Un nombre de victimes inégalé depuis la fin de la Guerre froide. Le dernier rapport de l'Institut de recherche sur la paix d'Oslo est formel: le nombre de conflits armés est au plus haut depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. De nombreux gouvernements se réarment ou revoient leur budget militaire à la hausse. En Suisse, le Conseil fédéral et le Parlement veulent doubler le budget de l'armée d'ici à 2032. Dans ce contexte, où sont passés les pacifistes qui manifestaient en masse en 2003 contre la guerre en Irak par exemple? Comment définir le pacifisme aujourd'hui ? Quand le prôner ? Pourquoi continuer à le défendre? Production : Raphaële Bouchet Réalisation : David Golan Les invité.es Aline Müller Assistante et doctorante en histoire contemporaine au Département d'histoire générale de l'Université de Genève. Sa thèse (en cours) porte sur l'engagement des femmes pour la paix et le désarmement nucléaire en Europe occidentale pendant la dernière phase de la guerre froide (1976-1991). & Thomas Hippler Philosophe, historien, professeur d'histoire contemporaine à l'université de Caen Normandie. Directeur de l'Institut Pour la Paix (IPP).
Pacote tecnológico deve ser reduzido em muitas lavouras do estado
Vous n'y pensiez pas, et pourtant, sans raison apparente, cette image vous revient à l'esprit, sous forme de pensées intrusives, de cauchemars ou d'anxiété. Que l'on soit professionnellement confronté.es aux horreurs de la guerre, à la pédo-criminalité ou à la rudesse de la migration, ou que l'on tombe par hasard sur des photos ou des vidéos de violence extrême en ligne, les récits et les images choc peuvent constituer un traumatisme. Comment vit-on lorsque ces images peuplent notre quotidien ? Qui propage des photos choquantes et pourquoi ? Comment s'en protéger au mieux et comment guérir un corps et un esprit traumatisés ? Production : Laurence Difélix Réalisation : Jonathan Haslebacher Les invité.es Sandra Mazaira Psychologue psychothérapeute FSP et formatrice auprès de diverses institutions. Elle travaille dans le domaine de la migration, du traumatisme dʹexil et de guerre. & Olivier Glassey Sociologue, maître d'enseignement et de recherche à l'Université de Lausanne.
Communiquer, jouer, écouter de la musique, regarder des vidéos, prendre des photos, s'informer, apprendre, se guider dans la ville, acheter, vendre, travailler, organiser son agenda, mais aussi donner l'heure ou se réveiller : toutes les tâches de notre quotidien dépendent d'un seul outil qui tient dans la main. En seulement 15 ans, le temps passé sur les écrans, notamment des smartphones, est passé de zéro à plusieurs heures par jour. Un changement qui a des répercussions majeures au sein des couples et des familles. Avec en toile de fond, beaucoup d'inquiétudes sur les effets d'une telle exposition pour les plus jeunes. Au lieu de paniquer ou de rêver d'un monde sans écran, l'heure est à l'apprentissage des outils, à un usage négocié en famille, à une éducation numérique dans les écoles. Histoire de remettre un peu de contrôle et d'apprécier ensemble le temps retrouvé. Production : Laurence Difélix Réalisation : Jean- Daniel Mottet Les invité.es: Claire Balleys Professeure en socio-anthropologie des pratiques numériques et communicationnelles, directrice de Medialab à l'Université de Genève. & Niels Weber Psychologue - Psychothérapeute FSP, thérapeute systémicien, spécialisé en hyperconnectivité.
L'automne venu, 30 000 personnes s'emparent d'un fusil et partent à la chasse au chevreuil, au cerf, au chamois ou au sanglier. Or la chasse, même parmi celles et ceux qui la consomment volontiers dans leur assiette, suscite des sentiments ambivalents, entre fascination et répulsion. Pour les un.es, elle évoque la nature, l'aventure au grand air, une forme d'authenticité, la nécessité de réguler la faune sauvage responsable de dégâts dans les pâturages et les forêts. Pour les autres, c'est une activité inutile et cruelle. Plutôt ancrée du côté des valeurs traditionnelles et conservatrices, la chasse manifeste des signes d'évolution. L'activité suscite l'intérêt d'une population plus féminine et plus jeune, appréciant l'idée d'une nourriture locale, traçable et saine. Production : Raphaële Bouchet Réalisation : Jonathan Haslebacher Les invité.es : Marylène Patou Mathis Préhistorienne, directrice de recherche au CNRS, rattachée au Muséum national d'histoire naturelle. & Kylian Henchoz Manitha Doctorant, assistant de recherche en anthropologie à l'Université de Lausanne. Sa thèse de doctorat porte sur les pratiques de chasse en montagne en Valais.
La voiture reste de loin le moyen de transport le plus utilisé en Suisse: on monte à son bord pour faire en moyenne chaque année 9400 km. On pourrait enchaîner les statistiques: les trois quarts des déplacements liés aux achats que nous effectuons sont inférieurs à 5 kilomètres; la taille de nos voitures n'arrête pas d'augmenter, mais plus d'un ménage sur cinq en Suisse n'en possède pas; le taux de remplissage pour aller au travail n'est que de 1,14 personne par véhicule. Comment expliquer cet attachement? Qu'en est-il de la promesse d'une future voiture entièrement électrique et autonome? Sommes-nous toutes et tous égaux face à elle? Peut-on sortir collectivement de ce moyen de locomotion et est-ce souhaitable? Production : Raphaële Bouchet Réalisation : Didier Rossat Les invité.es: Tiphaine Robert Historienne, maîtresse d'enseignement suppléante à la Faculté des sciences sociales et politiques, UNIL. & Prof. Vincent Kaufmann Sociologue et directeur du LaSUR ( Laboratoire de sociologie urbaine ) EPFL.
Être bien en chair a longtemps été signe de bonne santé et de réussite sociale. Aujourd'hui, la chasse aux kilos superflus est devenue la règle. Une lutte menée au nom de la santé publique, mais aussi de normes esthétiques contraignantes, qui pèsent avant tout sur les femmes. Paradoxalement, la charge de l'effort repose sur les individus alors que la nourriture industrielle trop grasse et trop sucrée, les fastfoods ou les publicités pour la malbouffe ne sont pas réglementés. Or 43% de la population suisse est en surpoids ou en situation d'obésité. Dans ce contexte de responsabilisation individuelle, le marché des régimes – avec ou sans aide médicamenteuse - est un business juteux. Pourtant, les spécialistes sont catégoriques : les raisons des problèmes de poids sont plurifactorielles, et souvent à chercher du côté des comportements et de la santé psy. Production: Laurence Difélix Réalisation: Jean-Daniel Mottet Les invité.es: Caroline Durand Professeure agrégée au Département d'histoire de l'Université Trent, à Peterborough, Canada. & Zoltan Pataky Responsable de l'unité d'éducation thérapeutique et de la consultation d'obésité d'adultes aux HUG
En 2015, l'humanité a entendu pour la première fois les vibrations de l'univers grâce à la détection historique des ondes gravitationnelles. Une avancée qui a ouvert une nouvelle ère pour l'astronomie, offrant un moyen inédit de sonder les phénomènes les plus violents du cosmos, comme les fusions de trous noirs ou les collisions d'étoiles à neutrons. Mais depuis, des signaux intrigants, bien plus faibles, ont été observés juste après certaines fusions : des “échos gravitationnels”.Ces échos, s'ils sont réels, pourraient remettre en question notre compréhension classique des trous noirs et de la relativité générale. Ils suggéreraient l'existence de structures exotiques, ou même des effets liés à la gravité quantique, là où l'espace-temps devient si extrême que nos théories actuelles s'effondrent. De nouvelles hypothèses émergent alors : gravastars, fuzzballs, étoiles de bosons… autant de concepts qui défient notre vision traditionnelle de l'univers.Entre débats scientifiques, analyses de données ultra-fines et projets de détecteurs toujours plus sensibles, la quête des échos gravitationnels mobilise la communauté mondiale. Si leur existence était confirmée, ils pourraient constituer le premier indice tangible de la gravitation quantique et transformer radicalement notre compréhension de l'espace-temps, des trous noirs et même des origines de l'univers.
durée : 00:04:58 - Le Son d'Outre-mer - Le capitaine Michel Quioc navigue sur les eaux du Pacifique sud et il considère Les Marquises comme "l'origine du monde".
C'est un tableau mondial peu réjouissant: près de 70 pays pénalisent l'homosexualité, dont plus d'une dizaine par la peine de mort. À peine arrivé à la Maison-Blanche, Donald Trump a accumulé annonces et décrets homophobes et transphobes. Mais même en l'absence de lois liberticides, l'hostilité se niche dans toutes les sphères de la société et en premier lieu au cœur des familles, ce qui rend les personnes concernées particulièrement vulnérables. En Suisse aussi, les crimes de haine sont en augmentation. Pourtant, les droits des personnes LGBTIQ ont sensiblement progressé ces quinze dernières années et l'homophobie est désormais pénalisée au même titre que le racisme. Pourquoi la non-binarité, la transidentité et l'homosexualité dérangent-elles encore autant? Quels modèles dominants viennent-elles remettre en question? Production : Laurence Difélix Réalisation : Rodolphe Bauchau Les invité.es: Dre Caroline Dayer Déléguée cantonale aux questions d'homophobie et de transphobie dans les lieux de formation, à l'Etat de Vaud. & Dr. Thierry Delessert Collaborateur scientifique à la Faculté de Psychologie et des Sciences de l'Éducation, Université de Genève. Spécialisé sur l'histoire des (homo)sexualités en Suisse.
On dit de la Suisse qu'elle est le pays du chocolat. Une réputation internationale due à quelques grandes découvertes helvétiques datant du XIXe siècle, qui ont permis de transformer le cacao en masse fondante et crémeuse. Depuis, notre chocolat s'exporte dans le monde entier. Mais malgré le mythe et les images d'Épinal, la Suisse n'est plus leader des ventes. Côté fabrication, très peu de chocolatières et chocolatiers suisses travaillent directement à partir des fèves de cacao. La chaîne de production est contrôlée par une poignée de multinationales qui importent massivement la matière première depuis la Côte d'Ivoire et le Ghana et la transforment en chocolat de couverture, prêt à être moulé en pralinés ou en tablettes. Des fèves dont le prix explose sur le marché mondial, ce qui ne profite pas aux producteurs de cacao ivoiriens soumis à des conditions de production et de traçabilité de plus en plus strictes. Production : Raphaële Bouchet Réalisation : Matthieu Ramsauer Les invités: Samy Manga Auteur de « Chocolaté», paru chez Ecosociété. & Régis Huguenin - Dumittan Docteur en histoire et conservateur du Musée international d'horlogerie (MIH) De 2007 à 2012, il a mené une recherche financée par le Fonds national suisse sur l'image de l'entreprise Suchard à travers sa production iconographique
Um ataque a uma escola deixou, ao menos, um morto e três feridos na manhã desta terça-feira no município de Estação, na região Norte do Rio Grande do Sul. Por volta das 10 horas um adolescente de 16 anos invadiu a Escola Municipal Maria Nascimento Giacomazzi e atacou quatro pessoas. Um menino de 9 anos, identificado como Vitor André Kungel Gambirazi. Duas meninas e uma professora ficaram feridas.Uma das crianças já foi liberada e a outra foi encaminhada primeiramente a Getúlio Vargas, e depois ao Hospital Santa Terezinha, em Erechim, onde também está a docente.O adolescente, que é ex-aluno da escola onde o ataque aconteceu, foi apreendido. Conforme a Polícia Civil, o jovem não tinha antecedentes criminais. Ele foi conduzido até a Delegacia de Polícia de Getúlio Vargas, onde segue sob custódia. A motivação para o delito ainda é desconhecida.
Bébés, nous venons au monde nus. Très vite, nos parents nous habillent de vêtements qui raconteront notre classe sociale, nos origines, notre génération. Fréquente dans l'Antiquité, la nudité a été condamnée par les textes bibliques. Adam et Ève ont couvert leur sexe d'une feuille de vigne et renvoyé le corps nu dans le camp du péché et de la luxure. Aujourd'hui, la nudité est réservée à l'espace privé et intime, à peine tolérée dans les lieux consacrés à l'hygiène ou au sport. Dans l'espace public, dévoiler ses parties intimes sera taxé de folie, de provocation ou d'agression. A l'heure des crop tops, des torses nus et des mini-bikinis, la vue d'un sexe ou d'une poitrine féminine reste-t-elle un tabou? Peut-on envisager une nudité libérée de connotations sexuelles? Entre gêne, confort, pudeur et toute-puissance, comment hommes et femmes, jeunes et vieux assument-ils leur corps dénudé? Production : Raphaële Bouchet Réalisation : Sandro Lisci Les invitées: Amélie Lavin Conservatrice en chef du patrimoine, responsable du pôle Corps, apparences et sexualités au Mucem - Musée des civilisations de lʹEurope et de la Méditerranée. & Rachele Borghi Enseignante-chercheuse en géographie sociale et culturelle - Sorbonne Université.
Quand les parents sont défaillants, la société a la responsabilité de s'occuper des enfants pour qu'ils grandissent dans de bonnes conditions matérielles, affectives, sociales. Si l'encadrement familial est privilégié, il arrive que des enfants soient retirés à leur famille pour être placés en institution ou dans des familles d'accueil pour un temps indéterminé. Commence alors une vie familiale particulière, des fratries provisoires, des liens intermédiaires entre parents d'accueil et enfants accueillis. Qui est apte à décider des compétences parentales? Comment les bébés, enfants ou jeunes trouvent-ils leur place au sein de leur nouvelle famille? Comment faire face aux défis particuliers de cette éducation déléguée par l'État, quand surviennent les difficultés induites par des parcours cabossés? Production : Raphaële Bouchet Réalisation : Rodolphe Bauchau Les invitées: Gaëlle Aeby Sociologue, professeure HES-SO Valais-Wallis, chercheuse associée à l'Institut de recherches sociologiques (Faculté des sciences de la société) et au Centre d'étude, de technique et d'évaluation législatives (Faculté de Droit) de l'Université de Genève. & Joëlle Droux Historienne, spécialiste en histoire de l'éducation à la Faculté de psychologie et des sciences de l'éducation de l'Université de Genève et spécialiste de l'histoire des politiques de protection de l'enfance au xxe siècle.
En Suisse, une personne sur trois, voire une sur deux, reconnaît ne pas maîtriser les outils numériques simples et avoue rencontrer des difficultés à s'adapter à une vie toujours plus dépendante des démarches en ligne. L'illectronisme rend difficiles des tâches quotidiennes simples, comme envoyer ou recevoir un message, un courriel ou une photo, effectuer un paiement, acheter un billet de bus…Un handicap qui conduit à l'exclusion sociale et à l'appauvrissement. Contrairement aux idées reçues, la fracture numérique ne concerne de loin pas que les seniors. Qui sont ces «largué.es» du numérique? Comment peut-on les aider à reprendre pied? Quelles politiques publiques sont menées pour lutter contre l'illectronisme? Production : Raphaële Bouchet Réalisation : John Haslebacher Les invité.es: Emmanuelle Germond Informaticienne, formatrice bénévole chez Intergen, atelier dʹentraide numérique à Lausanne. & Daniele Beltrametti Chargé d'enseignement à la Faculté de Psychologie et des Sciences de l'Éducation – Université de Genève.
Salvaging Buddhism to Save Confucianism in Chosŏn Korea (1392-1910) (Cambria Press, 2023) is a fascinating book that sits at the intersection of Buddhist studies and premodern Korean literary history. Gregory N. Evon's book unfolds in two parts: the first charts the history of the place, position, and status of Buddhism in Chosŏn Korea, charting how Buddhism went from being outright attacked to grudgingly tolerated. The second part looks at how this background and court intrigue led the Chosŏn official Kim Manjung 金萬重 (1637–1692) — someone typically thought of as a stalwart Neo-Confucian — to find value in Buddhism, so much so that he wove into his novel Lady Sa's Journey to the South (Sassi namjŏng-gi 謝氏南征記) the idea that Buddhism might even hold the key to save Confucianism. Salvaging Buddhism to Save Confucianism in Chosŏn Korea should be of interest to those interested in the history of Buddhism, Chosŏn Korea, and premodern literature. It should particularly appeal to readers who might be more familiar with Kim Manjung's more well-known work, A Nine Cloud Dream (Kuunmong 九雲夢). For such readers in particular, this book offers a new and more complex way to think about this author — and the place of Buddhism in early modern Korea. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/new-books-network
Salvaging Buddhism to Save Confucianism in Chosŏn Korea (1392-1910) (Cambria Press, 2023) is a fascinating book that sits at the intersection of Buddhist studies and premodern Korean literary history. Gregory N. Evon's book unfolds in two parts: the first charts the history of the place, position, and status of Buddhism in Chosŏn Korea, charting how Buddhism went from being outright attacked to grudgingly tolerated. The second part looks at how this background and court intrigue led the Chosŏn official Kim Manjung 金萬重 (1637–1692) — someone typically thought of as a stalwart Neo-Confucian — to find value in Buddhism, so much so that he wove into his novel Lady Sa's Journey to the South (Sassi namjŏng-gi 謝氏南征記) the idea that Buddhism might even hold the key to save Confucianism. Salvaging Buddhism to Save Confucianism in Chosŏn Korea should be of interest to those interested in the history of Buddhism, Chosŏn Korea, and premodern literature. It should particularly appeal to readers who might be more familiar with Kim Manjung's more well-known work, A Nine Cloud Dream (Kuunmong 九雲夢). For such readers in particular, this book offers a new and more complex way to think about this author — and the place of Buddhism in early modern Korea. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/east-asian-studies
Salvaging Buddhism to Save Confucianism in Chosŏn Korea (1392-1910) (Cambria Press, 2023) is a fascinating book that sits at the intersection of Buddhist studies and premodern Korean literary history. Gregory N. Evon's book unfolds in two parts: the first charts the history of the place, position, and status of Buddhism in Chosŏn Korea, charting how Buddhism went from being outright attacked to grudgingly tolerated. The second part looks at how this background and court intrigue led the Chosŏn official Kim Manjung 金萬重 (1637–1692) — someone typically thought of as a stalwart Neo-Confucian — to find value in Buddhism, so much so that he wove into his novel Lady Sa's Journey to the South (Sassi namjŏng-gi 謝氏南征記) the idea that Buddhism might even hold the key to save Confucianism. Salvaging Buddhism to Save Confucianism in Chosŏn Korea should be of interest to those interested in the history of Buddhism, Chosŏn Korea, and premodern literature. It should particularly appeal to readers who might be more familiar with Kim Manjung's more well-known work, A Nine Cloud Dream (Kuunmong 九雲夢). For such readers in particular, this book offers a new and more complex way to think about this author — and the place of Buddhism in early modern Korea. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/buddhist-studies
Salvaging Buddhism to Save Confucianism in Chosŏn Korea (1392-1910) (Cambria Press, 2023) is a fascinating book that sits at the intersection of Buddhist studies and premodern Korean literary history. Gregory N. Evon's book unfolds in two parts: the first charts the history of the place, position, and status of Buddhism in Chosŏn Korea, charting how Buddhism went from being outright attacked to grudgingly tolerated. The second part looks at how this background and court intrigue led the Chosŏn official Kim Manjung 金萬重 (1637–1692) — someone typically thought of as a stalwart Neo-Confucian — to find value in Buddhism, so much so that he wove into his novel Lady Sa's Journey to the South (Sassi namjŏng-gi 謝氏南征記) the idea that Buddhism might even hold the key to save Confucianism. Salvaging Buddhism to Save Confucianism in Chosŏn Korea should be of interest to those interested in the history of Buddhism, Chosŏn Korea, and premodern literature. It should particularly appeal to readers who might be more familiar with Kim Manjung's more well-known work, A Nine Cloud Dream (Kuunmong 九雲夢). For such readers in particular, this book offers a new and more complex way to think about this author — and the place of Buddhism in early modern Korea. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/religion
Salvaging Buddhism to Save Confucianism in Chosŏn Korea (1392-1910) (Cambria Press, 2023) is a fascinating book that sits at the intersection of Buddhist studies and premodern Korean literary history. Gregory N. Evon's book unfolds in two parts: the first charts the history of the place, position, and status of Buddhism in Chosŏn Korea, charting how Buddhism went from being outright attacked to grudgingly tolerated. The second part looks at how this background and court intrigue led the Chosŏn official Kim Manjung 金萬重 (1637–1692) — someone typically thought of as a stalwart Neo-Confucian — to find value in Buddhism, so much so that he wove into his novel Lady Sa's Journey to the South (Sassi namjŏng-gi 謝氏南征記) the idea that Buddhism might even hold the key to save Confucianism. Salvaging Buddhism to Save Confucianism in Chosŏn Korea should be of interest to those interested in the history of Buddhism, Chosŏn Korea, and premodern literature. It should particularly appeal to readers who might be more familiar with Kim Manjung's more well-known work, A Nine Cloud Dream (Kuunmong 九雲夢). For such readers in particular, this book offers a new and more complex way to think about this author — and the place of Buddhism in early modern Korea. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/korean-studies
Partir en vacances très loin de chez soi avec l'espoir, assumé ou non, de rencontrer quelqu'un pour la nuit ou pour la vie. Personne ne se reconnaît dans l'expression «touriste sexuel». Pourtant, en Thaïlande, à Cuba ou à Zanzibar, les Occidentales et Occidentaux augmentent leur pouvoir d'achat et leur statut social. Les relations nouées sur place avec des locaux mettent donc en lumière des inégalités de classe, de genre et d'origine. Que viennent chercher les hommes blancs dans ces relations «exotiques»? Peut-on comparer leurs relations avec celles qu'entretiennent les femmes blanches? Comment se nouent de vraies histoires d'amour malgré le gouffre culturel et social? Production : Laurence Difélix Réalisation : David Golan Les invitées: Juliette Roguet Socio-anthropologue,spécialiste de la sociologie des masculinités, des sexualités, du tourisme et des rapports sociaux imbriqués. Son livre « Jouir de l'exotisme. Enquête auprès des séducteurs professionnels de touristes au Pérou » sortira à la rentrée aux éditions de La Découverte. & Marion Bottero Docteure en anthropologie. Ses recherches doctorales portaient sur les échanges économico-sexuels et affectifs entre Occidentaux et locaux en Malaisie et en Thaïlande. Elle a publié "Tourisme sexuel et relations conjugales en Thaïlande et en Malaisie", en 2015, aux éditions L'harmattan.
L'humour romand vit son âge d'or: Thomas Wiesel, Yann Marguet, Alexandre Kominek ou Cinzia Cattaneo sont partout, dans les théâtres, les médias, les festivals spécialisés, voire les fêtes d'entreprise. Dans leur sillage, des dizaines de jeunes tentent de les imiter, parfois d'en faire un métier. Mais l'humour n'existe pas que sur scène. Au quotidien, il est un outil puissant et utile. Qui sait provoquer le rire est bien placé.e pour séduire, vendre, imposer un point de vue, désamorcer un conflit ou simplement attirer l'attention. Or il en va de l'humour comme du sport. Le talent compte mais le travail davantage encore. Le rire s'enseigne, se pratique, s'étudie, se cultive. Les ateliers d'écriture et autres formations n'ont jamais connu autant de succès. Production :Laurence Difélix Réalisation :Jean-Daniel Mottet Les invité.es: Olivia Gazalé Philosophe, autrice du livre "Paradoxe du rire. Peut-on rire de tout sans blesser personne ?", collection AGORA chez Pocket, 2025. & Mathieu Exhenry Programmateur du festival Morges-sous-Rire.
Produtores Gaúchos ocupam rodovias para chamar a atenção sobre a necessidade de uma Securitização, para continuar produzindo, após desastres climáticos consecutivos.
Que ferait-on sans nos amis à quatre pattes ? Depuis le Covid, le nombre de chiens par ménage a pris l'ascenseur. En Suisse, c'est Genève qui détient la palme avec 645 chiens au kilomètre carré. Mais le meilleur ami de l'homme ont un coût: en moyenne 1200 francs par animal et par année. Des chiffres qui placent la Suisse au quatrième rang des pays les plus dépensiers du monde en matière de toutous, après les États-Unis, le Royaume-Uni et la France. Pourquoi prend-on un chien ? Que va-t-il révéler de nos besoins, nos goûts, nos angoisses, nos passions et nos difficultés ? Des garderies pour canidés aux concours canins, des hôpitaux aux scènes de théâtre et jusqu'aux cimetières, les chiens promènent leurs humains par le bout du nez. Production : Laurence Difélix Réalisation : Rodolphe Bauchau Les invité.es: Mylène Bertaux Journaliste, chroniqueuse et auteure de "Toutoute, la nouvelle place des chiens dans nos vies", éditions Fayard, 2024. & Nicolas Tavaglione Philosophe, auteur de "Soi-même comme un chien", éditions La Veilleuse, 2024.
Antônio da Luz apontou no Conexão Campo Cidade desta semana como os contingenciamentos têm afetado os agricultores do país e chega ao Plano Safra
L'amour inonde la littérature, les films et nos imaginaires. Le premier amour est encore plus chargé d'attentes et de fantasmes. Expérience charnière, le premier amour laisse des traces censées déterminer au moins une partie du reste de notre vie amoureuse. Un sondage mené par un site de rencontres britannique en 2015 affirmait que 60% des adultes pensaient régulièrement à la personne qui avait fait battre leur cœur pour la première fois. 40% d'entre eux déclaraient même éprouver encore «des sentiments». Mais qu'est-ce que le premier amour? Pourquoi devrait-il être plus réussi que les autres? À qui destine-t-on ses premiers émois? De la petite enfance au grand âge, comment le premier amour imprègne-t-il nos existences? Production : Raphaële Bouchet Réalisation : Jean-Daniel Mottet Les invité.es: Christine Detrez Professeure de sociologie à l'École normale supérieure de Lyon. & Didier Grandjean professeur en neuropsychologie de l'émotion et de neuroscience affective au département de psychologie de l'Université de Genève.
Au Cameroun, les autorités viennent de célébrer (le 20 mai) la Fête de l'Unité nationale. Mais dans les deux régions à majorité anglophone du pays, le Nord-Ouest et le Sud-Ouest, la violence est toujours une réalité, huit ans après le début de la lutte armée. Face à face : groupes séparatistes réclamant l'indépendance du Cameroun anglophone et forces gouvernementales. En 8 ans, la nature de la crise a changé. Les mouvements armés se sont fragmentés. Le front s'est dilué en diverses zones d'insécurité. Les civils restant les premières victimes.L'impact est réel, même dans les zones calmes des régions anglophones.En cette année électorale au Cameroun, Amélie Tulet s'est rendue fin février 2025 à Buea, capitale du Sud-Ouest, relativement sûre et terre d'accueil de nombreux déplacés. La population y souffre de la crise en termes de santé, de sécurité, ou d'économie.«Buea, les échos d'une crise oubliée au Cameroun anglophone», un Grand reportage d'Amélie Tulet, avec Alphonse Tebeck.
Les services d'urgences sont sur les genoux. Comment faire face à l'augmentation des agressions, au manque d'effectifs, à la fermeture des petites structures régionales et au manque de médecins de premiers recours qui poussent la patientèle à consulter aux urgences même pour des situations bégnines ? Les services d'urgences cristallisent toutes les problématiques que rencontre un canton, mais ils sont aussi le reflet des failles dans le système de santé suisse. Au coeur de ces structures engorgées qui gèrent des flux croissants de patient.es, il y a des hommes et des femmes qui y croient coûte que coûte. Travailler dans les hélicoptères, les ambulances ou les hôpitaux, c'est exaltant et gratifiant. Mais c'est aussi être confronté.es à la douleur, au chagrin, à la mort et à l'échec d'une intervention. Tout ce qui, au fil des années, peut laisser des traces indélébiles. Production : Laurence Difélix Réalisation : Matthieu Ramsauer Les invité.es: Dre Monica Pagin Responsable du Centre de médecine intégrative EquYlibre - Centre de Médecine intégrative et d'antalgie. Ancienne cheffe de service et responsable des urgences des établissements hospitaliers du Nord vaudois (eHnv). & Dr Jean-Pierre Randin Ancien médecin conseil de la Ville de Lausanne, fondateur du 144 et du service mobile d'urgence et de réanimation (SMUR).
L'homme ramène l'argent, la femme s'occupe des enfants. On pense ce modèle traditionnel révolu, il continue pourtant d'influencer largement l'organisation familiale: ce sont en majorité les femmes qui occupent des emplois à temps partiel, elles sont donc moins riches que leur partenaire. La question de l'argent reste d'ailleurs peu abordée au sein des couples. Pourtant, les sous sont omniprésents et la gestion des finances influence notre relation à l'autre: du premier resto à l'arrivée d'un enfant en passant par l'achat d'une maison. Et quand survient la séparation – un mariage sur deux en Suisse –, l'argent alimente les conflits et réveille les vieilles colères et frustrations. Y a-t-il une bonne manière de gérer l'argent? Comment sortir de l'inégalité financière? Production : Raphaële Bouchet Réalisation : Didier Rossat Les invité.es: Caroline Henchoz Sociologue, professeure ordinaire à la Haute école de travail social et de la santé Lausanne (HETSL) - HES-SO. & Eric Widmer Sociologue de la famille, professeur à l'Université de Genève.
On y passerait environ 2,5 années de notre vie. Le passage aux toilettes est un moment qui rythme nos journées, mais dont on parle peu. Beaucoup d'entre nous ne se retournent jamais pour observer leurs excréments baignant dans la cuvette. Pourtant, l'état de nos selles est un bon révélateur de notre santé physique et mentale. Intolérance alimentaire, stress, infection ? Les signes se lisent dans les excréments. Si le tabou qui entoure le caca est source de plaisanteries, il a également des conséquences très concrètes : sur les écosystèmes puisque, depuis le tout-à-l'égout, il n'est plus utilisé comme engrais, sur les personnes souffrant de problèmes intestinaux qui ne peuvent exprimer librement leurs soucis de santé, sur la recherche enfin, qui a dédaigné pendant des décennies l'utilisation des selles comme ressource médicale. Mais les choses commencent à changer. Avec la découverte du microbiote, le caca retrouve peu à peu ses lettres de noblesse. Production : Laurence Difélix Réalisation : Jean-Daniel Mottet Les invité.es: Marine Legrand Chercheure en anthropologie environnementale & Chargée de recherche - LEESU, École nationale des ponts et chaussées. & Prof. Jean-Louis Frossard Médecin-chef du service de gastroentérologie et d'hépatologie aux Hôpitaux universitaires genevois (HUG).
durée : 00:07:51 - Info médias - Arrivé à la tête du quotidien économique il y a tout juste un an, l'ancien journaliste de TF1 et BFM Business multiplie les nouveautés à destination des jeunes, et prépare une édition week-end pour la rentrée.
Alors que les églises catholiques et les temples réformés se vident, les cultes évangéliques cartonnent. Des cérémonies sans orgue ni cloche, mais avec des louanges et des prédications pleines d'émotions qui séduisent les jeunes et les familles. Issues de la Réforme, ces Églises libres sont financées par leurs membres, qui représentent 3 % de la population (250'000 personnes, dont 42'000 en Suisse romande). Ces chrétien.nes se disent « né.es de nouveau » après avoir personnellement rencontré Jésus, le Sauveur dont ils attendent le retour et auquel ils espèrent convertir d'autres cœurs. La Bible est une parole divine qui doit orienter les choix de vie mais aussi les mœurs : d'ancien.nes évangéliques témoignent de la difficulté de vivre leur homosexualité ou d'exercer leur liberté de penser dans ces communautés. Production : Laurence Difélix Réalisation: Yves Roulin Les invité.es: Philippe Gilbert Socio-anthropologue. Collaborateur scientifique au Centre intercantonal d'information sur les croyances (CIC). & Philippe Gonzales Sociologue des religions. Maître d'enseignement et de recherche à la Faculté des sciences sociales et politiques de lʹUNIL
Une silhouette translucide qui flotte dans l'air, une figure aux contours flous et vaporeux, un mort qui revient de l'au-delà. Les fantômes hantent notre imaginaire collectif, nourri par des récits, des tableaux ou des films, que ce soit à travers le gentil Casper ou le vilain Poltergeist. Cette représentation caricaturale fait des fantômes des personnages de folklore, errant dans des châteaux et apparaissant aux vivants pour délivrer un message, pour terminer un travail inachevé ou simplement parce qu'ils ne trouvent pas le repos. Notre société laïque et rationnelle n'a pourtant pas eu raison de la croyance dans l'au-delà et ses esprits. Il serait même de moins en moins tabou d'évoquer les manifestations de «l'invisible», comme les apparitions ou les sensations de présence. Alors que des médiums assurent pouvoir parler aux morts, d'autres partent à la chasse aux fantômes pour collecter de potentiels signes. Pourquoi ces croyances sont-elles toujours présentes aujourd'hui? D'où tirent-elles leur origine? Et que disent-elles de notre rapport à la mort? Production : Raphaële Bouchet Réalisation : Matthieu Ramsauer Les invité.es: Caroline Callard Historienne. Directrice d'études à l'Ecole des hautes études en sciences sociales et membre du Centre d'études en sciences sociales du religieux. & Gregory Delaplace Anthropologue, directeur d'études à l'École Pratique des Hautes Études.
The tables get turned on Hawkey by Tommy Olson for a change, Ben and Tommy talk nachos and propose an idea to find the best ones this summerSee omnystudio.com/listener for privacy information.
The tables get turned on Hawkey by Tommy Olson for a change, Ben and Tommy talk nachos and propose an idea to find the best ones this summer
L'art dit « brut » émerge loin des écoles et des académies. Jean Dubuffet, inventeur du terme, parlait d'un art « produit par des personnes indemnes de culture artistique ». Il répond à un besoin d'expression impérieux et spontané, souvent dans le cadre de placements psychiatriques, de détentions ou dans des conditions d'isolement choisi. Pourtant, ces oeuvres sont aujourd'hui exposées dans des musées et recherchées par des collectionneur.euses. Comment cet art, né en marge, trouve-t-il aujourd'hui sa place dans le paysage artistique et dans le marché de l'art contemporain? Production : Laurence Difélix Réalisation : Sandro Lisci Les invité.es: Natacha Isoz Historienne de lʹart, commissaire dʹexpositions et éditrice. Elle a publié " Lʹart brut et son envers : Histoire de la collection Neuve Invention ", Presses polytechniques et universitaires romandes, 2021. & Jean-David Mermod Collectionneur et marchand dʹart brut. Expert dʹAloïse Corbaz.
Pour faire carrière dans le monde artistique ou sportif, il faut commencer tôt et sacrifier de précieuses années d'enfance et d'adolescence. La réussite n'a pas de prix, mais le succès a un coût que de nombreux jeunes acceptent de payer, avec le soutien de leurs parents. Aujourd'hui, plus d'un tiers des sportives et sportifs d'élite mènent aussi des études universitaires. Concilier les deux représente un défi de taille. Les filières sports-arts-études ont progressé ces dernières années pour faciliter ces carrières duales. Mais qu'arrive-t-il quand on a tout misé pour finir au pied du podium? Qu'il s'agisse de danse, de tennis, de chanson ou d'athlétisme, de jeunes adultes racontent leur questionnement, leurs renoncements, mais aussi la passion qui nourrit leur vie. Production : Raphaële Bouchet Réalisation : Jean-Daniel Mottet Les invité.es: Isabelle Queval Philosophe, professeure des universités à l'INSEI, titulaire de la Chaire UNESCO « Handicap, Éducation et Numérique ». & Raphaël Bonetti Doctorant en psychologie du sport à l'Université de Lausanne.
Pourquoi sommes-nous stressé.es ? Selon les chiffres de l'Office fédéral de la statistique, la part des personnes qui déclarent ressentir du stress au travail a augmenté en dix ans. Elle est passée de 18% en 2012 à 23% en 2022. Mais le travail n'est pas la seule source de stress. La charge mentale, l'incertitude sur l'avenir, la recherche d'emploi, les enjeux scolaires, le bruit, les tensions familiales, les difficultés économiques jouent aussi un rôle et peuvent avoir des répercussions sur notre état de santé physique et psychique. Comment se manifeste ce stress et comment l'appréhender pour mieux le gérer ?Comment rester productif sans sacrifier sa santé mentale ? Au-delà de la gestion individuelle, quelles mesures urbanistiques ou sociales permettraient de diminuer le stress de la population générale ? Production : Laurence Difélix Réalisation : Rodolphe Bauchau Les invité.es: Aurélie Lattion Docteure en neurosciences, coordinatrice de stressnetwork.ch et co-auteure de la Fabuleuse Maison Cerveau. & Marc Loriol Sociologue et chercheur au CNRS.
durée : 00:58:34 - LSD, la série documentaire - par : Quentin Tenaud - Comment la neige crée-t-elle une culture et des imaginaires dans les pays où elle tombe ? En Lozère et en Isère, la neige fait rêver autant qu'elle effraie petits et grands enfants. - réalisation : Agnès Cathou
durée : 00:58:23 - LSD, la série documentaire - par : Quentin Tenaud - Comment a-t-on réussi à dompter la neige, à en faire un produit sur lequel capitaliser, pour le vendre à des clients toujours plus riches ? Réponses depuis une station emblématique du Plan Neige, Avoriaz. - réalisation : Agnès Cathou
durée : 00:58:21 - LSD, la série documentaire - par : Quentin Tenaud - Si la neige cesse de tomber, faut-il la fabriquer ? Tous les acteurs de la montagne ne sont pas de cet avis et la bataille de neige s'empare des vallées alpines. - réalisation : Agnès Cathou
durée : 00:59:03 - LSD, la série documentaire - par : Quentin Tenaud - Comment faire évoluer les imaginaires liés à la neige ? En Savoie, quelques avant-gardistes tentent d'imaginer la montagne de l'après-ski, pendant que d'autres recyclent un vieil imaginaire olympique. - réalisation : Agnès Cathou
En 2023, 595 305 animaux ont servi dans des expériences scientifiques en Suisse. En grande majorité des souris, mais aussi des rats, des poissons, des lapins, des cochons et des singes. Ces «modèles animaux» sont au coeur de la recherche biomédicale, pour comprendre les maladies ou mettre au point de nouveaux médicaments. L'utilisation des animaux soulève des problèmes éthiques et présente un certain nombre de limites scientifiques: les résultats obtenus sur les animaux ne sont pas toujours transposables à l'humain. De plus, ces recherches sont longues et coûteuses. Les scientifiques doivent mettre en oeuvre la méthode des 3R (reduce, refine, replace), à savoir réduire le nombre d'expériences, les améliorer et les remplacer par des méthodes de substitution sans animaux. Parmi ces alternatives, les organoïdes, dérivés de cellules souches et capables d'imiter le fonctionnement d'organes humains sont prometteurs. Pourquoi ces méthodes peinent-elles à s'imposer? Production : Raphaële Bouchet Réalisation : Matthieu Ramsauer Les invité.es: Christine Clavien Éthicienne, professeure à la faculté de médecine de l'université de Genève, et membre de la commission nationale d'éthique. & Edwin Louis-Maerten Vétérinaire et bioéthicien de formation. Assistant de recherche et d'enseignement à l'université de Bâle.
Le crack est une drogue très bon marché (10 francs la dose) obtenue à partir de résidus de cocaïne chauffés pour obtenir une galette ou un caillou avant d'être fumée. Depuis deux ans, sa consommation a explosé dans toute la Suisse, du Tessin à la Suisse alémanique mais surtout en Suisse romande. Elle est devenue la drogue de choix des polyconsommateur.trices surpassant rapidement l'héroïne et les autres opiacés. Or elle provoque des dégâts rapides chez les personnes addict, tant sur le plan de la santé physique que sur l'insertion sociale. Production : Laurence Difélix Réalisation : David Golan Les invité.es: Ruth Dreifuss Ancienne conseillère fédérale et actuelle membre de la commission globale de politique en matière de drogues. & Prof. Daniele Zullino Chef du Service d'addictologie du département de Psychiatrie, des HUG.
In this episode of the AIGA Design Podcast, host Lee-Sean Huang and Giulia Donatello interview author and consultant Karl Sakas ("Say Kiss”). Karl's clients often call him their “agency therapist.” They discuss the challenges agency owners face, including misconceptions about agency ownership, pricing strategies, and the importance of understanding market rates. Karl shares insights on productizing services, revenue growth, and how to escape the daily grind of agency ownership. The conversation emphasizes the need for agency owners to work smarter, not harder, and to focus on their strengths while delegating tasks effectively. They also delve into various aspects of running an agency, including the challenges of client strategy and sales, the importance of visualizing the future of the agency, understanding cultural differences in business practices, and the multifaceted nature of performance in leadership. Karl's latest book, Work Less, Earn More - https://amzn.to/41n4jvn Sakas and Company - https://sakasandcompany.com/ Karl's upcoming book, Calm the Chos: 10 Ways to Run a Better Agency - https://calmthechaos.xyz/ Recommended book - Overcoming Underearning: A Five-Step Plan to a Richer Life by Barbara Stanny - https://amzn.to/4i5bptK Recommended book - Meltdown: Why Our Systems Fail and What We Can Do About It Hardcover by by Chris Clearfield and András Tilcsik - https://amzn.to/3X2WdoY Join us for the 2025 AIGA Design Conference, October 9-11 in Los Angeles, California - https://www.aiga.org/design/aiga-design-conference Listen/Subscribe to the audio version of this podcast on your preferred platform - https://creators.spotify.com/pod/show/aigadesign
The Chosŏn dynasty of Korea enjoyed generally peaceful and stable relations with Ming China, a relationship that was carefully cultivated and achieved only through the strategic deployment of cultural practices, values, and narratives by Chosŏn political actors. Boundless Winds of Empire: Rhetoric and Ritual in Early Chosŏn Diplomacy with Ming China (Columbia UP 2023) explores this history, rethinking how we understand Sino-Korean relations. Boundless Winds of Empire is detailed, rich, and filled with a fascinating range of sources, including poetry, travelogues, epistolary writings, and literary anthologies. Sixiang Wang deftly weaves together these sources, highlighting the key role envoys played in shaping diplomatic strategy, the agency of Chosŏn officials, and the contested nature of the Ming empire. The 2024 winner of the UC Berkeley Hong Yung Lee Book Award in Korean Studies, this book should appeal to those interested in Chinese and Korean studies, international relations, premodern history, and anyone who has ever struggled to understand political rhetoric (this book will show you what can be done if you take it seriously). Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/new-books-network
The Chosŏn dynasty of Korea enjoyed generally peaceful and stable relations with Ming China, a relationship that was carefully cultivated and achieved only through the strategic deployment of cultural practices, values, and narratives by Chosŏn political actors. Boundless Winds of Empire: Rhetoric and Ritual in Early Chosŏn Diplomacy with Ming China (Columbia UP 2023) explores this history, rethinking how we understand Sino-Korean relations. Boundless Winds of Empire is detailed, rich, and filled with a fascinating range of sources, including poetry, travelogues, epistolary writings, and literary anthologies. Sixiang Wang deftly weaves together these sources, highlighting the key role envoys played in shaping diplomatic strategy, the agency of Chosŏn officials, and the contested nature of the Ming empire. The 2024 winner of the UC Berkeley Hong Yung Lee Book Award in Korean Studies, this book should appeal to those interested in Chinese and Korean studies, international relations, premodern history, and anyone who has ever struggled to understand political rhetoric (this book will show you what can be done if you take it seriously). Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/history