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Aujourd'hui, je suis ravie d'accueillir Olivier Bas, que vous avez déjà eu l'occasion d'entendre deux fois sur le podcast. À la fois mentor, challenger et source d'inspiration, Olivier est quelqu'un avec qui je ne suis pas toujours d'accord, mais pour qui j'ai énormément d'admiration, tant pour la profondeur et la singularité de ses réflexions que pour son sens inégalé de la formule.Ancien vice-président d'Havas Paris, conférencier et auteur à succès, Olivier remet en question l'idée même de crise du travail dans son dernier ouvrage « La has been company ». Pour lui, la véritable crise est celle du salariat. Dans un monde où les jeunes générations préfèrent la liberté à la sécurité, et où les modèles d'organisation des entreprises semblent figés dans un anachronisme, Olivier nous propose des pistes pour réinventer nos entreprises et répondre à ces nouvelles aspirations.Dans cet épisode, nous explorerons les idées les plus disruptives du dernier ouvrage d'Olivier : pourquoi nos entreprises doivent évoluer vers plus de liberté et d'agilité, comment l'esprit critique et le dialogue constructif sont devenus des compétences clés du XXIe siècle, et pourquoi l'avenir des entreprises se jouera peut-être plus dans les PME et les ETI que dans les grandes structures.Accrochez-vous, car Olivier nous invite, avec son talent habituel pour les mots, à réfléchir autrement sur ce que doit être l'entreprise de demain.Bonne écoute !Lien d'inscription vers la newsletter gratuite : Le cercle des leaders de demain : https://lecercledesleadersdedemain.substack.com/?r=1t1xsv&utm_campaign=pub-share-checklist2 minutes – 7 questions expressPour mieux comprendre vos attentes et vous proposer un podcast encore plus utile.https://tally.so/r/npYXlB
Ancien directeur général de la Banque mondiale, l'entrepreneur français Bertrand Badré analyse l'accord commercial conclu entre Ursula von der Leyen et Donald Trump. Une décision stratégique sur les droits de douane, porteuse d'enjeux économiques et politiques majeurs pour l'avenir des relations transatlantiques. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Plongez dans un épisode exceptionnel avec Arnaud Clément, l'un des joueurs de tennis français les plus marquants de sa génération. Ancien finaliste de l'Open d'Australie, Arnaud revient sans filtre sur son parcours : ses débuts dans les Bouches-du-Rhône, son adolescence marquée par un retard de croissance, ses premiers points ATP, mais aussi ses galères sur le circuit satellite, ses anecdotes incroyables sur la compétition… et sa vision, toujours passionnée, du sport de haut niveau.Bonne écoute
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Droits de douane : L'accord conclu entre Donald Trump et Ursula von der Leyen dimanche n'est pas accueilli de la même manière par tous les Etats européens. Et pour cause : les intérêts économiques des 27 membres de l'UE divergent. La France, déçue de l'accord commercial annoncé dimanche entre l'Union européenne (UE) et les Etats-Unis, a plaidé lundi pour que l'Europe se montre plus ferme lors des négociations à venir sur ses modalités d'application. Le Premier ministre français François Bayrou a regretté "un jour sombre" pour l'Europe qui "se résout à la soumission". Ecoutez L'invité RTL de 7h40 avec Vincent Derosier du 29 juillet 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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[SPONSORISÉ] _"L'innovation, c'est un progrès pour l'humanité où le gain se mesure en qualité de vie au travail."_Dans cet épisode de "La Voix de l'Expertise", le podcast de l'Ordre des experts comptables d'Occitanie Philippe Boulanger, est notre grand témoin."Innover ou agoniser, c'est vous qui voyez".Ancien d'Apple et Sony, auteur et conférencier spécialisé en transformation organisationnelle Philippe Boulanger partage sa vision éclairée sur le futur des métiers du chiffre et plus globalement sur l'adaptation des entreprises face aux évolutions technologiques.Philippe Boulanger a côtoyé Steve Jobs, il a aussi lancé le célèbre Vaio de Sony.Au cours de cet épisode, divers points sont abordés, notamment la transition vers le cabinet du futur et l'impact des nouvelles technologies sur le métier d'expert-comptable. Philippe met un point d'honneur à démystifier l'introduction de l'intelligence artificielle dans notre quotidien professionnel et raconte comment elle transforme nos façons de travailler et d'interagir.Philippe est rejoint par Pierrick Belen expert-comptable et commissaire aux comptes, qui partage son expérience de la gestion du changement au sein de son cabinet. Pierrick discute de sa vision sur les évolutions futures comme l'arrivée de la facturation électronique et comment cela pousse vers une réinvention des processus internes.
Photographe pictorialiste bordelais issu du graphisme, des Beaux-Arts et ancien directeur artistique dans la publicité, Nicolas Seurot gravite autour de la peinture et de la gravure depuis sa jeunesse. Il nous explique sa démarche créative aux côtés de Deftom. Nicolas Seurot flirte avec la peinture picturale et plus précisément, la peinture classique et romantique depuis son enfance.Ancien élève de l'ECV de Bordeaux et des Beaux-Arts, puis directeur artistique dans la publicité, il explique ce qu'est le pictorialisme, son mouvement de prédilection et source d'inspiration dans ses œuvres photographiques zn mettant en avant sa propre sensibilité : « Le pictorialisme est un très vieux courant né à l'époque où la photo venait d'apparaître et effectivement, il y a eu tout un mouvement d'artistes quiavaient des photographes, qui faisaient des photos classiques en continuant sur ce chemin de la photo ; d'autres se sont dit en fait que la photo allait servir d'outil pour obtenir un rendu artistique et pictorialiste ». La photo, argentique ou numérique, pour se rapprocher au maximum de la peinture et, Nicolas en reste passionné mais iladmet que ce mouvement a été laissé à l'abandon. « Le pictorialisme, ça a été une mode comme il y en a eu dans la peinture à différents époques ». Lui qui a évolué dans l'univers de la publicité et réalisé bon nombre de campagnes a pu vivre l'importance de l'image et de rester justement à la mode, au fait des dernières techniques. Il rappelle aussi que certains cinéastes sont issus de la photo comme Ridley Scott et Tony Scott ou encore David Fincher. La publicité permet d'être plus libre et d'expérimenter sans cesse. En tout cas, c'est un délencheur de créativité !Nicolas a basculé dans la photo et exprime son amour pour le classicisme et le romantisme, pour les rencontres aussi, tout en explorant la lumière comme il le résume joliment « la photo, c'est comme un voyage, ce sont des rencontres avec des paysages et cette lumière à disposition, souvent exceptionnelle ».Comme il y avait de nombreux jeunes dans la pub, il s'entoure de jeunes dans son métier. « Je suis là pour proposer mon truc, pour diriger un peu la chose mais je m'entoure de jeunes talents. Et c'est ça, la force : on sait où aller chercher les bonnes idées pour perdurer. »Parti aux Etats-Unis, voyage qu'il voulait faire depuis lontemps, Nicolas s'est passionné pour l'univers des cowboys et du rodéo sur fond de paysages typiques de l'Amérique au coeur du Texas d'abord puis du Montana, du Wyoming ou encore du Colorado... Il y a rapporté de belles séries de photos dont une avec un rancher rencontré dans un bar. Situé à Yellowstone, son ranch de 2 500 hectares illustre bien cette immensité américaine. Nicolas retient aussi « le sens de hospitalité américaine car ce rancher a consacré sa journée à ma visite, aux côtés de sa femme et de sa fille, pour me faire visiter les lieux. Ce fut un moment exceptionnel ».Il a aussi gardé un bon souvenir des Texans.Les photos sont subjuguées par le papier d'art que Nicolas utilise, en particulier son préféré, le papier italien, qui embellit les sujets et les couleurs et restituant l'âme de chacune des images de ce photographe qui capture l'authentique. A découvrir dans ses deux magnifiques ouvrages d'ailleurs, Grits et Echos from The Roockies. D'autres œuvres sont aussi à découvrir, d'autres voyages, d'autres clichés, d'autres projets dont Nicolas extrait toujours la substantielle moelle...Retrouvez :Deftom Nicolas Panajou.fr
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L'INVITÉ
Une actu sportive, un débat, et deux camps : c'est le bras de fer des GG ! Nos "Grands Gueules du Sport" s'affrontent à coup d'arguments... Mais à la fin, c'est vous les auditeurs, qui choisissez l'équipe victorieuse !
Au Mans, Fréderic Guittard était un notable. Ancien directeur commercial d'une charcuterie familiale renommée, on avait fini par le surnommer le roi de la rillette. A 51 ans, il profitait de la vie, riche et libre. Il venait de quitter son épouse et avait le champ libre pour s'adonner au libertinage. Insouciant et peu enclin à partager son argent, il ne s'est pas méfié de la colère et de la haine accumulée contre lui. Il ne se doutait pas de la sordide machination qui se mettait en place dans son dos. On l'a retrouvé abattu chez lui, victime d'une mise en scène tout aussi sanglante que sordide.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les armées françaises se dotent d'un nouveau chef d'Etat-major : le général Mandon, ancien pilote de l'air et ayant effectué une centaine de missions autour du monde. Il a gravi les échelons depuis la base aérienne d'Avor, pour devenir le général le plus gradé de l'armée française.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les armées françaises se dotent d'un nouveau chef d'Etat-major : le général Mandon, ancien pilote de l'air et ayant effectué une centaine de missions autour du monde. Il a gravi les échelons depuis la base aérienne d'Avor, pour devenir le général le plus gradé de l'armée française.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après les récents incidents survenus à la prison de Melrose la semaine dernière, nous avons voulu comprendre ce qui se passe réellement derrière les murs des établissements pénitentiaires. D'anciens détenus lèvent le voile sur leur quotidien carcéral. Bagarres fréquentes, conflits déclenchés par un simple regard ou une cigarette, sanctions disciplinaires arbitraires : leurs témoignages révèlent une réalité souvent ignorée du grand public. Dans ce reportage, ils racontent ce qui déclenche les affrontements, comment ils sont gérés, et ce qu'il reste de la prison une fois dehors. Un témoignage cru sur un univers où les règles ne sont pas toujours celles de la loi.
Pas moins de 81 candidatures enregistrées pour la présidentielle d'octobre : une « inflation record », pour Jeune Afrique, une « pluie de candidatures », selon Cameroon Tribune, ou une « augmentation inédite », chez le Journal du Cameroun. Quel que soit le terme choisi, tous s'accordent à le dire : un nombre particulièrement élevé de personnalités se verraient bien sûr le fauteuil présidentiel. Et des vocations se sont révélées jusqu'à la dernière minute ou presque : Cameroon Tribune raconte ainsi comment la direction générale des élections a vibré toute la journée de lundi au rythme des dépôts, dans « une véritable ambiance de ruche », alors que « pas moins d'une vingtaine de personnalités, candidats et mandataires de candidats, ont pris d'assaut les lieux ». Face à ce nombre qu'il juge carrément « exorbitant », Aujourd'hui au Faso s'interroge : « Faut-il en rire, ou se lamenter ? ». Et surtout, « tous sont-ils vraiment présidentiables ? ». À cette question, JA a une réponse toute trouvée, puisque pour le magazine, il y a « une certitude : très peu [de dossiers] seront validés ». Et le Journal du Cameroun rappelle ainsi qu'en 2018, sur « 28 candidatures déposées à l'étape initiale, (…) neuf ont été » approuvées. Or, cette année, le couperet pourrait être encore plus tranchant : « le législateur camerounais a multiplié les mesures visant à faire disparaître les candidatures fantaisistes », rappelle ainsi JA, grâce notamment à de strictes conditions financières. À lire aussiCameroun: le nombre record de candidatures à la présidentielle fait débat Des profils extrêmement variés « Ancien chef de gouvernement, ex-ministres, hommes ou femmes d'affaires, pour certains de jeunes loups de la politique, d'autre des dinosaures bien installés », comme Paul Biya, Maurice Kamto ou Cabral Libii, énumère Jeune Afrique, c'est bien simple : « jamais, au Cameroun, pareille diversité n'avait été observée dans les dossiers de candidature déposés devant les instances électorales » pour la présidentielle. Une seule constante relie l'immense majorité de ces personnalités : ce sont quasiment tous des hommes, puisque, note le Journal du Cameroun, « les candidatures masculines dominent, avec 74 figures au compteur » pour seulement sept femmes, dont six tentent leur chance pour la première fois. Comment analyser cette flambée ? Le titre camerounais estime qu'on pourrait y voir « l'impatience de certains citoyens à voir enfin une alternance au sommet de l'État », après plus de quatre décennies sous la houlette d'un Paul Biya allant sur son 93ème anniversaire. Mais cette explosion indique surtout « l'instabilité et les fissures de la démocratie camerounaise », juge le journal. D'autant qu'on observe de multiples candidatures au sein de plusieurs partis, qui « dévoilent leurs discordances ». Voilà, ironise Aujourd'hui au Faso, « une opposition en désordre de bataille ». Mais qui pourrait rentrer dans les rangs après le passage au « tamis » de l'Elecam : rendez-vous le 2 août pour connaître la liste provisoire des candidatures officiellement reconnues. À lire aussiPrésidentielle au Cameroun: près de 80 dossiers de candidatures ont été déposés Nouveau retrait d'une instance internationale pour les États-Unis Du Donald « Trump tout craché » soupire Le Pays : Washington se retire de l'Unesco, comme elle l'avait déjà fait en 2018, lors du précédent mandat du magnat. Pourquoi ? En raison d'un « prétendu parti pris contre Israël » et d'une « orientation idéologique jugée incompatible avec [la] politique étrangère » américaine, dénonce Actu Cameroun. « Tout le monde est donc prévenu », s'agace Le Pays : l'administration Trump « ne cautionne pas toute mesure ou décision qui va à l'encontre de [son] chouchou Israël, (…) et tous ceux qui l'ont osé en ont pris pour leur grade ». C'est aussi une attaque de plus contre les instances internationales, après le démantèlement en début d'année de l'USAID et ses conséquences dramatiques. Le Monde Afrique se penche mercredi matin sur le cas de Madagascar où, dans l'ouest, écrit le quotidien, « un millier de paysans » ont été « abandonnés, après le retrait de l'aide américaine ». Une décision politique, administrative, mais bien concrète pour la population, comme ce paysan qui, raconte le journal, « ignore qui est Donald Trump, mais sait qu'au mois de février, tout, pour lui, s'est arrêté : la promesse d'une maison en dur, des semences pour cinq ans, des engrais, du matériel agricole » mais aussi « le centre de santé et l'école pour ses enfants ». Des promesses qui l'ont attiré, lui et des centaines d'autres paysans, dans cette province malgache. Le deal était simple : quitter l'aire protégée où il était installé, grâce à une opération de relocalisation financée par USAID, pour mettre fin à la déforestation. Les déménagements ont eu lieu, la sensibilisation aussi, puis plus rien, conclut, amer, ce paysan : « ils nous ont annoncé la coupure des financements. Et ils ont disparu ». À lire aussiLes États-Unis annoncent leur retrait de l'Unesco, une décision «regrettable» pour l'organisation
Juan Gonzalez Jr. fait partie des 252 migrants vénézuéliens emprisonnés au Salvador, depuis la mi-mars, et rapatriés vendredi, à Caracas. Ce peintre et agent d'entretien de 36 ans, en quête d'un meilleur avenir économique aux États-Unis, avait accepté d'être renvoyé au Venezuela. Quand il monte dans l'avion, il est, donc, persuadé qu'il rentre chez lui. Mais l'avion a atterri au Salvador. « C'est alors que le film d'horreur a commencé », raconte Juan Gonzalez Junior au Washington Post. Il se retrouve enfermé au Cecot, « la plus grande prison du monde ». Et l'une des plus dures. Insultes, crânes rasés brutalement, coups dans la poitrine et l'estomac, vols... Les gardiens sont particulièrement violents. Ils « nous traitaient comme si nous étions les criminels les plus dangereux de la planète », poursuit Juan Gonzalez Jr. qui assure n'avoir rien à se reprocher et ne faire partie d'aucun gang. « J'avais l'impression d'être un animal », insiste-t-il. Au cours des quatre mois qu'il a passés là-bas, Juan Gonzalez Jr. n'a jamais pu parler à un avocat. Quand des détenus ont demandé à en voir un, les gardiens leur ont répondu : « Ce mot n'existe pas ici ». Le Vénézuélien n'a eu aucun contact non plus avec sa famille. Il passe ses journées dans une cellule avec 8 à 14 autres personnes et dort sur un banc en métal. Un matelas est installé uniquement le temps de prendre des photos. Tous les matins, il est réveillé à 4 heures, fait sa toilette, puis joue aux échecs avec des restes de haricots rouges qui constituent ses repas. Jamais en quatre mois, on ne lui a dit de quoi il était accusé. « Ils ont joué avec nos nerfs. Ils nous ont torturés mentalement et physiquement », explique encore Juan Gonzalez Jr. au Washington Post. L'homme peine à trouver les mots pour raconter ce qu'il a subi. C'est « indescriptible », selon lui. La jungle du Darien expliquée par la doctorante Marilou Sarrut RFI reçoit aujourd'hui Marilou Sarrut, doctorante en géographie à l'Université Paris Cité, affiliée à l'Institut Convergence Migrations et autrice d'une thèse Traverser la jungle du Darien : « Une frontière naturelle » à l'épreuve des expériences migratoires, pour parler de la situation au Darien qui se situe entre la Colombie et le Panama et par où passent des centaines de candidats à l'immigration. Ce point de jonction entre l'Amérique du Nord et du Sud est impacté par la vaste offensive anti-immigration menée par Donald Trump et on assiste aujourd'hui, à un phénomène de retour avec des migrants qui cherchent désormais à revenir chez eux. Mais d'autres facteurs jouent également, explique Marilou Sarrut, comme les politiques migratoires européennes qui poussent certains Africains, notamment, à tenter de passer par le Darien. Il y a deux ans, on estimait à 500 000 le nombre de migrants qui traversaient la jungle du Darien, l'une des régions les plus hostiles du monde. Si la traversée côté colombien est encadrée par des guides, ces derniers « abandonnent les migrants à la frontière avec le Panama pour ne pas être accusés d'être des passeurs », raconte Marilou Sarrut qui s'est rendue sur place en 2023. À partir de là, le voyage devient extrêmement périlleux : « Les plus sportifs peuvent traverser la partie panaméenne en un jour et demi, mais d'autres mettent parfois une dizaine de jours car ils se perdent en route ». En 2023, jusqu'à 2 500 personnes pouvaient arriver au Panama en une seule journée, ce qui représente une manne économique majeure pour les communautés locales qui se sont organisées pour les « accueillir », surtout face à l'absence des pouvoirs publics, précise la doctorante. Mais ces passages ont aussi un impact écologique et sanitaire importants. Il n'y a pas de traitement des déchets dans la jungle, pas d'eau potable non plus. Or, ce problème n'a jamais été pris en compte par l'État qui n'a, donc, pas prévu de solutions pour remédier à ce drame environnemental, explique Marilou Sarrut. Englué dans l'affaire Epstein, Donald Trump tente de faire diversion Le président américain « intensifie ses attaques contre Barack Obama et Hillary Clinton », relève le New York Times. Interrogé une nouvelle fois, hier, par des journalistes au sujet de l'ancien homme d'affaires, Donald Trump a dénoncé « une chasse aux sorcières », puis « s'est lancé dans une diatribe contre une série classique de rivaux et de médias (...) ses ennemis présumés », décrit le journal. « Une liste qui ne cesse de croître », insiste le New York Times. Barack Obama, Hillary Clinton, Joe Biden, l'ancien directeur du FBI, l'ex-patron du renseignement national... Au cours des six derniers mois, Donald Trump a souvent cherché à se venger de ses ennemis, raconte le New York Times, de bien des manières : retraits ou menaces de le faire, des habilitations de sécurité de Joe Biden notamment, campagnes de dénigrements, enquêtes internes et même licenciements. En Argentine, Javier Milei a de nouveau insulté sa vice-présidente Le président argentin a traité Victoria Villarruel de « bruta traidora » ( « brute, traîtresse ») lors d'un rassemblement, à Cordoba dans le centre de l'Argentine, hier soir. Son ancienne alliée est devenue son ennemie. La rupture est consommée entre les deux depuis que celle qui est aussi la présidente du Sénat n'a pas empêché le Parlement de voter une loi augmentant les retraites, explique La Nacion. Une loi à laquelle le président va mettre son veto. Il l'a annoncé hier. Lors de son discours, il a également insulté la gauche - « tous des voleurs » - et l'opposition en général, ainsi que les médias. Le journal Pagina 12 a d'ailleurs été exclu de ce rassemblement, le « Derecha fest » (le « festival de la droite ») auquel ont participé des figures du mouvement libertarien, comme l'écrivain argentin Agustin Laje, mais aussi un conseiller de Donald Trump et trois pasteurs évangéliques, raconte le quotidien qui explique que « ce secteur est de plus en plus proche du gouvernement ». Ces prédicateurs ont pris la défense de la famille traditionnelle, des femmes au foyer, du christianisme et ont attaqué la gauche qui est « anti-christ », selon l'un d'entre eux. Pour Pagina 12, il y avait sur scène hier soir « une droite qui vocifère avec les yeux sortis des orbites (...) devant un public d'exaltés ». Bolivie : irrégularités sur les listes électorales En Bolivie, l'élection présidentielle aura lieu dans moins d'un mois, le 17 août 2025. La population vérifie, donc, si elle est bien inscrite sur les listes électorales. Mais depuis quelques jours, de nombreux citoyens découvrent avec surprise qu'ils ont aussi été inscrits comme adhérents de tel ou tel parti politique à leur insu. Le reportage pour RFI de Nils Sabin.
David Leroux, aka RaviDesign, est un artiste-concepteur de souliers sur mesure absolument phénoménal. Il est suivi par un peu plus de 17 000 personnes sur Instagram. Ancien joueur de la LHJMQ avec les Cataractes de Shawinigan, Leroux nous révèle qu’il a toujours été un artiste dans l’âme. Il nous raconte que lors de ses voyages de hockey sur la route, il dessinait des bandes dessinées tout le long du chemin. Il a conçu des souliers pour Max Scherzer, Cole Caufield, Tage Thompson et même Evgeny Malkin! Faut croire que le mot se passe chez les athlètes… À seulement 24 ans, Elliott Mondou est un phénomène dans le monde du hockey. Il occupe actuellement le poste de coordinateur vidéo avec les Blues de St-Louis, mais Équipe Canada a aussi annoncé que Mondou occupera le même poste avec la formation nationale lors des prochains JO de Milan-Cortina. Et pouvez-vous croire qu’il en sera à sa deuxième édition aux JO? Il aborde avec Meeker son rôle de coordination avec les Blues, mais aussi sa relation avec les joueurs. Il nous confie qu’il s’ennuie de temps en temps de sa famille, lui qui habite au Missouri, mais avoue qu’il travaille tellement qu’il ne voit pas le temps passer! Sans le savoir, des centaines et des centaines de jeunes sportives ont dû porter de l’équipement masculin. De toute façon, il n’y avait pas d’autres options, mais cela a changé récemment et ce, pour le mieux des athlètes féminines. La marque CCM a récemment dévoilé leur collection FTW (For The Women), des pièces d’équipements faites sur mesures pour les femmes. La cheffe de ce projet chez CCM, Audrey Malka, avoue qu’ils se sont rendus à l’évidence qu’il y avait un besoin. En utilisant des pièces d’équipements juniors (et non seniors, jugés trop grandes), les femmes risquaient de se blesser, selon Malka. Au final, le but ultime, c’est tout de même de faire croître le nombre de joueuses partout sur la planète! C’est ce jeudi que nous saurons le verdict au procès des cinq anciens joueurs de Hockey Canada, accusés d’agression sexuelle, acte qui se serait déroulée en juin 2018. Tout au long du procès, plusieurs vidéos ont été présentées au jury, où nous voyons la présumée victime affirmer qu’elle était d’accord avec cette situation. Mais la question qui se pose, est-ce assez pour démontrer qu’elle a agi de façon consentante? La professeure titulaire à la section des droits civiles à l'Université d'Ottawa, Jennifer Quaid, a accepté notre invitation pour nous détailler les détails de cette affaire. 1)David Leroux 2)Elliott Mondou 3)Audrey Malka 4)Jennifer Quaid Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Pas moins de 81 candidatures enregistrées pour la présidentielle d'octobre : une « inflation record », pour Jeune Afrique, une « pluie de candidatures », selon Cameroon Tribune, ou une « augmentation inédite », chez le Journal du Cameroun. Quel que soit le terme choisi, tous s'accordent à le dire : un nombre particulièrement élevé de personnalités se verraient bien sûr le fauteuil présidentiel. Et des vocations se sont révélées jusqu'à la dernière minute ou presque : Cameroon Tribune raconte ainsi comment la direction générale des élections a vibré toute la journée de lundi au rythme des dépôts, dans « une véritable ambiance de ruche », alors que « pas moins d'une vingtaine de personnalités, candidats et mandataires de candidats, ont pris d'assaut les lieux ». Face à ce nombre qu'il juge carrément « exorbitant », Aujourd'hui au Faso s'interroge : « Faut-il en rire, ou se lamenter ? ». Et surtout, « tous sont-ils vraiment présidentiables ? ». À cette question, JA a une réponse toute trouvée, puisque pour le magazine, il y a « une certitude : très peu [de dossiers] seront validés ». Et le Journal du Cameroun rappelle ainsi qu'en 2018, sur « 28 candidatures déposées à l'étape initiale, (…) neuf ont été » approuvées. Or, cette année, le couperet pourrait être encore plus tranchant : « le législateur camerounais a multiplié les mesures visant à faire disparaître les candidatures fantaisistes », rappelle ainsi JA, grâce notamment à de strictes conditions financières. À lire aussiCameroun: le nombre record de candidatures à la présidentielle fait débat Des profils extrêmement variés « Ancien chef de gouvernement, ex-ministres, hommes ou femmes d'affaires, pour certains de jeunes loups de la politique, d'autre des dinosaures bien installés », comme Paul Biya, Maurice Kamto ou Cabral Libii, énumère Jeune Afrique, c'est bien simple : « jamais, au Cameroun, pareille diversité n'avait été observée dans les dossiers de candidature déposés devant les instances électorales » pour la présidentielle. Une seule constante relie l'immense majorité de ces personnalités : ce sont quasiment tous des hommes, puisque, note le Journal du Cameroun, « les candidatures masculines dominent, avec 74 figures au compteur » pour seulement sept femmes, dont six tentent leur chance pour la première fois. Comment analyser cette flambée ? Le titre camerounais estime qu'on pourrait y voir « l'impatience de certains citoyens à voir enfin une alternance au sommet de l'État », après plus de quatre décennies sous la houlette d'un Paul Biya allant sur son 93ème anniversaire. Mais cette explosion indique surtout « l'instabilité et les fissures de la démocratie camerounaise », juge le journal. D'autant qu'on observe de multiples candidatures au sein de plusieurs partis, qui « dévoilent leurs discordances ». Voilà, ironise Aujourd'hui au Faso, « une opposition en désordre de bataille ». Mais qui pourrait rentrer dans les rangs après le passage au « tamis » de l'Elecam : rendez-vous le 2 août pour connaître la liste provisoire des candidatures officiellement reconnues. À lire aussiPrésidentielle au Cameroun: près de 80 dossiers de candidatures ont été déposés Nouveau retrait d'une instance internationale pour les États-Unis Du Donald « Trump tout craché » soupire Le Pays : Washington se retire de l'Unesco, comme elle l'avait déjà fait en 2018, lors du précédent mandat du magnat. Pourquoi ? En raison d'un « prétendu parti pris contre Israël » et d'une « orientation idéologique jugée incompatible avec [la] politique étrangère » américaine, dénonce Actu Cameroun. « Tout le monde est donc prévenu », s'agace Le Pays : l'administration Trump « ne cautionne pas toute mesure ou décision qui va à l'encontre de [son] chouchou Israël, (…) et tous ceux qui l'ont osé en ont pris pour leur grade ». C'est aussi une attaque de plus contre les instances internationales, après le démantèlement en début d'année de l'USAID et ses conséquences dramatiques. Le Monde Afrique se penche mercredi matin sur le cas de Madagascar où, dans l'ouest, écrit le quotidien, « un millier de paysans » ont été « abandonnés, après le retrait de l'aide américaine ». Une décision politique, administrative, mais bien concrète pour la population, comme ce paysan qui, raconte le journal, « ignore qui est Donald Trump, mais sait qu'au mois de février, tout, pour lui, s'est arrêté : la promesse d'une maison en dur, des semences pour cinq ans, des engrais, du matériel agricole » mais aussi « le centre de santé et l'école pour ses enfants ». Des promesses qui l'ont attiré, lui et des centaines d'autres paysans, dans cette province malgache. Le deal était simple : quitter l'aire protégée où il était installé, grâce à une opération de relocalisation financée par USAID, pour mettre fin à la déforestation. Les déménagements ont eu lieu, la sensibilisation aussi, puis plus rien, conclut, amer, ce paysan : « ils nous ont annoncé la coupure des financements. Et ils ont disparu ». À lire aussiLes États-Unis annoncent leur retrait de l'Unesco, une décision «regrettable» pour l'organisation
Essentiel, le rendez-vous culturel de RCJ présentée par Sandrine Sebbane. Elle reçoit Arale Scher, ancien haut-responsable du Mossad et auteur du livre "Révélations du Mossad – Un univers de secrets qui sort de l'ombre", paru aux éditions L'Harmattan. À propos du livre : « Révélations du Mossad – Un univers de secrets qui sort de l'ombre » paru aux éditions L'Harmattan Le livre d'Arale Scherf, un ancien haut dirigeant du Mossad, innove en faisant découvrir une période cruciale de l'histoire d'Israël, celle des années 1960-1995, qui permit à Israël de sortir de la précarité et d'affirmer la solidité de son État. Il révèle les coulisses des services de renseignement israéliens, dont on sait combien ils font partie de l'histoire du pays et dont il fut l'un des acteurs. Comment « Amanda » a-t-elle séduit l'officier arabe à Paris ? Comment ont-ils réussi à neutraliser le spécialiste allemand des missiles qui aidait l'Égypte ? Quel est le lien entre l'épouse de l'Ambassadeur américain et les Juifs du Yémen ? « Arale appartient à la génération qui a façonné le caractère et l'image du Mossad. Tout au long de son parcours, il a participé et a été témoin d'événements fondateurs de l'histoire de l'État d'Israël. » Shabtai Shavit, ancien Directeur du Mossad
Découvrez l'univers de Franck Thilliez, maître du thriller et du roman noir. Inspiré par Stephen King et les faits divers glaçants comme l'affaire Ligonnès, il explore les recoins les plus sombres de l'âme humaine.Ancien ingénieur devenu écrivain à plein temps, il revient sur son parcours, ses obsessions créatives, et la genèse de ses romans à succès. Un épisode fascinant pour les passionnés de suspense et de littérature noire.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Bruno Pomart, président du think tank « Initiative sécurité intérieure », ancien instructeur du RAID - Olivier Babeau, essayiste, président de l'Institut Sapiens, auteur de L'ère de la flemme (Buchet-Chastel, janv. 2025) Chroniqueurs : - Jules Torres, journaliste politique au JDD - Gilles-William Goldnadel, avocat - Alexandre Malafaye, fondateur du think tank Synopia - Sébastien Lignier, chef du service politique de Valeurs Actuelles Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Découvrez l'univers de Franck Thilliez, maître du thriller et du roman noir. Inspiré par Stephen King et les faits divers glaçants comme l'affaire Ligonnès, il explore les recoins les plus sombres de l'âme humaine.Ancien ingénieur devenu écrivain à plein temps, il revient sur son parcours, ses obsessions créatives, et la genèse de ses romans à succès. Un épisode fascinant pour les passionnés de suspense et de littérature noire.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:28:06 - Bienvenue chez vous, les spécialistes - Ancien joueur du Racing et coach sportif à Mundolsheim, Rudy Carlier livre ses conseils pour rester actif tout l'été, sans excès mais avec constance. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans cette saison, plongez dans l'incroyable parcours de Joseph D. Pistone, alias Donnie Brasco. Ancien agent du FBI, il a risqué sa vie en s'infiltrant dans les rangs de la mafia new-yorkaise dans les années 70. Pendant six ans, il a adopté l'identité de Donnie Brasco, un faux malfrat, pour percer les secrets de l'une des organisations criminelles les plus redoutables des États-Unis. Son travail d'infiltration a permis au FBI de mener l'une des plus vastes opérations contre la mafia, entraînant des dizaines d'arrestations et bouleversant à jamais l'organisation criminelle… La tête du “traître” mise à prix New York, 26 juillet 1981. Dans une petite planque de Little Italy, Sonny Black reçoit une nouvelle qui va bouleverser son monde : Donnie Brasco, son protégé et associé de confiance, n'était pas un voyou comme les autres, mais un agent infiltré du FBI. La trahison frappe au cœur de la famille Bonanno, déclenchant une onde de choc dans les cercles mafieux. Cette révélation marque la fin d'une opération d'infiltration historique, ayant duré six ans, et conduit à l'arrestation de plus de 200 membres de la mafia. Mais elle scelle aussi le destin de Sonny, condamné par sa propre famille… Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [SPÉCIALE MUSIQUE] Ray Charles, le génie torturé du blues [SPÉCIALE MUSIQUE] Marvin Gaye, le destin tragique du prince de la soul [SPÉCIALE MUSIQUE] Nina Simone, une vie de lutte et de génie musicale [SPÉCIALE MUSIQUE] Fela Kuti, l'afrobeat comme arme politique Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clément Prevaux Voix : Florian Bayoux Production : Bababam Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Ancien détenu de Guantanamo, l'écrivain Mohamedou Ould Slahi était à Brno cette semaine - Jan Antonín Pitínský a reçu le prix Magnesia Litera 2025 dans la catégorie Prose.
Ancien détenu de Guantanamo, l'écrivain Mohamedou Ould Slahi était à Brno cette semaine - Jan Antonín Pitínský a reçu le prix Magnesia Litera 2025 dans la catégorie Prose.
durée : 02:59:44 - Le 6/9 - Ce matin au programme du 6/9 : Anaïs Perrin-Prevelle, directrice de l'association OUTRANS et les Olympiades internationales de physique avec Serge Haroche, prix Nobel de physique 2012 et Jean-Michel Courty, physicien, médaille d'or du CNRS en médiation. Ancien participant au concours. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C dans l'air du 18 juillet 2025 - Syrie, Gaza : Trump peut-il encore arrêter Netanyahu ?"Un cessez-le-feu obtenu par la force". Au lendemain de la fragile trêve signée entre Israël et les forces gouvernementales syriennes, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a justifié jeudi les attaques sur le régime syrien par l'entrée de l'armée gouvernementale dans la région de Souweïda, où vit la minorité chiite druze. Ces derniers jours, des combats entre factions druzes, combattants tribaux bédouins et forces gouvernementales avaient fait, selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme, près de 600 morts. En réponse, l'armée israélienne a notamment bombardé le ministère de la défense syrien et le siège de l'état-major, à Damas, provoquant le retrait de l'armée d'Ahmed Al-Charaa du sud du pays. "Nous avons établi une politique claire : démilitarisation de l'espace au sud de Damas, [et] protéger les frères de nos frères, les Druzes", a déclaré le Premier ministre Israélien. Deux principes qui ont selon lui été "violés par le régime de Damas". Ces affrontements interviennent alors que les deux régimes avaient renoué le dialogue ces derniers mois, laissant espérer une normalisation de leurs relations. Les États-Unis, qui poussaient en ce sens et avaient annoncé en juin la levée des sanctions économiques contre la Syrie, ont condamné les violences en Syrie qui ont repris vendredi, en dépit du cessez-le-feu. Après Gaza, le Liban, et l'Iran, c'est une nouvelle épine dans le pied qui s'ajoute pour Donald Trump.Aux États-Unis, la politique étrangère de Donald Trump divise jusque dans son propre camp. Ancien conseiller à la sécurité nationale du président américain (2018-2019), John Bolton regrette que les frappes sur les principaux sites nucléaires iraniens ne soient pas allées plus loin. "Je pense que Trump a commis une erreur en imposant un cessez-le-feu après l'attaque des B-2. Je pense que c'était très prématuré", estime le diplomate. Il fait partie de ces Américains qui estiment que l'Iran restera une menace tant que le régime des mollahs n'aura pas disparu : "Si nous voulons vivre dans un monde libre de toute terreur et de toute menace de prolifération nucléaire (…) la solution, c'est de mettre en place un régime différent en Iran". John Bolton, qui n'envisage pas une intervention militaire au sol, appelle plutôt à soutenir l'opposition iranienne pour mieux déstabiliser le pouvoir iranien.Longtemps considérés comme un électorat acquis aux candidats républicains, les vétérans américains sont de plus en plus nombreux à se retourner contre Donald Trump. Licenciements massifs dans le ministère des anciens combattants, réduction des prestations sociales, privatisation… ils lui reprochent d'abandonner les quelque 16 millions de vétérans malgré ses discours patriotiques. Si certains vétérans s'inscrivent dans la trajectoire isolationniste des Etats-Unis, d'autres regrettent l'absence de soutien à l'Ukraine et redoutent les élans expansionnistes de Donald Trump, comme au Groenland. Événement rare, des vétérans ont même manifesté contre le président le 6 juin dernier, jour de commémoration du Débarquement en Normandie.Comment les États-Unis ont fait pression sur Israël pour arrêter ses frappes en Syrie ? Que pense John Bolton, l'ancien conseiller à la sécurité intérieure de Donald Trump, de sa politique au Moyen-Orient ? Et pourquoi les vétérans américains sont-ils en colère contre leur président ?LES EXPERTS : - AGNÈS LEVALLOIS - Spécialiste du Moyen-Orient et présidente de l'IREMMO Institut de Recherche et d'Études Méditerranée Moyen-Orient- PATRICIA ALLÉMONIÈRE - Grand reporter, spécialiste des questions internationales- ISABELLE LASSERRE - Correspondante diplomatique, spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique - Le Figaro- WASSIM NASR - Journaliste spécialiste des mouvements djihadistes - France 24 Auteur de "L'État islamique, le fait accompli"PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40.PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Dans cette saison, plongez dans l'incroyable parcours de Joseph D. Pistone, alias Donnie Brasco. Ancien agent du FBI, il a risqué sa vie en s'infiltrant dans les rangs de la mafia new-yorkaise dans les années 70. Pendant six ans, il a adopté l'identité de Donnie Brasco, un faux malfrat, pour percer les secrets de l'une des organisations criminelles les plus redoutables des États-Unis. Son travail d'infiltration a permis au FBI de mener l'une des plus vastes opérations contre la mafia, entraînant des dizaines d'arrestations et bouleversant à jamais l'organisation criminelle… Les Bonanno pris au piège New York, 1980. Joseph Pistone, infiltré dans la mafia sous le nom de Donnie Brasco, joue son rôle à la perfection. Entre deals dangereux et tensions croissantes, il s'approche du sommet de la famille Bonanno. Mais pour gagner leur confiance ultime, il devra franchir une ligne qu'il s'est toujours juré de ne pas dépasser… Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [SPÉCIALE MUSIQUE] Ray Charles, le génie torturé du blues [SPÉCIALE MUSIQUE] Marvin Gaye, le destin tragique du prince de la soul [SPÉCIALE MUSIQUE] Nina Simone, une vie de lutte et de génie musicale [SPÉCIALE MUSIQUE] Fela Kuti, l'afrobeat comme arme politique Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clément Prevaux Voix : Florian Bayoux Production : Bababam Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Ecoutez RTL Matin avec Stéphane Carpentier du 18 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette saison, plongez dans l'incroyable parcours de Joseph D. Pistone, alias Donnie Brasco. Ancien agent du FBI, il a risqué sa vie en s'infiltrant dans les rangs de la mafia new-yorkaise dans les années 70. Pendant six ans, il a adopté l'identité de Donnie Brasco, un faux malfrat, pour percer les secrets de l'une des organisations criminelles les plus redoutables des États-Unis. Son travail d'infiltration a permis au FBI de mener l'une des plus vastes opérations contre la mafia, entraînant des dizaines d'arrestations et bouleversant à jamais l'organisation criminelle… Nom de code, “Donny Brasco” 1970, Joseph Pistone infiltre la famille Bonanno sous le nom de Donnie Brasco. Entre des rencontres périlleuses et une tension constante, il s'immerge dans l'univers impitoyable de la mafia italienne. En suivant Lefty Ruggiero, il découvre les codes, les jeux de pouvoir et les risques d'une infiltration où chaque faux pas peut être fatal. Une mission sous haute tension, au cœur du crime organisé new-yorkais… Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [SPÉCIALE MUSIQUE] Ray Charles, le génie torturé du blues [SPÉCIALE MUSIQUE] Marvin Gaye, le destin tragique du prince de la soul [SPÉCIALE MUSIQUE] Nina Simone, une vie de lutte et de génie musicale [SPÉCIALE MUSIQUE] Fela Kuti, l'afrobeat comme arme politique Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clément Prevaux Voix : Florian Bayoux Production : Bababam Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Dans cette saison, plongez dans l'incroyable parcours de Joseph D. Pistone, alias Donnie Brasco. Ancien agent du FBI, il a risqué sa vie en s'infiltrant dans les rangs de la mafia new-yorkaise dans les années 70. Pendant six ans, il a adopté l'identité de Donnie Brasco, un faux malfrat, pour percer les secrets de l'une des organisations criminelles les plus redoutables des États-Unis. Son travail d'infiltration a permis au FBI de mener l'une des plus vastes opérations contre la mafia, entraînant des dizaines d'arrestations et bouleversant à jamais l'organisation criminelle… Immersion dans la mafia New Yorkais Dans le New York des années 70, rongé par la mafia, un homme va tout risquer pour faire tomber l'empire du crime organisé. Sous le nom de Donnie Brasco, l'agent du FBI Joseph Pistone infiltre la famille Bonanno, nouant des liens avec le dangereux Lefty Ruggiero. Entre faux-semblants et dangers constants, il joue une partie où la moindre erreur peut être fatale. Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [SPÉCIALE MUSIQUE] Ray Charles, le génie torturé du blues [SPÉCIALE MUSIQUE] Marvin Gaye, le destin tragique du prince de la soul [SPÉCIALE MUSIQUE] Nina Simone, une vie de lutte et de génie musicale [SPÉCIALE MUSIQUE] Fela Kuti, l'afrobeat comme arme politique Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clément Prevaux Voix : Florian Bayoux Production : Bababam Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Emmanuel Macron a annoncé dimanche vouloir renforcer l'effort budgétaire prévu pour la défense, en ajoutant des dépenses de 3,5 milliards d'euros en 2026 puis 3 milliards de plus en 2027, face à l'accumulation des menaces. "Une actualisation de la loi de programmation militaire" pour 2024-2030 "sera présentée à l'automne, a expliqué le chef de l'État dans son traditionnel discours aux armées à la veille de la fête nationale. Écoutez Alain Richard, ancien ministre de la Défense (1997-2002).Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Emmanuel Macron a annoncé dimanche vouloir renforcer l'effort budgétaire prévu pour la défense, en ajoutant des dépenses de 3,5 milliards d'euros en 2026 puis 3 milliards de plus en 2027, face à l'accumulation des menaces. "Une actualisation de la loi de programmation militaire" pour 2024-2030 "sera présentée à l'automne, a expliqué le chef de l'État dans son traditionnel discours aux armées à la veille de la fête nationale. Écoutez Alain Richard, ancien ministre de la Défense (1997-2002).Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ancien conseiller d'Emmanuel Macron, Ismaël Emelien a changé de combat mais pas de cap : transformer l'action publique en action individuelle. Avec Zoï, start-up de médecine préventive qu'il a cofondée, il propose une approche radicalement nouvelle : ne plus attendre d'être malade pour agir. « La moitié des pathologies chroniques sont évitables par le mode de vie », rappelle-t-il.Le principe est simple en apparence : un check-up ultra-complet, réalisé dans un centre médical à Paris, rassemble biologie, imagerie, données comportementales, génétiques et environnementales. L'objectif : dresser une carte de votre trajectoire de santé et fournir une feuille de route personnalisée pour vivre plus longtemps… en meilleure forme.Loin des promesses transhumanistes californiennes, Zoï revendique une approche ancrée dans les sciences comportementales et les données. « On veut ajouter de la vie aux années, pas des années à la vie », insiste Emelien. Le modèle est premium (3 000 € l'année), mais Zoï ambitionne déjà de se démocratiser, avec un déploiement à l'international et un partage de ses données — uniques — avec la recherche publique. Une vision française d'une santé personnalisée et durable. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Invité, fonction, était l'invité de François Sorel dans Tech & Co, la quotidienne, ce jeudi 24 septembre. Il/Elle [est revenu(e) / a abordé / s'est penché(e) sur] [SUJET] sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
Jean François Copé, maire LR de Meaux et ancien ministre répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet des énergies renouvelables et du nucléaire.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Intellectuels, chefs d'entreprises, artistes, hommes et femmes politiques... Frédéric Taddeï reçoit des personnalités de tous les horizons pour éclairer différemment et prendre du recul sur l'actualité de la semaine écoulée le samedi. Même recette le dimanche pour anticiper la semaine à venir. Un rendez-vous emblématique pour mieux comprendre l'air du temps et la complexité de notre monde.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
✅ Soutenez LIMIT !https://fr.tipeee.com/limit/https://paypal.me/limitmediaPermaculture : plus qu'un jardin, une révolution.Dans cette vidéo lumineuse et ancrée, Éric nous emmène loin des clichés. Ancien militant communiste devenu formateur et paysan, il fait de la permaculture une philosophie de vie, une vision systémique de la société. Il y parle low-tech, décroissance, résilience collective, réorganisation du territoire, soins aux anciens et éducation des plus jeunes.Éric montre que la permaculture n'est pas une utopie bobo mais une réponse très concrète à l'effondrement en cours. Elle nous apprend à penser ensemble, à vivre autrement, à retrouver notre puissance d'agir sans tout cramer. Une leçon d'humilité joyeuse et subversive.
Vous pouvez créer un compte sur BRICKS en cliquant ici ➡️ https://link.influxcrew.com/BRICKS_Legend4Merci à David Douillet d'être venu nous voir sur LEGEND. Ancien judoka et homme politique, il est venu nous parler des moments les plus marquants de sa carrière. On est revenus avec lui sur le jour où il est devenu champion olympique et celui où il est devenu ministre. On a aussi parlé de sa vie privée, de ses enfants et de sa famille recomposée.Il est également venu nous présenter son nouveau projet : Harvey. Ce sont des résidences pour les étudiants et les jeunes travailleurs, destinées à leur offrir un logement tout en luttant contre la solitude en les réunissant au même endroit. Le projet Harvey de Biscarrosse a été financé grâce à la plateforme Bricks ; c'est pour cela que Cédric O'Neil, le fondateur de Bricks, est aussi intervenu dans l'émission.Découvrez le projet Harvey lancé par David Douillet ➡️ https://link.influxcrew.com/Harvey-LegendRetrouvez Bricks, Harvey et David Douillet sur instagram ⬇️Bricks ➡️ https://www.instagram.com/get_bricks/Harvey ➡️ https://www.instagram.com/harvey_lieuxdevie/David Douillet ➡️ https://www.instagram.com/daviddouilletofficiel/Collaboration commerciale"Investir comporte des risques et ceci n'est pas un conseil en investissement. Vous devez vous former pour investir par vous même et faire travailler votre argent."Pour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les États-Unis à l'heure du football ou du soccer, comme on dit là-bas. Le pays accueille en ce moment le Mondial des clubs, avant la Coupe du monde, dans un an. Les finales des deux compétitions sont prévues tout près de New York, près aussi de Kearny. Avec 42 000 habitants, c'est une petite ville résidentielle, terre d'accueil de travailleurs venus du monde entier, où se serait joué en 1883 le premier vrai match de football d'une équipe américaine et où depuis longtemps le ballon rond est une religion. C'est un petit coin du reste du monde, à l'ombre des gratte-ciels. Au Scots American Club, on descend des bières brunes en kilt écossais et on regarde du football, version originale. Anderson, 60 ans environ : « C'est une tradition ici. On est la ville du soccer aux États-Unis. La ville du vrai football, pas le foot américain avec les mains. Le FOOT-BALL ». Ancien entraîneur, Bob Anderson est un enfant de la balle, comme beaucoup à Kearny, comme ces gamins du coin rentrés dans l'histoire du soccer américain : « Tu vois la photo là. C'est John Harkes, capitaine de l'équipe nationale. Une légende ». Sur la photo de l'équipe américaine au Mondial 94, John Harkes le fils d'Écossais, côtoie deux amis d'enfance : Tony Meola, italien d'origine, et Tab Ramos, né en Uruguay. Kearny et le soccer, c'est d'abord une histoire d'immigration. Michael Mara, directeur sportif du club local et mémoire de la ville : « Kearny est une terre industrielle de travailleurs Le foot est venu ici au 19ᵉ siècle avec les immigrants écossais, les Irlandais. Maintenant, on a les Portugais, les Brésiliens, les Équatoriens, les Péruviens… Et c'est toujours aussi important pour ces communautés que pour celles qui sont arrivées, il y a cent ans ». Le soccer, « une religion » Pour comprendre un peu mieux, il faut suivre Michael, passer la vieille usine, les rues pavillonnaires typiques et s'arrêter dans la ville jumelle d'Harrison. Devant nous, un petit terrain de quartier. « Ça s'appelle "le court", parce que c'était un terrain de tennis à l'origine, avant le sol était dur, il y avait un arbre au coin, des bancs. John, Tony, Tab, tout le monde est passé par là. Ici, tu apprends à être créatif. On a cette culture du foot de rue, comme en Europe ou en Argentine, ça n'est pas courant aux États-Unis. C'est ce qui fait que cette ville est différente ». Ici, le soccer est une religion. On envoie ses enfants au foot, comme au catéchisme, et avec Coach Glendon, c'est du sérieux : « C'est un honneur, un privilège d'entraîner ici. Beaucoup de nos joueurs ont un vrai, vrai potentiel, c'est à nous les coachs de les pousser, de les accompagner pour leur permettre, de donner le meilleur ». Jusqu'au très haut niveau, c'est l'ambition déclarée de certains, comme Paul, capitaine chez les moins de quatorze ans du club : « Je sais que beaucoup d'anciens de Kearny sont passés professionnels, donc je sens que j'ai quelque chose de spécial. Avec ça, il y a plus de pression, c'est sûr, mais surtout ce sentiment qu'on peut répondre aux attentes. Moi, je veux jouer dans l'équipe nationale d'Équateur. Je veux réussir et inspirer les enfants de mon âge dans le futur ». Et c'est ainsi que s'écrit depuis 150 ans la grande histoire, de ce petit bout d'Amérique, où le ballon a toujours été rond. À lire aussiAux États-Unis, le timide essor du « soccer » avant le Mondial de foot 2026
Les députés ont voté cet après-midi la proposition de loi pour acter la création d'un registre national du cancer. Ce texte a déjà été adopté par le Sénat il y a deux ans, il servira à recenser tous les cas en France. L'ancien ministre de la Santé Aurélien Rousseau a révélé début juin être atteint d'un cancer, appelant le gouvernement à ne pas couper dans les budgets de la recherche sur cette maladie. Il est l'invité pour tout comprendre dans RTL Soir. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 23 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, Mourad Boudjellal et Zohra Bitan débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
L'information fait les gros titres de la presse congolaise : le Garde des sceaux, Constant Mutamba, démissionne. Cette démission, pointe le site congolais Actualité CD, « fait suite à une série de controverses judiciaires et politiques qui ont ébranlé son mandat. Constant Mutamba avait suscité de grands espoirs lors de sa nomination en mai 2024, mais les récents scandales, notamment les accusations de détournement de fonds, ont précipité son départ. Ses ennuis ont pris une tournure décisive avec la levée de son immunité parlementaire par l'Assemblée nationale dimanche dernier, à la suite d'un réquisitoire du procureur général près la Cour de cassation. Accusé d'avoir détourné 19 millions de dollars dans un projet de construction de prison à Kisangani, il a également été visé pour outrage aux corps constitués après avoir dénoncé un prétendu complot politique contre lui. Ces accusations, combinées à l'interdiction de quitter Kinshasa et à la menace d'un mandat d'arrêt, ont rendu sa position intenable, le poussant à remettre sa démission. » Soupçons de corruption « La descente aux enfers se poursuit pour Mutamba », s'exclame Objectif Infos. « Le jeune ministre va sans détour passer du piédestal au banc des accusés. » « Le ministre de la Justice Constant Mutamba démissionne en pleine tempête judiciaire », lance le Journal de Kinshasa. « Ce nouvel épisode de la “Saga Mutamba” plonge une fois de plus le gouvernement congolais dans la tourmente, à quelques mois d'échéances politiques majeures. Alors que la présidence de Félix Tshisekedi tente de préserver sa stabilité, ce scandale met en lumière les fragilités persistantes du système politico-judiciaire en RDC. » « Constant Mutamba dans de sales draps ! », renchérit La Tempête des tropiques. « Pour les uns, cette affaire constitue une leçon pour certains responsables des institutions publiques qui gèrent les portefeuilles de l'Etat comme leurs boutiques. D'autres pensent qu'il s'agirait d'un règlement des comptes ourdi contre un ministre qui commençait à inquiéter certains magistrats véreux et de nombreux réseaux de malfaiteurs. Mais pour couper court à toutes les spéculations, la justice congolaise n'en sortira grandie que si le prévenu Constant Mutamba bénéficie d'un procès juste et équitable. » L'arroseur arrosé ? Jeune Afrique revient sur le parcours de ce jeune ministre de 37 ans : « Nommé Garde des sceaux en mai 2024, Constant Mutamba avait promis de réformer un système judiciaire qu'il qualifiait de “malade“, reprenant en cela les termes du président Tshisekedi. Il n'en aura pas eu le temps : malgré ses efforts pour échapper au couperet, affaires judiciaires et tensions politiques ont eu raison de lui. Ancien candidat à l'élection présidentielle de 2023, le fondateur du mouvement citoyen Nouvelle Génération pour l'émergence du Congo promettait de lutter contre la corruption et de promouvoir la transparence, avant que les soupçons de malversations financières ne viennent ternir son image. Il a tenté, en vain, de trouver une issue politique à ses déboires. (…) Constant Mutamba avait en effet publiquement dénoncé un “règlement de comptes“, précise Jeune Afrique, orchestré par des adversaires politiques, pointant du doigt des relations conflictuelles avec la Première ministre Judith Suminwa et le procureur général près la Cour de cassation, Firmin Mvonde, qu'il avait accusé de faire partie d'un “groupe de mafieux“ cherchant à l'humilier. Mais ces déclarations ont aggravé son cas. » En première ligne contre Kabila et le Rwanda Désormais, relève encore Jeune Afrique, « l'avenir du ministre déchu reste incertain, tout comme l'impact de cette affaire sur la dynamique politique congolaise. Constant Mutamba est en effet le ministre qui a ordonné la saisie des biens de l'ancien président Joseph Kabila et l'ouverture d'une enquête judiciaire contre ce dernier, accusé par Félix Tshisekedi d'être le “véritable patron“ de l'Alliance Fleuve Congo/M23, la rébellion soutenue par le Rwanda qui contrôle les villes de Goma et Bukavu, dans l'Est. » Qui plus est, note Actualité CD, « depuis la résurgence de la rébellion du M23, Constant Mutamba était en première ligne pour s'attaquer au Rwanda. Il avait été à la base de l'ouverture du procès public de Corneille Nangaa, leader politique de l'Alliance Fleuve Congo, ainsi que plusieurs de ses complices. (…) Constant Mutamba avait (aussi) promis une récompense à toute personne qui parviendrait à arrêter le président rwandais Paul Kagame qu'il qualifiait de “criminel de guerre“, suite à son soutien à la rébellion de l'AFC/M23. » D'ailleurs, relève encore Actualité CD, les autorités rwandaises « n'ont pas caché leur satisfaction face aux ennuis judiciaires de Mutamba. »
En Italie, la Sicile emboîte le pas à la Calabre dans sa lutte contre la criminalité organisée. Le Parlement régional de la plus grande île italienne, berceau de Cosa Nostra, a voté à la fin du mois de mai une loi intitulée « Libres de choisir » qui étend le programme à toute la région après une expérience pilote à Catane. Ce programme a été mis sur pied par le juge pour enfants Roberto Di Bella et permet aux mineurs issus de familles mafieuses de faire l'expérience d'une nouvelle vie loin de leur famille et/ou de leur région d'origine. Car le destin des enfants qui grandissent avec les règles de la criminalité organisée comme seuls repères est souvent scellé d'avance. Le collaborateur de justice Luigi Bonaventura le sait. Ancien chef de clan de la 'Ndrangheta, la mafia calabraise, il s'engage aujourd'hui auprès des jeunes pour leur éviter une vie écrite d'avance par leurs parents. Cécile Debarge l'a rencontré. Un reportage à retrouver en intégralité dans Accents d'Europe. À lire aussiItalie: vaste opération contre la mafia calabraise, plus de 200 personnes sous enquête À lire aussiLa mafia en Italie: les racines tentaculaires d'un mal mondialisé