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Saviez-vous que le cacao, bien avant d'être transformé en chocolat, occupait une place sacrée chez les Aztèques et les Mayas ? Adhérez à cette chaîne pour obtenir des avantages : https://www.youtube.com/channel/UCN4TCCaX-gqBNkrUqXdgGRA/join Script: Alexandre Jouan de la chaîne @danstonassiette3254 Pour soutenir la chaîne, au choix: 1. Cliquez sur le bouton « Adhérer » sous la vidéo. 2. Patreon: https://www.patreon.com/hndl Musique issue du site : epidemicsound.com Images provenant de https://www.storyblocks.com Abonnez-vous à la chaine: https://www.youtube.com/c/LHistoirenousledira Les vidéos sont utilisées à des fins éducatives selon l'article 107 du Copyright Act de 1976 sur le Fair-Use. Sources et pour aller plus loin: De la fève de cacao à la tablette : l'histoire captivante du chocolat, 28 janvier 2024, Nathalie Picard https://www.caminteresse.fr/societe/de-la-feve-de-cacao-a-la-tablette-lhistoire-captivante-du-chocolat-11192138/ Les Dieux et le Chocolat : Une Histoire de Divinité et de Délices, Alexandre Tano Kan Koffi, juillet 2024 https://cacao.ci/les-dieux-et-le-chocolat-une-histoire-de-divinite-et-de-delices/ Bonne fête la Suisse ! 5 jeux sur le chocolat pour célébrer le pays, août 2023 https://gusandco.net/2023/08/01/suisse-premier-aout-jeux-chocolat-selection/ Coe, Sophie D. & Coe, Michael D. – La véritable histoire du chocolat, Éditions Tallandier, 2018. Gruzinski, Serge – La Pensée métisse, Fayard, 1999. La symbolique du cacao chez les Mayas https://escales.ponant.com/symbolique-cacao-mayas/ https://www.researchgate.net/publication/252588751_Archaeology_Cacao_usage_by_the_earliest_Maya_civilization https://fr.wikipedia.org/wiki/Civilisation_maya?utm_source=chatgpt.com Autres références disponibles sur demande. #histoire #documentaire #cacao #chocolat #chocolate
durée : 01:28:10 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par Jean-Pierre Troadec - Avec Henri-Bernard Vergote (philosophe) - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar
Le sons des anges ont été diffusés par les ondes de Radio Campus Angers FM 103Mhz dans l'émission aux voix plurielles, Accent…
Rubrique:romans Auteur: anatole-france Lecture: Alain ProteDurée: 7h28min Fichier: 645 Mo Résumé du livre audio: La traversée de la grande terreur robespierienne par un juré du tribunal révolutionnaire, dont le fanatisme causera la chute. Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
durée : 01:29:30 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par Philippe Nemo - Avec Pierre Aubenque (philosophe, professeur et spécialiste d'Aristote) - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar
durée : 01:29:23 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par Philippe Nemo - Avec Pierre Aubenque (philosophe, professeur et spécialiste d'Aristote) - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar
durée : 00:42:02 - Les Nuits de France Culture - par : Mathilde Wagman - Pour comprendre le rôle majeur du christianisme orthodoxe dans la culture grecque Michel Cazenave proposait en 2001, pour "Les Vivants et les dieux", une émission intitulée "Chants de la liturgie byzantine", avec la comédienne et metteur en scène Dido Lykoudis et l'écrivain Jacques Lacarrière. - réalisation : Virginie Mourthé
Empereur véritablement dément ou simple victime d'une mauvaise réputation ? « Caligula » : ce nom à lui seul évoque la décadence, la cruauté et un règne marqué par des excès outranciers. Pourtant, derrière le tyran se cache un homme façonné par les trahisons, les complots et les drames familiaux. Plongeons au cœur de la Rome antique pour découvrir l'un des empereurs les plus controversés de l'histoire. Crédits : Lorànt Deutsch, Bruno Calvès Du lundi au vendredi de 15h à 15h30, Lorànt Deutsch vous révèle les secrets des personnages historiques les plus captivants !
Empereur véritablement dément ou simple victime d'une mauvaise réputation ? « Caligula » : ce nom à lui seul évoque la décadence, la cruauté et un règne marqué par des excès outranciers. Pourtant, derrière le tyran se cache un homme façonné par les trahisons, les complots et les drames familiaux. Plongeons au cœur de la Rome antique pour découvrir l'un des empereurs les plus controversés de l'histoire. Crédits : Lorànt Deutsch, Bruno Calvès Du lundi au vendredi de 15h à 15h30, Lorànt Deutsch vous révèle les secrets des personnages historiques les plus captivants !
durée : 00:03:50 - Choses vues - Les Dieux ne peuvent que nous décevoir... Que faire alors de nos déceptions et de nos désillusions ?
C'est sous le titre : Rien de trop beau pour les dieux que sont réunies, à la Fondation Opale, au cœur des Alpes Suisses, des œuvres contemporaines de tous les continents, imprégnées de spiritualité et de croyances. Si la religion et la foi font partie de l'art classique occidental, l'art contemporain lui s'est décrété laïque. Jean-Hubert Martin, le commissaire de l'exposition, a voulu contrer cette règle. Celui qui s'est déjà fait connaître il y a 35 ans avec l'exposition Les Magiciens de la terre au centre Pompidou, faisant entrer des artistes non occidentaux dans le sacro-saint temple de l'art contemporain parisien, se démarque une fois de plus.
C'est sous le titre : Rien de trop beau pour les dieux que sont réunies, à la Fondation Opale, au cœur des Alpes Suisses, des œuvres contemporaines de tous les continents, imprégnées de spiritualité et de croyances. Si la religion et la foi font partie de l'art classique occidental, l'art contemporain lui s'est décrété laïque. Jean-Hubert Martin, le commissaire de l'exposition, a voulu contrer cette règle. Celui qui s'est déjà fait connaître il y a 35 ans avec l'exposition Les Magiciens de la terre au centre Pompidou, faisant entrer des artistes non occidentaux dans le sacro-saint temple de l'art contemporain parisien, se démarque une fois de plus.
Aujourd'hui, je vais te parler de mes dieux préférés sur Terre, j'ai nommé, les Grecs bien sûr ! On va surtout essayer de répondre à une question essentielle : pourquoi sont-ils tellement humains ? Évidemment, au premier abord, cette question peut sembler étrange. Après tout, dans la mythologie grecque, les dieux ont des pouvoirs surnaturels, des immortalités inébranlables et des résidences célestes... Pourtant, ils se montrent étonnamment humains dans leurs comportements, leurs émotions, leurs interactions. Bref, faisons un petit tour au cœur de ces mythes fascinants ! Et on commence par l'essentiel : l'idée que les dieux grecs sont tout sauf parfaits, c'est d'ailleurs ce que j'adore chez eux. Contrairement aux divinités d'autres cultures, ils ont des traits humains amplifiés, ce qui les rend à la fois accessibles et profondément compréhensibles pour les mortels. ______ Briller en société est un podcast original NRJ, à retrouver sur toutes les plateformes d'écoute et sur le site et l'application NRJ.fr Texte : Daphné Breytenbach Voix et mix : Louis Daubé Rédaction en chef : Sarah Conan & Anaïs Koopman Production : Anne-Cécile Kirry Assistante de production : Marie Carette ______ Et découvrez les autres podcast produits par NRJ : - Le podcast Destin, sur les incroyables histoires de vie - Le podcast Inspirés, pour découvrir les coulisses de vos chansons préférées - Le podcast Palmarès !, parce que le cinéma s'écoute aussi en podcast ______ Briller en société est un podcast original NRJ, à retrouver sur toutes les plateformes d'écoute et sur le site et l'application NRJ.fr Texte : Daphné Breytenbach Voix et mix : Louis Daubé Rédaction en chef : Sarah Conan & Anaïs Koopman Production : Anne-Cécile Kirry & Marie Carette ______ Et découvrez les autres podcast produits par NRJ : - Le podcast Destin, sur les incroyables histoires de vie - Le podcast Inspirés, pour découvrir les coulisses de vos chansons préférées - Le podcast Gossip Love, sur la vie amoureuse des stars
Aujourd'hui, je vais te parler de mes dieux préférés sur Terre, j'ai nommé, les Grecs bien sûr ! On va surtout essayer de répondre à une question essentielle : pourquoi sont-ils tellement humains ? Évidemment, au premier abord, cette question peut sembler étrange. Après tout, dans la mythologie grecque, les dieux ont des pouvoirs surnaturels, des immortalités inébranlables et des résidences célestes... Pourtant, ils se montrent étonnamment humains dans leurs comportements, leurs émotions, leurs interactions. Bref, faisons un petit tour au cœur de ces mythes fascinants ! Et on commence par l'essentiel : l'idée que les dieux grecs sont tout sauf parfaits, c'est d'ailleurs ce que j'adore chez eux. Contrairement aux divinités d'autres cultures, ils ont des traits humains amplifiés, ce qui les rend à la fois accessibles et profondément compréhensibles pour les mortels. ______ Briller en société est un podcast original NRJ, à retrouver sur toutes les plateformes d'écoute et sur le site et l'application NRJ.fr Texte : Daphné Breytenbach Voix et mix : Louis Daubé Rédaction en chef : Sarah Conan & Anaïs Koopman Production : Anne-Cécile Kirry Assistante de production : Marie Carette ______ Et découvrez les autres podcast produits par NRJ : - Le podcast Destin, sur les incroyables histoires de vie - Le podcast Inspirés, pour découvrir les coulisses de vos chansons préférées - Le podcast Palmarès !, parce que le cinéma s'écoute aussi en podcast ______ Briller en société est un podcast original NRJ, à retrouver sur toutes les plateformes d'écoute et sur le site et l'application NRJ.fr Texte : Daphné Breytenbach Voix et mix : Louis Daubé Rédaction en chef : Sarah Conan & Anaïs Koopman Production : Anne-Cécile Kirry & Marie Carette ______ Et découvrez les autres podcast produits par NRJ : - Le podcast Destin, sur les incroyables histoires de vie - Le podcast Inspirés, pour découvrir les coulisses de vos chansons préférées - Le podcast Gossip Love, sur la vie amoureuse des stars
durée : 01:16:43 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par Philippe Némo - Avec Jean-Luc Marion (philosophe et théologien) et Jean-Robert Armogathe (prêtre, historien, théologien) - réalisation : Massimo Bellini
"Quand les dieux rôdaient sur la Terre" aux éditions Albin Michel, Belles lettres et France-Inter. Entretien avec Patrice Brun.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque planète peut naturellement s'agencer avec un Dieu, ou une Déesse de la mythologie grecque. Karine et moi en avons profité autour d'un café pour jaser de nos perceptions et apporter des concepts planétaires différents. Bonne écoute ! ✨ Trouve ta carte du ciel
durée : 01:19:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Michel Perrin
Les cultes du Cargo, nés au début du 20e siècle en Mélanésie, sont des mouvements religieux apparus suite à l'arrivée des colons européens et américains. Les indigènes, fascinés par les objets et technologies apportés par ces étrangers (le "Cargo"), croyaient que ces biens leur étaient destinés par des dieux. Ces cultes s'enracinent dans la croyance locale de la "koula", un système d'échanges divins. Pendant la Seconde Guerre mondiale, la présence américaine et leurs avions ont intensifié ces croyances. Des prophètes comme John Frum promettaient la restauration des échanges divins, déclenchant des révoltes. Bien que ces cultes soient pratiquement disparus aujourd'hui, ils témoignent de l'impact destructeur de la colonisation sur les sociétés indigènes. Merci pour votre écoute Vous aimez l'Heure H, mais connaissez-vous La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiK , une version pour toute la famille.Retrouvez l'ensemble des épisodes de l'Heure H sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/22750 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : Un jour dans l'Histoire : https://audmns.com/gXJWXoQL'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvVous aimez les histoires racontées par Jean-Louis Lahaye ? Connaissez-vous ces podcast?Sous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppv36 Quai des orfèvres : https://audmns.com/eUxNxyFHistoire Criminelle, les enquêtes de Scotland Yard : https://audmns.com/ZuEwXVOUn Crime, une Histoire https://audmns.com/NIhhXpYN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
durée : 01:00:00 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Lectures du soir - "Les dieux ont soif" 3/3 (Date d'enregistrement : 13/07/1954 France IV Haute-Fidélité) - réalisation : Virginie Mourthé
durée : 01:09:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - "Les dieux ont soif" (2/3) une lecture par Michel Bouquet, d'après une œuvre d'Anatole France, (Date d'enregistrement 01/01/1954 France IV Haute-Fidélité). - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Michel Bouquet Comédien
durée : 00:57:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - "Les dieux ont soif" (1/3) une lecture par Michel Bouquet, d'après une œuvre d'Anatole France, (Date d'enregistrement 01/01/1954 France IV Haute-Fidélité). - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Michel Bouquet Comédien
durée : 00:51:44 - Répliques - par : Alain Finkielkraut - Anatole France (1844-1924), grand romancier du temps de la Troisième République, républicain, dreyfusard, engagé, élu à l'Académie française en 1896, laissa un chef-d'œuvre romanesque au titre énigmatique : "Les dieux ont soif" - réédité pour le centenaire de sa mort. - réalisation : François Caunac - invités : Guillaume Métayer Directeur de recherche au CELLF (CNRS-Sorbonne université). Spécialiste de Nietzsche, Voltaire, Anatole France. Traducteur de l'allemand et du hongrois.; François Taillandier Ecrivain
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Il convient de revoir notre vision des Jeux Olympiques antiques, et traiter les Grecs comme des étrangers, appartenant à une culture différente de la nôtre. Pour eux, le sport constitue, avant tout, un marqueur social, qui constitue et soude une communauté humaine. L'athlète grec est avant tout un citoyen ou un futur citoyen. La pratique sportive est, d'abord, une activité politique, au sens grec du terme, de la « polis », la cité. Elle est étroitement liée à l'éducation, à la guerre et à la religion. Dans la palestre, les jeunes grecs apprennent aussi la littérature, la musique et la danse. Les exercices physiques sont destinés à leur donner l'endurance nécessaire au combat. Ils pratiquent toutes sortes de disciplines sportives : tir à l'arc, course en armes, tir sur cible, lancer du disque et du javelot, lutte, boxe. Ils sont également formés au maniement des armes. A l'âge adulte, ils reviennent au gymnase pour se perfectionner et pour entretenir leur forme. Le gymnase est donc le lieu de la sociabilité masculine par excellence. Mais la pratique sportive est également une activité religieuse : le vainqueur des Jeux d'Olympie apparaît comme le favori des dieux. Il est d'usage, après la victoire, de consacrer une offrande dans le sanctuaire du dieu à qui les concours sont dédiées. L'admiration que suscitent les victoires aux Grands Jeux sont particulièrement vive quand un même athlète remporte la couronne dans le cycle des quatre fêtes successivement, devenant alors périodonique, « vainqueur du cycle ». La renommée de tels champions traverse les siècles et peut même, dans certaines circonstances, faire accéder l'athlète au rang des dieux. Le désir de gloire, l'appétit de louanges et l'orgueil national excitent l'ardeur des concurrents. Les spectateurs viennent de très loin pour voir de près ces dieux vivants. A se côtoyer, pendant quelques jours, à prendre part aux mêmes sacrifices, à vibrer d'un même enthousiasme, des hommes venus de tous les points du monde hellénique donnaient un contenu plus concret à la notion même d'hellénisme.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Il convient de revoir notre vision des Jeux Olympiques antiques, et traiter les Grecs comme des étrangers, appartenant à une culture différente de la nôtre. Pour eux, le sport constitue, avant tout, un marqueur social, qui constitue et soude une communauté humaine. L'athlète grec est avant tout un citoyen ou un futur citoyen. La pratique sportive est, d'abord, une activité politique, au sens grec du terme, de la « polis », la cité. Elle est étroitement liée à l'éducation, à la guerre et à la religion. Dans la palestre, les jeunes grecs apprennent aussi la littérature, la musique et la danse. Les exercices physiques sont destinés à leur donner l'endurance nécessaire au combat. Ils pratiquent toutes sortes de disciplines sportives : tir à l'arc, course en armes, tir sur cible, lancer du disque et du javelot, lutte, boxe. Ils sont également formés au maniement des armes. A l'âge adulte, ils reviennent au gymnase pour se perfectionner et pour entretenir leur forme. Le gymnase est donc le lieu de la sociabilité masculine par excellence. Mais la pratique sportive est également une activité religieuse : le vainqueur des Jeux d'Olympie apparaît comme le favori des dieux. Il est d'usage, après la victoire, de consacrer une offrande dans le sanctuaire du dieu à qui les concours sont dédiées. L'admiration que suscitent les victoires aux Grands Jeux sont particulièrement vive quand un même athlète remporte la couronne dans le cycle des quatre fêtes successivement, devenant alors périodonique, « vainqueur du cycle ». La renommée de tels champions traverse les siècles et peut même, dans certaines circonstances, faire accéder l'athlète au rang des dieux. Le désir de gloire, l'appétit de louanges et l'orgueil national excitent l'ardeur des concurrents. Les spectateurs viennent de très loin pour voir de près ces dieux vivants. A se côtoyer, pendant quelques jours, à prendre part aux mêmes sacrifices, à vibrer d'un même enthousiasme, des hommes venus de tous les points du monde hellénique donnaient un contenu plus concret à la notion même d'hellénisme.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Il convient de revoir notre vision des Jeux Olympiques antiques, et traiter les Grecs comme des étrangers, appartenant à une culture différente de la nôtre. Pour eux, le sport constitue, avant tout, un marqueur social, qui constitue et soude une communauté humaine. L'athlète grec est avant tout un citoyen ou un futur citoyen. La pratique sportive est, d'abord, une activité politique, au sens grec du terme, de la « polis », la cité. Elle est étroitement liée à l'éducation, à la guerre et à la religion. Dans la palestre, les jeunes grecs apprennent aussi la littérature, la musique et la danse. Les exercices physiques sont destinés à leur donner l'endurance nécessaire au combat. Ils pratiquent toutes sortes de disciplines sportives : tir à l'arc, course en armes, tir sur cible, lancer du disque et du javelot, lutte, boxe. Ils sont également formés au maniement des armes. A l'âge adulte, ils reviennent au gymnase pour se perfectionner et pour entretenir leur forme. Le gymnase est donc le lieu de la sociabilité masculine par excellence. Mais la pratique sportive est également une activité religieuse : le vainqueur des Jeux d'Olympie apparaît comme le favori des dieux. Il est d'usage, après la victoire, de consacrer une offrande dans le sanctuaire du dieu à qui les concours sont dédiées. L'admiration que suscitent les victoires aux Grands Jeux sont particulièrement vive quand un même athlète remporte la couronne dans le cycle des quatre fêtes successivement, devenant alors périodonique, « vainqueur du cycle ». La renommée de tels champions traverse les siècles et peut même, dans certaines circonstances, faire accéder l'athlète au rang des dieux. Le désir de gloire, l'appétit de louanges et l'orgueil national excitent l'ardeur des concurrents. Les spectateurs viennent de très loin pour voir de près ces dieux vivants. A se côtoyer, pendant quelques jours, à prendre part aux mêmes sacrifices, à vibrer d'un même enthousiasme, des hommes venus de tous les points du monde hellénique donnaient un contenu plus concret à la notion même d'hellénisme.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Il convient de revoir notre vision des Jeux Olympiques antiques, et traiter les Grecs comme des étrangers, appartenant à une culture différente de la nôtre. Pour eux, le sport constitue, avant tout, un marqueur social, qui constitue et soude une communauté humaine. L'athlète grec est avant tout un citoyen ou un futur citoyen. La pratique sportive est, d'abord, une activité politique, au sens grec du terme, de la « polis », la cité. Elle est étroitement liée à l'éducation, à la guerre et à la religion. Dans la palestre, les jeunes grecs apprennent aussi la littérature, la musique et la danse. Les exercices physiques sont destinés à leur donner l'endurance nécessaire au combat. Ils pratiquent toutes sortes de disciplines sportives : tir à l'arc, course en armes, tir sur cible, lancer du disque et du javelot, lutte, boxe. Ils sont également formés au maniement des armes. A l'âge adulte, ils reviennent au gymnase pour se perfectionner et pour entretenir leur forme. Le gymnase est donc le lieu de la sociabilité masculine par excellence. Mais la pratique sportive est également une activité religieuse : le vainqueur des Jeux d'Olympie apparaît comme le favori des dieux. Il est d'usage, après la victoire, de consacrer une offrande dans le sanctuaire du dieu à qui les concours sont dédiées. L'admiration que suscitent les victoires aux Grands Jeux sont particulièrement vive quand un même athlète remporte la couronne dans le cycle des quatre fêtes successivement, devenant alors périodonique, « vainqueur du cycle ». La renommée de tels champions traverse les siècles et peut même, dans certaines circonstances, faire accéder l'athlète au rang des dieux. Le désir de gloire, l'appétit de louanges et l'orgueil national excitent l'ardeur des concurrents. Les spectateurs viennent de très loin pour voir de près ces dieux vivants. A se côtoyer, pendant quelques jours, à prendre part aux mêmes sacrifices, à vibrer d'un même enthousiasme, des hommes venus de tous les points du monde hellénique donnaient un contenu plus concret à la notion même d'hellénisme.
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Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Imaginez-vous dans la Grèce antique, aux premiers Jeux Olympiques. Les épreuves se déroulent sous le soleil brûlant de l'été, dans un cadre majestueux, entouré de temples et de statues des dieux. Les athlètes, représentant diverses cités-états, sont prêts à tout pour l'honneur et la gloire. Le premier épisode, L'arrivée à Olympie, vous a présenté le concept et les athlètes. Mais, désormais, place aux Jeux ! La compétition commence avec la course à pied, la plus ancienne et la plus vénérée des épreuves. Les spectateurs crient, encouragent, et vivent chaque instant intensément. Vient ensuite le pentathlon, une série d'épreuves combinant le saut en longueur, le lancer de disque, le lancer de javelot, la course et la lutte. Chaque mouvement est un spectacle de force et d'agilité. Les lutteurs, enduits d'huile, s'affrontent dans un combat de techniques et de puissance, sous les acclamations du public. Le pugilat et le pancrace suivent, des disciplines brutales où les coups sont portés sans retenue. Les athlètes, musclés et déterminés, se battent jusqu'à l'épuisement. Enfin, le spectacle se termine par les courses de chars et de chevaux, des épreuves où la vitesse et le courage des conducteurs et des animaux sont mis à l'épreuve. La poussière vole, les roues crissent, et les foules retiennent leur souffle. Ces Jeux sont bien plus qu'une simple compétition sportive; ils sont un mélange de religion, de culture et de politique. Chaque victoire est célébrée comme un triomphe divin, chaque défaite est une leçon d'humilité. En écoutant notre émission, vous allez littéralement plonger au cœur de ces épreuves fascinantes et découvrir l'essence même des premiers Jeux Olympiques.
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durée : 01:30:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - L'autre scène ou les vivants et les dieux ; Sorciers et philosophes, une image de Florence au XVe siècle (1ère diffusion : 19/07/1982)
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Les Jeux Olympiques de Paris approchent à grands pas. Tout le pays est en ébullition. C'est un évènement extraordinaire qui se prépare, certains disent même historique, car ces Jeux sont organisés 100 ans après les Jeux de Paris de 1924. Mais, si nos compétitions sportives modernes ont été inventées par Pierre de Coubertin, les Jeux Olympiques, eux, sont bien plus anciens. Ils ont été créés par les Grecs durant le VIIIe siècle avant notre ère. La pratique du sport est l'un des aspects les plus connus de la civilisation grecque. C'est le seul que l'on prétend ressusciter tous les quatre ans sous la forme des jeux Olympiques modernes. Nous croyons tous être incollables sur les Jeux d'Olympie. Nous nous imaginons de jeunes athlètes entièrement nus, beaux comme des dieux, faisant étinceler leurs muscles saillants sous les rayons du soleil, lançant le javelot et le disque, ou se livrant à des combats féroces où tous les coups sont permis. Or, les nouvelles données archéologiques, et l'analyse des sources antiques, nous permettent de dresser un tableau plus réaliste. Et il est très surprenant, voire, même, déconcertant. Contrairement à ce que tout le monde pense, les athlètes, à l'origine, ne concourraient pas nus, même si cette nudité supposée a, rapidement, été associée à l'héroïsme et à la faveur divine. Les vases et les figurines en terre cuite ont propagé à profusion l'image de ces hommes éblouissants de jeunesse et de beauté, qui émoustillent les sens des spectateurs. Or, ils n'étaient pas tous grands et élancés : selon les auteurs antiques, certains de ces participants étaient même obèses ! Et les femmes, dans tout cela ? Les Jeux Olympiques modernes leur ont été interdits durant de longues années, sous prétextes que les femmes grecques antiques ne pouvaient pas concourir lors des Jeux antiques. Il s'agit, là aussi, d'un cliché. Si leur exclusion des Jeux d'Olympie est avérée, elles disposaient de leurs propres compétitions sportives, et se montraient aussi combattantes et performantes que les athlètes masculins. Certaines, à l'instar des champions d'Olympie, étaient même élevées au rang de divinités.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Les Jeux Olympiques de Paris approchent à grands pas. Tout le pays est en ébullition. C'est un évènement extraordinaire qui se prépare, certains disent même historique, car ces Jeux sont organisés 100 ans après les Jeux de Paris de 1924. Mais, si nos compétitions sportives modernes ont été inventées par Pierre de Coubertin, les Jeux Olympiques, eux, sont bien plus anciens. Ils ont été créés par les Grecs durant le VIIIe siècle avant notre ère. La pratique du sport est l'un des aspects les plus connus de la civilisation grecque. C'est le seul que l'on prétend ressusciter tous les quatre ans sous la forme des jeux Olympiques modernes. Nous croyons tous être incollables sur les Jeux d'Olympie. Nous nous imaginons de jeunes athlètes entièrement nus, beaux comme des dieux, faisant étinceler leurs muscles saillants sous les rayons du soleil, lançant le javelot et le disque, ou se livrant à des combats féroces où tous les coups sont permis. Or, les nouvelles données archéologiques, et l'analyse des sources antiques, nous permettent de dresser un tableau plus réaliste. Et il est très surprenant, voire, même, déconcertant. Contrairement à ce que tout le monde pense, les athlètes, à l'origine, ne concourraient pas nus, même si cette nudité supposée a, rapidement, été associée à l'héroïsme et à la faveur divine. Les vases et les figurines en terre cuite ont propagé à profusion l'image de ces hommes éblouissants de jeunesse et de beauté, qui émoustillent les sens des spectateurs. Or, ils n'étaient pas tous grands et élancés : selon les auteurs antiques, certains de ces participants étaient même obèses ! Et les femmes, dans tout cela ? Les Jeux Olympiques modernes leur ont été interdits durant de longues années, sous prétextes que les femmes grecques antiques ne pouvaient pas concourir lors des Jeux antiques. Il s'agit, là aussi, d'un cliché. Si leur exclusion des Jeux d'Olympie est avérée, elles disposaient de leurs propres compétitions sportives, et se montraient aussi combattantes et performantes que les athlètes masculins. Certaines, à l'instar des champions d'Olympie, étaient même élevées au rang de divinités.
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durée : 00:03:43 - Le Pourquoi du comment : histoire - par : Gérard Noiriel - Qui étaient les dieux Lares ?
durée : 01:30:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - L'autre scène ou les vivants et les dieux - Les routes de l'au-delà (1ère diffusion : 10/05/1976)
durée : 00:39:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Les vivants et les dieux, symboles et religions - Tchouang-Tseu (1ère diffusion : 29/06/2002)
durée : 00:44:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - L'autre scène ou les vivants et les dieux - Histoire d'une passion, Marthe Robert et les livres 2/2 : La peur des mots (1ère diffusion : 05/04/1980)
durée : 00:44:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - L'autre scène ou les vivants et les dieux - Histoire d'une passion, Marthe Robert et les livres 1/2 : Le monde des fées (1ère diffusion : 29/03/1980)
« Le sursaut ! Que du bonheur ! », s'extasie Fraternité Matin en première page. Il est vrai qu'ils reviennent de loin ces Éléphants dans cette Coupe d'Afrique des Nations. Repêchés sur le fil pour ces 8e de finale, les footballeurs ivoiriens sont venus à bout lundi soir du Sénégal, tenant du titre, après prolongations.Les Dieux du foot sont ivoiriens… « Après une semaine de désespoir, les Éléphants ont réalisé un deuxième miracle, propulsant le pays hôte en quart de finale », lance le site d'information ivoirien L'Infodrome.Douche froide…Côté sénégalais, la déception est immense…« Tsunami à Yamoussoukro ! », peste WalfQuotidien.« Les Éléphants piègent les Lions aux penalties et filent en quarts ! », soupire Dakar Actu. « Douche froide pour les Lions », renchérit Seneplus. Et pourtant… « Le Sénégal avait survolé le premier tour en remportant ses trois matches, rappelle le site, la Côte d'Ivoire, elle, avait connu des difficultés avec deux défaites et une seule victoire. Un parcours chaotique… La performance des Éléphants est d'autant plus remarquable », reconnait le site sénégalais, plutôt beau joueur…Mauvais choix tactiques ?Seneweb tente d'expliquer ce qui n'a pas fonctionné chez les Lions de la Téranga : « lors de la phase de poule, le sélectionneur Aliou Cissé avait utilisé à merveille un système hybride avec 3 défenseurs (…). Mais hier soir, Aliou Cissé a décidé de changer ce système, certainement pour gérer l'ouverture du score d'Habib Diallo. Mais sans un 3ᵉ milieu, la récupération a été très difficile pour les deux milieux, qui ont fait tout ce qu'ils ont pu pour limiter la casse. Ce qui a permis à la Côte d'Ivoire de gagner du terrain pour mettre la pression sur la défense sénégalaise, qui a plié en fin de match (avec le pénalty égalisateur). »« Aliou Cissé se noie dans sa tactique », fulmine pour sa part le quotidien 24 Heures, toujours à Dakar. « Le bloc sénégalais a reculé, laissant des espaces à une Côte d'Ivoire qui n'avait plus rien à faire que de s'installer dans le cœur du jeu. »Au bout du suspense…Un but partout, arrivent donc les prolongations et les tirs au but : Le Monde Afrique raconte… « Ce huitième de finale va se terminer au mental. Les Ivoiriens croisent les doigts pour que les Sénégalais ratent leurs frappes. La malchance s'abat sur Moussa Niakhate qui fracasse le poteau droit de Yahia Fofana, le gardien des Éléphants. Franck Kessié est le dernier tireur. Lui qui était sur le banc en début de match, lui qui a marqué le pénalty en fin de rencontre, qualifie tout un peuple. Le stade vibre sous les pieds des Ivoiriens. La Côte d'Ivoire file en quarts, qui l'aurait cru ? »Et Le Monde Afrique de conclure : « Eh oui, le football est irrationnel. Ce soir-là à Yamoussoukro, les Ivoiriens ont rappelé que l'espoir fait vivre et qu'il fait gagner aussi. »Un quart très politique…En quart de finale, les Éléphants affronteront soit les Étalons du Burkina, soit les Aigles du Mali qui s'opposent ce mardi…Commentaire du Pays à Ouagadougou : « officiellement, les autorités de la Côte d'Ivoire, du Mali et du Burkina ne se sont pas immiscées dans des considérations extra sportives, largement relayées sur les réseaux sociaux. Mais la montée des nationalismes et des tensions diplomatiques qui fracturent la sous-région depuis quelque temps risque de donner plus de piquant à ce quart de finale (…). C'est connu, conclut Le Pays, le football est parfois belligène en ce sens qu'il souffle sur les braises des passions nationales. Et le pays organisateur de cette CAN devra tout faire pour convaincre les plus agités de la toile que le football est avant tout un jeu. »
durée : 01:29:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Par Claude Mettra et Philippe Némo - Avec Christian Jambet
durée : 01:31:27 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Par Claude Mettra - Avec Elémire Zolla (écrivain, philosophe et historien des idées)