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durée : 00:55:28 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Au cours de l'année 1954, le comédien Michel Bouquet offre aux auditeurs de France IV Haute-Fidélité, une lecture du roman historique "Les Dieux ont soif" d'Anatole France. Publié en 1912, ce roman met en scène un jeune peintre idéaliste, Evariste Gamelin, durant la Révolution française. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Michel Bouquet Comédien
durée : 01:07:29 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Au cours de l'année 1954, le comédien Michel Bouquet offre aux auditeurs de France IV Haute-Fidélité, une lecture marquante du roman historique "Les Dieux ont soif" d'Anatole France. Publié en 1912, ce roman met en scène un jeune peintre idéaliste, Evariste Gamelin, durant la Révolution française. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Michel Bouquet Comédien
durée : 00:57:54 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Au cours de l'année 1954, le comédien Michel Bouquet offre aux auditeurs de France IV Haute-Fidélité, une lecture marquante du roman historique "Les Dieux ont soif" d'Anatole France. Publié en 1912, ce roman met en scène un jeune peintre idéaliste, Evariste Gamelin, durant la Révolution française. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Michel Bouquet Comédien
[Rediffusion de l'épisode 24 du 30/09/2020]Ha ben voilà ! Vous l'avez pas volé celle-là, l'épisode 24 est de sortie et il en a gros sur la figue ! En news, on déchaine les enfers en parlant de PS5, de GamePass, de Zenimax et de Microsoft ! On fait une traversée du Styx avec les très chill Monster Expedition et Spiritfarer, puis les très pas chill Hades et Wasteland 3. On affronte également les habituelles et redoutables rubriques : l'impitoyable quiz, l'indomptable piscine, et surtout l'olympique tour dans le viseur. Bref, embarquez pour un voyage de 2h17 ! Et ne dites pas que ne l'avez pas mérité celui-là ! -----------------------------------------------------Le site - www.coopetcanap.comTwitch - https://twitch.tv/coopetcanapTwitter - https://twitter.com/CoopEtCanapDiscord - https://discord.gg/eUTA6CB2hKMusic by Adhesive Wombat - www.soundcloud.com/adhesivewombat Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:51:09 - Répliques - par : Alain Finkielkraut - Anatole France (1844-1924), grand romancier du temps de la Troisième République, républicain, dreyfusard, engagé, élu à l'Académie française en 1896, laissa un chef-d'œuvre romanesque au titre énigmatique : "Les dieux ont soif" - réédité pour le centenaire de sa mort. - réalisation : François Caunac - invités : Guillaume Métayer Poète et traducteur. ; François Taillandier Ecrivain
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Histoires du soir : podcast pour enfants / les plus belles histoires pour enfants
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Deuxième volet des études liées au mythe de H. P. Lovecraft, aujourd'hui nous nous intéressons au cas de Nyarlathothep, le messager.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:58:25 - Mauvais genres - par : François Angelier - À la découverte de deux univers dissemblables, ceux du sculpteur et performer Olivier de Sagazan et de l'auteur Gabrielle Wittkop. - réalisation : Laurent Paulré - invités : Grégory Le Floch Écrivain
durée : 00:58:25 - Mauvais genres - par : François Angelier - À la découverte de deux univers dissemblables, ceux du sculpteur et performer Olivier de Sagazan et de l'auteur Gabrielle Wittkop. - réalisation : Laurent Paulré - invités : Grégory Le Floch Écrivain
durée : 00:03:49 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - C'est la question posée par Christophe (10 ans). C'est l'égyptologue Bénédicte Lhoyer qui lui répond. - réalisé par : Stéphanie TEXIER
REDIFF - Empereur véritablement dément ou simple victime d'une mauvaise réputation ? « Caligula » : ce nom à lui seul évoque la décadence, la cruauté et un règne marqué par des excès outranciers. Pourtant, derrière le tyran se cache un homme façonné par les trahisons, les complots et les drames familiaux. Plongeons au cœur de la Rome antique pour découvrir l'un des empereurs les plus controversés de l'histoire. Crédits : Lorànt Deutsch, Bruno Calvès. Du lundi au vendredi de 15h à 15h30, Lorànt Deutsch vous révèle les secrets des personnages historiques les plus captivants !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - Empereur véritablement dément ou simple victime d'une mauvaise réputation ? « Caligula » : ce nom à lui seul évoque la décadence, la cruauté et un règne marqué par des excès outranciers. Pourtant, derrière le tyran se cache un homme façonné par les trahisons, les complots et les drames familiaux. Plongeons au cœur de la Rome antique pour découvrir l'un des empereurs les plus controversés de l'histoire. Crédits : Lorànt Deutsch, Bruno Calvès. Du lundi au vendredi de 15h à 15h30, Lorànt Deutsch vous révèle les secrets des personnages historiques les plus captivants !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Saviez-vous que le cacao, bien avant d'être transformé en chocolat, occupait une place sacrée chez les Aztèques et les Mayas ? Adhérez à cette chaîne pour obtenir des avantages : https://www.youtube.com/channel/UCN4TCCaX-gqBNkrUqXdgGRA/join Script: Alexandre Jouan de la chaîne @danstonassiette3254 Pour soutenir la chaîne, au choix: 1. Cliquez sur le bouton « Adhérer » sous la vidéo. 2. Patreon: https://www.patreon.com/hndl Musique issue du site : epidemicsound.com Images provenant de https://www.storyblocks.com Abonnez-vous à la chaine: https://www.youtube.com/c/LHistoirenousledira Les vidéos sont utilisées à des fins éducatives selon l'article 107 du Copyright Act de 1976 sur le Fair-Use. Sources et pour aller plus loin: De la fève de cacao à la tablette : l'histoire captivante du chocolat, 28 janvier 2024, Nathalie Picard https://www.caminteresse.fr/societe/de-la-feve-de-cacao-a-la-tablette-lhistoire-captivante-du-chocolat-11192138/ Les Dieux et le Chocolat : Une Histoire de Divinité et de Délices, Alexandre Tano Kan Koffi, juillet 2024 https://cacao.ci/les-dieux-et-le-chocolat-une-histoire-de-divinite-et-de-delices/ Bonne fête la Suisse ! 5 jeux sur le chocolat pour célébrer le pays, août 2023 https://gusandco.net/2023/08/01/suisse-premier-aout-jeux-chocolat-selection/ Coe, Sophie D. & Coe, Michael D. – La véritable histoire du chocolat, Éditions Tallandier, 2018. Gruzinski, Serge – La Pensée métisse, Fayard, 1999. La symbolique du cacao chez les Mayas https://escales.ponant.com/symbolique-cacao-mayas/ https://www.researchgate.net/publication/252588751_Archaeology_Cacao_usage_by_the_earliest_Maya_civilization https://fr.wikipedia.org/wiki/Civilisation_maya?utm_source=chatgpt.com Autres références disponibles sur demande. #histoire #documentaire #cacao #chocolat #chocolate
durée : 01:28:10 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par Jean-Pierre Troadec - Avec Henri-Bernard Vergote (philosophe) - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar
Le sons des anges ont été diffusés par les ondes de Radio Campus Angers FM 103Mhz dans l'émission aux voix plurielles, Accent…
Rubrique:romans Auteur: anatole-france Lecture: Alain ProteDurée: 7h28min Fichier: 645 Mo Résumé du livre audio: La traversée de la grande terreur robespierienne par un juré du tribunal révolutionnaire, dont le fanatisme causera la chute. Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
durée : 01:29:30 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par Philippe Nemo - Avec Pierre Aubenque (philosophe, professeur et spécialiste d'Aristote) - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar
durée : 01:29:23 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par Philippe Nemo - Avec Pierre Aubenque (philosophe, professeur et spécialiste d'Aristote) - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar
durée : 00:42:02 - Les Nuits de France Culture - par : Mathilde Wagman - Pour comprendre le rôle majeur du christianisme orthodoxe dans la culture grecque Michel Cazenave proposait en 2001, pour "Les Vivants et les dieux", une émission intitulée "Chants de la liturgie byzantine", avec la comédienne et metteur en scène Dido Lykoudis et l'écrivain Jacques Lacarrière. - réalisation : Virginie Mourthé
Empereur véritablement dément ou simple victime d'une mauvaise réputation ? « Caligula » : ce nom à lui seul évoque la décadence, la cruauté et un règne marqué par des excès outranciers. Pourtant, derrière le tyran se cache un homme façonné par les trahisons, les complots et les drames familiaux. Plongeons au cœur de la Rome antique pour découvrir l'un des empereurs les plus controversés de l'histoire. Crédits : Lorànt Deutsch, Bruno Calvès Du lundi au vendredi de 15h à 15h30, Lorànt Deutsch vous révèle les secrets des personnages historiques les plus captivants !
durée : 00:03:50 - Choses vues - Les Dieux ne peuvent que nous décevoir... Que faire alors de nos déceptions et de nos désillusions ?
C'est sous le titre : Rien de trop beau pour les dieux que sont réunies, à la Fondation Opale, au cœur des Alpes Suisses, des œuvres contemporaines de tous les continents, imprégnées de spiritualité et de croyances. Si la religion et la foi font partie de l'art classique occidental, l'art contemporain lui s'est décrété laïque. Jean-Hubert Martin, le commissaire de l'exposition, a voulu contrer cette règle. Celui qui s'est déjà fait connaître il y a 35 ans avec l'exposition Les Magiciens de la terre au centre Pompidou, faisant entrer des artistes non occidentaux dans le sacro-saint temple de l'art contemporain parisien, se démarque une fois de plus.
durée : 01:16:43 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par Philippe Némo - Avec Jean-Luc Marion (philosophe et théologien) et Jean-Robert Armogathe (prêtre, historien, théologien) - réalisation : Massimo Bellini
Chaque planète peut naturellement s'agencer avec un Dieu, ou une Déesse de la mythologie grecque. Karine et moi en avons profité autour d'un café pour jaser de nos perceptions et apporter des concepts planétaires différents. Bonne écoute ! ✨ Trouve ta carte du ciel
durée : 01:19:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Michel Perrin
durée : 01:00:00 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Lectures du soir - "Les dieux ont soif" 3/3 (Date d'enregistrement : 13/07/1954 France IV Haute-Fidélité) - réalisation : Virginie Mourthé
durée : 01:09:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - "Les dieux ont soif" (2/3) une lecture par Michel Bouquet, d'après une œuvre d'Anatole France, (Date d'enregistrement 01/01/1954 France IV Haute-Fidélité). - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Michel Bouquet Comédien
durée : 00:57:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - "Les dieux ont soif" (1/3) une lecture par Michel Bouquet, d'après une œuvre d'Anatole France, (Date d'enregistrement 01/01/1954 France IV Haute-Fidélité). - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Michel Bouquet Comédien
durée : 00:51:44 - Répliques - par : Alain Finkielkraut - Anatole France (1844-1924), grand romancier du temps de la Troisième République, républicain, dreyfusard, engagé, élu à l'Académie française en 1896, laissa un chef-d'œuvre romanesque au titre énigmatique : "Les dieux ont soif" - réédité pour le centenaire de sa mort. - réalisation : François Caunac - invités : Guillaume Métayer Directeur de recherche au CELLF (CNRS-Sorbonne université). Spécialiste de Nietzsche, Voltaire, Anatole France. Traducteur de l'allemand et du hongrois.; François Taillandier Ecrivain
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Il convient de revoir notre vision des Jeux Olympiques antiques, et traiter les Grecs comme des étrangers, appartenant à une culture différente de la nôtre. Pour eux, le sport constitue, avant tout, un marqueur social, qui constitue et soude une communauté humaine. L'athlète grec est avant tout un citoyen ou un futur citoyen. La pratique sportive est, d'abord, une activité politique, au sens grec du terme, de la « polis », la cité. Elle est étroitement liée à l'éducation, à la guerre et à la religion. Dans la palestre, les jeunes grecs apprennent aussi la littérature, la musique et la danse. Les exercices physiques sont destinés à leur donner l'endurance nécessaire au combat. Ils pratiquent toutes sortes de disciplines sportives : tir à l'arc, course en armes, tir sur cible, lancer du disque et du javelot, lutte, boxe. Ils sont également formés au maniement des armes. A l'âge adulte, ils reviennent au gymnase pour se perfectionner et pour entretenir leur forme. Le gymnase est donc le lieu de la sociabilité masculine par excellence. Mais la pratique sportive est également une activité religieuse : le vainqueur des Jeux d'Olympie apparaît comme le favori des dieux. Il est d'usage, après la victoire, de consacrer une offrande dans le sanctuaire du dieu à qui les concours sont dédiées. L'admiration que suscitent les victoires aux Grands Jeux sont particulièrement vive quand un même athlète remporte la couronne dans le cycle des quatre fêtes successivement, devenant alors périodonique, « vainqueur du cycle ». La renommée de tels champions traverse les siècles et peut même, dans certaines circonstances, faire accéder l'athlète au rang des dieux. Le désir de gloire, l'appétit de louanges et l'orgueil national excitent l'ardeur des concurrents. Les spectateurs viennent de très loin pour voir de près ces dieux vivants. A se côtoyer, pendant quelques jours, à prendre part aux mêmes sacrifices, à vibrer d'un même enthousiasme, des hommes venus de tous les points du monde hellénique donnaient un contenu plus concret à la notion même d'hellénisme.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Il convient de revoir notre vision des Jeux Olympiques antiques, et traiter les Grecs comme des étrangers, appartenant à une culture différente de la nôtre. Pour eux, le sport constitue, avant tout, un marqueur social, qui constitue et soude une communauté humaine. L'athlète grec est avant tout un citoyen ou un futur citoyen. La pratique sportive est, d'abord, une activité politique, au sens grec du terme, de la « polis », la cité. Elle est étroitement liée à l'éducation, à la guerre et à la religion. Dans la palestre, les jeunes grecs apprennent aussi la littérature, la musique et la danse. Les exercices physiques sont destinés à leur donner l'endurance nécessaire au combat. Ils pratiquent toutes sortes de disciplines sportives : tir à l'arc, course en armes, tir sur cible, lancer du disque et du javelot, lutte, boxe. Ils sont également formés au maniement des armes. A l'âge adulte, ils reviennent au gymnase pour se perfectionner et pour entretenir leur forme. Le gymnase est donc le lieu de la sociabilité masculine par excellence. Mais la pratique sportive est également une activité religieuse : le vainqueur des Jeux d'Olympie apparaît comme le favori des dieux. Il est d'usage, après la victoire, de consacrer une offrande dans le sanctuaire du dieu à qui les concours sont dédiées. L'admiration que suscitent les victoires aux Grands Jeux sont particulièrement vive quand un même athlète remporte la couronne dans le cycle des quatre fêtes successivement, devenant alors périodonique, « vainqueur du cycle ». La renommée de tels champions traverse les siècles et peut même, dans certaines circonstances, faire accéder l'athlète au rang des dieux. Le désir de gloire, l'appétit de louanges et l'orgueil national excitent l'ardeur des concurrents. Les spectateurs viennent de très loin pour voir de près ces dieux vivants. A se côtoyer, pendant quelques jours, à prendre part aux mêmes sacrifices, à vibrer d'un même enthousiasme, des hommes venus de tous les points du monde hellénique donnaient un contenu plus concret à la notion même d'hellénisme.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Il convient de revoir notre vision des Jeux Olympiques antiques, et traiter les Grecs comme des étrangers, appartenant à une culture différente de la nôtre. Pour eux, le sport constitue, avant tout, un marqueur social, qui constitue et soude une communauté humaine. L'athlète grec est avant tout un citoyen ou un futur citoyen. La pratique sportive est, d'abord, une activité politique, au sens grec du terme, de la « polis », la cité. Elle est étroitement liée à l'éducation, à la guerre et à la religion. Dans la palestre, les jeunes grecs apprennent aussi la littérature, la musique et la danse. Les exercices physiques sont destinés à leur donner l'endurance nécessaire au combat. Ils pratiquent toutes sortes de disciplines sportives : tir à l'arc, course en armes, tir sur cible, lancer du disque et du javelot, lutte, boxe. Ils sont également formés au maniement des armes. A l'âge adulte, ils reviennent au gymnase pour se perfectionner et pour entretenir leur forme. Le gymnase est donc le lieu de la sociabilité masculine par excellence. Mais la pratique sportive est également une activité religieuse : le vainqueur des Jeux d'Olympie apparaît comme le favori des dieux. Il est d'usage, après la victoire, de consacrer une offrande dans le sanctuaire du dieu à qui les concours sont dédiées. L'admiration que suscitent les victoires aux Grands Jeux sont particulièrement vive quand un même athlète remporte la couronne dans le cycle des quatre fêtes successivement, devenant alors périodonique, « vainqueur du cycle ». La renommée de tels champions traverse les siècles et peut même, dans certaines circonstances, faire accéder l'athlète au rang des dieux. Le désir de gloire, l'appétit de louanges et l'orgueil national excitent l'ardeur des concurrents. Les spectateurs viennent de très loin pour voir de près ces dieux vivants. A se côtoyer, pendant quelques jours, à prendre part aux mêmes sacrifices, à vibrer d'un même enthousiasme, des hommes venus de tous les points du monde hellénique donnaient un contenu plus concret à la notion même d'hellénisme.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Il convient de revoir notre vision des Jeux Olympiques antiques, et traiter les Grecs comme des étrangers, appartenant à une culture différente de la nôtre. Pour eux, le sport constitue, avant tout, un marqueur social, qui constitue et soude une communauté humaine. L'athlète grec est avant tout un citoyen ou un futur citoyen. La pratique sportive est, d'abord, une activité politique, au sens grec du terme, de la « polis », la cité. Elle est étroitement liée à l'éducation, à la guerre et à la religion. Dans la palestre, les jeunes grecs apprennent aussi la littérature, la musique et la danse. Les exercices physiques sont destinés à leur donner l'endurance nécessaire au combat. Ils pratiquent toutes sortes de disciplines sportives : tir à l'arc, course en armes, tir sur cible, lancer du disque et du javelot, lutte, boxe. Ils sont également formés au maniement des armes. A l'âge adulte, ils reviennent au gymnase pour se perfectionner et pour entretenir leur forme. Le gymnase est donc le lieu de la sociabilité masculine par excellence. Mais la pratique sportive est également une activité religieuse : le vainqueur des Jeux d'Olympie apparaît comme le favori des dieux. Il est d'usage, après la victoire, de consacrer une offrande dans le sanctuaire du dieu à qui les concours sont dédiées. L'admiration que suscitent les victoires aux Grands Jeux sont particulièrement vive quand un même athlète remporte la couronne dans le cycle des quatre fêtes successivement, devenant alors périodonique, « vainqueur du cycle ». La renommée de tels champions traverse les siècles et peut même, dans certaines circonstances, faire accéder l'athlète au rang des dieux. Le désir de gloire, l'appétit de louanges et l'orgueil national excitent l'ardeur des concurrents. Les spectateurs viennent de très loin pour voir de près ces dieux vivants. A se côtoyer, pendant quelques jours, à prendre part aux mêmes sacrifices, à vibrer d'un même enthousiasme, des hommes venus de tous les points du monde hellénique donnaient un contenu plus concret à la notion même d'hellénisme.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Il convient de revoir notre vision des Jeux Olympiques antiques, et traiter les Grecs comme des étrangers, appartenant à une culture différente de la nôtre. Pour eux, le sport constitue, avant tout, un marqueur social, qui constitue et soude une communauté humaine. L'athlète grec est avant tout un citoyen ou un futur citoyen. La pratique sportive est, d'abord, une activité politique, au sens grec du terme, de la « polis », la cité. Elle est étroitement liée à l'éducation, à la guerre et à la religion. Dans la palestre, les jeunes grecs apprennent aussi la littérature, la musique et la danse. Les exercices physiques sont destinés à leur donner l'endurance nécessaire au combat. Ils pratiquent toutes sortes de disciplines sportives : tir à l'arc, course en armes, tir sur cible, lancer du disque et du javelot, lutte, boxe. Ils sont également formés au maniement des armes. A l'âge adulte, ils reviennent au gymnase pour se perfectionner et pour entretenir leur forme. Le gymnase est donc le lieu de la sociabilité masculine par excellence. Mais la pratique sportive est également une activité religieuse : le vainqueur des Jeux d'Olympie apparaît comme le favori des dieux. Il est d'usage, après la victoire, de consacrer une offrande dans le sanctuaire du dieu à qui les concours sont dédiées. L'admiration que suscitent les victoires aux Grands Jeux sont particulièrement vive quand un même athlète remporte la couronne dans le cycle des quatre fêtes successivement, devenant alors périodonique, « vainqueur du cycle ». La renommée de tels champions traverse les siècles et peut même, dans certaines circonstances, faire accéder l'athlète au rang des dieux. Le désir de gloire, l'appétit de louanges et l'orgueil national excitent l'ardeur des concurrents. Les spectateurs viennent de très loin pour voir de près ces dieux vivants. A se côtoyer, pendant quelques jours, à prendre part aux mêmes sacrifices, à vibrer d'un même enthousiasme, des hommes venus de tous les points du monde hellénique donnaient un contenu plus concret à la notion même d'hellénisme.
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Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Imaginez-vous dans la Grèce antique, aux premiers Jeux Olympiques. Les épreuves se déroulent sous le soleil brûlant de l'été, dans un cadre majestueux, entouré de temples et de statues des dieux. Les athlètes, représentant diverses cités-états, sont prêts à tout pour l'honneur et la gloire. Le premier épisode, L'arrivée à Olympie, vous a présenté le concept et les athlètes. Mais, désormais, place aux Jeux ! La compétition commence avec la course à pied, la plus ancienne et la plus vénérée des épreuves. Les spectateurs crient, encouragent, et vivent chaque instant intensément. Vient ensuite le pentathlon, une série d'épreuves combinant le saut en longueur, le lancer de disque, le lancer de javelot, la course et la lutte. Chaque mouvement est un spectacle de force et d'agilité. Les lutteurs, enduits d'huile, s'affrontent dans un combat de techniques et de puissance, sous les acclamations du public. Le pugilat et le pancrace suivent, des disciplines brutales où les coups sont portés sans retenue. Les athlètes, musclés et déterminés, se battent jusqu'à l'épuisement. Enfin, le spectacle se termine par les courses de chars et de chevaux, des épreuves où la vitesse et le courage des conducteurs et des animaux sont mis à l'épreuve. La poussière vole, les roues crissent, et les foules retiennent leur souffle. Ces Jeux sont bien plus qu'une simple compétition sportive; ils sont un mélange de religion, de culture et de politique. Chaque victoire est célébrée comme un triomphe divin, chaque défaite est une leçon d'humilité. En écoutant notre émission, vous allez littéralement plonger au cœur de ces épreuves fascinantes et découvrir l'essence même des premiers Jeux Olympiques.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Imaginez-vous dans la Grèce antique, aux premiers Jeux Olympiques. Les épreuves se déroulent sous le soleil brûlant de l'été, dans un cadre majestueux, entouré de temples et de statues des dieux. Les athlètes, représentant diverses cités-états, sont prêts à tout pour l'honneur et la gloire. Le premier épisode, L'arrivée à Olympie, vous a présenté le concept et les athlètes. Mais, désormais, place aux Jeux ! La compétition commence avec la course à pied, la plus ancienne et la plus vénérée des épreuves. Les spectateurs crient, encouragent, et vivent chaque instant intensément. Vient ensuite le pentathlon, une série d'épreuves combinant le saut en longueur, le lancer de disque, le lancer de javelot, la course et la lutte. Chaque mouvement est un spectacle de force et d'agilité. Les lutteurs, enduits d'huile, s'affrontent dans un combat de techniques et de puissance, sous les acclamations du public. Le pugilat et le pancrace suivent, des disciplines brutales où les coups sont portés sans retenue. Les athlètes, musclés et déterminés, se battent jusqu'à l'épuisement. Enfin, le spectacle se termine par les courses de chars et de chevaux, des épreuves où la vitesse et le courage des conducteurs et des animaux sont mis à l'épreuve. La poussière vole, les roues crissent, et les foules retiennent leur souffle. Ces Jeux sont bien plus qu'une simple compétition sportive; ils sont un mélange de religion, de culture et de politique. Chaque victoire est célébrée comme un triomphe divin, chaque défaite est une leçon d'humilité. En écoutant notre émission, vous allez littéralement plonger au cœur de ces épreuves fascinantes et découvrir l'essence même des premiers Jeux Olympiques.
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durée : 01:30:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - L'autre scène ou les vivants et les dieux ; Sorciers et philosophes, une image de Florence au XVe siècle (1ère diffusion : 19/07/1982)
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Les Jeux Olympiques de Paris approchent à grands pas. Tout le pays est en ébullition. C'est un évènement extraordinaire qui se prépare, certains disent même historique, car ces Jeux sont organisés 100 ans après les Jeux de Paris de 1924. Mais, si nos compétitions sportives modernes ont été inventées par Pierre de Coubertin, les Jeux Olympiques, eux, sont bien plus anciens. Ils ont été créés par les Grecs durant le VIIIe siècle avant notre ère. La pratique du sport est l'un des aspects les plus connus de la civilisation grecque. C'est le seul que l'on prétend ressusciter tous les quatre ans sous la forme des jeux Olympiques modernes. Nous croyons tous être incollables sur les Jeux d'Olympie. Nous nous imaginons de jeunes athlètes entièrement nus, beaux comme des dieux, faisant étinceler leurs muscles saillants sous les rayons du soleil, lançant le javelot et le disque, ou se livrant à des combats féroces où tous les coups sont permis. Or, les nouvelles données archéologiques, et l'analyse des sources antiques, nous permettent de dresser un tableau plus réaliste. Et il est très surprenant, voire, même, déconcertant. Contrairement à ce que tout le monde pense, les athlètes, à l'origine, ne concourraient pas nus, même si cette nudité supposée a, rapidement, été associée à l'héroïsme et à la faveur divine. Les vases et les figurines en terre cuite ont propagé à profusion l'image de ces hommes éblouissants de jeunesse et de beauté, qui émoustillent les sens des spectateurs. Or, ils n'étaient pas tous grands et élancés : selon les auteurs antiques, certains de ces participants étaient même obèses ! Et les femmes, dans tout cela ? Les Jeux Olympiques modernes leur ont été interdits durant de longues années, sous prétextes que les femmes grecques antiques ne pouvaient pas concourir lors des Jeux antiques. Il s'agit, là aussi, d'un cliché. Si leur exclusion des Jeux d'Olympie est avérée, elles disposaient de leurs propres compétitions sportives, et se montraient aussi combattantes et performantes que les athlètes masculins. Certaines, à l'instar des champions d'Olympie, étaient même élevées au rang de divinités.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Les Jeux Olympiques de Paris approchent à grands pas. Tout le pays est en ébullition. C'est un évènement extraordinaire qui se prépare, certains disent même historique, car ces Jeux sont organisés 100 ans après les Jeux de Paris de 1924. Mais, si nos compétitions sportives modernes ont été inventées par Pierre de Coubertin, les Jeux Olympiques, eux, sont bien plus anciens. Ils ont été créés par les Grecs durant le VIIIe siècle avant notre ère. La pratique du sport est l'un des aspects les plus connus de la civilisation grecque. C'est le seul que l'on prétend ressusciter tous les quatre ans sous la forme des jeux Olympiques modernes. Nous croyons tous être incollables sur les Jeux d'Olympie. Nous nous imaginons de jeunes athlètes entièrement nus, beaux comme des dieux, faisant étinceler leurs muscles saillants sous les rayons du soleil, lançant le javelot et le disque, ou se livrant à des combats féroces où tous les coups sont permis. Or, les nouvelles données archéologiques, et l'analyse des sources antiques, nous permettent de dresser un tableau plus réaliste. Et il est très surprenant, voire, même, déconcertant. Contrairement à ce que tout le monde pense, les athlètes, à l'origine, ne concourraient pas nus, même si cette nudité supposée a, rapidement, été associée à l'héroïsme et à la faveur divine. Les vases et les figurines en terre cuite ont propagé à profusion l'image de ces hommes éblouissants de jeunesse et de beauté, qui émoustillent les sens des spectateurs. Or, ils n'étaient pas tous grands et élancés : selon les auteurs antiques, certains de ces participants étaient même obèses ! Et les femmes, dans tout cela ? Les Jeux Olympiques modernes leur ont été interdits durant de longues années, sous prétextes que les femmes grecques antiques ne pouvaient pas concourir lors des Jeux antiques. Il s'agit, là aussi, d'un cliché. Si leur exclusion des Jeux d'Olympie est avérée, elles disposaient de leurs propres compétitions sportives, et se montraient aussi combattantes et performantes que les athlètes masculins. Certaines, à l'instar des champions d'Olympie, étaient même élevées au rang de divinités.
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durée : 00:03:43 - Le Pourquoi du comment : histoire - par : Gérard Noiriel - Qui étaient les dieux Lares ?