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Quand la mémoire ne suffit plus à expliquer, l'enquête commence. À partir d'un souvenir de sa compagne sur une légende familiale, Alexandre Labruffe se met dans la peau d'un détective foutraque pour une “tragédie drôle” qui mélange les genres. Aimant souffler le chaud et le froid, il multiplie dans Cold Case les clins d'œil littéraires et emprunte aussi bien au conte qu'au journalisme, au fantastique, ou encore aux écrits chamaniques pour composer un polar gonzo.Denis Michelis revendique lui aussi son regard décalé sur le roman policier. Amour fou est une œuvre chorale qui multiplie les points de vues et les personnages tout en respectant les codes du genre : meurtres, suspects, enquête, révélation. Par un minutieux travail préparatoire avec un psychiatre et une policière, il construit son intrigue lui aussi sur une famille dysfonctionnelle aux nombreux faux-semblants.Avec des styles différents mais tous deux caustiques et comiques, les auteurs échangent sur la littérature policière lors d'une conversation animée par Pierre Benetti.Le festival Oh les beaux jours ! remercie le Conservatoire Pierre Barbizet où s'est déroulée cette rencontre.__À lireAlexandre Labruffe, Cold Case, Éditions Verticales, 2024.Denis Michelis, Amour fou, coll. «Notabilia», Les éditions Noir sur blanc, 2024.__Montage : Arthur JamesVoix : Raphaelle OzPhoto : Alexandre Fournier BivilleUn podcast produit par Des livres comme des idées.__La 9e édition du festival Oh les beaux jours ! aura lieu à Marseille du 27 mai au 1er juin 2025.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans un premier roman aux allures de film d'action à la fois sanglant, surréaliste et militant, Eden Levin explore les élucubrations du collectif de théâtre "Jeudi". L'inspiration et le succès peinant à être au rendez-vous, Elena, Alex et Valencia se fixent un nouvel objectif : faire la Révolution. Or, Les Ravitailleurs, un autre collectif de théâtre beaucoup plus agressif, sont déjà sur le coup. Par Ellen Ichters
Lecture par l'auteure accompagnée de Mathias Bourre & Alistair Brown « Maman a disparu. C'est pas simple. Il a fallu le redire plusieurs fois, décomposer la phrase, la prendre et la secouer. Maman a disparu. Quelle folie de phrase. Si je la chuchote, les larmes me montent et me brûlent, si je la prononce avec une voix de fer, comme un vieux robot fatigué, ma-man-a-dis-pa-ru ma-man-a-dis-pa-ru, ça me fout la chair de poule et l'impression d'une catastrophe planétaire imminente. (…) Si je la crie si fort que ma voix casse, alors je crois que ce n'est plus vraiment triste. Pas aussi triste que ça. Je dirais plutôt affolant. Sidérant. Ou encore stupéfiant. Voilà. C'est affolant sidérant stupéfiant et ça me rend le cœur dingue, et étrangement vivant aussi. » L'enfant écoute tout, observe tout, et avant toute chose sa mère, une fascination qui oscille entre haine et passion. Un jour, sa mère disparaît. Alors, que va-t-elle devenir ? À lire – Sara Bourre, Maman, la nuit, éd. Noir sur Blanc, Coll. Notabilia 2023.
Ce podcast n'a aucune utilité, si ce n'est mettre des paroles, des parcours, des idées, des personnes...en avant ! Pour l'épisode 3 de la saison 2 soit l'épisode 13 du podcast, l'écrivaine Fatima Daas nous a fait l'honneur de discuter avec nous... Née en 1995 à Saint-Germain-en-Laye dans une famille d'origine algérienne, Fatima Daas est la dernière de sa fratrie. Elle grandit essentiellement à Clichy-sous-Bois. Son premier roman est remarqué par la critique à la rentrée littéraire 2020, La Petite Dernière, Éditions Noir Sur Blanc, « Notabilia », 2020, 192 pages livre traduit en 8 langues. REMERCIEMENTS : Hélène Amétis de http://www.derniersdelaclasse.com pour la post production du podcast Clément Téry de https://www.clementtery.fr pour les jingles du podcast et le Studio Yass Kifo de https://www.yasskifo.com pour le logo du podcast Gülay Surmeli de https://www.vivier-agency.com pour les réseaux sociaux Gabrielle Mirbeau pour la caméra
durée : 00:03:58 - Le coup de coeur des libraires France Bleu Belfort Montbéliard
Artiste photographe posthume, découverte au cours d'une vente aux enchères en 2007 par le collectionneur John Maloof, Vivian Maier est à l'honneur d'une grande exposition au musée du Luxembourg.Son histoire et son œuvre fascinent, et il y a de quoi. Nourrice aux yeux des autres, et artiste secrète le reste du temps, elle a passé sa vie à photographier son environnement. Son oeuvre retrace le regard sensible qu'elle portait sur les choses et les gens, que ce soit aux Etats-Unis ou en France, lors de ses parcours d'immigration initiés par sa mère, mais aussi, les voyages qu'elle fut seule, à différentes endroits du monde, dans le but d'exprimer son talent de photographe.A l'occasion de cette exposition, Clémentine Gallot et Pauline Verduzier reviennent sur le parcours de cette artiste talentueuse et mystérieuse, dans ce nouvel épisode court de Quoi de Meuf. Les références entendues dans l'épisode : Finding Vivian Maier de Charlie Siskel et John Maloof (2013) Le site internet sur Vivian Maier L'exposition Vivian Maier au Musée du Luxembourg Le site internet de Frida Kahlo Corporation Vivian Maier révélée, Ann Marks, Delpire & Co (2021)Les photographes Weegee, Paul Strand, Helen Levitt, Diane Arbus, Cartier BressonLa fabuleuse histoire de Vivian Maier, Vanity Fair (2021)L'épisode de L'invention et la découverte au sujet de Vivian Maier Vivian Maier Street Photographer, John Maloof (2011)Une femme en contre-jour, Gaëlle Josse, Notabilia (2019)Quoi de Meuf est une émission de Nouvelles Écoutes. Rédaction en chef : Clémentine Gallot. Journaliste chroniqueuse : Emeline Amétis. Mixage et montage : Laurie Galligani. Prise de son par Thibault Delage à l'Arrière Boutique. Générique réalisé par Aurore Meyer Mahieu. Réalisation et coordination : Cassandra de Carvalho et Mathilde Jonin.Le podcast Quoi de Meuf devient un livre : 100 oeuvres cultes à connaitre quand on est féministe ! Est-il possible de chérir des œuvres imparfaites ? Comment représenter les violences sexuelles ? Faut-il séparer l'homme de l'artiste ? Que faire des œuvres problématiques ? Quelles sont les films, séries, livres, albums indispensables à son éducation féministe ? Clémentine Gallot, Kaoutar Harchi, Anne-Laure Pineau, Pauline Verduzier et Emeline Amétis apportent leurs réponses (subjectives !) à ces questions en vous présentant une sélection d'œuvres qui les ont nourries et marquées dans la construction de leur féminisme ! Le livre est disponible en librairie depuis le 24 novembre, et il est possible de le commander ici : https://tidd.ly/3E2admVSee Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Cette semaine dans La Grande Librairie, éloge de la fragilité et de ce vieux désir que tout le monde a un jour ressenti : changer de vie ! Les invitées de François Busnel : Maylis de Kerangal publie un magnifique roman en kit, fait de nouvelles qui ont deux points communs : le point de fragilité d'une femme et le mot "canoë" qui donne son titre au livre Canoës (Verticale) ; Gaëlle Josse raconte l'histoire d'une femme qui n'a pas le choix : un burn-out lui impose de changer de vie. Comment relancer le cours de son existence, quand on n'est plus que fragilité : Ce matin-là (Éditions Notabilia) ; Laure Gasparotto raconte dans Vigneronne (Grasset) comment elle a quitté Paris pour s'installer dans un domaine viticole sur les terrasses du Larzac. Objectif : se réinventer ; Camille Goudeau fait une entrée remarquable en littérature avec un premier roman nerveux et fort, Les chats éraflés (Gallimard) : l'histoire d'une jeune femme de 22 ans qui fuit sa province natale pour changer de vie et débarque sans un sou à Paris ;
Pour son premier roman, Ludmila Charles évoque avec subtilité et sensibilité les liens et les secrets d'une famille d'Europe de l'Est de la fin de la guerre froide. « La belle saison » est paru aux éditions Noir sur Blanc, dans la collection Notabilia. C'est une histoire de famille, de femmes, de mères et de sœurs, installées dans une petite ville d’Europe de l'Est, un peu à l’écart des soubresauts du monde. Un livre plongé dans une atmosphère un peu triste et grise comme le moulin à vent de fête foraine qui orne la couverture. C’est un roman nimbé de mystère qui coule comme une douce et mystérieuse mélancolie. Une poésie délicate et troublante, nourrie par les murmures du monde. « La belle saison », de Ludmila Charles est paru aux éditions Noir sur Blanc, dans la collection Notabilia. Au menu de ce Café Gourmand : - José Marinho s'est intéressé à la nouvelle édition de la FIAC, la Foire Internationale d’Art Contemporain. L’an dernier (2020), le COVID avait eu sa peau. Résurrection cette année et, cette fois, les organisateurs ont pris les devants. Pas de Grand Palais -ni dans ni hors les Murs- mais écran total pour galeristes et collectionneurs. - Marjorie Bertin a rencontré l'immense auteur de Science-Fiction, Alain Damasio. Il publie un très court roman intitulé Scarlett et Novak, aux éditions Rageot. - Fanny Bleichner a lu « La mode déshabillée ». Une bande dessinée publiée aux éditions Casterman. Les deux auteurs, le sociologue Frédéric Godart et la dessinatrice Zoé Thouron s’interrogent sur ce qu’est la mode. - Alain Pilot met en lumière le travail de Thomas Monica qui, à l'heure où le secteur de la musique se dématérialise, a pris un risque en sortant un disque vinyle, intitulé « Ulysse ».
Que ce cache-t-il derrière le mot famille ? Un clan, des mystères, des secrets, des liens étroits, des histoires de vie, des joies mais aussi des peines, l'accueil de la vie et l'accompagnement à la mort, ce sont tous ces sujets dont nous parle cette semaine Christophe Henning. L'histoire d'un clan de femmes vivant dans l'ancien bloc communiste, qui se découvrent ou s'ignorent, parfois complices, parfois rivales, c'est le roman de Ludmila Charles, "La belle saison" publié aux éditions Notabilia. C'est une histoire de femmes que nous raconte également Marie-Sabine Roger dans son livre "Dernière visite à ma mère". Une lettre d'amour à sa mère, résidente en Ephad, qu'elle accompagne jusqu'à la fin de sa vie et qui raconte comment l'autrice tente de renouer les liens avec une mère qui s'enfonce de plus en plus dans la dépendance. Un roman intime qui questionne notre rapport à la fin de vie. "La belle saison" de ludmila Charles aux éditions Notabilia À Nove Mesto, une petite ville d’Europe centrale, quand Baba accouche d’Elena un 1er avril, tout le monde croit à une farce. Baba est tellement grosse que personne n’avait vu qu’elle était enceinte de ce sixième enfant, arrivé vingt ans après les autres. La fillette grandit dans un monde de femmes, entourée par sa mère et ses sœurs. L’une d’elle, Magda, est partie vivre en France. Elle revient chaque mois d’août avec sa fille, Anna. Une amitié étrange, intense, unit les deux enfants ; Elena ne vit que pour ces étés de retrouvailles. Pendant que le pays se transforme avec Tchernobyl et la chute de l’URSS, insidieusement, une distance se creuse entre ces femmes. Il y a un présent d’éternité dans ce premier roman où les destins se dévoilent avec une vérité sèche, coupante comme une herbe en été. "Dernière visite à ma mère" de Marie-Sabine Roger aux éditions de l'Iconoclaste Pendant deux ans et demi, l’autrice a visité sa mère placée en Ehpad, avant qu’elle ne décède quelques semaines avant le confinement. Très vite, la vieille dame est rendue incontinente et grabataire, faute de personnel à ses côtés. Les mains n’obéissent plus, la mémoire s’évapore, la dépression s’installe. On l’infantilise, on la médicamente pour qu’elle ne crie plus sa solitude. Bientôt, elle ne sera plus que silence. Jusqu’à la fin, cependant, sa fille cherche à renouer les liens avec cette mère fantasque, insaisissable et s’interroge : peut-on se dire ce qu’on ne s’est jamais dit à la fin du jour ? Peut-on enfin oser les gestes de tendresse ? Une écriture à l’os qui donne toute sa portée au récit.
L'écrivaine française Gaëlle Josse évoque "Ce matin-là", son dernier roman publié aux éditions Noir sur blanc dans la collection Notabilia. Elle est au micro de Jean-Marie Félix.
Christiane Taubira, femme politique et écrivaine, est l'invitée du 82e épisode de La Poudre. Avec Lauren Bastide, elles ont parlé de Maya Angelou, et un peu d'elle, aussi.L'édito de Lauren :Je viens de barrer un truc de ma liste des choses à faire avant de mourir. J'ai interviewé Christiane Taubira. Cela fait quatre ans que je la croise ici et là, que je suis toujours charmée par sa gentillesse, et par son rire. Christiane Taubira est incroyable, si vous avez l'occasion un jour de la voir lors d'une rencontre ou une signature, vous observerez : elle écoute chaque personne d'une oreille attentive, disponible, sans jamais interrompre, sans jamais abréger. C'est pour ce genre de qualité que j'aimerais qu'elle soit un jour ma présidente de la république, mais bon je m'égare, et puis vous verrez elle répond un peu à ça.Bref, après ces rencontres, à chaque fois, j'ai pris ma plus belle plume pour lui adresser des messages, des mails, lui demandant de venir parler d'elle dans La Poudre. J'ai fait court et efficace, j'ai fait long et lyrique, j'ai fait percutant, j'ai fait suppliant, mais toujours, elle a éludé.Et puis, comme souvent, la vie a fait le job. La maison d'édition de Maya Angelou en français, Notabilia, m'a demandé d'animer une rencontre autour de l'extraordinaire autrice afro-américaine, à l'occasion de la sortie de son ouvrage « Rassemblez-vous en mon nom », avec, pour invitée, une de ses grandes lectrices : Christiane Taubira. Alors j'ai fait une danse de la joie et j'ai branché mon micro, ce soir d'octobre, au théâtre de la Pépinière, à Paris, pour m'assurer que chacun de ses mots arriveraient jusqu'à vous.À la réécoute, je me rends compte que ce qu'elle nous livre c'est une leçon de joie. Ça ne peut pas faire de mal, par les temps qui courent…Résumé de l'épisode :Maya Angelou est autrice, actrice, chanteuse, enseignante, réalisatrice et l'une des grandes figures militantes du mouvement pour les droits civiques aux États-Unis. Née en 1928 dans le Missouri, elle raconte sa vie rocambolesque et flamboyante dans sept autobiographies dont le deuxième tome vient de paraître en français aux éditions Notabilia.L'une de ses plus grandes admiratrices est certainement Christiane Taubira (05:03), personnalité marquante de la scène politique française. Elle aussi est écrivaine et parfois poètesse. Née en 1952 à Cayenne, elle est élue députée dès 1993 et Garde des Sceaux de 2012 à 2016. Elle est à l'origine de la loi reconnaissant la traite et l'esclavage comme crimes contre l'humanité et de celle autorisant le mariage pour tous. Intimement persuadée qu'on écrit pour les autres, pour transmettre (13:55), elle admire le style limpide de l'écrivaine africaine-américaine (09:02). Elle célèbre également sa force, sa liberté, sa détermination à s'autodéfinir sans laisser de prise au déterminismes racistes et sexistes qu'elle subit depuis l'enfance (30:13). La joie et l'art sont ses armes (35:15), comme celles de Christiane Taubira, pour résister (1:19:50). Toutes deux des femmes engagées, c'est l'amour qui guide leurs actions (55:01), mais un amour lucide, dirigé, qui ne se laisse pas faire (1:00:52). C'est un poème somptueux de Maya Angelou qui conclut cet échange (1:23:00) où, dans la voix de Christiane Taubira, toute la sensualité et la puissance de l'écrivaine nous éclabousse.Merci à Vera Michalski, Arnaud Laborie, Brigitte Bouchard et toute l'équipe de Notabilia pour avoir rendu cet épisode possible.Bonne écoute, et continuez de faire parler La Poudre ! La Poudre est une émission produite par Nouvelles ÉcoutesRéalisation et générique : Aurore Meyer-MahieuProgrammation et coordination : Gaïa MartyMixage : Marion Emerit
C’est une des révélations de cette rentrée littéraire en France, La Petite Dernière, de Fatima Daas, aux éditions Notabilia. Un premier roman en forme d’autofiction, l'histoire d’une jeune femme lesbienne et musulmane qui tente de concilier ses différentes identités. Fatima Daas a 25 ans seulement et un style déjà bien affirmé.
durée : 01:59:28 - Le 7/9 - Fatima Daas, romancière, auteure de « La Petite Dernière » (éd.Notabilia) et Michel Barnier, négociateur en chef de la Commission européenne sur le Brexit, sont les invités du 7/9 de France Inter.
durée : 00:08:46 - L'invité de 7h50 - Fatima Daas, romancière, auteure de « La Petite Dernière » (éd.Notabilia), est l'invitée de Léa Salamé.
Fatima Daas évoque son premier roman paru aux éditions Notabilia dans le cadre de la rentrée littéraire 2020: "La Petite dernière". Au micro de Geneviève Bridel. (web-only)
durée : 00:21:30 - Le Réveil culturel - par : Tewfik Hakem - Rencontre avec Fatima Daas pour son premier roman, "La petite dernière", paru chez Notabilia. - réalisation : Vincent Abouchar - invités : Fatima Daas Romancière
durée : 00:21:30 - Le Réveil culturel - par : Tewfik Hakem - Rencontre avec Fatima Daas pour son premier roman, "La petite dernière", paru chez Notabilia. - réalisation : Vincent Abouchar - invités : Fatima Daas Romancière
Deux adolescentes dans une forêt, un journal intime et le reste du monde qui s’écroule. C’est la trame du premier roman de Jean England sorti en 1996, Dans la forêt. Dans cet univers post-apocalyptique, Nell et sa soeur, isolées dans leur maison au fond des bois, tentent d’échapper au chaos dans lequel les États-unis sont plongés. Sur fond de crise sociale et écologique, les jeunes femmes vont devoir survivre sans électricité et sans eau. Tout en devant se protéger des menaces venues de l’extérieur, elles découvriront leurs corps et les potentialités nouvelles que cette vie leur offre. Alors que l’actualité lui donne une résonnance particulière, Clémentine et Pauline reviennent et vous donnent leurs avis sur ce roman d’apprentissage éco-féministe à glisser dans toutes les cabanes. Références entendues dans l’épisodeL’Amie prodigieuse (Gallimard, 2014) est le premier livre de la tétralogie homonyme d’Elena Ferrante. Le Chœur des femmes (Gallimard, P.O.L, 2009) est un roman de Martin Winckler. Dans la forêt (en anglais Into the Forest) est le premier roman de Jean Hegland publié en 1996. Et traduit en français par Josette Chicheportiche en 2017 aux éditions Gallmeister.Dans la forêt est un film de Gilles Marchand réalisé en 2016 avec l’acteur Jérémie Elkaïm. Calyx Books est une maison d’édition féministe qui a publié les premiers livres de Jean Hegland. Into the Forest une adaptation canadienne au cinéma du roman de Jean England réalisée par Patricia Rozema avec Ellen Page et Evan Rachel Wood et la musique de Max Richter. Contagion est un film réalisé par Steven Soderbergh en 2011.Panic Room est un thriller réalisé par David Fincher en 2002. Sally Bell était une survivante de la tribu indienne-américaine Sinkyones décimée au XIXème siècle. The Life Within : Celebration of a Pregnancy (Humana Press, 1991) est le premier livre de Jean Egland. La Route est un roman post-apocalyptique de Cormac McCarthy publié en 2006 (Alfred A. Knopf aux États-Unis et en France en 2008 (éditions de l'Olivier) traduit de l'anglais par François Hirsch.Margaret Atwood est une romancière, poétesse et critique littéraire canadienne connue pour son roman La Servante écarlate (Robert Laffont, 1987). La sorcière Starhawk est une écrivaine et militante écoféministe américaine, autrice de plusieurs best-sellers dont Rêver l'obscur. Femmes, Magie et Politique (Cambourakis, 2015).Zoyâ Pirzâd est une autrice iranienne qui a publié le recueil de nouvelles Le Goût âpre des kakis (éditions Zulma, 2009) et C'est moi qui éteins les lumières (éditions Zulma, 2011) traduit en français par Christophe Balaÿ. L'Art de perdre (Flammarion, 2017) est un roman d'Alice Zeniter ayant obtenu le Prix Goncourt des lycéens 2017. La vie mensongère des adultes (Gallimard, 2020) est le nom du nouveau roman d’Elena Ferrante à paraître le 9 juin 2020. John Macnaught est le dessinateur de la BD L’été à Kingdom Fields (Dargaud, 2020). Robin MacArthur est l’autrice du recueil de nouvelles Le Coeur Sauvage (Albin Michel, 2017) et du roman Les femmes de Heart Spring Mountain (Albin Michel, 2019). Normal People (Faber & Faber, 2018) est un roman de Sally Rooney adapté par la BBC dans une série du même nom. Rassemblez-vous en mon nom (Notabilia, 2020) est le nom du nouveau livre de Maya Angelou à paraître le 20 août 2020. Quoi de Meuf est une émission de Nouvelles Écoutes, cet épisode est conçu par Clémentine Gallot avec Pauline Verduzier, mixé par Laurie Galligani. Générique réalisé par Aurore Meyer Mahieu. Montage et coordination Ashley Tola.