Podcasts about Fiac

durée : 00:38:45 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Marie-Lys de Saint Salvy - Dans son dernier ouvrage “La Nuit sur commande”, notre invitée Christine Angot peint les coulisses d'un monde de l'art, dominé par les questions d'argent et de pouvoir. Il n'est pas question d'œuvres d'art, ou peu. Des vernissages aux dîners de la FIAC, l'art survit-il aux mondanités ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Christine Angot Ecrivain, dramaturge

Le concept de performance artistique est né dans les années 50, en France et aux Etats Unis. Certaines de ces œuvres peuvent être particulièrement trash. Les plus gênantes d'entre elles font régulièrement scandale lors de la fameuse FIAC, la Foire internationale d'art contemporain qui a lieu tous les ans à Paris depuis 1974. Du sang, des animaux morts, de la souffrance physique ou psychologique, tout peut être artistique. Welcome to le monde merveilleux des expositions weird, strange, confusing, trash, folles, dégoûtantes ou encore choquantes. C'est quoi déjà une performance ? Quelles sont les performances les plus trash ? Pourquoi on fait du trash ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant Vous Savez - Culture". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Carole Beaudouin. Première diffusion : 16 mai 2023. À écouter aussi : Pourquoi les films sortent-ils le mercredi ? Qui a sculpté les Moaï, les mystérieuses statues de l'île de Pâques ? Qu'est-ce que le réalisme ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez - Culture". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

L'art contemporain a lui aussi sa géopolitique. À Paris, vient de se terminer Art Basel Paris ou Paris+ foire qui a succédé, il y a deux ans déjà à la FIAC, Foire Internationale d'Art Contemporain. L'occasion de se pencher sur les grandes tendances 2024 en matière d'Art Contemporain. 2023 avait connu un refroidissement notamment dû à la hausse des taux d'intérêt et à l'environnement géopolitique instable après deux années de vif rebond suite au choc de la pandémie de Covid-19. Certains évoquent une phase de recalibration du marché de l'art, de prudence. Il est vrai que d'instable l'environnement géopolitique est passé cet automne à chaotique. Regard.   Invités : Nathalie Obadia, galeriste spécialisée dans l'art contemporain, avec deux espaces à Paris et un à Bruxelles. Nathalie Obadia expose des artistes émergents et reconnus de la scène artistique contemporaine internationale.  Enseignante à Sciences Po. « Géopolitique de l'Art Contemporain »  éditions le Cavalier Bleu. « Figures de l'art contemporain », éditions le Cavalier Bleu, à paraître prochainement. Alain Quemin, professeur de sociologie de l'art à l'Université Paris VIII. Contributeur de la presse artistique. Son dernier ouvrage « Le monde des galeries. Art contemporain, structure du marché et internationalisation », éditions du CNRS.  Et en anglais chez Bloomsbury Press. 

Platicamos con Rafa Centeno y Macuba Soundsystem sobre el Festival de Arte Contemporáneo de León, en su edición 2024.

"Maintenant Vous Savez" c'est également deux autres podcasts qui décryptent la culture avec "Maintenant Vous Savez - Culture" et la santé avec "Maintenant Vous Savez - Santé". Quatre fois par semaine, nous vous proposons de découvrir les meilleurs épisodes. Le concept de performance artistique est né dans les années 50, en France et aux Etats Unis. Certaines de ces œuvres peuvent être particulièrement trash. Les plus gênantes d'entre elles font régulièrement scandale lors de la fameuse FIAC, la Foire Internationale d'Art Contemporain qui a lieu tous les ans à Paris depuis 1974. Du sang, des animaux morts, de la souffrance physique ou psychologique, tout peut être artistique. Welcome to le monde merveilleux des expositions weird, strange, confusing, trash, folles ou encore choquantes. C'est quoi déjà une performance ? Quelles sont les performances les plus trash ? Pourquoi on fait du trash ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant Vous Savez - Culture". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Carole Beaudouin. Première diffusion : 17 mai 2023 A écouter aussi : Pourquoi le RN séduit-il de plus en plus de jeunes ? Pourquoi les araignées sont-elles utiles à votre maison ? La nouvelle déclaration d'impôts améliore-t-elle vraiment le pouvoir d'achat des Français ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

SPACs have brought a number of sustainability companies to market, but the economics of carbon credits have always been on the edge of those specific opportunities. Focus Impact Acquisition Corp. (NASDAQ:FIAC) aims to change that with its $213 million combination with DevvStream, a Canadian company focused on generating carbon credits with proprietary technology-based approaches. This week, we speak with Sunny Trinh, co-founder and CEO of DevvStream and Carl Stanton, CEO of Focus Impact. Sunny explains how DevvStream has worked to build confidence in carbon assets by consulting its wide pipeline of clients on getting better and more measurable impacts out of projects. And Carl tells us why he believes DevvStream's operational efficiencies and capital-light model make it a unique play on the carbon market and a more stable fit for the current market conditions.  

Valérie Fougeirol a été directrice de Paris Photo et de la Galerie Magnum et dans cet entretien on est revenu sur ses apprentissages dans le milieu de la photographie mais aussi des anecdotes et certaines rencontres marquantes qu'elle a fait tout au long de sa carrière. Elle nous a aussi donné des pistes de réflexions sur la fin de la photographie avec le passage à l'image à l'heure de la blockchain et de la dématérialisation. Nous avons aussi abordé comment aborder des commissaires ou des galeries si on veut montrer son travail. Bonne écoute !1:20 – Son enfance auprès d'un père distributeur de livres et ses études à l'école du Louvre.6:50 – Ses premières expériences à la Galerie Maeght et au Salon de l'édition d'art.18:30 – En 2001 elle rejoint les équipes de l'entreprise Reed exhibition (RX) à la Fiac pour monter un fichiers collectionneurs et leurs faire un parcours. Et en novembre 2001, RX rachète la foire Paris Photo et elle accepte d'être la directrice de cette jeune foire avec deux objectifs : développer le marché de la photographie et s'intéresser aux scènes étrangères.28:30 – Elle revient sur le processus de sélection depuis le comité la prospection des galeries au Printemps jusqu'à l'événement en revenant sur les choix décisifs de l'implantation des galeries sur le salon32:15 – Son travail de fond à Paris Photo : créer l'attention du public tout en étant proche des galeries pour en faire venir d'autres. Elle a quitté Paris Photo car elle ne souhaitait pas déménager la foire au Grand Palais pour ne pas perdre de sa qualité car le volume est très grand et qu'elle souhaitait passer la main après sept années.35:50 – Elle a proposé des développements à l'étranger : New York et Londres avec une édition Paris Photo à Londres en 2007.39:40 – En 2008, elle rejoint le collectif Magnum pour développer la galerie Magnum. Elle revient sur ses rencontres avec des photographes et son coup de foudre pour le travail de Robert Capa.54:30 – En 2012, elle rejoint le collectif Temple pendant un an et demi où elle participe à des éditions et des expositions et en novembre 2014, elle est la commissaire du mois de la photo.1:02:01 – Elle réalise des ateliers avec Eyes in progress en stratégie du développement du photographe auteur en milieu artistique pour aider les photographes à embarquer les outils à leurs dispositions. Mais aussi se poser des questions sur leurs identités, leurs cheminements, les aspects poétiques-politiques et le fond/la forme de leurs recherches.1:04:01 – Les trois grandes expositions américaines : Family of man – Mirrors et New Topographics.1:06:15 – « J'adore la matérialité de la photo mais on est à l'heure de la blockchain et de la dématérialisation on va vers une fin de la photo. On est désormais dans l'image. Le livre fait de la résistance. »1:10:10 – « Un artiste prend des risques et il se questionne sur un chemin qui lui est propre. »1:11:10 – Ses conseils pour les photographes qui veulent rencontrer des commissaires ou des galeristes.1:14:15 – Exemple de l'expo Rubis Mécénat durant Photo Saint Germain avec deux photographes sud-africain qui ont parlé de leurs traumas.Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsite Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Le concept de performance artistique est né dans les années 50, en France et aux Etats Unis. Certaines de ces œuvres peuvent être particulièrement trash. Les plus gênantes d'entre elles font régulièrement scandale lors de la fameuse FIAC, la Foire internationale d'art contemporain qui a lieu tous les ans à Paris depuis 1974. Du sang, des animaux morts, de la souffrance physique ou psychologique, tout peut être artistique. Welcome to le monde merveilleux des expositions weird, strange, confusing, trash, folles, dégoûtantes ou encore choquantes. C'est quoi déjà une performance ? Quelles sont les performances les plus trash ? Pourquoi on fait du trash ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant Vous Savez - Culture". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Carole Beaudouin. À écouter aussi : Pourquoi les films sortent-ils le mercredi ? Qui a sculpté les Moaï, les mystérieuses statues de l'île de Pâques ? Qu'est-ce que le réalisme ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez - Culture". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

This week: it's the second year of Paris +, the event that has taken over from Fiac as the leading French art fair. How is Art Basel's French flagship faring amid geopolitical turmoil and economic uncertainty, and is Paris still on the rise as a cultural hub? We speak to Georgina Adam, an editor-at-large at The Art Newspaper, and Kabir Jhala, our deputy art market editor, who are in Paris, to find out. The largest ever exhibition of the work of the Japanese photographer Hiroshi Sugimoto opened last week at the Hayward Gallery in London, before travelling to Beijing and Sydney next year. We talk to its co-curator Thomas Sutton. And this episode's Work of the Week is La femme-cheval or the Horse-Woman, a painting made in 1918 by the French artist Marie Laurencin. She is the subject of a major survey, called Sapphic Paris, opening this week at the Barnes Foundation in Philadelphia in the US. Cindy Kang, who co-curated the exhibition, tells us more about this landmark work in Laurencin's life.Paris +, 20-22 October.Hiroshi Sugimoto: Time Machine, Hayward Gallery, London, until 7 January 2023; UCCA Center for Contemporary Art, Beijing, 23 March-23 June 2024; The Museum of Contemporary Art, Sydney, Australia, 2 August-27 October 2024.Marie Laurencin: Sapphic Paris, Barnes Foundation, Philadelphia, US, 22 October-21 January. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.

Rendez-vous annuel incontournable des amateurs d'art contemporain et des collectionneurs, la deuxième édition de Paris+ par Art Basel, ouvre ses portes au public le 20 octobre. La foire qui a succédé l'an dernier à la FIAC, va se dérouler jusqu'à dimanche en alerte « urgence attentat », le niveau le plus élevé du dispositif Vigipirate. Malgré le contexte national et international tendu, 150 galeries du monde entier sont présentes au Grand Palais éphémère, le centre névralgique de l'événement. Mais l'art s'étend aussi hors les murs avec une profusion d'événements en plein air, notamment avec des œuvres monumentales à découvrir Place Vendôme ou encore le Jardin des Tuileries. Un programme de haut vol. Son directeur Clément Delépine en présente les principales lignes.

Le concept de performance artistique est né dans les années 50, en France et aux Etats Unis. Certaines de ces œuvres peuvent être particulièrement trash. Les plus gênantes d'entre elles font régulièrement scandale lors de la fameuse FIAC, la Foire internationale d'art contemporain qui a lieu tous les ans à Paris depuis 1974. Du sang, des animaux morts, de la souffrance physique ou psychologique, tout peut être artistique. Welcome to le monde merveilleux des expositions weird, strange, confusing, trash, folles, dégoûtantes ou encore choquantes. C'est quoi déjà une performance ? Quelles sont les performances les plus trash ? Pourquoi on fait du trash ? Ecoutez la suite dans cet épisode de "Maintenant vous savez - Culture". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Carole Beaudouin. A écouter aussi : Pourquoi Cannes est-elle la ville du cinéma ? D'où vient l'expression “dérouler le tapis rouge” ? Qu'est-ce que le syndrome de Stendhal, ce mystérieux trouble causé par les œuvres d'art ? Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

François-Nicolas L'Hardy est le directeur de site de l'Hôtel Fontfreyde. Après 18 années au CAP (l'association de Brest du Centre Atlantique de la Photographie), il a rejoint le centre photographique de Clermont-Ferrand en 2016. Dans cet épisode, il nous explique ses apprentissages dans une structure associative et dans un lieu à régie municipale, mais aussi l'évolution de ses missions depuis la programmation d'exposition, la logistique et la régie jusqu'à la gestion d'une équipe de 5 personnes à Clermont-Ferrand. Nous avons aussi abordé la pratique photographique de son père en tant qu'ornithologue qui a été un déclencheur dans sa propre pratique photographie et qui l'accompagne dans sa propre pratique photographique. Nous sommes aussi revenus sur l'influence de l'intelligence artificielle sur les artistes, l'importance de s'entourer de personnes avec lesquelles on peut dialoguer sur ce qu'on aime même si l'on ne les voit pas souvent, car certaines relations peuvent mener à des projets d'expositions plusieurs années plus tard. Bonne écoute !01' - Sa formation universitaire en histoire de la photo, l'apprentissage de la technique argentique par le biais de son père zoologiste et ornithologue et son expérience de photographe06'40 – Son passage de la prise de la vue à l'organisation d'expositions (Artothèque d'Angers, les galeries de la Fiac) et son arrivée à l'association : Centre Atlantique de la Photographie en 1998.09'23 – Le CAP : son histoire, ses enjeux et fragilités14'30 – Son départ à Clermont-Ferrand en tant que directeur de l'hôtel Fontfreyde. L'histoire du centre photographique né en 2010 dans un bâtiment historique du 16e siècle du centre-ville. Le lieu est en régie municipale et l'équipe est constituée de 5 personnes.21'40 – L'évolution de l'organisation de ses missions : à son arrivée, il était très concentré sur la programmation, la régie et la logistique. Maintenant, il a une programmation à deux ans et il a plus de temps pour la gestion d'équipe.26'30 – Il n'a pas de contrainte de thématique concernant la programmation. Il souhaite montrer la diversité de la photographie et faire des collaborations comme celui avec le festival du court-métrage pour parler au plus de monde. Aussi, la ville de Clermont-Ferrand héberge un artiste par an et une exposition suit chaque résidence. Marcher dans l'histoire andré Kertez en 2022 en aujourd'hui Anne-Lise Broyer avec son journal de l'œil. 30' – Il garde un projet personnel en tête : faire une série en reprenant les archives des photographies scientifiques de son père et les retravailler pour leur donner une nouvelle forme.34'40 – L'intelligence artificielle influence et va influencer les artistes dans les prochaines années. La réalisation d'une exposition n'est jamais une évidence, il faut du temps pour articuler les choses entre elles. Je connais le travail d'Anne-Lise Broyer depuis longtemps et il m'a fallu 20 ans pour faire une exposition avec elle. 40'15 – La question du réseau : il est important de s'entourer de personnes avec lesquelles on peut dialoguer sur ce qu'on aime. Le site de l'Hôtel Fontfreyde : https://clermont-ferrand.fr/hotel-fontfreyde-centre-photographiqueLe LinkedIn de François-Nicolas l'Henry : https://www.linkedin.com/in/fran%C3%A7ois-nicolas-l-hardy-65374216Pour suivre l'actualité du podcast vous pouvez vous inscrire à la newsletter ici : https://beacons.ai/lesvoixdelaphoto et retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Ce 31 octobre, Bertrand Chameroy dévoile l'information qui l'a marquée le week-end dernier : le début de la Foire internationale d'art contemporain (Fiac) qui pour la première fois de son histoire a lieu dans le monde entier en simultané. 3 artistes font sensation cette année : "Royco, Liebig, et Knorr (...) depuis quelques jours on a droit à des happenings de légumes d'automne", explique l'humoriste. Du lundi au vendredi, à 7h20 sur RTL, découvrez le nouveau rendez-vous humour de la matinale, avec Bertrand Chameroy, Mathieu Madénian, Elodie Poux, Sébastien Thoen et Sandrine Sarroche. Chaque jour, un humoriste délivre son billet d'humeur mais surtout son regard décalé sur l'actualité. Ecoutez "RTL Sans filtre" avec Bertrand Chameroy du 31 octobre 2022

Né en 1965 à Constantine (Algérie), Kamel Mennour est issu d'une famille de 3 enfants, avec une maman femme de ménage et un papa peintre en bâtiment. Ses parents ont quitté l'Algérie alors qu'il avait 15 mois. Arrivés en France, ils s'installent à Belleville : « nous étions assez pauvres mais très heureux », se souvient Kamel Mennour.Il découvre l'art alors qu'il faisait du porte-à porte pour vendre des lithographies.  À la fin des années 90, un coup du destin, il installe sa première galerie rue Mazarine, puis rue Saint-André des Arts. Très vite, c'est la Fiac, c'est Art Basel, c'est une autre galerie à Londres, deux autres à Paris. C'est une explosion, c'est Larry Clark, Jan Saudek, Daniel Buren, Anish Kapoor, Claude Lévêque, etc. Des découvertes et des confirmations.  Kamel Mennour est aujourd'hui l'une des personnalités les plus influentes et les plus respectées de l'art contemporain. Dans cet épisode de PAUSE, il revient sur son parcours et sa success-story faite d'amour et de passion.

Vous avez sûrement déjà entendu parler de la Foire d'Art Contemporain. Un environnement très opaque, qui dépasse un peu, où l'art se mêle aux jeux d'argent et de pouvoir. Pourtant, y mettre les pieds, s'est bien se rendre compte qu'une fois devant les oeuvres, tout ça n'existe plus. Il n'y a qu'elles, notre regard et nos sensations. Cette année, la FIAC est remplacée par Paris + par Art Basel. Un événement d'envergure international où curieux comme collectionneurs viennent aiguiser leur regard aux oeuvres des plus grands artistes du genre comme les plus émergents. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Marion Papillon, galeriste et présidente du Comité professionnel des galeries d'art, était l'invité de Christophe Jakubyszyn dans Good Morning Business, ce vendredi 21 octobre. Ils se sont penchés sur sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Paris + par Art Basel, la nouvelle foire d'Art contemporain, prend ses quartiers au Grand Palais Éphémère dans le 7e arrondissement de Paris… sans oublier les nombreuses œuvres d'art disséminées Hors les Murs.Paris + par Art Basel, c'est l'occasion de découvrir de nombreux artistes internationaux, ainsi que le travail des galeries émergentes, placées au cœur de cette nouvelle foire. Le Directeur de la foire, Clément Delépine est très fier de cette édition inaugurale. Il était au micro de Shirley Adélaïde. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

This week: we talk to Emma Brown of Just Stop Oil about why the group targeted Vincent Van Gogh's Sunflowers in the National Gallery, London, for its climate emergency protest. Stacy Boldrick, assistant professor of museum studies at the University of Leicester, discusses the climate protests in the context of the long history of iconoclasm and attacks on works of art. The first version of Paris+, Art Basel's fair in the French capital, opened this week, and we ask Melanie Gerlis, a columnist for the Financial Times and The Art Newspaper, how it compares to Paris's previous fair, Fiac, and to the Frieze fairs in London last week. And this episode's Work of the Week is Frank Bowling's Suncrush (1976), which features in an exhibition of the Guyana-born artist's work at the Museum of Fine Arts in Boston. Reto Thüring, the curator of the show, tells us about the painting and Bowling's 10-year stay in America in the 1960s and 1970s.Links:juststopoil.orgStacy Boldrick, Iconoclasm and the Museum, Routledge, 212pp, £27.99, $35.96 (pb)Paris+, until 23 October.Melanie Gerlis, The Art Fair Story: a Rollercoaster Ride, Lund Humphries, 104pp, £19.99, $34.99 (hb)Frank Bowling's Americas, Museum of Fine Arts, Boston, 22 October-9 April 2023; San Francisco Museum of Modern Art, 13 May-10 September next year. Related shows: Equals 6: A Sum Effect of Frank Bowling's 5+1, University Hall Gallery, UMass Boston, 14 November-18 February 2023; Revisiting 5+1, Paul W. Zuccaire Gallery, Staller Center for the Arts, Stony Brook University, 10 November-23 February 2023. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.

The art world was caught by surprise earlier this year when it came to light that Paris's long-standing art fair, FIAC, was being ousted from its precious October slot at the formidable Grand Palais in Paris. It turned out that it was none other than the biggest fair titan of them all Art Basel, and its winning vision for the French capital, that would be taking its place. Enter Paris+, Basel's newest fair that hopes to be a bridge between the French institutional landscape and the art industry. The timing for Paris could not be better: dealers have been clamoring to open up shop in its arrondissements just as a string of premier new museums have opened their doors. Ahead of the fair's inaugural opening on October 20, London-based European Market Editor Naomi Rea and Berlin-based Europe Editor Kate Brown sat down to take a look at the dramatic events that led up to the takeover, and offered their predictions for what to expect of this major market moment.

The art world was caught by surprise earlier this year when it came to light that Paris's long-standing art fair, FIAC, was being ousted from its precious October slot at the formidable Grand Palais in Paris. It turned out that it was none other than the biggest fair titan of them all Art Basel, and its winning vision for the French capital, that would be taking its place. Enter Paris+, Basel's newest fair that hopes to be a bridge between the French institutional landscape and the art industry. The timing for Paris could not be better: dealers have been clamoring to open up shop in its arrondissements just as a string of premier new museums have opened their doors. Ahead of the fair's inaugural opening on October 20, London-based European Market Editor Naomi Rea and Berlin-based Europe Editor Kate Brown sat down to take a look at the dramatic events that led up to the takeover, and offered their predictions for what to expect of this major market moment.

La crescente impennata dei costi dell'energia e la crisi per l'approvvigionamento delle materie prime stanno incrinando ormai da tempo la stabilità dell'industria meccanica italiana. Tra i settori più colpiti c'è la filiera Horeca – rappresentata in Anima Confindustria da Assofoodtec, l'associazione italiana costruttori macchine, impianti, attrezzature per la produzione, la lavorazione e la conservazione alimentare; Fiac, l'associazione fabbricanti italiani articoli per la casa, la tavola ed affini e Aqua Italia, l'associazione costruttori trattamenti acque primarie, un comparto vitale per l'economia italiana che chiede a gran voce l'intervento delle istituzioni per arginare il vertiginoso aumento dei costi che grava sul processo produttivo.

La Foire internationale de l'artisanat du Congo (FIAC) a lieu à Brazzaville, depuis le 11 août jusqu'à demain, samedi 20 août, avec pour thème « l'artisanat, pilier de redynamisation des économies des pays africains ». C'est la République démocratique du Congo qui est le pays à l'honneur de cette première édition. De notre correspondant à Brazzaville, Sur le site du Mémorial Pierre Savorgnan de Brazza qui abrite les expositions, le stand achalandé de Joël Mokoto, artisan venu de la RDC, tourne le dos à la statue du père fondateur de la capitale congolaise. « Ici, j'ai amené des produits en cuir, tout ce qui est cuir, parce que la RDC travaille le cuir sous toutes ses formes. Comme je l'ai toujours dit, notre pays sera riche et prospère grâce au génie créateur de son peuple », affirme-t-il.  Valoriser les produits locaux Moment d'échanges et de découvertes, par exemple d'objets de décoration associés à l'informatique, la FIAC (Foire internationale de l'artisanat du Congo) a été aussi une occasion d'améliorer les recettes pour la Société congolaise « Brazza Huile », qui propose des produits dérivés de la transformation de l'huile de palme. « Nous produisons également des savons », précise Destin Leurisse, agent commercial de l'entreprise. « Pour le moment, nous n'avons que des savons de lessive. Nous aurons également des savons de toilette qui sont encore en observation, question d'analyser et voir leur composition. ».  Directeur général du Siao, le Salon international de l'artisanat de Ouagadougou, qui a connu sa première édition en 1988, Dramane Tou explique pourquoi il a fait le déplacement de Brazzaville : « Nous sommes venus d'abord pour le partage d'expérience, en termes de ce qui est fait chez nous et qui peut être utilisé ailleurs. Non seulement sur l'organisation de la Foire d'ici, mais aussi sur la formalisation des entreprises artisanales. » ► À écouter aussi : La 15ème édition du Salon international de l'artisanat de Ouagadougou Confirmer la place du Congo au sein du Comité de Coordination pour le développement et la promotion de l'artisanat africain (CODEPA), c'est le but de cette Foire. Les autres objectifs sont donnés par Mireille Opa Elion, présidente du Comité d'organisation de la FIAC : « C'est une manière pour le gouvernement congolais de mettre en valeur les produits fabriqués localement, d'inciter les populations à consommer congolais et une manière pour le gouvernement de dire aux artisans leur place dans le PND (Programme national de développement 2022-2026, ndlr). » Elle soutient que l'apport de l'artisanat dans la diversification de l'économie congolaise est indéniable : « Pour le Congo, l'artisanat participe au PIB à hauteur de 20 %. Mais, nous avons toujours besoin de soutenir et de motiver les artisans à produire plus. L'artisanat représente plus de 240 métiers, mais certains sont artisans sans le savoir », explique Mireille Opa Elion.  La FIAC, dont la première édition s'achève ce samedi 20 août, sera un évènement biennal.

Episódio 7 da temporada especial do Appleton Podcast - 15 anos MACE - Aqui somos rede - numa parceria com a Colecção António Cachola Salomé Lamas (Lisboa) Estudou cinema em Lisboa e Praga, artes visuais em Amesterdão e é candidato a doutoramento em estudos de arte contemporânea em Coimbra.O seu trabalho tem sido exibido tanto em locais de arte como em festivais de cinema como Berlinale, Locarno, BAFICI, Museo Arte Reina Sofia, FIAC, MNAC - Museu do Chiado, DocLisboa, Cinema du Réel, Visions du Réel, MoMA - Museu de Arte Moderna, Museo Guggenheim Bilbao, Harvard Film Archive, Museum of Moving Images NY, Jewish Museum NY, Fid Marseille, Arsenal Institut fur film und videokunst, Viennale, Culturgest, CCB - Centro Cultural de Belém, Hong Kong FF, Museu Serralves, Tate Modern, CPH: DOX, Centre d'Art Contemporain de Genève, Bozar, Louvre, Tabakalera, ICA London, Fundação TBA 21, CAC Vilnius, MALBA, Haus der Kulturen der Welt, FAEMA, SESC São Paulo, MAAT, La Biennale di Venezia Architettura, entre outros.Lamas recebeu várias bolsas de estudo como a Gardner Film Study Center Fellowship - Universidade de Harvard, Film Study Center-Harvard Fellowship, The Rockefeller Foundation - Bellagio Center, Brown Foundation - Dora Maar House, Fundación Botín, Fundação Calouste Gulbenkian, Sundance, Bogliasco Foundation, Luso-American Development Foundation - FLAD, MacDowell, Yaddo, CNAP - Centre National des Arts Plastiques, Camargo Foundation, Berliner Künstlerprogramm des DAAD.É professora na ESAD.CR School of Arts and Design e colabora com a Universidade Católica Portuguesa, e Elias Querejeta Zine Eskola. Colabora com a empresa produtora O Som e a Fúria e Primeira Idade e é representada pela Kubikgallery e Galeria Miguel Nabinho. Maria TorradaLicenciada em Arquitectura, a bio da Maria Torrada é o link para o seu site e o conhecimento do seu trabalho. A Maria Torrada trabalha com as maiores instituições culturais em Portugal e inúmeras galerias e espaços independentes. Foi responsável pela montagem de exposições icónicas e que já fazem parte da história da arte contemporânea portuguesa. Foi convidada para ser a Directora Técnica dos 15 anos do MACE. Segundo a curadora Ana Cristina Cachola “A Maria não é só uma técnica, a Maria ajuda-nos a reflectir sobre aquilo que queremos apresentar e qual a melhor maneira de o fazer”. A própria, quando lhe foi pedida uma nota biográfica respondeu com a simplicidade que a caracteriza e de que todos tanto gostamos: “Sou só a Maria”. Links: https://salomelamas.info/ https://mariatorrada.com/ https://instagram.com/mariatorrada?igshid=YmMyMTA2M2Y= Episódio gravado a 07.07.2022 http://www.appleton.pt Mecenas Appleton:HCI / Colecção Maria e Armando Cabral Financiamento:República Portuguesa - Cultura / DGArtes Apoio:Câmara Municipal de Lisboa

Elles font le marché, le 3ème mercredi du mois à 19h. Le premier podcast sur le marché de l'art au regard féminin. Proposé par Les Soirées des Femmes du marché de l'art et Art District Radio. Une série de documentaires sonores de 28 min. qui croise témoignages, réflexion et expertise de celles qui évoluent au sein du marché de l'art français pour l'évoquer sous le prisme de leur regard de femmes. Un épisode spécial anniversaire ce mois-ci puisque cela fait désormais un an que nous animons ce podcast ! Si le tout 1er épisode avait donné la parole à des pionnières, femmes commissaires-priseurs ayant frappé les premiers marteaux ou ayant pris pour la première fois les rênes d'une entreprise familiale, cet épisode anniversaire va à la rencontre de femmes d'expérience dont la vision et le parcours leur permettent de poser un regard affûté et expert sur le marché de l'art et l'évolution de leur profession. Le titre « Nana Power » est un clin d'œil au Portfolio que Niki de Saint-Phalle réalise en 1970, suite à une exposition qu'elle avait présentée en 1967 Stedelijk Museum d'Amsterdam et qui s'intitulait Les Nanas au Pouvoir. Nos "Nanas" à nous, dans cet épisode sont des femmes de pouvoir, qui ont su sentir et comprendre leur époque ! Au menu, deux commissaires-priseurs et deux galeristes. Myrtille Dumonteil, commissaire-priseur au sein de sa maison de vente Artvalorem, également membre de la Chambre nationale des commissaires de justice section commissaires-priseurs judicaires et membre du Conseil d'Administration de Drouot Patrimoine. Juliette Jourdan, commissaire- priseur de sa maison de vente Ouest Enchères Publiques à Nantes et Rennes, Présidente de la Compagnie des commissaires-priseurs d'Anjou-Bretagne et membre du Conseil de surveillance d'Interencheres. Toutes les deux nous parlent de la réforme complexe qui est en cours d'écriture afin de dessiner la nouvelle profession de « commissaire de justice », fusionnant commissaires-priseurs et huissiers...Un mal ou un bien pour la profession ? Elles nous éclairent ! De leurs côtés, la galeriste Nathalie Obadia et la galeriste Marion Papillon, Présidente du Comité professionnel des galeries d'art nous donnent leur vision sur l'état du marché de l'art français post-Covid alors qu'Art Basel vient de coiffer la FIAC au poteau... ! Qu'est-ce quecela préfigure pour le futur, elles nous confient leur sentiment. Idée originale : Céline Aâssila & Julie Chaizemartin Narration : Julie Chaizemartin Réalisation : Art District Radio Logo : Mojito Fraise

This week, we visit the Royal Academy in London, where a new show looking at Francis Bacon's use of animal imagery, Man and Beast, is about to open. The RA's director, Axel Rüger sheds light on Bacon's means of transposing the animal into the human figure. We talk to our editor-at-large, Georgina Adam, about The Man of Sorrows, the Botticelli painting sold at auction this week—and we find out if it went beyond its guaranteed sale price of $40m. We also talk about the big art market news of the week: that MCH Group, the owner of the Art Basel fairs, is to take over Fiac's slot at the Grand Palais in Paris to host a new contemporary art fair in October. And in this episode's Work of the Week, Aimee Dawson talks to Megan Merritt of the Asian Art Museum in San Francisco, about a pair of works in Seeing Gender, a new exhibition that explores the museum's collection through the lens of gender for the first time: a contemporary piece on paper by the Chinese artist Wilson Shieh and a 20th-century carved sculpture by the Indonesian artist Ida Bagus Putu Taman. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Schock für die FIAC - Foire Internationale d'Art Contemporain. Die Internationale Messe für zeitgenössische Kunst, die es seit 45 Jahren gibt, hatte ihre Heimat im Grand Palais in Paris. Bis jetzt. Chris Dercon, der Intendant des Grand Palais, initiierte erstmals eine Ausschreibung. Und die Art Basel erhält nun einen Vertrag für sieben Jahre. Es wird eine neue Messe für zeitgenössische und moderne Kunst geben, die zunächst im temporären Grand Palais Ephemère stattfindet und ab 2024 im dann frisch renovierten Grand Palais. Damit ist die FIAC raus. "Ich glaube nicht, dass so etwas schon mal vorgekommen ist, dass eine Messegesellschaft eine andere so brutal von einem etablierten Platz verdrängt", sagt Elke Buhr Chefredakteurin von Monopol. Was bedeutet das jetzt? Moderation: Yvi Strüwing detektor.fm/was-wichtig-wird Podcast: detektor.fm/feeds/was-wichtig-wird Apple Podcasts: itun.es/de/9cztbb.c Google Podcasts: goo.gl/cmJioL Spotify: open.spotify.com/show/0UnRK019ItaDoWBQdCaLOt

 Parce que chaque semaine qui commence est un nouveau départ, j'avais envie de vous lire une histoire, alors je vous propose le bijou comme un bisou du dimanche soir.     Il était une fois La Biennale 2021     La Biennale comme tous les salons est un « fait social ». ce n'est pas moi qui le dit c'est le sociologue Bertrand Pulman dans son livre « Salons, rencontres et surprises ». Selon lui, un salon a bien sûr un impact économique, mais montre également des enjeux culturels et humains de grande ampleur.  Il définit 3 axes :   D'abord un axe Tradition/ultramodernité : le salon est un pont entre hier et demain Ensuite un axe Matérialité/esthétique : le salon est un lieu autant ancré dans la réalité matérielle que dans l'imaginaire esthétique (et la Biennale s'est dotée de scénographes de talents) Et enfin un axe Concentration/rayonnement : le salon est une vitrine ouverte vers l'extérieur     A ce titre la biennale est absolument un fait social et aussi un salon tout à fait exceptionnel.     D'abord par son histoire. Héritière des grandes foires du XIXe, la Biennale a réussi à fidéliser les marchands les plus prestigieux, les galeries internationales et les Maisons de haute joaillerie et attirent des collectionneurs du monde entier.  A l'heure où les plus grandes maisons de vente aux enchères font leurs plus belles ventes à New York, à Hong Kong ou à Dubail, La Biennale rassemble à Paris des exposants internationaux : Allemagne, Belgique, Chine, États-Unis, France, Monaco, Royaume-Uni, Suisse     La Biennale existe depuis six décennies. Depuis la première « Foire des Antiquaires de France » en 1956 qui s'épanouit en Biennale des Antiquaires en 1962, sous l'impulsion d'André Malraux et prend sa place emblématique au Grand Palais. Elle accueille le bal des débutantes en 1964, s'épanouit même en 1968, collabore avec Karl Lagerfeld en 1972 dont il sera le scénographe en 2012. La Biennale crée son 1er gala caritatif en 1996 au profit de la Fondation Hôpitaux de Paris – Hôpitaux de France. Elle devient annuelle en 2017 et se dote d'une Commission d'Admission des Œuvres (CAO) indépendante qui garantit la sélection des galeries exposantes et l'authenticité des œuvres exposées.  En 2018 Jean-Claude de Castelbajac met en scène la collection unique de Pierre-Jean Chalençon consacrée à Napoléon et en 2019 une grande exposition sur l'art du Bahrein est le cœur de cette 31e édition.  Puis il y a bien sûr eu le Covid. Alors nombre de salons ont jeté l'éponge. La sociologie des enthousiasmes chère à Bertrand Pulman peine retrouver la dynamique et l'enchantement que toutes les œuvres exposées génèrent et décuplent par le jeu des émotions partagées.  Même le Grand Palais est en restauration, alors ce sera au Grand Palais éphémère qu'aura lieu cette Biennale dont l'enjeu est de garder à La France sa place de centre du luxe, un grand salon du beau et des objets témoins de notre savoir faire d'excellence à travers le temps, comme la place Vendôme est la place de la joaillerie aux yeux du monde.     Et justement j'accueille aujourd'hui Henri Jobbé-Duval qui a rejoint l'équipe de la Biennale pour lui demander quels sont les défis et les nouveautés de cette Biennale ?        Monsieur Henri Jobbé-Duval, que je connaissais comme un spécialiste de l'art contemporain : galériste et défenseur des artistes comme Pierre Soulages, participant à la création de la FIAC, la Foire Internationale d'Art Contemporain, puis Commissaire Général de Révélation qui célèbre les métiers d'art et la création contemporaine. Alors je voulais savoir ce qui lui donné envie de vous tourner vers les antiquaires ?     Et puis, on va parler Bijou. Les relations entre la joaillerie et la biennale ont toujours été complexe. Bien sûr il y a des antiquaires du bijou. Mais pendant longtemps il y a eu la Place Vendôme mais qui exposait ses nouvelles collections de Haute joaillerie. Puis, quand ils ne sont plus venus c'est Lorenz Baumer, le trublion de la Place Vendôme qui a exposé mais toujours ses collections actuelles. Et Aujourd'hui c'est Camille Véver que que la Biennale reçoit. Alors pourquoi dans la Biennale ce ne sont pas les bijoux de Marie-Antoinette ou Sarah Bernardht que l'on voit. Pourquoi ce "privilège" de la joaillerie d'exposer l'actuel dans un salon consacré à l'histoire ?        Merci à Henri Jobbé Duval d'avoir éclairé cette Biennale 2021.    Ainsi se termine cette histoire de la Biennale 2021 et si vous êtes ou passez sur Paris je vous invite à venir voir ces merveilleuses antiquités du luxe, au grand Palais éphémère du 26 novembre au 5 décembre.        Je suis Anne Desmarest de Jotemps et je donne une voix aux bijoux chaque dimanche. Et si vous aussi vous avez envie de faire parler vos bijoux et votre Maison je serai ravie de vous accompagner pour réaliser votre podcast de marque ou de vous accueillir en partenaire dans mes podcast natifs.     Le podcast « Il était une fois le bijou » est en pleine préparation de son nouveau thème et je brûle d'impatience de vous dévoiler mais il faudra encore attendre un peu.     La semaine prochaine je vous donne rdv sur la podcast Brillante et je recevrais Marie Vallanet, la Présidente de l'Ecole des Arts Joailliers.     Et je vous retrouverais sur ce podcast le bijou comme un bisou le 28 novembre.     Pour ne manquez aucun de nos rendez-vous du dimanche autour du bijou, abonnez à chacun de mes 3 podcasts « Il était une fois le bijou », « le bijou comme un bisou » et «Brillante » sur votre plate-forme d'écoute préférée et encouragez-moi en partageant l'épisode sur vos réseaux sociaux.     Si vous êtes sur Apple podcast ou sur You Tube mettez de jolis commentaires, c'est ce qui permet de référencer les podcasts !      A dimanche pour votre prochaine histoire de bijou !     Musique : Allan Deschamps - 0 Le Sign, Dan Bodan – The Two Season, Doug Maxwell – Bellissimo, Kevin Mac Leod - Decline   

Rezidenčni center Cite´ internationale des arts, ki je bil ustanovljen leta 1965, velja za enega največjih tovrstnih centrov, saj mesečno gosti do 300 umetnikov z vsega sveta. Januarja je vodja kulturnega programa rezidenčnega centra postala Nataša Petrešin Bachelez. Tik pred začetkom največjega pariškega umetniškega sejma FIAC 21. oktobra, ki mu svoj program prilagodijo številne inštitucije, je v pogovoru za Likovne odmeve med drugim razmišljala o umetnostnem trgu v Franciji, razmerjih med zasebnimi in javnimi institucijami, vlogi rezidenčnega centra v času pandemije ter bližajočemu se francoskemu predsedovanju svetu Evropske unije. V ta okvir se umešča tudi razstava Europa enterprise kuratork Jelene Petrović in Danijele Dugandžić, ki je trenutno na ogled v rezidenčnem centru Cite´ internationale des arts. Kuratorki poudarjata, da živimo v obdobju neoliberalizma, izrazitih razrednih razlik, vzpona skrajno desničarskih pozicij, migracij, vojn in nasilja. A menita, da se je pri spopadanju s težavami treba ozreti v preteklost oziroma v mite, ki smo jih normalizirali in romantizirali, kot to velja tudi za mit o Evropi, ki ga skupaj z mitom o Arahne tematizira razstava. Zevsovo nasilno ugrabitev Evrope smo romantizirali, je prepričana Jelena Petrović, ki v pogovoru doda še, da se moramo naučiti, kako dekonstruirati vse te mite in narative ter kako o njih govoriti odprto. Foto: Tanja Lažetić, Olimpija, 2012/2021, fotografija na platnu in sukanec; eno od del na razstavi Europa Enterprise, vir: Tanja Lažetić

O artista plástico guineense Nu Barreto tem uma dupla actualidade em França. Com obras suas expostas, actualmente, em Marselha e tendo participado, pela primeira vez, em Paris na FIAC, a maior Feira internacional de arte contemporânea do país. O MUCEM, Museu das civilizações da Europa e do Mediterrâneo, propõe até 16 de Janeiro do próximo ano em Marselha a mostra "Europa oxalá". "Europa oxalá" é um projecto que vai percorrer três antigas potências coloniais: a França, mas também Portugal e a Bélgica. Tratam-se das obras de 21 artistas e intelectuais europeus, mas cujas origens se situam em antigas colónias. Uma reflexão sobre a sua herança, memória e identidade. Nu Barreto, nascido no norte da Guiné-Bissau, em São Domingos, em 1966, e radicado em França desde 1989, é um dos artistas com obras aí expostas. Uma mostra de que é comissário António Pinto Ribeiro, nomeadamente, do Centro de estudos sociais da Universidade de Coimbra, em Portugal. Nu Barreto revelou à rfi em que consiste este projecto tripartido que não surge por acaso. Este fim de semana marcou a estreia oficial do artista guineense na prestigiosa FIAC em Paris. Com uma obra "Restos", também herança do confinamento, que Nu Barreto nos apresenta.

La galeriste Cécile Fakhoury ouvre sa première galerie parisienne après celles de Dakar et d'Abidjan. À cette occasion, elle a exposé à la Fiac de Paris les œuvres du peintre et documentariste sénégalais Cheikh Ndiaye.    Le rideau est tombé sur la 47ème édition de la FIAC, la Foire Internationale d'Art contemporain de Paris. Sous la voûte tendue de bleue marine du Grand Palais éphémère dessiné par Jean-Michel Wilmotte et installé sur le Champ de Mars, au pied de la Tour Eiffel, 160 galeries sont venus exposer les œuvres d'artistes en espérant trouver des acquéreurs. Parmi les galeristes, Cécile Fakhoury, qui a inauguré dans le même temps sa première galerie parisienne, troisième vitrine après celles d'Abidjan et de Dakar, qui met en valeur les artistes africains contemporains. À la FIAC, elle a choisi d'exposer l'un d'entre eux, le peintre et documentariste sénégalais Cheikh Ndiaye. Ils sont tous les deux les invités de Jean-François Cadet aujourd'hui. Reportage : Michael Soi est un peintre caricaturiste au style satirique qui tourne en dérision le quotidien de Nairobi à travers des œuvres très colorées et pleines d'humour. En 30 ans de carrière, il s'est fait un nom dans la vie artistique kenyane, mais aussi à l'international. Charlotte Simonart l'a rencontré dans son atelier.

This week we are back with some impressions from Paris. DISCLAIMER This publication is for information- and marketing purposes only. The provided information is not legally binding and neither constitutes a financial analysis, nor an offer for investment-transactions or an investment advice and does not substitute any legal, tax or financial advice. Bergos AG does not accept any liability for the accuracy, correctness or completeness of the information. Bergos AG excludes any liability for the realisation of forecasts or other statements contained in the publication. The reproduction in part or in full without prior written permission of Bergos AG is not permitted.

This week, Paris's resurgence: is the French capital stealing London's thunder? As established and up and coming galleries open branches in Paris and the Fiac art fair opens there, we ask Melanie Gerlis if this is indeed a shift of power from the UK to the French capital. For this episode's Work of the Week, Donatien Grau, curator of contemporary programmes at the Musée d'Orsay discusses The Lady of Uruk, a painting from one of the two shows of the work of the South African artist Marlene Dumas that have just opened at the museum. And as the Chateau de Versailles, and the Louvre and the Centre Pompidou in Paris all pay tribute to Christian Boltanski, who died in July, Annalisa Rimmaudo, curator at the Pompidou, discusses the three displays and remembers this leading figure in French art over the past 50 years. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

With Benjamin in New York, Nate dials in from Paris to tell him about all the art, people and parties of FIAC week. They are able to be in community together to celebrate the return of Benjamin's instagram account (and that of Regret Counter). And finally Benjamin highlights some of the great work on sale in this Saturday's Two X Two For AIDS and Art auction in Dallas, Texas In the second half of the pod Benjamin speaks with Abu Dhabi Art Fair director Dyala Nusseibeh about the forthcoming edition of the fair, her history in the arts, the new museums opening in Abu Dhabi, the role of boutique sized art fairs and the best things to eat and visit when visiting on your visit to the fair. --- Support this podcast: https://anchor.fm/benjamin-godsill/support

The FIAC may have temporarily decamped from its Grand Palais headquarters, but the concept remains the same: 170 galleries from 25 countries, selling cutting edge works of contemporary art. We look at some of the exhibitions, performances and public art installations parallel to the fair.

Die FIAC, die wichtigste Messe der zeitgenössischen Kunst in Frankreich, findet dieses Wochenende in Paris statt und zwar erstmals nicht im Grand Palais, sondern im Grand Palais Ephémère. Was die Ersatzlocation kann, wie die Stimmung ist, was zu sehen ist und welche Performances und Ausstellungen sich außerhalb des Grand Palais Ephémère lohnen, verrät Elke Buhr, Chefredakteurin von Monopol, direkt aus Paris. Moderation: Yvi Strüwing detektor.fm/was-wichtig-wird Podcast: detektor.fm/feeds/was-wichtig-wird Apple Podcasts: itun.es/de/9cztbb.c Google Podcasts: goo.gl/cmJioL Spotify: open.spotify.com/show/0UnRK019ItaDoWBQdCaLOt

Bien que minées par la pandémie, les foires d'art sont malgré tout de retour. Après ses rivales Art Basel en Suisse et la Frieze à Londres, la Fiac fait son grand show d'art contemporain, très attendu, à Paris. Émergentes, confirmées, puissantes ou stars du marché de l'art, plus de 160 galeries provenant des cinq continents font vibrer  la capitale au rythme de la création mondiale. Pour cette 47e édition, l'événement déménage au Grand Palais éphémère. 

Spaudos apžvalga.Tarptautinė Lietuvos ir Prancūzijos scenos menininkų komanda pristato kaukių, objektų teatro spektaklį „Spąstai“, kuriame visapusiškai tyrinėjama manipuliacijos tema. Pastatymo idėja kilo iš asmeninės kūrėjų patirties ir susidūrimų su apgaulinga, manipuliatyvia tikrove, bei kaukės fenomenu kasdienybėje.„Kalbos rytas“: Lietuvos rusų dramos teatro aktorius Andrius Darela apie iš Krasnojarsko grįžusį tremtinių anūką, jo mokymąsi kalbėti lietuviškai ir kodėl poetinė kalba jam lengvesnė nei buitinė.Lietuvos kultūros tarybos sprendimas dėl strateginį finansavimą 2022–2024 metais gausiančių organizacijų ir renginių tapo nepalankus ne vienam ilgamečiam renginiui, tarp kurių – tarptautinė folkloro šventė „Skamba skamba kankliai“. Kaip tai lems šio ir kitų ilgamečių, tradicija tapusių kultūros renginių tęstinumą?Prestižinėje šiuolaikinio meno mugėje Paryžiuje FIAC šiemet savo kūrybą pristato du Lietuvos menininkai – Elena Narbutaitė ir Augustas Serapinas. Ką jie paruošė Prancūzijos ir viso pasaulio kultūros publikai bei kokia šio pristatymo reikšmė?Laidos „Įgarsintas vaizdas“ autorės Ievos Buinevičiūtės pasakojimas apie Alexandre‘o Desplat ir Romano Polanskio bendradarbiavimą.Seimas nusprendė nuo 2025 m. apriboti atmintų metų skelbimą – paprastai per metus bus skelbiami treji atmintini metai. Ar tai reikšmingas atminties politikos pokytis?Ved. Indrė Kaminckaitė

Cette semaine dans le podcast je reçois l'incontournable ORLAN, l'une des artistes françaises les plus connues ! Incontournable, elle l'est non seulement par son travail, prolifique, engagé, multiple... mais aussi parce qu'ORLAN est reconnaissable, et c'est peu dire : si vous la croisez dans la rue, vous ne pourrez pas la manquer ! Un look assez rock, une chevelure bicolore, des lunettes incroyables et des yeux surmontés de deux implants en forme de bosses, car vous l'entendrez, si elle travaille une multiplicité de médiums, son corps est aussi sa principale œuvre. C'est d'ailleurs à travers lui que dès les années 1960, elle interroge le statut du corps dans la société, et plus particulièrement celui des femmes, et qu'elle dénonce la violence qui lui est faite, et les visions stéréotypées qui lui sont associées. ORLAN est engagée, radicalement. Et c'est entre autres de cet engagement dont nous parlons dans cet épisode et de comment il s'inscrit dans son travail. Ensemble, nous sommes aussi revenues sur ses œuvres les plus emblématiques, comme Le baiser de l'artiste, une performance réalisée en 1977 et interdite par la FIAC, qui a fait scandale à l'époque. Nous avons également parlé de la série d'interventions chirurgicales dans laquelle elle s'est mise en scène dans les années 90, dans une retransmission en direct. ORLAN devient alors sa propre œuvre. Bien sûr, dans cet épisode nous parlons aussi de son enfance, de son parcours et de nombreuses autres choses. Le reste est dans l'épisode ! Bonne écoute ! • Pour en savoir plus sur ORLAN : www.orlan.eu Vous pouvez aussi la suivre sur Instagram : www.instagram.com/orlan.officiel • Crédits : Femmes d'art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com

Dans cette épisode on revient sur le parcours de Fiacre Senan Aka Fiac Sy. Artiste chanteur, compositeur bien d'autre. Nigérien, il a grandi essentiellement sur Niamey, il a construit ses premiers instruments très jeunes, enregistré ses premiers sons sur cassete, il a appris à se connaître et aujourd'hui il chante dans différents registres. Un homme qui ne rentre pas dans les cases. Il nous raconte comment il a fait comprendre à ses parents qu'il ferait de la musique sa vie. Un parcours super inspirant, on y comprends comment créer son projet culturel, qu'il ne faut céder à la pression social, que la promotion est très importante, qu'il faut se former et s'informer, qu'il vaut mieux être différent que dans les normes. Ce qui me stupéfait c'est qu'à travers cet épisode on voit clairement que Fiacsy reste confiant malgrès des débuts difficiles parcequ'il sait où il veut aller. L'EP de Fiac Sy est maintenant disponible sur toutes les plateformes streaming. Spotify: https://open.spotify.com/playlist/1QIns1QwXv79e56sLub1MH?si=hLE_q4lNROywjzxU3h944Q&utm_source=copy-link Youtube : https://youtube.com/playlist?list=PLzidAVeuBlsuFg-0RnDPIvoTrs50kDIYh Vous pouvez retrouver Fiac Sy sur : FB : https://www.facebook.com/Fiac-Sy-TMT-324239161289304/ Insta : https://www.instagram.com/invites/contact/?i=93415tw22wtd&utm_content=5jusa0q Par ailleurs, on va faire des sondages, débattre sur les épisodes et lancer des exclusivités sur notre liste de diffusion WhatsApp. Pour la rejoindre rien de compliquer, tu m' envoie 'podcasts' sur WhatsApp au +227 80190000. Enfin, on cherche des sponsors pour monter une équipe et être capable de lancer plus de contenu à valeur ajoutée mais aussi pour traduire ces épisodes en langue. En effet, on espère booster le talent de provinciaux et d'analphabètes. N'hésite pas à me contacter à Alex@afroto.com. On remercie encore Abel Aka Win'Ab pour le mastering de ce podcast. Sur ceux, on se donne rdv dans 2 semaine pour le prochain épisode de l'AfroCast!

“BING ! BING ! 砰砰!”Céramique contemporaineà ICICLE – 35 avenue George V, Parisdu 1er mars au 8 septembre 2021Interview de Bérénice Angremy, Victoria Jonathan et Gabrielle Petiau pour l'agence Doors 门艺, commissaires de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 18 mars 2021, durée 16'30, © FranceFineArt.(par téléphone avec Bérénice Angremy de Chine et Victoria Jonathan de Paris)Commissariat d'exposition :Doors 门艺 – Bérénice Angremy, Victoria Jonathan, Gabrielle PetiauExposition collective avec les artistes : Liu Jianhua, emmanuel boos, Geng Xue, Zhuo Qi et Louise FrydmanEn écho à son thème de collection prêt-à-porter inspirée par « la Terre » pour l'année 2021, ICICLE est heureux d'accueillir du 1er mars au 8 septembre dans son espace culturel du 35 avenue George V, Paris 8, une exposition sur la céramique contemporaine dont la curation est confiée à l'agence Doors. Quelle plus belle façon de célébrer la terre que de révéler les possibilités artistiques de ses matières premières ? « BING ! BING ! 砰砰! Céramique contemporaine » fait dialoguer cinq artistes chinois et français. Chacun à leur manière, Liu Jianhua (1962), emmanuel boos (1969), Geng Xue (1983), Zhuo Qi (1985) et Louise Frydman (1989) réinterprètent de façon actuelle l'art traditionnel de la céramique.En mandarin, le caractère 砰 (pēng) est l'équivalent de l'onomatopée « bing ! » du français : il évoque un bruit de choc, de heurt, et signifie une rupture, un événement soudain venant modifier la réalité.Dans une rencontre entre Orient et Occident, les artistes de « BING ! BING !» jouent avec les qualités matérielles de la céramique, à la fois fragile et solide, propice à l'accident, et les implications culturelles d'un art devenu patrimoine aussi bien en Chine (Jingdezhen, Yixing) qu'en France (Sèvres, Limoges, Gien). La céramique est saisie dans tous ses états, métamorphosée, soumise à des expérimentations : sculpture, écriture, performance et vidéo. Dans une friction des langages esthétiques et des significations culturelles liées au médium, usant – parfois avec humour – de jeux de mots, de ruptures de ton et d'effets de matières, ces artistes font exploser les codes de la céramique et la donnent à voir de façon surprenante. Grands noms de la céramique contemporaine comme Liu Jianhua et emmanuel boos, et artistes de la jeune génération comme Geng Xue, Zhuo Qi et Louise Frydman, tous explorent ses spécificités physiques, matière organique prenant forme grâce au geste de l'artiste et aux techniques qu'il emploie, mais aussi ses limites. Souple et malléable dans son état premier, résistant à des chocs thermiques pouvant dépasser 1300°C lors de sa cuisson, pour finir d'une grande fragilité dans son état « solide », la céramique se prête à des variations de brillance et de couleur d'une profondeur infinie ou au contraire à une extrême blancheur. « BING ! BING !» questionne aussi la relation entre l'artiste et la matière, le dialogue qu'il entretient avec la terre et le feu, dans une tension entre maîtrise et hasard, intention et accident, virtuosité et émotion. Les oeuvres de l'exposition évoquent ainsi l'empreinte de l'artiste sur la matière, parfois jusqu'à faire corps avec elle. Les artistes Liu Jianhua (né en 1962 à Ji'an, Chine) est l'un des artistes chinois les plus renommés de sa génération. Arrivé à Jingdezhen à 15 ans, il passe quatorze ans dans la capitale chinoise de la porcelaine à se former à cet art. Avec ses sculptures et installations mêlant porcelaine, objets trouvés, détritus et matériaux hétéroclites, il développe une pratique expérimentale de la céramique et une approche philosophique de la forme et de la matière. Ses oeuvres à la fois virtuoses et poétiques défient les limites physiques du médium et les attentes du spectateur. Liu interroge la culture et l'histoire matérielle de la Chine dans le contexte de la mondialisation. « Regular Fragile », présentée à la Biennale de Venise en 2003 dans le pavillon Chine, est une série de répliques en porcelaine d'objets du quotidien, faisant primer l'apparence et le symbolisme sur la fonction. En 2008, sa pratique évolue vers des formes plus abstraites et minimalistes (« pas de sens, pas de contenu »). Depuis 2004, Liu est professeur de sculpture à l'École des Beaux-Arts de l'université de Shanghai. En 2005, il crée le groupe Polit-Sheer-Form Office avec les artistes Hong Hao, Xiao Yu, Song Dong, et le critique d'art Leng Lin. http://www.liujianhua.netConsidéré comme l'un des meilleurs céramistes français, emmanuel boos (né en 1969 à Saint-Étienne, France) pratique cet art depuis l'âge de 14 ans. C'est après quelques années en Asie (Corée et Chine) qu'il s'y consacre professionnellement. Apprenti auprès du Maître d'art Jean Girel entre 2000 et 2003 pour la porcelaine tournée à la française, il gagne très vite de nombreux prix : jeune créateur de l'année des Ateliers d'Art de France, Prix Découverte du Salon Maison & Objet, 2ème lauréat du prix national SEMA, Grand Prix de la Création de la Ville de Paris. La galerie Jousse Entreprise le repère en 2005. Depuis, il est exposé chaque année dans les grandes foires internationales de design et d'arts appliqués : FIAC, PAD Londres et Paris, Design Miami Basel. Il s'installe à Londres en 2006 pour y mener une thèse de doctorat par la pratique artistique sur le thème de la « poétique de l'émail », soutenue en 2012 au Royal College of Art sous la direction du célèbre céramiste et écrivain anglais Emmanuel Cooper. En 2010, il participe à l'exposition « La Scène Française » au Musée des Arts Décoratifs à Paris. Ses oeuvres sont exposées à Londres, Belfast, Édimbourg, Copenhague. Depuis 2015, il vit entre Paris et Mannheim (Allemagne), où est installé son atelier et où il se consacre à plusieurs projets de céramique architecturale, notamment avec les décorateurs Caroline Sarkozy, Studio Shamshiri et Heather Wells. Entre 2016 et 2019, il est artiste en résidence à la Manufacture de Sèvres. Invité par le laboratoire qui conçoit et fabrique pâtes et émaux de la Manufacture, il s'intéresse notamment au thème de la palette d'émail et réalise plusieurs séries d'oeuvres : « Cubes », « Monolithes », « Livres » et « Stabiles ». Depuis quelques années, il privilégie les formes closes, faussement pleines, à la fois surfaces et volumes : pavés, cubes, boîtes ou livres, mystérieuses et abstraites. Il crée aussi un parcours pour la couleur, en creux et à-pics sur lequel les émaux colorés pourront déployer toutes les nuances de leurs tonalités en s'accumulant par endroits et en disparaissant presque à d'autres. L'artiste est à l'affût de l'inattendu et d'accidents heureux et à la recherche du « bel imparfait ». http://www.emmanuelboos.infoGeng Xue (née en 1983 à Baishan, Chine) est une artiste « multimédias » qui confronte l'art traditionnel de la céramique à des formes contemporaines (vidéo, animation, installation). Étudiante de Karlsruhe University of Arts and Design (Allemagne) et diplômée de l'Académie Centrale des Beaux-Arts de Chine (CAFA) où elle a étudié sous la direction du célèbre artiste Xu Bing, Geng Xue se fait connaître en 2014 avec « Mr Sea », vidéo tournée en stop-motion, dans laquelle des personnages de porcelaine prennent vie dans une réinterprétation d'un célèbre conte de fantômes datant de la dynastie Qing (« Contes étranges du studio du bavard » de Pu Songling). Inspirée par la riche tradition de la céramique chinoise, Geng exploite les qualités matérielles uniques et les significations associées à ce médium. Cosmologie bouddhiste, littérature classique et taoïsme fournissent les thèmes de fictions mettant en scène la capacité de transformation de la céramique et sa nature tout à la fois fragile et solide, dans des univers presque magiques, où la frontière est ténue entre monde physique et monde spirituel. Geng Xue s'inspire également de ses voyages et de son immersion dans d'autres cultures pour entrer en résonance avec la tradition esthétique occidentale.Diplômé de l'École Supérieure des Beaux-Arts du Mans, de la Haute École d'Art et de Design de Genève, et de l'École nationale supérieure d'art de Limoges, Zhuo Qi (né en 1985 à Fuxin, Chine) travaille et vit en France depuis 2008. En tant qu'artiste, la démarche de Zhuo Qi repose sur la notion de choc des cultures. Il nourrit sa pratique artistique de l'expérience quotidienne des miracles sémantiques et linguistiques que génèrent l'altérité culturelle et son lot d'incompréhensions. Il se rend régulièrement à Jingdezhen, une ville considérée comme la capitale mondiale de la porcelaine. Avec humour, il confronte à travers la céramique les traditions et les savoir-faire, que la mondialisation rapproche sans transition ni traduction. Chez lui, la porcelaine est à la fois le moyen et le sujet d'une cuisine expérimentale tournée vers la création d'objets impliquant des corps étrangers plongés dans des environnements incongrus, énigmatiques, voire hostiles, mais toujours sources d'amusement. http://www.qi-zhuo.comDiplômée en arts graphiques de l'école d'art ESAG-Penninghen et formée en photographie à l'International Center of Photography de New York, Louise Frydman (née en 1989 à Paris) commence par composer des oeuvres légères et délicates en papier blanc puis se tourne vers la céramique en 2015 lorsqu'elle crée sa pièce monumentale « La Fée des Pétales » suspendue dans la cour de l'Hôtel de Croisilles, à Paris. Elle conserve dans son traitement de la céramique la matité blanche du papier ainsi que la finesse de la matière. Fragiles et fortes à la fois, les créations de Louise Frydman révèlent un univers naturel poétique, magnifié par l'éclat de leur blancheur. Ses sculptures, inspirées des formes de la nature, jouent avec la lumière et le mouvement. « Je recherche la rencontre entre force et fragilité en travaillant mes sculptures de manière éthérée dans leurs formes, et puissante par leurs dimensions souvent monumentales. Un pétale, un arbre, le vent… C'est mon émotion que j'essaie de donner à voir. » Sa rencontre avec le céramiste Jean-François Reboul en 2015 lui permet d'approfondir son apprentissage et de s'affirmer dans sa démarche artistique. Son atelier est installé en Bourgogne depuis 2015. https://louise-frydman.com/Exposition en partenariat avec Pace Gallery, Jousse Entreprise, Loo & Lou Gallery. Remerciements : Cité de la céramique – Manufacture de Sèvres.Doors 门艺Créée en 2017 par Bérénice Angremy et Victoria Jonathan, Doors 门艺est une agence de production et de promotion de projets artistiques basée à Pékin et Paris. Doors a pour ambition d'ouvrir des portes et de favoriser les échanges culturels entre la Chine et l'Europe, à travers des événements créatifs, innovants et fédérateurs. Elle collabore avec des artistes, des institutions (Musée Picasso, UCCA, Fondation Giacometti, Fondation Henri Cartier-Bresson) et des marques (Hennessy, Lafite, Cartier). En 2021, Doors organise l'exposition « KAIWU. Art et design en Chine » au Musée de l'Hospice Comtesse (Lille).Respectivement diplômées de l'École du Louvre (Paris) et de Columbia University (New York), Bérénice Angremy et Victoria Jonathan vivent entre Paris et Pékin depuis vingt ans. Elles ont dirigé le festival Jimei x Arles (2017-2019), créé en Chine par Les Rencontres d'Arles et Three Shadows Photography Art Centre. Elles sont commissaires de plusieurs expositions sur l'art et la photographie chinois : « Les Etoiles 1979-2019. Pionniers de l'art contemporain en Chine » (Paris, 2019), « Les flots écoulés ne reviennent pas à la source. Regards de photographes sur la rivière en Chine » (Abbaye de Jumièges, 2020), « Feng Li. White Night in Paris » (Photo Saint Germain, 2021), « Luo Yang. Youth » (Jimei x Arles, 2019), « Lei Lei. Cinéma Romance à Lushan » (Les Rencontres d'Arles et Jimei x Arles, 2019). Diplômée des Beaux-Arts de Nantes, et ancienne élève de l'Académie Centrale des Beaux-Arts de Chine (CAFA), Gabrielle Petiau a rejoint l'équipe de Doors en 2019. Elle est co-directrice de la Biennale de l'Image Tangible.Boutique ICICLE – 35 avenue George V – Paris VIIIInauguré en septembre 2019 comme première adresse internationale, cet espace sculptural et immaculé s'étend sur trois étages d'un hôtel particulier, 35 avenue George V, au coeur du Triangle d'Or parisien. Conçu par l'architecte belge Bernard Dubois, il intègre, sur un espace de près de 500m2, les collections femme, homme et accessoires ainsi qu'une librairie et une salle d'exposition qui reflètent la philosophie de la marque, fondée sur une approche naturelle de la création, pour une vie en accord avec la Nature. Espace culturel ICICLE : Avec plus de 500 ouvrages, ponts entre la culture chinoise et occidentale, la librairie ICICLE, située au troisième étage de la boutique George V, explore les façons d'être, de vivre et de créer selon la Nature. Elle s'ouvre sur une galerie, espace lumineux et aérien, destinée à recevoir des expositions d'art et de design. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

J’aime beaucoup aller au musée, tout particulièrement dans les galeries de peinture. C’est mon truc, j’adore la peinture. Je vais au musée, je vais en galerie quand j’ose passer le pas de la porte, mon événement préféré à Paris c’est la FIAC qui est le regroupement des plus grands galeries d’art du monde. Bref, j’adore la peinture. Et je me suis toujours demandé comment les grands artistes trouvaient l’inspiration. Qu’est-ce qui faisait qu’ils orientait leur travail de telle ou telle façon. Et surtout, comment se fait-il qu’ils fassent presque toujours partie d’un courant. Le cubisme, l’impressionnisme, le pointillisme, l’expressionisme, le cubisme, le fauvisme. A chaque époque son courant. Alors qu’est-ce qui fait que ces artistes, qui par définition sont des créatifs, se retrouvent dans un même courant.  Et bien selon moi, c’est tout simplement parce qu’il n’y pas de création, sans inspiration. Tout ce que l’on invente, est le fruit de ce qui nous entoure. Les idées n’apparaissent pas sans raison, elles rebondissent sur ce que l’on voit, ce que l’on entend, sur environnement et donc sur les idées, sur les créations des autres.  Tout ce que l’on fait est inspiré par quelque chose qui existe déjà.  C’est vrai dans l’art, et c’est vrai en marketing.  C’est pour cela que je crois beaucoup au fait de s’inspirer de la concurrence.  Alors attention, le sujet est sensible, j’en ai bien conscience. Mais je voudrais que vous proposer de réfléchir à cette question de façon absolument bienveillante. L’idée n’est évidemment pas d’aller voler le travail des autres – celles et ceux qui me connaissent savent à quel point ça n’est pas compatible avec mes valeurs – je vous propose de vous inspirer de la concurrence comme les artistes s’inspirent d’autres artistes. Parce que c’est l’univers dans lequel vous évoluez, et c’est en regardant autour de vous que vous inventerez le futur de votre marché.  Dans cet épisode, je vous dis pourquoi selon moi s'inspirer n'est pas copier, je vous parle de saine concurrence et je vous donne mes conseils pour vous inspirer de la concurrence spécifiquement dans votre création de contenu.  Les outils que je cite pour vous aider :  - Ubersuggest - Buzzsumo  - Mention - Copywritely 

Pour son premier roman, Ludmila Charles évoque avec subtilité et sensibilité les liens et les secrets d'une famille d'Europe de l'Est de la fin de la guerre froide. « La belle saison » est paru aux éditions Noir sur Blanc, dans la collection Notabilia. C'est une histoire de famille, de femmes, de mères et de sœurs, installées dans une petite ville d’Europe de l'Est, un peu à l’écart des soubresauts du monde. Un livre plongé dans une atmosphère un peu triste et grise comme le moulin à vent de fête foraine qui orne la couverture. C’est un roman nimbé de mystère qui coule comme une douce et mystérieuse mélancolie. Une poésie délicate et troublante, nourrie par les murmures du monde. « La belle saison », de Ludmila Charles est paru aux éditions Noir sur Blanc, dans la collection Notabilia. Au menu de ce Café Gourmand : - José Marinho s'est intéressé à la nouvelle édition de la FIAC, la Foire Internationale d’Art Contemporain. L’an dernier (2020), le COVID avait eu sa peau. Résurrection cette année et, cette fois, les organisateurs ont pris les devants. Pas de Grand Palais -ni dans ni hors les Murs- mais écran total pour galeristes et collectionneurs. - Marjorie Bertin a rencontré l'immense auteur de Science-Fiction, Alain Damasio. Il publie un très court roman intitulé Scarlett et Novak, aux éditions Rageot.  - Fanny Bleichner a lu « La mode déshabillée ». Une bande dessinée publiée aux éditions Casterman. Les deux auteurs, le sociologue Frédéric Godart et la dessinatrice Zoé Thouron s’interrogent sur ce qu’est la mode. - Alain Pilot met en lumière le travail de Thomas Monica qui, à l'heure où le secteur de la musique se dématérialise, a pris un risque en sortant un disque vinyle, intitulé « Ulysse ».      

La Foire internationale d’art contemporain, avait annulé sa dernière édition en octobre au Grand Palais à Paris à cause de l’épidémie. Le rendez-vous incontournable des galeristes et collectionneurs du monde entier, cette fois-ci, revient en mode numérique pour un show artistique de rattrapage sur la Toile. Il y a sur une plateforme dédiée, 211 galeristes de 28 pays et des cinq continents.

Marine Van Schoonbeek est la présidente et co-fondatrice de l'association Thanks for Nothing. Fondée en 2017, elle mobilise avec Blanche de Lestrange, Anaïs de Senneville et Anne-Sarah Bénichou, les artistes et le monde de la culture en organisant des projets artistiques et solidaires ayant un impact concret sur la société. En février 2020, Thanks for Nothing a été désignée lauréate de la consultation de la ville de Paris pour la façade Denfert de l'ancien hôpital Saint-Vincent-de-Paul, pour l'installation d'un centre d'art et de solidarité de plus de 4000m2 au cœur de Paris. Ce projet s'incarne sous le nom « La Collective » et ouvrira en 2024. Depuis 2018, Marine Van Schoonbeek dirige l'ensemble des projets de Thanks for Nothing, enseigne à Sciences Po et est membre du Conseil d'Administration du Centre Primo Levi. De 2015 à 2018, elle a été Directrice de la Galerie Chantal Crousel, en charge du développement, des relations et des ventes auprès des institutions et des collectionneurs internationaux. De 2012 à 2015, elle a dirigé les relations avec les collectionneurs et les institutions de la FIAC. Pendant 3 ans, elle y a développé l'ensemble du programme destiné aux VIP, en partenariat avec 200 institutions, fondations et collections privées à l'international. De 2009 à 2012, elle a été chargée des relations publiques et du mécénat au Centre Pompidou-Metz où elle a notamment développé la politique de recherches de fonds propres et coordonné l'inauguration officielle du lieu, première institution culturelle de cette ampleur délocalisée en France. En 2008, elle a été chargée de mission auprès de Robert Fitzpatrick, Directeur du Musée d'Art Contemporain de Chicago, où elle a analysé la structure des institutions culturelles américaines. Elle s'entretient avec Alain Berland sur les relations entre art et philanthropie.

Le STUDIO PROUVÉ donne la parole à une génération émergente d'architectes, d'ingénieurs et de critiques afin de questionner l'espace au regard de la conception technique de Jean Prouvé, de ses procédés de fabrication, de sa structure et de sa mise en oeuvre. Cinquième des huit intervenants : l'architecte Nicolas Dorval-Bory. "Jean Prouvé affirmait que son travail consistait simplement à comprendre où et comment plier la tôle ou le bois pour aboutir à une certaine performance, sans formalisme préconçu, sans l'objectif de vouloir ressembler à quelque chose de particulier. Il y a dans cette idée une recherche de neutralité, une volonté d'absence de narration formelle qui peut caractériser notre travail." Conférence enregistrée en public depuis l'école « nomade » conçue par Jean Prouvé et réinstallée Place de la Concorde par la galerie Patrick Seguin, dans le cadre de la FIAC 2018.

Le STUDIO PROUVÉ donne la parole à une génération émergente d'architectes, d'ingénieurs et de critiques afin de questionner l'espace au regard de la conception technique de Jean Prouvé, de ses procédés de fabrication, de sa structure et de sa mise en oeuvre. Septième des huit intervenants : l'architecte Thomas Raynaud. « Il y a quantité de manières de parler d'architecture, disons dans sa forme construite. On peut s'amuser à décrire un bâtiment, le mesurer, chiffrer son coût, quantifier ses performances, disséquer son programme, analyser son contexte ou même l'examiner avec une vision plus ésotérique en tentant de décrypter une forme de narration ou de fiction qui serait inhérente à sa fabrication. Je propose de revenir sur la parole de Jean Prouvé, parole sur laquelle je me fonderai pour parler d'architecture ou plus précisément de la manière dont il l'appréhende » Conférence enregistrée en public depuis l'école « nomade » conçue par Jean Prouvé et réinstallée Place de la Concorde par la galerie Patrick Seguin, dans le cadre de la FIAC 2018.

Le STUDIO PROUVÉ donne la parole à une génération émergente d'architectes, d'ingénieurs et de critiques afin de questionner l'espace au regard de la conception technique de Jean Prouvé, de ses procédés de fabrication, de sa structure et de sa mise en oeuvre. Dernière intervenante : l'architecte Mariabruna Fabrizio, de Socks Studio. « Je pars de cette phrase fondatrice de Jean Prouvé que je propose que nous examinions pour en mesurer tous les corollaires: "Je n'ai jamais eu une vision ou une forme à l'esprit, je n'ai pas de style. Je n'ai jamais dessiné de formes. J'ai fait des constructions qui avaient une forme". Conférence enregistrée en public depuis l'école « nomade » conçue par Jean Prouvé et réinstallée Place de la Concorde par la galerie Patrick Seguin, dans le cadre de la FIAC 2018.

Le STUDIO PROUVÉ donne la parole à une génération émergente d'architectes, d'ingénieurs et de critiques afin de questionner l'espace au regard de la conception technique de Jean Prouvé, de ses procédés de fabrication, de sa structure et de sa mise en oeuvre. Sixième des huit intervenants : Mathias Gervais de Lafond, architecte fondateur de l'agence O.F.C. "« Je n'ai jamais eu une vision ou une forme à l'esprit. Je n'ai pas de style. Je n'ai jamais dessiné de formes. J'ai fait des constructions qui avaient des formes. » Avec cette citation, Jean Prouvé affirme la dépendance qu'entretient la forme architecturale vis-à-vis de l'acte de bâtir. Je partage cette idée et ce qui me semble intéressant d'examiner aujourd'hui, c'est de quoi peut dépendre le système constructif." Conférence enregistrée en public depuis l'école « nomade » conçue par Jean Prouvé et réinstallée Place de la Concorde par la galerie Patrick Seguin, dans le cadre de la FIAC 2018.

Le STUDIO PROUVÉ donne la parole à une génération émergente d'architectes, d'ingénieurs et de critiques afin de questionner l'espace au regard de la conception technique de Jean Prouvé, de ses procédés de fabrication, de sa structure et de sa mise en oeuvre. Quatrième des huit intervenants : Léonard Lassagne et Colin Reynier, de l'agence DATA architectes. "Dans tout le travail de Jean-Prouvé, il y a une forme de pensée constructive très forte qui est le liant qu'il érige comme une ligne de conduite autour de la logique de fabrication et de la fonctionnalité. En résulte une forme d'esthétique assez simple, sans artifice et en définitive évidente, voire essentielle." Conférence enregistrée en public depuis l'école « nomade » conçue par Jean Prouvé et réinstallée Place de la Concorde par la galerie Patrick Seguin, dans le cadre de la FIAC 2018.

Le STUDIO PROUVÉ donne la parole à une génération émergente d'architectes, d'ingénieurs et de critiques afin de questionner l'espace au regard de la conception technique de Jean Prouvé, de ses procédés de fabrication, de sa structure et de sa mise en oeuvre. Troisième des huit intervenants : Alphonse Sarthout, du studio d'architecture Ciguë. " Le fait de pouvoir toucher, manipuler, comprendre : il y a une réelle importance de mise en jeu des sens dans le fait d'avoir un atelier. L'ordinateur, c'est 2D, c'est plat, il n ‘y a pas de goût, pas d'odeurs. Avec l'atelier d'un seul coup, il y a toute une dimension de l'architecture qui apparaît et qui est à notre disposition au quotidien. Les gens qui développent les projets chez nous n'ont plus à attendre que le projet parte en chantier pour commencer à manipuler les matériaux. " Conférence enregistrée en public depuis l'école « nomade » conçue par Jean Prouvé et réinstallée Place de la Concorde par la galerie Patrick Seguin, dans le cadre de la FIAC 2018.

Le STUDIO PROUVÉ donne la parole à une génération émergente d'architectes, d'ingénieurs et de critiques afin de questionner l'espace au regard de la conception technique de Jean Prouvé, de ses procédés de fabrication, de sa structure et de sa mise en oeuvre. Deuxième des huit intervenants : Klaas de Rycke, de l'agence Bollinger+Grohmann. « Je vais commencer par l'analyse du bâtiment dans lequel conçu par Jean Prouvé dans lequel nous nous trouvons, parce que nous avons eu la chance d'aider un peu la Galerie Patrick Seguin à ce que le bâtiment ne s'envole pas... Ce qui est très intéressant avec les bâtiments de Jean Prouvé, c'est le montage. Ils se révèlent beaucoup par le montage. En tant qu'ingénieurs, au sein de notre agence, chaque fois on a beaucoup de débats pour comprendre comment ces bâtiments fonctionnent. La question du contreventement se pose fréquemment. Ici, il n'y a que les béquilles et quelques poteaux... » Conférence enregistrée en public depuis l'école « nomade » conçue par Jean Prouvé et réinstallée Place de la Concorde par la galerie Patrick Seguin, dans le cadre de la FIAC 2018.

Le STUDIO PROUVÉ donne la parole à une génération émergente d'architectes, d'ingénieurs et de critiques afin de questionner l'espace au regard de la conception technique de Jean Prouvé, de ses procédés de fabrication, de sa structure et de sa mise en oeuvre. Premier des huit intervenants : Adrien Verschuere, fondateur de l'agence Baukunst. « En quoi est-ce que l'oeuvre de Prouvé me touche ? En quoi est-ce qu'elle peut interférer sur notre position en tant qu'architecte ? Dans un premier temps je vous propose de parcourir une série de mots, qui sont à la fois des mots que j'ai pu découvrir dans l'oeuvre de Prouvé et qui sont corrélés avec une série de ses constructions. Le premier mot serait le mot "standard" ». Conférence enregistrée en public depuis l'école « nomade » conçue par Jean Prouvé et réinstallée Place de la Concorde par la galerie Patrick Seguin, dans le cadre de la FIAC 2018.

A MAN WITH A MISSION. The conductor Alvise Casellati is creator of “Opera Italiana is in the Air” whose debut was in Central Park, New York.

#25 Marion Vallerin – Artiste plasticienne et peinture sur soie– Méditer pour libérer sa créativité et son intuition Cet épisode est parfait si vous vous intéressez à l'art et voulez en savoir plus sur la peinture sur soie ou la carrière d'artiste de façon plus générale. C'est un épisode 100% Art ou l'on va parler du parcours de Marion Vallerin, de son processus créatif, la peinture sur soie, mais aussi de sa technique de Méditation ! Language of the Episode : FRENCH. Aujourd'hui mon invitée sur le Podcast de 2Goodmedia est Marion Vallerin, une jeune Artiste plasticienne de Paris en visite à Rome pour sa toute première exposition italienne. Nous nous trouvons confortablement installées au café du cloitre du Bramante (comme vous pourrez l'entendre), un lieu très connu d'exposition de l'art contemporain à Rome, et qui se trouve juste à côté du Palais de la Renaissance Milesi, où Marion réalise sa toute première exposition personnelle en Italie avec Laetitia de Galzain Art & Patrimoine. Vous pouvez visiter sur rendez-vous l'exposition en contactant LGD Art Patrimoine jusqu'au Vendredi 9 octobre inclus. Cet épisode avec Marion Vallerin est particulièrement libérateur pour tous ceux d'entre nous, passionnés d'Art qui hésitons encore à nous engager dans une voie de passions dans un but professionnel. Nous verrons comment dépasser ses blocages et libérer sa créativité en utilisant notamment la méditation. Une démarche spirituelle que Marion prolonge dans son geste d'artiste pour réaliser notamment ses créations de peinture sur soie, entre autres supports. Ce support de la soie est un medium bien particulier qui ne s'apprend qu'en autodidacte et qui a joué un rôle décisif pour aider Marion a se libérer de ses freins et blocages intérieurs. Elle nous explique dans le podcast comment elle peaufine et personnalise sa technique de peinture sur soie et comment elle visualise les couleurs ou les formes avant de réaliser un croquis préparatoire. Un processus créatif qui se confronte ensuite aux lois de la matière de la soie, et qui aboutit au bout d'un geste ininterrompu a la création de l'œuvre.   L'histoire de Marion Vallerin est celle d'une jeune artiste, formée en tant qu'architecte, qui a réussi a se professionnaliser comme artiste plasticienne après 8 ans d'hésitations et une expérience de création de start up pourtant réussie, dans un tout autre domaine, le recycling de matériaux. Un parcours passionnant qui peut inspirer beaucoup de jeunes créatifs sur comment mener cette lutte avec soi-même et les schémas sociaux sur le parcours d'artiste aussi, pour finalement trouver son propre chemin. C'est chose faite en Janvier 2019 quand Marion s'inscrit à la Maison de Artistes. Et depuis cette date, les succès de ses collaborations et expositions collectives ou en solo lui donnent déjà raison : Au Maroc avec un collectif A New York a Soho pour Agnès B dans la Mode A Paris Durant la FIAC avec un collectif New Yorkais A Toulouse La vie d'Artiste, c'est aussi des missions ponctuelles qui permettent de faire des rencontres professionnelles inspirantes et apportent d'autres opportunités : comme la contribution aux vitrines de Hermès à Paris après le confinement avec les équipes de Antoine Plateau. Ou encore les évènements culinaires organisés pendant la Fashion Week avec la Chef Alix Lacloche. Nous parlons de beaucoup de problématiques propres à la vie d'artiste : ci dessous la Timeline du podcast 13';29' : Inspirations (Civilisation Minoenne, Féminin dans l'Art, etc) 18'; 28' : La technique personnelle de la peinture sur soie 23'50 : Résidence d'artiste organisée par Margaux Derhy: Massa Residency au Maroc avec un collectif d'artistes français dont Marion Vallerin, Emile Kirsch, Mikael Monchicourt and Solène Kerlo et Margaux Derhy. Instagram @massastories 25,3' : Lafayette Anticipations, la Fondation d'Art et le concept store A Rebours 25' : Exposition Room 212 à New York avec le collectif Auto Body 27' : LE DECLIC ayant permis à Marion Vallerin de se lancer en tant qu'artiste 37' : Preparation de l'exposition de Rome avec LGD Art Patrimoine 1:12' : La technique de la Méditation et comment cela peut aider à visualiser ou inspirer 1:22' :L'eveil de la conscience 56' : Le statut d'artiste et l'association de la Maison des Artistes (des détails très pratiques) La contamination de toutes les disciplines créatives, les passerelles entre l'architectures, le design, la peinture, etc Les parcours inspirant d'autres Femmes Artistes comme Hilma Af Klint Je remercie particulièrement Marion pour son partage généreux d'informations et de précieux conseils pour de jeunes artistes et sa vision collaborative, tout à fait dans l'esprit de ce podcast. Cette conversation avec Marion Vallerin sur 2Goodmedia a été enregistrée en français et retranscrite en italien et anglais sur 2goodmedia.com. C'est la première fois sur 2Goodmedia que nous réalisons un podcast a l'occasion d'une exposition d'artiste français en Italie, grâce a Laetitia de Galzain Art & Patrimoine qui nous a mis en contact. Et j'espère qu'il y en aura beaucoup d'autres ! Ce "Pont" entre la France et l'Italie, en 3 langues, nous permet d'aborder tous les thèmes pour une audience française et italienne sans barrière de la langue et sans filtre, dans une vision européenne de notre patrimoine culturel. Notre mission sur 2Goodmedia : Permettre de faire connaitre le meilleur de la France et de l'Italie auprès d'une audience curieuse de mieux connaitre directement nos cultures respectives. La mission de 2Goodmedia est de créer un lien entre les générations, les cultures, les pays, les classes sociales sans filtre et avec une vision inclusive de la société. Transmettre les valeurs et la passion pour la mode ou l'art. Passions qui nous rassemblent! Pour contacter Marion Vallerin : Mail : Contact@Vallerin.com ; Web : www.marionvallerin.com ; Instagram : @marion_vallerin Pour Contacter Laetitia de Galzain Art & Patrimoine : Mail : contact@ldg-art.com I am Delphine Souquet, the Founder of 2Goodmedia, visit me on https://2goodmedia.com and Instagram @2goodmedia to know more about all my projects and reportages with Creative entrepreneurs : Designers, Artists and Architects talking about their creative process and running a successful business. For comments, questions, or speaker ideas, please e-mail me at : Delphine@2goodmedia.com

Michael De Gingivite est un trou de pine qui a fait fortune en vendant des croûtes à la FIAC.  Un jour Michael décida de s’enjailler et prit un ticket pour un festival rempli de gens comme lui, le Burning Man. Malheureusement dans ce festival Michael trouva la mort. Mais que s’est il passé ?

Welcome to the Dialed In Podcast! Here are some topics we talked about today. Werther and Fiac air compressors showed up and Matt is super excited about them! We still have select t-shirts on sale for 35% off. Matt says stop worrying about buying toilet paper, we have showers or even better... a wash bay. Matt discusses using Instagram to help promote our products on social media & the impact it might have.

Sur les réseaux, Marie-Odile est @imagine_moi et partage sur son compte Instagram de presque 12.000 abonnés ses sorties culturelles, ses expositions coups de cœur, ses découvertes artistiques. Là où d'autres tentent mais peinent à atteindre plus de 2k abonnés en postant dans leur feed une succession d'œuvres dans un ton très FIAC, Marie-Odile assume les #ArtSelfie pour diffuser le travail des artistes, pose en slim blanc embrassant un ours Orlinski sur la croisette et participe à #5WomenArtists du National Museum of Women in the Arts, une campagne de 4 semaines qui met en lumière les artistes femmes oubliées de l'histoire de l'Art. Marie-Odile est audacieuse et vient parler sans filtre de sa démarche au micro rouge des PassionariArts. Avec Marie-Odile, nous avons exploré de nombreux sujets : Donner une forme au fond       Choisir de ne pas choisir Demande-t-on aux hommes de choisir ? L’acceptation de soi Influence ou militantantisme ? L’esthétique et le message On est toutes Judith La place des femmes dans les livres d’histoire de l’Art Quel développement pour l’influence dans l’art ? Les clés de lecture de l'art contemporain Les artistes qui vendent sur Instagram Faut-il montrer ses fesses pour faire connaitre son travail Professionnaliser la communication de l’art La définition d’un(e) artiste pour Marie-Odile The Girl In The Gallery, la passionariart de Marie-Odile Tous les détails, références et ressources des épisodes sont disponibles sur le site www.lespassionariarts.com

ART INTERVIEW, lundi et jeudi à 14h. Julie Gabrielle Chaizemartin ou Julie Boucher rencontre un artiste ou un acteur du monde culturel. Alors que la FIAC vient de fermer ses portes, Julie rencontre un observateur de l'art contemporain qui conseille aussi les collectionneurs. Il y a tout juste un an, Frédéric Elkaïm spécialiste du marché de l’art contemporain, a lancé sa plateforme « Art Now ! ». Une offre multiple, ouverte à tous, afin d’entrer dans l’univers de l’art contemporain. Une manière personnelle de former le regard et surtout de transmettre une passion à travers des cours, des workshops et des échanges.  https://art-now.ch/ 

A l'occasion de la FIAC, Wendy Bouchard nous fait découvrir la famille Gismondi qui a l'air qui coule dans les veines. Sabrina et Marius Gismondi évoquent leur vie, entre galeries d'art, antiquité et création. 

A l'occasion de la FIAC, l'émission "Les Discrètes" recevait quatre femmes de l'art ! Elles sont galeriste, clerc de commissaire-priseur, consultante dans le mécénat, ou encore chargée des relations collectionneurs pour des foires d'art internationales, mais elles sont surtout venues témoigner à notre micro de leur parcours, de leur quotidien, et de leur vision du monde de l'art aujourd'hui !  "Les Discrètes" ont aussi tendu le micro à l'artiste Victoire Thierrée, qui nous parle de son film d'art "Birds of Prey"   Une émission riche en débats, pour en apprendre un peu plus sur celles (et ceux) qui font discrètement tourner cette industrie particulière ! 

Die internationale Messe für zeitgenössische Kunst in Paris, FIAC, ist mittlerweile die zweitwichtigsten Kunstmesse nach der Art Basel. Wie sie das geschafft hat, erklärt Elke Buhr, Chefredakteurin vom Monopol Magazin für Kunst und Leben, im Gespräch. Moderation: Anja Bolle detektor.fm/was-wichtig-wird Podcast: detektor.fm/feeds/was-wichtig-wird Apple Podcasts: itun.es/de/9cztbb.c Google Podcasts: goo.gl/cmJioL Spotify: open.spotify.com/show/0UnRK019ItaDoWBQdCaLOt

Épisode 271 :  À l’ère des plateformes sociales, l'Art "classique" tente de se forger une nouvelle identité pour se fondre dans le paysage. Pendant ce temps là, s'est imposé un mouvement de l'Art Popup, de l'art Instagrammable.  À l’ère des plateformes sociales, nous forgeons notre identité en fonction de là où nous nous trouvons. On doit pouvoir se sentir chez soi au musée et les éléments qui le composent doivent devenir des totems que l’on peut s’approprier et prendre en photo Il y a une dizaine de jour, Anne Hidalgo inaugurait officiellement une nouvelle oeuvre d’Art géante dans les jardins du Petit Palais. Un bouquet de tulipes multicolores de près de 12 mètres de haut réalisé par le mythique et scandaleux Jeff Koons. Le Bouquet de tulipes a un message officiel, rendre hommage aux victimes des attentats du 13 novembre 2015. Mais avec ces aires de playmobil géant multicolore, l’oeuvre spectaculaire est aussi d’ores et déjà un succès sur Instagram. Une oeuvre iconique avec en seulement 10 jours déjà son propre hashtags #bouquetoftulips — Autre sujet, autre lieu. Une chauve-souris géante en bronze est exposé depuis une dizaine de jour à l’entrée de la FIAC à Paris. C’est l’oeuvre de Johan Creten. Sur son dos la statue a un escalier qui permet à tout un chacun de monter sur la statue. Pour l’artiste il y a une évidence, l’oeuvre existe si elle est domptée par le public. Et si appréhendé l’oeuvre signifie la partager sur Instagram, tant mieux ! — Selon le magazine artsper, Instagram est en réalité devenue une plateforme de lancement importante dans la carrière des artistes et un observatoire international essentiel des tendances et nouveautés de l’art.  Alors que YouTube a pu servir de tremplin à certains chanteurs ou comédiens, Instagram s’est transformée – peut-être malgré elle – en incubateur d’artistes. — Instagram serait-il devenu une alternative aux galeries traditionnelles? Johan Creten  “Avant, un artiste était cantonné à son marchand d’art, ses assistants et les journalistes, admet-il. Grâce à Instagram, on a un contact direct avec le public.” la plateforme a ouvert la voie à toute une vague d’artistes désireux de vendre leurs propres productions par eux-mêmes. Vogue décrit même la plateforme comme un éminent acteur du marché de l’art. — Instagram, le marchand d’art du futur ? Selon le rapport annuel Hiscox Online Trade, une étude de marché sur l’utilisation des outils technologiques du monde de l’art, la plus grande évolution serait la transaction d’art sur Instagram : 48% des acheteurs d’ART disent utiliser l’outil au quotidien, dont 65% chez les moins de 35 ans. Vogue US décrit la plateforme comme « le marchand d’art le plus éminent de l’époque». Le site Artsy donne dorénavant des cours d’utilisation commerciale du réseau aux artistes novices. L’artiste Ashley Longshore et ces 255k followers, préfère vendre ses œuvres par DM (direct message, ndlr) et couper la commission que retiendrait la galerie.  «C’est à chaque artiste de devenir le business man de son travail, et les réseaux sociaux permettent ça » explique-t-elle. « Je poste une photo d’une œuvre, et je reçois des détails bancaires avant même que la peinture soit sèche » — Les artselfies boostent la popularité d’une oeuvre Les _#artselfies boostent la popularité et le potentiel bankable d’une œuvre, explique le site Artnet. La galerie Victoria Miro affiche même un hashtag dédié à côté des œuvres de son artiste Yayoi Kusama, _#instakusama. — Vers un style : l’Art Instagrammable Il y a eu le cubisme, le sur réalisme, le pointillisme…. Il y a peut-être l’Art Instagrammable. Selon Adeline Pilon expert du marché de l’art diplomée de l'Ecole du Louvre, l’application, Instagram ne convient pas à tous les artistes. "Il y a un biais avec la technologie: si votre œuvre n'est pas 'instagramable', si elle n'a pas de couleur, si elle n'est pas fluide ni simple, vous aurez du mal à exister. Un monde de l'art digital se développe. Il a échoué au début des années 2000. Il faut voir si désormais ça va fonctionner ou retomber comme un soufflet." ———— Côté musée, là aussi Instagram est incontournable ! les musées eux aussi acteurs sur les réseaux sociaux Les musées ont d’ailleurs eux aussi réussi à y fédérer de solides communautés, invitant leurs followers à participer à toutes sortes de concours photos.  En 2014 était lancé le #MuseumSelfieDay, la journée mondiale du selfie dans les musées (tous les 16 janvier). Une nouvelle génération de musées De New York à Los Angeles, en passant par Barcelone et Budapest, une nouvelle génération de musées a vu le jour. Ils surfent sur le potentiel viral des photos d’installations immersives sur le réseau social Instagram Les musées instagrammables ils ont inventé un nouveau moyen de faire adhérer le public à leurs oeuvres, à leurs concepts, un nouveau moyen de les faire partager. En même temps, il était temps, il y a longtemps qu’une partie de la population a fui les musées. Et qu’ils ont une image bien dégarnie … Michael Govan, directeur du Los Angeles County Museum Art  À l’ère des plateformes sociales, nous forgeons notre identité en fonction de là où nous nous trouvons. On doit pouvoir se sentir chez soi au musée et les éléments qui le composent doivent devenir des totems que l’on peut s’approprier et prendre en photo Le défi : susciter ce désir expérientiel chez les gens sans pour autant pervertir les œuvres présentées. » Les musées à Selfie / musées Popups [Des musées 100% photogéniques][5] Musée du selfie / Machine de rêve / la maison des oeufs / la maison de la pizza > Ils sont chers 20-40$ Et on va encore plus loin, la nouvelle tendance est aux musées POP UPS Ils pullulent depuis la côte ouest des États-Unis.  Musée de la glace, musée du selfie, musée du bonheur, musée du bonbon, ils nous font voir la vie en rose fluo et nous attirent dans une parenthèse de bonheur. Pas besoin de se coltiner tout un tas d’explications. Il suffit de se laisser porter pour être heureux. On est sur une simplification de l’art à son maximum, on vous attire en vous promettant que ça va vous plaire est surtout on chatouille l’Instagram Artist qui est en vous. Forcément si c’es tendance, vous aurez bien de quoi rapporter quelques clichés. « Le plaisir s’avale en shots, cul sec, et les clichés se partagent en masse sur les réseaux sociaux. » Ice Cream museum Des lieux prévus pour être éphémères deviennent permanents, c’est tel cas du muséum of Icecream. Tout est rose flou et là bas tu peux plonger dans une piscine de topings multicolors et toute la déco est pensée pour être shootée ! San Francisco - > ouverture prochaine à NY 
Candytopia des oeuvres en bonbon à San Francisco Les 10 musées les plus Instagrammables L’initiative _#artsaucouvent à Angers. A Angers dans un ancien couvent voué à la démolition, un collectif d’Artistes occupe pour 1 mois et demi les lieux pour leur redonner vie au travers de l’art. Le lieux s’y prête, c’est à la fois religieux et libre et depuis quelques jours je vois fleurir un peu partout des posts et stories Insta autour de ce lieu. Je vous invite à suivre le _#artsaucouvent on y voit beaucoup de ces réalisations et ce que j’adore moi ici c’est cette mixité su street art où l’on joue aussi avec l’Urbex. . . . Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs. Nous sommes une agence social media basée à Lyon. Nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs.

durée : 00:07:27 - L'invité de 6h20 - par : Mathilde MUNOS - Aude de Kerros, artiste et essayiste, auteure de "Nouvelle géopolitique de l’art contemporain" (Eyrolles), est l'invitée de Mathilde Munos.

Né en 1965 à Constantine (Algérie), Kamel Mennour est issu d'une famille de 3 enfants, avec une maman femme de ménage et un papa peintre en bâtiment. Ses parents ont quitté l'Algérie alors qu'il avait 15 mois. Arrivés en France, ils s'installent à Belleville : « nous étions assez pauvres mais très heureux », se souvient Kamel Mennour. Il découvre l'art alors qu'il faisait du porte-à porte pour vendre des lithographies. À la fin des années 90, un coup du destin, il installe sa première galerie rue Mazarine, puis rue Saint-André des Arts. Très vite, c’est la Fiac, c’est Art Basel, c’est une autre galerie à Londres, deux autres à Paris. C’est une explosion, c’est Larry Clark, Jan Saudek, Daniel Buren, Anish Kapoor, Claude Lévêque, etc. Des découvertes et des confirmations. Kamel Mennour est aujourd'hui l'une des personnalités les plus influentes et les plus respectées de l'art contemporain. Dans cet épisode de Contre Toute Attente, il revient sur son parcours et sa success-story faite d'amour et de passion. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

On this week's episode of Freedom in a Cage Bob and Chris sit down with Bulldogs fan Matt Fitzgerald to get another look at the Bulldogs and the game

V8 supercar legend and Bulldogs fan Scott McLaughlin joined today's Freedom in a Cage podcast

Born in New Zealand, Jennifer Flay has lived in France since the early 80s, initially arriving with a French government scholarship to pursue her studies of Art History at the University of Nice. Having honed her skills working for prestigious Parisian galleries Daniel Templon and Ghislaine Hussenot, today, Flay is the internationally renowned Director of Paris' contemporary art fair FIAC. www.creativeprocess.info

Born in New Zealand, Jennifer Flay has lived in France since the early 80s, initially arriving with a French government scholarship to pursue her studies of Art History at the University of Nice. Having honed her skills working for prestigious Parisian galleries Daniel Templon and Ghislaine Hussenot, today, Flay is the internationally renowned Director of Paris' contemporary art fair FIAC. www.creativeprocess.info

Born in New Zealand, Jennifer Flay has lived in France since the early 80s, initially arriving with a French government scholarship to pursue her studies of Art History at the University of Nice. Having honed her skills working for prestigious Parisian galleries Daniel Templon and Ghislaine Hussenot, today, Flay is the internationally renowned Director of Paris' contemporary art fair FIAC.www.creativeprocess.info

Born in New Zealand, Jennifer Flay has lived in France since the early 80s, initially arriving with a French government scholarship to pursue her studies of Art History at the University of Nice. Having honed her skills working for prestigious Parisian galleries Daniel Templon and Ghislaine Hussenot, today, Flay is the internationally renowned Director of Paris' contemporary art fair FIAC.www.creativeprocess.info

Podcast sur la Fiac 2018, photos à retrouver sur l'instagram in_themoodfor

Vous connaissiez Bulle d'Art ? Voici la BIG Bulle d'Art ! Tous les cinq numéros, on se retouve autour d'une table avec une dream team de chroniqueurs.ses. Pour cette première BIG Bulle d'Art, Alice, Julie, Laure et Julien causent foires d'art contemporain en compagnie de Romain Tichit, le directeur du YIA Art Fair et du Paris Contemporary Art Show.  Les bulles d'art de chacun :  Alice recommande l'exposition "On Air" de Tomas Saraceno au Palais de Tokyo Julie recommande la série "The Morgue" du photographe Andrés Serrano Julien recommande l'exposition "Revoltuion" de Simon Fujiwara à Lafayette Anticipations Laure recommande les îles japonaises de Naoshima & Teshima, et elle en a aussi parlé en vidéo sur sa chaîne YouTube : https://www.youtube.com/watch?v=BwhjifVI1sQ

VENDREDI 19.10.2018 ART & ARCHITECTURE : À L’OCCASION DE LA FIAC, RENCONTRE AVEC CLAIRE TABOURET ET PIERRE YOVANOVITCH ANIMÉE PAR MARION VIGNAL. L’architecte d’intérieur Pierre Yovanovitch a fait de l’art contemporain l’une des signatures de ses espaces. Il sollicite régulièrement des artistes de renom pour créer des œuvres in situ dans ses architectures. Il a ainsi passé commande à l’artiste Claire Tabouret d’une large fresque d’enfants recouvrant les murs de la chapelle du château de Fabrègues qu’il a restauré dans le sud de la France. Installée à Los Angeles, la trentenaire Claire Tabouret fait partie des talents actuels de l’art contemporain. Sa peinture figurative et engagée séduit les plus grands collectionneurs. Sa dernière exposition « I am crying because you are not crying », mettant en scène des scènes de lutte, s’est tenue à la galerie Almine Rech, à Paris. www.silencio-club.com SILENCIO on Apple Podcasts : https://apple.co/2KRPPeg SILENCIO on Spotify : https://spoti.fi/33ESzUO

Chaque semaine, Cadremploi appelle un expert pour répondre à une question de manager qui fait écho à une actualité. Cette semaine : l'ouverture de la FIAC donne des envies de travailler au milieu d'œuvres d'art. Une idée encouragée par Christine Cayol, fondatrice de Synthesis et de Yishu 8. Pour elle « Mettez des tableaux dans votre entreprise, ça vous sortira de vos tableaux Excel. Un tableau, c'est une fenêtre, ça permet de penser autrement. » Retrouvez la page de l'épisode Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

Chaque semaine, Cadremploi appelle un expert pour répondre à une question de manager qui fait écho à une actualité. Cette semaine : l’ouverture de la FIAC donne des envies de travailler au milieu d’œuvres d’art. Une idée encouragée par Christine Cayol, fondatrice de Synthesis et de Yishu 8. Pour elle « Mettez des tableaux dans votre entreprise, ça vous sortira de vos tableaux Excel. Un tableau, c’est une fenêtre, ça permet de penser autrement. »Retrouvez la page de l'épisode Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

Parti de rien, fils d'une femme de ménage et d'un peintre en bâtiment, le galeriste Kamel Mennour est arrivé en quelques années au sommet de l'art français. Il propose ses artistes à toutes les plus grosses fortunes de France et du monde, depuis ses galeries de Paris et de Londres. Kamel nous prouve qu'on peut arriver tout en haut d'un milieu extrêmement fermé sans piston, par la force de son travail, sa soif de connaissance, sa curiosité, sa pugnacité et son instinct. De Art Basel à Bâle, Miami ou Hong-Kong à la Fiac de Paris, avec Thaddaeus Ropac et Emmanuel Perrotin, c'est lui qui fait la loi sur le marché ultra prisé de l'art contemporain en France. Il dirige aujourd'hui la Galerie Kamel Mennour (http://www.kamelmennour.com/fr/), installée dans trois galeries à Paris et une galerie à Londres. Il représente d'immenses artistes comme Daniel Buren, Alberto Giacometti ou encore Anish Kapoor. Il nous explique comment il a joué des épaules dans un secteur qui ne l'attendait pas, comment il a trouvé ses premiers artistes par sa force de conviction, et comment chacun d'entre nous peut devenir, à son niveau, un expert de l'art contemporain. Vous pouvez le suivre sur : https://www.instagram.com/kamelmennour/ https://www.facebook.com/galeriekamelmennour/ https://twitter.com/kamelmennour (et n'oubliez pas de me suivre également!) www.linkedin.com/in/stefani/ https://www.instagram.com/mattintouch/ twitter.com/mattintouch www.facebook.com/matthieu.stefani

In this week's edition of the ArtTactic Podcast, Gareth Harris, chief contributing editor at The Art Newspaper and contributor to the Financial Times, recaps the French contemporary art fair FIAC and touches on how Brexit may impact the UK art market. First, Gareth outlines some of the major differences between FIAC, which occurred last week in Paris, and Frieze, which took place the preceding week in London. Also, Gareth observed that many American collectors were missing from this year's edition of FIAC and he speculates on why that was the case. Then, he summarizes how the fair did from a sales perspective. Additionally, Gareth identifies some of the major aspects of the UK art market that may be impacted by Brexit as well as if participants in the market are preparing in any way for the eventual exit from the EU.

Voilà la quatrième conférence de rédaction de Chablis Hebdo le journal qui pousse le bouchon toujours un peu plus loin !Au sommaire et en Vrac : fausses pubs, littérature, infos bidons, Fiac... pour plus de détails et de rires, écoutez l'émission.En compagnie de : Anne Claire Foutray, Patrick Cobain, Alain Duracelle, Yves Calva, Célestin Traquenard et Bernard de la Minaudière.

Você sempre quis saber quanto custa um Pablo Picasso, um Salvador Dalí ou um Andy Warhol? A resposta está na FIAC, a Feira Internacional de Arte Contemporânea, um dos maiores eventos mundiais para o mercado artístico, que abriu as portas nesta quinta-feira em Paris. Nos corredores do Grand Palais, artistas conceituados e jovens nomes estão lado a lado, em busca do olhar dos compradores. São 3,4 mil artistas de 175 galerias francesas e estrangeiras. Na galeria Natalie Seroussi, estão à venda obras dos principais ídolos do século 20. “A obra mais barata é o Raoul Ubac, a 20 mil euros, e a mais cara é um Soulages de 1966, que está por 1 milhão e 400 mil euros. Ou seja, tem bastante diferença”, explica Lisandre, um dos funcionários. “O preço depende da obra. As de arte contemporânea que estão na frente do stand são para grandes colecionadores, que procuram uma obra específica de um determinado artista, ou uma fotografia única que se encaixa na coleção dele.” Os valores podem ser bem mais acessíveis – tudo depende do quanto o artista é conhecido. Neste ano, quatro galerias brasileiras marcam presença, como a Raquel Arnaud, de São Paulo – uma habituée da feira parisiense. Espaço para a arte brasileira “Os nossos preços, comparados com o mercado europeu e americano, são modestos. Temos trabalhos de 3 mil euros até 400 mil euros. De uns 10 anos para cá, existe um olhar mais específico para a produção artística brasileira”, explica a gerente Yannick Carvalho. “Há colecionadores estrangeiros interessados na arte contemporânea brasileira, que vêm e compram. Acho que é uma questão de uma maior convivência e uma troca mais frequente, para ir se consolidando.” Carvalho observa que, em geral, os compradores da Fiac já são colecionadores e têm um olhar apurado para a arte. Ela destaca que o evento é uma excelente oportunidade para mostrar os artistas brasileiros. “Fora o Jesús Soto e o Carlos Cruz-Díez, que são venezuelanos, e o Wolfram Ullrich, alemão, que nós representamos, todos os demais são brasileiros. Temos Arthur-Luiz Piza, Waltércio Caldas, Célia Euvaldo, Cassio Michalany, Julio Vilani, Geórgia Kyriakakis, Sérgio Camargo, Sérvulo Esmeraldo. Em uma localização privilegiada da Fiac, a galerista Luisa Strina optou por trazer apenas um artista, o argentino Jorge Macchi. Instituições e museus europeus costumam ser bons clientes, segundo a paulista. “A competição aqui é muito grande, porque nós somos estrangeiros e aqui a maioria dos compradores são franceses ou suíços. Os preços variam: tenho aquarelas de 9 mil dólares até um trabalho que está por 80 mil dólares, feito com uma régua e fios de seda”, afirma. Visitantes “comuns” Nem só de clientes é feita a Fiac: a feira também recebe milhares de visitantes apenas interessados em conhecer novos artistas. É o caso da parisiense Claire Morel. “Acho que a arte não tem preço, em todos os sentidos. Um trabalho que custa 20 euros pode ser magnífico, mas um artista que vende barato não atrai clientes. Acho que começa a contar a partir de 500 euros”, avalia. A aposentada Michelle Laforêt nem se importa em saber quanto valem as obras: ela encara o evento como se estivesse em um museu. “Fico muito feliz em ver tantos artistas que eu gosto à venda. Vi Giacometti, Picasso, Calder e muitos outros. Mas não venho para comprar: não quero nem saber desse lado comercial, que não me interessa nem um pouco”, brinca. Jovens artistas No primeiro andar, outra galeria brasileira, a Mendes Wood DM, prefere não falar em preços. No stand, a diretora Maria Eugênia Abàtayguara mostra obras dos jovens paulistas Paloma Bosquê e Lucas Arruda e do inglês Michael Dean, que dialogam com o trabalho de Willys de Castro. “A galeria é jovem, tem cinco anos, e trabalha com artistas jovens. Por isso, nenhum dos trabalhos vai chegar a milhões”, ressalta. “Tentamos trabalhar com artistas que tenham uma faixa de preços flexível. O Willys de Castro, que é dos anos 1950, é o mais caro. Já a Paloma, de 30 anos, evidentemente é mais barata. Não costumamos liberar preços, mas com certeza pode ser acessível.” O importante, sublinha, é não ter medo de perguntar. A Fiac acaba neste domingo (25).  

En Pleines Formes, c'est la nouvelle émission de Radio Campus Paris, dédiée à la création contemporaine sous toutes ses formes. Un dimanche par mois, nous nous entretiendrons avec des artistes, des commissaires d'exposition, des historiens de l'art pour décortiquer les mécanismes de la création et vous proposer les meilleures expositions du moment. [caption id="attachment_22559" align="aligncenter" width="844"] © Arcadi / Biennale NEMO[/caption] Pour cette première, c'est Gilles Alvarez qui nous  fait l'honneur d'ouvrir le bal. Directeur artistique de la Biennale NEMO (biennale internationale des arts numériques), il vient nous présenter les temps forts de cette manifestation qui dure jusqu'à fin janvier 2016. Au programme, à Paris comme en Île-de-France : des concerts (très tournés vers l'électronique et l'acousmatique, avec notamment Ben Frost ou Jeff Mills), des conférences (par exemple Edgar Morin qui parlera de mémoire, le 20 novembre au théâtre de l'Agora), et bien sûr des expositions : dans des petites galeries comme la galerie Binôme (qui exposera les œuvres du photographe Thibault Brunet) et surtout l'exposition au Centquatre "Prosopopée, quand les objets prennent vie", à partir du 5 décembre. Le numérique : médium artistique, technique déjà obsolète, ou moyen plutôt qu'une fin? Gilles Alvarez nous explique tout. Toutes les infos pratiques et le programme détaillé sur http://biennalenemo.arcadi.fr [caption id="attachment_22560" align="aligncenter" width="1024"] © Imane Djamil, © Sometimes Studio[/caption] En deuxième partie d'émission, nous recevons Mélanie Péclat (animatrice de Résonances magnétiques), directrice de production à la galerie Sometimes Studio - accompagnée d'Imane Djamil, jeune photographe marocaine dont l'exposition "où s'harmonisent les pins, la frayeur et moi-même" débutera le 14 octobre. Imane Djamil parle ici de son rapport au territoire, et de la manière dont la photographie peut être la métaphore d'une blessure, autant celle du passé idiosyncrasique que celle du passé colonial. L'exposition d'Imane Djamil "où s'harmonisent les pins, la frayeur et moi-même" aura lieu du 14 octobre au 14 novembre au Sometimes Studio : 26 rue Saint-Claude, 75003. [caption id="attachment_22561" align="aligncenter" width="560"] © Béton Salon[/caption] Mais ce n'est pas tout! Outre les entretiens, En pleines formes, c'est aussi des chroniques! Lily Berthou nous dévoile l'agenda artistique du mois de septembre, tout en nuance, évoquant notamment l'exposition à Beaubourg de Gonzales-Foerster, de la FIAC ou encore de la prochaine exposition de la galerie 22,48m2, située dans le 20e arrondissement. Un programme varié! Jeanne Laurent nous a expliqué où en est  la « Loi Création » (loi Création Architecture et Patrimoine),  récemment votée par l'Assemblée Nationale et bientôt examinée par le Sénat, et de ses répercussions sur les métiers d’artistes, en particulier les droits d’auteurs avec les nouvelles technologies. Se mobilisent face à l'élaboration de cette loi, l'USOPAV (Union des syndicats et organisations professionnelles des arts visuels), et la FRAAP (Fédération des réseaux et associations des artistes plasticiens). Animation : Flore Di Sciullo Chrnoniques : Lily Berthou, Jeanne Laurent Réalisation : Baptiste Barboiron      

Organisée en collaboration avec la Fiac et la Société des amis du Musée national d'art Moderne - Centre Pompidou cette conversation s'interroge sur la mode : industrie ou art contemporain? de Jean Poiret à Jean-Charles de Castelbajac, en présence du créateur de mode et artiste : Jean-Charles de Castelbajac et de l'ancien président de la Fédération de la Haute Couture et de la Mode, Didier Grumbach. Les créations de Jean-Charles Castelbajac revêtent l'aspect ludique de l'enfance et du Pop Art, empruntant à ses rencontres d’avec les personnalités du monde de l'art et de la musique. A la fois, créateur, dessinateur, photographe et collectionneur, ils invitent dans ses créations mode, musique et art contemporain : Andy Warhol, les Sex Pistols, Takashi Kenzo, Robert Combas, Loulou Picasso, Ben, Annette Messager, Gérard Garouste, Hervé Di Rosa ou Miquel Barceló... Didier Grumbach intègre l'entreprise familiale de confection de manteaux C.Mendès dès 1954 et devient co-fondateur associé et co-gérant de Saint Laurent Rive Gauche dès 1966. Il devient ainsi un des acteurs principales de la production du prêt à porter des grandes marques de luxe. En 1971, il fonde la société "Créateurs & Industriels", une plateforme de rencontres entre créateurs et industriels permettant ainsi de maintenir Paris comme l'un des poles de la mode mondiale. Il accompagne Didier Grumbach dans la création de l'école IFM et préside de 1998 à 2014 la Fédération de la haute couture et de la mode. (En français) www.silencio-club.com SILENCIO on Apple Podcasts : apple.co/2KRPPeg SILENCIO on Spotify : spoti.fi/33ESzUO

Retour sur les transformations majeures du métier de marchand d’art, depuis les pères fondateurs jusqu’aux entrepreneurs actuels.

Ce mercredi 3 mars, Jennifer Flay, directrice de la Foire internationale d'art contemporain (FIAC), est revenue sur le dédoublement en ligne de la FIAC, dans l'émission Le Grand Journal de l'Éco présentée par Hedwige Chevrillon.Support this podcast at — https://redcircle.com/le-grand-journal-de-leco/donationsAdvertising Inquiries: https://redcircle.com/brandsPrivacy & Opt-Out: https://redcircle.com/privacy