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Host Meg Wolitzer presents stories of inspiration small and large. In these tales, writers investigate moments in which art inspires life, or life inspires art, especially in a visual medium. In Elizabeth Crane's “Blue Girl,” read by Valorie Curry, a young woman's secret life is given an unusual public forum. In Jai Chakrabarti's “Lessons with Father,” commissioned for our Small Odysseys anthology, a middle-aged child tries to connect with her late father through brushstrokes. The reader is Purva Bedi. And in William Boyd's “Varengeville,” read by Dan Stevens, a young man strays from his famous family as he discovers himself on canvas.
durée : 00:04:08 - La main verte - par : Alain Baraton - Varengeville-sur-Mer, c'est un village paisible de Seine-Maritime qui, une fois l'an, célèbre les plantes bien sûr mais aussi et surtout les jardins et le paysage. Aujourd'hui et demain, il est proposé ouvert aux visites..
Les manifestations d'agriculteurs se succèdent en France depuis plusieurs semaines. Malgré les mesures annoncées par le gouvernement, la colère est toujours présente. Voici deux réalités différentes : celle d'un agriculteur qui exerce depuis près de 30 ans dans le Nord, et celle d'une agricultrice fraîchement installée en Normandie. Qu'ont-ils à nous dire sur ce soulèvement agricole ? Avec : - Thierry Baillet, agriculteur à Loos-en-Gohelle (62), fondateur de la plateforme Agriculteur d'Aujourd'hui, cultures et maraîchage de plein champs, en conventionnel et en bio- Nathalie Aiken, agricultrice à Saint-Pierre-de-Varengeville (76), fondatrice des Jardins de Simone, une ferme maraîchère bio
durée : 00:04:31 - La main verte - par : Alain Baraton - Varengeville-sur-Mer est un village modeste de moins de 1000 habitants où l'on célèbre, les 28 et 29 octobre, "Les Botaniques" : la traditionnelle fête des plantes avec des horticulteurs venus présenter des végétaux de collection, des expositions et des rencontres.
Host Meg Wolitzer presents stories of inspirations small and large. In these tales, writers investigate moments in which art inspires life, or life inspires art, especially in a visual medium. In Elizabeth Crane's “Blue Girl,” read by Valorie Curry, a young woman's secret life is given an unusual public forum. In Jai Chakrabarti's “Lessons with Father,” commissioned for our Small Odysseys anthology, a middle-aged child tries to connect with her late father through brushstrokes. The reader is Purva Bedi. And in William Boyd's “Varengeville” read by Dan Stevens, a young man strays from his famous family as he discovers himself on canvas.
durée : 00:36:49 - On cuisine ensemble France Bleu Normandie (Rouen) - Brandade de lieu .
“Roches, Littoral de la Manche”photographies d'Aurore Bagarryaux Editions Gwinzegaléditions GwinzegalAurore BagarryPODCAST – Interview de Aurore Bagarry,par Anne-Frédérique Fer, enregistrement réalisé par téléphone, entre Saint-Brieuc et Paris, le 19 janvier 2021, durée 18'24. © FranceFineArt.(photo : © Guillaume Cosson)Couverture Roches, Littoral de la Manchede Aurore Bagarry aux éditions Gwinzegal. © Aurore Bagarry. © éditions Gwinzegal, décembre 2020Aurore Bagarry,série Roches, Littoral de la Manche.Hoe Point, Praa Sands, Cornwall. Formation des ardoises de Mylor d'âge dévonien (Famennien) avec des veines de quartz plissées au‑dessus du contact avec le granite intrusif. © Aurore Bagarry.Aurore Bagarry,série Roches, Littoral de la Manche.Mattiscombe Sands, Start Point, Devon. Elément d'anciennes argiles du Dévonien métamorphisées en micaschistes. © Aurore Bagarry.Extrait du communiqué de presseRoches, Littoral de la Manche : Recueil de photographies de roches parsemant les paysages des littoraux de la Manche, dans le Hampshire, le Dorset, le Sussex, les Cornouailles, le Devon, le Finistère, les Côtes d'Armor, la Manche, le Calvados, le Pas-de-Calais ou encore la Seine-Maritime.Avec les textes du philosophe Gilles A. Tiberghien, des géologues Patrick De Wever (Muséum National d'Histoire Naturelle) et Marc Fournier (Sorbonne Université). Conception graphique : Marine Le Thellec, français/anglais, 100 pages, 21×26 cm, Editions Gwinzegal, décembre 2020.Ces Blocs de temps figé (extraits) – Gilles A. TiberghienEn allant, du côté français, de Calais à Brest et en passant par Varengeville, la pointe du Hoc, le cap Levi dans le Cotentin et nombre de bourgades du Finistère et des Côtes-d'Armor, Aurore Bagarry a photographié un paysage « à bout portant », pour employer une expression que peut justifier la notion de tir photographique, mais qui dit bien la sensation de brutale mise en présence ressentie lorsque l'on regarde ces images. En Angleterre, sur l'autre rive de la Manche, de la même façon, l'artiste a symétriquement parcouru la côte vers l'ouest en partant d'Eastbourne jusqu'au cap Lizard en Cornouailles, pour, parvenue à l'extrémité de la péninsule, revenir vers Maer Cliff près de Bude, au nord-ouest du Dartmoor National Park, face au pays de Galles.Ce que l'on voit ici est d'une nature indéterminée et tient aussi bien du relevé topographique que de la photographie de paysage. Très peu de ciel, voire pas du tout dans ces images qu'il est quasi impossible de situer si l'on n'a pas repéré sur une carte l'endroit où elles ont été prises. Que l'on soit en France ou de l'autre côté de la Manche, rien ne permet de le comprendre vraiment.La côte semble une gigantesque palette sur laquelle la mer a essayé ses couleurs : les mauves se marient aux jaunes et aux verts de chlorophylle et de boue mêlées, les ocres lépreux bourgeonnent de buissons nains, les gris entaillés de dépressions bleuâtres semblent s'incliner sous la poussée des vents, les grès sombres veinés de rose se découpent sur le ciel gris, les falaises dressent le profil crénelé de leurs murailles blanches décapées par le sel, leurs tourelles coiffées de gazon ras, parfois maculées de lichen sombre, ou striées de bandes verticales dessinées par les eaux de ruissellement.Gilles A. Tiberghien Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Rencontre avec une femme de cœur, une femme touchée par la grâce de l’émerveillement. Charlotte Jousseaume est écrivain et anime des ateliers d'écriture. Elle désire transmettre le fait que la vie humaine et spirituelle s’incarne dans la chair et qu’à trop vouloir tout "mentaliser" on en oublie le corps. Dans son livre, "Et le miroir brûla - Portrait conté de Marguerite Porete" (éd. Cerf) elle met ses mots dans ceux de la mystique. Une femme qui aura su incarner cette union étroite du corps, de l'âme et de l'esprit. Une spiritualité profondément féminine. Si "on parle depuis plusieurs années du féminin de l'être", si "les hommes prennent conscience de leur féminité", "on parle moins des femmes qui redécouvrent en elles cette puissance du féminin et du maternel" L'Itinéraire spirituel de Charlotte Jousseaume "Par trois fois, Dieu a frappé à ma porte." À l'âge de huit ans, Charlotte Jousseaume a "compris qu'il n'y avait pas qu'un seul Dieu", mais "plusieurs traditions spirituelles". Alors qu'elle se tenait devant l'église de Varengeville-sur-Mer, elle a entendu une femme dire qu'elle était juive et qu'elle n'entrerait pas dans cette église par respect pour les siens. "Dans le geste de cette femme il y avait un profond respect et quelque chose d'un Dieu qui se révélait à moi sous le visage d'une multitude de chemins, de visages et de prières." Plus tard, lors de sa profession de foi, "faite en toute vérité et en grande profondeur", Charlotte Jousseaume, qui a grandi "dans une famille où on ne parlait pas de Dieu", a "dit au Christ : vu l'histoire de ma famille, je suis éloignée de toi mais un jour je reviendrai vers toi". Ce qui a effectivemment eu lieu quelque années plus tard, alors qu'elle était âgée d'une vingtaine d'années, diplômée de Sciences Po et habitée par le désir de devenir écrivain. "J'ai compris que ce que je recherchais dans l'écriture était partagé par les chercheurs de Dieu." L'appel à entrer dans une église et à assister à la messe s'est fait de plus en plus pressant. Un jour elle est entrée dans l'église Saint-Gervais à Paris. "Je ne sais pas ce qui m'a guidée dans cette église plutôt qu'une autre, j'étais libre d'entrer et de sortir, de me laisser réapprivoiser par le Christ." Une expérience mystique à 18 ans Quand elle avait 18 ans, Charlotte Jousseaume a failli mourir. Victime d'un empoisonnement médicamenteux, elle est chez une amie quand elle est prise de tremblements. "Elle m'a prise dans ses bras, j'ai senti la paix qui était dans son cœur et une très très grande paix m'envahir." Ce fut une nuit de grande souffrance mais aussi une expérience mystique forte. "Je savais que j'allais mourir, je l'avais compris, mais je n'avais pas peur parce que je savais que j'étais en vie, j'avais découvert à l'intérieur de moi-même, au-delà de moi-même et au-delà de la souffrance qui s'était emparée de mon cœur, un espace d'où jaillissait un immense amour." Sans la nommer alors, Charlotte Jousseaume a découvert "une source d'amour" et compris qu'elle était "aimée". Rencontre avec Marguerite Porete Après plusieurs ouvrages - "Quatuor mystique" (2017) ou "Le silence est ma joie" (éd. Albin Michel, 2010) - Charlotte Jousseaume consacre un "portrait conté" à Marguerite Porete. Femme mystique brûlée vive en place de Grève le 1er juin 1310, qui "a vécu ce que nous appelons aujourd'hui le lâcher-prise et l'intelligence du cœur". Sa spiritualité est celle de "l'entendement d'amour", qu'elle distingue de "l'entendement de raison" : avec Marguerite Porete, "il ne s'agit pas d'être dans un 'il faut être vertueux' mais de s'abandonner à l'amour". Et, en aimant, devenir vertueux. Une spiritualité profondément féminine. On est à une époque où on questionne et on redécouvre le sens du masculin et du féminin. Pour Charlotte Jousseaume, si "on parle depuis plusieurs années du féminin de l'être", si "les hommes prennent conscience de leur féminité", "on parle moins des femmes qui redécouvrent en elles cette puissance du féminin et du maternel". Marguerite Porete, cette femme profondément libre, nous donne l'exemple d'une union étroite entre le corps, l'âme, l'esprit. Émission d'archive diffusée en 2018
Retour du Vaste Monde, rencontres avec Laure Delamotte-Legrand11h15 : Rencontre "Les artistes et la céramique"http://www.muma-lehavre.fr/fr/agenda/les-artistes-et-la-ceramique-rencontre?expo=166315h : Visite-rencontre avec un artistehttp://www.muma-lehavre.fr/fr/agenda/visite-rencontre-avec-un-artiste?expo=166317h : Visite commentée des collections permanentes et de l'exposition http://www.muma-lehavre.fr/fr/agenda/visite-commentee-collections-exposition?expo=1663Laure Delamotte-Legrand & la Bande des HavraisLe projet de résidence En 2012, Laure Delamotte-Legrand entame le projet utopique de mouler la plage normande de Vasterival à Varengeville-sur-Mer. L’invitation à rejoindre La Bande des Havrais a été l’occasion de réenclencher le projet.Sa résidence s’effectue en deux temps : à Limoges pour réaliser en porcelaine le tirage d’un des moulages de rochers effectué sur la plage ; et dans le nord, en suivant la dérive des galets, jusqu’à Delft aux Pays-Bas, à la rencontre de la célèbre manufacture de faïence « Royal Delft ».L’oeuvre présentée au MuMa : Vasterival L’œuvre de Laure Delamotte-Legrand, Vasterival, rassemble de multiples éléments, des photos de vues aériennes de la plage de Vasterival, montrant de façon incontestable le déplacement des rochers de la plage sans intervention humaine. Des vidéos racontent le processus et l’implication des habitants pour choisir et réaliser des moulages de leur roche préférée. Plusieurs de ces moulages sont présentés face à trois variantes de points de vue de la plage de Varengeville-sur-mer, peints par Jean-Francis Auburtin au début du siècle dernier.Une grande porcelaine, au format d’un des rochers est au cœur du dispositif. Elle a été réalisée à Limoges en partenariat avec le Centre de Recherche sur les Arts du Feu et de la Terre (CRAFT). Un film témoigne du parcours de l’artiste en résidence, à Limoges et à Delft à la Manufacture Royale, mais aussi des gestes, des histoires de porcelaine et du pays de la faïence bleue dans le nord, cette même direction vers laquelle migrent cailloux et rochers.Photo : © Simon Saint-Jal
Auf der Suche nach geeigneten Motiven sah sich Claude Monet im Winter 1882 in der Normandie um. In den kalten Monaten Februar und März arbeitete er in Varengeville und malte Ansichten der Küste.
During his search for appropriate motifs Claude Monet moved to Normandy in the winter of 1882.
In den 1920er Jahren war der Impressionismus bereits Geschichte. Nur der greise Claude Monet arbeitete noch immer in dieser Stilrichtung.
In the 1920s Impressionism had already become a thing of the past. It was only the old man Claude Monet who still worked in this style.