Podcasts about agriculteurs

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Latest podcast episodes about agriculteurs

Le sept neuf
Annie Genevard : "Les agriculteurs se sentent remis en cause en permanence"

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Nov 20, 2025 22:44


durée : 00:22:44 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Benjamin Duhamel, Florence Paracuellos - Annie Genevard, ministre de l'Agriculture, de l'Agro-alimentaire et de la Souveraineté alimentaire. Elle assume de ne pas vouloir "être la ministre qui oppose les modes de production", en défendant y compris l'agriculture productiviste. - invités : Annie Genevard - Annie Genevard : Femme politique française Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Bientôt chez vous
Gaz à effet de serre : en Corée du Sud, des agriculteurs défient le principal fournisseur d'électricité du pays, au nom du climat

Bientôt chez vous

Play Episode Listen Later Nov 17, 2025 2:23


durée : 00:02:23 - Bientôt chez vous - Un groupe d'agriculteurs sud-coréen a décidé de poursuivre en justice le principal fournisseur d'électricité du pays, Kepco, l'accusant d'avoir contribué au réchauffement climatique et ainsi ruiné leurs récoltes. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Le téléphone sonne
Le traité du Mercosur, le bras de fer des agriculteurs français

Le téléphone sonne

Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 37:09


durée : 00:37:09 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - La semaine dernière, Emmanuel Macron s'est montré “plutôt positif” sur le traité du Mercosur même s'il a entendu défendre les “intérêts de la France”. Cette sortie a été mal perçue par les agriculteurs qui ont montré leur mécontentement Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

C dans l'air
Olivia Détroyat - Mercosur: pourquoi les agriculteurs s'alarment

C dans l'air

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 11:13


C dans l'air l'invitée du 12 novembre 2025 avec Olivia Détroyat, journaliste spécialiste des questions économiques et agricoles au Figaro.Environ 250 agriculteurs sont venus aujourd'hui avec une cinquantaine d'engins agricoles, et se sont rassemblés à Toulouse pour demander des clarifications à Emmanuel Macron sur le traité de libre-échange avec le Mercosur. À l'appel de la FNSEA et des Jeunes agriculteurs notamment, les manifestants, principalement venus de Haute-Garonne et du Tarn-et-Garonne, se sont réunis dans le but de rencontrer le président de la République, en déplacement dans la ville rose."Sur le Mercosur, on attend une réponse claire, c'est un oui, c'est un non, il faut qu'il clarifie sa position", a déclaré Jean-Marie Dirat, président de la Fédération régionale des syndicats d'exploitants agricoles (FRSEA). Selon M. Dirat, le président s'était engagé "droit dans les yeux", il y a deux mois lors d'une visite en Aveyron à tout faire pour que ce traité ne se mette pas en place alors que désormais, déplore-t-il, "il nous dit qu'il est plutôt positif (à l'idée) de signer: en agriculture, quand on se tape dans la main, on n'a qu'une parole, aujourd'hui que vaut la parole présidentielle?"La phrase qui a mis le feu aux poudres a été prononcée par le président de la République le 6 novembre dernier. Sur l'accord de libre échange entre l'UE et le Mercosur, il s'est en effet montré "plutôt positif" sur une possible adoption du traité. Une déclaration qui a provoqué la colère des syndicats agricoles, dont certains ont parlé de "trahison".Olivia Détroyat, journaliste, spécialiste des questions économiques et agricoles au Figaro, est notre invitée. Elle nous expliquera les raisons de la colère du monde agricole concernant l'accord entre l'UE et le Mercosur, ainsi que les garanties envisagées pour protéger l'agriculture européenne. Elle reviendra aussi avec nous sur les relations entre Emmanuel Macron et les agriculteurs, et sur sa capacité à faire peser les intérêts français au niveau européen, alors-même que cet accord ouvrirait un marché de 260 millions de consommateurs aux entreprises européennes.

Les Grandes Gueules
"On s'en fout, on s'en fout pas" : Mercosur, Macron tente de rassurer les agriculteurs - 13/11

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 10:44


Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Mercosur, Macron tente de rassurer les agriculteurs Attaque sexiste, le coup de gueule de Yaël Braun-Pivet Cinémathèque de Paris, invasion de punaises de lit

Les Grandes Gueules
L'abus du jour - François Ruffin : Il y a une schizophrénie à l'égard des agriculteurs. On leur dit, 'soyez compétitifs' et de l'autre côté, 'assurez notre souveraineté'. Il faut fixer un cap, on ne peut pas avoi

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 1:22


Aujourd'hui, Zohra Bitan, cadre de la fonction publique, Didier Giraud, agriculteur en Saône-et-Loire, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

L'info en intégrale - Europe 1
Mercosur : «Le président de la République doit respecter les agriculteurs et protéger leurs intérêts», souligne Hervé Lapie

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 8:08


Invité : Hervé Lapie, secrétaire général de la FNSEA (Fédération Nationale des Syndicats d'Exploitants Agricoles) Jacques Serais remplace Alexandre Le Mer ce mercredi 12 novembre 2025. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'info en intégrale - Europe 1
Le journal de 8h30 du 12/11/2025

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 1:10


Chaque jour, retrouvez le journal de 8h30 de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'info en intégrale - Europe 1
Le journal de 10h du 12/11/2025

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 2:43


Chaque jour, retrouvez le journal de 10h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'info en intégrale - Europe 1
Le journal de 10h30 du 12/11/2025

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 2:19


Chaque jour, retrouvez le journal de 10h30 de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'info en intégrale - Europe 1
Le journal de 13h du 12/11/2025

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 13:48


Dans cette édition :Emmanuel Macron rencontre les agriculteurs à Toulouse pour discuter des accords du Mercosur, qui suscitent leur colère.Les députés s'apprêtent à voter la suspension de la réforme des retraites, une décision qui aura un coût important pour les finances publiques.À l'occasion du 10e anniversaire des attentats du 13 novembre 2015, des témoignages de personnes qui ont choisi de s'engager dans l'armée française après ces événements.Inquiétude autour de l'avenir de l'aciériste Novasco, en grande difficulté et dont le sort sera décidé par le tribunal de Strasbourg.Bonne nouvelle pour les marchés financiers, avec une nouvelle hausse à la Bourse de Paris et des records battus à Wall Street.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Ça peut vous arriver
À VENIR - Des agriculteurs et du pavot au programme du jeudi 13 novembre 2025

Ça peut vous arriver

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 1:18


Chaque soir dans un podcast inédit, un ou une membre de l'équipe vous dévoile l'un des cas les plus attendus de l'émission du lendemain ! Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Focus
Mercosur : comment Emmanuel Macron a ravivé la colère des agriculteurs

Focus

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 8:44


Les agriculteurs ont convergé vers Toulouse ce mercredi 12 novembre, à l'occasion de la visite d'Emmanuel Macron. Ulcérés après ses propos sur l'accord commercial avec le Mercosur : le président de la République s'était dit "plutôt positif" mais "vigilant" sur la possibilité d'accepter ce deal... avant de rétropédaler. Dans cet épisode du Choix info RTL, nous revenons sur la colère du monde paysan.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal - Europe 1
Le journal de 8h30 du 12/11/2025

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 1:10


Chaque jour, retrouvez le journal de 8h30 de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal - Europe 1
Le journal de 10h du 12/11/2025

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 2:43


Chaque jour, retrouvez le journal de 10h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal - Europe 1
Le journal de 10h30 du 12/11/2025

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 2:19


Chaque jour, retrouvez le journal de 10h30 de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal - Europe 1
Le journal de 13h du 12/11/2025

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 13:48


Dans cette édition :Emmanuel Macron rencontre les agriculteurs à Toulouse pour discuter des accords du Mercosur, qui suscitent leur colère.Les députés s'apprêtent à voter la suspension de la réforme des retraites, une décision qui aura un coût important pour les finances publiques.À l'occasion du 10e anniversaire des attentats du 13 novembre 2015, des témoignages de personnes qui ont choisi de s'engager dans l'armée française après ces événements.Inquiétude autour de l'avenir de l'aciériste Novasco, en grande difficulté et dont le sort sera décidé par le tribunal de Strasbourg.Bonne nouvelle pour les marchés financiers, avec une nouvelle hausse à la Bourse de Paris et des records battus à Wall Street.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

RTL Midi
Mercosur : "Oui, les agriculteurs ont des raisons de s'inquiéter", assure Marine Colli, spécialiste des politiques agricoles et des politiques de libre échange

RTL Midi

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 4:26


Les agriculteurs ont commencé mercredi matin à converger avec des tracteurs vers Toulouse, à l'occasion de la visite d'Emmanuel Macron, qui, selon eux, les recevra à la mi-journée après ses propos sur l'accord commercial avec le Mercosur. Tous ont très mal pris les mots du Président depuis le Brésil la semaine dernière. Ils dénoncent une trahison. Écoutez les explications de Marine Colli, spécialiste des politiques agricoles et des politiques de libre échange. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Grand reportage
«Le supplément du dimanche» du 9 novembre 2025

Grand reportage

Play Episode Listen Later Nov 9, 2025 48:30


En première partie, le changement climatique. Dix ans après la COP de Paris et ses fondamentaux pour changer les choses, c'est à Belèm au Brésil que s'ouvre demain la grande conférence climat. Au coeur des préoccupations, notamment, la forêt. Et la plus vaste, l'Amazonie. Un des 4 reportages que nous lui consacrons porte sur l'archéologie. En cherchant bien, on voit dans cet imbroglio impénétrable de plantes géantes et humides qu'il était pénétré et cultivé il y a des millénaires. Les communautés indigènes avaient des pratiques durables. Leurs terres sont les mieux conservées. ... Le second reportage de notre émission nous emmène au Maroc, pays de culture et d'exportation illégale massive vers l'Europe de cannabis. Par go-fast sur les routes, par camionnettes entières, par bateau, le Maroc approvisionne le Nord. Mais au Maroc, tout en gardant la plante, une alternative est née pour tirer du cannabis des produits normaux, légaux. Amazonie 2/4: une forêt jardinée depuis des millénaires Deuxième épisode de notre série exceptionnelle de Grands Reportages en Amazonie à l'occasion de la COP30 sur le climat au Brésil : nous partons à la rencontre des archéologues brésiliens. Par leur travail, ils nous montrent que l'Amazonie n'est pas une forêt vierge, que les populations autochtones auraient gardée sous cloche. Elle est, au contraire, cultivée depuis des milliers d'années.  Quelles sont ces pratiques durables des communautés indigènes ? Pourquoi leurs terres sont les mieux conservées de cette immensité verte ?  Un Grand reportage de Lucile Gimberg qui s'entretient avec Jacques Allix.   Au royaume du cannabis, la révolution du chanvre légal Le Maroc est réputé à travers le monde entier pour la qualité de sa résine de cannabis. C'est le plus gros producteur de la planète. Problème, jusque-là, seuls les narcotrafiquants en profitaient réellement, exploitant un terroir unique dans le nord du pays. À flanc de montagnes, dans le Rif, les champs de marijuana s'étendent à perte de vue. Il y a quelques années, l'idée a germé dans l'esprit des autorités : extirper cette économie de l'illicite et de l'informel, pour en faire une culture légale. Agriculteurs, coopératives de transformation, exportateurs, une nouvelle filière se déploie. Un Grand reportage de Matthias Raynal qui s'entretient avec Jacques Allix.

Grand reportage
Au royaume du cannabis, la révolution du chanvre légal

Grand reportage

Play Episode Listen Later Nov 4, 2025 19:30


Le Maroc est réputé à travers le monde entier pour la qualité de sa résine de cannabis. C'est le plus gros producteur de la planète. Problème, jusque-là, seuls les narcotrafiquants en profitaient réellement, exploitant un terroir unique dans le nord du pays. À flanc de montagnes, dans le Rif, les champs de marijuana s'étendent à perte de vue. Il y a quelques années, l'idée a germé dans l'esprit des autorités : extirper cette économie de l'illicite et de l'informel, pour en faire une culture légale. Agriculteurs, coopératives de transformation, exportateurs, une nouvelle filière se déploie. «Au royaume du cannabis, la révolution du chanvre légal», un Grand reportage de Matthias Raynal. 

Journal France Bleu Périgord
Des agriculteurs de la CR bloquent des bovins étrangers en transit en France

Journal France Bleu Périgord

Play Episode Listen Later Oct 31, 2025 2:03


durée : 00:02:03 - L'info d'ici, ici Périgord Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

RTV FM PODCAST
Podcast – Monteux : La Maison des agriculteurs inaugure son magasin le 7 novembre à Monteux

RTV FM PODCAST

Play Episode Listen Later Oct 31, 2025


RTV FM a interviewé Nicolas MONTAGARD, président de la toute nouvelle Maison des agriculteurs de Vaucluse, pour discuter des enjeux, des objectifs et des projets de cette structure inédite, située dans la zone commerciale Horizon Provence, quartier de Beaulieu à Monteux. La principale motivation derrière la création de la Maison [...]

Journal France Bleu Périgord
Les agriculteurs de la Coordination Rurale déversent du fumier et des pneus en Dordogne

Journal France Bleu Périgord

Play Episode Listen Later Oct 29, 2025 1:55


durée : 00:01:55 - L'info d'ici, ici Périgord Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Les matins
À nos chers agriculteurs

Les matins

Play Episode Listen Later Oct 28, 2025 2:23


durée : 00:02:23 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Astrid de Villaines - Astrid de Villaines rend ce matin hommage aux agriculteurs français trop souvent oubliés dans le débat public. Les différentes crises qu'elles soient politiques, économiques ou écologiques provoquent l'inquiétude au sein de cette profession, déjà en proie à des difficultés. - réalisation : Félicie Faugère

Ça se passe en Val de Loire
Agriculteurs en colère

Ça se passe en Val de Loire

Play Episode Listen Later Oct 28, 2025 1:45


Echangeur A10 A71 bloqué à hauteur d'Orléans

Les petits matins
À nos chers agriculteurs

Les petits matins

Play Episode Listen Later Oct 28, 2025 2:23


durée : 00:02:23 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Astrid de Villaines - Astrid de Villaines rend ce matin hommage aux agriculteurs français trop souvent oubliés dans le débat public. Les différentes crises qu'elles soient politiques, économiques ou écologiques provoquent l'inquiétude au sein de cette profession, déjà en proie à des difficultés. - réalisation : Félicie Faugère

Le 13/14
Antoine Dain, chercheur, sur les nouveaux agriculteurs

Le 13/14

Play Episode Listen Later Oct 27, 2025 16:28


durée : 00:16:28 - L'invité du 13/14 - Dans 10 ans la moitié des agriculteurs français auront l'âge de prendre leurs retraites et les repreneurs ont bien changé de profil. Nous en parlons avec Antoine Dain, chercheur à l'ESA, l'école supérieure des agricultures. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Le 13/14
Les nouveaux agriculteurs, avec le chercheur Antoine Dain

Le 13/14

Play Episode Listen Later Oct 27, 2025 58:51


durée : 00:58:51 - Le 13/14 - par : Bruno Duvic - Dans 10 ans la moitié des agriculteurs français auront l'âge de prendre leurs retraites et les repreneurs ont bien changé de profil. Nous en parlons avec Antoine Dain, chercheur à l'ESA, l'école supérieure des agricultures. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Les Grandes Gueules
Le best of de la semaine des GG: la nouvelle norme européenne qui rend fou les agriculteurs

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Oct 25, 2025 9:09


Les invités France Bleu Sud Lorraine
Les agriculteurs de l'Amour est dans le Pré se donnent rdv ce week-end à Domptail dans les Vosges

Les invités France Bleu Sud Lorraine

Play Episode Listen Later Oct 22, 2025 4:00


durée : 00:04:00 - L'événement ici Lorraine Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Chronique des Matières Premières
Le paradoxe du lait en Afrique: un continent dépendant malgré son cheptel

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Oct 21, 2025 1:53


C'est un produit essentiel et qui dit beaucoup des difficultés auxquelles font face les éleveurs africains : le lait. Il y a quelques jours, la Fondation pour l'agriculture et la ruralité dans le monde (Farm), l'Organisation panafricaine des agriculteurs (Pafo) et une association d'agriculteurs français (Agriculteurs français et développement international) ont publié pour la première fois un baromètre de la filière sur le continent. C'est un paradoxe qui tient en trois chiffres. L'Afrique représente 1,5 milliard de consommateurs, 20% du cheptel bovin, et seulement 5% de la production mondiale de lait. Dans leur rapport, la Fondation pour l'agriculture et la ruralité dans le monde (Farm), l'Organisation panafricaine des agriculteurs (Pafo) et l'Afdi (Agriculteurs français et développement international) estiment que « malgré une demande croissante, la production locale de lait peine à suivre ». Pourtant, il est difficile de parler d'un marché africain, puisqu'il y a de fortes disparités sur le continent. L'Afrique de l'Est fait office de locomotive, avec plus de la moitié de la production, quand l'Afrique du Nord, elle, en représente le tiers. L'Afrique centrale, elle, est loin derrière, avec seulement 2%.  L'autosuffisance est encore loin Autre paradoxe, le déficit commercial atteint des sommets. En 2023, l'Afrique a importé pour plus de 7 milliards de dollars de lait, contre un peu plus d'un milliard de dollars d'exportations. Ainsi, les pays du continent comptent sur un certain nombre de pays pour leur consommation, au premier rang desquels la Nouvelle-Zélande, suivie des Pays-Bas et de la France.  Si les pays africains importent autant, c'est qu'ils sont loin de l'autosuffisance. La RDC par exemple ne produit que 2% du lait qu'elle consomme. Mais là aussi, difficile de faire des généralités, puisque certains pays sont autosuffisants. C'est le cas par exemple de l'Éthiopie, du Burundi, du Kenya. Certains vont même plus loin, comme l'Ouganda, qui est le seul pays africain à produire plus de lait qu'il ne consomme.  À lire aussiLe Sénégal importe plus d'un millier de bovins pour aller vers une autosuffisance laitière Impact du réchauffement climatique Comment expliquer cette dépendance aux importations et les difficultés de production ? Pour Matthieu Brun, directeur scientifique de la Fondation pour l'agriculture et la ruralité dans le monde (Farm), « ce qui fait vraiment défaut aujourd'hui, c'est le taux de lait qui est collecté ». D'après lui, pour améliorer la collecte, il faut plus d'investissements publics et privés en matière de logistique : organisation de producteurs, outils de stockage, chaîne du froid...  Autre défi auquel la filière fait face : le réchauffement climatique, qui frappe les éleveurs de plein fouet. Entre 2020 et 2023, la sécheresse au Kenya a entraîné la mort de 2,6 millions d'animaux d'élevages. Pour Matthieu Brun, le changement du climat a des conséquences directes, d'abord sur les vaches elles-mêmes, « qui produisent beaucoup moins passé une certaine température ». Face à la dégradation des pâturages et de l'accès à l'eau et à l'alimentation, les éleveurs et les éleveuses « sont souvent obligés de vendre leur bétail » pour s'adapter.  À lire aussiLe lait africain à l'épreuve de la chaîne du froid, pour augmenter la production

Reportage Afrique
À Rennes, des migrants sans-papiers cultivent la solidarité

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Oct 18, 2025 2:24


Ils sont une dizaine de demandeurs d'asile regroupés au sein du collectif des Agriculteurs migrants de Rennes. Ils se sont rencontrés dans les centres de distributions alimentaires et dans des hébergements de fortune avant de se retrouver autour d'un projet agricole commun à Melesse à une quinzaine de kilomètres de Rennes dans le nord-ouest de la France. Une habitante leur a prêté un hectare de parcelle pour leur projet. Ces migrants originaires d'Afrique subsaharienne, notamment de la Côte d'Ivoire et du Cameroun, cultivent des fruits et des légumes qu'ils donnent à des associations comme les Restos du Cœur et le Secours populaire. De notre envoyée spéciale de retour de Rennes, Eddy-Valère Djonang Ngandjeu, originaire du Cameroun, est sans-papiers et n'a pas le droit de travailler. Pour s'occuper et ayant des connaissances dans l'agriculture, il a créé le collectif des Agriculteurs migrants de Rennes et lancé un projet avec d'autres personnes dans la même situation que lui. Ce matin, ils récoltent des poireaux, des poivrons et des potirons. Des légumes qui seront distribués aux bénéficiaires d'associations aidant les personnes en situation de précarité. « Lorsqu'on partait chercher à manger aux Restos du Cœur, on voyait que les Restos du Cœur et le Secours populaire partaient prendre les invendus dans les marchés pour nous les donner, se souvient Eddy-Valère Djonang Ngandjeu. On s'est demandés si on ne pouvait pas également travailler pour accompagner ces établissements alimentaires. Donc, voilà comment on s'est lancé. » Le collectif des Agriculteurs migrants de Rennes a donné gratuitement près d'une tonne de légumes au Secours populaire. Malgré le succès de cet essai, Eddy a parfois du mal à convaincre d'autres demandeurs d'asile de se joindre à eux : « Il y en a certains qui, en venant ici, pensaient que la France était un eldorado où tout se donne, où tout se ramasse. Ils ne cessent de nous dire qu'on ne peut pas laisser la terre pour venir la travailler ici. Mais si tout le monde faisaient comme eux, qui travaillerait la terre pour que les autres mangent ? » « Je veux continuer, c'est mon projet » Kassiri Gbeuli Ellogne travaille avec Eddy. Il souhaite continuer dans l'agriculture : « En Côte d'Ivoire, j'étais planteur, éleveur. Je n'ai pas changé, je veux continuer parce que je sais ce que la terre produit. Donc, j'ai eu de la chance d'avoir de la terre ici. Je veux continuer, c'est mon projet. » Pour que ce projet puisse être une réalité, le collectif Campagnes ouvertes et solidaires avait lancé un appel à la solidarité qui a fait effet selon Maxime, membre de ce mouvement citoyen : « Dans notre collectif, beaucoup sont à la Confédération paysanne, syndicat agricole. On a donc relayé le message. C'est comme ça qu'un paysan a répondu qu'il était prêt à prêter des terres à leur collectif. On a récolté du matériel dans une ferme pas très loin et on leur a amené. Et puis après, le bouche-à-oreille a fait qu'ils ont reçu des trucs au fur et à mesure. » Eddy Valère et ses camarades ont ouvert une cagnotte pour leur permettre de poursuivre ce projet agricole. À écouter aussiÀ la rencontre des agriculteurs migrants de Rennes

Tout un monde - La 1ere
Les agriculteurs de l'Arkansas, fidèles à Trump coûte que coûte

Tout un monde - La 1ere

Play Episode Listen Later Sep 29, 2025 20:23


(00:00:35) Les agriculteurs de l'Arkansas, fidèles à Trump coûte que coûte (00:08:10) Les élèves suédois à l'école de la crise (00:12:55) Comment les jeunes Rwandais tentent de réinventer l'après-génocide: interview de Dominique Célis

L'info en intégrale - Europe 1
EXTRAIT - Colère des agriculteurs : un milliers d'actions menées dans toute la France mais sans blocages

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Sep 26, 2025 1:09


Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal - Europe 1
EXTRAIT - Colère des agriculteurs : un milliers d'actions menées dans toute la France mais sans blocages

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Sep 26, 2025 1:09


Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les Grandes Gueules
Mobilisation des agriculteurs vendredi : ça va frapper fort ? - 23/09

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Sep 23, 2025 7:52


Au menu de la troisième heure des GG du mardi 23 septembre 2025 : "Mobilisation des agriculteurs vendredi, ça va frapper fort ?" avec Didier Giraud, agriculteur, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Yves Camdeborde, chef restaurateur.

Afrique Économie
Sénégal: les agriculteurs misent sur les réseaux sociaux pour vendre leurs produits

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Sep 22, 2025 2:12


En Afrique, la population est de plus en plus jeune… et connectée. Pour les entrepreneurs agricoles, cela ouvre de nouveaux débouchés : ils peuvent vendre et faire connaître leurs produits sur TikTok, Instagram ou WhatsApp. Résultat : ils adaptent désormais leurs stratégies au numérique. Avec notre correspondante à Dakar, Adjaratou Kosse Faye s'est lancée dans la vente en ligne de produits agricoles dès 2020, en misant d'abord sur le bouche-à-oreille : « J'ai commencé sur les réseaux sociaux, WhatsApp, Facebook, Instagram, à un peu partager. Au début, j'étais dans le secteur de la fraise et du poulet avant d'avoir ma ferme. Du coup, c'était très pratique de partager sur ton statut et dire oui, il y aura des fraises qui seront disponibles. On recevait des centaines de commandes par jour qu'il fallait gérer. » Une stratégie digitale bien rodée Derrière sa marque Foroba, toute une stratégie : poster régulièrement, mettre en avant la provenance des produits… Grâce aux réseaux sociaux, elle a même pu décrocher un contrat avec une grande surface. Un simple message envoyé sur LinkedIn à Auchan a suffi. Mais elle n'abandonne pas la vente directe, qui reste un pilier de son activité : « La vente directe est beaucoup plus intéressante, parce que les marges sont beaucoup plus importantes. Si tu t'y prends bien, la livraison n'est pas à ta charge, c'est le client qui la paye. » À écouter aussiCameroun: l'essor des entrepreneurs créateurs de contenus sur les réseaux sociaux Une vitrine sur le continent Beaucoup d'entrepreneurs se sont engouffrés dans cette voie pendant la crise du Covid, période charnière pour la vente en ligne. C'est le cas d'Adja Boudy Kanté. Avec sa société Cereal House, elle écoule 70% de ses mélanges de céréales « made in Sénégal » en ligne. Une réussite rendue possible par le boom du mobile money. Mais vendre à l'international reste un défi, à cause des limites logistiques : « TikTok, Instagram, ce sont les réseaux qui marchent le plus pour mon business. Et sur TikTok, j'ai des demandes de clients qui ne sont pas du Sénégal. Tout est parti d'une publicité que j'ai eue sur le média Brut Afrique. Beaucoup de pays africains m'ont contacté pour avoir mes produits, mais je leur disais que malheureusement, je ne pouvais pas les envoyer. J'ai perdu beaucoup de marchés comme ça. » Pour gagner en visibilité, certains misent aussi sur les influenceurs, comme l'entrepreneur kényan Benson Wando : via sa plateforme Soko Kijiji, il mutualise les ventes de 300 maraîchères du pays : « On travaille aussi avec nos propres influenceurs en interne, ils font du packaging pour nos produits et interviennent pour faire connaitre à nos clients les meilleurs moyens de faire leurs achats et ensuite de préparer des recettes. » Le mouvement ne fait que commencer : selon la Banque africaine de développement, le marché du e-commerce agricole pourrait tripler d'ici 2030 sur le continent. Signe que pour les producteurs africains, le futur se jouera autant dans les champs que sur les réseaux sociaux.

Reportage Afrique
Madagascar: quand l'État remblaie les rizières et prive les agriculteurs de leurs parcelles

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Sep 11, 2025 2:23


À Madagascar, une nouvelle affaire de conflit foncier se joue à deux pas de la capitale. Aux abords de la Tsarasaotra, la rocade de 13 km de long reliant Antananarivo à son aéroport international, d'immenses travaux de remblais dans la plaine rizicole ont démarré à la mi-juillet et avancent à une vitesse impressionnante. Le projet ? Pour les habitants de la zone, c'est un mystère. Aucun panneau ne précise sa nature. Les agriculteurs qui assistent à l'enfouissement de leur unique source de revenus sous des millions de mètres cubes de terre sont dévastés et appellent à l'aide. De notre correspondante à Madagascar,  Il est minuit. Le balai des camions-bennes qui déversent des tonnes de terre rouge pour combler les rizières dans la plaine du Betsimitatatra vient troubler la quiétude de la nuit. Une vingtaine d'engins se relaient sans interruption. Et quand on demande à un ouvrier ce qui se construit ici : « J'n'en sais rien ! », répond-t-il. « Nous, on nous a juste dit : "Remblayez les rizières !" ». Ces immenses terrains rizicoles, à quelques kilomètres seulement de la capitale, attisent l'intérêt d'entrepreneurs immobiliers qui avancent à visage masqué. Pour tenter de leur résister, 1 200 agriculteurs se sont regroupés en association pour faire valoir leurs droits. « Ces rizières, voilà 50 ans qu'on les exploite. C'est le décret 63-467 de 1963 qui nous en donne le droit. Selon le droit foncier malgache, une terre qui est exploitée pendant plus de cinq ans revient à ses exploitants », explique Jean-Baptiste Ranaivoson, membre de l'association Laniera Mamoukatra-secteur 12 en lutte depuis 10 ans. « Le problème, depuis la construction de la rocade et de l'autoroute, c'est que nos terrains sont très convoités. Depuis quelques années, on découvre que l'État malagasy a délivré des titres fonciers à des gens dont on ne connaît pas l'identité, mais qu'à nous, il n'en a pas donné. On se sent spoliés », s'indigne-t-il. Selon l'association, ces titres fonciers achetés sont aussitôt revendus à la chaîne à des prête-noms avertis. En quelques mois seulement, les terres auraient changé de mains plusieurs fois. Résultat : il est à présent très difficile pour les paysans de prouver leurs droits. L'association a relancé la machine judiciaire : huissiers, pôle anticorruption, référé auprès du tribunal de première Instance. « Ces terres, ce sont nos seuls héritages » Le visage irréversiblement mutilé de Carolia Andrianantoandro témoigne de la détermination de l'adversaire. « Sauf que le fait qu'on se révolte, ça dérange », déclare-t-elle. Le 8 août dernier, quelques jours après le dépôt de plainte, la secrétaire générale de l'association a été violemment agressée à son domicile. Un homme lui a porté onze coups de couteau à la tête et au cœur. « J'ai failli mourir. C'est vraiment une tentative d'assassinat. En partant, celui-ci m'a dit : "Arrête ça, tu parles trop". Mais moi, je ne veux pas m'arrêter », raconte Carolina. « Je suis paysanne, mais une paysanne qui a étudié. Je veux aider les gens contre l'accaparement de nos terres. Je ne veux pas qu'elles servent à la spéculation immobilière, mais à nourrir mon pays. » « Le gouvernement dit qu'il veut lutter contre la pauvreté, mais dans cette situation, ce sont les riches qui semblent avoir tous les droits contre nous, les paysans. Ces terres, ce sont nos seuls héritages, ce qui nous permet de vivre et de faire vivre les générations à venir », renchérit Jean-Baptiste Ranaivoson. Contacté, le gouverneur de la région, Analamanga Hery Rasoamaromaka, a révélé qu'il s'agissait d'un projet présidentiel. Un partenariat d'investisseurs publics privés, précise-t-il, pour la construction de « bâtiments administratifs » et d'un parc solaire, notamment. Interrogé sur le litige foncier, le gouverneur s'est dit étonné. « Des vérifications seront faites auprès des cultivateurs » et « des panneaux expliquant le projet seront installés la semaine prochaine », promet-il. À lire aussiMadagascar: multiplication des conflits autour de l'accès à la propriété foncière, les lanceurs d'alerte dans le collimateur

Sur le fil
Bio: comment soutenir les agriculteurs en transition (REDIFFUSION)

Sur le fil

Play Episode Listen Later Sep 10, 2025 10:52


Note aux auditrices et auditeurs : cet épisode a été diffusé pour la première fois le 11 mars 2025Les engrais chimiques et les pesticides sont synonymes de fuite en avant pour l'environnement : même si la productivité augmente au départ, on finit par appauvrir les sols et potentiellement aussi par mettre en danger la biodiversité et la santé. Et pourtant, l'agriculture biologique peine à décoller et on est encore loin d'atteindre les objectifs fixés par la loi en France, de 21 % de surfaces agricoles bio d'ici 2030. Passer au bio coûte cher aux agriculteurs en investissement et en temps et l'inflation a détourné certains consommateurs. Après une phase d'accélération -- et même si en volume, la France reste un géant du bio -- l'agriculture biologique stagne et ne représente aujourd'hui que 10% des surfaces cultivées, contre 25% en Autriche, le pays de l'Union européenne le plus avancé en la matière.Note aux auditrices et auditeurs : cet épisode a été diffusé pour la première fois le lundi 3 mars 2025L'équipe de Sur le Fil a préparé deux épisodes pour explorer des pistes de solutions. D'abord dans les champs. Sur le Fil part en Normandie chez un arboriculteur en transition. Après 20 ans d'utilisation d'intrants chimiques, Flavien Perdriel passe une partie de sa production de pommes en bio : c'est complexe, notamment parce que ses rendements vont baisser. Pour compenser, il a trouvé un chemin : revendre ses pommes à une entreprise sociale et solidaire, Beyond Green qui achète sa production un peu plus cher pour le soutenir. Invitées : Florence Bureau, directrice du développement chez Beyond Green et Laure Verdeau, directrice de l'agence française pour le développement et la promotion de l'agriculture biologique.Sur le Terrain : Ugo Petruzzi et Justin DavisRéalisation : Michaëla Cancela-KiefferSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Reportage International
Japon: le désarroi des agriculteurs, entre chaleurs extrêmes et accord douanier avec les États-Unis

Reportage International

Play Episode Listen Later Sep 6, 2025 2:32


Direction le Japon qui a vécu cette année son été le plus chaud depuis le début des relevés en 1898. Les températures ont régulièrement dépassé les 40 °C. Les deux années précédentes avaient déjà été particulièrement caniculaires. Consternation dans les campagnes puisque, cette année encore, les récoltes seront mauvaises. À cela s'ajoute la colère, car le gouvernement a conclu un accord douanier avec l'administration Trump qui fera mal aux agriculteurs. De notre correspondant à Tokyo, Depuis le début de l'été, cet agriculteur de la région de Saitama, non loin de Tokyo, souffre comme jamais : « Cette année, c'est difficile – et tous les agriculteurs de ce pays vous le diront. Moi qui fais ce métier depuis plus de vingt ans, jamais, je n'avais vécu cela. Une chaleur si démentielle, une sécheresse si interminable et ponctuée, en plus, de précipitations d'anthologie qui dévastent tout. Pour nous, ce fut l'enfer, au quotidien. » Quelques kilomètres plus loin, ce maraîcher constate, désolé, l'ampleur des dégâts. « Regardez ces légumes. Ils sont desséchés, flétris, malingres. C'est ainsi depuis début juillet, quand la température a grimpé jusqu'à atteindre des sommets puis n'est jamais redescendue. Depuis, j'ai passé mes journées à arracher des fruits et des légumes invendables tellement ils étaient mal en point. J'en ai même eu les larmes aux yeux tant je m'étais démené pour eux. Cet été, les deux tiers de ma production iront à la poubelle, donc cela me fera autant de recettes en moins », se lamente-t-il. Et, en termes de revenus, le pire est à venir pour les agriculteurs nippons, car ils vont voir leurs parts de marché s'effondrer en raison de l'accord conclu entre Tokyo et Donald Trump sur les droits de douane. Le Japon s'est engagé à augmenter de 75 % les importations de riz américain détaxé et à acheter pour près de 7 milliards d'euros de maïs, de soja, d'engrais et de bioéthanol aux États-Unis, soit deux fois plus que l'an dernier. Sauf que tous ces produits importés sont moins chers que leurs équivalents vendus dans l'archipel. Les cultivateurs japonais vont donc le sentir passer. Une telle perspective effare cette quadragénaire qui est à la tête d'une exploitation produisant 25 tonnes de soja par an : « Des importations de soja aussi massives, c'est de la folie furieuse. Cela va complètement déstabiliser le marché. Beaucoup de petits producteurs risquent de devoir mettre la clé sous la porte. Pour moi, par exemple, le manque à gagner pourrait se monter à plusieurs millions de yens par an. Franchement, les bras m'en tombent. De la part du gouvernement, on aurait attendu qu'il soutienne les campagnes et pas qu'il les enfonce. » « Les agriculteurs ont été sacrifiés pour amadouer Donald Trump et donc sauver l'industrie automobile nippone », répètent en boucle les réseaux sociaux depuis le début de l'été. Les autorités démentent. Il n'en demeure pas moins que, grâce à ces concessions commerciales relatives à l'agriculture, les voitures japonaises exportées aux États-Unis échapperont à des droits de douane prohibitifs de 27,5 %. En fin de compte, a promis la Maison-Blanche, ils ne seront que de 15 %. Pour Tokyo, cet accord constituait une priorité, et pour cause : près d'un salarié japonais sur dix travaille dans l'industrie automobile, qui, à elle seule, contribue à 3 % du PIB. À lire aussiAutomobile japonaise: le flou est levé sur les tarifs douaniers américains

Invité Afrique
Tchad: «La dichotomie entre agriculteurs et éleveurs ne suffit plus à décrire la réalité»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Sep 4, 2025 9:45


Avec notre Grand invité Afrique ce matin, nous allons parler de la coexistence éleveurs - agriculteurs au Tchad. Le gouvernement a lancé le projet d'un code pastoral, afin d'endiguer les conflits intercommunautaires pour l'accès aux ressources, de plus en plus meurtriers. La dernière mouture de 2014 n'a jamais été promulguée, car trop contestée. Et là, encore, il y a une levée de boucliers, en particulier de la part de l'Église catholique, qui accuse le gouvernement de ressortir ce texte, et de prendre le parti des éleveurs. Dans une lettre au vitriol, les évêques dénoncent un projet « scélérat » et « paysanicide », et ils ont refusé de participer à un atelier sur le sujet. Pourquoi cette opposition véhémente ? Comment améliorer la coexistence entre ces deux groupes ? Fulbert Ngodji, chercheur chez International Crisis Group (ICG), travaille notamment sur ces questions de pastoralisme et de transhumance.   RFI : Les évêques du sud du Tchad dénoncent un texte « scélérat » qu'il faut « mettre à la poubelle ». Comment est-ce que vous expliquez cette sortie très virulente de la part des prélats ?   Fulbert Ngodji : Pour comprendre la réaction des évêques des provinces du sud du Tchad, il faut déjà revenir sur un certain nombre d'éléments de contexte. En 2022, à l'issue du dialogue national inclusif et souverain, la question des conflits agropastoraux avait été identifiée comme une priorité nationale. Et donc, c'est dans ce cadre-là que le ministère de l'Élevage a engagé un processus de révision du code pastoral. L'idée était d'organiser des consultations régionales destinées à recueillir l'avis d'un certain nombre de parties prenantes, y compris celui des autorités ecclésiastiques. Donc, il faut rappeler que le texte avait déjà été adopté à l'Assemblée nationale en 2014, dans un climat de vives tensions, de controverses entre les députés du nord, région qui est historiquement associée à l'élevage, et ceux du sud, la partie du pays qui est aussi associée à l'agriculture.   Et justement, à l'époque, le président Idriss Déby n'avait pas promulgué ce texte qui était pourtant adopté par l'Assemblée. Donc pourquoi est-ce que ce débat revient aujourd'hui ?    Effectivement, à l'époque, le président Idriss Déby avait suspendu le texte en déclarant sa nullité. Mais aussi cela avait été suivi d'un avis d'inconstitutionnalité par le Conseil constitutionnel. Et donc la défiance des évêques repose sur la crainte, en fait, que cet atelier zonal ne soit qu'une formalité qui viserait à valider un texte perçu comme déséquilibré et favorable aux éleveurs.   Quels sont les points qui sont particulièrement contestés ?    C'est important de noter que l'élevage au Tchad constitue le deuxième pilier de l'économie nationale, juste après le pétrole, et que le projet du code pastoral, peut-être qu'il avait été pensé dans une logique de soutien à ce secteur stratégique. Mais en fait, cette rationalité économique entre véritablement en tension avec la réalité sociale du pays, dans laquelle l'agriculture reste le principal moyen de subsistance des populations rurales, en ce sens qu'elle assure leur sécurité alimentaire dans un contexte déjà marqué par la précarité. Et donc, effectivement, il y a un certain nombre de dispositions du projet et de ce code qui pose problème. Par exemple, l'article neuf confère un droit prioritaire aux ressources dans les zones d'attache et dans les zones d'accueil aux éleveurs. Et donc ces dispositions sont perçues comme injustes en ce sens qu'elles viennent fragiliser déjà les systèmes de partage coutumiers de ces ressources, en leur substituant un régime de priorisation juridique qui risque d'alimenter les tensions.   À lire aussiTchad: les violences agropastorales ont atteint un niveau sans précédent depuis 2021 Ce que dit le gouvernement, c'est qu'il y a un besoin important d'encadrer la transhumance et les pratiques pastorales, parce qu'il y a des conflits qui sont de plus en plus nombreux ?   Depuis plusieurs décennies déjà, les flux pastoraux du nord vers le sud se sont intensifiés sous l'effet non seulement du réchauffement climatique, mais aussi de la croissance démographique et de l'augmentation du cheptel, aujourd'hui estimé à plus de 5 millions de têtes. Et donc ce mouvement a modifié la nature même de la transhumance et les provinces du sud, qui étaient initialement des zones d'accueil temporaires, tendent à devenir des zones d'attaches permanentes, en ce sens qu'il y a de plus en plus un mouvement de sédentarisation qui s'observe. Et donc, dans ce nouveau contexte, la dichotomie entre agriculteurs et éleveurs ne suffit plus à décrire la réalité. Il existe aujourd'hui des éleveurs qui sont agriculteurs et des agriculteurs qui sont éleveurs avec des intérêts qui sont imbriqués. Donc justement, il y a un problème non seulement de cadre réglementaire, mais en fait, il devrait davantage penser la question des dynamiques émergentes que ce code-là ne semble pas encore intégrer. Et donc, par exemple, quand j'étais dans le sud du Tchad il y a juste deux ans, en fait, les acteurs ont dénoncé le fait que les éleveurs étaient de plus en plus armés et qu'ils gardaient du bétail appartenant à des hauts cadres de l'armée ou de l'administration centrale. Mais le problème, c'est celui de la faiblesse de l'État qui a tendance à accentuer les tensions.   Donc les bergers sont de plus en plus fortement armés. Les communautés locales, elles aussi, s'érigent en autodéfense. C'est pour ça que les conflits se multiplient et sont particulièrement mortels ?  Au-delà de cela, il convient de noter quand même que le projet de la révision de ce code-là, de ce code pastoral, intervient dans un contexte déjà tendu. Succès Masra qui est quand même une figure centrale de l'opposition tchadienne, qui est originaire du sud, avait été arrêté à la suite d'un conflit qui avait éclaté dans un village du sud du pays. Cela est venu renforcer la perception selon laquelle l'État est plutôt pro éleveurs. Donc le contexte est plutôt tendu et c'est ça qui pourrait aussi expliquer le caractère assez virulent des propos des évêques.  À lire aussiTchad: l'avenir des activités agropastorales en débat

Reportage International
Espagne: les agriculteurs apportent leur aide pour contrôler les incendies

Reportage International

Play Episode Listen Later Aug 18, 2025 2:29


L'Espagne fait toujours face à une vague d'incendies qui touchent une bonne partie de son territoire, surtout au nord-ouest. Dans ces régions réputées pour leurs paysages verts et leurs villages, les habitants, notamment les agriculteurs, tentent de sauver les hameaux où les secours ne peuvent arriver. Depuis le début de la vague d'incendies incontrôlables qui frappe l'Espagne cet été, les petits villages de zones rurales du nord-ouest du pays sont particulièrement touchés. Entourés de végétations, à flanc de collines, certains habitants de hameaux défendent eux-mêmes leurs habitations comme à Montederramo, en Galice. Raquel Fernández, l'une d'elle, confie : « Tous les jours, de nouveaux feux apparaissent.. Les incendies sont tellement grands qu'ils finissent par se rejoindre, s'unir. Tout ça, c'est de la montagne, et il n'y a pas de moyens suffisants pour être partout ! Ceux qui nous sauvent, ici, ce sont les éleveurs de la zone avec leurs tracteurs et citernes . » Partout dans la région, les mêmes scènes se répètent : les agriculteurs tentent de sauver les maisons les plus isolées, qui sont souvent les leurs. À Guimarei, au sud d'Ourense, alors que les flammes s'approchent dangereusement, Martín Pérez remplit sa citerne : « Ma ferme a brûlé il y a deux jours, là-bas. Une ferme de veaux. Et là, j'essaie de sauver ma maison. Hier, on a sauvé la ferme de ma sœur, et ça fait des jours qu'on y est. C'est un enfer. C'est un putain d'enfer. Je suis abattu, absolument abattu. Mais il faut continuer à se battre, c'est comme ça. »  À lire aussiEspagne: polémique entre le gouvernement et l'opposition sur la responsabilité des incendies À Mogainza, Eloi Fernández, éleveur, lutte contre les flammes depuis une semaine. Il se dit en colère contre les autorités qui ne laissent plus les agriculteurs nettoyer les forêts, ce qui, selon lui, aurait pu freiner la propagation des feux :  « Ils interdisent tout ! Ils interdisent de faire des nouveaux chemins, du brûlage dirigé, de couper du bois pour se chauffer en hiver... Tout, tout est interdit ! Ils appellent ça ''réseau nature'', ''réseau nature'', mais qu'elle nature il nous reste ?! Comment il la protège ​​​​​​​?! Ça n'a aucun sens, ils ne savent pas ce qu'ils font. » Il craint surtout pour le futur de ces hameaux qui souffrent déjà de dépeuplement : « Tout ça va finir par mourir ! Nous, dans les hameaux, on est foutus, ça va être abandonné [les hameaux]. On est plus que 3-4 jeunes déjà, et on ne prend que des coups durs... » Malgré les risques, tous continuent de lutter sans relâche contre ces feux, tandis que les autorités annoncent débloquer des aides pour les agriculteurs qui ont tout perdu.  À lire aussiEspagne: une quinzaine d'incendies incontrôlables, le nord-ouest du pays ravagé

Lenglet-Co
TOUT SAVOIR SUR - Comment les agriculteurs s'adaptent au réchauffement du climat

Lenglet-Co

Play Episode Listen Later Aug 11, 2025 4:20


Comme chaque matin, nous revenons sur un fait de société qui a marqué l'actualité cette année dans TOUT SAVOIR SUR.. Focus ce matin, sur les agriculteurs, obligés de changer leurs pratiques face au réchauffement du climat. Virginie Garin nous emmène lors du dernier salon de l'agriculture Porte de Versailles à Paris à la rencontre d'agriculteurs qui changent leurs méthodes pour s'adapter.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

RTL Matin
TOUT SAVOIR SUR - ÉCONOMIE - Comment les agriculteurs s'adaptent au réchauffement du climat

RTL Matin

Play Episode Listen Later Aug 11, 2025 4:20


Comme chaque matin, nous revenons sur un fait de société qui a marqué l'actualité cette année dans TOUT SAVOIR SUR.. Focus ce matin, sur les agriculteurs, obligés de changer leurs pratiques face au réchauffement du climat. Virginie Garin nous emmène lors du dernier salon de l'agriculture Porte de Versailles à Paris à la rencontre d'agriculteurs qui changent leurs méthodes pour s'adapter.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les matins
Pesticides : le dilemme des agriculteurs

Les matins

Play Episode Listen Later Aug 4, 2025 39:12


durée : 00:39:12 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins d'été) - par : Julie Gacon, Sarah Masson - Conçue pour répondre aux demandes exprimées par des filières agricoles, la loi Duplomb fait polémique. Plus de 2 millions de personnes ont signé une pétition pour exiger son retrait. Entre dépendance économique aux pesticides et risques sanitaires, les agriculteurs sont pris dans un dilemme. - réalisation : Sam Baquiast, Vivian Lecuivre - invités : Giovanni Prete Maître de conférences en sociologie à l'Université Sorbonne Paris Nord, membre de l'Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux (IRIS), expert auprès de l'Anses

Les matins
Marché du livre d'occasion / Pesticides : le dilemme des agriculteurs / Nicolas Pagnol : héritage cinématographique

Les matins

Play Episode Listen Later Aug 4, 2025 119:38


durée : 01:59:38 - Les Matins d'été - par : Julie Gacon, Sarah Masson - . - réalisation : Sam Baquiast - invités : Giovanni Prete Maître de conférences en sociologie à l'Université Sorbonne Paris Nord, membre de l'Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux (IRIS), expert auprès de l'Anses; Nicolas Pagnol Auteur; Stéphanie Le Cam Maître de conférences en droit privé à l'Université Rennes 2 et directrice de la ligue des auteurs professionnels

Grand reportage
«Le supplément du dimanche» du 27 juillet 2025

Grand reportage

Play Episode Listen Later Jul 27, 2025 48:30


Dans le supplément de ce dimanche, le sujet est l'emploi. En première partie, les salariés des verres Duralex ont repris leur entreprise qui était à nouveau en redressement judiciaire en 2024. En deuxième partie, à l'occasion du Salon international de l'Agriculture qui se tient à Paris, la parole est donnée aux agriculteurs. (Rediffusion) Les verres Duralex rebondissent en coopérative Pour la sixième fois de son histoire, Duralex s'est retrouvée en 2024 en redressement judiciaire. Cette fois-ci, les salariés eux-mêmes ont proposé de reprendre l'entreprise, sous la forme d'une Scop, une coopérative. Les 226 emplois ont été conservés. La mutation de l'entreprise est toutefois un défi économique, dans une France qui peine à faire face à la désindustrialisation. RFI a suivi les salariés de la Scop Duralex pendant près de six mois.   Un Grand reportage de Justine Fontaine qui s'entretient avec Sébastien Farcis. Agriculteurs : comment continuer à vivre de ce métier dans 10 ans ? Faiblesse des revenus, complexité administrative, changement climatique… le métier d'agriculteur est en crise. À l'occasion du Salon de l'Agriculture qui referme ses portes ce dimanche 2 mars 2025, RFI donne la parole à celles et ceux qui nourrissent les Français. Avec une question : comment voient-ils leur profession dans dix ans ? De l'Oise au Val d'Oise, rencontre avec deux céréaliers. Ils cultivent les mêmes récoltes avec passion, mais ne proposent pas les mêmes solutions pour l'avenir de leur travail… Un Grand reportage de Nicolas Feldmann (et Igor Strauss) qui s'entretient avec Sébastien Farcis.  

Grand reportage
Agriculteurs : comment continuer à vivre de ce métier dans 10 ans ?

Grand reportage

Play Episode Listen Later Jul 24, 2025 19:30


Faiblesse des revenus, complexité administrative, changement climatique… le métier d'agriculteur est en crise. À l'occasion du Salon de l'Agriculture qui referme ses portes ce dimanche 2 mars 2025, RFI donne la parole à celles et ceux qui nourrissent les Français. Avec une question : comment voient-ils leur profession dans dix ans ? De l'Oise au Val d'Oise, rencontre avec deux céréaliers. Ils cultivent les mêmes récoltes avec passion, mais ne proposent pas les mêmes solutions pour l'avenir de leur travail… (Rediffusion) «Agriculteurs : comment continuer à vivre de ce métier dans 10 ans ?», un Grand reportage de Nicolas Feldmann et Igor Strauss. 

Où est le beau ?

Pour déverrouiller cet épisode, rejoins le social club en t'abonnant ici : https://m.audiomeans.fr/s/S-lmGOmPirTu auras ainsi accès :-à tous les longues interviews en preview (48h avant) et en intégralité -à tous les épisodes avec une clé = le podcast secret (environ 40 épisodes narratifs) pour découvrir comment vivre un quotidien plus aligné avec les valences hautes du beau et du bon-aux 2 newsletters mensuelles dans lesquelles j'ouvre mon jardin secret et partage mes découvertes les plus pépites (hôtels, restaurants, artistes, créatifs, producteurs etc).Tu peux aussi t'abonner uniquement à la newsletter Où est le beau : https://ouestlebeau.kessel.media/?source_referral=None&source_type=user_referralet à celle Où est le bon :https://httpshttpsouestlebeaukesselmediakesselmedia.kessel.media/?source_referral=None&source_type=user_referral&utm_medium=email&utm_source=subscribe_linkBelle écoute et à très vite sur les ondes !Hélène Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Journal en français facile
Syrie: des civils armés se joignent aux opérations militaires à Soueïda / Union européenne: les agriculteurs mécontents de la baisse de la PAC / Athlétisme: Kevin Mayer absent en 2025...

Journal en français facile

Play Episode Listen Later Jul 16, 2025 10:00


Le Journal en français facile du mercredi 16 juillet 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BqeU.A