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durée : 00:58:08 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Dans "La Joie ennemie", Kaouther Adimi entremêle le récit de son enfance en Algérie pendant la décennie noire et le parcours de la peintre algérienne Baya, dont l'œuvre lumineuse et colorée a permis à l'écrivaine de sortir de sa “grande nuit”. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Kaouther Adimi écrivaine franco-algérienne
durée : 00:58:30 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Dans un premier roman aux allures de conte, "Le Ministère des rêves" (Les Argonautes), Momtchil Milanov fait revivre à travers les yeux d'un enfant les événements politiques qui ont marqué l'Europe de l'Est à la fin des années 1980. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Momtchil Milanov écrivain bulgare; Nadège Ragaru Politiste et historienne, directrice de recherches au CERI Sciences-Po
durée : 00:57:59 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Après avoir quitté les Comores pour faire ses études à Paris, la vie de Touhfat Mouhtare bascule en 2011 lorsqu'elle se retrouve sans papiers. Face à la clandestinité, elle replonge dans des souvenirs d'enfance, interrogeant ainsi son rapport à son pays, à l'exil, à sa famille et à l'écriture. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Touhfat Mouhtare écrivaine d'origine comorienne; Sophie Blanchy Ethnologue, directrice de recherche émérite au CNRS
durée : 00:15:44 - Journal de 8 h - Reportage à San Pedro Sula, à la frontière entre le Guatemala et le Honduras où des migrants qui viennent d'être expulsés par les États-Unis racontent leurs conditions de détention et confirment les dérives de l'ICE, la police américaine de l'immigration.
durée : 00:15:44 - Journal de 8 h - Reportage à San Pedro Sula, à la frontière entre le Guatemala et le Honduras où des migrants qui viennent d'être expulsés par les États-Unis racontent leurs conditions de détention et confirment les dérives de l'ICE, la police américaine de l'immigration.
durée : 00:15:44 - Journal de 8 h - Reportage à San Pedro Sula, à la frontière entre le Guatemala et le Honduras où des migrants qui viennent d'être expulsés par les États-Unis racontent leurs conditions de détention et confirment les dérives de l'ICE, la police américaine de l'immigration.
Attaque de Sydney : "on a cru qu'on allait mourir" racontent des Français présents sur les lieuxHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le rouge, le blanc, le jaune, le bleu
Il y a deux semaines, l'armée israélienne a lancé une opération majeure dans le nord de la Cisjordanie occupée contre les groupes armés palestiniens. Notre correspondante s'est rendue dans la région de Tubas lorsque le bouclage de la zone a été levé. Un studio sens dessus dessous, du mobilier cassé, des bris de verres au sol, et à la place de la fenêtre un trou béant, le mur a été dynamité. Nous sommes au troisième étage de la maison de la famille Abadi. Visage tuméfié, Mahmoud, 75 ans, raconte l'intervention de l'armée israélienne à son domicile fin novembre, une opération antiterroriste disent les Israéliens, les soldats cherchaient des armes. « J'ai dit " que se passe-t-il ", il a commencé à me frapper, il m'a dit de lever les mains, j'ai levé les mains. Et il a dit " où sont les armes ". Alors, j'ai dit moi, je ne suis qu'un civil, je n'ai pas d'armes, je ne connais rien aux armes. » Mahmoud Abadi a été interrogé pendant 2 heures, puis les militaires ont fait exploser le studio de son fils. Le fil détonateur pend encore sur la commode. Le vieil homme l'assure, il n'a aucune activité politique ou militaire : « Je ne suis ni du Fatah ni du Hamas. Je le jure, je ne suis pas du Hamas et j'ai dit au soldat : tu sais pourquoi ? parce que c'est le Hamas qui t'a amené ici après le 7-Octobre. Je ne suis ni du Hamas ni du Fatah. » Omar Abu el Hassan, le responsable de la communauté d'al Faara raconte comment s'est déroulé l'opération : « Vers 3 heures du matin environ, ils ont envahi le camp de réfugiés et ils sont partis vers 21 heures. Ils ont bloqué les rues. Ils ont occupé certaines maisons dans ces cas-là, ils les transforment en casernes militaires. Personne ne peut ni sortir ni entrer du camp, et ils ont commencé à fouiller les maisons, à vandaliser, à casser des choses. Les communications étaient coupées. » Sur la totalité de la région de Tubas, l'opération a duré six jours. Le gouverneur Ahmad Asaad fait le bilan du raid israélien : « C'est une opération militaire dans tous les sens du terme. Des hélicoptères Apache ont bombardé des maisons avec des mitrailleuses lourdes. On parle d'environ mille soldats, trois brigades de l'armée étaient présentes dans le gouvernorat de Tubas. » Au cours de l'opération, 200 personnes ont été arrêtées, douze sont restées détenues par l'armée israélienne.
Il y a deux semaines, l'armée israélienne a lancé une opération majeure dans le nord de la Cisjordanie occupée contre les groupes armés palestiniens. Notre correspondante s'est rendue dans la région de Tubas lorsque le bouclage de la zone a été levé. Un studio sens dessus dessous, du mobilier cassé, des bris de verres au sol, et à la place de la fenêtre un trou béant, le mur a été dynamité. Nous sommes au troisième étage de la maison de la famille Abadi. Visage tuméfié, Mahmoud, 75 ans, raconte l'intervention de l'armée israélienne à son domicile fin novembre, une opération antiterroriste disent les Israéliens, les soldats cherchaient des armes. « J'ai dit " que se passe-t-il ", il a commencé à me frapper, il m'a dit de lever les mains, j'ai levé les mains. Et il a dit " où sont les armes ". Alors, j'ai dit moi, je ne suis qu'un civil, je n'ai pas d'armes, je ne connais rien aux armes. » Mahmoud Abadi a été interrogé pendant 2 heures, puis les militaires ont fait exploser le studio de son fils. Le fil détonateur pend encore sur la commode. Le vieil homme l'assure, il n'a aucune activité politique ou militaire : « Je ne suis ni du Fatah ni du Hamas. Je le jure, je ne suis pas du Hamas et j'ai dit au soldat : tu sais pourquoi ? parce que c'est le Hamas qui t'a amené ici après le 7-Octobre. Je ne suis ni du Hamas ni du Fatah. » Omar Abu el Hassan, le responsable de la communauté d'al Faara raconte comment s'est déroulé l'opération : « Vers 3 heures du matin environ, ils ont envahi le camp de réfugiés et ils sont partis vers 21 heures. Ils ont bloqué les rues. Ils ont occupé certaines maisons dans ces cas-là, ils les transforment en casernes militaires. Personne ne peut ni sortir ni entrer du camp, et ils ont commencé à fouiller les maisons, à vandaliser, à casser des choses. Les communications étaient coupées. » Sur la totalité de la région de Tubas, l'opération a duré six jours. Le gouverneur Ahmad Asaad fait le bilan du raid israélien : « C'est une opération militaire dans tous les sens du terme. Des hélicoptères Apache ont bombardé des maisons avec des mitrailleuses lourdes. On parle d'environ mille soldats, trois brigades de l'armée étaient présentes dans le gouvernorat de Tubas. » Au cours de l'opération, 200 personnes ont été arrêtées, douze sont restées détenues par l'armée israélienne.
Aujourd'hui on parle d'un sujet qui est assez tabou encore en France: la GPA (éthique!! important à préciser!) Et pour ce faire on reçoit Marouane et Stephan, qui ont tous les deux fait une GPA au Mexique (ils ne sont pas en couple -non- ils se sont rencontrés au Mexique pendant leur parcours de GPA et sont devenu amis depuis).Processus, prix, galères, l'administration... ils nous racontent tout!En espérant que ce podcast puisse déconstruire des mythes sur la GPA, et éclairer des futurs couples qui penseraient à en faire une :)BONNE ÉCOUT-AAAN!(...ah oui et pour celleux qui ne sauraient pas GPA = Gestation Par Autrui, mais si vous nous suivez... YOU ALREADY KNOW! haha) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Comment l'œuvre d'Annie Ernaux est-elle enseignée ? Comment est-elle reçue, étudiée, apprise ? Comment la jeunesse d'aujourd'hui, d'ici et d'ailleurs, s'empare-t-elle des écrits d'Annie Ernaux ? Ils sont de Sarcelles, Cayenne, Villefranche-sur-Saône. Ils lisent et racontent Annie Ernaux sous la caméra de Claire Simon. Faire un film sur l'œuvre d'Annie Ernaux... mais sans elle... et avec le point de vue de lycéens. Tel est le projet de la réalisatrice Claire Simon qui s'est déplacée dans plusieurs lycées pour interroger des lycéens et surtout des lycéennes sur la lecture qu'ont ces jeunes des textes d'Annie Ernaux. Un film documentaire tourné après la réception de son Prix Nobel de Littérature ! La réalisatrice du documentaire a cherché plusieurs œuvres lues et étudiées au lycée. Les titres «la place et les années» sont les œuvres les plus travaillées. Les jeunes évoquent souvent une «écriture plate» pour parler d'Annie Ernaux, un terme qu'emploie l'autrice elle-même. L'intimité, la sexualité : des thématiques qui touchent beaucoup ces adolescents : l'occasion d'ouvrir des débats... en classe. À voir Le documentaire de Michelle Porte Les mots comme des Pierres. À écouter Annie Ernaux sur RFI dans l'émission De Vive(s) Voix. Annie Ernaux est une écrivaine française née en 1940. Son œuvre mêle récit autobiographique et analyse sociologique. Issue d'un milieu populaire, elle explore dans ses livres la mémoire collective, la honte, les rapports de classe, le corps ou encore la condition féminine. Elle se fait connaître, en 1983, avec son roman La place, qui obtient le Prix Renaudot. Elle écrit des romans marquants tels que La Honte, qui évoque son enfance, Les armoires vides qui parle de la honte et des rapports de classe, L'autre fille qui revient sur les secrets de famille autour d'une sœur morte avant sa naissance, Les années qui traite de la mémoire individuelle, L'évènement qui aborde la question de l'avortement clandestin. En 2022, elle reçoit le Prix Nobel de littérature pour l'ensemble de son œuvre. Invitée : Claire Simon, auteure et documentariste. Réalisatrice du documentaire Écrire la vie qui sera diffusé sur France TV, le 3 décembre 2025. Et la chronique Ailleurs au Mali avec Lamine Diarra, acteur, metteur en scène et directeur du Festival les Praticables, dont la sixième édition se déroule dans la capitale malienne, dans le quartier de Bamako-coura, du 4 au 14 décembre 2025, un évènement que l'organisateur définit comme «une fabrique citoyenne du vivre-ensemble». Programmation musicale L'artiste Alma Rechtman avec le titre Je veux être dans tes bras.
Comment l'œuvre d'Annie Ernaux est-elle enseignée ? Comment est-elle reçue, étudiée, apprise ? Comment la jeunesse d'aujourd'hui, d'ici et d'ailleurs, s'empare-t-elle des écrits d'Annie Ernaux ? Ils sont de Sarcelles, Cayenne, Villefranche-sur-Saône. Ils lisent et racontent Annie Ernaux sous la caméra de Claire Simon. Faire un film sur l'œuvre d'Annie Ernaux... mais sans elle... et avec le point de vue de lycéens. Tel est le projet de la réalisatrice Claire Simon qui s'est déplacée dans plusieurs lycées pour interroger des lycéens et surtout des lycéennes sur la lecture qu'ont ces jeunes des textes d'Annie Ernaux. Un film documentaire tourné après la réception de son Prix Nobel de Littérature ! La réalisatrice du documentaire a cherché plusieurs œuvres lues et étudiées au lycée. Les titres «la place et les années» sont les œuvres les plus travaillées. Les jeunes évoquent souvent une «écriture plate» pour parler d'Annie Ernaux, un terme qu'emploie l'autrice elle-même. L'intimité, la sexualité : des thématiques qui touchent beaucoup ces adolescents : l'occasion d'ouvrir des débats... en classe. À voir Le documentaire de Michelle Porte Les mots comme des Pierres. À écouter Annie Ernaux sur RFI dans l'émission De Vive(s) Voix. Annie Ernaux est une écrivaine française née en 1940. Son œuvre mêle récit autobiographique et analyse sociologique. Issue d'un milieu populaire, elle explore dans ses livres la mémoire collective, la honte, les rapports de classe, le corps ou encore la condition féminine. Elle se fait connaître, en 1983, avec son roman La place, qui obtient le Prix Renaudot. Elle écrit des romans marquants tels que La Honte, qui évoque son enfance, Les armoires vides qui parle de la honte et des rapports de classe, L'autre fille qui revient sur les secrets de famille autour d'une sœur morte avant sa naissance, Les années qui traite de la mémoire individuelle, L'évènement qui aborde la question de l'avortement clandestin. En 2022, elle reçoit le Prix Nobel de littérature pour l'ensemble de son œuvre. Invitée : Claire Simon, auteure et documentariste. Réalisatrice du documentaire Écrire la vie qui sera diffusé sur France TV, le 3 décembre 2025. Et la chronique Ailleurs au Mali avec Lamine Diarra, acteur, metteur en scène et directeur du Festival les Praticables, dont la sixième édition se déroule dans la capitale malienne, dans le quartier de Bamako-coura, du 4 au 14 décembre 2025, un évènement que l'organisateur définit comme «une fabrique citoyenne du vivre-ensemble». Programmation musicale L'artiste Alma Rechtman avec le titre Je veux être dans tes bras.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, et Yves Camdeborde, restaurateur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Depuis avril 2023, se déroule au Soudan l'un des conflits les plus meurtriers, à l'origine de « la plus grande crise humanitaire au monde » selon l'ONU. Selon des témoins ayant fui El-Fasher, la capitale du du Darfour-Nord est le lieu de massacres, violences à caractère ethnique, viols et agressions sexuelles depuis qu'elle est tombée entre les mains des paramilitaires FSR du général Mohamed Hamdan Dogolo « Hemedti », le 26 octobre dernier. Plusieurs organisations humanitaires font état de crime de guerre, de crimes contre l'humanité, les Nations unies parlent d'une « spirale d'atrocité ». Après un siège de 18 mois, après la faim, la soif, la violence et la peur, certains Soudanais ont réussi à quitter El-Fasher pour se réfugier au Tchad voisin. Le Tchad et le Soudan sont séparés par un wadi, un oued sec, depuis la fin de la saison des pluies. De part et d'autre de cette frontière se trouvent deux villes : Tina, au Soudan, et Tiné, au Tchad. C'est là que les réfugiés soudanais traversent à pied, en charrette ou à l'arrière de camionnettes. De notre envoyée spéciale à Tiné, La frontière est gardée par des militaires tchadiens, mais aucune entrave n'a lieu au passage des réfugiés qui traversent tous librement. « Voilà les nouvelles familles qui viennent d'arriver. Elles sont orientées pour faire le circuit : d'abord l'enregistrement des réfugiés avec la Commission nationale d'accueil de réinsertion des réfugiés et des rapatriées du Tchad (Cenar), après avoir obtenu les informations de la personne. Puis un screening médical se fait avec Médecins sans frontière (MSF) avant leur transfert vers le site de transit », explique Georges, membre de l'équipe du Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR). Le visage fatigué, en partie dissimulé derrière son foulard bariolé, Souad Ibrahim Abdou s'installe à quelques mètres de la frontière, sous la cabane de MSF. Elle attend désormais d'être enregistrée. « On a laissé les enfants à Tawila. On remercie le seigneur d'être arrivé ici en bonne santé. Dieu merci, tout va bien. On nous a conseillé de venir ici, on nous a dit que la ville était bien. Le seul problème ici, c'est la nourriture. Aussi, il n'y a pas de travail », raconte-t-elle. Une fois le premier enregistrement effectué, les réfugiés doivent se rendre par leurs propres moyens au site de transit à la sortie de la ville. Parmi les infrastructures sur place, des pompes à eau, mais peu de latrines. Et les températures chutent fortement le matin et le soir. La jeune Daralnayim,19 ans et enceinte de sept mois, a fait le voyage seule depuis El-Fasher. Elle raconte sa vie dans le site de transit : « Il n'a pas de nourriture, pas de couvertures, pas de lit. Je n'ai pas eu d'autre choix que de rester avec des femmes ici. On a fait les démarches d'enregistrement ensemble. » Les profils de ces derniers arrivants sont majoritairement des femmes et des enfants. Mais il y a beaucoup plus d'hommes comparé au début du conflit en 2023. « Il y a de plus en plus de vieillards blessés, de gens inaptes et beaucoup d'enfants non accompagnés. Ils avaient encore l'espoir en 2023 qu'ils peuvent défendre leur terre, résister. Maintenant, c'est le désespoir total », détaille Jean-Paul Habamungu, responsable du HCR à Iriba. À lire aussiLa route de l'exil vers le Tchad: les réfugiés soudanais d'El-Fasher racontent leur cauchemar[2/3]
4 femmes victimes de violences conjugales nous partagent leurs histoires, sous forme de groupe de parole enregistré et anonymisé. Nous voyons, à travers leurs parcours, la force incroyable qu'elles ont eue pour se sortir du schéma de violences qu'elles subissaient avec leurs enfants. Leurs chemins de vie sont différents, pourtant leurs histoires sont très semblables. Cet épisode permet notamment de prendre conscience des schémas récurrents et quasiment identiques employés par les auteurs de violences, et la façon dont on peut s'en sortir. "Un poing c'est tout !" est un podcast créé bénévolement par Heyu, société de conseil dans le monde du travail pour contribuer à libérer la parole et accompagner les victimes de violences. Suivez-nous sur LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/adrien-roland-boulogne-%F0%9F%A4%9D-11493bab/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alexandre Tremblay et Allyson Dumont ont été victimes d’un accident avec un poids lourd en 2023. Cet accident aurait pu leur coûter la vie. Il ont décidé d’utiliser leur voix et se rendre au parlement lundi matin pour exiger la fin du phénomène des chauffeurs au rabais. Entrevue avec Alexandre Tremblay, conducteur au moment de l’accident et Allyson Dumont, chauffeuse de poids lourds et autre victime de l’accident. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Depuis la chute d'El-Fasher entre les mains des FSR du général Mohamed Hamdan Dogolo dit Hemedti le 26 octobre dernier, chaque semaine, le Tchad voit arriver en moyenne 2 000 réfugiés soudanais. Ils arrivent pour la plupart de la capitale du Darfour-Nord. Traumatisés, affamés, assoiffés, ils ont réussi à survivre à 18 mois de siège, aux massacres, aux viols utilisés comme armes de guerre, aux jours de combats qui ont précédé la chute d'El-Fasher. Ils ont aussi survécu aux routes dangereuses et coûteuses qui mènent au Tchad voisin. Le témoignage poignant de réfugiés arrivés à Tiné, ville frontalière du Soudan, dans la région du Wadi Fira. Assise sur un bidon vide, Recroquevillé sur elle-même, le visage couvert par un foulard, Salma Mohamad Abdallah a encore du mal à parler. « On est sorti d'El-Fasher à pied. C'était effrayant. Sortir de chez soi à quatre heures du matin, tout laisser derrière soi, y compris ses proches, c'est dur. Et après ça, on s'est déplacé de nuit. On a marché pendant quatre jours. Il y avait des FSR. Torture, humiliations, ils font peur. Ils nous ont tout pris et surtout, ils frappaient les hommes et ne les laissaient pas passer. » Après quatre jours de marche, elle a dû payer des passeurs, souvent FSR, pour finir le trajet jusqu'au Tchad. « Si on dit qu'on est Zaghawa, ils ne nous laissent même pas sortir d'El-Fasher » « Quand on est arrivé à Garna, on a trouvé les voitures des FSR. On a pris celle qui emmenait à Tiné. Ils nous posent toutes sortes de questions. Et si l'on dit que nous sommes Zaghawa, ils nous torturent et ne nous laissent pas monter dans les voitures. Il faut dire le nom de n'importe quelle autre ethnie pour qu'ils nous laissent passer. Mais si on dit qu'on est Zaghawa, ils ne nous laissent même pas sortir d'El-Fasher. » D'autres ont réussi à récolter suffisamment d'argent pour faire tout le trajet en voiture, mais avec une peur omniprésente : celle de se faire piller par les paramilitaires. C'est le cas de cette mère de trois enfants. Samia Ousman Hadi : « Je suis venue en voiture, mais malgré tout c'était fatiguant, on avait faim, on était épuisés et on a été insultés. Après, il a fallu s'arrêter. On est resté là, dehors en attendant la suite. Il y avait ni à boire ni à manger. C'était éprouvant. » « Des enfants ont disparu » À l'approche de Tiné, Rahma Mouhamad Abdallah et ses six enfants ont cru qu'ils n'arriveraient pas vivants au Tchad. « Des bombardements, des missiles, des drones, c'était très dur. Il y avait des enfants nus, ils marchaient sans aucun vêtement. Beaucoup ont perdu leur mère, leur père. Des enfants ont disparu. Il y a des gens qui n'ont pas retrouvé leurs familles. » Des sources gouvernementales tchadiennes confirment d'intenses activités de drone en territoire soudanais, à quelques dizaines de kilomètres de Tiné. Les humanitaires présents aux postes frontière disent avoir reçu une trentaine de blessés ayant traversé la frontière pour se faire soigner. À lire aussi«Il fallait rester à l'abri, sous terre»: des Soudanais d'El-Fasher réfugiés au Tchad témoignent [1/3]
Aujourd'hui c'est à Toulouse que nous accueillons Jean et Sophie Blanc ! Ils sont mariés dans la vie privée et ils ont créé ensemble depuis près de 20 ans l'atelier A l'or et du bois, un atelier d'ébénisterie et de dorure à Revel.Jean nous raconte son passage de la banque au travail du bois, leurs débuts sans filet, le choix assumé de ne faire que de la restauration, les difficultés, les doutes… et surtout la fierté d'avoir tenu bon à deux, avec la dorure comme moteur.Puis Sophie partage son regard sur cette aventure et explique comment elle a développé, à côté de la restauration, une démarche artistique personnelle : des sculptures de végétaux dorés, nées d'un geste intime et aujourd'hui reconnues.Un échange sincère et profond sur la passion, la solitude, la persévérance… et le courage d'y croire.Cet interview a été réalisée chez Les Imbriqués lors de notre événement-rencontres à Toulouse en partenariat avec la FAAT. Pour participer aux prochains événements et rencontrer d'autres artisans d'art de votre région, rendez-vous sur notre agenda !Si vous avez aimé l'épisode, n'oubliez pas les 5 étoiles sur Apple podcast ou Spotify ;)Enfin, si vous voulez décrypter l'artisanat d'art avec nous, inscrivez-vous à notre newsletter et rejoignez-nous sur les réseaux sociaux @artisansdavenir (Instagram, Facebook, Linkedin).Si vous voulez acheter le livre "Profession artisan d'art" que nous avons écrit, il est disponible dans toutes les librairies et peut se commander depuis notre site internet.Pour nous rejoindre, c'est par ici !
Il y a 10 ans, le 12 décembre 2015, l'Accord de Paris sur le climat est finalement adopté par 195 pays. Son objectif principal est de contenir l'élévation de la température moyenne mondiale « bien en dessous de 2 °C », tout en poursuivant les efforts vers 1,5 °C. C'est une première dans l'histoire de l'Humanité, mais pour beaucoup cet accord est insuffisant. Pour nous replonger dans ces 2 semaines de tractations climatiques, nous avons rencontré 4 personnes. Négociateur, représentante d'ONG, conseiller scientifique ou observateur, ils sont tous des témoins de cette COP21. 10 ans plus tard quel regard portent-ils sur cette COP de Paris ?« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Vidéo produite par HugoDécrypteAvec la participation de : David Fritz Goeppinger, Matthieu Langlois, Nadia Mondeguer, Nicolas Poirot, Grégory Reibenberg, Claire Rouat, Jean-Luc WertenschlagRédacteurs en chef : Benjamin Aleberteau, Hugo TraversJournaliste : Samy RabbataProductrice exécutive : Clara LesageDirectrice de production : Marie Delvallée Chargé de production éditoriale : Clément ChauletChargée de production : Fiona GouzeAssistante de production : Amandine BarAdministratrice de production : Sterenn HallCadreurs : Vanon Borget, Benjamin Carrion, Noé PériquetIngénieurs du son : Inês Dôs Santos, Arthaud VersaveaudMaquilleuses : Joséphine Richard, Noémie RoccaMonteurs : Alexandre Soubeyrand, Anthony Ochoa, Jacques Etcheberry Étalonnage : Toutes Voiles Dehors - Hugues Dardart et Pierre BrièreMiniature : Oncle SidMixage : Arthaud VersaveaudCrédits musiques : ArtlistCrédits images : INA Mediaclip / Reuters / AFP / Fédération Française de Football / Daniel Psenny / Radio France - France Inter Journal de 8h Hélène Fily / Radio France - France Inter Claire Josserand-Schmidt, Maître Olivia Ronen et Maître Martin Vette / Dessin de Fred Dewilde Archives personnelles : David Fritz GoeppingerArchives personnelles : Matthieu Langlois Archives personnelles : Nadia MondeguerArchives personnelles : Nicolas PoirotArchives personnelles : Grégory ReibenbergArchives personnelles : Claire RouatArchives personnelles : Jean-Luc Wertenschlag Remerciements : AFVT, Life of Paris, 13onze15PLANIPRESSE / TOUTES VOILES DEHORS / SUPERVAN HDMEDIA / UNFOLD PRODUCTION 2025 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Bienvenue sur Avant j'étais prof, le podcast des enseignants en reconversion.Cet épisode spécial fait suite au live que nous avons présenté récemment avec Charlène Siffre la créatrice de l'École des Profs et qui s'intitule « Quitter l'Éducation nationale sans quitter l'enseignement ? Deviens prof indépendant ! ». L'épisode d'aujourd'hui vient donc compléter ce dernier, puisque j'ai demandé à des profs de l'EN qui sont devenus indépendantes via la formation de Charlène de partager leur parcours pour que vous ayez de nouveaux exemples à analyser.Ces profils sont tous uniques et chaque personne est à un stade différent de sa reconversion.Bonne écoute !_____> Découvrez l'École des Profs, le programme de Charlène Siffre conçu par une prof indépendante pour les profs indépendants.> Bénéficiez de 5% de remise sur votre inscription à l'École des Profs grâce à notre partenariat (code AJP5).> Téléchargez notre e-book gratuit_____Échangez avec :Charlène : https://www.instagram.com/charlene_siffre/ Claire : https://www.instagram.com/lingualog_coursfrancoallemand/Camille : https://www.instagram.com/all_you_need_is_french/Lucie : https://www.instagram.com/lucie_kopp/Le replay du live : version vidéo : https://www.youtube.com/live/xQk_W-tPnjkversion audio : https://podcast.ausha.co/avant-jetais-prof/devenir-prof-independant-replay
Découvertes en 1927, les fresques de Nazca, au Pérou, n'ont jamais cessé d'attiser la curiosité. D'abord pour des raisons historiques, puisqu'elles ont été réalisées 300 ans avant Jésus Christ. Mais aussi pour des raisons esthétiques, car leur qualité et leur signification les ont amenés à faire partie de la liste du patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1994. Quelle est la particularité des fresques de Nazca ? Que représentent ces fresques ? Quelle est la signification de ces dessins ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant, vous savez - Culture". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Thomas Deseur. Première diffusion : janvier 2023 À écouter aussi : Quel est ce château qui a inspiré le logo de Disney ? Quelle est la plus grande œuvre d'art réalisée en Lego ? Pourquoi les statues grecques sont-elles nues ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez - Culture". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Ibrahim Farahajallah, un habitant de la ville de Khan Younès, connaît depuis deux ans la famine et le quotidien sous les bombes israéliennes. Pourtant, avec sa fille, ils tournent des vidéos comiques qui font des millions de vues. En mélangeant poésie et humour, ils dépeignent le quotidien dramatique des Gazaouis. Notre correspondant à Gaza, Rami El Meghari, l'a rencontré. De notre correspondant à Gaza et de notre envoyé spécial à Jérusalem Un sac de farine sur l'épaule, Ibrahim Farahajallah rejoue sur internet une scène qu'il a vécue dans les rues de Gaza. Une vidéo qui a fait 18 millions de vues sur Facebook. « Je rentrais chez moi, je portais mon sac de farine, et quelqu'un m'a demandé si je pouvais le vendre. On était au plus fort de la famine. Alors, je lui ai répondu immédiatement : "Mais si je vends ma farine, je vends ma propre personne, parce que la faim de mes enfants me coupe les veines" », raconte-t-il. Depuis l'horreur qui s'est abattue sur Gaza dans la foulée du massacre du 7 octobre 2023, Ibrahim n'a cessé de créer, dans sa tente de la banlieue de Khan Younès. La boucherie familiale détruite par les bombes, la peur, la vie, les habitants entassés les uns sur les autres... Il raconte le quotidien de l'enclave sur les réseaux sociaux en reprenant notamment des extraits de films cultes, accompagné de sa fille Reem. « Honnêtement, ma vidéo que je préfère, parmi celles qu'on a faites avec ma fille, c'est celle sur le partage de l'aide. Pour nous, l'aide est tellement rare, et à la fin, il ne nous reste presque rien », confie Ibrahim Farahajallah. Inspiré d'une scène d'un film égyptien où les acteurs se partagent un bout de fromage, il a dû adapter la vidéo avec les moyens du bord. « Je suis allé chercher un biscuit, il coûtait 20 shekels. Tu t'imagines ? Ce biscuit coûtait plus de dix dollars ! », s'exclame-t-il. À lire aussiBande de Gaza: l'enfer de 1,1 million d'enfants pris au piège entre guerre et malnutrition À force de diviser le biscuit entre lui et sa fille, Ibrahim se retrouve sans rien. Une métaphore des conditions de vie qu'ils connaissent depuis plus de deux ans. « C'était le moment où on n'avait pas d'aide. La famine s'était intensifiée et il ne nous restait que des miettes. Même si on nous apportait quelque chose, en réalité, il ne nous restait presque rien. C'était insignifiant, inexistant », se désole-t-il. Les millions de vues, ainsi que le soutien apporté par les médias et les internautes du monde entier ont, en partie, adouci ce quotidien marqué par la faim et les bombardements. Mais cela n'a pas atténué l'espoir de construire une vie ailleurs. Notamment pour Reem, âgée de 10 ans. « Mon rêve, c'est de devenir dentiste pour pouvoir soigner les dents de ma mère. Si je vais en Égypte, je ferai aussi des vidéos et prendrai des cours de comédie. Mon rêve, tout de suite, c'est que la guerre s'arrête, qu'on reprenne une vie normale, quand au moins, on avait de la bonne nourriture », confie la fillette. Le niveau d'aide humanitaire qui entre dans l'enclave reste nettement inférieur au niveau prévu par l'accord de cessez-le-feu. À lire aussi«From Ground Zero», 22 courts métrages de Gazaouis
Bertrand Lesguillons vous présente les sorties ciné: "Predator: Badlands" avec Elle Fanning et la nouvelle comédie de Jérôme Commandeur " T'as pas changé " avec Laurent Lafitte, Vanessa Paradis ou François Damiens.
Témoignage parnormal racontée par un Creeps du nom de Marc en LozèreVoici son histoire :Récit de Marc : Le Gardien de la Maison Vide (Saint-Chély-d'Apcher, 1991)« Cette histoire remonte à 1991. Mon ex-petite amie et sa famille déménageaient. Ils avaient fait leurs cartons et mis leur maison en vente. C'était la crise à l'époque, et son père avait reçu une offre de travail géniale dans une autre région, impossible à refuser.Ils habitaient de l'autre côté de Saint-Chély-d'Apcher, dans le vieux quartier – un coin chic, avec d'immenses maisons style "ranch" sur des terrains énormes. Leur maison, c'était un grand quatre chambres, deux salles de bains, avec un garage séparé, une allée gigantesque qui pouvait accueillir leur bateau et leur camping-car. Les voisins n'étaient pas si proches. Je me souviens d'un arbre immense devant, qui couvrait l'allée, et de quelques arbres fruitiers derrière, peut-être des orangers.Source : https://www.reddit.com/r/Ghoststories/comments/1nnza6g/the_time_i_stayed_a_few_nights_in_an_empty_house/Pour m'envoyer vos histoires danslenoirpdcst@gmail.comPour participer à cette émission horrifique, écrivez à Dans Le Noir sur les réseaux sociaux, j'accepte tout le monde !Mon Instagram HorrifiquePATREONLE seul podcast qui fait peur !Armez-vous de votre casque ou de vos écouteurs !Podcast Horreur, Podcast Surnaturel, Podcast Paranormal & Podcast Creepypasta mais surtout un podcast qui fait peur !Bonne semaine horrifique à tous ! Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Il y a 50 ans, le 6 novembre 1975, des milliers de Marocains entrent sur le territoire du Sahara occidental. Des civils traversent alors la frontière à l'appel du roi Hassan II : c'est la Marche verte. Le chef d'État revendique ce territoire encore sous domination espagnole, estimant qu'il fait historiquement partie du Maroc et qu'il lui a été injustement spolié lors de la colonisation. Cette démonstration de force patriotique et populaire aboutit à la signature des accords de Madrid en 1975 et au retrait des Espagnols. Matthias Raynal a rencontré d'anciens marcheurs. De notre correspondant à Casablanca C'est un reportage radio, mais Ali, 72 ans, tient à répondre à l'interview, entouré de ses reliques. « Ça, c'est le Coran d'époque, c'est avec lui qu'on a récupéré le Sahara. C'était ça notre seule arme, avec ça, le drapeau du Maroc », expose le marcheur de l'époque. Les participants étaient des civils, la marche pacifique. Ali exhibe fièrement son wissam, la médaille qu'il a reçue pour cette marche. Il l'a accrochée au col de sa tunique sahraouie. Le 16 octobre 1975, le roi Hassan II s'adresse à la nation. Il appelle les Marocains à marcher vers le Sahara occidental. Il souhaite que 350 000 personnes s'y rendent pour montrer au monde que son pays n'abandonnera pas ses revendications sur ce territoire. « Au moment du discours, j'étais à la maison, avec ma famille. Il y avait un tel enthousiasme que quand je l'ai entendu, je me suis levé et je leur ai dit : ''je vais partir, notre roi nous demande de récupérer notre terre''. On est parti pour combattre la colonisation, pour poursuivre l'indépendance de notre pays », raconte Ali. Le 6 novembre 1975, l'ordre est donné de traverser la frontière. « On a mis des matelas sur les barbelés pour les mettre à terre. Le drapeau espagnol a été enlevé, on a hissé le drapeau marocain », continue-t-il. Saadia avait seulement 16 ans. Elle se souvient de l'atmosphère qui régnait entre les participants. « On s'est retrouvées entre femmes de tout le Maroc. On était toutes contentes. On n'avait peur de rien. C'était comme si on faisait le pèlerinage ! », explique-t-elle. Elle traversait son pays et rencontrait des Sahraouis pour la première fois. « À Tarfaya, les femmes Sahraouies venaient nous voir, elles venaient passer la journée avec nous dans les tentes, elles étaient contentes qu'on soit là. On s'est liées d'amitié, on passait notre temps ensemble à rigoler, à discuter », poursuit-Saadia. À son retour à Casablanca, elle prit conscience de ce qui venait de se passer. Saadia, Ali et les autres furent accueillis en héros. Tout le monde les attendait. Et partout, se répétaient les mêmes scènes de liesse. À lire aussiSahara occidental : 50 ans après la Marche verte, l'ONU fait évoluer sa position au profit du Maroc
Pour plusieurs jours, De Vive(s) Voix est délocalisée à Ouidah au Bénin. À l'occasion du festival Sin'ART, un échange avec Hakim Bah, auteur et metteur en scène de À bout de sueur et Bardol Migan, qui crée La Noyée de Laëtitia Ajanohun. Deux pièces qui racontent, chacune à sa façon, les allers-retours entre l'Europe et l'Afrique. Focus sur deux pièces qui sont à l'affiche du Sin'ART, festival de théâtre béninois exclusivement consacré aux auteurs et autrices contemporaines. À bout de sueur, un texte écrit et mis en scène par Hakim Bah, raconte l'exil. Elle est inspirée d'une tragédie, la mort de deux adolescents retrouvés morts de froid dans le train d'atterrissage d'un avion, le 2 août 1999. On suit dans la pièce le parcours de Binta, Bachir, et leurs enfants, qui tentent tour à tour le départ vers la France. L'écriture d'Hakim Bah est très rare et reconnaissable : les phrases se brisent, tâtonnent et jouent sur la répétition. Bardol Migan a choisi quant à lui de créer, donc mettre en scène pour la première fois, La Noyée, un texte de l'autrice belge Laëtitia Ajanohun. Il raconte les accidents d'une histoire d'amour, entre le Burkina Faso et la Belgique, qui repose sur une illusion. À lire aussiThéâtre : « À bout de sueurs », d'Hakim Bah et Diane Chavelet au Lucernaire Invités : ► Hakim Bah vit entre la Guinée et la France. Dramaturge, poète et nouvelliste, il a créé avec Billia Bah le festival L'univers des mots à Conakry et en assure aujourd'hui la direction artistique. En 2016, il a reçu le prix RFI Théâtre pour Convulsions. ► Bardol Migan est comédien et metteur en scène. Il dirige la compagnie Baobab Théâtre du Bénin. Le festival le SIN'ART a débuté mercredi 29 octobre 2025 au Bénin et se déroule jusqu'au 1ᵉʳ novembre. Les représentations ont lieu à Ouidah, mais également à Grand Popo, à Togbin ou à Cotonou. Une émission enregistrée à Ouidah au Centre Culturel de Rencontre Internationale John Smith, communément appelé CCRI, ancien tribunal colonial. C'est aujourd'hui un centre pluridisciplinaire, une ruche, centré autour de l'art et de la création. Un lieu d'expression artistique qui accueille notamment des résidences théâtrales, mais aussi de la musique, de la danse et des arts plastiques. Depuis que Janvier Nougloï en assure la direction, le CCRI a évolué, a été entièrement réorganisé et redécoré, dans la visée d'être pluriel et accessible afin que les habitants de la ville se le réapproprient. Programmation musicale : Tgang le Technicien ft. Lil Jay Bingerack - Dans la vie.
Pour plusieurs jours, De Vive(s) Voix est délocalisée à Ouidah au Bénin. À l'occasion du festival Sin'ART, un échange avec Hakim Bah, auteur et metteur en scène de À bout de sueur et Bardol Migan, qui crée La Noyée de Laëtitia Ajanohun. Deux pièces qui racontent, chacune à sa façon, les allers-retours entre l'Europe et l'Afrique. Focus sur deux pièces qui sont à l'affiche du Sin'ART, festival de théâtre béninois exclusivement consacré aux auteurs et autrices contemporaines. À bout de sueur, un texte écrit et mis en scène par Hakim Bah, raconte l'exil. Elle est inspirée d'une tragédie, la mort de deux adolescents retrouvés morts de froid dans le train d'atterrissage d'un avion, le 2 août 1999. On suit dans la pièce le parcours de Binta, Bachir, et leurs enfants, qui tentent tour à tour le départ vers la France. L'écriture d'Hakim Bah est très rare et reconnaissable : les phrases se brisent, tâtonnent et jouent sur la répétition. Bardol Migan a choisi quant à lui de créer, donc mettre en scène pour la première fois, La Noyée, un texte de l'autrice belge Laëtitia Ajanohun. Il raconte les accidents d'une histoire d'amour, entre le Burkina Faso et la Belgique, qui repose sur une illusion. À lire aussiThéâtre : « À bout de sueurs », d'Hakim Bah et Diane Chavelet au Lucernaire Invités : ► Hakim Bah vit entre la Guinée et la France. Dramaturge, poète et nouvelliste, il a créé avec Billia Bah le festival L'univers des mots à Conakry et en assure aujourd'hui la direction artistique. En 2016, il a reçu le prix RFI Théâtre pour Convulsions. ► Bardol Migan est comédien et metteur en scène. Il dirige la compagnie Baobab Théâtre du Bénin. Le festival le SIN'ART a débuté mercredi 29 octobre 2025 au Bénin et se déroule jusqu'au 1ᵉʳ novembre. Les représentations ont lieu à Ouidah, mais également à Grand Popo, à Togbin ou à Cotonou. Une émission enregistrée à Ouidah au Centre Culturel de Rencontre Internationale John Smith, communément appelé CCRI, ancien tribunal colonial. C'est aujourd'hui un centre pluridisciplinaire, une ruche, centré autour de l'art et de la création. Un lieu d'expression artistique qui accueille notamment des résidences théâtrales, mais aussi de la musique, de la danse et des arts plastiques. Depuis que Janvier Nougloï en assure la direction, le CCRI a évolué, a été entièrement réorganisé et redécoré, dans la visée d'être pluriel et accessible afin que les habitants de la ville se le réapproprient. Programmation musicale : Tgang le Technicien ft. Lil Jay Bingerack - Dans la vie.
Le Journal en français facile du mardi 28 octobre 2025, 17 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/C8WS.A
Voici un hors-série de La Bande à D+ animé par Nicolas Fréret, consacré à quatre traileurs amateurs qui ont pris le départ de la 33e édition de la Diagonale des fous dans le cadre du Grand Raid de La Réunion.Johanna Renaudat, Johnny Malet, Jordan Hainaux et Robin Uhl se sont tous les quatre préparés avec l'application d'entraînement personnalisé RunMotion Coach — partenaire de la couverture de Distances+ sur la Diag — et tous les quatre, selon l'expression consacrée, ont "survécu". Autrement dit, ils ont passé la ligne d'arrivée de cet ultra-trail de 180 km et 11 000 m D+, réputé parmi les plus durs de la planète. Nous vous proposons un épisode exceptionnel, comme toujours en mode talk-show, au très enrichissant format AVANT-APRÈS.À noter que Johanna et Johnny avaient raconté leur histoire et leur préparation respective dans l'épisode avant-course de La Bande à D+ aux côtés de Sylvaine Cussot, Ludo Collet, Émilie Maroteaux, Anne Champagne et Ludovic Pommeret. Un épisode à retrouver sur toutes les plateformes de podcasts, tout comme l'émission debrief en deux parties [avec Manon Campano, Anne Champagne, Baptiste Chassagne, Ludovic Collet, Anthony Costa, Sylvaine Cussot, Aurélien Dunand-Pallaz, Blandine L'hirondel, Éric Lacroix, Yannick Noël, Ludovic Pommeret et sa fille Léa Pommeret et William Walker].À noter également que Robin et Jordan s'alimentent en course avec des produits Näak, la marque de nutrition sportive partenaire historique de La Bande à D+ et de la couverture du Grand Raid de La Réunion par Distances+.DEUX PROMOS EXCEPTIONNELLES À L'OCCASION DE LA DIAGONALE DES FOUS :Avec le code DPLUS vous avez 15 % de réductions sur TOUS les abonnements à l'application RunMotion Coach (3, 6 et 12 mois).Avec le code LBAD+ vous avez 20 % de réduction sur TOUTES vos commandes sur le site web de Näak.
Kevin Clabaux, 18 ans, l'un des rares meurtriers à être classé dans la catégorie des cannibale. A la fin de l'hiver 2007, il massacre sa mère et son petit frère. Il voulait goûter la chair de ses victimes et avait décidé qu'il n'en resterait pas là. Des femmes étaient sur sa liste. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Kevin Clabaux, 18 ans, l'un des rares meurtriers à être classé dans la catégorie des cannibale. A la fin de l'hiver 2007, il massacre sa mère et son petit frère. Il voulait goûter la chair de ses victimes et avait décidé qu'il n'en resterait pas là. Des femmes étaient sur sa liste. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:21 - Le Grand reportage de France Inter - À quoi ressemble le monde qui se cache à l'intérieur du smartphone de nos ados ? Inès, Alba, Judith, Stella et Maelya ont entre 16 et 17 ans. Elles vivent à Mérignac, en Gironde. Ensemble, elles racontent leur rapport aux écrans et aux réseaux sociaux. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:05:34 - C'est une chanson - par : Frédéric Pommier - Ils jouent chaque lundi leur spectacle "Papa, pas papa" au théâtre de la Contrescarpe à Paris, spectacle qu'ils joueront également en tournée à partir de novembre. Au micro de Frédéric Pommier, la humoristes Éric Metzger et Quentin Margot évoquent le tube "Pump Up the Jam" du groupe Technotronic. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
lls sont parmi les plus forts du monde, mais surtout parmi les plus lucides.Dans cet épisode, Mathieu Blanchard et Marianne Hogan parlent du mental comme personne n'ose le faire : doutes, peur, échecs, pressions… et même bienveillance envers soi-même.Un échange sincère et profond qui rappelle qu'en trail comme dans la vie, la vraie force, c'est peut-être d'accepter d'être vulnérable.‼️ Profitez de 10 € de réduction sur le site SHOKZ avec le code PODCAST10.
Audrey & Emma me racontent les activités “en plus” qu'elles ont adorées et qu'elles ont vécues avec beaucoup d'enthousiasme et de complicité.Au programme :Embarquer sur un brise-glace, sauter dans la mer brisée par la glace et marcher sur la mer gelée ;S'initier aux nordic skills, pour affronter le froid comme de vraies Lapones.
Patrick Mouratoglou et Michaël Jeremiasz sont nos invités pour parler du French Riviera Open, le plus grand tournoi de tennis-fauteuil au monde après les Grands Chelems. Rendez-vous les 4 et 5 octobre à la Mouratoglou Academy pour vivre une expérience unique. Profitez de -30 % avec le code TL sur la billetterie officielle.
durée : 00:04:29 - Le Grand reportage de France Inter - Donald Trump et Volodymyr Zelensky doivent se rencontrer à New York, en marge l'Assemblée générale des Nations Unies, pour évoquer la question des territoires occupés par la Russie. Pendant ce temps, sur la ligne de front, les Ukrainiens continuent de résister, plus ou moins activement. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Depuis le début de la guerre à Gaza, la France a accueilli quelques centaines de Palestiniens sur son sol. Priorité a été donnée aux familles d'enfants grièvement blessés dans les bombardements, comme Ayham, qui, à 15 ans, a perdu ses deux jambes le 14 octobre 2023. Dans un deuxième temps, des artistes et des scientifiques ont pu être sortis de la bande de Gaza dans le cadre du programme Pause, qui soutient les intellectuels en exil. C'est le cas du Dr Fadel Afana qui a rejoint une équipe de psychiatres à l'hôpital Sainte-Anne à Paris. C'est également le cas d'Abu Joury, un rappeur gazaoui recruté par l'association Al Kamandjati à Angers, avec quatre autres musiciens de la bande de Gaza. Florence Gaillard et Mohamed Fahrat les ont rencontrés.
EXCLU PODCAST – Aujourd'hui, autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot : Joëlle Dago Serry, Didier Giraud et Charles Consigny.
La deuxième heure en intégralité de l'émission « Rothen s'enflamme », le rendez-vous qui vous plonge dans un vestiaire de foot. Tous les soirs, des anciens joueurs professionnels analysent et débattent autour de l'actualité du foot. Jérôme Rothen anime des
durée : 00:39:38 - L'Invité(e) des Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - Septembre arrive, et dans les librairies de France, les tables se parent de centaines de nouveaux romans, soigneusement disposés pour la rentrée littéraire. Plus de 500 titres cette année, un déferlement de récits où dominent l'autofiction et les histoires de famille. - réalisation : Félicie Faugère - invités : William Marx Historien de la littérature, professeur au Collège de France; Lucile Commeaux Critique et chroniqueuse du "Regard culturel" à la matinale de France Culture ; Marie Richeux Productrice de l'émission "le Book Club" sur France Culture et écrivaine; Marie Labory Journaliste, productrice des "Midis de Culture" sur France Culture; Arnaud Laporte Producteur de l'émission "Affaires culturelles" sur France Culture
Le vendredi 22 juillet 2011, des adolescents membres de la Ligue des jeunes travaillistes se réunissent pour un camp d'été sur l'île d'Utøya. Un militant d'extrême-droite, Anders Behring Breivik, débarque et abat de sang-froid 69 personnes, âgées en moyenne de 15 ans. Des dizaines d'autres sont blessées. Cette tuerie dure un peu plus d'une heure avant que la police ne vienne l'arrêter.Devenus adultes, cinq rescapés se livrent sur cet évènement qui a changé leur vie mais surtout sur l'après, leur reconstruction face à l'impensable.Ce hors-série “La tuerie d'Utøya : les survivants se racontent” est un podcast coproduit par Initial Studio, Les films du huitième jour et LSD Films, adapté du documentaire audiovisuel éponyme co-produit par Les films du huitième jour et LSD Films. Ce documentaire a été écrit et réalisé par Maud Vazquez.Bonne écoute ! Pour découvrir nos autres podcasts, suivez Initial Studio sur Instagram et Facebook. Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Astrid Verdun, assistées de Sidonie CottierMontage : Camille LegrasHabillage sonore : Camille Legras et Johanna LalondeIllustration : Laurine VogelAvec la voix d'Astrid Verdun Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Le vendredi 22 juillet 2011, des adolescents membres de la Ligue des jeunes travaillistes se réunissent pour un camp d'été sur l'île d'Utøya. Un militant d'extrême-droite, Anders Behring Breivik, débarque et abat de sang-froid 69 personnes, âgées en moyenne de 15 ans. Des dizaines d'autres sont blessées. Cette tuerie dure un peu plus d'une heure avant que la police ne vienne l'arrêter.Devenus adultes, cinq rescapés se livrent sur cet évènement qui a changé leur vie mais surtout sur l'après, leur reconstruction face à l'impensable.Ce hors-série “La tuerie d'Utøya : les survivants se racontent” est un podcast coproduit par Initial Studio, Les films du huitième jour et LSD Films, adapté du documentaire audiovisuel éponyme co-produit par Les films du huitième jour et LSD Films. Ce documentaire a été écrit et réalisé par Maud Vazquez.Bonne écoute ! Pour découvrir nos autres podcasts, suivez Initial Studio sur Instagram et Facebook. Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Astrid Verdun, assistées de Sidonie CottierMontage : Camille LegrasHabillage sonore : Camille Legras et Johanna LalondeIllustration : Laurine VogelAvec la voix d'Astrid Verdun Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
REDIFF - Le programme portait le nom de code MK-Ultra. Un programme scientifique clandestin, criminel et totalement illégal. Des expériences destinées à prendre le contrôle du cerveau humain. Des médecins employés manipuler les esprits derrière les façades de respectables hôpitaux. Des hommes et de femmes qui ignoraient tout des traitements interdits qu'ils recevaient. Cobayes malgré eux. Histoire vraie qui n'a rien à avoir avec une quelconque fiction. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Retrouvez la boutique LEGEND ➡️: https://shop.legend-group.fr/Les OVNIS existent-ils vraiment ? À quoi ressemblent les extraterrestres ? Pourquoi certaines affaires sont-elles restées secrètes ?À l'occasion de la sortie du film VALENSOLE 1965, LEGEND propose une émission spéciale OVNIS avec, comme invité, Jean-Jacques Velasco, l'ancien directeur du groupe d'étude des phénomènes aérospatiaux non identifiés pendant 27 ans.Parmi les autres invités de cette émission spéciale : Éric Magnan, réalisateur et pilote, qui vient raconter les détails de sa rencontre avec un OVNI, et la petite-nièce de Maurice Masse, l'homme qui a vu un OVNI à Valensole en 1965. Le livre de Jacques Velasco “ Troubles dans le ciel” est dispo juste ici ➡️ https://amzn.to/46600HDLa société d'Eric : Airbornes Films ➡️ https://airbornefilms.com/Pour voir la bande annonce du film VALENSOLE 1965 ➡️ https://youtu.be/S8nQBs28JVYLa page Facebook du film ➡️ https://www.facebook.com/valensolefilmLa page de Virginie ➡️ https://virginiefilms.com/Retrouvez l'interview complète sur YouTube ➡️ https://youtu.be/8zsNS_OqdCgPour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Retrouvez la boutique LEGEND ➡️: https://shop.legend-group.fr/Merci à Nassera et Roseline d'être venues nous voir chez Legend ! Le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel, le frère de Roseline, a été assassiné dans son église par deux terroristes, dont Adel Kermiche, le fils de Nassera. Elles sont devenues amies et ont écrit ensemble un livre pour raconter leur histoire, alerter sur les dangers de la radicalisation et témoigner de leur volonté de pardon.Retrouvez son livre “soeurs de douleur” ➡️: https://amzn.to/44fIHT5Retrouvez l'interview complète sur YouTube ➡️ https://youtu.be/SMueHNrSBCUPour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.