Contemporary art museum in Paris, France
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durée : 02:00:14 - Les Matins du samedi - par : Nicolas Herbeaux - Cette semaine, dans les Matins du samedi, on s'intéresse à ce qu'on appelle l'ère de la post-vérité avec les chercheurs Mickaël Lainé et Charles Mercier. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Anne Bouillon Avocate au barreau de Nantes, spécialisée dans le droit des femmes et les violences conjugales; Michaël Lainé Maître de conférences en économie à l'Université Paris 8; Charles Mercier Maître de conférences en histoire contemporaine à l'université de Bordeaux; Sophie Duplaix Conservatrice en chef des Collections contemporaines au Musée national d'art moderne, Centre Pompidou, Paris.
durée : 00:04:43 - Le Reportage de la rédaction - Avant la fermeture du Centre Pompidou pour cinq ans de restauration, les équipes du musée national décrochent et emballent les œuvres. La mise en caisse d'un tableau monumental de Fernand Léger signe la fin d'une phase importante du déménagement dans les salles dédiées à la collection permanente. - invités : Jeanne Brun Historienne de l'art, directrice adjointe du Musée national d'art moderne du Centre Pompidou
durée : 00:57:10 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En juin 1977, le sculpteur suisse Jean Tinguely est l'invité de Pierre Descargues pour évoquer "Le crocrodrome de Zig et Puce", gigantesque sculpture animée, installée dans le Forum du Centre Pompidou, à Paris. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Jean Tinguely Artiste sculpteur suisse; Yves Klein
durée : 00:08:43 - Ces chansons qui font l'actu - par : Bertrand DICALE - Alors que le Centre Pompidou va fermer pour plusieurs années, revenons sur une mythologie qui concerne moins l'établissement culturel que son quartier.
Unter Namen "Rissing Lion" beginnt bisher größte Militäroperation Israels gegen den Iran, Israel nennt iranisches Atomprogramm als Grund für Angriff auf den Iran, Internationale Stimmen mahnen zu Deeskalation im Konflikt zwischen Israel und dem Iran, Die Meinung, Kritik an der Deutschen Bahn wegen gestiegen Preisen für Familienreservierungen, Weitere Meldungen im Überblick, Ausstellung zu Fotokünstler Wolfgang Tillmans vor sanierungsbedingter Schließung des Centre Pompidou in Paris, Das Wetter
Oelze, Sabine www.deutschlandfunk.de, Kultur heute
Unter Namen "Rissing Lion" beginnt bisher größte Militäroperation Israels gegen den Iran, Israel nennt iranisches Atomprogramm als Grund für Angriff auf den Iran, Internationale Stimmen mahnen zu Deeskalation im Konflikt zwischen Israel und dem Iran, Die Meinung, Kritik an der Deutschen Bahn wegen gestiegen Preisen für Familienreservierungen, Weitere Meldungen im Überblick, Ausstellung zu Fotokünstler Wolfgang Tillmans vor sanierungsbedingter Schließung des Centre Pompidou in Paris, Das Wetter
Rienäcker, Cai www.deutschlandfunkkultur.de, Studio 9
Neues Buch: Ayelet Gundar-Goshens "Ungebetene Gäste". Eine Rezension von Christoph Leibold. Letzte Ausstellung vor dem langen Shutdown: Der deutsche Fotograf Wolfgang Tilmans im weltberühmten Centre Pompidou von Paris. Von Cai Rienäcker, ARD Paris. Bitte keinen schwulen Namenspatron: US-Kriegsschiff 'USNS Harvey Milk‘ soll umbenannt werden. Von Wolfgang Landmesser, ARD Washington.
Oelze, Sabine www.deutschlandfunkkultur.de, Fazit
durée : 00:03:07 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Déplacer des dizaines de milliers de chefs d'œuvres, peut-on considérer cela comme un mouvement artistique ? La dernière exposition du Centre Pompidou avant fermeture s'ouvre vendredi, la rénovation démarrera en septembre et durera 5 ans. Le déménagement monumental a commencé…
durée : 00:03:07 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Déplacer des dizaines de milliers de chefs d'œuvres, peut-on considérer cela comme un mouvement artistique ? La dernière exposition du Centre Pompidou avant fermeture s'ouvre vendredi, la rénovation démarrera en septembre et durera 5 ans. Le déménagement monumental a commencé…
Dans cette exposition, une large sélection d'œuvres d'art brut est présentée au Grand Palais du 19 juin au 21 septembre 2025. Les deux commissaires de l'exposition et collectionneurs, Barbara Safarova et Bruno Decharme, nous parlent de leur passion pour l'art brut, de leur collection et de leur donation d'un fonds d'œuvre au Centre Pompidou. Cristina Agostinelli, commissaire associée, témoigne de l'entrée de ces œuvres dans la collection du Musée national d'art moderne.Réalisation : Delphine CoffinMontage et mixage : Ivan GarielRemerciements à Bruno Decharme, Barbara Safarova et Cristina AgostinelliCette exposition est une coproduction du Grand Palais et du Centre Pompidou Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
In this exhibition, a wide selection of art brut works is presented at the Grand Palais from June 19 to September 21, 2025.The exhibition's two curators and collectors Barbara Safarova and Bruno Decharme, talk about their passion for this art form, their collection and their donation of a body of work to the Centre Pompidou. Cristina Agostinelli, associate curator, talks about the entry of these works into the collection of the Musée national d'art moderne.Realization: Delphine CoffinEditing and mixing: Ivan GarielVoices: Marianne Berges, Marine Dorandeu, Julie Micheron, Olivier RaynalThanks to Bruno Decharme, Barbara Safarova and Cristina AgostinelliThis exhibition is coproducted by Grand Palais and Centre Pompidou Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
De l'Afrique aux Amériques en passant par la Caraïbe, les œuvres de 150 artistes noirs sont montrées en 2025 au Centre Pompidou à Paris. L'exposition s'appelle Paris Noir, circulation artistique et luttes anticoloniales et l'onde de choc qu'elle suscite n'a d'égal que son succès public. Un public renouvelé, curieux de découvrir des artistes des années 50 aux années 2000... dont les œuvres ont rarement été diffusées en France. Une exposition mais aussi un salon de lecture auxquels RFI et la Bibliothèque-archives Bernard Binlin Dadié se sont associés en écho à Paris Noir. En complicité avec Franck Hermann Ekra, critique d'art et curateur, nous recevons la scénariste Marguerite Abouet, le plasticien Hamedine Kane, l'écrivain Mohamed Mbougar Sarr, le comédien Sidiki Bakaba, le metteur en scène Koffi Kwahulé et la réalisatrice Bintou Diarra.Dès l'entrée de l'exposition, la première image inscrit l'exposition dans l'histoire des luttes anticoloniales dont Paris est l'un des carrefours. En référence à la capacité d'agir des Africains dans la capitale de l'A.O.F et A.E.F (Afrique occidentale Française et Afrique équatoriale française), dans l'après Deuxième Guerre mondiale. Sous la forme d'un immense collage, des couvertures emblématiques des livres de la maison d'édition Présence Africaine fondée par Alioune Diop… que ce soit le Docker noir de Sembene Ousmane, Nation nègre et culture de Cheikh Anta Diopou encore Un nègre à Paris de Bernard Dadié. Expression d'une conscience africaine multiforme, l'œuvre de Bernard Dadié est une œuvre émancipatrice, un contre-récit dont les écrits de prison sont un véritable journal de bord de la lutte pour la liberté et la dignité en Côte d'Ivoire, dès la fin des années 40, puisque Dadié a été arrêté en 1949 avec ses camarades militants dont Matthieu Ekra, le grand-père de Franck Hermann Ekra, initiateur de ce salon de lecture.Tous nos remerciements à Alicia Knock, commissaire de l'exposition Paris Noir, circulation artistique et luttes anticoloniales ainsi qu'aux équipes du Centre Pompidou et aux équipes du Centre Wallonie Bruxelles.Découvrir l'expositionÉcoutez le premier épisode proposé par RFI et la Bibliothèque-archives Bernard Binlin Dadié
Merci de soutenir mon travail sur Patreon ou sur PaypalL'exposition "Paris noir - Circulations artistiques et luttes anticoloniales, 1950 – 2000" met en lumière 150 artistes afro-descendants, de l'Afrique aux Amériques en passant par la Caraïbe, dont les œuvres n'ont souvent jamais été montrées en France. Une exposition historique à ne pas manquer !De la création de la revue Présence africaine à celle de Revue noire, l'exposition "Paris noir" retrace la présence et l'influence des artistes noirs en France entre les années 1950 et 2000. Plongée vibrante dans un Paris cosmopolite, lieu de résistance et de création, véritable laboratoire panafricain, l'exposition dévoile l'importance l'importance de ces artistes dans la redéfinition des modernismes et post-modernismes.Visite de l'exposition "Paris noir" avec Alicia Knock et Éva Barois de CaevelDéfi historiographique et matériel de par l'invisibilisation des artistes, la dispersion, voire la disparition de leurs œuvres à travers plusieurs continents, et les lacunes éditoriales et de recherche autour de leurs pratiques, elle retrace, pour la première fois dans une institution nationale française, cinquante ans d'émancipation et d'expression artistique à Paris. Dans la préface du superbe catalogue Paris Noir, Alicia Knock écrit : "L'exposition « Paris noir» a pour ambition de proposer des outils d'exploration d'œuvres et de trajectoires marginalisées. Elle incarne une volonté de résister à la disparition d'œuvres, d'archives et de lieux de création. Elle célèbre des artistes qui ont persisté à s'engager et à créer, malgré un isolement institutionnel. Elle est une invitation à élargir les perspectives et à écrire une histoire-monde multiculturelle."Il est fortement conseillé de réserver ! Vous pouvez le faire sur le site du Centre Pompidou ici.Paris noir - Circulations artistiques et luttes anticoloniales, 1950 – 200019 mars - 30 juin 2025 - Centre Pompidou, ParisMarie-Siguier est co-commissaire de l'exposition "Paris noir", attachée de conservation au sein du département Créations contemporaines et prospectives.Pour voir les liens, photos, playlists et vidéos mentionnés durant l'interview, rendez-vous sur la page de ce podcast sur le site So Sweet Planet On parle de ces podcasts de So Sweet Planet dans l'interview :Le premier panorama des revues artistiques et culturelles du 20è siècle ! Rencontre avec Mica Gherghescu pour évoquer La Fabrique de l'Histoire de l'Art. (2 épisodes)La bibliothèque Chimurenga à Paris : Généalogies de l'imagination radicale noire dans le monde francophone. (3 épisodes) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Arduino Cantàfora, born in Milan in 1945, is a renowned painter and architect whose work bridges the realms of art and architecture. Initially trained as a copyist of Caravaggio, Cantàfora mastered the technical aspects of oil painting, blending his fascination with anatomy and organic forms with his architectural studies at the Politecnico of Milan. His career highlights include his participation in La Tendenza, an architectural movement that reintroduced 20th-century rationalism, and his exhibitions at major international venues such as the Triennale di Milano, Biennale di Venezia, and Centre Pompidou. Cantàfora's creations span from large-scale paintings to stage designs for prestigious opera houses, and his academic contributions include teaching positions at IUAV in Venice, Mendrisio, and EPFL in Lausanne, where he held the chair of visual expression. His work continues to inspire with its distinct Caravaggesque influences and imaginative architectural representations.Thanks for listening! The ThinkND Podcast is brought to you by ThinkND, the University of Notre Dame's online learning community. We connect you with videos, podcasts, articles, courses, and other resources to inspire minds and spark conversations on topics that matter to you — everything from faith and politics, to science, technology, and your career. Learn more about ThinkND and register for upcoming live events at think.nd.edu. Join our LinkedIn community for updates, episode clips, and more.
En septembre 2025, la Maison des mondes africains ouvrira ses portes à Paris, après un véritable parcours du combattant pour trouver un lieu. À sa tête : Liz Gomis, journaliste et réalisatrice, de caractère bien trempé, qui n'esquive pas les tensions du moment. « C'est l'institution que j'aurais voulu à 20 ans », confie-t-elle. Elle porte ce projet avec force, mémoire et convictions. Rencontre avec une femme bien trempée, portée par un désir de transmission, de réparation, et de dialogue entre les récits afro-diasporiques et l'espace culturel français. RFI : Pour celles et ceux qui ne la connaissent pas encore, qu'est-ce que la Maison des Mondes Africains, la MansA ?Liz Gomis : La MansA, c'est une institution culturelle. C'est également un laboratoire. Nous ne nous inscrivons pas comme un musée puisque nous n'aurons pas de collection d'œuvres d'art ou autres. Nous sommes centrés sur la création contemporaine. Je dirais qu'on a un prisme aussi sur la création numérique et l'audiovisuel, parce que je viens de là. L'idée, c'est de pouvoir monter un centre qui sera pluridisciplinaire et qui croisera aussi bien les arts du spectacle, que la littérature, que le cinéma. MansA, le nom de l'institution, c'est Maison des mondes africains. Quand on dit mondes africains, on parle des Caraïbes, on parle des Amériques – du nord et du sud –, on parle de l'océan Indien et on parle évidemment de la diaspora européenne. Parce que l'idée, c'est justement de croiser ces savoirs. L'idée, c'est aussi de les faire découvrir parfois à un public plus jeune. Ce sera notre mission d'éducation, toujours sous le prisme de la culture, qui permettra, je pense, de permettre à certaines personnes de se libérer un peu de l'exigence – parce qu'on a toujours le sentiment qu'il faut avoir lu Achille Mbembe pour pouvoir rentrer dans ces sujets. Alors qu'en fait, on peut y entrer par différents biais. On peut y entrer par des œuvres d'art – en ce moment, il y a l'exposition au Centre Pompidou, Paris Noir – des moments musicaux, des moments d'expositions. Voilà, ce sera un bouillonnement de culture. Vous faites référence à Achille Mbembe qui est à l'origine de ce projet. Comment le projet a-t-il évolué depuis ce premier jet ? Achille Mbembe, effectivement, est à l'initiative de ce projet. Ensuite, j'ai vite été mise à contribution pour écrire le rapport de préfiguration. Achille est arrivé évidemment avec la philosophie et l'idée du projet, mais ensuite, il fallait transformer cela en un projet tangible. Voilà comment le projet a évolué. Je peux dire que j'y ai mis toutes mes tripes et j'y ai également mis une part de moi parce que, quelque part, la MansA, c'est un peu l'institution que j'attendais lorsque j'avais 20 ans. C'est l'institution qui m'aurait permis, il y a 20 ans, de mieux comprendre qui j'étais en tant que Française dont les parents sont nés sur le continent africain et qui parfois avaient du mal à trouver sa place. Aujourd'hui, j'en ai 24 de plus, donc je ne me pose plus cette question. Mais je sais que c'est une question qui continue de perturber et de questionner de jeunes gens et de jeunes femmes qui sont pleinement français et qui se posent toujours la question de savoir quelle est leur place dans le pays dans lequel ils sont nés. Vous parlez de cette difficulté à trouver sa place. Comment faire entendre cette voix dans une France où les crispations identitaires s'accentuent ? C'est toujours compliqué de monter un projet, en premier lieu. Évidemment, on sait bien que le sujet de l'Afrique et de ses descendants, cela crispe. Mais moi, j'ai juste envie de dire aux Français, ayez de la mémoire. Rappelez-vous qu'à un moment donné, on était content d'avoir les tirailleurs sénégalais. Rappelez-vous qu'on était heureux d'aller voir Joséphine Baker sur scène. Rappelez-vous que Manu Dibango était le directeur musical de la seule émission musicale de l'ORTF, Pulsations, et que le producteur était Gésip Légitimus. Rappelez-vous de tout cela. Je suis juste là pour dire, nous avons une mémoire. Si on fait le choix de se replier en invoquant le fantasme d'une France qui aurait toujours été monochrome, c'est un mensonge que l'on se fait. Ce pays a toujours été un brassage. Tout ce qu'on fait avec MansA, c'est de rappeler les Français à leur histoire. Il ne faudrait pas glisser vers cette voie du repli. Au fond, qu'est-ce que ça nous apporte ? On voit bien les États-Unis en train de se replier. Honnêtement, cela ne donne pas envie, ce qu'on est en train de voir aujourd'hui. Est-ce que c'est cela, la marche du monde ? Je ne crois pas. Comment est financée la Maison des Mondes Africains ?Pour l'instant, c'est financé par la puissance publique. Nous sommes en train de monter notre cellule de mécénat, parce qu'il s'agit aussi d'aller lever des fonds privés. Mais pour le moment, oui, nous sommes financés par la puissance publique. Personnellement, qu'est-ce qui vous porte dans ce projet ? Ce qui me motive, ce sont mes parents. C'est le parcours de mes parents. C'est de se dire qu'une femme qui s'appelle Émilie Mendy, qui est partie de Guinée-Bissau, qui est arrivée au Sénégal à l'âge de douze ans, qui est ensuite arrivée en France à l'âge de 19 ans, qui a fait des ménages et qui s'est battu toute sa vie pour en avoir une, de vie digne, mais aussi pour que ses enfants soient sur un chemin qui soit digne également. Ma motivation, c'est de me dire : « Je ne peux pas décevoir ce parcours. » Ma motivation première, c'est celle-ci, c'est d'abord de rendre hommage à mes parents. La deuxième motivation, c'est que maintenant, je regarde derrière moi et je vois les plus jeunes. Je ne peux pas me dire que ces plus jeunes vivront le même parcours que le mien. Je suis obligé d'être à la hauteur. Voici ce qui me motive tous les matins et qui fait que je me lève et que je me bats pour que cette institution existe parce qu'on a besoin de « role model », de modèles en français. Je ne sais pas si je suis un « role model », mais de voir les stagiaires d'observation qu'on a pu avoir nous renvoyer des messages en nous disant : « J'ai eu 20 sur 20 à mon rapport de stage et c'est grâce à vous, j'aimerais bien faire mon stage de seconde chez vous. » Alors que ce sont des gens qui sont motivés par le football et qui m'ont dit qu'ils n'avaient pas envie d'aller faire un stage dans un club de foot ou à la fédération. Pour moi, ce sont des victoires. Parce que pour une fois, ils se sont dit : « Je fais un stage d'observation et la directrice est une femme d'origine africaine, elle ressemble à ma sœur, elle ressemble à ma mère, elle ressemble à ma tante. En fait, c'est possible. » L'idée est de se dire qu'on a ouvert la porte. On offre un champ des possibles quelque part infini. Moi, à partir de ce moment-là, ma motivation démarre et après, plus rien ne peut m'arrêter. À lire aussiLa Maison des mondes africains a trouvé ses locaux à Paris après des mois de controverses
durée : 00:59:05 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Antoine Ravon - Bourgeonnements, floraison et douceur du temps : le printemps s'annonce après l'hiver comme la saison du renouveau, d'un élan retrouvé, qui revient toujours sans être jamais tout à fait pareil. Le printemps n'est-il pas la métaphore du recommencement ? - réalisation : Riyad Cairat - invités : Mathieu Potte-Bonneville Philosophe et directeur du département Culture et création du Centre Pompidou; Vincent Delecroix Philosophe et romancier
durée : 01:00:05 - Elsa Wolliaston, danseuse, pédagogue et chorégraphe - par : Priscille Lafitte - Reconnue comme figure de la danse contemporaine, Elsa Wolliaston vient de souffler ses 80 bougies au Centre Pompidou, en présence de la chanteuse Camille et du cinéaste Arnaud Desplechin. La chorégraphe parle ici d'une pierre majeure dans son parcours : sa formation de pianiste classique. - réalisé par : Claire Lagarde
durée : 01:48:25 - Comme un samedi - par : Arnaud Laporte - Le plasticien Laurent Grasso nous transporte dans ses œuvres où des roches lévitent, où un deuxième soleil apparaît comme une manifestation divine, où tout est nimbé de mystère et où le temps se brouille. On ralentit, on suspend tout avec lui, le temps d'une carte blanche. - réalisation : Alexandre Fougeron - invités : Laurent Grasso Plasticien; Donatien Grau conseiller pour les programmes contemporains au musée du Louvre; Jeanne Brun Historienne de l'art, directrice adjointe du Musée national d'art moderne du Centre Pompidou; Nicolas Saada Réalisateur, scénariste, programmateur musical et directeur de la photo; Micha Lescot Comédien; Awa Ly Auteure-compositrice-interprète
Pierre-Michel MengerCollège de FranceAnnée 2023-2024Sociologie du travail créateurColloque - Boulez : l'invention au pouvoir ? Les années 1975-1995 - Le réformisme institutionnel de Pierre BoulezSession 5 : Le musicien sur tous les frontsIntervenant :Laurent BayleCommissaire général de l'année Pierre Boulez 2025Colloque organisé pour le centenaire de la naissance de Pierre Boulez par le Pr Pierre-Michel Menger, chaire Sociologie du travail créateur, et Nicolas Donin, professeur de musicologie à l'université de Genève.Avec le soutien de la Fondation du Collège de France et de son grand mécène LVMH.RésuméBien avant que 1977 ne marque l'inauguration de l'Ircam et le début de son enseignement au Collège de France, Pierre Boulez avait posé les bases de son action publique. Il l'avait même fait en suscitant des polémiques retentissantes qui laissèrent peu de doute sur le caractère entier de son engagement. Ainsi du célèbre plaidoyer au titre assassin, Il faut brûler les maisons d'opéra, paru dans Der Spiegel en 1967.À plus d'un titre, les « années Collège » représentent néanmoins un changement d'échelle : fort de son leadership, il abandonne ses modes d'action militants et « artisanaux » des débuts dans le but de mener à bien son dessein de modernisation de l'ensemble du paysage musical ; il n'hésite pas à se retirer partiellement de ses responsabilités planétaires pour mieux assumer, après deux décennies de désamour, son retour sur la scène institutionnelle française (corrélé à la genèse de l'Ircam, l'Ensemble Intercontemporain, l'Opéra-Bastille, jusqu'à la Cité de la musique) ; ou encore, il formalise, dès le lancement du Centre Pompidou, le besoin d'établir de fortes synergies entre des pôles généralistes multiformes et des satellites spécialisés, afin que la recherche se confronte au monde extérieur.Ma communication tentera de cerner les lignes de force qui traversaient sa démarche institutionnelle, en prenant notamment appui sur mes souvenirs personnels, tel que j'ai déjà pu les évoquer dans un petit livre, Pierre Boulez aujourd'hui, paru aux éditions Odile Jacob en janvier 2025. J'ai en effet eu la chance d'accompagner sa trajectoire dès 1986, en assumant d'abord la direction artistique de l'Ircam, puis, en lui succédant à la tête de cet Institut en 1992, avant de prendre la direction de la Cité de la musique en 2001 et de poursuivre son combat pour la construction d'un grand auditorium qui ne verra le jour qu'en 2015. De ma position d'observateur et d'acteur privilégié, j'ai pu mesurer une adversité qui, prompte à dénoncer l'hégémonie supposée de Pierre Boulez, entretenait la thèse d'un renversement de conduite et de valeurs résultant de sa réussite internationale de chef d'orchestre : il serait rapidement passé d'un engagement collectif, souvent associé au clan des « modernes engagés à gauche », à une posture individualiste marquée par le compromis et l'instrumentalisation.L'ambivalence de sa relation avec l'Opéra de Paris représente à cet égard un cas intéressant à observer. Ce projet l'occupa sûrement autant que la mise en place plus tardive de la Cité de la musique. Déjà, au milieu des années 1960, il s'était engagé, avec Maurice Béjart, auprès de Jean Vilar pour transformer l'Opéra Garnier. Le renoncement d'André Malraux avait alors accéléré son « exil » et son activisme international. Plus tard, au cœur des « années Collège », de 1982 à 1989, il tentera à nouveau, malgré son scepticisme grandissant, de réformer l'art lyrique en s'impliquant fortement dans la construction de l'Opéra-Bastille. Ses préconisations dépassaient la problématique de la « correspondance entre les arts », reflétant son attirance pour l'émergence d'une organisation transverse, déjà éprouvée à l'Ircam, à même de s'ouvrir à la création tout en donnant sens à l'exposition d'un répertoire élargi. Les pouvoirs successifs se tinrent à bonne distance, mais cet échec, loin de sonner le glas des visions bouléziennes, motivera au contraire le work in progress de la Villette.Les nombreuses tribunes relatives à la politique culturelle parues au fil du temps dans la presse généraliste sous la signature de Pierre Boulez, incluant celle du Spiegel, parlent d'elles-mêmes : une fois franchie l'équivoque volontaire de l'accroche, il s'est toujours placé dans une perspective visant à améliorer les structures existantes par des aménagements progressifs des usages plutôt que par l'exaltation d'un quelconque schisme. Le temps de la conquête motive des formes de guérilla et des élans polémiques énergisants, faute de quoi rien n'avance [Pourquoi je dis non à Malraux (1966), La Cité unijambiste (1999), etc.]. L'exercice du pouvoir, lui, fixe des règles autrement contraignantes : dès l'aventure du Domaine musical lancée en 1953, pour Pierre Boulez, gouverner, c'est s'engager dans la voie de réformes au long cours, au risque assumé de concessions voire de renoncements passagers.Une forme d'unité se dégage de sa pratique de responsable empreinte de hasard et de détermination. Allusion faite à la formule jaurésienne de « réformisme révolutionnaire », il est possible d'affirmer que Pierre Boulez, fin dialecticien de « l'ordre et du chaos », a pensé avant tout l'institution en termes d'évolution et non de rupture radicale.
Pierre-Michel MengerCollège de FranceAnnée 2023-2024Sociologie du travail créateurColloque - Boulez : l'invention au pouvoir ? Les années 1975-1995 - (Re)penser le concept de recherche musicale : Boulez et la création de l'IrcamSession 4 : La musique en questionIntervenant :François-Xavier FéronChercheur, laboratoire Sciences et Technologies de la Musique et du Son, Ircam / CNRS / Sorbonne UniversitéLaura ZattraProfesseure titulaire d'histoire de la musique, Conservatoire d'UdineColloque organisé pour le centenaire de la naissance de Pierre Boulez par le Pr Pierre-Michel Menger, chaire Sociologie du travail créateur, et Nicolas Donin, professeur de musicologie à l'université de Genève.Avec le soutien de la Fondation du Collège de France et de son grand mécène LVMH.RésuméSollicité par le président Georges Pompidou, Pierre Boulez s'attelle en novembre 1970 à l'élaboration d'un projet visant à intégrer, dans le futur centre d'Art du plateau Beaubourg, un institut de recherche sur la musique. Au cours des trois années suivantes, Boulez fait des consultations et constitue l'équipe avec laquelle il va enrichir et consolider son projet. Le 7 mars 1974, celui-ci est dévoilé au public au cours d'une conférence de presse et à travers une brochure dans laquelle on peut lire: "Le musicien rêve d'un autre monde, mais ce monde, il ne pourra jamais en créer lui-même la technologie. Le scientifique, lui, peut accélérer l'avènement de ce monde s'il est capable de comprendre les lendemains que le musicien balbutie."Unir ces deux mondes dans une recherche commune est ainsi la raison d'être de l'Ircam. Mais en quoi le projet boulézien se démarque-t-il totalement de celui du Groupe de recherches musicales (GRM) ou de celui du Centre d'études de mathématique et automatique musicales (CEMAMu) ? Comment Boulez parvient-il à mettre en œuvre sa vision de la recherche musicale en promouvant l'interdisciplinarité et le travail collectif ? Comment certains aspects architecturaux, logistiques et organisationnels contribuent-ils à renforcer cette union entre scientifiques et musiciens ?Pour répondre à ces questions, nous nous intéresserons à la genèse de l'Ircam et à ses premières années d'existence, jusqu'à la tenue, en février 1983, du séminaire international intitulé "Le concept de recherche en musique". En nous basant sur l'étude des archives – le Fonds Pierre Boulez à la fondation Paul Sacher, les archives de l'Ircam et celles du Centre Pompidou – ainsi que sur les récits inédits collectés dans le cadre du projet RAMHO (Recherche et acoustique musicales en France : une histoire orale), nous analyserons les stratégies et actions que Boulez met en place à cette époque pour "remettre en question".
Season 25 begins! We meet Juergen Teller, one of the world's most sought-after contemporary photographers, successfully straddling the interface of both art and commercial photography.We discuss childhood, touring with Nirvana, Agnès Varda, Tracey Emin, William Eggleston, Kate Moss, Pope Francis, Kristen McMenemy, Zoe Bedeaux, collaborating with @DovileDrizyte and breakthroughs with Marc Jacobs. Juergen Teller's new exhibition of his photographs taken at Auschwitz Birkenau is now open Kunsthaus Göttingen, Germany until 1 June 2025 @KunsthausGoettingen. An accompanying photobook is published by @SteidlVerlag. 7 ½, Teller's concurrent exhibition runs at Galleria Degli Antichi, Sabbioneta, Italy until 23 November 2025 @VisitSabbioneta.Teller (b.1964) grew up in Bubenreuth near Erlangen, Germany. Teller graduated in 1986 and moved to London, finding work in the music industry shooting record covers for musicians such as Simply Red, Sinéad O'Connor and Morrissey with the help of the photographer, Nick Knight. By the early 1990s, he was working for avant-garde fashion magazines such as i-D, The Face, Details and Arena. Teller has collaborated with many fashion designers over the years, including Helmut Lang, Marc Jacobs, Yves Saint Laurent, Vivienne Westwood, Celine and Louis Vuitton.Teller was the recipient of the Citibank Photography Prize in association with the Photographer's Gallery, London in 2003. In 2007, he represented the Ukraine as one of five artists in the 52nd Venice Biennale. Teller has exhibited internationally, including solo shows at the Photographer's Gallery, London (1998), Kunsthalle Wien, Vienna (2004), Foundation Cartier, Paris (2006), Kunsthalle Nürnberg, Germany (2009), Daelim Contemporary Art Museum, Seoul (2011), Dallas Contemporary, USA (2011), Institute of Contemporary Art, London (2013), Deste Foundation, Athens (2014), Contemporary Fine Arts, Berlin (2015) and Bundeskunstalle, Bonn (2016).Teller's work is featured in numerous collections around the world, including the Centre Pompidou, Paris; International Center for Photography, New York; Pinchuk Art Centre, Kiev; and the Victoria & Albert Museum, London. He has published forty-one artist books and exhibition catalogues since 1996. He currently holds a Professorship of Photography at the Akademie der Bildenden Künste Nürnberg, and lives and works in London. Follow @JuergenTellerStudio and https://www.juergenteller.co.uk/ Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Episode 475 / Banks VioletteBanks Violette is an artist born in Ithaca, NY who lives and works in Ithaca, NY. He recieved his BFA from the School of Visual Arts and an MFA from Columbia University. He's had numerous solo shows including ones at MoCa, Connecticut, Gladstone Gallery, Blum & Poe, Thaddeus Ropac, Maureen Paley, Team Gallery, Rodolphe Janssen, and the Whitney Museum to name just a few. He's had scores of group shows all over the globe from the Museum of Modern Art to the Warhol Museum and his work is in the collections of The Coppel Foundation, MexicoThe Ellipse Foundation, Portugal, The Centre Pompidou, Paris, France, Frank Cohen Collection, Manchester, England The Jumex Foundation, Mexico, Los Angeles County Museum of Art, Los Angeles, Migros Museum für Gegenwartskunst, Zurich, Switzerland Musée d'Art Moderne et Contemporain, Geneva, Switzerland Museum of Contemporary Art, Los Angeles, Museum of Modern Art, New York, The OverHolland Collection, Amsterdam, The Netherlands The Saatchi Collection, London, UK, The Solomon R. Guggenheim Museum, New York, Frederick R. Weisman Art Foundation, Los Angeles and the Whitney Museum of American Art, New York.
Mercredi 21 mai :Le remède contre le cancer sera peut-être belge. Epics Therapeutics, une biotech basée à Charleroi, se prépare à lancer cette année une étude clinique de phase 1. Elle va tester un nouveau traitement contre le cancer. Une découverte majeure qui devrait permettre de mieux cibler le traitement des patients. Aux abords du Canal, l'ancien garage Citroën continue sa mue. L'espace de 40 000 mètres carrés accueillera bientôt “le musée d'art contemporain Kanal-Centre Pompidou” et des dizaines d'ouvriers terminent le gros œuvre de l'iconique bâtiment. Ces dernières années, les États-Unis ont souhaité que tous les pays de l'OTAN consacrent 5 % de leur PIB à la défense, et la décision de s'y résoudre devrait être prise lors du sommet de l'OTAN en juin. Pourquoi la Belgique ne peut-elle simplement pas le faire ? Pourquoi d'autres pays insistent-ils ? Et comment la Belgique risque-t-elle d'être laissée pour compte ?
Curator Sukanya Rajaratnam and biographer Jon Ott weld together African American culture and 20th century Western/European modernism, through Richard Hunt's 1956 sculpture, Hero's Head.Born on the South Side of Chicago, sculptor Richard Hunt (1935-2023) was immersed in the city's culture, politics, and architecture. At the major exhibition, Sculpture of the Twentieth Century, which travelled from the Museum of Modern Art (MoMA) in New York in 1953, he engaged with the works of artists Julio González, Pablo Picasso, and Constantin Brâncuși - encounters with Western/European modernism, that ‘catalysed' his use of metal, as the medium of his time and place.Hero's Head (1956), one of Richard's earliest mature works, was the first among many artistic responses dedicated to the legacy of Emmett Till. The previous year, Hunt joined over 100,000 mourners in attendance of the open-casket visitation of Till, a 14-year-old African American boy whose brutal lynching in Mississippi marked a seismic moment in national history. Modestly scaled to the dimensions of a human head, and delicately resting on a stainless-steel plinth, the welded steel sculpture preserves the image of Till's mutilated face. Composed of scrap metal parts, with dapples of burnished gold, it reflects the artist's use of found objects, and interest in ancient Greek and Roman mythology, which characterise his later works.With the first major European exhibition, and posthumous retrospective, of Richard's work at White Cube in London, curators Sukanya Rajaratnam and Jon Ott delve into the artist's prolific career. We critically discuss their diasporic engagement with cultural heritage; Richard collected over one thousand works of 'African art', referenced in sculptures like Dogonese (1985), and soon travelled to the continent for exhibitions like 10 Negro Artists from the US in Dakar, Senegal (1965). Jon details the reception of Richard's work, and engagement with the natural environment, connecting the ‘red soil' of Africa to agricultural plantations worked by Black slaves in southern America. We look at their work in a concurrent group exhibition at the Centre Pompidou, which retraces the presence and influence of Black artists in Paris, and considers the city as a ‘mobile site', highlighting the back-and-forth exchanges between artists, media, and movements like abstract expressionism. Shared forms are found in the works of French painters, Wangechi Mutu's Afrofuturist bronzes, and Richard's contemporaries practicing in France, Spain, Italy, and England.Plus, LeRonn P. Brooks, Curator at the Getty Research Institute, details Richard's ongoing legacies in public sculpture, and commemorations of those central to the Civil Rights Movement, including Martin Luther King Jr., Ida B. Wells-Barnett, Mary McLeod Bethune, Hobart Taylor Jr., and Jesse Owens.Richard Hunt: Metamorphosis is at White Cube Bermondsey in London until 29 June 2025.Paris Noir: Artistic circulations and anti-colonial resistance, 1950 – 2000 is at the Centre Pompidou in Paris until 30 June 2025.Listen to Sylvia Snowden at White Cube Paris, in the EMPIRE LINES episode on M Street (1978-1997).Hear more about Wangechi Mutu's This second dreamer (2017), with Ekow Eshun, curator of the touring exhibition, The Time is Always Now (2024).For more about Dogonese and ‘African masks' from Mali, listen to Manthia Diawara, co-curator of The Trembling Museum at the Hunterian in Glasgow, part of PEACE FREQUENCIES 2023.For more about ‘Negro Arts' exhibitions in Dakar, Senegal, read about Barbara Chase-Riboud: Infinite Folds at the Serpentine in London.For more about Black Southern Assemblage, hear Raina Lampkins-Felder, curator at the Souls Grown Deep Foundation and Royal Academy in London, on the Quiltmakers of Gee's Bend (20th Century-Now).
Le 13 mai 2025 débute la 78e édition le Festival de Cannes, l'occasion de célébrer le cinéma sous toutes ses formes. L'industrie du cinéma hollywoodien recèle d'anecdotes complètement dingues. Et s'il y a bien un film qui les additionnent, c'est Roar de Noel Marshall, sorti en 1981. Si vous n'en avez pas entendu parler c'est que ce film n'a pas rencontré le succès escompté en salles. Son aura a grandi par la suite (mais pas pour les bonnes raisons). Il est donc temps de découvrir Roar, disponible sur Amazon prime pour ceux profitant du Pass Warner, décrit par l'acteur Jeff Goldblum comme "la pire idée de toute la longue et triste histoire des mauvaises idées'". Un film édifiant, considéré comme le plus dangereux jamais réalisé. Qu'est-ce que raconte le film Roar ? Pourquoi le tournage est considéré comme fou ? Quels ont été les accidents les plus marquants du tournage ? Ecoutez la suite dans cet épisode de "Maintenant vous savez - Culture". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Jonathan Aupart. A écouter aussi : Pourquoi le Centre Pompidou n'aurait-il jamais dû exister ? À quoi sert le clap au cinéma ? Le jeu Squid Game pourrait-il devenir une réalité ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez culture". Suivez Bababam sur Instagram. Première diffusion le 16 juin 2023 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Le Centre Pompidou à Metz fête ses 15 ans. L'exposition très attendue "Dimanche sans fin" ouvre ses portes. Elle aura cette spécificité de présenter près de 400 œuvres majeures issues des collections du Pompidou de Paris. Ecoutez Chiara Parisi, sa directrice.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Am 22. Mai wäre Jean Tinguely 100 Jahre alt geworden. Zum Jubiläum lässt es das Museum Tinguely in Basel spuken. Moderatorin Nina Mavis Brunner wagt als erste eine Fahrt durch die Kunst-Geisterbahn und begleitet Jean-Marc Gaillard, der Tinguelys Maschinen am Leben hält; für Basel und die ganze Welt. Zum Jubiläumsfest am 22. Mai wartet das Museum Tinguely in Basel mit einer kunstvollen Geisterbahn auf. Im Solitude Park wird die Wiener Prater Geisterbahn aus den 1930er Jahren, die einst auf der Basler Herbstmesse Kult war, zu neuem Leben erweckt. Die britische Künstlerin Rebecca Moss und der Künstler Augustin Rebetez, der in der Westschweiz lebt und arbeitet, gestalten den Innenraum der historischen Bahn komplett neu. Die Kollaboration ist eine Referenz auf die gigantische Installation «Le Crocrodrome de Zig et Puce», die Tinguely 1977 zusammen mit Bernhard Luginbühl, Daniel Spoerri und Niki de Saint Phalle zur Eröffnung des Centre Pompidou in Paris kreierte. «Kulturplatz»-Moderatorin Nina Mavis Brunner hat sich in die Geisterbahn gewagt. Ebenfalls wird der runde Geburtstag mit diversen Ausstellungen im In- und Ausland gefeiert. Ergo gehen Tinguelys Werke aus Basel auf Reisen. Heikel, denn die Maschinen sind fragil. Trotz Eisen. Jede Bewegung bedeutet: dem Tod ein Stückchen näher. Dass die meisten aber auch heute noch laufen, ist nicht zuletzt Jean-Marc Gaillard zu verdanken, der dem Meister noch fünf Jahre lang vor dessen Tod 1991 persönlich assistierte. Seit 2003 ist Gaillard Konservator am Museum Tinguely, baut mit seinen Kollegen Maschinen des Künstlers weltweit auf und ab und sucht nächtelang im Internet nach Ersatzteilen, um «Jeannots» Werke so originalgetreu wie nur irgend möglich am Leben zu erhalten. Denn wenn das Räderwerk nicht mehr dreht, wird es seiner Seele beraubt.
durée : 00:24:19 - L'invité de 8h20 - L'écrivain Dany Laferrière, membre de l'Académie Française, lauréat du prix Médicis en 2009 est l'auteur de “Grand intérieur rouge” chez Grasset dans une nouvelle collection “Un seul art” en partenariat avec le Centre Pompidou.
Née en 1878, la designer et architecte Eileen Gray est à lʹorigine, avec lʹarchitecte Jean Badovici, de la villa E-1027. Cette maison se trouve en bord de mer à Roquebrune-Cap-Martin et elle est considérée comme une icône de lʹarchitecture moderne. Pour en parler, Johanne Dussez sʹentretient avec Cloé Pitiot, designer de grands projets de monuments au Centre des monuments nationaux et commissaire de lʹexposition "Eileen Gray" qui sʹest tenue au Centre Pompidou à Paris Sujets traités : Eileen Gray, Jean Badovici, architecte, villa E-1027. Roquebrune-Cap-Martin maison , mer Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:42:15 - Signes des temps - par : Marc Weitzmann - Alors que se tient jusqu'à début juin, l'exposition "Apocalypse" à la BNF, Marc Weitzmann reçoit deux des commissaires de l'exposition Jeanne Brun et François Angelier pour explorer l'imaginaire et les représentations autour de cette fin du monde. - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : François Angelier Producteur de l'émission "Mauvais Genres" sur France Culture, spécialiste de littérature populaire; Jeanne Brun Historienne de l'art, directrice adjointe du Musée national d'art moderne du Centre Pompidou, commissaire générale de l'exposition Apocalypse. Hier et Demain, jusqu'au 9 juin à la BnF
WEF leitet Untersuchung gegen Klaus Schwab ein, Novartis und Roche wollen Milliarden in den USA investieren, Ukraine – der fragwürdige Friedensplan von Trump, «Paris noir» – Centre Pompidou würdigt schwarze Kunstschaffende
Dans le Paris de l'après-guerre, artistes et intellectuels venus d'Afrique, des Caraïbes et des Amériques se sont retrouvés dans la ville lumière, afin d'explorer l'identité noire. C'est l'époque du "Paris noir", du nom d'une exposition éponyme, qui se tient actuellement au Centre Pompidou, à Paris. Elle retrace la présence de 150 artistes africains, afro-américains et caribéens dans la ville-lumière durant la seconde moitié du XXᵉ siècle. Dans cette émission, nous vous emmenons sur les traces du "Paris noir" et à la rencontre d'artistes contemporains, dignes héritiers de cette époque.
Sur fond de crise humanitaire à Gaza, Emmanuel Macron affiche son entente avec le président égyptien Al-Sissi La Corée du Sud mise sur le scrutin présidentiel anticipé pour mettre un terme à la crise politique Le poisson-ballon, ennemi public n°1 en Méditerranée En vue de sa rénovation, le Centre Pompidou entreprend le déménagement de sa collection David Hockney est mis à l'honneur dans une rétrospective incontournable
From 2023 May 10 to August 7, the Centre Pompidou (or "Beaubourg" for those who know him well ;-) ) is dedicating an exhibition to a major world figure in architecture: Sir Norman Foster, PRITZKER Prize. This world-renowned architect is at the head of one of the world's largest architectural firms, Foster + Partners, which designed, for example, the Apple headquarters in Cupertino, California, and the Millau Viaduct. His rise has been meteoric. He himself says Architect's of the world (...) don't take yourselves so seriously. In addition to this flagship exhibition, this event is an opportunity for us to question the figure of the architect! Because, between yesterday when the reign of the star architect was rampant and today when everything is smoothed out and values are stupidly annihilated, where are we?Anne-Charlotte DepondtImage teaser © photo by Agata Kadar ; London, UK: details of modern white structure of the British Museum by Foster + Partners architectsSound engineering : Julien Rebours___If you like the podcast do not hesitate:. to subscribe so you don't miss the next episodes,. to leave us stars and a comment :-),. to follow us on Instagram @comdarchipodcast to find beautiful images, always chosen with care, so as to enrich your view on the subject.Nice week to all of you ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Du 10 mai au 7 août 2023 le Centre Pompidou (ou "Beaubourg" pour les intimes ;-) ) consacre une exposition à la figure mondiale, emblématique, majeure de l'architecture : Sir Norman Foster, Prix PRITZKER. Cet architecte de renommée mondiale est à la tête de l'une des plus grandes agences d'architecture au monde, Foster + Partners, auteur par exemple du siège d'Apple à Cupertino en Californie ou bien du Viaduc de Millau. Son ascension a été fulgurante. Il dit lui-même Architect's of the world (...) don't take yourselves so seriously/ Architectes du monde (...) ne vous prenez pas trop au sérieux.Outre cette exposition phare, cet évènement est pour nous l'occasion d'interroger la figure de l'architecte ! Car, entre hier où sévissait le règne de la star architecte et aujourd'hui où tout est lissé et les valeurs très bêtement annihilées, où en sommes-nous?Anne-Charlotte DepondtImage teaser © photo by Agata Kadar ; London, UK: details of modern white structure of the British Museum by Foster + Partners architectsIngénierie son : Julien Rebours____Si le podcast COM D'ARCHI vous plaît n'hésitez pas :. à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes,. à nous laisser des étoiles et un commentaire, :-),. à nous suivre sur Instagram @comdarchipodcast pourretrouver de belles images, toujours choisies avec soin, de manière à enrichirvotre regard sur le sujet.Bonne semaine à tous ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Episode No. 700 (!) features artist Tarrah Krajnak and curator Claire Howard. Krajnak is featured in two exhibitions on opposite sides of the United States. At the San Francisco Museum of Modern Art, Krajnak is featured in "Around Group f.64: Legacies and Counterhistories in Bay Area Photography" through July 13. The exhibition was curated by Shana Lopes, Erin O'Toole, and Delphine Sims, with Sally Katz and Alex Landry. At the International Center of Photography, New York, Kraynak's work is included in "To Conjure: New Archives in Recent Photography." Organized by Sara Ickow, Keisha Scarville, and Elisabeth Sherman, the exhibition presents the ways in which seven photographers are reimagining what an archive can be, or might look like. A third US exhibition of Krajnak's work opens April 16 at the Frye Art Museum, Seattle. It will be curated by Georgia Erger. Krajnak works between photography, performance, and poetry. Krajnak, who was born in Peru to an Indigenous mother and who was raised by a transracial US family, often interrogates photography standards and finds that they have limited women, and furthered the violent loss of Native land, lives, and rights. She has won most major photography prizes; her work is in the collections of museums such as the Museum of Modern Art, New York; the Tate Modern, London; the Centre Pompidou, Paris; and the Museum Ludwig, Cologne. Raab is the author of "Relics of War: The History of a Photograph" from Princeton University Press. It examines a photograph made by Clara Barton and published by Matthew Brady that features relics from the notorious Confederate prison at Andersonville, Georgia. "Relics of War" traces how the photograph was a central part of Barton's work of addressing mass death and related grief. Amazon and Bookshop offer it for $42-59. Instagram: Tarrah Krajnak, Tyler Green.
durée : 00:09:52 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Les critiques discutent de "Enormément bizarre, la collection Jean Chatelus, donation de la fondation Antoine de Galbert", une exposition à découvrir au Centre Pompidou à Paris, qui montre la quasi-totalité des 400 œuvres du collectionneur, dans toute leur diversité et leur étrangeté. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Stéphane Corréard Editorialiste au Journal des Arts; Corinne Rondeau Maître de conférences en esthétique et sciences de l'art à l'Université de Nîmes et critique d'art
En France, les musées nationaux disposent d'un droit de préemption lorsqu'une œuvre d'art ou un objet historique est mis en vente aux enchères. Ce mécanisme leur permet d'acquérir des pièces importantes pour les collections publiques, en priorité sur tout autre acheteur. Ce droit est encadré par le Code du patrimoine et repose sur une procédure bien précise.Le principe du droit de préemptionLe droit de préemption est une prérogative qui permet à l'État, par l'intermédiaire d'un musée national (comme le Louvre, Orsay ou le Centre Pompidou), d'acheter une œuvre mise aux enchères en se substituant à l'enchérisseur final. Cela signifie que si un collectionneur remporte une enchère pour un tableau, une sculpture ou un manuscrit, l'État peut décider d'acquérir l'objet au même prix adjugé. Ce mécanisme vise à protéger le patrimoine culturel et à éviter que des œuvres d'importance nationale ne disparaissent dans des collections privées ou à l'étranger.Le déroulement de la préemption1. Identification de l'œuvreAvant une vente aux enchères, les experts des musées analysent le catalogue pour repérer des œuvres présentant un intérêt patrimonial majeur. Les institutions publiques décident alors si elles souhaitent exercer leur droit de préemption. 2. Annonce lors de l'adjudicationLorsque le commissaire-priseur adjugé ! une œuvre à un enchérisseur, un représentant de l'État (souvent un conservateur mandaté) peut immédiatement déclarer : "L'État fait valoir son droit de préemption pour le compte de [nom du musée]". Cette annonce suspend la vente et bloque l'acquisition par l'enchérisseur privé. 3. Validation administrativeL'État dispose d'un délai de 15 jours après la vente pour confirmer ou annuler la préemption. Une fois confirmée, l'œuvre rejoint les collections publiques et devient inaliénable, c'est-à-dire qu'elle ne pourra plus être revendue. Un outil stratégique pour la préservation du patrimoineLe droit de préemption permet d'enrichir les musées sans passer par des négociations complexes. Il a notamment permis l'acquisition de chefs-d'œuvre, comme en 2016, où le Louvre a préempté un dessin inédit de François Boucher.Toutefois, ce droit reste limité par les budgets des musées, qui ne peuvent pas toujours rivaliser avec les collectionneurs privés. C'est pourquoi il est parfois complété par des mécénats et des dons, assurant ainsi la sauvegarde du patrimoine national. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:06:43 - Ces chansons qui font l'actu - par : Bertrand DICALE - En contrepoint de l'exposition "Paris noir 1950-2000" au Centre Pompidou, explorons la présence d'artistes afro-américains, caribéens et africains dans la capitale de toutes les diasporas.
The largest ever exhibition of the work of Jack Whitten opens this weekend at the Museum of Modern Art (MoMA), New York. Ben Luke speaks to Michelle Kuo, the curator of the show, about the political and experimental commitment that drove Whitten's remarkable body of work. In Paris, one of the final exhibitions to open at the Centre Pompidou before it closes for five years was unveiled this week. Paris Noir brings together more than 150 artists from across the African diaspora who were based in, or had notable stays in, the French capital between the 1950s and 2000. Ben went to Paris to speak to Alicia Knock, the lead curator on the show. And this episode's Work of the Week is Arpita Singh's Searching Sita Through Torn Papers, Paper Strips and Labels (2015). It features in a new exhibition of the Indian artist's work at the Serpentine North in London. The Art Newspaper's associate digital editor, Alexander Morrison, spoke to the Serpentine Galleries' artistic director, Hans Ulrich Obrist, about the painting.Jack Whitten: The Messenger, Museum of Modern Art, New York, 23 March-2 August. You can hear Jack Whitten talking about his life and work in the show's audioguide at moma.org.Paris Noir: Artistic Circulations and Anti-colonial Resistance, 1950-2000, Centre Pompidou, Paris, until 30 June.Arpita Singh: Remembering, Serpentine North, London, until 27 July.Subscription offer: enjoy a three-month digital subscription to The Art Newspaper for just £3/$3/€3. Get unrestricted access to the website and app, including all digital monthly editions dating back to 2012. Subscribe here. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
durée : 00:14:57 - Journal de 8 h - La collection permanente du Centre Pompidou ne sera plus visible à partir de ce lundi, avant une fermeture totale du lieu le 22 septembre. La BPI ayant déjà fermé pour déménager provisoirement. Les travaux de désamiantage et de rénovation devraient durer cinq ans.
durée : 00:14:57 - Journal de 8 h - La collection permanente du Centre Pompidou ne sera plus visible à partir de ce lundi, avant une fermeture totale du lieu le 22 septembre. La BPI ayant déjà fermé pour déménager provisoirement. Les travaux de désamiantage et de rénovation devraient durer cinq ans.
How can digital art cement its place in contemporary culture? Can NFTs and blockchain technology continue to bridge the gap between artists and major institutions? As dialogue around digital art continues to evolve, questions of legitimacy, value, and long-term impact remain central to the conversation. In this episode of Object Subject Form, we examine how digital art is gaining recognition in major institutions and how emerging technologies are reshaping the art world. Currently the GM of CryptoPunks, Natalie Stone leads the iconic collection that ignited a contemporary digital art movement, with pieces in the permanent collections of institutions such as the Centre Pompidou, LACMA, and ICA Miami. She played a key role in CryptoPunks: Free to Claim, a Phaidon-published project with Zak Group that chronicles the rise of CryptoPunks and their cultural significance. Formerly at Google, she led Google I/O, crafted VR/AR experiences with artists like Childish Gambino and LCD Soundsystem, and developed an experimental new media program for artists working in AI. With a deep understanding of both traditional and digital art ecosystems, Natalie offers a unique perspective on the evolving dynamics of curation, collection, and creative innovation. In this conversation, we discuss the challenges and opportunities facing digital artists today, the role of traditional art institutions in Web3, and how blockchain technology is redefining provenance, ownership, and artistic value. Launched by Larva Labs in 2017, CryptoPunks consists of 10,000 unique pixel-art characters that became a symbol of digital ownership and the CryptoArt movement. Stored on the Ethereum blockchain, CryptoPunks are more than just collectibles—they've played a pivotal role in shaping conversations around provenance, value, and the integration of blockchain technology in the art world. — Connect with Natalie on X: https://x.com/naughtaliestone — Natalie's website: https://nataliestone.co/ — Connect with Natalie on LinkedIn: https://www.linkedin.com/in/stonenatalie/ — CryptoPunks: https://cryptopunks.app/ — Learn more about CryptoPunks on the Brand Hub: https://hub.cryptopunks.app/ — Follow CryptoPunks on X: https://x.com/cryptopunksnfts — CryptoPunks Book @ Phaidon: https://www.phaidon.com/store/fashion-and-pop-culture/cryptopunks-free-to-claim-9781838669300/ — Connect with simon: https://zaap.bio/simonclowes
Ep.235 Alicia Knock Head curator for the Contemporary Creation and Prospective Department at Centre Pompidou. Alicia Knock seeks to develop a transnational history of art. Her acquisitions and exhibitions – Ernest Mancoba, 2019; Chine-Afrique, Crossing the World Color Line, 2020; Global(e) Resistance, 2020 – focus specifically on post-colonial practices (Modern and contemporary African art and Central European art). Concurrently, she is also exploring exhibition formats through dynamic projects that reflect on the future of museums (Museum On/Off, 2016). In 2023, she co-curated Kaunas Biennial, Survival Kit in Riga and Ljubljana graphic arts Biennial focusing on "Long-distance Friendships" and non aligned solidarities between Africa and Eastern Europe. She curated the Albanian Pavilion at the 58th Biennale, and co-curated an exhibition devoted to Boris Mikhailov at the Pinchuk Art Centre in Kyiv in 2019. Photo credit: Alicia Knock © DR Centre Pompidou Black Paris https://www.centrepompidou.fr/en/program/calendar/event/VRo249Y (English) Paris Noir - Circulations artistiques et luttes anticoloniales, 1950 – 2000 - Centre Pompidou (French) https://www.centrepompidou.fr/en/magazine/article/paris-noir-pour-une-histoire-panafricaine-et-transnationale-de-lart https://www.centrepompidou.fr/en/program/calendar/event/7OFuMJz https://amis.centrepompidou.fr/en/activities/1230 Villa Albertine https://villa-albertine.org/va/events/black-paris-talk-series-comes-to-five-us-states/ Les Echos https://www.lesechos.fr/weekend/livres-expositions/alicia-knock-la-tete-chercheuse-du-centre-pompidou-2139352 Gagosian https://gagosian.com/quarterly/contributors/alicia-knock/ Le Quotidien de l'Art https://www.lequotidiendelart.com/articles/23456-le-centre-pompidou-nomme-alicia-knock-et-claudine-grammont.html Lawrie Shabibi https://www.lawrieshabibi.com/exhibitions/110-global-e-resistance-nadia-kaabi-linke-at-centre-pompidou-paris/overview/ Global Atlanta https://www.globalatlanta.com/event/a-conversation-on-black-paris-and-the-atlanta-connection/ E-flux https://www.e-flux.com/announcements/529604/alicia-knock-and-inga-lce-to-curate-14th-kaunas-biennial-and-survival-kit-festival/ Instituto Inclusartiz https://inclusartiz.org/en/midia/instituto-inclusartiz-promove-conversa-entre-os-curadores-do-centro-georges-pompidou-fr-alicia-knock-e-paulo-miyada-2/ Cite internationale des arts https://www.citedesartsparis.net/media/cia/183726-pr_chimurenga.pdf Kauno Bienale https://bienale.lt/2025/en/curators/ Ernest Mancoba https://ernestmancoba.org/2020/05/09/alicia-knock/ C& https://contemporaryand.com/exhibition/museum-onoff-group-show/ Say Who https://saywho.fr/mondains/alicia-knock/
durée : 00:37:44 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Jean Leymarie, Isabelle de Gaulmyn - Et si le monde tel que nous le connaissons s'effondrait ? Guerres, pandémies, réchauffement climatique, à chaque grande crise que traverse l'humanité, le mot résonne, comme un avertissement : Apocalypse. Comment, au fil des siècles, les artistes se sont-ils emparés de ce mythe ? - réalisation : Daphné Leblond - invités : Jeanne Brun Historienne de l'art, directrice adjointe du Musée national d'art moderne du Centre Pompidou, commissaire générale de l'exposition Apocalypse. Hier et Demain, jusqu'au 9 juin à la BnF; Abel Quentin Romancier, auteur de "Sœur" (Editions de l'Observatoire, 2019), et de "Le Voyant d'Etampes" (Editions de l'Observatoire, 2021).; François Angelier Producteur de l'émission "Mauvais Genres" sur France Culture, spécialiste de littérature populaire
durée : 02:29:33 - Les Matins - par : Jean Leymarie, Isabelle de Gaulmyn - . - réalisation : Daphné Leblond - invités : Jeanne Brun Historienne de l'art, directrice adjointe du Musée national d'art moderne du Centre Pompidou, commissaire générale de l'exposition Apocalypse. Hier et Demain, jusqu'au 9 juin à la BnF; Abel Quentin Romancier, auteur de "Sœur" (Editions de l'Observatoire, 2019), et de "Le Voyant d'Etampes" (Editions de l'Observatoire, 2021).; Tarik Yildiz Sociologue; Anne-Laure Porée Anthropologue, post-doctorante à l'EHESS.; François Angelier Producteur de l'émission "Mauvais Genres" sur France Culture, spécialiste de littérature populaire