Contemporary art museum in Paris, France
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Ostatnia wystawa w Centre Pompidou przed planowanym na pięć lat remontem wymagała czegoś, co zostanie w pamięci na długo. Niemiecki artysta Wolfgang Tillmans, którego twórczość utożsamiana jest przede wszystkim z fotografią – wszyscy znamy jego zdjęcia z okładki płyty „Blonde” Franka Oceana, magazynów „Purple” i „i-D” czy kampanii „Vote Together” nawołującej do głosowania w wyborach do Parlamentu Europejskiego – szturmem przejął drugie piętro budynku i przekształcił je w wielokanałowy system słów, obrazów i dźwięków.Autorka: Marzena JarczakArtykuł przeczytasz pod linkiem: https://www.vogue.pl/a/wystawa-wolfganga-tillmansa-w-centre-pompidou-zostaje-w-pamieci-na-dlugo
In this inspiring episode of De Donkere Kamer Podcast, I speak with Clément Cheroux — one of the most respected photography historians and curators of our time. Formerly chief curator at MoMA in New York and the Centre Pompidou in Paris, Clément now leads the Fondation Henri Cartier-Bresson.We explore the unique role of the curator as a bridge between the artist and the audience, and why archives are far more than historical records — they are living sources of creative insight. Clément reflects on his decades-long relationship with photography, his obsessive image-viewing practice, and how he helps shape narratives around iconic and emerging photographers alike.This is a thoughtful conversation about trust, creative responsibility, and why — even in a world flooded with images — the act of truly looking still matters.Are you ready to use your summer with intention and elevate your practice as a photographer?Starting August 1st, I'm launching The Daily Frame — a 20-part mini podcast series (10 minutes a day) that dives into four pillars essential to your growth: creativity, entrepreneurship, mindset, and what's shifting in the photo industry.For just €8.88, you'll receive daily audio boosts that are short, sharp, and transformative.Why a small fee? Because what you pay attention to, transforms. This isn't background noise — it's a daily commitment to your evolution.We begin on August 1st — registration closes at 9:00 AM CET that morning.Here's the link to join.website van De Donkere Kamer: www.donkerekamer.combesloten podcast: donkerekamer.com/secretinstagram: @dedonkerekamer_bewebsite Fondation Henri Cartier-Bresson: https://www.henricartierbresson.org/instagram Fondation: @fondationhcb
Dans cet épisode, nous partageons nos conseils pour voyager en France : transports, logements, langue et coutumes. Nous évoquons les différences régionales et l'ambiance estivale. Et surtout, nous racontons pourquoi on aime voir Paris à travers les yeux des touristes. Interactive Transcript and Vocab Helper Support Easy French and get interactive transcripts, live vocabulary and bonus content for all our episodes: easyfrench.fm/membership Open the Interactive Transcript (https://play.easyfrench.fm/episodes/v1g2oli84xumbk28rt7x0) Download transcript as HTML (https://www.dropbox.com/scl/fi/v1g2oli84xumbk28rt7x0/easyfrenchpodcast152_transcript.html?rlkey=f953c5yoz23a4v75chd0z2m25&st=v4aichqz&dl=1) Download transcript as PDF (https://www.dropbox.com/scl/fi/w83z83bhzx22ntaqgaylv/easyfrenchpodcast152_transcript.pdf?rlkey=6rmd91di3bhzqalh3zaginiq4&st=8cf9tm7h&dl=1) Download vocab as text file (https://www.dropbox.com/scl/fi/7tlyhu0048mm47ejx5gv3/easyfrenchpodcast152_vocab.txt?rlkey=wjarkf2uu5j0lno5u3x672b5k&st=7qzlmrwm&dl=1) Download vocab as text file with semicolons (https://www.dropbox.com/scl/fi/7tlyhu0048mm47ejx5gv3/easyfrenchpodcast152_vocab.txt?rlkey=wjarkf2uu5j0lno5u3x672b5k&st=kz0btkcz&dl=1) (for flashcard apps) Subscribe using your private RSS feed to see the transcript and vocabulary helper right in your podcast app while you listen. Show Notes
La commissaire d'exposition Anabelle Lacroix nous invite à explorer la nuit comme terrain de création artistique. Entre performances nocturnes au Centre Pompidou et projets radiophoniques autour de l'insomnie, elle partage une vision singulière de l'art hors des cadres habituels. Installée à Sydney, elle évoque aussi la vitalité de la scène australienne et ses futurs projets mêlant transmission et culture aborigène.
Une sélection d'œuvres d'art brut (une partie de la collection de Bruno Decharme donnée au Centre Pompidou en 2021) est exposée au Grand palais à Paris tout l'été et jusqu'au 21 septembre. L'art brut a été défini par Jean Dubuffet au milieu du XXe siècle, l'artiste collectionnait les œuvres de ces exclus, anonymes, aliénés, marginaux qui, sans formation artistique, inventent des univers qui touchent au cœur. Pour aller plus loin : « Art Brut » Dans l'intimité d'une collection au Grand Palais
Une sélection d'œuvres d'art brut (une partie de la collection de Bruno Decharme donnée au Centre Pompidou en 2021) est exposée au Grand palais à Paris tout l'été et jusqu'au 21 septembre. L'art brut a été défini par Jean Dubuffet au milieu du XXe siècle, l'artiste collectionnait les œuvres de ces exclus, anonymes, aliénés, marginaux qui, sans formation artistique, inventent des univers qui touchent au cœur. Pour aller plus loin : « Art Brut » Dans l'intimité d'une collection au Grand Palais
durée : 00:07:58 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins d'été) - par : Astrid de Villaines - À l'heure où le Centre Pompidou de Paris ferme ses portes jusqu'en 2030, c'est l'occasion de partir en Lorraine pour mettre un coup de projecteur sur le Centre Pompidou-Metz. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Chiara Parisi Directrice du Centre Pompidou-Metz
Our guest for this week is a follow on to our guest from last week. Dr. Alexandra Daisy Ginsberg is an artist based in the UK who has a piece in the “More Than Human” exhibition at the Design Museum that our guest last week Justin McGuirk curated. That exhibition opens July 11, but if you're watching this episode on YouTube or Spotify, you'll get a sneak peek of her piece in this episode. Daisy's art is multidisciplinary and examines our fraught human relationships with nature and technology. In addition to her work in the upcoming Design Museum exhibition, her Pollinator Pathmaker piece, which uses an algorithm to design art in the form of what we think of as gardens but for the benefit of pollinators rather than humans, has been created for the Serpentine at Kensington Gardens and The Natural History Museum in Berlin. Other work of Daisy's has been exhibited at the Venice Biennale of Architecture, the Centre Pompidou in Paris, the Natural History Museum in London, the Cooper Hewitt in New York and the Science Gallery in Dublin among many other prestigious institutions around the world. She's also received several awards including the Changemaker Award from Dezeen and The Rapoport Award for Women in Art & Technology from The Lumen Prize. In this episode, we talk about the overarching themes of Daisy's work, her obsession with exploring how we think about the idea of better, her Pollinator Pathmaker project and a couple of her other projects including one in which she created a digital version of a severely endangered rhino and resurrected the smell of a lost flower. We also talk a bit about non-human animal consciousness and the potential for creativity and making art, at least from the perspective of how we understand those terms. LinksAlexandra Daisy Ginsberg website Alexandra Daisy Ginsberg Instagram Pollinator Pathmaker tool “More Than Human” Exhibition at The Design Museum
Dans cet épisode, nous vous emmenons en Andalousie.L'Andalousie, au sud de l'Espagne, est une terre de contrastes marquée par un riche héritage et des villes emblématiques. Entre ses trésors architecturaux, ses villages blancs perchés et ses plages ensoleillées, l'Andalousie incarne toute l'âme du sud espagnol. MalagaSi vous décidez [de réaliser un road trip de 8 jours en Andalousie: https://www.selectour.com/espagne/circuit/seville, débutez par Malaga avec l'Alcazaba de Malaga, une forteresse avec de magnifiques jardins et des vues panoramiques. Visitez le château de Gibralfaro, le Théâtre Romain et la maison natale de Picasso et son musée, avec plus de 200 œuvres de l'artiste. Enfin, le Centre Pompidou de Malaga situé sur le port de plaisance de la ville.GrenadeLa seconde étape de notre road trip de 8 jours en Andalousie se déroule à Grenade.Débutez par le quartier de l'Albaicín et ses vues magiques sur l'Alhambra depuis le Mirador de San Nicolas. Partez à la visite de l'Alhambra et des jardins du Generalife. Ensuite, découvrez la cathédrale de Grenade et les grottes du Sacromonte, où la population gitane a émigré d'Europe et d'Afrique dans ce qu'on appelle aujourd'hui le quartier du Sacromonte.CordoueVisitez la mezquita cathédrale, baladez-vous sur le pont Romain et traversez le fleuve de Guadalquivir sur ce pont historique, et découvrez la tour de la Calahorra,= où vous aurez une belle vue sur la ville. Rendez-vous au quartier juif Judería et terminez par la forteresse et résidence royale nommée Alcázar de Cordoue ou Alcázar des Rois Chrétiens.SévilleNous poursuivons ce road trip de 8 jours en Andalousie avec Séville.Visitez la cathédrale de Séville et la Giralda, rendez-vous dans l'ancien quartier juif et assister à un spectacle de flamenco. Sur la deuxième journée à Séville, partez à la visite de l'Alcazar de Séville, un palais somptueux qui a été utilisé par la famille royale. Juste après, direction l'incontournable de Séville, la Plaza de España. Vous pouvez louer des petites barques et vous balader sur cette place d'Espagne puisqu'il y a un petit fleuve.RondaRonda est célèbre pour son gouffre vertigineux, son pont monumental et son charme romantique. Son symbole est le Puente Nuevo, il enjambe la gorge impressionnante du tajo profond de 100 mètres, c'est l'endroit le plus photographié de la ville.CadixEmpruntez la route panoramique via Grazelema et Zahara de la Sierra, deux villages emblématiques de la province de Cadix. Détendez-vous sur les plages de la Malagueta, de Nerja et de Maro.Pourquoi voyager en Andalousie ?L'Andalousie est une région unique qui combine histoire, culture, nature et tradition. C'est une destination idéale pour les amateurs de patrimoine, de soleil ou même de gastronomie.Si vous souhaitez en savoir plus sur la destination et, pourquoi pas, préparer votre prochain [circuit en Andalousie: https://www.selectour.com/espagne/circuit/seville, n'hésitez pas à faire appel à nos [experts: https://www.selectour.com/agent/recherche?postalCode=&city=&favoriteDestination=ES&page=1] ! À bientôt dans le cockpit !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ragheb, Luna www.deutschlandfunk.de, Corso
Ragheb, Luna www.deutschlandfunkkultur.de, Studio 9
Até ao final do mês de Junho, o espaço POUSH, em Aubervilliers, arredores de Paris, acolhe o trabalho da artista moçambicana Lizette Chirrime, que desenvolveu a instalação “Lost Identity”. O feminino é um eixo central no trabalho de Lizette Chirrime que vê a mulher como a “magia do mundo”, mas acredita que lhe falta espaço para se expressar e para libertar essa força. Até ao final do mês de Junho, o espaço POUSH, acolhe o trabalho da artista moçambicana Lizette Chirrime. Uma residência artística em Paris, no âmbito da iniciativa Gulbenkian & Thanks for Nothing – Criação e Compromisso, promovida pela Fundação Calouste Gulbenkian e pela associação francesa Thanks for Nothing e que conta com a parceria do Centre Pompidou e da KADIST (organização dedicada à arte contemporânea). A iniciativa distingue artistas cujas práticas abordam temáticas sociais e ambientais, incentivando ainda a inclusão de públicos afastados da cultura. Na capital francesa, a artista moçambicana desenvolveu a instalação “Lost Identity” (“Identidade Perdida”) criada a partir de materiais reutilizados dos workshops que conduziu no Centre Pompidou com mulheres em situação de vulnerabilidade – vítimas de violência doméstica, com doenças crónicas –, jovens com síndrome de Down e estudantes. O exercício consistia em criar dois corações: um para depositar tudo o que é negativo, outro para encher de energia positiva. “Havia mensagens muito assustadoras”, contou à RFI Lizette Chirrime, que decidiu reaproveitar todo esse material e transformá-lo numa instalação agora patente no POUSH, onde se podem ver os tubos que contêm todas as mensagens recolhidas, formando casulos, numa alusão ao processo de transformação das larvas em borboletas, como “uma forma de começo da cura”. Embora nascida de um processo colectivo, a obra é também autobiográfica: “É minha, é das senhoras, é de muita gente. É um problema global: a perda da identidade. O facto de permitirmos que nos abusem ou nos maltratem é porque, em algum momento, nos esquecemos de quem somos”, afirma. A instalação é, assim, uma espécie de espelho partilhado, onde a dor, a cura e a transformação coexistem. Sobre a residência artística em Paris, Lizette Chirrime acredita que “foi o universo que conspirou a meu favor e mandou esta luz para o meu túnel.” Para pagar as contas, Chirrime tem de conciliar o lado artístico com o design de moda: “Sou mãe solteira e vivo num país onde a arte não é reconhecida. Faço muito esforço para continuar. Mal consigo pagar as contas. Já estive muito doente, mas recuperei.” O feminino é um eixo central no trabalho de Lizette Chirrime que vê a mulher como a “magia do mundo”, mas acredita que lhe falta espaço para se expressar e para libertar essa força. “Uso a minha voz para dar voz a essas mulheres sem voz”, explica. Mas não é só na questão social que se centra: o seu trabalho também incorpora uma forte consciência ambiental. “Nós sujamos o planeta com o nosso consumismo. Eu decidi fazer a minha parte.” Ser artista e mulher em Moçambique continua a ser um desafio imenso. Apesar de avanços, as condições continuam precárias: “Muitas desistem porque é muito doloroso. Às vezes considero-me uma maluca em continuar, mas não tenho escolha, porque a arte me escolheu.”
durée : 02:00:14 - Les Matins du samedi - par : Nicolas Herbeaux - Cette semaine, dans les Matins du samedi, on s'intéresse à ce qu'on appelle l'ère de la post-vérité avec les chercheurs Mickaël Lainé et Charles Mercier. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Anne Bouillon Avocate au barreau de Nantes, spécialisée dans le droit des femmes et les violences conjugales; Michaël Lainé Maître de conférences en économie à l'Université Paris 8; Charles Mercier Maître de conférences en histoire contemporaine à l'université de Bordeaux; Sophie Duplaix Conservatrice en chef des Collections contemporaines au Musée national d'art moderne, Centre Pompidou, Paris.
durée : 00:19:30 - France Culture va plus loin le samedi - par : Nicolas Herbeaux, Pauline Chanu - Du 26 juin 2025 au 10 janvier 2026, le Grand Palais réunit pour une exposition inédite les artistes Niki de Saint Phalle et Jean Tinguely, camarades puis couple de créateurs, et le premier patron du Centre Pompidou à son ouverture en 1977, le suédois Pontus Hulten. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Sophie Duplaix Conservatrice en chef des Collections contemporaines au Musée national d'art moderne, Centre Pompidou, Paris.
durée : 02:00:14 - Les Matins du samedi - par : Nicolas Herbeaux - Cette semaine, dans les Matins du samedi, on s'intéresse à ce qu'on appelle l'ère de la post-vérité avec les chercheurs Mickaël Lainé et Charles Mercier. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Anne Bouillon Avocate au barreau de Nantes, spécialisée dans le droit des femmes et les violences conjugales; Michaël Lainé Maître de conférences en économie à l'Université Paris 8; Charles Mercier Maître de conférences en histoire contemporaine à l'université de Bordeaux; Sophie Duplaix Conservatrice en chef des Collections contemporaines au Musée national d'art moderne, Centre Pompidou, Paris.
durée : 00:16:13 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Nos critiques discutent de la magistrale exposition "Art brut. Dans l'intimité d'une collection" organisée au Grand Palais à Paris et coproduite par le Centre Pompidou, qui rassemble 400 œuvres issues d'une donation du cinéaste Bruno Decharme. - réalisation : Louise André - invités : Sarah Ihler-Meyer Critique d'art et commissaire d'exposition ; Stéphane Corréard Editorialiste au Journal des Arts
durée : 00:27:17 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Au menu du débat critique, deux expositions : "Art brut. Dans l'intimité d'une collection" au Grand Palais avec le Centre Pompidou, et "Nous autres, Donna Gottschalk, Hélène Giannecchini avec Carla Williams" au BAL. - réalisation : Louise André - invités : Sarah Ihler-Meyer Critique d'art et commissaire d'exposition ; Stéphane Corréard Editorialiste au Journal des Arts
“Wolfgang Tillmans”Rien ne nous y préparaitTout nous y préparaitau Centre Pompidou, Parisdu 13 juin au 22 septembre 2025Entretien avecOlga Frydryszak-Rétat,Matthias Pfaller,Attachés de conservation au cabinet de la photographie, Musée national d'art moderne − Centre Pompidou et commissaires associés de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 17 juin 2025, durée 25'41,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/06/27/3629_wolfgang-tillmans_centre-pompidou/Communiqué de presse CommissariatFlorian Ebner, Conservateur en chef, cabinet de la photographie, Musée national d'art moderne − Centre PompidouCommissaires associésOlga Frydryszak-Rétat, Matthias Pfaller, Attachés de conservation au cabinet de la photographie, Musée national d'art moderne − Centre PompidouDu 13 juin au 22 septembre 2025, le Centre Pompidou donne carte blanche à l'artiste allemand Wolfgang Tillmans qui imagine un projet inédit pour clôturer la programmation du bâtiment parisien. Il investit les 6000 m2 du niveau 2 de la Bibliothèque publique d'information (Bpi) et y opère une transformation de l'espace qui met en dialogue son oeuvre avec la bibliothèque, envisagée à la fois comme architecture et comme lieu de transmission du savoir.L'exposition retrace près de 40 ans de création artistique et embrasse l'ensemble de la pratique de Tillmans. Elle propose une coupe transversale dans son oeuvre photographique, dont l'accrochage ne suit pas une logique chronologique mais s'élabore en dialogue avec l'architecture du lieu. En parallèle, l'artiste y incorpore vidéos, musique, son, ainsi qu'un vaste corpus d'imprimés et d'objets personnels issus de sa propre collection. Jouant avec l'infrastructure de la bibliothèque, il met en lumière les analogies entre son travail et ce lieu particulier de savoir et de diversité sociale. Plus que jamais, Tillmans intervient dans l'espace – un geste caractéristique de ses projets depuis le milieu des années 1990 – transformant les dispositifs existants et imaginant de nouvelles formes de présentation. L'artiste conçoit ainsi une installation globale, qui réinvente la manière dont la photographie est exposée.[...]Le catalogue de l'expositionWolfgang Tillmans Rien ne nous y préparait – Tout nous y préparait, Sous la direction de Florian Ebner et Olga Frydryszak-Rétat – Édition Centre PompidouPublication – Wolfgang Tillmans Textes. Édition française sous la direction de Matthias Pfaller. Édition anglaise originale sous la direction de Roxana Marcoci et Phil Taylor. Édition Centre Pompidou Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:04:43 - Le Reportage de la rédaction - Avant la fermeture du Centre Pompidou pour cinq ans de restauration, les équipes du musée national décrochent et emballent les œuvres. La mise en caisse d'un tableau monumental de Fernand Léger signe la fin d'une phase importante du déménagement dans les salles dédiées à la collection permanente. - invités : Jeanne Brun Historienne de l'art, directrice adjointe du Musée national d'art moderne du Centre Pompidou
For the “Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely and Pontus Hulten” exhibition at the Grand Palais, this podcast looks back at the links between Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely and Pontus Hulten. Driven by a shared vision of art for all, they created extraordinary, ephemeral works that have had a lasting impact on art and museums.Direction: Clara Gouraud, Delphine CoffinRecording: Ivan GarielTexts by Niki de Saint Phalle: ‘Hon', ‘Notre collaboration' and ‘Portrait de Pontus', Readings: Claire Olivier, Darrell Di Fiore, Marine Dorandeu, Marianne BergesThis exhibition is a coproduction of Centre Pompidou and Grand Palais. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:04:43 - Le Reportage de la rédaction - Avant la fermeture du Centre Pompidou pour cinq ans de restauration, les équipes du musée national décrochent et emballent les œuvres. La mise en caisse d'un tableau monumental de Fernand Léger signe la fin d'une phase importante du déménagement dans les salles dédiées à la collection permanente. - invités : Jeanne Brun Historienne de l'art, directrice adjointe du Musée national d'art moderne du Centre Pompidou
durée : 00:29:03 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Alors que le Centre Pompidou s'apprête à fermer ses portes, le photographe et plasticien Wolfgang Tillmans investit les 6 000 m² de la BPI. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Wolfgang Tillmans Photographe
durée : 00:57:10 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En juin 1977, le sculpteur suisse Jean Tinguely est l'invité de Pierre Descargues pour évoquer "Le crocrodrome de Zig et Puce", gigantesque sculpture animée, installée dans le Forum du Centre Pompidou, à Paris. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Jean Tinguely Artiste sculpteur suisse; Yves Klein
durée : 00:08:43 - Ces chansons qui font l'actu - par : Bertrand DICALE - Alors que le Centre Pompidou va fermer pour plusieurs années, revenons sur une mythologie qui concerne moins l'établissement culturel que son quartier.
Unter Namen "Rissing Lion" beginnt bisher größte Militäroperation Israels gegen den Iran, Israel nennt iranisches Atomprogramm als Grund für Angriff auf den Iran, Internationale Stimmen mahnen zu Deeskalation im Konflikt zwischen Israel und dem Iran, Die Meinung, Kritik an der Deutschen Bahn wegen gestiegen Preisen für Familienreservierungen, Weitere Meldungen im Überblick, Ausstellung zu Fotokünstler Wolfgang Tillmans vor sanierungsbedingter Schließung des Centre Pompidou in Paris, Das Wetter
Oelze, Sabine www.deutschlandfunk.de, Kultur heute
Rienäcker, Cai www.deutschlandfunkkultur.de, Studio 9
Unter Namen "Rissing Lion" beginnt bisher größte Militäroperation Israels gegen den Iran, Israel nennt iranisches Atomprogramm als Grund für Angriff auf den Iran, Internationale Stimmen mahnen zu Deeskalation im Konflikt zwischen Israel und dem Iran, Die Meinung, Kritik an der Deutschen Bahn wegen gestiegen Preisen für Familienreservierungen, Weitere Meldungen im Überblick, Ausstellung zu Fotokünstler Wolfgang Tillmans vor sanierungsbedingter Schließung des Centre Pompidou in Paris, Das Wetter
Neues Buch: Ayelet Gundar-Goshens "Ungebetene Gäste". Eine Rezension von Christoph Leibold. Letzte Ausstellung vor dem langen Shutdown: Der deutsche Fotograf Wolfgang Tilmans im weltberühmten Centre Pompidou von Paris. Von Cai Rienäcker, ARD Paris. Bitte keinen schwulen Namenspatron: US-Kriegsschiff 'USNS Harvey Milk‘ soll umbenannt werden. Von Wolfgang Landmesser, ARD Washington.
Oelze, Sabine www.deutschlandfunkkultur.de, Fazit
durée : 00:03:07 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Déplacer des dizaines de milliers de chefs d'œuvres, peut-on considérer cela comme un mouvement artistique ? La dernière exposition du Centre Pompidou avant fermeture s'ouvre vendredi, la rénovation démarrera en septembre et durera 5 ans. Le déménagement monumental a commencé…
durée : 00:03:07 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Déplacer des dizaines de milliers de chefs d'œuvres, peut-on considérer cela comme un mouvement artistique ? La dernière exposition du Centre Pompidou avant fermeture s'ouvre vendredi, la rénovation démarrera en septembre et durera 5 ans. Le déménagement monumental a commencé…
In this exhibition, a wide selection of art brut works is presented at the Grand Palais from June 19 to September 21, 2025.The exhibition's two curators and collectors Barbara Safarova and Bruno Decharme, talk about their passion for this art form, their collection and their donation of a body of work to the Centre Pompidou. Cristina Agostinelli, associate curator, talks about the entry of these works into the collection of the Musée national d'art moderne.Realization: Delphine CoffinEditing and mixing: Ivan GarielVoices: Marianne Berges, Marine Dorandeu, Julie Micheron, Olivier RaynalThanks to Bruno Decharme, Barbara Safarova and Cristina AgostinelliThis exhibition is coproducted by Grand Palais and Centre Pompidou Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cette exposition, une large sélection d'œuvres d'art brut est présentée au Grand Palais du 19 juin au 21 septembre 2025. Les deux commissaires de l'exposition et collectionneurs, Barbara Safarova et Bruno Decharme, nous parlent de leur passion pour l'art brut, de leur collection et de leur donation d'un fonds d'œuvre au Centre Pompidou. Cristina Agostinelli, commissaire associée, témoigne de l'entrée de ces œuvres dans la collection du Musée national d'art moderne.Réalisation : Delphine CoffinMontage et mixage : Ivan GarielRemerciements à Bruno Decharme, Barbara Safarova et Cristina AgostinelliCette exposition est une coproduction du Grand Palais et du Centre Pompidou Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
De l'Afrique aux Amériques en passant par la Caraïbe, les œuvres de 150 artistes noirs sont montrées en 2025 au Centre Pompidou à Paris. L'exposition s'appelle Paris Noir, circulation artistique et luttes anticoloniales et l'onde de choc qu'elle suscite n'a d'égal que son succès public. Un public renouvelé, curieux de découvrir des artistes des années 50 aux années 2000... dont les œuvres ont rarement été diffusées en France. Une exposition mais aussi un salon de lecture auxquels RFI et la Bibliothèque-archives Bernard Binlin Dadié se sont associés en écho à Paris Noir. En complicité avec Franck Hermann Ekra, critique d'art et curateur, nous recevons la scénariste Marguerite Abouet, le plasticien Hamedine Kane, l'écrivain Mohamed Mbougar Sarr, le comédien Sidiki Bakaba, le metteur en scène Koffi Kwahulé et la réalisatrice Bintou Diarra.Dès l'entrée de l'exposition, la première image inscrit l'exposition dans l'histoire des luttes anticoloniales dont Paris est l'un des carrefours. En référence à la capacité d'agir des Africains dans la capitale de l'A.O.F et A.E.F (Afrique occidentale Française et Afrique équatoriale française), dans l'après Deuxième Guerre mondiale. Sous la forme d'un immense collage, des couvertures emblématiques des livres de la maison d'édition Présence Africaine fondée par Alioune Diop… que ce soit le Docker noir de Sembene Ousmane, Nation nègre et culture de Cheikh Anta Diopou encore Un nègre à Paris de Bernard Dadié. Expression d'une conscience africaine multiforme, l'œuvre de Bernard Dadié est une œuvre émancipatrice, un contre-récit dont les écrits de prison sont un véritable journal de bord de la lutte pour la liberté et la dignité en Côte d'Ivoire, dès la fin des années 40, puisque Dadié a été arrêté en 1949 avec ses camarades militants dont Matthieu Ekra, le grand-père de Franck Hermann Ekra, initiateur de ce salon de lecture.Tous nos remerciements à Alicia Knock, commissaire de l'exposition Paris Noir, circulation artistique et luttes anticoloniales ainsi qu'aux équipes du Centre Pompidou et aux équipes du Centre Wallonie Bruxelles.Découvrir l'expositionÉcoutez le premier épisode proposé par RFI et la Bibliothèque-archives Bernard Binlin Dadié
Merci de soutenir mon travail sur Patreon ou sur PaypalL'exposition "Paris noir - Circulations artistiques et luttes anticoloniales, 1950 – 2000" met en lumière 150 artistes afro-descendants, de l'Afrique aux Amériques en passant par la Caraïbe, dont les œuvres n'ont souvent jamais été montrées en France. Une exposition historique à ne pas manquer !De la création de la revue Présence africaine à celle de Revue noire, l'exposition "Paris noir" retrace la présence et l'influence des artistes noirs en France entre les années 1950 et 2000. Plongée vibrante dans un Paris cosmopolite, lieu de résistance et de création, véritable laboratoire panafricain, l'exposition dévoile l'importance l'importance de ces artistes dans la redéfinition des modernismes et post-modernismes.Visite de l'exposition "Paris noir" avec Alicia Knock et Éva Barois de CaevelDéfi historiographique et matériel de par l'invisibilisation des artistes, la dispersion, voire la disparition de leurs œuvres à travers plusieurs continents, et les lacunes éditoriales et de recherche autour de leurs pratiques, elle retrace, pour la première fois dans une institution nationale française, cinquante ans d'émancipation et d'expression artistique à Paris. Dans la préface du superbe catalogue Paris Noir, Alicia Knock écrit : "L'exposition « Paris noir» a pour ambition de proposer des outils d'exploration d'œuvres et de trajectoires marginalisées. Elle incarne une volonté de résister à la disparition d'œuvres, d'archives et de lieux de création. Elle célèbre des artistes qui ont persisté à s'engager et à créer, malgré un isolement institutionnel. Elle est une invitation à élargir les perspectives et à écrire une histoire-monde multiculturelle."Il est fortement conseillé de réserver ! Vous pouvez le faire sur le site du Centre Pompidou ici.Paris noir - Circulations artistiques et luttes anticoloniales, 1950 – 200019 mars - 30 juin 2025 - Centre Pompidou, ParisMarie-Siguier est co-commissaire de l'exposition "Paris noir", attachée de conservation au sein du département Créations contemporaines et prospectives.Pour voir les liens, photos, playlists et vidéos mentionnés durant l'interview, rendez-vous sur la page de ce podcast sur le site So Sweet Planet On parle de ces podcasts de So Sweet Planet dans l'interview :Le premier panorama des revues artistiques et culturelles du 20è siècle ! Rencontre avec Mica Gherghescu pour évoquer La Fabrique de l'Histoire de l'Art. (2 épisodes)La bibliothèque Chimurenga à Paris : Généalogies de l'imagination radicale noire dans le monde francophone. (3 épisodes) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Arduino Cantàfora, born in Milan in 1945, is a renowned painter and architect whose work bridges the realms of art and architecture. Initially trained as a copyist of Caravaggio, Cantàfora mastered the technical aspects of oil painting, blending his fascination with anatomy and organic forms with his architectural studies at the Politecnico of Milan. His career highlights include his participation in La Tendenza, an architectural movement that reintroduced 20th-century rationalism, and his exhibitions at major international venues such as the Triennale di Milano, Biennale di Venezia, and Centre Pompidou. Cantàfora's creations span from large-scale paintings to stage designs for prestigious opera houses, and his academic contributions include teaching positions at IUAV in Venice, Mendrisio, and EPFL in Lausanne, where he held the chair of visual expression. His work continues to inspire with its distinct Caravaggesque influences and imaginative architectural representations.Thanks for listening! The ThinkND Podcast is brought to you by ThinkND, the University of Notre Dame's online learning community. We connect you with videos, podcasts, articles, courses, and other resources to inspire minds and spark conversations on topics that matter to you — everything from faith and politics, to science, technology, and your career. Learn more about ThinkND and register for upcoming live events at think.nd.edu. Join our LinkedIn community for updates, episode clips, and more.
En septembre 2025, la Maison des mondes africains ouvrira ses portes à Paris, après un véritable parcours du combattant pour trouver un lieu. À sa tête : Liz Gomis, journaliste et réalisatrice, de caractère bien trempé, qui n'esquive pas les tensions du moment. « C'est l'institution que j'aurais voulu à 20 ans », confie-t-elle. Elle porte ce projet avec force, mémoire et convictions. Rencontre avec une femme bien trempée, portée par un désir de transmission, de réparation, et de dialogue entre les récits afro-diasporiques et l'espace culturel français. RFI : Pour celles et ceux qui ne la connaissent pas encore, qu'est-ce que la Maison des Mondes Africains, la MansA ?Liz Gomis : La MansA, c'est une institution culturelle. C'est également un laboratoire. Nous ne nous inscrivons pas comme un musée puisque nous n'aurons pas de collection d'œuvres d'art ou autres. Nous sommes centrés sur la création contemporaine. Je dirais qu'on a un prisme aussi sur la création numérique et l'audiovisuel, parce que je viens de là. L'idée, c'est de pouvoir monter un centre qui sera pluridisciplinaire et qui croisera aussi bien les arts du spectacle, que la littérature, que le cinéma. MansA, le nom de l'institution, c'est Maison des mondes africains. Quand on dit mondes africains, on parle des Caraïbes, on parle des Amériques – du nord et du sud –, on parle de l'océan Indien et on parle évidemment de la diaspora européenne. Parce que l'idée, c'est justement de croiser ces savoirs. L'idée, c'est aussi de les faire découvrir parfois à un public plus jeune. Ce sera notre mission d'éducation, toujours sous le prisme de la culture, qui permettra, je pense, de permettre à certaines personnes de se libérer un peu de l'exigence – parce qu'on a toujours le sentiment qu'il faut avoir lu Achille Mbembe pour pouvoir rentrer dans ces sujets. Alors qu'en fait, on peut y entrer par différents biais. On peut y entrer par des œuvres d'art – en ce moment, il y a l'exposition au Centre Pompidou, Paris Noir – des moments musicaux, des moments d'expositions. Voilà, ce sera un bouillonnement de culture. Vous faites référence à Achille Mbembe qui est à l'origine de ce projet. Comment le projet a-t-il évolué depuis ce premier jet ? Achille Mbembe, effectivement, est à l'initiative de ce projet. Ensuite, j'ai vite été mise à contribution pour écrire le rapport de préfiguration. Achille est arrivé évidemment avec la philosophie et l'idée du projet, mais ensuite, il fallait transformer cela en un projet tangible. Voilà comment le projet a évolué. Je peux dire que j'y ai mis toutes mes tripes et j'y ai également mis une part de moi parce que, quelque part, la MansA, c'est un peu l'institution que j'attendais lorsque j'avais 20 ans. C'est l'institution qui m'aurait permis, il y a 20 ans, de mieux comprendre qui j'étais en tant que Française dont les parents sont nés sur le continent africain et qui parfois avaient du mal à trouver sa place. Aujourd'hui, j'en ai 24 de plus, donc je ne me pose plus cette question. Mais je sais que c'est une question qui continue de perturber et de questionner de jeunes gens et de jeunes femmes qui sont pleinement français et qui se posent toujours la question de savoir quelle est leur place dans le pays dans lequel ils sont nés. Vous parlez de cette difficulté à trouver sa place. Comment faire entendre cette voix dans une France où les crispations identitaires s'accentuent ? C'est toujours compliqué de monter un projet, en premier lieu. Évidemment, on sait bien que le sujet de l'Afrique et de ses descendants, cela crispe. Mais moi, j'ai juste envie de dire aux Français, ayez de la mémoire. Rappelez-vous qu'à un moment donné, on était content d'avoir les tirailleurs sénégalais. Rappelez-vous qu'on était heureux d'aller voir Joséphine Baker sur scène. Rappelez-vous que Manu Dibango était le directeur musical de la seule émission musicale de l'ORTF, Pulsations, et que le producteur était Gésip Légitimus. Rappelez-vous de tout cela. Je suis juste là pour dire, nous avons une mémoire. Si on fait le choix de se replier en invoquant le fantasme d'une France qui aurait toujours été monochrome, c'est un mensonge que l'on se fait. Ce pays a toujours été un brassage. Tout ce qu'on fait avec MansA, c'est de rappeler les Français à leur histoire. Il ne faudrait pas glisser vers cette voie du repli. Au fond, qu'est-ce que ça nous apporte ? On voit bien les États-Unis en train de se replier. Honnêtement, cela ne donne pas envie, ce qu'on est en train de voir aujourd'hui. Est-ce que c'est cela, la marche du monde ? Je ne crois pas. Comment est financée la Maison des Mondes Africains ?Pour l'instant, c'est financé par la puissance publique. Nous sommes en train de monter notre cellule de mécénat, parce qu'il s'agit aussi d'aller lever des fonds privés. Mais pour le moment, oui, nous sommes financés par la puissance publique. Personnellement, qu'est-ce qui vous porte dans ce projet ? Ce qui me motive, ce sont mes parents. C'est le parcours de mes parents. C'est de se dire qu'une femme qui s'appelle Émilie Mendy, qui est partie de Guinée-Bissau, qui est arrivée au Sénégal à l'âge de douze ans, qui est ensuite arrivée en France à l'âge de 19 ans, qui a fait des ménages et qui s'est battu toute sa vie pour en avoir une, de vie digne, mais aussi pour que ses enfants soient sur un chemin qui soit digne également. Ma motivation, c'est de me dire : « Je ne peux pas décevoir ce parcours. » Ma motivation première, c'est celle-ci, c'est d'abord de rendre hommage à mes parents. La deuxième motivation, c'est que maintenant, je regarde derrière moi et je vois les plus jeunes. Je ne peux pas me dire que ces plus jeunes vivront le même parcours que le mien. Je suis obligé d'être à la hauteur. Voici ce qui me motive tous les matins et qui fait que je me lève et que je me bats pour que cette institution existe parce qu'on a besoin de « role model », de modèles en français. Je ne sais pas si je suis un « role model », mais de voir les stagiaires d'observation qu'on a pu avoir nous renvoyer des messages en nous disant : « J'ai eu 20 sur 20 à mon rapport de stage et c'est grâce à vous, j'aimerais bien faire mon stage de seconde chez vous. » Alors que ce sont des gens qui sont motivés par le football et qui m'ont dit qu'ils n'avaient pas envie d'aller faire un stage dans un club de foot ou à la fédération. Pour moi, ce sont des victoires. Parce que pour une fois, ils se sont dit : « Je fais un stage d'observation et la directrice est une femme d'origine africaine, elle ressemble à ma sœur, elle ressemble à ma mère, elle ressemble à ma tante. En fait, c'est possible. » L'idée est de se dire qu'on a ouvert la porte. On offre un champ des possibles quelque part infini. Moi, à partir de ce moment-là, ma motivation démarre et après, plus rien ne peut m'arrêter. À lire aussiLa Maison des mondes africains a trouvé ses locaux à Paris après des mois de controverses
durée : 00:59:05 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Antoine Ravon - Bourgeonnements, floraison et douceur du temps : le printemps s'annonce après l'hiver comme la saison du renouveau, d'un élan retrouvé, qui revient toujours sans être jamais tout à fait pareil. Le printemps n'est-il pas la métaphore du recommencement ? - réalisation : Riyad Cairat - invités : Mathieu Potte-Bonneville Philosophe et directeur du département Culture et création du Centre Pompidou; Vincent Delecroix Philosophe et romancier
durée : 01:00:05 - Elsa Wolliaston, danseuse, pédagogue et chorégraphe - par : Priscille Lafitte - Reconnue comme figure de la danse contemporaine, Elsa Wolliaston vient de souffler ses 80 bougies au Centre Pompidou, en présence de la chanteuse Camille et du cinéaste Arnaud Desplechin. La chorégraphe parle ici d'une pierre majeure dans son parcours : sa formation de pianiste classique. - réalisé par : Claire Lagarde
durée : 01:48:25 - Comme un samedi - par : Arnaud Laporte - Le plasticien Laurent Grasso nous transporte dans ses œuvres où des roches lévitent, où un deuxième soleil apparaît comme une manifestation divine, où tout est nimbé de mystère et où le temps se brouille. On ralentit, on suspend tout avec lui, le temps d'une carte blanche. - réalisation : Alexandre Fougeron - invités : Laurent Grasso Plasticien; Donatien Grau conseiller pour les programmes contemporains au musée du Louvre; Jeanne Brun Historienne de l'art, directrice adjointe du Musée national d'art moderne du Centre Pompidou; Nicolas Saada Réalisateur, scénariste, programmateur musical et directeur de la photo; Micha Lescot Comédien; Awa Ly Auteure-compositrice-interprète
Season 25 begins! We meet Juergen Teller, one of the world's most sought-after contemporary photographers, successfully straddling the interface of both art and commercial photography.We discuss childhood, touring with Nirvana, Agnès Varda, Tracey Emin, William Eggleston, Kate Moss, Pope Francis, Kristen McMenemy, Zoe Bedeaux, collaborating with @DovileDrizyte and breakthroughs with Marc Jacobs. Juergen Teller's new exhibition of his photographs taken at Auschwitz Birkenau is now open Kunsthaus Göttingen, Germany until 1 June 2025 @KunsthausGoettingen. An accompanying photobook is published by @SteidlVerlag. 7 ½, Teller's concurrent exhibition runs at Galleria Degli Antichi, Sabbioneta, Italy until 23 November 2025 @VisitSabbioneta.Teller (b.1964) grew up in Bubenreuth near Erlangen, Germany. Teller graduated in 1986 and moved to London, finding work in the music industry shooting record covers for musicians such as Simply Red, Sinéad O'Connor and Morrissey with the help of the photographer, Nick Knight. By the early 1990s, he was working for avant-garde fashion magazines such as i-D, The Face, Details and Arena. Teller has collaborated with many fashion designers over the years, including Helmut Lang, Marc Jacobs, Yves Saint Laurent, Vivienne Westwood, Celine and Louis Vuitton.Teller was the recipient of the Citibank Photography Prize in association with the Photographer's Gallery, London in 2003. In 2007, he represented the Ukraine as one of five artists in the 52nd Venice Biennale. Teller has exhibited internationally, including solo shows at the Photographer's Gallery, London (1998), Kunsthalle Wien, Vienna (2004), Foundation Cartier, Paris (2006), Kunsthalle Nürnberg, Germany (2009), Daelim Contemporary Art Museum, Seoul (2011), Dallas Contemporary, USA (2011), Institute of Contemporary Art, London (2013), Deste Foundation, Athens (2014), Contemporary Fine Arts, Berlin (2015) and Bundeskunstalle, Bonn (2016).Teller's work is featured in numerous collections around the world, including the Centre Pompidou, Paris; International Center for Photography, New York; Pinchuk Art Centre, Kiev; and the Victoria & Albert Museum, London. He has published forty-one artist books and exhibition catalogues since 1996. He currently holds a Professorship of Photography at the Akademie der Bildenden Künste Nürnberg, and lives and works in London. Follow @JuergenTellerStudio and https://www.juergenteller.co.uk/ Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Episode 475 / Banks VioletteBanks Violette is an artist born in Ithaca, NY who lives and works in Ithaca, NY. He recieved his BFA from the School of Visual Arts and an MFA from Columbia University. He's had numerous solo shows including ones at MoCa, Connecticut, Gladstone Gallery, Blum & Poe, Thaddeus Ropac, Maureen Paley, Team Gallery, Rodolphe Janssen, and the Whitney Museum to name just a few. He's had scores of group shows all over the globe from the Museum of Modern Art to the Warhol Museum and his work is in the collections of The Coppel Foundation, MexicoThe Ellipse Foundation, Portugal, The Centre Pompidou, Paris, France, Frank Cohen Collection, Manchester, England The Jumex Foundation, Mexico, Los Angeles County Museum of Art, Los Angeles, Migros Museum für Gegenwartskunst, Zurich, Switzerland Musée d'Art Moderne et Contemporain, Geneva, Switzerland Museum of Contemporary Art, Los Angeles, Museum of Modern Art, New York, The OverHolland Collection, Amsterdam, The Netherlands The Saatchi Collection, London, UK, The Solomon R. Guggenheim Museum, New York, Frederick R. Weisman Art Foundation, Los Angeles and the Whitney Museum of American Art, New York.
Curator Sukanya Rajaratnam and biographer Jon Ott weld together African American culture and 20th century Western/European modernism, through Richard Hunt's 1956 sculpture, Hero's Head.Born on the South Side of Chicago, sculptor Richard Hunt (1935-2023) was immersed in the city's culture, politics, and architecture. At the major exhibition, Sculpture of the Twentieth Century, which travelled from the Museum of Modern Art (MoMA) in New York in 1953, he engaged with the works of artists Julio González, Pablo Picasso, and Constantin Brâncuși - encounters with Western/European modernism, that ‘catalysed' his use of metal, as the medium of his time and place.Hero's Head (1956), one of Richard's earliest mature works, was the first among many artistic responses dedicated to the legacy of Emmett Till. The previous year, Hunt joined over 100,000 mourners in attendance of the open-casket visitation of Till, a 14-year-old African American boy whose brutal lynching in Mississippi marked a seismic moment in national history. Modestly scaled to the dimensions of a human head, and delicately resting on a stainless-steel plinth, the welded steel sculpture preserves the image of Till's mutilated face. Composed of scrap metal parts, with dapples of burnished gold, it reflects the artist's use of found objects, and interest in ancient Greek and Roman mythology, which characterise his later works.With the first major European exhibition, and posthumous retrospective, of Richard's work at White Cube in London, curators Sukanya Rajaratnam and Jon Ott delve into the artist's prolific career. We critically discuss their diasporic engagement with cultural heritage; Richard collected over one thousand works of 'African art', referenced in sculptures like Dogonese (1985), and soon travelled to the continent for exhibitions like 10 Negro Artists from the US in Dakar, Senegal (1965). Jon details the reception of Richard's work, and engagement with the natural environment, connecting the ‘red soil' of Africa to agricultural plantations worked by Black slaves in southern America. We look at their work in a concurrent group exhibition at the Centre Pompidou, which retraces the presence and influence of Black artists in Paris, and considers the city as a ‘mobile site', highlighting the back-and-forth exchanges between artists, media, and movements like abstract expressionism. Shared forms are found in the works of French painters, Wangechi Mutu's Afrofuturist bronzes, and Richard's contemporaries practicing in France, Spain, Italy, and England.Plus, LeRonn P. Brooks, Curator at the Getty Research Institute, details Richard's ongoing legacies in public sculpture, and commemorations of those central to the Civil Rights Movement, including Martin Luther King Jr., Ida B. Wells-Barnett, Mary McLeod Bethune, Hobart Taylor Jr., and Jesse Owens.Richard Hunt: Metamorphosis is at White Cube Bermondsey in London until 29 June 2025.Paris Noir: Artistic circulations and anti-colonial resistance, 1950 – 2000 is at the Centre Pompidou in Paris until 30 June 2025.Listen to Sylvia Snowden at White Cube Paris, in the EMPIRE LINES episode on M Street (1978-1997).Hear more about Wangechi Mutu's This second dreamer (2017), with Ekow Eshun, curator of the touring exhibition, The Time is Always Now (2024).For more about Dogonese and ‘African masks' from Mali, listen to Manthia Diawara, co-curator of The Trembling Museum at the Hunterian in Glasgow, part of PEACE FREQUENCIES 2023.For more about ‘Negro Arts' exhibitions in Dakar, Senegal, read about Barbara Chase-Riboud: Infinite Folds at the Serpentine in London.For more about Black Southern Assemblage, hear Raina Lampkins-Felder, curator at the Souls Grown Deep Foundation and Royal Academy in London, on the Quiltmakers of Gee's Bend (20th Century-Now).
Le 13 mai 2025 débute la 78e édition le Festival de Cannes, l'occasion de célébrer le cinéma sous toutes ses formes. L'industrie du cinéma hollywoodien recèle d'anecdotes complètement dingues. Et s'il y a bien un film qui les additionnent, c'est Roar de Noel Marshall, sorti en 1981. Si vous n'en avez pas entendu parler c'est que ce film n'a pas rencontré le succès escompté en salles. Son aura a grandi par la suite (mais pas pour les bonnes raisons). Il est donc temps de découvrir Roar, disponible sur Amazon prime pour ceux profitant du Pass Warner, décrit par l'acteur Jeff Goldblum comme "la pire idée de toute la longue et triste histoire des mauvaises idées'". Un film édifiant, considéré comme le plus dangereux jamais réalisé. Qu'est-ce que raconte le film Roar ? Pourquoi le tournage est considéré comme fou ? Quels ont été les accidents les plus marquants du tournage ? Ecoutez la suite dans cet épisode de "Maintenant vous savez - Culture". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Jonathan Aupart. A écouter aussi : Pourquoi le Centre Pompidou n'aurait-il jamais dû exister ? À quoi sert le clap au cinéma ? Le jeu Squid Game pourrait-il devenir une réalité ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez culture". Suivez Bababam sur Instagram. Première diffusion le 16 juin 2023 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Le Centre Pompidou à Metz fête ses 15 ans. L'exposition très attendue "Dimanche sans fin" ouvre ses portes. Elle aura cette spécificité de présenter près de 400 œuvres majeures issues des collections du Pompidou de Paris. Ecoutez Chiara Parisi, sa directrice.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Née en 1878, la designer et architecte Eileen Gray est à lʹorigine, avec lʹarchitecte Jean Badovici, de la villa E-1027. Cette maison se trouve en bord de mer à Roquebrune-Cap-Martin et elle est considérée comme une icône de lʹarchitecture moderne. Pour en parler, Johanne Dussez sʹentretient avec Cloé Pitiot, designer de grands projets de monuments au Centre des monuments nationaux et commissaire de lʹexposition "Eileen Gray" qui sʹest tenue au Centre Pompidou à Paris Sujets traités : Eileen Gray, Jean Badovici, architecte, villa E-1027. Roquebrune-Cap-Martin maison , mer Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:42:15 - Signes des temps - par : Marc Weitzmann - Alors que se tient jusqu'à début juin, l'exposition "Apocalypse" à la BNF, Marc Weitzmann reçoit deux des commissaires de l'exposition Jeanne Brun et François Angelier pour explorer l'imaginaire et les représentations autour de cette fin du monde. - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : François Angelier Producteur de l'émission "Mauvais Genres" sur France Culture, spécialiste de littérature populaire; Jeanne Brun Historienne de l'art, directrice adjointe du Musée national d'art moderne du Centre Pompidou, commissaire générale de l'exposition Apocalypse. Hier et Demain, jusqu'au 9 juin à la BnF
Sur fond de crise humanitaire à Gaza, Emmanuel Macron affiche son entente avec le président égyptien Al-Sissi La Corée du Sud mise sur le scrutin présidentiel anticipé pour mettre un terme à la crise politique Le poisson-ballon, ennemi public n°1 en Méditerranée En vue de sa rénovation, le Centre Pompidou entreprend le déménagement de sa collection David Hockney est mis à l'honneur dans une rétrospective incontournable
Episode No. 700 (!) features artist Tarrah Krajnak and curator Claire Howard. Krajnak is featured in two exhibitions on opposite sides of the United States. At the San Francisco Museum of Modern Art, Krajnak is featured in "Around Group f.64: Legacies and Counterhistories in Bay Area Photography" through July 13. The exhibition was curated by Shana Lopes, Erin O'Toole, and Delphine Sims, with Sally Katz and Alex Landry. At the International Center of Photography, New York, Kraynak's work is included in "To Conjure: New Archives in Recent Photography." Organized by Sara Ickow, Keisha Scarville, and Elisabeth Sherman, the exhibition presents the ways in which seven photographers are reimagining what an archive can be, or might look like. A third US exhibition of Krajnak's work opens April 16 at the Frye Art Museum, Seattle. It will be curated by Georgia Erger. Krajnak works between photography, performance, and poetry. Krajnak, who was born in Peru to an Indigenous mother and who was raised by a transracial US family, often interrogates photography standards and finds that they have limited women, and furthered the violent loss of Native land, lives, and rights. She has won most major photography prizes; her work is in the collections of museums such as the Museum of Modern Art, New York; the Tate Modern, London; the Centre Pompidou, Paris; and the Museum Ludwig, Cologne. Raab is the author of "Relics of War: The History of a Photograph" from Princeton University Press. It examines a photograph made by Clara Barton and published by Matthew Brady that features relics from the notorious Confederate prison at Andersonville, Georgia. "Relics of War" traces how the photograph was a central part of Barton's work of addressing mass death and related grief. Amazon and Bookshop offer it for $42-59. Instagram: Tarrah Krajnak, Tyler Green.