Kingdom of mainly multicellular, predominantly photosynthetic eukaryotes
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Baleine sous Gravillon - Nomen (l'origine des noms du Vivant)
Le Chêne rouvre ou Chêne sessile (Quercus petraea) est avec le Chêne pédonculé l'arbre le plus répandu en France. On le retrouve partout dans les plaines et collines de France sauf dans la région méditerranéenne et le bassin aquitain, jusqu'à 1600m. Le sessile est une espèce forestière, moins abondante dans les campagnes que le pédonculé. Le bois de Quercus petraea est identique à celui de son cousin Quercus robur. Ils sont tous les deux vendus sous la simple appellation “chêne” qui désigne en France conventionnellement le bois de ces deux espèces mais pas des autres chênes. Autrefois le chêne était un bois majeur et irremplaçable pour de la construction navale et les charpentes monumentales (églises et châteaux), pour la construction de maison, jusqu'à l'arrivée des bois de résineux. Le bois de chêne reste indispensable à la fabrication des tonneaux de vin (il transmet au vin ses célèbres tanins). Le chêne sessile et le chêne pédonculé sont semblables de loin mais différents de près, quand on regarde sous le gravillon: Le houppier du sessile est plus ample et régulier avec des branches bien réparties, celui du pédonculé est plus irrégulier avec de grosses branches plus tortueuses. Le sessile a des glands sans pédoncule (c'est la signification de sessile, “assis sur”), ceux du pédonculé, comme le nom l'indique, en ont. C'est l'inverse pour le pétiole des feuilles. La feuille du sessile dessine un ovale (plus grande largeur au milieu) alors que celle du chêne pédonculé fait le triangle (plus grande largeur au bout). Les feuilles du pédonculé sont groupées au terminaison des rameaux, les feuilles du sessile sont plus espacées et distinctes. _______
durée : 00:27:20 - Côté experts avec France Bleu Besançon
Le Chemin de la Nature (CDN) a pour objectif de transmettre la connaissance des plantes sauvages, des champignons et de leurs usages au plus grand nombre. Le Chemin de la Nature a été fondé par Christophe de Hody en 2011. Herbaliste, botaniste et mycologue de terrain, Christophe anime des balades et des formations depuis plus de 10 ans. Après une formation théorique et pratique approfondie, Christophe a développé de solides connaissances sur les plantes sauvages, les champignons et leurs usages. Il rassemble autour de lui une équipe unique de professionnels aux compétences complémentaires (pharmaco-chimistes, pharmaciens, botanistes, biologistes, ingénieurs pédagogiques, développeurs) afin de développer des contenus de qualité, pédagogiques, multimédias et innovants. Le CDN propose des ateliers et stages hebdomadaires, mais également des formations en ligne qui permettent aux amoureux de la nature d'acquérir des connaissances solides sur les plantes et les champignons sauvages et leurs usages. _______
Le Chemin de la Nature (CDN) a pour objectif de transmettre la connaissance des plantes sauvages, des champignons et de leurs usages au plus grand nombre. Le Chemin de la Nature a été fondé par Christophe de Hody en 2011. Herbaliste, botaniste et mycologue de terrain, Christophe anime des balades et des formations depuis plus de 10 ans. Après une formation théorique et pratique approfondie, Christophe a développé de solides connaissances sur les plantes sauvages, les champignons et leurs usages. Il rassemble autour de lui une équipe unique de professionnels aux compétences complémentaires (pharmaco-chimistes, pharmaciens, botanistes, biologistes, ingénieurs pédagogiques, développeurs) afin de développer des contenus de qualité, pédagogiques, multimédias et innovants. Le CDN propose des ateliers et stages hebdomadaires, mais également des formations en ligne qui permettent aux amoureux de la nature d'acquérir des connaissances solides sur les plantes et les champignons sauvages et leurs usages. _______
Les Astéracées, autrefois appelées «Composées» comprennent près de 23.500 espèces, ce qui en fait la 2e famille du monde végétal et des plantes à fleurs, derrière les Orchidacées (25.000 espèces) mais devant les Fabacées. Chez ces plantes, les fleurs apparentes sont en réalité des «capitules» de fleurs minuscules. Ce sont très majoritairement des plantes herbacées, même si la famille comprend aussi des arbres, des arbustes ou des lianes. Le nom vient du genre type Aster, mot latin signifiant étoile, en référence aux capitules étoilés des fleurs. Cette famille (nombreuse) de plantes a donné peu de plantes cultivées, beaucoup moins que les Poaceae (graminées comme le blé), les Fabaceae (légumineuses comme le haricot, les lentilles ou les pois) ou les Solanaceae (pomme de terre ou tomate). La base de données FAOSTAT ne retient que six produits issus de cette famille : artichaut, carthame, laitue et chicorée, pyrèthre (fleurs séchées) et graines de tournesol. La principale espèce cultivée de cette famille est la laitue (Lactuca sativa), principale plante consommée comme salade dans le monde, sous de multiples formes : pommée, batavia, frisée, romaine, iceberg … Il y a aussi les chicorées (endive ou chicon), la scarole, la frisée, ainsi que la chicorée à café. Les Asteraceae fournissent aussi des racines et tubercules comestibles : salsifis et topinambour. Elles fournissent également des graines oléagineuses (tournesol), des infusions (camomille) mais aussi des liqueurs : l'absinthe, produit de la grande absinthe et le génépi. La stévia est un célèbre édulcorant, au pouvoir sucrant 200 à 300 fois supérieur à celui du saccharose, sans apporter de calories. De nombreuses espèces de composées sont utilisées comme plantes ornementales, bleuet, chrysanthèm, dahlia, souci, œillet d'Inde … De très nombreuses espèces d'Asteraceae sont considérées comme des mauvaises herbes des cultures : pissenlits, laiterons, cirses, ambroisies (celle là, originaire d'Amérique du Nord, est en plus envahissante et très allergène) … Les Asteraceae renferment relativement peu d'espèces toxiques, qui sont souvent à l'origine d'empoisonnements du bétail. Parmi les espèces les plus dangereuses figurent le séneçon. _______ Le Chemin de la Nature (CDN), fondé en 2011 par Christophe de Hody, a pour objectif de transmettre la connaissance des plantes sauvages, des champignons et de leurs usages au plus grand nombre. Il propose des ateliers et stages hebdomadaires, mais également des formations en ligne qui permettent aux amoureux de la nature d'acquérir des connaissances solides sur les plantes et les champignons sauvages et leurs usages. _______
Les Apiacées, anciennement Ombellifères, comprennent près de 3.500 espèces. Elles sont surtout présentes dans les régions tempérées du monde. C'est l'une des plus importantes familles de plantes à fleurs, après les Orchidaceae, les Asteraceae (composées) de l'épisode précédent, et les Fabaceae (légumineuses) par le nombre d'espèces. Le nom vient d'Apium, qui désignait dans l'antiquité le céleri. Cette famille regroupe en particulier : l'anis vert, l'aneth, la berce, la carotte, le cerfeuil, le céleri, le persil, le panais, le fenouil, la coriandre, le cumin, l'angélique … Mis à part ces légumes ou condiments, 4 sont mortellement toxiques comme la Grande ciguë, la Petite ciguë, l'Œnanthe safranée et le Cerfeuil des fous. Un moyen mnémotechnique permet de les distinguer en France est : «s'il y a des poils, c'est au poil», les ombellifères toxiques mortelles n'étant pas poilues. Attention, c'est juste indicatif car les dangers de confusion restent forts et le cueilleur ne doit pas oublier l'existence d'exceptions : certaines ombellifères poilues, sans être mortelles, sont toxiques (par exemple les chérophylles, qui présentent des poils). Les Apiacées présentent 4 caractéristiques : Inflorescence, typique, est une ombelle; Feuilles alternes, très découpées ; Tige creuse et dotée de canaux sécréteurs de résines et d'essences odorantes ; Fruits secs doubles (diakènes). _______ Le Chemin de la Nature (CDN), fondé en 2011 par Christophe de Hody, a pour objectif de transmettre la connaissance des plantes sauvages, des champignons et de leurs usages au plus grand nombre. Il propose des ateliers et stages hebdomadaires, mais également des formations en ligne qui permettent aux amoureux de la nature d'acquérir des connaissances solides sur les plantes et les champignons sauvages et leurs usages. _______
Les Lamiacées, Labiacées ou Labiées, comprennent environ 6.700 espèces. Cette famille regroupe la plupart des plantes aromatiques et condimentaires de la région méditerranéenne : Lavande, romarin, mélisse, sauge, thym, basilic, menthe, sarriette …. Elle est source d'huiles essentielles, d'infusion et antibiotiques naturels pour l'aromathérapie, la parfumerie, même si les parfums de synthèse tendent à remplacer ces essences. Une étude a montré que 94 % de ces espèces présentent un effet sédatif voire dépresseur. Lamia désigne dans la mythologie grecque une créature monstrueuse, une vilaine ogresse croque-mitaine. La racine de lamia provient de laimos, «gorge, gosier». Cette même racine est à l'orgine du nom de la famille du grand Requin blanc : les lamnidés. La corolle bilabiée (à deux « lèvres ») des Lamiacées peut évoquer, avec un peu d'imagination, une gueule ouverte. Pline l'Ancien évoque le Lamium comme une «ortie morte», une fausse ortie qui aurait perdu son pouvoir urtican, comme le lamier, qui ressemble comme deux gouttes d'eau à l'ortie ! Le nom scientifique initial de Labiées est donné en 1789 par Antoine-Laurent de Jussieu dans Genera plantarum, ouvrage considéré comme la bible de base de la nomenclature des familles par le Code international de la nomenclature botanique. Le terme Labiée provient du latin labia, « lèvre », en référence à la corolle typique de ces plantes : La lèvre supérieure en casque (formée de 2 pétales soudés) protège les organes reproducteurs des intempéries et du soleil. La lèvre inférieure (formée de 3 pétales soudés) sert de plate-forme à l'insecte qui vient chercher le nectar. _______ Le Chemin de la Nature (CDN) a pour objectif de transmettre la connaissance des plantes sauvages, des champignons et de leurs usages au plus grand nombre. Le Chemin de la Nature a été fondé par Christophe de Hody en 2011. Herbaliste, botaniste et mycologue de terrain, Christophe anime des balades et des formations depuis plus de 10 ans. Après une formation théorique et pratique approfondie, Christophe a développé de solides connaissances sur les plantes sauvages, les champignons et leurs usages. Il rassemble autour de lui une équipe unique de professionnels aux compétences complémentaires (pharmaco-chimistes, pharmaciens, botanistes, biologistes, ingénieurs pédagogiques, développeurs) afin de développer des contenus de qualité, pédagogiques, multimédias et innovants. Le CDN propose des ateliers et stages hebdomadaires, mais également des formations en ligne qui permettent aux amoureux de la nature d'acquérir des connaissances solides sur les plantes et les champignons sauvages et leurs usages. _______
Livet erbjuder ständigt händelser som kan kallas den första eller den sista. Kritikern Magnus Halldin reflekterar över inledningar och avslut mellan första andetaget och sista måltiden. ESSÄ: Detta är en text där skribenten reflekterar över ett ämne eller ett verk. Åsikter som uttrycks är skribentens egna. Ursprungligen publicerad den 18 augusti 2020. Mina barn leker i rummet intill. De delar en lek som pågått snart ett decennium, vid havsstranden, i trädgårdar, trapphus och skogar. Överallt leken. Tillsammans formar de en barndomsberättelse, som dag för dag vittnar om ett alltmer avancerat upplägg, en växande förståelse av världen. Det är en lycka att emellanåt bjudas in och delta, lite valhänt, som när man samtalar på ett språk man inte till fullo behärskar. Deras barndom pågår nu, och den kommer inte åter. Själv bär jag ett tydligt minne av lekens slut. Det är i mitt pojkrum och jag har noggrant förberett en lek, men i det kritiska ögonblick då den ska bryta ut stannar jag upp, tvekande. Leken, som i åratal flödat ur mig, uteblir. Jag minns att det var som att ropa efter någon i en ödelagd korridor. Leken svarade inte. Vad hände? Tankfullt plockade jag ihop den värld jag byggt upp, förpackade den och sköt in lådan. Det var sista gången jag försökte leka, åtminstone som barn. Det underliga är att jag förstod det i samma stund, och den hösten tömdes mitt rum på leksaker, inte utan en stolt lättnad. Men vart tog allt vägen? De få leksaker som finns kvar är de som vilat i någon kartong på vinden, och som mina barn med entusiasm adopterat sedan de återfunnits. Livet erbjuder ständigt händelser som kan kallas den första eller den sista. Själv ser jag dem som melankoliska kategorier, där vi tvingas ställa händelser mot varandra och väga nuet mot det förflutna. Glipan eller avgrunden mellan två händelser är till brädden fylld av tid, och vi avkrävs en inställning till det som varit men inte längre är. Jag kan inte minnas första gången jag lekte, men det är med sorg jag minns dagen då leken tog slut. Varför är språket och kulturen så besatt av det första, gärna på bekostnad av det sista? Är det av skräck inför utslocknandet som vi vägrar acceptera att något sker för sista gången? Antonymerna första och sista styr ofta vårt tänkande. De verkligt avgörande händelser vi minns eller vårdar, och kallar första och sista, är livets gränsupplevelser: första och sista hjärtslaget, första och sista andetaget. Om många händelser vi kallar första äger vi kunskap redan när de inträffar, och vi bär dem sedan med oss som minnen, ljusa eller mörka. Om de sista däremot lever vi ofta i okunskap. Att låta hotelldörren slå igen; kanske aldrig mer det här rummet, den här utsikten, tornseglarna och San Marco där borta i diset. Alla dessa små ögonblick när vi blir varse innebörden av begreppet sista, men vägrar acceptera det. Ibland är det istället okunskapen om att något är för sista gången som gör att vi kan överleva vissa situationer utan att gå under: sista kyssen innan tåget rullade mot fronten, sista gången hon badade i havet, sista gången jag såg mitt barn. Många av de konstruktioner som finns inbäddade i språket har ofta sitt fokus inställt på just ytterflankerna. Men tanke och språk verkar emellanåt i en försonande riktning, för att påminna oss om att sträckan mellan första och sista kan vara rik på besläktade händelser. Det är påfallande hur verklighetens några gånger i minnet upphöjs till ofta eller vi brukade. Det är med den här typen av konstruktioner Marcel Proust arbetar när han i sina försök att hålla fast det förflutna koncentrerar sig på de glädjeämnen som i barndomen var återkommande, de vanor som binder samman generationer och gör barndomen till en trygg kedja av förutsägbara händelser. Jag har funderat över den sällsamma respekt som ibland visas den dödsdömde, vars hela tillvaro efter domen består av händelser med etiketten den sista. I sin väntan hålls den dödsdömde frisk av tillkallade läkare och själasörjare, han får inte gå händelserna i förväg. Men kanske kan han, som en barmhärtighetsgest, få röka en sista cigarett eller till och med komponera sin sista måltid. Vad han väljer för mat visar vad han njöt av i livet, men som nu ska tas ifrån honom. Denna intima information om den dödsdömdes val av sista måltid delas girigt av journalister, och ingår i berättelsen om hans sista timmar. I det förlovade landets dödsfabriker steks många hamburgare; behöver det sägas att dessa sista måltider ofta förblir orörda? Ibland tänker jag på Ricky Ray Rector, som ansågs ha en funktionsnedsättning, och som trots starka protester runtom i världen avrättades i Arkansas 1992. Ett tecken på att han inte förstod situationens allvar var att han sparade sista måltidens dessert, en pekanpaj, till senare. Hur ser människans villkor ut i vår nuvarande situation, i den obehagliga skarven mellan holocens slut och antropocens början? Mellan första uppkomsten av liv i haven och vårt nuvarande tillstånd, där vår förmenta intelligens kan förstöra planeten, har behovet av en ny och vig civilisationskritik uppstått. En kritik som ställer stora krav på den enskilde. I kuriositetskabinett och naturaliesamlingar på världens museer kan vi se uppstoppade exemplar av numera utrotade djurarter eller förlorade växter som torkats i herbarier och blivit sepiafärgade, mätta av år. Ett gränslöst vemod. Särskilt starkt minns jag en dåsig eftermiddag i Jardin des Plantes i Paris, då jag plötsligt väcktes till liv inför en dront i en av de svagt upplysta montrarna. En för sent anländ uppfordran. Eller på Naturhistoriska riksmuseet i Stockholm, där man kan se Linnélärjungen Anders Sparrmans lilla kvagga, som fördes till Sverige från Sydafrika 1775. Denna vackra zebraliknande varelse, för alltid utplånad ur de levandes skara. Det finns bara tjugotalet döda exemplar bevarade i världen, de flesta som uttorkade skinn. Den allra sista dog i en djurpark i Amsterdam 1883. På en av Galapagosöarna levde den hundraårige Lonesome George, den sista kända individen av pintasköldpaddan, vars utdragna död 2012 bevakades av medier från hela världen. Nu är arten utplånad, aldrig möjlig att ersätta. Våra första minnen bärs den längsta sträckan, förankras och fördjupas. Senare minnen bärs en kortare sträcka, men densiteten kan vara hög. Vissa minnen saknar halveringstid; det gäller ofta de plågsamma. Vilhelm Ekelund skriver: Det är ej huvudsaken ( så underligt är det med människan) att ett sår läkes : men att det hålles rent! Ett öppet sår är en ständig händelse. Kommer livet behålla sina vackra stunder även inför döden? Vad kommer sjukdom och smärta att göra med minnet av våra lyckliga ögonblick? Det är en nåd att ibland sväva i okunskap om vad som är den sista gången. Vilken fasa att minnas sista gången vi älskade. På våra europeiska breddgrader varar en graviditet åtminstone över tre årstider. I höjd med den fjärde föds barnet. Precis som hjärtat slår ett sista slag, har det någon gång slagit sitt första. Magnus Halldin, kritiker
Aujourd'hui, dans "Bienfait pour vous", Mélanie Gomez et Julia Vignali ouvrent le dossier santé du jour avec Dr Christine Cieur et Caroline Gayet.
Tous les jours dans "Bienfait pour vous", Clément Lanoue vous livre avec humour son point de vue sur une thématique santé ou bien être.
Chaque jour, Julia Vignali et Mélanie Gomez, entourés de trois chroniqueurs, proposent une émission dédiée au bien-être et au mieux vivre. Travail, consommation, couple, parentalité… un magazine utile et feel-good qui traite de toutes les thématiques de la vie quotidienne.
Sylvie Robert vous donne des conseils pour connaitre les bons labels verts pour acheter des plantes ou des fleurs durant les fêtes.
durée : 00:27:54 - Côté experts avec France Bleu Besançon
Ouaip, on y est tous passés un jour où l'autre. La gueule de bois, c'est un peu un cauchemar qui dure 24 h. Ne pourrait-on pas soulager la situation avec un mélange de plantes bien réfléchi ? Abonnez-vous à la lettre d'information gratuite ! C'est ici : ➜ www.altheaprovence.com/podcast-lettreinfo ---------------------------- La transcription du podcast : ➜ https://www.altheaprovence.com/gueule-de-bois-quelles-plantes-utiliser/
OH_336-04-07 Graines et Plantes by Shiour Yomi
durée : 00:28:19 - Côté experts avec France Bleu Besançon
Amb Edu Arnal, expert en arbres i plantes, parlem dels arbustos, de les diferents tipologies i ens recomana algunes varietats agraïdes com ara l'Eugènia i la Photinia. Edu Arnal ens posa al dia també en el món de les plantes invasores que colonitzen l'espai i no permeten el creixement de plantes autòctones i que a Sitges en podem trobar arreu. L'entrada Món verd: arbustos, els grans oblidats i el perill de les plantes invasores ha aparegut primer a Radio Maricel.
La Grande Mosquée de Paris a été construite au cœur de la capitale française en hommage aux combattants musulmans de la Première Guerre Mondiale. La première pierre a été posée le 19 octobre 1922, dans le 5e arrondissement de Paris, face au Jardin des Plantes. Avec son style hispano-mauresque, son minaret, ses patios et jardins d'inspiration andalouse, elle a été classée comme monument historique en 1983. Lieu de culte pour les musulmans, appréciée des visiteurs parisiens pour ses jardins et son salon de thé, elle fut aussi un moyen pour l'État français de promouvoir l'«Islam de France». Aujourd'hui, la Grande Mosquée de Paris veut rassurer en offrant l'image d'un Islam ouvert sur la République, à l'heure où les constructions de nouvelles mosquées sont régulièrement freinées. Avec : - Chems Eddine-Hafiz, recteur de la Grande Mosquée de Paris - Dorra Mameri-Chaambi, chercheuse à l'EHESS / CEMS, auteure d'une thèse sur la Grande Mosquée de Paris (L'Institut Musulman de la Grande Mosquée de Paris (1916-2015) : vers un Islam de France ?) Reportage à la Grande Mosquée de Paris. Diaporama
Chaque jour, l'équipe de vos radios communautaires se retrouve pour parler du sujet du jour ! Retrouvez vos animateurs et journalistes favoris dans une discussion sans filet, sans langue de bois et avec beaucoup d'humour. Voici les plantes dont on a parlé : -Astragale de chine : Astragalus membranaceus -Echinacée pourpre : Echinacea purpurea -Ail : Allium sativum -Thym : Thymus vulgaris -Sauge : Salvia officinalis -Romarin : Salvia rosmarinus -Gingembre : Zingiber officinale -Sureau noir : Sambucus nigra -Ortie : Urtica dioica -Menthe Poivrée : Mentha x piperita
durée : 00:02:37 - Les Bobologues sur France Bleu Creuse
Anne Ghesquière reçoit dans Métamorphose Élise Boghossian, docteure en médecine traditionnelle chinoise. Pourrait-on faire en sorte de ne jamais tomber malade ? Que dit la maladie de nous ? Comment l'accompagner ? Autant de questions que se pose la médecine traditionnelle chinoise. Dans un ouvrage se présentant comme un guide, rendant accessibles des savoirs ancestraux, Élise Boghossian nous livre surtout une invitation à l'écoute de soi et de son environnement, à une forme d'équilibre. En 2002 elle ouvre son cabinet à Paris et fonde la célèbre ONG EliseCare, au travers de laquelle elle soigne sur le terrain en zones de conflits, notamment en Syrie, en Irak et plus récemment en Ukraine. Je l'accueille aujourd'hui à l'occasion de la sortie de son livre Prévenir et soulager. Cancer : les vertus de la médecine traditionnelle chinoise. Épisode #350Avec Elise Boghossian j'aborderai les thèmes suivants (extrait des questions) :Comment la médecine traditionnelle chinoise a-t-elle croisée votre chemin ?Avec le Qi, une autre notion très importante en médecine traditionnelle chinoise : le Sang ?Comment a été fondée la théorie des 5 éléments ?Quels sont les quatre temps d'une consultation en médecine traditionnelle chinoise ?Pour rester en bonne santé, vous parlez du sommeil et des micros siestes mais aussi de petits efforts physiques sans aller au-delà de ses forces ?Quels sont les autres soins à apporter au corps tous les jours ? Plantes, sport, hygiène, sommeil, respiration ?Qui est mon invitée de la semaine, Elise Boghossian ? Élise Boghossian est docteure en médecine traditionnelle chinoise et fonde en 2002 l'ONG EliseCare à travers laquelle elle agit en zones de conflits en apportant soins médicaux et matériel sanitaire aux civils. Elle publie son livre "Prévenir et soulager avec la médecine chinoise" aux éditions Robert Laffont. On peut retrouver son travail et faire un don à son association sur le site elisecare.org et la retrouver via l'Union française pour la médecine traditionnelle chinoise à l'adresse www.ufpmtc.comQuelques citations du podcast avec Elise Boghossian : "La médecine traditionnelle chinoise est avant tout une médecine de prévention pour que la personne ne soit pas malade et vive longtemps.""Notre peau nous protège aussi des émotions qui nous viennent de l'extérieur.""Quand on combine les techniques de psychologie, de thérapies cognitives et d'énergétique, on booste la résilience.""La joie peut aussi être cultivée en donnant, en partageant, en s'engageant."Rejoignez-nous sur notre nouveau site Internet et abonnez-vous à notre Newsletter https://www.metamorphosepodcast.com/ Soutenez notre podcast en rejoignant dès maintenant la Tribu MétamorphoseRetrouvez Métamorphose, le podcast qui éveille la conscience sur Apple Podcast / Spotify / Google Podcasts / Deezer / YouTube / SoundCloud / CastBox/ TuneIn.Suivez l'actualité des épisodes Métamorphose Podcast sur Instagram, découvrez l'invité de la semaine et des surprises ;-)InstagramFacebookPhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Avec ses superbes et immenses belles feuilles vertes tachetées de jaune ou de crème, sa facilité légendaire d'entretien — JE serais capable d'en garder une en santé pendant plus d'une semaine — et sa grande disponibilité dans les commerces, pas étonnant que le Dieffenbachia seguine se vende par millions à travers le monde… Adhérez à cette chaîne pour obtenir des avantages : https://www.youtube.com/channel/UCN4TCCaX-gqBNkrUqXdgGRA/join Pour soutenir la chaîne, trois choix: 1. Cliquez sur le bouton « Adhérer » sous la vidéo. 2. Patreon: https://www.patreon.com/hndl 3. UTip: https://utip.io/lhistoirenousledira Avec: Laurent Turcot, professeur en histoire à l'Université du Québec à Trois-Rivières, Canada Script: Hugues Bélanger Musique issue du site : epidemicsound.com Abonnez-vous à ma chaine: https://www.youtube.com/c/LHistoirenousledira Facebook: https://www.facebook.com/histoirenousledira Instagram: https://www.instagram.com/laurentturcot Les vidéos sont utilisées à des fins éducatives selon l'article 107 du Copyright Act de 1976 sur le Fair-Use. Pour aller plus loin: M. G. Kenny, « A darker shade of green: medical botany, homeopathy, and cultural politics in interwar Germany », Soc Hist Med, 2002 Dec;15(3):481-504 #histoire #documentaire #nazi
Baleine sous Gravillon - Nomen (l'origine des noms du Vivant)
Le Châtaignier, de son nom latin Castanea sativa, fait partie de la famille des fagacées, comme le Chêne et le Hêtre, ses prestigieux cousins. Pendant longtemps, les châtaignes séchées furent la base de l'alimentation dans certaines régions d'Europe, dans les endroits où la population était dépourvue d'agriculture céréalière. Le Châtaignier était alors considéré comme un arbre nourricier. En Méditerranée, il était également surnommé “pain des pauvres” car ses fruits remplaçaient les céréales en période de pénurie. Le Châtaignier est un arbre majestueux qui pousse vite, il peut atteindre 25 à 35 m. Le Châtaignier vit longtemps et peut dépasser le millénaire ! Ses feuilles contiennent beaucoup de tanins, des molécules végétales permettant aux plantes de se protéger contre les parasites. Ces arbres sont sensibles au gel de printemps, ont besoin de chaleur en été et d'eau en septembre. Les anciens disaient “au mois d'août, la châtaigne doit être dans un four, au mois de septembre dans un puits”. Le Marronnier est parfois confondu avec le Châtaignier. Mais ils ne sont pas du tout de la même famille. Le Châtaigner est un fagacée alors que le Marronnier est un Sapindaceae. Le Marronnier commun (Aesculus hippocastanum) est également Marronnier d'Inde, Marronnier faux-châtaignier ou encore Châtaignier des chevaux. Car les Chevaux mangent les marrons ! Le Marronnier, bien que très répandu en Europe et en Amérique du Nord, est classé vulnérable dans sa région d'origine, non pas l'Inde, mais dans les Balkans. _______
durée : 00:03:49 - Le rendez-vous nature France Bleu Besançon
durée : 00:02:11 - Tous au jardin FB Orléans - Jean-Paul Imbault, notre expert en jardinage, a toujours un bon conseil à nous donner le matin sur France Bleu Orléans !
durée : 00:03:10 - Les Bobologues sur France Bleu Creuse
C'est la journée mondiale des sols ! L'occasion de rediffuser nos émissions sur ce sujet essentiel avec Marc-André Sélosse. Parfait timing pour une rediff en ce début de COP15 sur la biodiversité à Montréal en plus ! Marc Mortelmans (l'hôte de BSG) était invité ce matin dans la matinale de France Culture, justement pour en évoquer les enjeux ! _______ J'abrite la grande majorité de la biodiversité terrestre, je suis l'usine de recyclage de la matière, source et support de l'alimentation et j'ai un rôle énorme dans l'effet de serre et la captation de carbone, qui suis-je ? - Le sol. Un gramme de sol héberge plus d'un milliard de bactéries, de plusieurs milliers d'espèces différentes. Il compte aussi 1 à 100 000 espèces de champignons… Avec 50% de la biomasse vivante, 23% des espèces vivantes connues et 75% de la matière organique terrestre, le sol est de loin le principal écosystème terrestre : ce que nous voyons en surface n'en est qu'un minuscule reflet. La vie crée le sol : elle dégrade la matière organique pour en recycler les éléments ; elle attaque la roche pour libérer la fertilité ; elle exploite l'atmosphère dont l'azote gazeux est notamment transformé par des bactéries en azote assimilable. La vie brasse le sol, entre mouvements animaux et remontées d'éléments prélevés en profondeur par les plantes. Les sols font le monde. Leur fertilité emportée par les eaux fertilise les océans, expliquant pourquoi les eaux proches des continents sont les plus productives (même la biodiversité marine doit beaucoup aux sols !). Une solution simple contre l'effet de serre est d'enfouir nos déchets organiques dans les sols. Augmenter de 0,4 % par an la teneur en matière organique dans les sols stockerait l'équivalent de nos émissions annuelles de CO2 ! L'homme n'y a pas compris cela. L'équivalent d'un département est artificialisé tous les 7 à 10 ans en France. La salinisation menace 30% des sols agricoles, car l'irrigation apporte des sels qui s'accumulent. Le labour ramène la fertilité en surface, aère le sol et désherbe nos champs mais sur le long terme, cette pratique récurrente et profonde est dommageable. Il faut 100 à mille ans pour faire un sol... Nous réalisons donc mal qu'ils sont eux-aussi un patrimoine qu'on ne peut remplacer et qu'il faut protéger. Nous héritons les sols de nos ancêtres et nous les devons à nos enfants. Notre invité Marc-André Sélosse est biologiste, spécialisé dans les symbioses (associations mutuellement bénéfiques) entre plantes, microbes et champignons. Il est aussi professeur au Muséum National d'Histoire Naturelle (MNHN). Il enseigne dans plusieurs universités en France et à l'étranger. Marc-André est un habitué des plateaux télé et radio, ancien chroniqueur de l'émission la Terre au Carré… et un auteur prolifique. Il est l'auteur de “L'Origine du Monde, une histoire naturelle du sol, à l'intention de ceux qui le piétinent”, Acte Sud 2021). _______
C'est la journée mondiale des sols ! L'occasion de rediffuser nos émissions sur ce sujet essentiel avec Marc-André Sélosse. Parfait timing pour une rediff en ce début de COP15 sur la biodiversité à Montréal en plus ! Marc Mortelmans (l'hôte de BSG) était invité ce matin dans la matinale de France Culture, justement pour en évoquer les enjeux ! _______ Marc-André Sélosse est biologiste, spécialisé dans les symbioses (associations mutuellement bénéfiques) entre plantes, microbes et champignons. Il est aussi professeur au Muséum National d'Histoire Naturelle (MNHN). Il enseigne dans plusieurs universités en France et à l'étranger. Marc-André est l'auteur d'un livre de référence sur les sols, “L'origine du monde, une histoire naturelle du sol à l'intention de ceux qui le piétinent”, paru en septembre 2021. Les sols sont de loin le principal réservoir de vie terrestre, avec 25 % des espèces connues. Ils fourmillent d'animaux et de microbes qui vivent et se nourrissent de façons incroyablement variées et liées : cette diversité, ce foisonnement de vie assure tout simplement... le fonctionnement des écosystèmes terrestres. Des sols et de leur bonne santé dépend aussi la fertilité des océans (c'est d'eux que proviennent les sels minéraux charriés par les fleuves. Ces nutriments sont indispensables au cycle du plancton). _______
Première partie - chapitre trois : Comme il plaira à MonsieurProposé par audiolude.frNarrateur : Alain Couchot"Trois secondes avant l'arrivée de la lettre de J.-B. Hobson, je ne songeais pas plus à poursuivre la Licorne qu'à tenter le passage du Nord-Ouest. Trois secondes après avoir lu la lettre de l'honorable secrétaire de la marine, je comprenais enfin que ma véritable vocation, l'unique but de ma vie, était de chasser ce monstre inquiétant et d'en purger le monde.Cependant, je revenais d'un pénible voyage, fatigué, avide de repos. Je n'aspirais plus qu'à revoir mon pays, mes amis, mon petit logement du Jardin des Plantes, mes chères et précieuses collections ! Mais rien ne put me retenir. J'oubliai tout, fatigues, amis, collections, et j'acceptai sans plus de réflexions l'offre du gouvernement américain.« D'ailleurs, pensai-je, tout chemin ramène en Europe, et la Licorne sera assez aimable pour m'entraîner vers les côtes de France ! Ce digne animal se laissera prendre dans les mers d'Europe, — pour mon agrément personnel, — et je ne veux pas rapporter moins d'un demi mètre de sa hallebarde d'ivoire au Muséum d'histoire naturelle. »Mais, en attendant, il me fallait chercher ce narwal dans le nord de l'océan Pacifique ; ce qui, pour revenir en France, était prendre le chemin des antipodes.« Conseil ! » criai-je d'une voix impatiente.Conseil était mon domestique. Un garçon dévoué qui m'accompagnait dans tous mes voyages ; un brave Flamand que j'aimais et qui me le rendait bien, un être phlegmatique par nature, régulier par principe, zélé par habitude, s'étonnant peu des surprises de la vie, très-adroit de ses mains, apte à tout service, et, en dépit de son nom, ne donnant jamais de conseils, — même quand on ne lui en demandait pas.À se frotter aux savants de notre petit monde du Jardin des Plantes, Conseil en était venu à savoir quelque chose. J'avais en lui un spécialiste, très-ferré sur la classification en histoire naturelle, parcourant avec une agilité d'acrobate toute l'échelle des embranchements, des groupes, des classes, des sous-classes, des ordres, des familles, des genres, des sous-genres, des espèces et des variétés. Mais sa science s'arrêtait là. Classer, c'était sa vie, et il n'en savait pas davantage. Très versé dans la théorie de la classification, peu dans la pratique, il n'eût pas distingué, je crois, un cachalot d'une baleine ! Et cependant, quel brave et digne garçon !Conseil, jusqu'ici et depuis dix ans, m'avait suivi partout où m'entraînait la science. Jamais une réflexion de lui sur la longueur ou la fatigue d'un voyage. Nulle objection à boucler sa valise pour un pays quelconque, Chine ou Congo, si éloigné qu'il fût. Il allait là comme ici, sans en demander davantage. D'ailleurs d'une belle santé qui défiait toutes les maladies ; des muscles solides, mais pas de nerfs, pas l'apparence de nerfs, — au moral, s'entend.Ce garçon avait trente ans, et son âge était à celui de son maître comme quinze est à vingt. Qu'on m'excuse de dire ainsi que j'avais quarante ans.Seulement, Conseil avait un défaut. Formaliste enragé, il ne me parlait jamais qu'à la troisième personne — au point d'en être agaçant.« Conseil ! » répétai-je, tout en commençant d'une main fébrile mes préparatifs de départ."
Dans cet épisode, Éric Fabre et Jean-Pierre Lassaire nous parlent de leur engagement pour ces vénérables que sont les arbres. On oublie trop souvent qu'ils sont tellement essentiels pour le Vivant. _______ Le FIFO (Festival international du film ornithologique) de Ménigoute est un rendez-vous incontournable pour les passionnés du documentaire animalier et pour les amoureux du Vivant. Le FIFO propose des projections de films, mais aussi un forum des assos et autres acteurs naturalistes, un salon d'Art animalier, des rencontres-débats, un festival off, des sorties et ateliers nature. L'entrée est gratuite et chaque projection payante. C'est simple, riche et “familial”. BSG a eu l'honneur et la chance d'y être invité cette année, pour la 38 e édition, fin octobre 2022. Marc y a réalisé 48 interviews, en se laissant guider par le hasard, au petit bonheur la grande chance. Il en est revenu les cales pleines de belles rencontres et de pépites naturalistes. 24 sont partagées dans BSG, 1 dimanche sur 2. Les 24 autres passent dans Combats, le jumeau “sur le front” de BSG, 1 vendredi sur 2, en alternance. Voici les 24 interviews dispos dans BSG : https://bit.ly/butor_FIFO22 https://bit.ly/natrix_pue_F22 https://bit.ly/martinet_F22 https://bit.ly/busard_F22 https://bit.ly/lpo_F22 https://bit.ly/arbre3_F22 https://bit.ly/arbre2_F22 https://bit.ly/arbre1_F22 https://bit.ly/tengmalm_F22 https://bit.ly/4viperes_F22 https://bit.ly/collober_F22 https://bit.ly/blaireau_F22 https://bit.ly/loup3_F22 https://bit.ly/loup2_F22 https://bit.ly/loup1_F22 https://bit.ly/ours_F22 https://bit.ly/gcorb_gduc_F22 https://bit.ly/coulvs2_F22 https://bit.ly/coulvs1_F22 https://bit.ly/libellule_F22 https://bit.ly/girard_F22 https://bit.ly/lezard_o_F22 https://bit.ly/sterne_F22 https://bit.ly/cerastes_F22 … et les 24 dispos dans Combats : https://bit.ly/poteau_F22 https://bit.ly/animalcross_F22 https://bit.ly/charbonnier1_F22 https://bit.ly/charbonnier2_F22 https://bit.ly/bargeqn_F22 https://bit.ly/teich_F22 https://bit.ly/morphe_F22 https://bit.ly/orga_F22 https://bit.ly/freux_F22 https://bit.ly/brochet_F22 https://bit.ly/rale_F22 https://bit.ly/ambroisie_F22 https://bit.ly/bassine_F22 https://bit.ly/iffcamien_F22 https://bit.ly/iffgars_F22 https://bit.ly/iffille_F22 https://bit.ly/mesange_F22 https://bit.ly/hulotte_F22 https://bit.ly/kleenex_F22 https://bit.ly/aoc_F22 https://bit.ly/cner_F22 https://bit.ly/blairoudeur_F22 https://bit.ly/fest_aqc_F22 https://bit.ly/batracien_F22 _______ Pour réécouter les épisodes sur les arbres avec Ernst Zürcher : https://bit.ly/arbres_EZ1_BSG https://bit.ly/arbres_EZ2_BSG https://bit.ly/arbres_EZ3_BSG https://bit.ly/arbres_EZ4_BSG https://bit.ly/arbres_EZ5_BSG https://bit.ly/arbres_EZ6_BSG https://bit.ly/arbres_EZ7_BSG https://bit.ly/arbres_EZ8_BSG Pour réécouter les épisodes sur les arbres menacés avec David Happe : https://bit.ly/david-happe1_CBT https://bit.ly/david-happe2_CBT https://bit.ly/david-happe3_CBT https://bit.ly/david-happe4_CBT _______ Sous notre Gravillon vous trouverez... 4 podcasts, 1 site, 1 compte Instagram, 1 page + 1 groupe Facebook et 1 asso dédiés au Vivant : https://baleinesousgravillon.com/liens-2 Tous ces podcasts sont réalisés par des bénévoles. Ils sont gratuits et accessibles à tous. Nous avons besoin de votre soutien pour continuer à vivre. Vous pouvez faire un don sur Helloasso (ou sur Tipeee) ou adhérer à l'asso BSG. Si vous aimez nos productions, partagez nos liens et abonnez-vous! Profitez-en pour nous laisser des étoiles et surtout un avis sur Apple Podcast, Spotify et les autres applis d'écoutes. Grâce à vos avis, nous serons plus visibles. Grand merci :) Nous proposons de vous accompagner pour créer votre podcast. Nous proposons aussi des conférences et animons des tables rondes pour diffuser la connaissance sur le Vivant et la biodiversité dans les écoles, les universités et les entreprises. contact@baleinesousgravillon.com
Dans cet épisode, Éric Fabre et Jean-Pierre Lassaire nous parlent de l'arbre qui cache la forêt : Oui, les forêts sont en expansion en France. Mais de quelles forêts parle-t-on ? - De "champs d'arbres" destinés à être exploités et stériles pour le Vivant ? Comment gérer les forêts ? L'association Francis Hallé veut instituer un sanctaire de 70.000 ha dédié à une forêt en libre évolution, inviolable pendant des siècles. Retour à la case primaire;) _______ Le FIFO (Festival international du film ornithologique) de Ménigoute est un rendez-vous incontournable pour les passionnés du documentaire animalier et pour les amoureux du Vivant. Le FIFO propose des projections de films, mais aussi un forum des assos et autres acteurs naturalistes, un salon d'Art animalier, des rencontres-débats, un festival off, des sorties et ateliers nature. L'entrée est gratuite et chaque projection payante. C'est simple, riche et “familial”. BSG a eu l'honneur et la chance d'y être invité cette année, pour la 38 e édition, fin octobre 2022. Marc y a réalisé 48 interviews : 24 sont partagées dans BSG, 1 dimanche sur 2. Les 24 autres passent dans Combats, le jumeau “sur le front” de BSG, 1 vendredi sur 2, en alternance. Voici les 24 interviews dispos dans BSG : https://bit.ly/butor_FIFO22 https://bit.ly/natrix_pue_F22 https://bit.ly/martinet_F22 https://bit.ly/busard_F22 https://bit.ly/lpo_F22 https://bit.ly/arbre3_F22 https://bit.ly/arbre2_F22 https://bit.ly/arbre1_F22 https://bit.ly/tengmalm_F22 https://bit.ly/4viperes_F22 https://bit.ly/collober_F22 https://bit.ly/blaireau_F22 https://bit.ly/loup3_F22 https://bit.ly/loup2_F22 https://bit.ly/loup1_F22 https://bit.ly/ours_F22 https://bit.ly/gcorb_gduc_F22 https://bit.ly/coulvs2_F22 https://bit.ly/coulvs1_F22 https://bit.ly/libellule_F22 https://bit.ly/girard_F22 https://bit.ly/lezard_o_F22 https://bit.ly/sterne_F22 https://bit.ly/cerastes_F22 … et les 24 dispos dans Combats : https://bit.ly/poteau_F22 https://bit.ly/animalcross_F22 https://bit.ly/charbonnier1_F22 https://bit.ly/charbonnier2_F22 https://bit.ly/bargeqn_F22 https://bit.ly/teich_F22 https://bit.ly/morphe_F22 https://bit.ly/orga_F22 https://bit.ly/freux_F22 https://bit.ly/brochet_F22 https://bit.ly/rale_F22 https://bit.ly/ambroisie_F22 https://bit.ly/bassine_F22 https://bit.ly/iffcamien_F22 https://bit.ly/iffgars_F22 https://bit.ly/iffille_F22 https://bit.ly/mesange_F22 https://bit.ly/hulotte_F22 https://bit.ly/kleenex_F22 https://bit.ly/aoc_F22 https://bit.ly/cner_F22 https://bit.ly/blairoudeur_F22 https://bit.ly/fest_aqc_F22 https://bit.ly/batracien_F22 _______ Pour réécouter les épisodes sur les arbres avec Ernst Zürcher : https://bit.ly/arbres_EZ1_BSG https://bit.ly/arbres_EZ2_BSG https://bit.ly/arbres_EZ3_BSG https://bit.ly/arbres_EZ4_BSG https://bit.ly/arbres_EZ5_BSG https://bit.ly/arbres_EZ6_BSG https://bit.ly/arbres_EZ7_BSG https://bit.ly/arbres_EZ8_BSG Pour réécouter les épisodes sur les arbres menacés avec David Happe : https://bit.ly/david-happe1_CBT https://bit.ly/david-happe2_CBT https://bit.ly/david-happe3_CBT https://bit.ly/david-happe4_CBT _______ Sous notre Gravillon vous trouverez... 4 podcasts, 1 site, 1 compte Instagram, 1 page + 1 groupe Facebook et 1 asso dédiés au Vivant : https://baleinesousgravillon.com/liens-2 Tous ces podcasts sont réalisés par des bénévoles. Ils sont gratuits et accessibles à tous. Nous avons besoin de votre soutien pour continuer à vivre. Vous pouvez faire un don sur Helloasso (ou sur Tipeee) ou adhérer à l'asso BSG. Si vous aimez nos productions, partagez nos liens et abonnez-vous! Profitez-en pour nous laisser des étoiles et surtout un avis sur Apple Podcast, Spotify et les autres applis d'écoutes. Grâce à vos avis, nous serons plus visibles. Grand merci :) Nous proposons de vous accompagner pour créer votre podcast. Nous cherchons des partenaires : contact@baleinesousgravillon.com
Les plantes et le sexe, quelle histoire! Des relations symbiotiques entre flore et faune, en passant par les tromperies, le mutualisme, l'influence des milieux et l'évolution, il y a 1001 histoires à raconter sur la sexualité des plantes. C'est ce que décrit dans cet épisode Joanne Anton, artiste, illustratrice, autrice de Sexus Botanicus (Arthaud, 2022). Entre volupté végétale, excentricité organique, et orgie florale, elle nous explique la sexualité flamboyante des plantes. Bonne écoute!
Depuis notre entrée dans un nouveau millénaire, les plantes font beaucoup parler d'elles. Au fur et à mesure des découvertes scientifiques, leurs facultés de sensibilité, de mémoire, d'apprentissage ne cessent d'étonner. Bien que les expériences sur le sujet remontent au moins au XIXe siècle, l'engouement du public et de la communauté scientifique actuels ne semble […]
durée : 00:06:21 - La main verte - par : Alain Baraton - Les botanistes sont parfois bien compliqués quand il s'agit de donner un nom aux plantes...
Bilan de mes années de recherches et pratique, suggestion de stratégies pour utiliser les plantes d'une manière judicieuse sans provoquer de Herx. Abonnez-vous à la lettre d'information gratuite ! C'est ici : ➜ www.altheaprovence.com/podcast-lettreinfo ---------------------------- La transcription du podcast : ➜ https://www.altheaprovence.com/lyme-chronique-bilan-de-mes-annees-de-pratique/
Pour écouter le podcast Faits Divers de Choses à Savoir: Apple Podcast: https://podcasts.apple.com/us/podcast/faits-divers/id1634132713 Spotify: https://open.spotify.com/show/206pWa4UKAgDLTLgx5l9ch?si=ac8911da8028483b Deezer: https://deezer.com/show/3871907 Google Podcast: https://www.google.com/podcasts?feed=aHR0cHM6Ly9mZWVkcy5tZWdhcGhvbmUuZm0vRk9ETDc1NTQ3MTkxMzI%3D ------------------------------- Que se passerait-il si on arrosait les plantes avec un peu d'alcool ? Cette question est moins incongrue qu'elle n'en a l'air. En effet, des chercheurs japonais ont remarqué que des plantes exposées à la sécheresse produisaient un peu d'éthanol, connu aussi sous le nom d'alcool éthylique. Cette réaction de la plante lui permet de mieux s'adapter à une éventuelle privation d'eau. Des chercheurs japonais se sont demandé ce qui arriverait s'ils arrosaient des plantes avec une solution composée d'eau et de 0,1 % d'éthanol. Après avoir arrosé les plantes deux semaines, ils ont renouvelé l'expérience durant trois jours, arrosant du riz et du blé avec cette eau légèrement alcoolisée. Puis ils ont privé les plantes d'eau. Les recherches ont été plus poussées sur une plante herbacée appelée Arabidopsis. Les résultats de cette expérience semblent très probants. En effet, les trois quarts des plantes ayant reçu un peu d'éthanol ont résisté au stress hydrique, alors que seulement 5 % de celles qui n'ont pas bénéficié de ce traitement ont survécu à la sécheresse. En étudiant de plus près le comportement de plants d'Arabidopsis arrosés avec de l'eau additionnée d'éthanol, les scientifiques ont mieux compris les mécanismes en cause. En effet, ils se sont aperçus que, en cas d'arrosage à l'éthanol, les stomates de ces plantes avaient tendance à se fermer. Il s'agit de petits orifices situés sur les feuilles, qui assurent les échanges de la plante avec l'atmosphère. Autrement dit, c'est ce qui permet aux plantes de transpirer. Les chercheurs ont également remarqué que ces plantes fabriquaient plus de sucres. Autant de mécanismes qui facilitent la rétention d'eau. Ils permettent donc à la plante de mieux résister à la sécheresse. L'ajout d'un peu d'alcool dans l'eau d'arrosage permettrait donc d'anticiper et de renforcer ces processus. Certains y voient déjà un moyen d'accroître la production alimentaire dans un contexte marqué à la fois par l'augmentation de la population mondiale et la limitation des ressources en eau liée aux changements climatiques. D'après les spécialistes, cependant, ce procédé ne serait pas sans présenter certaines limites. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
On the 1st of May 1889, the young (33 year old) psychoanalyst-on-the-make Sigismund Schlomo Freud took on the case of a “a lady of about forty years of age”, a Frau Emmy von N., who we now know to be the Swiss noblewoman Baroness Fanny Louise von Sulzer-Wart. Baroness Fanny had married 29 years previously at the tender age of 23 the 65 year-old Swiss watchmaker and industrialist Heinrich Moser, who died 4 years after the marriage from a heart attack. In the minds of Moser's five children from his previous marriage, the idea got around that Fanny might have toe-tagged their father after having him sire her two new Moser offspring with birthright claims to his vast fortune. This is the first time that Freud decides to give his friend Josef Breuer's technique of “investigation under hypnosis” a try-out as he attempts to help his new patient with her suffering somatizations (resembling very much the symptoms of Fibromyalgia today). Freud starts using techniques which will in time become (after he has ditched the overt hypnosis angle) his own special contribution to human animal therapeutics. What have these initial forays into our so-called "hysterical" human Egos (Freud's word for the Ego was simply "Ich", I) got to do with a poem that Rainer Maria Rilke would write a decade or so later about a panther he'd spent a day watching behind bars in the Jardin des Plantes, in Paris? This first episode (part of a trio) begins exploring this koan, trying to join up some of these dots between one of Freud's first talking cure patients (Emmy/Fanny), with Joseph Mortimer Granville's invention of the medical vibrator (the percuteur) in 1880 and its uses by male doctors on their female patients' genitalia; James Strachey's mistranslations of Freud's Ich into Ego and the effect this would have on psychoanalytic thought and practice, and David Attenborough being chased around the Scottish Highlands by a large, angry grouse called The Caipercaillie. Poems discussed in this episode: THE PANTHER His vision, from the constantly passing bars, has grown so weary that it cannot hold anything else. It seems to him there are a thousand bars; and behind the bars, no world. As he paces in cramped circles, over and over, the movement of his powerful soft strides is like a ritual dance around a center in which a mighty will stands paralyzed. Only at times, the curtain of the pupils lifts, quietly–. An image enters in, rushes down through the tensed, arrested muscles, plunges into the heart and is gone. -Rainer Maria Rilke (English translation by Stephen Mitchell) -- FIRST FOOTNOTE ON ZOOMORPHISM It seems we have said too little about the heart, per se, how it sits in its chambered nub of grease and echo listening for movement in the farthest reed beds — any feathered thing will do, love being interspecific, here, more often than we imagine. If anything, I'd liken us to certain warblers, less appealing in the wild than how we'd look in coloured lithographs, yet now and then, I'm on the point of hearing bitterns at the far edge of the lake, that cry across the marshes like the doom you only get in books, where people die so readily for love, each heart becomes a species in itself, the sound it makes distinctive, one more descant in the dark, before it disappears into the marshes. -John Burnside -- Transcript: http://stevewasserman.co.uk/rilkes-panther-the-cage-of-self/
Today, let's visit a flower market on Ile de la Cité, right in the middle of Paris. Two good reasons to check this area out now: first, the Marché aux fleurs is due to be renovated, and second, back in 2014, the market was named for Queen Elizabeth II--this is highly unusual, in France. We'll talk about why. We'll also discuss Mad King Louis (or, more respectfully, Louis IX) and raise a glass to Inspector Maigret. Visit my website for images. As always, Improbable Walks is grateful to the technical expertise of Bremner Fletcher and to David Symons, the wonderful New Orleans accordion player who performs the Improbable Walks theme music.
Les jeunes s'intéressent de plus en plus à l'emploi des plantes pour se soigner. Le Club RFI Porto-Novo est allé à la découverte des plantes médicinales. Des membres ont échangé avec des connaisseurs. Dans cette émission, ils racontent l'objectif de cette promenade instructive et présentent les vertus d'une plante médicinale « l'Afama », appelée dans la Caraïbe «Herbe mal-tête» «farine chaude», «tonbé lévé», «loup-garou» (Haïti). Avec la participation du Sage, Fagnibo Christophe et Ismaël Brice Tito Affagnon, président du Club RFI Porto-Novo. Le cousin/invité du Club : Toyi Tchéwè Hyacinthe, enseignant, fondateur d'une école. Proverbe/citation : « Fidéman bezon we yi fi deman dje » pour dire : « il faut toujours commencer quelque chose pour atteindre un niveau ». Réalisation : Olivier Roux. Musique : « Bio wa », Martin Hod. *** L'automédication peut être dangereuse dans certains cas. En images
Cette semaine, Jeane reçoit Théo Jespas, co-fondateur de Symples. Soutenir Basilic : instagram.com/basilicpodcast/ basilicpodcast.com Production : Jeane Clesse Musique : @Klein Graphisme : Mahaut Clément & Coralie Chauvin Mix : Jeane Clesse Si cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à laisser plein d'étoiles et un commentaire sur la plateforme Apple Podcasts et surtout à vous abonner grâce à votre application de podcasts préférée ! Cela m'aide énormément à faire découvrir Basilic à de nouveaux auditeurs et de nouvelles auditrices.
durée : 00:40:42 - CO2 mon amour - par : Denis Cheissoux - A 1000 mètres d'altitude, pas très loin des Gorges du Verdon, nous visitons le jardin de François Couplan, et nous ramassons de délicieuses plantes comestibles !
Bienvenue pour la troisième série exclusive "Ma santé au naturel" en compagnie du Dr Charrié, médecin généraliste formé à la phytothérapie clinique qu'il enseigne en France et à l'étranger depuis 2003. Il est aussi expert et enseignant en endobiogénie qui prône une médecine intégrative plus à l'écoute des patients, et co-fondateur de l'IEMPI, l'Institut d'endobiogénie. Il est également auteur de nombreux livres best-seller sur la santé au naturel.ATTENTION : ces informations ne remplacent en aucun cas une consultation chez le médecin.Écouter ou réécouter la première série santé en 6 épisodes avec le Dr Charrié et ses excellents conseils.Épisode #1Pour cet épisode nous passons en revue les indispensables de notre pharmacie naturelle parfaite pour l'automne et l'hiver.Avec le Dr Jean-Christophe Charrié, j'aborderai les thèmes suivants (extrait des questions) :● Pouvez-vous nous donner des bons réflexes à adopter pour préparer les saisons de l'automne et de l'hiver ?● Est-il vrai qu'à l'arrivée de l'automne ou de l'hiver il est bon de commencer des cures ? Quelles sont les indispensables ?● Quelles solutions naturelles peuvent être utiles lors de la période automne-hiver ? Plantes, tisanes etc.● Que manger et quels sont les aliments indispensables ?Qui est mon invité de la semaine, le Dr Jean-Christophe Charrié?Le Dr Jean-Christophe Charrié est médecin généraliste formé à la phytothérapie clinique qu'il enseigne en France et à l'étranger depuis 2003.On peut le retrouver sur Internet pour suivre l'actualité de L'Institut d'endobiogénie pour une médecine intégrative et préventive sur le site : www.iempi.fr ainsi que trouver un médecin formé à cette pratique et bien entendu découvrir ses livres : « Les clés de l'alimentation anti-cancer » chez Terre vivante ou « Soignez au naturel les maux de l'automne » et « Se soigner au naturel toute l'année » disponibles aux éditions Prat."Le premier bon réflexe pour se préparer à l'automne-hiver est de respecter son sommeil et ne pas écourter ses nuits.""L'huile essentielle de lavande va vous rendre zen !"Rejoignez-nous sur notre nouveau site Internet et abonnez-vous à notre Newsletter www.metamorphosepodcast.comSoutenez notre podcast en rejoignant dès maintenant la Tribu MétamorphoseRetrouvez Métamorphose, le podcast qui éveille la conscience sur Apple Podcast / Spotify / Google Podcasts / Deezer / YouTube / SoundCloud / CastBox/ TuneIn.Suivez l'actualité des épisodes Métamorphose Podcast sur Instagram, découvrez l'invité de la semaine et des surprises ;-)InstagramFacebookPhoto (c) La Rochelle Photo Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
J'abrite la grande majorité de la biodiversité terrestre, je suis l'usine de recyclage de la matière, source et support de l'alimentation et j'ai un rôle énorme dans l'effet de serre et la captation de carbone, qui suis-je ? - Le sol. Un gramme de sol héberge plus d'un milliard de bactéries, de plusieurs milliers d'espèces différentes. Il compte aussi 1 à 100 000 espèces de champignons… Avec 50% de la biomasse vivante, 23% des espèces vivantes connues et 75% de la matière organique terrestre, le sol est de loin le principal écosystème terrestre : ce que nous voyons en surface n'en est qu'un minuscule reflet. La vie crée le sol : elle dégrade la matière organique pour en recycler les éléments ; elle attaque la roche pour libérer la fertilité ; elle exploite l'atmosphère dont l'azote gazeux est notamment transformé par des bactéries en azote assimilable. La vie brasse le sol, entre mouvements animaux et remontées d'éléments prélevés en profondeur par les plantes. Les sols font le monde. Leur fertilité emportée par les eaux fertilise les océans, expliquant pourquoi les eaux proches des continents sont les plus productives (même la biodiversité marine doit beaucoup aux sols !). Une solution simple contre l'effet de serre est d'enfouir nos déchets organiques dans les sols. Augmenter de 0,4 % par an la teneur en matière organique dans les sols stockerait l'équivalent de nos émissions annuelles de CO2 ! L'homme n'y a pas compris cela. L'équivalent d'un département est artificialisé tous les 7 à 10 ans en France. La salinisation menace 30% des sols agricoles, car l'irrigation apporte des sels qui s'accumulent. Le labour ramène la fertilité en surface, aère le sol et désherbe nos champs mais sur le long terme, cette pratique récurrente et profonde est dommageable. Il faut 100 à mille ans pour faire un sol... Nous réalisons donc mal qu'ils sont eux-aussi un patrimoine qu'on ne peut remplacer et qu'il faut protéger. Nous héritons les sols de nos ancêtres et nous les devons à nos enfants. Notre invité Marc-André Sélosse est biologiste, spécialisé dans les symbioses (associations mutuellement bénéfiques) entre plantes, microbes et champignons. Il est aussi professeur au Muséum National d'Histoire Naturelle (MNHN). Il enseigne dans plusieurs universités en France et à l'étranger. Marc-André est un habitué des plateaux télé et radio, ancien chroniqueur de l'émission la Terre au Carré… et un auteur prolifique. Il est l'auteur de “L'Origine du Monde, une histoire naturelle du sol, à l'intention de ceux qui le piétinent”, Acte Sud 2021). _______
durée : 00:53:51 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Les plantes peuvent nous permettre de découvrir la plénitude du monde des sens avec les yeux, les oreilles, les doigts, le nez et le palais, on peut s'émerveiller et se relier aux plantes sauvages.
durée : 00:53:51 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Les plantes peuvent nous permettre de découvrir la plénitude du monde des sens avec les yeux, les oreilles, les doigts, le nez et le palais, on peut s'émerveiller et se relier aux plantes sauvages.
Le syndrome de fatigue chronique est un sujet complexe à aborder. Dans cet épisode, je fais de mon mieux pour vous apporter des pistes de travail et vous aider à élaborer un programme. Abonnez-vous à la lettre d'information gratuite ! C'est ici : ➜ www.altheaprovence.com/podcast-lettreinfo ---------------------------- La transcription du podcast : ➜ https://www.altheaprovence.com/syndrome-de-fatigue-chronique/
Le mythe du Livre de la jungle est bien loin ! Aujourd'hui, laisser batifoler son enfant dans la nature est presque devenue une faute parentale. En deux générations, le nombre d'enfants qui ne jouent jamais dehors, que ce soit en ville comme en milieu rural, est devenu exponentiel, au point que l'on parle désormais “d'enfants hors-sol”. Passionnée par le sujet et convaincue de l'importance de relier le petit d'homme à son environnement naturel, Crystèle Ferjou, enseignante et conseillère pédagogique, et maman de deux enfants, a été une des pionnières en France à faire classe dehors avec ses jeunes élèves de primaire. Autrice des livres, “Emmenez les enfants dehors” paru en 2020 aux éditions Laffont et "Il était une fois… la classe dehors" publié en 2022 chez Hachette éducation, elle est devenue une référence sur cette manière de faire classe au grand air. “Le bout du monde et le fond du jardin contiennent la même quantité de merveilles” : cette phrase de l'écrivain Christian Bobin, qu'elle a reprise en épigraphe de son 1er livre, résume combien l'extraordinaire pour un enfant n'a pas besoin d'exotisme mais d'aventure en bas de chez soi… Lien vers le site Classe Dehors Lien vers le reportage de l'AFP Les livres de Crystèle Ferjou “Emmenez les enfants dehors” aux éditions Laffont "Il était une fois… la classe dehors" aux éditions Hachette éducation Les livres recommandés par Crystèle Ferjou avec les enfants “50 aventures dans la nature que tu dois absolument faire avant 12 ans” d'Elise Darteyre et François Lenormand aux éd. Plume de Carotte. “Insectes de France et d'Europe”, le “Guide ornitho” et les “Plantes par la couleur” aux éd. Delachaux et Niestlé. Les livres recommandés par Crystèle Ferjou pour les professionnels de l'enfance “L'école à ciel ouvert” de Sarah Wauquiez, Nathalie Barras et Martina Henzi aux éd. Salamandre. “Faire classe dehors” d'Alexandre Ribeaud aux éd. Ecole Vivante.