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Sur son flanc gauche, il bouffe les kilomètres comme son équipe avale les points (6 victoires d'affilée) au sommet de la Pro-League. Il évoque Tolu Arokodare, le jeu de possession, les Léopards, les duels à l'entraînement, Thorsten Fink, les journalistes sportifs, Konstantinos Karetsas, le racisme, Bilal El Khanouss et la défense à quatre. Mais aussi Kevin De Bruyne, sa boulette de Westerlo-Genk, FIFA 25, le Bayern Munich, les orphelins congolais, Romelu Lukaku, le foot d'instinct et Matonge. Et bien sûr… le Pape François. Joris Kayembe (Genk) passe « Sur Le Gril ».
En Belgique, les listes électorales en vue des élections du 9 juin font la part belle aux candidats issus des diasporas africaines, notamment marocaines et congolaises. C'est surtout vrai pour les élections régionales et fédérales, mais ça l'est aussi pour les élections européennes. Une chose est sûre, les partis politiques belges se sont emparés des enjeux de « diversité » et sont décidés à aller chercher les voix dans les différentes communautés. De notre correspondante à Bruxelles, Matonge, le quartier congolais de Bruxelles avec ses magasins de produits cosmétiques, ses épiceries aux étals remplis de bananes plantain et ignames et ses salons de coiffure. À quelques jours des élections européennes, les vitrines y sont tapissées d'affiches de campagnes, notamment à l'effigie de candidats issus de la diaspora africaine.Pas de quoi convaincre cette mère de famille d'origine congolaise venue pour une manucure. Elle est fatiguée des visites des politiciens dans le quartier. « On a vu Pierre Kompany, devenu en 2018 le premier maire noir de l'histoire de la Belgique, on a vu le ministre de l'Intérieur, on a vu un autre ministre dont j'ai oublié le nom. On a vu beaucoup de personnes venir parce qu'ils savent qu'ici, il y a la communauté belgo-congolaise, qu'il y a beaucoup de monde et ils espèrent qu'on votera pour eux. Moi, je ne cherche ni un Noir ni un Blanc. Je veux simplement un candidat qui réalise ce qu'il promet », explique-t-elle.Un peu plus loin, Ali déjeune avec des amis. Lui aussi dénonce les stratégies des partis qu'il juge purement électoralistes, avec une diversité de façades : « Leur stratégie pour moi, c'est propulser des personnes marocaines ou congolaises pour attirer des voix. Mais les personnes qu'ils ramènent, je vous le dis franchement : elles ne sont pas du tout imprégnées dans la communauté. On ne les connaît pas. On les voit arriver, on en rigole presque. C'est une stratégie, mais ils ne sont pas encore prêts. »Attirer l'électorat des diasporasEn Belgique, le vote communautaire est une notion polémique agitée à droite, au sujet de ce qui est décrit comme un « vote musulman », présenté plus à gauche comme un enjeu de représentativité et de diversité. C'est en tout cas devenu une donnée du jeu politique depuis une vingtaine d'années. Marco Martiniello, directeur du Centre d'étude de l'ethnicité et des migrations à Bruxelles : « Tous les partis finalement se sont dits : “il y a un élargissement de l'électorat. Il y a un électorat diasporique ou issu des minorités. Et nous allons essayer de l'attirer à nous”. Et une des manières de le faire, ça a été de mettre en avant des candidats issus de ces populations. Mais derrière, il y a quand même cette croyance que l'être humain va voter naturellement pour quelqu'un qui lui ressemble. Et je pense que c'est un postulat qui n'est pas entièrement vrai. Les choses sont beaucoup plus compliquées que ça. Mais il faut quand même en tenir compte, puisque cela joue tout de même dans les choix électoraux, et dans les stratégies des partis. »Mais le chercheur note que ces stratégies sont davantage mises en place aux élections locales, régionales et fédérales en Belgique. Ce qui questionne l'importance accordée à l'échelon européen par les partis, mais aussi par les candidats issus des diasporas.À lire aussiBelgique: la politique africaine de l'UE vue par les candidats issus des diasporas
Dans la série Kinshasa du podcast LetsCatchup!, je vais à la rencontre de femmes congolaises de Kinshasa qui, selon moi incarnent l'excellence, le dynamisme et l'innovation.Dans ce 3e épisode, nous allons à la rencontre de Soraya Odia. Poussée par sa passion pour la littérature, Soraya Odia s'investit beaucoup dans la promotion de la littérature auprès de ses concitoyens. Dans cet épisode, elle nous explique les différentes initiatives qu'elle a mises en place pour encourager les congolais à lire davantage. Nous allons également parler de la photo sur laquelle elle vendait des livres à Matonge, un quartier populaire de Kinshasa. Cette photo avait eu un franc succès en 2019 sur les réseaux sociaux.Vous pouvez retrouver Soraya Odia sur sa chaîne youtube.Bonne écoute !#LitteratureCongolaise #ActivisteLitteraire #FemmeCongolaise #SorayaOdia Credit Audio: Afro Tropical type beat “ Frans” Instrumental
" Ndaku ya, la vie est belle", c'est le nom d'une coopérative d'artistes dans le quartier de Matonge, à Kinshasa. Un lieu de création pluridisciplinaire, un lieu de résidence et de programmation culturelle de la part d'artistes engagés qui véhiculent un fort message politique et environnemental, entre autres. Ils rêvent d'un pays meilleur, uni, qui ne soit pas une poubelle de l'histoire.
In afleveringen 10 en 11 van de RSCA Podcast spreken vier niet-Belgische Mauves over hun keuze voor paars-wit en het leven in Brussel. Dans les épisodes 10 et 11 du RSCA Podcast, quatre joueurs étrangers parlent de leur choix de venir au RSCA et leur vie à Bruxelles.FR:Dans les épisodes 10 et 11 du RSCA Podcast, Joshua Zirkzee & Bart Verbruggen, Christian Kouamé & Majeed Ashimeru parlent de leur transfert au RSCA et de leur vie à Bruxelles. Le résultat : deux conversations fascinantes sur la concurrence et l'amitié au sein du groupe, sur la restauration rapide dans le Westland Shopping et sur les plats du pays à Matonge. Mais aussi de la rapidité exceptionnelle de Jeremy Doku, d'un pacte conclu à Ibiza et d'une confusion de langage au supermarché.Ce podcast a été rendu possible grâce à La Dernière Heure.NL:In aflevering 10 en 11 van de RSCA Podcast spreken Joshua Zirkzee, Christian Kouamé, Majeed Ashimeru en Bart Verbruggen over hun keuze voor paars-wit en het leven in Brussel.Het resultaat: twee boeiende gesprekken over concurrentie en vriendschap binnen de ploeg, over fastfood in Westland Shopping en gerechten uit het thuisland in Matonge. Maar ook over de snelle voeten van Jeremy Doku, een pact gesloten op Ibiza en spraakverwarring in de supermarkt.Deze podcast werd mede mogelijk gemaakt dankzij La Dernière Heure
In afleveringen 10 en 11 van de RSCA Podcast spreken vier niet-Belgische Mauves over hun keuze voor paars-wit en het leven in Brussel. Dans les épisodes 10 et 11 du RSCA Podcast, quatre joueurs étrangers parlent de leur choix de venir au RSCA et leur vie à Bruxelles.NL:In aflevering 10 en 11 van de RSCA Podcast spreken Joshua Zirkzee, Christian Kouamé, Majeed Ashimeru en Bart Verbruggen over hun keuze voor paars-wit en het leven in Brussel.Het resultaat: twee boeiende gesprekken over concurrentie en vriendschap binnen de ploeg, over fastfood in Westland Shopping en gerechten uit het thuisland in Matonge. Maar ook over de snelle voeten van Jeremy Doku, een pact gesloten op Ibiza en spraakverwarring in de supermarkt.Deze podcast werd mede mogelijk gemaakt dankzij La Dernière HeureFR:Dans les épisodes 10 et 11 du RSCA Podcast, Joshua Zirkzee & Bart Verbruggen, Christian Kouamé & Majeed Ashimeru parlent de leur transfert au RSCA et de leur vie à Bruxelles. Le résultat : deux conversations fascinantes sur la concurrence et l'amitié au sein du groupe, sur la restauration rapide dans le Westland Shopping et sur les plats du pays à Matonge. Mais aussi de la rapidité exceptionnelle de Jeremy Doku, d'un pacte conclu à Ibiza et d'une confusion de langage au supermarché.Ce podcast a été rendu possible grâce à La Dernière Heure.
Debora Votquenne est l'invitée culture de BX1+ pour parler du documentaire "Bandes bruxelloises, la génération oubliée", direction le quartier Matonge.
Debora Votquenne est l'invitée culture de BX1+ pour parler du documentaire "Bandes bruxelloises, la génération oubliée", direction le quartier Matonge.
En République démocratique du Congo, la ville de Lubumbashi appelé ville cuprifère en RDC est aussi réputée pour ses œuvres d’art, d’ornement et des bijoux en malachite. Cette pierre de couleur verte est un dérivé de cuivre. La ville compte une dizaine d’ateliers artisanaux qui offrent de l’emploi à une centaine de personnes. Mais seulement voilà, depuis la libéralisation du secteur minier en 2002 en RDC, la malachite se fait de plus en plus rare sur le marché local. Les industrielles qui exploitent le cuivre, emportent aussi la malachite. Aujourd’hui, ces artisans de la malachite ne sont approvisionnés que par petite quantité que par des creuseurs artisanaux. Ils craignent pour leur avenir. Nous sommes à l’atelier central de traitement artisanal de la malachite dans la commue Ruashi de Lubumbashi. Sur la dizaine d’artisans, seuls cinq taillent la malachite. Les autres se tournent les pouces par manque de matière première. « Nous les artisans, nous sommes morts. Nous n’avons plus de matière première, la malachite est devenue rare. C’est un sérieux problème, c’est pourquoi vous nous trouvez assis là à ne rien faire. Mon collègue qui est juste là avait une commande d’œuvre d’ornement. Il n’a pas de matière brute. » Entre 1970 et 1980, la Gecamines, ce géant minier Congolais de l’époque, avait ouvert un comptoir de vente de malachite au profit des artisans. Mais avec sa chute en 1990, le comptoir a fermé. André Kituri, est artisan à l’atelier MK. « Ceux qui nous fournissent la malachite aujourd’hui, sont des creuseurs artisanaux. Il y a quelques années ils avaient un point de vente de la malachite brute, dénommé Matonge, c’est ici dans la commune Ruashi. Aujourd’hui, il n’y a plus de comptoir, la matière brute est introuvable. » A quelques mètres de là, Monsieur Pierre tient un autre atelier et emploie 12 personnes. Son dépôt de minerais est quasi vide et sa production est en baisse. « Auparavant on nous amenait jusqu’à 50 Kilos par jour. Mais aujourd’hui c’est entre 3 et 10 kilos alors que nous sommes au nombre de 12 artisans. Avec 100 kilos, on produisait même 200 à 300 colliers par jour. A présent, notre production est de 30 à 50 colliers. » Si la malachite brute est devenue rare, son prix a également grimpé. En dix ans, il est passé de 2 dollars le kilo à 5 dollars, soit plus de 100% d'augmentation. Jean-Pierre, crée des colliers en pierre verte. « Toutes les carrières minières sont vendues aux étrangers. Depuis que l’Etat Congolais a vendu ces carrières, nous ne savons plus travailler. Les Chinois achètent tout et à un prix élevé. Nous faisons face à une concurrence, nous ne savons plus quoi faire. Avec cette concurrence étrangère. » David Mwaku, un autre artisan, craint pour l’avenir du métier. « Nous sommes déjà en voie de disparition car nous n’avons plus de matière première. En plus, nous n’avons pas de client pour acheter les produits finis. » Malgré ce contexte, les artisans, tailleurs de malachite à Lubumbashi ne désarment pas. Le marché artisanal de la commune de la Ruashi et celui du centre-ville de Lubumbashi sont encore achalandés. Et ils restent un passage obligé pour les touristes.
Pour ce troisième numéro de Bruxelles revit, l'émission de BX1+ lancée dans le cadre de l’opération Wake Up Brussels, Soraya Amrani et Charlotte Maréchal ont pris la direction du restaurant l'Horloge du Sud, au cœur du quartier Matonge.
Pour ce troisième numéro de Bruxelles revit, l'émission de BX1+ lancée dans le cadre de l'opération Wake Up Brussels, Soraya Amrani et Charlotte Maréchal ont pris la direction du restaurant l'Horloge du Sud, au cœur du quartier Matonge.
Au départ de cet épisode, il y a l’envie de parler de Matonge, le quartier africain de Bruxelles qui tient son nom d’un quartier de Kinshasa. QG de nombreuses communautés africaines, en particulier la diaspora congolaise depuis l’indépendance du Congo en juin 1960, le Matonge belge est le carrefour d’une cuisine audacieuse et désireuse de faire connaître son identité. Une richesse sans cesse renouvelée à travers quelques ingrédients phares comme le manioc ou plus récemment… le poivre !Pour mettre à l’honneur l’histoire et les influences entremêlées de ces deux pays, Emilie a souhaité faire intervenir Monique Fodderie. Assise au comptoir, la gérante de Inzia - un restaurant congolais - partage avec le public ses souvenirs culinaires d’une enfance partagée entre deux pays. Pour évoquer tout le potentiel de ce terroir de la partie équatoriale du Congo, Emilie a choisi d’inviter Sandrine Vasselin Kabonga, à la tête de Misao, qui importe du poivre du Kivu et le fait découvrir aux chefs de Bruxelles. Cet échange a été enregistré dans le cadre du Bruxelles Podcast Festival, qui a eu lieu en février 2020 à l’Atelier 210. Références entendues dans l’épisode : Le manioc est le tubercule d’une plante originaire d’Amérique du Sud Le liboke désigne un mode de cuisson en papillote et un platNgai-ngai ou oseille congolaiseLe pondu désigne des feuilles de manioc pilléesMbika est une préparation de graines de courge pillées Le poulet moambe est un plat traditionnel du CongoLe boucané est une méthode de préparation traditionnelle et de conservation de la viande et du poisson par une technique de fumage Les lumba lumba sont des feuilles de basilicLe Kivu est une région de l’est de la République démocratique du Congo Le swahili et le lingala sont deux des langues nationales de la République démocratique du CongoLa cardamomeBouffons est une émission de Nouvelles Écoutes, portée par moi Émilie Laystary. Montée et mixée par Thomas Decourt. Programmation par Cassandra de Carvalho. Et coordination par Laura Cuissard avec l’aide de Mathilde Vinet.
**Les Spéciales de RVVS en confinement - (re)découvrez le podcast de l'émission du 27/04/2019 ** Pour marquer le troisième anniversaire de la disparition de Papa Wemba, de son vrai nom Jules Shungu Wembadio Pene Kikumba, Robert Kongo vous propose une émission spéciale en hommage à ce grand chanteur et acteur Congolais qui nous a quittés le 24 avril 2016 à Abidjan en Côte d’Ivoire , en pleine fête des musiques urbaines d’Anoumabo (Femua). Papa Wemba est parti comme il l’a toujours souhaité… sur scène, devant ses fans. A l’instar de Molière ! Invités : * Luciana Demingongo ( ancien chanteur de l’orchestre Viva La Musica de Papa Wemba) * Dona Mobeti Sabuela ( chanteur, fondateur du groupe Cavacha et membre de l’association ” Bana ya Matonge 1, 2 et 3) * Michelino Mavatiku Visi (guitariste/ groupes Festival des Maquisards, Afrisa international, TP. OK Jazz et Makfé)
Brussels is a city of many layers. From the “EU Bubble” to the streets of Matonge, it’s a vibrant and complex capital city. We wanted to peel those layers, discover the voices that make our new home so fascinating. Each …
Brussels is a city of many layers. From the "EU Bubble" to the streets of Matonge, it's a vibrant and complex capital city. We wanted to peel those layers, discover the voices that make our new home so fascinating. Each of our guests have had their own, unique journey that led them to call Brussels their home. “Tapestry of voices” features: Refugees Got Talenthttps://www.facebook.com/refugeesgottalent/ Amanda Klekowski von Koppenfels, Brussels School of International Studies https://www.kent.ac.uk/brussels/staff/profiles/brussels/koppenfels.html Anna Hill, Serve the Cityhttps://www.servethecity.brussels/ Bora Kamwanya, Africa-Europe Diaspora Development Platform https://twitter.com/ikamwanyahttps://www.facebook.com/ADEPTPlatform/ Sihame Haddioui, Artist & Molenbeek Activisthttps://www.facebook.com/sihamehadd/ Adnane Lamarti, Dancer & Directorhttps://www.facebook.com/adnaneboom/ Giacomo Zucchelli, BSIS Student & EU Parliament Staffhttps://twitter.com/zuc_g Anonymous, Night Shop Owner Credits: Leads: Marissa Diaz & Niki Papadogiannikis Interviews by: Katrina Coles, Allie Elwell, Lois McLatchie, Zoheb Mashiur, Hattie Schofield,
Avec Kathryn Brahy et le photographe Jean Dominique Burton, auteur des photos de l’exposition.