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Partout dans le monde, de nombreuses villes subissent des inondations importantes et certaines ont décidé de repenser leur urbanisme en conséquence.Traduction :Around the world many cities are experiencing significant flooding and some have decided to rethink urban planning as a result. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Partout dans le monde, de nombreuses villes subissent des inondations importantes et certaines ont décidé de repenser leur urbanisme en conséquence.Traduction :Around the world many cities are experiencing significant flooding and some have decided to rethink urban planning as a result. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Selon la police, 175.000 manifestants ont rejoint le mouvement “Bloquons tout”… À Paris donc, mais aussi à Nantes, Marseille, Toulouse et Montpellier. Parfois dans un climat tendu…Tous les soirs du lundi au vendredi vers 19h20 sur France 5, Louis Amar vous raconte une des histoires qui a fait l'actualité dans sa “Story”.
Si vous regardez de près certaines représentations de la Révolution française, vous verrez souvent un bonnet rouge, tombant vers l'avant, porté par Marianne ou par les sans-culottes. Ce couvre-chef n'est pas un simple accessoire vestimentaire : c'est le célèbre bonnet phrygien, devenu un symbole universel de liberté. Mais d'où vient-il exactement ?L'histoire du bonnet phrygien commence bien avant 1789. Son nom provient de la Phrygie, une région d'Asie Mineure, dans l'actuelle Turquie. Dans l'Antiquité, les habitants de cette région portaient un bonnet de feutre à la pointe rabattue, reconnaissable sur de nombreuses fresques et sculptures. Très vite, ce couvre-chef a été associé, dans l'imaginaire gréco-romain, aux peuples orientaux. Les dieux et héros venus de l'Est, comme Attis, étaient souvent représentés coiffés de ce bonnet.Mais le vrai basculement symbolique se fait à Rome. Dans la République romaine, un bonnet de forme proche, appelé pileus, était remis aux esclaves affranchis. Recevoir ce bonnet signifiait accéder à la liberté. Le pileus, puis le bonnet phrygien par extension, s'ancrent donc très tôt dans l'idée d'émancipation.Ce souvenir antique ressurgit au XVIIIe siècle. Les penseurs des Lumières et les révolutionnaires français, très friands de références classiques, se réapproprient ce symbole. Lors de la Révolution française, le bonnet phrygien devient l'emblème de la liberté conquise contre la tyrannie. Les sans-culottes l'arborent fièrement, et Marianne, allégorie de la République, est presque toujours représentée coiffée de ce bonnet rouge.Pourquoi rouge ? La couleur est héritée de la Révolution : elle renvoie au sang versé, au courage, mais aussi à la fraternité entre citoyens. Ce bonnet rouge devient rapidement un signe de ralliement politique, au point d'être porté dans les cortèges, peint sur les murs et brandi sur les piques.Au XIXe siècle, le symbole s'universalise. On retrouve le bonnet phrygien sur les armoiries de nombreux pays d'Amérique latine nouvellement indépendants, de l'Argentine à Cuba. Partout, il représente la liberté, la rupture avec l'oppression et la naissance d'une nation.Aujourd'hui encore, il reste omniprésent : sur le sceau de la République française, dans les mairies, ou sur certaines pièces de monnaie. Le bonnet phrygien rappelle qu'un simple objet peut traverser les siècles et les civilisations pour incarner une idée intemporelle : celle de la liberté conquise. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Alors qu'il était à l'inauguration de l'échelle géante, œuvre de l'artiste italienne Paula Pivi, Jack Lang a eu la mauvaise surprise d'y trouver la ministre... Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Jean-Philippe Doux, journaliste et libraire. Yael Mellul, ancienne avocate. Et Périco Legasse, journaliste. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Entre la fuite en avant et le principe de précaution, notre invitée, érudite, Catherine Van Offelen propose une voie médiane, subtile et audacieuse : celle de la phronesis, cette prudence antique qui n'a rien de timorée. Dans son essai Risquer la prudence, elle exhume une vertu oubliée, à la fois pratique et courageuse, capable de guider l'action humaine dans l'incertitude. Catherine Van Offelen en parle avec une précision rare dans ce nouveau numéro d'Idées au micro de Pierre-Édouard Deldique. Contrairement à l'idée moderne de prudence – souvent associée à l'immobilisme ou à la peur du risque – cette jeune intellectuelle nous rappelle que la phronesis aristotélicienne est une forme de sagesse active. Elle ne consiste pas à éviter le danger, mais à l'évaluer avec justesse, à décider malgré l'ambiguïté, et à agir avec discernement. C'est une prudence qui ose, qui tranche. L'auteure critique le règne du principe de précaution, devenu selon elle un dogme paralysant. Elle plaide pour une réhabilitation de la décision humaine, fondée sur l'expérience, le jugement et une forme de courage intellectuel. Catherine Van Offelen, aux multiples références, puise dans les textes d'Aristote, mais aussi dans les traditions stoïcienne et chrétienne, pour montrer que la prudence n'est pas une faiblesse, mais une force. Elle est la vertu du capitaine dans la tempête, du médecin face à l'incertitude, du citoyen dans un monde complexe. Dans un style limpide et rigoureux, elle tisse des liens entre philosophie antique et enjeux contemporains : écologie, politique, éthique médicale, intelligence artificielle. Partout, la phronesis apparaît comme une boussole précieuse. Risquer la prudence est plus qu'un essai philosophique : c'est une invitation à penser autrement notre rapport au risque, à l'action et à la responsabilité. En réhabilitant cette vertu oubliée, Catherine Van Offelen nous offre une clé pour naviguer dans l'incertitude sans renoncer à agir. Son enthousiasme est roboratif. Il nous invite à être prudent, mais pas trop… ► Catherine Van Offelen, Risquer la prudence – Une pratique de la sagesse antique (Gallimard)
Entre la fuite en avant et le principe de précaution, notre invitée, érudite, Catherine Van Offelen propose une voie médiane, subtile et audacieuse : celle de la phronesis, cette prudence antique qui n'a rien de timorée. Dans son essai Risquer la prudence, elle exhume une vertu oubliée, à la fois pratique et courageuse, capable de guider l'action humaine dans l'incertitude. Catherine Van Offelen en parle avec une précision rare dans ce nouveau numéro d'Idées au micro de Pierre-Édouard Deldique. Contrairement à l'idée moderne de prudence – souvent associée à l'immobilisme ou à la peur du risque – cette jeune intellectuelle nous rappelle que la phronesis aristotélicienne est une forme de sagesse active. Elle ne consiste pas à éviter le danger, mais à l'évaluer avec justesse, à décider malgré l'ambiguïté, et à agir avec discernement. C'est une prudence qui ose, qui tranche. L'auteure critique le règne du principe de précaution, devenu selon elle un dogme paralysant. Elle plaide pour une réhabilitation de la décision humaine, fondée sur l'expérience, le jugement et une forme de courage intellectuel. Catherine Van Offelen, aux multiples références, puise dans les textes d'Aristote, mais aussi dans les traditions stoïcienne et chrétienne, pour montrer que la prudence n'est pas une faiblesse, mais une force. Elle est la vertu du capitaine dans la tempête, du médecin face à l'incertitude, du citoyen dans un monde complexe. Dans un style limpide et rigoureux, elle tisse des liens entre philosophie antique et enjeux contemporains : écologie, politique, éthique médicale, intelligence artificielle. Partout, la phronesis apparaît comme une boussole précieuse. Risquer la prudence est plus qu'un essai philosophique : c'est une invitation à penser autrement notre rapport au risque, à l'action et à la responsabilité. En réhabilitant cette vertu oubliée, Catherine Van Offelen nous offre une clé pour naviguer dans l'incertitude sans renoncer à agir. Son enthousiasme est roboratif. Il nous invite à être prudent, mais pas trop… ► Catherine Van Offelen, Risquer la prudence – Une pratique de la sagesse antique (Gallimard)
Cette semaine : sanctions records pour Google, innovations à l'IFA, IA dans l'éducation, classement des chatbots menteurs, suicides liés à ChatGPT, psys assistés par IA, retard des entreprises françaises en IA, cyberattaques en hausse et manipulation sur les réseaux sociaux.
Aujourd'hui, Yves Camdeborde, chef restaurateur, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Mourad Boudjellal, éditeur de BD, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Pourquoi 90 % du beurre vendu en Bretagne est demi-sel ? Bon, déjà, on évacue la réponse selon laquelle c'est parce que tous les départements bretons sont limitrophes de la mer et que la mer est salée. En fait, il faut aller chercher l'explication dans l'histoire fiscale française, une histoire souvent compliquée... Cette saison dans "RTL Matin", Olivier Dauvers part à la quête des bonnes affaires et vous livre ses secrets pour éviter les arnaques et devenir un consommateur avisé ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au programme, un tour de table de l'actualité avec Najwa El Haite, Docteur en droit public et auteur de « Laïcité et république » (L'Harmattan), Jean Claude Beaujour, Avocat, président du Forum Transatlantique, Alex Darmon, journaliste politique, chaine Youtube Les Indécis et Mathias Leboeuf, Journaliste et philosophe
C'est Noël à Sivry-Rance, un petit village belge situé tout près de la frontière française… Partout, malgré le froid glacial, c'est la fête. Mais cette joie s'interrompt brutalement quand un promeneur signale une voiture en flammes. A l'intérieur, les secours découvrent 2 corps calcinés… 2 sœurs : Danielle et Jacqueline Wallemacq. Et ce n'est pas tout : à leur domicile, les policiers se retrouvent face à une véritable scène d'horreur : du sang partout, sur les murs et le sol… Que s'est-il passé ? La réponse dans ce podcast inédit de Chroniques Criminelles, raconté par Jacques Pradel.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Antoine Diers, Jérôme Marty et Barbara Lefebvre débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Du Médiéval partout ⚔️ Action Bonus by
Jeudi 6 octobre 2022Laurent de Sutter présente “Qu'est-ce que la Pop philosophie?” et “Éloge du danger” paru aux PUF - perspectives critiques. «Qu'est-ce que la Pop philosophie? » : s'il fallait se fier aux crises d'urticaires ou la morgue méprisante que ce simple mot provoque, il faudrait sans doute en conclure qu'il s'agirait du nom d'une étrange maladie. Cette maladie, ce serait celle de la philosophie qui se prostituerait au spectacle ou aux industries culturelles, à la pop-culture ou, pire, aux sirènes du populisme. Avec la pop'philosophie, ce à quoi on assisterait serait la ruine de la philosophie tout court, devenue tantôt gadget pédagogique pour enseignants désespérés, tantôt tentative un peu pathétique de capitaliser sur la glamour frelaté du monde du rock, du cinéma ou de la télévision pour ressasser les banalités les plus éculées. Et si c'était faux ?« Éloge du danger » : Partout autour de nous règne le danger. Il nous effraie lorsqu'il est trop précis et nous angoisse lorsqu'il nous échappe. Face à lui, nous ne réclamons qu'une chose : la sécurité. Pourtant, cette réclamation ne vient pas de nous. Nous n'en sommes que les porte-parole - les hérauts inquiets d'une réalité qui nous dépasse davantage que nous le croyons. Car le danger n'est pas un sentiment personnel. Ce qui angoisse ou fait peur est d'abord l'enjeu d'un vaste processus politique de définition, où ce qui se joue n'est rien moins que la possibilité d'une distinction entre le pensable et l'impensable.Laurent de Sutter est professeur à la Vrije Universiteit Brussel et à Sciences Po Paris. Il est l'auteur d'une trentaine d'ouvrages couronnés par de nombreux prix et publiés dans une quinzaine de langues.
Cette année, de nombreuses échéances électorales vont animer la vie politique sud-américaine. La Bolivie a ouvert le bal mi-août et sera suivie du Chili en novembre et du Pérou en avril. Partout, des candidats de droite, voire d'extrême droite, sont favoris. Une tendance qui s'inscrit dans une lassitude généralisée face à des gouvernements jugés inefficaces et des économies affaiblies. Régis Dandoy est politologue à l'université de Quito en Equateur. Il analyse avec nous les différentes dynamiques électorales dans plusieurs pays d'Amérique latine. « À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Partout dans le monde, la natalité est en baisse. Il naît de moins en moins d'enfants du Maghreb à l'Asie, en passant par la Scandinavie. Dans le monde, l'indice de fécondité moyen en 2050 devrait être de 1,8 enfant par femme. C'est moins que le seuil de renouvellement des générations, qui est de 2,1 enfants par femme en âge d'en avoir. Quels facteurs expliquent que des pays aux cultures foncièrement différentes expérimentent la même tendance ? Qu'est-ce qui a changé pour que de moins en moins d'adultes aient envie de devenir parents ?
Cette année, de nombreuses échéances électorales vont animer la vie politique sud-américaine. La Bolivie a ouvert le bal mi-août et sera suivie du Chili en novembre et du Pérou en avril. Partout, des candidats de droite, voire d'extrême droite, sont favoris. Une tendance qui s'inscrit dans une lassitude généralisée face à des gouvernements jugés inefficaces et des économies affaiblies. Régis Dandoy est politologue à l'université de Quito en Equateur. Il analyse avec nous les différentes dynamiques électorales dans plusieurs pays d'Amérique latine.
A 10h, ce jeudi 28 août 2025, les GG : Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Bruno Poncet, cheminot, et Emmanuel de Villiers, entrepreneur, débattent de : 10 septembre, prêts à faire "grève générale partout" ?
Il y a quelques jours, je me suis plongée dans le livre de mon invitée, No More Plastic: comment le plastique ruine notre santé. Je croyais avoir compris l'enjeu du plastique, sujet que j'avais traité plusieurs fois dans des épisodes de Demain N'attend Pas. Et pourtant… en trois heures de lecture, ma vision a basculé. J'ai levé les yeux du livre, j'ai regardé mon appartement, mes placards… et j'ai pris conscience de l'ampleur des dégâts : nous vivons littéralement dans le plastique. Ses fonctionnalités extraordinaires (résistance, durabilité, légereté, imperméabilisation, brillance...) en ont fait un matériaux de base pour toutes les industries. Résultat : le plastique est partout autour de nous. Dans nos bouteilles et nos contenants, dans nos vêtements et nos chaussures, dans nos crèmes, nos vernis et nos shampooings, dans nos produits ménagers, et jusque dans notre nourriture... Partout. Aujourd'hui, je suis ravie d'accueillir Rosalie Mann, fondatrice de la No More Plastic Foundation, une ONG engagée contre la pollution plastique, et autrice du livre No More Plastic, comment le plastique ruine notre santé publié aux éditions La Plage.Rosalie nous rappelle la réalité des chiffres :
Ecoutez L'oeil d'Alex Vizorek du 25 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez L'oeil d'Alex Vizorek du 25 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour débuter l'émission de ce jeudi 21 août 2025, les GG : Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, et Bruno Poncet, cheminot, débattent du sujet du jour : "La police tue partout", un député LFI fait polémique.
Invités : - Elisabeth Lévy, journaliste - Julien Dray, ancien député - Eliott Mamane, chroniqueur politique - Grégory Joron, secrétaire général Un1té Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Partout en Europe, les pompiers tchèques sont sur le pont - Les derniers mots scellés de Tomáš Garrigue Masaryk bientôt révélés - Le documentaire sur la photographe Libuše Jarcovjáková sélectionné pour représenter la Tchéquie aux Oscars - À Prague, une grande exposition sur les artistes femmes, les oubliées de l'Histoire
Partout en Europe, les pompiers tchèques sont sur le pont - Les derniers mots scellés de Tomáš Garrigue Masaryk bientôt révélés - Le documentaire sur la photographe Libuše Jarcovjáková sélectionné pour représenter la Tchéquie aux Oscars - À Prague, une grande exposition sur les artistes femmes, les oubliées de l'Histoire
L'Espagne fait toujours face à une vague d'incendies qui touchent une bonne partie de son territoire, surtout au nord-ouest. Dans ces régions réputées pour leurs paysages verts et leurs villages, les habitants, notamment les agriculteurs, tentent de sauver les hameaux où les secours ne peuvent arriver. Depuis le début de la vague d'incendies incontrôlables qui frappe l'Espagne cet été, les petits villages de zones rurales du nord-ouest du pays sont particulièrement touchés. Entourés de végétations, à flanc de collines, certains habitants de hameaux défendent eux-mêmes leurs habitations comme à Montederramo, en Galice. Raquel Fernández, l'une d'elle, confie : « Tous les jours, de nouveaux feux apparaissent.. Les incendies sont tellement grands qu'ils finissent par se rejoindre, s'unir. Tout ça, c'est de la montagne, et il n'y a pas de moyens suffisants pour être partout ! Ceux qui nous sauvent, ici, ce sont les éleveurs de la zone avec leurs tracteurs et citernes . » Partout dans la région, les mêmes scènes se répètent : les agriculteurs tentent de sauver les maisons les plus isolées, qui sont souvent les leurs. À Guimarei, au sud d'Ourense, alors que les flammes s'approchent dangereusement, Martín Pérez remplit sa citerne : « Ma ferme a brûlé il y a deux jours, là-bas. Une ferme de veaux. Et là, j'essaie de sauver ma maison. Hier, on a sauvé la ferme de ma sœur, et ça fait des jours qu'on y est. C'est un enfer. C'est un putain d'enfer. Je suis abattu, absolument abattu. Mais il faut continuer à se battre, c'est comme ça. » À lire aussiEspagne: polémique entre le gouvernement et l'opposition sur la responsabilité des incendies À Mogainza, Eloi Fernández, éleveur, lutte contre les flammes depuis une semaine. Il se dit en colère contre les autorités qui ne laissent plus les agriculteurs nettoyer les forêts, ce qui, selon lui, aurait pu freiner la propagation des feux : « Ils interdisent tout ! Ils interdisent de faire des nouveaux chemins, du brûlage dirigé, de couper du bois pour se chauffer en hiver... Tout, tout est interdit ! Ils appellent ça ''réseau nature'', ''réseau nature'', mais qu'elle nature il nous reste ?! Comment il la protège ?! Ça n'a aucun sens, ils ne savent pas ce qu'ils font. » Il craint surtout pour le futur de ces hameaux qui souffrent déjà de dépeuplement : « Tout ça va finir par mourir ! Nous, dans les hameaux, on est foutus, ça va être abandonné [les hameaux]. On est plus que 3-4 jeunes déjà, et on ne prend que des coups durs... » Malgré les risques, tous continuent de lutter sans relâche contre ces feux, tandis que les autorités annoncent débloquer des aides pour les agriculteurs qui ont tout perdu. À lire aussiEspagne: une quinzaine d'incendies incontrôlables, le nord-ouest du pays ravagé
L'Espagne fait toujours face à une vague d'incendies qui touchent une bonne partie de son territoire, surtout au nord-ouest. Dans ces régions réputées pour leurs paysages verts et leurs villages, les habitants, notamment les agriculteurs, tentent de sauver les hameaux où les secours ne peuvent arriver. Depuis le début de la vague d'incendies incontrôlables qui frappe l'Espagne cet été, les petits villages de zones rurales du nord-ouest du pays sont particulièrement touchés. Entourés de végétations, à flanc de collines, certains habitants de hameaux défendent eux-mêmes leurs habitations comme à Montederramo, en Galice. Raquel Fernández, l'une d'elle, confie : « Tous les jours, de nouveaux feux apparaissent.. Les incendies sont tellement grands qu'ils finissent par se rejoindre, s'unir. Tout ça, c'est de la montagne, et il n'y a pas de moyens suffisants pour être partout ! Ceux qui nous sauvent, ici, ce sont les éleveurs de la zone avec leurs tracteurs et citernes . » Partout dans la région, les mêmes scènes se répètent : les agriculteurs tentent de sauver les maisons les plus isolées, qui sont souvent les leurs. À Guimarei, au sud d'Ourense, alors que les flammes s'approchent dangereusement, Martín Pérez remplit sa citerne : « Ma ferme a brûlé il y a deux jours, là-bas. Une ferme de veaux. Et là, j'essaie de sauver ma maison. Hier, on a sauvé la ferme de ma sœur, et ça fait des jours qu'on y est. C'est un enfer. C'est un putain d'enfer. Je suis abattu, absolument abattu. Mais il faut continuer à se battre, c'est comme ça. » À lire aussiEspagne: polémique entre le gouvernement et l'opposition sur la responsabilité des incendies À Mogainza, Eloi Fernández, éleveur, lutte contre les flammes depuis une semaine. Il se dit en colère contre les autorités qui ne laissent plus les agriculteurs nettoyer les forêts, ce qui, selon lui, aurait pu freiner la propagation des feux : « Ils interdisent tout ! Ils interdisent de faire des nouveaux chemins, du brûlage dirigé, de couper du bois pour se chauffer en hiver... Tout, tout est interdit ! Ils appellent ça ''réseau nature'', ''réseau nature'', mais qu'elle nature il nous reste ?! Comment il la protège ?! Ça n'a aucun sens, ils ne savent pas ce qu'ils font. » Il craint surtout pour le futur de ces hameaux qui souffrent déjà de dépeuplement : « Tout ça va finir par mourir ! Nous, dans les hameaux, on est foutus, ça va être abandonné [les hameaux]. On est plus que 3-4 jeunes déjà, et on ne prend que des coups durs... » Malgré les risques, tous continuent de lutter sans relâche contre ces feux, tandis que les autorités annoncent débloquer des aides pour les agriculteurs qui ont tout perdu. À lire aussiEspagne: une quinzaine d'incendies incontrôlables, le nord-ouest du pays ravagé
Le grand retour des sandwichs ! Ils n'avaient jamais vraiment disparu, mais ils reviennent en force : les sandwichs font un véritable carton. Phénomène culinaire ou simple sursaut de consommation rapide ? Un peu des deux. Une chose est sûre : la pause déjeuner a changé de visage, et le sandwich en est devenu l'icône. Désormais, il ne s'agit plus seulement de pain et de jambon emballés à la va-vite. Le sandwich version 2025 est soigné, réfléchi, inspiré. Il raconte une histoire, celle du retour à une cuisine de rue gourmande, pratique et bien faite. Le Figaro ne s'y est pas trompé en consacrant un classement complet aux 100 meilleurs sandwichs du moment. Partout, les adresses se multiplient : food trucks, boulangeries créatives, petits comptoirs cachés ou même restaurants traditionnels… Tous surfent sur la vague. Même les cafés et bistrots s'y mettent, revisitant les classiques à leur sauce. Un exemple ? Le sandwich rillettes-cornichon servi en terrasse, aussi simple qu'efficace, et désormais revendiqué comme une vraie proposition culinaire. En 2025, le sandwich n'est plus un pis-aller. C'est un choix. Un art de vivre. Et surtout, une promesse de plaisir entre deux tranches de pain. Et si on variait les plaisirs ? Le sandwich a beau revenir sur le devant de la scène, il n'est pas question de se contenter d'un sempiternel jambon-beurre. C'est tout l'art de bien vivre, en version compacte. Alors, pour nourrir l'inspiration, voici quelques pistes à savourer. Commençons par un clin d'œil historique. Le sandwich nous vient d'Angleterre, et plus précisément du Comte John Montagu, quatrième du nom. La légende raconte qu'il aurait demandé à ce qu'on lui serve un morceau de viande coincé entre deux tranches de pain pendant une partie de cartes, afin de ne pas se salir les mains — ni interrompre le jeu. Il était comte… des îles Sandwich (dans le Pacifique), ce qui aurait donné son nom à cette invention qui allait faire le tour du monde. Aujourd'hui, cette idée toute simple est devenue un terrain de jeu pour les chefs comme les amateurs. Sonia Ezgulian, grande prêtresse de la cuisine intuitive, propose des créations pleines de goût et de fraîcheur : un pan bagnat revisité avec aubergines grillées, salade de tomates, olives, oignons, œuf poché et une touche d'estragon. Une ode à l'été, à manger avec les doigts. Envie d'un clin d'œil british ? Testez un sandwich œufs durs, mayo et cresson, une recette typique des tea rooms anglais, simple, délicate et savoureuse. Ce samedi, la table des bons vivants rend hommage à l'un des plus grands chefs et pâtissier de l'histoire de notre gastronomie : Marie-Antoine Carême dit Antonin Carême. A l'occasion de la sortie de la série Carême sur Apple TV + le mercredi 30 avril, Laurent Mariotte et toute sa bande retracent l'héritage de ce gastronome du XIXème siècle, à commencer par les recettes que nous lui devons : le diplomate, le croquembouche ou pièce montée et bien sûr le vol au vent, même si ce dernier fait encore l'objet de débat quant à sa paternité, les uns l'attribuant bien à Antonin Carême pour la finesse de la pâte feuilletée quand d'autres historiens signalent qu'il existait déjà avant lui une recette nommée vol en vent, une pâte haute en forme de losange et garnie de fromage. Au-delà de ses recettes qui ont traversé les deux siècles qui nous séparent du pâtissier, Antonin Carême a surtout oeuvré pour une cuisine plus digeste en allégeant les sauce alors très riche sous la mode de l'Ancien Régime, mais aussi pour respecter les produits de saison en cherchant à la cuisiner le mieux possible. Ainsi, il a toujours envisagé la cuisson rapide des légumes frais de printemps dans un bouillon plutôt que de les ajouter à des longs mijotés de viande et de perdre leur saveur. Antonin Carême est surtout connu pour son rôle de gastro-diplomate : il rentre au service de Talleyrand, ministre des affaires extérieures sous Napoléon alors premier consul. Son travail consiste à préparer et servir les repas diplomatiques, c'est-à-dire de faire rayonner la cuisine française auprès des représentants des pays étrangers mais aussi de créer le cadre le plus propice à l'échange entre les diplomates, quitte à ce que la cuisine puisse parfois faire pencher la balance lors de la signature de traité. Afin de donner à avoir toute la splendeur de la pâtisserie française par exemple, Antonin Carême dessine et conçoit plusieurs pièces montées de son invention, tour à tour en forme de temple grec ou de pyramide, visant toujours l'effet monumental dans ses créations sucrées : “Les Beaux-Arts sont au nombre de cinq, à savoir : la peinture, la sculpture, la poésie, la musique et l'architecture, laquelle a pour branche principale la pâtisserie” a-t-il écrit dans son Art de la cuisine française au XIXème siècle. Un sens du spectacle qui n'a pas échappé à Martin Bourboulon, réalisateur de la série Carême, ainsi qu'à Jérôme Raffaelli, pâtissier qui a été créateur et consultant culinaire, en charge de toutes les scènes de cuisine et des recettes filmés dans la série : “Il fallait qu'on serve le scénario de la série tout en restant fidèle à l'esprit de Carême, se souvient le pâtissier aujourd'hui installé à Marseille dans sa boutique Oh Faon !, c'est pour cette raison qu'on a réalisé une statue de Vénus en taille réelle conçue entièrement de crème glacée pour un dîner libertin présent dans l'histoire. La cuisine pour Antonin Carême c'était du spectacle.” Le plat du jour est signé Georgiana Viou, cheffe étoilée du restaurant Rouge à Nîmes au sein de l'Hôtel Margaret Chouleur. Il s'agit d'une polenta servie avec des œufs brouillés, des légumes de saison et une sauce cacahuètes. Une recette du Bénin que lui faisait sa mère. Pour la dernière partie de l'émission, Laurent Mariotte, comme chaque semaine, passe l'invité sur le grill des Bons vivants. Cette semaine, c'est la comédienne Michèle Bernier qui est autour de la table. Quel est le goût de votre enfance ? Quels sont les ingrédients que vous avez toujours dans votre frigo ? Ce sont quelques-unes des questions qui sont posées. Elle nous raconte son goût pour les nems que son père lui préparait et les crêpes de sa mère. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le grand retour des sandwichs ! Ils n'avaient jamais vraiment disparu, mais ils reviennent en force : les sandwichs font un véritable carton. Phénomène culinaire ou simple sursaut de consommation rapide ? Un peu des deux. Une chose est sûre : la pause déjeuner a changé de visage, et le sandwich en est devenu l'icône. Désormais, il ne s'agit plus seulement de pain et de jambon emballés à la va-vite. Le sandwich version 2025 est soigné, réfléchi, inspiré. Il raconte une histoire, celle du retour à une cuisine de rue gourmande, pratique et bien faite. Le Figaro ne s'y est pas trompé en consacrant un classement complet aux 100 meilleurs sandwichs du moment. Partout, les adresses se multiplient : food trucks, boulangeries créatives, petits comptoirs cachés ou même restaurants traditionnels… Tous surfent sur la vague. Même les cafés et bistrots s'y mettent, revisitant les classiques à leur sauce. Un exemple ? Le sandwich rillettes-cornichon servi en terrasse, aussi simple qu'efficace, et désormais revendiqué comme une vraie proposition culinaire. En 2025, le sandwich n'est plus un pis-aller. C'est un choix. Un art de vivre. Et surtout, une promesse de plaisir entre deux tranches de pain. Et si on variait les plaisirs ? Le sandwich a beau revenir sur le devant de la scène, il n'est pas question de se contenter d'un sempiternel jambon-beurre. C'est tout l'art de bien vivre, en version compacte. Alors, pour nourrir l'inspiration, voici quelques pistes à savourer. Commençons par un clin d'œil historique. Le sandwich nous vient d'Angleterre, et plus précisément du Comte John Montagu, quatrième du nom. La légende raconte qu'il aurait demandé à ce qu'on lui serve un morceau de viande coincé entre deux tranches de pain pendant une partie de cartes, afin de ne pas se salir les mains — ni interrompre le jeu. Il était comte… des îles Sandwich (dans le Pacifique), ce qui aurait donné son nom à cette invention qui allait faire le tour du monde. Aujourd'hui, cette idée toute simple est devenue un terrain de jeu pour les chefs comme les amateurs. Sonia Ezgulian, grande prêtresse de la cuisine intuitive, propose des créations pleines de goût et de fraîcheur : un pan bagnat revisité avec aubergines grillées, salade de tomates, olives, oignons, œuf poché et une touche d'estragon. Une ode à l'été, à manger avec les doigts. Envie d'un clin d'œil british ? Testez un sandwich œufs durs, mayo et cresson, une recette typique des tea rooms anglais, simple, délicate et savoureuse. Ce samedi, la table des bons vivants rend hommage à l'un des plus grands chefs et pâtissier de l'histoire de notre gastronomie : Marie-Antoine Carême dit Antonin Carême. A l'occasion de la sortie de la série Carême sur Apple TV + le mercredi 30 avril, Laurent Mariotte et toute sa bande retracent l'héritage de ce gastronome du XIXème siècle, à commencer par les recettes que nous lui devons : le diplomate, le croquembouche ou pièce montée et bien sûr le vol au vent, même si ce dernier fait encore l'objet de débat quant à sa paternité, les uns l'attribuant bien à Antonin Carême pour la finesse de la pâte feuilletée quand d'autres historiens signalent qu'il existait déjà avant lui une recette nommée vol en vent, une pâte haute en forme de losange et garnie de fromage. Au-delà de ses recettes qui ont traversé les deux siècles qui nous séparent du pâtissier, Antonin Carême a surtout oeuvré pour une cuisine plus digeste en allégeant les sauce alors très riche sous la mode de l'Ancien Régime, mais aussi pour respecter les produits de saison en cherchant à la cuisiner le mieux possible. Ainsi, il a toujours envisagé la cuisson rapide des légumes frais de printemps dans un bouillon plutôt que de les ajouter à des longs mijotés de viande et de perdre leur saveur. Antonin Carême est surtout connu pour son rôle de gastro-diplomate : il rentre au service de Talleyrand, ministre des affaires extérieures sous Napoléon alors premier consul. Son travail consiste à préparer et servir les repas diplomatiques, c'est-à-dire de faire rayonner la cuisine française auprès des représentants des pays étrangers mais aussi de créer le cadre le plus propice à l'échange entre les diplomates, quitte à ce que la cuisine puisse parfois faire pencher la balance lors de la signature de traité. Afin de donner à avoir toute la splendeur de la pâtisserie française par exemple, Antonin Carême dessine et conçoit plusieurs pièces montées de son invention, tour à tour en forme de temple grec ou de pyramide, visant toujours l'effet monumental dans ses créations sucrées : “Les Beaux-Arts sont au nombre de cinq, à savoir : la peinture, la sculpture, la poésie, la musique et l'architecture, laquelle a pour branche principale la pâtisserie” a-t-il écrit dans son Art de la cuisine française au XIXème siècle. Un sens du spectacle qui n'a pas échappé à Martin Bourboulon, réalisateur de la série Carême, ainsi qu'à Jérôme Raffaelli, pâtissier qui a été créateur et consultant culinaire, en charge de toutes les scènes de cuisine et des recettes filmés dans la série : “Il fallait qu'on serve le scénario de la série tout en restant fidèle à l'esprit de Carême, se souvient le pâtissier aujourd'hui installé à Marseille dans sa boutique Oh Faon !, c'est pour cette raison qu'on a réalisé une statue de Vénus en taille réelle conçue entièrement de crème glacée pour un dîner libertin présent dans l'histoire. La cuisine pour Antonin Carême c'était du spectacle.” Le plat du jour est signé Georgiana Viou, cheffe étoilée du restaurant Rouge à Nîmes au sein de l'Hôtel Margaret Chouleur. Il s'agit d'une polenta servie avec des œufs brouillés, des légumes de saison et une sauce cacahuètes. Une recette du Bénin que lui faisait sa mère. Pour la dernière partie de l'émission, Laurent Mariotte, comme chaque semaine, passe l'invité sur le grill des Bons vivants. Cette semaine, c'est la comédienne Michèle Bernier qui est autour de la table. Quel est le goût de votre enfance ? Quels sont les ingrédients que vous avez toujours dans votre frigo ? Ce sont quelques-unes des questions qui sont posées. Elle nous raconte son goût pour les nems que son père lui préparait et les crêpes de sa mère. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Festival du Houblon, proposé à Haguenau, est le plus grand festival des rythmes et couleurs du monde dans le Grand Est ! Il constitue un temps fort de l'été, qui offre une programmation riche. Partout en ville, des spectacles de musiques et danses traditionnelles se mêlent aux concerts de rock, d'afro-music, de salsa et bien plus encore. Une manière originale de rencontrer le monde entier en Alsace, le temps d'une semaine rythmée du 19 au 24 août prochain. On en parle avec Séverine Frommweiller, présidente de la Maison des Associations.Retrouvez le programme complet sur le site internet festivalduhoublon.eu.Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A 10h, ce mercredi 13 août 2025, les GG : Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous uniques, tous unis", Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, et Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, débattent de : Listeria, 40 fromages rappelés partout en France.
Note aux auditrices et auditeurs : cet épisode a été diffusé une première fois le 31 mars.Elles arrivent directement du travail, et s'élancent sur des pistes de danse pour se lâcher et s'amuser. La grande différence avec un afterwork, c'est qu'il n'y a que des femmes.Ce concept de soirées non mixtes importé d'Allemagne, s'étend un peu partout en France. Âgées de 20 à 60 ans pour la plupart, beaucoup viennent en groupe d'amies.Pendant trois heures, ces femmes oublient travail, enfants mari… et se délestent de leur charge mentale. Leur crédo : liberté et sororité. Mais ces soirées sont-elles vraiment féministes ?Réalisation : Emmanuelle Baillon.Invités : Johanna Cincinatis-Abramowicz, journaliste et autrice d''Elles vécurent heureuses, l'amitié entre femmes comme idéal de vie" (Editions Stock, 2024).Constance d'Amécourt, co-organisatrice des soirées Diva à ParisEnregistrements : AFPTVSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous laisser une note vocale sur Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme !Ce podcast fait l'objet d'une clause de opt-out:Sous réserve des dispositions de l'article L.122-5-3.II. du code de la propriété intellectuelle, tout accès à ou utilisation (tels que, à titre non exhaustif, la reproduction, l'agrégation et l'archivage) du contenu de ce podcast et de sa description, pour toute activité systématique ou automatisée liée à la récupération, la fouille, l'extraction, l'agrégation, l'analyse, l'exploration ou la collecte de textes, d'extraits sonores, et/ou de données, par l'intermédiaire de tout "robot", "bot", "spider", "scraper", ou de tout autre dispositif, programme, technique, outil, procédé ou méthode, réalisé dans le but de créer, développer, entraîner, tester, évaluer, modifier et/ou permettre l'exécution de logiciels, algorithmes et modèles d'apprentissage automatique/d'intelligence artificielle ou à une quelconque autre fin, sans l'autorisation préalable écrite de l'AFP, est strictement interdit. La présente disposition des CG vaut opposition expresse de l'AFP au sens des articles L. 122-5-3.III. et R. 122-28 du Code de la propriété intellectuelle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En République démocratique du Congo, direction, La vie est belle à Kinshasa. Une résidence artistique en plein cœur de la capitale congolaise où peintres, sculpteurs et musiciens se rencontrent. Le lieu a été impulsé par Eddy Ekete, artiste plasticien connu pour ses performances dans des costumes géants dans les rues de Kinshasa. Reportage Aurélie Bazzara-Kibangula. De notre correspondante à Kinshasa, Avec des airs de rumba du groupe Bakolo, le temps s'arrête au centre Ndaku ya-La vie est belle à Matonge. Le groupe d'anciens musiciens y répète toutes les semaines. Le centre culturel est ouvert et accueille tous les artistes. Une résidence conviviale gérée par le sculpteur Eddy Ekete. « C'est une maison coloniale de la première femme qui a obtenu le permis de conduire dans tout le Congo et elle, elle travaillait avec son mari qui est l'oncle de papa Wemba. C'est pour cela, le film La vie est belle, il y a un petit morceau qui s'est fait ici », raconte Eddy Ekete Ndaku ya-La vie est belle est un musée à ciel ouvert. Partout sur les murs sont accrochés des toiles, parfois inachevées, de l'artiste Dolet, des dessins d'étudiants, des graffitis. Il y a aussi des dizaines de costumes aux allures de bibendums géants faits de déchets. Ces créations ont fait la réputation d'Eddy Ekete. « C'est aussi une sculpture et on peut aussi la porter et ça devient une sculpture vivante. Et quand on marche, des fois ça fait peur aux gens parce qu'une statue, quand ça bouge, ça impressionne, ça fait du bruit, raconte-t-il. On se rend compte, c'est la surconsommation de l'Occident qui se contamine aussi ici. Mais on ne se rend pas compte que si on ne travaille pas les déchets, on ne peut pas savoir pourquoi il y a toutes ces maladies, pourquoi il y a tous ces insectes. Parce que la poubelle, c'est un endroit, on vient, on jette seulement et après, on tourne le dos vite. Et maintenant, ce que nous, on fait, c'est que les gens regardent la poubelle », explique Eddy Ekete. Un espace « focalisé sur la Gombe », où l'art rencontre son public « Donc là, il y a une multitude de costumes. Il y en a de toutes formes. Il y a des caoutchoucs. Là, il y a les gobelets d'usage unique, là où on vend des boissons fortes. Il y a des claviers d'ordinateur. Voilà, ce sont des trucs qui traînent dans les rues de Kinshasa », détaille l'un des gérants du lieu. Si le centre veut booster la créativité des artistes, c'est aussi un espace où l'art rencontre son public. « Ici tout est focalisé dans la commune de la Gombe. Du coup, la culture n'est pas décentralisée. Nous, on s'est dit, pourquoi pas avoir une miniature du centre culturel dans la cité ? Les concerts de musique, les spectacles de ballet. Matonge c'est la capitale culturelle », explique Christian Miki Mundiri, membre du collectif. Le centre Ndaku ya-La vie est belle est ouvert aux enfants. Des ateliers y sont organisés avec les artistes. Pour Eddy Ekete, l'important, c'est de transmettre le gout de la création aux futures générations : « Moi, je leur fournis des feutres, des crayons de couleur, des feuilles, mais par terre. Et ça, c'est pour montrer et aux parents et aux autorités, les enfants, là, ils ont besoin de quelque chose parce qu'ils sont concentrés. On garde les enfants des heures et des heures, sans faire du bruit, sans qu'on leur dise quoi que ce soit. Mais je suis sûr puisqu'en fait, c'est quand même la génération qui va nous remplacer. » À Matonge, les différentes générations se côtoient entre musique et art plastique, signant un passage de témoin pour les créateurs de Ndaku Ya-La vie est belle pour continuer d'alerter sur les dangers des déchets en ville. À lire aussiStéphan Gladieu et Wilfried N'Sondé, les portraits de l'homo détritus
Le PDG d'une startup et sa DRH ont été pris en flagrant délit d'adultère lors d'un concert de Coldplay. La scène, captée sur un écran géant, a fait le tour des réseaux sociaux. Preuve que, même dans la foule, l'anonymat n'est pas garanti. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air l'invitée du 18 juillet 2025 - Pauline Vilain-Carlotti, Docteure en géographie, spécialiste du risque d'incendie de forêtMartigues, Ardèche, Brocéliande : une nouvelle série d'incendies frappe la France. Fait nouveau : des territoires jusqu'ici peu concernés par le risque brûlent à leur tour. En Bretagne, la forêt de Brocéliande revit l'épisode d'août 2022. Une région longtemps perçue comme à l'abri du feu rejoint la liste des zones désormais vulnérables.Ces départs de feu surviennent de plus en plus tôt dans l'année. Leurs origines sont multiples : canicules précoces, sécheresse des sols et de l'air, vents forts favorisant la propagation, végétation très inflammable. Le territoire français semble entrer dans une nouvelle phase, où le feu devient une menace estivale récurrente et étendue. Partout, les sapeurs-pompiers sont mobilisés, les moyens aériens déployés, les dispositifs de prévention renforcés. Le réchauffement climatique, la sécheresse et les fortes températures pourraient intensifier le risque d'incendies cet été. La France est-elle prête à y faire face ?Pauline Vilain-Carlotti, docteure en géographie, spécialiste du risque d'incendie de forêt, fera le point sur les départs de feu en France et les enjeux de l'été 2025.
De toute l'ère humaine, nous n'avons jamais été aussi connectés — et en même temps jamais été aussi seuls.Psychothérapeute clinicienne depuis plus de 30 ans, Esther Perel s'est imposée comme la référence mondiale des relations humaines.Elle commence sa carrière en étudiant en profondeur les comportements humains comme l'infidélité ou le dilemme liberté/sécurité que nous vivons tous dans nos relations. Elle accompagne alors des couples en quête d'une meilleure connexion.Ses conseils résonnent rapidement bien au-delà des murs de son cabinet : plusieurs best-sellers mondiaux, des TED Talks qui font plusieurs dizaines de millions de vues, et un podcast star "Where Should We Begin?" qu'elle crée pour ouvrir la thérapie de couple au grand public.Aujourd'hui Esther se concentre — entre autres — sur les effets du numérique dans nos relations : perte de contact physique, conversations sans réelle présence, effondrement du lien affectif…Elle dresse ainsi un constat implacable : “nous subissons une atrophie sociale à l'échelle mondiale”.Partout dans le monde, l'experte est adulée pour sa capacité hors du commun à comprendre, identifier la source du mal-être de ses patients et à les guider vers une vie plus heureuse. Elle livre des clés concrètes pour renouer avec l'autre, réparer l'intimité et retisser le lien là où il s'est délié.Un épisode essentiel, passionnant et particulièrement "cash" : Esther nous rappelle avec lucidité que la qualité de nos relations détermine la qualité de notre vie — et qu'il est urgent de réapprendre à aimer, à écouter, à se parler vraiment.TIMELINE:00:00:00 : faire de son podcast une campagne de santé publique00:15:53 : isolement, atrophie sociale, perte ambiguë : ces maux qui rongent notre société00:26:21 : “la qualité de nos relations détermine la qualité de notre vie”00:34:32 : les années 60, point de bascule dans toutes les relations humaines00:42:45 : un monde sans friction qui détruit nos liens00:52:21 : le combat perpétuel entre le besoin de liberté et le besoin de sécurité01:03:57 : parler d'infidélité sans en devenir l'avocate01:17:01 : comment garder la flamme : les lois invisibles des relations durables01:28:42 : pourquoi le désir finit toujours par s'estomper01:47:04 : comment bien choisir son thérapeute01:53:06 : les 2 antidotes d'Esther pour trouver un sens à sa vieLes anciens épisodes de GDIY mentionnés : #468 - Chloé Bouscatel - Monday Sports Club - S'inspirer des US pour créer des expériences sportives qui rendent accro#383 - Xavier Chauvin - Beauté Privée - Économie de l'attention : reprendre le contrôle face aux écrans#409 - Alexandre Jardin - Auteur, yourscrib.ai - Peut-on laisser la folie gouverner sa vie ?Nous avons parlé de :Le podcast d'Esther - “Where Should We Begin”Notion d'“Ambiguous Loss” ou de “Perte Ambigüe” en FrançaisLa théorie du visage mortThe "Still Face" ExperimentJeu interactif pour couples et amis “Where Should We Begin?”Episode “Esther says ‘Run!'”La théorie de l'attachementL'article du Monde qui décrit Esther comme une “avocate de l'infidélité”Affaire Clinton-LewinskyTed “Rethinking infidelity… a talk for anyone who has ever loved” - Esther PerelCulture AmpLes recommandations de lecture :Je t'aime, je te trompe - Esther PerelL'intelligence érotique - Esther PerelL'île des Gauchers - Alexandre JardinMan's Search for Meaning - Frankl, Viktor E.Découvrir un sens à sa vie - Frankl, Viktor E.Vous pouvez suivre Esther sur LinkedIn et sur Instagram. Consultez également son site et abonnez-vous à la newsletter “Letters from Esther” juste ici.Vous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ?Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:08:36 - L'invité de 7h50 du week-end - par : Kevin Dufreche - L'actrice Zita Hanrot était l'invitée de France Inter ce dimanche pour présenter le film "Aux jours qui viennent", réalisé par Nathalie Najem et en salles le 23 juillet. - invités : Zita Hanrot - Zita Hanrot : Comédienne Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:04:16 - Une semaine dans leurs vies - A 40 kilomètres de Lyon direction Saint-Etienne, voici Saint Paul en Jarez où Claire Chaudière a rendez-vous avec l'une des figures du renouveau de la fleur française. Justine Martinez a lancé sa ferme florale bio il y a 4 ans, une reconversion professionnelle réussie. - invités : Claire Chaudière - Claire Chaudière : Journaliste au service économie et social de France Inter Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, Antoine Diers, Joëlle Dago-Serry et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
En partenariat avec le fonds Nouveau Monde, on vous propose chaque mois une capsule méditative. Ce mois-ci, Ilios Kotsou nous invite à nous sentir partout chez nous en cultivant la sagesse des petits gestes. Ilios a cofondé l'association Emergences, et Prezens, une application de méditation pour prendre soin de sa santé mentale. Belle écoute ! ☀️ ---Cette saison de podcasts est soutenue par Nouveau Monde, un fonds de dotation qui facilite l'accès à la méditation et à la pleine conscience, en France.Pour retrouver la journée mondiale de la méditation.Si tu as aimé cet épisode, tu peux le partager, écrire un commentaire dans la description et laisser des étoiles sur ta plateforme d'écoute ! ---
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, Mourad Boudjellal et Fatima Aït Bounoua débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Mes chers camarades, bien le bonjour !Je connais une machine fabuleuse, capable de transformer l'énergie mécanique en énergie hydraulique, qui date de l'Antiquité ! Elle permet de démarrer un avion, de refroidir une centrale nucléaire, ou simplement de tourner un volant de voiture, ce qui fait qu'on la retrouve partout autour de nous ! Cette technologie de pointe, on l'appelle la pompe hydraulique, et elle remonte aux savants grecs d'Alexandrie. Alors aujourd'hui on va plonger - admirez le jeu de mot - dans les mécaniques des fluides de l'Antiquité, et vous allez halluciner !Bonne écoute !
Sommes-nous devenus trop paresseux pour cuisiner ? Partout autour du monde, la gastronomie, le patrimoine culinaire font la fierté des pays, chacun revendiquant la meilleure cuisine. Pourtant, il semble que nous passions de moins en moins de temps derrière les fourneaux. L'arrivée de l'électroménager, l'essor des supermarchés et plus récemment des services de livraison à domicile peuvent faire le travail à notre place. Il ne reste plus qu'à mettre les pieds sous la table. Loin de déprécier ce gain de temps fort appréciable, ces nouvelles habitudes réduisent aussi le plaisir culinaire au seul fait de manger. Comme s'il suffisait d'additionner les ingrédients pour faire un plat. La cuisine est, en effet, tout un ensemble d'opérations, du choix des aliments, la façon dont on les travaille, les mélange ensemble, dans quel ordre, jusqu'au résultat final. C'est aussi l'expression de nos goûts, des choses qu'on a apprises et qu'on nous a transmises. Entre besoin de simplicité et de rapidité, comment garder le goût de cuisiner ? Comment ne pas réduire nos assiettes à leur contenu ? Avec : • Maria Nicolau, cheffe cuisinière catalane, autrice de Cuisine ou barbarie (Arpa, 2025) • Anto Cocagne, « Le Chef Anto », cheffe à domicile, autrice de Mon Afrique – Produits phares, savoir-faire, recettes (Mango éditions,2024) et fondatrice de Baraka by le Chef Anto, table et épicerie fine qui met en valeur le meilleur des saveurs africaines, située à Paris • Aissatou Mbaye, autrice du blog culinaire Aistou cuisine, créatrice du restaurant Keliba Café à Dakar au Sénégal. Son dernier livre Ma cuisine d'Afrique - saveurs, récits et recettes faciles à partager est sorti en avril 2025 (Éditions Marie Claire) • Suzanne Badiane, cheffe, consultante, formatrice en art culinaire, basée entre Bruxelles et Dakar. Autrice de Surprises et saveurs : Les secrets de chef Suzanne (auto publié, 2021). En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, sur l'évolution des sociétés africaines mondialisées à travers les écrans, les réseaux sociaux et la technologie. Aujourd'hui, Estelle nous parle de Grâce, une joueuse de SIMS, qui a réussi l'exploit de recréer une société congolaise dans l'univers de ce jeu vidéo, où l'Afrique est quasi inexistante. Programmation musicale : ► Entaya - Kore feat. Zahouania ► Cosaan - Daara J Family.
durée : 00:25:15 - Riccardo Del Fra (5/5) - par : Arnaud Merlin - De Rome à Paris, Riccardo Del Fra trace un chemin singulier entre jazz, écriture contemporaine et cinéma. Contrebassiste de Chet Baker, compositeur pour l'Ensemble Intercontemporain, il façonne une œuvre où l'improvisation dialogue avec la forme et la mémoire. - réalisé par : Arnaud Chappatte
À l'occasion des 10 ans de Laurent Ruquier aux commandes des "Grosses Têtes", RTL vous propose chaque jour de revivre en podcasts les meilleures séquences de l'émission ! Aujourd'hui, découvrez un extrait du 7 janvier 2021 ! Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au programme :WWDC: Les grands enseignements, Liquid Glass et iOS 26WWDC: l'iPad devient un « Mac Lite » (et les autres OS)Les actions planifiées, la prochaine étape de l'IA?Le reste de l'actualitéInfos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok)Co-animé par Christophe Camicas (Bluesky).Co-animé par Olivier Frigara (Bluesky).Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique par Daniel BejaLe Rendez-vous Tech épisode 622 – WWDC 2025: L'iPad devient « Mac Lite » et Liquid Glass est partout – iOS 26, MacOS 26, iPadOS 26, VisionOS 26, WatchOS 26---Liens :