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Partout dans le monde, les offensives se multiplient en faveur d'un allongement du temps de travail. La Grèce vient de passer à la journée de 13h. Au Japon, la Première ministre s'est montrée favorable à un assouplissement du plafond légal des heures supplémentaires. Face à cela, la colère gronde, en témoigne la récente grève générale au Portugal -inédite depuis 12 ans- pour protester contre la réforme du droit du travail. Travailler plus serait-il la solution face à la crise économique ? Quelles alternatives ? Pour en débattre - Christian de Boissieu, professeur émérite à l'Université Paris 1, vice-président du Cercle des économistes - Gilles Raveaud, économiste, maître de conférences à l'Institut d'études européennes à Paris-8 Saint Denis. Auteur du livre, Inflation, la grande arnaque, éditions Les échappés.
New-York, Montréal, Penang, Berlin, Barcelone, Amsterdam... Partout dans le monde, les villes durcissent leurs réglementations pour freiner la prolifération des locations touristiques de courte durée. Principale cible : Airbnb. En moins de 20 ans, la plateforme est devenue un acteur majeur du tourisme mondial avec une offre dans plus de 150 000 villes, plus de 8 millions d'annonces actives pour un chiffre d'affaires de 11 milliards de dollars en 2024. Au départ, alternative moins chère aux hôtels, permettant une expérience d'hébergement plus authentique pour les voyageurs et un complément de revenu pour les propriétaires, Airbnb s'est petit à petit métamorphosé et avec, les villes visitées. Pour beaucoup de propriétaires, la location courte durée est devenue une aubaine bien plus rentable que la longue durée. Conséquences pour les habitants, une offre de logements disponibles qui s'amenuise, une hausse des loyers et une cohabitation de plus en plus tendue avec les touristes et les fameux “digital nomads”. Les capitales ne sont pas les seules concernées. En France, par exemple, des communes de taille moyenne comme La Rochelle, Biarritz ou Nice ont vu leur centre-ville se transformer avec Airbnb. Les épiceries, les cordonneries, les magasins d'optique ou autres quincailleries laissent place à des coffee shop, des commerces de restauration rapide ou des magasins de souvenirs. Néanmoins, pour d'autres communes, l'arrivée d'airbnb a permis d'améliorer l'offre d'hébergement touristique et de redynamiser la vie locale. Alors quelles sont réellement les conséquences d'Airbnb sur les villes ? Et comment elles s'organisent face à l'explosion du tourisme de plateforme ? Avec : • Chloé Tegny, cheffe de groupe au département opinion de l'Ifop. Co-autrice avec Jérôme Fourquet et Sylvain Manternach d'une étude pour l'Institut Teram Tourisme 2.0 : anatomie de la France Airbnb parue en octobre 2025 • Francesca Artioli, politiste et urbaniste, maîtresse de conférences à l'École d'urbanisme de Paris de l'Université de Paris-Est Créteil. Co-autrice avec Thomas Aguilera et Claire Colomb de Housing Under Platform Capitalism: The Contentious Regulation of Short-Term Rentals in European Cities (Editions de l'Université de Californie, 2025) Un entretien avec Najet Benrabaa, correspondante de RFI à Medellin en Colombie, où l'expansion de la plateforme Airbnb a transformé le visage de la ville. En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, sur l'évolution des sociétés africaines mondialisées à travers les écrans, les réseaux sociaux et la technologie. Aujourd'hui, elle s'intéresse aux filtres qui permettent aux utilisateurs noirs d'éclaircir leur peau. Une nouvelle forme de dépigmentation mais virtuelle. Programmation musicale : ►Trafic locaux - Limsa d'Aulnay & ISHA ►Perdon - Ruta Calavera
New-York, Montréal, Penang, Berlin, Barcelone, Amsterdam... Partout dans le monde, les villes durcissent leurs réglementations pour freiner la prolifération des locations touristiques de courte durée. Principale cible : Airbnb. En moins de 20 ans, la plateforme est devenue un acteur majeur du tourisme mondial avec une offre dans plus de 150 000 villes, plus de 8 millions d'annonces actives pour un chiffre d'affaires de 11 milliards de dollars en 2024. Au départ, alternative moins chère aux hôtels, permettant une expérience d'hébergement plus authentique pour les voyageurs et un complément de revenu pour les propriétaires, Airbnb s'est petit à petit métamorphosé et avec, les villes visitées. Pour beaucoup de propriétaires, la location courte durée est devenue une aubaine bien plus rentable que la longue durée. Conséquences pour les habitants, une offre de logements disponibles qui s'amenuise, une hausse des loyers et une cohabitation de plus en plus tendue avec les touristes et les fameux “digital nomads”. Les capitales ne sont pas les seules concernées. En France, par exemple, des communes de taille moyenne comme La Rochelle, Biarritz ou Nice ont vu leur centre-ville se transformer avec Airbnb. Les épiceries, les cordonneries, les magasins d'optique ou autres quincailleries laissent place à des coffee shop, des commerces de restauration rapide ou des magasins de souvenirs. Néanmoins, pour d'autres communes, l'arrivée d'airbnb a permis d'améliorer l'offre d'hébergement touristique et de redynamiser la vie locale. Alors quelles sont réellement les conséquences d'Airbnb sur les villes ? Et comment elles s'organisent face à l'explosion du tourisme de plateforme ? Avec : • Chloé Tegny, cheffe de groupe au département opinion de l'Ifop. Co-autrice avec Jérôme Fourquet et Sylvain Manternach d'une étude pour l'Institut Teram Tourisme 2.0 : anatomie de la France Airbnb parue en octobre 2025 • Francesca Artioli, politiste et urbaniste, maîtresse de conférences à l'École d'urbanisme de Paris de l'Université de Paris-Est Créteil. Co-autrice avec Thomas Aguilera et Claire Colomb de Housing Under Platform Capitalism: The Contentious Regulation of Short-Term Rentals in European Cities (Editions de l'Université de Californie, 2025) Un entretien avec Najet Benrabaa, correspondante de RFI à Medellin en Colombie, où l'expansion de la plateforme Airbnb a transformé le visage de la ville. En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, sur l'évolution des sociétés africaines mondialisées à travers les écrans, les réseaux sociaux et la technologie. Aujourd'hui, elle s'intéresse aux filtres qui permettent aux utilisateurs noirs d'éclaircir leur peau. Une nouvelle forme de dépigmentation mais virtuelle. Programmation musicale : ►Trafic locaux - Limsa d'Aulnay & ISHA ►Perdon - Ruta Calavera
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« Notre pire cauchemar devient réalité » : la presse australienne est sous le choc après l'attaque dimanche de Bondi Beach à Sydney. « L'ambiance était festive hier sur la plage la plus emblématique et la plus populaire d'Australie, relate le West Australian. Des milliers de personnes profitaient du soleil et du sable. À proximité, des centaines de membres de la communauté juive de Sydney commémoraient le début de l'une des fêtes les plus importantes du judaïsme, Hanouka. Puis, l'inimaginable, soupire le quotidien australien. Des coups de feu retentissent. Panique et confusion s'ensuivent. Les images sont incroyables. Des passants filment la scène avec leurs téléphones portables : on voit deux hommes armés vêtus de noir et cagoulés, ouvrant le feu avec des armes de forte puissance. Ils tirent sans discernement, de sang-froid. Femmes et enfants. Personnes âgées, malades. Personnes vulnérables. Peu importe. On sait désormais qu'au moins 16 personnes ont été tuées ». « L'Australie n'est plus un lieu sûr pour les juifs » « L'image que notre nation a d'elle-même est désormais cassée, soupire The Australian. Les Australiens percevaient leur pays comme un modèle de libéralisme. Leur éthique dominante reposait sur la conviction de la valeur égale et de la dignité de tous les êtres humains. Cette image que l'Australie avait d'elle-même est aujourd'hui anéantie ». Et le journal sydnéen de hausser le ton : « le fait est que l'Australie n'est plus un lieu sûr pour les juifs. Tout doit changer à partir de maintenant. La loi doit être appliquée. Ceux qui profèrent des discours haineux ne doivent plus être tolérés. Notre pays ne peut plus continuer ainsi. Nos dirigeants doivent enfin prendre leurs responsabilités ». « Cette attaque est d'autant plus inquiétante, souligne le Guardian à Londres, qu'elle s'inscrit dans une recrudescence mondiale des actes et violences antisémites, notamment depuis l'attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023 et la guerre menée par Israël à Gaza qui a suivi ». Mais « il va sans dire que rien ne saurait justifier la violence abjecte qui s'est déchaînée dimanche, pointe le quotidien britannique. Comme l'a justement fait remarquer le Premier ministre Anthony Albanese, une attaque contre des Australiens juifs est une attaque contre chaque Australien. Les auteurs de ces actes ont ciblé des juifs. Ce faisant, ils ont porté atteinte à la société tout entière. (…) Partout dans le monde, pointe encore le Guardian, les communautés utilisent depuis longtemps la lumière pour dissiper les ténèbres lors de cérémonies et de fêtes au cœur de l'hiver. Ces rituels possèdent des histoires, des résonances et des significations spécifiques. Pourtant, leur point commun est que la lumière peut et doit persister dans l'obscurité. Le fait que ces lueurs s'éteignent si facilement est une raison de plus pour tous de les protéger et de les faire vivre ensemble ». Un héros qui transcende les frontières culturelles et religieuses… « L'attentat terroriste de Bondi Beach a également révélé un héros, pointe le New York Times. Cet homme décrit dans la presse – comme un commerçant local - nommé Ahmed al-Ahmed, qui a désarmé à lui seul l'un des deux terroristes et qui a survécu à deux balles. Une scène filmée devenue virale. Cet acte de bravoure n'a pas seulement sauvé des vies ; il a aussi servi de rappel essentiel que l'humanité peut toujours transcender les frontières culturelles et religieuses ». Toutefois, poursuit le New York Times, « ce massacre illustre également l'incapacité persistante du gouvernement d'Anthony Albanese à protéger la communauté juive du pays ». Le Washington Post s'interroge en écho : « Pourquoi un héros non armé a-t-il été nécessaire pour maîtriser un tireur ? La police australienne était-elle suffisamment préparée à un tel événement ? Qu'a fait le gouvernement australien pour lutter contre l'antisémitisme ? Le pays a-t-il efficacement contrôlé les immigrants et facilité leur intégration ? Et surtout, que va-t-on faire pour éviter que cela ne se reproduise, en Australie et dans le monde entier ? » Enfin, ce commentaire de Libération à Paris : « l'attaque de Sydney acte de manière dramatique une poussée mondiale de l'antisémitisme. Ici en France. En Europe. Et donc aussi en Australie. (…) Il y a quelques jours, début décembre, pointe le journal, des organisations juives de sept pays, dont la France, réunies en Australie, avaient demandé au gouvernement de renforcer les mesures de protection. "En Australie, j'ai trouvé l'espace et la paix", confiait en septembre 2024, à Libération, Yehuda, 60 ans, habitant de Melbourne arrivé sur le sol australien en 1987. Un an après, on s'abstiendra d'imaginer sa réaction hier soir… »
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Inspirés par des thématiques mensuelles, les membres du Machin Club s'expriment sur les différentes projets et réalisations de l'organisation en racontant les aventures de partout où ils vont à tous les dimanches 19h. Le Machin Club est un organisme à but non lucratif dont le principal mandat est la production en arts médiatiques avec et pour les jeunes dans un contexte professionnel afin d'offrir des médias de qualité pour le jeune public. À travers ses productions, sous forme de reportages, de courts-métrages et de projets collectifs mobilisateurs dans l'univers des arts médiatiques, le Machin Club souhaite être porteur d'innovations sociales.
Chroniqueurs :Sarah SaldmannGauthier le BretFabien OntenienteJean-Claude DarmonGeorge FenechHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chroniqueurs :Sarah SaldmannGauthier le BretFabien OntenienteJean-Claude DarmonGeorge FenechVous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Hier à Rungis, la ministre de l'Agriculture Annie Genevard a sonné le Grand réveil alimentaire. Le début de six mois de travaux pour redonner à la France les moyens de sa souveraineté, alors que sa puissance productive agricole et agroalimentaire s'est effondrée. Notre pays s'est endormi… Constat terrifiant. En 20 ans, la France a perdu du terrain sur tous les grands postes alimentaires, qui faisaient d'elle le grenier de l'Europe depuis les années 1960. Elle importe désormais la moitié des fruits et légumes et des volailles qu'elle consomme, 70% du mouton, 80% des poissons, alors qu'elle a le deuxième domaine maritime mondial. Elle est en difficulté sur les céréales, le boeuf et sa production de lait baisse. Le résultat, c'est aussi la dégringolade de notre balance commerciale agricole et agroalimentaire. Elle était positive de 8 milliards il y a quatre ans ! Cette année, elle sera dans le rouge, à la fois parce qu'on importe toujours plus et que nos produits ne se vendent plus à l'export. Notre pays est devenu dépendant, là où il était autrefois puissant. Ca vient d'où ? Je pourrais détailler filière par filière… Mais voici un constat général : la France est un pays d'enfants gâtés de l'alimentation. Des enfants qui ne savent plus ce qu'est produire, puisque les agriculteurs ne sont plus que 450 000 et qu'on les méprise. Des enfants qui n'ont pas conscience de la qualité de ce qui leur est offere par l'agriculture la plus durable au monde, au regard de ce qui se pratique ailleurs. Ils voient de l'agro industrie ultra intensive et destructrice quand ils ont sous les yeux un modèle de petite taille, familial. Nous tenons pour acquis d'avoir une assiette pleine, quand c'est une rareté sur la planète et que c'est le fruit de générations d'efforts et de progrès. Résultat : des politiques publiques délirantes qui n'ont eu de cesse que de pénaliser la production nationale, de promouvoir la décroissance comme une vertu… Mais comme on ne mange pas moins, ce qu'on ne veut plus cultiver ici ou élever on le remplace par des importations. Par naïveté, par incapacité à sortir la tête de son nombril, et à regarder ce qui se passe ailleurs, la France gâtée a cassé son plus beau jouet. Il est temps de le réparer ? Oui : parce que le climat bouscule nos productions, et qu'il faut les adapter. On n'y arrivera jamais si on ne renouvelle pas les générations agricoles, si on ne libère pas la capacité d'investir, d'entreprendre de produire dans l'agriculture, l'agroalimentaire. Produire, ça n'est pas un gros mot. Oui : parce que la démographie planétaire va obliger le monde à produire le double de nourriture d'ici à 2050. Il va y avoir une compétition pour cette nourriture. Si nous n'avons pas la nôtre, nous, si petits, nous n'aurons rien, ou les miettes, dans un monde où la terre agricole manque et où l'intensification de l'agriculture est une question de survie pour des milliards d'humains. Et puis, la géopolitique aussi nous y oblige. Partout dans un monde qui s'arme, qui se prépare aux affrontements, on a conscience que l'alimentation est un outil de souveraineté, voire une arme de guerre. Il n'y a pas de puissance sans ventres pleins, pas de liberté dans la dépendance alimentaire. En 10 ans, les budgets consacrés au soutien de l'agriculture ont bondi de 15% en Russie, de 40% aux Etats-Unis et de 86% en Chine. En Europe, dans le même temps, ils ont baissé de 20%. Le continent, et singulièrement la France, sont totalement à contresens des enjeux que la planète entière a compris et intégrés. Il est effectivement grand temps de se réveiller et de cesser de nous comporter comme des cochons d'Inde dans la cage des grands fauves.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
nb : Hélène Poulit-Duquesne, CEO de la Maison Boucheron, a été élue présidente du Comité Colbert le 5 décembre 2025 et prendra ses fonctions en juin 2026Quel paradoxe que ce Comité Colbert. Le Comité Colbert dont j'interviewe la Déléguée Générale Bénédicte Epinay est d'autant plus discret que ses membres sont mondialement connus. Jugez plutôt : Alain Ducasse, Baccarat, Chanel, Hermès, le Château de Versailles, le Musée du Louvres, le Ritz Paris, Louboutin, LVMH, Richemont, tous sont membres de l'association. Près de 100 maisons sont rassemblées au sein du Comité Colbert dont la mission est de promouvoir le luxe français et l'art de vivre à la française. Bien sûr que le Comité Colbert brille par ses membres et les personnes qui les incarnent. Mais ce que je retiens avant tout chose et qui pourrait bien inspirer de nombreuses autres professions, c'est la capacité de l'association à fédérer des acteurs parfois frontalement concurrents autour de ce qui les unit. Et tout cela depuis 1954. Bénédicte nous dévoile comment dans cet épisode exceptionnel. Suivre Bénédicte sur LinkedInSi cette nouvelle interview vous a plu, parlez-en autour de vous, notez 5 ⭐ le podcast (Spotify, Deezer, ApplePodcast...) et rédigez un avis.N'hésitez pas à m'écrire sur LinkedIn ➡️ LinkedIn/MartinVidelaine et à vous abonner à notre Newsletter hebdomadaire Toutes les Histoires d'Entreprises sont également disponibles sur histoiresentreprises.com et sur le site de bluebirds.partners, site de la communauté d'indépendants que j'anime et qui conseille ou remplace des dirigeants. Un podcast co-réalisé avec Agnès Guillard @davidatlanphotoHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au micro d'Ariane Artinian, Jean-Marc Torrollion, ex-président de la FNAIM et aujourd'hui investisseur dans la Proptech, présente Referral Immo, la plateforme qui veut transformer une information de confiance… en opportunité d'affaires.Il explique :• comment Referal Immo met en relation un agent émetteur et un agent récepteur, partout en France,• comment la plateforme génère automatiquement un contrat d'apport d'affaires,• pourquoi “un client local est un client national” pour un agent immobilier,• le fonctionnement : sélection algorithmique, 48 h pour accepter, rétrocession définie par l'émetteur,• l'importance du système de notation croisée entre pros,• et les perspectives : un modèle déjà éprouvé au Québec et aux États-Unis, avec un potentiel de 50 000 à 100 000 € de CA supplémentaire par an pour certaines structures.L'inscription est gratuite ; la plateforme se rémunère uniquement au succès, à hauteur de 5 % des honoraires du récepteur.Un épisode concret, efficace, qui ouvre de nouvelles pistes pour la transaction immobilière à l'ère du réseau et de la recommandation.Cet interview a été enregistrée en live du salon Rent - d'où l'ambiance sonore...Animé par Ariane Artinian, journaliste et fondatrice du média MySweetImmo
durée : 00:45:11 - Les factures d'électricité, de chauffage ou d'eau pèsent lourds sur notre budget. Et si nous partagions ce lundi nos astuces pour réduire la note. Qu'est-ce qui marche vraiment chez vous ? Quels gestes ont fait baisser votre consommation ? Des mousseurs s - Partout, des habitants redoublent d'ingéniosité pour réduire leur consommation d'électricité, de gaz ou d'eau. Petits équipements, astuces du quotidien, bricolages malins ou nouvelles habitudes : tour d'horizon de ces idées qui fonctionnent vraiment. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Inspirés par des thématiques mensuelles, les membres du Machin Club s'expriment sur les différentes projets et réalisations de l'organisation en racontant les aventures de partout où ils vont à tous les dimanches 19h. Le Machin Club est un organisme à but non lucratif dont le principal mandat est la production en arts médiatiques avec et pour les jeunes dans un contexte professionnel afin d'offrir des médias de qualité pour le jeune public. À travers ses productions, sous forme de reportages, de courts-métrages et de projets collectifs mobilisateurs dans l'univers des arts médiatiques, le Machin Club souhaite être porteur d'innovations sociales.
Partout sur la planète, le ballon rond suscite des vocations de joueurs, attise les convoitises et déchaîne les passions, au point d'être considéré aujourd'hui comme le sport le plus pratiqué sur la planète. Sur le continent africain, le football a également été un moyen de lutte anticoloniale au moment des indépendances tout en perpétrant son esprit festif face aux difficultés du quotidien et des conflits guerriers, comme en témoigne à notre micro l'ancien international congolais, Saïo Mokili. Apparu dans sa forme moderne dans l'Angleterre du XVIIIème siècle, le football a eu immédiatement un succès populaire qui dépasse l'entendement !!! Au point d'être rapidement considéré par l'Église et le patronat comme un instrument idéal pour combattre les vices de la jeunesse, en améliorant la condition physique des ouvriers et en calmant leurs élans contestataires. Passion contagieuse impossible à contrôler, le football est alors récupéré par le clergé et les grands patrons de la révolution industrielle pour créer les premiers grands clubs. Ce modèle s'exporte à travers le monde et plus particulièrement sur le continent africain au temps de la colonisation. Mais si le sport est un outil d'influence pour tous les États, nombre de footballeurs ont su mobiliser leur talent et leur position sociale pour soutenir la cause des luttes nationalistes et des indépendances… mais n'ont-ils pas été instrumentalisés à leur tour ? La Marche du monde vous invite à découvrir une histoire africaine du football à travers l'épopée des indépendances du Congo et de l'Algérie, au son de nos archives et de nos témoignages inédits. Un documentaire signé Valérie Nivelon et David Allias, réalisé par Sophie Janin. Sont intervenus dans l'émission : - Paul Dietschy, docteur en histoire, historien du sport, auteur et directeur de la revue « Football(s) ». Bibliographie sélective : Paul Dietschy, Du sportsman à l'histrion : les cultures sportives de trois leaders africains (Nnamdi Azikiwe, Nelson Mandela et Joseph Désiré Mobutu), (2014), Centre d'histoire de Sciences Po. Paul Dietschy, Histoire du football (2010), aux éditions Perrin Paul Dietschy, Paul Kemo-Keimbou, David Claude, Le football et l'Afrique (2008), aux éditions EPA Patrick Clastres et Paul Dietschy, Sport, culture et société en France du 19è siècle à nos jours (2006), aux éditions Hachette Education Paul Dietschy, Yvan Gastaut, Stéphane Mourlane, Histoire politique des coupes du monde de football (2006), aux éditions Vuibert. - Michel Naït-Challal, écrivain et ancien journaliste, auteur de Dribbleurs de l'indépendance : l'incroyable histoire de l'équipe du FLN (2008), aux éditions Albin Michel. - Annie Gasnier, journaliste et animatrice de «Radio Foot Internationale» sur RFI, auteure de Brésil : le réveil du géant latino-américain (2008), aux éditions du Cygne. - Saïo Mokili, ancien joueur de foot, international congolais, vainqueur de la Coupe d'Afrique des Nations 1968 avec «Les léopards» et joueur du FC Dragons (1963-1972). À lire également : - Javu Rey, Bertrand Galic et Kris, avec Marina Martin Serrano : «Un maillot pour l'Algérie» (2009), bande dessinée aux éditions Aire Libre - Deveney, Correia, Bonaccorso : «Une histoire populaire du football», La Découverte Delcourt.
Une résidente d'une maison partagée pour seniors en Haute-Loire redécouvre la magie du courrier postal. Grâce à un appel lancé sur Facebook, Liliane, reçoit chaque jour de nombreuses lettres, transformant sa routine en une aventure épistolaire.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Simon Langlois-Bertrand se penche sur l'idée de généraliser l'usage des panneaux solaires; Myriam Daguzan Bernier tente de savoir si l'acte sexuel peut influer sur une performance sportive; Amélie Daoust-Boisvert se demande comment les journalistes composent avec l'épuisement généré par les nouvelles négatives; et Stéphane Garneau observe l'évolution du concept de l'évaluation en consommation.
Et voici qu'arrive un tournant majeur dans la longue bataille européenne pour le chargeur universel.Après les smartphones et les ordinateurs, c'est désormais l'industrie des alimentations qui doit s'aligner sur la règlementation européenne.Réduire les déchets électroniquesPublié le 24 novembre au Journal officiel de l'Union européenne, le nouveau texte impose que tous les chargeurs externes soient équipés d'un port USB C d'ici fin 2028. Jusqu'ici, Bruxelles se concentrait sur les appareils eux-mêmes. Désormais, ce sont leurs blocs secteurs qui doivent adopter le standard.L'objectif est clair. Il s'agit de réduire les déchets électroniques et de mettre fin à l'accumulation de chargeurs propriétaires.Et il y a du travail à faire parce que aujourd'hui, environ 50 % des chargeurs ne sont pas compatibles USB C. La Commission prévoit de faire chuter ce chiffre à 15 % en 2028. Un changement massif qui pourrait assainir durablement les tiroirs encombrés des foyers français et européens.Routeurs, modems, répéteurs, box Internet, écrans avec bloc secteur externe, chargeurs sans fil, chargeurs de piles,...Cette nouvelle obligation touche donc un large éventail d'appareils.Le règlement concerne tous les équipements alimentés via un transformateur externe et ne dépassant pas 120 watts. Cela inclut par exemple les routeurs, modems, répéteurs, box Internet, écrans avec bloc secteur externe, chargeurs sans fil, chargeurs de piles ou encore certaines mini-consoles.Mais l'Europe prévoit aussi plusieurs exceptions. Et ce pour des raisons techniques ou de sécurité. Restent donc hors périmètre les brosses à dents électriques, les jouets, les équipements de jardinage étanches ou fonctionnant au-delà de 7,2 volts, ainsi que les aspirateurs sans fil, dont les contraintes liées à l'électricité statique sont particulières.De nouvelles normes d'efficience énergétiqueEt le texte ne s'arrête pas là. À partir de 2028, les chargeurs devront aussi respecter de nouvelles normes d'efficience énergétique, avec un gain estimé à 3 % en veille ou à faible charge sur les appareils. Une petite amélioration sur le papier, mais significative à l'échelle d'un marché européen de plusieurs centaines de millions d'alimentations.Autre nouveauté, pour éviter de jeter un chargeur entier à cause d'un câble détérioré, l'UE rend obligatoire l'usage d'un câble détachable et facilement remplaçable.Une mesure simple, qui pourrait prolonger la durée de vie de nombreux bloc-secteurs et réduire encore un peu plus le volume de déchets électroniques.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les rétrospectives musicales sont PARTOUT sur les réseaux sociaux! Explosion des demandes d’aide chez Tel-Jeunes. Explosion du temps d’écran chez les jeunes. Bar montréalais ciblé par des coups de feu. Entente à la STM. Witkoff en Ukraine. Tour de table entre Marianne Bessette, Audrey Gagnon et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Le TFA, "polluant éternel" de la famille des PFAS, est présent dans 92% des eaux en France, selon des mesures publiées par l'Anses, l'agence de sécurité sanitaire et dévoilées ce mercredi 3 décembre. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Plus je multiplie les canaux de communication, plus je suis visible.Ça, c'est une croyance.Et elle a la vie dure !Communiquer partout n'est pas synonyme de plus de visibilité. Pour une raison simple : difficile de mettre autant d'énergie sur chaque canal quand on est seule à la barre.Tu n'as pas besoin de communiquer partout pour toucher tes potentiels clients.Alors si tu entends encore une petite voix te dire “tu devrais faire ça et ci et encore ça, parce que tout le monde le fait”, cet épisode devrait te faire du bien.
Inspirés par des thématiques mensuelles, les membres du Machin Club s'expriment sur les différentes projets et réalisations de l'organisation en racontant les aventures de partout où ils vont à tous les dimanches 19h. Le Machin Club est un organisme à but non lucratif dont le principal mandat est la production en arts médiatiques avec et pour les jeunes dans un contexte professionnel afin d'offrir des médias de qualité pour le jeune public. À travers ses productions, sous forme de reportages, de courts-métrages et de projets collectifs mobilisateurs dans l'univers des arts médiatiques, le Machin Club souhaite être porteur d'innovations sociales.
En quoi est-il si important de travailler la Émouna ? En quoi consiste cette dernière ? Réponse à travers l'histoire de Yossef Hatsadik.
C'est une « sortie » à vélo qui aura duré trois ans. À bord de son Gravel – un vélo mi-route mi-VTT, Meryem Belkihel 30 ans, a réussi le pari un peu fou de faire un tour d'Afrique, seule. 34 000 km parcourus, 33 pays traversés, la jeune Marocaine a finalement achevé son aventure début novembre 2025, à Madagascar. Elle voulait « découvrir l'Afrique », comprendre les pressions exercées sur l'écologie, rencontrer ses voisines et voisins de continent, montrer à qui la croisait sur son passage qu'on peut vivre ses rêves, en étant une femme, seule. Meryem Belkihel raconte son périple militant. De notre correspondante à Antananarivo, Sourire vissé au visage, Meryem Belkihel savoure ses premières journées depuis trois ans sans pédaler. À ses poignets, plusieurs dizaines de bracelets, souvenirs peu encombrants qui lui ont été offerts au fil de ses rencontres.« Celui-là, je l'ai eu en Éthiopie. Celui-ci, c'est, ici, Madagascar. Ça, c'est la Tanzanie, lui, le Kenya, l'Ouganda, l'Afrique du Sud, le Burundi, le Zimbabwe, celui-là l'Eswatini et ça, c'est Mozambique. » Son périple à vélo, elle l'a documenté. Caméra embarquée, drone, elle a filmé ses traversées solitaires et ses découvertes, parfois choquantes. « Le changement climatique, je voulais voir ça de près. L'impact sur notre continent, sur l'Afrique. Et partager aussi parce qu'on voit ça beaucoup, mais parfois, on se dit " Mais non ! Ce n'est pas réel ! », on trouve des excuses. « Là par exemple, c'est une vidéo que j'ai prise à l'est du Cameroun. Ces tronçonneuses que vous entendez, ce sont celles de gens qui travaillent pour une grande société qui coupe les arbres de plus que 100 ans pour les envoyer à l'étranger, en Europe et en Chine. Et là ça m'a choqué parce que pour couper un arbre, il faut en abattre 20 autres. Et ça, c'est tous les jours dans cette forêt du Cameroun. Même chose pour la République centrafricaine. » La jeune femme, informaticienne à Casablanca, avoue avoir semé la gêne dans son entourage : « Les gens ne me comprenaient pas. Ce que j'ai fait, ce n'est pas dans notre culture. On me trouvait bizarre. Mon désir de partir seule, ça a choqué ma famille, mes amis. On me demandait de rester, d'acheter une maison, une voiture, me marier, avoir des enfants. Non ! Moi, je voulais donner de l'espoir aux femmes et aussi donner l'exemple d'une femme marocaine, africaine ! » Un mental renforcé par les épreuves Meryem nous montre sur son téléphone un échange animé, qu'elle a filmé durant son périple : « Là, c'est une vidéo que j'ai tournée quand je suis arrivée au Ghana. J'étais en train de parler avec un vendeur dans un magasin de vélo, pour essayer de réparer mon dérailleur et là, il y a quelqu'un qui était juste à côté. Il a commencé à dire : " Non non non, ce que tu racontes n'est pas vrai, arrête de mentir ! Ce n'est pas possible de venir du Maroc et parcourir plus que 6 000 km à vélo ! " Bah, je lui ai dit, « Je suis Marocaine. Si toi, tu n'es pas fort, moi, je le suis et je peux le faire ! » Les galères, raconte-t-elle, elle en a vécu. Partout. Crevaisons. Casse. Pépins de santé. Chaque épreuve a contribué à renforcer un peu plus son mental d'acier : « J'ai eu quatre fois le palu, j'ai eu la typhoïde, j'ai eu beaucoup d'infections dentaires. Mon visage a été gonflé comme si j'avais pris du botox » rit-elle. « J'étais au milieu de la jungle, au Cameroun. Il y avait un centre de soin, sans eau ni électricité. C'était fou. Mais je n'ai jamais eu l'idée de dire "j'arrête, je n'en peux plus". J'ai appris durant ce voyage que si quelque chose arrive, "it is what it is". Ça m'a appris à rester toujours positive, à apprendre que chaque problème a une solution et que tout est possible. » Marquée, elle le restera. Par l'hospitalité des Guinéens, par la solidarité et la bienveillance des Malgaches, la beauté des paysages de Namibie, du Nigeria, de l'Angola. De retour au Maroc, elle a déjà prévu la suite : écrire un livre, monter le documentaire de son aventure avec les centaines d'heures de rush, et qui sait, reprendre un jour son vélo pour se rendre au point le plus au nord de la planète.
En Suède, la fronde monte contre la politique migratoire du gouvernement. Partout dans le pays, des élus locaux refusent de participer au programme d'aide au retour volontaire des immigrés, voulu par la droite et l'extrême droite au pouvoir. Un mouvement inédit qui prend la coalition gouvernementale de court. Notre correspondante en Suède, Ottilia Férey, s'est entretenue avec plusieurs de ces mairies. « Merci mais non merci ». C'est ainsi que le maire de Jokkmokk, petite ville du nord de la Suède a catégoriquement décliné l'invitation du gouvernement à une rencontre pour discuter du rapatriement volontaire. « Nous n'avons aucune personne que nous voulons envoyer hors de notre commune ou à l'étranger. Au contraire, nous avons besoin de plus de personnes qui viennent s'installer et travailler ici, à Jokkmokk. Dans la commune voisine, appelée Boden, il y a une maison de retraite dans un petit village nommé Harads. En quelques années, vingt employés ont été expulsés. Ils venaient d'un centre d'accueil pour réfugiés situé à Harads, et plusieurs avaient été recrutés pour travailler dans les soins aux personnes âgées. Vingt personnes ! C'est tout un effectif ! Toutes travaillaient, payaient leurs impôts et percevaient des salaires conformes aux conventions collectives ». « On ne peut pas envoyer aux gens le message qu'ils sont indésirables » C'est lui, Roland Boman, qui a, depuis le cercle polaire, pour ainsi dire lancé le mouvement. « Ce que je vois aujourd'hui en Suède, c'est que les personnes qu'on expulse, ce sont des gens qui travaillent. Tout est désormais axé sur les représailles et les punitions. Plus personne ne parle d'humanisme ». Cette révolte s'est rapidement étendue au reste du pays jusqu'à l'extrême sud, à Malmö où le conseiller municipal Sedat Arif est atterré par ce budget de 217,5 millions d'euros alloués aux départs volontaires. « On ne peut pas envoyer aux gens le message qu'ils sont indésirables. Tant de ressources sont consacrées au renvoi des immigrés ; elles auraient été bien mieux utilisées pour investir dans le marché du travail. Ce racisme, accentué par cette politique d'exclusion étatique, amènera beaucoup de personnes à se demander : "Pourquoi devrais-je m'efforcer de contribuer à un pays qui ne veut pas de moi ?" ». « Nous avons un gouvernement incroyablement peu sérieux » À compter du 1er janvier 2026, la contribution au rapatriement va passer de 2300 euros à quasiment 32 000 euros par personne. À Stockholm, le social-démocrate Alexander Ojanne, adjoint au maire, dénonce un dispositif contreproductif. « On va perdre une main-d'œuvre qualifiée dont nous avons besoin. Nous avons un gouvernement incroyablement peu sérieux. Et surtout un gouvernement mal informé. Ils sont aveuglés par leur idéologie. On a l'impression que le gouvernement a largement bricolé ses solutions en coulisses, derrière des portes closes, où seuls les partis de la coalition étaient présents ». Une enquête menée, à la demande du gouvernement, avait pourtant conclu à l'inefficacité d'un tel dispositif et à ses potentiels effets pervers. À ce jour, près d'un tiers des communes suédoises ont, elles aussi, répondu par un « Merci, mais non merci ».
Depuis la chute du régime de Bachar el-Assad, un groupe de femmes tentent de faire survivre l'art traditionnel de la broderie en Syrie. Durant la guerre, la plupart d'entre elles ont été forcées à l'exil ont ont été tuées dans les bombardements. De 1 000, elles sont passées à 80. Ces rescapées essaient de relancer leur business, pour récupérer des fonds et reconstruire leurs villages, ainsi que pour former les nouvelles générations, et que jamais ne se perde cette tradition. Une dizaine de femmes se sont réunies dans une petite salle, un sac plastique à la main. À l'intérieur, des bouts de tissus colorés et des broderies qu'elles ont ces derniers mois fabriqués. Objectif : les vendre dans une galerie à Damas, explique Jamilé, pour faire revivre cet art en perdition. « Sur cette broderie, j'ai dessiné la montagne, l'herbe, et ici le linge suspendu. Au loin, il y a les maisons détruites par la guerre », détaille-t-elle. Comme les autres femmes ici présentes, Wattah, 61 ans, brode les contours de son village. Des dessins qui ont, depuis la guerre, perdus de leurs éclats. « Avant la guerre, nous étions plus sereines. Tout était beau à voir. Les terres verdoyantes, la tempête, les oiseaux... Désormais, notre humeur est plus morose. Même les couleurs que nous utilisons pour broder sont plus déprimantes », soupire-t-elle. Plus moroses, déprimantes, dit-elle, depuis qu'elles ont dû fuir leurs villages. Parmi elles, Um Loaï. Avant la guerre en Syrie, elle supervisait le travail de 200 femmes depuis sa maison, en périphérie d'Alep. Elle rêve aujourd'hui de s'y réinstaller afin de relancer son activité, mais sur place. « Quand je viens ici, c'est dur. Je ressens beaucoup de peine parce que... Regardez. C'est vrai, ce ne sont plus que des ruines, mais ça reste ma maison. Ma propre maison, que j'avais décoré avec l'argent des broderies », montre-t-elle en sanglotant. Partout, des impacts de balles, des murs éventrés... Les traces des années de combat entre le régime et l'armée syrienne libre, et des années d'occupation du groupe État islamique (EI). « Quand je suis arrivée ici pour la toute première fois, j'ai pleuré à chaudes larmes. Les portes avaient été volées, toute la maison avait été pillée », se remémore-t-elle. Sur la terrasse de la maison dans laquelle elle est réfugiée, Um Loaï compte les billets de ses dernières ventes. Aujourd'hui, coûte que coûte, elle et les dernières brodeuses essaient de remonter leur business. « On veut reconstruire nos villages. On a déjà installé un système de dessalement de l'eau financé par nos économies et par des dons. On a planté des oliviers sur nos terres et creusé un puits. J'essaie de rassembler à nouveau les filles pour broder. Mais c'est très difficile », confie-t-elle. À la tête de cette petite entreprise, il y a une Allemande, Heike Weber, tombée d'amour pour la broderie syrienne dans les années 1980. Depuis Damas, elle supervise le travail des dernières brodeuses et collectionne les pièces pour les vendre une à une. « Maintenant, elles sont assises entre quatre murs, sans lumière. La plupart de leurs maisons sont très sombres. L'inspiration de leur environnement, c'est très important pour créer. Si elles ne peuvent pas retourner dans leur village, je pense que tout cela va mourir », redoute-t-elle. Demain, Heike Weber recevra de nouvelles femmes pour leur apprendre la broderie. Pour que tout cela ne meure pas et que la tradition perdure. À lire aussiReconstruction de la Syrie: une opération à 216 milliards de dollars, selon la Banque mondiale
En Suède, la fronde monte contre la politique migratoire du gouvernement. Partout dans le pays, des élus locaux refusent de participer au programme d'aide au retour volontaire des immigrés, voulu par la droite et l'extrême droite au pouvoir. Un mouvement inédit qui prend la coalition gouvernementale de court. Notre correspondante en Suède, Ottilia Férey, s'est entretenue avec plusieurs de ces mairies. « Merci mais non merci ». C'est ainsi que le maire de Jokkmokk, petite ville du nord de la Suède a catégoriquement décliné l'invitation du gouvernement à une rencontre pour discuter du rapatriement volontaire. « Nous n'avons aucune personne que nous voulons envoyer hors de notre commune ou à l'étranger. Au contraire, nous avons besoin de plus de personnes qui viennent s'installer et travailler ici, à Jokkmokk. Dans la commune voisine, appelée Boden, il y a une maison de retraite dans un petit village nommé Harads. En quelques années, vingt employés ont été expulsés. Ils venaient d'un centre d'accueil pour réfugiés situé à Harads, et plusieurs avaient été recrutés pour travailler dans les soins aux personnes âgées. Vingt personnes ! C'est tout un effectif ! Toutes travaillaient, payaient leurs impôts et percevaient des salaires conformes aux conventions collectives ». « On ne peut pas envoyer aux gens le message qu'ils sont indésirables » C'est lui, Roland Boman, qui a, depuis le cercle polaire, pour ainsi dire lancé le mouvement. « Ce que je vois aujourd'hui en Suède, c'est que les personnes qu'on expulse, ce sont des gens qui travaillent. Tout est désormais axé sur les représailles et les punitions. Plus personne ne parle d'humanisme ». Cette révolte s'est rapidement étendue au reste du pays jusqu'à l'extrême sud, à Malmö où le conseiller municipal Sedat Arif est atterré par ce budget de 217,5 millions d'euros alloués aux départs volontaires. « On ne peut pas envoyer aux gens le message qu'ils sont indésirables. Tant de ressources sont consacrées au renvoi des immigrés ; elles auraient été bien mieux utilisées pour investir dans le marché du travail. Ce racisme, accentué par cette politique d'exclusion étatique, amènera beaucoup de personnes à se demander : "Pourquoi devrais-je m'efforcer de contribuer à un pays qui ne veut pas de moi ?" ». « Nous avons un gouvernement incroyablement peu sérieux » À compter du 1er janvier 2026, la contribution au rapatriement va passer de 2300 euros à quasiment 32 000 euros par personne. À Stockholm, le social-démocrate Alexander Ojanne, adjoint au maire, dénonce un dispositif contreproductif. « On va perdre une main-d'œuvre qualifiée dont nous avons besoin. Nous avons un gouvernement incroyablement peu sérieux. Et surtout un gouvernement mal informé. Ils sont aveuglés par leur idéologie. On a l'impression que le gouvernement a largement bricolé ses solutions en coulisses, derrière des portes closes, où seuls les partis de la coalition étaient présents ». Une enquête menée, à la demande du gouvernement, avait pourtant conclu à l'inefficacité d'un tel dispositif et à ses potentiels effets pervers. À ce jour, près d'un tiers des communes suédoises ont, elles aussi, répondu par un « Merci, mais non merci ».
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, prof de français, Didier Giraud, éleveur de bovins, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:10:33 - Le Point culture - par : Marie Sorbier - Le CNAP (le Centre national des arts plastiques) vient de s'associer dans le cadre du plan "Culture et Ruralité" avec le réseau des artothèques pour soutenir leur présence sur l'ensemble du territoire et rendre ainsi l'art contemporain plus accessible. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Isabelle Tessier Directrice de l'artothèque de Vitré (35) et co-présidente de l'ADRA (Association de développement et de recherche sur les artothèques)
durée : 00:14:43 - Journal de 8 h - La famille de Mehdi Kessaci appelle au rassemblement à 15h à Marseille, contre le trafic de drogue. Cet homme de 20 ans a été tué par balles le 13 novembre 2025. Il est le frère d'Amine Kessaci, un militant anti narcotrafic.
durée : 00:14:43 - Journal de 8 h - La famille de Mehdi Kessaci appelle au rassemblement à 15h à Marseille, contre le trafic de drogue. Cet homme de 20 ans a été tué par balles le 13 novembre 2025. Il est le frère d'Amine Kessaci, un militant anti narcotrafic. - invités : Mathilde Romagnan Journaliste
durée : 00:14:43 - Journal de 8 h - La famille de Mehdi Kessaci appelle au rassemblement à 15h à Marseille, contre le trafic de drogue. Cet homme de 20 ans a été tué par balles le 13 novembre 2025. Il est le frère d'Amine Kessaci, un militant anti narcotrafic.
durée : 00:19:54 - Lectures du soir - " À mesure que le temps s'éloignait, je l'en aimais de plus en plus ; avec la rage que l'on a pour les choses impossibles, j'inventais des aventures pour la retrouver, j'imaginais notre rencontre, j'ai revu […] la couleur de sa figure dans les feuilles du tremble, quand l'automne les colore"
Chaque matin, l'équipe vous parle du con du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Emmanuel Macron a fustigé "les bourgeois des centres-villes qui financent les narcotrafiquants". Qui sont les usagers de drogue en France et faut-il les traiter en malades ou en coupables ? Amine Benyamina les reçoit tous les jours en consultation : l'addictologue et psychiatre, président de la Fédération française d'addictologie, est l'invité de RTL Matin. Ecoutez L'invité RTL de 7h40 avec Thomas Sotto du 20 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Laura Warton Martinez, sophrologue, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", et Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Cet automne, la Suisse traverse une période de resserrement budgétaire dans le service public. Pourtant, dans les cantons et à la Confédération, les caisses de l'État ne sont pas vides. Alors pourquoi ces mesures d'austérité? Et quelles sont leurs conséquences concrètes? Décryptage avec Cédric Tille, professeur de macroéconomie à l'Institut des hautes études du développement à Genève. Journaliste: Anne-Julie Ruz Réalisation: Ludovic Labra Nous écrire ou nous proposer des questions: +41 79 134 34 70 ou pointj@rts.ch
Invités : - Philippe Ballard, député Rassemblement National de l'Oise. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. - Raphaël Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 14 novembre 2025 - Budget: dépenses partout, économies nulle partNos experts : - CÉCILE CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Echos - NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- EMMANUEL DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle - THOMAS PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business
C dans l'air du 14 novembre 2025 - Budget: dépenses partout, économies nulle partLe budget va-t-il être voté à l'Assemblée nationale ? Déjà très serré, le calendrier des discussions budgétaires a été rendu encore plus complexe par la décision du gouvernement de ne pas faire siéger les députés au cours du week-end. La gauche a immédiatement dénoncé cette décision, certains députés accusant l'exécutif de chercher à empêcher la tenue d'un vote.Sur la partie du budget de l'État consacrée aux recettes, un vote était initialement prévu lundi prochain. Mais « au rythme auquel nous avançons, il est évident que lundi nous ne terminerons pas les 1 900 amendements » restants sur ce premier volet, a déclaré jeudi le ministre des Relations avec le Parlement, Laurent Panifous. D'autre part, « nous devons également tenir compte de la fatigue qui existe chez les députés, chez les collaborateurs, chez les administrateurs » de l'Assemblée, a-t-il ajouté dans l'hémicycle, précisant avoir été « saisi » par plusieurs groupes sur la question. Les débats ne se poursuivront donc pas « samedi et dimanche », a-t-il annoncé, mais reprendront lundi dès 9 h, au lieu du milieu de journée.Cette décision est jugée « inacceptable » par la cheffe des députés écologistes, Cyrielle Chatelain, qui a accusé l'exécutif « d'organiser […] le fait que cette assemblée ne puisse pas se prononcer sur le budget ». « Ne prenez pas prétexte de la fatigue des uns et des autres pour nous empêcher de pouvoir voter sur le budget de l'État », a abondé le coordinateur de La France insoumise, Manuel Bompard.L'ensemble du texte doit être transmis au Sénat le 23 novembre à minuit, selon les délais constitutionnels. S'il semble clair que les députés n'auront pas le temps d'aller au bout, un vote sur la seule partie “recettes” n'est pas non plus assuré.Faute de temps, les députés n'ont déjà pas voté le projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Les débats ont été interrompus à l'Assemblée nationale dans la nuit du mercredi 12 au jeudi 13 novembre, et c'est le texte modifié par les amendements des députés qui va être examiné par le Sénat à partir de la semaine prochaine. Et pour le ministre du Travail, le compte n'y est pas. D'un « déficit de 17,5 milliards d'euros » prévu initialement par le gouvernement, les députés sont passés à un déficit « d'environ 24,3 milliards d'euros », a expliqué Jean-Pierre Farandou dans les colonnes du Parisien. À ce stade, « il nous manque beaucoup d'économies que l'on a du mal à faire voter », a-t-il reconnu.Selon les calculs du rapporteur général de la commission des Affaires sociales, Thibault Bazin (LR), les changements apportés par l'Assemblée nationale au projet de budget de la Sécurité sociale pour 2026 creuseraient son déficit de 6,8 milliards d'euros.Parmi ces amendements figure le rejet d'une taxe exceptionnelle sur les contrats des complémentaires santé, le maintien des exonérations de cotisations pour les apprentis, la suspension de la réforme des retraites de 2023, la suppression du gel des pensions…Autant de points qui ont suscité une levée de boucliers ces dernières semaines, notamment chez les retraités qui ont, fait rare, manifesté la semaine dernière dans les rues de France. Nous sommes allés à la rencontre de plusieurs retraités qui ont manifesté le 6 novembre dernier à Granville, dans la Manche.La colère gagne également les agriculteurs qui se disent à nouveau prêts à se mobiliser après les propos d'Emmanuel Macron sur le Mercosur. Ces derniers sont vent debout contre le traité de libre-échange en discussion entre l'Europe et les pays d'Amérique latine, qu'ils jugent néfaste pour eux. Reportage ce soir chez un exploitant agricole à Lens-Lestang.Nos experts : - CÉCILE CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Echos - NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- EMMANUEL DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle - THOMAS PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business
Aujourd'hui, Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Mourad Boudjellal, éditeur de BD, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
En amont de la conférence, les Européens ont revu leurs ambitions à la baisse. Pourtant, un rapport de l'Agence européenne de l'environnement estime que si l'UE a fait avancer les choses sur le climat, elle doit faire davantage pour la protection et la résilience des espaces naturels. L'UE se présente avec un accord revu à la baisse C'est à la dernière minute que les pays européens ont trouvé un accord sur une feuille de route climatique d'ici à 2035 et 2040 pour ne pas arriver les mains vides, à la COP 30, au Brésil. Un accord à l'arraché mercredi matin (5 novembre 2025) à Bruxelles, assorti de nombreuses concessions qui en réduisent la portée. Ces concessions résultent d'un intense travail de lobbying mené notamment par l'Italie, assez frileuse sur ses ambitions climatiques. À Rome, les précisions d'Olivier Bonnel. En Albanie, la Vjosa et son parc national sont à nouveau menacés Les énergies fossiles et les activités industrielles accélèrent le réchauffement du climat, et détruisent aussi directement de nombreux écosystèmes, là où la réglementation est peu contraignante, ou peu appliquée. Il y a deux ans, le gouvernement albanais inaugurait le premier «Parc National de rivière sauvage en Europe». Une victoire pour les écologistes qui luttaient depuis plus de 10 ans pour protéger la Vjosa, un fleuve à la biodiversité exceptionnelle. Mais deux ans et demi plus tard, la survie de cet espace naturel est à nouveau menacée, comme l'a constaté Louis Seiller sur les bords du fleuve, dans le sud de l'Albanie. Le lac Balaton, en Hongrie, est lui aussi en danger Les Hongrois le surnomment la « mer du peuple », c'est le plus grand lac d'Europe, et un lieu de tourisme balnéaire très prisé. Mais son niveau d'eau est désormais très bas, car il subit de plein fouet les effets du changement du climat - des effets visibles à l'œil nu. Les précisions de Florence Labruyère. La revue de presse de Franceline Beretti L'Allemagne refuse de protéger les Afghanes et les Afghans qui ont travaillé pour le pays pendant la guerre ; l'Italie débat de la réforme de la justice, et la presse britannique s'intéresse à un jeune Français, prodige des jeux télévisés. Voyage au pays du «çay» Avec une consommation d'environ 4 kilos par personne et par an... C'est en Turquie, pays aux confluents de l'Europe et de l'Asie, que l'on boit le plus de thé au monde. Même si les Turcs ont adopté cette boisson assez récemment, elle est devenue incontournable dans leur vie sociale, mais aussi commerciale, politique... Partout, à toute occasion, dans les maisons, les magasins, les cafés, on boit du thé noir du matin au soir. À tel point que la production locale – pourtant au cinquième rang mondial – suffit tout juste à satisfaire les besoins du pays. À Ankara, Anne Andlauer nous emmène à la découverte de la culture du çay.
En amont de la conférence, les Européens ont revu leurs ambitions à la baisse. Pourtant, un rapport de l'Agence européenne de l'environnement estime que si l'UE a fait avancer les choses sur le climat, elle doit faire davantage pour la protection et la résilience des espaces naturels. L'UE se présente avec un accord revu à la baisse C'est à la dernière minute que les pays européens ont trouvé un accord sur une feuille de route climatique d'ici à 2035 et 2040 pour ne pas arriver les mains vides, à la COP 30, au Brésil. Un accord à l'arraché mercredi matin (5 novembre 2025) à Bruxelles, assorti de nombreuses concessions qui en réduisent la portée. Ces concessions résultent d'un intense travail de lobbying mené notamment par l'Italie, assez frileuse sur ses ambitions climatiques. À Rome, les précisions d'Olivier Bonnel. En Albanie, la Vjosa et son parc national sont à nouveau menacés Les énergies fossiles et les activités industrielles accélèrent le réchauffement du climat, et détruisent aussi directement de nombreux écosystèmes, là où la réglementation est peu contraignante, ou peu appliquée. Il y a deux ans, le gouvernement albanais inaugurait le premier «Parc National de rivière sauvage en Europe». Une victoire pour les écologistes qui luttaient depuis plus de 10 ans pour protéger la Vjosa, un fleuve à la biodiversité exceptionnelle. Mais deux ans et demi plus tard, la survie de cet espace naturel est à nouveau menacée, comme l'a constaté Louis Seiller sur les bords du fleuve, dans le sud de l'Albanie. Le lac Balaton, en Hongrie, est lui aussi en danger Les Hongrois le surnomment la « mer du peuple », c'est le plus grand lac d'Europe, et un lieu de tourisme balnéaire très prisé. Mais son niveau d'eau est désormais très bas, car il subit de plein fouet les effets du changement du climat - des effets visibles à l'œil nu. Les précisions de Florence Labruyère. La revue de presse de Franceline Beretti L'Allemagne refuse de protéger les Afghanes et les Afghans qui ont travaillé pour le pays pendant la guerre ; l'Italie débat de la réforme de la justice, et la presse britannique s'intéresse à un jeune Français, prodige des jeux télévisés. Voyage au pays du «çay» Avec une consommation d'environ 4 kilos par personne et par an... C'est en Turquie, pays aux confluents de l'Europe et de l'Asie, que l'on boit le plus de thé au monde. Même si les Turcs ont adopté cette boisson assez récemment, elle est devenue incontournable dans leur vie sociale, mais aussi commerciale, politique... Partout, à toute occasion, dans les maisons, les magasins, les cafés, on boit du thé noir du matin au soir. À tel point que la production locale – pourtant au cinquième rang mondial – suffit tout juste à satisfaire les besoins du pays. À Ankara, Anne Andlauer nous emmène à la découverte de la culture du çay.
Tout ce qui est électrique doit passer à la fibre optique . c'est la nouvelle mission de Martin télécom !
[REDIFFUSION] Aujourd'hui, nous allons vous parler de trois sœurs qui ont bouleversé notre relation avec l'au-delà… Alors qu'elles n'étaient que petites filles, leurs dons ont vite fait leurs preuves. Partout aux Etats-Unis et jusqu'en Europe, les notables et les petites gens étaient prêts à payer pour communiquer avec les morts grâce aux talents des deux jeunes sœurs. Elles sont ainsi devenues les premières médiums du monde et ont fondé une nouvelle religion. Leur nom : les sœurs Fox. Tapez un coup pour oui et découvrez leur fabuleux destins. Une maison pas comme les autres... L'histoire des sœurs Fox commence par un banal déménagement. Margaret, ou Maggie, 12 ans, Catherine, appelée Kate, 10 ans, Leah, leur grande sœur, et leurs parents viennent s'installer à Hydesville, à 50km de la grande ville de Rochester où ils habitaient auparavant. Leur père David, un pasteur, se réjouit de pouvoir offrir à sa famille une charmante maison avec un grand jardin. Mais ses filles sont beaucoup moins enchantées : quitter la ville pour la campagne, c'est l'ennui assuré… Ecriture : Karen Etourneau Réalisation : Celia Brondreau Voix : Andréa Brusque Une production Bababam Orignials Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:25:07 - Julie Fuchs, soprano (5/5) - par : Nicolas Lafitte - À 40 ans, la soprano Julie Fuchs se livre au fil de cinq épisodes au micro de Nicolas Lafitte. Elle raconte son parcours, de son enfance à Avignon à ses projets récents, évoquant ses émotions, ses succès, ses doutes et les rencontres qui ont marqué sa carrière internationale. - réalisé par : Béatrice Trichet Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:12:24 - L'Invité d'On n'arrête pas l'éco - Partout dans le monde, les budgets de l'aide publique au développement s'effondrent. Malgré la tempête, l'Agence Française de Développement continue d'investir dans l'eau, la santé, les transports et l'éducation. Peut-on encore croire à la solidarité internationale ? Rémy Rioux est notre invité. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:15:12 - Les Midis de Culture - par : Marie Sorbier - Dans "Tambora", Hélène Laurain poursuit son exploration des forces vitales et des fragilités du monde contemporain. Après "Partout le feu", elle entrelace maternité, écologie et écriture dans un texte où l'intime se mêle au cosmique. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Virginie Bloch-Lainé Productrice à France Culture, critique littéraire, romancière. ; Pierre Benetti critique littéraire