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En quoi est-il si important de travailler la Émouna ? En quoi consiste cette dernière ? Réponse à travers l'histoire de Yossef Hatsadik.
Inspirés par des thématiques mensuelles, les membres du Machin Club s'expriment sur les différentes projets et réalisations de l'organisation en racontant les aventures de partout où ils vont à tous les dimanches 19h. Le Machin Club est un organisme à but non lucratif dont le principal mandat est la production en arts médiatiques avec et pour les jeunes dans un contexte professionnel afin d'offrir des médias de qualité pour le jeune public. À travers ses productions, sous forme de reportages, de courts-métrages et de projets collectifs mobilisateurs dans l'univers des arts médiatiques, le Machin Club souhaite être porteur d'innovations sociales.
C'est une « sortie » à vélo qui aura duré trois ans. À bord de son Gravel – un vélo mi-route mi-VTT, Meryem Belkihel 30 ans, a réussi le pari un peu fou de faire un tour d'Afrique, seule. 34 000 km parcourus, 33 pays traversés, la jeune Marocaine a finalement achevé son aventure début novembre 2025, à Madagascar. Elle voulait « découvrir l'Afrique », comprendre les pressions exercées sur l'écologie, rencontrer ses voisines et voisins de continent, montrer à qui la croisait sur son passage qu'on peut vivre ses rêves, en étant une femme, seule. Meryem Belkihel raconte son périple militant. De notre correspondante à Antananarivo, Sourire vissé au visage, Meryem Belkihel savoure ses premières journées depuis trois ans sans pédaler. À ses poignets, plusieurs dizaines de bracelets, souvenirs peu encombrants qui lui ont été offerts au fil de ses rencontres.« Celui-là, je l'ai eu en Éthiopie. Celui-ci, c'est, ici, Madagascar. Ça, c'est la Tanzanie, lui, le Kenya, l'Ouganda, l'Afrique du Sud, le Burundi, le Zimbabwe, celui-là l'Eswatini et ça, c'est Mozambique. » Son périple à vélo, elle l'a documenté. Caméra embarquée, drone, elle a filmé ses traversées solitaires et ses découvertes, parfois choquantes. « Le changement climatique, je voulais voir ça de près. L'impact sur notre continent, sur l'Afrique. Et partager aussi parce qu'on voit ça beaucoup, mais parfois, on se dit " Mais non ! Ce n'est pas réel ! », on trouve des excuses. « Là par exemple, c'est une vidéo que j'ai prise à l'est du Cameroun. Ces tronçonneuses que vous entendez, ce sont celles de gens qui travaillent pour une grande société qui coupe les arbres de plus que 100 ans pour les envoyer à l'étranger, en Europe et en Chine. Et là ça m'a choqué parce que pour couper un arbre, il faut en abattre 20 autres. Et ça, c'est tous les jours dans cette forêt du Cameroun. Même chose pour la République centrafricaine. » La jeune femme, informaticienne à Casablanca, avoue avoir semé la gêne dans son entourage : « Les gens ne me comprenaient pas. Ce que j'ai fait, ce n'est pas dans notre culture. On me trouvait bizarre. Mon désir de partir seule, ça a choqué ma famille, mes amis. On me demandait de rester, d'acheter une maison, une voiture, me marier, avoir des enfants. Non ! Moi, je voulais donner de l'espoir aux femmes et aussi donner l'exemple d'une femme marocaine, africaine ! » Un mental renforcé par les épreuves Meryem nous montre sur son téléphone un échange animé, qu'elle a filmé durant son périple : « Là, c'est une vidéo que j'ai tournée quand je suis arrivée au Ghana. J'étais en train de parler avec un vendeur dans un magasin de vélo, pour essayer de réparer mon dérailleur et là, il y a quelqu'un qui était juste à côté. Il a commencé à dire : " Non non non, ce que tu racontes n'est pas vrai, arrête de mentir ! Ce n'est pas possible de venir du Maroc et parcourir plus que 6 000 km à vélo ! " Bah, je lui ai dit, « Je suis Marocaine. Si toi, tu n'es pas fort, moi, je le suis et je peux le faire ! » Les galères, raconte-t-elle, elle en a vécu. Partout. Crevaisons. Casse. Pépins de santé. Chaque épreuve a contribué à renforcer un peu plus son mental d'acier : « J'ai eu quatre fois le palu, j'ai eu la typhoïde, j'ai eu beaucoup d'infections dentaires. Mon visage a été gonflé comme si j'avais pris du botox » rit-elle. « J'étais au milieu de la jungle, au Cameroun. Il y avait un centre de soin, sans eau ni électricité. C'était fou. Mais je n'ai jamais eu l'idée de dire "j'arrête, je n'en peux plus". J'ai appris durant ce voyage que si quelque chose arrive, "it is what it is". Ça m'a appris à rester toujours positive, à apprendre que chaque problème a une solution et que tout est possible. » Marquée, elle le restera. Par l'hospitalité des Guinéens, par la solidarité et la bienveillance des Malgaches, la beauté des paysages de Namibie, du Nigeria, de l'Angola. De retour au Maroc, elle a déjà prévu la suite : écrire un livre, monter le documentaire de son aventure avec les centaines d'heures de rush, et qui sait, reprendre un jour son vélo pour se rendre au point le plus au nord de la planète.
Depuis la chute du régime de Bachar el-Assad, un groupe de femmes tentent de faire survivre l'art traditionnel de la broderie en Syrie. Durant la guerre, la plupart d'entre elles ont été forcées à l'exil ont ont été tuées dans les bombardements. De 1 000, elles sont passées à 80. Ces rescapées essaient de relancer leur business, pour récupérer des fonds et reconstruire leurs villages, ainsi que pour former les nouvelles générations, et que jamais ne se perde cette tradition. Une dizaine de femmes se sont réunies dans une petite salle, un sac plastique à la main. À l'intérieur, des bouts de tissus colorés et des broderies qu'elles ont ces derniers mois fabriqués. Objectif : les vendre dans une galerie à Damas, explique Jamilé, pour faire revivre cet art en perdition. « Sur cette broderie, j'ai dessiné la montagne, l'herbe, et ici le linge suspendu. Au loin, il y a les maisons détruites par la guerre », détaille-t-elle. Comme les autres femmes ici présentes, Wattah, 61 ans, brode les contours de son village. Des dessins qui ont, depuis la guerre, perdus de leurs éclats. « Avant la guerre, nous étions plus sereines. Tout était beau à voir. Les terres verdoyantes, la tempête, les oiseaux... Désormais, notre humeur est plus morose. Même les couleurs que nous utilisons pour broder sont plus déprimantes », soupire-t-elle. Plus moroses, déprimantes, dit-elle, depuis qu'elles ont dû fuir leurs villages. Parmi elles, Um Loaï. Avant la guerre en Syrie, elle supervisait le travail de 200 femmes depuis sa maison, en périphérie d'Alep. Elle rêve aujourd'hui de s'y réinstaller afin de relancer son activité, mais sur place. « Quand je viens ici, c'est dur. Je ressens beaucoup de peine parce que... Regardez. C'est vrai, ce ne sont plus que des ruines, mais ça reste ma maison. Ma propre maison, que j'avais décoré avec l'argent des broderies », montre-t-elle en sanglotant. Partout, des impacts de balles, des murs éventrés... Les traces des années de combat entre le régime et l'armée syrienne libre, et des années d'occupation du groupe État islamique (EI). « Quand je suis arrivée ici pour la toute première fois, j'ai pleuré à chaudes larmes. Les portes avaient été volées, toute la maison avait été pillée », se remémore-t-elle. Sur la terrasse de la maison dans laquelle elle est réfugiée, Um Loaï compte les billets de ses dernières ventes. Aujourd'hui, coûte que coûte, elle et les dernières brodeuses essaient de remonter leur business. « On veut reconstruire nos villages. On a déjà installé un système de dessalement de l'eau financé par nos économies et par des dons. On a planté des oliviers sur nos terres et creusé un puits. J'essaie de rassembler à nouveau les filles pour broder. Mais c'est très difficile », confie-t-elle. À la tête de cette petite entreprise, il y a une Allemande, Heike Weber, tombée d'amour pour la broderie syrienne dans les années 1980. Depuis Damas, elle supervise le travail des dernières brodeuses et collectionne les pièces pour les vendre une à une. « Maintenant, elles sont assises entre quatre murs, sans lumière. La plupart de leurs maisons sont très sombres. L'inspiration de leur environnement, c'est très important pour créer. Si elles ne peuvent pas retourner dans leur village, je pense que tout cela va mourir », redoute-t-elle. Demain, Heike Weber recevra de nouvelles femmes pour leur apprendre la broderie. Pour que tout cela ne meure pas et que la tradition perdure. À lire aussiReconstruction de la Syrie: une opération à 216 milliards de dollars, selon la Banque mondiale
En Suède, la fronde monte contre la politique migratoire du gouvernement. Partout dans le pays, des élus locaux refusent de participer au programme d'aide au retour volontaire des immigrés, voulu par la droite et l'extrême droite au pouvoir. Un mouvement inédit qui prend la coalition gouvernementale de court. Notre correspondante en Suède, Ottilia Férey, s'est entretenue avec plusieurs de ces mairies. « Merci mais non merci ». C'est ainsi que le maire de Jokkmokk, petite ville du nord de la Suède a catégoriquement décliné l'invitation du gouvernement à une rencontre pour discuter du rapatriement volontaire. « Nous n'avons aucune personne que nous voulons envoyer hors de notre commune ou à l'étranger. Au contraire, nous avons besoin de plus de personnes qui viennent s'installer et travailler ici, à Jokkmokk. Dans la commune voisine, appelée Boden, il y a une maison de retraite dans un petit village nommé Harads. En quelques années, vingt employés ont été expulsés. Ils venaient d'un centre d'accueil pour réfugiés situé à Harads, et plusieurs avaient été recrutés pour travailler dans les soins aux personnes âgées. Vingt personnes ! C'est tout un effectif ! Toutes travaillaient, payaient leurs impôts et percevaient des salaires conformes aux conventions collectives ». « On ne peut pas envoyer aux gens le message qu'ils sont indésirables » C'est lui, Roland Boman, qui a, depuis le cercle polaire, pour ainsi dire lancé le mouvement. « Ce que je vois aujourd'hui en Suède, c'est que les personnes qu'on expulse, ce sont des gens qui travaillent. Tout est désormais axé sur les représailles et les punitions. Plus personne ne parle d'humanisme ». Cette révolte s'est rapidement étendue au reste du pays jusqu'à l'extrême sud, à Malmö où le conseiller municipal Sedat Arif est atterré par ce budget de 217,5 millions d'euros alloués aux départs volontaires. « On ne peut pas envoyer aux gens le message qu'ils sont indésirables. Tant de ressources sont consacrées au renvoi des immigrés ; elles auraient été bien mieux utilisées pour investir dans le marché du travail. Ce racisme, accentué par cette politique d'exclusion étatique, amènera beaucoup de personnes à se demander : "Pourquoi devrais-je m'efforcer de contribuer à un pays qui ne veut pas de moi ?" ». « Nous avons un gouvernement incroyablement peu sérieux » À compter du 1er janvier 2026, la contribution au rapatriement va passer de 2300 euros à quasiment 32 000 euros par personne. À Stockholm, le social-démocrate Alexander Ojanne, adjoint au maire, dénonce un dispositif contreproductif. « On va perdre une main-d'œuvre qualifiée dont nous avons besoin. Nous avons un gouvernement incroyablement peu sérieux. Et surtout un gouvernement mal informé. Ils sont aveuglés par leur idéologie. On a l'impression que le gouvernement a largement bricolé ses solutions en coulisses, derrière des portes closes, où seuls les partis de la coalition étaient présents ». Une enquête menée, à la demande du gouvernement, avait pourtant conclu à l'inefficacité d'un tel dispositif et à ses potentiels effets pervers. À ce jour, près d'un tiers des communes suédoises ont, elles aussi, répondu par un « Merci, mais non merci ».
En Suède, la fronde monte contre la politique migratoire du gouvernement. Partout dans le pays, des élus locaux refusent de participer au programme d'aide au retour volontaire des immigrés, voulu par la droite et l'extrême droite au pouvoir. Un mouvement inédit qui prend la coalition gouvernementale de court. Notre correspondante en Suède, Ottilia Férey, s'est entretenue avec plusieurs de ces mairies. « Merci mais non merci ». C'est ainsi que le maire de Jokkmokk, petite ville du nord de la Suède a catégoriquement décliné l'invitation du gouvernement à une rencontre pour discuter du rapatriement volontaire. « Nous n'avons aucune personne que nous voulons envoyer hors de notre commune ou à l'étranger. Au contraire, nous avons besoin de plus de personnes qui viennent s'installer et travailler ici, à Jokkmokk. Dans la commune voisine, appelée Boden, il y a une maison de retraite dans un petit village nommé Harads. En quelques années, vingt employés ont été expulsés. Ils venaient d'un centre d'accueil pour réfugiés situé à Harads, et plusieurs avaient été recrutés pour travailler dans les soins aux personnes âgées. Vingt personnes ! C'est tout un effectif ! Toutes travaillaient, payaient leurs impôts et percevaient des salaires conformes aux conventions collectives ». « On ne peut pas envoyer aux gens le message qu'ils sont indésirables » C'est lui, Roland Boman, qui a, depuis le cercle polaire, pour ainsi dire lancé le mouvement. « Ce que je vois aujourd'hui en Suède, c'est que les personnes qu'on expulse, ce sont des gens qui travaillent. Tout est désormais axé sur les représailles et les punitions. Plus personne ne parle d'humanisme ». Cette révolte s'est rapidement étendue au reste du pays jusqu'à l'extrême sud, à Malmö où le conseiller municipal Sedat Arif est atterré par ce budget de 217,5 millions d'euros alloués aux départs volontaires. « On ne peut pas envoyer aux gens le message qu'ils sont indésirables. Tant de ressources sont consacrées au renvoi des immigrés ; elles auraient été bien mieux utilisées pour investir dans le marché du travail. Ce racisme, accentué par cette politique d'exclusion étatique, amènera beaucoup de personnes à se demander : "Pourquoi devrais-je m'efforcer de contribuer à un pays qui ne veut pas de moi ?" ». « Nous avons un gouvernement incroyablement peu sérieux » À compter du 1er janvier 2026, la contribution au rapatriement va passer de 2300 euros à quasiment 32 000 euros par personne. À Stockholm, le social-démocrate Alexander Ojanne, adjoint au maire, dénonce un dispositif contreproductif. « On va perdre une main-d'œuvre qualifiée dont nous avons besoin. Nous avons un gouvernement incroyablement peu sérieux. Et surtout un gouvernement mal informé. Ils sont aveuglés par leur idéologie. On a l'impression que le gouvernement a largement bricolé ses solutions en coulisses, derrière des portes closes, où seuls les partis de la coalition étaient présents ». Une enquête menée, à la demande du gouvernement, avait pourtant conclu à l'inefficacité d'un tel dispositif et à ses potentiels effets pervers. À ce jour, près d'un tiers des communes suédoises ont, elles aussi, répondu par un « Merci, mais non merci ».
Depuis la chute du régime de Bachar el-Assad, un groupe de femmes tentent de faire survivre l'art traditionnel de la broderie en Syrie. Durant la guerre, la plupart d'entre elles ont été forcées à l'exil ont ont été tuées dans les bombardements. De 1 000, elles sont passées à 80. Ces rescapées essaient de relancer leur business, pour récupérer des fonds et reconstruire leurs villages, ainsi que pour former les nouvelles générations, et que jamais ne se perde cette tradition. Une dizaine de femmes se sont réunies dans une petite salle, un sac plastique à la main. À l'intérieur, des bouts de tissus colorés et des broderies qu'elles ont ces derniers mois fabriqués. Objectif : les vendre dans une galerie à Damas, explique Jamilé, pour faire revivre cet art en perdition. « Sur cette broderie, j'ai dessiné la montagne, l'herbe, et ici le linge suspendu. Au loin, il y a les maisons détruites par la guerre », détaille-t-elle. Comme les autres femmes ici présentes, Wattah, 61 ans, brode les contours de son village. Des dessins qui ont, depuis la guerre, perdus de leurs éclats. « Avant la guerre, nous étions plus sereines. Tout était beau à voir. Les terres verdoyantes, la tempête, les oiseaux... Désormais, notre humeur est plus morose. Même les couleurs que nous utilisons pour broder sont plus déprimantes », soupire-t-elle. Plus moroses, déprimantes, dit-elle, depuis qu'elles ont dû fuir leurs villages. Parmi elles, Um Loaï. Avant la guerre en Syrie, elle supervisait le travail de 200 femmes depuis sa maison, en périphérie d'Alep. Elle rêve aujourd'hui de s'y réinstaller afin de relancer son activité, mais sur place. « Quand je viens ici, c'est dur. Je ressens beaucoup de peine parce que... Regardez. C'est vrai, ce ne sont plus que des ruines, mais ça reste ma maison. Ma propre maison, que j'avais décoré avec l'argent des broderies », montre-t-elle en sanglotant. Partout, des impacts de balles, des murs éventrés... Les traces des années de combat entre le régime et l'armée syrienne libre, et des années d'occupation du groupe État islamique (EI). « Quand je suis arrivée ici pour la toute première fois, j'ai pleuré à chaudes larmes. Les portes avaient été volées, toute la maison avait été pillée », se remémore-t-elle. Sur la terrasse de la maison dans laquelle elle est réfugiée, Um Loaï compte les billets de ses dernières ventes. Aujourd'hui, coûte que coûte, elle et les dernières brodeuses essaient de remonter leur business. « On veut reconstruire nos villages. On a déjà installé un système de dessalement de l'eau financé par nos économies et par des dons. On a planté des oliviers sur nos terres et creusé un puits. J'essaie de rassembler à nouveau les filles pour broder. Mais c'est très difficile », confie-t-elle. À la tête de cette petite entreprise, il y a une Allemande, Heike Weber, tombée d'amour pour la broderie syrienne dans les années 1980. Depuis Damas, elle supervise le travail des dernières brodeuses et collectionne les pièces pour les vendre une à une. « Maintenant, elles sont assises entre quatre murs, sans lumière. La plupart de leurs maisons sont très sombres. L'inspiration de leur environnement, c'est très important pour créer. Si elles ne peuvent pas retourner dans leur village, je pense que tout cela va mourir », redoute-t-elle. Demain, Heike Weber recevra de nouvelles femmes pour leur apprendre la broderie. Pour que tout cela ne meure pas et que la tradition perdure. À lire aussiReconstruction de la Syrie: une opération à 216 milliards de dollars, selon la Banque mondiale
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, prof de français, Didier Giraud, éleveur de bovins, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:10:33 - Le Point culture - par : Marie Sorbier - Le CNAP (le Centre national des arts plastiques) vient de s'associer dans le cadre du plan "Culture et Ruralité" avec le réseau des artothèques pour soutenir leur présence sur l'ensemble du territoire et rendre ainsi l'art contemporain plus accessible. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Isabelle Tessier Directrice de l'artothèque de Vitré (35) et co-présidente de l'ADRA (Association de développement et de recherche sur les artothèques)
Vendredi 11 juillet : Sciences et santé en résistance - Co-présentées avec la Fondation La Rochelle UniversitéInvités : Hélène Peltier, SolannPrésentation : Paloma Morritz, Cyril DionLa science traverse une zone de turbulences. Aux États-Unis, certains chercheurs sont licenciés, des départements ferment, des mots deviennent tabous. Ailleurs, celles et ceux qui osent questionner l'industrie sont marginalisés, ignorés, « définancés ». Partout, les sociétés semblent perdre leur capacité à partager une vision commune du réel — et avec elle, la possibilité même de débattre sur des bases factuelles.Pendant ce temps, l'alerte sanitaire se précise : microplastiques, polluants éternels, pesticides, perturbateurs endocriniens… Ces substances colonisent nos sols, nos océans, nos organismes. Nous sommes peut-être aux portes du plus grand scandale sanitaire de notre histoire. La pollution de l'air continue de tuer massivement, le changement climatique dégrade nos corps comme nos territoires.Dans ce paysage fissuré, défendre la science devient un acte politique. Protéger la santé — humaine, environnementale, globale — devient une forme de résistance face à un modèle économique aveugle, qui épuise les ressources autant que les individus.Une heure pour comprendre ce qui menace la recherche, ce qui fragilise nos corps, et comment reconstruire un socle commun de vérité scientifique pour tenir ensemble.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mise à jour économique à Québec. QS et le PLQ, la suite. Québec va élargir l’encadrement de la laïcité. Début de la commission parlementaire sur la réforme syndicale. L’Olympia de Montréal craint pour sa survie. Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Dubé, Marianne Bessette et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
L!VE Campus avec Golden Bug à l'occasion de son concert le 6 oct. 2025 à la Boule Noire à Paris Golden Bug réinvente ses albums Piscolabis I & II en live aux côtés de l'artiste japonaise Vega Voga et du multi-instrumentiste argentin Pablo Volt, donnant naissance à The Piscolabis Experience. Bien plus qu'une simple réinterprétation, ce projet audacieux fusionne sons électroniques et organiques, mêlant rythmes robotiques et atmosphères dub psychédéliques. Un voyage sonore vibrant et futuriste qui accueillera en première partie le duo Froid Dub avec son dub hypnotique et chloroformé, entre nappes brumeuses et basses profondes. Artiste : Golden Bug https://soundcloud.com/golden-bug @golden-bug https://goldenbug.bandcamp.com/musichttps://open.spotify.com/intl-fr/artist/2i3LPFJ85TQROM0zjHYaQq https://www.instagram.com/goldenbugmusic Enregistrement et Mixage : Antoine Harispuru Interview : Alice Marmond, Radio Campus Paris Production : Radio Campus Paris, Radio Campus France, 2025 ---------------------------------- L!VE CAMPUS, the radio show La musique live, toutes les musiques lives ! " L!VE CAMPUS " est un nouveau programme commun qui place en son centre la découverte de nouveaux talents. Partout sur le territoire, dans les studios radios, dans les salles, festivals et cafés concerts, les radios Campus captent les instants où les artistes musicien.ne.s présentent sur scène, parfois pour la première fois, le fruit de leur travail. Des performances et des moments enregistrés parfois fragiles mais toujours uniques et sensibles. Enregistrés, produits et diffusés sur les ondes de près de 30 radios Campus en France, ce programme offre à des projets musicaux émergents un changement d'échelle, permettant à des projet locaux de se faire connaitre en dehors de leur territoire d'origine. Enfin en arrière scène, ce sont des équipes radios, personnes bénévoles ou en formation, qui, avec la complicité de nos partenaires, s'essayent et manipulent les enregistreurs, consoles sons, câbles, micros et logiciels pour rendre possible ces captations sonores qui vous seront ensuite retransmises. Des défis techniques formateurs pour celles et ceux qui souhaitent se confirmer aux métiers du son. L!VE Campus, les jeunes talents à découvrir et a ré-écouter en podcast c'est ici et en FM/DAB+ sur vos radios Campus préférées. Avec le soutien du Centre National de la Musique. crédits visuels : Alice Marmond | IG @aliicetakespicsHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Marissal quitte QS Le mystère de la rencontre cordiale Trump Mamdani La rencontre Dutrizac-Dumont avec Benoit Dutrizac et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Inspirés par des thématiques mensuelles, les membres du Machin Club s'expriment sur les différentes projets et réalisations de l'organisation en racontant les aventures de partout où ils vont à tous les dimanches 19h. Le Machin Club est un organisme à but non lucratif dont le principal mandat est la production en arts médiatiques avec et pour les jeunes dans un contexte professionnel afin d'offrir des médias de qualité pour le jeune public. À travers ses productions, sous forme de reportages, de courts-métrages et de projets collectifs mobilisateurs dans l'univers des arts médiatiques, le Machin Club souhaite être porteur d'innovations sociales.
durée : 00:14:43 - Journal de 8 h - La famille de Mehdi Kessaci appelle au rassemblement à 15h à Marseille, contre le trafic de drogue. Cet homme de 20 ans a été tué par balles le 13 novembre 2025. Il est le frère d'Amine Kessaci, un militant anti narcotrafic.
durée : 00:14:43 - Journal de 8 h - La famille de Mehdi Kessaci appelle au rassemblement à 15h à Marseille, contre le trafic de drogue. Cet homme de 20 ans a été tué par balles le 13 novembre 2025. Il est le frère d'Amine Kessaci, un militant anti narcotrafic. - invités : Mathilde Romagnan Journaliste
durée : 00:14:43 - Journal de 8 h - La famille de Mehdi Kessaci appelle au rassemblement à 15h à Marseille, contre le trafic de drogue. Cet homme de 20 ans a été tué par balles le 13 novembre 2025. Il est le frère d'Amine Kessaci, un militant anti narcotrafic.
durée : 00:19:54 - Lectures du soir - " À mesure que le temps s'éloignait, je l'en aimais de plus en plus ; avec la rage que l'on a pour les choses impossibles, j'inventais des aventures pour la retrouver, j'imaginais notre rencontre, j'ai revu […] la couleur de sa figure dans les feuilles du tremble, quand l'automne les colore"
Tous les matins, 8h50 sur Chérie FM, Alex et Tiffany l'équipe du Réveil Chérie vont chacun vous donner une info ! Une seule est vraie ! L'autre est complètement fausse !" A vous de trouver qui dit vrai !
Chaque matin, l'équipe vous parle du con du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Emmanuel Macron a fustigé "les bourgeois des centres-villes qui financent les narcotrafiquants". Qui sont les usagers de drogue en France et faut-il les traiter en malades ou en coupables ? Amine Benyamina les reçoit tous les jours en consultation : l'addictologue et psychiatre, président de la Fédération française d'addictologie, est l'invité de RTL Matin. Ecoutez L'invité RTL de 7h40 avec Thomas Sotto du 20 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Laura Warton Martinez, sophrologue, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", et Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Tous les matins à 7h50 sur Chérie FM, Dimitri pose 3 questions sur l''actualité insolite ou légère des dernières 24 heures !
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Nanette Workman soulignera les 50 ans de l’album Lady Marmalade avec un spectacle exceptionnel, conçu et mis en scène par Maxime Charbonneau. Cette représentation prendra la forme d’une soirée-bénéfice dont les profits seront entièrement remis au projet jeunesse du Théâtre Gilles-Vigneault, un programme destiné à rendre la culture accessible aux jeunes dès la petite enfance. Entrevue avec Maxime Charbonneau, animateur, metteur en scène. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Cet automne, la Suisse traverse une période de resserrement budgétaire dans le service public. Pourtant, dans les cantons et à la Confédération, les caisses de l'État ne sont pas vides. Alors pourquoi ces mesures d'austérité? Et quelles sont leurs conséquences concrètes? Décryptage avec Cédric Tille, professeur de macroéconomie à l'Institut des hautes études du développement à Genève. Journaliste: Anne-Julie Ruz Réalisation: Ludovic Labra Nous écrire ou nous proposer des questions: +41 79 134 34 70 ou pointj@rts.ch
Inspirés par des thématiques mensuelles, les membres du Machin Club s'expriment sur les différentes projets et réalisations de l'organisation en racontant les aventures de partout où ils vont à tous les dimanches 19h. Le Machin Club est un organisme à but non lucratif dont le principal mandat est la production en arts médiatiques avec et pour les jeunes dans un contexte professionnel afin d'offrir des médias de qualité pour le jeune public. À travers ses productions, sous forme de reportages, de courts-métrages et de projets collectifs mobilisateurs dans l'univers des arts médiatiques, le Machin Club souhaite être porteur d'innovations sociales.
Invités : - Philippe Ballard, député Rassemblement National de l'Oise. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. - Raphaël Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 14 novembre 2025 - Budget: dépenses partout, économies nulle partLe budget va-t-il être voté à l'Assemblée nationale ? Déjà très serré, le calendrier des discussions budgétaires a été rendu encore plus complexe par la décision du gouvernement de ne pas faire siéger les députés au cours du week-end. La gauche a immédiatement dénoncé cette décision, certains députés accusant l'exécutif de chercher à empêcher la tenue d'un vote.Sur la partie du budget de l'État consacrée aux recettes, un vote était initialement prévu lundi prochain. Mais « au rythme auquel nous avançons, il est évident que lundi nous ne terminerons pas les 1 900 amendements » restants sur ce premier volet, a déclaré jeudi le ministre des Relations avec le Parlement, Laurent Panifous. D'autre part, « nous devons également tenir compte de la fatigue qui existe chez les députés, chez les collaborateurs, chez les administrateurs » de l'Assemblée, a-t-il ajouté dans l'hémicycle, précisant avoir été « saisi » par plusieurs groupes sur la question. Les débats ne se poursuivront donc pas « samedi et dimanche », a-t-il annoncé, mais reprendront lundi dès 9 h, au lieu du milieu de journée.Cette décision est jugée « inacceptable » par la cheffe des députés écologistes, Cyrielle Chatelain, qui a accusé l'exécutif « d'organiser […] le fait que cette assemblée ne puisse pas se prononcer sur le budget ». « Ne prenez pas prétexte de la fatigue des uns et des autres pour nous empêcher de pouvoir voter sur le budget de l'État », a abondé le coordinateur de La France insoumise, Manuel Bompard.L'ensemble du texte doit être transmis au Sénat le 23 novembre à minuit, selon les délais constitutionnels. S'il semble clair que les députés n'auront pas le temps d'aller au bout, un vote sur la seule partie “recettes” n'est pas non plus assuré.Faute de temps, les députés n'ont déjà pas voté le projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Les débats ont été interrompus à l'Assemblée nationale dans la nuit du mercredi 12 au jeudi 13 novembre, et c'est le texte modifié par les amendements des députés qui va être examiné par le Sénat à partir de la semaine prochaine. Et pour le ministre du Travail, le compte n'y est pas. D'un « déficit de 17,5 milliards d'euros » prévu initialement par le gouvernement, les députés sont passés à un déficit « d'environ 24,3 milliards d'euros », a expliqué Jean-Pierre Farandou dans les colonnes du Parisien. À ce stade, « il nous manque beaucoup d'économies que l'on a du mal à faire voter », a-t-il reconnu.Selon les calculs du rapporteur général de la commission des Affaires sociales, Thibault Bazin (LR), les changements apportés par l'Assemblée nationale au projet de budget de la Sécurité sociale pour 2026 creuseraient son déficit de 6,8 milliards d'euros.Parmi ces amendements figure le rejet d'une taxe exceptionnelle sur les contrats des complémentaires santé, le maintien des exonérations de cotisations pour les apprentis, la suspension de la réforme des retraites de 2023, la suppression du gel des pensions…Autant de points qui ont suscité une levée de boucliers ces dernières semaines, notamment chez les retraités qui ont, fait rare, manifesté la semaine dernière dans les rues de France. Nous sommes allés à la rencontre de plusieurs retraités qui ont manifesté le 6 novembre dernier à Granville, dans la Manche.La colère gagne également les agriculteurs qui se disent à nouveau prêts à se mobiliser après les propos d'Emmanuel Macron sur le Mercosur. Ces derniers sont vent debout contre le traité de libre-échange en discussion entre l'Europe et les pays d'Amérique latine, qu'ils jugent néfaste pour eux. Reportage ce soir chez un exploitant agricole à Lens-Lestang.Nos experts : - CÉCILE CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Echos - NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- EMMANUEL DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle - THOMAS PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business
C dans l'air du 14 novembre 2025 - Budget: dépenses partout, économies nulle partNos experts : - CÉCILE CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Echos - NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- EMMANUEL DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle - THOMAS PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business
Aujourd'hui, Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Mourad Boudjellal, éditeur de BD, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Prier tout au long de la journée est aussi important que de mettre du temps à part pour la prière. Je suis convaincue que Dieu veut que nous le reconnaissions, que nous lui présentions des demandes et lui offrions des actions de grâces du matin au soir. La prière doit devenir aussi naturelle que la respiration. Qu'éprouveriez-vous si vos enfants vous disaient : «Maman je t'aime » ou « Papa je t'aime » chaque fois qu'ils passent à côté de vous ? Quand un de mes enfants s'arrête à la maison ou au bureau pour me dire : « Maman, je voulais juste te dire que tu es formidable », ma journée en est transformée. Faire savoir aux autres combien nous les apprécions est le gage d'une bonne relation. Si nous avons cette même attitude avec le Seigneur, notre communion avec lui s'approfondit et se fortifie, et nous restons en contact avec lui partout et en tout temps. Et il aime cela. Je t'aime, Père, et je suis reconnaissant de ce que tu m'aimes aussi. Je veux saisir chaque occasion pour te dire combien tu es merveilleux et combien je suis heureux. Merci de ce que je peux venir à toi dans la prière partout et en tout temps. — Êtes-vous prêt à aller plus loin ?
Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
En amont de la conférence, les Européens ont revu leurs ambitions à la baisse. Pourtant, un rapport de l'Agence européenne de l'environnement estime que si l'UE a fait avancer les choses sur le climat, elle doit faire davantage pour la protection et la résilience des espaces naturels. L'UE se présente avec un accord revu à la baisse C'est à la dernière minute que les pays européens ont trouvé un accord sur une feuille de route climatique d'ici à 2035 et 2040 pour ne pas arriver les mains vides, à la COP 30, au Brésil. Un accord à l'arraché mercredi matin (5 novembre 2025) à Bruxelles, assorti de nombreuses concessions qui en réduisent la portée. Ces concessions résultent d'un intense travail de lobbying mené notamment par l'Italie, assez frileuse sur ses ambitions climatiques. À Rome, les précisions d'Olivier Bonnel. En Albanie, la Vjosa et son parc national sont à nouveau menacés Les énergies fossiles et les activités industrielles accélèrent le réchauffement du climat, et détruisent aussi directement de nombreux écosystèmes, là où la réglementation est peu contraignante, ou peu appliquée. Il y a deux ans, le gouvernement albanais inaugurait le premier «Parc National de rivière sauvage en Europe». Une victoire pour les écologistes qui luttaient depuis plus de 10 ans pour protéger la Vjosa, un fleuve à la biodiversité exceptionnelle. Mais deux ans et demi plus tard, la survie de cet espace naturel est à nouveau menacée, comme l'a constaté Louis Seiller sur les bords du fleuve, dans le sud de l'Albanie. Le lac Balaton, en Hongrie, est lui aussi en danger Les Hongrois le surnomment la « mer du peuple », c'est le plus grand lac d'Europe, et un lieu de tourisme balnéaire très prisé. Mais son niveau d'eau est désormais très bas, car il subit de plein fouet les effets du changement du climat - des effets visibles à l'œil nu. Les précisions de Florence Labruyère. La revue de presse de Franceline Beretti L'Allemagne refuse de protéger les Afghanes et les Afghans qui ont travaillé pour le pays pendant la guerre ; l'Italie débat de la réforme de la justice, et la presse britannique s'intéresse à un jeune Français, prodige des jeux télévisés. Voyage au pays du «çay» Avec une consommation d'environ 4 kilos par personne et par an... C'est en Turquie, pays aux confluents de l'Europe et de l'Asie, que l'on boit le plus de thé au monde. Même si les Turcs ont adopté cette boisson assez récemment, elle est devenue incontournable dans leur vie sociale, mais aussi commerciale, politique... Partout, à toute occasion, dans les maisons, les magasins, les cafés, on boit du thé noir du matin au soir. À tel point que la production locale – pourtant au cinquième rang mondial – suffit tout juste à satisfaire les besoins du pays. À Ankara, Anne Andlauer nous emmène à la découverte de la culture du çay.
En amont de la conférence, les Européens ont revu leurs ambitions à la baisse. Pourtant, un rapport de l'Agence européenne de l'environnement estime que si l'UE a fait avancer les choses sur le climat, elle doit faire davantage pour la protection et la résilience des espaces naturels. L'UE se présente avec un accord revu à la baisse C'est à la dernière minute que les pays européens ont trouvé un accord sur une feuille de route climatique d'ici à 2035 et 2040 pour ne pas arriver les mains vides, à la COP 30, au Brésil. Un accord à l'arraché mercredi matin (5 novembre 2025) à Bruxelles, assorti de nombreuses concessions qui en réduisent la portée. Ces concessions résultent d'un intense travail de lobbying mené notamment par l'Italie, assez frileuse sur ses ambitions climatiques. À Rome, les précisions d'Olivier Bonnel. En Albanie, la Vjosa et son parc national sont à nouveau menacés Les énergies fossiles et les activités industrielles accélèrent le réchauffement du climat, et détruisent aussi directement de nombreux écosystèmes, là où la réglementation est peu contraignante, ou peu appliquée. Il y a deux ans, le gouvernement albanais inaugurait le premier «Parc National de rivière sauvage en Europe». Une victoire pour les écologistes qui luttaient depuis plus de 10 ans pour protéger la Vjosa, un fleuve à la biodiversité exceptionnelle. Mais deux ans et demi plus tard, la survie de cet espace naturel est à nouveau menacée, comme l'a constaté Louis Seiller sur les bords du fleuve, dans le sud de l'Albanie. Le lac Balaton, en Hongrie, est lui aussi en danger Les Hongrois le surnomment la « mer du peuple », c'est le plus grand lac d'Europe, et un lieu de tourisme balnéaire très prisé. Mais son niveau d'eau est désormais très bas, car il subit de plein fouet les effets du changement du climat - des effets visibles à l'œil nu. Les précisions de Florence Labruyère. La revue de presse de Franceline Beretti L'Allemagne refuse de protéger les Afghanes et les Afghans qui ont travaillé pour le pays pendant la guerre ; l'Italie débat de la réforme de la justice, et la presse britannique s'intéresse à un jeune Français, prodige des jeux télévisés. Voyage au pays du «çay» Avec une consommation d'environ 4 kilos par personne et par an... C'est en Turquie, pays aux confluents de l'Europe et de l'Asie, que l'on boit le plus de thé au monde. Même si les Turcs ont adopté cette boisson assez récemment, elle est devenue incontournable dans leur vie sociale, mais aussi commerciale, politique... Partout, à toute occasion, dans les maisons, les magasins, les cafés, on boit du thé noir du matin au soir. À tel point que la production locale – pourtant au cinquième rang mondial – suffit tout juste à satisfaire les besoins du pays. À Ankara, Anne Andlauer nous emmène à la découverte de la culture du çay.
Tout ce qui est électrique doit passer à la fibre optique . c'est la nouvelle mission de Martin télécom !
[REDIFFUSION] Aujourd'hui, nous allons vous parler de trois sœurs qui ont bouleversé notre relation avec l'au-delà… Alors qu'elles n'étaient que petites filles, leurs dons ont vite fait leurs preuves. Partout aux Etats-Unis et jusqu'en Europe, les notables et les petites gens étaient prêts à payer pour communiquer avec les morts grâce aux talents des deux jeunes sœurs. Elles sont ainsi devenues les premières médiums du monde et ont fondé une nouvelle religion. Leur nom : les sœurs Fox. Tapez un coup pour oui et découvrez leur fabuleux destins. Une maison pas comme les autres... L'histoire des sœurs Fox commence par un banal déménagement. Margaret, ou Maggie, 12 ans, Catherine, appelée Kate, 10 ans, Leah, leur grande sœur, et leurs parents viennent s'installer à Hydesville, à 50km de la grande ville de Rochester où ils habitaient auparavant. Leur père David, un pasteur, se réjouit de pouvoir offrir à sa famille une charmante maison avec un grand jardin. Mais ses filles sont beaucoup moins enchantées : quitter la ville pour la campagne, c'est l'ennui assuré… Ecriture : Karen Etourneau Réalisation : Celia Brondreau Voix : Andréa Brusque Une production Bababam Orignials Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:25:07 - Julie Fuchs, soprano (5/5) - par : Nicolas Lafitte - À 40 ans, la soprano Julie Fuchs se livre au fil de cinq épisodes au micro de Nicolas Lafitte. Elle raconte son parcours, de son enfance à Avignon à ses projets récents, évoquant ses émotions, ses succès, ses doutes et les rencontres qui ont marqué sa carrière internationale. - réalisé par : Béatrice Trichet Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:12:24 - L'Invité d'On n'arrête pas l'éco - Partout dans le monde, les budgets de l'aide publique au développement s'effondrent. Malgré la tempête, l'Agence Française de Développement continue d'investir dans l'eau, la santé, les transports et l'éducation. Peut-on encore croire à la solidarité internationale ? Rémy Rioux est notre invité. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:07 - France Inter sur le terrain - Au Royaume-Uni, le mouvement " Raise the colors" ("Hissez les drapeaux") continue de se répandre. Partout, l'Union Jack et la croix de Saint-Georges flottent sur les lampadaires et les ponts d'autoroutes ou sont dessinés sur les rond-points. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:15:12 - Les Midis de Culture - par : Marie Sorbier - Dans "Tambora", Hélène Laurain poursuit son exploration des forces vitales et des fragilités du monde contemporain. Après "Partout le feu", elle entrelace maternité, écologie et écriture dans un texte où l'intime se mêle au cosmique. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Virginie Bloch-Lainé Productrice à France Culture, critique littéraire, romancière. ; Pierre Benetti critique littéraire
En 2025, des mouvements de contestation menés par la jeunesse émergent aux quatre coins du globe : Indonésie, Maroc, Madagascar, Pérou, et même en France. Partout, un même symbole s'impose : le drapeau de Luffy, héros du manga culte One Piece. Née en Asie du Sud-Est, cette vague est portée par la “Gen Z”, génération née entre la fin des années 1990 et le début des années 2010. Au travers de leurs manifestations, motivées entre autres par le rejet de la corruption, l'exigence de justice sociale, ou encore la dénonciation de l'élitisme, le drapeau de Luffy devient pour eux un emblème de liberté et de rébellion. Comment ce drapeau est-il devenu un symbole mondial ? Pourquoi One Piece ? Que revendique réellement la Gen Z ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant, vous savez". Un podcast Bababam Originals écrit et réalisé par Magalie Bertet. À écouter ensuite : Qu'est-ce que la Génération Z ? Quelle incroyable histoire se cache derrière la création de One Piece ? #Bloquonstout : quels sont les grands mouvements qui ont totalement bloqué la France ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Pendant des siècles, un mal de dents n'était pas seulement une douleur : c'était, croyait-on, l'œuvre d'un petit intrus terrifiant… le « ver de dent ».Cette croyance est l'une des plus anciennes de l'histoire de la médecine. On en trouve la trace chez les Sumériens il y a plus de 5 000 ans, mais aussi chez les Mayas, dans les textes hindous, et même en Europe, où elle s'est maintenue jusqu'au XVIIIᵉ siècle. Partout, l'idée était la même : si une dent fait mal, c'est parce qu'un ver minuscule s'y est installé et la ronge de l'intérieur.Les symptômes semblaient confirmer cette théorie. Une rage de dents donne l'impression que quelque chose creuse et gratte à l'intérieur. Et comme on ne pouvait pas voir ce qui se passait réellement, l'explication du ver était la plus logique. Certaines descriptions anciennes affirment même que l'on pouvait apercevoir le ver en retirant un morceau de dent cariée… en réalité, il s'agissait souvent de nerfs ou de débris de tissus, mal interprétés.Cette idée du « ver de dent » a influencé les pratiques médicales pendant des siècles. Dans de nombreuses cultures, les guérisseurs tentaient de chasser le parasite à l'aide de rituels, de plantes, ou même de fumigations censées faire sortir le ver de sa cachette. En Europe médiévale, on pouvait appliquer sur la dent malade des mélanges de miel, de cendres ou d'herbes, dans l'espoir d'« étouffer » le coupable.Il faut attendre l'essor de la médecine moderne et surtout l'invention du microscope, au XVIIᵉ siècle, pour que la théorie soit sérieusement remise en question. On découvre alors que les véritables responsables ne sont pas des vers, mais des bactéries, qui dégradent l'émail et provoquent des caries. Au XVIIIᵉ siècle, la science finit par balayer la vieille croyance, même si elle reste encore vivace dans certaines régions du monde.Aujourd'hui, l'histoire du « ver de dent » peut nous sembler naïve. Mais elle illustre bien une constante : quand la science ne peut pas encore expliquer un phénomène, l'imagination prend le relais. Et dans le cas du mal de dents, il fallait bien trouver une raison à cette douleur insupportable.En résumé, si nos ancêtres ont cru si longtemps aux vers de dents, c'est parce que la douleur était réelle, mais les moyens d'observation manquaient. Une croyance universelle, qui rappelle à quel point la médecine a parcouru un long chemin pour comprendre et traiter la douleur dentaire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Alors que la chute du gouvernement Bayrou faisait tomber la note de crédit de la France, l'Italie voyait la sienne relevée. Une preuve de plus que désormais, il faut compter avec notre voisin transalpin... Partout, on salue les résultats de Giorgia Meloni, la cheffe du gouvernement italien depuis trois ans. Un environnement politique stable, une économie qui rassure les investisseurs, et même une influence grandissante au sein de l'Europe : la cheffe de file du parti d'extrême droite Fratteli d'Italia semble avoir réussi à faire taire les critiques qui fusaient avant son arrivée. Mais la France doit-elle vraiment s'inspirer de l'Italie ? Dans cette série, on regarde de plus près le bilan de Giorgia Meloni. Pour ce dernier épisode, le correspondant de L'Express en Italie, Olivier Tosseri, nous raconte ce qu'il se passe depuis trois ans en matière de politique intérieure. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Charlotte Baris Montage et réalisation : Jules Krot Crédits : Agenzia Vista, RTL, Facebook Giorgia Meloni Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Alors que la chute du gouvernement Bayrou faisait tomber la note de crédit de la France, l'Italie voyait la sienne relevée. Une preuve de plus que désormais, il faut compter avec notre voisin transalpin... Partout, on salue les résultats de Giorgia Meloni, la cheffe du gouvernement italien depuis trois ans. Un environnement politique stable, une économie qui rassure les investisseurs, et même une influence grandissante au sein de l'Europe : la cheffe de file du parti d'extrême droite Fratteli d'Italia semble avoir réussi à faire taire les critiques qui fusaient avant son arrivée. Mais la France doit-elle vraiment s'inspirer de l'Italie ? Dans cette série, on regarde de plus près le bilan de Giorgia Meloni. Pour ce troisième épisode, on s'intéresse à la politique internationale de la présidente du conseil italien, avec Luc de Barochez, éditorialiste, spécialiste des questions européennes.Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Charlotte Baris Montage et réalisation : Jules Krot Crédits : Euronews, Le Monde, Palazzo Chigi, CBS News Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Alors que la chute du gouvernement Bayrou faisait tomber la note de crédit de la France, l'Italie voyait la sienne relevée. Une preuve de plus que désormais, il faut compter avec notre voisin transalpin... Partout, on salue les résultats de Giorgia Meloni, la cheffe du gouvernement italien depuis trois ans. Un environnement politique stable, une économie qui rassure les investisseurs, et même une influence grandissante au sein de l'Europe : la cheffe de file du parti d'extrême droite Fratteli d'Italia semble avoir réussi à faire taire les critiques qui fusaient avant son arrivée. Mais la France doit-elle vraiment s'inspirer de l'Italie ? Dans cette série, on regarde de plus près le bilan de Giorgia Meloni. Alors qu'elle avait fait de l'immigration son cheval de bataille durant la campagne de 2022, on s'intéresse aux résultats de sa politique migratoire, avec Charlotte Lalanne, journaliste au service Monde de L'Express. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Charlotte Baris Montage et réalisation : Jules Krot Crédits : TV5 Monde, Le Monde, RMC, Il Sole 24 Ore, France Info, Palazzo Chigi, Marion Maréchal Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Alors que la chute du gouvernement Bayrou faisait tomber la note de crédit de la France, l'Italie voyait la sienne relevée. Une preuve de plus que désormais, il faut compter avec notre voisin transalpin... Partout, on salue les résultats de Giorgia Meloni, la cheffe du gouvernement italien depuis trois ans. Un environnement politique stable, une économie qui rassure les investisseurs, et même une influence grandissante au sein de l'Europe : la cheffe de file du parti d'extrême droite Fratteli d'Italia semble avoir réussi à faire taire les critiques qui fusaient avant son arrivée. Mais la France doit-elle vraiment s'inspirer de l'Italie ? Dans cette série, on regarde de plus près le bilan de Giorgia Meloni. Pour ce premier épisode, Muriel Breiman et Thibault Marotte, journalistes au service Economie de L'Express, nous emmènent dans les comptes italiens. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Charlotte Baris Montage et réalisation : Jules Krot Crédits : Palazzo Chigi, France TV, Le Parisien Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.