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durée : 00:12:24 - L'Invité d'On n'arrête pas l'éco - Partout dans le monde, les budgets de l'aide publique au développement s'effondrent. Malgré la tempête, l'Agence Française de Développement continue d'investir dans l'eau, la santé, les transports et l'éducation. Peut-on encore croire à la solidarité internationale ? Rémy Rioux est notre invité. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:07 - France Inter sur le terrain - Au Royaume-Uni, le mouvement " Raise the colors" ("Hissez les drapeaux") continue de se répandre. Partout, l'Union Jack et la croix de Saint-Georges flottent sur les lampadaires et les ponts d'autoroutes ou sont dessinés sur les rond-points. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Bouquets de chrysanthèmes, tombes fleuries, allées nettoyées : à la Toussaint, les cimetières s'animent. Partout, les familles rendent hommage à leurs proches, tandis que les communes en font des lieux de mémoire vivants, entre nature, histoire et écologie. Et si, cette Toussaint, on redécouvrait ce que nos cimetières ont à nous dire ? Avec : - Bertrand Beyern, écrivain, spécialiste des cimetières, auteur du Guide des tombes d'hommes célèbres, éditions Le Cherche-Midi- Marie-Claire Rivoire, présidente de l'association Saint-Roch ! Vous avez dit cimetière ?Retrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participez à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus d'économie et société ci-dessous :Silence, on crie : https://audmns.com/jqOozgUOù va la vie ? La bioéthique en podcast : https://audmns.com/UuYCdISContre courant : https://audmns.com/swImDAMAu bonheur des herbes : https://audmns.com/XPVizmQSacré patrimoine : https://audmns.com/TNJhOETEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:12 - Les Midis de Culture - par : Marie Sorbier - Dans "Tambora", Hélène Laurain poursuit son exploration des forces vitales et des fragilités du monde contemporain. Après "Partout le feu", elle entrelace maternité, écologie et écriture dans un texte où l'intime se mêle au cosmique. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Virginie Bloch-Lainé Productrice à France Culture, critique littéraire, romancière. ; Pierre Benetti critique littéraire
Nous sommes en octobre.Partout en France, le rose s'affiche sur les façades, les affiches, les vêtements.Il symbolise la lutte, la solidarité, l'espoir.Ce soir, à la mairie du 3ᵉ arrondissement de Paris, ce message prend une autre forme : il se danse.Dans les coulisses, quatre femmes se préparent.Les rires se mêlent aux gestes du trac.On ajuste une robe, on vérifie une mèche, on respire.Sur scène, elles danseront avec leur professeure Aurélie Lili Boo, au sein de l'association Elles dansent, fondée par Aude Michon.Une association qui accompagne, à travers la danse, des femmes touchées par le cancer.Ici, pas de miroir pour juger.Pas de quête de perfection.Seulement des corps qui se réapprivoisent, des visages qui se relèvent,des gestes qui reprennent confiance.J'ai posé mon micro dans les coulisses, au plus près de leurs voix, de leurs rires, de leurs silences aussi.Ensemble, nous avons partagé ce moment suspendu où la vie, pour un instant, reprend le dessus.Muriel, Sylvia, Régine et Emmanuelle racontent leur rapport au corps, à la féminité, à la maladie, mais surtout à la joie d'être ensemble.Dans chaque mouvement, il y a une victoire intime.Ce reportage est une traversée — de la fatigue à la lumière, de la peur à la fierté, du corps contraint au corps dansant.Une parenthèse pour célébrer la force tranquille de celles qui continuent d'avancer.—
Il y a des fleurs partout ! Podcast économie et marchés Athymis Gestion en date du 27 octobre 2025 Ce podcast est fourni à titre d'information uniquement et ne constitue pas la base d'un contrat ou d'un engagement de quelque nature que ce soit. ATHYMIS GESTION n'accepte aucune responsabilité, directe ou indirecte, qui pourrait résulter de l'utilisation de toutes informations contenues dans ce podcast. Les informations, avis et évaluations qu'il contient reflètent un jugement au moment de sa publication et sont susceptibles d'être modifiés sans notification préalable. Ce podcast ne saurait être interprété comme étant un conseil juridique, réglementaire, fiscal, financier ou encore comptable. Avant d'investir, le souscripteur doit comprendre les risques et mérites financiers des services ou produits financiers considérés et consulter ses propres conseillers. Avant d'investir, il est recommandé de lire attentivement la documentation contractuelle et, en particulier, les prospectus qui décrivent en détail les droits et obligations des investisseurs ainsi que les risques liés à l'investissement dans de tels produits financiers. Nos fonds sont exposés aux risques suivants : Risque actions, Risque de marché, Risque lié à la gestion discrétionnaire, Risque de change, Risque de taux, Risque de crédit, Risque de perte en capital. Les performances et réalisations du passé ne constituent en rien une garantie pour des performances actuelles ou à venir. Image d'illustration créée par IA. ATHYMIS GESTION est une Société Anonyme, au capital de 528 867 Euros ayant son siège 10 rue Notre Dame de Lorette 75009 Paris, immatriculée sous le numéro 502 521 685 RCS Paris, agréée en tant que société de gestion de portefeuille par l'A.M.F. (Autorité des Marchés Financiers)
Inspirés par des thématiques mensuelles, les membres du Machin Club s'expriment sur les différentes projets et réalisations de l'organisation en racontant les aventures de partout où ils vont à tous les dimanches 19h. Le Machin Club est un organisme à but non lucratif dont le principal mandat est la production en arts médiatiques avec et pour les jeunes dans un contexte professionnel afin d'offrir des médias de qualité pour le jeune public. À travers ses productions, sous forme de reportages, de courts-métrages et de projets collectifs mobilisateurs dans l'univers des arts médiatiques, le Machin Club souhaite être porteur d'innovations sociales.
Tout juste tournée, déjà postée : c'est ainsi que va la vie de L'Hebdo d'ORIGAMI !Le panier de l'automne ne désemplit pas en cette nouvelle semaine. Mais peut-être est-il davantage garni de déceptions. C'est l'heure en effet pour Gautoz de découvrir l'ampleur du désastre dans Vampire : The Masquerade - Bloodlines 2, après - oh - une petite vingtaine d'années à attendre ?Du côté de Moguri, la rencontre avec Ninja Gaiden 4 ne s'est pas non plus déroulée de la meilleure des façons, ce nouveau volet ayant la mauvaise habitude d'en faire trop. Tout le temps. Partout. Trop.Heureusement, Héloïse est là pour illuminer le plateau grâce à la lumière de Keeper, nouveau projet de Double Fine Productions qui réussit son pari en dépit de ses orientations déstabilisantes.Vous ferez également le tour de l'actu avec La Semaine d'ORIGAMI, signée Sylvain et Hubert, avant que la rédaction ne reviennent sur les derniers échos venus d'Ubisoft et de Microsoft.Bon WE sur ORIGAMI !
En 2025, des mouvements de contestation menés par la jeunesse émergent aux quatre coins du globe : Indonésie, Maroc, Madagascar, Pérou, et même en France. Partout, un même symbole s'impose : le drapeau de Luffy, héros du manga culte One Piece. Née en Asie du Sud-Est, cette vague est portée par la “Gen Z”, génération née entre la fin des années 1990 et le début des années 2010. Au travers de leurs manifestations, motivées entre autres par le rejet de la corruption, l'exigence de justice sociale, ou encore la dénonciation de l'élitisme, le drapeau de Luffy devient pour eux un emblème de liberté et de rébellion. Comment ce drapeau est-il devenu un symbole mondial ? Pourquoi One Piece ? Que revendique réellement la Gen Z ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant, vous savez". Un podcast Bababam Originals écrit et réalisé par Magalie Bertet. À écouter ensuite : Qu'est-ce que la Génération Z ? Quelle incroyable histoire se cache derrière la création de One Piece ? #Bloquonstout : quels sont les grands mouvements qui ont totalement bloqué la France ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
“C'est incontestable que Bordeaux est en crise. Mais il n'y a pas que Bordeaux. C'est partout en France. Partout dans le monde. C'est important de comprendre que tous les pays sont touchés par la crise.” Il a bientôt 90 ans, et tous les amateurs de vin connaissent son visage. Propriétaire de quatre crus classés dans les plus prestigieux vignobles de Bordeaux, Bernard Magrez est aussi présent dans les vignobles du monde entier. Et il reste malgré tout optimiste pour la filière vin. Le "dernier pape" de Bordeaux livre ses vérités. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Radio Dijon Campus était sur l'Extra Festival au printemps 2025 pour rencontrer, et surtout écouter, UTO ! Le duo qui sonne comme tout droit sorti de l'espace. - UTO - Infiné Music listen : https://infine-music.com/uto - Emission L!VE CAMPUS La musique live, toutes les musiques lives ! L!VE CAMPUS est un programme commun qui place en son centre la découverte de nouveaux talents. Partout sur le territoire, dans les studios radios, dans les salles, festivals et cafés concerts, les radios Campus captent les instants où les artistes musicien.ne.s présentent sur scène, parfois pour la première fois, le fruit de leur travail. Des performances et des moments enregistrés parfois fragiles mais toujours uniques et sensibles. Enregistrés, produits et diffusés sur les ondes de près de 30 radios Campus en France, ce programme offre à des projets musicaux émergents un changement d'échelle, permettant à des projet locaux de se faire connaitre en dehors de leur territoire d'origine. Enfin en arrière scène, ce sont des équipes radios, personnes bénévoles ou en formation, qui, avec la complicité de nos partenaires, s'essayent et manipulent les enregistreurs, consoles sons, câbles, micros et logiciels pour rendre possible ces captations sonores qui vous seront ensuite retransmises. Des défis techniques formateurs pour celles et ceux qui souhaitent se confirmer aux métiers du son. L!VE Campus, les jeunes talents à découvrir et a ré-écouter en podcast c'est ici et en FM/DAB+ sur vos radios Campus préférées. Avec le soutien du Centre National de la Musique. crédits visuels : Alice Marmond | IG @aliicetakespics
Chaque jour aux côtés d'Estelle Denis, Charlotte Méritan, notre spécialiste RMC Conso, vous donne les bonnes astuces pour mieux consommer et faire des économies.
LE CH SANS DAN N'EST RIEN! On stoole les pires propriétaires imaginables, un gars invente l'outil ultime anti-téléphone et le virus chikungunya qui menace le Québec. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Inspirés par des thématiques mensuelles, les membres du Machin Club s'expriment sur les différentes projets et réalisations de l'organisation en racontant les aventures de partout où ils vont à tous les dimanches 19h. Le Machin Club est un organisme à but non lucratif dont le principal mandat est la production en arts médiatiques avec et pour les jeunes dans un contexte professionnel afin d'offrir des médias de qualité pour le jeune public. À travers ses productions, sous forme de reportages, de courts-métrages et de projets collectifs mobilisateurs dans l'univers des arts médiatiques, le Machin Club souhaite être porteur d'innovations sociales.
Pendant des siècles, un mal de dents n'était pas seulement une douleur : c'était, croyait-on, l'œuvre d'un petit intrus terrifiant… le « ver de dent ».Cette croyance est l'une des plus anciennes de l'histoire de la médecine. On en trouve la trace chez les Sumériens il y a plus de 5 000 ans, mais aussi chez les Mayas, dans les textes hindous, et même en Europe, où elle s'est maintenue jusqu'au XVIIIᵉ siècle. Partout, l'idée était la même : si une dent fait mal, c'est parce qu'un ver minuscule s'y est installé et la ronge de l'intérieur.Les symptômes semblaient confirmer cette théorie. Une rage de dents donne l'impression que quelque chose creuse et gratte à l'intérieur. Et comme on ne pouvait pas voir ce qui se passait réellement, l'explication du ver était la plus logique. Certaines descriptions anciennes affirment même que l'on pouvait apercevoir le ver en retirant un morceau de dent cariée… en réalité, il s'agissait souvent de nerfs ou de débris de tissus, mal interprétés.Cette idée du « ver de dent » a influencé les pratiques médicales pendant des siècles. Dans de nombreuses cultures, les guérisseurs tentaient de chasser le parasite à l'aide de rituels, de plantes, ou même de fumigations censées faire sortir le ver de sa cachette. En Europe médiévale, on pouvait appliquer sur la dent malade des mélanges de miel, de cendres ou d'herbes, dans l'espoir d'« étouffer » le coupable.Il faut attendre l'essor de la médecine moderne et surtout l'invention du microscope, au XVIIᵉ siècle, pour que la théorie soit sérieusement remise en question. On découvre alors que les véritables responsables ne sont pas des vers, mais des bactéries, qui dégradent l'émail et provoquent des caries. Au XVIIIᵉ siècle, la science finit par balayer la vieille croyance, même si elle reste encore vivace dans certaines régions du monde.Aujourd'hui, l'histoire du « ver de dent » peut nous sembler naïve. Mais elle illustre bien une constante : quand la science ne peut pas encore expliquer un phénomène, l'imagination prend le relais. Et dans le cas du mal de dents, il fallait bien trouver une raison à cette douleur insupportable.En résumé, si nos ancêtres ont cru si longtemps aux vers de dents, c'est parce que la douleur était réelle, mais les moyens d'observation manquaient. Une croyance universelle, qui rappelle à quel point la médecine a parcouru un long chemin pour comprendre et traiter la douleur dentaire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dialogue avec Mohamed Mbougar Sarr Entretien mené par Alexandra Schwartzbrod Années 2010. Wafa et Adel habitent Alger. Ces deux adolescents s'aiment d'un amour farouche et ardent. Chaque jour, ils tentent d'inventer leur vie, tiraillés entre désir d'émancipation et loyautés familiales. En eux remue confusément le même sentiment de révolte : ils étouffent sous le conformisme ambiant. Un jour, ils rencontrent Slim, en révolte lui aussi, « inadapté » comme eux, ancien prof de fac, quarantenaire misanthrope. Érudit, généreux, il devient leur pygmalion, les initie à la philosophie, au cinéma, à la littérature. C'est un homme blessé pourtant, lui-même égaré, qui s'est fixé une mission, celle de sauver ces « enfants ». Ces trois-là vont nouer une relation fusionnelle, presque mystique. Entre révolution intime et révolution politique, et si se traçait là leur chemin vers la rédemption ? À lire – Hajar Bali, Partout le même ciel, Belfond, 2025 – Mohamed Mbougar Sarr, La plus secrète mémoire des hommes, (Prix Goncourt 2021), éd. Philippe Rey, 2021.
En Asie du Sud, mais aussi au Maroc et à Madagascar, la Gen Z, la génération de ceux nés entre 1997 et 2012, exige un changement politique radical. Depuis 2022, cette jeunesse mène une série de révoltes à l'encontre d'élites politiques qu'elle considère comme vieillissantes et corrompues.En 2022, les jeunes Sri-Lankais ont ainsi réussi à chasser le clan Rajapaksa qui dirigeait le pays depuis plusieurs décennies. En 2024, c'est au tour des Bangladais de destituer leur dirigeant, au pouvoir depuis plus de quinze ans. Et en septembre 2025, ce sont les Népalais qui, en quatre jours seulement, mettent fin au gouvernement du septuagénaire Khadga Prasad Sharma.Partout les mêmes modes d'action, des réseaux sociaux à la rue, et les mêmes revendications. Au point d'enflammer la région, chaque pays s'inspirant de son voisin. Quels moyens la Gen Z met-elle en œuvre pour réussir là où ses aïeuls ont échoué ? Ce mouvement est-il amené à s'étendre au reste de la région, voire à d'autres parties du monde ? Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Sophie Landrin et Carole Dieterich, correspondantes régionales du Monde, basées à New Delhi, analysent ce mouvement qui embrase l'Asie du Sud.Un épisode de Garance Muñoz. Réalisation : Thomas Zeng. Présentation et rédaction en chef : Claire Leys. Dans cet épisode : extrait d'une interview d'Amrita Ban, manifestante népalaise, par l'AFP, le 8 septembre 2025 ; d'une vidéo postée sur X par @MoulanaAmjad, le 9 juillet 2022 ; du titre Upuan de Gloc-9 ; d'une prise de parole de la première ministre népalaise, le 12 septembre 2025. Cet épisode a été publié le 13 octobre 2025. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Inspirés par des thématiques mensuelles, les membres du Machin Club s'expriment sur les différentes projets et réalisations de l'organisation en racontant les aventures de partout où ils vont à tous les dimanches 19h. Le Machin Club est un organisme à but non lucratif dont le principal mandat est la production en arts médiatiques avec et pour les jeunes dans un contexte professionnel afin d'offrir des médias de qualité pour le jeune public. À travers ses productions, sous forme de reportages, de courts-métrages et de projets collectifs mobilisateurs dans l'univers des arts médiatiques, le Machin Club souhaite être porteur d'innovations sociales.
Le pari était osé : ouvrir à Montréal, sur le plateau Mont Royal, un restaurant africain ne proposant pas les habituelles grillades ou plantains frites, mais une cuisine nouvelle avec des produits africains locaux : à la carte du Virunga : des patates douces, du manioc, de la chèvre locale, préparés autrement : en cromesquis ou en gratin. De quoi surprendre une diaspora assez «nouvelle» en 2016, et plus habituée à retrouver sa cuisine, ses mijotés chez elle. C'était sans compter le talent créatif et la chaleur de Maria-José de Frias et de Zoya sa fille. Entre leurs recherches de produits africains -chèvres, moutons, manioc, plantains, pondu, - produits localement : au Québec, la philosophie héritée des anciens, leur héritage congolais, leur attachement à Montréal, les saveurs et l'originalité : la cuisine du Virunga l'a emportée. L'histoire ne dit pas, si c'est le Msukumo wa Kisiwa (la macreuse de boeuf laqué au curry et curcuma, purée de butternut, cromesquis de plantain) ou bien la chaudrée de darne de Malangwa (madeleine congolaise de Maria) qui auront séduit les inspecteurs, toujours est-il que près de 10 ans après avoir tenté l'aventure, le guide Michelin a confirmé la réussite de leur pari en glissant le restaurant dans la sélection de son tout premier guide au Québec, la découverte se poursuit. « Partout où je vais, je pars avec quelque chose de nouveau : j'ai pris des cours de cuisine, le reste ce sont les souvenirs du Congo, et du partage. » Avec Maria-José de Frias et sa fille Zoya de Frias Lakhanys, co-fondatrice du restaurant Le Virunga. Le Virunga, 851 rue Rachel Est, Montréal, Québec, Canada. Sur instagram. « Ce que l'on propose, oui c'est de la cuisine africaine, mais ce n'est pas de la cuisine africaine traditionnelle : nous nous sommes inspirées des mets traditionnels qui nous représentent, les mijotés, les mets en sauce, des plusieurs pays africains - une inspiration tanzanienne avec un accompagnement ivoirien par exemple - on ajoute une certaine créativité, une nouveauté qui comme dans les débuts de la cuisine française ou dans la gastronomie italiennes peuvent susciter quelques réticences et interrogations : pourquoi changes-tu la recette ? Cette bonne recette qui fonctionne bien ? Mais nous avions envie d'offrir aux clients une nouvelle approche des cuisines d'Afrique subsaharienne, des découvertes issues de la diaspora : la banane plantain que tu connais frites, et si tu en faisais des gaufres ? Et si tu en faisais une soupe ou une purée ? C'était un challenge en fait ! » Zoya De Frias Lakhany, co-fondatrice et directrice de salle du Virunga. Une émission réalisée avec Tourisme Montréal et la collection des guides de voyage EAT, dirigée par Annabelle Schachmes, publiée aux éditions Hachette Travel. Le Virunga a été nommé en hommage au parc national congolais, à la frontière du Rwanda et de l'Ouganda, dans l'est de la RDC, premier parc national d'Afrique créé il y a 100 ans, pour protéger la faune et la flore, dont la plus grande population de gorilles de montagnes du monde. La série du photographe Brent Stirton a reçu le Prix visa d'or Magazine en septembre 2025 à Perpignan. Quelques adresses L'équipe du Virunga s'approvisionne auprès de : - Les trouvailles gourmandes - Beau bon bœuf - La ferme Joséphine - De l'amarante et des gombos. Programmation musicale : Magica, d'El Michels Affair et Rogè. Et parsemés au fil de l'émission : Moon over Silver Lake d'Eric Lohrer, Bossa Nova Blues, Cool Cat de Queen, Jardim Prometido de Cesaria Evora.
Le pari était osé : ouvrir à Montréal, sur le plateau Mont Royal, un restaurant africain ne proposant pas les habituelles grillades ou plantains frites, mais une cuisine nouvelle avec des produits africains locaux : à la carte du Virunga : des patates douces, du manioc, de la chèvre locale, préparés autrement : en cromesquis ou en gratin. De quoi surprendre une diaspora assez «nouvelle» en 2016, et plus habituée à retrouver sa cuisine, ses mijotés chez elle. C'était sans compter le talent créatif et la chaleur de Maria-José de Frias et de Zoya sa fille. Entre leurs recherches de produits africains -chèvres, moutons, manioc, plantains, pondu, - produits localement : au Québec, la philosophie héritée des anciens, leur héritage congolais, leur attachement à Montréal, les saveurs et l'originalité : la cuisine du Virunga l'a emportée. L'histoire ne dit pas, si c'est le Msukumo wa Kisiwa (la macreuse de boeuf laqué au curry et curcuma, purée de butternut, cromesquis de plantain) ou bien la chaudrée de darne de Malangwa (madeleine congolaise de Maria) qui auront séduit les inspecteurs, toujours est-il que près de 10 ans après avoir tenté l'aventure, le guide Michelin a confirmé la réussite de leur pari en glissant le restaurant dans la sélection de son tout premier guide au Québec, la découverte se poursuit. « Partout où je vais, je pars avec quelque chose de nouveau : j'ai pris des cours de cuisine, le reste ce sont les souvenirs du Congo, et du partage. » Avec Maria-José de Frias et sa fille Zoya de Frias Lakhanys, co-fondatrice du restaurant Le Virunga. Le Virunga, 851 rue Rachel Est, Montréal, Québec, Canada. Sur instagram. « Ce que l'on propose, oui c'est de la cuisine africaine, mais ce n'est pas de la cuisine africaine traditionnelle : nous nous sommes inspirées des mets traditionnels qui nous représentent, les mijotés, les mets en sauce, des plusieurs pays africains - une inspiration tanzanienne avec un accompagnement ivoirien par exemple - on ajoute une certaine créativité, une nouveauté qui comme dans les débuts de la cuisine française ou dans la gastronomie italiennes peuvent susciter quelques réticences et interrogations : pourquoi changes-tu la recette ? Cette bonne recette qui fonctionne bien ? Mais nous avions envie d'offrir aux clients une nouvelle approche des cuisines d'Afrique subsaharienne, des découvertes issues de la diaspora : la banane plantain que tu connais frites, et si tu en faisais des gaufres ? Et si tu en faisais une soupe ou une purée ? C'était un challenge en fait ! » Zoya De Frias Lakhany, co-fondatrice et directrice de salle du Virunga. Une émission réalisée avec Tourisme Montréal et la collection des guides de voyage EAT, dirigée par Annabelle Schachmes, publiée aux éditions Hachette Travel. Le Virunga a été nommé en hommage au parc national congolais, à la frontière du Rwanda et de l'Ouganda, dans l'est de la RDC, premier parc national d'Afrique créé il y a 100 ans, pour protéger la faune et la flore, dont la plus grande population de gorilles de montagnes du monde. La série du photographe Brent Stirton a reçu le Prix visa d'or Magazine en septembre 2025 à Perpignan. Quelques adresses L'équipe du Virunga s'approvisionne auprès de : - Les trouvailles gourmandes - Beau bon bœuf - La ferme Joséphine - De l'amarante et des gombos. Programmation musicale : Magica, d'El Michels Affair et Rogè. Et parsemés au fil de l'émission : Moon over Silver Lake d'Eric Lohrer, Bossa Nova Blues, Cool Cat de Queen, Jardim Prometido de Cesaria Evora.
COTONETE | live @ Studio de l'Ermitage, Paris | L!VE Campus Après une série de concerts à guichets fermés en France et au Royaume-Uni, notamment le fameux Sunday at Dingwalls à Camden organisé par Gilles Peterson et Patrick Forge, Cotonete est de retour à Paris pour présenter son nouvel album, Victoire de la Musique. Nous vous proposons une captation de leur live au Studio de l'Ermitage à Paris, enregistré le 7 juin 2025. production : Radio Campus Paris, Studio de l'Ermitage, Jean Foucaud-Jarno, Stéphane Montigny, Coordination : Philipp Fisher, Emile Palmantier pour Radio Campus France ---- Emission L!VE CAMPUS La musique live, toutes les musiques lives ! L!VE CAMPUS est un programme commun qui place en son centre la découverte de nouveaux talents. Partout sur le territoire, dans les studios radios, dans les salles, festivals et cafés concerts, les radios Campus captent les instants où les artistes musicien.ne.s présentent sur scène, parfois pour la première fois, le fruit de leur travail. Des performances et des moments enregistrés parfois fragiles mais toujours uniques et sensibles. Enregistrés, produits et diffusés sur les ondes de près de 30 radios Campus en France, ce programme offre à des projets musicaux émergents un changement d'échelle, permettant à des projet locaux de se faire connaitre en dehors de leur territoire d'origine. Enfin en arrière scène, ce sont des équipes radios, personnes bénévoles ou en formation, qui, avec la complicité de nos partenaires, s'essayent et manipulent les enregistreurs, consoles sons, câbles, micros et logiciels pour rendre possible ces captations sonores qui vous seront ensuite retransmises. Des défis techniques formateurs pour celles et ceux qui souhaitent se confirmer aux métiers du son. L!VE Campus, les jeunes talents à découvrir et a ré-écouter en podcast c'est ici et en FM/DAB+ sur vos radios Campus préférées. Avec le soutien du Centre National de la Musique. crédits visuels : Alice Marmond | IG @aliicetakespicsHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que la chute du gouvernement Bayrou faisait tomber la note de crédit de la France, l'Italie voyait la sienne relevée. Une preuve de plus que désormais, il faut compter avec notre voisin transalpin... Partout, on salue les résultats de Giorgia Meloni, la cheffe du gouvernement italien depuis trois ans. Un environnement politique stable, une économie qui rassure les investisseurs, et même une influence grandissante au sein de l'Europe : la cheffe de file du parti d'extrême droite Fratteli d'Italia semble avoir réussi à faire taire les critiques qui fusaient avant son arrivée. Mais la France doit-elle vraiment s'inspirer de l'Italie ? Dans cette série, on regarde de plus près le bilan de Giorgia Meloni. Pour ce dernier épisode, le correspondant de L'Express en Italie, Olivier Tosseri, nous raconte ce qu'il se passe depuis trois ans en matière de politique intérieure. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Charlotte Baris Montage et réalisation : Jules Krot Crédits : Agenzia Vista, RTL, Facebook Giorgia Meloni Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Moins d'une heure avant que le cabinet de sécurité israélien ne se prononce, l'accord conclu entre Israël et le Hamas fait la Une des médias internationaux. Ce texte prévoit un cessez-le-feu, négocié après un échange d'otages : tous les captifs détenus par le Hamas seraient libérés en contrepartie de 2 000 prisonniers palestiniens. Aux États-Unis, il représente aussi un vrai succès pour Donald Trump. Sans surprise, c'est à la Une de la presse américaine. Pour le New York Times, c'est presque un éloge appuyé : «Trump est sur le point de réaliser le plus grand accomplissement diplomatique de son second mandat». Et pourtant, nombreux sont les spécialistes du dossier qui avaient critiqué les tergiversations du locataire de la Maison Blanche. Le quotidien américain interroge l'un d'eux, le responsable d'un think tank basé à Washington DC, qui, après coup, confirme l'exploit : «Aucun président, républicain ou démocrate, n'a jamais été aussi sévère envers un Premier ministre israélien sur des questions aussi cruciales pour sa politique ou la sécurité de son pays», précise-t-il. Même si, rappelle le journal, «Benyamin Netanyahu a outrepassé ses limites» et la guerre fait toujours rage à Gaza. Qu'à cela ne tienne, Donald Trump surfe sur ce moment. Partout dans la presse, il y a cette image : le secrétaire d'État américain Marco Rubio qui chuchote à l'oreille du président dans la salle à manger d'État de la Maison Blanche alors que le président organisait une table ronde avec des influenceurs conservateurs. Politico revient sur cette histoire : «Marco Rubio avait des nouvelles pour le président, mais il fallait que les journalistes soient partis». Rubio a ensuite remis une note au président et un photographe de l'AP couvrant l'événement a zoomé sur l'écriture manuscrite sur le papier à en-tête de la Maison Blanche qui disait : «Vous devez approuver rapidement une publication sur Truth Social afin de pouvoir annoncer l'accord en premier.» Quelques minutes après, Trump annonçait la nouvelle. Et cette séquence en déclenche une seconde. Le journaliste du New-York Times insiste : «le succès de cette entreprise était, pour Donald Trump, le test ultime de son objectif autoproclamé de devenir un négociateur et un artisan de la paix - et une voie vers le prix Nobel de la paix qu'il convoite si ouvertement». «Trump veut un prix Nobel. Il saura vendredi si sa campagne a porté ses fruits», titre également le Washington Post. Hasard du calendrier, le prix doit être annoncé vendredi et, explique le quotidien américain, «Donald Trump a accumulé de multiples récompenses dorées : des statues, des baskets, même un bipeur doré donné par Benyamin Netanyahu», mais il lui manque encore un médaillon étincelant de Prix Nobel. Si ce dernier martèle qu'il ne fait pas de politique pour obtenir des prix, poursuit le Washington Post, on apprend dans l'article que le président américain mène «une campagne peu habituelle entrant un conflit radical avec les traditions du prix», prouvant un comportement «remarquablement égocentrique», écrit le journaliste, citant une source proche de l'histoire du Prix Nobel. Donald Trump souhaite se présenter comme un faiseur de paix à l'échelle mondiale, mais son attitude reste clairement provocatrice aux États-Unis Le président américain a confirmé son intention d'envoyer les militaires de la Garde nationale à Chicago. Ces soldats sont d'ailleurs actuellement en position d'attente, à quelques dizaines de kilomètres de la ville. Donald Trump veut qu'ils protègent les agents de l'Immigration and Customs Enforcement (ICE), qui multiplient les raids contre les immigrés en situation irrégulière. Ces opérations, souvent choquantes, sont menées par des agents masqués circulant à bord de véhicules civils. Les quartiers où vivent de nombreux étrangers, notamment latino-américains, sont particulièrement affectés et plongés dans un climat de peur. Notre correspondant Vincent Souriau, s'y est rendu. «Les rues sont vides, les voitures garées bien comme il faut le long des trottoirs. Et les rares habitants qui acceptent de parler se tiennent le plus loin possible». Et selon un mécanicien, interrogé sur place, cette peur s'explique car «pour la majorité des Latinos à Chicago, personne n'a de papiers». Il le précise, «tous mes amis, ils vont au boulot, ils reviennent et ils s'enferment chez eux. Ils bossent sur des chantiers, dans des magasins, partout. Mais pourquoi ils ne s'en prennent pas aux voyous ? C'est eux qu'ils devraient arrêter. Au lieu de venir chercher les jardiniers ou les ouvriers du bâtiment... Ce sont des gens bien. C'est pas eux qu'il faudrait chasser». En Argentine, le Parlement argentin a une nouvelle fois défié le président Javier Milei En rognant un peu sur ses pouvoirs et en restreignant sa capacité à gouverner par décret. Dans un article de La Nacion qu'en raison de sa faible majorité, Javier Milei en raffole : 76 décrets depuis sa prise de fonction. «L'opposition a mis en échec le principal outil de gouvernance de Milei», résume le quotidien. Ces décrets de nécessité et d'urgence, c'est un sujet qui est beaucoup revenu ces derniers mois. Un éditorialiste de Pagina 12 avait d'ailleurs l'habitude, dans ses chroniques, de comparer les décrets du président argentin à des «coups d'État» parlant d'une «soumission brutale des pouvoirs du Congrès» et qualifiant cette gouvernance par décret de «cruelle et illégitime». Mais tempère Clarin, le journal argentin le plus connu, il y a encore une incertitude sur la portée effective des changements car il faudra aussi l'approbation du Sénat pour que la mesure entre en vigueur. Au Mexique, l'écriture inclusive interdite dans les écoles de l'État de Chihuahua C'est un débat qui revient souvent, mais qui s'est intensifié après une annonce du PAN - le parti des Démocrates Chrétiens, que ses adversaires placent plutôt à l'extrême droite - qui a décidé d'interdire son utilisation dans les écoles de l'État de Chihuaha. Dans la presse mexicaine, ça fait débat. «Le PAN applique une stratégie «Bukele» à Chihuahua», titre El Financiero qui compare cette décision à une approche autoritaire, en référence au président salvadorien Nayib Bukele. Il faut dire que le député conservateur défenseur de la réforme, rapporte el Periodico Correo, a justifié la décision en évoquant des «confusions woke» et en insistant sur l'importance d'enseigner l'espagnol «correctement». «C'est une forme de censure linguistique», critique le média indépendant Regeneracion qui avance dans le même temps qu'il s'agit d'un recul sur les droits des groupes minorisés, et un usage du langage comme instrument idéologique. En Haïti, la résurgence du choléra «C'est l'alerte de trop», précise Frantz Duval, le rédacteur en chef du Nouvelliste. «N'est-ce pas la preuve que nous marchons à reculons quand on se rappelle que le pays avait vaincu l'épidémie du choléra, il y a quelques années ?», interroge-t-il. Car l'élimination du choléra, ayant causé quelque 10 000 morts à travers le pays entre 2010 et 2016, était saluée comme une victoire du système de santé et ses partenaires locaux et internationaux. Son retour est une preuve de plus de la dégradation des conditions de vie dans le pays. «Les camps de déplacés pullulent. Les conditions d'hygiène dans ces camps constituent un terrain fertile pour la propagation du choléra. Ce n'est pas tout. Le système de santé est à genoux.» Un cri d'alarme de Médecins sans frontières pour le système de santé est d'ailleurs repris dans le journal du jour. Et il n'y pas que le système de santé qui paie un lourd tribut à la crise. «L'insalubrité de nos rues saute aux yeux. Sans parler des villes de province, l'État n'arrive pas à assainir les quartiers qui sont toujours sous son autorité dans la zone métropolitaine de Port-au-Prince. Faut-il s'étonner si le choléra revient ?».
Alors que la chute du gouvernement Bayrou faisait tomber la note de crédit de la France, l'Italie voyait la sienne relevée. Une preuve de plus que désormais, il faut compter avec notre voisin transalpin... Partout, on salue les résultats de Giorgia Meloni, la cheffe du gouvernement italien depuis trois ans. Un environnement politique stable, une économie qui rassure les investisseurs, et même une influence grandissante au sein de l'Europe : la cheffe de file du parti d'extrême droite Fratteli d'Italia semble avoir réussi à faire taire les critiques qui fusaient avant son arrivée. Mais la France doit-elle vraiment s'inspirer de l'Italie ? Dans cette série, on regarde de plus près le bilan de Giorgia Meloni. Pour ce troisième épisode, on s'intéresse à la politique internationale de la présidente du conseil italien, avec Luc de Barochez, éditorialiste, spécialiste des questions européennes.Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Charlotte Baris Montage et réalisation : Jules Krot Crédits : Euronews, Le Monde, Palazzo Chigi, CBS News Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Alors que la chute du gouvernement Bayrou faisait tomber la note de crédit de la France, l'Italie voyait la sienne relevée. Une preuve de plus que désormais, il faut compter avec notre voisin transalpin... Partout, on salue les résultats de Giorgia Meloni, la cheffe du gouvernement italien depuis trois ans. Un environnement politique stable, une économie qui rassure les investisseurs, et même une influence grandissante au sein de l'Europe : la cheffe de file du parti d'extrême droite Fratteli d'Italia semble avoir réussi à faire taire les critiques qui fusaient avant son arrivée. Mais la France doit-elle vraiment s'inspirer de l'Italie ? Dans cette série, on regarde de plus près le bilan de Giorgia Meloni. Alors qu'elle avait fait de l'immigration son cheval de bataille durant la campagne de 2022, on s'intéresse aux résultats de sa politique migratoire, avec Charlotte Lalanne, journaliste au service Monde de L'Express. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Charlotte Baris Montage et réalisation : Jules Krot Crédits : TV5 Monde, Le Monde, RMC, Il Sole 24 Ore, France Info, Palazzo Chigi, Marion Maréchal Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Alors que la chute du gouvernement Bayrou faisait tomber la note de crédit de la France, l'Italie voyait la sienne relevée. Une preuve de plus que désormais, il faut compter avec notre voisin transalpin... Partout, on salue les résultats de Giorgia Meloni, la cheffe du gouvernement italien depuis trois ans. Un environnement politique stable, une économie qui rassure les investisseurs, et même une influence grandissante au sein de l'Europe : la cheffe de file du parti d'extrême droite Fratteli d'Italia semble avoir réussi à faire taire les critiques qui fusaient avant son arrivée. Mais la France doit-elle vraiment s'inspirer de l'Italie ? Dans cette série, on regarde de plus près le bilan de Giorgia Meloni. Pour ce premier épisode, Muriel Breiman et Thibault Marotte, journalistes au service Economie de L'Express, nous emmènent dans les comptes italiens. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Charlotte Baris Montage et réalisation : Jules Krot Crédits : Palazzo Chigi, France TV, Le Parisien Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour débuter l'émission de ce jeudi 2 octobre 2025, les GG : Élina Dumont, intervenante sociale, Charles Consigny, avocat, et Bruno Poncet, cheminot, débattent du sujet du jour : "Des boutiques Shein partout en France: on adore ou pas ?".
« Je te suivrai partout où tu iras » (Lc 9, 57-62)Méditation par Soeur Catherine de CosterChant Final : "Puisque tu m'aimes" de PraiseRetrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participez à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus de vie spirituelle ci-dessous :Halte spirituelle : https://audmns.com/pMJdJHhB. A. -BA du christianisme : https://audmns.com/oiwPyKoLe Saint du Jour : https://audmns.com/yFRfglMEnfin une Bonne Nouvelle : https://audmns.com/afqCkPVConnaître le judaïsme : https://audmns.com/VTjtdyaEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui le pétrole est partout : avions, voitures, vêtements, cosmétiques et plastiques. La liste est longue mais elle commence surtout après la Deuxième guerre mondiale avec de nombreux aléas comme le choc des années septante. On poursuit cette saga du étrole avec Nicolas Chachereau, historien, spécialiste d'histoire de l'environnement et des technologies à l'université de Bale et à l'EPFL.
durée : 00:59:38 - LSD, la série documentaire - par : Tao Favre - Sobriété et électrification sont les mots d'ordre de la transition. Mais, c'est sans compter cette nouvelle infrastructure énergivore qui est en train de se déployer à travers le monde : celle du numérique, de l'IA et des data centers. - réalisation : Gaël Gillon
durée : 00:02:28 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - J'éprouve parfois une profonde lassitude face au campisme qui s'installe partout. Le campisme, c'est cette idée selon laquelle il n'existe que deux camps, deux camps qui s'affrontent et ne pourront jamais se réconcilier. - réalisation : Félicie Faugère
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
durée : 00:03:13 - Le Regard culturel - par : Lucile Commeaux - En cette rentrée au théâtre deux spectacles permettent de découvrir ou redécouvrir, avec des options très différentes, l'œuvre du dramaturge norvégien prix Nobel de Littérature en 2023.
Les antibiotiques sont des médicaments utilisés pour traiter et prévenir les infections bactériennes. On parle d'antibiorésistance lorsque les bactéries deviennent insensibles à ces médicaments. Un nombre croissant d'infections, telles que la pneumonie ou la tuberculose, deviennent ainsi de plus en plus difficiles à traiter. Selon l'OMS, la résistance aux antibiotiques constitue « l'une des plus graves menaces pensant sur la santé mondiale, la sécurité alimentaire et le développement ». La résistance aux antibiotiques présente-t-elle aujourd'hui les mêmes risques partout sur la planète ? De quelles infections l'antibiorésistance complique-t-elle le traitement en particulier ? Pascale Cossart, Microbiologiste, experte en biologie des infections bactériennes, professeure à l'Institut Pasteur, secrétaire perpétuelle honoraire de l'Académie des sciences et auteure de l'ouvrage Virus contre bactéries : une solution pour vaincre l'antibiorésistance aux éditions Odile Jacob Retrouvez l'émission en entier iciVaincre l'antibiorésistance
Quand on pense aux drapeaux nationaux, on imagine presque toujours un rectangle. Pourtant, la Suisse fait figure d'exception : son drapeau est carré. Ce détail, qui attire souvent la curiosité, a des racines historiques et symboliques profondes.L'origine du drapeau suisse remonte au Moyen Âge. Dès le XIVᵉ siècle, lors des batailles menées par la Confédération helvétique naissante, les soldats portaient une croix blanche cousue sur leurs vêtements ou bannières rouges. Cette croix n'était pas un emblème religieux, mais un signe distinctif permettant de se reconnaître au milieu des combats. Progressivement, cette croix blanche sur fond rouge est devenue l'un des symboles de l'unité helvétique.Le choix du format carré s'explique par l'usage militaire. Les enseignes de guerre médiévales suisses étaient carrées ou presque carrées, plus faciles à manier sur les champs de bataille et adaptées aux piques et hallebardes portées par les fantassins. Ce format s'est transmis à travers les siècles, au point de devenir une marque d'identité visuelle.Ce n'est toutefois qu'au XIXᵉ siècle, avec la création de l'État fédéral moderne en 1848, que le drapeau suisse a été officialisé dans sa forme actuelle : un carré rouge orné en son centre d'une croix blanche aux branches égales et élargies. Cette codification visait à distinguer la Suisse sur la scène internationale, notamment après le Congrès de Vienne (1815) où sa neutralité avait été reconnue.Aujourd'hui, la Suisse partage cette particularité avec un seul autre État : le Vatican, dont le drapeau est également carré. Partout ailleurs, les drapeaux nationaux sont rectangulaires, ce qui rend celui de la Suisse immédiatement reconnaissable. Fait amusant : lors des compétitions sportives ou dans certaines institutions internationales, on représente parfois le drapeau suisse en format rectangulaire pour des raisons pratiques. Mais la version officielle reste bien le carré.Le drapeau suisse a aussi inspiré d'autres symboles universels. Le plus célèbre est celui de la Croix-Rouge : créée à Genève en 1863, l'organisation a adopté comme emblème une croix rouge sur fond blanc, soit l'inverse exact du drapeau national. Ce choix illustre combien ce petit carré rouge frappé d'une croix blanche est associé, dans le monde entier, à des valeurs de neutralité, de protection et d'assistance.En résumé, le drapeau suisse est carré parce qu'il hérite de traditions militaires médiévales et parce qu'il a été officialisé ainsi au XIXᵉ siècle. Cette singularité géométrique en fait l'un des emblèmes les plus distinctifs au monde, à la fois simple, ancien et immédiatement identifiable. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Martin voit de l'Intelligence "Artificière" partout. Il appelle un magasin, et quand ce sont des vrais gens qui lui répondent, Martin, lui, n'est pas dupe. Il sait que, bientôt, les robots vont nous prendre toutes nos places. La preuve ? C''est arrivé à son beau-frère !
Notre invité ce matin est le triple sauteur burkinabè Hugues Fabrice Zango. Il a disputé hier à Tokyo aux Championnats du monde d'athlétisme le dernier concours de sa carrière. Il n'a pris que la septième place de la finale, loin du niveau qui l'avait porté au titre mondial il y a deux ans à Budapest lors des derniers Mondiaux. Mais l'essentiel est ailleurs, à 32 ans, Hugues Fabrice Zango qui est aussi docteur en ingéniérie électrique se retire des sautoirs l'esprit serein, déjà tourné vers l'avenir avec la volonté de faire profiter la jeunesse burkinabè de son expérience de champion Il répond aux questions de Frédéric Suteau.
Vous ne trouverez pas de page Wikipedia pour Hervé Le Quilliec. Il est plutôt du genre homme de l'ombre, spécialiste des opérations à terre, des logistiques impossibles quand un bateau démâte à l'autre bout du monde ou des villages de course montés dans les temps, loin à l'étranger. Avec trois décennies d'expérience dans ce monde jusqu'ici très anglo-saxon, il est l'un des meilleurs experts du sujet... et a beaucoup de bonnes histores à raconter.Né à Vannes, élevé en Guadeloupe puis formé à l'école hôtelière de Bordeaux, il découvre la régate à La Rochelle. Il trouve sa voie aux côtés de Lionel Péan à Saint-Malo, avant de passer près de dix ans comme navigant au sein d'une des plus belles équipes de course des années 1990 : le Corum Sailing Team.La trentaine venue, il rentre dans le rang et pose sac à terre : une famille, un master dans une école de commerce et un job au siège du Club Med à Paris. Mais il est rattrapé par le destin chez son employeur qui se lance dans The Race avec Grant Dalton, dont il va coordonner le projet victorieux.Il suit le skipper kiwi et vit sa première Volvo Ocean Race avec l'équipe Amer Sports. Cette course autour du monde deviendra son fil rouge, de Brasil 1 en 2005-2006 à Ericsson Racing Team en 2008-2009, puis avec Groupama Sailing Team sur la victoire de Franck Cammas en 2011-2012. Au total, il compte huit participations, toujours dans des fonctions d' "operations manager", un job stratégique sur ces évènements itinérants sur cinq continents.Hervé Le Quilliec goûte aussi à la Coupe de l'America toujours chez Groupama Team France aux Bermudes et Luna Rossa en Nouvelle-Zélande, mettant aussi son expertise au service de projets comme Energy Observer Art Explora, le catamaran-musée imaginé par Frédéric Jousset, qu'il accompagne dans ses escales méditerranéennes. Partout, le même savoir-faire : trouver les sites, organiser les flux, sécuriser les opérations.A 62 ans, il vient de boucler The Ocean Race Europe et prépare activement son neuvième tour du monde, avec The Ocean Race 2027. Une épreuve devenue, au fil de sa longue carrière, un "style de vie".Diffusé le 19 septembre 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:10:15 - Le Point culture - par : Marie Sorbier - La 42ᵉ édition des Journées européennes du patrimoine se déroule du 19 au 21 septembre 2025 avec plus de 28 000 évènements recensés sur le territoire. Focus sur la région Centre-Val de Loire avec deux idées de visite : le château de Chambord et l'Atelier Calder, dédié à l'œuvre du sculpteur. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Pierre Dubreuil Directeur général du Domaine national de Chambord; Corinne Bouvier Coordinatrice de l'Atelier Calder
La deuxième heure en intégralité de l'émission « Rothen s'enflamme », le rendez-vous qui vous plonge dans un vestiaire de foot. Tous les soirs, des anciens joueurs professionnels analysent et débattent autour de l'actualité du foot. Jérôme Rothen anime des
On commence avec cette journée de mobilisation syndicale partout aujourd'hui… des perturbations sont à prévoir dans les transports, dans l'éducation et même dans le milieu médical
Partout dans le monde, de nombreuses villes subissent des inondations importantes et certaines ont décidé de repenser leur urbanisme en conséquence.Traduction :Around the world many cities are experiencing significant flooding and some have decided to rethink urban planning as a result. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Partout dans le monde, de nombreuses villes subissent des inondations importantes et certaines ont décidé de repenser leur urbanisme en conséquence.Traduction :Around the world many cities are experiencing significant flooding and some have decided to rethink urban planning as a result. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Si vous regardez de près certaines représentations de la Révolution française, vous verrez souvent un bonnet rouge, tombant vers l'avant, porté par Marianne ou par les sans-culottes. Ce couvre-chef n'est pas un simple accessoire vestimentaire : c'est le célèbre bonnet phrygien, devenu un symbole universel de liberté. Mais d'où vient-il exactement ?L'histoire du bonnet phrygien commence bien avant 1789. Son nom provient de la Phrygie, une région d'Asie Mineure, dans l'actuelle Turquie. Dans l'Antiquité, les habitants de cette région portaient un bonnet de feutre à la pointe rabattue, reconnaissable sur de nombreuses fresques et sculptures. Très vite, ce couvre-chef a été associé, dans l'imaginaire gréco-romain, aux peuples orientaux. Les dieux et héros venus de l'Est, comme Attis, étaient souvent représentés coiffés de ce bonnet.Mais le vrai basculement symbolique se fait à Rome. Dans la République romaine, un bonnet de forme proche, appelé pileus, était remis aux esclaves affranchis. Recevoir ce bonnet signifiait accéder à la liberté. Le pileus, puis le bonnet phrygien par extension, s'ancrent donc très tôt dans l'idée d'émancipation.Ce souvenir antique ressurgit au XVIIIe siècle. Les penseurs des Lumières et les révolutionnaires français, très friands de références classiques, se réapproprient ce symbole. Lors de la Révolution française, le bonnet phrygien devient l'emblème de la liberté conquise contre la tyrannie. Les sans-culottes l'arborent fièrement, et Marianne, allégorie de la République, est presque toujours représentée coiffée de ce bonnet rouge.Pourquoi rouge ? La couleur est héritée de la Révolution : elle renvoie au sang versé, au courage, mais aussi à la fraternité entre citoyens. Ce bonnet rouge devient rapidement un signe de ralliement politique, au point d'être porté dans les cortèges, peint sur les murs et brandi sur les piques.Au XIXe siècle, le symbole s'universalise. On retrouve le bonnet phrygien sur les armoiries de nombreux pays d'Amérique latine nouvellement indépendants, de l'Argentine à Cuba. Partout, il représente la liberté, la rupture avec l'oppression et la naissance d'une nation.Aujourd'hui encore, il reste omniprésent : sur le sceau de la République française, dans les mairies, ou sur certaines pièces de monnaie. Le bonnet phrygien rappelle qu'un simple objet peut traverser les siècles et les civilisations pour incarner une idée intemporelle : celle de la liberté conquise. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Alors qu'il était à l'inauguration de l'échelle géante, œuvre de l'artiste italienne Paula Pivi, Jack Lang a eu la mauvaise surprise d'y trouver la ministre... Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Entre la fuite en avant et le principe de précaution, notre invitée, érudite, Catherine Van Offelen propose une voie médiane, subtile et audacieuse : celle de la phronesis, cette prudence antique qui n'a rien de timorée. Dans son essai Risquer la prudence, elle exhume une vertu oubliée, à la fois pratique et courageuse, capable de guider l'action humaine dans l'incertitude. Catherine Van Offelen en parle avec une précision rare dans ce nouveau numéro d'Idées au micro de Pierre-Édouard Deldique. Contrairement à l'idée moderne de prudence – souvent associée à l'immobilisme ou à la peur du risque – cette jeune intellectuelle nous rappelle que la phronesis aristotélicienne est une forme de sagesse active. Elle ne consiste pas à éviter le danger, mais à l'évaluer avec justesse, à décider malgré l'ambiguïté, et à agir avec discernement. C'est une prudence qui ose, qui tranche. L'auteure critique le règne du principe de précaution, devenu selon elle un dogme paralysant. Elle plaide pour une réhabilitation de la décision humaine, fondée sur l'expérience, le jugement et une forme de courage intellectuel. Catherine Van Offelen, aux multiples références, puise dans les textes d'Aristote, mais aussi dans les traditions stoïcienne et chrétienne, pour montrer que la prudence n'est pas une faiblesse, mais une force. Elle est la vertu du capitaine dans la tempête, du médecin face à l'incertitude, du citoyen dans un monde complexe. Dans un style limpide et rigoureux, elle tisse des liens entre philosophie antique et enjeux contemporains : écologie, politique, éthique médicale, intelligence artificielle. Partout, la phronesis apparaît comme une boussole précieuse. Risquer la prudence est plus qu'un essai philosophique : c'est une invitation à penser autrement notre rapport au risque, à l'action et à la responsabilité. En réhabilitant cette vertu oubliée, Catherine Van Offelen nous offre une clé pour naviguer dans l'incertitude sans renoncer à agir. Son enthousiasme est roboratif. Il nous invite à être prudent, mais pas trop… ► Catherine Van Offelen, Risquer la prudence – Une pratique de la sagesse antique (Gallimard)
Cette semaine : sanctions records pour Google, innovations à l'IFA, IA dans l'éducation, classement des chatbots menteurs, suicides liés à ChatGPT, psys assistés par IA, retard des entreprises françaises en IA, cyberattaques en hausse et manipulation sur les réseaux sociaux.
Aujourd'hui, Yves Camdeborde, chef restaurateur, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Mourad Boudjellal, éditeur de BD, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Antoine Diers, Jérôme Marty et Barbara Lefebvre débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Il y a quelques jours, je me suis plongée dans le livre de mon invitée, No More Plastic: comment le plastique ruine notre santé. Je croyais avoir compris l'enjeu du plastique, sujet que j'avais traité plusieurs fois dans des épisodes de Demain N'attend Pas. Et pourtant… en trois heures de lecture, ma vision a basculé. J'ai levé les yeux du livre, j'ai regardé mon appartement, mes placards… et j'ai pris conscience de l'ampleur des dégâts : nous vivons littéralement dans le plastique. Ses fonctionnalités extraordinaires (résistance, durabilité, légereté, imperméabilisation, brillance...) en ont fait un matériaux de base pour toutes les industries. Résultat : le plastique est partout autour de nous. Dans nos bouteilles et nos contenants, dans nos vêtements et nos chaussures, dans nos crèmes, nos vernis et nos shampooings, dans nos produits ménagers, et jusque dans notre nourriture... Partout. Aujourd'hui, je suis ravie d'accueillir Rosalie Mann, fondatrice de la No More Plastic Foundation, une ONG engagée contre la pollution plastique, et autrice du livre No More Plastic, comment le plastique ruine notre santé publié aux éditions La Plage.Rosalie nous rappelle la réalité des chiffres :