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Il est important de dire qu'au Gondwana, la vie syndicale est très règlementée. Contrairement aux rumeurs malveillantes propagées par les jaloux saboteurs aux yeux de crocodiles, au Gondwana, il y a des règles à respecter, mais aussi et surtout des règles pour taper sur les doigts des gens qui ne respectent pas ces règles là.
Il y a un talent que tout visiteur en villégiature au Gondwana se doit de posséder et perfectionner, c'est l'art de capter les tendances et les leçons de survie en milieu gondwanais. Elles sont distillées toutes les secondes en « très très démocratique République » pour qui sait écouter.
Il y a un talent que tout visiteur en villégiature au Gondwana se doit de posséder et perfectionner, c'est l'art de capter les tendances et les leçons de survie en milieu gondwanais. Elles sont distillées toutes les secondes en « très très démocratique République » pour qui sait écouter.
Les rémunérations des élus gondwanais sont aussi imprévisibles que les lois qu'ils sont censés voter …
Les rémunérations des élus gondwanais sont aussi imprévisibles que les lois qu'ils sont censés voter …
Aujourd'hui, gros plan sur une série qui nous entraîne en Algérie, non loin d'Oran. El'Sardines, diffusé sur Arte.tv, a reçu une mention spéciale au festival SériesMania cette année. Réalisée par Zoulikha Tahar, El'Sardines suit, avec tendresse et humour, les pas d'une jeune ingénieure algérienne. La websérie El'Sardines, réalisée par Zoulikha Tahar, est disponible sur Arte.tv, YouTube et Instagram depuis le 2 juin.
Au Gondwana il y a toutes sortes de gens riches, toutes sortes de milliardaires. Il y a des fonctionnaires milliardaires, des militaires milliardaires, des milliardaires aux marchés publics, et des nouveaux personnages… les marabouts et les pasteurs milliardaires.
Au Gondwana il y a toutes sortes de gens riches, toutes sortes de milliardaires. Il y a des fonctionnaires milliardaires, des militaires milliardaires, des milliardaires aux marchés publics, et des nouveaux personnages… les marabouts et les pasteurs milliardaires.
Le Bénin a pour ambition de développer une importante offre muséale. Plusieurs sites sont actuellement en construction comme le Musée de l'épopée des Amazones et des rois du Danhomè à Abomey ou celui de la mémoire et de l'esclavage à Ouidah. Autre lieu très attendu à Porto-Novo cette fois : le Musée International du Vodun. Cet écrin qui entend notamment déconstruire les stéréotypes négatifs propagés sur la culture vodun, doit sortir de terre d'ici à la fin de l'année. Notre reporter, Pierre Firtion, a pu récemment visiter le chantier en compagnie d'Alain Godonou, chargé de mission aux Patrimoines et aux Musées auprès du président Talon. De notre envoyé spécial à Porto-NovoÀ l'entrée de Porto-Novo, juste après le pont, d'étranges bâtiments en forme d'alvéole se dressent au milieu des grues. Petit à petit, les contours du musée international du Vodun commencent à se dessiner. Ce lieu avec ses formes originales a été imaginé par le cabinet d'architecte ivoirien Koffi & Diabaté. « Ça rappelle beaucoup de choses, ça rappelle cet indice de calebasses, un élément important en culture Vodun de façon large. On met aussi en avant l'architecture Batammariba, que l'on appelle vulgairement "tata somba" », explique Alain Godonou, le chargé de mission aux Patrimoines et aux Musées du président béninois. Ce dernier fait référence à ces habitats traditionnels du nord-ouest du Bénin. Ces bâtiments et au-delà, ce lieu unique abriteront notamment plusieurs salles d'expositions où seront présentés non seulement des pièces de la collection nationale béninoise, mais également des objets venus d'ailleurs.« Ici et là, nous sommes en discussion avec des partenaires. Parfois, les discussions sont conclues pour avoir des objets significatifs de la culture Vodun, notamment de la culture Vodun venant hors du continent », raconte-t-il. Des pièces venant notamment du Brésil, de Cuba, des États-Unis seront ainsi exposées ici avec pour objectif de montrer le Vodun dans toutes ses composantes. Pour Alain Godonou, « l'objectif étant d'arriver à dépouiller le Vodun des idées négatives qui lui sont prêtées. Et que le public découvre que le Vodun est tout à fait respectable ». En ce mois de mai, le chantier bat son plein. Ce jour-là, des ouvriers posent de grandes plaques de terre ocre sur l'un des bâtiments, d'autres travaillent sur les fondations de la future déambulation entre les différentes espaces.« Il y a une circulation qui va se faire. Ce sera protégé, on construira une canopée. Là, les ouvriers sont en train de faire les soubassements des éléments de la canopée, pour que la promenade à l'intérieur du musée soit protégée », décrit Alain Godonou.Outre la construction de cette canopée, il reste encore beaucoup à faire pour emménager les 16 000 m² du site. Le calendrier pourra-t-il être tenu ? Alain Godonou se veut confiant, puisque, comme il dit, « les gros travaux sont finis. Les travaux de finition ont commencé. La muséologie, la muséographie avancent très bien. On n'est jamais à l'abri d'une surprise, mais je crois fermement que d'ici à la fin de l'année 2025, il pourra ouvrir ». Le musée doit être inauguré en même temps que la statue du roi Toffa 1er, qui trône sur la place située devant l'entrée du musée. Une statue, qui est elle déjà terminée.
Au Gondwana, on attend l'élection présidentielle tous les quatre-cinq ans, avec toujours une boule au ventre.
Au Gondwana, on attend l'élection présidentielle tous les quatre-cinq ans, avec toujours une boule au ventre.
La Finlande a restitué le 13 mai dernier au Bénin un siège royal tripode nommé Kataklè. Un moment marquant que vous avez pu suivre sur les antennes de RFI. Ce que l'on sait moins, c'est que ce pays nordique dispose dans le pays d'un institut culturel, le seul sur le continent. Villa Karo, c'est son nom, est située en bord d'océan à Grand-Popo, à deux heures de route de Cotonou, juste à côté de la frontière togolaise. Cet institut fête en ce mois de mai 2025 ses 25 ans. Le lieu a su se faire une place. Il est aujourd'hui très apprécié des habitants. C'est un lieu à part que nous fait visiter en ce mercredi de mai, Kristiina Utriainen, une jeune finlandaise en stage ici depuis janvier : « On accueille des résidents du secteur de la culture et aussi des chercheurs. »Villa Karo, c'est d'abord une résidence pour artistes en recherche d'inspiration. Le projet est né il y a 25 ans, porté par un écrivain finlandais passionné par le voyage, Juha Vakkuri. Julia Ojanen est la directrice exécutive de l'institut : « Il est vraiment tombé amoureux de ce lieu. La paix, les cultures vaudoues qui sont très inspirantes. Il s'est dit "c'est ici que je vais rester pour le reste de mes jours et je vais emmener les autres écrivains ici à Grand-Popo et on va rester ensemble et on va faire notre travail". »La résidence est baptisée Karo en mémoire du fils du fondateur, disparu tragiquement. Au fil du temps, le lieu évolue pour se transformer en un grand centre culturel, financé aujourd'hui à 55 % par l'état finlandais : « On fait beaucoup de services, par exemple des ateliers aux enfants, une dizaine de concerts par an, on a deux musées, un ethnographique et un second d'art contemporain. On a 14 000 visiteurs par an, à peu près. »Des visiteurs qui viennent également assister à la projection de films ou participer à la création de spectacles. Des ateliers de lecture sont également proposés aux enfants et aux adolescents. Georgette Singbé est manager culturelle à la Villa : « Beaucoup n'ont pas accès aux manuels et au programme. La Villa Karo les achète et invite les encadrants de lecture à venir les aider à mieux comprendre les livres au programme. »Les enfants sont également initiés à la création : « À chaque fois que je viens ici, il y a toujours une répétition avec les enfants de Grand-Popo. Je suis sûre que beaucoup d'artistes vont émerger d'ici. »Sika da Silveira a noué un lien particulier avec ce lieu. Cette artiste plasticienne béninoise expose en ce moment dans un des musées : « Quand je suis là, je n'ai pas envie de partir parce que c'est inspirant. Il y a tout ce qu'il faut pour travailler sur place. La nature, le calme pour se ressourcer. »La résidence, elle, existe toujours. Elle s'ouvre désormais aux artistes ouest-africains. Objectif à terme, selon la directrice : accueillir autant d'artistes de Finlande qu'en provenance d'Afrique de l'Ouest.À lire aussiBénin : le «kataklè», 27e pièce du trésor royal d'Abomey, de retour 133 ans après avoir été pillé
Dans la République des promesses, il y a une phrase que les autorités du pays adorent quand ils sont en tort : « L'enquête est en cours ».
Dans la République des promesses, il y a une phrase que les autorités du pays adorent quand ils sont en tort : « L'enquête est en cours ».
La République des Promesses est un pays extraordinaire où tout est conjugué au futur simple ou au conditionnel, présent ou passé.
La République des Promesses est un pays extraordinaire où tout est conjugué au futur simple ou au conditionnel, présent ou passé.
Parfois l'actualité se voit toujours en fonction de celui qui regarde et d'où il parle.
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Au Gondwana, le monde des opposants politiques est plus complexe qu'il n'y paraît. Pour devenir un opposant crédible, il te faut avoir fait l'université des opposants, c'est-à-dire Gondwanamo, la prison nationale, fierté de tous les Gondwanais…
Au Gondwana, le monde des opposants politiques est plus complexe qu'il n'y paraît. Pour devenir un opposant crédible, il te faut avoir fait l'université des opposants, c'est-à-dire Gondwanamo, la prison nationale, fierté de tous les Gondwanais…
Au Gondwana il ne faut pas écouter tes voisins, il faut les laisser parler.
Au Gondwana il ne faut pas écouter tes voisins, il faut les laisser parler.
Au Gondwana quand il y a des affaires, les plus malins se transforment tout de suite en hommes d'affaires. Les hommes d'affaires font leurs marchés grâce aux marchés publics.
Au Gondwana quand il y a des affaires, les plus malins se transforment tout de suite en hommes d'affaires. Les hommes d'affaires font leurs marchés grâce aux marchés publics.
Décidément nous vivons dans l'ère de l'Inversion accusatoire.
Décidément nous vivons dans l'ère de l'Inversion accusatoire.
Angélique Kidjo, Kaaris, Josey, Himra : tous ces artistes ont partagé récemment la scène du FEMUA. La 17è édition du festival des musiques urbaines d'Anoumabo s'est déroulée du 15 au 20 avril 2025 en Côte d'Ivoire, à Abidjan puis à Daloa. Avec le temps, cet évènement, créé par les membres du groupe Magic System, est devenu mythique : plus que de la musique et des concerts gratuits, le FEMUA porte et défend des valeurs de partage et d'équité, cherche à faire bouger les lignes politiques locales et sous-régionales. Nous vous proposons donc une plongée au cœur de cet évènement. «FEMUA, quand un festival voit plus loin que la musique», un Grand reportage de Guillaume Thibault.
Au Gondwana la démocratie est un aéroport avec des passagers qui vont et viennent.
Au Gondwana la démocratie est un aéroport avec des passagers qui vont et viennent.
Au Gondwana le maintien de l'ordre est une affaire très spéciale.
Au Gondwana le maintien de l'ordre est une affaire très spéciale.
Dans cette ère de la post-vérité, au Gondwana, il n'y a pas que les news qui sont fake.
Dans cette ère de la post-vérité, au Gondwana, il n'y a pas que les news qui sont fake.
Les catholiques ont un nouveau pape, Léon XIV. Le nouveau chef de l'Église, qui porte un regard attentif aux pays du Sud, trouvera sur son bureau le dossier de « l'inculturation », démarche qui consiste à faire dialoguer le rituel catholique avec des cultures locales. François en avait été un ardent défenseur et les attentes restent fortes sur ce dossier, notamment en Afrique. Florentin Nangbé, enseignant à l'université d'Abomey-Calavi, est un expert de l'inculturation au Bénin et répond aux questions de Laurent Correau. À lire aussiLéon XIV célèbre sa première messe en tant que pape à la chapelle Sixtine
Au Gondwana il y a une expression qui met un point final à toutes les discussions : l'expression « en haut lieu ».
Au Gondwana il y a une expression qui met un point final à toutes les discussions : l'expression « en haut lieu ».
Le Gondwana est le premier producteur mondial d'hommes forts.
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À l'heure des réseaux sociaux, la politique a été obligée de se mettre à la page.
À l'heure des réseaux sociaux, la politique a été obligée de se mettre à la page.
Au Gondwana le principe d'égalité est très souvent à géométrie variable.
Au Gondwana le principe d'égalité est très souvent à géométrie variable.
Avec « Sombre lagune », qui paraît aux éditions Fayard, nous plongeons dans les eaux troubles d'Abidjan, notamment dans le milieu des trafiquants de drogue et des hauts fonctionnaires corrompus. C'est donc un roman policier. Mais comme son auteur s'appelle Antoine Glaser, journaliste et expert en géopolitique, ce livre est aussi un roman à clés, dans lequel certains personnages de fiction dépeignent des personnes réelles que le reporter a croisées dans ses enquêtes en Côte d'Ivoire. Alors qui est qui ? Antoine Glaser répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Antoine Glaser, bonjour,Antoine Glaser : Bonjour,Sombre lagune raconte le combat d'un petit barbouze français contre la mafia d'Abidjan. On croise des trafiquants libanais, un flingueur marocain. Et ce qui frappe, c'est que la guerre du cacao a laissé la place à celle de la cocaïne ?Absolument, on a l'impression maintenant que la cocaïne est absolument intégrée dans le cacao, qui reste la première production de la Côte d'Ivoire. Mais on voit comment des narcotrafiquants ont pu planquer la cocaïne dans le cacao, il fallait y penser.En 2021, deux tonnes de cocaïne ont été saisies dans les ports d'Abidjan et de San Pedro. Et on vient de juger, je crois, le chef de la cellule antidrogue du port d'Abidjan ?Oui, parce que ce n'est pas particulier à la Côte d'Ivoire, on voit comment la police, les douaniers, des gens qui n'ont pas forcément des salaires extrêmement élevés, se laissent corrompre avec une grande facilité. Et quand c'est dans le port du Havre, on en parle vraiment comme quelque chose de quotidien. Et bien à Abidjan, c'est la même chose, simplement à Abidjan, il n'y a pas tous les jours des arrestations.Et c'est ce fait divers de 2021 qui vous a donné l'idée de ce livre ?Ce qui m'a donné l'idée de ce livre, c'est vrai qu'il y a eu en Côte d'Ivoire un certain nombre de personnes qui ont disparu et l'idée du livre a vraiment germé à partir de ces disparitions.Alors, il y a un enquêteur qui a disparu il y a 21 ans, dont tout le monde se souvient, c'est notre confrère Guy André Kieffer qui travaillait pour vous, Antoine Glaser, quand vous étiez le directeur de la Lettre du continent. Alors à l'époque, il a été kidnappé sur le parking d'un supermarché et depuis, on n'a jamais retrouvé son corps. Est-ce que vous avez pensé à lui en écrivant ce livre ?Oui, en partie. J'ai pensé à Guy André Kieffer, mais comme je n'ai pas enquêté réellement sur sa disparition, c'est vrai que j'ai pensé, mais j'ai fait en sorte que ça ne soit pas non plus son histoire. Guy André, il enquêtait beaucoup sur les trafics de cacao entre les pays, mais il enquêtait aussi sur la Guinée-Bissau, à l'époque du général Ansoumane Mané, donc je veux dire, c'était un ensemble, mais bien sûr, j'ai pensé à Guy André Kieffer. En fait, cette fiction, c'est une toile de fond, c'est plusieurs histoires en une, c'est une ambiance. J'adore Abidjan aussi. C'est cette lagune qui pour moi est totalement mystérieuse. Il y a 15 millions de personnes qui vivent à Abidjan et avec cette mixité de tous les pays voisins, c'est une capitale qui me fascine.Dans ce livre, Antoine Glaser, vous avez une écriture sèche, une écriture de polar. Mais quelques fois, au détour d'une phrase, comme « le cash bloqué au Liban coule à présent dans le béton ivoirien », on retrouve le style un petit peu imagé et fleuri de la Lettre du continent, qui s'appelle aujourd'hui Africa Intelligence. Romancier d'un jour, journaliste toujours ? Oui, bien sûr. C'était extrêmement difficile pour moi cette fiction, parce que, évidemment, je voyais Guy Andy Kieffer, j'en revoyais d'autres et c'était compliqué. Évidemment, c'est une fiction qui m'a demandé beaucoup de travail parce que j'avais toujours envie d'écrire et d'enquêter sur la réalité de tout ça.Alors, vous cachez évidemment de vrais personnages sous des pseudos et l'un des hommes clés de votre roman, c'est le tout-puissant ministre de l'Intérieur, Bamba. « Colosse et bon vivant », écrivez-vous. Je n'ai pas pu m'empêcher de penser à Ahmed Bakayoko, le défunt ministre de l'Intérieur de Côte d'Ivoire.Oui et non, ce n'est pas Ahmed Bakayoko, mais c'est vrai que bon, Ahmed Bakayoko c'est vrai qu'il était le tout-puissant ministre de l'Intérieur, ensuite Premier ministre. C'est vrai que lui, un peu comme le personnage Bamba, lui aussi, il voulait aussi peut-être accéder aux plus hautes fonctions de l'État. Mais dans la fiction, on ne sait pas comment il est mort, Bamba. Donc voilà, encore une fois, c'est vraiment une fiction. Alors comme toile de fond évidemment, il faut quand même qu'il y ait des choses qui sont réelles, hein. Donc oui, c'est décalé, mais avec une toile de fond qui est la réalité du pays.Dans votre livre où la lagune est bien sombre, vous écrivez : « des aigrettes blanc immaculé picorent les jambes effilochées et sanguinolentes du corps de la jeune femme », le contraste est fort !Oui, mais justement, dans les « maquis » d'Abidjan, quand je regarde et que je me perds là, les yeux sur la lagune, je suis toujours autant révolté que fasciné de voir ces magnifiques oiseaux blancs se poser sur des détritus et de voir une lagune totalement polluée. En particulier, bien évidemment, avec le port d'Abidjan, la raffinerie et cetera, et c'est vrai qu'il y a des problèmes de pollution qui sont extrêmes et donc c'est vrai que ces contrastes, c'est fascinant.RFI : Antoine Glaser, merci.À lire aussiCôte d'Ivoire: plusieurs partis d'opposition appellent au dialogue
Dans le calendrier le 1er-Mai, c'est toujours la fête du travail. Certains défilent dans les rues de Gondwana-City, notre belle capitale, avec des banderoles qui souhaitent bonne fête du travail à tous les travailleurs.
Dans le calendrier le 1er-Mai, c'est toujours la fête du travail. Certains défilent dans les rues de Gondwana-City, notre belle capitale, avec des banderoles qui souhaitent bonne fête du travail à tous les travailleurs.
Désormais au Gondwana les zéros se ramassent à la pelle.
Désormais au Gondwana les zéros se ramassent à la pelle.
Hier, une partie de l'Europe du sud a été frappée par une énorme coupure d'électricité... Les Gondwanais eux, le vivent 24h sur 24, 12 mois sur 12.
Quoi qu'on fasse, l'alpha et l'oméga de la vie politique au Gondwana, c'est l'élection présidentielle.
Il n'y a pas que les médecins qui ont une écriture illisible. Le Gondwanais Lambda a l'impression que les juges aussi parlent une langue d'une autre planète du système solaire, pas très éloignée de la terre.