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Au Gondwana il y a toujours deux élections dans l'élection présidentielle. Celle du Président-Fondateur et celle de son second, celui qui deviendra l'Opposant-Historique du prochain mandat...
C'était une promesse du président Macron durant le sommet France-Afrique de 2021, créer un lieu à Paris dédié à l'expression culturelle africaine et afrodescendante. Ce lieu, c'est Mansa, la Maison des mondes africains. Elle ouvre ses portes ce samedi dans un ancien atelier du dixième arrondissement de Paris. Que pourra-t-on faire ? Que pourra-t-on voir, entendre ou lire à Mansa ? Réponses avec sa directrice, Liz (Elizabeth) Gomis. À lire aussiLa Maison des mondes africains a trouvé ses locaux à Paris après des mois de controverses
Aujourd'hui, la liberté est utilisée dans toutes les sauces.
Faire de la politique se résume à être perpétuellement en campagne. Rediffusion du 3 mai 2022.
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Au Gondwana, après la Génération Président-Fondateur, voici la Gen Z.
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Président-Fondateur fait campagne par wifi, Bluetooth, proxys et surtout grâce à l'Intelligence Artificielle.
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Au Gondwana, on n'a jamais fini de voir des choses qui nous laissent pantois…
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Au Gondwana, pour prendre la parole, il faut être une voix autorisée. Rediffusion du 6 février 2023.
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Quand un mot fait la une de l'actualité, il est utile de lui demander ses papiers.
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À chaque rentrée scolaire la Cour de Récré se retrouve lors de l'Assemblée Générale.
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Raconter l'Afrique et ses diasporas à travers leurs sons et leurs musiques, c'est l'objectif d'une exposition immersive au Musée d'ethnographie de Genève, en Suisse. Avec plus de 200 œuvres – archives, instruments anciens et installations contemporaines –, Afrosonica. Paysages sonores embarque le public dans un voyage multisensoriel qui met en lumière le son comme vecteur de connexion, de résistance et de changement. Des tambours et des luths, des gousses de fruits et des cocons d'insectes, des graines et des coquillages : c'est l'Afrique dans toute sa diversité sonore qui se déploie sur 1 000 mètres carrés au Musée d'ethnographie de Genève. Mo Laudi, artiste multidisciplinaire et DJ sud-africain, est co-commissaire de l'exposition : « "Afrosonica" fait référence à une tradition dans les townships de fusionner des mots pour créer de nouvelles significations. Ici, c'est l'idée que l'Afrique est riche ; les minéraux les plus précieux proviennent du Congo et se retrouvent dans nos téléphones portables ; l'or d'Afrique du Sud orne les Rolex. Et quand vous écoutez du rock and roll, il a ses racines en Afrique, tout comme le hip-hop et le jazz. Aujourd'hui, il y a une fierté à affirmer : "Je suis Africain." Il est essentiel de se souvenir de ces racines pour avancer. » Cet ambassadeur de l'afro-électro présente lui-même une création. Inspirée des peintures murales des maisons d'Afrique du Sud, il y mêle plastique recyclé et chants de travail. Avec l'ethnomusicologue canadienne Madeleine Leclair, conservatrice au MEG, les deux commissaires ont puisé dans les 20 000 heures d'archives du musée et passé commande à sept artistes contemporains pour créer un parcours libre où le son est outil de mémoire, de transmission, de contestation. À écouter aussiAfrosonica, paysages sonores au Musée d'Ethnographie de Genève (MEG) Madeleine Leclair : « Les grands mouvements politiques, les grands chamboulements qui ont marqué l'histoire de l'Afrique – la colonisation, décolonisation, indépendance – étaient accompagnés de musique. C'est vraiment un élément fédérateur. Également en Afrique du Sud, à l'époque de l'apartheid notamment, le gouvernement est même allé jusqu'à censurer des enregistrements, de personnages importants dans la contestation rayés du disque. » Une vingtaine de thèmes rythment le parcours, illustrant le pouvoir du son entre révolte et résilience, rituel et réactivation de la mémoire. Des peintures préhistoriques de harpes du Sahara croisent le chant vaudou du Bénin des années 1960, tandis que la rumba congolaise se frotte aux vinyles d'un jukebox. Le public peut assister à un « bain d'oreilles » au Nigeria et se laisser hypnotiser par le vrombissement d'un rhombe, petit objet en os, en bois ou en ivoire, que l'on fait tournoyer au-dessus de la tête à l'aide d'une ficelle. Madeleine Leclair : « Ces rhombes sont mis en mouvement sur les cinq continents, notamment au Brésil, en Australie également, et en Afrique, ça peut aussi être interprété comme la voix des ancêtres. » Et parfois, il suffit d'un bidon d'huile et d'un câble de frein à vélo pour créer une cithare au Burkina Faso et redonner un sens au son. ► L'exposition Afrosonica. Paysages sonores à voir et à écouter au MEG en Suisse jusqu'au 4 janvier 2026.
Être électeur, au Gondwana, n'est pas chose aisée.
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Au Gondwana il n'y a pas de problèmes avec les jours fériés. On ne touche pas, par exemple, à l'anniversaire très attendu de notre Leader Bienaimé Son Excellence Président-Fondateur…
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Les jeunes gondwanais ont deux passions : la politique et la libre entreprise.
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Au Gondwana il faut parfois revenir à la définition de certains mots.
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Président-Fondateur trouve que les Gondwanais ne le félicitent pas assez pour son bilan économique extraordinaire.
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Le gouvernement est tombé en panne sèche de confiance...
Le gouvernement est tombé en panne sèche de confiance...
Même en politique, la confiance est au centre de tout. Aujourd'hui, confiance est le mot du jour, le mot qui va colorer cette semaine et tous les jours à venir en très très démocratique république.
Même en politique, la confiance est au centre de tout. Aujourd'hui, confiance est le mot du jour, le mot qui va colorer cette semaine et tous les jours à venir en très très démocratique république.
« Un goût du thé amer », le second roman de l'écrivain Mohammed Alnaas, récemment traduit en français et édité chez « Le bruit du monde », revient à l'époque du slogan : « le pouvoir aux mains du peuple » et décrit une situation ubuesque et des querelles permanentes entre les habitants d'un village, Géhenne, dans la Libye des années 1990, du temps de la Jamahiriya arabe libyenne populaire et socialiste de Mouammar Kadhafi. Quant au narrateur, dans cette fable moderne et audacieuse, il s'adresse à son lecteur tout en prenant un plaisir à se jouer de lui. Mohammed Alnaas joint par Houda Ibrahim. Vos romans s'attaquent à des sujets qui décrivent les spécificités de la société libyenne, une société restée longtemps fermée aux autres. L'écriture est-elle pour vous est un acte d'auscultation de cette société afin de la raconter, de l'exposer ? La société libyenne est restée méconnue des étrangers pendant un certain temps, et peut-être même est-elle restée méconnue d'elle-même. En dehors du sujet politique, il existe un manque de connaissances sur la Libye et le peuple libyen lui-même, que ce soit sous le régime de Mouammar Kadhafi ou même pendant la guerre civile qui a suivi la révolution de février 2011. L'enjeu ici, est que moi, en tant qu'individu, je me comprends mieux que je ne comprends la société libyenne, mais mon histoire personnelle est aussi l'histoire de la société, et en comprenant la société, je me comprends moi-même. Il est vrai que la société libyenne a ses spécificités, comme toutes les sociétés, mais l'idée est de toujours chercher, ce que cette spécificité a de commun avec les sociétés arabes, voire des sociétés de plus grande ampleur. Afin d'écrire sur l'être humain et son histoire, tout en écrivant sur le Libyen et en essayant de le comprendre. Dans votre second roman, Un goût de thé amer, à travers l'histoire d'un village, Géhenne, symbolisez-vous la guerre sans fin qui se déroule en Libye ainsi que le déchirement social ? Personnellement, je n'aime pas que le texte lui-même soit le reflet de la réalité. Le lecteur a certes le droit de percevoir ces intersections entre la réalité et le roman. Or, elles sont nombreuses. L'auteur pose les règles du jeu dès le début, indiquant que l'histoire n'est pas symbolique, mais vraie. Ce qui incite le lecteur à y croire. Il existe bel et bien des intersections entre les combats qui se déroulent dans le village de Géhenne et la guerre civile libyenne. Il semble que le point commun entre l'imaginaire et le réel réside dans une certaine absurdité de la scène elle-même. À lire aussiLa Libye lance le premier appel d'offres pétrolier depuis 17 ans La satire est-elle pour vous le meilleur moyen de raconter cette société ? J'ai débuté dans l'écriture par la satire. Il y a toujours une touche d'humour noir dans mes écrits, que ce soit dans mon précédant roman « Du pain sur la table de l'oncle Milad », ou dans ce roman même. Et auparavant aussi dans le recueil de nouvelles que j'avais écrit sur la guerre civile, la plupart de ces nouvelles avaient un ton dramatique ou sombre. Concernant ce projet, parfois, il n'y a pas de meilleure façon de décrire ce qui se passe, que la satire. Vous dédiez votre roman au fameux écrivain et penseur libyen Sadek alyhoum, quelle valeur représente-t-il pour vous ? Le roman est bien sûr dédié à El-Sadek, je le dédie également à d'autres auteurs et artistes satiriques qui m'ont personnellement influencé, comme Mohammed Al-Zawawi, le plus grand illustrateur de caricature libyen. Le roman lui-même a été initialement écrit dans le style de Mohammed Al-Zawawi, ainsi que celui de Mohammed Tamliya, l'écrivain satirique jordanien, et d'Ibrahim Hmaydan, l'écrivain satirique libyen. Tous ont influencé ma compréhension du rôle de la satire, de la comédie. Contrairement à beaucoup de Libyens qui admiraient les idées et les écrits critiques d'El-Sadek Al-Nayhoum, j'admirais moi sa satire, en particulier son recueil Histoires pour enfants. Il m'a profondément influencé par son style satirique et par sa façon de dessiner certains personnages libyens considérés comme stéréotypés. Ce stéréotype est déjà présent dans les dessins de Mohammed Al-Zawawi. Dans mon roman, un personnage comme Hajja Mabrouka, ressemble à ceux de Mohammed Al-Zawawi, d'El-Sadek Al-Nayhoum et même d'Ibrahim Hmaydan. Ces personnages ne sont pas nés de nulle part ; ils sont une sorte d'accumulation résultant de mes lectures et de mes observations sur la manière dont les Libyens qui m'ont précédé ont abordé la comédie. À lire aussiAu pays des hommes, un chef-d'œuvre de la littérature contemporaine Dans Un goût de thé amer, vous dénoncez également, un système économique installé par le régime Kadhafi et qui réduit en quelque sorte l'être humain à un être dépendant, sans aucune initiative, vous dénoncez cette volonté du pouvoir d'écraser l'être libyen ? Les politiques du régime Kadhafi ont transformé la Libye depuis la proclamation de l'Autorité populaire. Car le colonel souhaitait créer une nouvelle société. L'ironie est que l'objectif de cette nouvelle société était de susciter un esprit d'initiative en toutes choses. Dans toutes ses idées, par exemple, il affirme dans le Livre vert : « L'école est servie par ses élèves », ce qui signifie que l'école n'a pas besoin de personnel d'entretien ni d'employés, mais que ce sont les élèves qui s'en chargent… D'où le concept « des partenaires, et non pas d'employés ». Le régime repose fondamentalement sur l'initiative populaire pour prendre le pouvoir. Soit le peuple ne voulait pas prendre le pouvoir, soit Kadhafi n'a utilisé ces idées que pour accroître son emprise sur le peuple. L'ironie est que le peuple libyen a refusé de prendre l'initiative ou n'a pas trouvé le moyen de le faire. Le régime a véritablement influencé la formation de l'homme libyen. Toutes les politiques adoptées par le colonel Kadhafi et les fonctionnaires travaillant sous ses ordres ont conduit à la création d'une société déformée qui ne se connaît pas elle-même et qui est incapable de trouver des solutions aux problèmes auxquels elle est confrontée. La liberté d'expression en Libye est toujours entravée, même au niveau de la littérature, comment relevez-vous ce défi ? Aujourd'hui, les restrictions imposées aux écrivains libyens se multiplient. Elles sont sociales, religieuses, politiques et sécuritaires. Les restrictions se multiplient et sont pour la plupart inconnues. L'écrivain se retrouve à nager dans un puits dont il ignore le fond. Ceux qui aiment nager explorent eux-mêmes à ce moment-là les dangers, et je suis de ceux qui aiment nager. Nous explorons des idées en cours de route et je relis toujours la scène, mais c'est surtout pour des raisons de sécurité personnelle. Lorsque j'écris, je ne reconnais pas ces restrictions et je les ignore également lorsque je publie. Je ne les regarde pas.
Au Gondwana la lettre C est très importante, surtout quand elle est en double.
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La vie d'un gouvernement n'est pas une science exacte mais elle est très mathématique.
La vie d'un gouvernement n'est pas une science exacte mais elle est très mathématique.
Comme chaque année, la Cour de récré reprend en chansons.
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Au Gondwana, c'est une rentrée sans vacances comme toutes les autres rentrées. Le mot vacances n'existe pas au Gondwana...
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C'est l'heure de notre rendez-vous quotidien avec Mamane. Et vous nous parlez ce matin de l'IA… L'« Inversion Accusatoire »...
« Dans mon Chinatown », c'est le nom de notre série d'été sur RFI. On vous emmène explorer les quartiers chinois des grandes villes du monde. Aujourd'hui, direction Port-Louis à l'île Maurice, où les Chinois ne représentent que 3 % de la population, mais leur présence rayonne bien au-delà des chiffres. La communauté chinoise est à la fois discrète, bien intégrée, métissée et économiquement influente. Le Nouvel An chinois est d'ailleurs un jour férié dans l'île. Au cœur du Chinatown mauricien, traditions, gastronomie et mémoire des anciens se mêlent aux visages de toutes les communautés. De notre correspondant à Port-Louis, Dans les ruelles de Chinatown à Port-Louis, le mandarin résonne encore. Aujourd'hui, notre présence attire la curiosité. Aaron Kwang Poon nous accompagne. Né ici, il connaît l'histoire des commerçants chinois à Maurice. « Au pic de leur activité, il y avait environ 300 boutiques chinoises à travers Maurice. Pratiquement dans chaque village, il y avait au moins une boutique chinoise. » Ces petits commerces ont nourri l'île pendant des décennies avant et après l'indépendance. Ils ont approvisionné la population en denrées de base, tissant leurs racines dans chaque communauté locale. Pour sa part, Chinatown à Port-Louis reste un haut lieu du commerce. Dans les rues, on croise davantage une population locale diverse que des Mauriciens d'origine chinoise. Mais les grands symboles sont là : l'arc monumental de la rue Royale, ombrelles, et lanternes qui ponctuent façades et allées, ainsi que les enseignes en caractère chinois. C'est ici qu'Amélie, 88 ans, venue de la ville la plus éloignée de Port-Louis, fait ses courses : « J'habite à Curepipe. Je viens acheter des choses, ce qui me manque. » « Tous les Mauriciens adorent ça » Elle s'arrête devant une épicerie Yue Hwa, rue Dr Sun Yat Sen. Dans ce petit espace, un concentré de Chine : « Des ailerons de requin, des nids d'hirondelles, et des œufs de 100 ans », détaille le commerçant. Produits rares, nouilles, graines, fruits séchés, ustensiles, tout l'univers culinaire chinois dans quelques mètres carrés. La gastronomie chinoise est le fast-food préféré dans l'île : « Les nouilles frites, les "mines frites", le riz frit et les boulettes sont devenus des plats mauriciens. » Siddick Yerally, 82 ans, se joint à la conversation. Dans le quartier, tout le monde l'appelle Nala : « Tous les Mauriciens adorent ça ! Même rue Desforges, il y a un restaurant chinois musulman, halal, et c'est rempli tous les soirs. » Nala est musulman, marié à une Chinoise. Certains l'appellent Ah Young. Il siège à la Chinatown Foundation et il veut nous montrer les trésors du quartier : « Là, je vais vous emmener à la pagode, elle appartient au clan des Chan. » Une communauté influente Les descendants chinois de Maurice ont maintenu les liens claniques. Il existe une bonne dizaine de clans chinois à Maurice. À 200 mètres, nous découvrons une autre pagode, celle du clan Fock qui trône au 9e étage d'un immeuble résidentiel. Dans la pagode, des stèles en bois portent les noms des ancêtres, sous le regard de Kwan Tee, le guerrier légendaire. Au rez-de-chaussée, rencontre avec Bernard Li Kwong Ken qui nous explique ce que son nom dit de ses racines et de son identité : « En Chine, je m'appellerais Li Sui Chong. Nous gardons à travers les générations le nom du clan Li. Mon grand frère, c'est Li Kwet Chong, moi Li Sui Chong, mon petit frère Li Moy Chong. » Li (ou Lee), c'est le lien commun. Bernard est un descendant du clan Li, le deuxième nom le plus répandu de Chine. Comme beaucoup de Sino-Mauriciens, il porte aussi un prénom catholique. La plupart fréquentent l'église, héritage de l'intégration mauricienne. Cependant, cette population décline : de 40 000 âmes dans les années 1980 à environ 12 000 aujourd'hui. Les jeunes émigrent vers l'Australie, le Canada. Malgré cela, les Sino-Mauriciens demeurent une influente communauté économique dans l'île. À lire aussiDans mon Chinatown: visite guidée de Lognes, première ville asiatique de France
C'est l'heure de notre rendez-vous quotidien avec Mamane. Et vous nous parlez ce matin de l'IA… L'« Inversion Accusatoire »...
Parfois l'IA n'est pas du tout l'IA qu'on croit... Rediffusion du 12 février 2025.
Parfois l'IA n'est pas du tout l'IA qu'on croit... Rediffusion du 12 février 2025.
Au Gondwana, il y a des situations où l'IA est dépassée… Rediffusion du 11 février 2025.
Sans crier gare, l'intelligence artificielle est entrée de plain-pied dans notre vie quotidienne. Rediffusion du 10 février 2025.
Le Gondwana est un pays qui est constamment en état de guerre. En très très démocratique République, il n'y a plus de service militaire, mais les Gondwanais sont tous des soldats sur le terrain, tout le temps en état de guerre, tout le temps en combat. Rediffusion du 30 janvier 2025
Au Gondwana, le rôle d'un ministre change quand arrive l'élection présidentielle. Elle est aux politiques, ce que la course au ballon d'or est aux joueurs de football : tous y pensent en se rasant le matin. Et chacun surveille l'autre, chacun soupçonne l'autre de cacher son jeu. Rediffusion du 19/02/2025.