Podcasts about culture afrique

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Chronique de Mamane
Démocratie multipartiste

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jul 17, 2025 2:43


Ces derniers jours, la démocratie n'a pas bonne presse au Gondwana... Rediffusion du 22 février 2024.

Chronique de Mamane
Les profiteurs du désordre

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jul 16, 2025 2:42


Au Gondwana, le désordre profite toujours à certains petits malins… Rediffusion du 26 février 2024

Reportage Afrique
Objets de pouvoir - Malawi: le fouet à queue de lion de Hastings Kamuzu Banda [9/10]

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Jul 16, 2025 2:44


Un chasse-mouches en queue de lion devenu l'un des symboles les plus marquants du pouvoir de Kamuzu Banda. Médecin formé en Occident, le père de l'indépendance du Malawi cultivait pourtant l'image d'un chef profondément enraciné dans les traditions locales. Un nationaliste culturel assumé, qui n'apparaissait jamais sans cet accessoire singulier - à la fois outil cérémoniel, signe d'autorité et instrument de mise en scène politique.  Il le brandissait partout. Lors des cérémonies officielles, des rassemblements politiques, ou même à sa descente d'avion… Le fouet à queue de lion ne quittait jamais Hastings Kamuzu Banda. À l'image de son costume trois-pièces à l'anglaise ou de son chapeau homburg, porté à la manière d'un Winston Churchill, cet accessoire faisait partie intégrante de sa silhouette présidentielle. Le chercheur Chikondi Chidzanja de l'université de Stellenbosch s'en souvient : « Lorsqu'il se rendait au palais, il était dans une voiture décapotable et agitait son fouet à queue de lion. Pour nous, enfants des écoles, c'était un moment d'excitation. On répétait : “Aujourd'hui, on va voir Kamuzu Banda !” » Mais ce n'était pas un geste improvisé, souligne l'historien John Lwanda : « La main droite partait vers la gauche, puis vers le haut, puis vers la droite… Ce n'était pas un geste lancé au hasard, comme tu ferais lors d'un match de foot ». Le fouet servait aussi à projeter l'image d'un libérateur, explique Chrispin Mphande, enseignant à l'université de Mzuzu : « On l'appelait le Lion du Malawi. Certains allaient jusqu'à le voir comme un Messie, surtout après sa nomination à vie dans les années 1970. Le fouet symbolisait ce pouvoir : celui de l'homme qui a vaincu le colon et libéré le pays ». À lire aussiOù en est le Malawi 60 ans après son indépendance? Un symbole de pouvoir, mais aussi d'identité. Formé aux États-Unis et au Royaume-Uni, Kamuzu Banda voulait paraître comme un dirigeant enraciné dans les traditions africaines. Chikondi Chidzanja : « Kamuzu, il avait étudié en Occident, mais pour ne pas être perçu comme un étranger, il devait aussi incarner l'Africain. Alors le fouet est devenu le symbole de cet ancrage culturel ». Dès 1962, l'objet apparaît dans ses mains. Il lui aurait été offert par un autre père de l'indépendance, le Kényan Jomo Kenyatta. Mais sous le régime à parti unique de Kamuzu Banda, nul n'était autorisé à le porter, sauf lui. John Lwanda : « On ne pouvait pas se promener avec un fouet en disant qu'on était guérisseur. On se faisait arrêter ». Aujourd'hui encore, l'objet fascine. Il en aurait existé plusieurs : en poils de buffle, de lion ou de cheval... Mais la dernière version est bien connue, affirme l'historien John Lwanda : « Le dernier fouet était une vraie queue de lion, avec un manche en ivoire ». Cette version a été confiée à l'université de médecine qu'il a fondée, la Kamuzu University of Health Sciences. Elle est encore utilisée lors des remises de diplômes. Un enseignant la passe au-dessus des têtes des jeunes médecins, comme pour balayer l'ignorance, et consacrer leur entrée dans le savoir. Une manière de prolonger, dans le rituel universitaire, la portée symbolique d'un objet devenu emblème du pouvoir.

Chronique de Mamane
Les institutions fortes du Gondwana

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jul 14, 2025 2:49


Pour bien avancer, un pays n'a pas besoin d'hommes forts mais d'institutions fortes. Rediffusion du 19 février 2024.

Chronique de Mamane
Les institutions fortes du Gondwana

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jul 14, 2025 2:49


Pour bien avancer, un pays n'a pas besoin d'hommes forts mais d'institutions fortes. Rediffusion du 19 février 2024.

Chronique de Mamane
Tu es avocat ou chauffeur?

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jul 10, 2025 2:42


Dans le gouvernement gondwanais, il y a un ministre qui a plus de travail que ses collègues. Rediffusion du 1er février 2024.

Chronique de Mamane
Tu es avocat ou chauffeur?

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jul 10, 2025 2:42


Dans le gouvernement gondwanais, il y a un ministre qui a plus de travail que ses collègues. Rediffusion du 1er février 2024.

Chronique de Mamane
Supplément de mandat

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jul 9, 2025 2:40


Au Gondwana l'imagination est très fertile quand il s'agit de rester au pouvoir. Rediffusion du 6 février 2024.

Chronique de Mamane
Supplément de mandat

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jul 9, 2025 2:40


Au Gondwana l'imagination est très fertile quand il s'agit de rester au pouvoir. Rediffusion du 6 février 2024.

Chronique de Mamane
Blanchiment de biens mal acquis

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jul 8, 2025 2:36


Il ne suffit pas d'acquérir des biens mal acquis, il faut savoir comment les conserver. Rediffusion du 24 janvier 2024.

Chronique de Mamane
Blanchiment de biens mal acquis

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jul 8, 2025 2:36


Il ne suffit pas d'acquérir des biens mal acquis, il faut savoir comment les conserver. Rediffusion du 24 janvier 2024.

Chronique de Mamane
Les réalistes et les idéalistes

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jul 7, 2025 2:40


 Au Gondwana, il y a aussi les idéalistes et les réalistes. Mais, dans les réalistes, il y a réalistes et réalistes... 

Chronique de Mamane
Les réalistes et les idéalistes

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jul 7, 2025 2:40


 Au Gondwana, il y a aussi les idéalistes et les réalistes. Mais, dans les réalistes, il y a réalistes et réalistes... 

Reportage Afrique
Objets de pouvoir: le trône de Jean-Bedel Bokassa lors de son couronnement le 4 décembre 1977 [1/10]

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Jul 6, 2025 2:26


RFI vous propose de découvrir dix objets de pouvoir qui ont marqué l'histoire du continent africain. Des objets employés par les acteurs politiques pour asseoir leur légitimité et leur autorité. En Centrafrique, le 4 décembre 1977, le président Jean-Bedel Bokassa se couronnait empereur dans le Palais du Couronnement, lieu spécialement construit pour la circonstance. Lors de ce couronnement, un objet précieux a capté tous les regards : le trône. Un objet massif d'environ deux tonnes, fabriqué par le Français Olivier Brice. Il a coûté près de  2,5 millions de dollars, soit 1,5 milliard de francs CFA. Ce trône, lubie du président-empereur, représentait un objet de pouvoir, destiné à frapper les esprits, en Centrafrique et au-delà des frontières.  Un groupe de jeunes jouent au basketball dans le Palais des Sports de Bangui, autrefois appelé le Palais du Couronnement. Ce gigantesque gymnase retrace l'histoire de l'empire centrafricain. On y voit non seulement le parquet, les gradins, la salle de presse, mais aussi cet impressionnant écran situé sur l'aile gauche. C'est ici que le trône de l'empereur Jean-Bedel Bokassa a été installé le 4 décembre 1977. L'historien Maurice Guimendego se souvient de ce qu'il a vécu à l'époque : « La forme ressemble à un aigle gigantesque qui déploie ses ailes. L'aigle que l'on voyait représentait un aigle royal, symbole de la force, symbole de la majesté. » L'image de ce trône imposant a marqué à l'époque les 5 000 invités venus des quatre coins du globe : « Dites-vous que vous avez en face un aigle qui déploie ses ailes sur quatre mètres d'envergure et trois mètres de hauteur et puis à l'intérieur, on a creusé une espèce de voûte, une place en structure métallique. Le trône dégage quelque chose d'impressionnant, capable de loger l'empereur dans toute sa majesté. » À lire ou à écouter aussiIl y a 40 ans, la chute de l'empereur Bokassa « Incroyable Bokassa » Direction le sous-sol du Palais des Sports. Après le couronnement, certains objets précieux dont le trône ont été entreposés ici. Les yeux brillants d'émotions, Gabriel, 75 ans, l'un des cuisiniers de l'empereur Bokassa, revoit la vidéo et les photos du trône sur sa tablette : « Ah Bokossa sur son trône, mais quelle splendeur ! J'aime cette image parce qu'on le voit debout pour dire son serment. L'image est très intéressante, car elle nous laisse découvrir l'intérieur du trône en velours rouge, dans le ventre de l'aigle. Incroyable Bokassa ! » Affalé dans un fauteuil en rotin sous sa véranda, Patrice Zemoniako joue de la guitare, en interprétant un morceau des années 1970. Âgé de 80 ans, cet ancien journaliste et maire de Bangui explique que Jean-Bedel Bokassa voulait imiter le trône et le sacre de Napoléon Ier, car il était fasciné par l'empereur français : « Il a conçu son trône et la cérémonie de cette manière pour être le Napoléon de l'Afrique centrale et celui de la République Centrafricaine. C'est comme ça que Bokassa a créé l'armée centrafricaine pour combattre ceux qui s'opposaient à son pays. La philosophie du développement économique, politique, social et culturel de Bokassa doit être un modèle pour nous aujourd'hui. » Après le renversement de Bokassa, en septembre 1979, le sous-sol du palais du couronnement a été vandalisé. Aujourd'hui, il ne reste du trône que l'armature qui est abandonnée sur un terrain vague.

Chronique de Mamane
L'or des Gondwanais

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jul 3, 2025 2:41


Le Gondwanais Lambda vient d'apprendre que son pays est un pays producteur d'or…

Chronique de Mamane
L'or des Gondwanais

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jul 3, 2025 2:41


Le Gondwanais Lambda vient d'apprendre que son pays est un pays producteur d'or…

Chronique de Mamane
Élections, coup d'État, transition au Gondwana

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jul 2, 2025 2:44


Si quelqu'un dit qu'il comprend le Gondwana, c'est qu'on le lui a mal expliqué. Rediffusion du 31 janvier 2024.

Chronique de Mamane
Élections, coup d'État, transition au Gondwana

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jul 2, 2025 2:44


Si quelqu'un dit qu'il comprend le Gondwana, c'est qu'on le lui a mal expliqué. Rediffusion du 31 janvier 2024.

Chronique de Mamane
Braquage à la gondwanaise

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jun 26, 2025 2:53


Au cinéma, on n'a pas encore fait de film sur les braquages à la gondwanaise.

Chronique de Mamane
Travailleur défiscalisé, ubérisé

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jun 26, 2025 2:50


Le Gondwanais Lambda n'a ni prénom ni nom de famille; il n'est qu'un vulgaire pourcentage, un zéro après la virgule. Il est en vente libre, le travailleur gondwanais…

Invité Afrique
Alex Berger: «Mon ambition c'est de créer des séries avec des producteurs ivoiriens ou d'ailleurs»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jun 26, 2025 9:11


En Afrique, il n'y a pas que le Nigeria qui développe l'industrie du cinéma. La Côte d'Ivoire veut aussi se lancer dans une production audiovisuelle ambitieuse. C'est l'enjeu du 3ᵉ SICA, le 3ᵉ Salon international du Contenu Audiovisuel, qui s'ouvre ce jeudi à Abidjan avec 300 professionnels de 25 pays différents. L'un des intervenants n'est autre qu'Alex Berger, le producteur du « Bureau des légendes », la série française de langue française la plus exportée dans le monde. À quand de grandes sociétés de production africaines ? En ligne d'Abidjan, le célèbre producteur français répond à Christophe Boisbouvier. RFI: Alex Berger, c'est la deuxième fois que vous venez au Salon international du contenu audiovisuel à Abidjan. C'est une fidélité au SICA ? Alex Berger : Alors d'abord, je salue l'initiative. Pour la première fois en octobre dernier, je me suis rendu à Abidjan et j'ai pu rencontrer des gens formidables, aussi bien les autorités gouvernementales qui avaient un souhait et une vision intéressante pour justement faire de la Côte d'Ivoire un carrefour ou un hub de production sur l'Afrique de l'Ouest. J'ai trouvé ça très intéressant. En tant que producteur indépendant, nous avons beaucoup de séries et donc, l'année dernière, j'ai pu exposer à beaucoup de gens, des universitaires, des élèves, des producteurs non seulement de la Côte d'Ivoire, mais, de l'ensemble de l'Afrique. Et j'ai trouvé ça franchement extrêmement intéressant. Alors évidemment, beaucoup de gens viennent vous voir pour que vous racontiez comment est arrivé le grand succès du « Bureau des légendes ». J'imagine que vous êtes assailli par plein de jeunes producteurs ivoiriens et de toute l'Afrique qui vous demandent comment on fait, non ? Alors, j'explique quelle était notre ambition, quel était notre processus, quelle était notre exigence. Et j'explique l'absolu incroyable alignement d'étoiles que nous avons eues pour une série française en langue française qui est aujourd'hui le champion de France de l'export dans 120 pays du monde et évidemment la première franchise historique de Canal+. Et au bout de dix ans, puisqu'on a fêté le 27 avril dernier les dix ans du « Bureau des légendes », on est toujours dans le top 10 des émissions, des feuilletons et des séries de Canal+. Donc voilà, entre 95 et 100 millions de vues juste en France. À lire aussiCinéma africain: des productions ivoiriennes en quête de débouchés à Ouagadougou Alors, vous dites votre exigence, ça veut dire qu'avec Éric Rochant, vous avez travaillé et travaillé, notamment sur le narratif, c'est ça ? Évidemment, le génie d'Éric Rochant est d'avoir un muscle particulièrement développé pour trouver le romanesque à l'intérieur d'un univers fait de géopolitique, d'espionnage, de renseignement. Et donc voilà. Est-ce qu'il y a aujourd'hui de jeunes producteurs africains qui ont envie de suivre ce modèle porté par Éric Rochant et vous-même, est-ce qu'il y a des success stories possibles en Afrique centrale, en Afrique de l'Ouest ? Oui, j'en connais. D'abord, je vais mettre de côté le Nigeria qui est déjà un endroit très sophistiqué. Il y a beaucoup de producteurs. C'est le succès de Nollywood, bien sûr ? C'est Nollywood et c'est apprécié. Alors, pour répondre à ce que vous avez dit, ce qui est important pour moi, ça a été de rencontrer des gens comme Alex Ogou, des gens comme Mamane [également chroniqueur à RFI] directement à Abidjan. De voir quel était l'incroyable richesse que pouvaient apporter ces producteurs. Ils sont très talentueux, ils sont en train de faire des choses incroyables. Je n'ai aucune leçon à leur apprendre. En fait, ils sont juste limités parfois par le manque de moyens que les grands diffuseurs et les premiers diffuseurs n'ont pas. Il y a besoin d'un peu plus de formation. Je parlais avec une productrice qui s'appelle Kimberley Azria, qui fait aussi beaucoup de choses, qui m'impressionne beaucoup sur ce qu'elle fait. Elle vient de signer un accord au Bénin pour une nouvelle série. Et donc c'est très excitant, pour un vieux producteur indépendant comme moi, de voir cette richesse et cette jeunesse qui est en train de tout casser. Moi, mon ambition, c'est d'essayer d'aider à créer une ou plusieurs séries avec des producteurs ivoiriens ou d'ailleurs. Mais en tout cas, c'est mon ambition. On me dit Alex Berger que, l'an dernier, lors de votre première visite au SICA, vous avez évoqué la possibilité de créer une version africaine du « Bureau des légendes ». C'est vrai ? Absolument. Nous sommes en train de développer une version localisée, en tout cas en Afrique de l'Ouest, du « Bureau des légendes ». On a écrit un script, on a des gens qui travaillent dessus et c'est n'est pas simple. Parfois la géopolitique va plus vite que nos scénaristes et donc on est obligé d'adapter. Mais en effet, il y a une version qui est en train d'être développée du « Bureau des légendes » et donc voilà. Et qu'on pourra voir d'ici combien de temps ? Alors, j'aimerais pouvoir vous répondre vite. Je pense que ce n'est pas réaliste de dire que ce sera à l'antenne avant 2027. Vous avez déjà le titre ou pas ? « Le bureau secret » ou « Le bureau Afrique ». À lire aussiAudiovisuel en Côte d'Ivoire: des initiatives privées pour pallier le manque de main-d'œuvre

Chronique de Mamane
Braquage à la gondwanaise

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jun 26, 2025 2:53


Au cinéma, on n'a pas encore fait de film sur les braquages à la gondwanaise.

Chronique de Mamane
Travailleur défiscalisé, ubérisé

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jun 26, 2025 2:50


Le Gondwanais Lambda n'a ni prénom ni nom de famille; il n'est qu'un vulgaire pourcentage, un zéro après la virgule. Il est en vente libre, le travailleur gondwanais…

Chronique de Mamane
Les différentes catégories de fonctionnaires au Gondwana

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jun 25, 2025 2:42


En très très démocratique république, le rêve de tout jeune est de devenir fonctionnaire. Il y a différents types de fonctionnaires au Gondwana…

Chronique de Mamane
Les différentes catégories de fonctionnaires au Gondwana

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jun 25, 2025 2:42


En très très démocratique république, le rêve de tout jeune est de devenir fonctionnaire. Il y a différents types de fonctionnaires au Gondwana…

Chronique de Mamane
Missiles balistiques et Dôme de fer dans la Cour de Récré

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 3:00


Dans la Cour de Récré, ce mois de juin n'est pas de tout repos.

Chronique de Mamane
Missiles balistiques et Dôme de fer dans la Cour de Récré

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 3:00


Dans la Cour de Récré, ce mois de juin n'est pas de tout repos.

Invité Afrique
Neila Tazi, fondatrice du Festival Gnaoua: «La culture doit être au top des priorités»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jun 21, 2025 5:14


Direction Essaouira, au Maroc, où s'est tenue du 19 au 21 juin la 26e édition du Festival Gnaoua, qui défend cette culture séculaire, cette transe thérapeutique qui lie le chant, la musique et la danse. Le festival est devenu au fil du temps un lieu de connexion, de débats importants à l'échelle du continent africain et bien au-delà. La fondatrice du Festival Gnaoua est notre Grande invitée Afrique. Neila Tazi répond aux questions de Guillaume Thibault, notre envoyé spécial à Essaouira.

Chronique de Mamane
Guerre entre les terroristes

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jun 19, 2025 2:57


Au Gondwana aussi, la lutte anti-terroriste présente plusieurs visages.

Chronique de Mamane
Guerre entre les terroristes

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jun 19, 2025 2:57


Au Gondwana aussi, la lutte anti-terroriste présente plusieurs visages.

Chronique de Mamane
Les billets travaillent au Gondwana

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jun 18, 2025 2:40


Au Gondwana les billets de banque ne connaissent pas le chômage.

Chronique de Mamane
Les billets travaillent au Gondwana

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jun 18, 2025 2:40


Au Gondwana les billets de banque ne connaissent pas le chômage.

Chronique de Mamane
Combattants et civils

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jun 17, 2025 2:39


La première qualité d'un militaire est de faire la différence entre un combattant et un civil.

Invité Afrique
«Les années Biya»: l'écrivain camerounais Haman Mana décrypte le parcours présidentiel de Paul Biya

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jun 17, 2025 7:57


Les années Biya, c'est le titre du livre qui vient de paraître aux Éditions du Schabel. Dans cette enquête de 700 pages, bâtie sur des confidences et des archives inédites, l'essayiste camerounais Haman Mana raconte en détail les 42 années et demie du président Paul Biya à la tête du Cameroun. Les succès comme les échecs. Tour à tour journaliste à Cameroon Tribune, puis directeur de publication au journal Mutations, puis patron du journal Le Jour, Haman Mana a été le témoin de beaucoup d'évènements sous la présidence de Paul Biya. À quatre mois de la présidentielle, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier.  RFI : Haman Mana, l'un des temps forts de votre livre, c'est la présidentielle d'octobre 1992. Paul Biya a dû accorder le multipartisme. Dans le pays d'à côté, le Congo-Brazzaville, le président Denis Sassou Nguesso vient d'être battu par Pascal Lissouba. C'est le vent du changement. Et pourtant, Paul Biya est officiellement réélu, mais avec seulement quatre points d'avance sur John Fru Ndi, un score très serré. Est-ce à dire que le parti au pouvoir RDPC était moins aguerri, moins fort qu'aujourd'hui ? Haman Mana : Le parti RDPC était moins sophistiqué dans sa capacité à manipuler les chiffres. À l'époque, je pense qu'il y a une grande mobilisation autour du Social Democratic Front. De John Fru Ndi ? De John Fru Ndi et il y a ce raz-de-marée vers les urnes qui fait que tout le monde est d'accord là-dessus aujourd'hui. C'est John Fru Ndi qui a remporté ces élections, mais ce n'est qu'en dernière minute, à la Commission nationale de recensement des votes, avec un afflux de votes venant tardivement de l'Extrême Nord, qu'on a dû corriger les résultats. J'en parle parce que je suis un témoin oculaire. J'étais jeune journaliste à Cameroun Tribune et c'est moi qui ai couvert non-stop. On a appelé ça la Commission nationale de recensement des votes. Non, je pense que le pouvoir n'était pas encore aguerri dans ces techniques de modification des résultats de vote. Voilà. Vous rappelez aussi qu'en octobre 1992, le Nordiste Bello Bouba Maigari arrive troisième avec 19 % des voix. Est-ce que l'opposition aurait gagné si Fru Ndi et Bello n'avaient pas été divisés ? Si l'opposition avait été unie, peut-être que John Fru Ndi aurait gagné. Mais maintenant, c'est sans compter avec la volonté absolue, la volonté claire du Rassemblement démocratique du peuple camerounais et de Paul Biya de rester au pouvoir. Alors John Fru Ndi est décédé, mais Paul Biya et Bello Bouba Maigari sont toujours là. Est-ce que vous pensez qu'on va les revoir tous les deux comme candidats en octobre prochain ? Ecoutez, ça dépend de l'arithmétique. À l'heure actuelle, on sait que Bello Bouba, politiquement peut-être, n'est plus ce qu'il était à cette époque-là. Donc cela fera partie des calculs. Maintenant, il y a l'inconnue Maurice Kamto. Est ce qu'on acceptera sa candidature ? À ce qu'il me semble, peut-être que Bello Bouba Maigari n'est pas un protagoniste décisif dans l'élection de 2025, sauf s'il adoube Maurice Kamto. Autre temps fort dans votre livre, la querelle territoriale entre le Cameroun et le Nigeria sur la presqu'île de Bakassi. On est en 1994 et vous dites que là, c'est une réussite pour le régime de Paul Biya ? Oui, bien sûr. Mon livre est là pour rendre compte de ce qui s'est passé. Mon livre n'est pas là pour peindre en noir un régime. Non. Et ce qui me semble, tout le monde est d'accord là-dessus, Paul Biya a bien joué. C'est une carte qu'il a bien jouée par une forme de pondération, par une forme d'utilisation de ses relais internationaux et également par l'expertise juridique locale. C'est là où on retrouve Maurice Kamto. On savait déjà que Maurice Kamto n'était pas forcément quelqu'un de favorable au régime en place, mais compte tenu de son expertise, il était l'une des figures de proue de l'équipe et, après avoir remporté sur le plan juridique, Paul Biya a engagé une négociation politique pour pouvoir obtenir ce qu'il avait gagné juridiquement. Là, c'était bien joué. Pendant ces 43 années de présidence de Paul Biya, il y a dans votre livre plusieurs fils conducteurs, la corruption, la répression. Vous parlez notamment des plus de 100 jeunes émeutiers de la faim qui sont tués à Douala en février 2008. Pourquoi avez-vous tenu à faire le portrait de l'ancien Secrétaire général de la présidence, Marafa Hamidou Yaya, qui est en prison depuis 2012 ? Oui, c'est pour dire l'absurdité qui entoure la question de la succession de Monsieur Biya et ceci depuis le début des années 2000. C'est-à-dire qu'il est question de couper en réalité toutes les têtes qui dépassent. Voilà ! Oui, vous citez l'ambassadeur des États-Unis à Yaoundé qui dit que « Marafa est en prison parce qu'il a pensé au pouvoir ». Exactement. Ça, ce sont les fuites de Wikileaks qui ont mis cela dehors. Et voilà ce qu'il est advenu. Et puis, dans votre livre, vous dites : « Je raconte le long chemin sur lequel Paul Biya a mené le Cameroun au bord de l'abîme, non sans la complicité de ce peuple qui, paresseusement, s'est laissé choir. » Oui, je pense que c'est trop facile de dire que Paul Biya a fait ci, Paul Biya a fait ça. La société civile camerounaise, le peuple camerounais, se lie lui-même les mains dans un pacte de paresse, de corruption. Non, en réalité, chez moi, il est plus question de piquer l'orgueil des uns et des autres afin qu'ils se ressaisissent. En réalité, c'est un appel à la réappropriation du Cameroun par les Camerounais. À lire aussiCameroun: à 92 ans, Paul Biya investit les réseaux sociaux à cinq mois de la présidentielle

Chronique de Mamane
Combattants et civils

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jun 17, 2025 2:39


La première qualité d'un militaire est de faire la différence entre un combattant et un civil.

Chronique de Mamane
Information et propagande de guerre

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jun 16, 2025 2:32


En temps de guerre, il faut savoir faire le tri entre l'information et la propagande…

Chronique de Mamane
Information et propagande de guerre

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jun 16, 2025 2:32


En temps de guerre, il faut savoir faire le tri entre l'information et la propagande…

Reportage Afrique
Côte d'Ivoire: sortie d'une série télé sur les «220 logements»

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Jun 16, 2025 3:03


Depuis ce lundi 16 juin, la chaîne A+, filiale de Canal+, diffuse une nouvelle série adaptée d'une pièce de théâtre ivoirienne : « Les 220 logements ». Saga historique dans un quartier populaire d'Abidjan, où se mélange l'humour, l'amour, les péripéties de la vie quotidienne, les événements sociaux et politiques qui ont fait l'histoire de la Côte d'Ivoire depuis le début des années 1990.  C'est l'histoire d'une pièce de théâtre, « 220 logements », qui a eu son petit succès à Abidjan et devient une série télévisée. 220 logements, quartier emblématique d'Abidjan, où ont vu le jour les premiers grands ensembles d'habitation. Des immeubles où se mélangeaient histoire politique, histoire d'amour et plaisanterie de maquis. C'est sur les lieux mêmes des 220 logements, à Adjamé, que la production de Plan A a posé ses caméras pour mieux s'imprégner de l'ambiance de l'époque, et raconter une saga débutant en 1990. L'acteur Jean-Brice Traore incarne « Joli garçon », un étudiant amoureux de la jolie Léo et leader du syndicat Fesci, sur le campus Houphouët-Boigny : « J'ai 33 ans, je suis né en 1992. J'étais petit quand tout ça s'est passé. Quand nous sommes venus tourner ici, nous avons découvert des gens accueillants. Beaucoup de personnes viennent nous raconter ce qu'ils ont vécu à cette période-là. Franchement, c'est génial ». Gaston habite les 220 logements depuis 1968. Il observe les équipes de tournage filmer un bout d'une vie qu'il a bien connue : « C'est un honneur pour nous que ça se passe dans notre quartier. Tout ça, c'était la brousse avant. Et on assiste petit à petit à l'évolution d'Abidjan ». Sous la direction du metteur en scène Souleymane Sow, les comédiens répètent le texte adapté pour la chaîne A+, par son auteur Chantal Djédjé : « Dans la série, on va retrouver des éléments qui ont composé la Côte d'Ivoire des années 1990 à 1995, donc les mouvements estudiantins qui clament des changements politiques, mais il y a toujours la vie de quartier et l'amour qui peuvent support la bonne humeur à l'ivoirienne ». La vie et les péripéties d'un pays à travers celle d'un quartier ancien, mais toujours debout à Adjamé. « Les 220 logements », ce sont 105 épisodes d'une histoire pas comme les autres, celle de la Côte d'Ivoire.  À lire aussiAudiovisuel en Côte d'Ivoire: des initiatives privées pour pallier le manque de main-d'œuvre

Invité Afrique
La littérature de Sony Labou Tansi était «une forme de rupture» qui a «donné de la puissance à ses textes»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jun 14, 2025 7:27


Ce samedi 14 juin, cela fait trente ans que nous a quittés Sony Labou Tansi, un écrivain, poète et dramaturge congolais majeur, dont l'œuvre satirique et engagée a dénoncé la corruption et la dictature tout en célébrant la vitalité humaine et l'espoir. Qui était cet auteur, qu'a-t-il écrit ? Pour en parler, nous recevons aujourd'hui Xavier Garnier, professeur de littératures française et francophone à l'université Sorbonne-Nouvelle à Paris. Il répond aux questions de Laurent Correau.   À lire aussiL'écrivain Sony Labou Tansi, une deuxième vie, 20 ans après sa mort

Chronique de Mamane
Valeurs de dialogue

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jun 12, 2025 2:40


Le Gondwana est régi par des valeurs qui prennent leurs racines.  (Rediffusion du 05 octobre 2023)

Chronique de Mamane
Valeurs de dialogue

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jun 12, 2025 2:40


Le Gondwana est régi par des valeurs qui prennent leurs racines.  (Rediffusion du 05 octobre 2023)

Chronique de Mamane
Grand-frère et petit-frère au Gondwana

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jun 11, 2025 2:58


Au Gondwana aussi, quand tu veux paralyser une discussion, tu joues de ton âge.

Chronique de Mamane
Grand-frère et petit-frère au Gondwana

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jun 11, 2025 2:58


Au Gondwana aussi, quand tu veux paralyser une discussion, tu joues de ton âge.

Chronique de Mamane
Fâcherie dans la cour de récré

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jun 10, 2025 2:44


Dans la cour de récré, les amitiés se créent tous les jours mais se rompent tout aussi rapidement.

Chronique de Mamane
Fâcherie dans la cour de récré

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jun 10, 2025 2:44


Dans la cour de récré, les amitiés se créent tous les jours mais se rompent tout aussi rapidement.

Chronique de Mamane
Pas de vacances pour les hommes politiques

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jun 9, 2025 2:50


Au Gondwana, comme ailleurs, l'homme politique est toujours en campagne même quand il dort. Il n'est jamais en vacances.

Invité Afrique
«Warassa»: le premier long-métrage du réalisateur tchadien Aaron Padacké Zégoubé en projection à Paris

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jun 7, 2025 5:38


Après avoir fait des études de cinéma en Algérie et au Cameroun, le réalisateur tchadien Aaaron Padacké Zégoubé, appartient à une nouvelle génération de cinéastes africains. Il a plusieurs films à son actif, mais il reste relativement peu connu du grand public. Après deux courts métrages, il réalise un documentaire, Sur les traces de Toumaï. Ce film a fait sa renommée parmi les nouveaux réalisateurs et lui a valu, en 2024, le prix du meilleur documentaire au Camp International des cinéastes d'Afrique à Ouidah au Bénin. Depuis, son premier long-métrage de fiction Warassa (« héritage », en français) est projeté aujourd'hui à Paris. Le réalisateur est l'invité de RFI. ► Le film-documentaire Sur les traces de Toumaï, du cinéaste tchadien Aaaron Padacké Zégoubé, avait attiré l'attention du milieu.

Chronique de Mamane
Il y a différents types de calendriers au Gondwana

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jun 5, 2025 2:38


Les Gondwanais ont un calendrier spécifique, bien à eux. Ce n'est pas un calendrier chrétien, encore moins musulman, c'est le calendrier militaire…

Chronique de Mamane
Majorité ou minorité syndicale

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jun 4, 2025 2:45


Il est important de dire qu'au Gondwana, la vie syndicale est très règlementée. Contrairement aux rumeurs malveillantes propagées par les jaloux saboteurs aux yeux de crocodiles, au Gondwana, il y a des règles à respecter, mais aussi et surtout des règles pour taper sur les doigts des gens qui ne respectent pas ces règles là.

Chronique de Mamane
C'est toi qui vas changer ce pays ?

Chronique de Mamane

Play Episode Listen Later Jun 3, 2025 2:45


Il y a un talent que tout visiteur en villégiature au Gondwana se doit de posséder et perfectionner, c'est l'art de capter les tendances et les leçons de survie en milieu gondwanais. Elles sont distillées toutes les secondes en « très très démocratique République » pour qui sait écouter.