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« La sentence est tombée, lourde comme un couperet dans le silence feutré de la Haute cour militaire, constate Le Journal de Kinshasa. Ce mardi, l'ombre de Joseph Kabila a été officiellement condamnée à la peine de mort. Pour "trahison" et "participation à un mouvement insurrectionnel", la justice militaire a tranché. Aucune circonstance atténuante n'a été retenue. Le principal concerné, qui vit en exil, n'était qu'un fantôme. Le réquisitoire, impitoyable, dressait le portrait d'un homme non plus en chef d'État, mais en chef de guerre. La Cour a épousé ces allégations, peignant une réalité sombre. Elle affirme que, dans l'ombre, l'ancien président tenait à Goma et Bukavu de "véritables réunions d'état-major". Il inspectait des centres d'instruction de rebelles et se comportait en "chef incontesté de tous les mouvements rebelles" (…). Le jugement est sans appel : Joseph Kabila est désormais qualifié de "chef de la coalition AFC/M23" ». Pas de réaction pour l'instant de l'intéressé. Juste un communiqué de son parti, le FCC, le Front commun pour le Congo, publié sur le site congolais 7 sur 7 : « le FCC dénonce "la restauration de la dictature" et l'instrumentalisation "croissante, tant de la justice que de la puissance publique à des fins politiques". Le FCC, qui se positionne comme une force politique "considérable" de l'opposition, promet de combattre cette condamnation qu'elle juge "inacceptable" ». Séisme politique… Ce « verdict est une première depuis l'indépendance du Congo, en 1960 », constate le site spécialisé sur la RDC Afrikarabia : « avec une peine très lourde, des dommages et intérêts pour les victimes de l'AFC/M23 stratosphériques de plus de 30 milliards de dollars (soit deux fois le budget de l'État congolais), et désormais un ancien président en cavale et recherché par la justice congolaise. (…) Cette condamnation à mort de Kabila représente un petit séisme politique en RDC, pointe encore Afrikarabia. Ce verdict résonne d'abord comme un message d'avertissement et "préventif" à l'attention de toutes les personnes qui souhaiteraient rejoindre les rangs rebelles. (…) Et elle brise une possible coalition anti-Tshisekedi, avec à sa tête Joseph Kabila associé à une myriade d'opposants. Elle disqualifie enfin l'ex-président, aux yeux de Kinshasa, comme interlocuteur à un potentiel dialogue national ». Un « goût d'inachevé » ? Pour Le Monde Afrique, « en l'absence de l'accusé et sans avocat pour le défendre à l'issue d'une instruction bâclée, ce procès expéditif laisse un goût d'inachevé ». Avec « des charges qui reposent implicitement sur l'autorité, directe mais supposée, qu'exercerait Joseph Kabila sur la rébellion du M23. (…) D'un naturel taiseux, naviguant entre le Zimbabwe – où, selon une source, il se trouverait actuellement –, l'Afrique du Sud et la Zambie, l'ancien président avait finalement brisé le silence le 18 mars dernier, depuis Johannesburg, rappelle Le Monde Afrique, pour nier tout lien avec le M23. La plupart des observateurs jugent toutefois que Corneille Nangaa (l'un de ses fidèles lorsqu'il était au pouvoir) ne serait pas entré dans la rébellion armée sans, au minimum, l'onction de Joseph Kabila ». Et « beaucoup ont cru discerner l'ambition de ce dernier de revenir aux affaires lorsque Corneille Nangaa a exprimé son intention de renverser le pouvoir par les armes ». « Attiser le feu » ? La presse ouest-africaine s'interroge : « à quoi servira cette condamnation de Joseph Kabila ? » se demande WakatSéra à Ouagadougou. « N'est-ce pas plutôt le meilleur moyen de raidir les positions et d'attiser le feu dans l'est de la RD Congo ? (…) En tout cas, les populations civiles continuent, elles, de vivre l'enfer, alors que la convoitise des acteurs et commanditaires de la guerre, pour les richesses minières de la RD Congo, ne fait que croître ». Enfin pour Ledjely en Guinée, ce « verdict pourrait être perçu par l'opposition politique congolaise comme une manœuvre d'intimidation à l'encontre de toutes les voix dissidentes, en prévision du troisième mandat que Félix Tshisekedi caresse en secret l'ambition de briguer. C'est dire, conclut le site guinéen, que la condamnation prononcée contre Kabila pourrait contribuer à dégrader davantage les rapports de confiance entre les acteurs de la scène politique congolaise. Une méfiance qui ne pourra que galvaniser ceux dont les intérêts prospèrent dans l'insécurité chronique qui sévit en RDC depuis une trentaine d'années ».
« La sentence est tombée, lourde comme un couperet dans le silence feutré de la Haute cour militaire, constate Le Journal de Kinshasa. Ce mardi, l'ombre de Joseph Kabila a été officiellement condamnée à la peine de mort. Pour "trahison" et "participation à un mouvement insurrectionnel", la justice militaire a tranché. Aucune circonstance atténuante n'a été retenue. Le principal concerné, qui vit en exil, n'était qu'un fantôme. Le réquisitoire, impitoyable, dressait le portrait d'un homme non plus en chef d'État, mais en chef de guerre. La Cour a épousé ces allégations, peignant une réalité sombre. Elle affirme que, dans l'ombre, l'ancien président tenait à Goma et Bukavu de "véritables réunions d'état-major". Il inspectait des centres d'instruction de rebelles et se comportait en "chef incontesté de tous les mouvements rebelles" (…). Le jugement est sans appel : Joseph Kabila est désormais qualifié de "chef de la coalition AFC/M23" ». Pas de réaction pour l'instant de l'intéressé. Juste un communiqué de son parti, le FCC, le Front commun pour le Congo, publié sur le site congolais 7 sur 7 : « le FCC dénonce "la restauration de la dictature" et l'instrumentalisation "croissante, tant de la justice que de la puissance publique à des fins politiques". Le FCC, qui se positionne comme une force politique "considérable" de l'opposition, promet de combattre cette condamnation qu'elle juge "inacceptable" ». Séisme politique… Ce « verdict est une première depuis l'indépendance du Congo, en 1960 », constate le site spécialisé sur la RDC Afrikarabia : « avec une peine très lourde, des dommages et intérêts pour les victimes de l'AFC/M23 stratosphériques de plus de 30 milliards de dollars (soit deux fois le budget de l'État congolais), et désormais un ancien président en cavale et recherché par la justice congolaise. (…) Cette condamnation à mort de Kabila représente un petit séisme politique en RDC, pointe encore Afrikarabia. Ce verdict résonne d'abord comme un message d'avertissement et "préventif" à l'attention de toutes les personnes qui souhaiteraient rejoindre les rangs rebelles. (…) Et elle brise une possible coalition anti-Tshisekedi, avec à sa tête Joseph Kabila associé à une myriade d'opposants. Elle disqualifie enfin l'ex-président, aux yeux de Kinshasa, comme interlocuteur à un potentiel dialogue national ». Un « goût d'inachevé » ? Pour Le Monde Afrique, « en l'absence de l'accusé et sans avocat pour le défendre à l'issue d'une instruction bâclée, ce procès expéditif laisse un goût d'inachevé ». Avec « des charges qui reposent implicitement sur l'autorité, directe mais supposée, qu'exercerait Joseph Kabila sur la rébellion du M23. (…) D'un naturel taiseux, naviguant entre le Zimbabwe – où, selon une source, il se trouverait actuellement –, l'Afrique du Sud et la Zambie, l'ancien président avait finalement brisé le silence le 18 mars dernier, depuis Johannesburg, rappelle Le Monde Afrique, pour nier tout lien avec le M23. La plupart des observateurs jugent toutefois que Corneille Nangaa (l'un de ses fidèles lorsqu'il était au pouvoir) ne serait pas entré dans la rébellion armée sans, au minimum, l'onction de Joseph Kabila ». Et « beaucoup ont cru discerner l'ambition de ce dernier de revenir aux affaires lorsque Corneille Nangaa a exprimé son intention de renverser le pouvoir par les armes ». « Attiser le feu » ? La presse ouest-africaine s'interroge : « à quoi servira cette condamnation de Joseph Kabila ? » se demande WakatSéra à Ouagadougou. « N'est-ce pas plutôt le meilleur moyen de raidir les positions et d'attiser le feu dans l'est de la RD Congo ? (…) En tout cas, les populations civiles continuent, elles, de vivre l'enfer, alors que la convoitise des acteurs et commanditaires de la guerre, pour les richesses minières de la RD Congo, ne fait que croître ». Enfin pour Ledjely en Guinée, ce « verdict pourrait être perçu par l'opposition politique congolaise comme une manœuvre d'intimidation à l'encontre de toutes les voix dissidentes, en prévision du troisième mandat que Félix Tshisekedi caresse en secret l'ambition de briguer. C'est dire, conclut le site guinéen, que la condamnation prononcée contre Kabila pourrait contribuer à dégrader davantage les rapports de confiance entre les acteurs de la scène politique congolaise. Une méfiance qui ne pourra que galvaniser ceux dont les intérêts prospèrent dans l'insécurité chronique qui sévit en RDC depuis une trentaine d'années ».
Joseph Kabila a été condamné à mort mardi à Kinshasa. L'ex-président de la République démocratique du Congo (RD Congo) a été condamné par contumace à l'issue d'un procès devant la justice militaire du pays. Il a été jugé coupable de "trahison" et de "crimes de guerre".
Bintou Keita declarou ao Conselho de Segurança que realidade no terreno segue marcada por violência; desde junho, Monusco registrou cerca de 1.087 civis mortos em Kivu do Norte e Ituri; grupos de oposição ao governo treinam novos recrutas e executam civis.
durée : 00:10:13 - Les sorties cinéma de la semaine - par : Christine Masson, Laure DELMAS - Une satire de l'Amérique d'aujourd'hui, une comédie féroce sous fond de lutte de classes, le dilemne moral d'une huissière, celui qui répare les femmes en RD-Congo, quels films irez-vous voir cette semaine ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Vital Kamerhe, président de l'Assemblée nationale congolaise, a finalement démissionné, anticipant ainsi une destitution. Lui et quatre autres membres de son bureau étaient visés par des pétitions réclamant leur départ. Ils sont accusés de "gestion opaque" et d'entrave au contrôle parlementaire.
En RD Congo, un nouveau contingent de l'AFC/M23 a été présenté lors d'une cérémonie organisée dans son centre de formation au nord de Goma. Des images ont fait le tour des réseaux sociaux et qui laisse craindre une escalade de violences dans l'est congolais.
Porte-parole du gouvernement congolais, ministre de la Communication et des médias, Patrick Muyaya était dans le journal de l'Afrique pour aborder la situation dans l'est, les négociations de paix et la question de la reconnaissance des génocides au Congo.
Jornal da ONU, com Felipe de Carvalho:*Iniciativa da Opas quer combater aumento de casos de suicídio nas Américas*Ataque israelense ao Catar é um “novo e perigoso capítulo” no Oriente Médio*Autoridades na RD Congo pedem permanência de Missão de Paz da ONU*ONU destaca papel da Cooperação Sul-Sul na revitalização do multilateralismo
Ataques armados mataram 89 civis mortos somente em um dia; subsecretário-geral da ONU para Operações de Paz concluiu visita ao país reforçando cooperação; Missão tem papel chave na proteção de campos de deslocados.
Au moins 89 personnes ont été tuées dans la nuit de lundi à mardi dans l'est de la République démocratique du Congo, au cours de deux attaques simultanées menées par des rebelles ADF et visant principalement des civils.
Après une nuit de festivités, l'Éthiopie a inauguré ce mardi matin le plus grand barrage hydroélectrique d'Afrique. Il aura fallu 14 années de travail pour mettre en fonctionnement l'ouvrage de 1800m de long. Une construction contestée par les pays situés en aval du Nil.
En RD Congo, la situation est tendue à Uvira. Depuis plusieurs jours, des affrontements opposent l'armée congolaise et les groupes armés censés l'appuyer dans sa lutte contre l'AFC/M23. Ces tensions sont apparues avec la nomination d'un militaire haut-gradé dans cette ville de la province du Sud-Kivu. L'armée évoque une manipulation de l'AFC/M23.
Agência da ONU apoia ações para conter a 16ª. epidemia registrada no país centro-africano desde 1976; último episódio, em abril de 2022, durou cerca de um mês; 28 casos suspeitos foram confirmados na província congolesa de Kassai.
En RD Congo, nouvelles tensions dans la localité d'Uvira, deuxième ville de la province du Sud-Kivu. Des manifestations de colère des groupes armés locaux ont éclaté après la nomination d'un nouveau chef des renseignements dans la ville.
Dalle maglie europee ai minerali del Kivu: perché lo sport è politica. Con l'analisi di Vincenzo LacerenzaLe Presidenziali in Camerun sotto il peso del "dinosauro" e l'affermarsi della "Lingua Capitale" in Africa, nel nuovo numero di settembre di Nigrizia, con la voce del direttore, Giuseppe Cavallini
En RD Congo, le verdict est tombé dans le procès de Constant Mutamba. L'ancien ministre de la Justice a été condamné à trois ans de travaux forcés et cinq ans d'inéligibilité pour détournement de fonds publics initialement alloués à la construction d'une prison. C'est la fin d'une saga judiciaire qui aura duré plusieurs mois à Kinshasa.
En RD Congo, la rentrée des classes est particulière dans l'est du pays : c'est la première depuis la prise de contrôle des territoires dans le Nord et le Sud-Kivu. Malgré les doutes sur cette rentrée scolaire, les écoliers ont répondu présents. Reportage d'Aurélie Bazzara-Kibangula et Fidèle Kitsa.
Alto comissário Filippo Grandi visitou também Ruanda, o país vizinho, para tratar da crise de deslocados; expectativa é que volta ao lar seja gradual; mais de 1,3 milhão congoleses entram em Burundi, Ruanda e Uganda após onda de violência.
Le nord du Mali a été ciblé par les jihadistes, qui ont procédé à des exécutions de civils dans la région de Ménaka. Mardi, ce sont des positions de l'armée qui ont été attaquées dans au moins trois localités. Ce jeudi, des populations civiles quittaient toujours des villages pour se protéger.
La brutalité des parties belligérantes dans l'est de la RD Congo "ne connaît aucune limite", selon le directeur régional d'Amnesty international en Afrique de l'Est. Un nouveau rapport de l'ONG qui fait d'état d'atrocités, d'"exécutions sommaires de civils congolais, d'hôpitaux attaqués, de patients enlevés". Les violences pourraient s'apparenter à des crimes de guerre.
Il y a cinq ans, en août 2020, le président malien Ibrahim Boubacar Keita était délogé du pouvoir par un coup d'État militaire. Moins d'un an après, le colonel Assimi Goïta a de nouveau renversé le pouvoir et est depuis à la tête du Mali. Quel bilan pour les militaires depuis leur prise de pouvoir ?
Depuis bientôt une semaine, l'ancien Premier ministre malien Choguel Maïga est en garde à vue au pôle national économique et financier de Bamako. Il fait l'objet d'enquêtes pour détournements présumés de deniers publics.
Le président français Emmanuel Macron a officiellement reconnu que la France avait mené "une guerre" au Cameroun contre des mouvements insurrectionnels avant et après l'indépendance de 1960, marquée par des "violences répressives", dans un courrier à son homologue camerounais Paul Biya rendu public mardi.
El hambre y la malnutrición siguen aumentando en Gaza. ONU Derechos Humanos condena los asesinatos en RD Congo. El calor extremo afecta a cientos de millones de personas en todo el mundo. El maltrato sigue siendo común en la atención materna y neonatal.
Une nouvelle attaque dans le nord-est de la République démocratique du Congo a eu lieu dans la nuit de samedi à dimanche : une église de Komanda, dans l'Ituri, a été prise d'assaut par des hommes armés membres des Forces démocratiques alliées (ADF), un groupe ougandais affilié à l'État islamique. Au moins 43 personnes ont été tuées, selon un rapport de la Mission des Nations Unies en RD Congo (MONUSCO). Les précisions d'Emett Livingstone, correspondant de France 24 à Kinshasa.
Suite de la série qui vous emmène à la découverte des sports traditionnels sur le continent africain. Pour ce septième épisode, RFI vous emmène en République démocratique du Congo, où le catch est un sport populaire agrémenté de pratiques mystiques vaudous. De notre correspondante à Kinshasa, En RDC, le catch, c'est toute une histoire. De la lutte classique, on est passé, dans les années 1980, au catch avec comme particularité le caractère spectaculaire, mystique et exhibitionniste des catcheurs. Une formule qui a fait recette et remplie des stades du pays pendant plusieurs années. Coiffée d'une crête, visage recouvert de talc ou encore canne en main imprégnée de « pouvoirs mystiques », chaque catcheur choisit son style pour se démarquer des autres ou pour marquer son territoire. Le spectacle, c'est la particularité du catch congolais. Ici, la technique n'assure pas forcément la victoire. Le fétiche et les gris-gris jouent aussi leur rôle. « On ne peut pas faire de catch sans fétiches. Le catch a ses réalités. On a compris qu'une fois catcheur, on doit avoir quelque chose », raconte Ilunga Puma, alias Le Zulu. « Je me bats souvent avec mes voisins pour mesurer leur force. Mon coup de grâce, à moi, c'est une gifle mélangée au gri-gri. Je sais comment l'utiliser pour gagner », ajoute Rambo. Comment le catch classique a-t-il basculé au catch traditionnel ? Bertelemy Okito, ancien secrétaire général aux sports, a assisté à la genèse de cette version de la discipline : « On a inventé cette histoire de fétiche pour donner de l'ambiance au catch. Cela s'appelait toujours catch à l'époque. Il n'y avait pas deux sections. Quand nous avons en 2011 promulgué la loi sportive, on a mis deux types de catch. Le catch classique et le catch congolais. » Edingwe dit Moto na Ngenge, considéré comme père du catch traditionnel avec fétiche, a de son vivant régné et terrorisé tous ses adversaires avant de tomber sur Le Zulu, catcheur évoluant à Mbujimayi. « J'ai toujours utilisé beaucoup de clé. Je l'avais coincé avec une clé et c'était terminé. On avait compté jusqu'à trois et il avait perdu le combat », raconte Ilunga Puma. Avec la mort d'Edingwe, le catch a perdu sa figure la plus connue en RDC. Aujourd'hui, faute de producteurs, les spectacles se font de plus en plus rares. À lire aussiFootball: Dieumerci Mbokani, légende de la RD Congo, prend sa retraite
En République démocratique du Congo, le procès de Joseph Kabila a été renvoyé à la fin du mois de juillet. L'ancien président est inculpé de huit crimes graves, notamment de haute trahison et de participation à une insurrection armée.
En République démocratique du Congo, un procès très médiatisé de l'ancien ministre de la Justice s'est ouvert dans la capitale Kinshasa. Constant Mutamba, l'ancien ministre, est accusé d'avoir détourné près de 20 millions de dollars, mais il clame son innocence.
Une déclaration de principes a été conclue entre le gouvernement de la République démocratique du Congo et les rebelles du M23, soutenus par le Rwanda, qui ont pris le contrôle d'une partie du territoire et de deux grandes villes plus tôt cette année. Les deux parties ont accepté de travailler vers un cessez-le-feu permanent, et de commencer des négociations sur un accord de paix durable dans un délai d'un mois.
En RD Congo, la situation est tendue dans l'est du pays, où des affrontements ont été signalés ces derniers jours. Pourtant un accord de paix a été signé entre la RDC et le Rwanda à Washington fin juin. Des discussions de paix sont également en cours au Qatar, cette fois, entre les rebelles de l'AFC/M23 et les autorités congolaises.
L'armée française a mis fin jeudi à sa présence militaire permanente en Afrique de l'Ouest et centrale, lors d'une cérémonie solennelle et historique à Dakar, où elle a officiellement restitué ses deux dernières installations militaires françaises au Sénégal. Ce retrait français, amorcé ces dernières années, intervient alors que la région du Sahel est confrontée à des attaques jihadistes croissantes et meurtrières au Mali, au Burkina Faso et au Niger.
Cinq immigrés en situation irrégulière aux Etats-Unis et originaires de pays d'Asie ou des Caraïbes ont été expulsés vers l'Eswatini, petit pays d'Afrique australe, l'administration Trump ayant expliqué que leurs propres pays refusent d'accueillir ces "criminels".
Au Cameroun, les électeurs sont appelés aux urnes le 12 octobre 2025, pour élire leur président. Les candidats ont maintenant 10 jours pour déposer leur dossier de candidature à Élections Cameroon, l'organe en charge de l'organisation des élections. Le compte à rebours est donc enclenche pour un scrutin crucial et plein d'incertitudes pour l'avenir du pays. A ce jour, les candidatures des trois premiers du scrutin de 2018 suscitent encore des interrogations.
Cinq chefs d'État africains sont accueillis à la Maison Blanche pour un sommet de trois jours. Les présidents du Liberia, du Sénégal, de Mauritanie, de Guinée-Bissau et du Gabon ont été invités pour cette rencontre centrée officiellement sur des questions commerciales. L'Amérique revient en Afrique… non plus avec de l'aide humanitaire, mais avec des contrats.
Nouvelle journée meurtière au Kenya lors de manifestations anti-gouvernementales. Des affrontements, qui ont opposés des manifestants et les forces de l'ordre, ont fait au moins 10 morts, selon une ONG kenyane des droits humains. Depuis de nombreuses années, les manifestations au Kenya sont marquées par de lourds bilans humains.
Recebemos novamente nosso amigo Augusto Chidozie para falar sobre o acordo entre a Ruanda e RD Congo, além de outras notícias do continente-mãe.Também analisamos as últimas atualizações sobre acordos e negociações pelo Mundo, passando pelo Quad, Irã, Gaza e Síria.No mais, demos aquele tradicional pião pela nossa quebrada latino-americana, com destaque para a cúpula do MERCOSUL e também a Assembleia Geral da OEA.Aprenda tecnologia com a Alura com nosso desconto: https://alura.tv/xadrezverbalCampanha e comunicado sobre nosso amigo Pirulla: https://www.pirulla.com.br/
Au sommaire du Café des Sports du vendredi 4 juillet 2025 - 18h10 TU en direct sur RFI, France 24, Facebook Live et YouTube ! : - Mondial des Clubs ; - CAN féminine – Les Lionnes de l'Atlas veulent rugir à domicile ! ; - Lamine Yamal – des vacances très VIP… trop ? ; - Cartons Vidéo des auditeurs. - Mondial des Clubs PSG - Bayern et Real Madrid - Dortmund : le choc des géants européens du week-end ! Qui verra les demi-finales ? Duel de prestige… et de nerfs ! - CAN féminine – Les Lionnes de l'Atlas veulent rugir à domicile ! Maroc, RD Congo, Zambie, Sénégal : un groupe A très relevé. Le Maroc a-t-il les moyens de ses ambitions ? - Lamine Yamal – des vacances très VIP… trop ? Brésil avec Neymar, surf avec Medina, Ibiza avec Bad Gyal… yacht entre amis… À 17 ans, faut-il déjà s'inquiéter de la surexposition du jeune prodige espagnol ? - Cartons Vidéo des auditeurs Vos coups de cœur ou de griffes : les consultants tranchent et donnent les leurs ! Présentation : Annie Gasnier | Consultants : Rémy Ngono, Xavier Barret, Yoro Mangara, Fred Suteau. Chef d'édition : David Fintzel | TCR : Laurent Salerno | Réalisation vidéo : Yann Bourdelas et Steven Helsly.
Au sommaire du Café des Sports du vendredi 4 juillet 2025 - 18h10 TU en direct sur RFI, France 24, Facebook Live et YouTube ! : - Mondial des Clubs ; - CAN féminine – Les Lionnes de l'Atlas veulent rugir à domicile ! ; - Lamine Yamal – des vacances très VIP… trop ? ; - Cartons Vidéo des auditeurs. - Mondial des Clubs PSG - Bayern et Real Madrid - Dortmund : le choc des géants européens du week-end ! Qui verra les demi-finales ? Duel de prestige… et de nerfs ! - CAN féminine – Les Lionnes de l'Atlas veulent rugir à domicile ! Maroc, RD Congo, Zambie, Sénégal : un groupe A très relevé. Le Maroc a-t-il les moyens de ses ambitions ? - Lamine Yamal – des vacances très VIP… trop ? Brésil avec Neymar, surf avec Medina, Ibiza avec Bad Gyal… yacht entre amis… À 17 ans, faut-il déjà s'inquiéter de la surexposition du jeune prodige espagnol ? - Cartons Vidéo des auditeurs Vos coups de cœur ou de griffes : les consultants tranchent et donnent les leurs ! Présentation : Annie Gasnier | Consultants : Rémy Ngono, Xavier Barret, Yoro Mangara, Fred Suteau. Chef d'édition : David Fintzel | TCR : Laurent Salerno | Réalisation vidéo : Yann Bourdelas et Steven Helsly.
A quatre mois de l'élection présidentielle, la collecte des parrainages citoyens a commencé en Côte d'Ivoire. A Goma, l'AFC/M23 s'est exprimé pour la première fois dans une conférence de presse depuis l'accord signé entre Kigali et Kinshasa : ils ont demandé l'abandon des poursuites judiciaires à leur encontre. Enfin, nous recevons dans ce journal la réalisatrice Yamina Benguigui pour son film "Rumba congolaise, les héroïnes", sur la trace des oubliées de ce genre musical iconique.
L'avocate tunisienne Sonia Dahmani, qui purge déjà deux peines de 26 mois de prison au total, a été condamnée lundi à deux ans de prison supplémentaires. Elle était poursuivie dans une affaire liée à des déclarations critiquant le racisme envers les migrants dans son pays
RDCongo e Ruanda assinam acordo de paz. Polícia moçambicana disparou hoje gás lacrimogéneo contra apoiantes de Venâncio Mondlane. Ainda hoje, Venâncio Mondlane foi ouvido pela PGR, num processo sobre as manifestações pós-eleitorais. Guerras empurram questões climáticas para um segundo plano.
Au Kenya, des milliers de manifestants sont descendus dans les rues de plusieurs villes, un an jour pour jour après le premier anniversaire des manifestations anti-gouvernementales.
En RD Congo, l'AFC/M23 - groupe armé soutenu par le Rwanda - est accusé d'avoir transféré de force plus de 1 500 personnes de l'est du pays vers le Rwanda. Le groupe armé affirme qu'il s'agissait de citoyens rwandais. Mais Human Rights Watch évoque des retours involontaires constituant une violation du droit international.
En RD Congo, se rapproche-t-on de la signature d'un accord de paix entre la RDC et le Rwanda ? Les experts congolais et rwandais, réunis à Washington, ont paraphé un texte provisoire sur un accord de paix, sous l'égide des États-Unis. Il prévoit notamment la fin des hostilités dans l'est de la RDC.
Bintou Keïta, cheffe de la Monusco, s'est rendue à Goma — une première depuis que la ville est tombée aux mains des rebelles du M23. Un déplacement sous haute tension, alors que les initiatives diplomatiques se multiplient. Sur le plan politique les consultations pour un gouvernement d'union nationale peinent à réunir. Christian Moleka, analyste politique, coordonnateur national de la Dypol est notre invité pour décrypter la situation.
En RD Congo, c'est la première visite officielle de la cheffe de la Monusco depuis la prise de contrôle de Goma fin janvier par l'AFC/M23, appuyé par le Rwanda. Bintou Keita est dans la capitale provinciale pour une visite de trois jours. Elle a rencontré les chefs du groupe armé.