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Hey Spooksters! This week we are discussing The Dancing Plague of 1518. This strange case of dancing mania occurred in Strasbourg, Alsace, in the Holy Roman Empire from July 1518 to September 1518. It has been reported that up to 400 people took to dancing for weeks. We'll discuss some history, the almost month long event, theories, and more! Timestamps:00:00 - 04:18 Intro04:19 - 24:53 The Dancing PlagueDo you want AD FREE episodes published a day EARLY? Join the Spookster Fam at www.patreon.com/3spookedgirls Check out our Twilight Universe deep dive over on our sister show, Social Seance Society! We are available on all podcast platforms and on YouTube. click here for more. Join our book club, Spookster Literary Society! Check out the following link for our socials, Patreon, YouTube channel, & more https://linktr.ee/3spookedgirlsDo you have a true crime story or paranormal encounter you'd like to share? Please send us an email over to 3spookedgirls@gmail.com Thank you to Sarah Hester Ross for our intro music! Thank you to Edward October for our content warning! Hosted by Simplecast, an AdsWizz company. See pcm.adswizz.com for information about our collection and use of personal data for advertising.
Nous vivons tous et toutes des moments de transitions au cours de nos vies. Nous changeons d'emploi; nous connaissons des ruptures; nous déménageons dans une autre région. Comment réagissons-nous durant ces moments? Quelles sont nos sources de réconforts dans ces événements voulus ou non? Dans ce premier épisode de la quatrième saison, Joan et Stéphane nous partagent des moments personnels pour illustrer les réalités et les défis des transitions professionelles et intimes. Site internet: https://questiondecroire.podbean.com/ ApplePodcast: https://podcasts.apple.com/us/podcast/question-de-croire/id1646685250 Spotify: https://open.spotify.com/show/4Xurt2du9A576owf0mIFSj Réfome: https://www.reforme.net/podcast/ Contactez-nous: questiondecroire@gmail.com Notre commanditaire: L'Église Unie du Canada Moncredo.org * Musique de Lesfm, pixabay.com. Utilisée avec permission. * Photo de Caleb Jones, unsplash.com. Utilisée avec permission. Bonjour, bienvenue à Question de croire, un podcast qui aborde la foi et la spiritualité une question à la fois. Cette semaine, comment aborder les transitions professionnelles ? Bonjour Stéphane. Bonjour Joan. [Joan] On est de retour après un été un peu chargé de mon côté et du tien. [Stéphane] Oui, moi aussi. J'avais dit que j'étais pour faire des capsules, peut-être cet été. Je n'ai pas pu. Je m'en excuse à toutes les personnes qui sont à l'écoute. Ça a été très chargé. Un déménagement pour Joan [Joan] Et en parlant d'ailleurs de transition, là on va transitionner vers les soixante-dix ou septante quelque chose épisode. Bravo à nous ! [Stéphane] Oui, notre quatrième saison. [Joan] Et puis, moi j'ai une grosse transition cet été puisque ça y est, on a déménagé en famille en Suisse, après plusieurs années, voilà, d'exploration. Pour démarrer un petit peu la thématique de cet épisode, il y a un collègue il n'y a pas longtemps qui m'a écrit un WhatsApp comme ça, mais comme on dit en anglais, out of nowhere, c'est-à-dire vraiment qui est sorti de nulle part et il m'a écrit, peut-être qu'il se reconnaîtra, tu as trop de missions, je m'y perds dans ton cahier des charges. Et c'est vrai qu'entre cette période où j'étais entre l'Alsace et Zurich et puis l'Alsace et Lausanne, et maintenant j'ai un 80% pour les solidarités, notamment la migration et soutien aux paroisses autour d'Yverdon. Et j'ai aussi un 20% pour toute l'Église cantonale sur les questions d'inclusivité et de conjugalité plurielle. Alors moi, je le comprends. Il n'y a pas que lui qui est perdu. Je crois que mes parents sont perdus. Moi-même, des fois, je suis un peu perdue, mais vraiment très, très heureuse. Et puis aussi heureuse de te retrouver, Stéphane, et de retrouver les auditeuristes avec cet épisode de la rentrée. Les changements au travail [Stéphane] C'est vrai que ça peut être déstabilisant, mais en même temps, les transitions professionnelles, les changements, les nouveaux boulots, c'est une réalité de toutes les personnes. Ce n'est pas juste les pasteurs. Toutes les personnes à notre écoute, je suis pas mal convaincue, elles ont connu ou elles connaîtront beaucoup de changements de carrière, de boulot, de couple. Ça fait partie des choses normales de la vie, mais on dirait que c'est un petit peu plus difficile pour les pasteurs. On dirait que les gens aiment bien nous mettre comme dans une case. Toi, tu es pasteur à tel endroit, puis toi, tu es pasteur à un autre endroit, et on peut être là pendant 10, 15 ans, et les gens sont surpris qu'il y ait un changement. Tandis que pour monsieur et madame, tout le monde qui nous écoute, oui, il y en a qui demeurent dans la même boîte pendant 10-15 ans, mais il y en a plusieurs qui changent et on ne se casse pas la tête avec ça. Les transitions professionnelles [Joan] Ça me touche ce que tu dis parce qu'on a quitté vraiment une communauté qui était devenue une famille en Alsace, la paroisse Sous les Platanes, Grafenstaden, et on a eu droit à beaucoup de louanges, de prières, d'accompagnement pour cette transition. Et parmi les prières, il y avait aussi des prières qui étaient un petit peu des prières comme dans les psaumes, des prières un peu de lamentation. Au moment de nous envoyer, certains ont eu besoin de laisser monter un cri vers le Seigneur et de dire « Mais pourquoi Seigneur? Pourquoi tu nous les enlèves? On ne comprend pas, pourquoi est-ce que ça s'arrête? » C'est compliqué de comprendre les plans de Dieu. Et puis, en même temps, moi, je me disais, c'est beau de lancer ce cri vers Dieu. Et je trouve que cette confiance, elle est édifiante. Mais d'un autre côté, nous, on est des pasteurs. On est restés neuf années dans cette place. Je comprends tout à fait le cri vers le ciel. Et d'un autre côté, je me dis, notre vocation à nous, c'est d'être un peu en itinérance, d'être un peu en mouvement, en déplacement. Puis, comme tu dis, il y a beaucoup de métiers, en fait, où il y a du turnover. Je me rappelle l'une des réunions scolaires pour l'une de mes filles où le chef d'établissement a dit, « Écoutez, on va se mettre tout de suite d'accord. Là, on va parler des options, des options scolaires pour cette année. Mais maintenant, en fait, tout peut servir. » En fait, on n'est plus dans une époque où tu rentres dans une boîte et puis on te fait la fête d'au revoir pour la retraite 43 ans après ou quoi. On est dans une époque où vos enfants, en fait, ils vont changer peut-être dix fois de poste. Et donc, si là, ils font une option scolaire qui ne vous semble pas nécessaire ou importante, vous n'en savez rien, parce qu'ils vont avoir un itinéraire professionnel très varié, très changeant. Et moi, ça m'a fait du bien, tu vois, qu'il y ait ce grand temps de culte et de prière à l'Église. Et j'aimerais bien savoir, moi, les auditeurs, les auditrices, comment est-ce qu'ils et elles vivent leur temps de transition. Les transitions volontaires et involontaires [Stéphane] Et il y a les transitions voulues, et il y a des moments où ce qu'on est, pour prendre une expression que j'aime bien, expulsé de notre zone de confort. Quand je pense à des transitions voulues, je suis retourné aux études à 30 ans pour faire ma théologie. J'avais un emploi, bon, ce n'était pas une grande carrière, ce n'était pas spectaculaire, mais j'avais un boulot. L'argent rentrait, tout allait bien. Et j'ai laissé ça derrière moi pour devenir pasteur parce que c'est ce que je ressentais comme appel. C'est sûr que lorsque j'ai partagé ça avec des gens avec qui j'avais mon travail avant de rentrer aux études, ils étaient surpris. « Qu'est-ce que c'est ça? C'est complètement différent de ce que tu fais. » « Oui, mais c'est une autre facette de moi-même. On a plusieurs côtés dans notre personne, Mais il y a aussi les moments où on perd notre emploi parce qu'on se fait congédier, parce que la boîte ferme, parce qu'on est obligé de fuir son pays. Il y a ces transitions-là qui amènent plus de douleurs, avoir l'impression de perdre quelque chose. Oui, on peut toujours dire, ah, mais il y a des nouvelles possibilités qui s'ouvrent devant soi, il y a de nouvelles façons de voir les choses, mais il y a ce côté-là, un peu de douleur, un côté d'être peut-être un peu victime, dans le sens que ce n'est pas soi qui prend pleinement la décision. Il y a ces deux côtés-là au niveau des transitions et comment on navigue ça et comment on réagit aux transitions des autres. Joue un peu là-dedans, il faut avoir un peu de tact. Les transitions dans nos vies personnelles [Joan] Et puis, c'est important de se donner du temps pour les transitions. Et parfois, comme tu dis, on n'a pas le temps. En fait, parfois, on subit des choses de plein fouet pour lesquelles on n'est pas prête, je pense. Et puis, là, je mets un traumavertissement. Je pense à l'une de mes meilleures amies dont le mari était certes très malade. Ça, c'est vrai, il était très malade. La possibilité, l'éventualité d'une fin de vie était régulièrement évoquée par les médecins, mais à aucun moment on ne lui a dit qu'il pouvait mourir d'une crise cardiaque à cause des différents médicaments qu'il prenait. C'est une éventualité à laquelle elle n'était pas prête, elle n'était pas préparée plus précisément. Et cette crise cardiaque lui est tombée dessus. Et elle n'a pas eu le temps de s'y préparer du tout, contrairement à tout ce qu'on lui avait dit sur les soins palliatifs qui lui auraient donné du temps finalement. Et en l'occurrence, je me rends compte combien, en proportion gardée, cet été, la direction d'Église a décidé de me donner deux mois de remplacement en paroisse, de me laisser prendre des congés un peu longs, de me laisser prendre du temps pour le déménagement. Tout ça, ça a été bienfaisant et ça m'a aidée aussi à faire les différentes transitions entre les postes, entre les régions, entre les cures ou les presbytères. Et c'est un privilège d'avoir du temps, c'est un privilège. Et je crois que je vais me souvenir toute ma vie de ce temps qui m'a été donné pour aller mieux, pour me reposer. Vraiment, ce mot, la reposer, il est important, je trouve. J'espère que moi-même, le jour où j'aurai l'occasion de donner du temps à quelqu'un, je me rappellerai qu'on m'en a donné aussi. L'importance des temps d'arrêt [Stéphane] Je t'écoute et ça me fait penser à cette traversée du désert des Hébreux. Une des façons qu'on nous a expliqué ça, c'est que ça ne prend pas 40 ans de marcher d'Égypte à la terre promise, mais il a fallu 40 ans pour que les gens acceptent de laisser aller une identité pour laisser place à une autre identité. Et ce qui est quelque chose de positif là-dedans, aussi dans cette histoire, c'est que malgré toutes les pérégrinations, les erreurs, les détours, Dieu était toujours là. Et lorsqu'on arrive à des endroits dans nos vies où on a l'impression qu'on traverse un désert. Moi, j'ai dû abandonner un poste pastoral malgré moi. Tout ce temps-là, entre deux postes pastorales, qui a duré environ presque 18 mois, j'ai souvent appelé ça ma traversée du désert. Parce que, du jour au lendemain, je n'avais plus rien. J'avais encore de l'argent, ce n'était pas ça le problème, mais j'avais plus mon identité de pasteur, je ne savais pas quoi faire, je tournais en rond dans la maison. J'ai dû énerver mon épouse huit fois par jour. Mais parfois on a besoin de ce temps-là, de désert, de jachère, peu importe, avant de se relancer. Juste se poser, juste refaire son énergie, juste changer sa façon de voir les choses et réfléchir. Qu'est-ce que je veux faire? C'est quoi la prochaine étape? Moi, je voulais continuer à être pasteur, mais peut-être que j'aurais pu découvrir que c'était autre chose. D'être confronté presque malgré soi-même, parce que c'est facile de dire on enchaîne les boulots, on enchaîne les contrats, ça va bien, mais d'avoir ce moment-là où on est obligé de se poser la question, Est-ce que c'est vraiment ça que je veux faire? C'est important aussi d'avoir ce temps d'arrêt C'est frustrant lorsqu'on est dedans, c'est vraiment désagréable dans mon cas, mais c'était très bénéfique pour moi en tant que personne. Explorer ses temps de transitions [Joan] Mais là, tu parles de temps d'arrêt. Et parfois, c'est important quand on fait une pause, quelque part, que quelqu'un nous écoute. Et je dois dire que vraiment, la Saint-Esprit m'a donné un superviseur digne de confiance. Voilà, je ne vais pas rajouter non plus des superlatifs et dire qu'il est super génial et tout. Quelqu'un que je connais dans le cadre de la supervision et qui, dans ce cadre-là, a su trouver la bonne posture qui me sécurise, qui me permet de me sentir accompagnée, reconnue, et puis aussi parfois challengée, interrogée, déplacée, parce que moi j'ai besoin de ça aussi. Et c'est incroyable combien quelqu'un qui t'écoute et qui a la bonne place, qui te déplacent aussi un peu dans un questionnement bienveillant, ça aide pour un temps de transition, ça aide, mais formidablement. Et on parle de quoi? On parle de deux, trois heures chaque deux mois, mais ça fait tout en fait. Et la supervision, pour celles et ceux qui peut-être ne connaissent pas le concept, ce n'est pas tout à fait comme un ou une psychologue, c'est-à-dire que la supervision peut avoir une dimension thérapeutique bien sûr, mais le ou la superviseure n'est pas là pour t'aider à réfléchir à tes traumas passés avec tes parents, ta famille, tes chéris. Mais le ou la superviseure est là pour t'aider à retrouver le fil, le fil spirituel, le fil de ta relation au Christ dans ta vie. Et puis nous les ministres, elle est là pour nous aider aussi à relier en nous les choses qui font sens, à nous relier de nouveau à notre vocation, à notre appel au Christ, aux Écritures, voilà, le ou la superviseuse sont là pour ça. C'est un exercice qui a l'air tout simple, mais ce tricotage-là, il demande quelque chose de très profond dans ces personnes, vraiment un ancrage profond dans le Christ. Avoir une diversité de gens pour nous accompagner [Stéphane] Et peut-être pour les personnes qui n'ont pas la chance d'avoir quelqu'un de cette nature dans leur vie, il y a les proches aussi, il y a les amis, il y a la famille biologique et la famille choisie. Et ce que j'ai remarqué souvent, c'est les personnes qui ont des cercles homogènes dans leurs amis, dans leurs collègues. C'est bien d'avoir des atomes crochus dans ce sens-là, mais lorsqu'on est obligé de quitter une Église, où comme toi, ce n'est pas juste une paroisse, tu changes de pays, tu changes de région, tout d'un coup, ils n'ont plus de proches, qui n'ont plus de réseau et je pense que ça rend ces transitions professionnelles peut-être plus difficiles. Souvent on me dit « bon, as-tu un bon cercle de support Stéphane en tant que pasteur? » Je dis oui et ce que je dis c'est que j'ai la chance d'avoir plein d'amis qui ne vont pas à l'église. Les gens sont surpris. Je dis oui, mais je peux parler de mon boulot comme tout le monde parle de son boulot à leurs proches et on se rejoint sur d'autres choses. Je n'ai pas pris des personnes comme ça d'une manière aléatoire sur la rue. On se rejoint sur d'autres choses. Mais c'est peut-être important, justement, sachant que nous vivons tous et toutes des transitions professionnelles. De ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier parce que ça peut être une mauvaise surprise à un certain moment. Si tous nos amis sont reliés à un emploi, on perd l'emploi, on peut perdre nos amis. Il y a quelque chose de sain d'avoir cette diversité-là autour de nous. Ne pas fuir ses émotions durant les transitions [Joan] Et puis tu parles d'église avec le petit e, de paroisse, mais d'une façon générale, mon expérience, c'est que l'Église n'est pas très douée pour les situations sur le seuil. Alors le deuil, oui. On sait assez bien faire l'absence, les étapes du deuil, accompagner les gens. Mais je l'ai remarqué avec notre départ d'Alsace, la direction d'Église en Alsace était toute paralysée, figée, stupéfaite. Je les comprends d'un côté, deux pasteurs qui partent, ce n'est pas rien un couple de pasteurs. Et puis, en même temps, je me dis que cette notion d'être comme figé ou presque endormi ou assoupi, ça me rappelle cette fameuse nuit, cette fameuse nuit au Mont des Oliviers, où Jésus demande une seule chose à ses disciples, à ses copains, à ses plus proches, c'est de veiller de ne pas s'endormir. Mais ils s'endorment parce que peut-être la tension est trop forte, parce qu'il y a trop d'émotions. Et c'est ça qui est compliqué dans les périodes de transition, c'est que moi je suis là avec mes émotions, puis celles et ceux dont je me sépare ou qui font qu'on se sépare, ils sont aussi tout pleins d'émotions. Et puis on aurait envie de croire que c'est la faute des uns ou des autres. Mais non, la situation est super inconfortable et elle ne peut que révéler ce trop plein d'émotions. Et d'ailleurs, je parlais avec une personne qui m'est proche et chère et qui est dans un processus de séparation avec une autre personne qui m'est aussi proche. Cette personne me disait, voilà, les cartons sont en train d'être faits, on est en train de regarder ensemble dans les armoires qu'est-ce qui appartient à qui, et puis tous les soirs on pleure. Mais on finit de pleurer ensemble et puis on va chacun se coucher dans son lit et avant de se coucher on se dit bonne nuit, c'est quand même la bonne décision. Et je suis très touchée par ça parce que parfois la situation est... Terriblement prenante, exigeante, mais ça reste la bonne décision. C'est quand même ça qu'il faut faire. Les multiples raisons derrières nos transitions [Stéphane] Tu as touché un point intéressant, c'est qu'on ne comprend pas toujours. On ne sait pas toutes les histoires derrière les choix. Je vais te partager ça. J'ai eu une conversation en 2011. Je travaillais dans un comité pour préparer le Conseil général de l'Église unie du Canada. Il y avait une personne qui travaillait pour l'Église, Karen Smart. Je ne crois pas qu'elle nous écoute, elle n'est pas bilingue. Et moi, un peu plus jeune, un peu moins sage, j'ai dit « Ah, moi, je suis un pasteur de paroisse. Moi, je ne serais pas capable de faire autre chose. C'est ça mon appel. Et elle m'a regardé ici. « Penses-tu que moi, vraiment, je voulais un poste administratif dans l'Église? C'était mon premier choix. » Puis là, elle m'explique qu'elle a un enfant qui a un handicap physique et qu'un horaire de pasteur de paroisse qu'elle avait, c'était devenu trop difficile parce que sa fille avait des besoins, il y avait des traitements, il y avait des choses comme ça. Donc, elle a choisi un poste avec un horaire plus régulier pour avoir une meilleure présence auprès d'elle. Elle a fait ce choix, elle l'assumait très bien, mais ce n'était peut-être pas son premier choix. Elle a fait cette transition-là pour le bien de sa famille. Et je peux pas m'empêcher de regarder qu'à 15 ans plus tard, j'ai quitté un poste de paroisse pour accepter un poste administratif dans mon Église. On m'a offert un très beau poste, mais il y a une partie que, oui, j'ai acceptée pour être plus proche de mon épouse et de mon fils, parce qu'il y a des enjeux pour chacun, et d'avoir un horaire un peu plus stable, un peu plus régulier, c'était bien pour ma famille. Des fois, il y a aussi ça dans les transitions professionnelles. On fait des choix pour soi, peut-être pour les autres qu'on aime, puis c'est important, et les gens ne comprennent pas toujours. Ils prennent pour acquis ou « Ah, bon, un tel a pris ce poste-là parce que ça payait plus. » Peut-être, mais ça permet d'être plus à la maison. C'est peut-être ça qui a joué. Donc, parfois, il faut faire attention à ces choses-là lorsqu'il y a transition professionnelle. Changer pour suivre son appel [Joan] Bien sûr, tout un chacun peut voir ma situation à tel ou tel endroit. Par exemple, je pense à ces deux personnes qui se séparent. Et la plupart des gens pourraient se dire qu'il n'y a aucune raison que ces personnes se séparent. Et puis, peut-être aussi nous, dans une certaine mesure, on était si bien dans notre communauté en Alsace. Mais il y a toujours la question qui est de savoir où est ma meilleure place. Où est-ce que je vais rayonner, en fait ? Où est-ce que je vais pouvoir vivre pleinement ma vocation ? Et ça, parfois, ça demande des tâtonnements, ça demande des essais, ça demande des transitions, ça demande des changements, ça demande des ruptures. On est vraiment très, très, très, très loin des itinéraires de jadis, c'est vrai. Et peut-être que l'on contribue comme ça à la fragmentation du monde, et peut-être que c'est une mauvaise chose, peut-être qu'on devra avoir beaucoup plus de discipline et s'obliger à rester à des endroits pour des raisons, par exemple, je ne sais pas moi, des directives d'Église. Mais d'un autre côté, il n'y aurait pas beaucoup de sens, parce que c'est devenu si important pour tout un chacun, cette notion un peu de développement personnel. Alors moi, je ne prends pas le côté New Age, mais je prends le côté, comment est-ce que je peux rayonner l'amour du Christ ? Comment est-ce que je peux le mieux être détendue dans ma relation aux autres, comment est-ce que je suis la mieux positionnée pour servir le Christ et son Église ? Alors peut-être que beaucoup, beaucoup de nos prédécesseurs, prédécesseuristes l'ont fait par contrainte, par question morale, par obligation, et peut-être que ça a porté du fruit, et puis voilà, vraiment je remets ça entre les mains de Dieu. Mais je crois que ce n'est pas vraiment comme ça qu'on va donner envie à d'autres de répondre à leur appel et de rentrer dans cette vocation. Je pense même qu'en termes d'exemple, c'est quand même mieux qu'on fasse les choses de façon à rayonner, de façon à être à la bonne place. Faire des transitions pour demeurer authentique [Stéphane] Tu me diras si c'est un peu la même chose dans ton coin du monde, mais ici tout est une question d'authenticité. Mais je pense qu'il y a quelque chose derrière ça. Lorsqu'on travaille avec des gens, nous en tant que pasteur, il y a plein d'autres boulots, il y a plein d'autres métiers et professions. Il faut être quelque part vrai. Si on sent que ce n'est pas incarné, ce n'est pas vécu, les gens s'en rendent compte. En même temps, ça amène un défi parce qu'on veut être authentique, mais il y a quand même la pression. Je te donne un exemple. Je ne suis plus en paroisse. Donc, la question qu'on me pose régulièrement, c'est à quelle paroisse vas-tu maintenant? Parce que tu es un pasteur. Tu n'es peut-être pas assigné à une paroisse, mais il faut que tu ailles à l'église. Eh bien, mes chers amis, je vais vous annoncer très honnêtement que ça fait environ huit mois que je n'ai pas été au culte le dimanche matin. Mais la question c'est, est-ce que je suis encore un pasteur? Est-ce que je suis encore un croyant? Moi je pense que oui, je fais toujours du ministère. Je n'ai pas arrêté pendant que j'étais en paroisse de dire aux gens, dimanche matin c'est bien mais vivre sa foi tous les jours, toutes les heures de la semaine, moi je trouve c'est bien aussi, c'est tout aussi bon. On essaie de trouver son chemin, on essaie d'être authentique, on essaie de concilier nos valeurs, notre profession, nos demandes, nos obligations. Comment trouver un milieu là-dedans? Quand on est en transition, comme toi, on change de région, on change de pays, quand on change de boulot, peut-être qu'on est obligé de changer de réseau. On veut demeurer honnête et en même temps on veut se donner de la place. Comment qu'on fait tout ça, ce n'est pas facile. Il y a cette pression extérieure de dire oui mais il faudrait que... Je comprends, mais il faudrait aussi que je dorme une fois de temps en temps, il faudrait que je vois mes amis aussi une fois de temps en temps, il faudrait que je garde une santé mentale, émotive et spirituelle une fois de temps en temps. Donc, il y a tout ce tiraillement et peut-être, comme tu disais, on est peut-être un peu mal équipé ou on ne réfléchit peut-être pas assez sur tous ces enjeux-là. Transition en sororité [Joan] En fait, l'année dernière, il y avait tellement de transitions autour de moi, dans ma propre vie professionnelle, avec cette amie qui a perdu brusquement son mari, une autre amie qui divorçait, une autre qui se séparait. Autour de moi, c'était un genre de tourbillon. Et donc, j'ai proposé à ces trois amies-là qu'on fasse un groupe WhatsApp qui s'appelait « Transition en sororité ». Et on se racontait un petit peu tout le bazar que c'était de changer, de changer de statut. Alors, ma copine qui est devenue veuve d'un seul coup, elle a découvert des trucs fous autour du veuvage, les dossiers dont s'occupait son mari. Puis quand elle voulait les reprendre, s'il y avait des hommes autour, ils disaient « laisse, laisse, laisse-moi faire, maintenant que tu n'as plus de mari ». J'aimerais vraiment garder la main sur les histoires de voitures ou de banques, s'il te plaît. On s'est rendu compte de plein de choses en discutant comme ça. Et cette période de transition, finalement, comme on l'a partagée à plusieurs, elle est devenue en tout cas pour la plupart trois au moins sur les quatre, c'est devenu un temps d'apprentissage, un temps d'exploration, un temps où on s'envoyait aussi à différents niveaux, chacune à un autre type de spiritualité, mais on s'envoyait beaucoup de ressources aussi intérieures pour cultiver un peu ce jardin intérieur, le lieu qui me relie à Jésus-Christ. Et puis, elles, ça se verbalisait autrement, mais c'était aussi hyper enrichissant. Et donc, je trouve que c'est beau de reconnaître que c'est difficile et puis de pouvoir faire appel à d'autres pour traverser ça, pour dépasser ça. J'ai une de mes meilleures amies qui va quitter un poste incroyablement, comment est-ce qu'on pourrait dire, coté. Le genre de postes où plein de gens font « waouh, waouh, dis donc, waouh ». Surtout à Paris, parce qu'elle a senti un appel en elle, comme toi un peu, pour reprendre les études de théologie. Elle ne s'est pas pour reprendre les études de théologie, mais elle a senti un appel en elle pour vivre tout à fait autre chose dans sa vie, pour être, comme tu dis, plus authentique. Elle vit une grande phase de transition comme ça. Elle a l'espace et la possibilité, peut-être financière aussi, peut-être l'environnement, comme tu dis, comme tu l'as fait toi pendant un an et demi, de regarder les choses en face et de les poser. C'est vrai que ça peut être un temps un peu dépressif. On pense à Eli, qui après avoir fait un certain nombre de conneries, des choses pas toujours très bien, tué des tas de gens, il passe par ce temps-là de dépression, un peu de déserts, et puis il cherche Dieu, il le cherche partout. Comme c'est écrit dans la Bible, Dieu c'est une petite brise, comme ça. Mais peut-être qu'on a besoin de passer par des moments comme ça jusqu'à ce qu'on ait cette brise, qu'on ait ce petit vent, ce petit souffle, qu'on le suive. Conclusion [Joan] Et tu sais, il y a une phrase qui m'énerve un petit peu des fois, qu'on utilise beaucoup dans les milieux chrétiens. J'aimerais bien voir l'avis des auditeurs, auditoristes, pour savoir si ça s'utilise ailleurs. Mais quand on nous dit « le meilleur est à venir ». Et puis alors, si tu veux être malin, tu écris « avenir » comme l'avenir, le futur, quoi, le meilleur est à venir. Mais c'est vrai que c'est quelque chose qu'il faut qu'on rappelle aux gens qui sont en transition, parce que quand t'es dedans, quand t'es vraiment là, dans le truc compliqué, t'as vraiment l'impression que t'as laissé, comme tu dis, la terre où t'avais tout, même si c'était une terre un peu d'esclavage, et que tu t'en vas vers quoi, en fait ? Bon, bah allez, hop, on y va. Le meilleur est à venir. [Stéphane] Et c'est le cas pour notre podcast parce qu'il y aura plein d'épisodes en cette quatrième saison. [Joan] Envoyez-nous des questions. [Stéphane] Oui, vos suggestions, on en a eu quelques-unes cet été, ne gênez-vous pas. Je veux prendre quelques secondes pour remercier l'Église unie du Canada, notre commanditaire. Peu importe la plateforme sur laquelle vous nous écoutez, n'oubliez pas d'aimer, de vous abonner, si on peut laisser un commentaire ou une note, et de partager. Alors, si vous voulez nous contacter, j'ai oublié de vous donner l'adresse courriel questiondecroire@gmail.com. Merci, Joan, pour cette nouvelle saison. [Joan] Merci Stéphane pour la confiance et merci l'Église Unie du Canada. [Stéphane] À très bientôt, au revoir. [Joan] Au revoir.
Vendredi 10 octobre, Sélestat en rose revient sous une nouvelle formule. Le rendez-vous sera donné cette année du côté du parcours de santé du Grubfeld, où une Marche des lumières sera organisée pour la première fois. Animations musicales et sportives, univers lumineux, mais encore un village préventif seront proposés aux participants. Entretien avec Florian Meyer, vice-président de Sélestat contre le cancer.Le lien vers l'article complet : https://www.azur-fm.com/news/selestat-une-premiere-marche-des-lumieres-en-marge-doctobre-rose-2552Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Inquiétude à l'usine Stellantis de Mulhouse. Le groupe a annoncé hier que la production de son site alsacien sera mise à l'arrêt pendant une semaine, du 27 octobre au 02 novembre prochain. Une décision prise pour, je cite, “adapter le rythme à un marché européen difficile”. Environ 2 000 employés sur les 4 000 du site sont concernés par cette mesure. Ailleurs en Europe, d'autres sites Stellantis seront aussi temporairement fermés dans les prochaines semaines, comme à Poissy près de Paris, Eisenach en Allemagne, Saragosse et Madrid en Espagne, Pomigliano en Italie et Tychy en Pologne.Le ton durcit face aux rave-party. Dans un arrêté préfectoral publié hier, le préfet du Bas-Rhin a décidé d'interdire tout rassemblement festif non déclaré sur une période d'un an : dès aujourd'hui et jusqu'au 30 septembre 2026. De quoi faire face aux risques de troubles à l'ordre public. Le transport tout matériel de sonorisation ou d'amplification susceptible d'être utilisé pour ce type de manifestations est aussi interdit dans tout le département, sur la même période.A moins de 6 mois des élections municipales, prévues les 15 et 22 mars prochain, la campagne électorale colmarienne prend forme avec déjà six candidats officiellement déclarés. Parmi eux, Cécile Neyest la première à avoir annoncé sa candidature avec le collectif “Colmar Citoyenne Verte et Solidaire”. Ce dernier revendique une approche démocratique participative, construisant directement son programme avec les habitants. Parmi les membres actifs du collectif figurent notamment Dominique Bourguignon, Bruno Deltour ou encore Flavien Ancely-Frey. Retrouvez l'entretien complet sur notre site, azur-fm.com. Deux hommes interpellés ce week-end en Île-de-France, après des cambriolages chez des joueurs du Racing Club de Strasbourg. Âgés de 28 ans, ils sont soupçonnés d'être entrés dans les demeures d'au moins 3 footballeurs alsaciens pendant des matchs. Le dernier cambriolage date de vendredi dernier, au domicile d'Emmanuel Emegha, qui évoluait alors face à l'Olympique de Marseille au stade de la Meinau. Une partie du butin, estimé à 200 000 euros, a été retrouvée lors des perquisitions. Connus des services de police, les deux jeunes hommes seraient aussi impliqués dans les cambriolages des logements d'Andrey Santos et Kévin Gameiro, qui s'étaient déroulés il y a déjà plusieurs mois. Faits divers toujours, avec un homme placé sous OQTF après une course-poursuite à Orschwiller. Les faits se sont déroulés samedi, aux alentours de 16h30. Lors d'un contrôle de routine, les forces de l'ordre ont repéré un automobiliste avec des plaques d'immatriculation illégales. Refusant de s'arrêter, une course-poursuite s'est engagée. Après avoir perdu le contrôle de son véhicule dans un rond-point entre Saint-Hippolyte et Ribeauvillé, cet homme d'origine étrangère a pris la fuite à pied, avant de se faire rattraper. Ce dernier, qui ne possédait pas de papiers français, a écopé d'une obligation de quitter le territoire français.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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L'église Saint-Joseph accueille, pour la deuxième année consécutive, un événement musical à ne pas manquer ! Dans un cadre à l'acoustique chaleureuse, la chorale Joy Gospel, dirigée par Fanuel Apetcho, partagera la scène avec l'ensemble d'accordéon Mélodia, sous la direction de René Litolff. En présence également de la chanteuse Prisca Agbo et de la Chorale Evangelism Choir du Togo, ce concert offre un beau spectacle mais c'est aussi un projet caritatif ! Depuis plus de 10ans, les choristes de 5 chorales, sous l'égide de Joy Gospel œuvrent à la réalisation d'un projet appelé « Arbre de Vie » : la construction d'un centre socio culturel au Togo.Informations pratiques : Dimanche 05 octobre 2025, à 16hÉglise Saint Joseph de HaguenauTarif : 12€Réservations sur helloasso.comLes interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Porté par la Ville de Bischwiller et la MAC, le festival VIBRATION(S) fait vibrer chaque automne la musique classique dans toute sa richesse. Après trois éditions marquées par la venue d'artistes de renom (Renaud Capuçon, Claire Désert, Trio Wanderer...), le festival revient du 9 au 19 octobre pour une quatrième édition placée sous le signe de l'émotion.Découvrir la programmation : https://mac-bischwiller.fr/festival-vibrations/Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Malgré la mobilisation, les trains de nuit Vienne-Paris et Berlin-Paris, qui passaient par Strasbourg, ne circuleront plus à partir du 14 décembre. L'annonce a été faite hier par la compagnie ferroviaire autrichienne ÖBB. Une décision notamment prise après la suppression de la subvention versée par l'Etat français. A moins de 6 mois des élections municipales, prévues les 15 et 22 mars prochain, la campagne électorale colmarienne prend forme avec déjà six candidats officiellement déclarés. Parmi eux, Michael Gonzalez présente sa candidature. Professionnel libéral du secteur médical, il se présente sans étiquette politique et revendique cette position comme un atout. Né à Colmar et ayant grandi dans différents quartiers de la ville, il mise sur sa connaissance du terrain. Sa candidature s'articule autour du “vivre ensemble” et de la “restauration de la confiance”. Michael Gonzalez se dit ouvert au dialogue avec tous les partis politiques, tout en précisant qu'un rattachement partisan irait à l'encontre de sa démarche d'unité. Retrouvez l'entretien complet sur notre site, azur-fm.com. Une eau impropre à la consommation à Gueberschwihr ! Vendredi dernier, la mairie de cette commune située au Sud de Colmar a été alertée de la présence de la bactérie Escherichia coli dans le réseau d'eau potable. La consommation d'eau du robinet est depuis fortement déconseillée jusqu'à minimum demain. De nouvelles analyses sont en cours. Pour faire face à cette problématique, des distributions de bouteilles d'eau ont été mises en place par la commune. A Horbourg-Wihr, une nouvelle station de pompage a été inaugurée hier. Après six années d'études préalables et trois ans de chantier, cette dernière a été officiellement mise en service. Cette réalisation a pour objectifs de moderniser le système d'assainissement, éviter sa saturation et protéger le milieu naturel, alors que le système datait des années 1970.L'Alsace a ses champions. Ce week-end se tenait le championnat du monde de la frite, à Arras. Et la catégorie “frite familiale”, destinée aux amateurs, a été remportée par Sophie Coindre, une Belge installée à Mittelbergheim. Le week-end précédent, l'Alsace était aussi bien représentée à Paris, lors du premier grand tournoi officiel de Lego. Avec ses nouveaux associés venus d'Île de France et du Nord, l'équipe du jeune Mathis Muller a été proclamée vainqueure de cette compétition, qui a réuni plus de 1 000 participants sur les Champs-Elysées. Âgé de 16 ans, l'adolescent originaire de Stosswihr et ses coéquipiers ont remporté un voyage d'une semaine au Danemark, là où est né la marque Lego il y a bientôt cent ans.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Emission de rentrée pour les jeunes animateurs de l'émission de libre antenne Ados & coHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La nouvelle saison de l'AJAM se profile ! Pour sa première série de concerts, l'association propose au public de découvrir le Quatuor Ineo. Une formation prometteuse, tout droit venue d'Autriche. Lors de leurs représentations, les quatre artistes feront voyager leurs spectateurs à travers trois époques différentes, en passant de Mozart à Ravel, sans oublier une pointe de création contemporaine. Aimée Eschbach, coordinatrice de l'AJAM, était dans nos studios pour nous présenter cet ensemble. De Strasbourg à Colmar, en passant également par Sainte-Marie-aux-Mines ou Saverne, toutes les dates, ainsi que la billetterie de ces concerts est à retrouver sur le site internet ajam.fr. Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:02 - Le journal de 18h de France Bleu Alsace Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:04:45 - Le journal de 12h, ici Alsace Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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Comme chaque mois, Sophie, bénévole du cinéma La Bouilloire à Marckolsheim, nous présente sa sélection de films à découvrir. Pour le mois d'octobre, cette dernière vous propose un ciné-débat autour du film "Adieu les cons", organisé le mercredi 08 octobre prochain. Un rendez-vous proposé dans le cadre de la semaine d'information sur la santé mentale. Le lundi 13 octobre, c'est un bond dans le temps qui sera à l'affiche, avec la projection du film culte de Charlie Chaplin "La ruée vers l'or". Ce mois d'octobre sera également ponctué de l'arrivée sur les écrans de "Super Grand Prix", qui mettra à l'honneur les mascottes d'Europa Park Ed et Edda, à l'occasion du cinquantième anniversaire du parc d'attractions allemand. Le programme complet est à retrouver sur le site internet labouilloire.fr.Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les prochaines semaines s'annoncent denses du côté de la salle culturelle de L'Evasion à Sélestat ! Concert, exposition artistique, cabaret d'improvisation ou encore convention de tatouages s'enchaineront tout au long du mois d'octobre. Découvrez toutes les informations au sein de cet entretien.Plus de renseignements sur la page Facebook L'Évasion - Sélestat. Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A six mois des élections municipales prévues les 15 et 22 mars 2026, la campagne électorale colmarienne prend forme avec cinq candidats déjà officiellement déclarés.Première candidate à avoir déclaré sa candidature le 1er mai dernier, Cécile Ney est responsable impact dans des ONG internationales de soutien à l'entreprenariat social et porte les couleurs de "Colmar Citoyenne Verte et Solidaire". Elle se présente notamment aux côtés de Stéphane Jordan. Ce collectif d'une quinzaine de membres revendique une approche démocratique participative, construisant directement son programme avec les habitants. "Notre collectif est vraiment marqué par l'idée qu'on souhaite ne plus rester en marge des décisions qui sont prises en tant qu'habitant", explique la candidate. Leurs préocupations portent sur divers sujets : le logement, l'accès à une alimentation saine locale et de qualité, les activités périscolaires pour les enfants ou encore la revitalisation du commerce de proximité au centre-ville. "On peut parler de dynamique économique locale", précise-t-elle, en évoquant aussi l'attention portée aux personnes vulnérables comme les enfants, personnes âgées ou parents isolés. Le collectif revendique son caractère citoyen : "On ne souhaite pas être une coalition de partis politiques. On veut démontrer qu'on peut faire de la politique autrement, de manière collective, transparente et réellement ancrée dans la vie quotidienne", ajoute Cécile Ney. Lien vers l'article complet :Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A six mois des élections municipales prévues les 15 et 22 mars 2026, la campagne électorale colmarienne prend forme avec cinq candidats déjà officiellement déclarés.Ancienne militaire, aujourd'hui coache sportive et conseillère régionale Grand-Est, Nathalie Aubert représente le Rassemblement national après avoir été candidate aux élections législatives de 2022 et 2024 sur la deuxième circonscription du Haut-Rhin. Habitante de Colmar depuis 20 ans, elle justifie son engagement : "A l'issue de l'armée, j'ai décidé de poursuivre mon engagement au service de mes concitoyens, non plus par les armes mais plutôt par les urnes." Son objectif : "remettre les Colmariens au centre des préoccupations". La sécurité constitue l'axe prioritaire de son programme. "Le taux de criminalité à Colmar a augmenté entre 2022 et 2024 de 52,9% à 57,6%, ce qui correspond à peu près entre 9 et 10 infractions par jour." En outre, son programme intègre l'amélioration du cadre de vie, le tourisme, les transports, le sport ou encore l'environnement avec des propositions comme la mise en place d'îlots de fraîcheur pour l'été ou le développement du verdissement de Colmar. Une thématique lui tient particulièrement à coeur : le bien-être animal. Bénévole à la SPA de Colmar, elle projette la création d'un dispensaire pour animaux, destiné notamment aux personnes à faibles revenus "qui n'ont pas les moyens d'aller chez le vétérinaire". Sa candidature se caractérise par trois maîtres-mots : le courage politique, l'écoute et l'esprit d'équipe. Lien vers l'article complet : Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A six mois des élections municipales prévues les 15 et 22 mars 2026, la campagne électorale colmarienne prend forme avec cinq candidats déjà officiellement déclarés.Professionnel libéral du secteur médical, Michael Gonzalez se présente sans étiquette politique, revendiquant cette position comme un atout pour "représenter l'étiquette colmarienne". Né à Colmar et ayant grandi dans plusieurs quartiers de la ville, il mise sur sa connaissance du terrain et son attachement à la ville. "J'aime ma ville, j'aime tous ces quartiers, je suis de ce quartier comme de l'autre", explique-t-il. Sa candidature s'articule autour du "vivre ensemble" et de la restauration de la confiance. L'un de ses projets concrets porte sur la revalorisation du quartier Saint-Joseph, qu'il considère comme "ayant une valeur patrimoniale symbolique très importante". Il propose notamment la création d'un marché de Noël autour du presbytère pour "reconnecter" cette zone avec le centre-ville et mieux gérer les flux touristiques. Il se dit ouvert au dialogue avec tous les partis politiques, tout en précisant qu'un rattachement partisan "irait à l'encontre de ma démarche d'unité". Lien vers l'article complet : Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A six mois des élections municipales prévues les 15 et 22 mars 2026, la campagne électorale colmarienne prend forme avec cinq candidats déjà officiellement déclarés.Le maire sortant, Eric Straumann, a confirmé sa candidature à sa réelection. Il revendique une candidature "logique, utile et de continuité pour que cette ville reste sereine et prospère". Fort d'un riche parcours politique (ancien maire de Houssen, ex-conseiller général, ancien député de la première circonscription du Haut-Rhin, ex-président du conseil départemental du Haut-Rhin et actuel président de Colmar Agglomération), il mise sur l'expérience et la continuité après un premier mandat marqué par la crise sanitaire. "Un mandat c'est très court, une commune comme Colmar c'est un paquebot qui prend du temps à être manoeuvré", justifie-t-il. Ses priorités pour un second mandat s'articulent autour du développement de l'attractivité territoriale, avec notamment le rachat par l'agglomération de la gare de marchandises pour créer de l'attractivité économique et de l'économie sociale et solidaire. Il souhaite poursuivre la régulation des flux touristiques, après avoir notamment mis en place une règlementation sur les meublés de tourisme qui a permis de "gagner 500 habitants au centre-ville depuis 5-6 ans". Parmi ses autres projets figurent l'aménagement de l'entrée de Colmar via la route de Neuf-Brisach en "très mauvais état", la révision intégrale de l'avenue Clémenceau, la poursuite du développement des pistes cyclables ou encore l'aménagement de l'entrée nord. Le maire sortant met également l'accent sur la création d'une société publique locale pour gérer le Parc des Expositions, dont la délégation de service public arrive à échéance. Eric Straumann cite comme réussite majeure de son mandat la piétonnisation de la Place de la Cathédrale. "C'était une décision compliquée à prendre que de piétonniser le centre-ville. Aujourd'hui, plus personne ne conteste cet aménagement qui a apaisé le centre-ville", explique-t-il. Lien vers l'article complet :Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A six mois des élections municipales prévues les 15 et 22 mars 2026, la campagne électorale colmarienne prend forme avec cinq candidats déjà officiellement déclarés.Avocat colmarien depuis une vingtaine d'années, Christophe Roussel porte les couleurs du Parti socialiste après avoir été suppléant d'Aïcha Fritsch aux dernières élections législatives. "J'ai été désigné par la fédération du parti socialiste, comme étant la personne qui peut représenter la gauche socialiste, le socialisme démocratique à Colmar", explique ce dernier. Ses priorités incluent l'accélération de la rénovation des logements sociaux, qu'il considère comme un "challenge qui mérite d'être poursuivi". Il souhaite développer massivement la participation citoyenne aux décisions municipales, notamment par la mise en place d'un budget participatif. Il veut également développer des actions de sensibilisation dans les écoles, bibliothèques et centres de loisirs sur les violences intrafamiliales et le harcèlement scolaire. Il projette en plus des actions municipales de lutte contre les discriminations. Au sujet de la sécurité, il propose de créer des liens entre la police municipale et "des personnes qui seraient en quelque sorte le relais dans les cités", s'inspirant des briagdes de tranquilité citoyenne dans certaines autres villes. Concernant l'écologie, il propose d'associer davantage les citoyens aux projets d'espaces verts par des "jardins et chantiers participatifs". Sa candidature a pour objectif un "rassemblement républicain démocratique ayant comme but principal la justice, à la fois par rapport aux populations, l'intégration, la dignité des personnes et la justice entre tous les habitants colmariens". Lien vers l'article complet : Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:34:23 - Le dossier du jour - Focus sur le salon Folie'flore à Mulhouse, partenaire d'ici Alsace. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:04:16 - Le journal de 9h, ici Alsace Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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durée : 00:04:08 - Le journal de 9h, ici Alsace Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:06:54 - Le journal de 8h, ici Alsace Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:05:44 - L'invité de 6h20 - par : Mathilde MUNOS - Au lendemain de l'agression au couteau d'une enseignante en Alsace, Johanna Dagorn, sociologue et chercheuse à l'Observatoire International de la violence à l'école, est notre invitée à 6h20. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Survivor to Thriver Show: Transform Your Fear Into Freedom with Samia Bano
#SocialAnxiety holding you back from being able to #liveyourbestlife? #fearofpublicspeaking holding you back from achieving the success you desire? Listen now to this interview with Geoffrey (Jef) Huck, #PublicSpeaking and #SoftSkills Coach, to learn how you can #beatsocialanxiety and #SpeakWithConfidence! NOTE: We have a deep discussion on how to #faceyourfears without tricks -- the real path to lasting confidence. Jef also shares practical, #funandeasy #publicspeakingtips, and so much more! About Jef (in Jef's own words): I'm a former software engineer who used to struggle at communication. Talking with computers didn't help me to #makeconnections, quite the contrary. And talking in front of a crowd, that was too much for me. I felt my career and success blocked not because of my skills, but because of my communication. So I decided to gain these skills at all cost. After a few years, I became the president of #Toastmasters Strasbourg, the biggest public speaking and #leadershipdevelopment club in the region of Alsace, France. I left tech to become a #coach to help all those talented people who are feeling blocked because of their #CommunicationSkills. FREE GIFTS/RESOURCES offered by Jef: - Guide for Public Speaking: http://geoffreyhuck.com/podcast - Newsletter with Mindset, Public Speaking, Networking and Soft Skills Tips: https://subscribepage.io/geoffreyhuck Other Links to Jef: - LinkedIn: linkedin.com/in/geoffrey-huck/ - Book a call: https://calendly.com/geoffreyhuck/call - Website: https://geoffreyhuck.com #liveyourdream #toastmastersjourney #publicspeakingcoach #PublicSpeakingJourney #OvercomingFear #FaceYourFears #FearToFreedom #ConfidenceJourney #MindsetShift #SocialAnxietySupport #socialanxietyawareness #MentalHealthAwareness #CourageOverComfort #SelfImprovement #GrowthMindset #BreakingBarriers #EmpowerYourself #PodcastInterview #AuthenticLiving #LifeLessons #ResilientMindset #MotivationForLife_____________________________________ABOUT SAMIA:Samia Bano is the #HappinessExpert, author, speaker, podcaster & coach for coaches and healers. Samia is most known for her book, 'Make Change Fun and Easy' and her #podcast of the same name. With the help of her signature Follow Your Heart Process™, a unique combination of #PositivePsychology and the #spiritual wisdom of our most effective #ChangeMakers, Samia helps you overcome #LimitingBeliefs, your chains of fear, to develop a #PositiveMindset and create the impact and income you desire with fun and ease…Samia's advanced signature programs include the Happiness 101 Class and the Transformative Action Training.Samia is also a Certified #ReikiHealer and Crisis Counselor working to promote #MentalHealthAwareness. Samia models #HeartCenteredLeadership and business that is both #SociallyResponsible and #EnvironmentallyFriendly.Samia is a practicing #Muslim with an inter-spiritual approach. As someone who has a love and appreciation for diversity, she is a #BridgeBuilder between people of different faiths and cultures. Although Samia currently lives in California, USA, she has lived in 3 other countries and speaks Hindi, Urdu, and English fluently. Want to learn even more about Samia? Visit www.academyofthriving.com :)To Book your Free HAPPINESS 101 EXPLORATION CALL with Samia, click: https://my.timetrade.com/book/JX9XJ
#SocialAnxiety holding you back from being able to #liveyourbestlife? #fearofpublicspeaking holding you back from achieving the success you desire? Listen now to this interview with Geoffrey (Jef) Huck, #PublicSpeaking and #SoftSkills Coach, to learn how you can #beatsocialanxiety and #SpeakWithConfidence! NOTE: We have a deep discussion on how to #faceyourfears without tricks -- the real path to lasting confidence. Jef also shares practical, #funandeasy #publicspeakingtips, and so much more! About Jef (in Jef's own words): I'm a former software engineer who used to struggle at communication. Talking with computers didn't help me to #makeconnections, quite the contrary. And talking in front of a crowd, that was too much for me. I felt my career and success blocked not because of my skills, but because of my communication. So I decided to gain these skills at all cost. After a few years, I became the president of #Toastmasters Strasbourg, the biggest public speaking and #leadershipdevelopment club in the region of Alsace, France. I left tech to become a #coach to help all those talented people who are feeling blocked because of their #CommunicationSkills. FREE GIFTS/RESOURCES offered by Jef: - Guide for Public Speaking: http://geoffreyhuck.com/podcast - Newsletter with Mindset, Public Speaking, Networking and Soft Skills Tips: https://subscribepage.io/geoffreyhuck Other Links to Jef: - LinkedIn: linkedin.com/in/geoffrey-huck/ - Book a call: https://calendly.com/geoffreyhuck/call - Website: https://geoffreyhuck.com #liveyourdream #toastmastersjourney #publicspeakingcoach #PublicSpeakingJourney #OvercomingFear #FaceYourFears #FearToFreedom #ConfidenceJourney #MindsetShift #SocialAnxietySupport #socialanxietyawareness #MentalHealthAwareness #CourageOverComfort #SelfImprovement #GrowthMindset #BreakingBarriers #EmpowerYourself #PodcastInterview #AuthenticLiving #LifeLessons #ResilientMindset #MotivationForLife_____________________________________ABOUT SAMIA:Samia Bano is the #HappinessExpert, author, speaker, podcaster & coach for coaches and healers. Samia is most known for her book, 'Make Change Fun and Easy' and her #podcast of the same name. With the help of her signature Follow Your Heart Process™, a unique combination of #PositivePsychology and the #spiritual wisdom of our most effective #ChangeMakers, Samia helps you overcome #LimitingBeliefs, your chains of fear, to develop a #PositiveMindset and create the impact and income you desire with fun and ease…Samia's advanced signature programs include the Happiness 101 Class and the Transformative Action Training.Samia is also a Certified #ReikiHealer and Crisis Counselor working to promote #MentalHealthAwareness. Samia models #HeartCenteredLeadership and business that is both #SociallyResponsible and #EnvironmentallyFriendly.Samia is a practicing #Muslim with an inter-spiritual approach. As someone who has a love and appreciation for diversity, she is a #BridgeBuilder between people of different faiths and cultures. Although Samia currently lives in California, USA, she has lived in 3 other countries and speaks Hindi, Urdu, and English fluently. Want to learn even more about Samia? Visit www.academyofthriving.com :)To Book your Free HAPPINESS 101 EXPLORATION CALL with Samia, click: https://my.timetrade.com/book/JX9XJ
In this episode of the Weekly Wine Report on the Vint Wine Podcast, host Billy Galanko takes listeners from the vineyards of France to the green hills of Galicia. The 2025 French harvest volumes are taking shape, showing a modest recovery compared to last year but still trailing the five-year average. Some regions like Burgundy, Jura, and the Loire are bouncing back strongly, while others, including Alsace and Languedoc, remain under pressure. Meanwhile, Spain's Vega Sicilia, long renowned for its reds from Ribera del Duero, has set its sights on Albariño in Rías Baixas, marking an exciting new chapter for the storied estate.Highlights:The 2025 French harvest, showing recovery compared to last year but still trailing the long-term average.Burgundy, Jura, Loire, and Champagne rebounding strongly, while Alsace and Languedoc face setbacks.Early harvests across France, including record starts in Alsace and Champagne.Vineyard removals reshaping production in Bordeaux and Languedoc.Vega Sicilia's new Albariño project in Galicia, with vineyards secured and a winery under construction.Plans for two wines, Deiva and Arnela, with the first release scheduled for 2027.Whether you're a collector, sommelier, or simply curious about where fine wine is headed, this episode offers both harvest perspective and a look at Spain's most ambitious white wine project yet.
De passage en Alsace, Olivier Dauvers a acheté des saucisses de Strasbourg (ou des knacks) de la marque de distributeur de Leclerc. Et devinez quoi ? Ces saucisses ont été fabriquée à Collinée, dans les Côtes-d'Armor, à 900 km de là. Et ce qui est valable chez Leclerc l'est aussi pour Auchan, Carrefour et pour d'autres enseignes encore. Ecoutez Olivier Dauvers : les secrets de la conso du 12 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
De passage en Alsace, Olivier Dauvers a acheté des saucisses de Strasbourg (ou des knacks) de la marque de distributeur de Leclerc. Et devinez quoi ? Ces saucisses ont été fabriquée à Collinée, dans les Côtes-d'Armor, à 900 km de là. Et ce qui est valable chez Leclerc l'est aussi pour Auchan, Carrefour et pour d'autres enseignes encore.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
You can't speak of trends in the wine trends in the wine trade without mentioning Felicity Carter. You can't talk data mining in the wine trade without mentioning Felicity Carter...in fact, I can't think of many surrounding the wine trade that you could speak of without mentioning Felicity Carter. She is a force of date (substituting for "nature"). I've got to tell you, sitting down with Felicity Carter for this episode of Wine Talks was like uncorking an old Burgundy—layered, surprising, and deeply satisfying. There's something about Felicity's perspective that just sharpens the mind. Maybe it's because she's perched out there in Neustadt an der Weinstraße, on the wine road of the Rhineland Pfalz, right at the border with Alsace. Or maybe it's just down to the years she's logged at the intersection of writing, advisory work, and researching high-end wine trends. You know me—I love a guest who isn't afraid to press into the hard truths and then turn them over like a newly racked barrel. Felicity didn't disappoint. Right out of the gate, she set the tone: before you start spinning stories about your wine, you better know your cost of goods. Learn Excel, she said. It wasn't fancy, but, boy, did that resonate with me. Nothing romantic about spreadsheets, but there's also nothing more sobering than realizing that most people in this business skip the basics. What I really appreciated was how Felicity drew a line in the sand about the current state of the wine industry—not just saying “it's tough out there” (though it surely is), but also peeling back the bigger picture. She's got this knack for linking what we see at the store or on Instagram right back to seismic shifts underway. She brought up this old book, “The Empty Raincoat” by Charles Handy, to frame what's happening now: the wine industry is at the tail end of a 40-year golden run and we're sliding into a new, uncertain era. It reminded me of my own business, the highs of 2007, and how everything since then feels like riding out after a storm, trying to read new winds that keep shifting. Felicity didn't shy from the stickier discussions either—like the damage done by “mummy juice” wines and those forgettable bulk bottles that flooded the market in a misguided effort to market to women. She's got strong opinions on that, and so do I. We both bemoaned how those wines aimed at mothers after a long day might have alienated a generation—or at least set the table for younger drinkers to turn their noses up at what their parents drank. And while I always want to reach for the romance of wine—the history, the sense of being part of something ancient—Felicity was bracing with her take: people buy wine because they like the taste and the fit, and they make up the romance later, mostly to themselves. We commiserated over antiques collecting dust—literally and figuratively—in our homes, the same way “tradition” can just become a nice story rather than a selling point. But here's what I loved: Felicity isn't a doomsayer. Sure, the wine industry is congested. Sure, Gen Z might be drinking less wine—maybe because, as Felicity points out, no one wants to do what their mother did—but she still sees opportunity. There's hope in innovation, in making products for new tastes, and, yes, in getting our business basics right. If you want to make money in wine, she says, embrace the numbers before the stories. And I have to agree. At the end of the day, Felicity brought the clarity that's so easy to miss when we get caught up in the swirl of nostalgia. Sometimes you need someone to remind you that, yes, wine is culture, and yes, it's business too—and the two are tangled in ways we all have to keep learning to navigate. Thanks, Felicity. This one's worth a slow sip. Drinks Insider Felicity Carter mentions she is the founder of Drinks Insider. Website: https://www.drinksinsider.com Areni Global Felicity Carter is the communications director for Areni Global, described as a fine wine think tank. Website: https://areni.global Riedel Glassware Company Max Riedel, owner of Riedel, is referenced in the introduction. Website: https://riedel.com #WineIndustry #WineMarketing #WineBusiness #WineTrends #FelicityCarter #WinePodcast #WineInnovation #WineEconomics #Areniglobal
durée : 00:05:16 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - À Achenheim, en Alsace, six squelettes fracturés et des trophées de guerre révèlent un massacre collectif il y a 6 200 ans. Une nouvelle étude montre grâce à des analyses isotopiques que les victimes sont des prisonniers de guerre venus d'ailleurs, probablement après une tentative d'invasion. - invités : Fanny Chenal Anthropologue
Cet épisode est présenté par Squarespace.Vous voulez lancer votre marque, votre projet ou votre portfolio ?Squarespace est l'outil que j'aurais rêvé d'avoir à mes débuts : templates élégants, boutique en ligne intégrée, paiement sécurisé, gestion des stocks, emailing, optimisation SEO… tout en un, sans développeur et sans prise de tête.Essayez 14 jours. -10 % avec le code BOLD → squarespace.com/BOLD