De nombreuses études ont montré que les tueurs en série n'était pas une invention de notre société moderne. Mais au contraire depuis la nuit des temps des Hommes et des Femmes ont tué leurs semblables par pur plaisir. Cette collection de récits retrace le parcours de criminels ou de tueurs en séries…
L'attaque au couteau à Southport a lieu le 29 juillet 2024 dans la ville de Southport, au Royaume-Uni. Ayant pour cible une école de danse et de yoga qui organisait une activité sur le thème de Taylor Swift, cette attaque fait 3 morts et 10 blessés. Le tueur, Axel Rudakubana, âgé de 17 ans, est arrêté sur les lieux. Il n'avait pas de motivation politique, religieuse, idéologique ou raciale. L'évènement suscite une forte émotion dans le pays et déclenche d'importantes manifestations qui dégénèrent en violentes émeutes impliquant des mouvances d'extrême droite.Lundi 29 juillet 2024. Le soleil illumine la ville balnéaire de Southport, sur la côte Ouest de l'Angleterre. En cette matinée de vacances d'été, le centre-ville grouille de touristes et de locaux qui s'apprêtent à prendre leur pause déjeuner aux terrasses des restaurants ou sur les pelouses verdoyantes du parc Victoria. A environ un kilomètre de là, dans le quartier de Meols Cop, la journée suit également son cours. Dans cette petite banlieue ouvrière, les maisons en briques rouges se mêlent aux petits commerces. Une vie de quartier tranquille, il fait bon vivre et tout le monde se connaît.
[SPONSORISÉ] Bienvenue dans Bulle Enchantée, le podcast dédié aux femmes qui font la BD ! Pour ce tout premier épisode, j'ai eu le plaisir d'échanger avec Priscille de Rekeneire, autrice pleine de talent et de sensibilité.On a parlé ensemble de sa toute première bande dessinée, "Le cœur à contresens", un récit fort et intime autour d'une relation d'emprise amoureuse. Priscille nous a partagé son parcours, ses inspirations, sa manière de travailler… mais aussi les coulisses de son aventure pour trouver une maison d'édition.Un échange sincère et inspirant, qui ouvre magnifiquement cette série de conversations autour des femmes qui bousculent le monde de la BD.
Le 24 avril 2002, au château de Montaiguillon en Seine-et-Marne, une jeune femme fait une macabre découverte. Alors qu'elle vient lui rendre visite, elle trouve son ami Frédéric Landelle, gardien passionné du site, sans vie. Il a été abattu d'une balle de calibre 12 tirée depuis l'extérieur. La mise en scène intrigue aussitôt les enquêteurs : fils téléphoniques sectionnés, absence de douilles, tir parfaitement ciblé. Tout indique un acte prémédité commis par quelqu'un connaissant les lieux...
Cette semaine dans Crimes · Histoires Vraies, vous avez découvert l'affaire Frédéric Landelle. Ce passionné de Moyen-Âge, gardien d'un château fort en Île de France est assassiné à 33 ans d'une balle dans la tête. L'enquête patine pendant près de 20 ans et elle est finalement bouclée sans résolution. L'affaire dite du Chevalier de Louan est ce qu'on appelle un cold-case. Mais qu'est-ce que c'est un “cold case” ? Et qui décide de clôturer ou de rouvrir une enquête non résolue ? Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !
Le 24 avril 2002, au château de Montaiguillon en Seine-et-Marne, une jeune femme fait une macabre découverte. Alors qu'elle vient lui rendre visite, elle trouve son ami Frédéric Landelle, gardien passionné du site, sans vie. Il a été abattu d'une balle de calibre 12 tirée depuis l'extérieur. La mise en scène intrigue aussitôt les enquêteurs : fils téléphoniques sectionnés, absence de douilles, tir parfaitement ciblé. Tout indique un acte prémédité commis par quelqu'un connaissant les lieux...Tout d'abord, les gendarmes explorent la thèse d'un conflit de voisinage. En creusant dans ce sens, ils découvrent que Frédéric avait, dans les environs, une réputation de marginal voire même d'illuminé. Bon nombre des villageois eux pensaient qu'il occupait la maisonnette du château de façon illégale et voyaient d'un mauvais oeil les aller et venues de tous ces médiévistes venus faire la fête en tenue d'époque devant de grands feux de camp.
Le 24 avril 2002, au château de Montaiguillon en Seine-et-Marne, une jeune femme fait une macabre découverte. Alors qu'elle vient lui rendre visite, elle trouve son ami Frédéric Landelle, gardien passionné du site, sans vie. Il a été abattu d'une balle de calibre 12 tirée depuis l'extérieur. La mise en scène intrigue aussitôt les enquêteurs : fils téléphoniques sectionnés, absence de douilles, tir parfaitement ciblé. Tout indique un acte prémédité commis par quelqu'un connaissant les lieux...Le château fort, un symbole médiéval, incontournable du patrimoine français. Plus de 13 000 de ces bâtisses subsistent sur notre territoire. Aujourd'hui, beaucoup ne sont plus que des ruines. Mais par le passé, elles furent le théâtre de batailles sanglantes et de sièges meurtriers durant lesquels de fiers chevaliers et de nobles damoiselles ont perdu la vie. Souvent dans d'horribles circonstances.
A Commensacq, petite commune paisible des Landes, Samuel Batista, 28 ans, a avoué avoir assassiné Guy Lecomte en septembre 2019, le père de son défunt ami Danaël Lecomte, le poignardant à 32 reprises. Il l'a fait par désir de vengeance, estimant que ce dernier avait eu une part de responsabilité dans le suicide de son fils. Guy Lecomte, discret commercial dans le secteur du bâtiment, menait une vie sexuelle débridée, marquée par le chemsex, les rencontres sur internet, les pratiques extrêmes et le sadomasochisme. D'après Isabelle Munoz-Alvarez, la mère de Danaël, c'est la vie sexuelle dépravée de son ex-mari qui aurait poussé leur fils à se jeter sous un train. Elle le répétait à tout le monde, y compris à Samuel Batista...
Cette semaine dans Crimes · Histoires Vraies, vous avez découvert l'affaire Samuel Batista. Ce jeune homme de 22 ans qui, quelques années après le suicide de son meilleur ami, a tué le père de celui-ci de 32 coups de couteaux. Il est arrêté 3 ans après les faits après avoir avoué son crime à ses amis sur Instagram. Mais le jugement qui a eu lieu en juin 2025 s'attarde sur une question juridique bien précise. S'agit-il d'un meurtre ou d'un assassinat ? Savez-vous quelle est la différence entre les deux ? Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !
A Commensacq, petite commune paisible des Landes, Samuel Batista, 28 ans, a avoué avoir assassiné Guy Lecomte en septembre 2019, le père de son défunt ami Danaël Lecomte, le poignardant à 32 reprises. Il l'a fait par désir de vengeance, estimant que ce dernier avait eu une part de responsabilité dans le suicide de son fils. Guy Lecomte, discret commercial dans le secteur du bâtiment, menait une vie sexuelle débridée, marquée par le chemsex, les rencontres sur internet, les pratiques extrêmes et le sadomasochisme. D'après Isabelle Munoz-Alvarez, la mère de Danaël, c'est la vie sexuelle dépravée de son ex-mari qui aurait poussé leur fils à se jeter sous un train. Elle le répétait à tout le monde, y compris à Samuel Batista...L'ADN retrouvé sur la scène du crime correspond parfaitement. Le couteau est identifié. Les aveux sont circonstanciés, précis, sans faille. Les enquêteurs sont troublés par la psychologie du meurtrier. Les experts dépeignent d'ailleurs un profil déroutant. Un jeune homme très intelligent, « à l'intelligence supérieure », note l'un d'eux. Mais en décalage, silencieux, replié. Un solitaire rongé par le ressentiment, la mélancolie et par le besoin de trouver un sens à sa douleur.
A Commensacq, petite commune paisible des Landes, Samuel Batista, 28 ans, a avoué avoir assassiné Guy Lecomte en septembre 2019, le père de son défunt ami Danaël Lecomte, le poignardant à 32 reprises. Il l'a fait par désir de vengeance, estimant que ce dernier avait eu une part de responsabilité dans le suicide de son fils. Guy Lecomte, discret commercial dans le secteur du bâtiment, menait une vie sexuelle débridée, marquée par le chemsex, les rencontres sur internet, les pratiques extrêmes et le sadomasochisme. D'après Isabelle Munoz-Alvarez, la mère de Danaël, c'est la vie sexuelle dépravée de son ex-mari qui aurait poussé leur fils à se jeter sous un train. Elle le répétait à tout le monde, y compris à Samuel Batista...Samuel Batista tente de reprendre pied, mais tout échoue. Il abandonne ses études, refuse de travailler, se coupe peu à peu de ses amis. Samuel ne sourit plus depuis longtemps. Son visage est tiré, ses gestes lents, comme s'ils portaient un poids invisible. Il passe ses journées enfermé dans sa chambre, les volets souvent tirés. Un matelas, un ordinateur, une pile de livres, des pages griffonnées. Il fume, beaucoup. Il écrit, parfois. Et surtout, il rumine. Beaucoup trop.
[SPONSORISÉ] Dans ce huitième épisode de la saison 3 de PAROLES DE FEMMES, Tatiana Brillant se raconte au micro de Clémence de Bernis. C'est à la suite d'une prise d'otages que la vie de Tatiana Brillant va basculer. Elle qui se destinait au barreau, ressent soudain l'envie d'intégrer le RAID, l'unité d'élite de la police nationale. Elle se retrouvera ainsi en première ligne lors des crises les plus extrêmes : prises d'otages, enlèvements… Et jusqu'aux tragédies terroristes comme lors de la tuerie du Bataclan. Dans cet épisode de PAROLES DE FEMMES, on pénètre dans les coulisses très fermées du RAID. On appréhende un métier singulier où la parole fait face aux armes. Avec un mental hors du commun, Tatiana Brillant fascine par son parcours unique. Elle est dotée d'une extraordinaire capacité à comprendre l'humain jusque dans les moments les plus critiques. Femme de sang-froid et de courage, Tatiana Brillant prouve que l'on peut sauver des vies avec des mots !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
A Commensacq, petite commune paisible des Landes, Samuel Batista, 28 ans, a avoué avoir assassiné Guy Lecomte en septembre 2019, le père de son défunt ami Danaël Lecomte, le poignardant à 32 reprises. Il l'a fait par désir de vengeance, estimant que ce dernier avait eu une part de responsabilité dans le suicide de son fils. Guy Lecomte, discret commercial dans le secteur du bâtiment, menait une vie sexuelle débridée, marquée par le chemsex, les rencontres sur internet, les pratiques extrêmes et le sadomasochisme. D'après Isabelle Munoz-Alvarez, la mère de Danaël, c'est la vie sexuelle dépravée de son ex-mari qui aurait poussé leur fils à se jeter sous un train. Elle le répétait à tout le monde, y compris à Samuel Batista...Le 27 septembre 2019, dans les Landes, le vent siffle fort au-dessus de la pinède. Il fait encore chaud pour la saison, mais l'air est lourd, épais, comme gonflé d'un présage. Un souffle continu, chargé d'odeurs de résine et de sous-bois humides. Sur la route de Pissos, dans le petit village de Commensacq, une maison aux volets fermés reste muette malgré les coups répétés sur la porte. Les pompiers, appelés en urgence par un homme inquiet, insistent. Toujours aucun mouvement, alors ils forcent le passage.
Le 13 juillet 1988, dans le village de Huos en Occitanie, trois membres d'une même famille sont tués à coups de sabre, de hache et de fusil. L'enquête aboutit à l'arrestation de Henri-Jean Jacomet, mari et beau-frère des victimes, coupable idéal. Il faudra treize ans, plusieurs séjours en prison, des grèves de la faim et un procès pour qu'il prouve son innocence.
Cette semaine dans Crimes · Histoires Vraies, vous avez découvert l'affaire Henri-Jean Jacomet. Accusé du meurtre de sa femme, de sa belle-soeur et de son mari, il a été emprisonné, libéré puis innocenté par des jurés car il n'y avait pas de réelles preuves de sa culpabilité. Il est définitivement innocenté en 2003 grâce à des analyses ADN. Mais l'ADN est-elle toujours une preuve irréfutable ?Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !
Le 13 juillet 1988, dans le village de Huos en Occitanie, trois membres d'une même famille sont tués à coups de sabre, de hache et de fusil. L'enquête aboutit à l'arrestation de Henri-Jean Jacomet, mari et beau-frère des victimes, coupable idéal. Il faudra treize ans, plusieurs séjours en prison, des grèves de la faim et un procès pour qu'il prouve son innocence.Le 16 janvier 1989, à 6 heures du matin, Henri-Jean Jacomet est tiré du lit par les gendarmes de la section de recherche de Toulouse, et emmené en garde à vue à la brigade de Barbazan. L'interpellé ne percute pas tout de suite, il pense être entendu en qualité de simple témoin, mari d'une des victimes. Au bout de plusieurs heures d'audition, le ton monte, les questions s'enchaînent, ses réponses s'entrechoquent, et le piège se referme.
[SPONSORISÉ] Cette affaire d'espionnage aurait pu mettre en péril la victoire des Alliés durant la Seconde Guerre mondiale. Pourtant, il a fallu attendre 2005 pour que l'on en mesure réellement l'impact. Cette année-là, au Royaume-Uni, le bureau des Affaires étrangères et du Commonwealth décide de déclassifier certains documents secrets…. Près de 60 ans en arrière, en 1943, à Ankara, en Turquie, Elyesa Bazna a profité de son statut de valet personnel de l'ambassadeur britannique pour faire sortir de l'ambassade des photographies de documents classés Top Secret. S'il fait profiter de ses trouvailles aux Allemands, ce n'est pas par fanatisme nazi.
[SPONSORISÉ] Classée au patrimoine mondial par l'UNESCO, la Tour de Londres accueille aujourd'hui les joyaux de la Couronne britannique : elle est un détour incontournable pour les touristes du monde entier. Mais les visiteurs ne sont pas les seuls à arpenter les vingt et une tours du palais médiéval… Quand les allées se vident et que les lumières artificielles s'éteignent, d'étranges habitants sont parfois entraperçus. Les témoignages d'apparitions diaphanes, de bruits mystérieux ou d'odeurs venues de nulle part ne manquent pas, et sont chroniqués dès le XIIIe siècle. La Tour de Londres serait un repère de célébrités historiques, passées depuis longtemps dans l'au-delà…
Le 13 juillet 1988, dans le village de Huos en Occitanie, trois membres d'une même famille sont tués à coups de sabre, de hache et de fusil. L'enquête aboutit à l'arrestation de Henri-Jean Jacomet, mari et beau-frère des victimes, coupable idéal. Il faudra treize ans, plusieurs séjours en prison, des grèves de la faim et un procès pour qu'il prouve son innocence.À 5h du matin, ce jour de juillet 1988, Henri-Jean Jacomet reprend la route d'Huos, après avoir fait les trois huit à la Cellulose d'Aquitaine, une usine de pâte à papier à Saint-Gaudens. Chez lui, un bout de papier posé sur un meuble : « Je suis chez moi. On t'attend. Bisous ». Le mot a été rédigé la veille par son épouse, Fabienne, 21 ans. En fin d'après-midi, pendant que lui faisait la sieste avant d'entamer son service, elle rejoignait sa soeur pour prendre le café chez leurs parents, absents, partis en vacances au bord de la mer.
« Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente », chantait Georges Brassens. Mais pour la députée britannique Jo Cox, la sentence fut brutale. Trois coups de feu suffirent à éteindre ses convictions. Le 16 juin 2016, elle est sauvagement assassinée en pleine rue devant plusieurs témoins. Un crime survenu à seulement quelques jours du référendum sur le Brexit, et presque allégorie de la cristallisation politique du pays que ces débats entraînent. Jo Cox, la travailliste engagée pour le maintien du Royaume-Uni dans l'Union Européenne et l'ouverture du pays à l'immigration, tuée par Thomas Mair, adepte de théories suprémacistes blanches et ultra-nationalistes.
Cette semaine dans Crimes · Histoires Vraies, vous avez découvert l'affaire de l'assassinat de la députée britannique Jo Cox. Une politicienne du parti travailliste, de centre gauche, fervente opposante au Brexit. Elle est assassinée à 41 ans par un militant d'extrême droite, quelques mois avant le référendum qui scella la sortie du Royaume-Uni de l'UE. C'est ce qu'on appelle un féminicide politique. Mais quelle différence entre un féminicide, un assassinat politique et un féminicide politique ? Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !
[SPONSORISÉ] En 1985, Mikhaïl Gorbatchev s'attèle à un chantier politique de taille en URSS, visant à mettre fin à la Guerre Froide. Mais au même moment, aux États-Unis, une longue série d'arrestations fortement médiatisées vient relancer les tensions entre les deux blocs. Au centre de ce scandale : des espions et traîtres capturés par le FBI, la CIA et leurs collègues. 1985 devient alors The Year of the Spy, l'année des espions. Mais qui étaient ces femmes et ces hommes, certains trop bavards, d'autres travaillant activement pour le compte de l'ennemi.
« Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente », chantait Georges Brassens. Mais pour la députée britannique Jo Cox, la sentence fut brutale. Trois coups de feu suffirent à éteindre ses convictions. Le 16 juin 2016, elle est sauvagement assassinée en pleine rue devant plusieurs témoins. Un crime survenu à seulement quelques jours du référendum sur le Brexit, et presque allégorie de la cristallisation politique du pays que ces débats entraînent. Jo Cox, la travailliste engagée pour le maintien du Royaume-Uni dans l'Union Européenne et l'ouverture du pays à l'immigration, tuée par Thomas Mair, adepte de théories suprémacistes blanches et ultra-nationalistes.Dans son quartier de Fieldhead, à Birstall, Thomas Mair est très apprécié pour ses services rendus aux plus vulnérables. Une réputation à des années lumières du crime qu'il a commis.Depuis plusieurs années, il travaille comme jardinier bénévole pour des personnes âgées, notamment pour un voisin handicapé à qui il vient en aide plusieurs après-midis par semaine. Il entretient gratuitement les pelouses, taille les haies, répare des clôtures. Il le dit lui-même, le jardinage, c'est toute sa vie. Ses voisins le décrivent comme poli, réservé. On lui reconnaît parfois une certaine excentricité, mais il ne s'est jamais montré menaçant envers qui que ce soit.
« Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente », chantait Georges Brassens. Mais pour la députée britannique Jo Cox, la sentence fut brutale. Trois coups de feu suffirent à éteindre ses convictions. Le 16 juin 2016, elle est sauvagement assassinée en pleine rue devant plusieurs témoins. Un crime survenu à seulement quelques jours du référendum sur le Brexit, et presque allégorie de la cristallisation politique du pays que ces débats entraînent. Jo Cox, la travailliste engagée pour le maintien du Royaume-Uni dans l'Union Européenne et l'ouverture du pays à l'immigration, tuée par Thomas Mair, adepte de théories suprémacistes blanches et ultra-nationalistes.En juin 2016, Helen Joanne Cox dite Jo, est députée travailliste depuis un peu plus d'un an, élue dans la circonscription de Batley and Spen, dans le West Yorkshire, sa région natale. Elle a 41 ans et un parcours impressionnant. Née au sein d'une famille modeste, elle se hisse jusqu'aux bancs de la prestigieuse Université de Cambridge et raconte ses difficultés à s'intégrer auprès de camarades issus de classes sociales supérieures. Pas à pas, elle solidifie son engagement politique, jusqu'à son arrivée à la Chambre des Communes en 2015. Très vite, son quotidien vogue au rythme des débats sur le Brexit.
Seul dans sa chambre, Alexander McCartney a orchestré l'un des réseaux de prédation pédopornographique les plus redoutables jamais jugés. Il a manipulé, piégé près de 3 500 victimes en toute impunité pendant des années. Malgré les alertes, les saisies, les preuves… rien ne l'a arrêté. Jusqu'au jour où la justice, enfin, a dû regarder l'horreur en face. Voici le récit de l'une des plus sordides histoires du cybercrime sexuel.
Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !
Cette semaine dans Crimes · Histoires Vraies, vous avez découvert l'affaire Alexander McCartney. Cet homme nord-irlandais qui a abusé de plus de 70 mineures en ligne, provoquant le suicide d'une Etats-unienne de 12 ans. Nous aimerions creuser un aspect de cette affaire. Le coupable trouvait ses victimes sur les réseaux sociaux et surtout sur Snapchat particulièrement prisé des jeunes. alors, le réseau social préféré des adolescents les met-il en danger de grooming ?Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !
Seul dans sa chambre, Alexander McCartney a orchestré l'un des réseaux de prédation pédopornographique les plus redoutables jamais jugés. Il a manipulé, piégé près de 3 500 victimes en toute impunité pendant des années. Malgré les alertes, les saisies, les preuves… rien ne l'a arrêté. Jusqu'au jour où la justice, enfin, a dû regarder l'horreur en face. Voici le récit de l'une des plus sordides histoires du cybercrime sexuel.Le ton du juge O'Hara est grave, catégorique. La salle d'audience est suspendue à ses lèvres. « Ce que nous avons vu ici dépasse l'entendement. Les mots peinent à décrire l'ampleur du mal. […] Dans certains cas, des enfants de trois ou cinq ans ont été impliqués. » Le juge insiste sur un point essentiel : l'absence totale d'empathie. « Plusieurs enfants lui ont dit vouloir se suicider. L'une d'elles s'est tailladée en direct. D'autres ont envoyé des vidéos de leur détresse. McCartney a répondu, je cite : “Je m'en fiche.” »
Seul dans sa chambre, Alexander McCartney a orchestré l'un des réseaux de prédation pédopornographique les plus redoutables jamais jugés. Il a manipulé, piégé près de 3 500 victimes en toute impunité pendant des années. Malgré les alertes, les saisies, les preuves… rien ne l'a arrêté. Jusqu'au jour où la justice, enfin, a dû regarder l'horreur en face. Voici le récit de l'une des plus sordides histoires du cybercrime sexuel.Certaines victimes vivent à quelques pas de chez lui, d'autres à plus de 15 000 kilomètres. Le mode opératoire reste le même : Snapchat, Instagram, faux profil, séduction, menace, soumission, extorsion. Dans le monde entier, des adolescentes pensent discuter avec une autre fille. Et partout, c'est la même voix, le même piège. Derrière chaque profil : Alexander McCartney, seul dans sa chambre à Newry.
Seul dans sa chambre, Alexander McCartney a orchestré l'un des réseaux de prédation pédopornographique les plus redoutables jamais jugés. Il a manipulé, piégé près de 3 500 victimes en toute impunité pendant des années. Malgré les alertes, les saisies, les preuves… rien ne l'a arrêté. Jusqu'au jour où la justice, enfin, a dû regarder l'horreur en face. Voici le récit de l'une des plus sordides histoires du cybercrime sexuel.Nous sommes un an plus tard, le 18 mars 2019, la police perquisition pour la troisième fois le domicile d'Alexander McCartney. C'est depuis cette chambre d'enfant, dans une maison familiale sans surveillance particulière, qu'il a construit l'un des systèmes d'exploitation pédocriminels les plus vastes jamais découverts au Royaume-Uni.
Seul dans sa chambre, Alexander McCartney a orchestré l'un des réseaux de prédation pédopornographique les plus redoutables jamais jugés. Il a manipulé, piégé près de 3 500 victimes en toute impunité pendant des années. Malgré les alertes, les saisies, les preuves… rien ne l'a arrêté. Jusqu'au jour où la justice, enfin, a dû regarder l'horreur en face. Voici le récit de l'une des plus sordides histoires du cybercrime sexuel.10 mai 2018. Il est 19 h 27 à Bruceton Mills, petite ville encaissée de Virginie-Occidentale. Le soleil s'éteint lentement derrière la forêt épaisse, les oiseaux se taisent. Dans une maison familiale, les volets sont à demi baissés, les murs ornés de cadres. Sur l'un d'eux, une préadolescente tout sourire en robe blanche, taches de rousseur et regard franc. Derrière sa porte entrouverte, la lumière du téléphone éclaire faiblement son visage. Cimarron a douze ans. Ce soir, elle ne sourit pas, elle fixe l'écran, les mains moites. Elle tape frénétiquement, les larmes aux yeux. Elle supplie. Supplie qu'on la laisse tranquille. Mais il en veut plus. Plus de photos, plus d'humiliation.
C'est une affaire à la fois simple, et terriblement complexe. Celles et ceux qui s'y intéressent de près, reporters, enquêteurs, magistrats, historiens, se rejoignent toujours au bout du même chemin. Une même conviction, heurtée au manque d'éléments concrets et à la raison d'État, qui déroge aux lois, aux mandats d'arrêt, et obstrue la quête de vérité. Le vendredi 29 octobre 1965, Mehdi Ben Barka, visage de l'opposition au pouvoir marocain, disparaît à l'arrière d'une voiture. La suite, déroulée en hors-champ, n'est faite que de supputations, de témoignages invérifiables : pas de violence avérée, de sang, d'ADN, de corps à autopsier...
C'est une affaire à la fois simple, et terriblement complexe. Celles et ceux qui s'y intéressent de près, reporters, enquêteurs, magistrats, historiens, se rejoignent toujours au bout du même chemin. Une même conviction, heurtée au manque d'éléments concrets et à la raison d'État, qui déroge aux lois, aux mandats d'arrêt, et obstrue la quête de vérité. Le vendredi 29 octobre 1965, Mehdi Ben Barka, visage de l'opposition au pouvoir marocain, disparaît à l'arrière d'une voiture. La suite, déroulée en hors-champ, n'est faite que de supputations, de témoignages invérifiables : pas de violence avérée, de sang, d'ADN, de corps à autopsier...Prêt à tous les risques pour neutraliser Mehdi Ben Barka, le général Oufkir, ministre de l'Intérieur marocain, et Ahmed Dlimi auraient missionné leur espion Larbi Chtouki pour prendre contact avec différents complices français à l'été 1965 : Georges Figon d'abord, chargé de se faire passer pour un producteur, et d'approcher la cible en prétextant vouloir participer au projet de documentaire Basta. Antoine Lopez ensuite, l'honorable correspondant du SDECE, qui aurait joué de ses relations pour monter une équipe sur le terrain : les deux policiers de la brigade mondaine, les quatre truands de la bande de Jo Attia. Lorsque Ben Barka annonce sa venue à Paris le 29 octobre pour faire connaissance avec Figon, l'opportunité est saisie, et le piège se referme.
C'est une affaire à la fois simple, et terriblement complexe. Celles et ceux qui s'y intéressent de près, reporters, enquêteurs, magistrats, historiens, se rejoignent toujours au bout du même chemin. Une même conviction, heurtée au manque d'éléments concrets et à la raison d'État, qui déroge aux lois, aux mandats d'arrêt, et obstrue la quête de vérité. Le vendredi 29 octobre 1965, Mehdi Ben Barka, visage de l'opposition au pouvoir marocain, disparaît à l'arrière d'une voiture. La suite, déroulée en hors-champ, n'est faite que de supputations, de témoignages invérifiables : pas de violence avérée, de sang, d'ADN, de corps à autopsier...Le vendredi 29 octobre 1965, vers 9h du matin, un avion en provenance de Genève atterrit sur le tarmac de l'aéroport d'Orly. A son bord, Mehdi Ben Barka, 45 ans, s'apprête à récupérer son bagage et à rallier Paris. A 12h30, un rendez-vous lui a été fixé à la brasserie Lipp, sur le boulevard Saint-Germain, par un vieil ami : Philippe Bernier, ancien résistant reconverti en journaliste, engagé à gauche et couvrant l'actualité politique en Afrique du Nord.
C'est une affaire à la fois simple, et terriblement complexe. Celles et ceux qui s'y intéressent de près, reporters, enquêteurs, magistrats, historiens, se rejoignent toujours au bout du même chemin. Une même conviction, heurtée au manque d'éléments concrets et à la raison d'État, qui déroge aux lois, aux mandats d'arrêt, et obstrue la quête de vérité. Le vendredi 29 octobre 1965, Mehdi Ben Barka, visage de l'opposition au pouvoir marocain, disparaît à l'arrière d'une voiture. La suite, déroulée en hors-champ, n'est faite que de supputations, de témoignages invérifiables : pas de violence avérée, de sang, d'ADN, de corps à autopsier...Un crime parfait ou presque, le fruit d'un complot tentaculaire auquel se mêle, de manière consentie ou non, une galerie de personnages singulière : des agents secrets, un cinéaste de la Nouvelle Vague, des policiers français, un journaliste de gauche, des truands de Pigalle, un producteur repenti, l'écrivaine Marguerite Duras, et un roi en colère. Il fallait au moins un stratagème aussi échevelé pour fixer, intercepter, duper Mehdi Ben Barka.
Dans les profondeurs sombres du bois de Boulogne, entre les arbres aux troncs difformes, Vanesa Campos s'effondre. Sa poitrine est transpercée. Une mare de sang s'étale au sol. Autour d'elle, la forêt bruisse encore des pas précipités de ses agresseurs. Il est 23 h 15, le 16 août 2018. Quelques heures plus tôt, la ville célébrait les Gay Games et l'inclusion. Quelques mètres plus loin, les rires étouffés des clients pressés de fuir résonnent à peine. Et Vanesa, elle, agonise seule. Sous le ciel de Paris, capitale des droits de l'homme, une femme transgenre et sans papiers meurt dans l'indifférence.
Dans les profondeurs sombres du bois de Boulogne, entre les arbres aux troncs difformes, Vanesa Campos s'effondre. Sa poitrine est transpercée. Une mare de sang s'étale au sol. Autour d'elle, la forêt bruisse encore des pas précipités de ses agresseurs. Il est 23 h 15, le 16 août 2018. Quelques heures plus tôt, la ville célébrait les Gay Games et l'inclusion. Quelques mètres plus loin, les rires étouffés des clients pressés de fuir résonnent à peine. Et Vanesa, elle, agonise seule. Sous le ciel de Paris, capitale des droits de l'homme, une femme transgenre et sans papiers meurt dans l'indifférence.Il est 9 heures, ce 29 novembre 2022, lorsque s'ouvre le procès devant la cour d'assises de Paris. L'attente a été longue. Trop longue. Pour les proches de Vanesa, pour ses camarades du bois, pour les associations mobilisées depuis le premier jour. Quatre ans à réclamer justice. Quatre ans à dénoncer le silence, à rappeler que Vanesa ne doit pas devenir un simple nom dans une affaire de vol.
Dans les profondeurs sombres du bois de Boulogne, entre les arbres aux troncs difformes, Vanesa Campos s'effondre. Sa poitrine est transpercée. Une mare de sang s'étale au sol. Autour d'elle, la forêt bruisse encore des pas précipités de ses agresseurs. Il est 23 h 15, le 16 août 2018. Quelques heures plus tôt, la ville célébrait les Gay Games et l'inclusion. Quelques mètres plus loin, les rires étouffés des clients pressés de fuir résonnent à peine. Et Vanesa, elle, agonise seule. Sous le ciel de Paris, capitale des droits de l'homme, une femme transgenre et sans papiers meurt dans l'indifférence.Parmi ce groupe d'hommes, un attire particulièrement l'attention. 21 ans, en situation irrégulière, venu d'Égypte quelques mois plus tôt, il loge dans des squats, traîne avec des groupes instables, fréquente les abords du bois. Les filles le surnomment « El Nano », le nain. Il rôde, observe, surgit parfois pour s'emparer d'un téléphone, d'un sac ou de l'argent. Il passe vite, les yeux fuyants, les mains dans les poches. Parfois seul, souvent accompagné. Il les regarde comme des intruses, des parasites.
Dans les profondeurs sombres du bois de Boulogne, entre les arbres aux troncs difformes, Vanesa Campos s'effondre. Sa poitrine est transpercée. Une mare de sang s'étale au sol. Autour d'elle, la forêt bruisse encore des pas précipités de ses agresseurs. Il est 23 h 15, le 16 août 2018. Quelques heures plus tôt, la ville célébrait les Gay Games et l'inclusion. Quelques mètres plus loin, les rires étouffés des clients pressés de fuir résonnent à peine. Et Vanesa, elle, agonise seule. Sous le ciel de Paris, capitale des droits de l'homme, une femme transgenre et sans papiers meurt dans l'indifférence.Vanesa Campos naît en 1982, dans le nord du Pérou, à Cayaltí, un petit village agricole accroché aux reliefs de la région de Lambayeque. Là-bas, le soleil frappe fort les terres poussiéreuses, les toits sont en tôle ondulée, les routes trouées de nids-de-poule. Les journées s'écoulent lentement, rythmées par les cloches de l'église et les clameurs du marché. Dans cette atmosphère figée entre traditions catholiques, pauvreté endémique et machisme omniprésent, une enfant grandit, entourée de ses frères et sœurs, avec un secret qu'elle ne peut encore nommer.
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Le 19 décembre 1969, vers 20h10, Raymond Trocard, transporteur d'une cinquantaine d'années atteint d'une vilaine grippe, se gare au début du boulevard Richard-Lenoir, 11e arrondissement de Paris. Les lumières d'une fête foraine illuminent la nuit, tombée depuis plus de trois bonnes heures. Raymond Trocard se présente à la pharmacie du numéro 6. Surgissent alors d'un bureau attenant, Simone Delaunay, 47 ans, exploitante de l'officine, et sa préparatrice, Janine Aubert, 37 ans. Toutes deux ont revêtu leurs manteaux, avancent pas à pas, terrifiées ; dans leur dos se tient un homme, pistolet compact en joue, un Walther P38...
L'affaire Mis et Thiennot, du nom des principaux protagonistes, Raymond Mis et Gabriel Thiennot, est une affaire criminelle qui a fait l'objet de trois procès en cour d'assises entre 1947 et 1950, s'étant conclus par trois condamnations successives des deux accusés. À partir de 1980, certains journalistes ont mis en avant l'hypothèse d'une erreur judiciaire. Cette éventualité implique que d'autres personnes que les protagonistes condamnés soient les véritables coupables du meurtre du garde-chasse Louis Boistard, et que l'enquête judiciaire originelle ait induit la justice en erreur. Cinq requêtes en révision déposées entre 1980 et 2005 ont été rejetées par la commission de révision des condamnations pénales. Une sixième a été rejetée en 2015 par la cour de révision et de réexamen des condamnations pénales créée la même année. Une nouvelle requête a été déposée en 2022.
Voici le récit de l'assassinat de Thomas Sankara, chef de l'État de la république de Haute-Volta - rebaptisée Burkina Faso - de 1983 à 1987. soit durant la période de la première révolution burkinabè. Marxiste-léniniste, anti-impérialiste, révolutionnaire, écologiste, féministe, panafricaniste et tiers-mondiste, le souvenir de Sankara reste vivace dans la jeunesse burkinabé mais aussi plus généralement en Afrique, qui en a fait une icône, un « Che Guevara africain », aux côtés notamment de Patrice Lumumba.
Oscar Dufrenne était un directeur de salles de spectacles et homme politique français, dont l'assassinat à Paris le 24 septembre 1933, dans le cinéma du Palace, fit la une de la presse.Connu pour sa vie dissolue, devenu l'un des rois de la nuit parisienne et un proche du pouvoir, sa disparition provoque scandale et rumeurs, et ses obsèques attirent la foule. La nature sexuelle du lieu du crime étant vite apparue aux enquêteurs, la presse se délecte du caractère scandaleux de l'affaire, et l'homophobie est omniprésente...
Le 19 août 1870, on peut lire dans L'Écho de la Dordogne sous le titre « Chronique locale » les quelques paragraphes suivants, qui ne remplissent pas même une colonne en page 2 : Hier dans la journée, le bruit s'est répandu à Périgueux que M. de Moneys d'Ordières, propriétaire du château de Bretanges, un des personnages les plus considérés du pays, avait été assailli par la populace et brûlé vif la veille sur le champ de foire d'Hautefaye près de Nontron. Voici les renseignements dignes de foi que nous avons recueillis sur ce crime, digne des temps les plus reculés de la barbarie...