De nombreuses études ont montré que les tueurs en série n'était pas une invention de notre société moderne. Mais au contraire depuis la nuit des temps des Hommes et des Femmes ont tué leurs semblables par pur plaisir. Cette collection de récits retrace le parcours de criminels ou de tueurs en séries…
Cette semaine dans Crimes · Histoires Vraies, vous avez découvert l'affaire de l'assassinat de la députée britannique Jo Cox. Une politicienne du parti travailliste, de centre gauche, fervente opposante au Brexit. Elle est assassinée à 41 ans par un militant d'extrême droite, quelques mois avant le référendum qui scella la sortie du Royaume-Uni de l'UE. C'est ce qu'on appelle un féminicide politique. Mais quelle différence entre un féminicide, un assassinat politique et un féminicide politique ? Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !
[SPONSORISÉ] En 1985, Mikhaïl Gorbatchev s'attèle à un chantier politique de taille en URSS, visant à mettre fin à la Guerre Froide. Mais au même moment, aux États-Unis, une longue série d'arrestations fortement médiatisées vient relancer les tensions entre les deux blocs. Au centre de ce scandale : des espions et traîtres capturés par le FBI, la CIA et leurs collègues. 1985 devient alors The Year of the Spy, l'année des espions. Mais qui étaient ces femmes et ces hommes, certains trop bavards, d'autres travaillant activement pour le compte de l'ennemi.
« Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente », chantait Georges Brassens. Mais pour la députée britannique Jo Cox, la sentence fut brutale. Trois coups de feu suffirent à éteindre ses convictions. Le 16 juin 2016, elle est sauvagement assassinée en pleine rue devant plusieurs témoins. Un crime survenu à seulement quelques jours du référendum sur le Brexit, et presque allégorie de la cristallisation politique du pays que ces débats entraînent. Jo Cox, la travailliste engagée pour le maintien du Royaume-Uni dans l'Union Européenne et l'ouverture du pays à l'immigration, tuée par Thomas Mair, adepte de théories suprémacistes blanches et ultra-nationalistes.Dans son quartier de Fieldhead, à Birstall, Thomas Mair est très apprécié pour ses services rendus aux plus vulnérables. Une réputation à des années lumières du crime qu'il a commis.Depuis plusieurs années, il travaille comme jardinier bénévole pour des personnes âgées, notamment pour un voisin handicapé à qui il vient en aide plusieurs après-midis par semaine. Il entretient gratuitement les pelouses, taille les haies, répare des clôtures. Il le dit lui-même, le jardinage, c'est toute sa vie. Ses voisins le décrivent comme poli, réservé. On lui reconnaît parfois une certaine excentricité, mais il ne s'est jamais montré menaçant envers qui que ce soit.
« Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente », chantait Georges Brassens. Mais pour la députée britannique Jo Cox, la sentence fut brutale. Trois coups de feu suffirent à éteindre ses convictions. Le 16 juin 2016, elle est sauvagement assassinée en pleine rue devant plusieurs témoins. Un crime survenu à seulement quelques jours du référendum sur le Brexit, et presque allégorie de la cristallisation politique du pays que ces débats entraînent. Jo Cox, la travailliste engagée pour le maintien du Royaume-Uni dans l'Union Européenne et l'ouverture du pays à l'immigration, tuée par Thomas Mair, adepte de théories suprémacistes blanches et ultra-nationalistes.En juin 2016, Helen Joanne Cox dite Jo, est députée travailliste depuis un peu plus d'un an, élue dans la circonscription de Batley and Spen, dans le West Yorkshire, sa région natale. Elle a 41 ans et un parcours impressionnant. Née au sein d'une famille modeste, elle se hisse jusqu'aux bancs de la prestigieuse Université de Cambridge et raconte ses difficultés à s'intégrer auprès de camarades issus de classes sociales supérieures. Pas à pas, elle solidifie son engagement politique, jusqu'à son arrivée à la Chambre des Communes en 2015. Très vite, son quotidien vogue au rythme des débats sur le Brexit.
Seul dans sa chambre, Alexander McCartney a orchestré l'un des réseaux de prédation pédopornographique les plus redoutables jamais jugés. Il a manipulé, piégé près de 3 500 victimes en toute impunité pendant des années. Malgré les alertes, les saisies, les preuves… rien ne l'a arrêté. Jusqu'au jour où la justice, enfin, a dû regarder l'horreur en face. Voici le récit de l'une des plus sordides histoires du cybercrime sexuel.
Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !
Cette semaine dans Crimes · Histoires Vraies, vous avez découvert l'affaire Alexander McCartney. Cet homme nord-irlandais qui a abusé de plus de 70 mineures en ligne, provoquant le suicide d'une Etats-unienne de 12 ans. Nous aimerions creuser un aspect de cette affaire. Le coupable trouvait ses victimes sur les réseaux sociaux et surtout sur Snapchat particulièrement prisé des jeunes. alors, le réseau social préféré des adolescents les met-il en danger de grooming ?Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !
Seul dans sa chambre, Alexander McCartney a orchestré l'un des réseaux de prédation pédopornographique les plus redoutables jamais jugés. Il a manipulé, piégé près de 3 500 victimes en toute impunité pendant des années. Malgré les alertes, les saisies, les preuves… rien ne l'a arrêté. Jusqu'au jour où la justice, enfin, a dû regarder l'horreur en face. Voici le récit de l'une des plus sordides histoires du cybercrime sexuel.Le ton du juge O'Hara est grave, catégorique. La salle d'audience est suspendue à ses lèvres. « Ce que nous avons vu ici dépasse l'entendement. Les mots peinent à décrire l'ampleur du mal. […] Dans certains cas, des enfants de trois ou cinq ans ont été impliqués. » Le juge insiste sur un point essentiel : l'absence totale d'empathie. « Plusieurs enfants lui ont dit vouloir se suicider. L'une d'elles s'est tailladée en direct. D'autres ont envoyé des vidéos de leur détresse. McCartney a répondu, je cite : “Je m'en fiche.” »
Seul dans sa chambre, Alexander McCartney a orchestré l'un des réseaux de prédation pédopornographique les plus redoutables jamais jugés. Il a manipulé, piégé près de 3 500 victimes en toute impunité pendant des années. Malgré les alertes, les saisies, les preuves… rien ne l'a arrêté. Jusqu'au jour où la justice, enfin, a dû regarder l'horreur en face. Voici le récit de l'une des plus sordides histoires du cybercrime sexuel.Certaines victimes vivent à quelques pas de chez lui, d'autres à plus de 15 000 kilomètres. Le mode opératoire reste le même : Snapchat, Instagram, faux profil, séduction, menace, soumission, extorsion. Dans le monde entier, des adolescentes pensent discuter avec une autre fille. Et partout, c'est la même voix, le même piège. Derrière chaque profil : Alexander McCartney, seul dans sa chambre à Newry.
Seul dans sa chambre, Alexander McCartney a orchestré l'un des réseaux de prédation pédopornographique les plus redoutables jamais jugés. Il a manipulé, piégé près de 3 500 victimes en toute impunité pendant des années. Malgré les alertes, les saisies, les preuves… rien ne l'a arrêté. Jusqu'au jour où la justice, enfin, a dû regarder l'horreur en face. Voici le récit de l'une des plus sordides histoires du cybercrime sexuel.Nous sommes un an plus tard, le 18 mars 2019, la police perquisition pour la troisième fois le domicile d'Alexander McCartney. C'est depuis cette chambre d'enfant, dans une maison familiale sans surveillance particulière, qu'il a construit l'un des systèmes d'exploitation pédocriminels les plus vastes jamais découverts au Royaume-Uni.
Seul dans sa chambre, Alexander McCartney a orchestré l'un des réseaux de prédation pédopornographique les plus redoutables jamais jugés. Il a manipulé, piégé près de 3 500 victimes en toute impunité pendant des années. Malgré les alertes, les saisies, les preuves… rien ne l'a arrêté. Jusqu'au jour où la justice, enfin, a dû regarder l'horreur en face. Voici le récit de l'une des plus sordides histoires du cybercrime sexuel.10 mai 2018. Il est 19 h 27 à Bruceton Mills, petite ville encaissée de Virginie-Occidentale. Le soleil s'éteint lentement derrière la forêt épaisse, les oiseaux se taisent. Dans une maison familiale, les volets sont à demi baissés, les murs ornés de cadres. Sur l'un d'eux, une préadolescente tout sourire en robe blanche, taches de rousseur et regard franc. Derrière sa porte entrouverte, la lumière du téléphone éclaire faiblement son visage. Cimarron a douze ans. Ce soir, elle ne sourit pas, elle fixe l'écran, les mains moites. Elle tape frénétiquement, les larmes aux yeux. Elle supplie. Supplie qu'on la laisse tranquille. Mais il en veut plus. Plus de photos, plus d'humiliation.
C'est une affaire à la fois simple, et terriblement complexe. Celles et ceux qui s'y intéressent de près, reporters, enquêteurs, magistrats, historiens, se rejoignent toujours au bout du même chemin. Une même conviction, heurtée au manque d'éléments concrets et à la raison d'État, qui déroge aux lois, aux mandats d'arrêt, et obstrue la quête de vérité. Le vendredi 29 octobre 1965, Mehdi Ben Barka, visage de l'opposition au pouvoir marocain, disparaît à l'arrière d'une voiture. La suite, déroulée en hors-champ, n'est faite que de supputations, de témoignages invérifiables : pas de violence avérée, de sang, d'ADN, de corps à autopsier...
C'est une affaire à la fois simple, et terriblement complexe. Celles et ceux qui s'y intéressent de près, reporters, enquêteurs, magistrats, historiens, se rejoignent toujours au bout du même chemin. Une même conviction, heurtée au manque d'éléments concrets et à la raison d'État, qui déroge aux lois, aux mandats d'arrêt, et obstrue la quête de vérité. Le vendredi 29 octobre 1965, Mehdi Ben Barka, visage de l'opposition au pouvoir marocain, disparaît à l'arrière d'une voiture. La suite, déroulée en hors-champ, n'est faite que de supputations, de témoignages invérifiables : pas de violence avérée, de sang, d'ADN, de corps à autopsier...Prêt à tous les risques pour neutraliser Mehdi Ben Barka, le général Oufkir, ministre de l'Intérieur marocain, et Ahmed Dlimi auraient missionné leur espion Larbi Chtouki pour prendre contact avec différents complices français à l'été 1965 : Georges Figon d'abord, chargé de se faire passer pour un producteur, et d'approcher la cible en prétextant vouloir participer au projet de documentaire Basta. Antoine Lopez ensuite, l'honorable correspondant du SDECE, qui aurait joué de ses relations pour monter une équipe sur le terrain : les deux policiers de la brigade mondaine, les quatre truands de la bande de Jo Attia. Lorsque Ben Barka annonce sa venue à Paris le 29 octobre pour faire connaissance avec Figon, l'opportunité est saisie, et le piège se referme.
C'est une affaire à la fois simple, et terriblement complexe. Celles et ceux qui s'y intéressent de près, reporters, enquêteurs, magistrats, historiens, se rejoignent toujours au bout du même chemin. Une même conviction, heurtée au manque d'éléments concrets et à la raison d'État, qui déroge aux lois, aux mandats d'arrêt, et obstrue la quête de vérité. Le vendredi 29 octobre 1965, Mehdi Ben Barka, visage de l'opposition au pouvoir marocain, disparaît à l'arrière d'une voiture. La suite, déroulée en hors-champ, n'est faite que de supputations, de témoignages invérifiables : pas de violence avérée, de sang, d'ADN, de corps à autopsier...Le vendredi 29 octobre 1965, vers 9h du matin, un avion en provenance de Genève atterrit sur le tarmac de l'aéroport d'Orly. A son bord, Mehdi Ben Barka, 45 ans, s'apprête à récupérer son bagage et à rallier Paris. A 12h30, un rendez-vous lui a été fixé à la brasserie Lipp, sur le boulevard Saint-Germain, par un vieil ami : Philippe Bernier, ancien résistant reconverti en journaliste, engagé à gauche et couvrant l'actualité politique en Afrique du Nord.
C'est une affaire à la fois simple, et terriblement complexe. Celles et ceux qui s'y intéressent de près, reporters, enquêteurs, magistrats, historiens, se rejoignent toujours au bout du même chemin. Une même conviction, heurtée au manque d'éléments concrets et à la raison d'État, qui déroge aux lois, aux mandats d'arrêt, et obstrue la quête de vérité. Le vendredi 29 octobre 1965, Mehdi Ben Barka, visage de l'opposition au pouvoir marocain, disparaît à l'arrière d'une voiture. La suite, déroulée en hors-champ, n'est faite que de supputations, de témoignages invérifiables : pas de violence avérée, de sang, d'ADN, de corps à autopsier...Un crime parfait ou presque, le fruit d'un complot tentaculaire auquel se mêle, de manière consentie ou non, une galerie de personnages singulière : des agents secrets, un cinéaste de la Nouvelle Vague, des policiers français, un journaliste de gauche, des truands de Pigalle, un producteur repenti, l'écrivaine Marguerite Duras, et un roi en colère. Il fallait au moins un stratagème aussi échevelé pour fixer, intercepter, duper Mehdi Ben Barka.
Dans les profondeurs sombres du bois de Boulogne, entre les arbres aux troncs difformes, Vanesa Campos s'effondre. Sa poitrine est transpercée. Une mare de sang s'étale au sol. Autour d'elle, la forêt bruisse encore des pas précipités de ses agresseurs. Il est 23 h 15, le 16 août 2018. Quelques heures plus tôt, la ville célébrait les Gay Games et l'inclusion. Quelques mètres plus loin, les rires étouffés des clients pressés de fuir résonnent à peine. Et Vanesa, elle, agonise seule. Sous le ciel de Paris, capitale des droits de l'homme, une femme transgenre et sans papiers meurt dans l'indifférence.
Dans les profondeurs sombres du bois de Boulogne, entre les arbres aux troncs difformes, Vanesa Campos s'effondre. Sa poitrine est transpercée. Une mare de sang s'étale au sol. Autour d'elle, la forêt bruisse encore des pas précipités de ses agresseurs. Il est 23 h 15, le 16 août 2018. Quelques heures plus tôt, la ville célébrait les Gay Games et l'inclusion. Quelques mètres plus loin, les rires étouffés des clients pressés de fuir résonnent à peine. Et Vanesa, elle, agonise seule. Sous le ciel de Paris, capitale des droits de l'homme, une femme transgenre et sans papiers meurt dans l'indifférence.Il est 9 heures, ce 29 novembre 2022, lorsque s'ouvre le procès devant la cour d'assises de Paris. L'attente a été longue. Trop longue. Pour les proches de Vanesa, pour ses camarades du bois, pour les associations mobilisées depuis le premier jour. Quatre ans à réclamer justice. Quatre ans à dénoncer le silence, à rappeler que Vanesa ne doit pas devenir un simple nom dans une affaire de vol.
Dans les profondeurs sombres du bois de Boulogne, entre les arbres aux troncs difformes, Vanesa Campos s'effondre. Sa poitrine est transpercée. Une mare de sang s'étale au sol. Autour d'elle, la forêt bruisse encore des pas précipités de ses agresseurs. Il est 23 h 15, le 16 août 2018. Quelques heures plus tôt, la ville célébrait les Gay Games et l'inclusion. Quelques mètres plus loin, les rires étouffés des clients pressés de fuir résonnent à peine. Et Vanesa, elle, agonise seule. Sous le ciel de Paris, capitale des droits de l'homme, une femme transgenre et sans papiers meurt dans l'indifférence.Parmi ce groupe d'hommes, un attire particulièrement l'attention. 21 ans, en situation irrégulière, venu d'Égypte quelques mois plus tôt, il loge dans des squats, traîne avec des groupes instables, fréquente les abords du bois. Les filles le surnomment « El Nano », le nain. Il rôde, observe, surgit parfois pour s'emparer d'un téléphone, d'un sac ou de l'argent. Il passe vite, les yeux fuyants, les mains dans les poches. Parfois seul, souvent accompagné. Il les regarde comme des intruses, des parasites.
Dans les profondeurs sombres du bois de Boulogne, entre les arbres aux troncs difformes, Vanesa Campos s'effondre. Sa poitrine est transpercée. Une mare de sang s'étale au sol. Autour d'elle, la forêt bruisse encore des pas précipités de ses agresseurs. Il est 23 h 15, le 16 août 2018. Quelques heures plus tôt, la ville célébrait les Gay Games et l'inclusion. Quelques mètres plus loin, les rires étouffés des clients pressés de fuir résonnent à peine. Et Vanesa, elle, agonise seule. Sous le ciel de Paris, capitale des droits de l'homme, une femme transgenre et sans papiers meurt dans l'indifférence.Vanesa Campos naît en 1982, dans le nord du Pérou, à Cayaltí, un petit village agricole accroché aux reliefs de la région de Lambayeque. Là-bas, le soleil frappe fort les terres poussiéreuses, les toits sont en tôle ondulée, les routes trouées de nids-de-poule. Les journées s'écoulent lentement, rythmées par les cloches de l'église et les clameurs du marché. Dans cette atmosphère figée entre traditions catholiques, pauvreté endémique et machisme omniprésent, une enfant grandit, entourée de ses frères et sœurs, avec un secret qu'elle ne peut encore nommer.
Cette semaine, Minuit vous offre en exclusivité Roulette russe à Béziers, une enquête saisissante signée Alexandre Mognol et produite par Nouvelles Écoutes. ⭐️ Abonnez-vous à Nouvelles Écoutes + pour profiter du catalogue Nouvelles Écoutes en intégralité et en avant-première, sans publicité. Vous aurez accès à des enquêtes, documentaires, séries et fictions exclusives passionnantes, comme « La Jeune Rue », « Le Procès Harelle », ou encore « Oussama Le Magnifique ».
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Le 19 décembre 1969, vers 20h10, Raymond Trocard, transporteur d'une cinquantaine d'années atteint d'une vilaine grippe, se gare au début du boulevard Richard-Lenoir, 11e arrondissement de Paris. Les lumières d'une fête foraine illuminent la nuit, tombée depuis plus de trois bonnes heures. Raymond Trocard se présente à la pharmacie du numéro 6. Surgissent alors d'un bureau attenant, Simone Delaunay, 47 ans, exploitante de l'officine, et sa préparatrice, Janine Aubert, 37 ans. Toutes deux ont revêtu leurs manteaux, avancent pas à pas, terrifiées ; dans leur dos se tient un homme, pistolet compact en joue, un Walther P38...
L'affaire Mis et Thiennot, du nom des principaux protagonistes, Raymond Mis et Gabriel Thiennot, est une affaire criminelle qui a fait l'objet de trois procès en cour d'assises entre 1947 et 1950, s'étant conclus par trois condamnations successives des deux accusés. À partir de 1980, certains journalistes ont mis en avant l'hypothèse d'une erreur judiciaire. Cette éventualité implique que d'autres personnes que les protagonistes condamnés soient les véritables coupables du meurtre du garde-chasse Louis Boistard, et que l'enquête judiciaire originelle ait induit la justice en erreur. Cinq requêtes en révision déposées entre 1980 et 2005 ont été rejetées par la commission de révision des condamnations pénales. Une sixième a été rejetée en 2015 par la cour de révision et de réexamen des condamnations pénales créée la même année. Une nouvelle requête a été déposée en 2022.
Voici le récit de l'assassinat de Thomas Sankara, chef de l'État de la république de Haute-Volta - rebaptisée Burkina Faso - de 1983 à 1987. soit durant la période de la première révolution burkinabè. Marxiste-léniniste, anti-impérialiste, révolutionnaire, écologiste, féministe, panafricaniste et tiers-mondiste, le souvenir de Sankara reste vivace dans la jeunesse burkinabé mais aussi plus généralement en Afrique, qui en a fait une icône, un « Che Guevara africain », aux côtés notamment de Patrice Lumumba.
Oscar Dufrenne était un directeur de salles de spectacles et homme politique français, dont l'assassinat à Paris le 24 septembre 1933, dans le cinéma du Palace, fit la une de la presse.Connu pour sa vie dissolue, devenu l'un des rois de la nuit parisienne et un proche du pouvoir, sa disparition provoque scandale et rumeurs, et ses obsèques attirent la foule. La nature sexuelle du lieu du crime étant vite apparue aux enquêteurs, la presse se délecte du caractère scandaleux de l'affaire, et l'homophobie est omniprésente...
Le 19 août 1870, on peut lire dans L'Écho de la Dordogne sous le titre « Chronique locale » les quelques paragraphes suivants, qui ne remplissent pas même une colonne en page 2 : Hier dans la journée, le bruit s'est répandu à Périgueux que M. de Moneys d'Ordières, propriétaire du château de Bretanges, un des personnages les plus considérés du pays, avait été assailli par la populace et brûlé vif la veille sur le champ de foire d'Hautefaye près de Nontron. Voici les renseignements dignes de foi que nous avons recueillis sur ce crime, digne des temps les plus reculés de la barbarie...
Oscar Dufrenne était un directeur de salles de spectacles et homme politique français, dont l'assassinat à Paris le 24 septembre 1933, dans le cinéma du Palace, fit la une de la presse.Connu pour sa vie dissolue, devenu l'un des rois de la nuit parisienne et un proche du pouvoir, sa disparition provoque scandale et rumeurs, et ses obsèques attirent la foule. La nature sexuelle du lieu du crime étant vite apparue aux enquêteurs, la presse se délecte du caractère scandaleux de l'affaire, et l'homophobie est omniprésente...Le retard accumulé précipite les investigations, focalisées sur le mystérieux marin, au détriment des autres pistes disponibles, plus ou moins sérieuses. Certains se demandent par exemple si Serge Nicolesco, le secrétaire d'Oscar Dufrenne, mais aussi son ancien amant, pourrait avoir quelque chose à se reprocher. Il est l'un des derniers à l'avoir vu en vie, son bureau se trouve juste à côté du sien, et les deux hommes ont pu par le passé faire trembler les murs du Palace, au rythme de leurs disputes. Une flopée de lettres anonymes s'abat également sur les services de police.
Le 22 janvier 1923, des coups de feu retentissent dans les locaux de L'Action française, rue de Rome à Paris dans le 8e arrondissement. Quatre, puis un cinquième. On entend des cris ; au premier étage, c'est le chaos : une jeune femme a tiré sur le secrétaire général avant de retourner l'arme contre elle. Elle s'appelle Germaine Berton, elle a tout juste vingt ans. Elle vient de venger Jean Jaurès, assassiné neuf ans plus tôt.
Oscar Dufrenne était un directeur de salles de spectacles et homme politique français, dont l'assassinat à Paris le 24 septembre 1933, dans le cinéma du Palace, fit la une de la presse.Connu pour sa vie dissolue, devenu l'un des rois de la nuit parisienne et un proche du pouvoir, sa disparition provoque scandale et rumeurs, et ses obsèques attirent la foule. La nature sexuelle du lieu du crime étant vite apparue aux enquêteurs, la presse se délecte du caractère scandaleux de l'affaire, et l'homophobie est omniprésente...Dans la nuit du dimanche 24 septembre 1933, aux alentours de minuit et demi, un brigadier de la police de quartier effectue sa ronde autour de la porte Saint-Denis. Il remonte le boulevard de Bonne Nouvelle, arrive au croisement de la rue du Faubourg Montmartre, lorsque plusieurs hommes affolés l'alpaguent, tous amassés au numéro 8, sous la devanture du music-hall et cinéma le Palace. Le brigadier est conduit au deuxième étage, traverse des couloirs, un cabinet, jusqu'à une porte, sur laquelle un écriteau indique : « Bureau de M. Dufrenne ».
En ce lundi 20 septembre 1869, Jean Langlois se rend aux champs à cinq heures du matin. Bêche à l'épaule, il marche sur le chemin qui mène à son champ situé environ à un kilomètre de la gare de Pantin et à 500 mètres de la route de Paris. Il fait encore sombre mais chemin faisant il croit apercevoir des taches de sang à la lisière d'un champ de luzerne. Il s'approche et constate qu'il s'agit bien de sang, de sang frais. Comme il en distingue plus loin encore, il suit les traces. Elles le mènent au lieu-dit Le Chemin vert jusqu'à un monticule de terre dans lequel il donne quelques coups de bêche. C'est alors qu'il voit petit à petit apparaître un foulard, un bras, puis le cadavre d'une femme vêtue d'une robe noire. Il continue de creuser jusqu'à apercevoir une tête...
Oscar Dufrenne était un directeur de salles de spectacles et homme politique français, dont l'assassinat à Paris le 24 septembre 1933, dans le cinéma du Palace, fit la une de la presse.Connu pour sa vie dissolue, devenu l'un des rois de la nuit parisienne et un proche du pouvoir, sa disparition provoque scandale et rumeurs, et ses obsèques attirent la foule. La nature sexuelle du lieu du crime étant vite apparue aux enquêteurs, la presse se délecte du caractère scandaleux de l'affaire, et l'homophobie est omniprésente...Pour l'heure, la cérémonie s'achève à l'église Saint-Eugène et la procession reprend son chemin. Oscar Dufrenne sillonne une dernière fois les grands boulevards, traverse la place de la République, et termine sa course au cimetière du Père-Lachaise, dans le secteur de la 89ème division, avenue circulaire, douzième ligne. Hormis le registre d'inhumation, Paris n'a pas gardé trace de son passage. Aucune voie, aucun théâtre, aucune salle ne porte son nom, balayé des lieux qu'il a autrefois détenus et entretenus.
Voici le récit de la tuerie de masse perpétrée le 23 mai 2014 à Isla Vista, dans le comté de Santa Barbara en Californie, et le portrait de son auteur, Elliot Rodger, 22 ans. Motivé par sa haine des femmes, il tue six personnes et en blesse quatorze autres avant de se suicider. Le drame entraînera des réactions invoquant la misogynie affichée du tueur, et appelant au contrôle des armes à feu. Il est considéré aujourd'hui comme l'un des premiers actes de violence de masse issu de la sous-culture incel.
Voici le récit de la tuerie de masse perpétrée le 23 mai 2014 à Isla Vista, dans le comté de Santa Barbara en Californie, et le portrait de son auteur, Elliot Rodger, 22 ans. Motivé par sa haine des femmes, il tue six personnes et en blesse quatorze autres avant de se suicider. Le drame entraînera des réactions invoquant la misogynie affichée du tueur, et appelant au contrôle des armes à feu. Il est considéré aujourd'hui comme l'un des premiers actes de violence de masse issu de la sous-culture incel.Les forces de l'ordre découvrent après les faits que plusieurs proches de Rodger, alertés par le contenu du manifeste, avaient tenté de prévenir la police dans l'heure précédant l'attaque. Trop tard. Le temps que les autorités localisent le jeune homme, le carnage avait déjà commencé. « Il fallait agir plus tôt », dira un enquêteur. Mais comment réagir face à une haine annoncée par email, émise par un jeune homme sans casier, suivi en psychiatrie, et vivant seul dans une banlieue étudiante ?
Voici le récit de la tuerie de masse perpétrée le 23 mai 2014 à Isla Vista, dans le comté de Santa Barbara en Californie, et le portrait de son auteur, Elliot Rodger, 22 ans. Motivé par sa haine des femmes, il tue six personnes et en blesse quatorze autres avant de se suicider. Le drame entraînera des réactions invoquant la misogynie affichée du tueur, et appelant au contrôle des armes à feu. Il est considéré aujourd'hui comme l'un des premiers actes de violence de masse issu de la sous-culture incel.Londres, juillet 1991. La ville est grise, bruissante, cosmopolite. C'est dans cette capitale vibrante qu'Elliot Oliver Robertson Rodger vient au monde, dans une maternité discrète, loin des projecteurs. Il est pourtant le fils d'un réalisateur britannique, Peter Rodger, et d'une mère d'origine malaisienne, Chin Rodger, assistante sur les plateaux de tournage. Peter Rodger travaille sur des productions hollywoodiennes, dont Hunger Games. À première vue, leur vie semble stable, aisée, presque enviable.
Voici le récit de la tuerie de masse perpétrée le 23 mai 2014 à Isla Vista, dans le comté de Santa Barbara en Californie, et le portrait de son auteur, Elliot Rodger, 22 ans. Motivé par sa haine des femmes, il tue six personnes et en blesse quatorze autres avant de se suicider. Le drame entraînera des réactions invoquant la misogynie affichée du tueur, et appelant au contrôle des armes à feu. Il est considéré aujourd'hui comme l'un des premiers actes de violence de masse issu de la sous-culture incel.Des rires éclatent dans la lumière douce d'un soir californien. Isla Vista s'anime comme chaque vendredi : les étudiants sortent, boivent, flânent entre les maisons colorées, inconscients de la tempête qui approche. Ce 23 mai 2014, une voiture noire s'immobilise lentement devant la maison d'une sororité. À l'intérieur, un jeune homme fixe la façade. Il respire calmement. Pas un mot. Pas un geste. Il est 21 h 17. Dans quelques secondes, il va tirer.
Dans cette forêt rwandaise perchée au sommet du monde, où reposent les gorilles qu'elle a tant aimés, la primatologue Dian Fossey semble avoir trouvé la paix. Pourtant, son tombeau raconte une autre histoire. Car derrière l'hommage rendu à la « femme qui vivait seule dans la montagne » se cache l'ombre d'un crime non résolu. Le 27 décembre 1985, Fossey est retrouvée morte, sauvagement tuée dans sa cabane. Mais comment cette scientifique si engagée pour la protection des gorilles à dos argenté a-t-elle pu connaître un tel destin ?
Dans cette forêt rwandaise perchée au sommet du monde, où reposent les gorilles qu'elle a tant aimés, la primatologue Dian Fossey semble avoir trouvé la paix. Pourtant, son tombeau raconte une autre histoire. Car derrière l'hommage rendu à la « femme qui vivait seule dans la montagne » se cache l'ombre d'un crime non résolu. Le 27 décembre 1985, Fossey est retrouvée morte, sauvagement tuée dans sa cabane. Mais comment cette scientifique si engagée pour la protection des gorilles à dos argenté a-t-elle pu connaître un tel destin ?« Quand vous prenez conscience de la valeur de toute vie, vous ruminez moins sur ce qui s'est passé, et vous concentrez plus sur la préservation de l'avenir ». Tels sont les derniers mots du journal de bord de Dian Fossey. Son assassin l'empêchera d'écrire les lignes suivantes.
Dans cette forêt rwandaise perchée au sommet du monde, où reposent les gorilles qu'elle a tant aimés, la primatologue Dian Fossey semble avoir trouvé la paix. Pourtant, son tombeau raconte une autre histoire. Car derrière l'hommage rendu à la « femme qui vivait seule dans la montagne » se cache l'ombre d'un crime non résolu. Le 27 décembre 1985, Fossey est retrouvée morte, sauvagement tuée dans sa cabane. Mais comment cette scientifique si engagée pour la protection des gorilles à dos argenté a-t-elle pu connaître un tel destin ?Après une escale en Tanzanie, pendant laquelle Dian Fossey rencontre Jane Goodall et profite de son expérience avec les chimpanzés, elle atteint enfin l'Afrique de l'Est, et les montagnes des Virunga. Sur place, son premier bivouac s'établit en territoire congolais, à terme balayé par les instabilités politiques, les conflits. Tournant autour des volcans, Dian Fossey retente sa chance du côté de la frontière rwandaise, sur le flanc du Mont Visoke.
Dans cette forêt rwandaise perchée au sommet du monde, où reposent les gorilles qu'elle a tant aimés, la primatologue Dian Fossey semble avoir trouvé la paix. Pourtant, son tombeau raconte une autre histoire. Car derrière l'hommage rendu à la « femme qui vivait seule dans la montagne » se cache l'ombre d'un crime non résolu. Le 27 décembre 1985, Fossey est retrouvée morte, sauvagement tuée dans sa cabane. Mais comment cette scientifique si engagée pour la protection des gorilles à dos argenté a-t-elle pu connaître un tel destin ?C'est un cimetière singulier, perché au-dessus du monde des vivants. Seuls les plus téméraires peuvent y accéder. Il se niche à près de 3000 mètres d'altitude, enveloppé par la brume, perdu dans la forêt tropicale qui recouvre un flanc du Visoke : l'un des huit volcans endormis du massif des Virunga, aux confins du Rwanda, de l'Ouganda et de la république démocratique du Congo. Le lieu a survécu à tout, au temps, au climat et à la guerre. Il se compose de stèles rudimentaires, faites de bois, gravées de surnoms, sous lesquelles reposent des générations entières de gorilles : Digit, Peanuts, Uncle Bert, Macho… Une seule exception confirme la règle, une tombe creusée à l'écart, dotée d'une plaque en marbre.
L'affaire Lucy Letby a suscité une vague d'indignation dans tout le Royaume-Uni. La nature des crimes est aussi horrible qu'inconcevable. Durant les années 2015 et 2016, sept bébés ont été tués, six autres ont échappé de justesse au même destin funeste. Ces crimes n'ont pas été commis dans un domicile quelconque ou dans la rue. Ils ont été perpétrés dans l'un des lieux les plus sûrs du comté de Chester : un hôpital. La coupable est une infirmière. Elle s'appelle Lucy Letby et pour ces meurtres, il se pourrait qu'elle ne sorte jamais de prison. Voici l'incroyable histoire criminelle de Lucy Letby, infirmière et tueuse en série.
Elle pousse la porte du palais de justice de Woodstock au Canada. Ses menottes brillent sous les flashs des caméras. Ce lundi 26 juin 2017, Elizabeth Wettlaufer n'est plus une infirmière. Elle est devenue le visage de l'horreur, le nom que l'on murmure dans les couloirs des maisons de retraite, l'ombre d'une nuit d'angoisse. Huit morts. Six autres victimes. Et un aveu glaçant : « Je pensais honnêtement que Dieu voulait se servir de moi. »
Elle pousse la porte du palais de justice de Woodstock au Canada. Ses menottes brillent sous les flashs des caméras. Ce lundi 26 juin 2017, Elizabeth Wettlaufer n'est plus une infirmière. Elle est devenue le visage de l'horreur, le nom que l'on murmure dans les couloirs des maisons de retraite, l'ombre d'une nuit d'angoisse. Huit morts. Six autres victimes. Et un aveu glaçant : « Je pensais honnêtement que Dieu voulait se servir de moi. »Le juge Thomas questionne Elizabeth sans détour : « Avez-vous injecté de l'insuline à vos victimes dans l'intention de les tuer ? » Elle répond : « Oui, votre honneur. » Sa voix ne tremble pas. Ce jour-là, elle plaide coupable à huit chefs de meurtre au premier degré, quatre tentatives de meurtre et deux voies de fait graves. Sa reconnaissance de culpabilitéest totale, sans condition.
Elle pousse la porte du palais de justice de Woodstock au Canada. Ses menottes brillent sous les flashs des caméras. Ce lundi 26 juin 2017, Elizabeth Wettlaufer n'est plus une infirmière. Elle est devenue le visage de l'horreur, le nom que l'on murmure dans les couloirs des maisons de retraite, l'ombre d'une nuit d'angoisse. Huit morts. Six autres victimes. Et un aveu glaçant : « Je pensais honnêtement que Dieu voulait se servir de moi. »Tout commence à l'été 2007, dans un établissement banal du sud-ouest de l'Ontario. C'est une nuit d'août, moite et silencieuse, dans les couloirs pâles de la maison de retraite Caressant Care, à Woodstock. L'horloge indique minuit passé. Les résidents dorment. Le silence est total, à peine troublé par le bourdonnement discret d'un néon ou le ronronnement lointain d'un chariot de soins. Dans ce calme feutré, Elizabeth Wettlaufer avance lentement. Elle connaît chaque recoin de cet endroit. Elle est de garde. Infirmière de nuit, c'est elle qui veille.
Voici le récit de l'assassinat de Thomas Sankara, chef de l'État de la république de Haute-Volta - rebaptisée Burkina Faso - de 1983 à 1987. soit durant la période de la première révolution burkinabè. Marxiste-léniniste, anti-impérialiste, révolutionnaire, écologiste, féministe, panafricaniste et tiers-mondiste, le souvenir de Sankara reste vivace dans la jeunesse burkinabé mais aussi plus généralement en Afrique, qui en a fait une icône, un « Che Guevara africain », aux côtés notamment de Patrice Lumumba.Quelques heures après la tuerie du 15 octobre 1987, l'homme qui annonce à la radio la dissolution du Conseil national de la Révolution n'est autre que Blaise Compaoré. Derrière lui, se tiennent les officiers de l'OMR, Henri Zongo et Jean-Baptise Boukari Lingani : ensemble, ils prennent le pouvoir et plongent le Burkina Faso dans la période dite de la rectification. Rectification d'une révolution soi-disant devenue déviante, déficitaire, et nécessitant une intervention d'un pan de l'armée réfractaire.
Voici le récit de l'assassinat de Thomas Sankara, chef de l'État de la république de Haute-Volta - rebaptisée Burkina Faso - de 1983 à 1987. soit durant la période de la première révolution burkinabè. Marxiste-léniniste, anti-impérialiste, révolutionnaire, écologiste, féministe, panafricaniste et tiers-mondiste, le souvenir de Sankara reste vivace dans la jeunesse burkinabé mais aussi plus généralement en Afrique, qui en a fait une icône, un « Che Guevara africain », aux côtés notamment de Patrice Lumumba.Les premières actions de la révolution de Thomas Sankara, dit le PF, président du Faso, s'alignent sur celles impulsées du temps de son court mandat en tant que premier ministre : réformer le pays de long en large, lutter contre le sous-développement, les carences dans le domaine de la santé, de l'éducation. Pour financer ses ambitions, il s'attelle à réduire de façon drastique, 18 % en deux ans, les dépenses de l'État, coupant ci et là les indemnités perçues par les fonctionnaires, les frais superflus, lissant les salaires des membres de son gouvernement et appliquant une taxe sur chaque revenu généré au profit d'un effort commun.