De nombreuses études ont montré que les tueurs en série n'était pas une invention de notre société moderne. Mais au contraire depuis la nuit des temps des Hommes et des Femmes ont tué leurs semblables par pur plaisir. Cette collection de récits retrace le parcours de criminels ou de tueurs en séries…

Le lundi 18 juin 1984, à Denver, l'atmosphère est lourde. Au volant de sa Coccinelle noire, Alan Berg rentre d'un diner avec son ex-femme. À peine a-t-il le temps de se garer devant sa résidence de la banlieue de Congress Park, que douze coups retentissent dans la rue silencieuse. Qui a pris pour cible cet animateur radio populaire mais sulfureux, que l'on pleure à la synagogue Temple Emanuel ? Aucun doute, ce provocateur, orateur de talent, s'était fait bon nombre d'ennemis… au point que l'un d'eux vient de le condamner au silence éternel.À l'époque, The Order est tenu d'une main de fer par Robert Jay Mathews. Charismatique, obsédé, il rêve d'une insurrection armée. Ses discours galvanisent ses hommes, qu'il entraîne dans des camps forestiers. Il leur répète qu'ils doivent agir comme une armée clandestine, prêts à mourir pour leur idéologie.Crimes • Histoires Vraies est une production Minuit. Notre collection s'agrandit avec Crimes en Bretagne, Montagne et Provence.

[SPONSORISÉ] Et si je vous disais que le danger ne venait pas de l'extérieur, mais de l'intérieur de votre poche ? Vous le tenez, même, dans votre main. Vous le manipulez, peut-être toutes les heures, toutes les minutes. Peut-être se tient-il déjà tout près de vous… Je veux bien sûr parler de votre téléphone. En 2016, le monde découvre qu'il peut être espionné à son insu au travers d'un premier scandale retentissant ; l'affaire Pegasus. Le logiciel espion a infiltré pas moins de 50 000 téléphones du monde entier. Mais il n'est pas le seul... Il a un petit frère, du nom de Predator. Et derrière ce nom tout droit sorti du cinéma d'action des années 80, se cache une menace bien réelle, qui a bouleversé la diplomatie grecque entre 2019 et 2023.Pendant quatre ans, en Grèce, Predator a ciblé des journalistes, des opposants politiques, des ministres et même des hauts fonctionnaires. Une intrusion silencieuse révélatrice d'une politique de plus en plus liberticide. Mais avant d'entrer au coeur du scandale, il faut comprendre de quel type de logiciel on parle. En quoi représente-t-il un danger ? Et surtout, comment fonctionne-t-il ?Secrets d'agents • Histoires Vraies est une production Minuit.

Le lundi 18 juin 1984, à Denver, l'atmosphère est lourde. Au volant de sa Coccinelle noire, Alan Berg rentre d'un diner avec son ex-femme. À peine a-t-il le temps de se garer devant sa résidence de la banlieue de Congress Park, que douze coups retentissent dans la rue silencieuse. Qui a pris pour cible cet animateur radio populaire mais sulfureux, que l'on pleure à la synagogue Temple Emanuel ? Aucun doute, ce provocateur, orateur de talent, s'était fait bon nombre d'ennemis… au point que l'un d'eux vient de le condamner au silence éternel.À Denver, son nom devient synonyme de controverse. Alan Berg est provocateur, brutal dans ses échanges, mais il incarne une liberté de ton que peu osent s'autoriser. Ce mélange de fragilité intime et d'agressivité publique fait de lui un personnage unique : marqué dans sa chair par la maladie, mais porté à l'antenne par une rage de vivre qui électrise.Crimes • Histoires Vraies est une production Minuit. Notre collection s'agrandit avec Crimes en Bretagne, Montagne et Provence.

Le lundi 18 juin 1984, à Denver, l'atmosphère est lourde. Au volant de sa Coccinelle noire, Alan Berg rentre d'un diner avec son ex-femme. À peine a-t-il le temps de se garer devant sa résidence de la banlieue de Congress Park, que douze coups retentissent dans la rue silencieuse. Qui a pris pour cible cet animateur radio populaire mais sulfureux, que l'on pleure à la synagogue Temple Emanuel ? Aucun doute, ce provocateur, orateur de talent, s'était fait bon nombre d'ennemis… au point que l'un d'eux vient de le condamner au silence éternel.Il est 21 h 39 quand les secours constatent la mort, alertés par des voisins terrifiés. Alan Berg n'avait aucune chance : les balles ont traversé ses poumons, brisé ses mâchoires, pulvérisé une partie de son visage. L'exécution a été pensée pour être fulgurante, irréversible. La scène est d'une violence inouïe, mais aussi d'une précision glaciale. Pas de cri, pas de sommation. Une embuscade pure et simple, devant sa propre maison. En quelques secondes, Denver vient de basculer dans l'horreur.Crimes • Histoires Vraies est une production Minuit. Notre collection s'agrandit avec Crimes en Bretagne, Montagne et Provence.

Le 5 juin 2013, à l'occasion d'une vente privée de vêtements dans le centre de Paris, des militants antifascistes ont déclenché une rixe avec un groupe de skinheads d'extrême droite, entraînant le décès du militant « antifa » Clément Méric. Sa mort a soulevé une vague d'indignation et a posé la question de l'interdiction des groupes ultranationalistes.Crimes • Histoires Vraies est une production Minuit. Notre collection s'agrandit avec Crimes en Bretagne, Montagne et Provence.

Cette semaine, découvrez Crimes Paranormaux, une collaboration Minuit exclusive !En 1897, les vallées tranquilles du comté de Greenbrier, en Virginie-Occidentale, vont être le théâtre d'un fait-divers troublant. Une jeune femme est retrouvée morte dans sa ferme. La tragédie plonge famille comme voisinage dans la mélancolie, et le doute va s'immiscer dans l'affaire de manière inattendue… Une nuit, la mère de la défunte se réveille brusquement. Au pied de son lit, le fantôme de sa fille la regarde, et lui confie l'impossible vérité : son nouvel époux l'a assassiné...Crimes • Histoires Vraies et Paranormal • Histoires Vraies sont des productions Minuit. Notre collection s'agrandit avec Crimes en Bretagne, Montagne et Provence.

Cette semaine, découvrez Crimes Paranormaux, une collaboration Minuit exclusive !

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Cette semaine, découvrez Crimes Paranormaux, une collaboration Minuit exclusive !En 1897, les vallées tranquilles du comté de Greenbrier, en Virginie-Occidentale, vont être le théâtre d'un fait-divers troublant. Une jeune femme est retrouvée morte dans sa ferme. La tragédie plonge famille comme voisinage dans la mélancolie, et le doute va s'immiscer dans l'affaire de manière inattendue… Une nuit, la mère de la défunte se réveille brusquement. Au pied de son lit, le fantôme de sa fille la regarde, et lui confie l'impossible vérité : son nouvel époux l'a assassiné...Notre histoire prend place dans les dernières années du XIXe siècle, au coeur des montagnes et vallons de Virginie-Occidentale. Les étasuniens attendent avec impatience la fin de ce siècle troublé. Nous sommes à peine plus de trente-cinq ans après la guerre de Sécession, l'abolition de l'esclavage et les débuts tâtonnant d'une stabilité fédérale. La région a été particulièrement chamboulée par le contexte politique des décennies précédentes, et cela s'en ressent toujours dans la rudesse du quotidien. Auparavant rattachée à la Virginie, la Virginie-Occidentale a pris son indépendance pendant la guerre, en 1863. C'est donc un État jeune, assez instable, et très isolé.

La scène est fugace. Elle se déroule sur le parking ensoleillé de la résidence Michelet Saint-Jacques, dans le 9e arrondissement de Marseille. Un quartier aisé, réputé calme, bordé par les Calanques, épargné par l'effervescence du centre ou de la criminalité. Cette matinée du lundi 23 mars 1998 déroge à la règle. Deux coups de feu secs claquent dans l'air, suivis du crissement des pneus sur l'asphalte. Sylvain Alloard, premier maître de 31 ans sur le porte-avions Clemenceau, est assassiné. À l'heure où vous écoutez ce podcast, les auteurs de ce crime n'ont toujours pas été identifiés.Crimes • Histoires Vraies est une production Minuit. Notre collection s'agrandit avec Crimes en Bretagne, Montagne et Provence.

Cette semaine dans Crimes · Histoires Vraies, vous avez découvert l'affaire Sylvain Alloard. Ce trentenaire, premier-maître de la Marine nationale, est abattu le 23 mars 1998 sur le parking de sa résidence à Marseille. Le meurtre est propre, organisé, le pneu de la voiture du marin a été crevé volontairement. La porte de la résidence laissée ouverte pour permettre la fuite. Huit mois plus tard, son ancienne compagne, avec qui la victime se disputait la garde de leur fille, est placée en garde à vue et interrogée par la police, avant d'être libérée alors que sa version des faits commençait à vaciller. Qu'est-ce qu'une garde à vue ? Qui décide de l'imposer ? Et surtout, qui peut y mettre fin ?Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !

L'affaire des disparus de Mourmelon est une affaire criminelle française dont la lenteur et les incertitudes de l'enquête, entre 1982 et 2003, ont marqué les esprits. Elle concerne la disparition dans les années 1980 de huit jeunes gens, principalement des appelés du contingent, qui avaient fait de l'auto-stop à proximité du camp militaire de Mourmelon, dans la Marne. La séquestration et le viol en 1988 en Saône-et-Loire d'un auto-stoppeur hongrois a permis aux enquêteurs d'être mis sur la piste du seul suspect identifié, l'adjudant-chef Pierre Chanal.Crimes • Histoires Vraies est une production Minuit. Notre collection s'agrandit avec Crimes en Bretagne, Montagne et Provence.

La scène est fugace. Elle se déroule sur le parking ensoleillé de la résidence Michelet Saint-Jacques, dans le 9e arrondissement de Marseille. Un quartier aisé, réputé calme, bordé par les Calanques, épargné par l'effervescence du centre ou de la criminalité. Cette matinée du lundi 23 mars 1998 déroge à la règle. Deux coups de feu secs claquent dans l'air, suivis du crissement des pneus sur l'asphalte. Sylvain Alloard, premier maître de 31 ans sur le porte-avions Clemenceau, est assassiné. À l'heure où vous écoutez ce podcast, les auteurs de ce crime n'ont toujours pas été identifiés.A ce stade de l'interrogatoire, Catherine C. commence à vaciller. Ses réponses sont confuses, elles se contredisent. Elle reconnaît avoir fait faire ce double des clés, mais assure d'abord les avoir rendu à son ex-compagnon. Puis elle finit par avouer le contraire, mais invoque une raison : il voulait soi-disant vendre son appartement, l'avait chargé d'organiser les visites. Et puis non, elle change de version, admet qu'elle comptait aller chez lui pour prouver l'existence de ses relations extra-conjugales…Crimes • Histoires Vraies est une production Minuit. Notre collection s'agrandit avec Crimes en Bretagne, Montagne et Provence.

La scène est fugace. Elle se déroule sur le parking ensoleillé de la résidence Michelet Saint-Jacques, dans le 9e arrondissement de Marseille. Un quartier aisé, réputé calme, bordé par les Calanques, épargné par l'effervescence du centre ou de la criminalité. Cette matinée du lundi 23 mars 1998 déroge à la règle. Deux coups de feu secs claquent dans l'air, suivis du crissement des pneus sur l'asphalte. Sylvain Alloard, premier maître de 31 ans sur le porte-avions Clemenceau, est assassiné. À l'heure où vous écoutez ce podcast, les auteurs de ce crime n'ont toujours pas été identifiés.Auprès de celles et ceux qui l'ont connu, Sylvain Alloard a laissé le souvenir d'un jeune homme tant charmant que charmeur. Sa carrure d'athlète et ses yeux bleu profond ne laissaient guère indifférent. Quand il était en poste à la base navale de Toulon, une fois à quai entre deux missions, il aimait sortir, plaire, affectionnait particulièrement le bar du « Navigateur », une sorte de repère de marins où il avait ses habitudes, et dans lequel les regards se tournaient souvent sur son passage.Crimes • Histoires Vraies est une production Minuit. Notre collection s'agrandit avec Crimes en Bretagne, Montagne et Provence.

La scène est fugace. Elle se déroule sur le parking ensoleillé de la résidence Michelet Saint-Jacques, dans le 9e arrondissement de Marseille. Un quartier aisé, réputé calme, bordé par les Calanques, épargné par l'effervescence du centre ou de la criminalité. Cette matinée du lundi 23 mars 1998 déroge à la règle. Deux coups de feu secs claquent dans l'air, suivis du crissement des pneus sur l'asphalte. Sylvain Alloard, premier maître de 31 ans sur le porte-avions Clemenceau, est assassiné. À l'heure où vous écoutez ce podcast, les auteurs de ce crime n'ont toujours pas été identifiés.La brigade criminelle de la police judiciaire de Marseille est arrivée sur place en une dizaine de minutes. Au pied d'un des bâtiments de la résidence, un riverain, qui se trouve être médecin, les attend, paniqué. Alerté par les détonations et les éclats de voix, il a accouru, il a fait ce qu'il a pu. Un jeune homme gît au sol à ses côtés, dans une mare de sang, inconscient. Il ne survit pas au trajet dans l'ambulance, atterrit entre les mains des légistes, à qui le procureur a ordonné une autopsie le jour même. On compte sur le corps deux impacts de balle, lâchement tirés dans son dos. Le premier projectile, mortel, a traversé la nuque pour se loger dans le cerveau. Le second est passé près de l'oreille gauche avant de ressortir sous l'œil droit.Crimes • Histoires Vraies est une production Minuit. Notre collection s'agrandit avec Crimes en Bretagne, Montagne et Provence.

Né en 1879 à Hanovre en Allemagne, et exécuté le 15 avril 1925 dans la même ville, Fritz Haarmann, connu aussi comme « le Boucher de Hanovre » et « le Vampire de Hanovre », était un tueur en série considéré comme l'auteur des meurtres de vingt-sept garçons et jeunes hommes entre 1918 et 1924. Il fut déclaré coupable de vingt-quatre meurtres et guillotiné. L'affaire fit scandale, d'autant plus que Haarmann était indicateur de police.

Cette semaine dans Crimes · Histoires Vraies, vous avez découvert l'affaire Fritz Haarmann. Ce nom ne vous dit rien ? Si vous êtes passionné.e.s de True Crime, vous connaissez, en revanche, sans doute l'histoire du boucher de Hanovre, qui entre 1918 et 1924 viole, séquestre et assassine au moins 24 jeunes garçons entre 12 et 20 ans, dans la ville allemande d'Hanovre. L'histoire a retenu le surnom de Fritz Haarmann, et non pas son nom de naissance. Ce n'est pas le seul : Jack l'éventreur, Night stalker, l'étrangleur de Boston, le tueur du zodiaque… Pourquoi donne-t-on des surnoms aux serial killers ? Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !

Né en 1879 à Hanovre en Allemagne, et exécuté le 15 avril 1925 dans la même ville, Fritz Haarmann, connu aussi comme « le Boucher de Hanovre » et « le Vampire de Hanovre », était un tueur en série considéré comme l'auteur des meurtres de vingt-sept garçons et jeunes hommes entre 1918 et 1924. Il fut déclaré coupable de vingt-quatre meurtres et guillotiné. L'affaire fit scandale, d'autant plus que Haarmann était indicateur de police.Les partis se déchirent. Les monarchistes hurlent : « Sous l'Empire, cela ne serait jamais arrivé. » Les sociaux-démocrates se défendent : « C'est l'héritage du système impérial. » Les nazis, encore marginaux, s'emparent de l'affaire comme d'un symbole. Pour eux, Haarmann incarne tout ce qu'ils vomissent : l'homosexuel, le criminel, le parasite, le républicain. La communauté homosexuelle, déjà criminalisée par l'article 175 du Code pénal, vit dans la peur. Beaucoup fuient, se cachent, brûlent leurs lettres d'amour. Mais certains répliquent. Des voix s'élèvent. Des militants rappellent que la violence de Haarmann n'est pas liée à son orientation, mais à sa solitude, à sa haine, à ses souffrances.

Né en 1879 à Hanovre en Allemagne, et exécuté le 15 avril 1925 dans la même ville, Fritz Haarmann, connu aussi comme « le Boucher de Hanovre » et « le Vampire de Hanovre », était un tueur en série considéré comme l'auteur des meurtres de vingt-sept garçons et jeunes hommes entre 1918 et 1924. Il fut déclaré coupable de vingt-quatre meurtres et guillotiné. L'affaire fit scandale, d'autant plus que Haarmann était indicateur de police.Pendant l'enquête, on retrouve des vêtements vendus au marché noir par Hans Grans. Certains ont été identifiés par les familles. Hans apparaît dans le dossier comme une silhouette secondaire. Un nom dans les marges, un compagnon, un témoin. Puis, peu à peu, son ombre se densifie.

Né en 1879 à Hanovre en Allemagne, et exécuté le 15 avril 1925 dans la même ville, Fritz Haarmann, connu aussi comme « le Boucher de Hanovre » et « le Vampire de Hanovre », était un tueur en série considéré comme l'auteur des meurtres de vingt-sept garçons et jeunes hommes entre 1918 et 1924. Il fut déclaré coupable de vingt-quatre meurtres et guillotiné. L'affaire fit scandale, d'autant plus que Haarmann était indicateur de police.Haarmann n'a jamais été condamné pour meurtre. On l'a vu, il est même utile à la police. Mais il est aussi connu pour sa brutalité, ses accès de rage, ses séjours en hôpital psychiatrique. Il a été arrêté plusieurs fois pour attentat à la pudeur. Il rôde souvent autour de la gare. Et surtout, des témoins l'ont vu partir avec certains des jeunes. Mais personne n'agit. En juin 1923, un jeune garçon signale une tentative de viol. Il dit avoir fui l'appartement de Haarmann de justesse. On ouvre une enquête. On fouille rapidement. Mais rien.

Né en 1879 à Hanovre en Allemagne, et exécuté le 15 avril 1925 dans la même ville, Fritz Haarmann, connu aussi comme « le Boucher de Hanovre » et « le Vampire de Hanovre », était un tueur en série considéré comme l'auteur des meurtres de vingt-sept garçons et jeunes hommes entre 1918 et 1924. Il fut déclaré coupable de vingt-quatre meurtres et guillotiné. L'affaire fit scandale, d'autant plus que Haarmann était indicateur de police.Fritz Haarmann a déménagé. Il occupe désormais une petite chambre au 8 Neuestraẞe, au coeur de ce que l'on appelle le « quartier hanté ». Il vit là avec Hans Grans, par intermittence. Le jeune homme le quitte, revient, exige, menace. Et Haarmann accepte tout, pourvu qu'il reste.

Né en 1879 à Hanovre en Allemagne, et exécuté le 15 avril 1925 dans la même ville, Fritz Haarmann, connu aussi comme « le Boucher de Hanovre » et « le Vampire de Hanovre », était un tueur en série considéré comme l'auteur des meurtres de vingt-sept garçons et jeunes hommes entre 1918 et 1924. Il fut déclaré coupable de vingt-quatre meurtres et guillotiné. L'affaire fit scandale, d'autant plus que Haarmann était indicateur de police.Il est six heures du matin, le 15 avril 1925. Dans la cour austère de la prison de Hanovre en Allemagne, l'ambiance pèse comme une chape de plomb. Le ciel est bas, les murs de pierre luisent sous l'humidité de la nuit. Le vent qui remonte de la Leine, chargé de brume et de froid, pénètre les manteaux et mord les os. Une quarantaine d'hommes sont là. Juges, gardiens, représentants de l'État. Aucun journaliste, tous tenus à l'écart. On murmure, on attend.

L'attaque au couteau à Southport a lieu le 29 juillet 2024 dans la ville de Southport, au Royaume-Uni. Ayant pour cible une école de danse et de yoga qui organisait une activité sur le thème de Taylor Swift, cette attaque fait 3 morts et 10 blessés. Le tueur, Axel Rudakubana, âgé de 17 ans, est arrêté sur les lieux. Il n'avait pas de motivation politique, religieuse, idéologique ou raciale. L'évènement suscite une forte émotion dans le pays et déclenche d'importantes manifestations qui dégénèrent en violentes émeutes impliquant des mouvances d'extrême droite.

[SPONSORISÉ] Et si le savoir-faire artisanal breton rencontrait l'innovation industrielle pour réinventer nos espaces extérieurs ?Dans cet épisode de Génération Fab, découvrez l'histoire de la Maison Cadiou, entreprise familiale fondée en 1973 et devenue un leader français des portails, clôtures, pergolas et aménagements extérieurs sur-mesure.Aux côtés d'Emmanuelle Cadiou, explorez :La transformation d'un atelier artisanal en un acteur industriel reconnuL'engagement écologique de l'entreprise : vers une industrie régénérative et responsableUne logistique nationale innovante qui rapproche la Maison Cadiou de ses clients partout en FranceUne vision inspirée par les maisons de couture, où design premium et savoir-faire industriel se rencontrentMaison Cadiou, c'est l'histoire d'une industrie française qui allie tradition, innovation et conscience écologique pour sublimer nos jardins.Génération Fab, un podcast de la French Fab, qui réenchante l'industrie française à travers des objets du quotidien.Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.

Cette semaine dans Crimes · Histoires Vraies, vous avez découvert l'affaire Axel Rudakubana. Le 29 juillet 2024, dans la ville de Southport, au Royaume-Uni, ce jeune homme de 17 ans attaque un centre d'activités familiales lors d'un atelier pour enfants. Armé d'un couteau, il blesse 10 personnes dont 8 enfants et tue 3 petites filles. Fasciné par les tueries de masse, l'adolescent avait acheté son arme sur Amazon sans aucune entrave. Est-ce qu'Amazon et Internet sont un supermarché accessible à tous pour acheter des armes ? Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !

L'attaque au couteau à Southport a lieu le 29 juillet 2024 dans la ville de Southport, au Royaume-Uni. Ayant pour cible une école de danse et de yoga qui organisait une activité sur le thème de Taylor Swift, cette attaque fait 3 morts et 10 blessés. Le tueur, Axel Rudakubana, âgé de 17 ans, est arrêté sur les lieux. Il n'avait pas de motivation politique, religieuse, idéologique ou raciale. L'évènement suscite une forte émotion dans le pays et déclenche d'importantes manifestations qui dégénèrent en violentes émeutes impliquant des mouvances d'extrême droite.Axel Rudakubana comparaît pour 16 chefs d'accusation, pour lesquels il plaide coupable : meurtre de 3 fillettes, tentative d'assassinat sur 10 autres personnes, 8 enfants ainsi que 2 adultes, possession d'arme blanche, production de toxine biologique et possession de matériel terroriste. Au fil des 3 jours d'audience, l'accusation détaille le déroulé des événements, en s'appuyant sur plusieurs témoignages et enregistrements vidéo, provenant du taxi qui a conduit le tueur sur les lieux, des caméras de surveillances du quartier ou encore des caméras embarquées des policiers qui sont intervenus.

L'attaque au couteau à Southport a lieu le 29 juillet 2024 dans la ville de Southport, au Royaume-Uni. Ayant pour cible une école de danse et de yoga qui organisait une activité sur le thème de Taylor Swift, cette attaque fait 3 morts et 10 blessés. Le tueur, Axel Rudakubana, âgé de 17 ans, est arrêté sur les lieux. Il n'avait pas de motivation politique, religieuse, idéologique ou raciale. L'évènement suscite une forte émotion dans le pays et déclenche d'importantes manifestations qui dégénèrent en violentes émeutes impliquant des mouvances d'extrême droite.Le 22 juillet 2024. Axel Rudakubana réserve un taxi sous un faux nom, pour se rendre à son ancien lycée. Il est vêtu d'un sweat à capuche vert, le même que celui qu'il portera pendant l'attaque du Hart Space la semaine suivante. Le jeune homme est armé d'un couteau, une lame de 20 cm qu'il vient tout juste d'acheter. Mais, alors que le taxi est sur le point de partir, son père sort en courant de la maison, pour convaincre le chauffeur de ne pas conduire Axel jusqu'à l'établissement. Forcé d'abandonner, l'adolescent rentre chez lui, mais la machine est déjà en marche.

L'attaque au couteau à Southport a lieu le 29 juillet 2024 dans la ville de Southport, au Royaume-Uni. Ayant pour cible une école de danse et de yoga qui organisait une activité sur le thème de Taylor Swift, cette attaque fait 3 morts et 10 blessés. Le tueur, Axel Rudakubana, âgé de 17 ans, est arrêté sur les lieux. Il n'avait pas de motivation politique, religieuse, idéologique ou raciale. L'évènement suscite une forte émotion dans le pays et déclenche d'importantes manifestations qui dégénèrent en violentes émeutes impliquant des mouvances d'extrême droite.Lundi 29 juillet 2024. Le soleil illumine la ville balnéaire de Southport, sur la côte Ouest de l'Angleterre. En cette matinée de vacances d'été, le centre-ville grouille de touristes et de locaux qui s'apprêtent à prendre leur pause déjeuner aux terrasses des restaurants ou sur les pelouses verdoyantes du parc Victoria. A environ un kilomètre de là, dans le quartier de Meols Cop, la journée suit également son cours. Dans cette petite banlieue ouvrière, les maisons en briques rouges se mêlent aux petits commerces. Une vie de quartier tranquille, il fait bon vivre et tout le monde se connaît.

[SPONSORISÉ] Bienvenue dans Bulle Enchantée, le podcast dédié aux femmes qui font la BD ! Pour ce tout premier épisode, j'ai eu le plaisir d'échanger avec Priscille de Rekeneire, autrice pleine de talent et de sensibilité.On a parlé ensemble de sa toute première bande dessinée, "Le cœur à contresens", un récit fort et intime autour d'une relation d'emprise amoureuse. Priscille nous a partagé son parcours, ses inspirations, sa manière de travailler… mais aussi les coulisses de son aventure pour trouver une maison d'édition.Un échange sincère et inspirant, qui ouvre magnifiquement cette série de conversations autour des femmes qui bousculent le monde de la BD.

Le 24 avril 2002, au château de Montaiguillon en Seine-et-Marne, une jeune femme fait une macabre découverte. Alors qu'elle vient lui rendre visite, elle trouve son ami Frédéric Landelle, gardien passionné du site, sans vie. Il a été abattu d'une balle de calibre 12 tirée depuis l'extérieur. La mise en scène intrigue aussitôt les enquêteurs : fils téléphoniques sectionnés, absence de douilles, tir parfaitement ciblé. Tout indique un acte prémédité commis par quelqu'un connaissant les lieux...

Cette semaine dans Crimes · Histoires Vraies, vous avez découvert l'affaire Frédéric Landelle. Ce passionné de Moyen-Âge, gardien d'un château fort en Île de France est assassiné à 33 ans d'une balle dans la tête. L'enquête patine pendant près de 20 ans et elle est finalement bouclée sans résolution. L'affaire dite du Chevalier de Louan est ce qu'on appelle un cold-case. Mais qu'est-ce que c'est un “cold case” ? Et qui décide de clôturer ou de rouvrir une enquête non résolue ? Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !

Le 24 avril 2002, au château de Montaiguillon en Seine-et-Marne, une jeune femme fait une macabre découverte. Alors qu'elle vient lui rendre visite, elle trouve son ami Frédéric Landelle, gardien passionné du site, sans vie. Il a été abattu d'une balle de calibre 12 tirée depuis l'extérieur. La mise en scène intrigue aussitôt les enquêteurs : fils téléphoniques sectionnés, absence de douilles, tir parfaitement ciblé. Tout indique un acte prémédité commis par quelqu'un connaissant les lieux...Tout d'abord, les gendarmes explorent la thèse d'un conflit de voisinage. En creusant dans ce sens, ils découvrent que Frédéric avait, dans les environs, une réputation de marginal voire même d'illuminé. Bon nombre des villageois eux pensaient qu'il occupait la maisonnette du château de façon illégale et voyaient d'un mauvais oeil les aller et venues de tous ces médiévistes venus faire la fête en tenue d'époque devant de grands feux de camp.

Le 24 avril 2002, au château de Montaiguillon en Seine-et-Marne, une jeune femme fait une macabre découverte. Alors qu'elle vient lui rendre visite, elle trouve son ami Frédéric Landelle, gardien passionné du site, sans vie. Il a été abattu d'une balle de calibre 12 tirée depuis l'extérieur. La mise en scène intrigue aussitôt les enquêteurs : fils téléphoniques sectionnés, absence de douilles, tir parfaitement ciblé. Tout indique un acte prémédité commis par quelqu'un connaissant les lieux...Le château fort, un symbole médiéval, incontournable du patrimoine français. Plus de 13 000 de ces bâtisses subsistent sur notre territoire. Aujourd'hui, beaucoup ne sont plus que des ruines. Mais par le passé, elles furent le théâtre de batailles sanglantes et de sièges meurtriers durant lesquels de fiers chevaliers et de nobles damoiselles ont perdu la vie. Souvent dans d'horribles circonstances.

A Commensacq, petite commune paisible des Landes, Samuel Batista, 28 ans, a avoué avoir assassiné Guy Lecomte en septembre 2019, le père de son défunt ami Danaël Lecomte, le poignardant à 32 reprises. Il l'a fait par désir de vengeance, estimant que ce dernier avait eu une part de responsabilité dans le suicide de son fils. Guy Lecomte, discret commercial dans le secteur du bâtiment, menait une vie sexuelle débridée, marquée par le chemsex, les rencontres sur internet, les pratiques extrêmes et le sadomasochisme. D'après Isabelle Munoz-Alvarez, la mère de Danaël, c'est la vie sexuelle dépravée de son ex-mari qui aurait poussé leur fils à se jeter sous un train. Elle le répétait à tout le monde, y compris à Samuel Batista...

Cette semaine dans Crimes · Histoires Vraies, vous avez découvert l'affaire Samuel Batista. Ce jeune homme de 22 ans qui, quelques années après le suicide de son meilleur ami, a tué le père de celui-ci de 32 coups de couteaux. Il est arrêté 3 ans après les faits après avoir avoué son crime à ses amis sur Instagram. Mais le jugement qui a eu lieu en juin 2025 s'attarde sur une question juridique bien précise. S'agit-il d'un meurtre ou d'un assassinat ? Savez-vous quelle est la différence entre les deux ? Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !

A Commensacq, petite commune paisible des Landes, Samuel Batista, 28 ans, a avoué avoir assassiné Guy Lecomte en septembre 2019, le père de son défunt ami Danaël Lecomte, le poignardant à 32 reprises. Il l'a fait par désir de vengeance, estimant que ce dernier avait eu une part de responsabilité dans le suicide de son fils. Guy Lecomte, discret commercial dans le secteur du bâtiment, menait une vie sexuelle débridée, marquée par le chemsex, les rencontres sur internet, les pratiques extrêmes et le sadomasochisme. D'après Isabelle Munoz-Alvarez, la mère de Danaël, c'est la vie sexuelle dépravée de son ex-mari qui aurait poussé leur fils à se jeter sous un train. Elle le répétait à tout le monde, y compris à Samuel Batista...L'ADN retrouvé sur la scène du crime correspond parfaitement. Le couteau est identifié. Les aveux sont circonstanciés, précis, sans faille. Les enquêteurs sont troublés par la psychologie du meurtrier. Les experts dépeignent d'ailleurs un profil déroutant. Un jeune homme très intelligent, « à l'intelligence supérieure », note l'un d'eux. Mais en décalage, silencieux, replié. Un solitaire rongé par le ressentiment, la mélancolie et par le besoin de trouver un sens à sa douleur.

A Commensacq, petite commune paisible des Landes, Samuel Batista, 28 ans, a avoué avoir assassiné Guy Lecomte en septembre 2019, le père de son défunt ami Danaël Lecomte, le poignardant à 32 reprises. Il l'a fait par désir de vengeance, estimant que ce dernier avait eu une part de responsabilité dans le suicide de son fils. Guy Lecomte, discret commercial dans le secteur du bâtiment, menait une vie sexuelle débridée, marquée par le chemsex, les rencontres sur internet, les pratiques extrêmes et le sadomasochisme. D'après Isabelle Munoz-Alvarez, la mère de Danaël, c'est la vie sexuelle dépravée de son ex-mari qui aurait poussé leur fils à se jeter sous un train. Elle le répétait à tout le monde, y compris à Samuel Batista...Samuel Batista tente de reprendre pied, mais tout échoue. Il abandonne ses études, refuse de travailler, se coupe peu à peu de ses amis. Samuel ne sourit plus depuis longtemps. Son visage est tiré, ses gestes lents, comme s'ils portaient un poids invisible. Il passe ses journées enfermé dans sa chambre, les volets souvent tirés. Un matelas, un ordinateur, une pile de livres, des pages griffonnées. Il fume, beaucoup. Il écrit, parfois. Et surtout, il rumine. Beaucoup trop.

[SPONSORISÉ] Dans ce huitième épisode de la saison 3 de PAROLES DE FEMMES, Tatiana Brillant se raconte au micro de Clémence de Bernis. C'est à la suite d'une prise d'otages que la vie de Tatiana Brillant va basculer. Elle qui se destinait au barreau, ressent soudain l'envie d'intégrer le RAID, l'unité d'élite de la police nationale. Elle se retrouvera ainsi en première ligne lors des crises les plus extrêmes : prises d'otages, enlèvements… Et jusqu'aux tragédies terroristes comme lors de la tuerie du Bataclan. Dans cet épisode de PAROLES DE FEMMES, on pénètre dans les coulisses très fermées du RAID. On appréhende un métier singulier où la parole fait face aux armes. Avec un mental hors du commun, Tatiana Brillant fascine par son parcours unique. Elle est dotée d'une extraordinaire capacité à comprendre l'humain jusque dans les moments les plus critiques. Femme de sang-froid et de courage, Tatiana Brillant prouve que l'on peut sauver des vies avec des mots !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.

A Commensacq, petite commune paisible des Landes, Samuel Batista, 28 ans, a avoué avoir assassiné Guy Lecomte en septembre 2019, le père de son défunt ami Danaël Lecomte, le poignardant à 32 reprises. Il l'a fait par désir de vengeance, estimant que ce dernier avait eu une part de responsabilité dans le suicide de son fils. Guy Lecomte, discret commercial dans le secteur du bâtiment, menait une vie sexuelle débridée, marquée par le chemsex, les rencontres sur internet, les pratiques extrêmes et le sadomasochisme. D'après Isabelle Munoz-Alvarez, la mère de Danaël, c'est la vie sexuelle dépravée de son ex-mari qui aurait poussé leur fils à se jeter sous un train. Elle le répétait à tout le monde, y compris à Samuel Batista...Le 27 septembre 2019, dans les Landes, le vent siffle fort au-dessus de la pinède. Il fait encore chaud pour la saison, mais l'air est lourd, épais, comme gonflé d'un présage. Un souffle continu, chargé d'odeurs de résine et de sous-bois humides. Sur la route de Pissos, dans le petit village de Commensacq, une maison aux volets fermés reste muette malgré les coups répétés sur la porte. Les pompiers, appelés en urgence par un homme inquiet, insistent. Toujours aucun mouvement, alors ils forcent le passage.

Le 13 juillet 1988, dans le village de Huos en Occitanie, trois membres d'une même famille sont tués à coups de sabre, de hache et de fusil. L'enquête aboutit à l'arrestation de Henri-Jean Jacomet, mari et beau-frère des victimes, coupable idéal. Il faudra treize ans, plusieurs séjours en prison, des grèves de la faim et un procès pour qu'il prouve son innocence.

Cette semaine dans Crimes · Histoires Vraies, vous avez découvert l'affaire Henri-Jean Jacomet. Accusé du meurtre de sa femme, de sa belle-soeur et de son mari, il a été emprisonné, libéré puis innocenté par des jurés car il n'y avait pas de réelles preuves de sa culpabilité. Il est définitivement innocenté en 2003 grâce à des analyses ADN. Mais l'ADN est-elle toujours une preuve irréfutable ?Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !

Le 13 juillet 1988, dans le village de Huos en Occitanie, trois membres d'une même famille sont tués à coups de sabre, de hache et de fusil. L'enquête aboutit à l'arrestation de Henri-Jean Jacomet, mari et beau-frère des victimes, coupable idéal. Il faudra treize ans, plusieurs séjours en prison, des grèves de la faim et un procès pour qu'il prouve son innocence.Le 16 janvier 1989, à 6 heures du matin, Henri-Jean Jacomet est tiré du lit par les gendarmes de la section de recherche de Toulouse, et emmené en garde à vue à la brigade de Barbazan. L'interpellé ne percute pas tout de suite, il pense être entendu en qualité de simple témoin, mari d'une des victimes. Au bout de plusieurs heures d'audition, le ton monte, les questions s'enchaînent, ses réponses s'entrechoquent, et le piège se referme.

[SPONSORISÉ] Cette affaire d'espionnage aurait pu mettre en péril la victoire des Alliés durant la Seconde Guerre mondiale. Pourtant, il a fallu attendre 2005 pour que l'on en mesure réellement l'impact. Cette année-là, au Royaume-Uni, le bureau des Affaires étrangères et du Commonwealth décide de déclassifier certains documents secrets…. Près de 60 ans en arrière, en 1943, à Ankara, en Turquie, Elyesa Bazna a profité de son statut de valet personnel de l'ambassadeur britannique pour faire sortir de l'ambassade des photographies de documents classés Top Secret. S'il fait profiter de ses trouvailles aux Allemands, ce n'est pas par fanatisme nazi.

[SPONSORISÉ] Classée au patrimoine mondial par l'UNESCO, la Tour de Londres accueille aujourd'hui les joyaux de la Couronne britannique : elle est un détour incontournable pour les touristes du monde entier. Mais les visiteurs ne sont pas les seuls à arpenter les vingt et une tours du palais médiéval… Quand les allées se vident et que les lumières artificielles s'éteignent, d'étranges habitants sont parfois entraperçus. Les témoignages d'apparitions diaphanes, de bruits mystérieux ou d'odeurs venues de nulle part ne manquent pas, et sont chroniqués dès le XIIIe siècle. La Tour de Londres serait un repère de célébrités historiques, passées depuis longtemps dans l'au-delà…

Le 13 juillet 1988, dans le village de Huos en Occitanie, trois membres d'une même famille sont tués à coups de sabre, de hache et de fusil. L'enquête aboutit à l'arrestation de Henri-Jean Jacomet, mari et beau-frère des victimes, coupable idéal. Il faudra treize ans, plusieurs séjours en prison, des grèves de la faim et un procès pour qu'il prouve son innocence.À 5h du matin, ce jour de juillet 1988, Henri-Jean Jacomet reprend la route d'Huos, après avoir fait les trois huit à la Cellulose d'Aquitaine, une usine de pâte à papier à Saint-Gaudens. Chez lui, un bout de papier posé sur un meuble : « Je suis chez moi. On t'attend. Bisous ». Le mot a été rédigé la veille par son épouse, Fabienne, 21 ans. En fin d'après-midi, pendant que lui faisait la sieste avant d'entamer son service, elle rejoignait sa soeur pour prendre le café chez leurs parents, absents, partis en vacances au bord de la mer.

« Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente », chantait Georges Brassens. Mais pour la députée britannique Jo Cox, la sentence fut brutale. Trois coups de feu suffirent à éteindre ses convictions. Le 16 juin 2016, elle est sauvagement assassinée en pleine rue devant plusieurs témoins. Un crime survenu à seulement quelques jours du référendum sur le Brexit, et presque allégorie de la cristallisation politique du pays que ces débats entraînent. Jo Cox, la travailliste engagée pour le maintien du Royaume-Uni dans l'Union Européenne et l'ouverture du pays à l'immigration, tuée par Thomas Mair, adepte de théories suprémacistes blanches et ultra-nationalistes.

Cette semaine dans Crimes · Histoires Vraies, vous avez découvert l'affaire de l'assassinat de la députée britannique Jo Cox. Une politicienne du parti travailliste, de centre gauche, fervente opposante au Brexit. Elle est assassinée à 41 ans par un militant d'extrême droite, quelques mois avant le référendum qui scella la sortie du Royaume-Uni de l'UE. C'est ce qu'on appelle un féminicide politique. Mais quelle différence entre un féminicide, un assassinat politique et un féminicide politique ? Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !

[SPONSORISÉ] En 1985, Mikhaïl Gorbatchev s'attèle à un chantier politique de taille en URSS, visant à mettre fin à la Guerre Froide. Mais au même moment, aux États-Unis, une longue série d'arrestations fortement médiatisées vient relancer les tensions entre les deux blocs. Au centre de ce scandale : des espions et traîtres capturés par le FBI, la CIA et leurs collègues. 1985 devient alors The Year of the Spy, l'année des espions. Mais qui étaient ces femmes et ces hommes, certains trop bavards, d'autres travaillant activement pour le compte de l'ennemi.

« Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente », chantait Georges Brassens. Mais pour la députée britannique Jo Cox, la sentence fut brutale. Trois coups de feu suffirent à éteindre ses convictions. Le 16 juin 2016, elle est sauvagement assassinée en pleine rue devant plusieurs témoins. Un crime survenu à seulement quelques jours du référendum sur le Brexit, et presque allégorie de la cristallisation politique du pays que ces débats entraînent. Jo Cox, la travailliste engagée pour le maintien du Royaume-Uni dans l'Union Européenne et l'ouverture du pays à l'immigration, tuée par Thomas Mair, adepte de théories suprémacistes blanches et ultra-nationalistes.Dans son quartier de Fieldhead, à Birstall, Thomas Mair est très apprécié pour ses services rendus aux plus vulnérables. Une réputation à des années lumières du crime qu'il a commis.Depuis plusieurs années, il travaille comme jardinier bénévole pour des personnes âgées, notamment pour un voisin handicapé à qui il vient en aide plusieurs après-midis par semaine. Il entretient gratuitement les pelouses, taille les haies, répare des clôtures. Il le dit lui-même, le jardinage, c'est toute sa vie. Ses voisins le décrivent comme poli, réservé. On lui reconnaît parfois une certaine excentricité, mais il ne s'est jamais montré menaçant envers qui que ce soit.

« Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente », chantait Georges Brassens. Mais pour la députée britannique Jo Cox, la sentence fut brutale. Trois coups de feu suffirent à éteindre ses convictions. Le 16 juin 2016, elle est sauvagement assassinée en pleine rue devant plusieurs témoins. Un crime survenu à seulement quelques jours du référendum sur le Brexit, et presque allégorie de la cristallisation politique du pays que ces débats entraînent. Jo Cox, la travailliste engagée pour le maintien du Royaume-Uni dans l'Union Européenne et l'ouverture du pays à l'immigration, tuée par Thomas Mair, adepte de théories suprémacistes blanches et ultra-nationalistes.En juin 2016, Helen Joanne Cox dite Jo, est députée travailliste depuis un peu plus d'un an, élue dans la circonscription de Batley and Spen, dans le West Yorkshire, sa région natale. Elle a 41 ans et un parcours impressionnant. Née au sein d'une famille modeste, elle se hisse jusqu'aux bancs de la prestigieuse Université de Cambridge et raconte ses difficultés à s'intégrer auprès de camarades issus de classes sociales supérieures. Pas à pas, elle solidifie son engagement politique, jusqu'à son arrivée à la Chambre des Communes en 2015. Très vite, son quotidien vogue au rythme des débats sur le Brexit.

Seul dans sa chambre, Alexander McCartney a orchestré l'un des réseaux de prédation pédopornographique les plus redoutables jamais jugés. Il a manipulé, piégé près de 3 500 victimes en toute impunité pendant des années. Malgré les alertes, les saisies, les preuves… rien ne l'a arrêté. Jusqu'au jour où la justice, enfin, a dû regarder l'horreur en face. Voici le récit de l'une des plus sordides histoires du cybercrime sexuel.