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durée : 00:03:24 - LGV : les gros travaux ont commencé - Du jeudi 8 mai au dimanche 11 mai 2025, aucun train ne circule entre Toulouse et Agen. Le trafic a été interrompu pour permettre la poursuite des travaux de la ligne à grande vitesse Bordeaux-Toulouse. L'arrêt de train Route-de-Launaguet, hors service depuis 2016, est en cours d'aménagement.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 28/04/2025, il fait le point sur quand aura lieu le conclave pour décider qui sera le prochain pape. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Retour sur l'éclatante victoire du PSG au Roudoudou
Deux traders vous donnent leur vision des marchés et les niveaux techniques à surveiller.
Trêve à Gaza : les libérations se poursuivent. Un Français dans la liste des otages libérables. Tous les soirs du lundi au vendredi vers 19h20 sur France 5, Mohamed Bouhafsi raconte une des histoires qui a fait l'actualité du jour.
Édition spéciale du Journal de l'Afrique. Les combats se poursuivent à Goma en RD Congo entre forces armées congolaises et rebelles du M23, soutenus par les troupes rwandaises. La situation reste confuse. Selon l'AFP qui cite des sources sécuritaires, l'aéroport serait contrôlé par le M23. À Kinshasa, des manifestants en colère ont attaqué plusieurs ambassades, dont celles du Rwanda, du Kenya et aussi de la France, de la Belgique et des États-Unis, des pays critiqués pour leur inaction.
La situation sécuritaire tendue en RDC a provoqué de nouveaux mouvements de population. Plus de 400 000 personnes ont fui les combats depuis début janvier, selon les Nations unies. Des civils aussi touchés par les affrontements : les blessés affluent dans les hôpitaux déjà saturés de la province, notamment à Goma et Bukavu. Dans l'Est, l'armée confirme la mort du gouverneur militaire du Nord Kivu, Peter Cirimwami. Sur le terrain, les affrontements se poursuivent entre l'armée congolaise et ses alliées au M23 et les troupes militaires rwandaises.
En RD Congo, situation toujours tendue dans l'est du pays. Les combats se poursuivent sur plusieurs lignes de front. Depuis début janvier, le M23 et l'armée rwandaise ont rapidement progressé pour se retrouver autour de Goma. Les condamnations internationales se multiplient, et plusieurs chancelleries ont demandé à leurs ressortissants de quitter le Nord Kivu.
En RD Congo, les rebelles du M23 ont pris le contrôle du chef-lieu du territoire de Masisi, dans l'est du pays. De violents affrontements ont opposé les rebelles du M23 soutenus par le Rwanda et l'armée congolaise, appuyée par des milices locales. La société civile alerte sur de nouveau déplacement de la population.
« Le torchon brûle » entre les deux pays, constate le site Afrik.com : « Les relations déjà fragiles entre ces deux voisins ouest-africains s'enveniment davantage après les accusations portées par le Niger. Celui-ci reproche au Nigeria de servir de "base arrière" pour des actions visant à déstabiliser son gouvernement. » écrit le site. En clair : le Nigéria abriterait des bases françaises. Allégations fermement démenties par Abuja. Déjà, il y a dix jours, une attaque qui avait ciblé l'oléoduc Niger/Bénin avait mis le feu aux poudres. La télévision publique nigérienne avait alors pointé du doigt le Nigéria, dont les autorités ont démenti toute implication.Lundi matin, la presse nigérienne affirme que Niamey reste prudent. Le journal Tam Tam Info affirme avoir constaté « une présence massive des forces armées nigérianes sur l'axe Dosso-Maradi. Du matériel lourd a été déployé », selon un de leurs reporters, « pour faire face à toute éventualité ». Ce même journal s'inquiète de cette nouvelle escalade : « Les deux pays sont confrontés à de nombreux défis communs, notamment la lutte contre le terrorisme et le trafic de drogue. Une coopération étroite est donc essentielle pour assurer la sécurité et la stabilité dans la région », estime le journal.Mais Tam Tam Info prévient : « Il appartient au Nigeria de faire preuve de sa bonne foi en éloignant de son territoire les dirigeants de l'ancien régime déchu, soupçonnés par Niamey d'être derrière les actes de terrorisme contre le Niger en complicité avec la France. (…) Beaucoup de ces fonctionnaires ont même été déchus de leur nationalité nigériane », explique le journal, « et pourtant Abuja ferme les yeux sur leurs activités subversives ».Enfin Tam Tam info conseille le Nigéria : « On ne peut pas gagner la confiance d'un pays en entretenant des relations avec ses ennemis. »Retrait acté de l'Alliance des États du Sahel de la Cédéao"Un coup dur pour l'unité régionale et, par extension, pour l'unité africaine. », déplore le site d'information Maliweb. Dans une analyse, le site donne la parole à plusieurs points de vue. Dont celui compare les pays de l'Alliance des États du Sahel, soit le Mali, le Burkina Faso et le Niger, au Royaume-Uni dans l'Union européenne : « Malgré les avantages qu'offre l'Union européenne, la Grande-Bretagne a décidé en toute souveraineté de quitter l'UE, mais Londres continue toujours de collaborer avec 27 pays de l'Union. »La rédaction de MaliWeb avance que « les dirigeants de la Cédéao ont tout fait pour montrer à leurs homologues de l'AES que le divorce n'est pas inéluctable et que l'Alliance des États du Sahel peut exister au sein de la Cédéao. » Mais selon le journal, « observateurs, commentateurs et diplomates sont formels : il y a peu d'espoir de dialogue pour que le trio revienne sur cette décision de retrait ».La dernière base militaire en Afrique « si loin du Sahel »Dernier point d'ancrage militaire en Afrique, « si loin du Sahel », raille le journal Aujourd'hui au Faso dans un éditorial, où le titre se moque d'une phrase du président français Emmanuel Macron sur la base française : « Djibouti va se réinventer comme le point de projection pour des missions en Afrique », avait dit le président français. « Chiche ! », répond le journal qui ajoute que « de toute façon, à l'évidence, la France n'a pas le choix. Ses militaires ont été sommés de quitter de mauvaise grâce Mali-Burkina-Niger, et ont repris leurs sacs au dos pour un retrait au Tchad et au Sénégal ». Les 1 500 hommes à Djibouti sont un « lot de consolation » pour la France, pointe le journal.Le journal burkinabé analyse que « la France espère toujours une normalisation progressive des relations avec cette région constituée en partie de son ex-pré carré ». Elle « a pris conscience qu'avec ce Sahel, une mutation de paradigme s'impose ». Des signes encourageants si les vieilles habitudes néocolonialistes et de condescendance disparaissent.
« Le torchon brûle » entre les deux pays, constate le site Afrik.com : « Les relations déjà fragiles entre ces deux voisins ouest-africains s'enveniment davantage après les accusations portées par le Niger. Celui-ci reproche au Nigeria de servir de "base arrière" pour des actions visant à déstabiliser son gouvernement. » écrit le site. En clair : le Nigéria abriterait des bases françaises. Allégations fermement démenties par Abuja. Déjà, il y a dix jours, une attaque qui avait ciblé l'oléoduc Niger/Bénin avait mis le feu aux poudres. La télévision publique nigérienne avait alors pointé du doigt le Nigéria, dont les autorités ont démenti toute implication.Lundi matin, la presse nigérienne affirme que Niamey reste prudent. Le journal Tam Tam Info affirme avoir constaté « une présence massive des forces armées nigérianes sur l'axe Dosso-Maradi. Du matériel lourd a été déployé », selon un de leurs reporters, « pour faire face à toute éventualité ». Ce même journal s'inquiète de cette nouvelle escalade : « Les deux pays sont confrontés à de nombreux défis communs, notamment la lutte contre le terrorisme et le trafic de drogue. Une coopération étroite est donc essentielle pour assurer la sécurité et la stabilité dans la région », estime le journal.Mais Tam Tam Info prévient : « Il appartient au Nigeria de faire preuve de sa bonne foi en éloignant de son territoire les dirigeants de l'ancien régime déchu, soupçonnés par Niamey d'être derrière les actes de terrorisme contre le Niger en complicité avec la France. (…) Beaucoup de ces fonctionnaires ont même été déchus de leur nationalité nigériane », explique le journal, « et pourtant Abuja ferme les yeux sur leurs activités subversives ».Enfin Tam Tam info conseille le Nigéria : « On ne peut pas gagner la confiance d'un pays en entretenant des relations avec ses ennemis. »Retrait acté de l'Alliance des États du Sahel de la Cédéao"Un coup dur pour l'unité régionale et, par extension, pour l'unité africaine. », déplore le site d'information Maliweb. Dans une analyse, le site donne la parole à plusieurs points de vue. Dont celui compare les pays de l'Alliance des États du Sahel, soit le Mali, le Burkina Faso et le Niger, au Royaume-Uni dans l'Union européenne : « Malgré les avantages qu'offre l'Union européenne, la Grande-Bretagne a décidé en toute souveraineté de quitter l'UE, mais Londres continue toujours de collaborer avec 27 pays de l'Union. »La rédaction de MaliWeb avance que « les dirigeants de la Cédéao ont tout fait pour montrer à leurs homologues de l'AES que le divorce n'est pas inéluctable et que l'Alliance des États du Sahel peut exister au sein de la Cédéao. » Mais selon le journal, « observateurs, commentateurs et diplomates sont formels : il y a peu d'espoir de dialogue pour que le trio revienne sur cette décision de retrait ».La dernière base militaire en Afrique « si loin du Sahel »Dernier point d'ancrage militaire en Afrique, « si loin du Sahel », raille le journal Aujourd'hui au Faso dans un éditorial, où le titre se moque d'une phrase du président français Emmanuel Macron sur la base française : « Djibouti va se réinventer comme le point de projection pour des missions en Afrique », avait dit le président français. « Chiche ! », répond le journal qui ajoute que « de toute façon, à l'évidence, la France n'a pas le choix. Ses militaires ont été sommés de quitter de mauvaise grâce Mali-Burkina-Niger, et ont repris leurs sacs au dos pour un retrait au Tchad et au Sénégal ». Les 1 500 hommes à Djibouti sont un « lot de consolation » pour la France, pointe le journal.Le journal burkinabé analyse que « la France espère toujours une normalisation progressive des relations avec cette région constituée en partie de son ex-pré carré ». Elle « a pris conscience qu'avec ce Sahel, une mutation de paradigme s'impose ». Des signes encourageants si les vieilles habitudes néocolonialistes et de condescendance disparaissent.
Jeudi 28 novembre, le Premier ministre géorgien Irakli Kobakhidzé annonçait le gel du processus d'intégration à l'Union européenne. Depuis, des milliers de Géorgiens manifestent chaque jour dans les rues de Tbilissi et des villes de province contre la politique pro-russe du gouvernement. Cette contestation est durement réprimée par le pouvoir, 75 % des plus de 400 personnes arrêtées ces deux dernières semaines ont été passées à tabac par les forces de l'ordre. Le mouvement de contestation tient grâce à une forte aspiration pro-occidentale, mais aussi par sa volonté de rester décentralisé, sans direction unique, ce qui fait sa force autant que sa faiblesse. Un reportage de notre correspondant à Tbilissi. Un reportage à retrouver en intégralité dans Accents d'Europe.À lire aussiGéorgie: des milliers de manifestants pro-européens devant le Parlement pour une 11e nuit de protestations
Jeudi 28 novembre, le Premier ministre géorgien Irakli Kobakhidzé annonçait le gel du processus d'intégration à l'Union européenne. Depuis, des milliers de Géorgiens manifestent chaque jour dans les rues de Tbilissi et des villes de province contre la politique pro-russe du gouvernement. Cette contestation est durement réprimée par le pouvoir, 75 % des plus de 400 personnes arrêtées ces deux dernières semaines ont été passées à tabac par les forces de l'ordre. Le mouvement de contestation tient grâce à une forte aspiration pro-occidentale, mais aussi par sa volonté de rester décentralisé, sans direction unique, ce qui fait sa force autant que sa faiblesse. Un reportage de notre correspondant à Tbilissi. Un reportage à retrouver en intégralité dans Accents d'Europe.À lire aussiGéorgie: des milliers de manifestants pro-européens devant le Parlement pour une 11e nuit de protestations
Ecoutez l'émission du 06 décembre 2024.
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, plusieurs médias poursuivent en justice le réseau social X d'Elon Musk, un présentateur télé dans le gouvernement de Donald Trump, Netflix cartonne avec son abonnement incluant des publicités, le combat de boxe opposant Mike Tyson à Jake Paul sera diffusé ce vendredi dans le monde entier sur Netflix et un problème de micros dans "C à vous".
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, plusieurs médias poursuivent en justice le réseau social X d'Elon Musk, un présentateur télé dans le gouvernement de Donald Trump, Netflix cartonne avec son abonnement incluant des publicités, le combat de boxe opposant Mike Tyson à Jake Paul sera diffusé ce vendredi dans le monde entier sur Netflix et un problème de micros dans "C à vous".
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, plusieurs médias poursuivent en justice le réseau social X d'Elon Musk, un présentateur télé dans le gouvernement de Donald Trump, Netflix cartonne avec son abonnement incluant des publicités, le combat de boxe opposant Mike Tyson à Jake Paul sera diffusé ce vendredi dans le monde entier sur Netflix et un problème de micros dans "C à vous".
Il s'agit d'une première en Europe. Sept familles assignent devant la justice française le réseau social TikTok afin de faire reconnaître sa responsabilité dans la dégradation de la santé mentale de leurs enfants. Vidéos promouvant l'automutilation, les troubles alimentaires, la prise de médicaments… jusqu'à des contenus mettant en avant le suicide. Aujourd'hui ces familles réclament des comptes à TikTok. Fort de ses 21 millions d'utilisateurs en France - 1,2 milliard dans le monde. TikTok propose, selon ces familles, un algorithme qui accentue le mal-être de leurs enfants. A savoir sept adolescentes. Deux d'entre elles ont mis fin à leur jour. Les réseaux sociaux sont-ils un danger pour les plus jeunes? TikTok favorise-t-il le mal-être de jeunes déjà fragiles? Comment protéger ces derniers des contenus les plus violents ou les plus sensibles? Je suis Ronald Guintrange et vous écoutez un nouvel épisode d'Affaire suivante, le podcast inédit. Justine Chevalier et Ronald Guintrange reçoivent Maitre Laure Boutron-Marmion, fondatrice du collectif Algos Victima, pour venir en aide aux victimes des réseaux sociaux.
Les menaces de grèves planent à la table de négociation des employés de Postes Canada, alors que le patronat tenterait tant bien que mal de les contenir, au risque de voir des conséquences «importantes» sur sa clientèle à l'approche des fêtes. Entrevue avec Yannick Scott, le directeur national du Syndicat des travailleurs et travailleuses des postes pour la région de Montréal STTP.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:06:25 - La Revue de presse internationale - par : Mélanie Kuszelewicz - Depuis le 14 octobre, les partisans de l'ancien président Evo Morales, qui vise la candidature à la présidentielle en 2025, bloque les routes, notamment dans le département de Cochabamba en Bolivie.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 16/10/2024, il revient en compagnie d'Amélie Rebière, vice-présidente de la Coordination rurale et Présidente de la coordination rurale Corrèze sur la colère des agriculteurs qui continuent de se mobiliser partout en France.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
Dans l'actualité de ce jeudi 26 septembre : Des ressortissant Australiens coincés au Liban, alors que les efforts internationaux se poursuivent pour empêcher une guerre totale. En France, les débats refont surface sur l'ordre de quitter le territoire après le meurtre d'une étudiante, et le ministre des Finances promet de présenter le budget 2025 dans deux semaines. Et, en marges de l'Assemblée Générale de l'ONU la France et les USA multiplient les efforts pour empêcher une escalade au Moyen Orient...
Ecoutez RTL Matin avec Amandine Bégot et Thomas Sotto du 23 septembre 2024.
Ecoutez RTL Matin avec Amandine Bégot et Thomas Sotto du 19 septembre 2024.
Le géant anglo-néerlandais des produits de grande consommation Unilever s'apprêterait à vendre sa filiale russe. L'exil des entreprises occidentales se poursuit, mais deux ans et demi après l'invasion de l'Ukraine, la moitié des entreprises étrangères présentes en Russie avant 2022 y sont toujours. Depuis le début de la guerre, Unilever avait déjà fortement réduit ses activités ne vendant plus en Russie que des produits alimentaires et d'hygiène de première nécessité. Mais d'après la presse russe reprise par Reuters et le Financial Times, la multinationale n'aurait obtenu que début septembre l'autorisation des autorités russes de vendre ses actifs dans le pays qui comprennent notamment quatre usines.Dans les premiers mois qui avaient suivi l'invasion russe, les entreprises européennes et américaines avaient massivement quitté le pays. Le départ spectaculaire de McDonald's dès le mois de mai 2022 avait marqué les esprits. Malgré tout, deux ans et demi plus tard, plus de la moitié des entreprises étrangères présentes en Russie avant 2022 y sont toujours, d'après le KSE Institute, une entité de l'université d'économie de Kiev qui tient rigoureusement les comptes.Plus de 50 % des entreprises étrangères sont restées en RussieSur les près de 4 000 entreprises étrangères qu'elle a étudiées, 54 % précisément poursuivent leurs opérations en Russie. Évidemment ce n'est pas un tableau homogène : du côté des alliés de Moscou, 100 % des entreprises biélorusses ou iraniennes sont restées. A l'autre extrême, deux tiers des entreprises américaines et un peu moins de la moitié des entreprises européennes se sont retirées du pays. Entre les deux, 15 % des entreprises chinoises tout de même sont parties et parmi celles qui restent, on observe parfois un recul important de leur activité. Alibaba, par exemple, le concurrent chinois d'Amazon, reste techniquement implanté en Russie mais n'accepte plus le rouble et ne livre plus dans le pays.Des chiffres qui cachent parfois une réalité plus complexe. Si on regarde les entreprises étrangères qui ont réalisé le plus de bénéfices en Russie en 2023, le tableau est très différent. Dans le top 10 on trouve seulement deux entreprises chinoises. Toutes les autres sont issues de pays alliés de Kiev : le cigarettier Philip Morris, les géants de l'agroalimentaire Pepsi et Mars côté américain, deux entreprises françaises : Auchan et Leroy Merlin, le Suisse Nestlé, la banque autrichienne Raiffeisen, et un cigarettier japonais.Le Kremlin impose son prix aux entreprises occidentalesSous la pression de plusieurs de ses alliés occidentaux, l'Ukraine avait renoncé début 2024 à rendre publique sa « liste noire » des entreprises étrangères installées en Russie. L'Ukraine leur reprochait de soutenir le régime de Poutine par avidité. Pour être juste, il faut aussi rappeler que pour les entreprises qui avaient beaucoup investi en Russie, le coût d'un départ est important. Les entreprises du secteur des nouvelles technologies dont l'activité est largement dématérialisée ont pu partir beaucoup plus facilement que celles qui ont des usines, des actifs fonciers et de nombreux employés dans le pays.Surtout que le Kremlin impose ses conditions aux entreprises des pays considérés comme hostiles à Moscou. Pour Unilever, la presse parle d'un prix de vente pour sa filiale russe se situant dans une fourchette entre 350 et 500 millions de dollars, soit moitié moins que sa valeur estimée. Et il faut y ajouter une taxe de départ de 10 à 15 % à régler à l'Etat russe. En mars Reuters estimait que leur départ de Russie avait coûté plus de 100 milliards de dollars aux entreprises étrangères. Les grands gagnants du départ des entreprises occidentalesLa situation profite d'abord aux oligarques et aux proches du Kremlin qui rachètent à prix cassés les actifs des entreprises occidentales. Son nom n'a pas été confirmé officiellement. Mais d'après le FT, Unilever s'apprête à vendre ses actifs russes au groupe Arnest, propriété de l'homme d'affaires Alexeï Sagal devenu l'un des plus grands bénéficiaires de la guerre en Ukraine.Au printemps 2022, Vladimir Poutine s'était ouvertement réjoui du départ des occidentaux y voyant une opportunité pour les entreprises russes. En réalité, dans certains secteurs clé comme l'automobile, la Russie est restée très dépendante des entreprises étrangères. Mais ce sont plutôt les Chinois et dans une moindre mesure les Iraniens qui ont profité du départ massif des Européens et des Américains.
durée : 00:14:57 - Journal de 18h - Pendant que des tractations sont en cours entre Washington, Jérusalem et le Caire pour parvenir à un accord de trêve, les populations civiles meurent jour après jour à Gaza. Des Palestiniens tués par les bombes, des Israéliens pris en otage depuis le 7 octobre et morts depuis.
durée : 00:14:57 - Journal de 18h - Pendant que des tractations sont en cours entre Washington, Jérusalem et le Caire pour parvenir à un accord de trêve, les populations civiles meurent jour après jour à Gaza. Des Palestiniens tués par les bombes, des Israéliens pris en otage depuis le 7 octobre et morts depuis.
durée : 00:15:14 - Journal de 18h - Antony Blinken mènera les rencontres pour une trêve au Proche-Orient. Le diplomate américain parle de dernière chance pour un accord, un accord fondamental selon Washington, afin d'éviter une attaque de l'Iran et un embrasement régional. Il s'agit de sa neuvième visite.
durée : 00:15:14 - Journal de 18h - Antony Blinken mènera les rencontres pour une trêve au Proche-Orient. Le diplomate américain parle de dernière chance pour un accord, un accord fondamental selon Washington, afin d'éviter une attaque de l'Iran et un embrasement régional. Il s'agit de sa neuvième visite.
durée : 00:07:10 - Journal de 8 h - Deuxième "manif action" pour dénoncer les retenues d'eau agricoles, samedi 20 juillet. Après la marche avortée à cause d'un incendie dans un champs sur le parcours des manifestants, près de Poitiers, des milliers de personnes sont attendues à la Rochelle, en Charente Maritime.
durée : 00:07:10 - Journal de 8 h - Deuxième "manif action" pour dénoncer les retenues d'eau agricoles, samedi 20 juillet. Après la marche avortée à cause d'un incendie dans un champs sur le parcours des manifestants, près de Poitiers, des milliers de personnes sont attendues à la Rochelle, en Charente Maritime.
durée : 00:07:10 - Journal de 8 h - Deuxième "manif action" pour dénoncer les retenues d'eau agricoles, samedi 20 juillet. Après la marche avortée à cause d'un incendie dans un champs sur le parcours des manifestants, près de Poitiers, des milliers de personnes sont attendues à la Rochelle, en Charente Maritime.
Un chauffeur de taxi a Isabelle Mergault la fin de son histoire concernant les lilliputiens en Grèce. Ce dernier souhaitait connaitre le chute, et il a été déçu. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.
Chaque jour, entre 9h et 9h30, retrouvez Pascal Praud dans L'Heure des Pros en direct sur CNews et Europe 1. Ce mardi, le 50e anniversaire de la mort de Georges Pompidou, un appel à la prière chez le Premier ministre en Écosse, le président sénégalais et ses deux Premières dames et les recherches qui se poursuivent dans l'affaire de la mort du petit Émile.
Ecoutez RTL Foot du 10 mars 2024 avec Éric Silvestro.
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de la visite de l'Émir du Qatar à Paris pour évoquer avec Emmanuel Macron les négociations sur un cessez-le-feu à Gaza et sur la libération des otages.
durée : 00:05:33 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - La colère du monde agricole ne retombe pas en Europe. En parallèle, les exploitants agricoles indiens se mobilisent à leur tour, pour obtenir la mise en place des mesures promises par le gouvernement en 2021.
durée : 01:26:55 - En pistes ! du mardi 30 janvier 2024 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Au programme de ce mardi matin : les Sonates pour violon de Beethoven, des pièces pour piano de Chopin, les Sonates pour violon de Geminiani, les œuvres de la compositrice française Mel Bonis, la musique de Duke Ellington incarnée par l'Hollywood Bowl orchestra dirigé par John Mauceri. En Pistes !
durée : 00:23:01 - La COP28 de Dubaï joue les prolongations : Les tractations de la COP28 se poursuivent de nuit mardi 12 décembre à Dubaï dans l'attente d'un nouveau projet d'accord par la présidence émiratie.
durée : 00:20:15 - Journal de 12h30 - La trêve entre Israël et le Hamas est entrée aujourd'hui dans son sixième jour. Ce qui veut dire qu'une nouvelle libération d'otages israéliens est a priori attendue en échange de prisonniers palestiniens.
Après le début du conflit le 15 avril dernier à Khartoum, ils ont dû fuir leur pays et mettre sur pause leurs études en médecine. Mais depuis presque deux mois, plus d'une centaine d'étudiants soudanais ont posé bagage au Rwanda, à Kigali, où un partenariat avec leur université leur permet de poursuivre leur apprentissage dans des hôpitaux de la capitale. De notre correspondante à Kigali,Dans l'une des salles de l'hôpital King Faisal, Mehaira Ahmed consulte les dossiers de ses patients. Après avoir quitté le Soudan au début du conflit pour rejoindre sa famille aux Émirats arabes unis, elle craignait de ne pas pouvoir poursuivre sa 4ᵉ année d'études en médecine.« Quand je suis arrivée aux Émirats, le problème de ce qui allait se passer ensuite se posait. Les transferts pour des étudiants en médecine sont presque impossibles. Heureusement pour nous, notre université a trouvé des solutions. »La solution, un partenariat avec l'université du Rwanda pour accueillir quelque 160 étudiants soudanais pendant les huit mois de leur année universitaire. Au programme : une immersion dans différents hôpitaux de Kigali la semaine et des cours en ligne le week-end. Dans son service, Mehaira participe activement aux activités de soins.« On fait les rondes dans les chambres, on enregistre les patients, puis il y a également des réunions, des séminaires, et l'enseignement au chevet du patient, donc on est assez chargé ! L'idée est qu'on passe un mois dans chaque spécialité. Nous avons déjà terminé la pédiatrie, et maintenant, on est en médecine interne. »« L'un des obstacles, c'est la barrière de la langue »Après plus d'un mois à Kigali, dans son appartement, Alfaisal Salah s'est rapidement habitué au fonctionnement des établissements rwandais. Assigné à l'hôpital militaire, le jeune homme de 23 ans se réjouit de la confiance accordée aux étudiants soudanais.« Au Rwanda, un étudiant en médecine est considéré comme un docteur et il est responsable de tout ce qu'il fait. Mais l'un des obstacles pour nous, c'est la barrière de la langue qui est l'une de nos plus grandes difficultés. Donc, nous essayons de demander de l'aide à un autre collègue, ou un étudiant rwandais pour qu'il traduise pour nous. »Pour le docteur Suzan Homeida, installée depuis trois ans à Kigali et membre du conseil d'administration de l'université de Sciences et de Technologie de Khartoum, difficile pour le moment de réfléchir à un retour rapide au Soudan.« Malheureusement notre campus est depuis le premier jour occupé par les miliciens. De ce que nous voyons en ce moment au Soudan, et la situation actuelle du pays, je ne pense pas que ces étudiants puissent revenir maintenant, alors nous espérons qu'ils vont continuer leur éducation jusqu'au jour où ils pourront rentrer en sécurité. »Des étudiants en dernière année sont également accueillis en Tanzanie. L'université soudanaise est désormais en contact avec différents pays afin de trouver des solutions pour les autres niveaux de formation.
durée : 00:07:18 - Journal de 8 h - 300 morts, plus de 1 800 blessés, selon Israël ce dimanche matin. Et 150 otages seraient détenus par le Hamas, dont des ressortissants étrangers. Côté palestinien, il y aurait au moins 230 morts dans la bande de Gaza après les représailles de l'État hébreu.
durée : 00:07:18 - Journal de 8 h - 300 morts, plus de 1 800 blessés, selon Israël ce dimanche matin. Et 150 otages seraient détenus par le Hamas, dont des ressortissants étrangers. Côté palestinien, il y aurait au moins 230 morts dans la bande de Gaza après les représailles de l'État hébreu.
durée : 00:07:18 - Journal de 8 h - Trois cents morts, plus de 1 800 blessés, selon Israël ce dimanche matin. Et 150 otages seraient détenus par le Hamas, dont des ressortissants étrangers. Côté palestinien, il y aurait au moins 230 morts dans la bande de Gaza après les représailles de l'État hébreu.
durée : 00:15:22 - Journal de 8 h - Le dernier bilan fait état de plus de 2 100 morts et 2 400 blessés. Le point, dans cette édition, sur la situation au Maroc après le séisme de vendredi.
durée : 00:15:22 - Journal de 8 h - Le dernier bilan fait état de plus de 2 100 morts et 2 400 blessés. Le point, dans cette édition, sur la situation au Maroc après le séisme de vendredi.