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Cet été, deux entrepreneurs associés partent en vacances. Le premier, d'origine africaine, emmène sa famille profiter de la Méditerranée. Plage, détente, moments précieux en famille. Le second, d'origine chinoise, va à Shanghai... mais inscrit son fils de 10 ans à un bootcamp d'Intelligence Artificielle d'une semaine. Résultat ? Pendant que nos enfants construisaient des châteaux de sable, le sien apprenait à coder des algorithmes qui façonneront le monde de demain.
Depuis plusieurs décennies, la famille connaît de grandes mutations. Elles se forment, se séparent puis se reforment autrement. En France, 10 % des mineurs vivent dans une famille dite « recomposée », selon l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). C'est-à-dire une famille dont au moins l'un des adultes a déjà un enfant d'une relation précédente. Si les cas de figure sont multiples, la famille « recomposée » n'a aujourd'hui plus rien d'exceptionnel. La démarche n'en est pas moins ardue. Il faut en effet faire le deuil de sa relation précédente, accueillir un nouvel amour, négocier avec son ex-conjoint, parfois devenir belle-mère ou beau-père, sans compter les complications de planning, d'espaces, de différences d'éducation... Tout n'est pas que contraintes bien sûr. Alors quelles sont les réalités des familles recomposées ? Avec : Gloria Repond, docteure en psychologie. Autrice de Familles recomposées, du conte de fées à la réalité (Favre, 2025) Marie-Luce Lovane, fondatrice du Club des marâtres En fin d'émission, la chronique Écouter le monde de Monica Fantini. Cette émission est une rediffusion du 2 mai 2025 Programmation musicale : ► Epuikoiencore – Dani Bumba ► In My Bed – CKay
Depuis plusieurs décennies, la famille connaît de grandes mutations. Elles se forment, se séparent puis se reforment autrement. En France, 10 % des mineurs vivent dans une famille dite « recomposée », selon l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). C'est-à-dire une famille dont au moins l'un des adultes a déjà un enfant d'une relation précédente. Si les cas de figure sont multiples, la famille « recomposée » n'a aujourd'hui plus rien d'exceptionnel. La démarche n'en est pas moins ardue. Il faut en effet faire le deuil de sa relation précédente, accueillir un nouvel amour, négocier avec son ex-conjoint, parfois devenir belle-mère ou beau-père, sans compter les complications de planning, d'espaces, de différences d'éducation... Tout n'est pas que contraintes bien sûr. Alors quelles sont les réalités des familles recomposées ? Avec : Gloria Repond, docteure en psychologie. Autrice de Familles recomposées, du conte de fées à la réalité (Favre, 2025) Marie-Luce Lovane, fondatrice du Club des marâtres En fin d'émission, la chronique Écouter le monde de Monica Fantini. Cette émission est une rediffusion du 2 mai 2025 Programmation musicale : ► Epuikoiencore – Dani Bumba ► In My Bed – CKay
Pour beaucoup de parents, les journées ressemblent à un marathon : quitter le travail à l'heure, courir chercher les enfants à l'école, les conduire au foot, à la danse ou au solfège… Impossible de se dédoubler, et pourtant, on veut être partout à la fois. C'est pour répondre à ce casse-tête que la Bana Community a vu le jour.Lancée en 2021 à Nivelles, cette plateforme devenue asbl met en relation les parents et des accompagnateurs de confiance, tous vérifiés et habitués à être au contact des enfants : étudiants, professeurs, éducateurs, seniors actifs, parents ou encore baby-sitters. L'idée est simple : partager et sécuriser les trajets des enfants, qu'ils soient quotidiens ou exceptionnels.Deux formules existent : l'accompagnateur peut inclure votre enfant dans un trajet déjà prévu, rémunéré 2 € par tranche de 15 minutes et par enfant, ou bien réaliser un trajet privé, au tarif du taxi social (0,43 €/km). Et pas seulement en voiture : les trajets se font aussi à pied, à vélo ou en transports publics, encourageant ainsi la mobilité douce.La communauté a même créé le programme Bana Buddies, primé par le Piéton Award en Wallonie. Celui-ci forme les adolescents dès 15 ans à accompagner les plus jeunes en toute sécurité. Résultat : un peu d'argent de poche pour les ados, une responsabilisation bienvenue, de la convivialité pour les enfants, et une vraie respiration pour les parents. Une solution concrète, collective et rassurante pour transformer la course effrénée du quotidien en un rythme plus serein.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Ce nouvel épisode de "Brèves de Quartier, le podcast" vous propose de découvrir la Maison des familles proposée par l'UDAF 35. Anaïs s'est rendu le vendredi 18 juillet à l'un des rendez-vous programmé cet été. A cette occasion, elle a interrogé des parents sur ce qu'il retire de leur participation à la Maison des Familles et Camille, qui co-anime les ateliers. Bonne écoute !
durée : 00:06:10 - L'invité d'ici Matin - A quelques jours de la rentrée, encore beaucoup d'incertitudes pour la scolarisation des enfants handicapés Selon l'Unapei, des milliers d'entre eux s'apprêtent à reprendre les cours sans solution adaptée à leurs besoins. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:09:54 - Journal de 9h - L'envoyé spécial américain Keith Kellogg est en Ukraine pour le jour de l'indépendance. Hier, les familles disparus ont manifesté en amont de sa visite.
Communiquer, jouer, écouter de la musique, regarder des vidéos, prendre des photos, s'informer, apprendre, se guider dans la ville, acheter, vendre, travailler, organiser son agenda, mais aussi donner l'heure ou se réveiller : toutes les tâches de notre quotidien dépendent d'un seul outil qui tient dans la main. En seulement 15 ans, le temps passé sur les écrans, notamment des smartphones, est passé de zéro à plusieurs heures par jour. Un changement qui a des répercussions majeures au sein des couples et des familles. Avec en toile de fond, beaucoup d'inquiétudes sur les effets d'une telle exposition pour les plus jeunes. Au lieu de paniquer ou de rêver d'un monde sans écran, l'heure est à l'apprentissage des outils, à un usage négocié en famille, à une éducation numérique dans les écoles. Histoire de remettre un peu de contrôle et d'apprécier ensemble le temps retrouvé. Production : Laurence Difélix Réalisation : Jean- Daniel Mottet Les invité.es: Claire Balleys Professeure en socio-anthropologie des pratiques numériques et communicationnelles, directrice de Medialab à l'Université de Genève. & Niels Weber Psychologue - Psychothérapeute FSP, thérapeute systémicien, spécialisé en hyperconnectivité.
durée : 00:09:54 - Journal de 9h - L'envoyé spécial américain Keith Kellogg est en Ukraine pour le jour de l'indépendance. Hier, les familles disparus ont manifesté en amont de sa visite.
Aujourd'hui, Antoine Diers, Bruno Poncet et Fatima Aït Bounoua débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Depuis plusieurs mois, les camps de réfugiés en Cisjordanie occupée sont devenus le théâtre d'opérations militaires israéliennes d'une intensité inédite. À Tulkarem, l'un des camps les plus anciens, les bulldozers ont tout emporté : les maisons, les souvenirs, les vies ancrées dans la terre. Les familles expulsées s'entassent désormais dans des salles de classe d'une école dans des conditions difficiles avec la crainte de ne plus retourner chez eux. De notre correspondante à Tulkarem, Il n'y a plus âme qui vive dans le camp de Tulkarem éventré par les bulldozers sous la surveillance des drones israéliens. Le bourdonnement des drones résonne jusqu'à cette école, installée en périphérie de la ville, qui accueille les réfugiés expulsés du camp. Moussa Abu Shanab, employé de la municipalité, est responsable des lieux : « C'est dur de se dire que tous les gens ici ont leurs maisons qui ont été détruites et dont les affaires sont restées là-bas ». Les 125 personnes, chassées du camp par l'armée, occupent l'école. Osman vit dans l'une des salles de classe : « Je suis ici avec ma femme et mes deux filles. Et nous attendons un enfant qui naîtra dans quelques semaines. » La température dépasse les 40 degrés. « Il fait une chaleur étouffante, les conditions sont très difficiles. Je rêve de changer d'air, d'un peu de calme ». Son épouse, Rowan, arrive en fin de grossesse : « Il y a 125 personnes pour quatre salles de bains mixtes. C'est très difficile, pas comme si nous étions à la maison, avec notre propre salle de bains, tranquilles dans notre maison. Nous sommes quatre dans cette pièce et, bientôt, nous serons cinq ». « Ils détruisent toutes les maisons » L'armée israélienne a récemment annoncé qu'elle occuperait les camps jusqu'à la fin de l'année. Le désespoir s'empare de la jeune femme : « Notre tour est déjà passé, ma maison a disparu. Que reste-t-il du camp ? Le camp est désormais isolé de tout. Nous pensions y retourner et planter une tente sur le tas de terre qui est à la place de notre maison. Cela fait six mois que nous sommes hors du camp, nous ne savons pas si nous y retournerons, si nous retournerons chez nous ». À l'étage supérieur de l'école, une famille de onze personnes s'entasse dans une pièce dont le sol est jonché de matelas. Hiba redoute, elle aussi, de ne jamais pouvoir retourner dans le camp : « Ils ne veulent plus rien qui soit lié aux camps ou aux réfugiés, ils veulent nous faire disparaître. Ce sont des menteurs, ils disent qu'ils ne détruisent que les maisons des résistants, mais ils détruisent toutes les maisons. » Après la disparition des camps du nord de la Cisjordanie, Hiba redoute que l'armée s'en prenne à tous les camps du territoire. Et avec eux, le droit au retour des Palestiniens sur leurs terres. À lire aussiCisjordanie occupée: le camp de Tulkarem, cible de la violence de l'armée et des colons israéliens
durée : 00:03:16 - Vipère et couleuvre, les deux grandes familles de serpents visibles dans le Vaucluse - par : Nathalie Mazet - . Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Depuis plusieurs mois, les camps de réfugiés en Cisjordanie occupée sont devenus le théâtre d'opérations militaires israéliennes d'une intensité inédite. À Tulkarem, l'un des camps les plus anciens, les bulldozers ont tout emporté : les maisons, les souvenirs, les vies ancrées dans la terre. Les familles expulsées s'entassent désormais dans des salles de classe d'une école dans des conditions difficiles avec la crainte de ne plus retourner chez eux. De notre correspondante à Tulkarem, Il n'y a plus âme qui vive dans le camp de Tulkarem éventré par les bulldozers sous la surveillance des drones israéliens. Le bourdonnement des drones résonne jusqu'à cette école, installée en périphérie de la ville, qui accueille les réfugiés expulsés du camp. Moussa Abu Shanab, employé de la municipalité, est responsable des lieux : « C'est dur de se dire que tous les gens ici ont leurs maisons qui ont été détruites et dont les affaires sont restées là-bas ». Les 125 personnes, chassées du camp par l'armée, occupent l'école. Osman vit dans l'une des salles de classe : « Je suis ici avec ma femme et mes deux filles. Et nous attendons un enfant qui naîtra dans quelques semaines. » La température dépasse les 40 degrés. « Il fait une chaleur étouffante, les conditions sont très difficiles. Je rêve de changer d'air, d'un peu de calme ». Son épouse, Rowan, arrive en fin de grossesse : « Il y a 125 personnes pour quatre salles de bains mixtes. C'est très difficile, pas comme si nous étions à la maison, avec notre propre salle de bains, tranquilles dans notre maison. Nous sommes quatre dans cette pièce et, bientôt, nous serons cinq ». « Ils détruisent toutes les maisons » L'armée israélienne a récemment annoncé qu'elle occuperait les camps jusqu'à la fin de l'année. Le désespoir s'empare de la jeune femme : « Notre tour est déjà passé, ma maison a disparu. Que reste-t-il du camp ? Le camp est désormais isolé de tout. Nous pensions y retourner et planter une tente sur le tas de terre qui est à la place de notre maison. Cela fait six mois que nous sommes hors du camp, nous ne savons pas si nous y retournerons, si nous retournerons chez nous ». À l'étage supérieur de l'école, une famille de onze personnes s'entasse dans une pièce dont le sol est jonché de matelas. Hiba redoute, elle aussi, de ne jamais pouvoir retourner dans le camp : « Ils ne veulent plus rien qui soit lié aux camps ou aux réfugiés, ils veulent nous faire disparaître. Ce sont des menteurs, ils disent qu'ils ne détruisent que les maisons des résistants, mais ils détruisent toutes les maisons. » Après la disparition des camps du nord de la Cisjordanie, Hiba redoute que l'armée s'en prenne à tous les camps du territoire. Et avec eux, le droit au retour des Palestiniens sur leurs terres. À lire aussiCisjordanie occupée: le camp de Tulkarem, cible de la violence de l'armée et des colons israéliens
durée : 00:03:58 - Des familles découvrent la traite de chèvres à Meslay-du-Maine dans les Coëvrons. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Au menu de la troisième heure des GG du lundi 11 août 2025 : "Gard : les dealers offrent leurs services aux familles" avec Charles Consigny, avocat, Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, et Didier Giraud, éleveur de bovins.
Le Central Electricity Board (CEB) renforce son engagement en faveur de la transition énergétique et du soutien aux plus démunis. Deux nouveaux plans ont été mis sur pied pour aider, d'une part, les familles à faible revenu, et d'autre part, les ONG et les institutions religieuses. Selon Thierry Ramasawmy, responsable de la communication au CEB, 1 000 panneaux solaires seront installés gratuitement dans les foyers vulnérables. « Ces familles bénéficieront chaque mois de 100 kWh d'électricité gratuits, déduits directement de leur facture », précise-t-il. Le second dispositif vise les ONG et les institutions religieuses, qui pourront elles aussi faire installer gratuitement des panneaux photovoltaïques, afin de réduire leurs coûts énergétiques et réorienter leurs ressources vers leurs missions sociales. Julie, l'un des bénéficiaires, témoigne : « C'est un vrai soulagement. Mes factures ont considérablement baissé, et je peux mieux gérer mes autres dépenses. » Pour plus d'informations sur ces deux plans, les intéressés peuvent se rendre dans l'agence CEB la plus proche ou appeler le 8912.
durée : 00:14:57 - Journal de 18h - En Israël, les soutiens au gouvernement de Benyamin Netanyahou se font de moins en moins unanimes. À Tel Aviv, les familles des otages - 49 sont encore retenus à Gaza - ont manifesté leur colère ce soir sur la place des otages.
durée : 00:14:57 - Journal de 18h - En Israël, les soutiens au gouvernement de Benyamin Netanyahou se font de moins en moins unanimes. À Tel Aviv, les familles des otages - 49 sont encore retenus à Gaza - ont manifesté leur colère ce soir sur la place des otages.
durée : 00:10:45 - L'invité de 7h50 - par : Céline Asselot - Yannick Neuder, ministre chargé de la Santé et de l'Accès aux soins, auprès de la ministre du Travail, de la Santé, de la Solidarité et des Familles, est l'invité de Céline Asselot à 7h50, au lendemain de la décision du Conseil constitutionnel de censurer la réintroduction de l'acétamipride. - invités : Yannick Neuder - Yannick Neuder : Cardiologue et homme politique français Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:10:45 - L'invité de 7h50 - par : Céline Asselot - Yannick Neuder, ministre chargé de la Santé et de l'Accès aux soins, auprès de la ministre du Travail, de la Santé, de la Solidarité et des Familles, est l'invité de Céline Asselot à 7h50, au lendemain de la décision du Conseil constitutionnel de censurer la réintroduction de l'acétamipride. - invités : Yannick Neuder - Yannick Neuder : Cardiologue et homme politique français Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Épisode 5 : Les familles parfaites n'existent qu'en photo !Est-ce que vous aussi, vous avez ce petit pincement quand vous scrollez sur Instagram ?Ces familles en vacances, tous souriants, tous bien coiffés, tous bronzés… On dirait que chez les autres, tout est simple, fluide, parfait.Mais la réalité est bien différente.C'est du sable dans les frites, des disputes pour une bouée, des compromis parfois ratés, un dos coincé ou une casquette qui cache des cheveux emmêlés.Dans cet épisode, je vous parle de ce décalage entre l'image et la vraie vie…Et de ce qui se cache parfois derrière les sourires figés des photos de vacances.Un épisode doux-amer, destiné à nous rappeler que l'essentiel est de faire de notre mieux !Et que c'est déjà beaucoup.
Cet été, le Service Ville d'art et d'histoire de Sélestat vous propose une programmation riche et variée pour découvrir la ville autrement ! Visites guidées, animations pour les familles, ateliers jeunes publics, il y en aura pour tous les goûts et tous les âges. À travers ruelles, bâtiments emblématiques et récits d'époque, plongez dans l'histoire fascinante de Sélestat. On en parle avec Nadège Cardot, historienne et chargée de la programmation de ce service.Retrouvez le programme complet sur le site internet selestat.fr. Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:13 - L'invité de "ici Maine" - A l'occasion du 81e anniversaire de la Libération du village de Saint-Jean-de-la-Motte, la commune rend hommage à Émile Coubard, maire de la commune pendant la Seconde Guerre mondiale. "Il a permis de protéger 29 familles juives", explique la responsable de la bibliothèque. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Thomas Schnell scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, l'impasse de Donald Trump à l'approche de la fin de son ultimatum à Vladimir Poutine, les familles d'influenceurs en vacances, une téléréalité 2.0 et la journée la plus courte de l'année. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:27 - quelques noms de familles Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Thomas Schnell scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, l'impasse de Donald Trump à l'approche de la fin de son ultimatum à Vladimir Poutine, les familles d'influenceurs en vacances, une téléréalité 2.0 et la journée la plus courte de l'année. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:43:35 - Questions du soir d'été - par : Mattéo Caranta - Situées à l'intersection des problématiques de genre, de justice sociale et d'aménagement du territoire, les familles monoparentales représentent une réalité à la fois courante et peu visible. Mais les villes sont-elles capables de répondre de manière adaptée à leurs besoins ? - réalisation : François Richer, Vivian Lecuivre - invités : Corinne Luxembourg Géographe; Monia Douadi présidente de l'Association des familles monoparentales; Hélène Périvier Economiste à l'OFCE Sciences Po, directrice du programme PRESAGE Programme de Recherche et d'Enseignement des Savoirs sur le Genre; Daniel Cornalba Maire sans étiquette de L'Etang la ville (Yvelines), coprésident du groupe de travail sur la petite enfance à l'Association des maires de France.
durée : 00:43:35 - Questions du soir d'été - par : Mattéo Caranta - Situées à l'intersection des problématiques de genre, de justice sociale et d'aménagement du territoire, les familles monoparentales représentent une réalité à la fois courante et peu visible. Mais les villes sont-elles capables de répondre de manière adaptée à leurs besoins ? - réalisation : François Richer, Vivian Lecuivre - invités : Corinne Luxembourg Géographe; Monia Douadi présidente de l'Association des familles monoparentales; Hélène Périvier Economiste à l'OFCE Sciences Po, directrice du programme PRESAGE Programme de Recherche et d'Enseignement des Savoirs sur le Genre; Daniel Cornalba Maire sans étiquette de L'Etang la ville (Yvelines), coprésident du groupe de travail sur la petite enfance à l'Association des maires de France.
Invité : - Yannick Neuder, Ministre auprès de la ministre du Travail, de la Santé, de la Solidarité et des Familles, chargé de la Santé et de l'Accès aux soins Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : - Yannick Neuder, Ministre auprès de la ministre du Travail, de la Santé, de la Solidarité et des Familles, chargé de la Santé et de l'Accès aux soins Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Un couvre-feu nocturne pour les mineurs de moins de 16 ans est entré en vigueur dans plusieurs villes moyennes face à la flambée de violence, avec des résultats mitigés selon les communes.La loi Duplomb, définitivement adoptée début juillet, continue de soulever de vives critiques, avec plus d'1,5 million de signatures contre le texte, bien que ses conséquences environnementales semblent moins importantes que dénoncé.La ministre des Familles se rend en Italie pour s'inspirer du plan de relance de la natalité, alors que la France et l'Italie font face à un déclin démographique préoccupant.Des pompiers volontaires venus de toute la France renforcent les équipes du Var pour lutter contre les feux de forêt, une expérience enrichissante pour ces soldats du feu.Le classement des mégalithes bretons au patrimoine mondial de l'UNESCO pourrait contraindre l'État à reculer sur le projet de parc éolien au large de Belle-Île-en-Mer.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Philippe Court, préfet du Val-D'Oise. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Martine partage son indignation face à la décision de certains enfants de placer leurs parents en maison de retraite pour des raisons d'héritage. Elle évoque son expérience professionnelle en maison de retraite, où elle a été témoin de la souffrance des personnes âgées abandonnées par leurs familles. Martine s'inquiète également de la possibilité que ses propres enfants puissent un jour agir de la même manière. Durant le mois de juillet, en direct, Cécilia Commo accueille les auditeurs pour 2h d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
[SÉRIE] Nos liens à l'argent. Marion Gestin Duchêne reçoit Vincent Grard, directeur France de la néo-banque Trade Republic. Pourquoi est-ce si difficile de parler d'argent en famille ? Comment mieux transmettre à nos enfants une relation saine, autonome et lucide à l'argent ? Tire-lire ou pas tire-lire ? Vincent Grard nous invite à réconcilier éducation, amour et finances, à lever les non-dits et à repenser nos échanges familiaux, générationnels et conjugaux autour de l'argent. Pour que celui-ci redevienne un pont entre les êtres, et non un motif de tension.Pendant 4 semaines, Marion Gestin Duchêne décrypte avec ses invités nos liens à l'argent : découvrez tous leurs conseils et recommandations pour déconstruire ce sujet tabou et entretenir une relation à l'argent plus apaisée.Quelques citations avec Vincent Grard : "L'argent, ce n'est pas une finalité, c'est un moyen, c'est du troc.""Je vois la finalité de la parentalité comme le fait de rendre tes enfants autonomes.""Ne ne pas vouloir parler d'argent, c'est se mettre en marge de la société."Thèmes abordés lors du podcast avec Vincent Grard : 00:00Introduction02:00Présentation invité03:12Pourquoi ce tabou de l'argent ?04:56Le modèle parental06:52La tirelire : obsolète ?10:34La gratification12:25Comment casser ses croyances limitantes ?13:52Hommes / femmes : rapport différent à l'argent ?15:19Parler d'argent : une activité à planifier17:50L'apprentissage de la frustration20:10Quand arrêter d'aider son enfant ?22:37Jeunes et retraite25:47Aborder sereinement la question de l'héritage30:01Les inégalités entre frères et soeurs32:42Les clés pour aborder vivre sereinement l'argent en famille35:01L'argent, un pont entre les personnes ?36:58Les réseaux sociaux : un nouvel espace de parole ?38:03Le rôle de l'école39:47Un outil pour lever le silenceÀ réécouter :Et si l'argent conditionnait aussi vos relations ? avec l'expert en finance Matthias Baccino Argent : être indépendante ! avec Héloïse Bolle, Fondatrice d'Oseille et compagnieSortir de la peur du manque et vivre l'abondance avec Christian JunodAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast Découvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreSuivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Deux enfants maximum, finies les familles nombreuses ! ; Polémique, Brossat veut interdire la Une du Figaro magazine. Dispute au volant, un couple sur trois n'y échappe pas !
Le Journal en français facile du vendredi 4 juillet 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/Boc4.A
Dans cet épisode en format takeaway du podcast Connected Mate, PPC répond à une question posée par l'un des abonnés à sa newsletter : « Peux-tu m'aider à classifier les différentes familles d'intelligence artificielle ? »Une question en apparence simple, mais en réalité essentielle. Car lorsqu'on parle d'intelligence artificielle, on évoque souvent des termes comme IA symbolique, algorithmes, machine learning, deep learning, LLM ou transformers… Un vocabulaire technique qui peut facilement nous perdre.PPC a donc pris le temps de construire une réponse claire et structurée, qu'il a d'abord partagée dans l'édition n°282 de sa newsletter 100% IAenrichie d'une infographie pour mieux visualiser l'ensemble.Dans cet épisode, cette explication prend une nouvelle forme : une version audio augmentée, incarnée par deux voix de radio du fameux NotebookLM de Google pour rendre ces notions plus accessibles, plus incarnées, et surtout, utiles.Car bien comprendre les différentes familles d'IA, ce n'est pas un luxe : c'est une forme d'autodéfense intellectuelle à l'heure où ces technologies influencent de plus en plus nos vies.
Quand les parents sont défaillants, la société a la responsabilité de s'occuper des enfants pour qu'ils grandissent dans de bonnes conditions matérielles, affectives, sociales. Si l'encadrement familial est privilégié, il arrive que des enfants soient retirés à leur famille pour être placés en institution ou dans des familles d'accueil pour un temps indéterminé. Commence alors une vie familiale particulière, des fratries provisoires, des liens intermédiaires entre parents d'accueil et enfants accueillis. Qui est apte à décider des compétences parentales? Comment les bébés, enfants ou jeunes trouvent-ils leur place au sein de leur nouvelle famille? Comment faire face aux défis particuliers de cette éducation déléguée par l'État, quand surviennent les difficultés induites par des parcours cabossés? Production : Raphaële Bouchet Réalisation : Rodolphe Bauchau Les invitées: Gaëlle Aeby Sociologue, professeure HES-SO Valais-Wallis, chercheuse associée à l'Institut de recherches sociologiques (Faculté des sciences de la société) et au Centre d'étude, de technique et d'évaluation législatives (Faculté de Droit) de l'Université de Genève. & Joëlle Droux Historienne, spécialiste en histoire de l'éducation à la Faculté de psychologie et des sciences de l'éducation de l'Université de Genève et spécialiste de l'histoire des politiques de protection de l'enfance au xxe siècle.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "Punchline", Thierry Cabannes et ses invités débattent de la parole des familles dees victimes qui se libère. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour devenir famille d'accueil, il ne suffit pas d'avoir un grand cœur. Il faut répondre à un certain nombre de conditions et traverser les étapes d'une évaluation serrée. Sensibilité religieuse, valeurs, mode de vie: comment l'institution décide-t-elle qui sont les "bons parents"? Une vingtaine de personnes intéressées se pressent à la séance d'information de la Direction générale de l'enfance et de la jeunesse (DGEJ), alors que de son côté, une famille témoigne des liens tissés depuis quatre ans avec leur "presque" fille. Reportages : Raphaële Bouchet Réalisation : David Golan Production : Laurence Difélix
Quand l'enfant d'accueil arrive, c'est toute la famille qui est chamboulée. Loin du rêve d'une parentalité heureuse, le travail des familles d'accueil s'avère parfois un casse-tête. Comment gérer le passé traumatique des enfants qui prennent leur place dans la famille? Dans le canton de Vaud, les familles reçoivent une formation à la Haute école de travail social (HETS). Mais elles sont nombreuses à rêver d'un suivi plus rapproché, comme le propose le canton de Berne via l'Association prima-familia. Reportages : Raphaële Bouchet Réalisation : David Golan Production : Laurence Difélix
Les parents d'accueil ne sont pas des parents. Ils remplissent une mission éducative et soignante pour des enfants placés chez eux, en complément des familles biologiques et des institutions. Cette mission est provisoire, même si elle peut durer de nombreuses années. Comment vivre avec l'idée de la fin? Car dès la majorité de l'enfant, la famille d'accueil est déchargée de son mandat. Que deviennent alors les jeunes adultes? Et quels liens se tissent sur le long terme? Reportages : Raphaële Bouchet Réalisation : David Golan Production : Laurence Difélix
Maltraitances, dépendances, maladies psychiques ou conflits parentaux graves sont des raisons pour la justice de paix de retirer les enfants à leur famille et de les placer. Une décision judiciaire qui retire aux parents leur droit de garde et, parfois, leur autorité parentale. Camille (prénom d'emprunt) s'est vu retirer son fils il y a un an et demi et se bat pour qu'il revienne vivre avec elle. Reportages : Raphaële Bouchet Réalisation : David Golan Production : Laurence Difélix
Entre la fin du XIXe siècle et jusqu'en 1981, environ 100 000 enfants ont été placés dans des familles d'accueil ou en institution, sans aucun contrôle. Ces enfants de familles pauvres étaient des orphelins, abandonnés ou simplement des filles et fils enlevés à leurs parents jugés inadéquats, et placés de force. Pour les maltraitances, les humiliations, les violences et les abus sexuels commis sur nombre d'entre eux, la Confédération s'est excusée au mois d'avril 2013. Mais ces excuses sont-elles suffisantes pour effacer des enfances volées? (Rediffusion d'extraits des reportages de Marc Giouse et Véronique Marti "Les excuses du canton de Fribourg" du 23 janvier 2013 et "En attendant le 11 avril 2013" du vendredi 25 janvier 2013). Reportages : Raphaële Bouchet Réalisation : David Golan Production : Laurence Difélix
Aujourd'hui, Didier Giraud, Barbara Lefebvre et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Au Venezuela, bien des familles de migrants sont en colère et se mobilisent ! Leurs proches font partie de ces dizaines d'hommes et de femmes (un chiffre de 252 circule) qui avait demandé l'asile aux États-Unis, et que le président américain a fait interner dans une prison de haute sécurité au Salvador. Un petit arrangement entre chefs d'États. Donald Trump les soupçonnait de faire partie d'une organisation criminelle de renom. Mi-mars 2025, sans jugement, le transfert a eu lieu sous les critiques des défenseurs des droits de l'homme. Les familles souvent modestes, démentent l'appartenance des leurs à des gangs, et se retrouvent prises dans la tourmente diplomatique, entre le très médiatique salvadorien Bukélé, le polémique américain Trump, et le controversé vénézuélien Maduro. «Migrants vénézuéliens emprisonnés au Salvador : les familles s'insurgent», un Grand reportage d'Alice Campaignolle.
C dans l'air l'invitée du 4 juin 2025 avec Laurence Rossignol, sénatrice PS du Val-de-Marne, ancienne ministre des Familles, de l'Enfance et des Droits des femmes. Elle est la co-autrice d'un rapport sénatorial sur l'industrie du porno. Aujourd'hui, Aylo, maison mère des sites pornographiques Youporn, Pornhub et Redtube, doit suspendre l'accès aux contenus de ses plateformes en France afin de protester contre l'obligation de vérification de l'âge des utilisateurs. L'obligation de vérification de la majorité de leurs utilisateurs s'applique depuis mars à tous les sites pornographiques en France, et ceux établis dans et hors de l'Union européenne. Ils doivent exiger l'envoi d'une photo ou d'un document d'identité par exemple, en proposant au moins une méthode respectant le principe de double anonymat qui permet de prouver sa majorité sans divulguer son identité. Aylo défend de son côté une vérification de l'âge au niveau des appareils et de leur système d'exploitation. "Pornhub, YouPorn et Redtube refusent de se conformer à notre cadre légal et décident de partir. Tant mieux ! Il y aura moins de contenus violents, dégradants, humiliants accessibles aux mineurs en France. Au revoir", a commenté de son côté Aurore Bergé, ministre en charge de l'Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations, sur le réseau social X. Laurence Rossignol, sénatrice et co-autrice d'un rapport sur l'industrie du porno, réagira à la fermeture d'accès aux contenus décidée par les plateformes. Elle reviendra également avec nous sur les ravages de la pornographie, en particulier chez les mineurs. Dès 12 ans, plus de la moitié des garçons se rendent en moyenne chaque mois sur les sites pornographiques et ils sont près des deux tiers à les consulter entre 16 et 17 ans, selon une étude de l'Arcom.
Le Journal en français facile du vendredi 31 mai 2025, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BiX4.A