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Au Venezuela, bien des familles de migrants sont en colère et se mobilisent ! Leurs proches font partie de ces dizaines d'hommes et de femmes (un chiffre de 252 circule) qui avait demandé l'asile aux États-Unis, et que le président américain a fait interner dans une prison de haute sécurité au Salvador. Un petit arrangement entre chefs d'États. Donald Trump les soupçonnait de faire partie d'une organisation criminelle de renom. Mi-mars 2025, sans jugement, le transfert a eu lieu sous les critiques des défenseurs des droits de l'homme. Les familles souvent modestes, démentent l'appartenance des leurs à des gangs, et se retrouvent prises dans la tourmente diplomatique, entre le très médiatique salvadorien Bukélé, le polémique américain Trump, et le controversé vénézuélien Maduro. «Migrants vénézuéliens emprisonnés au Salvador : les familles s'insurgent», un Grand reportage d'Alice Campaignolle.
durée : 00:02:33 - Noms de familles, calvez ou toer
Tu sais ce que je kiffe le plus ? ✨C'est quand un outil que j'utilise vraiment devient partenaire du podcast.Pas un truc plaqué. Un vrai partenaire de cœur ❤️ Et là je te parle de Brevo.(Spoiler : c'est l'outil qui m'a fait aimer l'emailing.
Catherine Vautrin, ministre du Travail, de la Santé, des Solidarités et des Familles, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet de de cette surveillante scolaire poignardée par un adolescent de 14 ans qui n'a exprimé ni regret ni compassion, de l'interdiction des réseaux sociaux pour les moins de 15 ans, de la santé mentale des jeunes, du délabrement de la médecine scolaire, du complément de libre choix du mode de garde qui permet de financer une partie des dépenses liées à la garde d'un enfant de moins de six ans et de la mobilisation des taxis qui reprend. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Figure incontournable de Familles nombreuses : la vie en XXL, Souad Romero se confie avec émotion sur son parcours, sa famille, son métier, et les valeurs qui l'ont façonnée dans le podcast Parents d'abord de Télé-Loisirs présenté par Julie LEMIÈRE. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
C dans l'air l'invitée du 4 juin 2025 avec Laurence Rossignol, sénatrice PS du Val-de-Marne, ancienne ministre des Familles, de l'Enfance et des Droits des femmes. Elle est la co-autrice d'un rapport sénatorial sur l'industrie du porno. Aujourd'hui, Aylo, maison mère des sites pornographiques Youporn, Pornhub et Redtube, doit suspendre l'accès aux contenus de ses plateformes en France afin de protester contre l'obligation de vérification de l'âge des utilisateurs. L'obligation de vérification de la majorité de leurs utilisateurs s'applique depuis mars à tous les sites pornographiques en France, et ceux établis dans et hors de l'Union européenne. Ils doivent exiger l'envoi d'une photo ou d'un document d'identité par exemple, en proposant au moins une méthode respectant le principe de double anonymat qui permet de prouver sa majorité sans divulguer son identité. Aylo défend de son côté une vérification de l'âge au niveau des appareils et de leur système d'exploitation. "Pornhub, YouPorn et Redtube refusent de se conformer à notre cadre légal et décident de partir. Tant mieux ! Il y aura moins de contenus violents, dégradants, humiliants accessibles aux mineurs en France. Au revoir", a commenté de son côté Aurore Bergé, ministre en charge de l'Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations, sur le réseau social X. Laurence Rossignol, sénatrice et co-autrice d'un rapport sur l'industrie du porno, réagira à la fermeture d'accès aux contenus décidée par les plateformes. Elle reviendra également avec nous sur les ravages de la pornographie, en particulier chez les mineurs. Dès 12 ans, plus de la moitié des garçons se rendent en moyenne chaque mois sur les sites pornographiques et ils sont près des deux tiers à les consulter entre 16 et 17 ans, selon une étude de l'Arcom.
durée : 00:01:58 - Le grand format - Les troubles des conduites alimentaires concernent près d'un million de personnes en France et c'est la deuxième cause de mortalité chez les 15-24 ans. Depuis quelques années, les pratiques thérapeutiques évoluent, permettant aux familles de devenir des acteurs clés du rétablissement des enfants.
Tous les matins, à 6H10 et 8H40, c'est les Sondages du matin.
La famille est une institution tant sociale que juridique. Mais que regroupe réellement cette notion ? En l'absence de définition légale, René Savatier l'imaginait comme une entité à part entière, une presque personne. De manière large, elle peut se définir comme un groupe de personnes unies par des rapports de parenté ou d'alliance. Ainsi présentée, la famille est une notion plurimillénaire qui a profondément évolué au cours des siècles. Longtemps exclusivement fondée sur le mariage et l'autorité du mari, elle est désormais protéiforme, plus indéfinie que jamais, de sorte que l'on doit lui adjoindre un qualificatif pour arriver à l'identifier : elle est dire alors biologique, adoptive, monoparentale, homoparentale, recomposée, etc. L'une d'elles nous intéresse plus particulièrement dans le présent podcast : elles sont de plus en plus nombreuses, "elles", ce sont les familles monoparentales, qui représentent un quart des familles en France et dont on trouve à la tête, dans une très large majorité, plus de 80%, une femme. Ces familles semblent pourtant souvent confrontées à des inégalités persistantes et à un cadre législatif qui ne reconnaît pas leur spécificité. Comment faire face aux difficultés économiques, à l'isolement et aux inégalités ? Comment la société doit-elle prendre en compte ce choix aussi, de faire famille avec un seul parent ? Pour répondre à ces questions, nous avons le plaisir d'accueillir deux acteurs engagés sur ce sujet : Angélique Gasmi, présidente exécutive du fonds de dotation Femmes & Avenir, et Frédéric Visnovsky, que nous avons déjà eu le plaisir de recevoir dans nos podcasts dans le cadre de ses fonctions à la Banque de France et qui est aussi un acteur engagé comme membre du comité de direction de fonds.
Familles d'accueil : « Foster parent ne veut rien dire pour moi. Ce sont mes enfants, je suis leur maman », témoigne Marjorie Allery by TOPFM MAURITIUS
TW WS Le ministère de l'Égalité des Genres et du Bien-Être de la Famille organise pour la première fois à Maurice le World Foster Day, ce samedi 31 mai 2025. À travers cette journée, le ministère souhaite sensibiliser le public à l'importance des familles d'accueil pour l'épanouissement des enfants. Le public est invité à participer à une série d'activités à la municipalité de Port-Louis. Parmi les temps forts de la journée figure une table ronde prévue à 11 h et animée par la ministre de l'Égalité des Genres et du Bien-Être de la Famille, Arianne Navarre Marie. La Junior Minister Anishta Babooram et Jean-Luc Emile, Senior Adviser au ministère, seront modérateurs. Des témoignages de familles d'accueil viendront enrichir ces échanges. Plusieurs autres activités sont également prévues, précise Jhoree Rattan, Child Welfare Officer au ministère.
Le Journal en français facile du vendredi 31 mai 2025, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BiX4.A
Maurice célébrera pour la 1ère fois la Journée mondiale des familles d'accueil ce samedi 31 mai by TOPFM MAURITIUS
Journée portes ouvertes ce samedi pour sensibiliser au rôle des familles d'accueil by TOPFM MAURITIUS
Bienvenue dans la première partie de cet épisode ! Je reçois Charlotte Parmentier-Lecocq, Ministre déléguée chargée de l'Autonomie et du Handicap auprès de la Ministre du Travail, de la Santé, de la Solidarité et des Familles. Ensemble, nous parlons d'inclusion, de solidarité, et de dignité, à travers le prisme de ceux que la société a longtemps relégués au second plan : les personnes en situation de handicap et les personnes âgées. Vingt ans après la loi fondatrice de 2005, il est temps de faire le point sur les avancées, mais aussi sur les défis qui restent à relever. Notre échange aborde autant les grandes réformes que les petits gestes qui changent la vie, avec toujours le même fil rouge : remettre l'humain au centre. Cet épisode est aussi l'occasion de comprendre comment les politiques publiques peuvent être pensées avec et pour les premiers concernés. Un dialogue engagé, lucide et porteur d'espoir.Thèmes abordés dans cet épisodeLes premiers constats de la ministre à son arrivée et ses motivations personnellesLe remboursement intégral des fauteuils roulants et la simplification des démarches MDPHLe bilan de la loi de 2005 et les adaptations nécessairesL'accessibilité universelle, l'inclusion scolaire et l'emploiLe vieillissement de la population, le maintien à domicile et le SPDALa représentation des personnes handicapées et la co-construction des politiques publiquesCheminements, c'est le podcast santé des femmes qui parlent de leur santé mentale, physique, et émotionnelle, sans honte, sans filtre et sans tabou. Chaque épisode, diffusé un lundi sur deux, vous plonge dans des récits authentiques et bouleversants.En ouvrant le dictionnaire, on apprend que "cheminement" désigne une progression graduelle, un mouvement, une avancée. Dans ce podcast, le cheminement est celui des femmes : leurs luttes, leurs victoires et leurs transformations face aux défis de la vie et de la santé.Dans Cheminements, le micro est tendu à des femmes du quotidien : vos voisines, collègues, soeurs ou amies. Elles témoignent de leur santé mentale, physique ou sociale, partagent leurs parcours uniques et osent enfin lever le voile sur des sujets trop souvent passés sous silence.Ce podcast santé donne la parole à celles qui méritent d'être entendues. Chaque histoire, portée avec sincérité, met en lumière des réalités humaines, parfois douloureuses, mais toujours humaines.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Cinq personnes issues de familles passées par le camp harki de Rivesaltes ont déposé plainte après le déplacement des dépouilles de leurs proches enterrés sur place à l'époque – qu'elles ne pourront probablement jamais récupérer, ni même identifier. Une première plainte avait été déposée en février. Un article de Prisca Borrel publié jeudi 22 mai 2025, lu par Christine Pâris. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au Mexique, où plus de 120 000 personnes sont aujourd'hui portées disparues, la découverte d'un camp d'extermination tenu par un cartel a remis le sujet des disparitions forcées au centre des débats. Les familles accusent l'État mexicain d'inaction et sortent chercher elles-mêmes les restes de leurs proches disparus. De notre correspondante à Mexico, Machette et pioche en main, une trentaine de bénévoles s'alignent à l'entrée de l'Ajusco, une forêt de pins au sud de Mexico City. « On va commencer cette journée de recherche en invoquant la divinité chercheuse, qui marche à nos côtés. Que la lumière de ceux que nous cherchons illumine le chemin jusqu'à ce que nous les trouvions et nous les ramenions à la maison. »Parmi eux, Esteban Gallardo est vêtu d'un tee-shirt sur lequel est floquée une photo de sa sœur Pamela, disparue à l'âge de 23 ans. « Aujourd'hui, on fait une nouvelle journée de recherche afin de comprendre ce qu'il s'est passé, trouver un indice. Elle a disparu il y a sept ans justement ici dans l'Ajusco et nous n'avions pas encore eu l'opportunité de chercher dans cette zone précise de l'Ajusco. »À ses côtés, sa cousine donne les dernières directives aux bénévoles : « On va chercher des ossements. Si vous trouvez des vêtements, des bouteilles d'alcool vides... concentrez-vous sur cet endroit, car c'est probablement là où ils sont restés un moment et où ils ont pu tuer. »Les recherches vont durer quatre jours. La famille de Pamela accompagnée de bénévoles, de pompiers et d'anthropologues vont passer cette partie de la forêt au peigne fin. Cette fois, des membres du parquet spécialisé contre les disparitions forcées se sont joints à eux, mais Esteban Gallardo comme les autres familles de disparus ne leur font plus confiance : « Au-delà de me sentir abandonné et invisible, je me sens frustré. Ça me frustre de savoir que le parquet aurait pu déjà retrouver ma sœur et d'autres personnes avec toutes les informations et tous les éléments que les familles elles-mêmes trouvent et leur donne. »À quelques mètres de là, l'un des bénévoles met la main sur un os. L'anthropologue s'approche : « C'est animal. On le voit à l'épaisseur, c'est un os animal. »Plus de 120 000 personnes portées disparuesFausse alerte, les recherches continuent, il ne faut oublier aucun recoin du secteur désigné aujourd'hui, car demain, ce sera une autre zone de cette forêt de 1 000 hectares qui sera fouillée. Une quête sans fin qu'Esteban continue au prix de nombreux sacrifices : « Même si on a un travail, des activités, une vie… quand ces sessions de recherche s'organisent, on arrête tout pour venir. Avoir le moindre indice sur elle, savoir dans quelles conditions elle se trouve, ça nous permettrait d'avancer vers un possible deuil. Mais ne pas savoir ce qui lui est arrivé conditionne toutes nos actions, que ce soit dans la vie personnelle, familiale ou sociale. »Une situation ambiguë que vivent les familles des plus de 120 000 personnes portées disparues au Mexique à ce jour. Après la découverte d'un camp d'extermination dans l'ouest du pays, Claudia Sheinbaum a annoncé plusieurs mesures pour lutter contre les disparitions forcées, toutes jugées déjà existantes ou inutiles par les familles.À lire aussiMexique: découverte d'une fosse clandestine dans un ranch, l'enquête passe sous contrôle fédéral
durée : 00:07:56 - Info médias - Après de graves ennuis de santé, l'animateur de 82 ans revient le 13 juin en prime time sur France 3 avec "Familles, je vous aime", une émission dans laquelle il reçoit des artistes et leurs proches.
Au Mexique, où plus de 120 000 personnes sont aujourd'hui portées disparues, la découverte d'un camp d'extermination tenu par un cartel a remis le sujet des disparitions forcées au centre des débats. Les familles accusent l'État mexicain d'inaction et sortent chercher elles-mêmes les restes de leurs proches disparus. De notre correspondante à Mexico, Machette et pioche en main, une trentaine de bénévoles s'alignent à l'entrée de l'Ajusco, une forêt de pins au sud de Mexico City. « On va commencer cette journée de recherche en invoquant la divinité chercheuse, qui marche à nos côtés. Que la lumière de ceux que nous cherchons illumine le chemin jusqu'à ce que nous les trouvions et nous les ramenions à la maison. »Parmi eux, Esteban Gallardo est vêtu d'un tee-shirt sur lequel est floquée une photo de sa sœur Pamela, disparue à l'âge de 23 ans. « Aujourd'hui, on fait une nouvelle journée de recherche afin de comprendre ce qu'il s'est passé, trouver un indice. Elle a disparu il y a sept ans justement ici dans l'Ajusco et nous n'avions pas encore eu l'opportunité de chercher dans cette zone précise de l'Ajusco. »À ses côtés, sa cousine donne les dernières directives aux bénévoles : « On va chercher des ossements. Si vous trouvez des vêtements, des bouteilles d'alcool vides... concentrez-vous sur cet endroit, car c'est probablement là où ils sont restés un moment et où ils ont pu tuer. »Les recherches vont durer quatre jours. La famille de Pamela accompagnée de bénévoles, de pompiers et d'anthropologues vont passer cette partie de la forêt au peigne fin. Cette fois, des membres du parquet spécialisé contre les disparitions forcées se sont joints à eux, mais Esteban Gallardo comme les autres familles de disparus ne leur font plus confiance : « Au-delà de me sentir abandonné et invisible, je me sens frustré. Ça me frustre de savoir que le parquet aurait pu déjà retrouver ma sœur et d'autres personnes avec toutes les informations et tous les éléments que les familles elles-mêmes trouvent et leur donne. »À quelques mètres de là, l'un des bénévoles met la main sur un os. L'anthropologue s'approche : « C'est animal. On le voit à l'épaisseur, c'est un os animal. »Plus de 120 000 personnes portées disparuesFausse alerte, les recherches continuent, il ne faut oublier aucun recoin du secteur désigné aujourd'hui, car demain, ce sera une autre zone de cette forêt de 1 000 hectares qui sera fouillée. Une quête sans fin qu'Esteban continue au prix de nombreux sacrifices : « Même si on a un travail, des activités, une vie… quand ces sessions de recherche s'organisent, on arrête tout pour venir. Avoir le moindre indice sur elle, savoir dans quelles conditions elle se trouve, ça nous permettrait d'avancer vers un possible deuil. Mais ne pas savoir ce qui lui est arrivé conditionne toutes nos actions, que ce soit dans la vie personnelle, familiale ou sociale. »Une situation ambiguë que vivent les familles des plus de 120 000 personnes portées disparues au Mexique à ce jour. Après la découverte d'un camp d'extermination dans l'ouest du pays, Claudia Sheinbaum a annoncé plusieurs mesures pour lutter contre les disparitions forcées, toutes jugées déjà existantes ou inutiles par les familles.À lire aussiMexique: découverte d'une fosse clandestine dans un ranch, l'enquête passe sous contrôle fédéral
durée : 00:03:43 - Des familles à la rue à Toulouse après la fermeture d'un centre d'hébergement - Une douzaine de familles avec des enfants se retrouvent à la rue à Toulouse après la fermeture d'un centre d'hébergement d'urgence quartier Patte d'oie. Plusieurs ont manifesté mercredi 21 mai 2025 pour demander des solutions.
Le déficit des hôpitaux publics, le témoignage d'un hacker… Rattrapez l'actualité économique du jour avec notre podcast 120 secondes. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Dans ce podcast de Familles ça fourmille, nos invitées abordent la question des violences intrafamiliales. En explorant les différentes formes…
En Côte d'Ivoire, c'est la polémique qui enfle : la présidente du Sénat, Kandia Camara, a annoncé la signature d'une convention qui permet aux fonctionnaires de cinq institutions d'avoir accès pour eux et leurs familles à des tarifs préférentiels avec la compagnie aérienne Corsair pour leurs voyages privés et professionnels, ainsi qu'avec le luxueux Hôpital américain de Paris. "Un partenariat honteux", a dénoncé de manière unanime l'opposition.
Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:58:16 - Le Grand Reportage - par : Aurélie Kieffer - Selon les chiffres de la Sécurité sociale, en 2023, 759 personnes sont mortes au travail. Les familles et les proches doivent alors faire face à la violence d'un décès sans aide ou dispositif spécifique pour les accompagner dans cette épreuve juridique, financière et avant tout humaine. - réalisation : Annie Brault
Depuis les débuts de l'agriculture et de l'élevage, il y a 11.000 ans, depuis ce passage des chasseurs-cueilleurs aux agro-pasteurs, l'humain a cessé de vivre AVEC ou dans le Vivant, la Nature, mais CONTRE.Conscient des ravages perpétrés contre la biodiversité, de la 6e extinction de masse, inédite par sa vitesse et son accélération, certains Homo sapiens essaient de cultiver autrement, durablement. C'est la permaculture et l'agroforesterie par exemple. Dans ces façons de nous nourrir et de cultiver respectueuses du Vivant, les pesticides et la chimie destructrice, y compris pour nous, sont remplacés par des AUXILIAIRES de culture. Des êtres vivants qui nous aident à réguler les ravageurs de cultures.AVEC plutôt que CONTRE. ENTRAIDE plutôt que COMPÉTITION.Certains de ces auxiliaires, comme la célèbre Coccinelle, sont des prédateurs et des régulateurs d'autres êtres vivants. D'autres sont des pollinisateurs. Et pas seulement les Papillons et les Abeilles, mais beaucoup d'autres, comme des Mouches, des Syrphes voire des Oiseaux ou des Chauves-souris nectarivores. Enfin, certains, comme les Vers de terre, aèrent les sols et contribuent à les maintenir vivants et productifs.Notre invité est Hugues Mouret, un des fondateurs et dirigeants de l'association Arthropologia, une copine de notre propre asso Baleine sous Gravillon. _______
Bienvenue sur la Radio Circulab (ex Activer l'Economie Circulaire) Cette semaine, Justine vous partage le parcours d'Elisabeth et Nicolas Soubelet, un couple franco-américain qui a décidé de faire de l'impact positif leur moteur de vie et d'entreprise. Après des carrières variées – l'un ingénieur dans l'automobile, l'autre sage-femme – et une expérience de vie en Turquie qui a bouleversé leur rapport à la consommation et aux déchets, ils se sont lancés dans l'aventure entrepreneuriale il y a 12 ans avec Ma Bonne Étoile !Leur mission ? Aider les familles à réduire leurs déchets simplement à la maison. Tout a commencé avec un constat face aux poubelles familiales, débordantes de gourdes de compote à usage unique. Ils ont alors eu l'idée de créer la gourde à compote réemployable Squiz, un produit pratique conçu pour être ouvert, rempli, lavé et réutilisé encore et encore. Ils insistent sur le concept de réemploi, où le produit est pensé dès le départ pour un usage répété, privilégiant une production locale et des matériaux durables autant que possible.Au-delà de la gourde Squiz, qui s'est vendue à plus de 2 millions d'exemplaires et est restée leur produit phare pendant 8 ans, l'aventure s'est enrichie avec le développement de nouveaux contenants et accessoires bébé sous la marque Squiz, et la création de la marque FillGood pour des produits zéro déchet comme des lunchbox et gourdes en verre fabriquées en France, ainsi que des sacs à vrac.Ont-ils rencontré des embûches ? Oui naturellement !Pourquoi et comment ont-ils repensé leur modèle et même réduit la voilure ? Pourquoi et comment se sont-ils diversifiés, notamment vers le marché B2B des cadeaux d'entreprise et objets promotionnels ?Quelle est leur stratégie de communication unique pour convaincre les consommateurs ?Quel est le vrai problème entre l'usage unique et le matériau ?Parallèlement, ils ont développé une seconde activité avec 5 Étoiles Consulting, où ils agissent comme mentors, partageant leur expérience d'entrepreneurs à impact pour aider d'autres structures, notamment celles de l'Économie Sociale et Solidaire (ESS), à devenir plus responsables et respectueuses.Cet épisode est bien plus qu'un simple récit d'entreprise. Il est riche en apprentissages pratiques, en réflexions profondes sur l'économie circulaire et l'impact, et en moments d'émotion sincère...Pour aller plus loin : Baladez-vous sur notre site internet (tout neuf) ; Téléchargez nos outils sur la Circulab Academy ; Inscrivez-vous à notre newsletter ; Envoyez-nous vos retours ou suggestions sur Linkedin : Justine Laurent et Brieuc Saffré. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, il ne sera pas question de couche lavables et de petits gestes pour réduire les déchets à la maison. Les familles que Charlotte Meyer a rencontrées pour son enquête publiée dans le livre « Les enfants de l'apocalypse » aux éditions Tana, vivent dans des cabanes en bois ou des yourtes en paille, en Corrèze ou dans la forêt de Brocéliande, en autosuffisance, se soignent avec les plantes, et consacrent une majeure partie de leur temps à l'instruction de leurs enfants, par l'expérience, la découverte et la connaissance de la nature. Plutôt que de leur transmettre l'éco anxiété qui nous mine, c'est une démarche d'éco-optimisme qu'ils engagent en engageant toute leur famille à faire autrement voire à désobéir…Charlotte Meyer a rencontré ces mères et ces pères qui refusent la société de consommation, et pour qui faire des enfants est le meilleur moyen d'élever une génération capable de sauver la planète. Dans cet essai, on découvre ces familles discrètes dans leur rébellion, pour qui désobéir, c'est résister et avancer.Mères, un podcast produit par Les Louves. Partagez avec nous votre commentaire avec 5 étoiles sur votre appli podcast : votre avis aide le podcast à remonter dans le classement, à vivre et à s'enrichir de nouveaux épisodes.Pour proposer un sujet ou un témoignage, écrivez à Marine sur contact@leslouves.com.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis plusieurs décennies, la famille connaît de grandes mutations. Elles se forment, se séparent puis se reforment autrement. En France, 10 % des mineurs vivent dans une famille dite “recomposée”, selon l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). C'est à dire une famille dont au moins l'un des adultes a déjà un enfant d'une relation précédente. Si les cas de figurent sont multiples, la famille “recomposée” n'a aujourd'hui plus rien d'exceptionnel. La démarche n‘en est pas moins ardue. Il faut en effet faire le deuil de sa relation précédente, accueillir un nouvel amour, négocier avec son ex-conjoint, parfois devenir belle-mère ou beau-père, sans compter les complications de planning, d'espaces, de différences d'éducation, ...Tout n'est pas que contraintes bien sûr. Alors quelles sont les réalités des familles recomposées ? Avec :• Gloria Repond, docteure en psychologie. Autrice de Familles recomposées, du conte de fées à la réalité (Favre, 2025) • Marie-Luce Lovane, fondatrice du Club des marâtres En fin d'émission, la chronique Ecouter le monde de Monica Fantini Programmation musicale :► Epuikoiencore - Dani Bumba► In My Bed - CKay
Depuis plusieurs décennies, la famille connaît de grandes mutations. Elles se forment, se séparent puis se reforment autrement. En France, 10 % des mineurs vivent dans une famille dite « recomposée », selon l'institut national de la statistique et des études économiques (Insee). C'est-à-dire une famille dont au moins l'un des adultes a déjà un enfant d'une relation précédente. Si les cas de figure sont multiples, la famille « recomposée » n'a aujourd'hui plus rien d'exceptionnel. La démarche n'en est pas moins ardue. Il faut en effet faire le deuil de sa relation précédente, accueillir un nouvel amour, négocier avec son ex-conjoint, parfois devenir belle-mère ou beau-père, sans compter les complications de planning, d'espaces, de différences d'éducation... Tout n'est pas que contraintes bien sûr. Alors quelles sont les réalités des familles recomposées ? Avec : Gloria Repond, docteure en psychologie. Autrice de Familles recomposées, du conte de fées à la réalité (Favre, 2025) Marie-Luce Lovane, fondatrice du Club des marâtresEn fin d'émission, la chronique Écouter le monde de Monica Fantini.Programmation musicale :► Epuikoiencore - Dani Bumba► In My Bed - CKay
durée : 00:58:21 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - L'historienne Emma Rothschild suit le destin d'une famille "ordinaire" sur plus d'un siècle. De 1764 aux années 1900, la famille de Marie Aymard accompagne les soubresauts économiques et politiques du temps. D'Angoulême à Tahiti, la famille forme un tissu de relations sociales à travers le monde. - réalisation : Cassandre Puel - invités : Emma Rothschild Professeure d'histoire, titulaire de la chaire Jeremy and Jane Knowles à Harvard aux États-Unis
Tous les matins à 7h20, les petits secrets de l'actualité, les infos que vous n'avez pas vues ailleurs. Les journalistes des rédactions de RMC et RMC Sports se mobilisent pour vous raconter les coulisses de l'actualité.
durée : 00:58:40 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Les Payan et les Jullien sont deux familles drômoises prises dans la tourmente de la Révolution française. Comment un événement politique d'une telle magnitude traverse-t-il une famille ? À quelles dissensions, divisions, solidarités et entraides donne-t-il lieu ? - réalisation : Anna Holveck - invités : Annie Duprat Historienne, professeure émérite d'histoire moderne à l'Université de Cergy-Pontoise; Nicolas Soulas Docteur en histoire moderne, chercheur associé au LARHRA et chargé de cours dans les Universités de Nîmes et d'Avignon
durée : 00:58:43 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Les Bourbons ne sont ni les premiers ni les derniers souverains à fréquenter des maîtresses ou engendrer des bâtards. En revanche, d'Henri IV à Louis XVI, ces amantes et enfants illégitimes constituent, par glissements successifs, une famille parallèle à l'influence et aux pouvoirs accrus. - réalisation : Cassandre Puel - invités : Flavie Leroux Historienne et chercheuse au Centre de recherche du château de Versailles
Note aux auditeurs et auditrices : cet épisode a été diffusé pour la première fois le vendredi 4 octobre 2024"T'as déjà préparé une vinaigrette?" : un économe à la main, Sidy, 17 ans, fait non de la tête. Arrivé en France sans ses parents, le jeune guinéen est accueilli, le temps d'un week-end dans une famille bretonne. Recevoir des mineurs migrants isolés pendant des vacances ou le temps d'un week-end, c'est ce que proposent des familles de l'ouest de la France, grâce à un dispositif appelé “Familles solidaires”. Le but est de permettre aux mineurs non accompagnés de découvrir la vie à la française et de construire une relation privilégiée avec une famille.Sur le Fil vous emmène sur les pas d'Anaïs Llobet, journaliste au bureau de l'AFP à Rennes. Elle a partagé des moments de vie avec Sidy et sa famille bretonne, Alicia, Frédéric et leur fille Ana, 10 ans.Réalisation : Maxime MametLien pour l'initiative Familles solidaires : https://www.ille-et-vilaine.fr/familles-solidairesSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP.Vous avez d'autres commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45.Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Trois décennies après, les guerres des années 90 continuent d'alimenter les tensions politiques dans les Balkans, en Bosnie-Herzégovine, et au Kosovo où la question des disparus oppose Belgrade et Pristina. Les disparus du Kosovo Depuis février 2022 et le retour de la guerre en Europe, la crainte d'une déstabilisation de certains territoires ou de la reprise de conflits gelés inquiète régulièrement experts et ambassades, notamment dans les Balkans. La question des 1.600 disparus est au cœur du bras de fer qui oppose la Serbie et son ancienne province majoritairement peuplée d'Albanais, le Kosovo. Belgrade et Pristina s'accusent mutuellement de ne pas donner accès aux archives et à l'ensemble des fosses communes. Pendant ce temps, les familles, elles, attendent toujours. Reportage à Gjakova, Louis Seiller. En un mot : cinquième colonneUne autre région d'Europe est en alerte face à la Russie et plus encore depuis le retour de Donald Trump au pouvoir à Washington, ce sont les Pays Baltes. En témoigne par exemple, en Lituanie, le retour dans le débat de l'expression « cinquième colonne », qui évoque un climat de suspicion déjà vu. C'est la chronique En un mot de cette semaine, avec les explications de notre correspondante à Vilnius, Marielle Vitureau. L'extrême droite confirmera-t-elle sa poussée en Roumanie ? Le scrutin présidentiel approche, il aura lieu le 4 mai - dans un climat tendu. Depuis l'annulation spectaculaire du premier tour en décembre 2024, la démocratie roumaine vit une période agitée. La tension s'est encore accrue après le rejet de la candidature du favori Calin Georgescu. Cette figure de l'extrême-droite, qui avait émergé l'an dernier, ne sera pas dans la course, en raison d'irrégularités et de soupçons d'ingérence russe a jugé la Cour constitutionnelle. Ce n'est pas du goût d'une assez grande partie de la population, les manifestations houleuses qui ont suivi l'ont montré. La percée de l'extrême droite, qui a surpris à l'automne, pourrait se confirmer. Elle a déjà commencé à marquer la société. Reportage de Benjamin Ribout à Bucarest. Le deuil des catholiques latino-américains de MadridLe décès du pape François a sonné comme un coup de tonnerre ce lundi 21 avril en Espagne. Dans ce grand pays catholique, le gouvernement a déclaré 3 jours de deuil national, et le Real Madrid a observé une minute de silence. Même si le pape argentin n'était pas apprécié partout de la même manière, l'émotion est palpable. Et tout spécialement dans la communauté latino-américaine, très présente dans le pays, venue en particulier du Venezuela, de Colombie et d'Équateur. Reportage à Madrid, François Musseau.
Trois décennies après, les guerres des années 90 continuent d'alimenter les tensions politiques dans les Balkans, en Bosnie-Herzégovine, et au Kosovo où la question des disparus oppose Belgrade et Pristina. Les disparus du Kosovo Depuis février 2022 et le retour de la guerre en Europe, la crainte d'une déstabilisation de certains territoires ou de la reprise de conflits gelés inquiète régulièrement experts et ambassades, notamment dans les Balkans. La question des 1.600 disparus est au cœur du bras de fer qui oppose la Serbie et son ancienne province majoritairement peuplée d'Albanais, le Kosovo. Belgrade et Pristina s'accusent mutuellement de ne pas donner accès aux archives et à l'ensemble des fosses communes. Pendant ce temps, les familles, elles, attendent toujours. Reportage à Gjakova, Louis Seiller. En un mot : cinquième colonneUne autre région d'Europe est en alerte face à la Russie et plus encore depuis le retour de Donald Trump au pouvoir à Washington, ce sont les Pays Baltes. En témoigne par exemple, en Lituanie, le retour dans le débat de l'expression « cinquième colonne », qui évoque un climat de suspicion déjà vu. C'est la chronique En un mot de cette semaine, avec les explications de notre correspondante à Vilnius, Marielle Vitureau. L'extrême droite confirmera-t-elle sa poussée en Roumanie ? Le scrutin présidentiel approche, il aura lieu le 4 mai - dans un climat tendu. Depuis l'annulation spectaculaire du premier tour en décembre 2024, la démocratie roumaine vit une période agitée. La tension s'est encore accrue après le rejet de la candidature du favori Calin Georgescu. Cette figure de l'extrême-droite, qui avait émergé l'an dernier, ne sera pas dans la course, en raison d'irrégularités et de soupçons d'ingérence russe a jugé la Cour constitutionnelle. Ce n'est pas du goût d'une assez grande partie de la population, les manifestations houleuses qui ont suivi l'ont montré. La percée de l'extrême droite, qui a surpris à l'automne, pourrait se confirmer. Elle a déjà commencé à marquer la société. Reportage de Benjamin Ribout à Bucarest. Le deuil des catholiques latino-américains de MadridLe décès du pape François a sonné comme un coup de tonnerre ce lundi 21 avril en Espagne. Dans ce grand pays catholique, le gouvernement a déclaré 3 jours de deuil national, et le Real Madrid a observé une minute de silence. Même si le pape argentin n'était pas apprécié partout de la même manière, l'émotion est palpable. Et tout spécialement dans la communauté latino-américaine, très présente dans le pays, venue en particulier du Venezuela, de Colombie et d'Équateur. Reportage à Madrid, François Musseau.
durée : 00:58:57 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Dans la Rome du 16ᵉ siècle, le prosélytisme de l'Église catholique s'intensifie afin de renforcer sa prééminence. La trajectoire d'une famille de banquiers juifs illustre les stratégies mises en place pour inciter à la conversion et met en lumière les coûts et bénéfices du changement de religion. - réalisation : Cassandre Puel - invités : Isabelle Poutrin Historienne, université de Paris Est
durée : 00:10:11 - Journal de 9h - Benyamin Netanyahu a affirmé que la guerre contre le Hamas était dans une phase décisive, et assure pouvoir ramener les otages israéliens "sans céder aux diktats" du mouvement islamique palestinien. En réaction, les familles d'otages demandent à trouver un accord.
30 personnes ont été secourues mardi 15 avril 2025 dans la Manche alors qu'elles tentaient de rejoindre les côtes anglaises. Depuis le début de l'année, plus de 6 000 migrants sont entrés au Royaume-Uni par ce chemin. Et l'on décompte 11 morts en mer. Comment loger les demandeurs d'asile ?À Londres, le gouvernement travailliste souhaite accélérer le traitement des demandes d'asile et le renvoi des personnes déboutées. En attendant, la crise de l'accueil reste entière, ces personnes doivent être logées. Elles le sont le plus souvent par les autorités dans des hôtels ou des casernes militaires désaffectées, mais pour un temps donné. Elles le sont aussi par des familles, avec parfois l'encadrement d'associations comme Refugees at home. Reportage à Londres, Marie Billon.Calais sa dentelle et ses immigrés britanniques : la chronique de la revueL'HistoireLes mouvements de population entre la France et le Royaume-Uni ont toujours existé : dans le numéro d'avril de l'Histoire, Fabrice Bensimon retrace l'histoire des denteliers britanniques qui, au 19e siècle, faisaient le trajet de Nottingham à Calais pour y développer leur activité.Enseignant chercheur à L'université Paris Sorbonne Fabrice Bensimon est également l'auteur de L'empire britannique (PUF) et Mouvements protestataires, contestations politiques et luttes sociales : Grande-Bretagne 1811-1914 (Atlande).Climat : la disparition programmée des glaciers suissesEn 2024, la chaleur à la surface du globe n'a jamais été aussi élevée. Les glaciers européens fondent à un rythme sans précédent et leur disparition semble inéluctable si rien n'est fait. En Suisse, ils ont perdu 40% de leur volume total depuis l'an 2000. Celui d'Aletsch, en Suisse, semble déjà condamné ; d'autres pourraient encore survivre, à condition que la neutralité carbone devienne réalité. Reportage sur le plus grand glacier d'Europe de l'Ouest, Jérémie Lanche. ► Le choix musical de Vincent Théval : Call me back du groupe Suisse Sirens Of Lesbos
30 personnes ont été secourues mardi 15 avril 2025 dans la Manche alors qu'elles tentaient de rejoindre les côtes anglaises. Depuis le début de l'année, plus de 6 000 migrants sont entrés au Royaume-Uni par ce chemin. Et l'on décompte 11 morts en mer. Comment loger les demandeurs d'asile ?À Londres, le gouvernement travailliste souhaite accélérer le traitement des demandes d'asile et le renvoi des personnes déboutées. En attendant, la crise de l'accueil reste entière, ces personnes doivent être logées. Elles le sont le plus souvent par les autorités dans des hôtels ou des casernes militaires désaffectées, mais pour un temps donné. Elles le sont aussi par des familles, avec parfois l'encadrement d'associations comme Refugees at home. Reportage à Londres, Marie Billon.Calais sa dentelle et ses immigrés britanniques : la chronique de la revueL'HistoireLes mouvements de population entre la France et le Royaume-Uni ont toujours existé : dans le numéro d'avril de l'Histoire, Fabrice Bensimon retrace l'histoire des denteliers britanniques qui, au 19e siècle, faisaient le trajet de Nottingham à Calais pour y développer leur activité.Enseignant chercheur à L'université Paris Sorbonne Fabrice Bensimon est également l'auteur de L'empire britannique (PUF) et Mouvements protestataires, contestations politiques et luttes sociales : Grande-Bretagne 1811-1914 (Atlande).Climat : la disparition programmée des glaciers suissesEn 2024, la chaleur à la surface du globe n'a jamais été aussi élevée. Les glaciers européens fondent à un rythme sans précédent et leur disparition semble inéluctable si rien n'est fait. En Suisse, ils ont perdu 40% de leur volume total depuis l'an 2000. Celui d'Aletsch, en Suisse, semble déjà condamné ; d'autres pourraient encore survivre, à condition que la neutralité carbone devienne réalité. Reportage sur le plus grand glacier d'Europe de l'Ouest, Jérémie Lanche. ► Le choix musical de Vincent Théval : Call me back du groupe Suisse Sirens Of Lesbos
durée : 00:25:52 - 8h30 franceinfo - La ministre du Travail, de la Santé, des Solidarités et des Familles était l'invitée du "8h30 franceinfo", vendredi 11 avril 2025.
En Haïti, le blocage des routes par des gangs a des conséquences désastreuses. Exemple : la route Kajak, l'une des pistes les plus dangereuses du pays reliant Port-au-Prince à la côte du département du Sud-Est, est sous l'emprise des gangs depuis plusieurs semaines. Nous en parlons avec Winthrop Attié, le directeur de la Fondation Seguin, il travaille pour la préservation du Parc national La Visite. Ce tronçon impraticable empêche la population et les marchandises de circuler. C'est une stratégie voulue par les gangs. Selon Winthrop Attié, les gangs ne veulent pas que des provisions alimentaires arrivent à Port-au-Prince, ils encerclent la capitale et empêchent que les paysans puissent y vendre leurs produits. « Toute notre infrastructure est détruite, et la communauté internationale nous regarde en train de mourir », explique le directeur de la Fondation Seguin en Haïti.Les gangs poursuivent aussi leur offensive à Mirebalais. Le centre-ville est devenu le théâtre d'affrontements intenses entre les groupes armés et les forces de sécurité. Ces attaques plongent la population dans la panique et paralysent le fonctionnement des hôpitaux comme l'hôpital universitaire de Mirebalais. Guy-Thierry Nyam, directeur des opérations de l'hôpital, explique : « Tout approvisionnement en médicaments est interrompu. Si cet hôpital cesse de fonctionner, c'est l'effondrement total du système sanitaire actuel. »Selon Le Nouvelliste, les gangs qui opèrent dans la capitale ont changé de stratégie : ils privilégient désormais les attaques nocturnes, ils agissent plus discrètement pour éviter d'attirer l'attention. Leur méthode : creuser des passages entre les murs et les clôtures pour circuler de maison en maison sans emprunter la voie publique. Il y a deux jours, des assaillants ont saccagé et incendié les locaux de la coopérative Fonkoze, avant de s'introduire dans la cour du presbytère de la paroisse Notre-Dame du Sacré-Cœur de Turgeau. Grâce à l'intervention d'un prêtre, qui a eu le réflexe de sonner la cloche de l'église, les agresseurs ont pris la fuite, écrit Le Nouvelliste.40 000 enfants haïtiens ont fui les violences depuis janvier 2025Le journal en ligne Alterpresse reprend aussi le communiqué de l'ONG Save the Children qui s'inquiète de la situation des enfants en Haïti. D'après l'organisation, plus 40 000 enfants ont dû fuir leur domicile à cause de la violence croissante des gangs. Un enfant sur quatre vit désormais dans des zones où l'accès à l'aide humanitaire est très limité.La star du merengue Rubby Perez meurt dans l'effondrement d'une discothèque à Saint-Domingue La République dominicaine frappée par un drame qui fait la Une des médias nationaux : l'effondrement de la boite de nuit Jet Set à Saint-Domingue hier, mardi 8 avril 2025. Le bilan humain ne cesse de s'alourdir, on compte au moins 113 morts. Les sauveteurs continuent de fouiller ce mercredi les décombres du Jet Set, mais plus de vingt-quatre heures après l'accident, l'un des plus meurtriers de l'histoire de la République dominicaine, il y a peu d'espoir de retrouver des personnes vivantes. « Saint-Domingue est plongé dans le deuil », selon le journal Listin qui décrit des scènes de douleur et de solidarité autour de l'Institut national de médecine légale. Familles et amis des victimes s'y assemblent dans l'angoisse d'obtenir des nouvelles. Cette angoisse concernait aussi la famille de la star du merengue, Rubby Perez, dont la mort a été finalement confirmée par les autorités. Tous les journaux publient un portrait de cette star de la musique caribéenne, surnommée « la voix la plus aiguë du merengue ». Il donnait un concert dans la discothèque lorsque le toit s'est effondré. « Rubby Pérez est mort en faisant ce qu'il faisait le mieux : chanter », écrit Diario Libre. Selon sa fille Zulinka Perez, c'est parce que son père s'est mis à chanter alors qu'il était coincé sous les décombres que les sauveteurs ont pu le retrouver. Le président dominicain Luis Abinader s'était rendu sur place, hier, a décrété trois jours de deuil national.À lire aussiRépublique dominicaine: un bilan de 124 morts dans l'effondrement du toit d'une discothèque à Saint-DomingueDonald Trump, le président disruptifLe New York Times dresse un constat sévère de la méthode Trump. Dans un article intitulé An Experiment in Recklessness : Trump as Global Disrupter, le quotidien américain décrit une présidence marquée par le goût du choc, quitte à en assumer les conséquences plus tard – quand il y a un plan, ce qui n'est pas toujours le cas. Exemple frappant : les droits de douane dits « réciproques » imposés par Donald Trump, qui ont précipité un plongeon des marchés et déclenché des représailles étrangères. Des mesures dont la Maison Blanche savait qu'elles provoqueraient une onde de choc… sans pour autant avoir anticipé les effets secondaires.De son côté, le mensuel The Atlantic décrit comment la foi quasi religieuse des partisans de Donald Trump est confrontée à un test de réalité : les effets catastrophiques de ses décisions économiques.Le magazine rappelle notamment cette déclaration d'un représentant républicain, en novembre dernier : « Si Donald Trump dit que les droits de douane fonctionnent, alors ils fonctionnent. Point. Parce que Donald Trump ne se trompe jamais. » Un dogme qui n'est pas sans rappeler, ironise The Atlantic, la célèbre formule de La ferme des animaux : « Camarade Napoléon a toujours raison. »Mais tous ne sont pas aussi stoïques. The Atlantic cite l'exemple du financier pro-Trump Bill Ackman, qui a reconnu sur X avoir été surpris par l'ampleur de la crise : « Je pensais que la rationalité économique primerait mon erreur. »Les prisonniers politiques étrangers au Venezuela Ils sont actuellement 901 prisonniers politiques au Venezuela, selon l'ONG Foro Penal. Parmi eux, 66 étrangers, ce qui leur donne un statut particulier, ils sont précieux, notamment pour les autorités de leur pays d'origine, mais également pour le gouvernement vénézuélien, qui peut les « échanger ». Six prisonniers américains ont notamment été libérés le 31 janvier, après des discussions entre Caracas et Washington. Actuellement, un Français, Lucas Hunter, est détenu au Venezuela. Sa famille est très mobilisée, nous explique notre correspondante à Caracas, Alice Campaignolle.Journal de la 1ère Comment accompagner nos ainés ?
durée : 00:59:05 - Plan large - par : Antoine Guillot - Aujourd'hui nous recevons les cinéastes Hélène Merlin et Mike Leigh pour leur films "Cassandre" et "Deux sœurs", et aussi Mathieu Macheret. - réalisation : Anne-Laure Chanel - invités : Mike Leigh Metteur en scène de théâtre et réalisateur; Hélène Merlin scénariste et réalisatrice; Mathieu Macheret Critique de cinéma, journaliste au Monde et aux Cahiers du Cinéma
durée : 00:59:05 - Plan large - par : Antoine Guillot - Aujourd'hui nous recevons les cinéastes Hélène Merlin et Mike Leigh pour leur films "Cassandre" et "Deux sœurs", et aussi Mathieu Macheret. - réalisation : Anne-Laure Chanel - invités : Mike Leigh Metteur en scène de théâtre et réalisateur; Hélène Merlin scénariste et réalisatrice; Mathieu Macheret Critique de cinéma, journaliste au Monde et aux Cahiers du Cinéma
Chaque année, les soutiens du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) se réunissent au printemps pour fêter le Nouvel An kurde dans les montagnes du Kurdistan irakien, où la guérilla s'est réfugiée. Alors qu'un processus de paix est en cours entre le mouvement kurde insurgé et l'État turc, les familles des combattants ont profité de l'occasion pour prendre des nouvelles de leurs proches engagés au sein du PKK. Elles espèrent que le processus de paix leur permettra de retrouver la vie civile. De notre correspondant à Qandil,L'espace d'une nuit de danse, de musique et de discours, les partisans du PKK se réunissent pour célébrer Norouz, le Nouvel An kurde. Une fois par an, la guérilla leur ouvre ses portes dans son bastion des montagnes de Qandil, au nord de l'Irak. Pour les familles des insurgés, c'est aussi l'occasion d'un discret pèlerinage, à l'image de Shaya, dont la fille est morte au combat en 2006 : « Je suis venue fêter Norouz à Qandil pour sentir le parfum de ma fille, Zilan, et de tous ses camarades qui sont morts pour la liberté des Kurdes. »Protégée par des cimes escarpées qui s'élèvent à plus de 3 000 mètres, la plaine de Qandil est une forteresse naturelle. C'est ici que le PKK a installé ses quartiers généraux dans les années 1990, ainsi que les académies militaires et politiques au sein desquelles les aspirants combattants se forment à la guérilla. « Qandil est un endroit très spécial et on sait que nos enfants sont tous passés par ici, au cœur de la révolution. Zilan a vécu presque un an à Qandil. Ces arbres qui nous entourent nous rappellent nos enfants. Ils ont poussé sous leurs pieds et ont été arrosés par leur sang », poursuit Shaya.Espoir de retrouver des prochesDe nombreux combattants du PKK sont tombés à Qandil, constamment bombardé par les drones de la Turquie. Leurs portraits juvéniles sont exposés aux regards le long de la route qui serpente dans la montagne et devant lesquelles des familles viennent se recueillir. D'autres sont à la recherche d'informations : « La plupart des mamans viennent à Qandil pour Norouz avec l'espoir d'apercevoir leurs enfants. Or, c'est possible qu'ils soient déjà morts, mais qu'elles ne le sachent pas encore. »En marge des festivités, des femmes le visage recouvert d'un voile blanc arrêtent un homme à l'allure d'officier et font défiler des photos sur leurs téléphones. Trois enfants d'Amina sont déjà morts dans les rangs du PKK et deux de ses filles sont toujours mobilisées. La maman est inquiète : « Je n'ai pas de nouvelles de mes filles. Je ne les ai pas vues ici, je ne sais pas où elles sont. J'espère qu'elles sont vivantes. »Les règles du PKK sont particulièrement strictes et les contacts avec les familles prohibés. À l'abri dans sa tente battue par la pluie, Fatima a eu plus de chance et peut se réjouir : « Cette année, je suis venue à Qandil pour la première fois. Ça fait près de 20 ans que je n'avais pas vus certains membres de ma famille. J'ai une fille ainsi que deux oncles qui se battent ici, dans les montagnes. J'ai pu voir les voir aujourd'hui, c'était formidable de pouvoir leur parler, ils m'ont tellement manqué. Je leur souhaite d'être libres bientôt. »Sur la scène principale, les discours politiques s'enchaînent. Cette année, le Nouvel An kurde s'inscrit sous le signe des négociations de paix engagées entre la guérilla du PKK et la Turquie : « Je souhaite que les prisonniers soient libérés et que nous puissions rentrer chez nous parce que nous sommes des réfugiés ici au Kurdistan irakien. »C'est dans l'exil que les enfants de Fatima ont emprunté les sentiers de la guérilla, et c'est ici, dans les montagnes de Qandil, que seront discutés ces prochains mois les détails du processus de paix par les chefs du PKK.
Avec Marie-Christine Manuel
Vous écoutez le podcast "Les interviews Histoire", notre émission hebdomadaire gratuite pour tous. Abonnez-vous à "5.000 ans d'Histoire" et accédez à environ 400 podcasts d'1 heure pour seulement 2€ par mois sans Pub ! Avec une nouvelle émission chaque semaine : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Comment devient-on « Montagnard » et ami intime de Robespierre ? Comment une famille d'anciens protestants, menacée de déclassement après la révocation de l'édit de Nantes, trouve-t-elle les moyens de se réinventer tout au long du XVIIIe siècle ? Quels sont les outils et les stratégies qui permettent aux individus de s'approprier le virage révolutionnaire, de s'adapter, et de s'affirmer dans le nouvel ordre institutionnel ? Comment la Révolution est-elle vécue en coulisses, dans l'intimité de la cellule familiale et des relations sociales ? Comment, enfin, survivre au 9 thermidor et se recycler dans la société postrévolutionnaire lorsque l'on est marqué du sceau infamant de « robespierriste » et renvoyé à une identité « terroriste » lourdement condamnée ? C'est à toutes ces questions que se propose de répondre cet ouvrage en suivant la trajectoire de quatre générations de la famille Payan, originaire de Saint-Paul-Trois-Châteaux dans la Drôme, entre 1685 et 1852.L'auteur, Nicolas Soulas est notre invité par téléphoneDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - Le 25 novembre était la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes. Quelles sont les mesures du nouveau plan interministériel mis en place ? - Violences Info Service : 39 19 (anonyme, gratuit, 24h/7) - Association "M'endors pas" : www.mendorspas.org - Fédération nationale solidarité femmes : www.solidaritefemmes.org - Femmes Solidiares : www.femmes-solidaires.org - Fédération nationale des Centres d'Information sur les Droits des Femmes et des Familles : www.infofemmes.com Retrouvez toutes les associations sur le site national "Arrêtons les violences" : https://arretonslesviolences.gouv.fr/ Dans ce podcast, découvrez une partie des coulisses de l'émission "Parlons-Nous" du 25 novembre 2024. En compagnie de Caroline Dublanche, Paul Delair revient sur les témoignages et autres moments qui ont marqué le direct.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:06:49 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - 80% des élèves en Corée du Sud suivent des cours particuliers, sont inscrits dans des "hagwon", ces écoles privées où l'on bachote dans l'espoir d'intégrer une université prestigieuse. Ce cercle vicieux de pression dès le plus jeune âge, d'endettement des familles, mine toute la Corée du Sud.