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durée : 00:30:55 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - "Les Contes" de Hans Christian Andersen présentés par Régis Boyer qui en signe, en 1993, une nouvelle traduction, sont lus par Michel Piccoli. "Douze en voiture de poste et autres contes". Quatrième émission d'une série consacrée à Andersen qui fut diffusée pour la première fois en janvier 1993. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Régis Boyer Professeur émérite de langues, littératures et civilisation scandinaves à l'Université Paris-Sorbonne et ancien directeur de l'Institut d'études scandinaves de la Sorbonne; Michel Piccoli Acteur et réalisateur (1925-2020)
C'est au mois de juin 2025 que j'ai commencé les enregistrements de cette série documentaire, tandis que tout Roquefort se parait de ses habits de lumière pour fêter, en grande pompe, le centenaire de son appellation d'origine. La toute première en France ! Il aurait été dommage de s'en passer, on n'a pas 100 ans tous les jours.Roquefort : le blues du centenaire ? (bande-annonce)Episode 1 : A jamais les pionniersEpisode 2 : Derrière l'industrie, un village atrophiéEpisode 3 : Il faut sauver le soldat Roquefort !Dans ce premier épisode, je vous propose de remonter un peu le temps, d'aller chercher les racines de cette production fromagère pour mieux comprendre le rôle pionnier de roquefort parmi ces produits qui, aujourd'hui, incarnent les terroirs : dans le sens où ils sont indissociables de leur ancrage géographique, intimement associés à des lieux et des traditions ancestrales. Pourquoi et comment la filière s'est-elle organisée, au début du XXe siècle pour protéger son roquefort ?Comme je me sentais un peu seule, dans ses rues désertes, malgré tout, j'ai descendu le village jusqu'à l'entreprise de Vincent Combes, j'étais sûre de le retrouver là-bas. Parmi les 7 fabricants de roquefort aujourd'hui, il est fier de dire qu'il est le « petit poucet ». Aux côtés des trois plus grands leaders de l'agroalimentaire, que sont Lactalis, Savencia et Sodiaal, et qui s'inscrivent dans l'industrialisation de la fabrication de roquefort depuis deux siècles, Vincent Combes a hérité de l'entreprise de son grand-père.Dans ce premier épisode, je croise son témoignage à celui de l'historienne Sylvie Vabre, chercheuse et autrice du livre Le Sacre du Roquefort, L'émergence d'une industrie agroalimentaire.Bonne écoute !Et à bientôt pour la suite de cette trilogie documentaire de Finta!
Marguerite Lagrave, 78 ans, vieille dame gentille et affectueuse. Elle vivait seule dans un minuscule village du Béarn. Attaquée en pleine nuit, la gorge tranchée, un cambriolage bizarre et méticuleux. Douze ans pour que la lumière jaillisse sur un scénario qui avait échappé à tout le monde.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans I am an Equestrian, il n'y a pas que les parcours de cavaliers, de sportifs, qui nous intéressent.
1925. Depuis cette année-là, on ne peut plus produire du roquefort n'importe où ni n'importe comment. C'est en décrochant son appellation d'origine, la toute première en France, que le « roi des fromages » a été défini par la loi. Pour le consommateur, cela assure sa traçabilité : fini le roquefort au lait de vache, de brebis et de chèvre réunis. Pour les éleveurs, les laitiers et les fabricants, c'est l'assurance d'ancrer l'activité sur un territoire précis et de pérenniser, ainsi, une filière économique non-délocalisable, par définition. 3 mastodontes mondiauxDans les grandes lignes, environ 2600 agriculteurs alimentent 7 entreprises, seulement, qui fabriquent aujourd'hui les 14 000 tonnes de roquefort commercialisées chaque année dans le monde. Parmi ses 7 fabricants, on compte trois mastodontes de l'industrie agroalimentaire mondiale : Lactalis, Savencia, Sodiaal. Les trois leaders industriels français ont leurs propres caves à Roquefort, c'est dire l'attrait de cette filière. A eux trois, ils représentent 95% de la production de roquefort. Les quatre « petits », comme on les appelle souvent, se partagent les 5% restants.Bataille foncièreJuste en disant cela, on comprend que, derrière la vitrine du centenaire, fêté en 2025, se cachent des enjeux plus insoupçonnés : car si la convoitise de grands groupes agroalimentaires a permis au roquefort de s'exporter dans le monde entier, d'être un fleuron du capistalisme agroalimentaire, elle a aussi participer à vider, littéralement, le village de Roquefort-sur-Soulzon, aujourd'hui quasi-fantôme. Puisque le cahier des charges de l'appellation d'origine oblige les fromages à être affinés dans les caves du village, et nulle part ailleurs, la bataille foncière fait rage. Jusqu'à laisser sur la touche des éleveurs qui voudraient renouer avec la fabrication fermière du roquefort, comme il était coutume jusqu'au XIXe siècle, avant l'industrialisation de la filière.Si les acteurs ont réussi, en 1925, à s'allier pour défendre bec et ongle leur fromage face à une concurrence débridée, à la sortie de la première guerre mondiale, il est une autre paire de manche que de faire perdurer cette solidarité dans un marché plus que jamais mondialisé, dans un contexte de difficile renouvellement des générations en agriculture, et parmi des habitudes alimentaires en perpétuelle évolution. Face à la baisse de consommation enregistrée par le roquefort depuis plusieurs années, la filière est bousculée. Mais le cahier des charges demeure pour protéger l'unicité du produit, du « roi des fromages ». Allier la puissance capitalistique du produit à son ancrage ancestral… en voilà un sacré défi à relever !Une trilogie documentaire de Finta !... le 20 décembre 2025, dans vos oreilles !
Le Guardian publie aujourd'hui une galerie photo sur les inondations à Gaza. On peut voir un petit garçon marcher pieds nus, dans une grande flaque d'eau, ou encore des familles qui ont érigé des murets de sable pour tenter d'empêcher l'eau d'envahir leurs tentes. Le quotidien britannique explique que « Gaza a été frappée par de fortes pluies et des températures glaciales, aggravant la misère de la plupart de ses deux millions deux cent mille habitants ». Dans le sud de l'enclave palestinienne, « les camps de tentes ont été emportés par les flots », poursuit le quotidien britannique. « Des milliers de Palestiniens ont alors migré vers le nord en direction de la ville de Gaza, où ils ont trouvé refuge parmi les décombres des bâtiments bombardés par Israël ». L'ONU « a confirmé le décès d'un bébé de 18 mois, mort d'hypothermie. Douze autres personnes auraient aussi péri », ajoute le Guardian. À lire aussiGaza sous les eaux: «Nous essayons de survivre face à la pluie» causée par la tempête Byron Dissidence Aux États-Unis, le Washington Post s'intéresse au mouvement de contestation qui s'organise autour de Donald Trump. « Les élus républicains disent à Trump quelque chose qu'il n'a pas l'habitude d'entendre : non », souligne ainsi le quotidien américain, qui remarque que « lors de deux votes quasi simultanés cette semaine, dans l'Indiana et au Congrès, les élus républicains ont fait preuve d'une opposition inhabituelle envers Trump ». Exemple jeudi 11 décembre : « Vingt élus républicains de la Chambre des représentants ont fait dissidence et voté pour annuler le décret de Trump mettant fin aux droits syndicaux dans de nombreuses agences fédérales. » « Certains républicains, poursuit le Washington Post, laissent entendre que la pression exercée par la Maison Blanche commence à se retourner contre ses auteurs et que les parlementaires envisagent un avenir où Trump ne sera plus candidat. » On n'en est pas encore là. Le Washington Post rappelle que « le président américain conserve une influence considérable au sein de son parti et a fréquemment menacé de représailles les républicains qui s'opposent à lui ». À lire aussiÉtats-Unis: l'Indiana résiste à Donald Trump et refuse de redessiner sa carte électorale Frappée aux jambes et saisie par les cheveux En France, Libération alerte sur l'arrestation de la prix Nobel Narges Mohammadi. L'Iranienne, qui était en liberté provisoire pour raisons de santé, a de nouveau été arrêtée. Selon son comité de soutien et sa famille, elle a été arrêtée « alors qu'elle assistait à une cérémonie en mémoire d'un avocat de 45 ans, qui avait défendu des personnes arrêtées lors de la répression des manifestations de 2022. Son corps a été retrouvé la semaine dernière et les organisations de défense des droits réclament une enquête. » Selon une ONG basée aux États-Unis, Narges Mohammadi « assistait à cette cérémonie sans porter le voile obligatoire pour les femmes dans l'espace public en Iran ». D'autres images « la montrent grimpant sur un véhicule et encourageant les gens à scander des slogans ». Selon l'un de ses frères, la prix Nobel de la Paix « a été frappée aux jambes et saisie par les cheveux » lors de son arrestation. Il dit s'inquiéter pour sa santé, expliquant qu'en prison « elle a souffert des poumons et du cœur, et qu'elle a subi plusieurs opérations. » La prison « où elle a passé la majorité des deux dernières décennies », rappelle Libération. À lire aussiIran: la prix Nobel de la paix 2023 Narges Mohammadi a été arrêtée, affirment ses proches Un projet de loi contesté Enfin, en Allemagne, les défenseurs de la biodiversité ont du pain sur la planche. L'hebdomadaire français Courrier international a rassemblé les articles publiés par la presse allemande sur le sujet. Article de Die Zeit notamment, qui nous explique « que le développement des réseaux routiers, fluviaux et ferroviaires, de même que la réparation des ponts, seront dorénavant considérés comme étant "d'un intérêt supérieur public", et pourront être lancés plus rapidement ». Et, cela ne sera pas sans conséquences, nous explique Courrier international : « Le texte prévoit des simplifications bureaucratiques, comme l'exemption d'évaluation d'impact environnemental détaillée pour les projets d'électrification, mais aussi, une restriction du droit des ONG environnementales à intenter des actions en justice ». Sans surprise, le projet de loi inquiète « les associations de défense de l'environnement qui dénoncent une atteinte à la biodiversité ». Toutefois, remarque Courrier international, « ce projet de loi risque bien de se heurter à la législation européenne en matière d'environnement ».
Carte postale sonore – La Dame Blanche & les moines fantômes : quand l'invisible apaiseIl est des lieux où la légende s'invite en douceur…Dans cette carte postale sonore, je vous emmène sur les traces de la Dame Blanche et des moines assassinés, âmes errantes d'un passé qui murmure encore au détour des ruines.Mais ne craignez rien : ici, les fantômes sont paisibles, et l'hiver enveloppe tout d'une lumière rassurante.Je vous parle aussi de la sortie de l'anthologie “Douze histoires d'hiver” (Paper Ring), où ma nouvelle “Dame Berchta” vous attend, et je lève un coin de voile sur mes projets d'écriture à venir pour 2026 et 2027. https://www.amazon.fr/Douze-histoires-dhiver-Recueil-nouvelles-ebook/dp/B0G15V72H7Un immense merci aux nombreuses personnes déjà pré-inscrites pour les soirées à la bougie – votre enthousiasme me touche profondément.Vous pouvez encore vous inscrire sur mon site internet : https://juliettedargand.fr/les-veillees-surnaturelles-contes-horrifiques-concerts-a-la-bougie-dans-des-chateaux-hantes/Enfin, un mot sur cette année 2025, ses tempêtes et ses remises en question… avant d'accueillir, ensemble, la douceur de 2026.Prêt·e pour une balade entre ombre et lumière ?
Vous avez aimé cet extrait ? Retrouvez l'épisode avec Yoann Roumieux en intégralité sur Finta! et sur toutes les applis de podcast habituelles.⌛ Cinq minutes, c'est le temps d'une pause café ou d'un saut chez le boulanger. Cinq minutes, c'est le mini-format de Finta! que je vous propose "par le fenestrou".Cinq minutes pour vous donner un aperçu du dernier épisode de Finta! pour vous inviter à finter même si vous êtes pressé, même si vous hésitez, même si vous ne savez rien de l'invité.e. Cinq minutes pour piquer votre curiosité ! Vous m'en direz des nouvelles !
Cet épisode spécial de Noël d’Une Tasse de Tech résume pour vous les six actualités technologiques de l’année. On vous propose aussi une douzaine de produits électroniques qui résument l’année, qui sont nos coups de coeur, et qui feraient de superbes cadeaux sous le sapin à Noël. 6 actus marquantes en 2025: Netflix achète Warner Bros. Nintendo lance la Switch 2 L’occasion ratée de Windows 12 L’IA agentique et souveraine La téléphonie par satellite La Loi québécoise contre l’obsolescence programmée Promo PlanetHoster: La souveraineté de vos données vous inquiète? La solution Code promo : PHA-UTDT The World N0C - Hébergement mutualisé - https://bit.ly/phutdtm HybridCloud N0C - Hébergement dédié - https://bit.ly/phutdt 12 gadgets coups de coeur pour 2025: La serrure Nuki Le combiné téléphonique Pop Phone Aspirateur robot Dreame X50 Le clavier Wooting La console Stream Deck Le micro Flipcast hybride de HP Les écouteurs Status Audio Pro X Les moniteurs audio Fosi IM4 Le décodeur numérique-analogique iFi Go Blu Air Clip Le rasoir connecté Philips Norelco i9000 Prestige Ultra La liseuse Boox Go Color 7 La télécommande Kobo Remote Promo InfoBref: pour l'essentiel des nouvelles en 5 minutes, inscrivez vous à https://infobref.com/utdt Et plus! Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Face au conflit qui s'enlise en Ukraine et aux craintes d'une expansion de la guerre à d'autres pays européens, Emmanuel Macron doit annoncer, ce jeudi 27 novembre, la création d'un service militaire volontaire en France. Le service militaire obligatoire, lui, a été supprimé en 1997 dans le pays. Quel souvenir en gardent ceux qui l'ont effectué ? Il y a d'abord les souvenirs, brûlants pour certains. « Des week-ends entiers à garder une ancienne poudrière en plein cagnard. On n'a jamais su s'il y avait encore des munitions. C'était un peu le "Désert des Tartares" », s'amuse un ancien appelé du contingent, en se remémorant son service militaire en France. Un souvenir au contraire glacial, pour d'autres : « J'ai passé le permis poids lourds lors de mes classes en plein hiver, dans la Sarthe, au sud-ouest de Paris, dans une base aérienne désaffectée où il faisait régulièrement des températures négatives. Un souvenir très froid. » « J'ai fait une préparation militaire parachutiste. On saute de 400 mètres, l'atterrissage peut être un peu brutal », confie un ancien participant. « Une vie rythmée par le réveil matinal, la prise des repas à des horaires bien précis, le lever des couleurs, les séances de sport... Il y avait une vraie fracture entre la vie civile et la vie militaire », détaille un autre. Une vie routinière et un travail souvent perçu comme besogneux. « Cela évoque des choses totalement inutiles pour moi. J'ai ramassé tout ce qui n'était pas gravillons au sol. On était censé enlever les brins d'herbe. Dès qu'il y en a un ou deux qui déconnaient, ils allaient en cabane », raconte cet homme. De longs moments d'ennuis, parfois ponctués de franches rigolades, liées à ces petites stratégies afin d'échapper aux sanctions. « Je me souviens d'un sergent-chef assez gros, rougeaud. On sentait qu'il aimait bien titiller du goulot. Lui, son grand plaisir, c'était de faire un trafic de pneus. À l'époque, autour de l'armée, il y avait plein de petites combines comme cela. C'était la "combinazzione" », décrit cet ancien appelé. Cet homme, aux cheveux longs qui tombent sur les épaules, se souvient de sa surprise après les avoir rasés : « Mon père m'a à peine reconnu quand je suis retourné en permission. J'avais les cheveux coupés courts. » De longues années après, les souvenirs des uns et des autres sont partagés, concernant leur service militaire. Pour certains, l'épisode reste douloureux : « C'était un très mauvais moment. Douze mois difficiles. » Certains ont su tirer profit de cette parenthèse militaire dans leur vie : « Je faisais des études de sciences politiques. J'ai toujours aimé la sociologie des organisations et de l'armée. C'était un cas pratique merveilleux. » D'autres mettent en avant le brassage social qu'ils ont vécu. « Moi, j'appartiens à la classe moyenne, plutôt confortable, mais j'étais avec des gens qui n'étaient pas confortables du tout. Des gens qui n'avaient pas fait d'études, d'autres qui en faisaient beaucoup. Il y a de tout. On arrive quand même à fraterniser un peu. » À cette époque, le service militaire durait un an et était obligatoire pour les hommes. Il fut suspendu par le président de la République Jacques Chirac en 1997. À lire aussiVers un service militaire volontaire en France
Dans son deuxième roman "Saison douze" (ed. Presses Inverses), Joan Suris raconte le séjour d'un groupe d'amis dans le sud de la France, alors que les liens se fragilisent et qu'un mystérieux cousin s'en vient gâcher la fête. Un récit choral, loufoque et noir et la fois, porté par une écriture à la malice irrésistible. L'auteur romand est au micro de Layla Shlonsky.
Sur ses étiquettes, son estampille mentionne : artisan passionné. Quand il parle de son métier, Yoann Roumieux a les yeux qui brillent, littéralement. Il a, dans son regard, la fougue d'un jeune prodige. Et s'il est déjà fier du chemin parcouru, à tout juste 26 ans, il a aussi la sagesse de ne pas fanfaronner pour autant.Quand il est revenu en Aveyron pour s'installer à son compte, en 2022, Yoann Roumieux a choisi Pont-de-Salars, s'inscrivant dans la lignée de la boulangerie centenaire de la famille Sarret. C'est d'abord son petit budget qui l'a mené là, loin de sa vallée du Lot natale. Trois ans après, ils sont 14 à travailler dans sa pâtisserie, qui alimente les 1600 habitants de Pont-de-Salars, mais rayonne bien au-delà. Attaché à faire vivre un cœur de village, Yoann Roumieux ferait pâlir d'envie plus d'une commune aux alentours.De notre échange, j'ai appris : qu'il n'était pas près de quitter Pont-de-Salars (bonne nouvelle), mais aussi qu'il ne sera jamais un boulanger aigri dans son fournil. Il m'a partagé ce qui, selon lui, fait la recette de son succès fulgurant, et ses projets. Bonne écoute !
C dans l'air du 21 novembre 2025 - Énergie, commerces, taxes... Cet hiver qui va nous coûter cherUne première mesure pour stopper l'afflux de produits provenant de Chine. L'Assemblée nationale a approuvé mercredi la mise en place d'une taxe de deux euros ciblant les "petits colis" d'une valeur inférieure à 150 euros d'origine extra-européenne. L'argent servira à financer les dispositifs pour contrôler ces produits. La mesure a suscité de vifs débats, le Rassemblement national dénonçant une « taxe sur la consommation populaire et les classes moyennes », quand la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin a défendu une "redevance" destinée à contrôler des produits souvent "dangereux".Ces discussions interviennent alors que la plateforme de commerce en ligne d'origine chinoise Shein est sous le feu des critiques, accusée de vendre de nombreux produits non-conformes et illicites.Douze fédérations du commerce et de l'industrie française se sont unies "pour une action en justice contre Shein" pour dénoncer une "concurrence déloyale". Ces "pratiques massives mettent en danger la sécurité des consommateurs, fragilisent nos entreprises, détruisent des emplois, et menacent la vitalité des territoires", assurent-elles.Un exemple : créée en 2020 pendant le confinement, l'entreprise l'Atelier Textile Jurassien, située à Lons-le-Saunier (Jura), se retrouve aujourd'hui en grande difficulté financière. Pour tenter de redresser la barre, son président Matthieu Grosset avait lancé en juillet dernier un appel sur les réseaux sociaux. L'objectif : déclencher une prise de conscience. Consommer français, dit-il, c'est aussi favoriser l'emploi et les territoires. Mais comment lutter contre la concurrence chinoise alors que nos industries sont dépendantes des terres rares ? Ces métaux possèdent aujourd'hui une importance stratégique au motif qu'elles entrent dans la fabrication d'aimants utiles pour la transition énergétique, l'industrie automobile ou encore l'industrie de l'armement. Une entreprise à Grenoble tente de résister en misant sur le recyclage. Elle compte sur le soutien de l'Etat et de l'Europe pour la soutenir dans cette initiative. Quels outils pour réguler un géant du textile comme Shein ? Comment nos entreprises françaises peuvent résister face à la concurrence chinoise ? Quelles conséquences sur l'industrie française ? Nos experts : - Bruno Jeudy - Directeur délégué et éditorialiste - La Tribune Dimanche- Emmanuel Duteil - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle- Sophie Fay - Journaliste - Le Monde- Anne-Sophie Alsif - Cheffe économiste - BDO France
Bonjour à tous et Bienvenue sur DM&V !Aujourd'hui, j'ai le plaisir de recevoir à nouveau l'expert et ami Jean-Christophe Guyon.En effet, ce dernier organise dimanche 23 novembre à 14h à l'hôtel des Ventes des Quinconces, la vente au enchères intitulée : Montres Vintage et Classiques, gentleman driver, aviateur et plongeur.une vente regroupant plusieurs dizaines de montres vintage de grande qualité, tant par leur diversité, leur rareté que leur état exceptionnel.Cet épisode est donc l'occasion de pouvoir voir en avant-première une sélection de pièces magnifiques, revenant sur l'origine et l'histoire de chaque référence.Un épisode passionnant qui saura, j'en suis sûr, réveiller en vous le curieux et passionné de vintage qui sommeille !D"ailleurs, vous pouvez d'ores-et-déjà vous renseigner en vue de la vente à l'adresse suivante : https://www.interencheres.com/art-decoration/montres-vintage-et-classiques-gentleman-driver-aviateur-plongeur-662133?page=2Bonne écoute !Sachez tout d'abord que cet épisode est, comme d'habitude, disponible en version audio sur toutes les plateformes de podcast mais également en vidéo sur ma chaine Youtube Des Montres & Vous.Si vous aimez la chaine et son contenu, N'hésitez pas à liker, à vous abonner et à activer les notifications pour ne rien louper et pour aider DM&V à progresser.Liens utiles :Pour rejoindre Le Cercle, mon canal WhatsApp : https://whatsapp.com/channel/F96PntzE...Une vente aux enchères sous le marteau de Me Maxence Mazzoni et en partenariat avec Jean-Christophe Guyon, Expert CEA en horlogerie.06.60.74.02.45EXPOSITIONS PUBLIQUES :VENDREDI 21 NOVEMBRE :10.00 - 12.30 / 14.00 - 18.00SAMEDI 22 NOVEMBRE :10.00 - 12.30 / 14.00 - 18.00----------------
Il y a 80 ans, le 20 novembre 1945, s'ouvrait à Nuremberg, en Allemagne, un procès historique contre des responsables du IIIe Reich nazi qui a capitulé en mai de la même année. Les quatre alliés vainqueurs de la Seconde Guerre mondiale n'ont pas opté pour une justice expéditive, mais ont créé un tribunal militaire international chargé de juger les criminels nazis dans le respect de l'État de droit. Des concepts inédits, comme les crimes contre l'humanité, sont posés. Ils fondent les bases du droit pénal international contemporain. Ils sont 21 haut dignitaires du régime nazi sur le banc des accusés dans la salle 600 du tribunal de Nuremberg, ce 20 novembre 1945 : Hermann Göring, le numéro deux de Hitler, Rudolf Hess, la main droite du Führer, Rosenberg, l'idéologue du régime ou encore l'architecte de Hitler, Albert Speer. Les accusés plaident tous non coupables, se retranchent derrière des ordres reçus et des situations particulières et affirment ne pas avoir connu les horreurs commises par le régime nazi. Leurs avocats savent que la culpabilité de leurs clients ne fait pas de doute en raison des preuves irréfutables. Un film sur l'horreur des camps d'extermination, des images encore peu connues à l'époque, marquent le procès. Si les accusés ont dénoncé la justice des vainqueurs, trois d'entre eux sont acquittés lorsque les verdicts sont prononcés le 1er octobre 1946. Douze sont condamnés à mort et exécutés par pendaison deux semaines plus tard. Les autres purgent des peines de prison. À lire aussiNuremberg, 20 novembre 1945: procès de 24 dignitaires et de 7 institutions nazis Douze autres procès auront lieu dans les années suivantes dans cette même salle. Mais la guerre froide et la reconstruction de l'Allemagne font passer ce passé à l'arrière-plan. Depuis quinze ans, un mémorial informe le public dans le bâtiment et attire 160 000 visiteurs par an, les trois quarts viennent de l'étranger. « Tout a changé. On est conscient aujourd'hui de l'importance de ce procès pour le travail historique sur les crimes du IIIe Reich. Je suis toujours surprise par l'intérêt et les connaissances de nos visiteurs », déclare Nina Lutz, la directrice du mémorial. Comme le montre l'exemple de ces jeunes Allemands : « On voit d'un côté que le procès était équitable, mais aussi que des criminels ont été acquittés. Espérons que cela sera différent à l'avenir, on pense à l'Ukraine, par exemple », analyse un jeune homme. « Je n'avais pas conscience de l'importance du procès pour le droit pénal international », admet un autre. « Ça montre qu'on peut faire quelque chose contre ces crimes, mais le monde doit travailler ensemble », ajoute un troisième. Le procès de Nuremberg n'est pas qu'un chapitre historique essentiel après la chute du IIIe Reich. Il marque une césure du droit international toujours d'actualité, comme l'explique Gurgen Petrossian de l'académie des principes de Nuremberg : « Les principes de Nuremberg ont une importance centrale pour le droit pénal international. Ces règles ont été reprises dans le droit national des États. Nous le voyons dans des procès aujourd'hui où ces mêmes principes sont appliqués. » Le procès qui a commencé hier à Coblence, contre cinq hommes accusés de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité sous le régime Assad, en Syrie, illustre cette actualité de Nuremberg. À lire aussi75 ans après: Nuremberg ou la naissance du droit pénal international
Il y a 80 ans, le 20 novembre 1945, s'ouvrait à Nuremberg, en Allemagne, un procès historique contre des responsables du IIIe Reich nazi qui a capitulé en mai de la même année. Les quatre alliés vainqueurs de la Seconde Guerre mondiale n'ont pas opté pour une justice expéditive, mais ont créé un tribunal militaire international chargé de juger les criminels nazis dans le respect de l'État de droit. Des concepts inédits, comme les crimes contre l'humanité, sont posés. Ils fondent les bases du droit pénal international contemporain. Ils sont 21 haut dignitaires du régime nazi sur le banc des accusés dans la salle 600 du tribunal de Nuremberg, ce 20 novembre 1945 : Hermann Göring, le numéro deux de Hitler, Rudolf Hess, la main droite du Führer, Rosenberg, l'idéologue du régime ou encore l'architecte de Hitler, Albert Speer. Les accusés plaident tous non coupables, se retranchent derrière des ordres reçus et des situations particulières et affirment ne pas avoir connu les horreurs commises par le régime nazi. Leurs avocats savent que la culpabilité de leurs clients ne fait pas de doute en raison des preuves irréfutables. Un film sur l'horreur des camps d'extermination, des images encore peu connues à l'époque, marquent le procès. Si les accusés ont dénoncé la justice des vainqueurs, trois d'entre eux sont acquittés lorsque les verdicts sont prononcés le 1er octobre 1946. Douze sont condamnés à mort et exécutés par pendaison deux semaines plus tard. Les autres purgent des peines de prison. À lire aussiNuremberg, 20 novembre 1945: procès de 24 dignitaires et de 7 institutions nazis Douze autres procès auront lieu dans les années suivantes dans cette même salle. Mais la guerre froide et la reconstruction de l'Allemagne font passer ce passé à l'arrière-plan. Depuis quinze ans, un mémorial informe le public dans le bâtiment et attire 160 000 visiteurs par an, les trois quarts viennent de l'étranger. « Tout a changé. On est conscient aujourd'hui de l'importance de ce procès pour le travail historique sur les crimes du IIIe Reich. Je suis toujours surprise par l'intérêt et les connaissances de nos visiteurs », déclare Nina Lutz, la directrice du mémorial. Comme le montre l'exemple de ces jeunes Allemands : « On voit d'un côté que le procès était équitable, mais aussi que des criminels ont été acquittés. Espérons que cela sera différent à l'avenir, on pense à l'Ukraine, par exemple », analyse un jeune homme. « Je n'avais pas conscience de l'importance du procès pour le droit pénal international », admet un autre. « Ça montre qu'on peut faire quelque chose contre ces crimes, mais le monde doit travailler ensemble », ajoute un troisième. Le procès de Nuremberg n'est pas qu'un chapitre historique essentiel après la chute du IIIe Reich. Il marque une césure du droit international toujours d'actualité, comme l'explique Gurgen Petrossian de l'académie des principes de Nuremberg : « Les principes de Nuremberg ont une importance centrale pour le droit pénal international. Ces règles ont été reprises dans le droit national des États. Nous le voyons dans des procès aujourd'hui où ces mêmes principes sont appliqués. » Le procès qui a commencé hier à Coblence, contre cinq hommes accusés de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité sous le régime Assad, en Syrie, illustre cette actualité de Nuremberg. À lire aussi75 ans après: Nuremberg ou la naissance du droit pénal international
ARTCENA et Rue du Conservatoire présentent Première Écoute, un rendez-vous audio pour découvrir les textes lauréats de l'aide nationale à la création de textes dramatiques. Découvrez « DOUZE » de Diane Chavelet, lecture dirigée par Marianne Wolfsohn, lu par Lucie Durand, Alexiane Torres, Marianne Wolfsohn et Corentin Etienne. CRÉDITS : Production : ARTCENA Création jingle : Marc Sayous Photo d'illustration : Doris Lanzmann
Si vous observez attentivement les rayons de votre supermarché, vous constaterez que plein d'autres produits sont aussi conditionnés par six comme les yaourts, ou par douze comme les rouleaux de papier toilettes. Il existe évidemment une raison et pour la retrouver, il faut retourner au Moyen Âge. Ce sont les commerçants de l'époque qui ont eu cette idée... Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête. Un podcast RTL Originals.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Marguerite Lagrave, 78 ans, vieille dame gentille et affectueuse. Elle vivait seule dans un minuscule village du Béarn. Attaquée en pleine nuit, la gorge tranchée, un cambriolage bizarre et méticuleux. Douze ans pour que la lumière jaillisse sur un scénario qui avait échappé à tout le monde. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Marguerite Lagrave, 78 ans, vieille dame gentille et affectueuse. Elle vivait seule dans un minuscule village du Béarn. Attaquée en pleine nuit, la gorge tranchée, un cambriolage bizarre et méticuleux. Douze ans pour que la lumière jaillisse sur un scénario qui avait échappé à tout le monde. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Lola Gruber, née en 1972, a travaillé dans les milieux du théâtre et du cinéma. Après un recueil de nouvelles très remarqué en 2005 «Douze histoires d'amour à faire soi-même» (Les Petits Matins) et un premier roman en 2009 «Les Pingouins dans la jungle» (Les Petits Matins), son roman «Trois concerts» (Phébus, 2019) a reçu quatre prix littéraires, dont le prix Alain-Spiess. «Horn venait la nuit» (2024) récompensé par le prix Charles-Oulmont vient d'être réédité dans la collection Satellites. «Elisabeth Lima» est son nouveau roman. Des flans aux anchois, une épaule d'agneau et un entremets nougat-basilic sont au menu quand Livia et Domenic, une écrivaine et un éditeur, reçoivent à déjeuner leur ami Camille, traducteur de poésie polonaise. Mais l'humeur est maussade en ce lendemain de remise de prix littéraire. Car, pour une fois, ils estiment que le livre récompensé ne valait pas tant d'honneurs. C'est alors que surgit une idée dans l'esprit de Do : écrire ensemble un best-seller. Peu à peu, les trois convives se prennent au jeu, commencent à imaginer des personnages, une intrigue… Et décident de dissimuler leurs identités sous un pseudonyme. Débute alors l'écriture d'un roman à six mains, qui va devenir bien plus qu'un simple divertissement. Bientôt, le pari d'un déjeuner arrosé se transforme en une aventure qui aura des répercussions inattendues pour chacun des auteurs clandestins. Porté par une étourdissante verve narrative, Elisabeth Lima nous fait pénétrer dans l'atelier de fabrication des romans, et nous raconte l'histoire à la fois drôle et émouvante de trois amis à la croisée des chemins. (Présentation des éditions Christian Bourgois).
Marguerite Lagrave, 78 ans, vieille dame gentille et affectueuse. Elle vivait seule dans un minuscule village du Béarn. Attaquée en pleine nuit, la gorge tranchée, un cambriolage bizarre et méticuleux. Douze ans pour que la lumière jaillisse sur un scénario qui avait échappé à tout le monde. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après une semaine marquée par les grands prix littéraires, gros plan aujourd'hui sur un roman français qui, justement, s'amuse du monde de l'édition et de ses récompenses. Intitulée Elisabeth Lima, cette fiction, publiée chez Christian Bourgois, est signée Lola Gruber, qui imagine comment trois amis montent une supercherie littéraire en inventant de toute pièce une romancière, Elisabeth Lima, sous le nom de laquelle ils publient un livre écrit ensemble. Lola Gruber est l'invitée culture de Catherine Fruchon-Toussaint. Lola Gruber, née en 1972, a travaillé dans les milieux du théâtre et du cinéma. Après un recueil de nouvelles très remarqué en 2005, Douze histoires d'amour à faire soi-même (Les Petits Matins) et un premier roman en 2009 Les Pingouins dans la jungle (Les Petits Matins), son roman Trois concerts (Phébus, 2019) a reçu quatre prix littéraires, dont le prix Alain Spiess. Horn venait la nuit (2024) récompensé par le prix Charles Oulmont vient d'être réédité dans la collection Satellites. Elisabeth Lima est son nouveau roman.
" Il en choisit douze auxquels il donna le nom d'Apôtres "Méditation de l'évangile (Lc 6, 12-19) par le père Joseph LeleuChant final : "Cet amour" par Paul BalocheRetrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participez à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus de vie spirituelle ci-dessous :Halte spirituelle : https://audmns.com/pMJdJHhB. A. -BA du christianisme : https://audmns.com/oiwPyKoLe Saint du Jour : https://audmns.com/yFRfglMEnfin une Bonne Nouvelle : https://audmns.com/afqCkPVConnaître le judaïsme : https://audmns.com/VTjtdyaEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 23 octobre 2025 : Quatre jours après le spectaculaire cambriolage du Louvre, l'enquête se poursuit et une nouvelle vidéo, filmée par un témoin, est apparue sur les réseaux sociaux. Deux hommes y sont filmés en train de descendre calmement par un monte-charge de la galerie Apollon, tentant de mettre le feu à l'engin — en vain — avant de s'enfuir en scooter. Les malfaiteurs, au nombre de quatre, auraient laissé dans leur fuite deux disqueuses, un chalumeau, de l'essence, des gants, un talkie-walkie, une couverture, ainsi que la couronne de l'impératrice Eugénie et un gilet jaune, selon des sources policières. Un casque aurait également été retrouvé sur place.Auditionnée au Sénat mercredi, Laurence des Cars, présidente-directrice du Louvre depuis 2021, a reconnu des failles dans la sûreté du musée : notamment un manque de caméras sur les façades de l'établissement. « J'assume totalement que nous avons une faiblesse dans la protection périmétrique du Louvre », a-t-elle affirmé. « Nous n'avons pas repéré suffisamment à l'avance l'arrivée des voleurs », a-t-elle concédé. « Les faiblesses de notre protection périmétrique sont connues et identifiées », a indiqué Laurence des Cars, assurant que le futur plan de sécurité permettrait de couvrir « l'ensemble des façades ».La ministre de la Culture, de son côté, a dénoncé les fausses informations circulant à ce sujet :Le dispositif de sécurité « a fonctionné ». « Les systèmes d'alarme ont été déclenchés à chaque effraction, et dès l'intrusion dans la salle, de la fenêtre aux vitrines ! Aucun système n'a été défaillant », a expliqué Rachida Dati. Pourtant, a-t-elle ajouté, « non », tout n'a pas été parfait et « oui », des choses sont à améliorer. Emmanuel Macron a demandé mercredi, en Conseil des ministres, une « accélération » des « mesures de sécurisation » du Louvre. Le président de la République attend sur son bureau une liste de propositions « pour la semaine prochaine », alors que les critiques se multiplient.Ainsi, l'ancienne ministre de la Culture Aurélie Filippetti (2012-2014) estime qu'« il y a aujourd'hui un défaut majeur dans le pilotage du ministère de la Culture (...). On a fait des choix de prestige, de communication souvent tape-à-l'œil, au détriment de l'entretien de base du musée (…) L'argent n'a pas été mis au bon endroit. Par exemple, depuis 2014, il y a eu une diminution de 14 % des personnels d'accueil et de surveillance du musée », a-t-elle expliqué mercredi sur le plateau de C dans l'air.Un rapport de la Cour des comptes pointe un retard « persistant » et « considérable » dans la mise en conformité des équipements de sécurité dans l'enceinte du Louvre. Il révèle notamment que 60 % des salles de l'aile Sully et 75 % de celles de l'aile Richelieu ne sont pas équipées de vidéosurveillance.Mais au-delà du Louvre, ce sont les débats autour de la sécurité des musées en France qui sont relancés. Nos journalistes sont allés à la rencontre de la directrice du musée du Hiéron, à Paray-le-Monial. Le 21 novembre 2024, ce musée d'art a été victime d'un braquage à main armée. Après avoir tiré des coups de feu, quatre individus, casqués, encagoulés et gantés, avaient fait main basse sur de précieux objets comportant de l'or, de l'ivoire et des pierres précieuses. Une partie seulement du butin a été retrouvée dans un sac, au fond de la rivière Arroux, en plein centre-ville de Gueugnon. Douze hommes ont été mis en examen jusqu'à présent dans cette affaire.LES EXPERTS :- Laurent Valdiguié - Journaliste d'investigation à Marianne- Christophe Barbier - Editorialiste politique, Conseiller de la rédaction Franc-Tireur - Didier Rykner - Directeur-fondateur, la Tribune de l'art- Caroline Pigozzi - Journaliste et écrivain- Anne-Elisabeth Moutet (en duplex) - Editorialiste au Daily Telegraph
Retrouvez la boutique LEGEND ➡️: https://shop.legend-group.fr/Merci à Benoit, Strike Workout, d'être venu nous voir chez Legend. Pompier depuis plus de 18 ans, il nous a raconté son quotidien et les interventions les plus marquantes de sa carrière, d'accouchements en urgence jusqu'à l'attentat de Charlie Hebdo.Pour devenir sapeur-pompier professionnel ➡️ https://www.securite-civile.interieur.gouv.fr/sengager/devenir-sapeur-pompier-professionnelRetrouvez toutes les informations sur notre invité : Son compte Instagram par ici ➡️ https://www.instagram.com/strike.workout/ Son site ➡️ https://www.strikeworkout.fr/fr/ Son compte TikTok ➡️ https://www.tiktok.com/@strikeworkoutRetrouvez notre reportage sur le syndrome de diogène ⬇️ 11 TONNES DE DÉCHETS DANS CETTE MAISON : SYNDROME DE DIOGÈNE CHEZ UNE FEMME DE 74 ANS ! ➡️ https://youtu.be/u8-6htGa94 Merci à Grace pour son témoignage.Le compte Instagram de Grace : ➡️ https://www.instagram.com/amazin_gracy?igsh=Zjd5YWtyZnN0YzNjLe compte Instagram de Julie Bourges alias Douze février ➡️ https://www.instagram.com/julie.bourges/Pour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Douze ans après sa dernière participation, l'Algérie se qualifie pour la Coupe du monde 2026 aux Etats-Unis, au Mexique et au Canada. En battant une faible équipe de Somalie 3-0 grâce à un doublé d'Amoura et un but et deux passes décisives de Mahrez, les Fennecs sont assurés de terminer en tête de leur groupe. L'Algérie va participer à sa 5e phase finale d'un Mondial après 1982, 1986, 2010 et la Coupe du monde 2014 au Brésil. Jérôme Rothen et Benoit Boutron commentent ce résultat.
C'est une habitude depuis que Pablo Longoria est à la tête l' Olympique de Marseille, les transferts estivaux sont souvent nombreux. Le début de saison séduisant de l'OM est en grande partie dû aux recrues estivales, souvent décisives. Douze arrivées au total, toutes plus convaincantes les unes que les autres. Mais alors qui de Weah, Aguerd, Emerson, Paixão... vous a le plus plu depuis le début de la saison ? Carine Galli, Rémi Dumont et Florent Germain font leur top 3 !
Rubrique:science-fiction Auteur: arkady-avertchenko Lecture: Daniel LuttringerDurée: 13min Fichier: 9 Mo Résumé du livre audio: Avertchenko, Douze couteaux dans le dos de la Révolution, traduit et adapté du russe par G. d'Ostoya, Paris : La Renaissance du Livre, [1928]. Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Les internautes connectés de bon matin au stream de Jean Pormanove, le 18 août, ne l'ont compris que plus tard, mais ils ont assisté à sa mort, en direct. Jean Pormanove, de son vrai nom Raphaël Graven, était une star française de la plateforme de streaming Kick. Sa mort a interrompu un live qui a duré plus de deux cent quatre-vingt-dix-huit heures, soit douze jours, avec ses acolytes dont les surnommés Coudoux, Safine et Narutovie. Douze jours au cours desquels il a subi, de la part des deux derniers, des coups, des étranglements et des humiliations en tout genre, sans interruption et sous les encouragements des spectateurs. Car c'était le concept même de cette chaîne de streaming, présentée comme humoristique.Les enquêteurs ont écarté l'hypothèse d'une mort causée directement par ces violences. Mais la mort de Jean Pormanove, jusque-là inconnu du grand public, soulève de nombreuses questions. Le streameur pouvait-il consentir aux violences qui lui étaient infligées ? Quelle était l'ampleur de ce business de l'humiliation ? Comment ces contenus violents ont-ils pu être diffusés sans la moindre modération ? Et quelle responsabilité pour Kick, la plateforme qui les hébergeait ?Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Jérôme Lefilliâtre, journaliste au service Société du Monde, et Olivier Clairouin, chef du service Pixels du Monde, répondent à toutes ces questions.Un épisode d'Adélaïde Tenaglia, réalisé par Amandine Robillard. Présentation et suivi éditorial : Claire Leys. Dans cet épisode : extraits de streams de Jean Pormanove diffusés sur Kick et d'une vidéo de la chaîne YouTube de Narutovie.Cet épisode a été diffusé le 4 septembre 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
durée : 00:01:57 - Le vrai ou faux - Douze millions d'écoliers, de collégiens et de lycéens font leur rentrée lundi . Plusieurs rumeurs sèment le doute sur les nouveautés de la rentrée. Le Vrai ou Faux fait le point. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Depuis plusieurs années maintenant, nous vous proposons deux fois par mois d'écouter une conversation avec un homme ou une femme de cheval.De chacune de ces rencontres, nous avons su retirer un enseignement, un nouveau leitmotiv ou tout simplement un nouveau regard sur notre sport. ☀️
Deux attaques ont été menées ce jeudi contre un hélicoptère militaire, près de Medellin, et une base de l'armée de l'Air à Cali, tuant 18 personnes et blessant des dizaines. Elles sont attribuées à des groupes dissidents des FARC, considérés maintenant comme « entités terroristes ». Il est près de 15h, et c'est la panique dans cette rue de Cali. Dans cette vidéo, publiée par le journal El Espectador, on peut voir le camion utilisé pour l'attentat, éventré devant un centre commercial et proche de la base de l'armée de l'air. Six civils ont été tués dans cette explosion et une soixantaine de blessés, et ce bilan aurait pu être encore plus élevé, rapporte El Pais de Cali, car selon la ministre de la Défense, un deuxième camion chargé d'explosifs n'a pas réussi à exploser. Deux suspects ont été arrêtés et les autorités accusent des groupes narcotrafiquants, dissidents de la rébellion FARC d'en être responsables. Le président Gustavo Petro a condamné ce « massacre », et tout de suite déclaré trois de ces groupes comme « entités terroristes » : ils s'appellent Mordisco, la Segunda Marquetalia et El Clan del Golfo. Ceci est censé faciliter la coopération internationale pour les combattre, mais dans les faits, cela ne changera pas grand-chose dans ce domaine, tempère El Tiempo, car « les États-Unis les ont déjà placés sur une liste noire ». Par contre, cela réduira les chances d'accord de paix avec eux, prévient une juriste dans le journal, et risque d'accroitre la violence : « si vous accentuez les opérations militaires contre eux, ils augmenteront ce genre d'attaques, dont les premières cibles sont les civils », alerte cette spécialiste. Pour Lina Penagos, chercheuse franco-colombienne en science politique à l'université Paris-Est Créteil, interrogée sur notre antenne, « il est important que le gouvernement colombien reconnaisse que ces groupes sont avant tout criminels », et que le problème tient au fait que, jusqu'à présent, le président Gustavo Petro a essayé de négocier avec eux, par exemple par des discussions menées au Qatar avec le Clan del Golfo. Or, ces groupes ne sont plus des entités politiques, mais « mènent des activités criminelles très larges, autour du narcotrafic mais aussi des mines ou des armes ». Vous pouvez écouter son entretien complet dans cette tranche (11e minute). Dossier sur les cartels mexicains dans le monde, par Noémie Lehouelleur Ces cartels, comme celui de Sinaloa ou de Jalisco Nueva Generacion, fonctionnent aujourd'hui comme des multinationales, s'emparent de nouvelles routes à travers l'Afrique, et développent de nouveaux produits et méthodes : il est possible d'acheter des laboratoires de métamphétamines et de les installer en Europe, avec l'aide d'experts mexicains, par exemple. Reportage entier dans le dossier audio de cette tranche (18e minute). Aux États-Unis, la nouvelle prison pour migrants illégaux, Alligator Alcatraz, doit fermer C'est une des prisons emblématiques lancées par l'administration Trump pour accueillir les migrants clandestins, mais une juge fédérale a ordonné sa fermeture d'ici deux mois, jeudi, et interdit l'entrée de nouveaux détenus. Elle donne ainsi raison à un groupe environnemental, cité par le Miami Herald. Ils assuraient que cette gigantesque prison, située dans le parc national des Everglades, en Floride pouvait détruire l'écologie locale, et menacer surtout une espèce de panthère en danger et des chauve-souris, à cause des projecteurs visibles à plus de 40 kilomètres de distance. La juge a reproché aux autorités de ne pas avoir réalisé d'étude d'impact environnementale avant de l'ouvrir début juillet, révélant un empressement excessif. L'État de Floride a fait appel de ce jugement, et semble de toutes façons l'anticiper, car sur les 1 400 prisonniers que comptait la prison le mois dernier, il en reste moins de 400, et un nouveau centre de détention devrait ouvrir au nord de la Floride. Au Mexique, d'où vient un quart des détenus, cette prochaine fermeture réjouit les autorités, rapporte le quotidien Universal - un de ses consuls aux États-Unis répète qu'« être migrant n'est pas un délit, et que ces personnes ne doivent pas être en prison ». Les coupes dans Medicaid contestées par des électeurs républicains Dans leur budget adopté le mois dernier, les élus républicains cherchaient des fonds pour financer leur chasse aux migrants illégaux - et ils ont donc largement coupé dans le programme médical pour les plus défavorisés, appelé Medicaid. Douze millions de personnes pourraient en être exclues, et parmi elles, des Républicains, justement, comme Rachel Roth Aldhizer. Cette mère d'un enfant gravement handicapé, appelé David, lance un cri de révolte dans les colonnes du New York Times: « Medicaid paie pour les docteurs de David, ses kinés et me paie même pour prendre soin de lui toute la journée. Medicaid maintient David en vie », écrit-elle. Dans son État de Caroline du Nord, les coupes pourraient s'élever à 319 millions de dollars à partir d'octobre. Rachel appelle donc les citoyens à interpeler leurs élus, afin d'arrêter l'hécatombe, au nom de valeurs non partisanes : « la manière dont nous nous occupons des plus vulnérables révèle ce en quoi nous croyons. Un jour, vous aurez aussi besoin de quelqu'un pour s'occuper de vous », rappelle cette maman républicaine. Et de conclure : « La dépendance, la faiblesse et le besoin des autres ne sont pas une tare - cela fait partie de l'expérience humaine. » A Haïti, la fermeture des hôpitaux universitaires pose un danger sanitaire À cause de l'insécurité qui ravage l'île, deux des plus importants hôpitaux universitaires ont fermé depuis 18 mois : l'hôpital de l'université d'État d'Haïti, à Port-au-Prince, et celui de Mirebalais. Un quart des docteurs formés à Mirebalais en 2023 a déjà quitté le pays, rappelle Le Nouvelliste, et ceux qui sortent aujourd'hui des écoles n'ont pas d'endroit où se former dans beaucoup de spécialités aussi communes que la dermatologie ou la neuropsychiatrie. Nous sommes en pleine période de recrutement, et les places manquent. « L'heure est grave, la situation nécessite que les responsables à tous les niveaux soient à la hauteur. Ça urge ! », s'écrie le journal. Le journal de la 1ere En Martinique, le ministre français de l'Intérieur a dévoilé de nombreux moyens pour lutter contre le narcotrafic : des radars, des drones et un scanner, entre autres. Les réactions des députés locaux sont peu enthousiastes, car cela arrive plus de huit mois après la flambée des crimes. Bruno Retailleau se rend maintenant en Guadeloupe, où les mêmes problèmes agitent le département.
Une lettre, destinée au président Javier Milei, a été trouvée sur le téléphone de l'ex-président brésilien. Il l'avait écrite quelques jours après son inculpation et la confiscation de son passeport, en février 2025. Il y demande l'asile politique. Depuis février 2025, l'ancien président est inculpé pour plusieurs chefs d'accusation, dont, entre autres, une tentative de coup d'État. Le résultat de son procès est prévu pour septembre. Ce nouvel élément vient donc compléter une lourde enquête en cours. Cette lettre constitue donc un élément à charge supplémentaire : Jair Bolsonaro cherche à fuir le pays. À ce jour, rien n'indique que cette lettre ait été transmise à Javier Milei. Les explications de Nemo Lecoq-Jammes. En Haïti, les recettes fiscales de l'État s'effondrent tandis que celles des gangs décollent. Frantz Duval, rédacteur en chef du Nouvelliste, revient sur le dossier économique complet publié dans les pages du journal haïtien. Aux États-Unis, le vice-président américain J.D. Vance a rendu visite à la Garde nationale déployée à Washington DC. Ils sont près de 2 000 militaires postés dans la capitale pour contrer le crime qui ravagerait la ville, selon le président Trump, et l'accueil n'a pas été très chaleureux. Alors que J.D. Vance et d'autres membres importants de l'administration Trump traversaient la gare Union de Washington, ils ont été hués et insultés par une foule de manifestants. Dans une vidéo du journal britannique The Guardian, on voit un manifestant les insulter de « sales nazis », tandis que la foule hurle : « Libérez Washington ! ». Plus tard, J.D. Vance leur rétorque : « Vous voyez ces gens dehors qui crient “Libérez Washington” ?! Libérons Washington de l'anarchie ! Et c'est plutôt bizarre qu'il y ait un groupe de personnes blanches et âgées, qui manifestent contre des politiques visant à assurer la sécurité des citoyens, alors qu'elles n'ont jamais connu le danger de toute leur vie. » Selon un sondage du Washington Post, une large majorité des résidents de D.C. s'opposent à la prise de contrôle de la police par le président Donald Trump. 65 % déclarent ne pas croire que ses actions rendront la ville plus sûre. Les États-Unis déploient aussi des forces militaires dans les eaux au large de l'Amérique latine et des Caraïbes. Trois destroyers doivent arriver aujourd'hui jeudi près des côtes du Venezuela, officiellement pour lutter contre le trafic de drogue, mais Caracas est loin d'apprécier. « Une violation du droit international », « une tentative illégale et immorale d'esclavage », c'est ainsi que Nicolas Maduro qualifie l'opération américaine. Il est cité dans le journal El Universal. Pour El Nacional, autre média vénézuélien, « la vérité est que la Maison Blanche poursuit sa politique de pression croissante contre le régime chaviste. » Et d'ajouter qu'avec ses 4 000 marines, cette opération est une « démonstration de puissance des destroyers les plus avancés du monde. » Le média décrit la puissance de frappe et la polyvalence des navires de guerre américains. Il détaille leurs caractéristiques et leurs performances impressionnantes. Ce déploiement militaire s'inscrit dans un effort plus large de déstabilisation du président vénézuélien. La manœuvre est censée combattre les narcotrafiquants de la région, et notamment le Cartel des Soleils, cartel prétendument dirigé par Nicolas Maduro lui-même, selon les États-Unis. Le régime « est acculé et traverse l'un de ses pires moments », selon le média en ligne NTN 24. D'autant que l'administration Trump offre désormais une récompense de cinquante millions de dollars pour la capture de Maduro. Si Trump a fait de la lutte contre les narcotrafiquants sa priorité, sa stratégie très agressive vis-à-vis de ses voisins n'est peut-être pas la bonne. Dans les pages du New-York Times, le spécialiste des cartels mexicains Ioan Grillo, auteur de livres sur le sujet, revient sur l'annonce de l'administration Trump de mener des opérations anti-drogue jusque sur le sol mexicain. Selon le chercheur, cette « démonstration de force (...) n'ébranlerait guère les cartels mais envenimerait les relations avec le gouvernement mexicain, empêchant la coopération nécessaire pour démanteler ces organisations ». Cette coopération a d'ailleurs donné lieu à la livraison par le Mexique, le 13 août, de 26 membres de cartels aux États-Unis, mais la présidente mexicaine, Claudia Sheinbaum, a promis de ne jamais laisser l'armée américaine poser un pied sur le territoire mexicain. Ioan Grillo conclut que « si Washington souhaite sérieusement démanteler les cartels, il doit commencer de son côté de la frontière : réduire l'énorme demande américaine de drogue, lutter contre le blanchiment d'argent aux États-Unis et stopper l'afflux d'armes à feu illégales au Mexique ». Plus au sud, en Argentine, une séance houleuse s'est déroulée ce mercredi soir au Parlement. L'opposition à la Chambre des députés a réussi à défier Milei, sa tronçonneuse et ses coupes budgétaires. Les députés d'opposition se sont entendus pour approuver une augmentation du budget pour les soins aux personnes handicapées. « Un revers », pour Javier Milei, selon le journal Clarin, puisque le président argentin avait apposé son véto sur cette mesure. Le journal de gauche Pagina 12 évoque ces centaines de manifestants, handicapés ou proches de personnes handicapées, qui manifestaient autour du congrès avec des banderoles sur lesquelles on pouvait lire « Non aux mesures d'austérité » et « Le veto nous condamne ». Pagina 12 déplore en revanche que « l'opposition n'ait pas réussi à obtenir les deux tiers des voix nécessaires pour passer outre l'autre veto du président Javier Milei sur la loi d'augmentation des retraites ». À l'inverse, pour La Nacion, c'est une « victoire significative (..) Le parti au pouvoir a ainsi freiné l'élan de l'opposition », estime le quotidien. Une retraite méritée pour les chevaux colombiens. En Colombie, en 2013, l'administration de Gustavo Petro, alors maire de Bogota, a interdit l'utilisation de la traction animale. 4 000 chevaux ont alors quitté les rues, libérés d'une tâche épuisante aux côtés des ramasseurs informels de déchets. Douze ans plus tard, certains de ces chevaux vivent une retraite paisible dans des fermes des alentours de la capitale. Reportage de Camille Bouju. Journal de la 1ere. Bruno Retailleau a entamé une tournée express aux Antilles. L'expansion du narcotrafic et la montée exponentielle de la violence sont les priorités du ministre français de l'Intérieur.
durée : 00:58:17 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Le sordide viol collectif d'une étudiante dans un bus de New Delhi, en 2012, avait provoqué une onde de choc en Inde et amorcé des changements législatifs et sociétaux longtemps espérés des féministes indiennes. Douze ans plus tard, leurs effets sur la sécurité des femmes restent limités. - réalisation : Margot Page - invités : Vaiju Naravane Écrivaine et journaliste, correspondante, notamment pour The Hindustan Times; Virginie Dutoya Politiste, chercheuse au CESAH, Centre d'études sud-asiatiques et himalayennes ; Laurent Gayer Chercheur au Centre d'études et de recherches internationales (CERI/Sciences Po, Paris)
Il y a un an, l'équipe de France de rugby à 7 masculine remportait le titre olympique, la première médaille d'or tricolore des JO de Paris. Douze mois plus tard, où en sont les Bleus et les Bleues ? Que va changer la réforme du circuit mondial ? « Crunch » spécial rugby à 7 avec l'ancien international Jonathan Laugel. Un podcast présenté par Léa Leostic, avec Sarah Freycenon et Jonathan Laugel. Montage : Léa Leostic.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.