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Sr. Marie de l'Assomption, O.P - "Imago Dei: La vision chrétienne de la personne humaine" by Thomistic Institute Angelicum.
NOËL À NICE - Les 24 et 25 décembre, RCF installe ses studios à la basilique Notre-Dame de l'Assomption, à Nice. Diffusion de la messe de la nuit de Noël en direct, mais aussi reportages et tables-rondes : pour célébrer Noël en communion avec les habitants d'une région meurtrie et endeuillée, nous vous proposons une programmation spéciale.. > En savoir plus Le Père Franklin Parmentier est le curé de la paroisse Notre-Dame de l'Assomption, à Nice. Le 29 octobre dernier, trois de ses paroissiens, Simone, Nadine et Vincent, ont été assassinés par un terroriste islamiste. Dans ce contexte, Noël peut-il être joyeux ? "C'est sûr que ça peut pas être un joyeux Noël quand on perd des personnes qu'on aime, confie-t-il, après, je pense que là aussi, il ne faut pas se laisser voler Noël : Noël c'est pas juste une fête familiale, c'est pas juste un ensemble de valeurs..." Rechercher le vrai sens de Noël "Le Noël voulu par Dieu c'est ce Noël où il rejoint l'homme dans tout ce qu'il y a." Le Père Parmentier nous rappelle que dans la liturgie qui suit Noël, de façon assez mystérieuse, il est fait mention du martyre de saint Étienne et aussi des Saints-Innocents. "C'est-à-dire que dès que Dieu réalise son projet de salut, explique-t-il, il y a aussi ce mystère de la mort et de la résurrection qui va commencer aussi là." Un mystère "qui continue de nous interroger aujourd'hui". "Noël va avoir lieu, c'est peut-être pour nous l'occasion de lui redonner du vrai sens." pouvoir compter sur les autres... Aujourd'hui, ce n'est pas de la colère ni de la peur qu'éprouve le Père Parmentier, car "il y a eu des très belles choses qui se sont passées". Mais de la fatigue, de l'incompréhension et parfois, "de l'abattement", surtout dans ce contexte de pandémie... Cependant, "il y a toujours quelqu'un qui est là et quand c'est vous qui êtes fatigué, il y a quelqu'un qui est fort à côté de vous et quand c'est l'autre qui est fabile, là aussi vous avez des grâces". Dans l'épreuve, "on fait l'expérience d'un Dieu qui est là", note le curé de paroisse, qui cite saint Paul : "Lorsque que je suis fabile, c'est alors que je suis fort" (2 Co 12, 10). "On apprend à ne pas compter que sur ses propres forces." Après le drame, les prêtres et les fidèles de la paroisse ont organisé plusieurs célébrations pour "remettre le Christ au centre". "Je pense que c'est là qu'on a vécu quelque chose de fort... le Christ nous a relevés." Faut-il chercher un sens au drame ? Qui ne s'est jamais posé la question du sens de l'épreuve et de la souffrance ? Pour le Père Parmentier, "il n'y a pas qu'un seul sens" et "chacun vit différemment la mort d'un proche, porte quelque chose de différent au cœur". Certains chercheront peut-être des explications : pourquoi a-t-il fait ça ? Pourquoi le terroriste a-t-il voulu tuer ces personnes ? "Mais le sens, ce n'est pas ça", prévient le prêtre. Le sens, il est dans "l'expérience" que nous faisons de la révélation de Dieu. "Dieu continue de se révéler... dans ce moment-là, il y a quelque chose qui se révèle d'un appel peut-être aussi et certainement, de la présence de Dieu."
Le 29 octobre 2020 l'impensable se produisait au coeur de la basilique Notre-Dame de l'Assomption à Nice. Un homme radicalisé assassine trois personnes : Nadine, Simone et Vincent le sacristain, tous bien connus dans la paroisse. Après l'effroi et la colère, il y a eu la peine et la tristesse, mais aussi la solidarité et la compassion. Aujourd'hui, les paroissiens niçois souhaitent que la basilique redevienne un lieu de vie et de communion. Vincent Parmentier, le curé de la paroisse, témoigne de cette reconstruction au micro de Véronique Alzieu dans l'émission Contre-Courant. Le coeur de la ville La basilique Notre-Dame de l'Assomption de Nice est située en plein coeur de la ville sur l'ancienne "avenue de la Gare", une rue commerçante bien connue des niçois. Son style néo-gothique fait son originalité. Les autres églises du vieux Nice sont plutôt de style baroque. Le Père Vincent Parmentier accueille Véronique Alzieu dans son bureau. Différentes photos sont affichées. Celle de l'évêque , "le père de notre église pour qui on prie tous les jours" et puis aussi les portraits de Nadine, Simone et Vincent car "c'est important de garder mémoire des personnes que nous aimons". "À ces meurtres qui veulent la division, qui veulent semer la haine et la mort, nous avons répondu par la communion et par un acte d'amour." Un lieu particulier pour les niçois Notre-Dame de l'Assomption est une basilique "car elle a aux yeux des fidèles une place un peu particulière" explique le Père Parmentier. Le statut de basilique est normalement donné à des sanctuaires tels que la Basilique de Montmartre ou la Basilique de Fourvière, des lieux de remerciements ou ayant une symbolique très forte au niveau de la foi. La Basilique Notre-Dame de l'Assomption de Nice, que l'on confond souvent avec la cathédrale de Nice, a hérité de ce titre particulier en 1978 suite à la demande de l'évêque de Nice, Mgr Mouisset, au pape Paul VI "de donner la dignité de basilique à cet endroit qui est particulier pour le coeur de Nice" raconte Vincent Parmentier. "Dieu nous a donné des très belles réponses de ce qu'il veut pour les Hommes. Non pas un Dieu qui punit, qui fait du mal mais au contraire un Dieu qui appelle à la vie , qui dit : choisis la vie et choisis la Vie avec moi." S'unir face à la douleur Malgré la douleur des fidèles suite à l'attentat, s'ajoutant à cela les conditions sanitaires compliqués, les paroissiens se sont immédiatement mobilisés pour que l'église puisse rester ouverte. Des milliers de fleurs ont été déposées en hommage aux victimes. Pour le curé de la paroisse c'est un formidable symbole d'espérance : "le beau a recouvert ce qui était un masque de laideur". Le Père Parmentier remercie "tous les bénévoles qui ont eu à coeur de faire en sorte que cette basilique soit ouverte, qui n'ont pas eu peur de revenir dans ce lieu, qui ont donné du temps". "On essaye de continuer à vivre même si on est marqués à vie. Mais en même on voudra fêter la venue du seigneur, dans l'espérance et la paix et l'amour parce que c'est ça notre mission." Madeleine, paroissienne
durée : 00:30:46 - Chrétiens d'Orient - par : Sébastien de Courtois - L'Assomption de Marie, qui est aussi appelée Dormition dans la tradition orientale, est la croyance selon laquelle la Vierge Marie, mère de Jésus, n'est pas morte mais est entrée directement dans la gloire de Dieu. - réalisation : Dany Journo
Messe du 09/08/2020 en l'église de la Ste Vierge de l'Assomption à Farciennes
Nous entrons cette année dans le 70e anniversaire de la proclamation du dogme de l'Assomption, lors de la cérémonie solennelle du 1er novembre 1950. Le dogme lui-même tient en quelques mots : « Marie, l'Immaculée Mère de Dieu toujours Vierge, à la fin du cours de sa vie terrestre, a été élevée en âme et en corps à la gloire céleste ». C'est pour La Foi prise au mot l'occasion d'une émission à la fois théologique et historique. Théologique, puisque cela nous permet de revenir sur ce qu'est l'Assomption. Mais aussi historique puisque nous allons découvrir dans cette émission pourquoi et comment Pie XII est arrivé à la conclusion qu'il était nécessaire de proclamer ce dogme et pourquoi il le fit en engageant sa fameuse infaillibilité pontificale, sur laquelle il sera bon de revenir. Nous partons donc à la découverte du dogme de l'Assomption en compagnie des deux invités de Régis Burnet : Martin Dumont, secrétaire général de l'Institut de recherche pour l'étude des religions à la faculté des lettres de Sorbonne-Université, et Sophie Binggeli, enseignante en théologie à la Faculté Notre-Dame et responsable du cours de théologie mariale aux Bernardins.
On inaugure le nouveau cocktail de la saison : le Michel Louvain à base de Peachtree Schnapps! Comme l'Halloween approche, on vous parle du malaise paranormal de Michael lors de notre visite au Vieux palais de justice de L'Assomption et on vous suggère le film Get Over It pour votre prohaine soirée P. On jase aussi de la fin des caleches dans le Vieux-Port et de la mystérieuse caleche fantôme. La chanson PS Tendresse de la semaine est Vivre dans la nuit.
La réponse du P. Jacques Nieuviarts aux questions de Sophie de Villeneuve, rédactrice en chef de croire.com. Publié le 30 septembre 2015. Marie sans péché, est-ce dans les textes ? J. N. : Ce que les Evangiles nous disent de Marie se trouve principalement dans les deux premiers chapitres de Luc. On voit aussi Marie au pied de la Croix, notamment dans l'Evangile de Jean. On la sait présente tout au long de la vie de Jésus et dans les débuts de l'Eglise. Dans le texte de l'Annonciation, l'ange Gabriel apparaît à une jeune fille nommée Marie, en Galilée. Il lui annonce la venue de Dieu en elle, et Marie répond Oui. Là on parle de la virginité de Marie. Mais Marie sans péché ne figure pas dans l’Évangile ? J. N. : Non, pas vraiment. Mais il faut se souvenir que dans la foi chrétienne, tout ce que l'on dit de Marie provient de ce que l'on a découvert de Jésus. La foi des premiers siècles, en se déployant, a dû trouver ses mots et se définir en s'affrontant à une pensée souvent contraire, à des courants de division, à des hérésies... Ce sont les conciles des premiers siècles qui sont parvenus à dire avec clarté que Jésus était vrai Dieu et vrai homme. Dès lors, s'il est vrai Dieu et vrai homme, Marie est mère de Dieu ! Et Marie, étant mère de Dieu, n'a pas pu connaître le péché. D'où cette affirmation : Marie est conçue sans péché. Si elle est conçue sans péché, cela veut-il dire que tout au long de sa vie, elle ne s'énerve jamais, ne se met jamais en colère, enfin toutes ces petites choses que l'on connaît ? J. N. : Quand on dit que Marie est conçue sans péché, cela veut dire que dès le début, elle est dans la clarté totale. Elle est dans une disponibilité totale, une terre vierge sur laquelle Dieu peut écrire son projet. Après, s'est-elle mise en colère ? J'imagine que oui, elle n'a pas été exemptée de vivre une vie humaine. Seulement elle a vécu dans la clarté totale de Dieu. Il y a des colères qui endommagent les autres, et il y a de saines colères, Jésus en a eu lui aussi. Mais ce qu'on appelle le péché, cette séparation d'avec Dieu, elle ne l'a pas connu du tout ? J. N. : C'est inconcevable. Elle en a été préservée entièrement, c'est la foi de l’Église. Corrélativement, on affirme aussi l'Assomption de Marie, qui dit qu'elle n'a pas connu non plus la dégradation de la mort. Les deux dogmes de l'Immaculée Conception et de l'Assomption datent respectivement de 1854 et de 1950, et sont liés. C'est bien à Lourdes que Marie a dit à la petite Bernadette : «Je suis l'Immaculée Conception» ? J. N. : Oui, en 1858, Marie le lui dit en patois, et Bernadette répète jusque chez le curé Peyramale cette affirmation qu'elle ne comprend pas, et qui laisse le curé étourdi d'entendre de la bouche de cette illettrée l'affirmation que l’Église vient de prononcer quatre ans plus tôt. Cela prouve que c'était important pour la foi ? Tout de même, il n'y a que les catholiques qui reconnaissent Marie sans péché ! J. N. : C'est exact. Tous les chrétiens reconnaissent Marie mère de Dieu, mais seuls les catholiques insistent sur le dogme de l'Immaculée Conception. Pour notre foi, c'est une manière d'aller plus loin dans la compréhension de Marie. Dans notre vie quotidienne, qu'est-ce que cela dit ? J. N. : Cela dit ce qui se révèle en nous, cette clarté de Dieu qui peut s'installer petit à petit. L'immaculée Conception, l’Église l'affirme uniquement de Marie. A ce titre elle est différente de nous. Marie, telle que les Évangiles la présentent et telle que la foi de l’Église la comprend, nous montre ce que devient un être quand il se laisse toucher intégralement par l’Évangile. Et nous rencontrons des gens qui vivent de cette clarté totale, et qui sont en très grande proximité avec Marie. Cela veut dire que même si nous ne sommes pas conçus sans péché, nous pouvons essayer de ressembler à Marie ? J. N. : Je le crois, parce que nous ne sommes pas faits pour vivre dans le péché. Le péché, c'est une corrosion, une usure dans notre relation avec Dieu. Nous sommes faits pour vivre dans cette clarté et cette intimité de Dieu, ce choix de Dieu de notre part qui transforme notre vie et nos relations quotidiennes. Mais comment faire au jour le jour ? J. N. : Au jour le jour, il faut faire comme Marie : être disponible à une parole qui vient de Dieu. Ce n'est pas de nous que viendra la transformation, c'est d'une parole entendue, que nous laisserons irriguer notre vie. Marie donne pleinement sa vie, Jésus appelle à le suivre, il dit au pécheur : «Tu es pardonné», à la femme adultère «Va et ne pèche plus»... Quand nous laissons toutes ces paroles imprégner notre cœur, elles bouleversent notre vie et petit à petit la rapprochent de Dieu. C'est cela que Marie a vécu, cette proximité infinie. C'est pourquoi elle nous est présentée comme un modèle, bien qu'elle soit, comme disent les textes, «de notre race». Cela veut-il dire qu'il faut lire un passage de la Bible tous les jours ? J. N. : Bien sûr ! Il faut pratiquer une écoute attentive de la Parole, une écoute amoureuse aussi. Quand l’Évangile dit que Marie «gardait toutes ces choses en son cœur», elle qui vivait avec les Écritures de son peuple, ce qu'elle gardait dans son cœur, c'est cette rencontre de Dieu. Et cette rencontre très spécifique, elle la faisait en voyant vivre Jésus, qui l'a plus d'une fois désarçonnée. Comment faisait-elle pour vivre ? Comme vous et moi, en essayant de retrouver où était le cap, et c'était pour elle dans cet enracinement dans la Parole de Dieu. La tradition chrétienne a d'ailleurs beaucoup représenté Anne, la mère de Marie, en train d'apprendre à sa fille toute petite à lire la Torah. Si je comprends bien, ce dogme n'est pas fait pour nous éloigner de Marie, mais pour nous montrer qu'on peut devenir comme elle. J. N. : Il nous montre que c'est possible dans un être, et que c'est un aimant pour nos vies. Possible dans un être, mais pour nous ? Pouvons-nous, non pas être conçus, mais devenir sans péché ? J. N. : Je crois que c'est notre désir le plus profond. Et Marie dans l’Évangile nous montre que c'est possible, concrètement possible. Vous et moi, touchés par l’Évangile, pouvons rayonner de l’Évangile. Alors on pourra dire un jour de nous aussi : «En eux le Verbe s'est fait chair», «la Parole de Dieu a pris corps». Propos recueillis par Sophie de Villeneuve. Pour aller plus loin : Voir aussi sur croire.com Immaculée Conception Marie, la Sainte unique Faut-il croire aux apparitions de Lourdes?
L'Assomption de la Vierge Marie
©Musique proposée par La Musique Libre/Jazz In Paris - Media Right Productions/Rizhlaine Ferfar/Laurent Pradal
Vous vous souvenez de Clotilde, dans le premier épisode ? Retrouvez-la dans la première de ces quatre chroniques sur Marie pour le mois d'août, où les catholiques fêtent l'Assomption. Nous y parlons de la Vierge Marie, modèle de la féminité catholique et de Marie de Magdala, qui est un peu son pendant. Musique : Salve Regina d'Emerico Lobo de Mesquita, interprété par le chœur Ars Nova. Source : www.musopen.org. Pour les notes et les références de l'épisode voir www.desfemmesetundieu.wordpress.com.
Les mensuelles - Un monde de livres – émission présentée par Josyane Savigneau qui reçoit Jean-Luc Barré et Gérard de Cortanze, éditeurs et écrivains et Victoria Mas, romancière. À propos du livre : "Femme qui court" Paru aux éditions Albin Michel En 1910, Violette, âgée de 17 ans, est élève au couvent de l'Assomption. Encadrées par des professeures d'éducation physique anglaises, les jeunes pensionnaires y découvrent le sport. Les années passant, devenue une sportive exceptionnelle, elle enchaîne les championnats d'athlétisme, se passionne pour le cyclisme, le football, le water-polo, la boxe, la compétition automobile... Quand la guerre de 1914 survient, elle est ambulancière puis motocycliste de liaison. Dévoreuse de femmes, assoiffée d'amour dans un corps sculpté à sa démesure, Violette, boulimique de vie, court derrière un bonheur qui lui semble inaccessible. Elle s'essaie au music-hall, au théâtre, devient l'amante de Joséphine Baker puis d'Yvonne de Bray, l'ami de Cocteau et de Marais. Mal aimée, rejetée, elle va là où on l'accepte. Quand la guerre éclate, elle prend la direction du garage Pershing réquisitionné par la Luftwaffe et pratique le marché noir. Violette est une combattante du féminisme qui épouse les revendications des femmes inexorablement retardées par la Grande Guerre puis, dans les années trente, par la crise économique et la montée des périls. Garçonne aux cheveux courts, en monocle et pantalon, qui n'hésite pas par provocation à pratiquer une radicale mastectomie. Fascinante, scandaleuse, Violette Morris cristallise les fantasmes et les conflits culturels dans lesquels notre époque peut se reconnaître. Auteur de romans, de biographies, d'essais sur l'art et la littérature, Gérard de Cortanze a obtenu le prix Renaudot 2002 pour Assam. Nombre de ses livres ont pour personnage principal une héroïne. Frida Kahlo, dans Les amants de Coyoacan ; Gâlâh, dans L'an prochain à Grenade ; Josette, dans Zazous ; Michèle, dans Laisse tomber les filles et Violette Morris dans Femme qui court. À propos du livre : "Le Bal des folles" Paru aux éditions Albin Michel Chaque année, à la mi-carême, se tient un très étrange Bal des Folles. Le temps d'une soirée, le Tout-Paris s'encanaille sur des airs de valse et de polka en compagnie de femmes déguisées en colombines, gitanes, zouaves et autres mousquetaires. Réparti sur deux salles - d'un côté les idiotes et les épileptiques ; de l'autre les hystériques, les folles et les maniaques - ce bal est en réalité l'une des dernières expérimentations de Charcot, désireux de faire des malades de la Salpêtrière des femmes comme les autres. Parmi elles, Eugénie, Louise et Geneviève, dont Victoria Mas retrace le parcours heurté, dans ce premier roman qui met à nu la condition féminine au XIXe siècle. Victoria Mas a travaillé dans le cinéma. Elle signe avec Le Bal des folles son premier roman. À propos du livre : "Bains de mer, bains de rêve" Paru aux éditions Robert Laffont Nouvelliste de génie et romancier fulgurant, emblème de la modernité littéraire des années vingt, Paul Morand fut aussi l'un des plus grands voyageurs de son temps. À la fois protagoniste nostalgique d'un monde en train de disparaître et témoin désabusé de l'émergence du tourisme de masse. Traversant l'espace et le temps, ses récits de voyages possèdent le parfum inimitable de l'évasion, du désir et du rêve. Conçu par Olivier Aubertin, ce volume invite à un véritable tour de la planète en compagnie de l'auteur de L'Homme pressé. Se trouvent ici réunis des oeuvres célèbres, qui ont forgé l'image cosmopolite de Morand (Rien que la terre, Air indien...), et des textes plus brefs – reportages, chroniques ou préfaces – devenus introuvables et pour une partie d'entre eux restés inédits. Une fois dispensés quelques " Conseils pour voyager sans argent " et formulée une " Méditation sur la vitesse ", l'odyssée morandienne peut démarrer. Elle entraîne le lecteur de la route des Indes au Siam, de l'île de Pâques aux rivages de l'Angleterre et de l'Amérique. Ce périple passe, bien sûr, par la Suisse et Venise, escales qui sont pour l'écrivain autant de points d'ancrage dans un parcours marqué par le goût de l'urgence, la griserie de la route, l'enchantement des Bains de mer et le feu des soleils du Sud. Toute la terre est là ; tout Morand aussi, sa curiosité jamais rassasiée, nourrie par un regard vif et percutant, un style aussi serré qu'éblouissant. " Morand est un tireur d'élite, souligne Nicolas d'Estienne d'Orves dans sa préface. Jamais de mitraille, mais un seul trait juste, précis, implacable. Il saisit au sens premier du terme : il attrape une image, une scène, la ligote pour mieux la libérer en mots, et le voyage se fait livre. " Olivier Aubertin est banquier, auteur, traducteur et éditeur. Nicolas d'Estienne d'Orves est écrivain et journaliste.
Entrevue avec Gérard Poirier, comédien et Yves Poirier, journaliste TVA Nouvelles: À propos de la mort de la mère de Gilles Duceppe, Hélène Rowley, Hotte au complexe résidentiel Lux Gouverneur, situé rue Sherbrooke Est, près du boulevard de l'Assomption.
Manchettes, nouvelle du jour et commentaires. Entrevue avec Gérard Poirier, comédien et Yves Poirier, journaliste TVA Nouvelles: À propos de la mort de la mère de Gilles Duceppe, Hélène Rowley Hotte, au complexe résidentiel Lux Gouverneur, situé rue Sherbrooke Est, près du boulevard de l'Assomption. Entrevue avec Guillaume St-Pierre, journaliste: Le dossier « Un « bébé passeport » par jour au Québec ». Entrevue avec Annie St-Onge, soeur de Christine St-Onge, retrouvée morte au Mexique le mois dernier: Le corps toujours coincé au Mexique. Le Buzz de Jean-Nicolas Gagné. Entrevue avec Andrew Scheer, chef de l’opposition officielle à Ottawa: Eaux usées, méfiance envers la Chine, l'attaque de Justin Trudeau et les promesses d'autonomie au Québec. Entretien avec Emmanuelle Latraverse: Le plan pour le Québec d'Andrew Scheer et le face à face à Ottawa au sujet de l'immigration. Segment Sports avec Charles-Antoine Sinotte: Les séries éliminatoires de la NFL et le week-end du CH. Une production de QUB radio Janvier 2019
Aujourd'hui à l'émission: Benoit Hardy-Chartrand, chercheur associé à la Chaire Raoul-Dandurand de l'UQAM; Chronique urbaine d'Hugo Lavoie; Les influenceurs: Nathalie Bondil, du Musée des beaux-arts de Montréal; Tanya Izquierdo Prindle, auteure et confondatrice de l'Association québécoise pour la douance; Dr Gilles Chamberland, directeur des services professionnels à l'Institut Philippe-Pinel; Politique avec Michel David; Sébastien Nadeau, maire de L'Assomption; Chronique municipale de François Cardinal; Le billet d'humeur de Catherine Ethier; Danny St Pierre pour son nouveau projet Mange tes légumes.
Concert de l' Orchestre Ars Juvenis, jeudi 6 décembre 2007, auditorium du lycée de l'Assomption, Rennes.