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Tu passes en L2 ?Tu es sur le point de te prendre un gros revers si tu crois que ça va ressembler à ta L1.Prof moins indulgents, matières plus techniques, copies massacrées dès septembre…Chaque année, j'ai des étudiantes brillantes qui se ramassent parce qu'elles n'ont pas compris que la L2, ça se prépare autrement.Dans cet épisode, je t'explique :– ce qui change vraiment entre la L1 et la L2– pourquoi ta méthode de travail doit évoluer– et comment éviter de finir avec des 3 ou des 4 aux premières colles
durée : 00:32:24 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund - À travers le témoignage d'un ancien SDF que Jollois a manipulé et l'histoire de Sylvie qu'il a ruinée, on comprend comment le pique assiette met en place une mécanique d'emprise sur des victimes de plus en plus vulnérables.
Impossible, vraiment ? Aurélien Sanchez, premier Français finisher de la mythique Barkley, partage son incroyable aventure. Une course où orientation, résilience et humilité priment sur la performance brute. Dans cet épisode, il nous raconte comment un passionné de foot devenu randonneur en Arizona s'est métamorphosé en ultra-aventurier, jusqu'à triompher d'un défi réputé infaisable. Une histoire de passion, de doutes, de préparation minutieuse… et de dépassement de soi.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Partir en vacances très loin de chez soi avec l'espoir, assumé ou non, de rencontrer quelqu'un pour la nuit ou pour la vie. Personne ne se reconnaît dans l'expression «touriste sexuel». Pourtant, en Thaïlande, à Cuba ou à Zanzibar, les Occidentales et Occidentaux augmentent leur pouvoir d'achat et leur statut social. Les relations nouées sur place avec des locaux mettent donc en lumière des inégalités de classe, de genre et d'origine. Que viennent chercher les hommes blancs dans ces relations «exotiques»? Peut-on comparer leurs relations avec celles qu'entretiennent les femmes blanches? Comment se nouent de vraies histoires d'amour malgré le gouffre culturel et social? Production : Laurence Difélix Réalisation : David Golan Les invitées: Juliette Roguet Socio-anthropologue,spécialiste de la sociologie des masculinités, des sexualités, du tourisme et des rapports sociaux imbriqués. Son livre « Jouir de l'exotisme. Enquête auprès des séducteurs professionnels de touristes au Pérou » sortira à la rentrée aux éditions de La Découverte. & Marion Bottero Docteure en anthropologie. Ses recherches doctorales portaient sur les échanges économico-sexuels et affectifs entre Occidentaux et locaux en Malaisie et en Thaïlande. Elle a publié "Tourisme sexuel et relations conjugales en Thaïlande et en Malaisie", en 2015, aux éditions L'harmattan.
Guerre Israël-Iran, treize personnes ont été tuées dans la nuit de samedi à dimanche 15 juin en Israël par des tirs de missiles iraniens en représailles des frappes israéliennes depuis le début de cette escalade militaire vendredi. Quel est actuellement le sentiment général des Israéliens sur cette opération lancée par le gouvernement de Benyamin Netanyahu ? Denis Charbit, professeur de sciences politiques à l'Université ouverte d'Israël, spécialiste de la société israélienne, est l'invité international de la mi-journée de RFI. RFI : Ces dernières nuits, les sirènes d'alerte ont retenti à travers le pays, la population a été appelée à se mettre à l'abri. Quel est le sentiment général des Israéliens sur cette opération lancée par le gouvernement de Benyamin Netanyahu ? Denis Charbit : De manière générale, par rapport au conflit qui oppose Israël au Hamas dans la bande de Gaza, avec la question des otages où, effectivement, les opinions sont relativement divisées, là, il y a plutôt unanimité. Parce que personne n'ignore en Israël, toutes tendances politiques confondues, que l'Iran développait, était sur le point de mettre au point une arme nucléaire dont on sait bien qu'elle aurait visé Israël tôt ou tard. Et en tout cas, elle aurait établi un duopole dans une région dans laquelle seul Israël maîtrise l'arme nucléaire. De ce point de vue-là, il y a un très large consensus, mais qui, bien sûr, oblige la société israélienne, tous les Israéliens, à prendre les mesures de sécurité nécessaires et, en gros, à se tourner vers leur abri. C'est là où les inégalités sociales apparaissent, puisqu'il y en a qui disposent de cet abri anti-atomique dans leur propre appartement. Mais d'autres doivent aller dans les escaliers lorsqu'il s'agit de bâtiments construits avant 1990. À partir de 1990, tous les bâtiments construits en Israël doivent avoir un abri anti-atomique. Et là, je dirais, et c'est un petit peu, il faut bien le dire, au petit bonheur la chance. Ça atteint la localité de Rishon LeZion. Hier, celle de Bat Yam, Tel Aviv avait été frappée, Haïfa également, avec les dégâts matériels très expressifs, mais surtout aussi des pertes humaines. Vous avez donné le chiffre de treize à ce jour et on comprend bien qu'on est dans une longue durée. La population se prépare à ce que cela dure ? Oui. Tout le monde se prépare à ce que cela dure. D'abord, toutes les activités sont arrêtées. Les gens continuent de travailler chez eux, à domicile. Personne ne se rend sur son lieu de travail, sauf ce qui est considéré comme urgent les hôpitaux, mais tout le reste est bloqué. Vous imaginez que toutes les personnes se sont approvisionnées puisque ça, ça reste ouvert. On est aussi incertain sur la durée de l'opération. On voit bien que l'armée israélienne tient bien les choses en main. On se rend compte que la capacité de riposte iranienne, certes, est significative, mais elle est globalement interceptée par la défense israélienne. Mais ce n'est pas du 100 %, ce n'est pas totalement hermétique. Les drones, le Dôme de fer, toute la panoplie mise en place par Israël depuis de longues années fait bien le travail, mais elle ne le fait pas complètement. D'où ces cinq ou six immeubles qui ont été gravement endommagés et qui ont entraîné effectivement des pertes humaines. La population fait-elle la différence entre cette riposte iranienne et les tirs qu'elle avait pu subir de la part du Hezbollah libanais ? Oui, parce qu'il faut bien comprendre une chose : c'est la première fois, en fait, depuis 1973, depuis la guerre du Kippour, que l'armée israélienne est confrontée à une autre armée. Alors certes, ce ne sont pas les fantassins, ce n'est pas l'armée de mer, ce n'est pas la même configuration qu'en 1973, mais on n'a plus affaire à une organisation comme le Hezbollah, le Hamas, le Fatah autrefois. Là, on est dans une confrontation d'État à État. L'Iran, ce n'est pas une petite organisation militaire et donc on se doute, et c'est la grande question qu'on se pose en fait. Est-ce que c'est un tigre de papier ? Elle a fait miroiter – ce qui avait été le cas pour le Hezbollah, on avait surestimé sa capacité. On s'est rendu compte qu'il était finalement bien plus faible, qu'on le croyait. Et c'est la question qu'on se pose pour l'Iran. Est-ce que, effectivement, l'Iran, à l'image du Hezbollah, n'a pas la capacité qu'elle prétendait avoir lorsqu'elle menaçait Israël de représailles. Ou bien c'est un plan à échéance, à plusieurs étapes et, peut-être, finalement, on est, encore une fois, dans une opération de longue durée. Et quand bien même le rapport de force semble être beaucoup plus favorable à Israël, dans la capacité de frapper le terrain de l'adversaire, il n'empêche qu'il n'est pas encore certain que l'Iran soit, comme on a un peu le sentiment aujourd'hui, aussi faible. [L'Iran] n'a peut-être pas dit son dernier mot, parce que là, on est dans le secret. On peut imaginer que du côté du renseignement israélien, on sait à peu près évaluer les capacités iraniennes. Nous, ce sont des expectatives, ce sont des interrogations que l'on se fait. Actuellement, on est plutôt confiants, mais finalement, on se dit que pour transformer le Moyen-Orient, parce que si c'est une opération qui aboutit à un match nul, je pense que ce n'est pas de cela que les Israéliens rêvent. Eux, ils aimeraient que le régime iranien, le régime de la République islamique tombe. Et pour arriver à cela, il ne suffit pas d'Israël. Israël peut ouvrir les hostilités, mais il faudra bien, à un moment ou un autre, que les Américains interviennent. Personne n'en veut donc au gouvernement de Benyamin Netanyahu d'avoir ouvert un nouveau front ? Non…. Alors attention, même la guerre menée après le 7-Octobre a été considérée comme légitime par Israël. Mais je dirais que l'argument, vous savez, sur la dimension personnelle, « il fait ça pour rester au pouvoir, etc. »... Alors bien sûr que s'il réussit dans cette opération, il sera conforté dans son pouvoir. Mais là, personne ne doute que l'ennemi iranien n'est pas un ennemi que Netanyahu a inventé de toute pièce pour justifier une nouvelle opération militaire. Personne ne doute de l'hostilité foncière de la République islamiste à l'égard de l'existence même de l'État d'Israël. À lire aussiL'attaque d'Israël est «unilatérale et illégale», affirme l'ambassadeur d'Iran en France À lire aussiGuerre Israël-Iran: «L'Iran apparaît comme un moyen de faire oublier Gaza et les crimes qui ont été commis»
Tous les matins dans Europe 1 Bonjour, Laurent Tessier revient sur le meilleur de l'émission de Pascal Praud et vous de la veille et vous livre en avant-première les sujets sur lesquels vous pourrez réagir en direct entre 11h et 13h, au 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou sur nos réseaux sociaux. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Pierre Rondeau, expert en économie du sport. Périco Légasse, journaliste. Et Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. - Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs, sexo… En simultané sur RMC Story.
Emmanuel Macron se rend en visite officielle au Groenland ce dimanche. Ce territoire autonome du Danemark est convoité par Donald Trump qui a répété qu'il voulait s'en emparer. Le président français annonce s'y rendre pour éviter toute « prédation » et toute « menace » et pour « être en solidarité avec le Premier ministre groenlandais », Jens-Frederik Nielsen. Celui-ci, arrivé au pouvoir en mars, doit veiller à maintenir l'unité de l'île face aux pressions extérieures. Avant de conduire son parti Demokraatit à la victoire, en mars, Jens-Frederik Nielsen était déjà, à maintes reprises, monté sur la première marche du podium, mais dans une tout autre catégorie. Avant de devenir chef de gouvernement, il était surtout connu des Groenlandais pour ses performances au badminton. Membre de l'équipe nationale, il a remporté le championnat à plusieurs reprises. « C'est un très bon joueur. Il est très talentueux en sport. Il est très bon au handball, très bon au foot », raconte son ami d'enfance Hans Brummerstedt, qui a, lui aussi, pratiqué le badminton dans le même club. Pour le jeune homme, qui vit depuis six ans au Danemark et qui s'excuse par avance pour son impartialité, « Jens-Frederik Nielsen est la meilleure personne pour diriger le Groenland aujourd'hui », louant ses qualités de « concentration » et de « persévérance ». Le jeune dirigeant aux yeux rieurs pratique aussi la chasse aux rennes et aime se promener dans la nature en famille. Il élève trois enfants avec sa compagne à Nuuk, la capitale. Il joue aussi du soft rock sur sa guitare lors d'événements de son parti. « Il est très charmant, affable. Il est peut-être jeune, mais il a eu l'expérience d'un rôle ministériel important dans un passé récent », affirme Dwayne Ryan Menezes, directeur du groupe de réflexion britannique Polar Research and Policy Initiative. Le Groenland n'est pas à vendre Avant d'accéder au poste de chef du gouvernement, Jens-Frederik Nielsen a été ministre du Travail et des Ressources minérales à 28 ans. Un an plus tard, il prenait les rênes du parti social libéral Demokraatit. Son ascension politique a été rapide. Étudiant en sciences sociales, il est repéré par la cheffe du parti de l'époque, Nivi Olsen, séduite par ses écrits sur les réseaux sociaux, comme elle l'a raconté sur le site de KNR, la radio publique nationale du Groenland. Lorsqu'elle est nommée ministre, elle en fait son secrétaire. Il n'a alors que 22 ans. À moins de 30 ans, il accède à la tête du parti social libéral, arrivé premier des élections législatives en mars. À seulement 33 ans, il est le plus jeune Premier ministre du monde, avec de nombreux dossiers à traiter, dont le plus sensible : le statut de l'île, territoire danois autonome de quelque 57 000 habitants, convoité par Donald Trump. « We need Greenland » (« Nous avons besoin du Groenland »), répète à l'envi le président américain. Face à ces velléités, Jens-Frederik Nielsen affiche la fermeté : « le Groenland ne fera jamais partie des États-Unis, nous ne serons jamais à vendre et nous ne serons jamais Américains. Nous ne voulons pas non plus être Danois à l'avenir, nous voulons être indépendants, mais pour l'instant, nous faisons partie du Royaume du Danemark et c'est ainsi ». Si l'indépendance du Groenland est l'objectif final pour tous les partis politiques du territoire, les moyens d'y parvenir et le calendrier différent. Personne n'envisage sérieusement un rattachement aux États-Unis. Le parti Demokraatit est favorable à une indépendance, à terme, du Groenland, qui possède un statut d'autonomie renforcée au sein du Royaume du Danemark. « Jens-Frederik Nielsen a opéré un changement en pivotant vers le Danemark et l'Europe », souligne le Dr Dwayne Ryan Menezes. « Le gouvernement précédent ne ressentait pas tellement le besoin de discuter des relations entre le Groenland et le Danemark. En l'absence de l'éléphant américain dans la pièce, les problèmes essentiels étaient les griefs du Groenland à l'égard du Danemark. Et soyons honnêtes, ils étaient légitimes. Mais avec le gouvernement Nielsen, il y a eu un renforcement des liens avec le Danemark. Parce que, sur fond de menace Trump, il prend conscience que le statu quo n'est peut-être pas si terrible que cela », complète le spécialiste. C'est d'ailleurs aux côtés de la Première ministre danois Mette Frederiksen que Jens-Frederik Nielsen accueillera Emmanuel Macron dimanche. Large gouvernement de coalition Face aux provocations américaines, le Premier ministre groenlandais a formé un large gouvernement de coalition, sans précédent dans l'ile arctique, composé de quatre des cinq partis élus, en plus de Demokratit, Siumut, IA et Atassut. Seuls les ultranationalistes de Naleraq n'en sont pas. Dans l'accord signé le 28 mars 2025, plusieurs priorités ont été définies, parmi lesquelles, la nécessité de stimuler le secteur privé et d'assainir les finances publiques pour aboutir à une réduction de la dépendance aux subventions danoises. Autre objectif : développer une coopération pragmatique et plus équitable avec le Danemark, tout en se préparant à une gouvernance future indépendante. Enfin, les membres de la coalition ont promis de maintenir une position collective pour répondre à la pression américaine et d'afficher un front uni pour protéger la souveraineté groenlandaise. « La menace extérieure posée par Donald Trump a permis aux quatre partis qui étaient traditionnellement opposés l'un à l'autre et occasionnellement en coalition l'un avec l'autre, de s'unir dans une coalition unique », analyse Dwayne Ryan Menezes, tout en prévenant : « c'est une chose de parvenir à former une coalition, mais la maintenir, c'en est une autre ». À lire aussiAu Groenland, le débat sur l'indépendance relancé par l'offensive de Donald Trump
📝 Voici le formulaire d'investissement concernant le catalogue de série (Les Recettes Nettes Par Producteurs sont versées tous les 6 mois, en janvier et en juillet). Ce formulaire est non engageant, nous reviendrons vers vous en privé avec les informations. https://ra30a.typeform.com/to/RD53DeKh --- 0:00 - Investir dans le cinéma avec un réalisateur producteur 0:59 - Ses séries rapportent 27% par an 3:00 - Revenus réguliers de son catalogue 5:25 - L'achat des chaines de télé 8:38 - La tokenisation de l'Art 11:17 - La censure dans le cinéma en 2025 15:38 - Existe t-il des sous-cultures ? 19:41 - Si tu étais ministre de la culture… 23:34 - Un artiste patriote 27:33 - Investir dans sa vie! 30:12 - La démagogie des politiques 34:00 - Le « dictateur cool » 36:46 - Il invente la blockchain avant la blockchain 38:00 - Le monde dans 50 ans ! 42:29 - L'IA dans la culture 49:51 - La minute culture 55:22 - Ses prochains films #investir #cinéma #investissement --- Nous sommes gestionnaires de patrimoine et conseillers en investissement. Nous accompagnons les citoyens à investir autrement. Nous sommes persuadés que le modèle économique du passé ne se reproduira pas et qu'il faut aller vers de nouvelles dimensions : fin de l'abondance, technologie du savoir, modes d'organisation, modèle économique... C'est un réel combat politique, qui se gagne par l'argent, le nerf de la guerre. Nous proposons des produits et services performants dans l'économie réelle, en respectant nos critères d'investissements : innovations utiles, éthiques et durables ; de souveraineté économique, industrielle, monétaire, technologique, énergétique et alimentaire. Nous axons nos stratégies d'investissements sur trois axes : - l'économie réelle via le private equity (le capital-investissement), deeptech, medtech, greentech, winetech, saas... - les investissements alternatifs de terrain (ressources naturelles, métaux rares et critiques, énergie, eau, vin, numismatique, oeuvres d'Art, immobilier atypique...) - les innovations Web3 (cryptoactifs, DeFi, RWA, token sales, DePIN, DAO, DApp, NFT, GameFi) --- // RESSOURCES : 📚 Le livre bestseller IMMOBITCOIN (gratuit) : http://bit.ly/immobtc 🧠 POUR ALLER PLUS LOIN (1h20) - INVESTIR durant la période de crise civilisationnelle en cours (atelier privée): https://youtu.be/rp71QVEjl78?si=enEoB6-NpPNNsXTA&t=2280 📞 Pour fixer un appel téléphonique avec un membre de l'équipe : https://fdinvest-patrimoine.com/contact // SUIS-NOUS 📷 Instagram : https://instagram.com/francoisjgdenis https://instagram.com/pic.podcast 💼 LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/fdenis01 --- FD Invest – Société par actions simplifiés au capital social de 100 € - n°89888347500029 au RCS de Montpellier – 2 rue des pivoines 34070 Montpellier – http://fdinvest-patrimoine.com/. Enregistré à l'ORIAS sous le n°22001382 http://www.orias.fr/ en qualité de : Conseiller en investissement financier adhérent de la compagnie cif, association agréée auprès de l'Autorité des Marchés Financiers. FD Invest exerçant en marque commerciale sous le nom Riche à 30 ans. RC Pro auprès de MMA. - IMPORTANT: Risque de perte en capital ou de moins-value sur les investissements alternatifs. Faites vos recherches si vous n'êtes pas accompagné. Ce retour d'expérience ne constitue pas un conseil ou une recommandation. Un conseil est toujours au cas par cas.
durée : 00:12:15 - L'invité franceinfo soir - Invité de franceinfo soir vendredi, le directeur adjoint de la Fondation pour la recherche stratégique livre son analyse après les raids d'Israël contre l'Iran.
C'était un vendredi. Philippine Le Noir de Carlan, 19 ans, profitait de cette fin de l'été 2024. L'étudiante tranquille de l'Université Paris-Dauphine s'apprêtait à rejoindre ses parents pour le weekend. Personne ne l'a vue disparaître derrière le rideau d'arbres du tout proche Bois de Boulogne. C'est pourtant ici qu'on a retrouvé son corps. Un crime brutal, sans cri et sans témoin. Une enquête ouverte pour meurtre, viol et vol. Grâce à l'ADN, les policiers vont vite identifier un suspect. Le Marocain Taha Oualidat, 22 ans. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Écrasement d'un avion de la compagnie Air India. 7e journée qui s’amorce à Los Angeles: deuxième nuit de couvre-feu. La justice de Californie va étudier une motion d'urgence du gouverneur Newsom aujourd’hui. Le PDG d'Hydro-Québec Michael Sabia va quitter ses fonctions à la Société d'État le 4 juillet. Opération camouflage en ce début de Grand Prix. Coups de feu tirés dans le sud-ouest. La STM repars… un peu. Décès de Brian Wilson. Harvey Weinstein déclaré coupable. Tout savoir en quelques minutes avec Audrey Gagnon, Isabelle Perron et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
En ce mois de juin, les théâtres russes commencent à envoyer leurs programmes de rentrée avec des pièces mettant en valeur ce que Vladimir Poutine continue à appeler « l'opération spéciale ». Jeux vidéo, films, séries télé, toute l'industrie du loisir et de la culture est mise à contribution. Objectif : toucher le grand public. Avec, à ce stade, un succès encore mitigé chez les spectateurs. De notre correspondante à Moscou, En septembre, Irkoutsk accueillera la 15e édition de son festival national biennal de théâtre. Notamment sponsorisée par Gazprom, la compétition accueillera aussi en parallèle un laboratoire dont le thème est cette année « l'Opération militaire spéciale dans l'art théâtral moderne ». Vingt-huit candidatures de pièces originales écrites en russe, jamais mises en scène ni publiées auparavant ont été acceptées. Trois seront ensuite sélectionnées pour être jouées en public. Ce n'est qu'une des nombreuses illustrations de l'effort des autorités pour pousser une culture grand public toute tournée vers le soutien à son « opération spéciale ». Souci prononcé d'être proche des combattants De la capitale russe à Saint-Pétersbourg, de Kaliningrad à Vladivostok en passant par Kazan et Novossibirsk, cette année encore plus que les précédentes, chaque grande ville ou moyenne de Russie a vu se jouer dans ses théâtres au moins une pièce dite « patriotique », illustrant ou vantant l'effort de guerre de l'armée russe, héroïsant ses soldats, avec un souci prononcé d'être aussi proche des combattants que possible. À Moscou cette année, sur la scène du célèbre « Sovremennik », se jouait une pièce intitulée Call Sign Silence : l'histoire du nouveau départ dans la vie civile d'un vétéran handicapé revenu à la vie civile, « renforçant le moral des citoyens de Russie » selon certaines critiques. Dans les journaux de petites villes comme Yoshkar-Ola, à un peu plus de 800 km de la capitale, on peut aussi lire à propos de la présentation d'une pièce ce type de description : « Des témoins des événements ont aidé les artistes à recréer des actions militaires réalistes sur scène (..) Ils ont enseigné comment tenir correctement une mitrailleuse et exprimer la douleur d'une blessure pour que le spectateur vous croie ». Ces « témoins des événements » sont bien sûr les soldats. Même le théâtre amateur ou les troupes des écoles s'y sont mis. « Des films et des poèmes écrits parfois trop rapidement » Sur le grand et le petit écran, on peut aussi aujourd'hui voir des films et des séries dans la même veine que le premier modèle du genre : une série intitulée 20/22, soit une histoire d'amour contrariée qui se déroule pendant le siège de Marioupol, présentant, dans le droit fil du narratif du Kremlin, les soldats russes comme libérant la ville d'un fascisme destructeur. Malgré tous les efforts des institutions, disposant souvent d'un budget généreux pour subventionner toute proposition, le public n'est pourtant pas toujours au rendez-vous. La faute à une qualité qui laisserait à encore à désirer, juge une critique d'art qui fait autorité en Russie : « Aujourd'hui, le point de vue très patriotique trouve un débouché artistique, mais je ne vois pas encore une véritable forme d'art, juge-t-elle. Pour l'instant, et ce n'est que mon opinion personnelle, ce ne sont que des tentatives. Et elles ne sont pas toutes professionnelles. Il y a des films souvent réalisés à toute vitesse, ou bien des poèmes écrits très rapidement. On voit bien aussi ce qu'on appelle la poésie « Z ». Mais dans ce domaine, il n'y a tout simplement pas de bons poètes. Enfin, peut-être un. Il y a Igor Karaulov, qui est généralement considéré comme un vrai écrivain. Mais à bien des égards, ce sont des poèmes aux formes très simples, sans véritable élaboration. » À lire aussiSoutenir, critiquer ou se taire, les artistes russes face à un choix lourd de conséquences Difficile d'échapper à la production « patriotique » La qualité insuffisante est souvent invoquée par les spectateurs qui revendiquent ne pas être intéressés. « Si vous êtes en vacances, vous n'irez pas au cinéma voir ce type de film, même si on vous donne une réduction de 95%. Personne n'en a envie, car c'est mal fait, ça n'a rien à voir avec l'art », explique un jeune étudiant. Ils sont aussi encore nombreux ceux qui cherchent à fuir le plus possible dans leur vie privée, sur leur temps libre, tout ce qui peut leur rappeler la guerre. Comme cette psychologue moscovite, la quarantaine, qui explique : « Je ne regarde pas ce genre de cinéma et je ne l'ai jamais fait, car il provoque des émotions que je n'aime pas vraiment ressentir. Je suis assez sensible et j'essaie de me concentrer sur le positif. Dans ce genre de films, il y a toujours un côté dramatique et douloureux, que, personnellement, j'essaie de minimiser, car je vis déjà suffisamment d'expériences douloureuses dans ma vie. Et on entend parler de morts tous les jours. » Au box office russe de 2025 jusqu'ici, trois films sur le podium : le conte de fées Le Magicien de la cité d'Émeraude (version soviétique du magicien d'Oz), Nezha vaincra le Roi Dragon, un dessin animé chinois, Le Prophète, une biographie de Pouchkine pour adolescents. Il y a bien un film de guerre dans le Top 10, mais il s'agit d'un film d'anticipation qui se déroule dans les fonds marins. Pourtant, à en croire un jeune Moscovite, il est difficile d'échapper à la production contemporaine « patriotique » : « Bien sûr, la propagande est moins oppressante aujourd'hui qu'en URSS. On ne vous dit pas de toutes parts qu'il faut absolument voir tel film, mais le ressenti est très similaire. Mais même si vous n'êtes pas obligé de voir telle ou telle production parce que vous n'en avez pas envie, vous vous retrouverez forcément de toute façon à voir la bannière ou la publicité et vous ressentirez cette émotion écœurante. » Trop de pression peut-être, surtout pour ceux qui, comme ce jeune homme, doivent déjà garder leurs opinions anti-guerre en Ukraine pour eux et s'évader, seuls devant un écran d'ordinateur, en regardant grâce aux VPN des films et séries interdits. Cela n'empêche pas, parfois, des petits gestes, comme celui d'un étudiant qui cet hiver a laissé un commentaire sur le site internet d'un théâtre de Moscou, critiquant la présence de la lettre « Z » sur sa façade. Pour expliquer ces quelques lignes à RFI, il avance : « Je ne soutiens pas l'opération spéciale, je ne soutiens pas la guerre, ni le régime actuel, je pense que toute sa politique est extrêmement mauvaise, et j'essaie de m'y opposer autant que possible. Donc, je n'irai plus jamais dans ce théâtre tant qu'un « Z » y est suspendu. Je pense d'ailleurs que se rendre dans un tel théâtre est un soutien indirect. D'ailleurs, je ne monterai pas non plus dans un bus sur lequel la lettre Z est affichée. Je sais bien que dans la situation actuelle, il est extrêmement difficile de ne montrer aucun soutien, que tout le monde est sous une pression folle, mais je pense que n'importe quel théâtre peut quand même se permettre de ne pas accrocher une énorme lettre Z sur la façade. » À lire aussiRussie: le pouvoir conforte sa reprise en main sur la culture « Faire profil bas n'est pas se taire » Pour combien de temps encore ? Depuis 2022, les autorités ont méthodiquement procédé : elles ont visé toutes les têtes des grandes institutions culturelles connues à Moscou ou à Saint-Pétersbourg. Toute direction jugée pas assez favorable au pouvoir et à sa décision d'envoyer ses soldats en Ukraine a été remplacée par des figures dont la loyauté aux yeux de tous ne pouvait faire aucun doute. A la tête de grands musées, on retrouve par exemple aujourd'hui des personnalités réputées proches des services de sécurité. Parfois, certains d'entre eux siègent simplement au conseil d'administration, mais cela suffit pour assurer un verrouillage désormais total. Quant aux artistes critiques, ceux qui n'ont pas fui courent un risque très élevé de se retrouver derrière les barreaux. Le terme « critique » recouvre d'ailleurs un champ très large. Témoin l'affaire de la metteuse en scène Evguenia Berkovitch et de la dramaturge Svetlana Petriïtchouk, condamnées en juillet dernier à quasiment six ans de colonie pénitentiaire par un tribunal militaire. Motif : « apologie du terrorisme ». En cause officiellement : leur pièce de théâtre intitulée « le faucon », Saluée par la critique et le public, elle avait reçu en 2022 deux Masques d'or, la plus prestigieuse récompense du théâtre russe. Elle raconte l'histoire de jeunes femmes russes recrutées sur internet par des islamistes en Syrie et partant les rejoindre pour les épouser. Soit, disent les artistes qui ont toujours clamé leur innocence, l'inverse de ce qui leur est reproché. D'Evguenia Berkovitch, et des motifs de son arrestation, une personnalité du monde culturel russe dit : « Mon opinion personnelle est que le vrai problème est qu'elle n'était pas capable de se taire, sur aucun sujet. Evguenia a toujours dit que le théâtre ne pouvait pas être en dehors de son temps, en dehors des événements. Que si le théâtre ne parle pas ce qu'il se passe dans le monde, au moment où ça se passe, alors cela signifie qu'il n'est pas honnête » Sans débouchés possibles pour exprimer leur vision – une des personnes rencontrées lors de ce reportage parle de « zone de silence » –, aujourd'hui les artistes qui ne soutiennent pas activement la politique du pouvoir et qui sont restés en Russie se réfugient, dit cette personnalité du monde culturel, dans l'expression de leurs idées de la manière « la plus allégorique possible ». À lire aussiRussie: le musée du Goulag à Moscou fermé Un jeu vidéo russe sur la guerre en Ukraine « Malheureusement, reprend-elle, il y a maintenant une fracture entre "ceux qui sont partis" et "ceux qui sont restés". Beaucoup de gens qui sont partis ont commencé à critiquer très durement ceux qui sont restés en leur disant : "Vous avez cédé, vous avez abandonné, il est impossible de rester dans ce pays sans devenir un salaud". Je pense que ce n'est pas vrai. Qu'il y a toujours des options. Qu'il y a une différence entre se taire et faire simplement profil bas. La question est de savoir comment vous le faites, et quel genre de personne vous êtes. Même si pour moi, même si la guerre se terminait, la situation sur le plan intérieur ne changera pas. » Le pouvoir renforce chaque jour un peu plus son investissement dans la culture. Vladimir Poutine a ainsi ordonné ce printemps la création d'un lieu à Moscou tout entier dédié à promouvoir « le théâtre patriotique moderne ». Date butoir : le 30 novembre prochain. Une production nationale russe en tout cas, semble elle, à en croire en tout cas son chef de projet, tirer largement son épingle du jeu. Il s'agit d'un jeu vidéo intitulé Squad 22: ZOV. Décrit comme « basé sur l'expérience réelle de la guerre des vétérans russes en Ukraine », il propose des volets comme « Campagne de printemps du Donbass, 17 missions sur les combats de 2014 », ainsi que « Marioupol 2022 » et « Contre-offensive ukrainienne 2023 » et revendique 100 000 utilisateurs quotidiens sur la page internet où on peut le télécharger depuis fin janvier dernier. Présenté sur la plate-forme Steam depuis le 30 mai dernier – et bloqué sur son segment ukrainien –, il y est décrit comme « officiellement recommandé par l'armée russe comme manuel de tactiques d'infanterie de base pour l'entraînement des cadets et de la Iounarmia (organisation d'État russe pour les jeunes cadets de l'armée) », plaçant le joueur « aux commandes d'équipes de soldats russes qui combattent les forces armées ukrainiennes, font des prisonniers et libèrent des otages ». Ce même 30 mai dernier, le chef de projet affirmait au quotidien légitimiste les Izviestia que 54% de son chiffre d'affaires provenait déjà... des États-Unis. À lire aussiSoutenir, critiquer ou se taire, les artistes russes face à un choix lourd de conséquences
➡️ Tu te demandes comment parler à ton proche en dépression sans dire quelque chose de maladroit ? Dans cet épisode, je te guide pas à pas pour retrouver une communication douce, même quand tout semble cassé.°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°Abonnez-vous au podcast afin d'être informé des nouveaux épisodes➖ Les notes de l'épisode : ➖✉️Newsletter : rejoindre la newsletter : https://bit.ly/3YQ4lZM ➖ Réserve ton appel découverte avec moi : http://bit.ly/3mA0yAw ~~FORMATION ~~=➖
En ce mois de juin, les théâtres russes commencent à envoyer leurs programmes de rentrée avec des pièces mettant en valeur ce que Vladimir Poutine continue à appeler « l'opération spéciale ». Jeux vidéo, films, séries télé, toute l'industrie du loisir et de la culture est mise à contribution. Objectif : toucher le grand public. Avec, à ce stade, un succès encore mitigé chez les spectateurs. De notre correspondante à Moscou, En septembre, Irkoutsk accueillera la 15e édition de son festival national biennal de théâtre. Notamment sponsorisée par Gazprom, la compétition accueillera aussi en parallèle un laboratoire dont le thème est cette année « l'Opération militaire spéciale dans l'art théâtral moderne ». Vingt-huit candidatures de pièces originales écrites en russe, jamais mises en scène ni publiées auparavant ont été acceptées. Trois seront ensuite sélectionnées pour être jouées en public. Ce n'est qu'une des nombreuses illustrations de l'effort des autorités pour pousser une culture grand public toute tournée vers le soutien à son « opération spéciale ». Souci prononcé d'être proche des combattants De la capitale russe à Saint-Pétersbourg, de Kaliningrad à Vladivostok en passant par Kazan et Novossibirsk, cette année encore plus que les précédentes, chaque grande ville ou moyenne de Russie a vu se jouer dans ses théâtres au moins une pièce dite « patriotique », illustrant ou vantant l'effort de guerre de l'armée russe, héroïsant ses soldats, avec un souci prononcé d'être aussi proche des combattants que possible. À Moscou cette année, sur la scène du célèbre « Sovremennik », se jouait une pièce intitulée Call Sign Silence : l'histoire du nouveau départ dans la vie civile d'un vétéran handicapé revenu à la vie civile, « renforçant le moral des citoyens de Russie » selon certaines critiques. Dans les journaux de petites villes comme Yoshkar-Ola, à un peu plus de 800 km de la capitale, on peut aussi lire à propos de la présentation d'une pièce ce type de description : « Des témoins des événements ont aidé les artistes à recréer des actions militaires réalistes sur scène (..) Ils ont enseigné comment tenir correctement une mitrailleuse et exprimer la douleur d'une blessure pour que le spectateur vous croie ». Ces « témoins des événements » sont bien sûr les soldats. Même le théâtre amateur ou les troupes des écoles s'y sont mis. « Des films et des poèmes écrits parfois trop rapidement » Sur le grand et le petit écran, on peut aussi aujourd'hui voir des films et des séries dans la même veine que le premier modèle du genre : une série intitulée 20/22, soit une histoire d'amour contrariée qui se déroule pendant le siège de Marioupol, présentant, dans le droit fil du narratif du Kremlin, les soldats russes comme libérant la ville d'un fascisme destructeur. Malgré tous les efforts des institutions, disposant souvent d'un budget généreux pour subventionner toute proposition, le public n'est pourtant pas toujours au rendez-vous. La faute à une qualité qui laisserait à encore à désirer, juge une critique d'art qui fait autorité en Russie : « Aujourd'hui, le point de vue très patriotique trouve un débouché artistique, mais je ne vois pas encore une véritable forme d'art, juge-t-elle. Pour l'instant, et ce n'est que mon opinion personnelle, ce ne sont que des tentatives. Et elles ne sont pas toutes professionnelles. Il y a des films souvent réalisés à toute vitesse, ou bien des poèmes écrits très rapidement. On voit bien aussi ce qu'on appelle la poésie « Z ». Mais dans ce domaine, il n'y a tout simplement pas de bons poètes. Enfin, peut-être un. Il y a Igor Karaulov, qui est généralement considéré comme un vrai écrivain. Mais à bien des égards, ce sont des poèmes aux formes très simples, sans véritable élaboration. » À lire aussiSoutenir, critiquer ou se taire, les artistes russes face à un choix lourd de conséquences Difficile d'échapper à la production « patriotique » La qualité insuffisante est souvent invoquée par les spectateurs qui revendiquent ne pas être intéressés. « Si vous êtes en vacances, vous n'irez pas au cinéma voir ce type de film, même si on vous donne une réduction de 95%. Personne n'en a envie, car c'est mal fait, ça n'a rien à voir avec l'art », explique un jeune étudiant. Ils sont aussi encore nombreux ceux qui cherchent à fuir le plus possible dans leur vie privée, sur leur temps libre, tout ce qui peut leur rappeler la guerre. Comme cette psychologue moscovite, la quarantaine, qui explique : « Je ne regarde pas ce genre de cinéma et je ne l'ai jamais fait, car il provoque des émotions que je n'aime pas vraiment ressentir. Je suis assez sensible et j'essaie de me concentrer sur le positif. Dans ce genre de films, il y a toujours un côté dramatique et douloureux, que, personnellement, j'essaie de minimiser, car je vis déjà suffisamment d'expériences douloureuses dans ma vie. Et on entend parler de morts tous les jours. » Au box office russe de 2025 jusqu'ici, trois films sur le podium : le conte de fées Le Magicien de la cité d'Émeraude (version soviétique du magicien d'Oz), Nezha vaincra le Roi Dragon, un dessin animé chinois, Le Prophète, une biographie de Pouchkine pour adolescents. Il y a bien un film de guerre dans le Top 10, mais il s'agit d'un film d'anticipation qui se déroule dans les fonds marins. Pourtant, à en croire un jeune Moscovite, il est difficile d'échapper à la production contemporaine « patriotique » : « Bien sûr, la propagande est moins oppressante aujourd'hui qu'en URSS. On ne vous dit pas de toutes parts qu'il faut absolument voir tel film, mais le ressenti est très similaire. Mais même si vous n'êtes pas obligé de voir telle ou telle production parce que vous n'en avez pas envie, vous vous retrouverez forcément de toute façon à voir la bannière ou la publicité et vous ressentirez cette émotion écœurante. » Trop de pression peut-être, surtout pour ceux qui, comme ce jeune homme, doivent déjà garder leurs opinions anti-guerre en Ukraine pour eux et s'évader, seuls devant un écran d'ordinateur, en regardant grâce aux VPN des films et séries interdits. Cela n'empêche pas, parfois, des petits gestes, comme celui d'un étudiant qui cet hiver a laissé un commentaire sur le site internet d'un théâtre de Moscou, critiquant la présence de la lettre « Z » sur sa façade. Pour expliquer ces quelques lignes à RFI, il avance : « Je ne soutiens pas l'opération spéciale, je ne soutiens pas la guerre, ni le régime actuel, je pense que toute sa politique est extrêmement mauvaise, et j'essaie de m'y opposer autant que possible. Donc, je n'irai plus jamais dans ce théâtre tant qu'un « Z » y est suspendu. Je pense d'ailleurs que se rendre dans un tel théâtre est un soutien indirect. D'ailleurs, je ne monterai pas non plus dans un bus sur lequel la lettre Z est affichée. Je sais bien que dans la situation actuelle, il est extrêmement difficile de ne montrer aucun soutien, que tout le monde est sous une pression folle, mais je pense que n'importe quel théâtre peut quand même se permettre de ne pas accrocher une énorme lettre Z sur la façade. » À lire aussiRussie: le pouvoir conforte sa reprise en main sur la culture « Faire profil bas n'est pas se taire » Pour combien de temps encore ? Depuis 2022, les autorités ont méthodiquement procédé : elles ont visé toutes les têtes des grandes institutions culturelles connues à Moscou ou à Saint-Pétersbourg. Toute direction jugée pas assez favorable au pouvoir et à sa décision d'envoyer ses soldats en Ukraine a été remplacée par des figures dont la loyauté aux yeux de tous ne pouvait faire aucun doute. A la tête de grands musées, on retrouve par exemple aujourd'hui des personnalités réputées proches des services de sécurité. Parfois, certains d'entre eux siègent simplement au conseil d'administration, mais cela suffit pour assurer un verrouillage désormais total. Quant aux artistes critiques, ceux qui n'ont pas fui courent un risque très élevé de se retrouver derrière les barreaux. Le terme « critique » recouvre d'ailleurs un champ très large. Témoin l'affaire de la metteuse en scène Evguenia Berkovitch et de la dramaturge Svetlana Petriïtchouk, condamnées en juillet dernier à quasiment six ans de colonie pénitentiaire par un tribunal militaire. Motif : « apologie du terrorisme ». En cause officiellement : leur pièce de théâtre intitulée « le faucon », Saluée par la critique et le public, elle avait reçu en 2022 deux Masques d'or, la plus prestigieuse récompense du théâtre russe. Elle raconte l'histoire de jeunes femmes russes recrutées sur internet par des islamistes en Syrie et partant les rejoindre pour les épouser. Soit, disent les artistes qui ont toujours clamé leur innocence, l'inverse de ce qui leur est reproché. D'Evguenia Berkovitch, et des motifs de son arrestation, une personnalité du monde culturel russe dit : « Mon opinion personnelle est que le vrai problème est qu'elle n'était pas capable de se taire, sur aucun sujet. Evguenia a toujours dit que le théâtre ne pouvait pas être en dehors de son temps, en dehors des événements. Que si le théâtre ne parle pas ce qu'il se passe dans le monde, au moment où ça se passe, alors cela signifie qu'il n'est pas honnête » Sans débouchés possibles pour exprimer leur vision – une des personnes rencontrées lors de ce reportage parle de « zone de silence » –, aujourd'hui les artistes qui ne soutiennent pas activement la politique du pouvoir et qui sont restés en Russie se réfugient, dit cette personnalité du monde culturel, dans l'expression de leurs idées de la manière « la plus allégorique possible ». À lire aussiRussie: le musée du Goulag à Moscou fermé Un jeu vidéo russe sur la guerre en Ukraine « Malheureusement, reprend-elle, il y a maintenant une fracture entre "ceux qui sont partis" et "ceux qui sont restés". Beaucoup de gens qui sont partis ont commencé à critiquer très durement ceux qui sont restés en leur disant : "Vous avez cédé, vous avez abandonné, il est impossible de rester dans ce pays sans devenir un salaud". Je pense que ce n'est pas vrai. Qu'il y a toujours des options. Qu'il y a une différence entre se taire et faire simplement profil bas. La question est de savoir comment vous le faites, et quel genre de personne vous êtes. Même si pour moi, même si la guerre se terminait, la situation sur le plan intérieur ne changera pas. » Le pouvoir renforce chaque jour un peu plus son investissement dans la culture. Vladimir Poutine a ainsi ordonné ce printemps la création d'un lieu à Moscou tout entier dédié à promouvoir « le théâtre patriotique moderne ». Date butoir : le 30 novembre prochain. Une production nationale russe en tout cas, semble elle, à en croire en tout cas son chef de projet, tirer largement son épingle du jeu. Il s'agit d'un jeu vidéo intitulé Squad 22: ZOV. Décrit comme « basé sur l'expérience réelle de la guerre des vétérans russes en Ukraine », il propose des volets comme « Campagne de printemps du Donbass, 17 missions sur les combats de 2014 », ainsi que « Marioupol 2022 » et « Contre-offensive ukrainienne 2023 » et revendique 100 000 utilisateurs quotidiens sur la page internet où on peut le télécharger depuis fin janvier dernier. Présenté sur la plate-forme Steam depuis le 30 mai dernier – et bloqué sur son segment ukrainien –, il y est décrit comme « officiellement recommandé par l'armée russe comme manuel de tactiques d'infanterie de base pour l'entraînement des cadets et de la Iounarmia (organisation d'État russe pour les jeunes cadets de l'armée) », plaçant le joueur « aux commandes d'équipes de soldats russes qui combattent les forces armées ukrainiennes, font des prisonniers et libèrent des otages ». Ce même 30 mai dernier, le chef de projet affirmait au quotidien légitimiste les Izviestia que 54% de son chiffre d'affaires provenait déjà... des États-Unis. À lire aussiSoutenir, critiquer ou se taire, les artistes russes face à un choix lourd de conséquences
Selon le baromètre Cofidis, 63 % des Français ont l'intention de partir en vacances, un record depuis le Covid-19.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce matin, Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics, s'est exprimée sur RTL à propos des services à la personne, précisant qu'elle ne souhaitait pas "qu'on y touche" dans le prochain budget. Que doivent comprendre les professionnels ? Brice Alzon, président de la fédération des entreprises de services à la personne est l'invité pour tout comprendre de RTL Soir. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 10 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce matin, Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics, s'est exprimée sur RTL à propos des services à la personne, précisant qu'elle ne souhaitait pas "qu'on y touche" dans le prochain budget. Que doivent comprendre les professionnels ? Brice Alzon, président de la fédération des entreprises de services à la personne est l'invité pour tout comprendre de RTL Soir. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 10 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une surveillante de 31 ans, mère d'un garçon de quatre ans, a été tuée d'un coup de couteau par un collégien de 14 ans ce mardi 10 juin dans la ville de Nogent, en Haute-Marne. Après ce drame, les questions sur les violences répétitives, sur la sécurité en général, ont ravivé les débats. Ruth Elkrief estime que les mots sont désormais vains, qu'il faut des actes pour répondre à cette violence des mineurs, qu'il est temps, qu'il est peut-être trop tard. "Des actes, mais quels actes ?", se demande-t-elle ? Des premières décisions se dévoilent pour remplir un peu les caisses de l'État, et il est question des services à la personne. François Lenglet rappelle les propos de la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin, ce mardi matin sur RTL, pour expliquer que ce crédit d'impôt assez important était probablement à la veille d'être raboté. Mais elle promet que si le gouvernement envisage de s'attaquer à certaines niches fiscales, le crédit d'impôt pour la garde d'enfants et pour l'accompagnement des personnes âgées ne devrait pas être modifié. François Lenglet estime que si on supprime ce crédit d'impôt aujourd'hui, on fait le chemin inverse, risque de noircir ces services et cela ne fait que baisser les recettes de l'État. Depuis le début du mois de juin 2025, au moins dix-huit villes iraniennes ont interdit de promener les chiens dans les lieux publics pour des raisons d'hygiène, de sécurité et d'ordre public. Abnousse Shalmani rappelle que c'était déjà le cas à Téhéran depuis 2019. En 2017, le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, avait dit que "posséder des chiens pour des raisons autres que la garde de troupeaux, la chasse et la protection est considéré comme répréhensible et potentiellement interdit si cela promeut la culture non-musulmane", donc, occidentale, selon Abnousse Shalmani. Les Iraniens ont de plus en plus de chiens, et pour elle, c'est une manière d'afficher leur mécontentement contre le régime en place. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les matins à 8H10, Salomé nous donne des infos aléatoires du monde.
durée : 00:58:30 - Être et savoir - par : Louise Tourret - À la (re)découverte des nombres avec Etienne Ghys - réalisation : Peire Legras - invités : Etienne Ghys Mathématicien, professeur à l'Ecole Normale Supérieure de Lyon, Secrétaire perpétuel de l'Académie des Sciences
"Cette voix nous rendait fous. Personne ne la reconnaissait."À New-York, l'ambassade de Cuba est la cible d'une attaque à la bombe. L'attentat est revendiqué par une organisation opposée à Fidel Castro, le dirigeant de l'île. Alors que les agents du FBI mènent l'enquête, les dignitaires cubains leur mettent des bâtons dans les roues. Leur seul indice : un enregistrement de la voix du terroriste. Mais personne ne semble la reconnaître…“Les dossiers du FBI” est un podcast coproduit par Initial Studio et New Dominion Pictures, adapté de la série documentaire audiovisuelle "FBI Files" produit par New Dominion Pictures. Cet épisode a été écrit par Allison Erkelens et Miranda Leigh, et réalisé par Stuart Taylor.Bonne écoute ! Pour découvrir nos autres podcasts, suivez Initial Studio sur Instagram et Facebook. Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Marie AgassantMontage : Camille LegrasAvec la voix d'Emmanuel Rehbinder Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanches à 20h15, Pascale de la Tour du Pin reçoit un invité au cœur de l'actualité pour un moment d'échange franc sur les dossiers brûlants du moment.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Johann Hari est journaliste et auteur de plusieurs best-sellers, dont Stolen Focus (traduit en français sous le titre On vous vole votre attention). Dans cet épisode en anglais, nous avons parlé ensemble d'un sujet qui nous concerne toutes et tous : la perte de notre capacité de concentration, cet effritement de notre attention auquel nous sommes confrontés au quotidien, sans vraiment comprendre pourquoi ni comment y faire face.Je dois dire que cette conversation m'a profondément marqué. J'ai découvert Johann à travers ses livres, mais surtout à travers sa rigueur journalistique et sa volonté sincère de comprendre les phénomènes qui bouleversent nos vies. Nous partageons cette curiosité commune, cette envie de creuser au-delà des évidences. Et c'est avec une immense joie que je l'ai accueilli dans Vlan pour explorer ce sujet brûlant.Dans cet épisode, je l'ai interrogé sur les causes profondes de notre distraction chronique. Pourquoi avons-nous tant de mal à lire un livre, à rester concentré sur une tâche ou à avoir une conversation profonde ? Est-ce notre faute ? Est-ce une question de volonté ? Ou sommes-nous les victimes d'un système bien plus complexe, bien plus insidieux ?Johann a voyagé à travers le monde, rencontré plus de 250 experts pour comprendre ce qui sabote notre capacité de concentration. Il identifie 12 facteurs majeurs qui nous volent littéralement notre attention : de la manière dont les réseaux sociaux sont conçus pour nous rendre accros, à l'impact du manque de sommeil, de l'alimentation industrielle, de la pollution de l'air, de l'hyperstress… Rien n'est laissé au hasard.Nous avons parlé de son filleul, devenu incapable de vivre sans ses écrans, de l'histoire édifiante d'un séjour à Graceland, et des ingénieurs de la Silicon Valley rongés par la culpabilité. Nous avons abordé les liens entre attention individuelle et attention collective, et donc les conséquences démocratiques de cette crise. Parce que oui, sans attention, il n'y a plus de débat, plus de dialogue, plus de démocratie.Enfin, nous avons exploré des solutions. Des gestes simples à adopter dans notre quotidien, mais aussi des actions collectives pour transformer le système. Johann appelle à une véritable "rébellion de l'attention", un mouvement pour reprendre le contrôle de nos vies mentales, de notre temps, de notre liberté intérieure.Un épisode puissant, lucide, documenté et profondément humain. À écouter absolument si vous avez le sentiment de perdre pied dans un monde qui va toujours plus vite.Citations marquantes"Votre attention ne s'est pas effondrée, elle vous a été volée.""On croit faire des choix, mais dans un environnement qui est truqué contre nous.""Être interrompu est deux fois pire pour votre QI que de fumer un joint.""Personne ne veut vivre dans le monde que les ingénieurs de la Silicon Valley ont créé.""Nous ne sommes pas des paysans médiévaux : nous pouvons reprendre le contrôle."10 questions poséesPourquoi avons-nous autant de mal à nous concentrer aujourd'hui ?Est-ce que les smartphones ont détruit une génération ?Sommes-nous collectivement malades en tant que société ?Pourquoi croyons-nous être multitâches alors que ce n'est pas possible ?Comment la technologie est-elle conçue pour capter notre attention ?Le monde s'accélère-t-il vraiment, et à quel prix ?Pourquoi le sommeil est-il fondamental pour la concentration ?Que fait l'industrie alimentaire à notre cerveau ?Comment agir individuellement contre la distraction ?Quel modèle économique alternatif pour les réseaux sociaux ?Timestamps clés pour YouTube00:00:00 : Introduction – pourquoi notre attention décline00:02:20 : L'histoire touchante de son filleul accro aux écrans00:08:50 : Smartphones et génération détruite ?00:13:00 : Le mythe du multitâche00:19:00 : L'accélération du monde00:23:30 : Le sommeil et ses effets invisibles00:30:00 : Les algorithmes et la colère comme business model00:38:00 : L'importance de l'oisiveté pour la démocratie00:50:00 : Le besoin d'un mouvement collectif01:04:00 : Changer le business model des réseaux sociaux Suggestion d'autres épisodes à écouter : #280 Addiction aux écrans : reprendre le contrôle avec Kenneth Schlenker (https://audmns.com/uOylwQa) #349 Le superpouvoir de la curiosité avec Alexandre Dana (https://audmns.com/fFNNHqm) Vlan #42 Les algorithmes au coeur de l'économie de l'attention avec Stéphan Eloise Gras (https://audmns.com/ATcgcQw)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Laura, c'est avant tout une jeune fille de 19 ans en quête de vérité. Depuis qu'ils sont petits, elle et ses frères subissent des maltraitances quotidiennes dans leur famille. Pourtant, dès les 2 ans de Laura, l'entourage s'inquiète : signalements, enquêtes et puis... plus rien. Il faudra attendre 10 longues années entre les premiers signalements et la condamnation de ses parents. Comment un tel calvaire peut-il durer une décennie, alors que les services sociaux et la justice sont au courant depuis le début ? "Devoir d'enquête" est un podcast d'Initial Studio adapté de la série éponyme produite par la RTBF. Cet épisode a été réalisé par Axel Van Weyenbergh et Martine Ernst.Bonne écoute ! Pour découvrir nos autres podcasts, suivez Initial Studio sur Instagram et Facebook. Production exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg, assistées de Marine BoudalierMontage : Johanna LalondeAvec la voix d'Emmanuel Rehbinder Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Laura, c'est avant tout une jeune fille de 19 ans en quête de vérité. Depuis qu'ils sont petits, elle et ses frères subissent des maltraitances quotidiennes dans leur famille. Pourtant, dès les 2 ans de Laura, l'entourage s'inquiète : signalements, enquêtes et puis... plus rien. Il faudra attendre 10 longues années entre les premiers signalements et la condamnation de ses parents. Comment un tel calvaire peut-il durer une décennie, alors que les services sociaux et la justice sont au courant depuis le début ? "Devoir d'enquête" est un podcast d'Initial Studio adapté de la série éponyme produite par la RTBF. Cet épisode a été réalisé par Axel Van Weyenbergh et Martine Ernst.Bonne écoute ! Pour découvrir nos autres podcasts, suivez Initial Studio sur Instagram et Facebook. Production exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg, assistées de Marine BoudalierMontage : Johanna LalondeAvec la voix d'Emmanuel Rehbinder Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Chaque jour, Jean-Luc Lemoine vous offre une session de rattrapage de tout ce qu'il ne fallait pas manquer dans les médias.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Michel Voltz, 82 ans, était un homme gentil et vulnérable. Un ancien greffier des tribunaux. Sans famille, sans enfant, sans attaches, vivant seul dans une modeste maison, dans un petit village de Moselle. Personne n'aurait sans doute jamais parlé de lui s'il n'avait pas disparu, brutalement, au mois de juillet 2020. Sans prévenir quiconque, à l'exception d'un couple avec deux enfants que personne n'avait vu auparavant. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Michel Voltz, 82 ans, était un homme gentil et vulnérable. Un ancien greffier des tribunaux. Sans famille, sans enfant, sans attaches, vivant seul dans une modeste maison, dans un petit village de Moselle. Personne n'aurait sans doute jamais parlé de lui s'il n'avait pas disparu, brutalement, au mois de juillet 2020. Sans prévenir quiconque, à l'exception d'un couple avec deux enfants que personne n'avait vu auparavant. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tout le monde connaît l'émission "Ça Peut Vous Arriver" mais il semble que notre cher Julien Courbet a encore du chemin à faire pour que son visage soit aussi célèbre que sa voix ! Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Nous sommes au printemps 2018, à Wambrechies, une commune proche de Lille. Dans le quartier de l'Agrippin, la famille Six pleure Angélique, victime à seulement 13 ans d'un criminel récidiviste. Et dans le quartier, la révolte s'est jointe à la douleur. Comment, dans l'entourage de cet homme, personne ne fût au courant de son passé ? Les officiers de la police judiciaire ayant enquêté sur l'affaire le confirment : elle restera l'une des plus marquantes de leur carrière. Car David Ramault ne s'est pas contenté d'avouer, il a également livré les détails de son crime avec une précision glaçante.David Ramault a su dissimuler ses penchants les plus sombres. Personne ne se doutait que derrière le bon père de famille, le collègue souriant toujours prêt à rendre service, se cachait un homme en proie à de violentes pulsions sexuelles. Pourtant, cet amateur de vidéos pédopornographiques avait déjà endossé le rôle de l'agresseur. C'était en 1994.
✨ Suis-moi sur Instagram : https://instagram.com/laurita.socaliente/ On passe tous par là, avoir le cœur brisé peut chambouler toutes les sphères d'une vie. C'est pourquoi aujourd'hui, épisodes pour ceux qui traversent cette transition douloureuse. - Reconnaître que sa peine est valide - Il n'y a pas de hiérarchie dans la douleur - On peut partir en continuant d'aimer - Nos unattendes griefs qui traînent - Les buffles nous apprennent beaucoup - Un besoin ou une envie ? - Personne n'a à vous sauver - Aucune conversation finale n'est satisfaisante - Ne soyez pas otage de cette playlist spotify passive agressive - Devenir l'acteur principal again A tout de suite ;)
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, Antoine Diers et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
« Votre joie, personne ne vous l'enlèvera » (Jn 16, 20-23a)Méditation par le Père Michel Quesnel Chant Final : "Quel jour de joie" de GloriousDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
PSG - Inter Milan : Ce Que PERSONNE Ne Dit Sur Cette FINALE !
Aujourd'hui, Didier Giraud, Emmanuel de Villiers et Joëlle Dago-Serry débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Dans cet épisode Chris et Jon discutent de l'avenir de la catégorie poids lourds et de la situation tendue avec Jon Jones ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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En 2015, Damien est gendarme, en opération en Nouvelle-Calédonie. Pendant une intervention, il reçoit 3 fragments de balle dans la tête, mais reste miraculeusement en vie. Les tireurs sont mineurs ou insolvables. Damien ne reçoit donc aucun dédommagement. Depuis, il se bat pour obtenir un dédommagement afin de mener une vie normale avec sa famille. En août, il sera officiellement réformé et ne touchera plus son salaire de gendarme. Dans le podcast « Ça peut vous arriver » sur RTL, Julien Courbet et son équipe distribuent conseils conso et astuces juridiques pour lutter contre les arnaques dans la bonne humeur. Ecoutez Ça peut vous arriver avec Julien Courbet du 27 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À Cannes hier soir, Jafar Panahi a reçu une Palme d'or « tellement méritée », s'exclame le Parisien-Dimanche, au-dessus de la photo du réalisateur iranien, souriant, derrière ses lunettes noires qu'il n'a pas quittées de la cérémonie. « Plusieurs fois emprisonné sans son pays, Jafar Panahi a été récompensé pour un grand film politique et bourré d'humour », ajoute le Parisien-Dimanche. Ce film, c'est Un simple accident, que le journal résume ainsi : « une comédie noire sur la revanche du petit peuple contre un ancien tortionnaire, tourné avec trois fois rien et qui tient aussi bien du thriller que de la comédie et du grand film politique ». « L'émotion l'a terrassé sur son siège pendant quelques secondes, alors que la salle se levait pour l'applaudir », raconte la Tribune Dimanche, il remporte « la Palme d'or de l'engagement et de la liberté ». Le Journal du Dimanche salut, de son côté, une Palme d'or « symbole de résistance », et rapporte les propos de Jafar Panahi, tenus quelques heures avant la cérémonie : « Dimanche, je reprends l'avion pour Téhéran, je ne sais pas quels ennuis m'y attendent, mais l'Iran est mon pays et je ne saurai pas faire du cinéma ailleurs ».Ça se passe loinGros plan sur la guerre en Ukraine, vue de Russie. « Après trois ans de guerre », raconte le Point, « la population russe navigue entre soutien, désillusion et ressentiment ». « Pour une grande majorité d'habitants », poursuit l'hebdomadaire, « la guerre, pudiquement appelée "opération militaire spéciale", continue d'être une gêne lointaine ». À l'université par exemple, un étudiant grec raconte que ses compagnons russes « sont plus en colère contre l'Union européenne qui les sanctionne que contre leur gouvernement qui a commencé et soutient cette guerre ». À Moscou, un opposant au régime, lui, explique : « Ça se passe loin, là-bas. Le plus important, c'est de ne pas être touché directement ». « Il ne souhaite pas la défaite ». « Sinon », dit-il, « ce sera la guerre civile ». Le Point a aussi rencontré Laura, une couturière à la retraite, qui « ne veut plus rien entendre au sujet de l'opération spéciale ». « Il y a un an, trois mois après avoir été mobilisé, son petit-fils de 18 ans est mort en Ukraine. Il repose « en héros », au cimetière ». « Laura n'en dira pas plus », conclut le Point.Personne ne viendra nous sauverDirection les États-Unis où « la résistance s'organise ». C'est en tout cas ce que croit savoir le Nouvel Obs, il est allé à la rencontre des membres du collectif Indivisibles, qui mènent la révolte contre Donald Trump. Comme Mary Ann, qui, nous dit-on, « a hissé, sur sa pelouse tondue de près, un drapeau américain à l'envers. Un SOS angoissé, signe d'un pays en détresse. Quelques semaines plus tard, elle a planté un petit panneau qui invite à l'action en lettres blanches : march, protest, strike, vote », poursuit le Nouvel Obs, qui est aussi allé à un meeting des Indivisibles. L'un des co-fondateurs du mouvement, Ezra Levin, s'exclame face au public: « La peur est contagieuse, mais le courage aussi ! Personne ne viendra nous sauver. Les luttes historiques contre les autoritarismes nous apprennent que le succès dépend d'une opposition persistante, courageuse, large et unifiée ». Et puis il y a Bernie Sanders, l'ex-candidat à l'élection présidentielle, « l'apport du sénateur de 83 ans à la résistance est capital », estime le Nouvel Obs. « Lui qui n'appartient à aucun parti est devenu l'improbable visage de l'opposition à Trump. Partout le vieux routier de la gauche attire les foules ». « Il faut rallier les classes populaires, Bernie Sanders l'a compris très tôt ». Il va vers « une Amérique populaire, en miroir de celle de Trump, cherchant elle aussi à exprimer sa colère ».De Gaza au sud de la FranceEnfin, M, le supplément du Monde nous emmène à la rencontre d'une famille palestinienne réfugiée en France. Ils sont sortis de l'enfer de Gaza, toute la famille d'Husam Al Najar, les parents et les cinq enfants, « âgés de 4 à 20 ans ». Ils vivent désormais dans le Gard, dans le sud de la France, « dans un hameau à 600 mètres d'altitude ». Un havre de paix, avec « ses paysages verdoyants à perte de vue ». Pour la photo, la famille pose devant une maison aux tuiles roses. Mais Husam Al Najar « a le vertige ». « Il ne s'éternise pas et préfère retourner dans le salon », raconte M. « Je n'arrive pas à rester dehors », dit-il. « J'ai besoin de me sentir entre des murs solides ». S'ils sont tous en France aujourd'hui, précise le magazine, c'est « grâce à une chercheuse du CNRS qui a œuvré sans relâche pour qu'Husam Al-Najar, docteur en ingénierie de l'environnement, puisse bénéficier d'un programme national d'aide aux scientifiques en exil ». Ils sont arrivés fin avril et sont bien décidés à s'intégrer en France. Diana Al-Najar, « la mère de famille, veut apprendre le français au plus vite et passer le permis de conduire. Nour 18 ans et Aya 16 ans, échangent déjà quelques paroles dans un français impeccable », raconte M. Pour cette famille, « arrivée, avec pour tout bagage un téléphone portable », c'est le début d'une nouvelle vie.
Aujourd'hui, Élina Dumont, Didier Giraud et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
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Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 20 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous sommes 8 mai 1927, sur la piste de l'aérodrome du Bourget. Il encore très tôt, mais des invités de prestige ont fait le déplacement, dans la nuit, depuis Paris. On peut apercevoir Joséphine Baker, Maurice Chevalier, Mistinguett, mais aussi le célèbre aéronaute Charles Dollfus ainsi que des militaires, des généraux, des officiers. Toutes et tous observent deux hommes montés dans un avion blanc orné d'une de tête de mort noire sur deux tibias croisés accompagnés d'un cercueil et de deux flambeaux. L'avion a été baptisé : l'Oiseau blanc. Destination : l'Amérique du Nord, en traversant l'Atlantique. Cela n'a jamais été fait ! Les deux pilotes ont pour nom : Charles Nungesser et François Coli. Tous deux font un geste pour dire au revoir et s'apprêtent à lancer leur engin pour prendre leur envol. L'avion roule de plus en plus vite, quitte le sol, parcourt quelques mètres puis semble retomber. Les spectateurs retiennent leur souffle. Finalement, l'Oiseau blanc reprend son ascension. Les deux pilotes mettent le cap vers la Manche. A 6h30, l'avion franchit la frontière de la terre et passe au-dessus de la mer. Personne ne se doute qu'on le voit pour la dernière fois. Charles Nungesser et François Coli disparaissent pour toujours. Ici commence l'une des plus grandes énigmes de l'histoire de l'aviation. Retour sur le parcours de Charles Nungesser, as de la Grande Guerre, boxeur, acteur de cinéma, époux d'une riche américaine, disparu en plein vol. Invité : Patrick de Gmeline, historien militaire. Auteur de : « Charles Nungesser, de l'as de la grande guerre au disparu de l'Atlantique » ; éd. du Rocher. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
"Depuis la qualif, j'ai fait trois restos à Marseille, personne n'a voulu que je paye."Medhi Benatia est l'invité de Rothen s'enflamme !
Laurent Ruquier est tombé malade ! Mais ce n'est pas une raison pour que les Grosses Têtes soient indulgentes avec lui, surtout Isabelle Mergault... Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.