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Journée mondiale de prévention du suicide : cette urgence dont personne ne parle by TOPFM MAURITIUS
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 09 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les matins à 8H10, on vous donne des infos aléatoires du monde.
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Personne n'a été surpris, même pas le principal intéressé : en France, le Premier ministre François Bayrou a échoué, ce lundi 8 septembre 2025, à obtenir l'approbation des députés. Le voilà démissionnaire, tout comme son gouvernement. Une issue que le chef de l'exécutif a provoquée lui-même, en demandant ce vote de confiance. Au cœur de la discorde : la question du budget. Faire des économies était vital selon François Bayrou, dans un pays où le déficit représente 5,4% du PIB ; les députés étaient en désaccord sur le fond et sur la forme. Mais la situation est-elle aussi grave que ce qu'affirme François Bayrou ? Où en sont nos voisins européens ? Éléments de réponse avec Andreas Eisl, chercheur en Politiques européennes à l'Institut Jacques-Delors. La Roumanie, mauvais élève des règles européennes Dans le pays aussi, le gouvernement insiste sur la nécessité de faire des économies pour rentrer dans les clous de l'Union européenne. Le déficit atteint aujourd'hui 7,4% du PIB, et il est même monté jusqu'à 9% l'an dernier. L'exécutif a donc annoncé une cure d'austérité notamment dans le secteur de l'éducation. Mais la population n'en veut pas : 15.000 personnes ont manifesté ce lundi 8 septembre 2025 à l'occasion de la rentrée. Explications à Bucarest, Marine Leduc. La goutte de trop pour les militants de la gauche italienne Des centaines de manifestants de gauche, mobilisés à Milan en Lombardie. Le gouvernement d'extrême-droite de Giorgia Meloni a profité de l'été pour fermer le centre social Leoncavallo, un phare pour la gauche milanaise, et même plus largement italienne. Cette mesure a provoqué une levée de boucliers, alors que la gauche reçoit des coups de plus en plus fréquents de la part de l'exécutif. Reportage, Cécile Debarge. Le dernier «paradis sauvage» d'Europe de l'Ouest, menacé Sable blanc à n'en plus finir, eaux turquoises et forêts verdoyantes : les paysages de la côte portugaise offrent un véritable paysage de carte postale. Mais voilà : de plus en plus, ce cadre idyllique est réservé à une poignée d'ultra-riches, attirés par les complexes touristiques qui pullulent sur le littoral. Au cœur de pinèdes protégées, des golfs et autres villas grand luxe font leur apparition, à la faveur d'une faille juridique dans laquelle les promoteurs se sont engouffrés. Conclusion, pour les populations locales, l'accès à leurs propres plages devient de plus en plus difficile. Alors elles se battent, à travers le mouvement «les plages sont à nous». Marie-Line Darcy a suivi l'un de ces groupes de citoyens.
Personne n'a été surpris, même pas le principal intéressé : en France, le Premier ministre François Bayrou a échoué, ce lundi 8 septembre 2025, à obtenir l'approbation des députés. Le voilà démissionnaire, tout comme son gouvernement. Une issue que le chef de l'exécutif a provoquée lui-même, en demandant ce vote de confiance. Au cœur de la discorde : la question du budget. Faire des économies était vital selon François Bayrou, dans un pays où le déficit représente 5,4% du PIB ; les députés étaient en désaccord sur le fond et sur la forme. Mais la situation est-elle aussi grave que ce qu'affirme François Bayrou ? Où en sont nos voisins européens ? Éléments de réponse avec Andreas Eisl, chercheur en Politiques européennes à l'Institut Jacques-Delors. La Roumanie, mauvais élève des règles européennes Dans le pays aussi, le gouvernement insiste sur la nécessité de faire des économies pour rentrer dans les clous de l'Union européenne. Le déficit atteint aujourd'hui 7,4% du PIB, et il est même monté jusqu'à 9% l'an dernier. L'exécutif a donc annoncé une cure d'austérité notamment dans le secteur de l'éducation. Mais la population n'en veut pas : 15.000 personnes ont manifesté ce lundi 8 septembre 2025 à l'occasion de la rentrée. Explications à Bucarest, Marine Leduc. La goutte de trop pour les militants de la gauche italienne Des centaines de manifestants de gauche, mobilisés à Milan en Lombardie. Le gouvernement d'extrême-droite de Giorgia Meloni a profité de l'été pour fermer le centre social Leoncavallo, un phare pour la gauche milanaise, et même plus largement italienne. Cette mesure a provoqué une levée de boucliers, alors que la gauche reçoit des coups de plus en plus fréquents de la part de l'exécutif. Reportage, Cécile Debarge. Le dernier «paradis sauvage» d'Europe de l'Ouest, menacé Sable blanc à n'en plus finir, eaux turquoises et forêts verdoyantes : les paysages de la côte portugaise offrent un véritable paysage de carte postale. Mais voilà : de plus en plus, ce cadre idyllique est réservé à une poignée d'ultra-riches, attirés par les complexes touristiques qui pullulent sur le littoral. Au cœur de pinèdes protégées, des golfs et autres villas grand luxe font leur apparition, à la faveur d'une faille juridique dans laquelle les promoteurs se sont engouffrés. Conclusion, pour les populations locales, l'accès à leurs propres plages devient de plus en plus difficile. Alors elles se battent, à travers le mouvement «les plages sont à nous». Marie-Line Darcy a suivi l'un de ces groupes de citoyens.
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 09 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Hello, j'espère que tu vas bien, que tu as passé un bel été, et que la rentrée se déroule en douceur. Ça faisait un petit moment que tu n'avais pas entendu ma voix ou lu mes mots : le dernier épisode datait du début du mois d'août. J'ai pris le temps de réfléchir, de poser mes intentions pour ce podcast et pour tout ce que j'ai envie de partager avec toi. J'en suis arrivée à la conclusion que, pour l'instant, un rythme d'un épisode par mois est ce qui me convient le mieux.Je préfère miser sur la régularité et l'engagement plutôt que de me disperser. Bien sûr, si une actualité brûlante surgit ou si un sujet me touche particulièrement, je pourrai toujours faire un épisode bonus. Mais en ce moment, avec la fin d'année qui s'annonce bien chargée, je préfère rester réaliste et tenir la cadence.Et aujourd'hui, j'ai envie de te raconter ce qui a bougé ces dernières semaines, ce qui a traversé ma tête et mon cœur, ce qui m'a révoltée aussi… Parce qu'on va parler de visibilité, de place en librairie, de commentaires parfois violents, mais aussi de mon parcours d'autrice, depuis mes premiers mots d'enfant jusqu'à la signature de mon roman Comète en maison d'édition.Le déclic : chercher des livres qui ressemblent à ComèteTout a commencé par une scène toute simple, presque banale : en juin, j'étais à Paris et j'ai eu envie d'aller fouiller en librairie. Pas pour acheter au hasard, mais pour répondre à une question très précise : où sont rangés les romans contemporains écrits par des personnes noires françaises, avec des personnages noirs ? Pas francophones venus d'ailleurs, pas des traductions, mais bien des voix d'ici, en France.Je suis allée dans trois FNAC et trois grandes librairies. Et j'ai fait chou blanc. Personne n'a pu m'orienter. Je ne trouvais pas ce que je cherchais. Bien sûr, je sais que ces livres existent, mais leur invisibilité m'a sauté au visage. Et immédiatement, une question m'a frappée : le jour où Comète sortira en librairie, où sera-t-il rangé ?Parce que soyons honnêtes : si un roman est rangé par la tranche dans un rayon anonyme, il est invisible. S'il n'est pas mis en avant avec d'autres livres similaires, comment le lecteur ou la lectrice lambda pourra-t-il tomber dessus ? Et si, au contraire, il est tout seul, isolé, est-ce qu'il ne deviendra pas “trop” ? Trop ostentatoire, trop intrigant ?Je me suis perdue dans ces questions, pas toujours rationnelles peut-être, mais profondément liées à une réalité : je n'ai pas trouvé de romans qui ressemblent au mien.Oui, il y a des exceptions, comme Léonora Miano. Mais si on ajoute le critère du Young Adult, alors là… c'est encore plus vide. Et si en plus on cherche un roman contemporain qui ne parle pas uniquement de racisme ou d'esclavage mais aussi d'identité, de trauma, d'amitié, d'amour… on touche au désert.L'invisibilisation : un sujet qu'on ne peut pas taireAu départ, je me suis dit : “ok, c'est ta réflexion perso, pas besoin d'en parler.” Je me suis convaincue que le sujet était déjà “vu, connu, revu”. Mais c'était sans compter sur une vidéo d'une influenceuse littéraire, moisreadingbooks, qui a dénoncé l'absence de personnages noirs sur les couvertures des romances à la FNAC.Sa vidéo, les commentaires, les débats… tout ça m'a rappelé que non, ce n'est pas un sujet clos. L'invisibilisation est toujours là, bien vivace. Et mon expérience dans les rayons parisiens le confirmait.Alors j'ai décidé d'en parler moi aussi. J'ai posté des vidéos, partagé mes réflexions. Et évidemment, les commentaires haineux n'ont pas tardé. J'étais préparée à la critique, mais je ne m'attendais pas à une telle déferlante. Certaines personnes laissent tomber la haine comme on jette un déchet : sans lire, sans chercher à comprendre qui est en face.Parmi ces messages, il y en a un qui m'a particulièrement marquée – au point de m'avoir fait rire tant il était violent. Quelqu'un a écrit que si ces livres n'existaient pas, c'était parce que “les personnes noires ne savent pas écrire”. Oui, tu as bien lu. Je l'ai vu sur TikTok, sur Instagram, sous plusieurs formes, mais toujours avec la même idée.Bien sûr, je sais que ces gens ne représentent pas tout le monde. Mais quand les messages se multiplient, quand ce n'est jamais la même personne et que pourtant les propos se ressemblent, alors oui, ça reflète une manière de penser encore présente en France. Et ça, il faut le dénoncer.Ma réponse : documenter, inspirer, rassemblerPlutôt que de me taire, j'ai décidé de documenter ma vie d'autrice. De montrer les coulisses, les difficultés, les petites victoires aussi. Parce que si je partage, peut-être que d'autres personnes noires oseront le faire aussi. Peut-être qu'on pourra s'allier, se donner des conseils, trouver des moyens d'améliorer notre visibilité en librairie.Parce que soyons clairs : le seul vrai critère devrait être la qualité d'un roman. Pas la couleur de peau de son autrice. Pas le fait que les personnages soient noirs ou pas. Si une histoire est originale, bien écrite, en accord avec la ligne éditoriale d'une maison, pourquoi devrait-elle avoir moins de chances ?Quand on me dit “s'il n'y a pas ces romans, c'est qu'il n'y a pas de demande”… je ne peux pas m'empêcher de repenser à l'industrie cosmétique. Pendant longtemps, les grandes marques proposaient un seul fond de teint “pour toutes les peaux noires”. Elles ignoraient une énorme partie du marché. Puis Rihanna est arrivée avec Fenty Beauty et a prouvé qu'en réalité, la demande était là. Qu'il suffisait d'écouter.Je me demande souvent si un jour, une maison d'édition indépendante aura le courage de créer ses propres canaux de diffusion, ses propres codes, pour répondre à cette demande ignorée. Peut-être que oui. Peut-être que non. Mais ce qui est sûr, c'est qu'avec le contexte actuel en France – où l'extrême droite rachète des groupes éditoriaux – il est urgent qu'on agisse.Du vlog au podcast : trouver le bon formatC'est pour ça que j'ai commencé à poster des vlogs courts sur Instagram. Parce que je sais que beaucoup de gens n'ont pas le temps pour du contenu long. Ils ne lisent même pas les descriptions. Alors j'essaie d'être concise. Mais je sais aussi qu'il y a des personnes comme toi, qui aiment plonger dans du contenu plus long, prendre le temps. C'est pour ça qu'existent ce podcast et cette newsletter : pour raconter autrement.Et pour ce premier “cycle” de vlogs, j'ai demandé à mes abonnés s'ils voulaient que je commence par mon parcours d'autrice ou par mes outils. C'est mon parcours qui a gagné. Alors voilà, je t'emmène avec moi dans ce récit.Les débuts : une machine à écrire et des mots sombresMon histoire avec l'écriture a commencé très tôt. À 6 ans, on m'a offert une petite machine à écrire, sous forme de jouet. J'y tapais des mots, des débuts de phrases, des embryons d'histoires. Mais c'est vraiment à 11 ans que tout s'est déclenché : j'écrivais des nouvelles sombres, parfois macabres. J'avais un côté dark assumé, comme beaucoup d'ados. Et en parallèle, je tenais un journal intime… mais en poésie.Pourquoi la poésie ? Parce qu'au lycée, j'ai découvert Les Fleurs du Mal. Et ce recueil m'a happée. Il m'a donné envie de traduire mes pensées en vers, de transformer mes émotions en images.À 15 ans, j'ai même commencé une saga de science-fiction. J'ai atteint 70 pages avant d'abandonner. Quand je repense à Comète aujourd'hui, je souris : à l'époque, je croyais qu'écrire 70 pages, c'était énorme.La blessure : “tu ne seras pas écrivaine”Et puis il y a eu un moment décisif. J'étais au lycée Louis-le-Grand, l'un des meilleurs de France. J'ai osé montrer mes poèmes à ma prof de français. Sa réponse a été un coup de massue : “ce n'est pas de la poésie, et de toute façon tu ne seras jamais écrivaine, pas en tant que femme noire en France.”Ces mots m'ont blessée profondément. J'ai rangé mes cahiers. Et la vie a pris le dessus. On m'a répété qu'il fallait être autonome, indépendante, surtout en tant que femme noire dans un pays raciste. Alors j'ai suivi le chemin “sûr” : prépa, école de commerce, une carrière dans le marketing digital.Pendant dix ans, j'ai enchaîné désillusions, burn-outs, fatigue. Mais je me disais : “au pire, tu écriras à la retraite.”La renaissance : Instagram et l'auto-éditionPuis il y a eu le confinement. Une pause forcée. Un moment de respiration. Et là, je me suis dit : “et si c'était le moment de revenir à ton rêve d'enfant ?”J'ai ouvert un compte Instagram en mai 2020. J'ai posté des textes. Les retours ont été encourageants. Et en décembre, six mois plus tard, j'ai auto-publié mon premier recueil : au-delà de nos maux. Il s'est vendu à près de 2000 exemplaires, dont 500 rien que la première année.En 2021, j'ai commencé à animer des ateliers d'écriture. En 2023, j'ai publié un deuxième recueil, tant que j'aimerai. Et surtout, j'ai pris une décision : me lancer dans l'écriture d'un roman.L'étape décisive : la formation LICARES et ComètePour ne pas me lancer dans le vide, j'ai suivi la formation LICARES (avec le code promo MAHUNA, tu bénéficies d'une réduction, détails en bas). Elle m'a appris la structure, la rigueur, les attentes du monde éditorial. J'ai compris que l'édition n'était pas seulement une affaire de passion, mais aussi une entreprise avec ses contraintes.Grâce à cette formation, j'ai pu développer Comète. L'idée est née en mars 2024, nourrie par plusieurs projets avortés. J'ai écrit, réécrit, bêta-testé. En janvier 2025, le manuscrit était terminé. En avril, j'ai rencontré mon éditrice. En juin, j'ai signé le contrat.Tout est allé vite. Trop vite presque. Mais j'ai eu cette chance incroyable : c'est l'éditrice qui est venue me chercher.Et maintenant ?Aujourd'hui, j'attends ses retours pour entamer les corrections éditoriales. En parallèle, j'ai déjà terminé le tome 2, qui est en réalité un préquel. Je travaille aussi avec mon agente littéraire pour trouver la bonne maison.Quand je regarde mon parcours, je me sens encore “bébé autrice”. Mon premier livre auto-édité est sorti en 2020 : ça ne fait “que” quatre ans. Mais en même temps, j'ai l'impression d'avoir parcouru un monde.Et surtout, je sais pourquoi j'écris. J'écris pour raconter mes histoires, mais aussi pour réduire l'invisibilisation. Pour qu'un jour, une jeune fille noire de 11 ans puisse entrer dans une librairie et trouver un roman où elle se reconnaît.Je sais que je ne suis pas la première à porter cette lutte. Mais je crois à la force du nombre, à la puissance des voix qui s'élèvent. Tant qu'on continue d'en parler, il n'y a pas de raison pour que rien ne change.Alors je continuerai, sur Instagram, dans ce podcast, dans cette newsletter. Je continuerai à écrire mes colères, mes espoirs, mes histoires. Parce qu'au fond, tout est lié : la littérature, la visibilité, l'émotion, le soin.Merci d'avoir pris le temps de me lire. Merci d'être là. Et prends soin de toi, de tes émotions, de ta créativité. On en aura besoin pour la suite.La Formation LICARESAvec le code MAHUNA (lien affilié), bénéficie de 80€ de réductionDates : Du 6 octobre au 14 décembre 2025Inscriptions ouvertes : Du 8 septembre au 28 septembreSi tu ne sais pas par où commencer pour écrire un roman, si tu veux envoyer un roman de qualité professionnel et le faire correctement, je te recommande cette formation. Elle a été fondamentale dans ma réussite. Je te prépare un prochain épisode avec tous les détails. This is a public episode. If you would like to discuss this with other subscribers or get access to bonus episodes, visit mahunapoesie.substack.com
Plongée dans la révolution de l'intelligence artificielle, avec ses menaces et ses nombreuses opportunités. Christophe Charlot interviewe un expert du sujet chaque mardi. Les Trends-Tendances podcasts rassemblent tous les podcasts de Trends-Tendances et de Trends Z francophone. Les journalistes vous proposent différents podcasts sur les thèmes qui dominent notre monde et notre société. Sous différents angles et avec un accent clair sur l'économie et les entreprises, sur les affaires, les finances personnelles et les investissements. De manière indépendante, pertinente, toujours constructive et tournée vers l'avenir.
Tous les matins, à 6h10 et 6h50 sur Chérie FM, Tiffany Bonvoisin nous présente une info qui l''''a marquée !
Il y a quelques jours, j'ai rencontré un couple à la maison de naissance. On a parlé de leur parcours, et elle m'a raconté un moment qui m'a glacée : son hystérosalpingographie. Un examen soi-disant "de routine"… sauf que pour elle, c'était un véritable traumatisme. Elle a cru qu'elle allait mourir. Elle a hurlé de douleur. Son compagnon l'entendait crier derrière la porte… mais n'avait pas le droit d'entrer. Et personne, PERSONNE, n'est venu la soutenir.Dans cet épisode, je vous parle de ça. De ces violences dites “invisibles”, “institutionnelles”, “ordinaires”... mais qui marquent nos corps, notre psyché, notre confiance. Je parle de ces examens où l'on n'explique rien, où l'on n'anesthésie pas, où l'on impose, où l'on minimise. Parce que “c'est normal, madame”.Mais en vrai : rien de tout ça n'est normal.On a appris aux femmes à se faire violence. Depuis toutes petites. À se taire, à serrer les dents, à ne pas déranger, à dire oui quand leur corps dit non. Et ça, ça laisse des traces jusque dans la manière dont on vit nos règles, notre sexualité, nos accouchements.Je vous parle aussi de ce que j'ai vécu moi-même. Du jour où j'ai accouché de ma fille Catherine. Ce jour-là, je n'ai pas eu l'aplomb de dire non à une césarienne dont je savais qu'elle n'était pas nécessaire. J'ai crié, j'ai résisté, mais je ne suis pas partie. Parce que même moi, sage-femme, je n'avais plus les ressources. Parce que le système avait repris le pouvoir sur moi.Alors dans cet épisode, j'ai envie de dire STOP. De dire que ça suffit. Que cette culture de la douleur féminine banalisée, niée, étouffée… ça doit s'arrêter.Je veux qu'on parle de ce qu'on nous fait taire.Je veux qu'on reconnaisse que la douleur des femmes est un langage, pas un défaut.Et surtout, je veux rappeler que la naissance n'est pas censée être un moment de guerre. C'est intense, oui. Mais c'est aussi un moment de puissance, de reconnexion, de souveraineté. À condition qu'on arrête de déposséder les femmes de leur corps, de leur voix, de leur vécu.Alors si toi aussi tu t'es déjà dit “je suis trop sensible”, “je vais me taire”, “je ne veux pas déranger”… écoute cet épisode. Il est pour toi. Et partage-le. Pour que d'autres femmes, étudiantes, mères, soignantes, puissent se sentir moins seules. Et surtout, plus jamais coupables de leur douleur.Liens vers les profils de médias sociaux- Instagram : https://www.instagram.com/sage_femme_authentique/?hl=fr- Site Web: www.sagefemmeauthentique.com-Blog: www.sagefemmeauthentique.com/blog- email: melyssa@sagefemmeauthentique.com- La Bulle Maison de Naissance :- Facebook : https://www.facebook.com/labulle.mdn- Instagram : https://www.instagram.com/labulle.mdn/?hl=frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
1) France: le gouvernement Bayrou tombera vers 19h heure, heure de Paris 2) Trump veut envoyer la garde nationale à Chicago 3) Gigantesques manifestations au NépalPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Aujourd'hui, je vous propose un épisode coup de poing avec Florent Letourneur, entrepreneur engagé, expert reconnu de la marque employeur, et cofondateur de We feel good (https://www.wefeelgoodrh.com/). Florent n'est pas là pour répéter ce que tout le monde dit.Il a fait la marque employeur sur le terrain, avant d'en parler.Son message est clair : la marque employeur n'est pas un exercice de communication, c'est une transformation RH profonde et stratégique.Avec Florent, nous parlons sans filtre :D'authenticité : construire à partir de ce que vivent réellement vos collaborateurs.De vulnérabilité : oser montrer ce qui est vrai plutôt que d'afficher une perfection artificielle.De transparence : pour attirer, fidéliser et créer un vrai sentiment d'appartenance.Florent défend 3 grandes convictions fortes :La marque employeur commence par écouter vraiment.Les dirigeants doivent prendre la parole et incarner ce qu'ils défendent.La transparence sincère, pas la perfection, est la clé de l'attractivité.Vous découvrirez comment, à travers ces leviers, la marque employeur devient un moteur puissant de transformation... à condition d'accepter de se remettre en question, d'aligner les actes et les discours, et de donner une vraie voix aux collaborateurs.Un échange franc, inspirant, et une vraie bouffée d'air frais pour tous ceux qui veulent construire des entreprises où l'on peut croire en ce qu'on fait.Bonne écoute !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Salut les sportifs intelligents ! Cette semaine on va parler d'un frein énorme à la perte de poids : l'alcool
Ecriture et réalisation: Jean-Sébastien Grond - Sources: France Football, L'Equipe, So Foot, football-the-story.com - Crédits: La donna e mobile (Stingray Karaoke sur YouTube), Mexico de Luis Mariano, London Calling de The Clash, l'hymne ukrainien (par Traum Piano sur YouTube), Scarface de Brian De Palma, Mas que nada de Sergio Mendes, images TF1, Por una cabeza (par Layers Classic sur YouTube) - Jingle: Thomas Henrion, Paul Rouget - Rédaction en chef: Thomas Pisselet.
C'est un pays au cœur d'importantes tensions internationales, allant de confrontations diplomatiques au conflit ouvert comme en juin dernier. L'Iran est un pays incontournable sur la scène internationale, mais pas nécessairement compris. Le chercheur Clément Therme, chargé de cours à l'université Paul Valéry de Montpellier, publie Idées reçues sur l'Iran - Un pouvoir à bout de souffle ? aux éditions Le Cavalier Bleu. RFI : L'une des idées reçues que vous interrogez au début de votre livre, c'est le qualificatif de théocratie, souvent attribué à la République islamique. Pour comprendre ce régime, il faut se pencher, dites-vous, sur un concept-clé, la tutelle du juriste théologien. Clément Therme : C'est l'idée de l'ayatollah Khomeini qui l'a développée dans ses écrits avant la révolution. Ses écrits n'avaient pas été diffusés suffisamment en Occident. Puisque, au moment de la révolution, personne n'avait compris de quoi il s'agissait et la nature de ce mouvement révolutionnaire qui n'était pas une révolution marxiste, et donc qui échappait à la compréhension des contemporains. Même les Iraniens ne comprenaient pas ce que la « révolution islamique » voulait dire. Le qualificatif islamique était perçu positivement par la population dans sa majorité, qui ne pensait pas qu'il devrait faire face à un principe absolu de la gouvernance du Guide suprême. C'était une révolution cléricale, mais cela n'a pas été compris. En Occident, encore aujourd'hui, on ne sait pas que la majorité du clergé chiite, par exemple, ne soutient pas ce principe théologique qui sous-tend la gouvernance en République islamique. Il y a les idées reçues, les raccourcis qui sont faits à propos de l'Iran, mais aussi des aspects des enjeux méconnus comme cette crise environnementale de grande ampleur qui frappe l'Iran. Vous lui consacrez d'ailleurs la couverture de votre livre. Est-ce un enjeu important pour l'Iran en 2025 ? Tout à fait, parce que le maintien au pouvoir de la République islamique menace la survie du pays. On le voit avec la crise de l'eau cet été, la crise énergétique, les coupures d'électricité. En 1979, si vous le voulez, la République islamique a fait sortir l'Iran des normes internationales en matière de respect de l'environnement, de technologie. Avant la révolution, par exemple, les barrages étaient construits dans le cadre de coopération avec la Banque mondiale. Après la révolution, la multiplication des petits barrages a conduit à une mauvaise utilisation des ressources en eau. Cela s'ajoute les sanctions internationales et le réchauffement climatique qui aggravent ces dysfonctionnements de la République islamique. C'est pour cela que cette question environnementale est centrale dans les problématiques pour la population qui vit en Iran. Vous vous intéressez aussi aux sujets qui font souvent entrer l'Iran dans l'actualité. Par exemple, la place des femmes dans la société, avec la question du voile notamment. Il avait été interdit en 1936 par le Shah et au contraire rendu obligatoire par la République islamique en 1983. Le voile en Iran n'est pas qu'un signe religieux. Dans le cadre de la République islamique, il a un outil de gouvernance, c'est-à-dire qu'il fait partie des symboles du maintien de l'autorité du Guide suprême et il fait partie de l'identité du système politique. Même si depuis 2022, il y a des accommodements qui ont été imposés par la population au régime. On a vu, par exemple, une loi qui était prévue au Parlement ne pas être adoptée et mise en œuvre sous la pression des femmes et de la société civile. On dit souvent que le régime iranien s'est déjà effondré sur le plan idéologique. Cette question du voile obligatoire pose la question de la survie du régime. Il est question aussi du programme nucléaire aussi, évidemment, avec un rappel historique. Tout d'abord, il a été lancé dans les années 1950 sous la monarchie avec le soutien des Occidentaux. Les interrogations autour d'une éventuelle militarisation de ce programme ne datent pas de la révolution islamique. On parlait à l'époque de gaullisme chiite, c'est-à-dire que le modèle du programme nucléaire iranien, c'était le modèle français. Le programme nucléaire iranien, dès les années 1970, voulait transformer l'Iran en État du seuil, un État qui serait capable de fabriquer des systèmes d'armes nucléaires s'il en prend la décision. Après la révolution, ce qui a changé, c'est la nature idéologique du régime et les tensions avec l'Occident consécutives à la révolution. La perception occidentale de ce programme a évolué puisque avant la révolution, il était perçu comme une opportunité commerciale pour vendre des réacteurs nucléaires, alors qu'après la révolution, il est perçu comme une menace. Idées reçues sur l'Iran - Un pouvoir à bout de souffle ? de Clément Therme (232 pages), publié aux éditions Le Cavalier Bleu, le 28 août 2025. À lire aussiIran : le rôle oublié de la France et de l'Allemagne dans la naissance du programme nucléaire
C'est un pays au cœur d'importantes tensions internationales, allant de confrontations diplomatiques au conflit ouvert comme en juin dernier. L'Iran est un pays incontournable sur la scène internationale, mais pas nécessairement compris. Le chercheur Clément Therme, chargé de cours à l'université Paul Valéry de Montpellier, publie Idées reçues sur l'Iran - Un pouvoir à bout de souffle ? aux éditions Le Cavalier Bleu. RFI : L'une des idées reçues que vous interrogez au début de votre livre, c'est le qualificatif de théocratie, souvent attribué à la République islamique. Pour comprendre ce régime, il faut se pencher, dites-vous, sur un concept-clé, la tutelle du juriste théologien. Clément Therme : C'est l'idée de l'ayatollah Khomeini qui l'a développée dans ses écrits avant la révolution. Ses écrits n'avaient pas été diffusés suffisamment en Occident. Puisque, au moment de la révolution, personne n'avait compris de quoi il s'agissait et la nature de ce mouvement révolutionnaire qui n'était pas une révolution marxiste, et donc qui échappait à la compréhension des contemporains. Même les Iraniens ne comprenaient pas ce que la « révolution islamique » voulait dire. Le qualificatif islamique était perçu positivement par la population dans sa majorité, qui ne pensait pas qu'il devrait faire face à un principe absolu de la gouvernance du Guide suprême. C'était une révolution cléricale, mais cela n'a pas été compris. En Occident, encore aujourd'hui, on ne sait pas que la majorité du clergé chiite, par exemple, ne soutient pas ce principe théologique qui sous-tend la gouvernance en République islamique. Il y a les idées reçues, les raccourcis qui sont faits à propos de l'Iran, mais aussi des aspects des enjeux méconnus comme cette crise environnementale de grande ampleur qui frappe l'Iran. Vous lui consacrez d'ailleurs la couverture de votre livre. Est-ce un enjeu important pour l'Iran en 2025 ? Tout à fait, parce que le maintien au pouvoir de la République islamique menace la survie du pays. On le voit avec la crise de l'eau cet été, la crise énergétique, les coupures d'électricité. En 1979, si vous le voulez, la République islamique a fait sortir l'Iran des normes internationales en matière de respect de l'environnement, de technologie. Avant la révolution, par exemple, les barrages étaient construits dans le cadre de coopération avec la Banque mondiale. Après la révolution, la multiplication des petits barrages a conduit à une mauvaise utilisation des ressources en eau. Cela s'ajoute les sanctions internationales et le réchauffement climatique qui aggravent ces dysfonctionnements de la République islamique. C'est pour cela que cette question environnementale est centrale dans les problématiques pour la population qui vit en Iran. Vous vous intéressez aussi aux sujets qui font souvent entrer l'Iran dans l'actualité. Par exemple, la place des femmes dans la société, avec la question du voile notamment. Il avait été interdit en 1936 par le Shah et au contraire rendu obligatoire par la République islamique en 1983. Le voile en Iran n'est pas qu'un signe religieux. Dans le cadre de la République islamique, il a un outil de gouvernance, c'est-à-dire qu'il fait partie des symboles du maintien de l'autorité du Guide suprême et il fait partie de l'identité du système politique. Même si depuis 2022, il y a des accommodements qui ont été imposés par la population au régime. On a vu, par exemple, une loi qui était prévue au Parlement ne pas être adoptée et mise en œuvre sous la pression des femmes et de la société civile. On dit souvent que le régime iranien s'est déjà effondré sur le plan idéologique. Cette question du voile obligatoire pose la question de la survie du régime. Il est question aussi du programme nucléaire aussi, évidemment, avec un rappel historique. Tout d'abord, il a été lancé dans les années 1950 sous la monarchie avec le soutien des Occidentaux. Les interrogations autour d'une éventuelle militarisation de ce programme ne datent pas de la révolution islamique. On parlait à l'époque de gaullisme chiite, c'est-à-dire que le modèle du programme nucléaire iranien, c'était le modèle français. Le programme nucléaire iranien, dès les années 1970, voulait transformer l'Iran en État du seuil, un État qui serait capable de fabriquer des systèmes d'armes nucléaires s'il en prend la décision. Après la révolution, ce qui a changé, c'est la nature idéologique du régime et les tensions avec l'Occident consécutives à la révolution. La perception occidentale de ce programme a évolué puisque avant la révolution, il était perçu comme une opportunité commerciale pour vendre des réacteurs nucléaires, alors qu'après la révolution, il est perçu comme une menace. Idées reçues sur l'Iran - Un pouvoir à bout de souffle ? de Clément Therme (232 pages), publié aux éditions Le Cavalier Bleu, le 28 août 2025. À lire aussiIran : le rôle oublié de la France et de l'Allemagne dans la naissance du programme nucléaire
Aujourd'hui, Yves Camdeborde, Joëlle Dago-Serry et Mourad Boudjellal débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Commentaire de L'Évangile du jour Luc 5, 33-39 En ce temps-là, les pharisiens et les scribes dirent à Jésus : « Les disciples de Jean le Baptiste jeûnent souvent et font des prières ; de même ceux des pharisiens. Au contraire, les tiens mangent et boivent ! » Jésus leur dit : « Pouvez-vous faire jeûner les invités de la noce, pendant que l'Époux est avec eux ? Mais des jours viendront où l'Époux leur sera enlevé ; alors, en ces jours-là, ils jeûneront. » Il leur dit aussi en parabole : « Personne ne déchire un morceau à un vêtement neuf pour le coudre sur un vieux vêtement. Autrement, on aura déchiré le neuf, et le morceau qui vient du neuf ne s'accordera pas avec le vieux. Et personne ne met du vin nouveau dans de vieilles outres ; autrement, le vin nouveau fera éclater les outres, il se répandra et les outres seront perdues. Mais on doit mettre le vin nouveau dans des outres neuves. Jamais celui qui a bu du vin vieux ne désire du nouveau. Car il dit : “C'est le vieux qui est bon.” » L'Amour Vaincra ! Fr. Paul Adrien d'Hardemare (op) Et l'aventure continue ! retrouvez : les vidéos sur
Écoutez l'essentiel de La commission du 5 septembre 2025: Le député d’Abitibi-Est, Pierre Dufour, a été exclu du caucus de la CAQ après avoir fait des menaces de quitter le navire si un élu de la région n’est pas nommé au conseil des ministres lors du prochain remaniement la semaine prochaine; Les médecins sont en colère contre le gouvernement Legault et ont pris la décision d'intensifier leurs moyens de pression; Les résidents de la résidence privée pour aînés (RPA) Mgr-Bourget à Lévis devront se passer de leur traditionnel bingo hebdomadaire à 2$; Le gouvernement Carney suspend l’imposition de seuils minimaux de ventes de voitures électriques aux constructeurs automobiles, qui devaient rentrer en vigueur en 2026. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Avec : Jean-Philippe Doux, journaliste et libraire. Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. Et Jacques Legros, ancien présentateur emblématique du 13H de TF1. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Utilisez-vous l’IA? Québec: prolongation du parlement jusqu’au 30 septembre. On connaît le déficit anticipé en 2026 à Montréal. Benoit Dorais tire sa révérence. Tour de table entre Isabelle Perron, Alexandre Dubé et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
La santé mentale et les suicides en lien avec l’intelligence artificielle. Discussion IA avec David Proulx. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Voici l'Évangile du vendredi 5 septembre 2025 : « Des jours viendront où l'Époux leur sera enlevé ; alors, ils jeûneront » (Lc 5, 33-39) En ce temps-là, les pharisiens et les scribes dirent à Jésus : « Les disciples de Jean le Baptiste jeûnent souvent et font des prières ; de même ceux des pharisiens. Au contraire, les tiens mangent et boivent ! » Jésus leur dit : « Pouvez-vous faire jeûner les invités de la noce, pendant que l'Époux est avec eux ? Mais des jours viendront où l'Époux leur sera enlevé ; alors, en ces jours-là, ils jeûneront. » Il leur dit aussi en parabole : « Personne ne déchire un morceau à un vêtement neuf pour le coudre sur un vieux vêtement. Autrement, on aura déchiré le neuf, et le morceau qui vient du neuf ne s'accordera pas avec le vieux. Et personne ne met du vin nouveau dans de vieilles outres ; autrement, le vin nouveau fera éclater les outres, il se répandra et les outres seront perdues. Mais on doit mettre le vin nouveau dans des outres neuves. Jamais celui qui a bu du vin vieux ne désire du nouveau. Car il dit : “C'est le vieux qui est bon.” » Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu
Deux mois de présaison, deux mois de combat. Plus que les résultats, l'enjeu était de voir la nouvelle direction insufflée par Vrabel, et la mentalité qu'il a su imposer. Quels enseignements tirer ? De quoi se rassurer ?On fera le point sur le roster final, les fameux 53. Personne n'a été épargné, entre vétérans bousculés et rookies déjà sous pression. Quels joueurs suivre de près cette saison ?On se projettera ensuite sur la saison régulière : les dates à retenir, les perspectives, les promesses… Et bien sûr, on terminera par nos pronostics.
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur, Charles Consigny, avocat, et Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Invités : - Gauthier Le Bret, journaliste politique - Geoffroy Lejeune, journaliste Le JDD - Naima M'Faddel, essayiste, chargé de mission politique de la ville - Arnaud Benedetti, politologue - Guillaume Perrault, journaliste - André Vallini, avocat et ancien ministre Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tu as changé, mais peut-être que personne autour de toi ne l'a remarqué.Dans cet épisode, tu vas découvrir :✨ Pourquoi ton changement intérieur reste parfois invisible✨ Comment reconnaître toi-même tes évolutionsEt si l'un de tes vrais changements c'était enfin d'oser apprendre l'arabe ?Les cours Miftah sont là pour ça, tu apprendras à lire, écrire et t'exprimer en arabe dans une ambiance bienveillante, structurée et adaptée à ton rythme.
Vous voulez devenir illustratrice pro, mais vous ne savez pas comment vous organiser pour y arriver ?Entre les obligations du quotidien, le manque de temps ou de structure, il est facile de rester bloquée dans la phase “je rêve d'en vivre”... sans passer à l'action.Dans cet épisode, je vous guide pour planifier votre transition vers une carrière d'illustration, étape par étape sans vous épuiser ni vous éparpiller.✨ Écoutez cet épisode pour découvrir :Pourquoi l'organisation est un vrai levier (et non un luxe),Les étapes clés pour structurer votre passage vers une activité pro,Comment avancer même si vous n'avez pas “tout votre temps”.Un épisode à écouter si vous voulez poser les bases solides d'un vrai projet illustré.Retrouvez les notes de l'épisode ici : https://elodie-illustrations.net/150
Avec Soeur Marie-Emmanuel
Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant, Jérôme Marty, médecin généraliste, et Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géo, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Salut à tous et bienvenue pour un nouvel épisode des Secrets du SportAprès plus de 20 ans à explorer presque exclusivement le milieu du sport au travers d'articles, de vidéos et de podcasts, j'ai envie de plus. Passionné par l'humain et son fonctionnement, c'est l'occasion pour moi de vous partager des conversations sans filtres avec des individus "différents" que cela soit autour du sport, de l'entreprenariat, du développement personnel et plus encore. Je ne m'interdis aucun sujet et j'espère que cela vous aidera, vous apportera des pistes de réflexions à l'instar de mon podcast "LeaderCast" pour vivre une vie plus choisie. Si vous ne me connaissez pas et me découvrez avec ce podcast, je suis donc Rudy Coia, fondateur du site SuperPhysique.org destiné aux pratiquants de musculation sans dopage que j'ai fondé en septembre 2009. Sur ce site, j'ai donc écrit des milliers d'articles, des milliers de vidéos et je fais des podcasts depuis plus de 10 ans avec toujours la même ligne de conduite : Trouver des réponses à mes questions. Sur ce site, vous retrouverez une partie de ce que je propose que ce soit en terme de compléments alimentaires destinés à améliorer votre santé, notamment bio, mais aussi une application, SP Training, des livres, des formations ainsi que du coaching à distance, notamment via mon site personnel www.rudycoia.com sur lequel je publie régulièrement. Aujourd'hui, j'ai le plaisir de vous partager ma conversation avec Valentin Copin.Valentin est venu passer quelques jours à la Villa SuperPhysique après que l'on ait réalisé un podcast ensemble sur son média "Puissance santé".Après quelques jours ensemble, il me semblait indispensable de faire un épisode où cette fois-ci je le questionne sur ce qui l'anime au quotidien : La disparation de la douleur et le développement de la mobilité.Aux premiers abords, on pourrait penser que c'est lié.Mais comme vous allez l'entendre, ce n'est pas du tout la même chose.Savez-vous d'ailleurs entrainer vos tissus conjonctifs ? C'est un épisode MASTERCLASS !Bonne écoute, Rudy Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Avec : Périco Légasse, journaliste. Carine Galli, journaliste. Et Pierre Rondeau, économiste. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
durée : 00:17:48 - L'invité de 8h20 - par : Ali Baddou, Marion L'hour - Près de 12 millions d'élèves reprendront le chemin de l'école lundi. 850.000 enseignants seront dans les classes. France Inter revient sur les annonces faites par la ministre de l'Éducation nationale, Elisabeth Borne, et sur les grands défis qui attendent la communauté éducative. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Si précieux soient-ils, nos souvenirs d'enfance nous échappent. Images brouillées, récit brouillon… Quand l'envie nous prend de les convoquer, force est de constater que ce qu'il en reste, c'est souvent du flou. Ce phénomène porte un nom : l'amnésie infantile. Comprenez : l'incapacité, une fois adulte, à se remémorer des évènements vécus dans la petite enfance. Personne, ou presque, ne se souvient de ses expériences vécues avant l'âge de 2 ou 3 ans. Et l'accès à des souvenirs antérieurs à l'âge de 5 ou 6 ans reste difficile.Comment les souvenirs se forment-ils dans le cerveau des jeunes enfants ? Pourquoi disparaissent-ils ensuite ? La mémoire les a-t-elle supprimés ou sont-ils simplement cachés quelque part dans notre cerveau ?Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Florence Rosier, journaliste scientifique au Monde, répond à toutes ces questions et nous raconte les dernières découvertes des neurosciences en la matière.Un épisode écrit par Claire Leys et présenté par Jean-Guillaume Santi. Réalisation : Thomas Zeng. Musiques originales : Amandine Robillard. Rédaction en chef : Adèle Ponticelli. Dans cet épisode : lectures d'extraits de Pour que tu ne te perdes pas dans le quartier, de Patrick Modiano ; Psychopathologie de la vie quotidienne, de Sigmund Freud ; Du côté de chez Swann, de Marcel Proust. Extrait du film Vice-Versa, de Pete Docter et Ronnie Del Carmen, et du concerto Les Quatre Saisons d'Antonio Vivaldi.Cet épisode a été initialement publié le 18 novembre 2024.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
(00:00:41) A quoi sert l'OMC si personne ne respecte les règles? (00:08:19) Sergei Lavrov, l'atout diplomatique inoxydable de la Russie (00:15:11) La fin d'un système de loyers dérisoires en Egypte
Aujourd'hui, j'avais envie de prendre le micro seule avec vous pour parler de Manifestation Quantique.C'est un sujet qui me traverse depuis longtemps, et je sais à quel point il peut résonner pour toi aussi. Dans cet épisode, je te partage mes expériences personnelles, mes prises de conscience, et surtout des outils simples, concrets et scientifiques à tester pour manifester la vie que tu souhaites.J'espère que ce moment t'apportera des clés pour manifester plus facilement ce que tu désires, apaiser ton mental et oser passer à l'action.———————————————Pour accéder au Programme Nouveau Départ :https://www.maryamgadery.com/pdv-nouveau-departPour me rejoindre sur ma newsletter, Les Lettres Privées :https://www.maryamgadery.com/newsletter-maryamgaderyPour obtenir la liste de livres qui a bouleversé ma vie :
Le Journal en français facile du mardi 26 août 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BxJB.A
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
durée : 00:03:28 - Debout la Terre - par : Camille Crosnier - Il y a de grosses différences de prix entre le train et l'avion. Pourquoi ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
La peine de mort a été requise par la justice militaire, vendredi, à Kinshasa contre l'ancien président de la RDC. Joseph Kabila, qui vit en exil depuis deux ans était jugé par contumace pour complicité avec le groupe armé M23, soutenu par le Rwanda. Le verdict de la Haute Cour militaire est attendu dans les prochains jours. Depuis, les réactions se multiplient. « Les proches de Kabila montent au créneau, rapporte Le Journal de Kinshasa. Plusieurs membres de son entourage ont réagi. Néhémie Mwilanya, son dernier directeur de cabinet, dénonce un procès politique qu'il qualifie de “crime d'État”. José Makila, ancien ministre des Transports, estime que cette affaire sacrifie l'État de droit ». Pour sa part, pointe encore Le Journal de Kinshasa, « l'opposition dénonce une dérive dictatoriale. Ensemble pour la République, le parti de Moïse Katumbi, dénonce une “instrumentalisation de la justice” par le régime Tshisekedi. Selon lui, la justice s'est transformée en “arme de répression massive” contre les opposants. Le parti avertit : “un tel procès peut semer la peur et diviser le peuple“ ». La tête pensante du M23 ? Qu'est-ce qui est précisément reproché à Joseph Kabila ? « Selon l'accusation, rapporte le site Afrik.com, « l'ex-Président, au pouvoir de 2001 à 2019, serait “l'auteur intellectuel“ (soit l'inspirateur) des exactions commises par les rebelles du M23/AFC dans l'est du pays : meurtres de civils, viols, exécutions sommaires, déportations forcées et destructions d'infrastructures. “C'est lui le boss [du M23/AFC]“, a martelé le procureur général. (…) Parmi les éléments à charge, l'accusation cite notamment : la présence de Kabila à Goma en mai dernier, via un passage par le Rwanda, alors que la ville était sous occupation rebelle ; ses déclarations qualifiant le M23 de mouvement porteur “des aspirations du peuple congolais“ ; ou encore des témoignages, dont celui d'Éric Nkuba, déjà condamné à mort, qui évoque un soutien logistique et politique de l'ex-Président à la rébellion ». L'essentiel de l'accusation repose en effet sur les déclarations d'Eric Nkuba, précise Afrikarabia, site spécialisé sur la RDC. Eric Nkuba, ce « membre de l'AFC/M23, interpellé en Tanzanie et condamné à mort. Selon ses aveux, Joseph Kabila était en “contact soutenu“ par téléphone avec Corneille Nangaa (le chef politique du mouvement rebelle). Au cours d'une conversation, il aurait même conseillé à l'ancien président de la Commission électorale de chasser Félix Tshisekedi du pouvoir par un coup d'État plutôt qu'en l'assassinant et en faire un héros national ». Stratégie risquée pour Tshisekedi En tout cas, analyse Afrikarabia, « politiquement, le bannissement de Joseph Kabila de la vie politique congolaise, permet à Kinshasa de couper l'herbe sous le pied à l'opposition qui réfléchit à une grande alliance qui pourrait aller de Moïse Katumbi à Matata Ponyo, en passant par Delly Sessanga, Franck Diongo… jusqu'à Joseph Kabila ». Mais cette « stratégie de diabolisation de Joseph Kabila n'est pas sans risques pour Félix Tshisekedi, tempère Afrikarabia. Personne n'est dupe du caractère éminemment politique du procès Kabila. Sa condamnation à mort peut transformer l'ancien président en victime de Félix Tshisekedi, et le remettre en selle politiquement. Elle risque également de polariser davantage une société congolaise au bord de l'implosion. Ce procès constitue enfin un mauvais signal alors que la RDC et l'AFC/M23 sont à la recherche d'un consensus pour finaliser un accord de paix au point mort ». Apaisement ou embrasement ? Ledjely en Guinée s'interroge également : « justice nécessaire ou bombe à retardement ? Que gagnera réellement la RDC dans une telle issue ? Le verdict attendu incarnera-t-il enfin la rupture que les Congolais appellent de leurs vœux pour responsabiliser leur classe politique ? Ou, au contraire, viendra-t-il attiser des braises encore fumantes dans un pays habitué à l'instabilité et aux affrontements aux relents à la fois communautaires, politiques et économiques ? Les deux scénarios restent plausibles ». Enfin, Aujourd'hui à Ouagadougou est tout aussi dubitatif : « est-il opportun de requérir la peine de mort contre Kabila à l'heure où l'on cherche un armistice et un consensus entre la rébellion et Kinshasa ? Des rebelles qui au demeurant sont présentés comme ses hommes ! Ce réquisitoire inhibe les trésors de diplomatie déployés actuellement (…). L'effet escompté pourrait être au contraire un raidissement de Kabila et de l'AFC-M23, si tant est que son véritable maitre soit Kabila ».
Dans Radio Foot Internationale 16h10 TU et 21h10 TU au sommaire : - Bundesliga – Ça repart ; Ligue des Champions – Barrages aller ; Angleterre – Star Power ; - Ligue 1 – OM K.O. Le feuilleton continue… - Bundesliga – Ça repart. Honneur au champion ! Le Bayern ouvre le bal contre Leipzig ce vendredi. Challengers en embuscade : Dortmund, Leverkusen, Francfort… Les Bavarois sont-ils armés pour se succéder ? Qui pour les déloger ? Personne ? - Ligue des Champions – Barrages aller. Benfica tenu en échec par Fenerbahçe de Mourinho (0-0) à Istanbul ! Benfica piégé ou Fener déjà en mission « Mou ». Bodø/Glimt gifle Sturm Graz (5-0) et se rapproche d'une première historique ! Le Club Bruges frappe fort à Ibrox contre Glasgow Rangers (3-1)… Sept dernières places à prendre en C1 ! Faites vos jeux avant les retours ! - Angleterre – Star Power. Mohamed Salah élu joueur PFA (3e fois, record !) et place Arsenal favori. Réaliste le Pharaon ou coup de bluff ! On en débat ! Pendant ce temps, Alexander Isak veut quitter Newcastle : Liverpool et l'Arabie saoudite sont à l'affût. Le torchon brûle entre les Magpies et le buteur suédois… Quelle issue ? - Ligue 1 – OM K.O. Le feuilleton continue… Défaite inaugurale à Rennes (1-0), vestiaire en fusion : Adrien Rabiot et Jonathan Rowe mis à l'écart après une altercation violente, déjà placés sur la liste des transferts. Saison à peine commencée et déjà plombée ?! Mais à quoi joue donc la direction de l'Olympique de Marseille ? Autour d'Annie Gasnier, nos consultants du jour : Salim Baungally, Ludovic Duchesne, David Lortholary — Édition : David Fintzel — TCR : Laurent Salerno.
Dans Radio Foot Internationale 16h10 TU et 21h10 TU au sommaire : - Bundesliga – Ça repart ; Ligue des Champions – Barrages aller ; Angleterre – Star Power ; - Ligue 1 – OM K.O. Le feuilleton continue… - Bundesliga – Ça repart. Honneur au champion ! Le Bayern ouvre le bal contre Leipzig ce vendredi. Challengers en embuscade : Dortmund, Leverkusen, Francfort… Les Bavarois sont-ils armés pour se succéder ? Qui pour les déloger ? Personne ? - Ligue des Champions – Barrages aller. Benfica tenu en échec par Fenerbahçe de Mourinho (0-0) à Istanbul ! Benfica piégé ou Fener déjà en mission « Mou ». Bodø/Glimt gifle Sturm Graz (5-0) et se rapproche d'une première historique ! Le Club Bruges frappe fort à Ibrox contre Glasgow Rangers (3-1)… Sept dernières places à prendre en C1 ! Faites vos jeux avant les retours ! - Angleterre – Star Power. Mohamed Salah élu joueur PFA (3e fois, record !) et place Arsenal favori. Réaliste le Pharaon ou coup de bluff ! On en débat ! Pendant ce temps, Alexander Isak veut quitter Newcastle : Liverpool et l'Arabie saoudite sont à l'affût. Le torchon brûle entre les Magpies et le buteur suédois… Quelle issue ? - Ligue 1 – OM K.O. Le feuilleton continue… Défaite inaugurale à Rennes (1-0), vestiaire en fusion : Adrien Rabiot et Jonathan Rowe mis à l'écart après une altercation violente, déjà placés sur la liste des transferts. Saison à peine commencée et déjà plombée ?! Mais à quoi joue donc la direction de l'Olympique de Marseille ? Autour d'Annie Gasnier, nos consultants du jour : Salim Baungally, Ludovic Duchesne, David Lortholary — Édition : David Fintzel — TCR : Laurent Salerno.
Cʹest un film dʹenfant réalisé par un grand enfant à la moustache rieuse : la Guerre des boutons, dʹYves Robert sorti en 1962. Cʹest une histoire adaptée du roman de Louis Pergaud, sorti en 1912, une histoire dʹécoliers à lʹancienne qui se battent entre deux villages voisin. Dans le film, il y a ceux de Longeverne et ceux de Velrans. Les gamins, à peine lʹécole terminée, filent à mi-chemin des deux villages dans une sablière et se font la guerre dans les règles de lʹart. Cʹest ainsi depuis toujours. Personne ne sait pourquoi tout cela a commencé, mais cʹest ainsi. Un soir, le chef de Longeverne, Lebrac, a une nouvelle idée : infliger au prisonnier de guerre du jour un traitement nouveau. On ne le torturera pas, mais on lui retirera son bien le plus précieux : lʹhonneur. Une douzaine de coups de ciseaux bien précis, on lui enlève ses boutons, et autres attaches et voilà le vaincu tête basse qui se dirige vers sa maison en retenant ses culottes courtes pour aller prendre la fessée du siècle pour lui apprendre à sʹêtre mis dans tous ses états. Pour incarner ses personnages, on engage des enfants au charisme certain dont André Treton pour Lebrac et Martin Lartigue dans le rôle du Petit Gibus. Pour les adultes, Jean Richard, Michel Galabru et Jacques Dufilho prêtent leur concours à ce projet amical. En 1962, ce film fait un triomphe au cinéma. Il est plébiscité par le public et par la critique, obtenant le prix Jean-Vigo et la récompense du meilleur film français aux Victoires du cinéma français. A lʹécran beaucoup dʹenfants autour dʹYves Robert et de son épouse Danièle Delorme, qui hypothèquent leur maison pour produire ce film auquel personne ne croit. Il faudra un distributeur américain pour que tout change et que le film devienne un classique du cinéma français. REFERENCES Yves Robert, Un homme de joie, dialogue avec Jérôme Tonnerre, Flammarion, 1996 LIVRE MON AMI : EMISSION DU 17 MAI 1962 Claude SANTELLI interviewe Yves ROBERT à propos de son film "La Guerre des boutons". Images d'archive INA Institut National de l'Audiovisuel http://www.ina.fr #INA #People https://www.youtube.com/watch?v=rJ1bNbvyfQg Alain Bergala présente La guerre des boutons https://www.youtube.com/watch?v=9ZDqfu0u6RA Madeleine Garrigou-Lagrange, " La Guerre des boutons ", Téléciné no 105, Paris, juin-juillet 1962, La Guerre des boutons, roman original de Louis Pergaud Le Ptit Gibus a grandi https://www.youtube.com/watch?v=t8dwRgadxbQ
On l'a d'abord un peu confondue avec Anna Kournikova. Quand elle arrive sur le circuit au début des années 2000, Maria Sharapova, c'est la nouvelle grande, blonde, russe aux yeux bleus du tennis féminin. Personne ne passe à côté de son coup droit foudroyant, ni de son potentiel commercial. Depuis elle a remporté les quatre tournois du Grand Chelem (elle ne sont que six dans l'histoire du tennis à l'avoir fait), elle est devenue une sorte de diva glamour sur les courts, et elle a été contrôlée positive à une substance dont elle dit ignorer qu'il figurait sur la liste des produits interdits en 2016.Dans cette mini-série consacrée aux affaires qui ont entaché le monde du sport, la journaliste Camille Maestracci revient sur le parcours hors norme de celle qui a su admirablement rester dans la lumière.À son micro se succèdent :Dominique Bonnot, ancienne journaliste à L'Équipe, spécialiste du tennis féminin et auteure du livre N'oublie pas de gagnerAssia Hamdi, journaliste sportive spécialiste des femmes dans le sportJérôme Bianchi, kinésithérapeute de Maria Sharapova Scandales est un podcast de Madame Figaro, écrit et présenté par Marion Galy-Ramounot, et produit par Lucile Rousseau-Garcia. Camille Maestracci est l'auteure et la voix de cette mini-série consacrée aux scandales du sport. Océane Ciuni est la responsable éditoriale de Scandales, un podcast produit par Louie Créative, l'agence de contenus audios de Louie Média. Cet épisode est à retrouver sur toutes les plateformes d'écoutes : Apple Podcast, Spotify, Deezer et Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Votre business fonctionne. Vous avez des clients, des ventes, une activité qui tourne. Mais soyons honnêtes : vous sentez bien que quelque chose coince… Vous n'êtes pas encore au stade du “ça cartonne”. Dans cet épisode, je lève le voile sur la différence cachée entre les entrepreneurs qui stagnent et ceux qui explosent.On parle :Des croyances invisibles qui freinent votre croissance (même quand vous avez déjà du succès)Des ajustements stratégiques qui font passer de “je vends” à “je scale”De l'état d'esprit radicalement différent entre “entrepreneur qui gère” et “entrepreneur qui cartonne”De ce que vous pouvez mettre en place dès cette semaine pour enclencher le vrai shift
Aujourd'hui, Abel Boyi, Antoine Diers et Barbara Lefebvre débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall.
Aujourd'hui, Abel Boyi, Antoine Diers et Barbara Lefebvre débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall.
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
C dans l'air du 18 août 2025 - Trump / Zelensky : la paix... ou le clash ?Faire bloc. C'est le but des dirigeants accompagnant aujourd'hui Zelensky à la Maison blanche. Le président ukrainien fera entendre sa position face à Trump, qui cherchera à lui faire accepter des concessions après sa rencontre avec Poutine. Personne n'a toutefois oublié la scène d'humiliation dans le bureau ovale en février dernier, et c'est pour éviter que celle-ci se reproduise qu'Emmanuel Macron, Friedrich Merz, Giorgia Meloni, Keir Starmer, mais aussi le président finlandais Alexander Stubb, le chef de l'Otan Mark Rutte et Ursula von der Leyen, l'escorteront. Il faut dire que Trump semble soutenir le plan du chef du Kremlin : la paix contre les territoires conquis par les Russes. Le président américain a affirmé que la balle était donc dans le camp du président ukrainien. « Ce n'est pas encore un accord conclu... mais l'Ukraine doit l'approuver ! » Quelles garanties de sécurité obtiendrait toutefois l'Ukraine ?Pendant ce temps, certains pays proches de la Russie craignent pour leur sécurité. Ils pourraient être les prochains dans le viseur de Poutine, ils se tiennent donc sur leurs gardes. C dans l'air est allé en Estonie, où le budget de la défense augmente. Avec une armée composée de 7 700 soldats, le pays compte aussi sur le soutien de 40 000 volontaires civils de la Ligue de défense estonienne.Du côté de l'Ukraine, un mouvement de contestation inédit voit le jour depuis le début de la guerre. Après le vote au Parlement d'une loi supprimant l'indépendance de deux organes anticorruption, des manifestations ont eu lieu, soutenues par de nombreuses ONG. Les partenaires européens de l'Ukraine ont eux aussi exprimé leur consternation. Zelensky a dû reculer, et annoncer un nouveau texte de loi. Il faut dire que l'entrée dans la Communauté européenne est conditionnée à la lutte contre la corruption.Alors, que peut donner la visite de Zelensky à Washington ? Comment l'Estonie se prépare-t-elle à un éventuel conflit avec la Russie ? Comment expliquer le faux pas politique du président ukrainien au sujet de la lutte contre la corruption ? LES EXPERTS :Nicole Bacharan - Historienne, politologue, spécialiste des Etats-Unis, éditorialiste à Ouest France Marie Jégo - Journaliste spécialiste de la Russie pour Le Monde, ancienne correspondante à MoscouGallagher Fenwick - Grand reporter, spécialiste des questions internationales, auteur de Volodymyr Zelensky : l'Ukraine dans le sangBertrand Gallicher - Grand reporter, spécialiste des questions internationales PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40.PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/