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Je vous parle de Flo, de comment ça se passe entre nous et de nos modalités de couple. Ça fait beaucoup de nouveauté pour moi, il y a des ajustements à faire et tout n'est pas toujours parfait mais on communique vraiment vraiment bien, on planifie des choses pour le futur et on verra bien comment ça évolue.On n'est pas exclusifs et clairement ça me va très bien, pour le moment je ne ressens aucune jalousie ou autre et je suis aussi très contente de pouvoir faire ma vie. Je le savais déjà mais il me le rappelle aussi en me disant quels sont ses envies et limites, je dois me calmer et ne pas me mettre la pression avec lui. C'est parfois plus facile à dire qu'à faire, surtout quand il y a des sentiments en jeu. J'ai l'impression que ça va mieux par rapport à ça et que j'ai réussi à l'intégrer. Ça fait maintenant à peine un mois qu'on se connait donc tout est très nouveau, on se voit bientôt à Venise et j'ai vraiment hâte ! Voilà pour les nouvelles, je vous raconterai la suite (si il y en a une, ouais je fais la meuf chill haha) Bisous Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 24/10/2025 Ce vendredi, Renaud Dély décrypte l'actualité en compagnie de nos clubistes : Pascal Blanchard, historien, Raphaël Doan, essayiste et ancien haut fonctionnaire, Catherine Tricot, directrice de la revue "Regards" et le dessinateur de presse Éric Truant.L'intelligence artificielle va-t-elle nous mettre au chômage ?Lundi 20 octobre, un programme télévisuel britannique décryptant l'impact de l'IA sur le marché du travail était, en réalité, lui-même présenté par une IA. Les cols blancs sont-ils voués à être remplacés par l'intelligence artificielle, comme le prophétise Sam Altman, le PDG d'OpenAI ? “Ni suspendue, ni abrogée” : à quoi joue Emmanuel Macron sur les retraites ?C'était la promesse qui avait permis d'éviter la censure : la réforme des retraites allait être suspendue. Mais, Emmanuel Macron a laissé planer le doute, évoquant le "décalage d'une échéance" de la réforme qu'il juge "nécessaire". De quoi réactiver le débat et compliquer la tâche du premier ministre. Nous recevons Solrey, directrice musicale et cheffe d'orchestre, qui présente son spectacle "Ciao Casanova" à la Seine musicale à partir du 26 novembre 2025. Dans cet opéra-film, elle tisse une histoire autour de Venise, du cinéma et de Casanova. Mardi 21 octobre, Nicolas Sarkozy a été incarcéré à la suite de sa condamnation pour association de malfaiteurs. Gérald Darmanin, le Garde des Sceaux, a annoncé vouloir lui rendre visite au parloir. Rémy Heitz, procureur de la Cour de cassation, y voit une atteinte à la "sérénité" de la justice, alors que Nicolas Sarkozy a annoncé faire appel de la décision du tribunal. C'est le duel de la semaine de Frédéric Says. Donald Trump a lancé les travaux pour construire une nouvelle salle de bal à la Maison Blanche. Coût estimé : 250 millions de dollars. Et ce alors même que les États-Unis sont en situation de paralysie budgétaire. C'est le Point Com de Natacha Triou. Une femme, séquestrée depuis 5 ans dans des conditions sordides, a réussi à se défaire des griffes de ses géoliers, un couple qui la retenait dans leur garage, la nourrissait à peine et lui imposait un traitement dégradant. C'est l'histoire de la semaine de Frédéric Pommier. Enfin, ne manquez pas notre Une internationale sur la politique migratoire britannique, les photos de la semaine soigneusement sélectionnées par nos invités, ainsi que la remise en question par Aurore Vincenti de la théorie sur les fameuses 8 heures de sommeil par nuit. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 24 octobre 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
Pour une lecture critique des cartelsCette rencontre est organisée en partenariat avec le programme de recherche « (D)écrire les œuvres, (re)penser les cartels », dirigé par Anne Dressen (ENS Ulm – SACRe – PSL) et Yaël Kreplak (Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, HiCSA, Chaire Delphine Lévy).Au cours de cette rencontre, les cartels seront abordés depuis la perspective de la critique institutionnelle et de la muséologie critique, avec deux conférences : l'une d'Andrea Fraser (artiste, Los Angeles), et l'autre de Marie Fraser (théoricienne, Montréal). Ces deux interventions, introduites et modérées par Anne Dressen et Yaël Kreplak, seront suivies d'un temps d'échange avec le public.Dès que l'on évoque la question du cartel, il apparaît clairement que ce court texte apposé à proximité des objets exposés fait débat. Qu'il s'agisse de ses dimensions, de sa longueur, de son emplacement, de ce qui y est dit, par qui, comment et à l'intention de qui, voire de sa présence même : tous ces différents aspects suscitent de nombreuses discussions et ne font pas consensus. Car à travers le cartel se révèle une certaine compréhension du rôle du musée et de son rapport aux œuvres, de ses différents modes d'adresse à son ou ses public(s), et de ce qu'est une œuvre ou un objet de patrimoine.Initié en septembre 2024, le programme de recherche « (D)écrire les œuvres, (re)penser les cartels » vise à explorer les enjeux des cartels, ligne par ligne, en interrogeant ce qui se joue dans la précision d'une provenance, la description d'un matériau, la présence d'une date, la formulation d'un titre, ou encore la mention d'un nom d'auteur (ou de plusieurs). Dans un dialogue entre artistes, chercheurs et professionnels des musées, il s'agit de mettre en question nos façons d'appréhender et décrire les objets, et d'imaginer d'autres façons de nous y rapporter – de faire du cartel un support de réflexion et de création.Andrea Fraser est artiste, professeure à l'Université de Californie à Los Angeles (UCLA). Elle est une figure majeure du mouvement de la critique institutionnelle, du féminisme et de la performance. Depuis les années 1980, son travail élabore une réflexion sur l'art et ses institutions - dans leurs dimensions financières, politiques et affectives; comme dans la série de conférences-performances Museum Highlights : A Gallery Talk (1989), où elle se met en scène sous les traits d'une guide, ou à travers des installations qui questionnent les instruments habituels de la communication muséale – en particulier les textes d'exposition, comme dans Notes on the Margin (1990/2013) ou Collected : The Lady Wallace's Inventory (1997). Elle a également publié de nombreux textes critiques (par exemple, 2016 in Museums, Money and Politics, en 2018, et The Field of Contemporary Art: A Diagram, e-flux notes, en octobre 2024). Elle est actuellement en résidence à l'American Academy de Rome.Marie Fraser est historienne de l'art, professeure à l'Université du Québec à Montréal, où elle est titulaire de la Chaire de recherche en études et pratiques curatoriales. Cofondatrice du groupe international de recherche et de réflexion CIÉCO sur les nouveaux usages des collections, elle est l'autrice et la directrice de nombreuses publications, parmi lesquelles Réinventer la collection. L'art et le musée au temps de l'évènementiel (avec Mélanie Boucher et Johanne Lamoureux, PUQ, 2023) et L'Activisme dans les collections (avec Lisa Bouraly, Marges, 2025). Elle mène également des activités en tant que commissaire d'expositions : elle a été conservatrice en chef au Musée d'art contemporain de Montréal (2010-2013), ainsi que commissaire du pavillon du Canada à la 56e Biennale de Venise en 2015.Amphithéâtre d'HonneurLundi 20 octobre 2025Crédits photos : © Droits réservés
Send us a textSeveral friends and neighbors have moved out of the United States over the past year, and many more Alaskans are talking about it. Today's guest is an opera historian who has been living in Berlin, Germany, for the past 13 years. Daniel Gundlach is a former professional classical singer and accompanist who today hosts a podcast called Countermelody. The Countermelody Podcast is focused primarily on opera singers of the past century that may not have received the attention they deserved. Daniel is a countertenor which is a type of classical male singing voice equivalent to that of a female contralto or mezzo-soprano voice type. Today we talk about his life and career, but we will also discuss the trials and tribulations of being an American emigrant in Germany. Musical Excerpts:Leontyne Price, "O patria mia," from Verdi's AidaJoan Sutherland, "Eccola," from Donizetti's Lucia di LammermoorAnna Moffo, "Sempre Libera," from Verdi's La TraviataGilda Cruz-Romo, "O mio babbino caro," from Puccini's Gianni SchicchiDaniel Gundlach, "O Lord, whose mercies numberless," from Handel's SaulDaniel Gundlach, "O fatal day," from Handel's SaulDaniel Gundlach, "On a dit sur Venise tant et tant de choses," from Gualtiero Dazzi's Le Luthier de VeniseDaniel Gundlach, "Danny Boy," Irish Folk Song
ESSENTIEL – COTE JARDIN Jacques Benhamou reçoit l'écrivaine Catherine Hermary-Vieille pour son livre « Un rêve d'amour : Marie d'Agoult - Franz Liszt » aux éditions Intervalles. À propos du livre : « Un rêve d'amour : Marie d'Agoult - Franz Liszt » paru aux éditions Intervalles La brève et intense passion de Marie d'Agoult et Franz Liszt défraye la chronique des salons parisiens des années 1830. Au mépris des convenances et du qu'en dira-t-on, Marie d'Agoult décide de vivre au grand jour la folle passion qui la lie à Franz Liszt, l'un des grands génies musicaux de son époque. Entre Paris, Venise, Milan, Florence, Genève et Nohant, telle Anna Karénine, elle sacrifie tout à l'amour de cet homme qui lui-même sacrifie tout à son art et à son ascension personnelle. Évidemment, la haute société ne voit pas d'un très bon Å“il cette femme trop libre pour son temps dont le salon accueille de nombreux républicains : Grévy, Carnot, Littréâ€- et qui soutient ouvertement la première femme à devenir bachelière en France, Julie-Victoire Daubié. Deux des enfants nés de cette passion connaissent aussi des destins singuliers. Cosima épouse Richard Wagner et crée bientôt le festival de Bayreuth, tandis que Blandine épouse l'un des hommes politiques les plus singuliers du XIXe siècle, Émile Ollivier. En évoquant cette passion entre un musicien ambitieux et une aristocrate en rupture de ban, Catherine Hermary-Vieille nous entraîne dans le sillage des grandes figures de l'époque. George Sand évidemment, dont les deux amants sont proches, mais aussi Blanqui, Sainte-Beuve, Balzac, Lamartine, Théophile Gaultier, Alexandre Dumas. Elle compose surtout un roman ardent et documenté sur la passion entre une femme à qui la société ne pardonne pas sa liberté et un virtuose en quête de gloire. Un roman où dansent les grandes figures artistiques du XIXe siècle, que l'auteur nous rend familières voire intimes.
durée : 01:28:45 - Relax ! du mardi 14 octobre 2025 - par : Lionel Esparza - L'année 1857 mérite d'être évoquée rien que pour la Sonate de Franz Liszt, véritable aboutissement du style du compositeur. Au même moment, Wagner est épris de Mathilde Wesendonck à qui il dédie une série de lieder et Venise voit la création de "Simon Boccanegra" de Verdi dont le succès est relatif. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 01:28:45 - Relax ! du mardi 14 octobre 2025 - par : Lionel Esparza - L'année 1857 mérite d'être évoquée rien que pour la Sonate de Franz Liszt, véritable aboutissement du style du compositeur. Au même moment, Wagner est épris de Mathilde Wesendonck à qui il dédie une série de lieder et Venise voit la création de "Simon Boccanegra" de Verdi dont le succès est relatif. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
[Rediffusion] C'est une histoire de chanson française, de passion amoureuse, mais aussi d'excès et d'alcool. Le couple Serge Gainsbourg et Jane Birkin ont marqué le monde de la musique avec leurs nombreuses collaborations. Mais derrière la belle histoire, qu'y a-t-il vraiment ? Plongez dans les plus beaux moments du duo Gainsbourg Birkin… comme dans les pires. De l'animosité à la tendresse Nous sommes en juin 1968 à Venise, sur le tournage du long métrage "Slogan" réalisé par Pierre Grimblat. C'est un film dramatique, qui relate l'histoire d'un réalisateur de publicité, joué par Serge Gainsbourg, qui tombe amoureux d'une jeune anglaise, alors qu'il est marié et que sa femme attend un bébé. Cette "jeune anglaise" est incarnée par une certaine Jane Birkin, âgée d'à peine 22 ans. Un podcast Bababam Originals Ecriture : Anaïs Koopman Voix : François Marion, Lucrèce Sassella Réalisation : Romain Redon Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:11:25 - La nomination de Beatrice Venezi à la Fenice de Venise - par : Bruno Duvic - Beatrice Venezi prendra ses fonctions de directrice musicale en octobre 2026. Déjà, des voix s'élèvent pour dénoncer ses accointances avec l'extrême droite italienne et les syndicats ont déposé un préavis de grève pour la première de Wozzeck dans quelques jours. Reportage de Bruno Duvic. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Si l'on entend par “italique” la typographie inclinée que l'on utilise aujourd'hui pour souligner un mot, l'invention naît à Venise, autour de 1500, chez l'imprimeur humaniste Alde Manuce (Aldus Manutius) et son graveur de poinçons, Francesco Griffo (dit “de Bologne”). Leur objectif est double : imiter la belle cursive humaniste alors en vogue dans les chancelleries italiennes, et réduire l'encombrement des pages pour éditer des “livres de poche” bon marché. En 1501, l'italique de Griffo fait ses débuts dans l'édition aldine des “Œuvres de Virgile” au format in-octavo. À la différence de notre usage moderne, l'italique ne sert pas d'abord à l'emphase : il compose tout le texte. On gagne de la place – les lettres sont plus étroites, plus “liées” – et le lecteur retrouve le rythme manuscrit prisé par les lettrés.Mais cette italique imprimée n'est pas née ex nihilo. Elle s'inspire d'une écriture manuscrite italienne du XVe siècle : la cancellaresca corsiva (la “chancelière”), une cursive élégante utilisée par les secrétaires et copistes des cours princières et de la Chancellerie pontificale. Parmi ses artisans, le lettré florentin Niccolò de' Niccoli (†1437) popularise une cursive humaniste rapide et inclinée ; plus tard, des maîtres-écrivains la codifient. Au XVIe siècle, Ludovico degli Arrighi publie à Rome (1522) La Operina, premier manuel imprimé pour apprendre la chancelière ; Giovanni Antonio Tagliente (1524) et Giovan Battista Palatino (1540) diffusent à leur tour des modèles. Autrement dit : la main (l'écriture manuscrite) précède la fonte (le caractère), et l'atelier aldine “fige” cet idéal calligraphique en métal.Après Manuce et Griffo, l'italique se répand partout en Europe. À Paris et Lyon, Claude Garamond et Robert Granjon taillent des italiques qui deviendront des canons stylistiques. Peu à peu, l'usage se transforme : au lieu de composer des livres entiers en italique, les imprimeurs associent un “romain” droit pour le corps du texte et une italique pour des valeurs sémantiques nouvelles : mots étrangers, titres d'œuvres, voix intérieure, emphase. Au XVIIe siècle, cette répartition devient la norme occidentale.Alors, qui l'a inventée ? Pour la typographie italique, la paternité revient à Alde Manuce et Francesco Griffo (Venise, 1501). Pour l'écriture italique manuscrite qui l'inspire, il faut saluer la tradition humaniste italienne : Niccolò de' Niccoli comme initiateur, puis les maîtres-écrivains Arrighi, Tagliente et Palatino, qui en fixent les règles. L'italique moderne est donc une passerelle : de la plume du scribe au poinçon du graveur, puis à nos claviers — une invention à la fois pratique, esthétique et résolument italienne. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Merci de soutenir notre travail père-fille 100% indépendant et bénévole en nous offrant le café et en suivant sur instagram le podcast : @ici.venise.ici Venise reçoit la plus vénitienne des françaises.Impossible, pour qui est francophone à Venise, de ne pas croiser la plus vénitienne des franco-italiennes, au hasard d'une des nombreuses rencontres de la vie sociale et culturelle. Gabrielle, alias Gabriella, alias Gaby, Gamberini alias Zimmermann, foisonnante comme ses identités et ses activités d'enseignante, de présentatrice, de traductrice, d'interprète et d'autrice, entre autres, est l'invitée d'ici Venise. Elle se remémore son choix de vivre à Venise, né d'un coup de foudre pour la cité et sa lagune, il y a plus de 40 ans et jamais démenti. Ensemble nous abordons nos perceptions du centre historique, toujours vivable et vivant, alors qu'il est pourtant si souvent résumé au cauchemar du surtourisme. Était-ce vraiment mieux “avant” ? Quels sont les changements en mal mais aussi en bien ? Comme illustration de la vitalité de Venise, nous revenons notamment sur la mobilisation de dizaines de milliers d'habitants de la lagune comme de la terreferme, contre le génocide à Gaza et en solidarité avec le peuple palestinien, qui a culminé dans un blocage du pont de la Liberté le 3 octobre 2025.Les ouvrages de Gabrielle Zimmermann cités dans le podcast :Venise au fil des mots, Pimientos, 2006Venise au fil des temps, Pimientos, 2007Venise à livre ouvert, La tour verte (collection l'autre Venise), 2019
Mai 2006, le plus grand bateau à voiles qu'on y ait vu depuis 300 ans entre dans le grand Canal de Venise devant des caméras de cinéma, avec à son bord, James Bond. Le nouveau James Bond, je devrais dire, tellement nouveau que personne ne l'a encore vu à l'écran. Il se nomme Daniel Craig et doit à ce moment avoir un moral aussi inoxydable que celui qu'il incarne pour la première fois. Depuis quelques mois, en effet, on assiste à un bashing monumental sur internet, un site a même été créé pour tous ceux qui trouvent que, non, Daniel Craig, N'est PAS James Bond. Il ne l'est tellement pas que ces fans de la série proclament qu'ils boycotteront le film. Ils n'iront pas le voir ! Que lui reprochent-ils ? Déjà, il est trop petit : 1m78. C'est dix centimètres de moins que Sean Connery, qui reste le comédien emblématique de la franchise, celui qui l'a lancé, incarné en premier. Et s'il portait, déjà à l'époque, une prothèse capillaire, en clair, une moumoute, c'est parce que James Bond a une toison dense et sombre.Mais Daniel Craig ne veut rien entendre, il ne se fera pas teindre les cheveux pour incarner James Bond. Il a juste prévu de se les faire couper court pour avoir l'air plus brutal, plus brut de décoffrage. Car si, l'acteur a, au départ, décliné l'offre pourtant faramineuse qui lui a été faite, c'est justement parce qu'il trouve que ces films obéissent tous à la même formule. Mais quelques mois plus tard, lorsque la production lui fournit le scénario, il change d'avis car il est justement question de rompre avec la routine et surtout l'image d'un James Bond, personnage de film de divertissement. Et c'est ce que Daniel Craig pense. James Bond, même s'il est dans le bon camp, au service de sa majesté, c'est un tueur. Et un tueur quand il rentre dans une pièce, observe aussi bien les gens que les portes de sortie, ça doit se lire dans son regard, créer un charisme particulier. Et ça change tout au rôle, à l'attitude du personnage auquel il faut alors donner de la profondeur en lui créant une histoire, celle qui l'a amené à devenir l'homme sombre, tourmenté, mais décidé, qu'il est devenu.Et ce James Bond, là, né sous les traits de l'emblématique Sean Connery, on ne l'a encore jamais vu à l'écran. Car ce regard, cette attitude, Daniel Craig les connaît bien, il est né à Chester, dans le grand bassin ouvrier, le moteur de l'Empire britannique industriel, avec un père, gérant de pub. Les hommes rudes, les types qui cognent pour un oui ou un non gavé de pintes et de whisky, il connaît. Puis il a grandi à Liverpool, après le divorce de ses parents, un autre lieu où on vit à la dure dans des rues sombres fréquentées par des mecs relous qui ont vu les quatre coins de la Terre à fond de cale. Ses mauvais résultats à l'école ont conduit sa mère à l'inscrire dans une institution de charité, une école de théâtre réservée aux enfants de la classe ouvrière en décrochage scolaire. Alors, on ne s'étonnera pas de lire dans ce regard toute une histoire réellement vécue que le comédien a appris a exprimé dès son plus jeune âge et qui fait de lui, le plus crédible des agents double zéro, celui qui va battre le record d'entrées de la série.
durée : 00:20:31 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Au son des chants des gondoliers de Venise, des roucoulades de pigeons, des touristes de la place Saint-Marc, des tarentelles au bord du Grand Canal, et des soupirs du Pont des... Soupirs : voyage dans la belle Sérénissime. - réalisation : Virginie Mourthé
durée : 00:19:53 - Disques de légende du vendredi 03 octobre 2025 - Victor Hugo a inspiré l'un des plus fameux opéras de Giuseppe Verdi, "Ernani", créé en 1844 à la Fenice de Venise, soit 14 ans après sa pièce de théâtre quasi-éponyme, "Hernani", qui fit scandale à l'époque. En voici quelques extraits dans une version dirigée par Thomas Schippers en 1967. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:19:53 - Disques de légende du vendredi 03 octobre 2025 - Victor Hugo a inspiré l'un des plus fameux opéras de Giuseppe Verdi, "Ernani", créé en 1844 à la Fenice de Venise, soit 14 ans après sa pièce de théâtre quasi-éponyme, "Hernani", qui fit scandale à l'époque. En voici quelques extraits dans une version dirigée par Thomas Schippers en 1967. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Au XVIIIᵉ siècle, Venise est la capitale de la fête, du mystère et des intrigues. Ses bals masqués et ses salons mondains attirent l'Europe entière. Parmi les multiples accessoires de cette société raffinée, un objet insolite se distingue : la moretta, un masque destiné aux femmes, qui a la particularité de les condamner… au silence.La moretta est un petit masque ovale, généralement en velours noir, qui recouvre entièrement le visage. Contrairement aux autres masques vénitiens, elle ne s'attache pas avec un ruban. Pour la maintenir, la femme devait serrer entre ses dents un bouton ou un petit bâtonnet placé à l'intérieur. Résultat : impossible de parler sans faire tomber le masque. Par essence, la moretta réduisait donc celle qui la portait au rôle d'observatrice muette.Mais pourquoi un tel objet a-t-il vu le jour ? L'usage de la moretta n'était pas seulement esthétique. Dans les salons et les fêtes, elle donnait aux femmes un air de mystère, de retenue, accentuant le pouvoir de séduction par l'absence de parole. Le silence forcé devenait un langage en soi, laissant place aux regards, aux gestes, aux attitudes. Elle protégeait aussi l'anonymat, permettant de circuler dans la haute société sans révéler son identité.Pourtant, cette fonction séductrice avait un revers. La moretta illustre aussi le statut des femmes dans la société vénitienne de l'époque : tenues d'être belles, intrigantes, mais surtout discrètes. En leur interdisant de parler, le masque les réduisait à un rôle d'apparence, d'énigme silencieuse, dans un univers dominé par les hommes.L'objet fascina les observateurs étrangers. Dans ses récits, Jean-Jacques Rousseau mentionne ces « femmes muettes » cachées derrière un masque noir, mystérieuses et frustrantes à la fois. Des gravures du XVIIIᵉ siècle montrent la moretta comme un accessoire à la mode, adopté par les dames de la noblesse, mais aussi par certaines courtisanes qui s'en servaient pour intriguer davantage.Avec le déclin de la République de Venise à la fin du XVIIIᵉ siècle et la fin progressive des grandes mascarades, la moretta disparaît peu à peu des usages. Elle reste toutefois dans l'histoire comme un symbole à double face : un accessoire de séduction raffiné, mais aussi un outil qui matérialisait la mise au silence des femmes dans une société hiérarchisée et codifiée.Aujourd'hui, on retrouve des morette dans les musées ou lors des reconstitutions du carnaval de Venise. Elles rappellent à quel point un simple masque peut révéler, mieux que de longs discours, les rapports de pouvoir d'une époque. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Hello,comme tu le sais c'est ma rentrée aujourd'hui et je dois avouer que côté cinéma je suis bien servi – que dis-je NOUS sommes bien servis en ce début d'automne, avec notamment pas mal de films primés à Cannes ou Venise , on en reparlera ces prochaines semaines. Mais aujourd'hui […] The post Une bataille après l'autre, claque magistrale de PT Anderson first appeared on Radio Vostok.
Hello,comme tu le sais c'est ma rentrée aujourd'hui et je dois avouer que côté cinéma je suis bien servi – que dis-je NOUS sommes bien servis en ce début d'automne, avec notamment pas mal de films primés à Cannes ou Venise , on en reparlera ces prochaines semaines. Mais aujourd'hui […] The post Une bataille après l'autre, claque magistrale de PT Anderson first appeared on Radio Vostok.
Comment se forge-t-on une conscience politique ? Par le hasard des rencontres ? Par expérience personnelle ? Ou par transmission familiale ? Le film de la semaine est un récit d'initiation, le portrait d'un jeune homme à peine sorti de l'adolescence dont les yeux vont se dessiller à mesure qu'il va s'intéresser aux circonstances de la mort de son père et découvrir les injustices qui ravagent son pays : Madagascar. Kwame a 20 ans et tente de gagner sa vie dans les mines clandestines de saphir jusqu'à ce qu'un événement tragique le pousse à retourner dans sa ville de Tamatave. Ainsi commence Disco Afrika, Une histoire malgache, le premier long métrage de Luck Razanajoana qui montre comment Kwame va progressivement passer d'un individualisme de survie à la découverte d'un esprit collectif pour que s'améliore la situation de son pays, rongé par la corruption. À l'affiche de notre cinéma également ce samedi, le film primé à la Mostra de Venise : la Voix de Hind Rajab, de Kaouther ben Hania, qui fait un tabac lors d'avant-premières en Tunisie. Et nous reviendrons, bien sûr, sur la mort de Claudia Cardinale dans le journal d'Elisabeth Lequeret. Musiques : Gasoline de Obongjayrar (Playlist Rfi) et Beckett de Nesles.
L'écrivain a cultivé le voyage immobile, l'itinérance imaginaire, et les pérégrinations en soi et hors de soi. Mais bien que casanier, il a aussi exploré quelques territoires Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous sommes le 20 octobre 1942, à New York, à Manhattan, au numéro 30 de la 57e rue. C'est à cette adresse que Peggy Guggenheim ouvre sa galerie d'art. Elle l'appelle « Art of this Century » (L'Art de ce siècle). Pour sa première exposition, elle présente Paul Klee, l'artiste d'origine allemande, naturalisé suisse, mort deux ans plus tôt, qui sera reconnu comme l'un des artistes majeurs de la première moitié du XXe siècle. C'est un événement artistique et mondain que cette inauguration. La presse rapporte : « Les éclairages rendaient les gens complètement fous. Une foule imposante arpentait les lieux (...) poussant, généralement en français, de grands cris d'admiration. On s'extasiait surtout devant la mise en scène de Kiesler le décorateur, et on regardait peu les tableaux. » A l'occasion d'une deuxième exhibition consacrée, notamment, à Marcel Duchamp, un journaliste du « Time » évoque les artistes surréalistes exilés aux Etats-Unis et écrit : « Elle fait pratiquement vivre le groupe en achetant ses toiles. » « Nous nous devons de comprendre l'art de notre temps : c'est un devoir moral », déclarera Peggy Guggenheim qui, avec le temps et les moyens financiers dont elle disposait, s'était lancé comme défi d'acheter une œuvre par jour. La mécène et collectionneuse américaine a joué un rôle crucial dans l'histoire de l'art du vingtième siècle. Ses collections racontent les soubresauts politiques, sociaux et économiques des deux côtés de l'Atlantique, durant trois décennies. Avec nous : Anne Hustache, historienne de l'art. A lire : « Peggy Guggenheim, Ma Vie, mes folies » Ed. Perrin. A voir : Fondation Guggenheim, Venise Sujets traités : Peggy Guggenheim, Manhattan, Paul Klee, Marcel Duchamp, collections, peinture, Venise Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Imaginez une grande table au XVIᵉ siècle. Des mets somptueux, des coupes de vin, des convives élégants… mais pas de fourchette. Oui, vous m'avez bien entendu. On mange avec les doigts, parfois avec un couteau, mais cet ustensile si familier aujourd'hui est encore absent des tables françaises.Alors, comment la fourchette a-t-elle fait son entrée dans notre pays ? Et surtout, quel roi, un peu excentrique, a osé imposer cet objet qui allait transformer nos repas ?Une invention venue de loinLa fourchette n'est pas née en France. Elle apparaît dès le XIᵉ siècle dans l'Empire byzantin. À Constantinople, les aristocrates l'utilisent pour éviter de se salir les doigts en goûtant des plats délicats. L'Italie, toujours proche des échanges méditerranéens, adopte plus tôt cet ustensile, qui se glisse dans les cours princières de Venise et de Florence.Mais en France ? Rien. L'idée choque. Manger sans toucher la nourriture ? Inconcevable ! La fourchette est jugée inutile, artificielle, voire ridicule.L'arrivée à la cour de FranceC'est finalement au XVIᵉ siècle que la France découvre la fourchette. Et l'homme qui la fait entrer dans les usages de la cour, c'est… Henri III.Roi élégant, raffiné, souvent critiqué pour ses manières jugées trop efféminées par ses contemporains, Henri III est séduit par la mode italienne. Lors d'un séjour à Venise, il découvre cet étrange ustensile à deux dents. Fasciné, il décide de l'adopter et de l'imposer à sa table en France.Un roi moqué, mais en avance sur son tempsLe choix ne passe pas inaperçu. Les chroniqueurs rapportent que certains courtisans se moquent ouvertement de lui. Pour beaucoup, la fourchette est le signe d'un raffinement excessif, presque d'une faiblesse. Pourquoi se compliquer la vie avec un objet de métal alors que les doigts suffisent depuis toujours ?Mais Henri III persiste. Par goût du raffinement, mais aussi par souci d'hygiène : ne pas plonger ses mains dans la nourriture est, après tout, plus propre. Peu à peu, certains nobles imitent le roi, par snobisme autant que par curiosité.Une lente conquêteLa diffusion reste cependant très lente. Il faudra encore plus d'un siècle avant que la fourchette ne s'impose vraiment en France, sous Louis XIV, dans une cour où l'art de la table devient un véritable spectacle.Mais Henri III restera celui qui a osé franchir le pas, introduisant en France un petit objet qui allait changer notre rapport à la nourriture.ConclusionAlors, la prochaine fois que vous tiendrez une fourchette, pensez à ce roi mal-aimé, au style un peu extravagant, qui a su imposer, contre vents et moqueries, l'un des symboles les plus universels de la table moderne. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:04:34 - La planète des sciences - par : Daniel FIEVET - Au sommaire de "la planète des sciences" : une enquête sur les origines du lion de la place Saint-Marc, une reine fourmi capable de donner naissance à deux espèces différentes et de potentielles traces de vie décelées sur la planète Mars... Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ce qui fait la Une de l'actualité, c'est la rentrée politique et sociale qui est bien lourde en France. Démission du Premier ministre, gestion des affaires courantes en attendant un nouveau gouvernement. La semaine prochaine, sera organisée une journée de grève et de mobilisation par les syndicats et ce mercredi (10 septembre 2025), il y avait «Bloquons tout» né sur les réseaux sociaux avec des slogans contre «l'austérité», les «inégalités» ou encore le «déni» démocratique. Avec Thanh Hà TRAN de la rédaction vietnamienne. à propos de cette célèbre photo qui date de la guerre du Vietnam où l'on voit une petite fille courir sur une route pour échapper au napalm Julia Courtois pour la rédaction en espagnol alors que le Chili commémore le coup d'État qui a renversé, le 11 septembre 1973, Allende. Denis Strelkov de la rédaction russe au sujet des films qui vous ont tapé dans l'oeil au Festival du cinéma de Venise.
Imaginez une grande table au XVIᵉ siècle. Des mets somptueux, des coupes de vin, des convives élégants… mais pas de fourchette. Oui, vous m'avez bien entendu. On mange avec les doigts, parfois avec un couteau, mais cet ustensile si familier aujourd'hui est encore absent des tables françaises.Alors, comment la fourchette a-t-elle fait son entrée dans notre pays ? Et surtout, quel roi, un peu excentrique, a osé imposer cet objet qui allait transformer nos repas ?Une invention venue de loinLa fourchette n'est pas née en France. Elle apparaît dès le XIᵉ siècle dans l'Empire byzantin. À Constantinople, les aristocrates l'utilisent pour éviter de se salir les doigts en goûtant des plats délicats. L'Italie, toujours proche des échanges méditerranéens, adopte plus tôt cet ustensile, qui se glisse dans les cours princières de Venise et de Florence.Mais en France ? Rien. L'idée choque. Manger sans toucher la nourriture ? Inconcevable ! La fourchette est jugée inutile, artificielle, voire ridicule.L'arrivée à la cour de FranceC'est finalement au XVIᵉ siècle que la France découvre la fourchette. Et l'homme qui la fait entrer dans les usages de la cour, c'est… Henri III.Roi élégant, raffiné, souvent critiqué pour ses manières jugées trop efféminées par ses contemporains, Henri III est séduit par la mode italienne. Lors d'un séjour à Venise, il découvre cet étrange ustensile à deux dents. Fasciné, il décide de l'adopter et de l'imposer à sa table en France.Un roi moqué, mais en avance sur son tempsLe choix ne passe pas inaperçu. Les chroniqueurs rapportent que certains courtisans se moquent ouvertement de lui. Pour beaucoup, la fourchette est le signe d'un raffinement excessif, presque d'une faiblesse. Pourquoi se compliquer la vie avec un objet de métal alors que les doigts suffisent depuis toujours ?Mais Henri III persiste. Par goût du raffinement, mais aussi par souci d'hygiène : ne pas plonger ses mains dans la nourriture est, après tout, plus propre. Peu à peu, certains nobles imitent le roi, par snobisme autant que par curiosité.Une lente conquêteLa diffusion reste cependant très lente. Il faudra encore plus d'un siècle avant que la fourchette ne s'impose vraiment en France, sous Louis XIV, dans une cour où l'art de la table devient un véritable spectacle.Mais Henri III restera celui qui a osé franchir le pas, introduisant en France un petit objet qui allait changer notre rapport à la nourriture.ConclusionAlors, la prochaine fois que vous tiendrez une fourchette, pensez à ce roi mal-aimé, au style un peu extravagant, qui a su imposer, contre vents et moqueries, l'un des symboles les plus universels de la table moderne. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:12:08 - Le Disque classique du jour du lundi 08 septembre 2025 - Écrite pour la célébration à Venise des noces de Louis XV et de Marie Leszczynska, La Gloria e Imeneo de Vivaldi offre une synthèse merveilleuse du style vivaldien au milieu des années 1720, que défendent ici les voix de Teresa Iervolino et Carlo Vistoli. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:12:08 - Le Disque classique du jour du lundi 08 septembre 2025 - Écrite pour la célébration à Venise des noces de Louis XV et de Marie Leszczynska, La Gloria e Imeneo de Vivaldi offre une synthèse merveilleuse du style vivaldien au milieu des années 1720, que défendent ici les voix de Teresa Iervolino et Carlo Vistoli. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
La série "Un prophète", adaptation du film de Jacques Audiard du 2009, dirigée par Enrico Maria Artale et avec Sami Bouajila et Mamadou Sidibe à eu sa première au Festival International du Film de Venise. On en a parlé avec la délégation, avant la conférence de presse . The post “Un prophète”, entretien avec le réalisateur Enrico Maria Artale et les acteurs Sami Bouajila et Mamadou Sidibe appeared first on Fred Film Radio.
"À pied d'œuvre" de Valérie Donzelli, en compétition au Festival International du Film de Venise est un film captivant qui explore la precarité artistique avec intensité et authenticité. The post “À pied d’œuvre”, entretien avec la réalisatrice Valérie Donzelli et l’acteur Bastien Bouillon appeared first on Fred Film Radio.
durée : 00:02:27 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - Ce matin j'aimerais vous parler des éléphants. Des éléphants au cinéma et dans la littérature. Alors que s'achève demain la Mostra de Venise, le grand réalisateur Werner Herzog s'est vu remettre des mains de Coppola un lion d'or pour l'ensemble de sa carrière. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Avec "Il quieto vivere" Gianluca Matarrese revinet au Festival de Venise avec, un documentaire très original personnel mêlant réalité et fiction, qui explore un conflit familial intense en Calabre avec un ton théâtral et tragique. The post “Il Quieto Vivere”, interview avec le réalisateur Gianluca Matarrese appeared first on Fred Film Radio.
François Ozon , réalisateur, avec les acteurs Benjamin Voisin et Rebecca Marder sont au Festival International du Film de Venise pour présenter "L'Étranger" : un film fidèle au fameux roman, avec un introspectif noir et blanc, mêlant philosophie, mystère et émotion, pour donner une novelle version et vision du chef-d'oeuvre [...] The post “L’Étranger”, interview avec le réalisateur François Ozon et les acteurs Rebecca Marder et Benjamin Voisin appeared first on Fred Film Radio.
durée : 00:14:40 - L'invité d'un jour dans le monde - « The Voice of Hind Rajab », le film choc sur Gaza qui a bouleversé les festivaliers, « le Mage du Kremlin » et le complotisme qui nous entoure, « A House of Dynamite » et la peur du nucléaire qui nous menace ... Quand la Mostra regarde le monde Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:38:39 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - De l'Ukraine à Gaza en passant par l'Amérique sans quitter une salle de cinéma, la Mostra de Venise, qui se poursuit jusqu'à samedi, nous montre toutes les palettes désespérantes du monde, mais de belle manière. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:38:39 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - De l'Ukraine à Gaza en passant par l'Amérique sans quitter une salle de cinéma, la Mostra de Venise, qui se poursuit jusqu'à samedi, nous montre toutes les palettes désespérantes du monde, mais de belle manière. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans cette édition :Retour sur l'interview Premier ministre François Bayrou, diffusée en exclusivité sur Europe 1, où il a défendu son budget et appelé à un vote de confiance décisif pour l'avenir du pays.Réactions des partis d'opposition, notamment du Parti Socialiste qui a annoncé ne pas voter la confiance.Dégradations antisémites sur des monuments mémoriaux à Lyon et Montluc, suscitant indignation et appels à la sécurité de la communauté juive.Mobilisation pro-palestinienne au Festival de Venise, avec des manifestations et des marques de soutien sur le tapis rouge.Rebondissements dans l'affaire du petit Grégory, avec la possible mise en examen de sa grande tante Jacqueline Jacob.Report de la rentrée scolaire dans les Bouches-du-Rhône en raison des risques d'orages et d'inondations.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Retour sur l'interview Premier ministre François Bayrou, diffusée en exclusivité sur Europe 1, où il a défendu son budget et appelé à un vote de confiance décisif pour l'avenir du pays.Réactions des partis d'opposition, notamment du Parti Socialiste qui a annoncé ne pas voter la confiance.Dégradations antisémites sur des monuments mémoriaux à Lyon et Montluc, suscitant indignation et appels à la sécurité de la communauté juive.Mobilisation pro-palestinienne au Festival de Venise, avec des manifestations et des marques de soutien sur le tapis rouge.Rebondissements dans l'affaire du petit Grégory, avec la possible mise en examen de sa grande tante Jacqueline Jacob.Report de la rentrée scolaire dans les Bouches-du-Rhône en raison des risques d'orages et d'inondations.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On part à Venise, en Italie, où se tient jusqu'à samedi 6 septembre la 82ème Mostra. Le plus ancien festival de cinéma au monde fait la part belle aux productions américaines, notamment en compétition. On se souvient qu'en 2016, La La Land ouvrait le festival vénitien, Emma Stone remportait le prix d'interprétation féminine quelques mois avant la razzia aux Oscars. Les majors et les plateformes de streaming profitent du rendez-vous vénitien pour faire la promotion de leurs productions. De notre envoyée spéciale à Venise, Moins exposée que le festival de Cannes, idéalement programmée pour lancer la campagne des Oscars, la Mostra est devenue ces dernières années l'écrin rêvé pour les productions hollywoodiennes de prestige. Et notamment les films de plateformes qui peuvent ici concourir en compétition. Parmi les blockbusters d'auteurs en lice pour le Lion d'or : Frankenstein. Netflix a accordé un budget faramineux, 120 millions de dollars à Guillermo del Toro, pour revisiter ce classique de Mary Shelley : la création contre-nature d'un être humain à partir de cadavres. « On vit dans une époque de terreur et d'intimidation. Et pour moi la réponse, c'est l'amour et l'art en fait partie. La question que pose le roman, c'est : qu'est-ce qu'un être humain ? Il n'y a pas de tâche plus urgente que de préserver notre humanité. Mon film montre des personnages imparfaits et le droit d'être imparfaits », explique Guillermo del Toro. Ces films hollywoodiens questionnent tous la perte ou la quête de sens. Dans Jay Kelly, le réalisateur Noah Baumbach met en scène George Clooney en mégastar se rendant compte, à 60 ans passés, qu'il est bien seul dans la vie. « Quand vous faites un film sur un acteur, vous faites en réalité un film sur l'identité et la représentation, finalement la quête de soi, raconte le réalisateur. C'est ce que nous éprouvons tous : nous ne sommes pas les mêmes avec notre famille, nos amis ou nos collègues. Nous sommes différents personnages selon les situations. » Plus radical, mêlant science-fiction et satire de l'époque, Bugonia de Yorgos Lanthimos montre une Amérique en perte de sens. Deux Américains complotistes kidnappent une cheffe d'entreprise, campée par Emma Stone, qu'ils prennent pour une extraterrestre. Pour le réalisateur, déjà primé à Venise il y a deux ans, le propos est plus réaliste que dystopique : « Mon film reflète le monde réel. Tout ce que l'on voit dans le monde, l'intelligence artificielle, les guerres, le dérèglement climatique, c'est ce qui se passe en ce moment. » La Mostra doit encore présenter plusieurs gros calibres américains en compétition, comme le nouveau film de Kathryn Bigelow avec notamment Idris Elba, ou The Smashing Machine avec Dwayne Johnson, alias The Rock, dans un rôle à transformation comme les adore l'Académie des Oscars. À lire aussiCinéma: une 82e Mostra de Venise très politique qui déroule aussi le tapis rouge au septième art américain
Chaque samedi dans CLAP !, Laurie Cholewa revient sur l'actualité du Septième art, en compagnie d'invités. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au programme de ce journal : débat sur une possible dissolution, annonces sur la rentrée scolaire et ouverture du festival de Venise.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une nouvelle vague du cinéma soudanais a émergé depuis 2019, portant les fruits de ce qui a été amorcé en 2010 comme un renouveau du mouvement cinématographique au Soudan. Quelques films remarquables ont précédé et accompagné la chute du régime d'Omar el-Béchir. La révolution artistique était déjà en marche. Parler des arbres, le documentaire de Suhaib Gasmelbari a été tourné d'une manière indépendante et sans autorisation préalable du pouvoir en place. Ce pouvoir avait fermé les salles de cinéma pour plaire aux islamistes. Il a exclu toute aide à la production. Pourtant, le jeune cinéma a pointé son nez et a fait sa sortie au grand jour, en même temps que le Hirak, le mouvement de la population dans les rues de Khartoum. En février 2019, le premier film de Suhaib Gasmelbari, Parler des arbres, est récompensé du prix du meilleur documentaire à la Berlinale. Son réalisateur accompagne avec tact quatre cinéastes soudanais de l'ancienne génération, qui essaient de projeter des films à travers le pays malgré l'interdiction imposée par le pouvoir. Et cette génération ne cesse de récolter des prix et annonce ainsi la naissance d'une nouvelle ère du cinéma soudanais. La même année, Tu mourras à 20 ans, d'Amjad Abou Alla, un premier film également, poétique et puissant, est projeté à la Mostra de Venise. Il sera très bien accueilli par les critiques. Depuis, une série de films marquants se fraient une place sur la scène internationale. Goodbye Julia de Mohamed Kordofani est l'exemple le plus parlant. Il a été projeté au Festival de Cannes en 2023 dans la compétition « Un certain regard ». Il a eu le prix de la mise en scène, ainsi que le prix parallèle de la liberté, avant de récolter au total 62 prix. Il raconte la déchirure du Soudan, à travers l'histoire de deux femmes au moment de la séparation du Soudan du Sud : « Le Soudan est un pays qui a toujours été intellectuellement fermé. Il a été toujours présent dans les bulletins d'informations avec des images d'atrocités et de destruction. Depuis notre indépendance, on passe d'une guerre à l'autre… Je pense que l'une des raisons du succès de mon film, est le fait qu'il soit mondialement apprécié, c'est parce que je montre le quotidien et la vie du citoyen. Cela donne au spectateur un accès au côté humain d'un Soudanais et permet de comprendre les dynamiques qui conditionnent ses relations avec les autres ». Les femmes ont fait leur entrée massivement dans le domaine. Elles expérimentent à leur tour cette liberté acquise. Sara Suliman, explore dans son documentaire Corps héroïques (2022), un thème jadis tabou : « Dans Corps héroïques, nous évoquons les corps et les mouvements du corps dans le mouvement féministe soudanais. Il était très important pour moi d'utiliser le mot corps dans le titre. C'est un mot sur lequel il y a beaucoup d'objection. Lors des entretiens pour le film, j'ai senti que les invitées de l'ancienne génération ont été un peu gênées de l'employer. Elles avaient des réserves, avec toujours ce sentiment que le corps implique un seul sens, celui de la sexualité. Il était donc très important de mettre fin à ses réserves et de changer toutes les choses négatives liées à ce mot. Il est très important de libérer les mots avant de libérer le corps ». Le conflit soudanais de 2023, a contraint cependant de nombreux cinéastes à s'exiler. Sara Suleiman vit actuellement à Londres. Mohamed Kordofani est à Bahrein, où il finalise l'écriture de son second film. Quant à Amjad Abou Alla, qui l'a produit, il est au Caire et travaille également sur deux nouveaux films. L'un d'eux se passe à Khartoum et se déroule sur une seule journée. Le nouveau cinéma soudanais est un cinéma d'espoir. L'espoir est son dénominateur commun. Au-delà des films, l'espoir est la devise la plus chère au peuple soudanais. À lire aussiL'émergence d'un cinéma soudanais depuis la Révolution [1/2]
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Parmi les conséquences de la Révolution française, la moins spectaculaire ne fut pas la chute de la Sérénissime République de Venise, après 1100 ans d'indépendance et de grandeur… Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous sommes au tout début des années 1570, à Venise. Deux ans après qu'un incendie, dans leur réfectoire, a détruit une peinture du Titien représentant la Cène, c'est-à-dire le dernier repas que le Christ partage avec ses apôtres, les moines dominicains de l'église Santi Giovanni e Paolo passent une commande à celui que l'on appelle Véronèse. Celui-ci ne va pas lésiner sur les moyens et finit par livrer une immense toile de treize mètres de long. On peut y voir Jésus entouré de personnages pour le moins étonnants : hallebardiers, maître d'hôtel, cuisiniers vêtus à la mode du XVIe siècle. Un personnel non mentionné dans les Évangiles. De plus, nous ne sommes pas dans une auberge de Palestine mais dans un riche palais d'inspiration néo-antique. Shocking ! Le peintre sera sommé de s'expliquer devant le tribunal du Saint-Office le 18 juillet 1573. Quelle sera sa défense ? Nous l'apprendrons en suivant le deuxième épisode de notre diptyque « Venise, art et Renaissance »… Avec nous, Anne Hustache , historienne de l'art. Sujets traités : Venise, Art, Renaissance, Titien, Cène, Véronèse, Jésus, néo-antique. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Zohran Mamdani est le pire cauchemar de Donald Trump. Si New York est encore la ville de tous les possibles, le candidat démocrate en est le modèle, l'archétype immigré de 33 ans. Il n'est américain que depuis 2018. Zohran Mamdani est né en Ouganda, mais a grandi en Afrique du Sud. D'origine indienne, il est musulman. Sa mère, Myra Nair, est réalisatrice de renommée mondiale. Elle a remporté un lion d'or à la Mostra de Venise en 2001 pour le film « "Le mariage des moussons".Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Zohran Mamdani est le pire cauchemar de Donald Trump. Si New York est encore la ville de tous les possibles, le candidat démocrate en est le modèle, l'archétype immigré de 33 ans. Il n'est américain que depuis 2018. Zohran Mamdani est né en Ouganda, mais a grandi en Afrique du Sud. D'origine indienne, il est musulman. Sa mère, Myra Nair, est réalisatrice de renommée mondiale. Elle a remporté un lion d'or à la Mostra de Venise en 2001 pour le film « "Le mariage des moussons".Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Franck Ferrand vous plonge dans le parcours du « Prêtre roux », un virtuose du violon, un des compositeurs baroques les plus célèbres Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:19 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Le patron d'Amazon et grand financier de Trump, Jeff Bezos, se marie à Venise à la fin de la semaine. Des habitants se mobilisent contre la privatisation de leur ville. Nous recevons la “wedding planeuse” de l'événement.
