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Un détail d'architecture a resurgi.Un fragment de lumière, une ombre, un bruit léger.De là est née une réflexion sur ce que la jalousie éclaire…et sur ce que nos mots laissent passer.Dans cet épisode, je vous emmène à travers Venise, Nice, Lyon et Grenade.Non pas pour raconter des lieux, mais pour comprendre comment un simple dispositif de lames orientables peut révéler nos perceptions, nos malentendus… et nos sensibilités humaines.Un voyage entre architecture, langage et lumière, inspiré d'un ancien podcast de 2018, du temps de la Remix radio et enrichi d'un texte d'Alain Robbe-Grillet.Ombre, lumière, jalousies.Une méditation.Un geste.Une écoute.Audio comdarchipodcastImage teaser © eunikas____Si le podcast COM D'ARCHI vous plaît n'hésitez pas :. à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes,. à nous laisser des étoiles et un commentaire, :-),. à nous suivre sur Instagram @comdarchipodcast pour retrouver de belles images, toujours choisies avec soin, de manière à enrichir votre regard sur le sujet.Bonne semaine à tous ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Décidément, rien n'arrête plus l'équipe de Popcorn : cette semaine, non pas trois, mais QUATRE films sont critiqués par nos passionnés et acharnés chroniqueurs. Dans ce programme aussi excitant qu'éclectique, on retrouve : - La Voix de Hind Rajab, de Kaouther Ben Hania : production franco-tunisienne primée du Lion d'argent à la Mostra de Venise, reconstituant l'assassinat d'une jeune fille gazaouie par l'armée israélienne en 2024,- Vie privée, de Rebecca Zlotowski : l'enquête fantaisiste et réussie d'une psychologue américaine autour de la mort d'une de ses patientes (avec une Jodie Foster très parisienne),- Bugonia, de Yorgos Lanthimos : l'enlèvement délirant d'une PDG jouée par Emma Stone sur fond de réflexions politiques et écologiques,- Running man, d'Edgar Wright : dystopie survoltée (plutôt divertissante ou ratée ?) où Glen Powell court pour sauver sa vie (globalement). Restez bien sûr jusqu'à la fin pour découvrir nos traditionnels coups de cœur ! Présentation : Margot Chroniqueur/euses : Pauline, Daphné, Enora, Arthur, Aris et Costal
C'est une petite fille dont le cas tragique a bouleversé le monde : Hind Rajab avait 6 ans, des yeux noisette rieurs et de longs cheveux ondulés. Le 29 janvier 2024, elle se retrouve coincée dans une voiture bombardée par l'armée israélienne à Gaza. Le film «La Voix de Hind Rajab», qui mêle fiction et documentaire, relate ses longues heures d'attente pour obtenir du secours. Après La belle et la meute, l'homme qui a vendu sa peau et les filles d'Olfa, la réalisatrice tunisienne Kaouther Ben Hania porte à l'écran un crime de guerre tragique. Le 29 janvier 2024, Kaouther Ben Hania monte dans la voiture de ses oncles et tantes avec ses cousins pour quitter le quartier Tel al-Hawa de Gaza, quartier évacué par l'armée israélienne. Le 29 janvier 2024, cette voiture dans laquelle se trouve la fillette est la cible d'un tank. Tous les passagers sont tués, sauf Hind Rajab qui va, pendant de longues heures, implorer l'aide des secouristes du Croissant Rouge Palestinien. Son histoire dramatique est devenue le symbole des atrocités commises à Gaza, un génocide des Palestiniens, a estimé la commission d'enquête du Conseil des droits de l'homme des Nations unies. Dans La Voix de Hind Rajab, qui sort sur les écrans français après avoir ému aux larmes les festivaliers de la Mostra de Venise, Kaouther Ben Hania reconstitue avec des acteurs le centre du Croissant Rouge Palestinien à Ramallah et fait entendre les véritables enregistrements audio des appels désespérés de la fillette. À l'affiche également de notre cinéma, le festival Ciné Regards Afrique qui se tient en région parisienne et accueille ce samedi soir (29 novembre 2025) le réalisateur Ottis Ba et Oumy Mbaye, l'actrice principale du film sénégalais Dent pour dent.
Kirk sits down with jazz piano legend Peter Martin to talk about Peter's musical background, his momentous early encounters with Wynton Marsalis and Kenny Kirkland, the jazz scene of the 1990s, how the Suzuki method works, and why jazz students today should be less shy about talking to their heroes. Check out Peter's online jazz education program Open Studio, as well as You'll Hear It, the music podcast he co-hosts with Adam Maness. DISCUSSED/REFERENCED:“Variations Sur ‘Le Carnaval de Venise” feat. Wynton Marsalis and the Eastman Wind Ensemble from Carnival, 1987“Path Adjacent” Peter Martin w/ Gregory Hutchinson, Sarah Hanahan & Reuben Rogers from Generation S, 2023“Bag's Groove” by Milt Jackson from Miles Davis, Bag's Groove, 1967“Tea For Two” by Youmans/Ceasar, played by Art Tatum from Piano Starts Here, 1968“Broad Way Blues” by Ornette Coleman from New York Is Now, 1968“Swingin' at the Haven” by Branford Marsalis from Royal Garden Blues, 1986“Now's The Time/Billie's Bounce” by Charlie Parker from Jamey Aebersold Vol. 6: All Bird“Naima's Love Song” by Betty Carter from I_t's Not About The Melody_, 1992“Mental Phrasing” by Roy Hargrove live w/ Joshua Redman, Ron Blake, Peter Martin, Rodney Whitaker, Greg Hutchinson“Turnaround” by Joshua Redman w/ Pat Metheny from Wish, 1993“Jig-A-Jug” by Joshua Redman and “St. Thomas” by Sonny Rollins” from Spirit of the Moment: Live at the Village Vanguard, 1995“Cat Battles” and “One Shining Soul” by Joshua Redman from Freedom in the Groove, 1996“The Loneliness of a Long Distance Runner” intro and “Mind and Body” from Solo, Live in New York, 2015“Why Approach Chords Matter” - Adam Maness for Open Studio on YouTube, 2025“2 Down & 2 Across,” “Sing a Song of Song,” “Before It's Time to Say Goodbye” by Kenny Garrett feat. Kenny Kirkland from Songbook, 1997“Phyrzzinian Man” by Wynton Marsalis from Black Codes from the Underground, 1985“Necessary Evil” by Elvin Jones and “Whatever Possessed Me” by Chet Baker feat. Pat LaBarbera (Tenor) and Kenny Kirkland from Brother John, 1982“Stella by Starlight” by Hoagy Carmichael, performed by the Miles Davis Quintet on My Funny Valentine: In Concert, 1965----LINKS-----
JEUDI 23 OCTOBRE 2025Une Obsession – Nine ANTICOCharivariBande DessinéesEn vue d'un voyage à Venise après une séparation, Nine Antico s'interroge sur son obsession pour les garçons et l'amour. Elle remonte le fil de son désir, sonde son besoin impérieux de séduire et exhume un souvenir d'enfance, clé de voûte de son rapport au sexe, aux hommes et à elle-même. Figure de la bande dessinée féminine et féministe, Nine Antico poursuit les thématiques abordées dans ses précédentes BD, Le Goût du paradis, Coney Island Baby et Madones et putains, en questionnant la part de déterminisme et de libre arbitre dans notre sexualité.
Pourquoi un fiasco ?Le mot fiasco ne vient ni du théâtre français ni de la politique contemporaine, mais… de l'italien, et plus précisément de fare fiasco, qui signifie littéralement : « faire bouteille ».Une expression mystérieuse, n'est-ce pas ?Au XVIIIᵉ siècle, à Venise, les comédiens ratant totalement une scène se voyaient infliger une sanction amusante : rejouer leur passage en tenant une grande bouteille — un fiasco en italien — ce qui tournait leur prestation en ridicule. L'expression fare fiasco a alors pris le sens figuré de « rater complètement », « échouer de façon lamentable ».Les Français, friands d'italianismes à cette époque (opéra, musique, théâtre), ont emprunté le mot. En français, faire fiasco devient synonyme d'échec total, puis le mot s'autonomise : un fiasco, c'est un échec retentissant. Le mot est court, sonore, et son côté exotique lui a permis de s'imposer durablement dans la langue.Pourquoi un chauffeur ?Le mot chauffeur ne vient pas d'une personne qui « conduit », mais d'une personne qui… chauffe.À l'origine, vers le XIXᵉ siècle, un chauffeur était l'ouvrier chargé d'alimenter un four, une machine à vapeur ou une locomotive. Il chauffait le moteur — littéralement. Quand les premières automobiles apparaissent, elles fonctionnent grâce à un moteur thermique complexe qui nécessite toute une série de gestes techniques. Le conducteur n'est pas un simple usager : il est celui qui fait fonctionner la mécanique, qui la « chauffe ».On parle donc naturellement du « chauffeur de voiture », c'est-à-dire l'opérateur technique de la machine. Peu à peu, alors que les moteurs deviennent plus simples, le sens du mot glisse : chauffeur ne renvoie plus à celui qui chauffe, mais à celui qui conduit un véhicule… en particulier pour quelqu'un d'autre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La Tunisienne Kaouther Ben Hania est l'une des cinéastes les plus singulières et audacieuses de sa génération. Après Les Filles d'Olfa, elle revient avec La Voix de Hind Rajab, construit autour de l'enregistrement d'une fillette de six ans piégée sous les tirs à Gaza, en appel avec le Croissant-Rouge palestinien. Un film bouleversant qui mêle fiction et réalité ayant remporté, à la Mostra de Venise, le Lion d'Argent 2025, l'une des plus hautes récompenses du festival. À lire aussiMostra de Venise: «La voix de Hind Rajab», docufiction choc sur Gaza, reçoit le Lion d'argent
La Tunisienne Kaouther Ben Hania est l'une des cinéastes les plus singulières et audacieuses de sa génération. Après Les Filles d'Olfa, elle revient avec La Voix de Hind Rajab, construit autour de l'enregistrement d'une fillette de six ans piégée sous les tirs à Gaza, en appel avec le Croissant-Rouge palestinien. Un film bouleversant qui mêle fiction et réalité ayant remporté, à la Mostra de Venise, le Lion d'Argent 2025, l'une des plus hautes récompenses du festival. À lire aussiMostra de Venise: «La voix de Hind Rajab», docufiction choc sur Gaza, reçoit le Lion d'argent
En dialogue avec Johanne Rigoulot Entretien mené par Marguerite Demoëte En vue d'un voyage à Venise après une séparation, Nine Antico s'interroge sur son obsession pour les garçons et l'amour. Elle remonte le fil de son désir, sonde son besoin impérieux de séduire et exhume un souvenir d'enfance, clé de voûte de son rapport au sexe, aux hommes et à elle-même. Figure de la bande dessinée féminine et féministe, Nine Antico poursuit les thématiques abordées dans ses précédentes BD, Le Goût du paradis, Coney Island Baby et Madones et putains, en questionnant la part de déterminisme et de libre arbitre dans notre sexualité. À lire – Nine Antico, Une obsession, Dargaud, 2025 – Johanne Rigoulot, La Vie continuée de Nelly Arcan, Les Avrils, 2025.
Les chiffres donnent le tournis : en 2024, 34,6 millions de passagers ont voyagé à bord d'un paquebot de croisière, selon la Cruise Lines International Association (CLIA), soit 9 % de plus que l'année précédente. Des performances exceptionnelles dans le secteur du tourisme, mais dont les croisières sont coutumières depuis quelques années : en dix ans, le nombre de croisiéristes a augmenté de 88 %, et ces hausses ne semblent pas sur le point de s'essouffler.Chaque année, les compagnies de croisières débordent d'inventivité pour attirer des passagers, en promettant des services et des attractions toujours plus spectaculaires, à des prix défiants toute concurrence.Mais si sa réussite est insolente, le secteur doit aussi faire face à de nombreuses critiques concernant l'impact environnemental de ses gros paquebots, le traitement du personnel qui y travaille et le surtourisme désastreux pour les habitants des villes prisées pour les escales.Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Jessica Gourdon, en charge du tourisme au Monde, nous explique la formule qui se cache derrière le succès de la croisière.Un épisode de Cyrielle Bedu. Réalisation : Quentin Tenaud. Présentation et suivi éditorial : Jean-Guillaume Santi. Dans cet épisode : générique de la série « La croisière s'amuse » ; extrait du JT de 20 heures de France 2 sur le naufrage du Costa Concordia diffusé le 14 janvier 2012 ; reportage d'Euronews sur les manifestations contre les croisières à Venise diffusé le 26 septembre 2016.Cet épisode a été publié le 20 novembre 2025. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Merci de soutenir notre travail père-fille 100% indépendant et bénévole en nous offrant le café et en suivant sur instagram le podcast : @ici.venise.Au sommaire de cet épisode Ilona et son papa font un lien inattendu entre la fête traditionnelle de la Salute, plusieurs fois centenaire, et l'élection régionale en Veneto qui se télescopent en cette fin novembre 2025. D'un côté l'invariant de la fête de la Madonna della Salute, de l'autre le changement avec la fin de l'ère de Luca Zaia, un président de région souvent surnommé le Doge…Un peu de nostalgie pour un autre invariant celui-ci en voie de disparition : l'acqua alta, les eaux de marée haute effacées de la vie vénitienne par l'utilisation toujours plus intense des digues mobiles du Mose. Est-ce sauver Venise que de la réduire au régime sec ? Heureusement, il y a Mimmo le dauphin, vedette de l'automne dans une ville dont la toponymie évoque les longs rapports avec ses congénères. Un épisode qui se conclut pourtant sur l'évocation d'un drôle de concombre masqué qui fait une irruption plus inattendue…
durée : 00:13:31 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - "Pompei, Sotto le Nuvole", présenté à la Mostra de Venise 2025, est le premier documentaire en noir et blanc de Gianfranco Rosi depuis 32 ans. Pendant trois ans, il a filmé la vie quotidienne autour du Vésuve, offrant un portrait poétique et sensible de Naples, entre mémoire, passé et présent. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Thierry Chèze Journaliste, critique de cinéma, directeur de la rédaction du magazine Première, animateur de télévision et de radio; Sandra Onana Critique française de cinéma
L'info du matin - Grégory Ascher et Erika Moulet ont évoqué ces tubes mythiques enregistrés en une seule prise, parmi lesquels "Billie Jean" de Michael Jackson et "My Heart Will Go On" de Céline Dion. Le winner du jour - Elle emménage sans le savoir dans un appartement où se trouvait encore un serpent laissé par l'ancien locataire. - En Italie, un élu chute dans des escaliers et détruit un chef-d'œuvre inestimable. Le flashback du jour - Juillet 1981 : numéro 1 des ventes en France, Kim Carnes avec "Bette Davis Eyes", hommage à l'actrice américaine. - Sorti le même mois, "Donkey Kong", jeu d'arcade culte signé Nintendo. Les savoirs inutiles - Venise, vue du ciel, a la forme d'un poisson, un symbole cohérent avec son histoire étroitement liée à l'eau. La chanson du jour - Dexys Midnight Runners "Come On Eileen" 3 choses à savoir sur Kim Wilde Qu'est-ce qu'on demande ? - Janis, l'IA pop-rock de l'émission, a présenté Erika Moulet. Le jeu surprise - Aurélie de Biscarrosse gagne un bon d'achat de 500 euros à dépenser sur Spartoo.com. La Banque RTL2 - Justine de Clapiers (vers Montpellier) gagne un séjour pour quatre personnes au Futuroscope. - Alexia de Hauviné (vers Reims) remporte un iPhone 17. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Deux ans près sa création à la Fenice de Venise, « Ciao Casanova », l'opéra film de Solrey fera l'objet d'une représentation le 26 novembre à la Seine musicale. La musicienne et réalisatrice nous invite ici à arpenter les ruelles et les canaux de Venise à travers l'évocation de l'une de ses figures mythiques, le personnage de Casanova. Des musiques de Vivaldi, Mozart, Nino Rota ou encore Alexandre Desplat ponctuent ce programme se voulant ouvert sur le monde et les nouveaux enjeux d'une société qui n'accepte plus les comportements abusifs d'un tel séducteur. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
«Le bal de Paris» de Blanca Li est un spectacle qui abolit la frontière entre la scène et les spectateurs, mais c'est aussi une expérience où le public, équipé d'un casque de réalité virtuelle est invité à danser dans un décor féérique. Cette histoire d'amour en 3 actes a obtenu un Lion de la meilleure expérience VR à la Mostra de Venise 2021. Blanca Li, insatiable créatrice, du flamenco au ballet en passant par le hip hop, vous invite à (re)découvrir ce spectacle à la Seine Musicale. La chorégraphe Blanca Li était l'invitée de Nathalie Amar. ► Chronique Les pionnières Marjorie Bertin nous parle de Lucie Eyenga, surnommée «Maman Eyenga», une pionnière de la rumba congolaise. ► Reportage Tom Malki s'est rendu à la Nouvelle Seine qui a fait parler d'elle, il y a un an, en ratifiant une charte des comedy clubs pour lutter contre le sexisme dans le monde du stand-up. ► Playlist du jour - Daft Punk - Around the world. - Mom'lo Siwaju du Star Féminine Band - Benin.
"Le bal de Paris" de Blanca Li est un spectacle qui abolit la frontière entre la scène et les spectateurs, mais c'est aussi une expérience où le public, équipé d'un casque de réalité virtuelle est invité à danser dans un décor féérique. Cette histoire d'amour en 3 actes a obtenu un Lion de la meilleure expérience VR à la Mostra de Venise 2021. Blanca Li, insatiable créatrice, du flamenco au ballet en passant par le hip hop, vous invite à (re)découvrir ce spectacle à la Seine Musicale. La chorégraphe Blanca Li était l'invitée de Nathalie Amar. ► Chronique Les pionnières Marjorie Bertin nous parle de Lucie Eyenga, surnommée « Maman Eyenga », une pionnière de la rumba congolaise. ► Reportage Tom Malki s'est rendu à la Nouvelle Seine qui a fait parlé d'elle il y a un an en ratifiant une charte des comedy clubs pour lutter contre le sexisme dans le monde du stand-up. ► Playlist du jour - Daft Punk - Around the world. - Mom'lo Siwaju du Star Féminine Band - Benin.
durée : 00:30:02 - Les Nuits de France Culture - par : Geneviève Huttin - Par Florence Langevin - Avec Gianbattista Pellegini (Professeur à l'Université de Padoue) et Mario Infelise (Professeur à l'Université de Venise) - Lectures Jean-Jacques Levessier d'un extrait de texte de Mario Infelise - Réalisation Marie-Ange Garrandeau - réalisation : Virginie Mourthé
La Renaissance, ce renouveau artistique, intellectuel et scientifique qui transforma l'Europe à partir du XVe siècle, ne naquit pas par hasard à Florence. Cette cité toscane réunissait alors des conditions politiques, économiques et culturelles uniques qui en firent le berceau d'un mouvement sans équivalent dans l'histoire occidentale.D'abord, Florence était une république riche et indépendante. Sa prospérité reposait sur le commerce et surtout sur la banque. La puissante famille Médicis, à la tête d'un empire financier, finançait non seulement les États d'Europe, mais aussi les artistes, les architectes et les penseurs. Cosme de Médicis puis Laurent le Magnifique comprirent que la gloire artistique pouvait servir la gloire politique. En soutenant des figures comme Botticelli, Léonard de Vinci ou Michel-Ange, ils firent de Florence une vitrine éclatante de leur influence et un centre culturel de premier plan.La structure politique de la cité joua aussi un rôle majeur. Florence n'était pas une monarchie mais une république oligarchique, où la liberté de pensée et le débat intellectuel avaient plus de place qu'ailleurs. Les humanistes florentins, inspirés par la redécouverte des textes grecs et latins, replacèrent l'homme au centre de la réflexion — une rupture avec la vision médiévale dominée par la religion. Des penseurs comme Marsile Ficin ou Pic de la Mirandole défendirent l'idée d'un être humain libre, doué de raison et capable de s'élever par le savoir.Florence bénéficiait aussi d'un héritage artistique exceptionnel. La proximité avec les ruines romaines, la maîtrise artisanale des ateliers et la tradition gothique italienne fournirent une base solide à l'innovation. Les artistes florentins expérimentèrent de nouvelles techniques : la perspective, la peinture à l'huile, l'étude du corps humain. Brunelleschi révolutionna l'architecture avec la coupole de Santa Maria del Fiore, symbole éclatant du génie florentin.Enfin, la concurrence entre les cités italiennes – Venise, Milan, Rome – stimula l'émulation. Chaque ville voulait attirer les meilleurs artistes pour affirmer sa puissance. Mais Florence garda une avance intellectuelle : elle ne se contenta pas de produire des œuvres, elle inventa une nouvelle manière de penser l'art et le savoir.Ainsi, la Renaissance florentine fut bien plus qu'une explosion de beauté : elle fut le fruit d'une société ouverte, prospère et avide de connaissance, où l'art devint le miroir d'une nouvelle idée de l'homme et du monde. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Rubrique:nouvelles Auteur: pierre-alexis-ponson-du-terrail Lecture: Daniel LuttringerDurée: 21min Fichier: 15 Mo Résumé du livre audio: Nouvelle tirée du recueil "le Lion de Venise" édité en 1857. Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Lors de son élection à la magistrature suprême de Venise, le doge Dandolo avait déjà 80 ans. Tout le monde pensait qu'il ne serait qu'un doge de transition ; il allait se révéler un stratège diabolique. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après avoir longtemps rêvé d'être enterré dans le cimetière marin de Venise, Laurent Ruquier a changé d'avis... Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Thoen-Baffie le duo infernal, Laurent Ruquier a Venise, la nouvelle conquête de Jeanfi Janssens... Retrouvez dans ce podcast le meilleur de l'émission du vendredi 7 novembre 2025. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:12:38 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Dix réveillons, dix fragments d'une vie de couple : "Los años nuevos", la série Arte de Rodrigo Sorogoyen et Sara Cano, explore avec justesse l'usure et la tendresse. Présentée à la Mostra de Venise, cette fresque intime suit Ana et Óscar d'un Nouvel An à l'autre entre Madrid, Berlin et Lyon. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Olivier Joyard Critique et réalisateur; Charles Bosson Critique de cinéma et vidéaste sur YouTube
durée : 00:14:03 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - En compétition à la Mostra de Venise 2025, "Frankenstein" signe le retour de Guillermo del Toro au mythe fondateur de Mary Shelley. Porté par Oscar Isaac et Jacob Elordi, ce drame gothique et humaniste explore la frontière entre création et monstruosité. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Murielle Joudet Critique de cinéma au Monde; Olivier Lamm Journaliste et critique à Libération
Avec Dwayne Johnson, Emily Blunt. Biopic de Mark Kerr, légende du MMA (arts martiaux mixtes) des années 90, surnommé " The Smashing Machine ", incarné par la star du film dʹaction, Dwayne Johnson. Emily Blunt incarne lʹépouse du héros dans ce film qui revient sur les addictions du champion pendant sa carrière. Lion dʹargent du meilleur réalisateur au dernier festival de Venise pour Benny Safdie, dont cʹest le premier film en solo après " Good Time ", et " Uncut Gems " coréalisé avec son frère Josh. https://www.youtube.com/watch?v=1gimzABfwKc
Les jours raccourcissent, les manteaux rallongent, et les soirées s'étirent à l'infini… L'hiver approche, et avec lui cette envie douce de se blottir devant un bon film du popcorn à la main, une couverture sur les genoux, et l'Italie en toile de fond… évidemment !Dans cette « Piccola pausa », Allora a regroupé les recommandations cinéma de ses invités en un best of sur le 7e art italien ! Des films récents qui racontent l'Italie d'aujourd'hui ses passions, ses contradictions, et ses colères jusqu'aux chefs-d'œuvre intemporels de Fellini, Tornatore, ou Visconti, chacun y va de son coup de cœur.Voici donc un épisode comme une séance home cinéma : pas besoin de ticket, juste l'envie de vous évader. Allora on baisse les lumières, on monte le son, et… azione !Bell'ascolto !· Les films recommandés par...Carine Vanni Mantegna di Gangi : « Le Guépard » / « Il Gattopardo » de Luchino Visconti (1963)Amanda Sthers : « Cinéma Paradiso » de Giuseppe Tornatore (1988)Eleonora Galasso : « Huit et demi » / « Otto e mezzo » de Federico Fellini (1963)Nikos Aliagas : « Film d'amour et d'anarchie » / « Film d'amore e d'anarchia » de Lina Wertmüller (1973)Constance Gennari : « Lo scopone scientifico » / « L'Argent de la vieille » de Luigi Comencini (1972)Serena Giuliano : « Il Postino » / « Le facteur » de Michael Radford (1994)Louise Ebel & Alice Cheron : « La Grande Bellezza » de Paolo Sorrentino (2013)Jean-Baptiste Andrea : « Silvio et les autres » de Paolo Sorrentino (2018)Claire Genty : « Palerme (Via Castellana Bandiera) » d'Emma Dante (2013)Lucie Tournebize : « La meglio gioventù » / « Nos meilleures années » de Marco Tullio Giordana (2003)Ilaria Gaspari : « Caterina va in città » de Paolo Virzì (2004)Carla Ferrari : « C'è ancora domani » / « Il reste encore demain » de Paola Cortellesi (2023)Le coup de cœur allora : « Venise, mise en scènes » & « Naples, mise en scènes » d'Olivier Goujon (Ed/ Espaces & Signes). « Milan, mise en scènes » à venir en Mars !· Archives épisode :Extraits BA « Il gattopardo », BA « Cinema Paradiso » de Giuseppe Tornatore (1988), Bande Originale « Toto et Alfredo » d'Ennio Morricone, BA « Otto e mezzo » Federico Fellini, Chanson « Canzone arrabbiata » par Anna Melato, BA « Lo scopone scientifico » de Luigi Comencini, BA « La Grande Bellezza » & « Silvio et les autres » de Paolo Sorrentino, BA « Palermo » d'Emma Dante, BA « La meglio gioventù » de Marco Tullio Giordana, BO Thème « Catherine et Jim » de Georges Delerue, BA « Caterina va in città » de Paolo Virzì, « C'è ancora domani » de Paola Cortellesi (2023), Thème « A Summer Place » de Percy FaithConçu, réalisé et présenté par Claire PlantinetMontage Générique : François PraudMusique : Happy Clapping Cinematic Score / PaBlikMM / Envato ElementsCréation visuelle : Thomas JouffritPhoto Cover © Getty Images - MordolffPodcast hébergé par Ausha.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Je vous parle de Flo, de comment ça se passe entre nous et de nos modalités de couple. Ça fait beaucoup de nouveauté pour moi, il y a des ajustements à faire et tout n'est pas toujours parfait mais on communique vraiment vraiment bien, on planifie des choses pour le futur et on verra bien comment ça évolue.On n'est pas exclusifs et clairement ça me va très bien, pour le moment je ne ressens aucune jalousie ou autre et je suis aussi très contente de pouvoir faire ma vie. Je le savais déjà mais il me le rappelle aussi en me disant quels sont ses envies et limites, je dois me calmer et ne pas me mettre la pression avec lui. C'est parfois plus facile à dire qu'à faire, surtout quand il y a des sentiments en jeu. J'ai l'impression que ça va mieux par rapport à ça et que j'ai réussi à l'intégrer. Ça fait maintenant à peine un mois qu'on se connait donc tout est très nouveau, on se voit bientôt à Venise et j'ai vraiment hâte ! Voilà pour les nouvelles, je vous raconterai la suite (si il y en a une, ouais je fais la meuf chill haha) Bisous Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les frères Joshua et Benny Safdie ont été révélés sur la carte du cinéma international à Venise en 2014 avec Mad Love in New York, puis à Cannes avec Good Time en 2017. Deux ans plus tard, Uncut Gems a été traité par notre équipe, sans toutefois soulever en nos rangs l'enthousiasme qu'on pouvait observer alors de la part d'un grand nombre de critiques.Et pourtant, notre amour pour le cinéma américain qui a forgé notre cinéphilie nous pousse aujourd'hui à consacrer ce nouveau numéro à The Smashing Machine, première réalisation de Benny Safdie en solo (il y officie aussi en tant que scénariste, co-producteur et monteur). Précisons que le film possède d'autres attraits qui ne pouvaient nous laisser indifférents. Son sujet d'abord, biopic du lutteur de MMA Mark Kerr, The Smashing Machine évoque instantanément les classiques du genre tels que Raging Bull de Martin Scorsese (1980) ou évidemment le séminal Rocky de John G. Avildsen (1976). D'autre part (et il s'agit là de l'argument promotionnel principal), le film serait le véhicule idéal pour Dwayne « The Rock » Johnson - rendu méconnaissable par le travail remarquable du maquilleur Kazu Hiro - pour s'acheter une crédibilité en tant qu'acteur de composition.Intéressé par l'action hero vedette, notre émission permet à Manuel Haas de replacer le film dans une carrière plus marquée par des choix intéressés que par de trop rares coups d'éclats. C'est néanmoins l'occasion rêvée pour le transmetteur de crier son amour pour le Pain & Gain de Michael Bay (2013).En fin d'émission, impressions à chaud sur La Petite dernière d'Hafsia Herzi et éloge de l'article signé François Cau sur le cinéaste S.S. Rajamouli pour le dernier numéro de Mad Movies (à l'occasion notamment de la sortie le 31 octobre dans les salles françaises d'un nouveau montage de La Légende de Baahubali). Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 24/10/2025 Ce vendredi, Renaud Dély décrypte l'actualité en compagnie de nos clubistes : Pascal Blanchard, historien, Raphaël Doan, essayiste et ancien haut fonctionnaire, Catherine Tricot, directrice de la revue "Regards" et le dessinateur de presse Éric Truant.L'intelligence artificielle va-t-elle nous mettre au chômage ?Lundi 20 octobre, un programme télévisuel britannique décryptant l'impact de l'IA sur le marché du travail était, en réalité, lui-même présenté par une IA. Les cols blancs sont-ils voués à être remplacés par l'intelligence artificielle, comme le prophétise Sam Altman, le PDG d'OpenAI ? “Ni suspendue, ni abrogée” : à quoi joue Emmanuel Macron sur les retraites ?C'était la promesse qui avait permis d'éviter la censure : la réforme des retraites allait être suspendue. Mais, Emmanuel Macron a laissé planer le doute, évoquant le "décalage d'une échéance" de la réforme qu'il juge "nécessaire". De quoi réactiver le débat et compliquer la tâche du premier ministre. Nous recevons Solrey, directrice musicale et cheffe d'orchestre, qui présente son spectacle "Ciao Casanova" à la Seine musicale à partir du 26 novembre 2025. Dans cet opéra-film, elle tisse une histoire autour de Venise, du cinéma et de Casanova. Mardi 21 octobre, Nicolas Sarkozy a été incarcéré à la suite de sa condamnation pour association de malfaiteurs. Gérald Darmanin, le Garde des Sceaux, a annoncé vouloir lui rendre visite au parloir. Rémy Heitz, procureur de la Cour de cassation, y voit une atteinte à la "sérénité" de la justice, alors que Nicolas Sarkozy a annoncé faire appel de la décision du tribunal. C'est le duel de la semaine de Frédéric Says. Donald Trump a lancé les travaux pour construire une nouvelle salle de bal à la Maison Blanche. Coût estimé : 250 millions de dollars. Et ce alors même que les États-Unis sont en situation de paralysie budgétaire. C'est le Point Com de Natacha Triou. Une femme, séquestrée depuis 5 ans dans des conditions sordides, a réussi à se défaire des griffes de ses géoliers, un couple qui la retenait dans leur garage, la nourrissait à peine et lui imposait un traitement dégradant. C'est l'histoire de la semaine de Frédéric Pommier. Enfin, ne manquez pas notre Une internationale sur la politique migratoire britannique, les photos de la semaine soigneusement sélectionnées par nos invités, ainsi que la remise en question par Aurore Vincenti de la théorie sur les fameuses 8 heures de sommeil par nuit. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 24 octobre 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
Send us a textSeveral friends and neighbors have moved out of the United States over the past year, and many more Alaskans are talking about it. Today's guest is an opera historian who has been living in Berlin, Germany, for the past 13 years. Daniel Gundlach is a former professional classical singer and accompanist who today hosts a podcast called Countermelody. The Countermelody Podcast is focused primarily on opera singers of the past century that may not have received the attention they deserved. Daniel is a countertenor which is a type of classical male singing voice equivalent to that of a female contralto or mezzo-soprano voice type. Today we talk about his life and career, but we will also discuss the trials and tribulations of being an American emigrant in Germany. Musical Excerpts:Leontyne Price, "O patria mia," from Verdi's AidaJoan Sutherland, "Eccola," from Donizetti's Lucia di LammermoorAnna Moffo, "Sempre Libera," from Verdi's La TraviataGilda Cruz-Romo, "O mio babbino caro," from Puccini's Gianni SchicchiDaniel Gundlach, "O Lord, whose mercies numberless," from Handel's SaulDaniel Gundlach, "O fatal day," from Handel's SaulDaniel Gundlach, "On a dit sur Venise tant et tant de choses," from Gualtiero Dazzi's Le Luthier de VeniseDaniel Gundlach, "Danny Boy," Irish Folk Song
durée : 01:28:45 - Relax ! du mardi 14 octobre 2025 - par : Lionel Esparza - L'année 1857 mérite d'être évoquée rien que pour la Sonate de Franz Liszt, véritable aboutissement du style du compositeur. Au même moment, Wagner est épris de Mathilde Wesendonck à qui il dédie une série de lieder et Venise voit la création de "Simon Boccanegra" de Verdi dont le succès est relatif. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
[Rediffusion] C'est une histoire de chanson française, de passion amoureuse, mais aussi d'excès et d'alcool. Le couple Serge Gainsbourg et Jane Birkin ont marqué le monde de la musique avec leurs nombreuses collaborations. Mais derrière la belle histoire, qu'y a-t-il vraiment ? Plongez dans les plus beaux moments du duo Gainsbourg Birkin… comme dans les pires. De l'animosité à la tendresse Nous sommes en juin 1968 à Venise, sur le tournage du long métrage "Slogan" réalisé par Pierre Grimblat. C'est un film dramatique, qui relate l'histoire d'un réalisateur de publicité, joué par Serge Gainsbourg, qui tombe amoureux d'une jeune anglaise, alors qu'il est marié et que sa femme attend un bébé. Cette "jeune anglaise" est incarnée par une certaine Jane Birkin, âgée d'à peine 22 ans. Un podcast Bababam Originals Ecriture : Anaïs Koopman Voix : François Marion, Lucrèce Sassella Réalisation : Romain Redon Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Si l'on entend par “italique” la typographie inclinée que l'on utilise aujourd'hui pour souligner un mot, l'invention naît à Venise, autour de 1500, chez l'imprimeur humaniste Alde Manuce (Aldus Manutius) et son graveur de poinçons, Francesco Griffo (dit “de Bologne”). Leur objectif est double : imiter la belle cursive humaniste alors en vogue dans les chancelleries italiennes, et réduire l'encombrement des pages pour éditer des “livres de poche” bon marché. En 1501, l'italique de Griffo fait ses débuts dans l'édition aldine des “Œuvres de Virgile” au format in-octavo. À la différence de notre usage moderne, l'italique ne sert pas d'abord à l'emphase : il compose tout le texte. On gagne de la place – les lettres sont plus étroites, plus “liées” – et le lecteur retrouve le rythme manuscrit prisé par les lettrés.Mais cette italique imprimée n'est pas née ex nihilo. Elle s'inspire d'une écriture manuscrite italienne du XVe siècle : la cancellaresca corsiva (la “chancelière”), une cursive élégante utilisée par les secrétaires et copistes des cours princières et de la Chancellerie pontificale. Parmi ses artisans, le lettré florentin Niccolò de' Niccoli (†1437) popularise une cursive humaniste rapide et inclinée ; plus tard, des maîtres-écrivains la codifient. Au XVIe siècle, Ludovico degli Arrighi publie à Rome (1522) La Operina, premier manuel imprimé pour apprendre la chancelière ; Giovanni Antonio Tagliente (1524) et Giovan Battista Palatino (1540) diffusent à leur tour des modèles. Autrement dit : la main (l'écriture manuscrite) précède la fonte (le caractère), et l'atelier aldine “fige” cet idéal calligraphique en métal.Après Manuce et Griffo, l'italique se répand partout en Europe. À Paris et Lyon, Claude Garamond et Robert Granjon taillent des italiques qui deviendront des canons stylistiques. Peu à peu, l'usage se transforme : au lieu de composer des livres entiers en italique, les imprimeurs associent un “romain” droit pour le corps du texte et une italique pour des valeurs sémantiques nouvelles : mots étrangers, titres d'œuvres, voix intérieure, emphase. Au XVIIe siècle, cette répartition devient la norme occidentale.Alors, qui l'a inventée ? Pour la typographie italique, la paternité revient à Alde Manuce et Francesco Griffo (Venise, 1501). Pour l'écriture italique manuscrite qui l'inspire, il faut saluer la tradition humaniste italienne : Niccolò de' Niccoli comme initiateur, puis les maîtres-écrivains Arrighi, Tagliente et Palatino, qui en fixent les règles. L'italique moderne est donc une passerelle : de la plume du scribe au poinçon du graveur, puis à nos claviers — une invention à la fois pratique, esthétique et résolument italienne. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:20:31 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Au son des chants des gondoliers de Venise, des roucoulades de pigeons, des touristes de la place Saint-Marc, des tarentelles au bord du Grand Canal, et des soupirs du Pont des... Soupirs : voyage dans la belle Sérénissime. - réalisation : Virginie Mourthé
durée : 00:19:53 - Disques de légende du vendredi 03 octobre 2025 - Victor Hugo a inspiré l'un des plus fameux opéras de Giuseppe Verdi, "Ernani", créé en 1844 à la Fenice de Venise, soit 14 ans après sa pièce de théâtre quasi-éponyme, "Hernani", qui fit scandale à l'époque. En voici quelques extraits dans une version dirigée par Thomas Schippers en 1967. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Au XVIIIᵉ siècle, Venise est la capitale de la fête, du mystère et des intrigues. Ses bals masqués et ses salons mondains attirent l'Europe entière. Parmi les multiples accessoires de cette société raffinée, un objet insolite se distingue : la moretta, un masque destiné aux femmes, qui a la particularité de les condamner… au silence.La moretta est un petit masque ovale, généralement en velours noir, qui recouvre entièrement le visage. Contrairement aux autres masques vénitiens, elle ne s'attache pas avec un ruban. Pour la maintenir, la femme devait serrer entre ses dents un bouton ou un petit bâtonnet placé à l'intérieur. Résultat : impossible de parler sans faire tomber le masque. Par essence, la moretta réduisait donc celle qui la portait au rôle d'observatrice muette.Mais pourquoi un tel objet a-t-il vu le jour ? L'usage de la moretta n'était pas seulement esthétique. Dans les salons et les fêtes, elle donnait aux femmes un air de mystère, de retenue, accentuant le pouvoir de séduction par l'absence de parole. Le silence forcé devenait un langage en soi, laissant place aux regards, aux gestes, aux attitudes. Elle protégeait aussi l'anonymat, permettant de circuler dans la haute société sans révéler son identité.Pourtant, cette fonction séductrice avait un revers. La moretta illustre aussi le statut des femmes dans la société vénitienne de l'époque : tenues d'être belles, intrigantes, mais surtout discrètes. En leur interdisant de parler, le masque les réduisait à un rôle d'apparence, d'énigme silencieuse, dans un univers dominé par les hommes.L'objet fascina les observateurs étrangers. Dans ses récits, Jean-Jacques Rousseau mentionne ces « femmes muettes » cachées derrière un masque noir, mystérieuses et frustrantes à la fois. Des gravures du XVIIIᵉ siècle montrent la moretta comme un accessoire à la mode, adopté par les dames de la noblesse, mais aussi par certaines courtisanes qui s'en servaient pour intriguer davantage.Avec le déclin de la République de Venise à la fin du XVIIIᵉ siècle et la fin progressive des grandes mascarades, la moretta disparaît peu à peu des usages. Elle reste toutefois dans l'histoire comme un symbole à double face : un accessoire de séduction raffiné, mais aussi un outil qui matérialisait la mise au silence des femmes dans une société hiérarchisée et codifiée.Aujourd'hui, on retrouve des morette dans les musées ou lors des reconstitutions du carnaval de Venise. Elles rappellent à quel point un simple masque peut révéler, mieux que de longs discours, les rapports de pouvoir d'une époque. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Comment se forge-t-on une conscience politique ? Par le hasard des rencontres ? Par expérience personnelle ? Ou par transmission familiale ? Le film de la semaine est un récit d'initiation, le portrait d'un jeune homme à peine sorti de l'adolescence dont les yeux vont se dessiller à mesure qu'il va s'intéresser aux circonstances de la mort de son père et découvrir les injustices qui ravagent son pays : Madagascar. Kwame a 20 ans et tente de gagner sa vie dans les mines clandestines de saphir jusqu'à ce qu'un événement tragique le pousse à retourner dans sa ville de Tamatave. Ainsi commence Disco Afrika, Une histoire malgache, le premier long métrage de Luck Razanajoana qui montre comment Kwame va progressivement passer d'un individualisme de survie à la découverte d'un esprit collectif pour que s'améliore la situation de son pays, rongé par la corruption. À l'affiche de notre cinéma également ce samedi, le film primé à la Mostra de Venise : la Voix de Hind Rajab, de Kaouther ben Hania, qui fait un tabac lors d'avant-premières en Tunisie. Et nous reviendrons, bien sûr, sur la mort de Claudia Cardinale dans le journal d'Elisabeth Lequeret. Musiques : Gasoline de Obongjayrar (Playlist Rfi) et Beckett de Nesles.
L'écrivain a cultivé le voyage immobile, l'itinérance imaginaire, et les pérégrinations en soi et hors de soi. Mais bien que casanier, il a aussi exploré quelques territoires Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous sommes le 20 octobre 1942, à New York, à Manhattan, au numéro 30 de la 57e rue. C'est à cette adresse que Peggy Guggenheim ouvre sa galerie d'art. Elle l'appelle « Art of this Century » (L'Art de ce siècle). Pour sa première exposition, elle présente Paul Klee, l'artiste d'origine allemande, naturalisé suisse, mort deux ans plus tôt, qui sera reconnu comme l'un des artistes majeurs de la première moitié du XXe siècle. C'est un événement artistique et mondain que cette inauguration. La presse rapporte : « Les éclairages rendaient les gens complètement fous. Une foule imposante arpentait les lieux (...) poussant, généralement en français, de grands cris d'admiration. On s'extasiait surtout devant la mise en scène de Kiesler le décorateur, et on regardait peu les tableaux. » A l'occasion d'une deuxième exhibition consacrée, notamment, à Marcel Duchamp, un journaliste du « Time » évoque les artistes surréalistes exilés aux Etats-Unis et écrit : « Elle fait pratiquement vivre le groupe en achetant ses toiles. » « Nous nous devons de comprendre l'art de notre temps : c'est un devoir moral », déclarera Peggy Guggenheim qui, avec le temps et les moyens financiers dont elle disposait, s'était lancé comme défi d'acheter une œuvre par jour. La mécène et collectionneuse américaine a joué un rôle crucial dans l'histoire de l'art du vingtième siècle. Ses collections racontent les soubresauts politiques, sociaux et économiques des deux côtés de l'Atlantique, durant trois décennies. Avec nous : Anne Hustache, historienne de l'art. A lire : « Peggy Guggenheim, Ma Vie, mes folies » Ed. Perrin. A voir : Fondation Guggenheim, Venise Sujets traités : Peggy Guggenheim, Manhattan, Paul Klee, Marcel Duchamp, collections, peinture, Venise Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Imaginez une grande table au XVIᵉ siècle. Des mets somptueux, des coupes de vin, des convives élégants… mais pas de fourchette. Oui, vous m'avez bien entendu. On mange avec les doigts, parfois avec un couteau, mais cet ustensile si familier aujourd'hui est encore absent des tables françaises.Alors, comment la fourchette a-t-elle fait son entrée dans notre pays ? Et surtout, quel roi, un peu excentrique, a osé imposer cet objet qui allait transformer nos repas ?Une invention venue de loinLa fourchette n'est pas née en France. Elle apparaît dès le XIᵉ siècle dans l'Empire byzantin. À Constantinople, les aristocrates l'utilisent pour éviter de se salir les doigts en goûtant des plats délicats. L'Italie, toujours proche des échanges méditerranéens, adopte plus tôt cet ustensile, qui se glisse dans les cours princières de Venise et de Florence.Mais en France ? Rien. L'idée choque. Manger sans toucher la nourriture ? Inconcevable ! La fourchette est jugée inutile, artificielle, voire ridicule.L'arrivée à la cour de FranceC'est finalement au XVIᵉ siècle que la France découvre la fourchette. Et l'homme qui la fait entrer dans les usages de la cour, c'est… Henri III.Roi élégant, raffiné, souvent critiqué pour ses manières jugées trop efféminées par ses contemporains, Henri III est séduit par la mode italienne. Lors d'un séjour à Venise, il découvre cet étrange ustensile à deux dents. Fasciné, il décide de l'adopter et de l'imposer à sa table en France.Un roi moqué, mais en avance sur son tempsLe choix ne passe pas inaperçu. Les chroniqueurs rapportent que certains courtisans se moquent ouvertement de lui. Pour beaucoup, la fourchette est le signe d'un raffinement excessif, presque d'une faiblesse. Pourquoi se compliquer la vie avec un objet de métal alors que les doigts suffisent depuis toujours ?Mais Henri III persiste. Par goût du raffinement, mais aussi par souci d'hygiène : ne pas plonger ses mains dans la nourriture est, après tout, plus propre. Peu à peu, certains nobles imitent le roi, par snobisme autant que par curiosité.Une lente conquêteLa diffusion reste cependant très lente. Il faudra encore plus d'un siècle avant que la fourchette ne s'impose vraiment en France, sous Louis XIV, dans une cour où l'art de la table devient un véritable spectacle.Mais Henri III restera celui qui a osé franchir le pas, introduisant en France un petit objet qui allait changer notre rapport à la nourriture.ConclusionAlors, la prochaine fois que vous tiendrez une fourchette, pensez à ce roi mal-aimé, au style un peu extravagant, qui a su imposer, contre vents et moqueries, l'un des symboles les plus universels de la table moderne. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:04:34 - La planète des sciences - par : Daniel FIEVET - Au sommaire de "la planète des sciences" : une enquête sur les origines du lion de la place Saint-Marc, une reine fourmi capable de donner naissance à deux espèces différentes et de potentielles traces de vie décelées sur la planète Mars... Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Imaginez une grande table au XVIᵉ siècle. Des mets somptueux, des coupes de vin, des convives élégants… mais pas de fourchette. Oui, vous m'avez bien entendu. On mange avec les doigts, parfois avec un couteau, mais cet ustensile si familier aujourd'hui est encore absent des tables françaises.Alors, comment la fourchette a-t-elle fait son entrée dans notre pays ? Et surtout, quel roi, un peu excentrique, a osé imposer cet objet qui allait transformer nos repas ?Une invention venue de loinLa fourchette n'est pas née en France. Elle apparaît dès le XIᵉ siècle dans l'Empire byzantin. À Constantinople, les aristocrates l'utilisent pour éviter de se salir les doigts en goûtant des plats délicats. L'Italie, toujours proche des échanges méditerranéens, adopte plus tôt cet ustensile, qui se glisse dans les cours princières de Venise et de Florence.Mais en France ? Rien. L'idée choque. Manger sans toucher la nourriture ? Inconcevable ! La fourchette est jugée inutile, artificielle, voire ridicule.L'arrivée à la cour de FranceC'est finalement au XVIᵉ siècle que la France découvre la fourchette. Et l'homme qui la fait entrer dans les usages de la cour, c'est… Henri III.Roi élégant, raffiné, souvent critiqué pour ses manières jugées trop efféminées par ses contemporains, Henri III est séduit par la mode italienne. Lors d'un séjour à Venise, il découvre cet étrange ustensile à deux dents. Fasciné, il décide de l'adopter et de l'imposer à sa table en France.Un roi moqué, mais en avance sur son tempsLe choix ne passe pas inaperçu. Les chroniqueurs rapportent que certains courtisans se moquent ouvertement de lui. Pour beaucoup, la fourchette est le signe d'un raffinement excessif, presque d'une faiblesse. Pourquoi se compliquer la vie avec un objet de métal alors que les doigts suffisent depuis toujours ?Mais Henri III persiste. Par goût du raffinement, mais aussi par souci d'hygiène : ne pas plonger ses mains dans la nourriture est, après tout, plus propre. Peu à peu, certains nobles imitent le roi, par snobisme autant que par curiosité.Une lente conquêteLa diffusion reste cependant très lente. Il faudra encore plus d'un siècle avant que la fourchette ne s'impose vraiment en France, sous Louis XIV, dans une cour où l'art de la table devient un véritable spectacle.Mais Henri III restera celui qui a osé franchir le pas, introduisant en France un petit objet qui allait changer notre rapport à la nourriture.ConclusionAlors, la prochaine fois que vous tiendrez une fourchette, pensez à ce roi mal-aimé, au style un peu extravagant, qui a su imposer, contre vents et moqueries, l'un des symboles les plus universels de la table moderne. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:12:08 - Le Disque classique du jour du lundi 08 septembre 2025 - Écrite pour la célébration à Venise des noces de Louis XV et de Marie Leszczynska, La Gloria e Imeneo de Vivaldi offre une synthèse merveilleuse du style vivaldien au milieu des années 1720, que défendent ici les voix de Teresa Iervolino et Carlo Vistoli. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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durée : 00:14:40 - L'invité d'un jour dans le monde - « The Voice of Hind Rajab », le film choc sur Gaza qui a bouleversé les festivaliers, « le Mage du Kremlin » et le complotisme qui nous entoure, « A House of Dynamite » et la peur du nucléaire qui nous menace ... Quand la Mostra regarde le monde Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:38:39 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - De l'Ukraine à Gaza en passant par l'Amérique sans quitter une salle de cinéma, la Mostra de Venise, qui se poursuit jusqu'à samedi, nous montre toutes les palettes désespérantes du monde, mais de belle manière. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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Dans cette édition :Retour sur l'interview Premier ministre François Bayrou, diffusée en exclusivité sur Europe 1, où il a défendu son budget et appelé à un vote de confiance décisif pour l'avenir du pays.Réactions des partis d'opposition, notamment du Parti Socialiste qui a annoncé ne pas voter la confiance.Dégradations antisémites sur des monuments mémoriaux à Lyon et Montluc, suscitant indignation et appels à la sécurité de la communauté juive.Mobilisation pro-palestinienne au Festival de Venise, avec des manifestations et des marques de soutien sur le tapis rouge.Rebondissements dans l'affaire du petit Grégory, avec la possible mise en examen de sa grande tante Jacqueline Jacob.Report de la rentrée scolaire dans les Bouches-du-Rhône en raison des risques d'orages et d'inondations.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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