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Frédéric LE MOAL, historien, professeur au lycée militaire de Saint-Cyr, à l'IRCOM. Auteur de Pie XII, un pape face au mal (Perrin)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les Églises et la Shoah - Mémorial de la ShoahDès le début des années 1920, le succès des Protocoles des Sages de Sion encourage la formation de réseaux antisémites à l'échelle mondiale, bien avant leur reprise par le fascisme et le nazisme. En montrant la participation active de groupes catholiques et de figures ecclésiastiques dans cette internationale antisémite, Nina Valbousquet met au jour un aspect méconnu de cette histoire. Croisant des archives inédites, françaises, italiennes et vaticanes, l'historienne reconstruit le réseau mené secrètement par Mgr Umberto Benigni, proche du pape Pie X, journaliste et professeur, traducteur des Protocoles, reconverti en espion fasciste pour le régime de Mussolini.Véritable plongée dans les milieux du catholicisme intégral, du clérico-fascisme et de l'extrême droite nationaliste de l'entre-deux-guerres, cet ouvrage propose une galerie de portraits?: des militants de l'Action française aux nationalistes roumains, en passant par les Russes anticommunistes exilés entre New York, Londres, Copenhague, Rome et Berlin. Nina Valbousquet démontre que, loin de se limiter à la tradition antijuive chrétienne, l'antisémitisme de ces milieux catholiques fait feu de tout bois, amalgamant antilibéralisme, antisionisme, croisade anticommuniste et racisme.Un éclairage indispensable à l'heure de l'ouverture des archives de Pie XII pour la période de la ShoahDoctorante en histoire, Nina Valbousquet a été distinguée pour son projet de thèse "Les réseaux transnationaux de l'antisémitisme catholique (France, Italie, 1913-1934)", mené sous la direction de Marc Lazar, professeur d'histoire à Sciences Po, Directeur du Centre d'histoire de Sciences Po et Marie-Anne Matard-Bonucci, professeure d'histoire à Paris 8.Egalement agrégée d'histoire, elle participe au programme d'échange avec Columbia University (Columbia University, Department of History: PhD Exchange Student (2015-2016), and Alliance Doctoral Mobility Grant Recipient.
À l'occasion du 80è anniversaire de la libération du camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz-Birkenau le 27 janvier 2025, Religions du Monde vous propose de réécouter l'épisode consacré au silence du Vatican pendant la Seconde Guerre Mondiale. Le Vatican a ouvert en 2020 les archives du pontificat de Pie XII – Eugenio Pacelli - (souverain pontife de 1939 à 1958), très contesté pour son silence face à la Shoah, l'extermination des Juifs, pendant la Seconde Guerre Mondiale. Cet accès aux archives « secrètes du Vatican » pour la période 1939-1958, autorisée en 2019 par le pape François, a constitué un événement majeur pour nombre d'historiens qui ont pu avoir accès à des millions de documents relatifs au pontificat de Pie XII qui traverse la période de la Seconde Guerre Mondiale, les débuts de la guerre froide et les mouvements de décolonisation.L'historienne Nina Valbousquet s'est plongée pendant plus de trois ans dans des milliers de documents, pour les décrypter, les croiser, en se concentrant sur la période la plus sombre, celle de l'attitude du Vatican face au nazisme et plus largement envers les Juifs.À quels dilemmes le Vatican a-t-il été confronté ? Pourquoi ce silence et cette ambivalence entre charité et préjugés antisémites multiséculaires ?Ancienne membre de l'École française de Rome, l'historienne qui fréquente les archives du Vatican depuis 2012 a publié en 2024 « Les âmes tièdes. Le Vatican face à la Shoah », aux éditions La Découverte, un ouvrage issu de ses années de recherches qui donne un éclairage sur les enjeux religieux, politiques, culturels, humanitaires du Vatican pendant cette période.Invitée : Nina Valbousquet, historienne, ancienne membre de l'École française de Rome, auteure de : « Les âmes tièdes. Le Vatican face à la Shoah », (éd. La Découverte, 2024) ; Catholique et antisémite. Le réseau de Mgr Benigni. Rome, Europe, États-Unis, 1918-1934 (CNRS Éditions, Paris, 2020).A dirigé « Le Vatican, l'Église catholique et la Shoah » (Revue d'histoire de la Shoah, n° 218, octobre 2023) Chercheuse associée au Centre de Recherche Français à Jérusalem (CRFJ) Commissaire scientifique de l'exposition « Á la grâce de Dieu, les Églises face à la Shoah » présentée du 17 juin 2022 au 26 février 2023 au Mémorial de la Shoah à Paris.
À l'occasion du 80è anniversaire de la libération du camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz-Birkenau le 27 janvier 2025, Religions du Monde vous propose de réécouter l'épisode consacré au silence du Vatican pendant la Seconde Guerre Mondiale. Le Vatican a ouvert en 2020 les archives du pontificat de Pie XII – Eugenio Pacelli - (souverain pontife de 1939 à 1958), très contesté pour son silence face à la Shoah, l'extermination des Juifs, pendant la Seconde Guerre Mondiale. Cet accès aux archives « secrètes du Vatican » pour la période 1939-1958, autorisée en 2019 par le pape François, a constitué un événement majeur pour nombre d'historiens qui ont pu avoir accès à des millions de documents relatifs au pontificat de Pie XII qui traverse la période de la Seconde Guerre Mondiale, les débuts de la guerre froide et les mouvements de décolonisation.L'historienne Nina Valbousquet s'est plongée pendant plus de trois ans dans des milliers de documents, pour les décrypter, les croiser, en se concentrant sur la période la plus sombre, celle de l'attitude du Vatican face au nazisme et plus largement envers les Juifs.À quels dilemmes le Vatican a-t-il été confronté ? Pourquoi ce silence et cette ambivalence entre charité et préjugés antisémites multiséculaires ?Ancienne membre de l'École française de Rome, l'historienne qui fréquente les archives du Vatican depuis 2012 a publié en 2024 « Les âmes tièdes. Le Vatican face à la Shoah », aux éditions La Découverte, un ouvrage issu de ses années de recherches qui donne un éclairage sur les enjeux religieux, politiques, culturels, humanitaires du Vatican pendant cette période.Invitée : Nina Valbousquet, historienne, ancienne membre de l'École française de Rome, auteure de : « Les âmes tièdes. Le Vatican face à la Shoah », (éd. La Découverte, 2024) ; Catholique et antisémite. Le réseau de Mgr Benigni. Rome, Europe, États-Unis, 1918-1934 (CNRS Éditions, Paris, 2020).A dirigé « Le Vatican, l'Église catholique et la Shoah » (Revue d'histoire de la Shoah, n° 218, octobre 2023) Chercheuse associée au Centre de Recherche Français à Jérusalem (CRFJ) Commissaire scientifique de l'exposition « Á la grâce de Dieu, les Églises face à la Shoah » présentée du 17 juin 2022 au 26 février 2023 au Mémorial de la Shoah à Paris.
Faites un don et recevez un cadeau : http://don.storiavoce.com/ Le 2 mars 2020, le Vatican annonçait l'ouverture des archives du pape Pie XII. Alors que celles de la secrétairerie d'État étaient accessibles en ligne depuis plusieurs années, l'ouverture des papiers "Pie XII" allait permettre à tous les historiens de renouveler leur regard sur l'un des règnes les plus controversés de l'histoire contemporaine. D'origine romaine, Eugenio Pacelli est élu pape en 1939, au seuil de la Seconde Guerre mondiale. Ses silences sur la Shoah sont ainsi considérés comme une faute à la fois morale et politique. Quelle a été la place de la Grande Guerre sur les perceptions du futur Pie XII ? Quel a été son rôle diplomatique à Munich puis à Berlin ? Comment a-t-il participé à l'élaboration de l'encyclique Mit Brennender Sorge (1937) condamnant le nazisme, sous le pontificat de Pie XI ? Pourquoi, enfin, ces silences : étaient-ils délibérés ? Finalement, Pie XII était-il fait pour gouverner dans ce moment si particulier de l'histoire, et a-t-il été à la hauteur de cet événement inouï ? Notre invité : Frédéric Le Moal est historien, spécialiste du fascisme (Histoire du fascisme, Victor-Emmanuel III. Roi d'Italie), professeur au lycée militaire de Saint-Cyr-l'École. Il vient de publier Pie XII. Le pape face au mal (Perrin, 432 p., 25 €). *** Facebook : https://www.facebook.com/HistoireEtCivilisationsMag Instagram : https://www.instagram.com/histoireetcivilisations/ Twitter : https://twitter.com/Storiavoce
Le Vatican a ouvert en 2020 les archives du pontificat de Pie XII – Eugenio Pacelli – (souverain pontife de 1939 à 1958), très contesté pour son silence face à la Shoah, l'extermination des Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. Cet accès aux archives « secrètes du Vatican » pour la période 1939-1958, autorisée en 2019 par le pape François, a constitué un événement majeur pour nombre d'historiens qui ont pu avoir accès à des millions de documents relatifs au pontificat de Pie XII qui traverse la période de la Seconde Guerre mondiale, les débuts de la guerre froide et les mouvements de décolonisation.L'historienne Nina Valbousquet s'est plongée pendant plus de trois ans dans des milliers de documents, pour les décrypter, les croiser, en se concentrant sur la période la plus sombre, celle de l'attitude du Vatican face au nazisme et plus largement envers les Juifs.À quels dilemmes le Vatican a-t-il été confronté ? Pourquoi ce silence et cette ambivalence entre charité et préjugés antisémites multiséculaires ?Ancienne membre de l'École française de Rome, l'historienne qui fréquente les archives du Vatican depuis 2012 a publié cette année Les âmes tièdes. Le Vatican face à la Shoah, aux éditions La Découverte, un ouvrage issu de ses années de recherches qui donne un éclairage sur les enjeux religieux, politiques, culturels, humanitaires du Vatican pendant cette période.Invitée : Nina Valbousquet, historienne, ancienne membre de l'École française de Rome, chercheuse associée au Centre de recherche français à Jérusalem (CRFJ).Autrice de Les âmes tièdes. Le Vatican face à la Shoah (éd. La Découverte, 2024) ; Catholique et antisémite. Le réseau de Mgr Benigni. Rome, Europe, États-Unis, 1918-1934 (CNRS Éditions, Paris, 2020)À dirigé Le Vatican, l'Église catholique et la Shoah (Revue d'histoire de la Shoah, n°218, octobre 2023).Commissaire scientifique de l'exposition À la grâce de Dieu, les Églises face à la Shoah, présentée du 17 juin 2022 au 26 février 2023 au Mémorial de la Shoah à Paris.
Le Vatican a ouvert en 2020 les archives du pontificat de Pie XII – Eugenio Pacelli – (souverain pontife de 1939 à 1958), très contesté pour son silence face à la Shoah, l'extermination des Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. Cet accès aux archives « secrètes du Vatican » pour la période 1939-1958, autorisée en 2019 par le pape François, a constitué un événement majeur pour nombre d'historiens qui ont pu avoir accès à des millions de documents relatifs au pontificat de Pie XII qui traverse la période de la Seconde Guerre mondiale, les débuts de la guerre froide et les mouvements de décolonisation.L'historienne Nina Valbousquet s'est plongée pendant plus de trois ans dans des milliers de documents, pour les décrypter, les croiser, en se concentrant sur la période la plus sombre, celle de l'attitude du Vatican face au nazisme et plus largement envers les Juifs.À quels dilemmes le Vatican a-t-il été confronté ? Pourquoi ce silence et cette ambivalence entre charité et préjugés antisémites multiséculaires ?Ancienne membre de l'École française de Rome, l'historienne qui fréquente les archives du Vatican depuis 2012 a publié cette année Les âmes tièdes. Le Vatican face à la Shoah, aux éditions La Découverte, un ouvrage issu de ses années de recherches qui donne un éclairage sur les enjeux religieux, politiques, culturels, humanitaires du Vatican pendant cette période.Invitée : Nina Valbousquet, historienne, ancienne membre de l'École française de Rome, chercheuse associée au Centre de recherche français à Jérusalem (CRFJ).Autrice de Les âmes tièdes. Le Vatican face à la Shoah (éd. La Découverte, 2024) ; Catholique et antisémite. Le réseau de Mgr Benigni. Rome, Europe, États-Unis, 1918-1934 (CNRS Éditions, Paris, 2020)À dirigé Le Vatican, l'Église catholique et la Shoah (Revue d'histoire de la Shoah, n°218, octobre 2023).Commissaire scientifique de l'exposition À la grâce de Dieu, les Églises face à la Shoah, présentée du 17 juin 2022 au 26 février 2023 au Mémorial de la Shoah à Paris.
Nina Valbousquet donnera conférence demain (4 juillet) à Tel Aviv, sur l'implication du Vatican dans la Shoah. Après l'ouverture, très tardive, des archives de la période, elle recherche les raisons du double jeu du Vatican, et celles qui empêchent encore aujourd'hui a Pie XII d'être canonisé. Au micro de Yael Bornstein.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Avec Franck Béthouart
L'invitée : Nina Valbousquet, historienne Le livre : Les âmes tièdes. Le Vatican face à la Shoah, Paris, La découverte, 2024. La discussion : Les archives du Vatican nouvellement accessibles (2:00) Dépasser la focalisation sur la personne du pape Pie XII (10:30) La passivité du Vatican et ses raisons (17:00) Le Vatican face aux protestations des prélats français … Continue reading "342. La passivité du Vatican face à la Shoah, avec Nina Valbousquet"
Podcast Méditer l'Évangile, le Psaume ou la Lecture du jour en audio ¦ Prie en chemin
Aujourd'hui nous sommes le samedi 8 juin, et nous fêtons le Cœur immaculé de la bienheureuse Vierge Marie.En 1942, au plus noir de la seconde guerre mondiale, Pie XII a consacré le monde au Cœur immaculé de Marie, comme un ultime recours offert, au cœur de la souffrance : que, dans la nuit du monde, il nous soit donné d'accueillir dans notre cœur, comme Marie, la présence... Chaque jour, retrouvez 12 minutes une méditation guidée pour prier avec un texte de la messe ! A retrouver sur l'application et le site www.prieenchemin.org. Musiques : La première en chemin de Sr Marie-Colette Guédon/Georges Lefebvre interprété par Isabelle Gaboriau - 49 chants pour vivre le Carême 2015 © ADF-Bayard Musique ; Sarabande Adagio de Sylvius Leopold Weiss interprété par Mauricio Buraglia - Les Plaintes de Psyche © Creative Commons by-nc-sa license from Magnatunes.
Il existe dans l'univers du paranormal de nombreuses rumeurs à propos de «machines à explorer le temps». L'une d'elles a été baptisée le Chronoviseur. À en croire la légende, cet appareil aurait été mis au point par des ecclésiastiques travaillant sur ordre du pape Pie XII. Ces religieux ― les pères Agostino Gemelli et Pellegrino Ernetti ― auraient développé un appareil semblable à un téléviseur sur lequel il était possible de regarder en direct les grands événements du passé : de la crucifixion du Christ au suicide d'Hitler. Tombé entre de mauvaises mains, le Chronoviseur aurait pu devenir une arme contre «le monde libre». C'est pourquoi, au lendemain des premiers essaies, le souverain pontife aurait ordonné son démantèlement. Les composantes du Chronoviseur seraient toujours conservées dans quelque réserve secrète du Vatican. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee/fr/ pour notre politique de vie privée
Voyage, voyage ce mois-ci, sous la conduite de Jean-Marie Guénois. François Vayne nous emmène à Rome sur les traces d'un mystère peu connu ici : une apparition à Tre Fontane qui décida Pie XII à proclamer sans attendre le dogme de l'Assomption. « La Vierge de l'Apocalypse », chez Artège, est le fruit d'une enquête menée partir d'archives inédites consultées au Dicastère pour la Doctrine de la foi, au Vatican. Avec Simon Berger, nous parcourons l'Auvergne inspirée ; au gré des marches et des rencontres, surgissent la lave et la pierre des volcans, les églises à découvrir, la musique baroque, Pascal ou Pierre le Vénérable, Max Jacob, et des êtres singuliers habités par le génie de cette terre sacrée (« Les Volcaniques », chez DDB). Avec Emmanuel Tourpe, c'est l'Église toute entière que nous visiterons. Dans un contexte de débats internes à l'Église extrêmement violents, de haines entre catholiques sur les réseaux sociaux, l'auteur rappelle que l'amour seul est digne de foi. Sur les pas de grands spécialistes de la Bible, et surtout de saint Jean, saint Augustin ou du père Perrin, il montre à quel point nous embrouillons tout lorsqu'il s'agit de l'amour (« A l'amour que vous aurez les uns pour les autres...Le dernier mot de Dieu » chez Artège). Une coproduction Le Jour du Seigneur/ La Procure / KTO.
Atteint pendant 68 ans de hoquet chronique, Charles Osborne est le détenteur du record mondial de la plus longue crise de hoquet répertoriée, ce qui ne l'a pas empêché de vivre jusqu'à ses 96 ans et d'avoir 8 enfants. Le pape Pie XII, lui aussi, a connu des épisodes de hoquet chronique, qui lui ont en revanche valu de frôler plusieurs fois la mort. Comment expliquer qu'un phénomène aussi banal que le hoquet puisse inquiéter ainsi ceux qui ne parviennent pas à s'en débarrasser ? La différence entre le hoquet classique et le hoquet chronique Le hoquet est un réflexe involontaire sur lequel nous n'avons pas de prise. Il s'agit en fait d'une contraction du diaphragme et des muscles situés entre les côtes, des suites de l'irritation du nerf phrénique, qui traverse le thorax de façon verticale. Sous le coup de cette contraction musculaire, la glotte présente à l'entrée de la gorge se referme et empêche la majorité de l'air de passer, produisant le son particulier que nous connaissons bien. L'utilité réelle du hoquet n'est pas établie. Ce réflexe pourrait servir à évacuer de l'air résiduel dans l'estomac. Il semble favorisé par l'ingestion rapide de nourriture, la prise de boissons gazeuses, le stress ou des conditions médicales spécifiques. La différence entre le hoquet normal et le hoquet pathologique réside surtout dans la fréquence de ces derniers. Alors qu'un hoquet classique se produit environ une dizaine de fois par minutes et disparait rapidement, un hoquet chronique peut se répéter plus de 50 fois par minute, et sa durée est supérieure à 48 heures. Le hoquet est dit réfractaire lorsqu'il se maintient pendant plus d'un mois. Les causes possibles du hoquet chronique Chez les nourrissons et les jeunes enfants, la présence d'un hoquet régulier n'est pas inquiétante. L'immaturité du système digestif et la petite taille de l'estomac peuvent stimuler le nerf phrénique tous les jours, sans que cela ne représente une source d'inquiétude si le hoquet ne perturbe pas les activités quotidiennes. En revanche, le hoquet chronique qui se manifeste la plupart du temps chez les personnes de plus de 50 ans résulte d'une cause pathologique, essentiellement digestive. Il s'agit d'un symptôme à considérer avec attention si les crises s'avèrent douloureuses ou qu'elles durent plusieurs jours. Le hoquet persistant peut être le signe d'un trouble gastro-intestinal, d'une irritation du nerf phrénique, mais aussi d'un trouble métabolique, d'une tumeur ou d'un trouble psychologique. Certaines infections comme la pneumonie ou la laryngite peuvent aussi affecter les nerfs du thorax et provoquer des hoquets inhabituels. Ils disparaissent dans ce cas spontanément à la guérison. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Atteint pendant 68 ans de hoquet chronique, Charles Osborne est le détenteur du record mondial de la plus longue crise de hoquet répertoriée, ce qui ne l'a pas empêché de vivre jusqu'à ses 96 ans et d'avoir 8 enfants. Le pape Pie XII, lui aussi, a connu des épisodes de hoquet chronique, qui lui ont en revanche valu de frôler plusieurs fois la mort. Comment expliquer qu'un phénomène aussi banal que le hoquet puisse inquiéter ainsi ceux qui ne parviennent pas à s'en débarrasser ?La différence entre le hoquet classique et le hoquet chroniqueLe hoquet est un réflexe involontaire sur lequel nous n'avons pas de prise. Il s'agit en fait d'une contraction du diaphragme et des muscles situés entre les côtes, des suites de l'irritation du nerf phrénique, qui traverse le thorax de façon verticale. Sous le coup de cette contraction musculaire, la glotte présente à l'entrée de la gorge se referme et empêche la majorité de l'air de passer, produisant le son particulier que nous connaissons bien.L'utilité réelle du hoquet n'est pas établie. Ce réflexe pourrait servir à évacuer de l'air résiduel dans l'estomac. Il semble favorisé par l'ingestion rapide de nourriture, la prise de boissons gazeuses, le stress ou des conditions médicales spécifiques.La différence entre le hoquet normal et le hoquet pathologique réside surtout dans la fréquence de ces derniers. Alors qu'un hoquet classique se produit environ une dizaine de fois par minutes et disparait rapidement, un hoquet chronique peut se répéter plus de 50 fois par minute, et sa durée est supérieure à 48 heures. Le hoquet est dit réfractaire lorsqu'il se maintient pendant plus d'un mois.Les causes possibles du hoquet chroniqueChez les nourrissons et les jeunes enfants, la présence d'un hoquet régulier n'est pas inquiétante. L'immaturité du système digestif et la petite taille de l'estomac peuvent stimuler le nerf phrénique tous les jours, sans que cela ne représente une source d'inquiétude si le hoquet ne perturbe pas les activités quotidiennes.En revanche, le hoquet chronique qui se manifeste la plupart du temps chez les personnes de plus de 50 ans résulte d'une cause pathologique, essentiellement digestive. Il s'agit d'un symptôme à considérer avec attention si les crises s'avèrent douloureuses ou qu'elles durent plusieurs jours. Le hoquet persistant peut être le signe d'un trouble gastro-intestinal, d'une irritation du nerf phrénique, mais aussi d'un trouble métabolique, d'une tumeur ou d'un trouble psychologique.Certaines infections comme la pneumonie ou la laryngite peuvent aussi affecter les nerfs du thorax et provoquer des hoquets inhabituels. Ils disparaissent dans ce cas spontanément à la guérison. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Gérard ARAUD, ambassadeur de France, préfacier de "Ma tragique ambassade (Vatican, 27 mai-1er novembre 1940" par Wladimir d'Ormesson (Tallandier)Philippe CHENAUX, historien, professeur d'histoire de l'Église moderne et contemporaine à l'université du Latran à Rome
Elles se prénomment Wanda, Lucetta, Tekla, Hermine, Pascalina. Ils s'appellent Pie XI, Pie XII, Jean-Paul II, François. Ils les admirent, les consultent, les protègent. Intellectuelles, fines diplomates ou muses spirituelles, elles relisent leur discours, inspirent leurs plus grands textes et déterminent certaines de leurs plus grandes décisions. Laïques ou religieuses, c'est au contact de ces femmes d'exception que les héritiers du trône de Pierre ont changé leur regard sur le « sexe faible », et défendu, chacun à leur manière, leur rôle indispensable au coeur de la société. Si ces femmes ont eu un accès privilégié au Vatican, elles ont toujours oeuvré en coulisses. Par souci de discrétion, par humilité, ou bien contre leur gré. Toutes, pourtant, ont dû affronter de véritables réticences de la part de la Curie romaine, jalouse de la confiance que leur accordait le Saint-Père.De Rome à Cuba, en passant par la Pologne, l'Allemagne et les États-Unis, une investigation surprenante, émouvante, et qui pose de manière originale la question de la place des femmes dans l'Église. Bénédicte Lutaud est journaliste et rédactrice en chef adjointe des matinales au Figaro.fr. Autrice du livre "Femmes de papes" aux éditions du Cerf (février 2021).
Dès le début du XXe siècle, certains prêtres s'engagent, à titre individuel, dans le monde du travail. Ces ecclésiastiques, et ceux qui les suivront, ressentent le besoin de partager, en travaillant à leurs côtés, les problèmes quotidiens des ouvriers. Il leur semble que c'est le meilleur moyen de mettre en pratique les valeurs évangéliques de partage et de fraternité, et de rester ainsi fidèles à l'esprit de leur mission sacerdotale. Ce travail en commun, avec les mineurs ou les dockers, leur paraît d'autant plus important que, durant la Seconde Guerre mondiale, un livre, promis à un grand retentissement, alerte sur la déchristianisation des milieux ouvriers. L'expérience commence, de manière officielle, dès 1942. Après la guerre, de nombreux prêtres-ouvriers travaillent en usine, dans les ports ou sur les chantiers. L'Église a autorisé le mouvement, mais du bout des lèvres. En effet, la hiérarchie catholique éprouve des réticences envers cette expérience des prêtres-ouvriers. En effet, elle leur paraît incompatible avec la neutralité que le prêtre, pasteur de l'ensemble de ses ouailles, doit conserver dans l'exercice de son ministère. Et, de fait, plusieurs prêtres-ouvriers s'engagent dans des syndicats ou même des partis politiques. Ils participent également à des manifestations et à des grèves. Aussi, en 1954, Pie XII encadre-t-il de manière plus stricte cette expérience, réduisant à trois heures quotidiennes le temps que le prêtre peut consacrer à son travail et lui interdisant tout engagement syndical. Attaché à une conception moins engagée du sacerdoce, Jean XXIII mettra même fin à l'expérience en 1959. Le Concile Vatican II, en 1965, change cependant la donne. À sa suite, Paul VI permet à nouveau le travail des prêtres. Ils sont désormais encadrés par la Mission ouvrière, qui regroupe les acteurs de l'évangélisation en milieu ouvrier. L'expérience est d'abord un succès, puisqu'on compte environ 800 prêtres-ouvriers au milieu des années 1970. Mais, par la suite, leur nombre décroît peu à peu. Selon certaines sources, ils seraient environ 300 en 2020, mais, la plupart étant en retraite, il n'en resterait qu'une quinzaine encore en activité. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Dès le début du XXe siècle, certains prêtres s'engagent, à titre individuel, dans le monde du travail. Ces ecclésiastiques, et ceux qui les suivront, ressentent le besoin de partager, en travaillant à leurs côtés, les problèmes quotidiens des ouvriers.Il leur semble que c'est le meilleur moyen de mettre en pratique les valeurs évangéliques de partage et de fraternité, et de rester ainsi fidèles à l'esprit de leur mission sacerdotale.Ce travail en commun, avec les mineurs ou les dockers, leur paraît d'autant plus important que, durant la Seconde Guerre mondiale, un livre, promis à un grand retentissement, alerte sur la déchristianisation des milieux ouvriers.L'expérience commence, de manière officielle, dès 1942. Après la guerre, de nombreux prêtres-ouvriers travaillent en usine, dans les ports ou sur les chantiers.L'Église a autorisé le mouvement, mais du bout des lèvres. En effet, la hiérarchie catholique éprouve des réticences envers cette expérience des prêtres-ouvriers.En effet, elle leur paraît incompatible avec la neutralité que le prêtre, pasteur de l'ensemble de ses ouailles, doit conserver dans l'exercice de son ministère. Et, de fait, plusieurs prêtres-ouvriers s'engagent dans des syndicats ou même des partis politiques.Ils participent également à des manifestations et à des grèves. Aussi, en 1954, Pie XII encadre-t-il de manière plus stricte cette expérience, réduisant à trois heures quotidiennes le temps que le prêtre peut consacrer à son travail et lui interdisant tout engagement syndical.Attaché à une conception moins engagée du sacerdoce, Jean XXIII mettra même fin à l'expérience en 1959.Le Concile Vatican II, en 1965, change cependant la donne. À sa suite, Paul VI permet à nouveau le travail des prêtres. Ils sont désormais encadrés par la Mission ouvrière, qui regroupe les acteurs de l'évangélisation en milieu ouvrier.L'expérience est d'abord un succès, puisqu'on compte environ 800 prêtres-ouvriers au milieu des années 1970. Mais, par la suite, leur nombre décroît peu à peu. Selon certaines sources, ils seraient environ 300 en 2020, mais, la plupart étant en retraite, il n'en resterait qu'une quinzaine encore en activité. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
D'abord de la fumée blanche qui s'échappe de la Chapelle Sixtine, ensuite une locution latine : « Habemus Papam ». Nous sommes le 2 mars 1939 sur la Place Saint-Pierre de Rome. Après trois tours de scrutins, les 62 cardinaux élisent le cardinal Eugenio Pacelli comme successeur de Pie XI décédé vingt jours plus tôt. Le favori du Pape défunt choisira le nom de Pie XII. Quelques mois avant le début de la Seconde guerre mondiale, le camerlingue et secrétaire d'état du Vatican prend la tête de l'église catholique à l'âge de 63 ans. Son pontificat durera 19 ans. Il sera décrié par certains dramaturges et observateurs. Son bilan sera dès lors contesté après sa mort. En cause, son rôle et son impartialité apparente pendant la guerre et la shoah. Mais voilà, depuis, les archives du Vatican ont été rendues publiques. Une aubaine pour les historiens. Pour « Parlons d'Histoire », les historiens Vincent Dujardin (UCLouvain), Jan De Volder (KULeuven) et Cécile Vanderpelen (ULB) se penchent sur le pape Pie XII face à la barbarie nazie. Qu'a-t-il fait pour secourir les victimes ? Que révèlent les archives du Vatican sur cette période sombre ? Comment expliquer le positionnement du Vatican face aux nazis ? Quel est le réel pouvoir politique du Pape face à un régime dictatorial ? Et sur quoi les historiens sont-ils en accord et en désaccord ?
Christophe Hondelatte raconte l'année 1958 en puisant dans les archives d'Europe 1. Cette année-là : Brigitte Bardot et Sacha Distel amoureux; Pie XII est mort, vive le nouveau pape; une catastrophe minière à Montceau les Mines; Europe n°1 lance un tour du monde en 98 jours et un maire et un curé qui s'écharpent pour une histoire de cloche.
Christophe Hondelatte raconte l'année 1958 en puisant dans les archives d'Europe 1. Cette année-là : Brigitte Bardot et Sacha Distel amoureux; Pie XII est mort, vive le nouveau pape; une catastrophe minière à Montceau les Mines; Europe n°1 lance un tour du monde en 98 jours et un maire et un curé qui s'écharpent pour une histoire de cloche.
Laurent Dandrieu, journaliste à Valeurs Actuelles et auteur de Église et immigration, le grand malaise : le pape et le suicide de la civilisation européenne, décrypte cette véritable théologie du migrant, jamais clairement exprimée en ces termes mais toujours sous-jacente dans le magister de l'Église sur le migrant depuis Pie XII (pape de 1939 à 1958). De Jean XXIII au pape François en passant par Jean-Paul II et Benoît XVI, Laurent Dandrieu montre que tous ont relayé cette absolutisation du droit à immigrer, au détriment de l'avis des pays d'accueil. L'immigration de masse est perçue comme un signe des temps inaugurant une nouvelle étape pour construire l'unité de la famille humaine. Et l'Église de se sentir pleinement investie de soutenir cette « préfiguration de la cité sans frontières de Dieu »… (les mots sont de Benoît XVI). Dans cette théologie, jamais explicite mais qui explique tout, le migrant est l'instrument de rédemption de l'humanité. Fort heureusement, certains résistent à cette colonisation de la théologie catholique par des idées étrangères, à l'image du cardinal Sarah, et pensent encore le catholicisme comme l'avenir des peuples et non leur destruction.
Né à berlin en 1903, Lajos Wohl vante les bienfaits de l'astrologie et c'est à ce titre qu'il se fait embaucher, durant la Seconde Guerre mondiale, par les services secrets britanniques.Avant cela, il entame une carrière d'écrivain, commencée très tôt. En effet, il écrit de nombreux romans, dont beaucoup seront adaptés au cinéma. On lui doit aussi une quinzaine de scénarios.Mais celui qui va se faire appeler Louis de Wohl rédige aussi des essais religieux. Il écrit ainsi une histoire assez réputée de l'Église catholique et des biographies de saint François d'Assise, Jeanne d'Arc ou encore Pie XII.Louis de Wohl fuit le nazisme et, en 1935, se réfugie en Angleterre. Il ne se fait pas seulement connaître comme un écrivain de renom, mais aussi comme un astrologue émérite.À tel point que ses talents vont être utilisés par le SOE, la branche des services secrets britanniques chargée des opérations de sabotage en Europe. Wohl est d'abord envoyé aux États-Unis, où il fait, en tant qu'astrologue, des conférences très suivies.Il y prétend qu'en examinant les conjonctions de planètes, il semble certain qu'une entrée en guerre des États-Unis avant le printemps 1942 entraînerait la défaite d'Hitler.Ce faisant, Louis de Wohl met ses talents au service de la propagande britannique visant à persuader les Américains d'entrer dans le conflit. Par ailleurs, il est convaincu qu'Hitler ne prend ses décisions qu'après avoir consulté un astrologue. D'après lui, en effet, il est facile de voir qu'il ne se décide que si certaines conjonctions de planètes sont réalisées.Il suffirait donc, à l'en croire, de faire les mêmes calculs que ses astrologues pour prévoir les réactions d'Hitler. Pourtant tout le monde n'est pas convaincu par les arguments de Wohl, à commencer par le M15, le service d'espionnage britannique.Pour lui, en effet, ce n'est ni plus ni moins qu'un charlatan. Il garde pourtant la confiance du SOE, qui l'emploie jusqu'à la fin de la guerre. Il a même droit à un appartement de fonction. Reprenant sa carrière d'écrivain, il meurt en 1961. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Né à berlin en 1903, Lajos Wohl vante les bienfaits de l'astrologie et c'est à ce titre qu'il se fait embaucher, durant la Seconde Guerre mondiale, par les services secrets britanniques. Avant cela, il entame une carrière d'écrivain, commencée très tôt. En effet, il écrit de nombreux romans, dont beaucoup seront adaptés au cinéma. On lui doit aussi une quinzaine de scénarios. Mais celui qui va se faire appeler Louis de Wohl rédige aussi des essais religieux. Il écrit ainsi une histoire assez réputée de l'Église catholique et des biographies de saint François d'Assise, Jeanne d'Arc ou encore Pie XII. Louis de Wohl fuit le nazisme et, en 1935, se réfugie en Angleterre. Il ne se fait pas seulement connaître comme un écrivain de renom, mais aussi comme un astrologue émérite. À tel point que ses talents vont être utilisés par le SOE, la branche des services secrets britanniques chargée des opérations de sabotage en Europe. Wohl est d'abord envoyé aux États-Unis, où il fait, en tant qu'astrologue, des conférences très suivies. Il y prétend qu'en examinant les conjonctions de planètes, il semble certain qu'une entrée en guerre des États-Unis avant le printemps 1942 entraînerait la défaite d'Hitler. Ce faisant, Louis de Wohl met ses talents au service de la propagande britannique visant à persuader les Américains d'entrer dans le conflit. Par ailleurs, il est convaincu qu'Hitler ne prend ses décisions qu'après avoir consulté un astrologue. D'après lui, en effet, il est facile de voir qu'il ne se décide que si certaines conjonctions de planètes sont réalisées. Il suffirait donc, à l'en croire, de faire les mêmes calculs que ses astrologues pour prévoir les réactions d'Hitler. Pourtant tout le monde n'est pas convaincu par les arguments de Wohl, à commencer par le M15, le service d'espionnage britannique. Pour lui, en effet, ce n'est ni plus ni moins qu'un charlatan. Il garde pourtant la confiance du SOE, qui l'emploie jusqu'à la fin de la guerre. Il a même droit à un appartement de fonction. Reprenant sa carrière d'écrivain, il meurt en 1961. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Cette semaine, La Foi prise au mot se consacre à un théologien dominicain aussi important pour son oeuvre que pour son action au sein de l'Église : le Père Yves Congar (1904 - 1995). Théologien connu et remuant, au caractère bien trempé, il est plusieurs fois condamné par l'Église de Pie XII, avant de connaître une influence importante au concile Vatican II. Il est ensuite de tous les combats ecclésiaux des années 1960 aux années 1980. Régis Burnet reçoit Étienne Fouilloux et Frédéric Gugelé.
Cette semaine, La Foi prise au mot se consacre à un théologien dominicain aussi important pour son oeuvre que pour son action au sein de l'Église : le Père Yves Congar (1904 - 1995). Théologien connu et remuant, au caractère bien trempé, il est plusieurs fois condamné par l'Église de Pie XII, avant de connaître une influence importante au concile Vatican II. Il est ensuite de tous les combats ecclésiaux des années 1960 aux années 1980. Régis Burnet reçoit Étienne Fouilloux et Frédéric Gugelé.
Écoutez la suite de l'histoire de Mère Teresa racontée par l'historienne Virginie Girod, dans un récit inédit en deux épisodes. En 1948, le pape Pie XII autorise celle qui s'appelle encore sœur Maria Térésa à quitter son ordre, une décision très rare, pour aller à la rencontre des plus pauvres. En Inde, elle décide de porter une nouvelle tenue qui symbolise trois valeurs au coeur de son engagement : la pauvreté, la chasteté et l'obéissance. Très vite, Mère Teresa est rejointe par des jeunes filles, des aspirantes au noviciat, qui veulent la rejoindre. Mais pour cela, le Saint-Siège ne transige pas : il faut créer un ordre en bonne et due forme, avec les règles qui vont avec. Et pendant ce temps-là, alors que l'appel de Dieu devrait être plus fort pour elle, Mère Teresa fait face à une forme de silence… Dans cet épisode du podcast "Au cœur de l'Histoire" produit par Europe 1 Studio, Virginie Girod poursuit son évocation du parcours d'une femme au destin hors du commun en Inde et au-delà. "Au cœur de l'histoire" est un podcast Europe 1 Studio.Ecriture et présentation : Virginie Girod - Production : Adèle Humbert - Direction artistique : Adèle Humbert et Julien Tharaud - Réalisation : Clément Ibrahim - Musique originale : Julien Tharaud - Musiques additionnelles : Julien Tharaud et Sébastien Guidis - Communication : Kelly Decroix - Diffusion et rédaction : Eloise Bertil - Visuel : Sidonie Mangin
Comment se sont comportées les Églises pendant les horreurs de la Seconde Guerre mondiale ? Alors que le régime nazi en Allemagne votait des lois de plus en plus antisémites et mettait en place la Solution finale, comment l'Église catholique et le Vatican avec le Pape Pie XII, l'Église protestante luthérienne et calviniste, et les Églises orthodoxes ont-elles réagi, à une époque où la population était bien plus liée aux institutions religieuses qu'elle ne l'est aujourd'hui ? « Entre préjugés antisémites, silences et protestations », comme le décrit l'exposition en cours jusqu'en janvier 2023 au Memorial de la Shoah à Paris. 80 ans après les rafles de l'été 1942 en France sous le régime de Vichy, l'exposition intitulée « À la grâce de Dieu, les Églises face à la Shoah » interpelle sur ces questions de façon nuancée, à la lumière de nombreux documents issus des archives du Vatican du pontificat de Pie XII de 1939 à 1958 qui ont été rendues accessibles aux chercheurs en 2020, et dont certains sont exposés pour la première fois au Mémorial de la Shoah. Intervenants : Nina Valbousquet, historienne à l'École Française de Rome, commissaire de l'exposition « À la grâce de Dieu, les Églises et la Shoah » Caroline François, co-commissaire de l'exposition, chargée des expositions itinérantes et temporaires au Mémorial de la Shoah Patrick Cabanel, directeur d'études à l'École Pratique des Hautes Études, spécialiste des protestantismes Mrg Eric de Moulins Beaufort, président de la conférence des évêques de France Haïm Korsia, Grand Rabbin de France Pierre-François Veil, président du Comité Français pour Yad Vashem. Une journée d'étude intitulée « 1942, les Églises face à la persécution des Juifs » a été organisée par la Fondation pour la Mémoire de la Shoah et le Collège des Bernardins, le 7 septembre 2022 à Paris. L'intégralité de cette rencontre est visible en ligne. Pour aller plus loin : « Une énigme française, pourquoi les trois quarts des Juifs de France n'ont pas été déportés », de Jacques Sémelin (éditions Albin Michel).
Conférence de Julien Langella sur la reconquête catholique et identitaire. INTRODUCTION0:10 Finalité politique et intellectuelle de cette conférence.0:58 Lutter contre l'immigration avec des arguments théologiques.3:00 Les trois objectifs de notre réflexion catholique et identitaire. L'HÉRÉSIE MONDIALISTE 4:19 Effondrement de « la digue catholique » anti-identitaire.6:43 « L'hérésie mondialiste », voilà l'ennemi commun.8:09 Le mondialisme est la conséquence naturelle du libéralisme.9:03 On ne peut pas être libéral et conservateur.10:11 Multiculturalisme, théorie du genre : même combat. COMBAT IDENTITAIRE ET RÉSISTANCE CATHOLIQUE12:08 « Identitaire » est un label fourre-tout.12:40 Qu'est-ce qu'un « identitaire » en politique ?15:54 Défendre notre identité, pas seulement la souveraineté.17:06 Le combat identitaire est une marche pour la vie.17:40 Les catholiques ne doivent pas être des flics de la braguette. LE CHRISTIANISME ET L'IDENTITÉ18:55 Être chrétien, c'est une identité.24:12 L'universalisme chrétien est uniquement spirituel.24:58 L'Incarnation et la théologie de la nation (Jean-Paul II).28:31 Le Christ nous enseigne la préférence nationale (Pie XII).31:30 La patrie et le patriotisme selon l'Église.38:30 La charité chrétienne et la parabole du bon Samaritain.45:10 L'Église, la notion de « race » et le racisme.48:15 La révolte religieuse et identitaire des Maccabées. ÉTAT DES LIEUX49:39 Les chiffres et les causes du grand remplacement.54:24 Papes et clercs qui admettent le grand remplacement.58:19 L'invasion par les urnes : le vote afro-musulman.59:08 L'Église a-t-elle un programme politique sur l'immigration ?1:00:00 Comment élaborer un regard catholique sur ces enjeux ?1:03:05 Religion du métissage et haine du Français de souche.1:05:03 Le vivre-ensemble n'existe pas : c'est le survivre-ensemble. QUE FAIRE ?1:05:29 Les politiques d'assimilation sont un fantasme.1:08:53 Rejeter les manipulations des faux prêcheurs d'espérance.1:09:20 La remigration : exemples, possibilités et difficultés.1:12:07 L'affrontement communautaire est inévitable.1:12:44 Le ré-enracinement identitaire nourrit la foi.1:13:34 Le rôle des catholiques dans la reconquête identitaire.1:14:43 La patrie n'est pas un musée, c'est un peuple vivant.1:15:06 Pour un sursaut d'amour. ------------------------------------------------------------------------- Textes mentionnés dans cette conférence : Christophe Guilluy, Fractures françaises (2013). Jean-Paul II, Mémoire et identité (2005). Dom Gérard, Demain la chrétienté (1986). Simone Weil, L'enracinement (1949). Pie XII, encyclique Sumi pontificatus (1939). Pie XI, encyclique Mit brenneder Sorge (1937). ------------------------------------------------------------------------- Julien Langella a 30 ans, militant depuis ses 18 ans (à l'Action Française puis aux Jeunesses Identitaires), co-fondateur de Génération Identitaire en 2011 et vice-président de l'association Academia Christiana qu'il a rejoint en 2013. Son deuxième livre s'intitule « Catholiques et identitaires. De la Manif pour tous à la reconquête. » Publié aux Éditions DMM. Disponible ici : http://www.chire.fr/A-207621-catholiq...
avec le père Landry Vedrenne, doctorant en relations internationales
Cet épisode, raconté par Marc Brunet, est présenté dans le CD Vénérable Pie XII disponible sur Diffusia.fr
Cet épisode de la vie de saint Jean-Paul II, raconté par Christian Morin, est présenté dans le CD éponyme disponible sur Diffusia.fr
Cet épisode, raconté par Marc Brunet, est présenté dans le CD Vénérable Pie XII disponible sur Diffusia.fr
Cet épisode de la vie du futur pape, raconté par Marc Brunet, est présenté dans le CD Vénérable Pie XII disponible sur Diffusia.fr
Cet épisode important de l'oeuvre de Catherine Labouré, raconté par Jean-Louis Thiar, est présenté dans le CD éponyme disponible sur Diffusia.fr
Cet épisode de la vie du futur pape, raconté par Marc Brunet, est présenté dans le CD Vénérable Pie XII disponible sur Diffusia.fr
Cette date importante de la vie de Pie XII, racontée par Marc Brunet, est présentée dans le CD éponyme disponible sur Diffusia.fr
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Cette date de l'histoire, racontée par Marc Brunet, est présentée dans le CD Vénérable Pie XII disponible sur Diffusia.fr
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Christophe Hondelatte raconte l'année 1958 en puisant dans les archives d'Europe 1. Cette année-là… le pape Pie XII meurt, et l'élection du nouveau pape est une vraie saga! Au programme aussi, Salvatore Dali, au sommet de sa forme, et un meurtre à Hollywood !! Et ce n'est pas du cinéma…
Welke rol heeft Eugenio Pacelli, later Paus Pius XII, tijdens de 1ste en 2de Wereldoorlog werkelijk gespeeld? Wat heeft hij voor de Joden en voor Europa betekend? In Rome gaat Victor Broers over deze vragen in gesprek met Vaticaans archivaris Johan Ickx, verantwoordelijk voor het Historisch Archief van de Sectie voor Buitenlandse betrekkingen van de Heilige Stoel, en auteur van ‘De Oorlog en het Vaticaan' (Lannoo) en ‘Le Bureau. Les juifs de Pie XII' (Michel Lafon/ed. VdH). Op basis van de recent geopende oorlogsarchieven, vertelt Ickx over deze bewogen geschiedenis, die in de afgelopen decennia flink vertekend werd.
Religions du Monde - Dimanche 14 mars 2021 - 10H10-11H00 (Heure de Paris) Le 6 février 2021, sœur Nathalie Becquart, ancienne directrice du Service national pour l’évangélisation des jeunes et des vocations, était nommée sous-secrétaire du Synode des évêques, un nouveau geste du pape Francois qui entend féminiser la gouvernance de l’Église. Croisement des calendriers, sortait dans le même temps «Femmes de papes» (Cerf), l’enquête très documentée de la journaliste Bénédicte Lutaud, sur cinq femmes d’influence qui ont tenu une place importante auprès du pape qu’elles ont accompagné. La plus emblématique de ces femmes de l’ombre fut sœur Pascalina, la protectrice du pape Pie XII. Pie XII est le dernier album de la collection de bandes dessinées Glénat/Cerf «Un pape dans l’histoire». «Pie XII face au nazisme» sorti, au début de l’année 2021, sera suivi d’un deuxième tome. Le journaliste spécialiste de l’histoire de l’Église et des papes, Bernard Lecomte, est le conseiller éditorial de cette collection.
Le samedi 6 février, le pape François a nommé Nathalie Becquart, une religieuse française Xavière, comme sous-secrétaire au Synode des évêques. Elle sera la première femme à obtenir le droit de vote au sein de cette institution qui étudie les questions doctrinales au sein de l’Église. Un événement rare qui interroge sur la place des femmes dans l’Église. Bénédicte Lutaud est journaliste au journal Le Figaro. Elle publie "Femmes de papes" aux éditions du Cerf. Un environnement misogyne La nomination de la religieuse Nathalie Becquart met en lumière la sous-représentation des femmes dans l’Église. Elles sont pourtant nombreuses à avoir accompagné des papes dans l’histoire. "C’est pas anodin le fait qu’elles soient restées anonymes. Certaines sont restées dans l’ombre de leur propre chef. Certaines ont aussi été effacées et leur rôle délégitimé par la curie romaine, par gêne, par embarras et peur du sexe féminin", commente Bénédicte Lutaud. Pourtant, selon la journaliste, ces femmes dont elle retrace l’histoire, "sont toutes vraiment uniques et en même temps elles ont certains points communs". Parmi ces points commun, le fait que "toutes ont dû faire face aux obstacles de la curie romaine, assez misogyne, qui a voulu décrédibiliser leur rôle", détaille Bénédicte Lutaud. Il faut notamment préciser que dans le livre "Femmes de papes", on traverse différentes époques qui peuvent expliquer parfois cette importante misogynie. "Rappelons que le Vatican se situe au cœur de l’Italie, assez en retard sur ces questions", ajoute Bénédicte Lutaud. Des compétences qui ont plu au Vatican Mais réduire ces femmes à leur seul statut de femme serait un écueil. "Elles n’étaient pas là du tout parce que femmes, affirme la journaliste. Certaines ont noué une amitié avec un pape lorsqu'il était simple curé. C’est avant tout leur compétence qui plaisent au Vatican." "Chacune avait une sensibilité féminine qui a pu peut-être apporter un surcroît d’intelligence", explique Bénédicte Lutaud, prenant l’exemple de Mère Pascalina, qui a joué un rôle de "mère de substitution" pour le pape Pie XII. Sortir de la seule question de l'ordination des femmes La question de la place des femmes dans l’Église divise. "La place des femmes dans l’Église est souvent réduite au seul débat de l’ordination des femmes. Il y a des tas d’autres façons de faire beaucoup plus de place aux femmes dans l’Église sans passer par cette question de l’ordination qui pour moi est une fausse bonne solution. On peut passer par des ministères institués. On peut passer par la liturgie, la théologie. Elles peuvent avoir des postes à responsabilités, simplement en tant que laïque ou religieuse", affirme Bénédicte Lutaud.
Après quelques péripéties liées au Covid-19, lʹexploration des archives du pontificat de Pie XII (1939 - 1958) a commencé. Dans la revue " Entre-Temps ", lʹhistorienne française Nina Valbousquet a évoqué ses premières découvertes. Au micro de Fabien Hünenberger, elle raconte la ruée des chercheurs vers cette mine documentaire. Photo: le pape Pie XII lors de la procession du 900e anniversaire de la ville de Bamberg en Bavière.
Oui quand le pape François a écrit une lettre apostolique pour inaugurer une année sous le patronage de St Joseph j’ai voulu demander son avis au principal intéressé. Alors Saint Joseph…euh… Bonjour… Bonjour Et Merci de m’accorder cette interview exclusive. Dans les évangiles vous êtes l’homme du silence et de la discrétion… première question. Comment vivez-vous d’être ainsi mis sous le feu des projecteurs par le pape ? A vrai dire, je commence à m’habituer un peu : déjà le pape Pie IX m’avait déclaré « Patron de l’Église Catholique », Pie XII m’a appelé « Patron des travailleurs », et saint Jean Paul II « Gardien du Rédempteur »…mais au risque de vous surprendre, j’aime aussi quand on dit de moi que je suis comme de l’ombre sur la terre du Père Céleste. L’ombre ça me va mieux que les projecteurs… vous savez, la lumière c’est l’œuvre du Père céleste… Je ne suis pas surpris par votre humilité… mais je suis sûr que beaucoup d’auditeurs se demandent comme moi comment vous avez pu accomplir la volonté de Dieu si parfaitement dans votre vie. En même temps d’après les évangiles il y a beaucoup de songes qui vous ont guidé n’est-ce pas ? Vous savez, dans sa lettre, le pape François dit que ma vie spirituelle est faite d’accueil et d’obéissance mais il a raison de dire aussi que, comme mon épouse Marie, j’ai pris la responsabilité de dire oui à la volonté de Dieu. Mais la clé c’est la confiance en Dieu. Moi je n’ai jamais hésité à suivre le chemin que Dieu me montrait même si cela voulait dire d’affronter l’incertitude et les difficultés. Comme l’écrit le pape, quand on fait preuve de courage créatif et que l’on fait confiance à la providence, il est possible de transformer les problèmes en opportunité. Alors nous allons donc passer une année sous votre patronage. Mais à votre avis qu’est-ce qui a poussé le pape François à vous choisir maintenant ? Je vois que le pape compte sur moi pour que j’intercède pour vous et je le ferai… il dit aussi qu’il souhaite que vous imitiez ma manière d’agir, de travailler et d’être un père qui introduit son enfant à la réalité… sans le retenir ni chercher à le posséder mais en le rendant capable de choix, de liberté et de départ. J’aime aussi quand il dit que mon bonheur n’est pas dans la logique du sacrifice de soi mais du don de soi. je crois qu’aujourd’hui tous les humains devraient redécouvrir la logique du don de soi. Le sacrifice pourrait mener à la tristesse et à la frustration. le don de soi fait de nous des signes de la beauté et de la joie de l’amour. Merci je vois que ce qui compte est bien de vous suivre sur ce chemin de sainteté et je comprends que vous préférez garder le silence et agir. Oui en réalité le nom que Dieu m’a donné devrait suffir. Joseph signifie « Dieu ajoutera » comme moi, pendant cette année vous pourrez apprendre à être des témoins de la paternité de Dieu.. en aidant les autres à vivre et à être eux-mêmes !
Marie claire Jasarevic est doctorante à l'université de Lyon II et membre du LAHRA sur les relations de la papauté sous Pie XII et la Croatie pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle présente ici la série « The Paper » (Novine en croate), disponible sur Netflix, qui brosse un portrait sans concession de la société croate actuelle. Produite et tournée en Croatie, cette série aborde sans fard les côtes sombres du pays comme la Corruption.
durée : 00:08:01 - La personnalité de la semaine - Le directeur des archives du Vatican Johan Ickx. Il publie "Le bureau. Les Juifs de Pie XII" chez Michel Lafon.
Johan Ickx, auteur du livre « Le Bureau – Les Juifs de Pie XII » (éditions Michel Laffon). Johan Ickx est directeur des Archives historiques de la Secrétairerie d’État du Saint-Siège.
Après quelques péripéties liées au Covid-19, lʹexploration des archives du pontificat de Pie XII (1939 - 1958) a commencé. Dans la revue " Entre-Temps ", lʹhistorienne française Nina Valbousquet a évoqué ses premières découvertes. Au micro de Fabien Hünenberger, elle raconte la ruée des chercheurs vers cette mine documentaire. Photo: le pape Pie XII lors de la procession du 900e anniversaire de la ville de Bamberg en Bavière.
Au cours de ce siècle plus troublé qu'aucun autre précédemment, l'Église a été tour à tour confrontée au fascisme, au nazisme, à deux conflits mondiaux, à l'extermination des juifs, aux purges staliniennes, à la guerre froide, à la bombe atomique. Dans le même temps, l'influence politique du Saint-Siège a pris une dimension universelle, élargissant son territoire de relations au-delà du seul espace centre-européen jusqu'aux autres continents.Longtemps inaccessibles, ces archives ne sont ouvertes que depuis peu. En 1962, Paul VI convie une équipe d'historiens à analyser les sources archivées du pontificat de Pie XII, de 1939 à 1958.En 2006, Benoit XVI étend l'ouverture à l'ensemble complet de ces archives. Pour la première fois, la mémoire de la diplomatie vaticane est intégralement aux mains des historiens. Bonus : Le dessous des cartes, de Jean-Christophe Victor : Le plus petit État au monde n’en a pas moins un rôle et une diplomatie des plus actives sur la scène internationale.Langues : Français, sous-titres pour les sourds et malentendants DVD Pal - Zone : 2
TRADCAST 027 (7 MAY 2020) Contents Special Topic: PART 1 of critical review of Taylor R. Marshall's book Infiltration: The Plot to Destroy the Church from Within (Manchester, NH: Sophia Institute Press, 2019) Segment 1: Introductory comments and general remarks; Athanasius Schneider's foreword; Chapters 1-8 Segment 2: Chapters 9-20 Total run time: 1 hour 19 mins Links to Items mentioned in the Show & Related Information Book: Taylor R. Marshall, Infiltration: The Plot to Destroy the Church from Within (Manchester, NH: Sophia Institute Press, 2019). Available from Amazon.com and from publisher's web site. Podcast: "Dr. Taylor Marshall on ‘Infiltration’", Right on Point Podcast, Episode 104 (June 17, 2019). Tweet: Taylor Marshall says Infiltration is "[t]he greatest literary accomplishment of my life" (tweeted May 31, 2019) Blog Post: "Astana: The Illuminati Capital of Kazakhstan", The Bohemian Blog (Dec. 31, 2012) Church Document: Pope Pius IX, Encyclical Inter Multiplices (1853) Wikipedia Entry: "Pope Pius X" Church Document: Pope Benedict XV, Letter Il 27 Aprile 1915 (May 5, 1917) Wikipedia Entry: "1922 Papal Conclave" Book: Thomas J. Reese, Inside the Vatican: The Politics and Organization of the Catholic Church (Cambridge, MA: Harvard University Press, 1998) Book: Yves Chiron, Annibale Bugnini: Reformer of the Liturgy (Brooklyn, NY: Angelico Press, 2018) Book: Fathers of Most Holy Cross Seminary, Most Asked Questions about the Society of Saint Pius X (Kansas City, MO: Angelus Press, 1997). Newer edition here. Book: Mgr. Georges Roche and Philippe Saint Germain, Pie XII devant l'Histoire (Paris: Éditions Laffont, 1972) Book: Christopher A. Ferrara and Thomas E. Woods, Jr., The Great Façade: Vatican II and the Regime of Novelty in the Roman Catholic Church (Wyoming, MN: The Remnant Press, 2002) Novus Ordo document: Second Vatican Council, Decree Unitatis Redintegratio on Ecumenism (1964) Novus Ordo document: Second Vatican Council, Declaration Nostra Aetate on Interreligious Dialogue (1965) Novus Ordo document: Second Vatican Council, Dogmatic Constitution Lumen Gentium on the Church (1964) Church Document: Pope Pius XII, Encyclical Mystici Corporis (1943) Wikipedia Entry: "Subsistit In" Article: Christopher J. Malloy, "Subsistit In: Nonexclusive Identity or Full Identity?", The Thomist 72, n. 1 (Jan. 2008), pp. 1-44 Article: Geertjan Zuijdwegt, "Salvation and the Church: Feeney, Fenton and the Making of Lumen Gentium", Louvain Studies 37 (2013), pp. 147-178 Article: Rev. Nikola Derpich, "Haec Ecclesia subsistit in Ecclesia Catholica: the subsistence of the Church of Christ as a starting point toward Catholic unity", Alpha Omega 21, n. 2 (2018), pp. 181-215 Novus Ordo document: Paul VI, Closing Speech for the Last General Meeting of the Second Vatican Council(Dec. 7, 1965) Novus Ordo document: Paul VI, Address at General Audience (Jan. 12, 1966). English translation from The Pope Speaks 11, n. 2 (Spring 1966), pp. 152-154. Book: Rev. Walter M. Abbott, S.J., The Documents of Vatican II (New York, NY: Guild Press, 1966) Book: Rev. Austin Flannery, O.P., Vatican Council II, Vol. 1: The Conciliar and Postconciliar Documents (Northport, NY: Costello Publishing Company, 1975) Church Document: Pope St. Pius X, Apostolic Letter Motu Proprio Tra Le Sollecitudini (1903) Church Document: Acta Sanctae Sedis 36 (1903-04) Novus Ordo Watch, “Now What?” — Being a Real Catholic Today TRADCAST: Complete Episode List TRADCAST EXPRESS: Complete Episode List Support TRADCAST/NovusOrdoWatch by making a tax-deductible donation HERE Follow Novus Ordo Watch on Twitter Follow TRADCAST on Twitter Automatic Subscription Options for TRADCAST TRADCAST by Email (receive automatic notifications of each new episode by email) The TRADCAST RSS Feed (for use with any podcast service) TRADCAST on iTunes TRADCAST on Spotify TRADCAST on Stitcher TRADCAST on Google Play TRADCAST on Soundcloud More Information at TRADCAST.org
durée : 00:04:46 - Le Journal de l'histoire - par : Anaïs Kien - L’année dernière, le pape François déclarait : "L’Eglise n’a pas peur de l’histoire". Et, alliant le geste à la parole, annonçait la prochaine ouverture des archives du pontificat de Pie XII (1939-1958), couvrant notamment la période de la Deuxième Guerre mondiale. Une promesse tenue depuis hier. - réalisation : Thomas Jost, Peire Legras
Une entrevue sur les femmes victimes de meurtre; un reportage sur la violence envers les femmes en Russie; la légalisation de l'avortement à nouveau devant le Parlement en Argentine; la progression du coronavirus; les négociations entre Ottawa et les Wet'suwet'en; l'ouverture des archives sur Pie XII par le Vatican; les candidats à la chefferie du Parti québécois; et un reportage sur la prévention des avalanches.
L’actualité vue par Geneviève Pettersen : Sommaire de l'émission. Entrevue avec André Lamoureux, politologue au département de sciences politiques de l’UQAM : Tandis que le gouvernement fédéral parle d’un point tournant en lien à leur entente de principe avec les Premières Nations, le politologue André Lamoureux croit plutôt que cette entente ne signifie rien pour l’instant. Entrevue avec Claudia Gilbert, vétérinaire : Devrait-on s’en faire pour nos animaux de compagnie concernant la propagation du coronavirus ? Entrevue avec Judith Gagnon, présidente de l’Association québécoise de défense collective des droits des personnes retraitées et préretraitées : Exploitation financière des personnes âgées, à la suite d’un article paru dans le Journal de Montréal sur une dame flouée de 244 350$ par des travailleurs. Entrevue avec Martine Delvaux, romancière, essayiste et militante féministe : L’autrice et professeure nous parle de son plus récent ouvrage : « Je n’en ai jamais parlé à personne ». Entrevue avec Alain Pronkin, spécialiste des nouvelles religieuses : Le Vatican rend publics des documents secrets à propos du pape Pie XII, un pontife qui aurait sympathisé avec l’idéologie nazie. Intervention TVA avec Lisa-Marie Blais : La semaine de relâche : compliquée pour les parents. Entrevue avec Manon Monastesse, directrice générale de la Fédération des maisons d'hébergement pour femmes : Plusieurs organismes ont souligné récemment que la crise du logement affecte particulièrement les femmes en difficultés. Chronique « comment changer le monde » d’Emilie Ouellette, humoriste : Chaque semaine, Emilie Ouellette veut changer le monde un petit geste à la fois. Aujourd’hui, elle propose d’arrêter de donner des cadeaux. Une production QUB radio Mars 2020
Entrevue avec Alain Pronkin, spécialiste des nouvelles religieuses : Le Vatican rend publics des documents secrets à propos du pape Pie XII, un pontife qui aurait sympathisé avec l’idéologie nazie.
Cette semaine dans la Foi prise au mot, un nom que l'on retrouve dans les thrillers mettant en scène des ecclésiastiques, un nom qui revient chez les détracteurs du catholicisme, un nom qui a suscité de nombreux fantasmes : l'Opus Dei. Fondé en 1928 par Josemaria Escriva de Balaguer, on l'a taxé d'être une secte, une organisation secrète, une sorte de milice privée du pape. Et pourtant, elle est pleinement insérée dans l'Église, et pleinement reconnue par des pontifes aussi différents que Pie XII, Jean XXIII, Jean-Paul II, Benoît XVI et François. Comment vivent-ils leur appartenance à l'Opus Dei ? Pourquoi y sont-ils entrés et qu'y font-ils ? Pour une fois, Régis Burnet vous propose de donner la parole à ceux qui en font partie pour qu'ils puissent présenter leur version des choses : Mgr Antoine de Rochebrune, vicaire de l'Opus Dei en France et Patricia Laporte, directrice de la communication et relations presse au diocèse de Prélature de la Sainte-Croix et Opus Dei.
Cette semaine dans la Foi prise au mot, un nom que l'on retrouve dans les thrillers mettant en scène des ecclésiastiques, un nom qui revient chez les détracteurs du catholicisme, un nom qui a suscité de nombreux fantasmes : l'Opus Dei. Fondé en 1928 par Josemaria Escriva de Balaguer, on l'a taxé d'être une secte, une organisation secrète, une sorte de milice privée du pape. Et pourtant, elle est pleinement insérée dans l'Église, et pleinement reconnue par des pontifes aussi différents que Pie XII, Jean XXIII, Jean-Paul II, Benoît XVI et François. Comment vivent-ils leur appartenance à l'Opus Dei ? Pourquoi y sont-ils entrés et qu'y font-ils ? Pour une fois, Régis Burnet vous propose de donner la parole à ceux qui en font partie pour qu'ils puissent présenter leur version des choses : Mgr Antoine de Rochebrune, vicaire de l'Opus Dei en France et Patricia Laporte, directrice de la communication et relations presse au diocèse de Prélature de la Sainte-Croix et Opus Dei.
Les 14 et 15 novembre 2019, l'ICES, le Centre Roland Mousnier de l'université Paris-Sorbonne et le département de Vendée ont organisé un colloque consacré aux "Conséquences politiques, économiques et sociales de la Grande Guerre (1919-1923)". Placé sous la direction de Jean-Paul Bled, professeur émérite à Sorbonne-Université et Jean-Pierre Deschodt, HDR, directeur du département Histoire de l'ICES, il a réuni près de quarante historiens et spécialistes de la période. Storiavoce vous propose une série en trois parties reprenant à chaque fois deux interventions. Dans ce dernier volet, François Cochet traite de la reconstruction de l'armée française au lendemain de la victoire tandis que Frédéric Le Moal aborde la question italienne: Mythes et réalités d'une paix mutilée. Les intervenants : François Cochet est spécialiste d’histoire militaire, professeur émérite à l'université de Lorraine-Metz, auteur de plusieurs ouvrages dont avec PORTE Rémy : L’Armée française dans la Grande Guerre, Paris, Tallandier, 2016; 1914-1918 : La Grande Guerre : fin d’un monde, début d’un siècle , Paris, Éditions Perrin, janvier 2014, qui a reçu le prix Louis Marin de l’Académie des Sciences morales et politiques (2015) et le prix de l’UNOR (union nationale des organismes de réserve), 2015; Être soldat en France, de la Révolution à nos jours. Paris, Armand Colin, avril 2013; Armes en guerres. 19e-21e siècles. Mythes, symboles, réalités. Paris, CNRS-éditions, janvier 2012. Frédéric Le Moal : Docteur en Histoire (Paris-IV-Sorbonne), Frédéric Le Moal est spécialiste de l’Italie et des Balkans. Il enseigne à l’Ecole militaire de Saint-Cyr, à l’Institut Catholique de Paris et à l’IRCOM. Il a publié plusieurs ouvrages dont une biographie du roi Victor-Emmanuel III (Perrin, 2014) et une Histoire du fascisme (Perrin, 2018). Il a été l’invité de Storiavoce pour évoquer le Vatican face aux totalitarismes et vient de publier aux éditions du Cerf, Pie XII, un pape pour la France (Editions du Cerf, 413 pages, 24€).
Nous entrons cette année dans le 70e anniversaire de la proclamation du dogme de l'Assomption, lors de la cérémonie solennelle du 1er novembre 1950. Le dogme lui-même tient en quelques mots : « Marie, l'Immaculée Mère de Dieu toujours Vierge, à la fin du cours de sa vie terrestre, a été élevée en âme et en corps à la gloire céleste ». C'est pour La Foi prise au mot l'occasion d'une émission à la fois théologique et historique. Théologique, puisque cela nous permet de revenir sur ce qu'est l'Assomption. Mais aussi historique puisque nous allons découvrir dans cette émission pourquoi et comment Pie XII est arrivé à la conclusion qu'il était nécessaire de proclamer ce dogme et pourquoi il le fit en engageant sa fameuse infaillibilité pontificale, sur laquelle il sera bon de revenir. Nous partons donc à la découverte du dogme de l'Assomption en compagnie des deux invités de Régis Burnet : Martin Dumont, secrétaire général de l'Institut de recherche pour l'étude des religions à la faculté des lettres de Sorbonne-Université, et Sophie Binggeli, enseignante en théologie à la Faculté Notre-Dame et responsable du cours de théologie mariale aux Bernardins.
Nous entrons cette année dans le 70e anniversaire de la proclamation du dogme de l'Assomption, lors de la cérémonie solennelle du 1er novembre 1950. Le dogme lui-même tient en quelques mots : « Marie, l'Immaculée Mère de Dieu toujours Vierge, à la fin du cours de sa vie terrestre, a été élevée en âme et en corps à la gloire céleste ». C'est pour La Foi prise au mot l'occasion d'une émission à la fois théologique et historique. Théologique, puisque cela nous permet de revenir sur ce qu'est l'Assomption. Mais aussi historique puisque nous allons découvrir dans cette émission pourquoi et comment Pie XII est arrivé à la conclusion qu'il était nécessaire de proclamer ce dogme et pourquoi il le fit en engageant sa fameuse infaillibilité pontificale, sur laquelle il sera bon de revenir. Nous partons donc à la découverte du dogme de l'Assomption en compagnie des deux invités de Régis Burnet : Martin Dumont, secrétaire général de l'Institut de recherche pour l'étude des religions à la faculté des lettres de Sorbonne-Université, et Sophie Binggeli, enseignante en théologie à la Faculté Notre-Dame et responsable du cours de théologie mariale aux Bernardins.
Au sommaire de la revue Codex #10: - Au carrefour des civilisations, la construction de la Bible, 200 ans de découvertes autour de l’Ancien Testament. Avec Thomas Römer, Israël Finkelstein, l’École biblique et archéologique française de Jérusalem, le département des antiquités orientales du musée du Louvre… - Enquête : Bières d’abbaye, un succès sans pression - Cahier pédagogique : L’Europe sous Napoléon III, de la guerre de Crimée à la question romaine - Voyage : Les églises peintes de Roumanie - Entretien avec Johan Ickx : « On ne pourra plus dire que Pie XII était germanophile » Priscille de Lassus: Après des études littéraires et une école de journaliste, Priscille a commencé par travailler chez Radio Classique au service Actualités. Elle est aujourd’hui rédactrice en chef de Codex, un livre-magazine qui raconte l’histoire du christianisme avec pédagogie et curiosité. Codex, partenaire de Storiavoce, assume sa fibre pédagogique et une grande honnêteté intellectuelle, sans avoir peur des controverses. Une trentaine d’universitaires composent le conseil scientifique. Priscille prête régulièrement sa plume à d’autres revues culturelles : L’Objet d’art, Archéologia, Art et métiers du livre, Les Vieilles maisons françaises…
Antoine-Marie Claret (en catalan, Antoni Maria Claret i Clarà et en espagnol, Antonio María Claret y Clarà), né le 23 décembre 1807 à Sallent (Espagne) et décédé le 24 octobre 1870 à l'abbaye de Fontfroide près de Narbonne (France), est un prêtre catalan, fondateur des Fils du Cœur Immaculé de Marie (les Clarétains), évêque missionnaire et archevêque de Santiago de Cuba, et confesseur de la reine d'Espagne Isabelle II. Canonisé en 1950 par Pie XII il est liturgiquement commémoré le 24 octobre. Lu par : Edition Rassemblement à Son Image
Louis-Marie Grignion de Montfort, né le 31 janvier 1673 à Montfort-sur-Meu, en Ille-et-Vilaine (France) et mort le 28 avril 1716 à Saint-Laurent-sur-Sèvre en Vendée (France), est un prêtre catholique français, fondateur de deux congrégations religieuses: la Compagnie de Marie (Pères montfortains) d'où seront issus les Frères de Saint-Gabriel et une congrégation féminine : les Filles de la Sagesse. Il est aussi le représentant majeur de la seconde génération de l'école française de spiritualité. Béatifié en 1888 par Léon XIII, il est canonisé en 1947 par Pie XII. Liturgiquement il est commémoré le 28 avril. Lu par : Edition Rassemblement à Son Image
Catherine Labouré, en religion sœur Catherine de la charité née le 2 mai 1806 à Fain-lès-Moutiers France et décédée le 31 décembre 1876 à Paris, Fille de la Charité, elle a fait part à son confesseur seulement des apparitions de la Vierge Marie qu'elle dit avoir eues en juillet et novembre 1830 durant son noviciat (appelé séminaire chez les Filles de la Charité) en la chapelle de son couvent de la rue du Bac à Paris. Cet évènement est à l'origine de la diffusion de la « Médaille miraculeuse », portée aujourd'hui par de nombreux catholiques. Canonisée en 1947 par Pie XII, Catherine Labouré est liturgiquement commémorée le 25 novembre. Lu par : Edition Rassemblement à Son Image
Partenaire de Storiavoce, la revue Codex #4 présentée ici par sa rédactrice en chef, Priscille de Lassus, est consacrée à l'Action française et tout particulièrement à la condamnation du mouvement par les autorités romaines en 1926 jusqu'à la réhabilitation du mouvement sous le pontificat de Pie XII en 1939.
Les livres consacrés au pape Pie XII pendant la Seconde Guerre mondiale constituent régulièrement des succès de librairie. En revanche, ceux étudiant les rapports entre l’Eglise et le communisme sont plus rares. Ils n’en sont pas moins dénués d’intérêt. Enfin, à notre connaissance, il n’existe aucun ouvrage abordant l’action du Saint-Siège face aux totalitarismes du XXe siècle dans leur ensemble. En effet, pendant très longtemps, mettre sur le même pied d’égalité le génocide des races et le génocide des classes provoquait une levée de bouclier du politiquement correct: l’icône du communisme était intouchable. Pourtant, on ne dira jamais assez que communisme et nazisme, ces « religions séculières » selon l'expression de Raymond Aron, possédaient les mêmes racines idéologiques. Ils avaient aussi en commun la haine du catholicisme. Storiavoce vous propose de comprendre et d’analyser l’action du Vatican –on devrait dire du Saint-Siège- face aux dictatures totalitaires de 1917 à 1989. Une approche globale et sur le temps long certes, mais où tout l’art de l’historien est se replacer dans le contexte de l’époque. Ce qu'a fait Frédéric Le Moal, dans son dernier livre paru aux éditions Perrin.