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Writing histories of communism and "really existing socialism" have been fraught with political tension for decades. On the one hand, sectarian debates in the global left too often overlooked the nuances of really existing socialism and cutting edge academic research in order to align with specific ideological orientations. On the other hand, and far more consequential, Cold War-era anti-communism (and the collapse of the Soviet Union that followed) engendered generations of historians - both professional and not - with an implicit hostility to communism as an intellectual starting point. While many historians have directly opposed anti-communist History writing, and successfully shaped and contributed to academic and popular discussions, anti-communism persists in the academy and popular discourses globally. So how should we assess and understand "anti-communism" and its relationship with History? And how do popular memory politics, nationalist imaginations, global political shifts, archival access and academic trends play into it? And what does all this mean for the left and socialist politics today?On today's episode we discuss all this and more with Stefan Gužvica, using his recent article in Jacobin on the notorious "Black Book of Communism" as a starting point. You can read the article here:https://jacobin.com/2025/01/black-book-communism-courtois-historyStefan Gužvica is assistant professor at the Department of History of the Higher School of Economics in Saint Petersburg, Russian Federation. He is the author of Before Tito: The Communist Party of Yugoslavia during the Great Purge, 1936–1940. He is currently working on a book based off his doctoral dissertation defended at the University of Regensburg in 2022, titled "Sickle without a Hammer: Revolution and Nation-Building in the Balkans, 1900s–1930s."(episode image is a French anti-communist poster circa 1950/51 entitled "Caucasian Dance" produced by the movement "Peace and Freedom". In the background, accompanying Stalin on balalaikas, are the leaders of the French Communist Party at the time: Marcel Cachin, Jacques Duclos, André Marty, and Maurice Thorez)
durée : 00:51:13 - Autant en emporte l'Histoire - par : Stéphanie Duncan - 3 octobre 1939. Jeannette Vermeersch, compagne de Maurice Thorez, arrive dans une Citroën noire à Chauny où ce dernier, mobilisé, est cantonné. Envoyée par le parti, elle doit l'emmener au plus vite. Sans prendre le temps de se changer, le leader communiste monte, en uniforme et en chaussettes... - invités : Annette Wieviorka - Annette Wieviorka : Historienne, directrice de recherche honoraire au CNRS et vice-présidente du Conseil supérieur des Archives - réalisé par : Anne WEINFELD
durée : 00:52:37 - Autant en emporte l'Histoire - par : Stéphanie Duncan - 3 octobre 1939. Jeannette Vermeersch, compagne de Maurice Thorez, arrive dans une Citroën noire à Chauny où ce dernier, mobilisé, est cantonné. Envoyée par le parti, elle doit l'emmener au plus vite. Sans prendre le temps de se changer, le leader communiste monte, en uniforme et en chaussettes... - invités : Annette Wieviorka - Annette Wieviorka : Historienne, directrice de recherche honoraire au CNRS et vice-présidente du Conseil supérieur des Archives - réalisé par : Anne WEINFELD
Après 60 jours de concertation, d'ateliers, de rencontres et d'échanges, les Nanterriens sont conviés à se réunir ce samedi 9 décembre à partir de 17h30 au Palais des sports Maurice Thorez. Au programme : émission de radio en direct animée par Radio Nova, restitution des assises, expos photos, food & drinks, dj set et d'autres réjouissance. Le plateau animé par Radio Nova fera la part belle aux quatre grandes thématiques de ces assises : - apprendre à tous les âges - habiter la ville aujourd'hui et demain - le vivre ensemble - accéder aux services publics Bonne écoute, et rdv sur place, vous êtes tous conviés.
durée : 00:02:10 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - "Il faut savoir terminer une grève". La phrase est célèbre. Elle est du communiste Maurice Thorez en 1936. George Clooney ou Matt Damon auraient pu la reprendre hier. Ali Baddou revient sur l'événement.
Arrivé au pouvoir en septembre 1953, Nikita Khrouchtchev, le successeur de Staline, mort en mars de la même année, convoque à Moscou, en février 1956, le XXe Congrès du parti communiste d'Union soviétique. À la fin du Congrès, le Secrétaire général du parti monte encore à la tribune, pour présider une séance à huis clos, où les délégations étrangères ne sont pas admises. Et là, l'impensable se produit. Devant une assistance médusée, Khrouchtchev, dans un long rapport, dénonce le culte de la personnalité organisé autour de Staline. Et il va plus loin encore. Il dénonce les crimes d'un homme qui était encore vénéré en URSS et considéré comme un modèle indépassable. Cependant, Khrouchtchev cite seulement, parmi ces exactions, les exécutions sommaires qui ont suivi les procès truqués organisés, à Moscou, dans les années 1930, ou la pratique de la torture, utilisée pour extorquer des aveux aux opposants. Les crimes de masse imputés à Staline, comme la famine en Ukraine, qui causa la mort de plusieurs millions de personnes, ou les horreurs du goulag, ne sont pas cités. En dénonçant les crimes de Staline, Khrouchtchev n'était pas vraiment mû par un sentiment de justice ou de compassion envers les victimes. Il avait lui-même fait partie, à un moment donné, de l'équipe dirigeante qui avait planifié cette terreur. Il voit surtout cette dénonciation comme un moyen d'affermir son pouvoir face à ses rivaux. C'est pourquoi, peu de temps après la mort de Staline, il avait réuni une commission d'enquête sur les agissements du dictateur. Puis il avait commandé la rédaction de son fameux rapport, qui ne faisait pas moins de 70 pages. Les partis communistes reçoivent une copie du rapport, mais certains, comme le parti français, dirigé par Maurice Thorez, restent fidèles au stalinisme et n'apprécient gère la teneur du rapport Khrouchtchev. En tous cas, personne ne devait, en principe, en révéler le contenu. Ce qui n'a pas empêché des fuites de se produire, au profit d'une presse qui s'est aussitôt emparée de ce rapport. Il fit, dans les pays occidentaux, l'effet d'une véritable bombe. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Arrivé au pouvoir en septembre 1953, Nikita Khrouchtchev, le successeur de Staline, mort en mars de la même année, convoque à Moscou, en février 1956, le XXe Congrès du parti communiste d'Union soviétique.À la fin du Congrès, le Secrétaire général du parti monte encore à la tribune, pour présider une séance à huis clos, où les délégations étrangères ne sont pas admises.Et là, l'impensable se produit. Devant une assistance médusée, Khrouchtchev, dans un long rapport, dénonce le culte de la personnalité organisé autour de Staline. Et il va plus loin encore. Il dénonce les crimes d'un homme qui était encore vénéré en URSS et considéré comme un modèle indépassable.Cependant, Khrouchtchev cite seulement, parmi ces exactions, les exécutions sommaires qui ont suivi les procès truqués organisés, à Moscou, dans les années 1930, ou la pratique de la torture, utilisée pour extorquer des aveux aux opposants.Les crimes de masse imputés à Staline, comme la famine en Ukraine, qui causa la mort de plusieurs millions de personnes, ou les horreurs du goulag, ne sont pas cités.En dénonçant les crimes de Staline, Khrouchtchev n'était pas vraiment mû par un sentiment de justice ou de compassion envers les victimes. Il avait lui-même fait partie, à un moment donné, de l'équipe dirigeante qui avait planifié cette terreur.Il voit surtout cette dénonciation comme un moyen d'affermir son pouvoir face à ses rivaux. C'est pourquoi, peu de temps après la mort de Staline, il avait réuni une commission d'enquête sur les agissements du dictateur.Puis il avait commandé la rédaction de son fameux rapport, qui ne faisait pas moins de 70 pages. Les partis communistes reçoivent une copie du rapport, mais certains, comme le parti français, dirigé par Maurice Thorez, restent fidèles au stalinisme et n'apprécient gère la teneur du rapport Khrouchtchev.En tous cas, personne ne devait, en principe, en révéler le contenu. Ce qui n'a pas empêché des fuites de se produire, au profit d'une presse qui s'est aussitôt emparée de ce rapport. Il fit, dans les pays occidentaux, l'effet d'une véritable bombe. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 01:10:00 - Les Nuits de France Culture - Par Jean Montalbetti - Avec Annie Kriegel, Stéphane Courtois, Philippe Robrieux, Ilios Yannakakis, André Ferrat, Jean Chaintron et Marie Birnbaum - Avec en archives, les voix de Maurice Thorez, Léon Blum, Jacques Doriot et Marcel Cachin - Réalisation Jean-Claude Loiseau
Christophe Hondelatte raconte l'année 1964 en puisant dans les archives d'Europe 1. Cette année-là… la traque d'un tueur d'enfant en direct à EUROPE n° 1. La mort de Maurice Thorez, le père des communistes français. Un petit malin veut commercialiser « L'eau de lourdes » et Johnny Hallyday joue les loubards, en vrai !
In episode 8, we look to the writings of Aimé Césaire to guide a conversation about colonialism, neocolonialism, and anti-colonial thought and struggle. Focusing especially on his 1950 Discourse on Colonialism and his 1956 letter to Maurice Thorez—in which he explains his resignation from French Communist Party—we discuss the subjective and objective ‘boomerang effects’ of colonialism on colonizing countries, the tensions between particularism and universalism in putatively global left politics, the relationship between colonialism and capitalism, and the state of neocolonial domination and exploitation.Aimé Césaire, Discourse on Colonialism. Ed. Robin D.G. Kelly. Monthly Review Press, 2000.Aimé Césaire, “Letter to Maurice Thorez”, trans. Chike Jeffers, Social Text 28.2 (2010): 145-52. Silvia Federici, "War, Globalization, and Reproduction," in Revolution at Point Zero. PM Press, 2012.Paul Gilroy, Against Race: Imagining Political Culture beyond the Color Line. Harvard University Press, 2002.Music: "Vintage Memories" by Schematist | schematist.bandcamp.com
durée : 01:10:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Jean Montalbetti - Avec Annie Kriegel, Stéphane Courtois, Philippe Robrieux, Ilios Yannakakis, André Ferrat, Jean Chaintron et Marie Birnbaum - Avec en archives, les voix de Maurice Thorez, Léon Blum, Jacques Doriot et Marcel Cachin - Réalisation Jean-Claude Loiseau - réalisation : Virginie Mourthé
Salut ! C'est Furies, le podcast de la Queer Week. Avec notre collectif nous organisons un festival tous les ans. Dans l'absolu nous ne sommes pas un collectif politique. Mais dans les faits, travailler et vivre ensemble quand nous sommes des personnes aux identités si variées est politique. Alors forcément la question du rôle des allié.e.s se pose entre nous. Et il faut dire que par les temps qui courent elle se pose partout. Quand nos soeurs trans, nos soeurs voilées, nos ami.e.s travailleurs.euses du sexe, nos adelphes, se font agresser par une “féministe” blanche universaliste, moi, en tant que femme cisgenre racisée je me questionne. Comment j'interviens quand on légitime la violence ? Quand on déshumanisme mes proches ? Quand on refuse de compter mes soeurs parmi les mort.e.s ? Quand on n'est pas une personne avec une grande visibilité, comment est-ce-qu'on agit concrètement pour soutenir les personnes dont on s'estime être l'allié.e des luttes. Et comment on évite l'utilisation de ce rôle d'allié comme bouclier face à la déconstruction de ses propres privilèges ? Dans la suite et la fin de notre entretien ce sont ces questions que nous avons abordé avec Françoise Vergès. Nous y avons parlé de blanchité, de colonialisme et d'amitié. Bibliographie non exhaustive de Françoise Vergès : L'Homme prédateur, ce que nous enseigne l'esclavage sur notre temps, Paris, Albin Michel, coll. « Bibliothèque Idées », 2011 Le Ventre des femmes : capitalisme, racialisation, féminisme, Albin Michel, coll. « Bibliothèque Idées », mars 2017, Un féminisme décolonial, La Fabrique éditions, 208 p., février 2019 Références citées dans l'épisode : Audre Lorde, Sister Outsider Aimé Césaire, lettre à Maurice Thorez. James Baldwin, Chroniques d'un enfant du pays. L'exposition "¡FEMINISMOS!" au CCCB de Barcelone Vous pouvez trouvez une retranscription texte de l'épisode ici : A venir Furies est un podcast de la Queer Week, cet épisode a été enregistré en décembre 2019, écrit par Somaya Dabbech et Hannah Bidoire, réalisé et monté par Somaya Dabbech. La musique originale est de Clara Apolit. Le podcast est disponible sur : Spotify : https://spoti.fi/3aOVDS4 Apple Podcast : https://apple.co/36wGPEl Pocket Casts : https://bit.ly/2RyK75E SoundCloud : https://bit.ly/38Igsg4
Sans aucune expérience en alpinisme, il a gravi la plus haute montagne du monde par amour pour sa mère et pour casser les préjugés sur sa cité, et la rendre fière. Son nom: Nadir Dendoune. Au fil de son ascension, découvrez sa True Story. A la conquête du mondeNadir Dendoune est né le 7 octobre 1972 à Saint-Denis. Ses parents sont des immigrés algériens ne sachant ni lire ni écrire, et qui sont venus en France pour pouvoir offrir un avenir meilleur à leurs 8 enfants. Nadir a grandi dans la cité Maurice-Thorez. C’est un jeune athlétique qui a fait du sport toute sa vie, dont 15 ans d’athlétisme. Après sa formation, Nadir est devenu journaliste indépendant. Il a travaillé au Parisien et pour France 3.En 1993, il quitte la Seine-Saint-Denis direction l’Australie. Lors de cette expérience, lui qui était selon lui jusque-là une “caillera” des banlieues est enfin considéré comme un vrai français. Nadir décide de s’y installer, et y restera plus de 7 ans. Il obtient la nationalité australienne et devient, je cite, le premier “Australo-Beur”. Désormais, le jeune homme dispose de 3 passeports, l’un Français, l’autre algérien et le dernier australien.En 2001, il quitte l’Australie pour relier Sydney et Paris à vélo, pour la croix rouge. C’est lors de son passage à Katmandou au Népal, pendant son tour du monde que lui vient l’idée de gravir l’Everest. Là-bas, en voyant sa forme physique, un guide lui demande s’il pratique l’alpinisme. Il lui explique alors qu’il aurait sûrement les dispositions physiques pour. En 2003, le journaliste se rend à Bagdad pendant la guerre du Golfe. Là-bas, il va faire bouclier de son corps avec d’autres hommes pour protéger une usine de traitement d’eau. Les bombes y pleuvaient et l’homme a failli y rester. L’Everest, le projet d'une ascension tant sociale que sportiveC’est en 2008 que Nadir décide de passer à l’acte. Il se fait passer pour un alpiniste expérimenté et part gravir l’Everest pour l’amour de sa mère, chez qui il trouve sa détermination.Il veut être le premier gars des cités à respirer l’air sur le toit du monde. Nadir veut rendre fier sa cité en prouvant au monde qu’on peut être fils d’immigré, vivre dans un HLM et accomplir des exploits. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
À propos du livre : « Ivry, banlieue rouge. Capitale du communisme français, XXème siècle » aux éditions "Creaphis Éditions" Ivry-sur-Seine peut se prévaloir d'un héritage et d'une longévité politiques auxquels peu de villes de son importance et de son aura symbolique peuvent prétendre. Son histoire contemporaine fait écho à l'expérience du socialisme municipal et de la banlieue rouge, communiste et industrielle, qui, au cours du 20e siècle, marquent de leur empreinte le paysage de l'agglomération parisienne. Dès les années 1920, cette cité ouvrière s'érige en " fille aînée " du communisme urbain et en " capitale du communisme français ". Sous l'autorité tutélaire de Georges Marrane maire d'Ivry et de Maurice Thorez, député de la ville et secrétaire général du Parti communiste, la ville se présente pendant près d'un demi-siècle en modèle de sociabilité militante, d'opposition au régime capitaliste et de contestation de l'ordre établi. Elle devient aussi un lieu emblématique du déploiement du communisme municipal dont les réalisations sont citées en exemple en France mais aussi en URSS, le pays du " socialisme réel " et de la dictature du prolétariat, que la ville rouge aime à dépeindre sous les traits d'une terre radieuse. C'est cette expérience politique et historique de près d'un siècle que l'historien Emmanuel Bellanger, chercheur au CNRS, met en perspective en remontant aux sources du communisme ivryen, les années 1880-1890. Il décrit les tensions qui traversent l'époque, les renoncements et les violences qui la caractérisent, les compromis qui s'imposent à? ?des? ?acteurs politiques que tout oppose ainsi que les fiertés d'être banlieusard et d'appartenir à un territoire de conquête.? ?Emmanuel Bellanger achève son récit sur la rupture fondamentale que constitue pour la banlieue rouge la désindustrialisation qui fragilise la société locale et accentue les divisions qui l'affectent.? ?L'ouvrage? ?est? ?documenté par une centaine d'illustrations et se clôture par une anthologie commentée de textes d'archives couvrant les années? ?1990? ?aux années? ?2000. Emmanuel Bellanger est historien, chargé de recherches au CNRS, il co-anime le pôle Territoires de la ville contemporaine du Centre d'histoire sociale du XXe siècle de l'Université Paris 1. Ses travaux portent sur l'histoire des métropoles, des sociabilités et des politiques urbaines. Chez Créaphis, il a participé à l'ouvrage de référence Paris/Banlieues. Conflits et solidarités, Historiographie, anthologie, chronologie, 1788-2006, avec Annie FOURCAUT et Mathieu FLONNEAU, 2007.
The French military stage their coup to regain control of North Vietnam in November 1946. In Haiphong the French Army with naval support seize the port. In December the French Army seize control of Hanoi defending the Viet Minh in a battle for the City. The Viet Minh withdrew to countryside and evade the French Army. The position of the International Communist Movement towards Vietnam. A Biography of the leader of the French Communist Party and leading critic of the French role in the war, Maurice Thorez.
Souvenirs de vacances communistes Debout ma blonde, chantons au vent Raymonde, Simone et Colette, vaillantes octogénaires, ont passé leurs étés d'enfance à la colonie de vacances de la ville d'Ivry dans les années d’après-guerre. Planté au milieu d'une forêt de pins près du village charentais des Mathes, ce camp est un emblème du communisme municipal et de l'engagement du PC en faveur de l'enfance. Il est le lieu d'expérimentations éducatives originales, comme un conseil des enfants baptisé « Villanous ». C'est également l’un des rares camps d'été mixtes dans les années 50. Maurice Thorez vient parfois visiter les petits « colons » et les tentes marabout s'appellent « Russie » ou « Les marins de la mer Noire »... La mairie d’Ivry, communiste sans interruption depuis 1925, envoie aujourd’hui encore des enfants à la colo des Mathes. Raymonde, Simone et Colette n’ont jamais quitté cette ville de la banlieue parisienne (94). Merci à Alex, Anna, Lou et Raïan, jeunes lecteurs des carnets rédigés par des colons ivryens aux Mathes en 1949 et 1951. Merci aux Archives municipales d’Ivry. Extraits de Ivry ou vingt ans de gestion municipale communiste (1945) et de Les châteaux du bonheur d’Albert Mourlan (1936), deux films conservés par Ciné-Archives. Enregistrements : octobre 15 - Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch - Réalisation : Nina Almberg
Programmes du 31 janvier 2008 http://radio-cartable.ouvaton.org/article.php3?id_article=262 Dans le cadre d’un projet proposé par le théâtre d’Ivry autour du spectacle « Eko du oud », les élèves des deux classes de Moyenne Section de l’école maternelle Maurice Thorez ont pu assister à la représentation de ce spectacle et en rencontrer le jongleur, Vincent Berhault : grâce à lui, ils ont découvert l’univers du jonglage à l’aide de foulards et de balles. Retrouvez ces élèves de maternelle lors d’une séance de jonglage et découvrez également leurs réactions suite au spectacle.