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Soirée intime avec Oum devant 500 personnes pour la sortie de Dakchi, live du 22 juillet 2023 à Marrakech. (Rediffusion) ► Facebook d'Oum.Pour célébrer ses dix ans de carrière à l'international, la chanteuse marocaine sort un album live, enregistré à Marrakech, qui replonge dans la magie de ses trois premiers disques, ici revisités sous d'autres lumières. L'occasion de se réapproprier ses racines pour s'inventer de nouvelles routes. Il y a des caps propices aux coups d'œil dans le rétroviseur, aussi bien qu'aux futures routes d'aventurière. Aujourd'hui, la chanteuse marocaine Oum fête les dix ans de sa carrière internationale. L'occasion pour cette audacieuse hors-piste, toujours mutante, en perpétuelle remise en jeu de ses identités avec ses intuitions pour seules guides, s'autorise un moment suspendu, le temps d'un souffle (de bougies), celui d'un bilan temporaire, d'un retour sur ses racines et ses ramifications... Pour décrire cette décennie, elle préfère le « nous », le jeu collectif au « je » solitaire. Ce « nous », ce sont ses fidèles acolytes, qui l'accompagnent depuis son tout premier disque signé en France, Soul of Morocco, en 2013 : Yacir Rami au oud, Damian Nueva à la basse, Camille Passeri à la trompette, Carlos Mejias au saxophone, Natascha Rogers et Amar Chaoui aux percussions. « Je n'ai jamais quitté ce noyau dur, celui qui me porte et m'élève depuis 2012, éclaire-t-elle. On s'accompagne, on s'est vus grandir, on a vu naître nos enfants... Nous cultivons cette complicité hors pair. Il y a un cœur, une magie, une générosité, qui procurent à notre musique ce supplément d'âme. » Aussi, pour célébrer ces « dix ans de nous », Oum a choisi de puiser une dizaine de titres dans son répertoire tressé au fil de trois albums aux identités aussi singulières que parcourues d'une sève commune : Soul of Morocco, donc, en 2013, Zarabi en 2015 et Daba en 2019. « En général, je ne chante plus mes morceaux anciens, décrit-elle. Mes auditeurs entrent et sortent dans mes saisons à leur guise. Moi, je les traverse. Au final, je n'ai envie de porter sur scène que des créations inscrites dans mon actualité émotionnelle. Pour ces dix ans, j'avais pourtant une nostalgie de ‘nous jeunes'. Et le désir, le besoin, de ressortir des instantanés musicaux de ce que nous avons été. »Pour cette célébration, forcément live, la chanteuse choisit un lieu symbolique, là où tout a commencé, la terre fertile d'éclosion de ses premières chansons : Marrakech. « Si je n'y avais pas grandi, je n'écrirais pas comme j'écris et je ne chanterais pas comme je chante, affirme-t-elle. Marrakech m'a façonnée – ce musée sensoriel à ciel (bleu vif) ouvert, saturé d'odeurs et de sons, d'orangers et de dattiers, de contrastes explosifs de couleurs, avec son souk et ses artisans qui travaillent en rythme... Cette ville de conteurs, foisonnante de poésie et de tradition orale, cette cité de décharges émotionnelles, où tout t'émerveille, t'électrise et t'éblouit ! » Il y a aussi ces hybridations typiquement marocaines – africaines, berbères et andalouses qui irriguent les métissages de Oum. Et puis, il y a ces feux d'artifices joyeux et naturels de polyrythmies qui galvanisent ses chansons : la signature marrakchie, festive, solaire, joueuse, joyeuse. « Ce son du Sud marocain percussif nourrit jusqu'à nos modes de vie, nos manières de parler..., raconte-t-elle. Là-bas, chaque maison comporte un placard avec des taarijas, des bendirs, que nous ouvrons dans les grandes occasions. Il y a cette culture du rythme au quotidien. Je voulais fêter ces dix ans avec les miens. Là-bas, je ne suis plus une chanteuse, je suis une des leurs, en corps à corps avec le public... »Pour préparer cette grande fête, le 22 juillet 2023, Oum s'est enfermée en amont avec son équipe, une semaine durant, sur le lieu du show, qui porte si bien son nom : The Source (La Source), un magnifique complexe hôtelier, avec son jardin luxuriant, son lieu de concert de 500 personnes en plein air, et son studio d'enregistrement. Là-bas, ils ont préparé le disque et le concert, revisité ses titres phares (Lik, Nia, Daba, Mansit...) sous d'autres lumières, cuivrées, épicées, aux effluves cubains... « Je désirais ces couleurs. Pour moi, il existe des passerelles entre La Havane et Marrakech : le 6-8, le côté joueur, les célébrations, le sel dans la façon de parler et dans la musique, dans la manière de danser », assure-t-elle. Et dans ces ponts tendus, avec ces fondements de musiques marocaines ouvertes aux quatre vents, aux battements de la rumba et des tambours bata, Oum glisse trois inédits, dont la sublime reprise en arabe du mythique boléro Lagrimas Negras, Toda la Gente, une introduction à Mansit, signée du musicien cubain Damian Nueva ou encore la délicate et douce Intidhar, composée par Yacir Rami.Et voici le jour J. Oum se produit devant un public compact et conquis, chargé d'amour, qui reprend ses titres d'un même cœur, d'une même ferveur. J'avais l'impression d'organiser une fête chez moi : à l'aise, animée d'une joie sincère et familiale... » Ce moment de communion, cet état de grâce porté par le chant du public, la fièvre et la passion, fut captée par l'ingénieur du son Léo Spiritof. « Le live transpire d'émotions, qui appartiennent à un éternel présent. Quelle chance de pouvoir y replonger ! », s'enthousiasme-t-elle. Cet album, elle le fera tourner sur les scènes de France et d'Europe pour prolonger cette introspection, ce retour en arrière heureux et solaire. « J'ai besoin d'explorer, mes racines, de les déchiffrer pour visualiser de nouveaux horizons », analyse-t-elle. L'album s'appelle Dakchi, soit en Darija « Cela, ces choses-là, ce que nous partageons ensemble » ; Car ce disque, tout en connivences et en bonheur partagé, se passe de mots. Il raconte l'histoire de Oum. Sa musique. Elle. Et nous. Anne-Laure LemancelTitres jouésLik, Lagrimas Negras, Toda La Gente, Temma et Daba.► Album Dakchi (Ternaire 2024)23, 24 avril 2024, Café de la Danse, Paris, Complet.

Soirée intime avec Oum devant 500 personnes pour la sortie de Dakchi, live du 22 juillet 2023 à Marrakech. (Rediffusion) ► Facebook d'Oum.Pour célébrer ses dix ans de carrière à l'international, la chanteuse marocaine sort un album live, enregistré à Marrakech, qui replonge dans la magie de ses trois premiers disques, ici revisités sous d'autres lumières. L'occasion de se réapproprier ses racines pour s'inventer de nouvelles routes. Il y a des caps propices aux coups d'œil dans le rétroviseur, aussi bien qu'aux futures routes d'aventurière. Aujourd'hui, la chanteuse marocaine Oum fête les dix ans de sa carrière internationale. L'occasion pour cette audacieuse hors-piste, toujours mutante, en perpétuelle remise en jeu de ses identités avec ses intuitions pour seules guides, s'autorise un moment suspendu, le temps d'un souffle (de bougies), celui d'un bilan temporaire, d'un retour sur ses racines et ses ramifications... Pour décrire cette décennie, elle préfère le « nous », le jeu collectif au « je » solitaire. Ce « nous », ce sont ses fidèles acolytes, qui l'accompagnent depuis son tout premier disque signé en France, Soul of Morocco, en 2013 : Yacir Rami au oud, Damian Nueva à la basse, Camille Passeri à la trompette, Carlos Mejias au saxophone, Natascha Rogers et Amar Chaoui aux percussions. « Je n'ai jamais quitté ce noyau dur, celui qui me porte et m'élève depuis 2012, éclaire-t-elle. On s'accompagne, on s'est vus grandir, on a vu naître nos enfants... Nous cultivons cette complicité hors pair. Il y a un cœur, une magie, une générosité, qui procurent à notre musique ce supplément d'âme. » Aussi, pour célébrer ces « dix ans de nous », Oum a choisi de puiser une dizaine de titres dans son répertoire tressé au fil de trois albums aux identités aussi singulières que parcourues d'une sève commune : Soul of Morocco, donc, en 2013, Zarabi en 2015 et Daba en 2019. « En général, je ne chante plus mes morceaux anciens, décrit-elle. Mes auditeurs entrent et sortent dans mes saisons à leur guise. Moi, je les traverse. Au final, je n'ai envie de porter sur scène que des créations inscrites dans mon actualité émotionnelle. Pour ces dix ans, j'avais pourtant une nostalgie de ‘nous jeunes'. Et le désir, le besoin, de ressortir des instantanés musicaux de ce que nous avons été. »Pour cette célébration, forcément live, la chanteuse choisit un lieu symbolique, là où tout a commencé, la terre fertile d'éclosion de ses premières chansons : Marrakech. « Si je n'y avais pas grandi, je n'écrirais pas comme j'écris et je ne chanterais pas comme je chante, affirme-t-elle. Marrakech m'a façonnée – ce musée sensoriel à ciel (bleu vif) ouvert, saturé d'odeurs et de sons, d'orangers et de dattiers, de contrastes explosifs de couleurs, avec son souk et ses artisans qui travaillent en rythme... Cette ville de conteurs, foisonnante de poésie et de tradition orale, cette cité de décharges émotionnelles, où tout t'émerveille, t'électrise et t'éblouit ! » Il y a aussi ces hybridations typiquement marocaines – africaines, berbères et andalouses qui irriguent les métissages de Oum. Et puis, il y a ces feux d'artifices joyeux et naturels de polyrythmies qui galvanisent ses chansons : la signature marrakchie, festive, solaire, joueuse, joyeuse. « Ce son du Sud marocain percussif nourrit jusqu'à nos modes de vie, nos manières de parler..., raconte-t-elle. Là-bas, chaque maison comporte un placard avec des taarijas, des bendirs, que nous ouvrons dans les grandes occasions. Il y a cette culture du rythme au quotidien. Je voulais fêter ces dix ans avec les miens. Là-bas, je ne suis plus une chanteuse, je suis une des leurs, en corps à corps avec le public... »Pour préparer cette grande fête, le 22 juillet 2023, Oum s'est enfermée en amont avec son équipe, une semaine durant, sur le lieu du show, qui porte si bien son nom : The Source (La Source), un magnifique complexe hôtelier, avec son jardin luxuriant, son lieu de concert de 500 personnes en plein air, et son studio d'enregistrement. Là-bas, ils ont préparé le disque et le concert, revisité ses titres phares (Lik, Nia, Daba, Mansit...) sous d'autres lumières, cuivrées, épicées, aux effluves cubains... « Je désirais ces couleurs. Pour moi, il existe des passerelles entre La Havane et Marrakech : le 6-8, le côté joueur, les célébrations, le sel dans la façon de parler et dans la musique, dans la manière de danser », assure-t-elle. Et dans ces ponts tendus, avec ces fondements de musiques marocaines ouvertes aux quatre vents, aux battements de la rumba et des tambours bata, Oum glisse trois inédits, dont la sublime reprise en arabe du mythique boléro Lagrimas Negras, Toda la Gente, une introduction à Mansit, signée du musicien cubain Damian Nueva ou encore la délicate et douce Intidhar, composée par Yacir Rami.Et voici le jour J. Oum se produit devant un public compact et conquis, chargé d'amour, qui reprend ses titres d'un même cœur, d'une même ferveur. J'avais l'impression d'organiser une fête chez moi : à l'aise, animée d'une joie sincère et familiale... » Ce moment de communion, cet état de grâce porté par le chant du public, la fièvre et la passion, fut captée par l'ingénieur du son Léo Spiritof. « Le live transpire d'émotions, qui appartiennent à un éternel présent. Quelle chance de pouvoir y replonger ! », s'enthousiasme-t-elle. Cet album, elle le fera tourner sur les scènes de France et d'Europe pour prolonger cette introspection, ce retour en arrière heureux et solaire. « J'ai besoin d'explorer, mes racines, de les déchiffrer pour visualiser de nouveaux horizons », analyse-t-elle. L'album s'appelle Dakchi, soit en Darija « Cela, ces choses-là, ce que nous partageons ensemble » ; Car ce disque, tout en connivences et en bonheur partagé, se passe de mots. Il raconte l'histoire de Oum. Sa musique. Elle. Et nous. Anne-Laure LemancelTitres jouésLik, Lagrimas Negras, Toda La Gente, Temma et Daba.► Album Dakchi (Ternaire 2024)23, 24 avril 2024, Café de la Danse, Paris, Complet.

In part two of this episode of the Animal Control Report, hosts Ashley, Ashlee, and Daniel engage in a candid conversation with Temma Martin, a former Best Friends Animal Society employee, to discuss the "no kill" movement and its controversial impact on homeless pets. Temma brings her extensive experience to the table, offering her perspective on why "no kill" policies may not be the ultimate solution for animal welfare. The discussion breaks down the unintended consequences of the "no kill" philosophy, such as overcrowded shelters, compromised animal care, and the pressure placed on staff and resources. Temma and the hosts explore why this approach has created a significant divide in the animal welfare industry, highlighting the ethical and practical dilemmas faced by shelters striving to meet "no kill" standards. Tune in for a thought-provoking episode that challenges the idealistic view of "no kill" and prompts a reevaluation of what truly constitutes humane and effective animal welfare practices. --- Support this podcast: https://podcasters.spotify.com/pod/show/animalcontrolreport/support

In this episode of the Animal Control Report, hosts Ashley, Ashlee, and Daniel engage in a candid conversation with Temma Martin, a former Best Friends Animal Sanctuary employee, to discuss the "no kill" movement and its controversial impact on homeless pets. Temma brings her extensive experience to the table, offering her perspective on why "no kill" policies may not be the ultimate solution for animal welfare. The discussion breaks down the unintended consequences of the "no kill" philosophy, such as overcrowded shelters, compromised animal care, and the pressure placed on staff and resources. Temma and the hosts explore why this approach has created a significant divide in the animal welfare industry, highlighting the ethical and practical dilemmas faced by shelters striving to meet "no kill" standards. Tune in for a thought-provoking episode that challenges the idealistic view of "no kill" and prompts a reevaluation of what truly constitutes humane and effective animal welfare practices. --- Support this podcast: https://podcasters.spotify.com/pod/show/animalcontrolreport/support

Soirée intime avec Oum devant 500 personnes pour la sortie de Dakchi, live du 22 juillet 2023 à Marrakech. ► Facebook d'Oum.Pour célébrer ses dix ans de carrière à l'international, la chanteuse marocaine sort un album live, enregistré à Marrakech, qui replonge dans la magie de ses trois premiers disques, ici revisités sous d'autres lumières. L'occasion de se réapproprier ses racines pour s'inventer de nouvelles routes. Il y a des caps propices aux coups d'œil dans le rétroviseur, aussi bien qu'aux futures routes d'aventurière. Aujourd'hui, la chanteuse marocaine Oum fête les dix ans de sa carrière internationale. L'occasion pour cette audacieuse hors-piste, toujours mutante, en perpétuelle remise en jeu de ses identités avec ses intuitions pour seules guides, s'autorise un moment suspendu, le temps d'un souffle (de bougies), celui d'un bilan temporaire, d'un retour sur ses racines et ses ramifications... Pour décrire cette décennie, elle préfère le « nous », le jeu collectif au « je » solitaire. Ce « nous », ce sont ses fidèles acolytes, qui l'accompagnent depuis son tout premier disque signé en France, Soul of Morocco, en 2013 : Yacir Rami au oud, Damian Nueva à la basse, Camille Passeri à la trompette, Carlos Mejias au saxophone, Natascha Rogers et Amar Chaoui aux percussions. « Je n'ai jamais quitté ce noyau dur, celui qui me porte et m'élève depuis 2012, éclaire-t-elle. On s'accompagne, on s'est vus grandir, on a vu naître nos enfants... Nous cultivons cette complicité hors pair. Il y a un cœur, une magie, une générosité, qui procurent à notre musique ce supplément d'âme. » Aussi, pour célébrer ces « dix ans de nous », Oum a choisi de puiser une dizaine de titres dans son répertoire tressé au fil de trois albums aux identités aussi singulières que parcourues d'une sève commune : Soul of Morocco, donc, en 2013, Zarabi en 2015 et Daba en 2019. « En général, je ne chante plus mes morceaux anciens, décrit-elle. Mes auditeurs entrent et sortent dans mes saisons à leur guise. Moi, je les traverse. Au final, je n'ai envie de porter sur scène que des créations inscrites dans mon actualité émotionnelle. Pour ces dix ans, j'avais pourtant une nostalgie de ‘nous jeunes'. Et le désir, le besoin, de ressortir des instantanés musicaux de ce que nous avons été. »Pour cette célébration, forcément live, la chanteuse choisit un lieu symbolique, là où tout a commencé, la terre fertile d'éclosion de ses premières chansons : Marrakech. « Si je n'y avais pas grandi, je n'écrirais pas comme j'écris et je ne chanterais pas comme je chante, affirme-t-elle. Marrakech m'a façonnée – ce musée sensoriel à ciel (bleu vif) ouvert, saturé d'odeurs et de sons, d'orangers et de dattiers, de contrastes explosifs de couleurs, avec son souk et ses artisans qui travaillent en rythme... Cette ville de conteurs, foisonnante de poésie et de tradition orale, cette cité de décharges émotionnelles, où tout t'émerveille, t'électrise et t'éblouit ! » Il y a aussi ces hybridations typiquement marocaines – africaines, berbères et andalouses qui irriguent les métissages de Oum. Et puis, il y a ces feux d'artifices joyeux et naturels de polyrythmies qui galvanisent ses chansons : la signature marrakchie, festive, solaire, joueuse, joyeuse. « Ce son du Sud marocain percussif nourrit jusqu'à nos modes de vie, nos manières de parler..., raconte-t-elle. Là-bas, chaque maison comporte un placard avec des taarijas, des bendirs, que nous ouvrons dans les grandes occasions. Il y a cette culture du rythme au quotidien. Je voulais fêter ces dix ans avec les miens. Là-bas, je ne suis plus une chanteuse, je suis une des leurs, en corps à corps avec le public... »Pour préparer cette grande fête, le 22 juillet 2023, Oum s'est enfermée en amont avec son équipe, une semaine durant, sur le lieu du show, qui porte si bien son nom : The Source (La Source), un magnifique complexe hôtelier, avec son jardin luxuriant, son lieu de concert de 500 personnes en plein air, et son studio d'enregistrement. Là-bas, ils ont préparé le disque et le concert, revisité ses titres phares (Lik, Nia, Daba, Mansit...) sous d'autres lumières, cuivrées, épicées, aux effluves cubains... « Je désirais ces couleurs. Pour moi, il existe des passerelles entre La Havane et Marrakech : le 6-8, le côté joueur, les célébrations, le sel dans la façon de parler et dans la musique, dans la manière de danser », assure-t-elle. Et dans ces ponts tendus, avec ces fondements de musiques marocaines ouvertes aux quatre vents, aux battements de la rumba et des tambours bata, Oum glisse trois inédits, dont la sublime reprise en arabe du mythique boléro Lagrimas Negras, Toda la Gente, une introduction à Mansit, signée du musicien cubain Damian Nueva ou encore la délicate et douce Intidhar, composée par Yacir Rami.Et voici le jour J. Oum se produit devant un public compact et conquis, chargé d'amour, qui reprend ses titres d'un même cœur, d'une même ferveur. J'avais l'impression d'organiser une fête chez moi : à l'aise, animée d'une joie sincère et familiale... » Ce moment de communion, cet état de grâce porté par le chant du public, la fièvre et la passion, fut captée par l'ingénieur du son Léo Spiritof. « Le live transpire d'émotions, qui appartiennent à un éternel présent. Quelle chance de pouvoir y replonger ! », s'enthousiasme-t-elle. Cet album, elle le fera tourner sur les scènes de France et d'Europe pour prolonger cette introspection, ce retour en arrière heureux et solaire. « J'ai besoin d'explorer, mes racines, de les déchiffrer pour visualiser de nouveaux horizons », analyse-t-elle. L'album s'appelle Dakchi, soit en Darija « Cela, ces choses-là, ce que nous partageons ensemble » ; Car ce disque, tout en connivences et en bonheur partagé, se passe de mots. Il raconte l'histoire de Oum. Sa musique. Elle. Et nous. Anne-Laure LemancelTitres jouésLik, Lagrimas Negras, Toda La Gente, Temma et Daba.► Album Dakchi (Ternaire 2024)23, 24 avril 2024, Café de la Danse, Paris, Complet.

Soirée intime avec Oum devant 500 personnes pour la sortie de Dakchi, live du 22 juillet 2023 à Marrakech. ► Facebook d'Oum.Pour célébrer ses dix ans de carrière à l'international, la chanteuse marocaine sort un album live, enregistré à Marrakech, qui replonge dans la magie de ses trois premiers disques, ici revisités sous d'autres lumières. L'occasion de se réapproprier ses racines pour s'inventer de nouvelles routes. Il y a des caps propices aux coups d'œil dans le rétroviseur, aussi bien qu'aux futures routes d'aventurière. Aujourd'hui, la chanteuse marocaine Oum fête les dix ans de sa carrière internationale. L'occasion pour cette audacieuse hors-piste, toujours mutante, en perpétuelle remise en jeu de ses identités avec ses intuitions pour seules guides, s'autorise un moment suspendu, le temps d'un souffle (de bougies), celui d'un bilan temporaire, d'un retour sur ses racines et ses ramifications... Pour décrire cette décennie, elle préfère le « nous », le jeu collectif au « je » solitaire. Ce « nous », ce sont ses fidèles acolytes, qui l'accompagnent depuis son tout premier disque signé en France, Soul of Morocco, en 2013 : Yacir Rami au oud, Damian Nueva à la basse, Camille Passeri à la trompette, Carlos Mejias au saxophone, Natascha Rogers et Amar Chaoui aux percussions. « Je n'ai jamais quitté ce noyau dur, celui qui me porte et m'élève depuis 2012, éclaire-t-elle. On s'accompagne, on s'est vus grandir, on a vu naître nos enfants... Nous cultivons cette complicité hors pair. Il y a un cœur, une magie, une générosité, qui procurent à notre musique ce supplément d'âme. » Aussi, pour célébrer ces « dix ans de nous », Oum a choisi de puiser une dizaine de titres dans son répertoire tressé au fil de trois albums aux identités aussi singulières que parcourues d'une sève commune : Soul of Morocco, donc, en 2013, Zarabi en 2015 et Daba en 2019. « En général, je ne chante plus mes morceaux anciens, décrit-elle. Mes auditeurs entrent et sortent dans mes saisons à leur guise. Moi, je les traverse. Au final, je n'ai envie de porter sur scène que des créations inscrites dans mon actualité émotionnelle. Pour ces dix ans, j'avais pourtant une nostalgie de ‘nous jeunes'. Et le désir, le besoin, de ressortir des instantanés musicaux de ce que nous avons été. »Pour cette célébration, forcément live, la chanteuse choisit un lieu symbolique, là où tout a commencé, la terre fertile d'éclosion de ses premières chansons : Marrakech. « Si je n'y avais pas grandi, je n'écrirais pas comme j'écris et je ne chanterais pas comme je chante, affirme-t-elle. Marrakech m'a façonnée – ce musée sensoriel à ciel (bleu vif) ouvert, saturé d'odeurs et de sons, d'orangers et de dattiers, de contrastes explosifs de couleurs, avec son souk et ses artisans qui travaillent en rythme... Cette ville de conteurs, foisonnante de poésie et de tradition orale, cette cité de décharges émotionnelles, où tout t'émerveille, t'électrise et t'éblouit ! » Il y a aussi ces hybridations typiquement marocaines – africaines, berbères et andalouses qui irriguent les métissages de Oum. Et puis, il y a ces feux d'artifices joyeux et naturels de polyrythmies qui galvanisent ses chansons : la signature marrakchie, festive, solaire, joueuse, joyeuse. « Ce son du Sud marocain percussif nourrit jusqu'à nos modes de vie, nos manières de parler..., raconte-t-elle. Là-bas, chaque maison comporte un placard avec des taarijas, des bendirs, que nous ouvrons dans les grandes occasions. Il y a cette culture du rythme au quotidien. Je voulais fêter ces dix ans avec les miens. Là-bas, je ne suis plus une chanteuse, je suis une des leurs, en corps à corps avec le public... »Pour préparer cette grande fête, le 22 juillet 2023, Oum s'est enfermée en amont avec son équipe, une semaine durant, sur le lieu du show, qui porte si bien son nom : The Source (La Source), un magnifique complexe hôtelier, avec son jardin luxuriant, son lieu de concert de 500 personnes en plein air, et son studio d'enregistrement. Là-bas, ils ont préparé le disque et le concert, revisité ses titres phares (Lik, Nia, Daba, Mansit...) sous d'autres lumières, cuivrées, épicées, aux effluves cubains... « Je désirais ces couleurs. Pour moi, il existe des passerelles entre La Havane et Marrakech : le 6-8, le côté joueur, les célébrations, le sel dans la façon de parler et dans la musique, dans la manière de danser », assure-t-elle. Et dans ces ponts tendus, avec ces fondements de musiques marocaines ouvertes aux quatre vents, aux battements de la rumba et des tambours bata, Oum glisse trois inédits, dont la sublime reprise en arabe du mythique boléro Lagrimas Negras, Toda la Gente, une introduction à Mansit, signée du musicien cubain Damian Nueva ou encore la délicate et douce Intidhar, composée par Yacir Rami.Et voici le jour J. Oum se produit devant un public compact et conquis, chargé d'amour, qui reprend ses titres d'un même cœur, d'une même ferveur. J'avais l'impression d'organiser une fête chez moi : à l'aise, animée d'une joie sincère et familiale... » Ce moment de communion, cet état de grâce porté par le chant du public, la fièvre et la passion, fut captée par l'ingénieur du son Léo Spiritof. « Le live transpire d'émotions, qui appartiennent à un éternel présent. Quelle chance de pouvoir y replonger ! », s'enthousiasme-t-elle. Cet album, elle le fera tourner sur les scènes de France et d'Europe pour prolonger cette introspection, ce retour en arrière heureux et solaire. « J'ai besoin d'explorer, mes racines, de les déchiffrer pour visualiser de nouveaux horizons », analyse-t-elle. L'album s'appelle Dakchi, soit en Darija « Cela, ces choses-là, ce que nous partageons ensemble » ; Car ce disque, tout en connivences et en bonheur partagé, se passe de mots. Il raconte l'histoire de Oum. Sa musique. Elle. Et nous. Anne-Laure LemancelTitres jouésLik, Lagrimas Negras, Toda La Gente, Temma et Daba.► Album Dakchi (Ternaire 2024)23, 24 avril 2024, Café de la Danse, Paris, Complet.

Julia Mitchell had a kernel of this idea she had been noodling on for a few years. She had had some "lightly used" fly fishing clothes that didn't fit her anymore and thought they would be perfect for another angler. Julia was working in a leadership role with United Women on the Fly, and also started a leadership role with a local fly fishing group where she met Temma Roby. After sharing her idea of breaking down barriers for women to enjoy fly fishing and providing used or donated gear and clothing Temma was on board with the mission. On August 5th, 2022 Rising to the Fly was born! Facebook​ ​Twitter​ ​Instagram​ Love the show? Subscribe, ​rate, review, and share!​ Sign up for my Newsletter ​HERE​ I'd love to hear your feedback about the show! You can contact me here: ​rick@theoutdoorbizpodcast.com Show Notes Rising to the Fly 00:00 Decided to expand fly fishing group nationwide, changed name to "Rising to the Fly." 04:15 Learned fly fishing in 1999, started with intro clinic, now passionate about it. 09:39 Idea stemmed from unused fishing shirts, expanded to include gear for exchange among women. 13:23 Partners with organizations, holds clinics & training for women. 15:02 Received campground donation for weekend, stocked pond, women caught fish, divided into smaller groups for activities. 18:48 Shop manager offered support, received products, plans to engage other Orvis shops. 21:02 Transformed garage into warehouse, repurposed hangers for inventory. 27:19 Tema and I reached out to other nonprofits for advice on donations and applications, providing helpful insights and support. 30:00 Excited about new lanyard, makes life easier outdoors. 35:16 Encourage website and social media visit, subscribe, and donate gear or money. 36:04 Seeking financial and gear support for shipping and donations. Accepting applications for gear. Seeking support from companies. Learn More To learn more about Julia, Temma, and Rising to the Fly, visit their website at: risingtothefly.com You can also visit Rising to the Fly on these social sites: Instagram Facebook YouTube Next Steps If you enjoy interviews devoted to the outdoor industry, find us online at ricksaez.com/listen. We welcome likes and comments, and if you know someone who is also an outdoor enthusiast, go ahead and share our site with them, too. Keywords #Fly fishing, #Entomology, #Fishing gear, #Female anglers, #Fly fishing clinic, #Creek fishing, #Gear donations, #Fly fishing shops, #Outdoor industry, #Steelhead fishing, #Trinity River, #Poudre Creek, #Nonprofit organization, #Women in fly fishing, #Casting for Recovery, #Women-focused nonprofits, #Starting a nonprofit, #outdoor experience, #RickSaez #TheOutdoorBizPodcast #PodcastInterview #OWAA Podcast produced using Descript Podcast hosted by Libsyn use code 'outdoorbizpod' for 20% OFF Show Notes powered by Castmagic Website powered by Wordpress Note: As an Affiliate of Amazon and others, I earn from qualifying purchases.

This week (2/23 & 2/25) on ART ON THE AIR features two artists featured in South Shore Arts “Neighbors” exhibit, representational artist Gwendolyn Zabicki, whose work reflects daily life with hidden contradictions, and Tim Lowly, who creates highly emotional and spiritual work surrounding his profoundly disabled daughter, Temma. Our Spotlight is on Footlight Players radio play “Alien Invasion” running March 10th through the 17th. Tune in on Sunday at 7pm on Lakeshore Public Media 89.1FM for our hour long conversation with our special guests or listen at lakeshorepublicmedia.org/show/art-on-the-air, and can also be heard Fridays at 11am and Mondays at 5pm on WVLP 103.1FM (WVLP.org) or listen live at Tune In. Listen to past ART ON THE AIR shows at lakeshorepublicmedia.org/show/art-on-the-air or brech.com/aota. Please have your friends send show feedback to Lakeshore at: radiofeedback@lakeshorepublicmedia.org Send your questions about our show to AOTA@brech.com LIKE us on Facebook.com/artonthairwvlp to keep up to date about art issues in the Region. New and encore episodes also heard as podcasts on: NPR ONE, Spotify Tune IN, Amazon Music, Apple and Google Podcasts, plus many other podcast platforms. Larry A Brechner and Ester Golden hosts of ART ON THE AIR. https://www.lakeshorepublicmedia.org/show/art-on-the-air/2024-01-31/art-on-the-air-february-25-2024

This week (2/23 & 2/25) on ART ON THE AIR features two artists featured in South Shore Arts “Neighbors” exhibit, representational artist Gwendolyn Zabicki, whose work reflects daily life with hidden contradictions, and Tim Lowly, who creates highly emotional and spiritual work surrounding his profoundly disabled daughter, Temma. Our Spotlight is on Footlight Players musical production of the “Unsinkable Molly Brown” running March 1st through the 17th. Tune in on Sunday at 7pm on Lakeshore Public Media 89.1FM for our hour long conversation with our special guests or listen at lakeshorepublicmedia.org/show/art-on-the-air, and can also be heard Fridays at 11am and Mondays at 5pm on WVLP 103.1FM (WVLP.org) or listen live at Tune In. Listen to past ART ON THE AIR shows at lakeshorepublicmedia.org/show/art-on-the-air or brech.com/aota. Please have your friends send show feedback to Lakeshore at: radiofeedback@lakeshorepublicmedia.org Send your questions about our show to AOTA@brech.com LIKE us on Facebook.com/artonthairwvlp to keep up to date about art issues in the Region. New and encore episodes also heard as podcasts on: NPR ONE, Spotify Tune IN, Amazon Music, Apple and Google Podcasts, plus many other podcast platforms. Larry A Brechner & Ester Golden hosts of ART ON THE AIR. https://www.lakeshorepublicmedia.org/show/art-on-the-air/2024-01-31/art-on-the-air-february-25-2024

Theorizing that one could host a podcast about National Masturbation Day within his own lifetime, Ben led an elite one-man team to develop a secret podcast known as "Ring My Bell." Pressured to provide an episode for 2023, Ben stepped into the guest spot and talked about masturbation. Fortunately, hosting was maintained through microphone transmissions with Temma, previous guest and friend of the pod. Trapped in the guest spot, Ben finds himself talking about his favorite Taco Bell menu items and masturbation, and hoping each time that the next episode will be the leap back into the host spot.

For many would-be female fly anglers, the pathway to the river is barricaded by dollar signs. The perception alone, that entry into fly fishing costs thousands in gear, inhibits many working moms, their children, and students from dipping into the budget to splurge on a new hobby. Enter Julia Mitchell and Temma Roby. These big-hearted friends founded "Rising to the Fly" in an effort to break this perception and remove the financial barrier to the sport. Whether in need of waders, rod, or a float tube, Rising to the Fly is a resource for all women who aspire to fly fish but can't justify the costs. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Great time getting to know Julia & Temma. We chat about how they found fly fishing, what it means, and where the idea came for “Rising To The Fly”.  “Rising to the Fly” co-founders Julia Mitchell and Temma Roby are pleased to announce the launch of their non-profit dedicated to breaking down economic barriers to make fly fishing accessible and inclusive to all women.“The concept came to me several years ago when I had some lightly used fly fishingclothes that didn't fit anymore and thought they would be perfect for another angler" saidMitchell. “My experience with United Women on the Fly, committed to diversity on thewater, and NorCal Women on the Fly, focused on getting local women on the water,made this a natural extension of those experiences.”The popularity of fly fishing is on the rise, with more and more women discovering thesense of community, peace, and accomplishment with the sport. It is estimated that onlyabout 33% of people fly fishing today are women making it somewhat challenging tonavigate getting started.Roby added “When Julia approached me with this idea, I jumped at the opportunity. Notonly is our mission aligned with my previous work with underserved communities, andmy current work with NorCal Women on the Fly and United Women on the Fly but Ihave recently and personally experienced the transformative impact fly fishing can bringsomeone, from a mental health perspective”. Rising to the fly is a 501(c)(3) organization.  If you need assistance or want more information, -Email info@risingtothefly.com. -Website: https://risingtothefly.com/ -Instagramhttps://instagram.com/risingtothefly?igshid=YmMyMTA2M2Y=-Facebook https://www.facebook.com/groups/risingtotheflymarketplace/?ref=share&mibextid=S66gvF

This week, Sophia and Dina speak to Chicago based artist, educator, and musician Tim Lowly. He works in egg tempera and acrylic paint. We spoke to him about growing up in South Korea,  his daughter Temma, his artistic ideologies, spirituality, and even got some great art career advice. Let's reflect on something meaningful with Tim Lowly!​Tim's Art: Link  ​Tim's Music: Link​Tim's Current Exhibition with Hofheimer: Link​Tim's Gallery: LinkSupport the show (https://paypal.me/artgrindpodcast?locale.x=en_US)

I'm joined by friend of the podcast Temma who talks about a love of fanfic and an unfortunate string of bad luck with Taco Bell. (She loves Taco Bell anyway.) Plus we get what could sort of be looked at as the beginnings of the podcast many years ago with a drunk game of Ask Me Anything.

On this episode of Your Dating Life Sucks, we get into a handful of topics. We sit down with TV wardrobe stylist Temma Richardson who is biracial and recently single. Temma opens up about why she broke up with her ex, what it's like growing up with a white mom and a black dad, how she experienced racism in high school, her thoughts on the Black Lives Matter movement and some of her weirdest sexual encounters she's had with men. This episode also discusses interracial dating and why people still judge couples who don't always look the same, why it's better to be alone than depressed with your partner, and so much more. You can follow Temma on Instagram @thel_rich You can follow us on Instagram @YourDatingLifeSucks --- This episode is sponsored by · Anchor: The easiest way to make a podcast. https://anchor.fm/app Support this podcast: https://anchor.fm/your-dating-life-sucks/support

Season 2 Episode 2 of Twin Brothers From Different Mothers with featured guest, Temma Hammond. With over 45 years of entertainment experience in producing, directing, writing, company management, production in film, network television, stage, radio and studio design and building. We will talk about some of her past experience as well as her latest project as President and Operator of WAWO.TV, Inc and Golden Network.TV.

Hosts Kristian Anderson & Christie Marcy welcome Temma Martin of the Best Friends Animal Society of Utah. 

Today’s guest is Temma Frecker, a teacher at The Booker School in Port Williams. Temma and her husband have taught around the world but when they wanted to settle down, they saw that the Annapolis Valley had everything that they were looking for. Temma first talks about how the house that she and her husband found in Port Williams is their dream home. Her major in university was international development studies, which led her down an atypical path to becoming a teacher. We then hear about the modern way that The Booker School teaches its students and a recent lesson where the students learned about tough realities. Temma instructs a cooking program after school once a week, so she shares what this is like and information about other unique activities at the school. She taught an award-winning program last year about understanding different historical perspectives and discusses what it involved, including the media attention that it received. To finish the episode, Temma provides advice for anyone who is aspiring to become a teacher.   Covered topics: - Temma’s background. - The best attributes of living in the Annapolis Valley. - Weather concerns that people have about the valley and the whole province of Nova Scotia. - How Temma became a teacher and why she chose to work at The Booker School. - What makes The Booker School different compared to others. - An upcoming project at the school about eating healthy and sustainable food. - Educational topics focused on in the cooking class that Temma teaches. - The Governor General’s History Award for Teaching Excellence. - The press coverage generated from the history project. - Words of wisdom for people who would like to become teachers.   Links: https://www.bookerschool.com/ https://www.instagram.com/bookerschool/

I had a blast talking with Greg and Alana of the Antique Yacht Collection in Newport, RI and Mystic, CT. They are a young, energetic, fun and ambitious couple who have a really cool vibe. They are entrepreneurs in the yacht charter and yacht management scene in southern New England. Their business has been featured in The Wall Street Journal's travel section, and they are the recipient of the 2018 Trip Advisor Award of Excellence.

I had a blast talking with Greg and Alana of the Antique Yacht Collection in Newport, RI and Mystic, CT. They are a young, energetic, fun and ambitious couple who have a really cool vibe. They are entrepreneurs in the yacht charter and yacht management scene in southern New England. Their business has been featured in The Wall Street Journal's travel section, and they are the recipient of the 2018 Trip Advisor Award of Excellence.

I’m joined once again by Temma (@LikeEmmaWithaT) (TCBcrochet.com) to discuss this +44 song, thus giving Temma BAYMI Bingo! We talk about how upbeat this song sounds but how dark the lyrics actually are and Temma also talks about what showtune this song reminds her of! Episode 150 – When Your Heart Stops Beating Here’s the … Continue reading Episode 150 – When Your Heart Stops Beating →

In this podcast, Canada's History speaks with Temma Frecker, a finalist for the 2018 Governor General's History Award for Excellence in Teaching. Temma’s students embarked on a 6-week interdisciplinary project that focused on understanding multiple perspectives. They delved into the timely debate around commemorating controversial historical figures by putting together their own proposal regarding the statue of Sir Edward Cornwallis, which was removed from a Halifax park earlier this year. Temma’s students created their own unique solution called, “The Conversation,” which they detailed in an official proposal to the Cornwallis Committee and shared through public outreach and social and traditional media.

Dani invites special guest Temma onto the show to talk about his experiences as a Japanese person growing up in England, before eventually moving back to Japan as an adult. After that, they talk at length about the history of the ancient and traditional game of go, from its inception in China 2,500 years ago up to the recent triumph of AlphaGo against current-day professional players. Discuss this episode on reddit at /r/Station13, or contact us on twitter! Alex is @ATYPE808, Dani is @danielpwright, or you can get podcast updates @Station13FM. Show Notes Wikipedia on dialects vs. languages “A language is a dialect with an army and a navy.” Dani’s blog post: Graphical log with vim-fugitive Silver week Koseki Jūminhyō Go AlphaGo Deep Blue Lee Sedol Yūzō Ōta Hon'inbō Shūsaku Go Seigen Cho Chikun Cho Hun-hyun Ke Jie SmartGo goproblems.com online-go.com Rules of Go Lessons in the Fundamentals of Go 素人(アマ)と玄人(プロ)  

Catherine Temma Davidson is a novelist, essayist, poet, and teacher of writing who grew up in Los Angeles and settled in London. Our conversation delves into Catherine’s creative process as well as her exploration of how culture shapes one’s worldview and what happens when we cross cultures. Catherine talks about the multicultural environment in which … Continue reading Catherine Temma Davidson: Freedom to Explore the Problem →

We finished up season 2 and taking it easy this week! Ben and Mike... yeah, definitely Mike... talk about some of our other favorite shows, countdown (somebody else's) list of the BEST Fox shows ever canceled, and also talk a lot about the things we've gotten wrong over the past two seasons.We hope you enjoy our break and we will be back next week with a new episode of the show!Ben has trouble with the levels. Mike gets put on blast. With special thanks to friend of the podcast, Temma!Intro music for this episode is:Happy Happy Game Show Kevin MacLeod (incompetech.com) Licensed under Creative Commons: By Attribution 3.0 License http://creativecommons.org/licenses/by/3.0/

Og når begynte mennesket å tenke på Gud? Gjør sjimpanser det? I denne episoden mishandler også programlederen en av sine lyttere. Beklager. Håper det går bra med hånda. Tusen takk for innsatsen, genser er på vei i posten. Dessuten: Hvorfor sier vi Au? Ser ikke fugler ekstremt godt? Hvordan kan klestørk tørke ute i minus 10? Praktiske klimavennlighetstips: vaske plasten? Bruke tørketrommel? Ved eller panelovn? Er nysgjerrighet en funksjon av lyset? Kan alle dyr temmes? Blir det flo og fjære i atmosfæren? Hva skjer om månen forsvinner? I panelet: Zoolog Petter Bøckmann Sosialantropolog Thomas Hylland Eriksen Fysiker Anne Schad Bergsaker