La vie est expériences, avec ses lots de bonheur, de joie, de rires, de moments qui restent gravés, mais aussi de crises, expériences que la vie nous impose et dont on ne comprend parfois pas le sens. Pourquoi cela tombe sur nous ? Qu'est ce qu'on a fait pour mériter cela ? Cette crise est un fait de la vie, et il n'y a pas de souffrance gratuite, c'est du terreau pour une prise de conscience. C'est une crise que l'on traverse, et j'aime rappeler que le mot mot crise, en chinois, a un double sens : il désigne à la fois la crise et l'opportunité. L'opportunité de prendre conscience, l'opportunité de comprendre, de changer, d'évoluer, de grandir et de se développer. J'aime aussi la métaphore de la fleur de lotus qui ne peut naître que dans la boue. Sans boue, pas de lotus, sans souffrance, pas d'apprentissage. La souffrance et la crise, quand elles sont vidées de leur sens, deviennent insoutenables, alors qu'au contraire, elles sont porteuses de vie et de mouvement. Les invités de ce podcast ont tous traversé des crises, ils ont été percutés de plein fouet, ont cru perdre pied, n'ont pas compris pourquoi la vie leur infligeait cela. A travers leurs témoignages, ils acceptent de se mettre à nu pour raconter ses crises personnelles, comment ils les ont traversées, et avec quel regard plein de vie et d'espoir, d'enseignements et de remerciements, ils les regardent désormais. Je suis Marine, hyper sensible, passionnée et toujours en questionnements pour comprendre ce monde et les émotions qui nous traversent. Quand nous sommes en plein dans une crise, on se sent seul avec la pensée que jamais il ne pourra y avoir de lendemains heureux. Avec ce podcast et ces interviews, j'espère aider chacune et chacun d'entre vous à prendre conscience que si, il peut y avoir un lendemain qui chante. Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"J'ai décidé d'aller voir un psy. Il a posé les mots de "climat incestueux". Mais je n'arrivais pas à l'accepter, je ne pouvais pas accuser ma mère, celle qui avait tout fait pour moi. Je me disais que ça allait passer... mais ça ne passait pas."
J'accueille au micro Nadia pour parler de violences conjugales. Nadia rencontre celui qui sera le père de sa fille, jeune, ce fut un coup de foudre. Quand ils se mettent en couple, Nadia a 24 ans. Au début, tout est parfait. Puis commence l'isolement, avec le déménagement, arrivent ensuite les disputes, le mépris, les insultes et les violences. Nadia nous raconte. Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"Il y a un regard à changer sur la psychiatrie. Un arrêt de travail pour la grippe, c'est accepté et semble normal à tout le monde. Un arrêt de travail pour des crises d'angoisse n'est pas du tout accepté et perçu de la même façon."
"Ma manager dit en réunion devant tout le monde que certaines personnes ne savent pas écrire des e-mails. Elle commence alors à projeter mes e-mails devant tout le monde pour appuyer son propos. Une humiliation en public."
« Ce sont mes ami-es qui m'ont alertée et m'ont fait comprendre que mon rapport à l'alcool était devenu problématique. Je n'étais plus vraiment la même : quand tu commences à mentir, à tout calculer pour être sûre qu'il y ait de l'alcool car tout tourne autour de ça. »
"J'ai été abusée dans mon enfance. Adulte, je tombais toujours sur des relations maltraitantes. Je ne connaissais rien d'autre. Je ne savais pas ce que c'était d'être respectée et de me respecter moi. Puis un jour j'ai réussi à casser le scénario, et à sortir de ce schéma."
"Ma mère était toxique et narcissique. J'ai reproduit ce schéma dans mes relations amoureuses. Je rencontrais toujours la même personne, avec un visage différent."Pour ce nouvel épisode, j'accueille au micro Gladys pour parler d'emprise et de relations amoureuses toxiques. A cause de traumatismes d'enfance et de répétition de scenarios, Gladys a trop souvent croisé la route de personnes narcissiques dans sa vie amoureuse. Elle nous raconte comment elle a croisé plusieurs fois la route de la même personne, avec un visage différent. Elle a appris à ses dépends que malheureusement, le cerveau aime ce qui est familier, même si ce familier nous fait du mal. Gladys nous raconte. Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"On a voulu me faire redoubler une année de maternelle. La psychologue a dit à ma mère : votre fille, elle n'a rien dans le cerveau. À l'époque, je parlais arabe et français à la maison. Ma mère a eu tellement peur qu'elle ne m'a plus jamais parlé en arabe." Pour ce nouvel épisode, j'accueille au micro Manal. Manal fait partie de ce qu'on appelle la seconde génération, celle des enfants né-es en Europe de parents qui ont quitté leur pays d'origine. Comment grandir dans un pays où, dans sa classe à l'école, tous les autres enfants sont blancs ? Comment vivre cette double culture et s'approprier ses racines quand, lorsque l'on retourne au pays, on vous fait aussi sentir que vous êtes différent ? Manal nous raconte. Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"Je suis une enfant adoptée. Quand j'ai enfin découvert la photo de ma génitrice, il y a eu un déclic, et un apaisement instantané. Voir le corps d'où je venais donnait enfin une légitimité à mon propre corps d'exister. Je n'avais pas besoin de plus."Pour ce nouvel épisode, j'accueille au micro Ariane pour parler d'adoption. Ariane est née au Brésil et a été adoptée par ses parents à l'âge de deux mois. Entourée d'amour, évoluant dans un milieu privilégié, Ariane n'a jamais envisagé une seule seconde que son adoption puisse être un sujet, même si à l'école, déjà, certains enfants lui renvoyaient au visage le fait qu'elle n'avait pas de "vrais parents".Une fois adulte, Ariane a commencé à se poser des questions sur l'identtité et l'histoire de la femme qui lui a donné naissance. Ariane nous raconte. Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour ce nouvel épisode, j'accueille au micro Louise pour parler de dyslexie. La dyslexie touche 5 à 10% de la population française, soit 3 à 6 millions de personnes. C'est un trouble de l'apprentissage qui affecte la lecture, l'écriture et parfois le langage.Louise nous raconte comment elle a grandi sans comprendre pourquoi lire et orthographier était si difficile pour elle, et si simple pour les autres. Une lenteur qui a mis à mal sa confiance en elle et ses capacités, jusqu'au diagnostic final posé à ses 30 ans.Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus.Merci Louise pour ta confiance. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"Adolescente, chaque rupture me faisait tomber en dépression. Je ressentais toutes les émotions intensément. C'est plus tard que le diagnostic a été posé et que j'ai compris."Pour ce nouvel épisode, j'accueille au micro Marine pour parler de santé mentale et de bipolarité. Durant toute son enfance et adolescence, Marine vivait très fort ses émotions ou tombait en dépression. C'est dans la vingtaine que le diagnostic est posé : Marine souffre de bipolarité. Marine nous raconte comment elle a appris à vivre avec sa maladie et nous explique comment mieux la comprendre. Merci Marine pour ta confiance. Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"Je voulais fermer le premier livre du début de ma vie et je voulais en ouvrir un autre. Mais le vie ne se passe pas comme ça, ce sera toujours le même livre. Les blessures du passé non guéries se réinvitent." Pour ce nouvel épisode, j'accueille au micro Céline pour parler de violence intra-familiale et de la violence des hommes. Céline raconte comment son père, médecin, a essayé à plusieurs reprises de tuer sa mère. Céline nous raconte également levée d'amnésie traumatique qui est survenue bien des années plus tard. Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour ce nouvel épisode, j'accueille au micro Lucie pour parler de harcèlement scolaire. Dès la primaire, Lucie fut victime de harcèlement à cause de la maladie de sa mère, qui était bipolaire et donc différente. Lucie nous raconte les années à l'école, sans ami, rejetée et violentée par les autres enfants, sans qu'aucun adulte ne prenne vraiment cela au sérieux. Lucie témoigne aujourd'hui pour aider toutes les personnes qui traversent ce qu'elle a traversé et pour sensibiliser sur les ravages du harcèlement. Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour ce nouvel épisode, j'accueille au micro Mélodie pour parler de relation amoureuse toxique. Quand Mélodie rencontre ce garçon, très vite, de premiers signaux montrent que l'histoire ne pourra pas marcher. Mais ils étaient ensemble au lycée, ils se sont retrouvés 10 ans après par hasard, Mélodie veut croire au destin, se dit que c'est lui, et est prête à tout pour faire réussir cette histoire. Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"Dans le monde du sport, tout le monde est blessé, tout le temps. Et pourtant, après quelques jours, tu dois y retourner, il faut jouer. Les coachs s'en moquent que tu aies mal, l'essentiel est que tu performes."Pour ce nouvel épisode, j'accueille au micro Simone pour parler de sport de haut niveau et de handicap invisible. Simone nous raconte son histoire de handballeuse professionnelle et comment elle a tu pendant toutes ces années son handicap, jusqu'au moment où les limites de son corps l'ont rattrapée. Comment oser parler de vulnérabilité dans le milieu du sport qui ne parle que de performance et de réussite et qui oublie la santé des joueurs, qu'elle soit physique ou mentale ? Simone nous raconte.Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus.Merci @sy_thiero pour ta confiance.Le livre de Simone : L'image du sportif français. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"L'amnésie traumatique, ça fait comme un flash quand ça revient. Quand j'ai eu mon premier petit copain, plusieurs flashs sont remontés à la surface." Pour ce nouvel épisode, j'accueille au micro Circé pour parler d'un fléau qui est partout dans notre société : l'inceste. Circé nous raconte l'amnésie traumatique puis les flashs qui reviennent à l'adolescence, la fabrique du silence et la difficile reconstruction des survivantes et survivants, terme qu'elle préfère à celui de victime. Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus.Merci Circé pour ta confiance. Les ressources pour aller plus loin : - Pour rejoindre le serveur Discord créé par Circé pour les victimes d'inceste : https://discord.gg/duRP4NRMuv- Le livre évoqué dans l'épisode : Le berceau des dominations, de Dorothée Dussy Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"J'étais devenue le jouet de la maladie. Le paradoxe, c'est que la jeune femme anorexique pense être en plein contrôle alors qu'en fait, la maladie la contrôle."Pour ce nouvel épisode, j'accueille au micro Salomé pour parler de troubles du comportement alimentaire. Salomé a été anorexique durant ses années de lycée et nous raconte son histoire : comment cette maladie, qu'elle pensait très bien contrôler, a progressivement pris tout le contrôle sur elle, avec le refus de voir son corps reprendre du poids.Salomé témoigne aujourd'hui pour aider toutes les personnes qui traversent ce qu'elle a traversé.Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"Si je ne m'occupe pas de maman et pas de papa, qu'est-ce que je fais et qui suis-je ? Je me suis oubliée pour avoir comme unique but de prendre soin de mes parents."Pour ce nouvel épisode, j'accueille au micro Mathilde pour parler d'un thème qui parlera à beaucoup : celui des parents dysfonctionnels. Depuis qu'elle est petite, Mathilde a dû s'occuper et prendre soin de ses parents, notamment de son père, atteint de bipolarité. Comment se construire en tant qu'enfant puis adulte quand notre mission de vie a toujours été de faire en sorte "que papa et maman aillent bien" ? Comment se construire quand les rôles s'inversent ? Mathilde témoigne et nous raconte. Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"Je n'ai pas voulu entendre les alertes de mes amies. En m'installant avec lui, j'ai découvert une toute autre personne. Je découvre quelqu'un de colérique, de violent verbalement, de très possessif."Pour ce nouvel épisode, j'accueille au micro Alicia pour parler d'emprise et de violence conjugale. Quand Alicia se met en couple avec ce copain d'enfance, tout est idyllique au début. C'est l'amour fou, tout va bien dans les premiers mois... puis tout commence à se dégrader. Alicia nous raconte les premiers excès de colère, puis de violence, la jalousie et le mécanisme d'emprise qui se met en place. Alicia souffre mais Alicia l'aime, et n'arrive pas à le quitter, et s'isole progressivement de ses proches. Puis déclic après déclic, crise après crise, Alicia finit par retrouver sa liberté. Elle nous raconte, pour aider les autres femmes. Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"J'avais coché toutes les cases, mais je n'étais pas heureuse. Je me sentais étouffée dans une cage dorée. J'ai arrêté d'écouter ce que me disaient les autres et j'ai quitté l'homme avec lequel j'étais." Pour ce nouvel épisode, j'accueille au micro Mathilde pour parler d'une crise particulière, qu'on pourrait qualifier de crise identitaire : à la naissance de sa fille, Mathilde a connu une déflagration. Elle ne savait plus qui elle était en tant que femme, qui elle était en tant que mère, qui elle était en tant que conjointe. Mathilde avait suivi le chemin tout tracé : avoir un bon travail, se mettre en couple, acheter, avoir un confort matériel, et maintenant un enfant. Mathilde pensait tout avoir mais à la naissance de sa fille, elle a découvert qu'elle n'avait peut-être rien de ce qu'il lui fallait. Mathilde nous raconte son cheminement et les crises qui l'ont jalonné. Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"La société ne nous encourage pas à reprendre du poids. J'avais été hyper validée quand j'en avais perdu : "wahou, tu es de plus en plus mince". Je cherchais la validation des autres. C'était l'époque Kate Moss et des magazines féminins. J'avais besoin de plaire pour me sentir exister." Pour ce nouvel épisode, j'accueille au micro Florence pour parler des injonctions à la beauté et à la minceur, à l'origine de beaucoup de souffrances et de troubles du comportement. Florence faisait beaucoup de sport, comptait chaque calorie et contrôlait tout ce qu'elle mangeait. Et cela fonctionnait.... jusqu'au moment où Florence a voulu devenir maman et en arrêtant la pilule, a découvert qu'elle n'avait plus de règles. Son corps, qui recevait si peu d'énergie et en dépensait beaucoup, avait décidé de couper les fonctions qui n'étaient pas vitales à sa survie. Florence nous raconte.Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"Je faisais semblant d'être en bonne santé, je minimisais ce que j'avais, je ne voulais pas que le regard des autres change, ou inquiéter mes proches. "
"Il était très jaloux. Je devais lui faire une photo avec mes amies quand je sortais pour lui prouver que j'étais bien avec mes copines."Dans ce nouvel épisode, j'accueille au micro Flo pour parler de relation amoureuse toxique et abusive. Flo nous raconte cette histoire d'amour, des débuts fous et romantiques, en passant par les premiers doutes qu'on perçoit mais qu'on préfère laisser de côté, jusqu'à ce que les crises, les ascenseurs émotionnels et les tentatives d'emprise deviennent le quotidien. Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"J'ai passé les 5 derniers jours de la vie de ma mère à ses côtés. Ce fut un moment douloureux, mais aussi très fort, et réparateur." Dans ce nouvel épisode, j'accueille au micro Anne pour parler du rôle d'aidant, et d'une épreuve que nous serons toutes et tous amené·es à traverser : celle de dire aurevoir à un parent. Anne nous raconte les derniers mois passés aux côtés de sa mère, et tout particulièrement les 5 derniers jours où elle est restée à ses côtés, dans la chambre d'hôpital, pour être auprès d'elle jusqu'au bout. Comment dire aurevoir à un parent et comment se passe l'après ? Anne nous raconte. Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"J'étais obligée de faire l'amour à chaque fois qu'il en avait envie. Pour lui, mon rôle de femme était de faire l'amour sur demande. Si je refusais, c'était les excès de colère."Dans ce nouvel épisode, j'accueille au micro Audrey, pour parler d'emprise et de violences conjugales. Audrey a subi pendant plusieurs années la maltraitance psychologique et sexuelle de son mari : Audrey devait lui consacrer l'intégralité de son temps et répondre à toutes ses envies sexuelles.Je précise que cet épisode a été enregistré il y a plus d'un an. Nous avons attendu avec Audrey qu'elle puisse être séparée de cet homme, dans son nouveau logement avec ses enfants, pour le publier. Un immense merci à Audrey pour son témoignage qui, nous l'espérons, pourra être le déclic pour les nombreuses femmes victimes de violences conjugales. Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"La vie est trop courte pour ne pas être soi. C'est pas simple mais je ne me suis jamais senti aussi bien depuis que je peux dire : je suis une personne non binaire. La fierté, ça compte beaucoup dans notre communauté, pour contrer la honte qu'on nous a renvoyée. On a besoin d'être fier. Arriver au moment où je peux dire : "je suis fière d'avoir choisi mon prénom", ça veut dire que j'ai réussi à traverser la honte."Dans ce nouvel épisode, j'accueille au micro Milo pour parler d'identité de genre et de non-binarité. Car être soi et réussir à savoir qui l'on est vraiment, ce n'est pas toujours simple, et c'est même parfois douloureux.Milo nous raconte son enfance au sein d'une famille aristo et catholique, ses premiers questionnements quand sont arrivées les premières attirances pour des personnes du même sexe, puis comment son orientation sexuelle l'a amené à questionner son identité de genre, jusqu'à son changement de prénom. Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans ce nouvel épisode, j'accueille au micro Nicolas pour parler de ce fléau de nos sociétés qu'est l'inceste. Et c'est en parlant, encore et encore, que nous arriverons à briser le silence et l'impunité. Car l'inceste n'est pas "chez les autres", comme on aimerait le penser, il est partout : un Français sur 10 en a été victime, soit presque 7 millions de personnes. Cela représente 3 élèves dans une classe de 30 enfants. Comment l'impensable peut se produire dans la famille ? Pourquoi parle-t-on de fabrique du silence ? Comment oser en parler ? Pourquoi bien souvent, on ne le fait pas, ou longtemps après ? Nicolas nous partage son histoire pour nous aider à comprendre et nous donne les clefs pour qu'ensemble, nous puissions empêcher que cela continue. Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"Quand un parent est toxique, on s'en rend compte plus tard, en grandissant, quand on est petits, on ne sait pas que ce n'est pas normal ou acceptable."
"Je ne savais pas mettre des mots sur mes émotions et sur ce que je ressentais, je ne savais même pas que le mot angoisse existait." Pour ce nouvel épisode, j'accueille Fio au micro d'En Crise pour parler du trouble de la personnalité borderline. Fio nous raconte son long cheminement pour réussir à mettre des mots sur ce qu'elle vivait : des émotions ressenties de manière trop intense, voire insupportable, l'envie de se faire du mal, les changements d'humeur ou encore le syndrome de dépersonnalisation. Diagnostiquée à 28 ans, Fio s'engage aujourd'hui pour faire connaître ce trouble de la personnalité, première étape nécessaire pour mieux comprendre, mettre des mots et ainsi mieux vivre cette différence. Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"Je ne sais pas mettre de limites ou me protéger, j'ai toujours été très anxieux. La cocaïne est arrivée comme une réponse, une solution."Pour ce nouvel épisode, j'accueille Gabriel au micro d'En Crise pour parler d'addiction, et plus précisément d'addiction à la cocaïne. J'avais plein de questions pour Gabriel : pourquoi commence-t-on à en prendre ? Comment se crée l'addiction ? À quel moment conscientise t-on que la consommation n'est plus sous notre contrôle ? Gabriel répond à toutes ces questions dans l'épisode.On y parle aussi du monde de la fête, de toxicité familiale et amicale, ou encore de prise de conscience et découverte de soi pour ne plus être agi par notre passé. Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"Il est quasiment impossible de se défaire complètement d'un TOC, mais on arrive de plus en plus à diminuer son impact sur nos vies. Si je suis fatiguée ou stressée, ce sera plus fort."Pour ce nouvel épisode, j'accueille Fanette au micro d'En Crise pour parler de troubles obsessionnels du comportement, plus connus sous le nom de TOC. J'ai des proches ou des amis qui ont été touché·es par ces troubles, et je suis pleine de gratitude pour ce témoignage que Fanette nous partage, pour mieux en comprendre les mécanismes, pour se sentir moins seul·es quand on est touché·es ou pouvoir mieux accompagner nos proches. Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Pour les ressources sur le sujet, voici quelques comptes Instagram : @marjorie.goubin.therapeute@berenicelefebvrepsy@parlons_TOC Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour ce nouvel épisode, je suis heureuse d'accueillir Audrey. Je n'ai pas d'autre mot pour la décrire que de vous dire qu'Audrey fait partie de ces femmes qu'on n'oublie pas. Quand on est en sa présence, on se sent capable de soulever des montagnes, sa foi et son énergie sont contagieuses. Audrey vient témoigner au micro pour nous raconter le bouleversement que fut son accouchement et la césarienne d'urgence qu'elle a dû subir. Elle nous raconte comment tout a basculé dans l'urgence, le bloc opératoire, les mains attachées, la peur et la perte de connaissance, et le trauma qui s'ensuit : la sensation d'avoir tout raté, la culpabilité et le ventre balafré. Le tout avec un manque d'information et d'accompagnement criants. Suite à cet événement, Audrey a décidé de monter son entreprise Wounded Women pour accompagner et soulager la cicatrisation des femmes, qu'elle soit physiques ou psychologiques. Audrey nous raconte. Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour ce nouvel épisode, je suis heureuse d'accueillir Julie, dont la vie bascule à l'aube de ses 40 ans, quand elle apprend qu'elle est atteinte de la sclérose en plaques. Mais comme l'aime le rappeler Julie, sa vie n'est pas foutue, loin de là, elle est juste différente. Et parce que la vie ne se résume pas à l'annonce d'une maladie, on parle dans cet épisode de l'enfance de Julie, des multiples divorces de ses parents et de sa grande fratrie à rallonge, de son burn-out et dépression, mais aussi de toute la beauté de cette vie, des rencontres humaines, d'amour et d'entreprenariat, et des magnifiques projets professionnels que Julie a lancé et qu'elle nous raconte.Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
« J'ai vécu une relation toxique et maltraitante. Pour tout le monde, c'était le gendre idéal. Ce que personne ne voyait, c'est qu'il me maltraitait ».
Pour ce nouvel épisode d'En Crise, je voulais créer une ressource pour plusieurs de mes ami-es et proches qui ont vu le cancer arriver dans leur famille. Et je sais malheureusement que nous sommes trop nombreux dans ce cas.
J'accueille aujourd'hui au micro Louise, pour parler d'un sujet que je trouve fascinant. On va parler aujourd'hui de folie, la vraie, celle que les médecins appellent "Psychose" ou encore "Bouffée Délirante". Louise nous raconte et nous amène avec elle dans ses crises et nous raconte ce que cela signifie, quand on perd littéralement pied, que notre cerveau nous joue des tours et que les hallucinations viennent altérer notre vision du monde. Quand la notion de jour et de nuit, puis la notion du temps tout court, disparaît.On aborde aussi ensemble les traitements médicamenteux, qui soulagent, mais qui coupent également toutes émotions, et ce que ça fait de devenir un robot, quand on finit par ne plus rien ressentir. Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour ce nouvel épisode, j'accueille au micro Bénie, qui fut une rencontre marquante, j'ai adoré ré-écouter chaque minute de son histoire, que Bénie nous raconte avec tellement de vie, d'humour et de sagesse. Bénie a perdu ses triplés à 6 mois de grossesse, cela pourrait être un épisode accablant et si difficile à écouter. C'est tout le contraire. Je vous laisse découvrir. Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
J'accueille aujourd'hui Elodie Emo pour parler de relations amoureuses. L'anecdote autour de cet épisode, c'est qu'il devait être sur le post-partum et au dernier moment, en se retrouvant avec Elodie, elle m'a proposé de changer le sujet de son témoignage pour une autre crise, pour me parler d'une relation amoureuse toxique et maltraitante qu'elle a eue plus jeune. Je venais justement de faire un appel à témoignage sur le compte instagram d'En Crise sur ce sujet, drôle de synchronicité. Cet épisode parle d'une relation amoureuse maltraitante, mais aussi de ce que nous transmettent, malgré eux, nos parents, et comment dans la fratrie chacun exprime cela différemment.Elodie nous raconte comment elle est tombée dans l'emprise et comment partir ou fuir fut devenu impossible. Elle nous raconte comment, brique après brique, elle a réussi à se défaire de cette relation. Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour ce nouvel épisode, j'accueille au micro Amélie qui nous raconte la longue acceptation de sa maladie auto-immune, l'alopécie, plus connue sous le nom de pelade. Il y aurait environ 80 000 personnes – hommes et femmes – qui seraient atteints de pelade en France. Dans 50 % des cas, la maladie survient pendant l'enfance et, dans 80 %, avant l'âge de 40 ans.Amélie nous raconte les longues années passées à cacher sa différence, toutes les stratégies mises en place et la charge mentale quotidienne pour s'assurer de ressembler à tout le monde. On évoque ensemble plein de sujets : l'importance des représentations pour pouvoir avoir des rôles-modèles auxquels s'identifier, le tabou de la perte de cheveux quand il se conjugue au féminin : comment s'accepter si le reste de la société nous dit qu'il faut avoir une belle chevelure pour être considérée comme une femme ou séduisante, et aussi la culpabilité liée aux maladies auto-immunes : "on se dit, cette maladie vient de moi, c'est mon propre corps qui l'a créé donc j'en suis responsable."Vous écoutez en Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour ce nouvel épisode, je suis heureuse d'accueillir au micro Shelley pour parler de burn-out maternel. Shelley me confie qu'à l'époque, il y a 18 ans, quand elle a fait sa dépression post-partum, elle pensait qu'elle était nulle. Il n'y avait pas les réseaux sociaux, personne n'en parlait, et elle pensait vraiment qu'elle était la seule dans cette situation, la seule à ne pas savoir pourquoi son bébé pleure, la seule à être fatiguée, à en avoir marre, à n'en plus pouvoir. Car oui, c'est dur d'être parent, et encore plus d'être mère. Une étude de l'Ifop de l'année dernière indique qu'une femme sur 3 déclare vivre un véritable burn out maternel, qui a été accentué par la pandémie et 43% des mères déclarent ne pas se sentir accompagnées au quotidien dans la gestion de la vie familiale. Presque 1 sur 2.Dans cet épisode, Shelley nous raconte son histoire et nous emmène avec elle dans sa découverte du développement personnel, de l'éternel quête du bonheur, et son projet d'écriture qui a donné vie à son premier livre : Le chemin du bonheur est parsemé de cailloux (et de crottes de chien), aux éditions Eyrolles.Vous écoutez en Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"C'est pas pour l'alcool qu'on consomme, c'est pour son effet. L'alcool me permettait de combattre ma timidité. Je me sentais vraiment bien et à l'aise avec les autres quand je buvais."Pour ce nouvel épisode d'En Crise, j'accueille au micro Olivier qui nous raconte avec courage comment il est tombé dans le piège de la dépendance à l'alcool. On va parler de ce fléau qui se répand dans toutes les sphères de la société, quelle que soit votre classe sociale, votre sexe ou votre âge.Pour toutes celles et ceux ayant grandi dans une famille française, on a tous vu, de près ou de loin, les dégâts de l'alcool : les accidents, l'agressivité et la violence, les divorces, les maladies, et les décès : "c'était un bon vivant, donc il en est mort". En France, c'est plus d'un adulte sur cinq qui dépasse les seuils de consommation dits acceptables. L'alcool est la première cause d'hospitalisation et c'est la deuxième cause de mortalité évitable en France après le tabac, à l'origine de 49 000 décès par an.Olivier nous raconte son chemin vers la sobriété, les mécanismes vicieux de la dépendance qui prennent le contrôle sur vous, et la puissance des réunions des Alcooliques anonymes.
Pour ce nouvel épisode, j'accueille au micro Mathilde pour parler d'amour de soi, ou plutôt de désamour.Depuis la puberté, Mathilde déteste son corps, qu'elle voit soudainement grossir, sans comprendre pourquoi. Elle consulte des médecins qui lui répondent qu'elle n'a qu'à faire des efforts : manger moins et faire plus de sport. Mais Mathilde sent bien qu'il y a quelque chose qui cloche, et que ses jambes et surtout ses mollets sont anormalement gros par rapport au reste de son corps. Mathilde finit par découvrir elle-même sa maladie : le lipoedème. Au-delà de l'aspect esthétique très difficile à vivre et à accepter, il y a aussi les symptômes : jambes lourdes, qui deviennent très douloureuses quand les températures montent, hématomes, nodules sous la peau, gonflements ...Les conséquences sur la santé physique et mentale sont loin d'être anecdotiques. Et comme souvent, quand ce sont des "désagréments" féminins, il n'y a pas de traitement, la seule chose qu'on vous dit, c'est de porter des collants de contention.Le lipoedème est une maladie reconnue en 2019 par l'OMS mais que l'assurance maladie en France ne reconnaît pas. Mathilde nous raconte son histoire. Vous écoutez en Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Retrouvez ci-dessous les ressources évoquées dans l'épisode :- @Emmymakeuppro sur instagram- Claire Fourneaux @lipoedeme_en_claire sur instagram- Manon, thèse de médecine sur le parcours patient #lipoedeme @lipoedm sur instagram Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
J'accueille aujourd'hui au micro d'En Crise Roxane qui prend la parole pour la première fois sur son interruption médicale de grossesse à presque 7 mois, après détection d'une anomalie génétique rare. Le monde de Roxane s'écroule à l'annonce de cette nouvelle qu'elle pressentait avec angoisse depuis plusieurs semaines. L'angoisse devient vertigineuse quand elle comprend que cela se fera par un accouchement classique.C'est via les témoignages d'autres parents touchés par ce drame que Roxane a retrouvé de l'espoir : l'espoir qu'un jour, ce cauchemar soit un peu derrière elle, et qu'un jour, elle serait capable de vivre avec. C'est le cas aujourd'hui et c'est la raison pour laquelle Roxane veut à son tour prendre la parole : pour briser le tabou et le silence autour de la perte de nos enfants, pour tendre la main aux parents qui sont en plein dans la tempête et pour leur dire " je sais que c'est horrible, je sais que la souffrance est immense, je sais que ça ne va pas, mais un jour, ça ira, un jour, vous pourrez vivre avec. Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
J'accueille aujourd'hui Eva, survivante de violences conjugales, qui a accepté de témoigner au micro d'En Crise pour nous partager son histoire. Pour que son témoignage puisse aider d'autres femmes à prendre conscience qu'elles en sont victimes. Et pour apporter l'espoir qu'il est possible d'en sortir. Pour un rappel des chiffres, ces violences ont fait plus de 200 000 victimes en 2021, et 87% de ces victimes sont des femmes. Ce chiffre a quasi doublé depuis 2016, et il reste bien en deçà de la réalité, notamment avec la violence psychologique qui continue de passer sous les radars. En quittant son ex-conjoint, Eva a compris que la violence ne serait pas finie, car il y avait son fils. Les chantages, menaces et intimidations autour de la garde de l'enfant ont pris le relai des violences conjugales. C'est de cette douloureuse expérience qu'est né le projet lancé par Eva : Ti3rs, une application mobile qui sécurise les communications des parents séparés dans un contexte de violences conjugales, pour faire rempart aux agressions verbales et au harcèlement et permettre ainsi un échange plus sécurisé avec l'ex-conjoint dans un espace où toutes les communications sont enregistrées et les insultes censurées automatiquement.Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
J'accueille au micro Alice, que j'ai connue grâce au media @petite.mu_ sur les handicaps invisibles. Quand on prononce le mot handicap, souvent, une des réactions que l'on peut avoir est de détourner son regard ou d'éviter d'en parler, car on n'est pas à l'aise, ou on ne se sent pas concerné-es.Alors spoiler, si, on est tous concernés. Quelques chiffres : 80% des personnes en situation de handicap souffrent d'un handicap invisible, soit 9 millions de personnes qui sont handicapées, sans que cela ne se voit. Rien qu'avec le cancer, qui est un handicap invisible, on touche 1 famille sur 2. C'est donc l'affaire de tou-tes : soit parce que l'on est directement concerné-es, soit parce qu'un-e ami-e, ou un-e proche, l'est. Le handicap invisible est multiple : maladie auto-immune, troubles psy, l'après cancer ou l'après AVC, maladies chroniques comme l'endométriose, pour ne citer que quelques exemples. Quand Alice apprend qu'elle est malade, elle part à la recherche de témoignages pour se sentir moins seule - témoignages qu'elle ne trouve pas. De là naît Petite Mu., médias pour rendre visible l'invisible. Du jour où le diagnostic est posé, en passant par l'acceptation de la maladie jusqu'à la création de son média, Alice nous raconte. Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Crédit photo : Laëtitia P. @jamayaphotography Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
A 24 ans, Jodie s'est faite mise à la porte par ses parents. Elle est passée de l'enfant prodige à une moins que rien en l'espace de quelques secondes. Ses parents ont décidé de la renier et de la rayer de leur vie. Et chaque jour qui passe, ils refont ce choix. Jodie nous raconte, avec tout le courage, le charisme, la force de son phrasé et de ses mots. Vous écoutez en Crise, le podcast pour aider à remettre du sens lorsqu'il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'amnésie traumatique, c'est comme si on avait été drogué, on a une sorte de black-out et on ne se souvient plus du tout de ce qu'il s'est passé. Ce nouvel épisode d'En Crise parle d'un sujet qui reste encore trop tabou et passé sous silence : l'inceste. Peut-être même qu'en écrivant ce mot, je vous ai déjà perdus, et vous n'avez plus envie d'écouter l'épisode parce que l'inceste dérange. Il existe un tabou anthropologique sur ce crime mais "s'il est tabou de dire l'inceste, il n'est clairement pas tabou de le faire"*. C'est un crime si répandu qu'on en vient à parler de culture de l'inceste en France. On se parle d'une personne sur dix qui est victime d'inceste dans son enfance, soit presque 6 millions de victimes, le plus souvent des femmes, ou plutôt des petites filles.* L'inceste est un crime contre l'humanité de l'enfant, un crime généalogique, qui concerne toutes les classes sociales. Aujourd'hui, Marion témoigne au micro d'En Crise sur l'inceste qu'elle a subi dans son enfance et nous raconte les étapes qui ont suivi : amnésie traumatique, flashs qui reviennent des années plus tard, déni, fabrique du silence et chaos intérieur. Puis enfin libération progressive de la parole et reconstruction. Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. #podcast #inceste #trauma #viol #agressionsexuelle #thérapie #reconstruction *sondage Ipsos de novembre 2020*Juliet Drouar, thérapeute, artiste, auteur Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cet épisode sort avec quelques jours de retard, suite à la perte brutale de mon père. Il écoutait d'ailleurs assidûment chacun des épisodes, lui qui ne savait pas trop ce que signifiait le mot podcast. Je lui dédie cet épisode, qu'il écoutera de là-haut, avec la douce voix de Colombe, mon invitée. Colombe nous raconte sa vie amoureuse, sa dernière et douloureuse rupture et pourquoi il est important de savoir bien se quitter. Colombe nous raconte également le processus de PMA en solo qu'elle a initié. Cet épisode est l'occasion de parler d'amour, de vie, et des crises qui jalonnent notre vie. Aujourd'hui, peut-être plus que n'importe quel autre jour, j'ai besoin de remettre du sens dans tout ça, le "ça" étant nos vies. Suite au décès de mon père et au vide brutal que ça laisse, les premières sensations anesthésiées que j'ai eues ont été : mais quel est le sens de tout ça ? À quoi bon ? À quoi ça sert ? Quel est le sens, car là, je ne le vois plus ? Vous écoutez En crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour ce nouvel épisode, je suis heureuse de donner la parole à Marianne au micro d'En Crise. Marianne incarne parfaitement ce qu'on appelle "sublimer" une crise. A 28 ans, alors qu'elle venait de mettre le point final à sa thèse de droit, Marianne s'écroule. Elle croit d'abord à un surmenage mais la douleur est telle, que le SAMU arrive : à 28 ans, Marianne était en train de faire une crise cardiaque. De là commence son long cheminement et combat sur l'errance diagnostique autour des maladies rares.Marianne vient de publier une bande dessinée que j'ai eu l'honneur de lire en avant-première et qui raconte avec finesse, optimisme et humour ce qu'elle a traversé, pour sensibiliser le grand public et les acteurs de la santé aux maladies rares. Pour éviter aux autres ce qu'elle a dû traverser, avec les séquelles qui restent les siennes aujourd'hui.
Joelle a été victime de harcèlement moral, sexuel et institutionnel et nous partage aujourd'hui son témoignage au micro d'En Crise avec le courage et la force qui la caractérisent, car "le mot victime ne fait pas partie de son vocabulaire."Joelle y décrypte les mécanismes du harcèlement qu'elle a subi et nous raconte comment il peut gangréner les entreprises de l'intérieur. Cette histoire de harcèlement a failli lui coûter la vie mais puisqu'elle n'était pas morte, Joëlle était déterminée à aller au bout, confronter ses agresseurs au tribunal et se battre pour son intégrité et pour que justice soit faite.Joëlle est maintenant la fondatrice et présidente de l'entreprise et l'association Rez Alliance, pour à la fois aider les personnes victimes de harcèlement et accompagner les entreprises à éradiquer ce fléau en interne. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"Ce choc m'a fait vaciller. Et cette vulnérabilité a rouvert des blessures du passé que je pensais guéries. Comme des démons qui attendent dans l'ombre le bon moment pour resurgir".Merci beaucoup à Sylvain, qui a accepté de témoigner, et de venir nous raconter la crise qu'il a traversée avec sa femme. Cet épisode parle de deuil, lorsqu'on nous annonce à 3 mois que la grossesse espérée s'est arrêtée, et que le cœur de l'enfant ne bat plus. Sylvain nous raconte cette crise et sa douleur, de son point de vue masculin, de conjoint. Et la minimisation de ce drame par nos sociétés, car "vous savez, avant 3 mois, c'est classique, regardez les statistiques".Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens lorsqu'il n'y en a plus. Bonne écoute. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.