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Tous les week-ends en fin de matinale, une personnalité se confie pendant quelques minutes lors d'un entretien avec Julia Vignali.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pourquoi on a des fourmis dans les jambes ?Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Histoires du soir : podcast pour enfants / les plus belles histoires pour enfants
Pourquoi on a des fourmis dans les jambes ?Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Frédéric est préoccupé par le comportement passif de sa fille de 5 ans et demi à l'école, où elle a du mal à exprimer ses propres choix. L'école a recommandé une consultation psychologique pour aider l'enfant à s'affirmer. Frédéric se demande s'il est pertinent de discuter du contexte familial et de l'histoire de sa fille avec le psychologue. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Jean-Philippe Doux, journaliste et libraire. Élise Goldfarb, entrepreneure. Et Frédéric Hermel, journaliste RMC. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
durée : 00:03:47 - L'info d'ici, ici Gascogne
durée : 02:04:14 - Musique matin du jeudi 15 mai 2025 - par : Jean-Baptiste Urbain - Si elle brille dans le registre baroque, la mezzo-soprano Eva Zaïcik s'empare, dans un disque sorti le mois dernier, du répertoire lyrique du XIXe siècle. À l'occasion des cent-cinquante ans de la mort de Bizet, elle rend hommage à la créatrice du rôle de Carmen : la chanteuse Célestine Galli-Marié. - réalisé par : Yassine Bouzar
Informations pratiquesSamedi 17 mai :Accès au village: 11h—18hAccès à la mine : 13h—18h/dernier départ pour la mine à 17h Dimanche 18 mai :Accès au village: 10h—17hAccès à la mine : 11h—17h/dernier départ pour la mine à 16hTARIFS : L'accès au village des mineurs, aux ateliers et aux animations qui s'y déroulent est gratuit.Visite de la mine Saint-Louis Eisenthür (1h de visite): Adulte—17€/Enfant (5-12 ans)—10€Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pourquoi on entend un écho dans les montagnes ?Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Histoires du soir : podcast pour enfants / les plus belles histoires pour enfants
Pourquoi on entend un écho dans les montagnes ?Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Histoire de 7 minutes racontée par Binyamin BENHAMOU.
Notre critique du film "L'intérêt d'Adam" réalisé par Laura Wanderl avec Anamaria Vartolomei, Léa Drucker et Alex Descas. Ce film est présenté ouverture de la Semaine de la Critique au Festival de Cannes 2025Abonnez-vous au podcast CINECAST sur la plateforme de votre choix : https://smartlink.ausha.co/cinecast --- Titre : L'intérêt d'AdamSortie : 01 octobre 2025Réalisé par Laura WandelAvec : Anamaria Vartolomei, Léa Drucker et Alex DescasSynopsis : Adam, 4 ans, est hospitalisé pour malnutrition à la suite d'une décision de justice. Lucy, l'infirmière en chef autorise la mère d'Adam à rester auprès de son fils au-delà des heures de visite fixées par le juge. Mais la situation se complique quand celle-ci refuse une nouvelle fois de quitter son fils. Dans l'intérêt de l'enfant, Lucy fera tout pour venir en aide à cette mère en détresse.#LInteretDAdam #Cannes2025 #CINECASTHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Jean-Loup Bonnamy débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le père Charles-Thierry Ndjandjo répond en 3 minutes à la question que se pose Ahlin, 28 ans : "Je voudrais savoir si on peut baptiser un enfant sous un prénom autre que celui d'un saint...". Vous aussi, posez vos questions à pourquoipadre@ktotv.com.
49 Afrikaners, ces Sud-Africains blancs descendants de colons néerlandais, sont attendus ce lundi (12 mai 2025), aux États-Unis. Hier, ils ont pris place à bord d'un vol charter affrété par les États-Unis, nous apprend le New York Times qui les a suivis à l'aéroport hier, à Johannesburg. Ces Afrikaners, descendant pour la plupart de colons néerlandais, fuient, disent-ils, les persécutions, les discriminations dont ils sont victimes dans leur pays natal. Ils affirment ainsi «avoir été la cible de violence» ou «s'être vus refuser des emplois» en raison de la couleur de leur peau. Au cœur du problème, en réalité, se trouve la question des terres. Comme l'explique le New York Times, les terres agricoles des Sud-Africains blancs qui ne représentent que 7% de la population, couvrent plus de la moitié du pays. Depuis peu, une loi autorise les autorités à exproprier sans dédommager les propriétaires. Pas sûr que cela soit juridiquement faisable, souligne le quotidien. Mais cela inquiète beaucoup d'Afrikaners. En mars, les États-Unis affirmaient avoir reçu 8.000 demandes d'asile. Les Afrikaners qui arriveront ce lundi, auront en effet le statut de réfugiés. Donald Trump «a suspendu la quasi-totalité des admissions de réfugiés fuyant la famine et la guerre, en provenance de pays comme le Soudan ou la République démocratique du Congo. Mais il a créé une voix d'entrée accélérée pour les Afrikaners, une minorité ethnique blanche à l'origine du régime brutal d'apartheid en Afrique du Sud.»Une initiative de l'administration Trump qui suscite des critiques de la part d'associations qui viennent en aide aux migrants, mais aussi du gouvernement sud-africain qui y voit, comme le rapporte le New York Times, une «tentative politique visant à discréditer le pays». Les États-Unis, de leur côté, reprochent au pays dont est originaire Elon Musk, «ses relations étroites avec l'Iran et sa position ferme contre Israël.» Donald Trump n'aurait pas digéré la plainte pour génocide déposée devant la Cour internationale de justice au sujet de la guerre à Gaza. Plus de la moitié de la population haïtienne souffre de la faimEn Haïti, la presse fait état de nouvelles violences qui ont empêché la tenue d'un référendum constitutionnel annoncé pour hier. Les gangs ont de nouveau attaqué Furcy et Kenscoff et ont été repoussés par la police, nous apprend Alterpresse. Déjà, la semaine dernière, la police avait réussi à reprendre le contrôle du sous-commissariat de Furcy. Cette fois-ci, «plusieurs membres de la population, qui avaient été kidnappés par les groupes armés, ont été libérés», rapporte l'agence de presse. Depuis plusieurs semaines, les gangs «cherchent à étendre leur contrôle dans les hauteurs de la capitale» et à s'emparer de ces zones semi-rurales, ce qui soulève «des inquiétudes sur la sécurité alimentaire», souligne Alterpresse. La commune de Kenscoff, notamment, est «une importante zone de production agricole pour la capitale». Or, la faim est un problème majeur en Haïti. Désormais, près de 6 millions de personnes se trouvent en insécurité alimentaire aigüe, comme l'explique Martine Villeneuve, directrice de l'ONG Action contre la faim en Haïti, à Achim Lippold. Le Pérou, confronté à une vague de violencesNotre dossier du jour nous emmène au Pérou, pays confronté à une insécurité et une criminalité grandissantes. Les chiffres augmentent de manière exponentielle : on déplore 700 homicides depuis le début de l'année. Dans la capitale, Lima, les assassinats et les extorsions sont quotidiens. Reportage de Martin Chabal. Venezuela : inquiétudes autour du sort d'un membre de l'ONG ProveaLes proches de l'avocat Eduardo Torres, membre de l'équipe juridique de l'organisation de défense des droits humains Provea, sont sans nouvelles de lui depuis vendredi. Il était «régulièrement ciblé par des menaces et des actes de harcèlement de la part de représentant·es des forces de sécurité de l'État vénézuélien», écrit la Fédération internationale pour les droits humains dans un communiqué. La FIDH dénonce une possible disparition forcée. Andronico Rodriguez, favori de la présidentielle bolivienneLa campagne en vue de la présidentielle du 17 août débute en Bolivie. À gauche, il y a déjà trois candidats : l'actuel président Luis Arce, l'ancien chef de l'État Evo Morales et, donc, Andronico Rodriguez, 36 ans, «l'élève d'Evo Morales», comme le qualifie le quotidien argentin Infobae qui lui consacre un long portrait. Né dans la province de Cochabamba, dans une famille de paysans, Andronico Rodriguez réalise très jeune que pour s'en sortir, il faut faire des études. Il obtiendra un diplôme de sciences politiques à l'Université de Cochabamba. Enfant, il accompagne ses parents à des réunions syndicales. Une fois étudiant, il prend peu à peu des responsabilités au sein des fédérations de producteurs de coca et à 28 ans, il finit par devenir le bras droit d'Evo Morales. Les différentes périodes de turbulences que traverse le MAS, le Mouvement vers le socialisme, lui permettent de se faire connaître, raconte encore Infobae. Élu sénateur en 2020, il prend en même temps la tête de la chambre haute où il se distingue par son sens du compromis.Pour beaucoup, Andronico Rodriguez est le successeur naturel d'Evo Morales, mais lui a choisi de s'émanciper, de prendre ses distances. Aujourd'hui, il pourrait profiter du vide créé par «la guerre intestine que se livrent» Evo Morales et Luis Arce, analyse Infobae. Au sein du bloc cocalero, sa jeunesse séduit. Pour la première fois au sein du mouvement, les syndicats critiquent publiquement l'absence de renouvellement de leurs dirigeants, tout particulièrement d'Evo Morales qui est à leur tête depuis près de 30 ans. L'ex-président pourrait devoir négocier avec son ancien dauphin s'il veut survivre politiquement, estime le quotidien argentin. Journal de la 1èreAu lendemain d'un nouveau drame en Martinique, le préfet Étienne Desplanques était l'invité du journal radio de La 1ère ce lundi matin. Il a réagi à l'exécution en plein jour de trois jeunes hommes dans une rue de Fort-de-France.
Tous les matins, à 6h10 et 6h50 sur Chérie FM, Tiffany Bonvoisin nous présente une info qui l'a marquée !
Françoise a grandi dans un environnement familial toxique, marqué par l'absence émotionnelle de son père et la pression de sa mère pour la féminiser. Cette saison, Joseph Agostini accueille les auditeurs le dimanche soir de 23h à 1h sur RTL au 09 69 39 10 11.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
11.05.2025 - Deviens Grand 1 : La foi d'un enfant by La Cité
Découvrez l'incroyable histoire de Paul Watson. De ses débuts au sein de Greenpeace à la création de Sea Shepherd, il a consacré toute sa vie au combat pour l'écologie. Considéré par certains comme écoterroriste, il est pour d'autres l'incarnation du combat de toute une génération contre le désastre écologique. Explorez la vie de cet homme à travers 4 épisodes passionnants. L'ennemi public des braconniers Paul Watson, fondateur de Sea Shepherd, consacre sa vie à protéger les océans et ses espèces menacées. Enfant déjà, il s'insurgeait contre la violence faite aux animaux, une révolte née d'un choc durant une partie de pêche avec son père. Ancien de Greenpeace, il crée sa propre ONG en 1977 pour agir concrètement contre le braconnage maritime. Sabotages de baleiniers, mandats d'arrêt internationaux, exils : rien n'a jamais entamé sa détermination. En 2024, après six mois de détention, il retrouve enfin la liberté… et continue son combat. Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [INÉDIT] Mystères et légendes : le trésor des Templiers [INÉDIT] Mystères et légendes : le Saint Graal et la vie éternelle [INÉDIT] Mystères et légendes : le fabuleux trésor des cités d'or [INÉDIT] Mystères et légendes : l'Atlantide, la cité disparue sous l'océan Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clément Prévaux Production : Bababam (montage Célia Brondeau) Voix : Florian Bayoux Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Histoires du soir : podcast pour enfants / les plus belles histoires pour enfants
Pourquoi on a des points de côté ? Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pourquoi on a des points de côté ? Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, on découvre qu'un enfant de 8 ans a commandé 70 000 sucettes sur Amazon, débitant sa mère de 4 000 dollars. Heureusement, la commande a été remboursée.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Un parent parfait, ce n'est pas un parent qui répond toujours aux besoins immédiats. C'est un parent qui répond suffisamment bien. »Quel est le véritable impact des adultes sur la personnalité et le développement émotionnel des enfants ? En quoi la sécurité affective et le lien d'attachement forgent-ils des adultes épanouis demain ?Comment être un parent idéal ?Découvrez les réponses dans cet épisode passionnant où je reçois Gabrielle Douieb, psychologue clinicienne spécialiste des psychotraumatismes chez l'enfant. Elle y lève le voile sur la théorie de l'attachement, la construction de la personnalité, et le vrai rôle du parent "suffisamment bon".Au fil de l'épisode, nous décryptons ensemble :✅ La personnalité de l'enfant à travers les notions de tempérament et de caractère✅ Comment l'attachement modèle nos façons d'être, et la capacité d'un enfant à explorer le monde en toute sécurité✅ Pourquoi répondre « suffisamment » aux besoins, poser un cadre, et encourager l'autonomie, forme un équilibre favorable au bon développement de l'enfant✅ L'importance de l'erreur parentale, et la plasticité des styles d'attachement✅ Des clés pour repérer la souffrance psychique, différencier période difficile et vrai mal-être, comprendre l'impact du traumatisme et favoriser la résilienceAu programme :⇒ Qu'est-ce que la personnalité de l'enfant ? (02:17)⇒ Tempérament, inné, acquis : où commence l'influence de l'environnement ? (03:23)⇒ Les dimensions du tempérament chez l'enfant (04:27)⇒ Théorie de l'attachement : origines, définition et illustration (05:11)⇒ Jusqu'à quand a-t-on besoin d'attachement ? (08:19)⇒ Sécurité affective, exploration et autonomie : comment trouver l'équilibre ? (11:20)⇒ Les styles d'attachement et leurs conséquences (13:24)⇒ Le rôle des figures d'attachement et du « village » autour de l'enfant (19:09)⇒ Repérer les signes d'insécurité ou de souffrance chez l'enfant (21:14)⇒ Les effets des psychotraumatismes et comment accompagner l'enfant (27:33)⇒ Les clés d'une parentalité “suffisamment bonne” et l'importance de l'erreur (34:57)Cet épisode nous offre un éclairage précieux et rassurant sur ce qui fait un adulte épanoui… à commencer par l'enfant que nous avons tous été !
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Jean-Loup Bonnamy et Fatima Aït-Bounoua débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Roland Perez. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Samia raconte à Nadjat l'histoire d'un homme qui, après des années de couple et un enfant, n'est pas sûr d'en vouloir un deuxième.Mon podcast en anglais : "What “Couscousgate” Tells Us About French Food" (The Sporkful)Abonnez-vous à la newsletter du Love Gang : tous les mois, un podcast de récap culturel (livres, films, articles...) et un texte sur l'amour ! C'est 5 euros et un super moyen de me soutenir.Envoyez vos histoires d'amour sur cette page, suivez @lelovegang sur Instagram et rejoignez le serveur sur Discord pour débriefer les histoires
Dans cet extrait, Gabrielle Douieb revient sur les origines fascinantes de la théorie de l'attachement, un pilier en psychologie du développement. Elle nous emmène sur les traces de John Bowlby, psychiatre et psychanalyste anglais, qui a étudié l'impact des séparations précoces chez les enfants après la Seconde Guerre mondiale. Gabrielle explique comment Bowlby a démontré l'importance fondamentale du lien affectif pour le développement du jeune enfant, posant les bases de la théorie de l'attachement : ce besoin primaire de proximité, de protection et de réconfort auprès de figures spécifiques. Elle détaille comment les premiers liens influencent la construction des relations futures et la manière dont l'enfant explore le monde. Un passage essentiel pour comprendre pourquoi l'attachement modélise la personnalité sur le long terme.Gabrielle Douieb est docteure en psychologie et psychologue clinicienne au Centre régional des psychotraumatismes chez l'enfant. Dans l'épisode intégral elle nous éclaire sur :❇️ La différence entre tempérament et caractère❇️ Ce qui relève de l'inné ou de l'acquis❇️ Comment la théorie de l'attachement façonne la relation parent-enfant❇️ Des outils concrets et des explications claires sur la sécurité affective et les différents styles d'attachement❇️ L'importance d'être un « parent suffisamment bon » et non parfait, la gestion des erreurs parentales ainsi que l'impact des traumatismes dans le développement global de l'enfantL'épisode intégral est à retrouver sur toutes les plateformes d'écoutes de podcast le 08/05/2025.
REDIFF - C'était il y a trente-cinq ans dans un village tranquille des Alpes-de-Haute-Provence, La Motte-du-Caire, 500 habitants. S'est déroulé ici un crime qui, malgré le temps, hante toujours les mémoires, et qui a fait date dans l'histoire de la justice. La mort abominable de la petite Céline Jourdan, six ans et demi, arrachée à sa famille un soir d'été, violée et tuée selon un scénario qui ne relève que de la barbarie. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:27:46 - L'Entretien archéologique - par : Antoine Beauchamp - Au quoi ressemblait la vie d'un enfant du Paléolithique ? A quoi jouait-il et quelles menaces planaient sur sa vie ? Quel était son rôle dans le groupe de chasseurs collecteurs ? Si ces questions restent complexes, de plus en plus d'études essaient de comprendre l'enfance de l'humanité. - réalisation : Olivier Bétard - invités : Pedro Lima Journaliste scientifique, spécialiste de la Préhistoire
Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs, sexo… En simultané sur RMC Story.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes d'Olivier Delacroix. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les podcasts d'Auden - Interdit aux adultes (X) Le Ski - Raconté par Auden (9 ans).Direction la montagne avec Auden et son petit frère Louison pour un nouvel épisode sur le SKI ! ⛷️❄️Pendant leurs vacances aux Menuires, ils nous parlent de cours de ski, de balade en dameuse, de leur rencontre avec des pisteurs, de chiens de traîneaux, et même d'abeilles ! Un épisode riche en anecdotes et en découvertes !
Quand le rêve d'un troisième enfant se transforme en surprise XXL ! Julie et son mari s'attendaient à tout, sauf à ça... Une grossesse hors norme qui a bouleversé toute la vie de cette petite famille ! Ecoutez Héros avec Faustine Bollaert du 28 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Adrien Joveneau met le cap sur l'Equateur avec Joke Baert, une Belge à la tête d'une réserve naturelle au bord du Pacifique. Elle a fait le chemin inverse de Paola Hidalgo venue étudier l'anthropologie à Bruxelles Née à Bruges, Joke Baert est journaliste et historienne. Enfant, elle rêvait déjà d'Amazonie. Arrivée en Equateur il y a huit ans, elle travaille d'abord à Quito et s'occupe de conservation de la forêt et de défense des droits humains des peuples indiens. A présent installée dans le petit village de Ayampe, elle gère avec son mari la réserve naturelle ‘The Nest', un véritable morceau de paradis terrestre Paola Hidalgo a croisé le chemin de Joke Baert. Née à 2800 mètres dans la capitale équatorienne, elle débarque au plat pays à l'âge de vingt ans pour poursuivre sa formation à l'ULB. Engagée dans l'a.s.b.l. Bruxelles Laïque, elle est active dans le pôle d'études et d'actions politiques. Entre son pays et la Belgique, son cœur balance. Il y a un an, elle opère même une tentative de retour en Equateur Chaque dimanche, traversez mers et océans avec Adrien Joveneau et offrez-vous un voyage immobile avec les Belges du bout du monde, à 9 heures sur La Première ou en podcast sur RTBF Auvio.be et toutes les plateformes de téléchargement Equateur - 27/04/25 Merci pour votre écoute Les Belges du bout du Monde, c'est également en direct tous les dimanches de 9h à 10h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes des Belges du bout du Monde sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/432Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En nuestro anterior podcast grabado precisamente el 21 de abril, fecha en la que oficialmente murió el papa Francisco les empezamos a hablar de los constructores de números. No encontramos casual que el papa falleciese exactamente ese dia, ya que no es un día cualquiera. Es el Natalis Romae, el aniversario fundacional de Roma, ciudad que desde hace más de dos mil años ha sido el epicentro del poder político, religioso y simbólico de Occidente. Y precisamente hoy, en esta fecha cargada de ritual y resonancia, muere el Papa Francisco. En plena resurrección de Jesucristo, uno muere y el otro renace. ¿Casualidad? En este podcast, ya sabéis que no creemos en ellas. Hoy, en Buscadores de la Verdad, vamos a descifrar lo que muchos pasarán por alto: la profunda e inquietante importancia del número 8 en la vida, el legado y la muerte del Papa. Francisco fue el primer Papa jesuita, el primero procedente de América, el Papa de la Agenda 2030, de las vacunas, de la simplificación de los rituales. Un Papa atípico. Y, como veremos, un Papa marcado por el 8 desde el principio hasta el final. Nació un 17 de diciembre de 1936. Fallece un 21 de abril de 2025. 88 años y 125 días después. Un doble 8 y un 1+2+5 = 8. El símbolo del infinito. El equilibrio kármico. El reinicio del ciclo. Pero no acaba ahí: convertido en el octavo Papa enterrado en Santa María la Mayor, bajo un escudo papal alterado misteriosamente para exhibir una estrella de ocho puntas, su historia está plagada de estos guiños numéricos que parecen trazados por una mano invisible. En este episodio vamos a hablar de arquitectura oculta, de rituales milenarios, de cómo la elite que gobierna entre bambalinas utiliza los números y los símbolos como herramientas para construir la realidad. Y en este caso, el número 8 aparece como la clave de todo. Porque cuando entiendes el lenguaje oculto de los que mandan, sabes que todo está diseñado. Desde las fechas, hasta los funerales. Desde los escudos hasta los silencios del Vaticano. El 21 de abril, Roma celebra su nacimiento... y el Vaticano entierra a su Papa más simbólico. La era de Francisco se cierra en un ciclo perfecto, sellado con un 8. ¿Qué se abre ahora? ¿Qué nuevo paradigma se está gestando en la sombra? Prácticamente desde el principio de este podcast, en el UTP8 Universo fractal ya tratamos la importancia de los números y como estos crean la realidad que vivimos. Son, como dijimos en el anterior podcast, los ladrillos del universo. Leere unos pasajes de la tesina “Los conjuntos numéricos a través de la historia” de Veronica Valdez: “En el pasado la matemática fue considerada una ciencia relacionada directamente a las cantidades, en relación con las magnitudes (desde la geometria); a los números (desde la aritmética) o a la generalización de los dos (desde el álgebra). Las primeras nociones de número y la acción de contar datan de la prehistoria. La causa que originó el desarrollo de este conocimiento en el hombre primitivo fue su necesidad de proteger sus bienes, la adaptación a los ciclos que la madre naturaleza le imponía le aseguraban su alimentación. El hombre prehistórico plasmó los primeros indicios matemáticos en sus vasijas (dibujos geométricos) y sus primeros sistemas de cálculos se basaron en el uso de los dedos de las manos o la utilización del cuerpo, este método resulta evidente al ver que muchos de los sistemas de numeración son de base 5 o 10.” Fueron los egipcios en el tercer milenio antes de cristo los que desarrollan unas matemáticas más avanzadas llegando a plantear problemas complejos como el calculo de superficies, lo cual era vital para el reparto de la tierra fértil fecundada por las crecidas del Nilo. La tierra se movia y cambiaba ligeramente de aspecto y era imprescindible para que reinase el orden que dicho reparto fuera lo mas ajustado a derecho posible. Luego los romanos mejoraron hasta cierto aspecto el uso de jeroglíficos de los egipcios por simples letras. En ese momento se seguía utilizando todavía el sistema babilónico que consistía en escribir en tablillas de arcilla utilizando un palito en forma de cuña. Una cuña apuntaba hacia abajo y la otro hacia la izquierda. El problema consistia en que era un sistema con solo 60 números, lo cual limitaba mucho el calculo mental. Los babilonios utilizaban, eso si, la forma en que cada dígito tenia un valor disitinto dependiendo de la posición que ocupase. El primer sistema matematico que utilizo al mismo tiempo el principio posicional y el cero fue el sistema de los mayas. “En este sistema 1 kin (sol) representa un día, 20 kines forman un huinal. Como 20 huinales representan 400 días, lo cual es mucho mayor que la duración exacta del año (este sistema fue utilizado para cálculos astronómicos), los mayas llamaron tun a 18 huinales, o 360 días. Excepto por este nivel, el resto del sistema es vigesimal.” “No se tiene conocimiento con exactitud cómo surgió, pero se sabe que fue un sistema de numeración mejorado por los hindúes y los árabes lo llevaron a Europa. De esta forma a las cifras se las llamó árabes debido a su origen, de la misma manera que escribirlas de derecha a izquierda (unidad, decena, centena, etc.) Hacia el año 976 Gerberto Aurillac (futuro Papa) conoce las primeras cifras en España, que ya estaba influenciada por la cultura musulmana, pero su influencia fue limitada. En el siglo XII se conoce las primeras traducciones al latin de las obras de un matemático árabe al- Jwarizmi, de quien se conocen los términos algoritmo y guarismo; de esta forma las cifras árabes comienzan a introducirse en el círculo culto europeo. En el año 1202, Fibonacci publica el "Libro del ábaco" que acopía y amplia las cifras y los procedimientos de cálculo utilizados por los árabes. Durante este siglo se consolidó la aritmética decimal sobre todo en los concerniente a las actividades comerciales. Sin embargo el método árabe y sus ventajas para calcular debieron sortear varios inconvenientes por parte de los calculistas de la época que ante la amenaza de un nuevo método mucho más sencillo, que atentaba supuestamente a su fuente de trabajo, recurrieron a estrategias bajas como hacer correr el rumor que el sistema de cálculo árabe tan sencillo, debía tener algo de magia o un cierto poder demoníaco. Esta acusación fue astutamente utilizada en la época de la Inquisición. Recién a fines del siglo XVI con Montaigne comenzó a abrirse paso nuevamente el sistema de numeración árabe y finalmente se generalizó con la Revolución Francesa. A partir de dicho momento histórico se comenzó a utilizar al 10 como base del sistema métrico decimal.” Con todo este resumen vengo a comentar que el enorme poder de los números estaba en poquísimas manos hasta bien entrado siglo 16 y que para ese entonces muchos de los secretos y la simbología que escondían estos paso a ser solo aprendido en las sectas, en las logias y en las futuras universidades que estaban también creadas por los mismos. LA EDUCACION según Lord Bertrand Russell en su obra "La Perspectiva Científica", 1931, nos dice: "Los jesuitas proporcionan una clase de educación a los niños que han de ser hombres corrientes en el mundo, y otra distinta a áquellos que han de llegar a ser miembros de la Compañía de Jesús. De análoga manera, los gobernantes científicos proporcionarán un género de educación a los hombres y mujeres corrientes, y otro diferente a aquéllos que hayan de ser el poder científico. Los hombres y mujeres corrientes es de esperar que sean dóciles, diligentes, puntuales, de poco pensar y que se sientan satisfechos. Por otro lado, aquellos niños y niñas que estén destinados a ser miembros de la clase gobernante, recibirán una educación muy diferente. Serán seleccionados, algunos antes de nacer, otros durante los primeros tres años de vida, y unos pocos entre los tres y seis años. Toda la ciencia conocida se aplicará al desarrollo simultáneo de su inteligencia y de su voluntad. ….." Y es que para todos la ciencia ha sido creada supuestamente por científicos, ¿no? Uno de los parangones mundiales es la Royal Society fundada el 28 de noviembre de 1660 en Londres. Sus fundadores fueron un grupo de 12 científicos y pensadores, entre los que destacan Christopher Wren, Robert Boyle, John Wilkins y William Petty. Lo que no nos cuentan es que el milenarismo y la cábala estaba en los orígenes de la Royal Society. Pero como escribió Boyle, los científicos, "sacerdotes de la naturaleza", habrían de adquirir, durante el milenio, "un conocimiento mucho mayor del que Adán pudo tener del maravilloso universo de Dios". Esta afirmación supone que, en la expectativa de Boyle, la ciencia permitiría alcanzar un estadio más avanzado que el presupuesto por la condición adánica, y acceder, en cierto modo, a la condición divina. Con palabras de la serpiente a Eva, ya había asegurado Bacon en la Nueva Atlántida que algún día los hombres serían como dioses, y ésta habría de ser, decía Lewis Mumford, "la meta final no declarada de la ciencia moderna”. (Noble 1999, pág 88). Dentro de la UNED (la universidad a distancia en España) podemos leer un texto titulado “LA ROYAL SOCIETY Y LA MASONERÍA” que dice asi: “La Royal Society se origina cuando doce hombres cultivados adoptaron la costumbre, poco después de 1640, de reunirse esporádicamente en Londres para conversar y discutir en la residencia de uno de ellos o bien en una taberna próxima al Gresham College. Al poco tiempo, bajo patrocinio del monarca, decidieron crear una asociación para el estudio de los mecanismos de la naturaleza. Para asegurarse de que los dogmas no fueran un obstáculo, desterraron de sus asambleas toda discusión de tintes religiosos y políticos. Y eso a pesar de que los doce fundadores diferían tanto en cuestiones políticas y religiosas, como en experiencia científica y rango social. Entre los nombres de los primeros miembros de la Royal Society se encuentran científicos que dieron nombre a sus descubrimientos; así, la Ley de Hooke, la Ley de Boyle, la construcción de Huygens, las leyes de Newton, el movimiento browniano, y esto sin contar a científicos de menor talla como Christopher Wren, John Eveyn, John Wilkins, Elias Ashmole, John Flamsteed o Edmund Halley. Sin embargo, los hombres que fundaron esta Sociedad no sólo fueron los primeros científicos, sino, al mismo tiempo, los últimos "magos". De hecho, Ashmole pertenecía a una sociedad de rosacruces y practicaba la astrología, Newton estudió y escribió acerca de los conceptos alquímicos de los rosacruces, y Hooke llevó a cabo experimentos con arañas y cuernos de unicornio.” Mucho antes John Dee, el asesor de la reina Isabel I de Inglaterra aunque no participó directamente en la creación de la Royal Society, su legado como defensor de las matemáticas, la navegación y el conocimiento empírico influyó en el ambiente intelectual que dio lugar a esta institución. Su reputación como "mago" y las acusaciones de nigromancia reflejan la percepción de sus prácticas herméticas y adivinatorias, que, aunque controvertidas, eran parte de su búsqueda de conocimiento universal. Recordemos que hoy dia podemos ver en el museo de Londres su piedra de obsidiana negra donde el mismo reconocía que veía a seres de otro mundo con los que decia comunicarse. Dee creo el alfabeto enoquiano, también conocido como el "lenguaje angélico" o "alfabeto mágico" desarrollado por Dee y su colaborador Edward Kelley durante sus sesiones de videncia (scrying) en la década de 1580. Mientras Isabel I valoraba a Dee como consejero (eligió la fecha de su coronación en 1559 basándose en sus cálculos astrológicos), otros lo veían como un charlatán peligroso. Su casa fue saqueada tras su partida a Europa en 1583, y bajo Jacobo I, enemigo de la brujería, Dee perdió ese trato de favor. Su imagen como "mago" inspiró personajes como Próspero en La Tempestad de Shakespeare y perduró en la cultura popular, como en la ópera de Damon Albarn o la canción de Iron Maiden “El Alquimista”. Termino esta entradilla con otro texto de Lord Bertrand Russell extraído de su obra, "El Impacto de la Ciencia en la Sociedad", 1951: "Aunque esta ciencia será estudiada con diligencia, deberá reservarse estrictamente a la clase gobernante. Al populacho no habrá de permitírsele saber cómo fueron generadas sus convicciones. Una vez perfeccionada la técnica, cada gobierno que haya estado a cargo de la educación por una generación, podrá controlar a sus sujetos de forma segura, sin la necesidad de recurrir a ejércitos ni policías. Actualmente, la población del mundo crece a razón de unos 58.000 individuos por día. La guerra, hasta ahora, no ha tenido un gran efecto en este crecimiento, que continuó a lo largo de cada una de las dos guerras mundiales... La guerra hasta la fecha ha sido decepcionante al respecto... pero quizás la guerra bacteriológica resultare más efectiva. Si una peste negra se propagare una vez en cada generación, los sobrevivientes podrían procrear libremente sin llenar al mundo demasiado... La situación seguramente sería poco placentera, pero, ¿qué importa?" ………………………………………………………………………………………. Imagina por un momento que entras en una antigua ciudad del sur de Italia, hace más de dos mil quinientos años. Calles de piedra, templos consagrados a dioses griegos... y una puerta. Una puerta modesta, sin adornos ostentosos, pero con una inscripción grabada con precisión geométrica: "No entre aquí quien no sepa geometría”. Estás ante la escuela de los pitagóricos, una de las sociedades más enigmáticas de la historia antigua. Fundada por Pitágoras de Samos, no era solo una escuela de matemáticas, como a veces se enseña en las aulas. Era una hermandad. Una especie de secta del conocimiento, donde los números eran algo más que herramientas: eran divinidades, principios cósmicos, claves para entender el alma del universo. Los pitagóricos creían que todo en la naturaleza —el movimiento de los astros, los ciclos vitales, incluso la música— respondía a proporciones numéricas. El número uno simbolizaba la unidad, el origen. El dos, la dualidad, lo femenino. El tres, la perfección. El cuatro, la justicia. Y el diez... el número perfecto, resultado de sumar 1+2+3+4. Un número sagrado. Este triángulo tiene cuatro filas y, si las cuentas todas, suma diez puntos. Ese número —el 10— era considerado el número perfecto por los pitagóricos, porque resultaba de la suma de los cuatro primeros números naturales: 1 + 2 + 3 + 4 = 10 Pero esto no era solo una curiosidad matemática. Cada número tenía un significado simbólico y cosmológico: 1 representaba la unidad, el origen, el punto de partida de toda existencia. 2 simbolizaba la dualidad: luz y oscuridad, masculino y femenino, arriba y abajo. 3 era la tríada perfecta, el equilibrio entre los opuestos (principio muy común también en filosofías orientales). 4 simbolizaba la estabilidad, los cuatro elementos (tierra, agua, aire y fuego), las cuatro estaciones, los puntos cardinales. Así, la Tetraktys se convertía en un resumen místico del universo: todo lo que existe puede explicarse a través de esta progresión sagrada. No era un simple dibujo. Los pitagóricos juraban sobre la Tetraktys, como otros juran sobre la Biblia o una constitución. Su fórmula era: "Juro por el que entregó a nuestra alma la Tetraktys, fuente que contiene en sí la raíz y fuente de la eterna naturaleza." ¿Lo notas? No están hablando solo de matemáticas. Están hablando de la naturaleza eterna, de algo fundamental que estructura el cosmos. Este juramento era una especie de sacramento, una alianza con la armonía universal. Utilizaban símbolos que aún hoy reconocemos. La estrella pentagonal, también conocida como pentagrama, era para ellos un emblema de perfección y salud. Cada ángulo de la estrella formaba la razón áurea, ese número casi mágico que sigue apareciendo en la naturaleza, en la arquitectura, en el arte… y, para algunos, incluso en el diseño de logotipos de poderosas organizaciones contemporáneas. Y aquí es donde la cosa se pone interesante. Los pitagóricos dividían a sus miembros en dos categorías: los akusmáticos, que solo escuchaban y obedecían sin cuestionar, y los matemáticos, que accedían a las enseñanzas ocultas. Este modelo jerárquico, basado en el secreto y la iniciación progresiva, suena familiar. Muy familiar. ¿A qué otras organizaciones te recuerda? Algunas sociedades secretas modernas —como ciertas logias masónicas— han heredado no solo la estructura iniciática, sino también muchos símbolos y conceptos pitagóricos. La estrella de cinco puntas, el ojo que todo lo ve, el uso de números y proporciones sagradas, la idea de que el verdadero conocimiento no debe estar al alcance de todos, sino reservado para una élite que lo custodia. La Tetraktys no desapareció con la caída de los pitagóricos. Su simbolismo se filtró a través de corrientes esotéricas posteriores. Por ejemplo: En la Cábala judía, el Árbol de la Vida también parte de una estructura numérica y jerárquica del universo. En la masonería, aunque no se usa directamente la Tetraktys, la idea del triángulo sagrado, la progresión simbólica del número y la veneración de la geometría sagrada están muy presentes. En el hermetismo y el neoplatonismo, se reutiliza el simbolismo pitagórico para hablar de los planos de existencia, del alma y del conocimiento secreto. Incluso en el mundo moderno, algunos investigadores creen que ciertos símbolos corporativos y arquitectónicos siguen patrones de proporción y estructura que tienen su origen, directa o indirectamente, en la Tetraktys. La Tetraktys no era un dibujo bonito. Era una clave esotérica. Un mandala numérico. Una representación del orden invisible que rige el universo. Para los pitagóricos, entenderla era un paso hacia la iluminación intelectual y espiritual. Y ahora, volvamos a los números. Porque hay una historia que suele pasar desapercibida en los libros de texto... Se cuenta que los pitagóricos sabían más de lo que enseñaban. Por ejemplo, que ocultaron deliberadamente conceptos como los números negativos. ¿Por qué? Porque esos números, que hoy usamos sin pensar, eran perturbadores. ¿Cómo podía existir algo menos que nada? ¿Cómo explicar al pueblo llano la idea de restar una cantidad mayor a una menor y obtener un resultado real, aunque invisible? La respuesta fue simple: lo escondieron. Evitaron esas operaciones, redefinieron los problemas, o simplemente los consideraron imposibles. Para ellos, un universo perfecto no podía contener números "erróneos", "oscuros" o "negativos". Así de poderosa era su creencia en la armonía matemática del mundo. Y ahora piensa en esto: ¿cuántas cosas damos hoy por verdaderas sin entenderlas? ¿Cuántas ideas nos han sido negadas por parecer “imposibles”? La sombra de los pitagóricos es alargada. Y si miras con atención, quizá todavía la veas en las instituciones que dirigen el conocimiento, en los rituales simbólicos que acompañan actos de poder, o incluso… en las matemáticas que se enseñan en nuestras escuelas. Porque como decía otro sabio antiguo: la ignorancia no es falta de información, sino la imposición del silencio. ………………………………………………………………………………………. Los terrenos donde se construyó Washington, D.C., eran parte de una zona conocida como "Rome" (Roma) antes de que se estableciera la capital de Estados Unidos. Este nombre se debe a que, en el siglo XVII, un terrateniente llamado Francis Pope, quien era propietario de una parcela en la zona, nombró su propiedad "Rome" en un guiño humorístico a la ciudad de Roma, Italia, y al río Tíber, comparándolo con el río Anacostia o el Potomac. Incluso se dice que Pope se autoproclamó "Papa de Roma" en tono jocoso. Cuando se decidió construir la nueva capital federal en 1790, los terrenos de "Rome" fueron parte de las tierras cedidas por Maryland para crear el Distrito de Columbia. Sin embargo, el nombre "Rome" cayó en desuso con el desarrollo de la ciudad planificada por Pierre Charles L'Enfant y la adopción del nombre "Washington" en honor a George Washington. El hombre que recibió el encargo de diseñar la nueva capital de Estados Unidos en 1791 fue Pierre Charles L’Enfant, un arquitecto y urbanista nacido en Francia que había luchado en la Guerra de Independencia estadounidense junto a George Washington. Era un apasionado de la arquitectura monumental y tenía una visión muy clara: la ciudad debía ser una representación del nuevo orden del mundo. Aunque no hay registros definitivos que lo identifiquen como masón —al contrario que muchos de sus contemporáneos como George Washington, Benjamin Franklin o Thomas Jefferson—, su diseño está repleto de símbolos que son clave en la tradición masónica y pitagórica. Esto ha llevado a muchos estudiosos a pensar que, si no era miembro formal de la masonería, al menos estaba fuertemente influenciado por ella. Cuando observamos desde el aire (o en un plano detallado) el trazado urbano de Washington D.C., comienzan a aparecer formas geométricas muy específicas que nos indican el uso de la geometría sagrada en el plano de la ciudad: La estrella de cinco puntas Una de las figuras más debatidas del diseño de Washington es la estrella pentagonal (el pentagrama), que muchos dicen puede verse trazando líneas entre la Casa Blanca, el Capitolio, y varios otros puntos clave como el Washington Monument y el Jefferson Memorial. El pentagrama es un símbolo ancestral que los pitagóricos veneraban como representación del equilibrio, la salud y la proporción áurea. Los masones lo heredaron y lo usan como símbolo del hombre perfecto, microcosmos del universo. La escuadra y el compás Estos dos instrumentos, esenciales en la arquitectura, son símbolos masónicos por excelencia. La escuadra representa la rectitud moral y el compás, los límites que uno debe imponer a sus pasiones. En el plano de Washington, las avenidas diagonales que cruzan la cuadrícula ortogonal tradicional parecen estar trazadas con escuadra y compás. Por ejemplo, Pensylvania Avenue y Maryland Avenue se cruzan formando ángulos casi rituales, como si fuesen dibujadas con instrumentos de aprendiz de logia. El triángulo y la Tetraktys Al unir algunos de los puntos clave de la ciudad se forman triángulos equiláteros y escaleno, que recuerdan tanto a la Tetraktys pitagórica como al Delta radiante masónico, el triángulo con el ojo que todo lo ve en su interior. Washington D.C. no fue construida al azar. Su disposición recuerda más a la de un templo iniciático que a la de una ciudad práctica. Cada monumento, cada calle y cada eje visual parece tener una función simbólica. La ciudad se convierte así en un espacio ritualizado, diseñado para canalizar no solo el poder político, sino el espiritual. Esto concuerda con la visión de muchos de los Padres Fundadores, que eran masones y creían en una forma de deísmo ilustrado, donde Dios no era el dios de una religión concreta, sino el Gran Arquitecto del Universo, la divinidad racional que había creado el cosmos a través de leyes matemáticas y geométricas. Hay quienes consideran todas estas conexiones como meras coincidencias. Pero otros —historiadores, ocultistas, arquitectos, e incluso funcionarios del propio Capitolio— han reconocido que la influencia masónica en el diseño de Washington D.C. no puede negarse. George Washington, masón de alto grado, puso la primera piedra del Capitolio en una ceremonia masónica el 18 de septiembre de 1793, vistiendo su delantal de logia. La colocación de monumentos, obeliscos (como el del Washington Monument) y referencias astrológicas refuerzan la idea de que la ciudad está alineada no solo con principios políticos, sino con principios cósmicos. Washington sigue siendo una ciudad codificada. Muchos de sus símbolos están a la vista, pero pocos los reconocen. El diseño original de L’Enfant fue alterado con el tiempo, sí, pero los patrones geométricos centrales permanecen. Y algunos sostienen que el espíritu de los antiguos pitagóricos, con su amor por los números sagrados y la geometría divina, vive hoy en las estructuras de poder moderno… solo que oculto entre calles, columnas y monumentos. ………………………………………………………………………………………. Bueno y me despido con algunas de mis ultimas Frases_UTP, ya saben, esas perlas que voy soltando de vez en cuando y que tienen agrupadas en Twitter bajo ese hastag: “Somos jockeys ocasionales de almas inmanentes, montando a galope los corceles efímeros de nuestra existencia terrenal, en un fugaz viaje donde el viento del tiempo susurra nuestra impermanencia y la tierra guarda el eco de nuestras huellas pasajeras." “Tanto el sabio como el ignorante pueden tomar malas decisiones, pero solo el ignorante no admite haberlas tomado.” “Si trabajas el presente nunca sentirás vergüenza por el pasado y te sentirás orgulloso en el futuro.” ………………………………………………………………………………………. Conductor del programa UTP Ramón Valero @tecn_preocupado Un técnico Preocupado un FP2 IVOOX UTP http://cutt.ly/dzhhGrf BLOG http://cutt.ly/dzhh2LX Ayúdame desde mi Crowfunding aquí https://cutt.ly/W0DsPVq Invitados Dra Yane #JusticiaParaUTP @ayec98_2 Médico y Buscadora de la verdad. Con Dios siempre! No permito q me dividan c/izq -derecha, raza, religión ni nada de la Creación. https://youtu.be/TXEEZUYd4c0 …. soros triplehijueputa @soroshijueputa2 En contra de un sistema corrupto al servicio de la élite globalista …. José Antonio @jasava7 Mensajero de la Nueva Era. Librepensador y escritor. Ciudadano del Mundo. Derecho Natural. DDHH. Paz, equidad y fraternidad. Jinete en lucha por un Mundo Mejor. …. SirGalahad @Sirgalahad79 Mi honor se llama lealtad. …. LaJessi @LaJessibot Donde hay bromas hay verdades | Qué no te engañen la pena es la novia del pene #NoTeRaye #TweetStar Filósofa del barrio #CBD No me llames cani o #tekillyulabida …. Ernesto @Ernesto22596980 A mi me paga Putin EXPEDIENTE ROYUELA …. Luz Madeleine Munayco @lecabel8 ………………………………………………………………………………………. Enlaces citados en el podcast: AYUDA A TRAVÉS DE LA COMPRA DE MIS LIBROS https://tecnicopreocupado.com/2024/11/16/ayuda-a-traves-de-la-compra-de-mis-libros/ UTP8 Universo fractal https://www.ivoox.com/utp8-universo-fractal-audios-mp3_rf_9991951_1.html El Papa y Roma… https://x.com/ElHiloRojoTV/status/1914235914999521647 Hilo sobre el papa https://x.com/tecn_preocupado/status/1914770003712467453 Féretro de papa Francisco como bandera de España https://x.com/ayec98_2/status/1915421017083711970 Capilla ardiente papa Francisco como sexo femenino https://x.com/ayec98_2/status/1915173455655215303 UTP268 Matematicas Vorticiales: Explorando el Tejido del Universo https://www.ivoox.com/utp268-matematicas-vorticiales-explorando-tejido-del-universo-audios-mp3_rf_121126662_1.html UTP272 Matemáticas Vorticiales: los vórtices de la vida https://www.ivoox.com/utp272-matematicas-vorticiales-vortices-vida-audios-mp3_rf_122197421_1.html ………………………………………………………………………………………. Música utilizada en este podcast: Tema inicial Heros ………………………………………………………………………………………. Epílogo ÚRSULA - AGUA DE LIMÓN https://www.youtube.com/watch?v=KKfs8GIorhc
Ca va beaucoup mieux, avec notre journaliste Santé Agathe Landais. Les françaises ont trop recours aux césariennes ! Elles représentent 21% des accouchements, or l'OMS - l'Organisation mondiale de la Santé - n'en recommande que 10 à 15%. On vous explique pourquoi la France y a autant recours. Ecoutez Ca va beaucoup mieux avec Agathe Landais du 24 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
After struggling to raise her siblings and start an art career, Wanda Gág’s life changed almost instantly with the publication of her first children’s book. Part two of her story looks at how her books sustained her financially so she could also make the art she wanted. Research: Anderson, Phil. "Gág, Wanda (1893–1946)." MNopedia, Minnesota Historical Society. http://www.mnopedia.org/person/g-g-wanda-1893-1946 Cox, Richard W. “Wanda Gág The Bite of the Picture Book.“ Minnesota History. Fall 1975. https://storage.googleapis.com/mnhs-org-support/mn_history_articles/44/v44i07p238-254.pdf?__hstc=98931905.4376bcd11fc21fde4cdd335d087cb15e.1742826273001.1742826273001.1742826273001.1&__hssc=98931905.1.1742826273001&__hsfp=979038277 Cox, Richard, and Julie L’Enfant. “Old World Symphony.” Minnesota History. Spring 1996. https://storage.googleapis.com/mnhs-org-support/mn_history_articles/55/v55i01p002-015.pdf?__hstc=98931905.4376bcd11fc21fde4cdd335d087cb15e.1742826273001.1742826273001.1742826273001.1&__hssc=98931905.1.1742826273001&__hsfp=979038277 Gág , Wanda. “Growing Pains.” Coward-McCann. 1940. https://ia801401.us.archive.org/10/items/in.ernet.dli.2015.88331/2015.88331.Growing-Pains-Diaries-And-Drawings-For-The-Years-1908-1917.pdf Gág , Wanda. “Millions of Cats.” Coward-McCann. 1928. https://www.google.com/books/edition/Millions_of_Cats/2YjWAAAAMAAJ?hl=en&gbpv=0 Gág , Wanda. “The Funny Thing.” Coward-McCann. 1991. https://www.google.com/books/edition/The_Funny_Thing/c1nhAAAAMAAJ?hl=en&gbpv=0 Gág , Wanda. “SNOW WHITE AND THE SEVEN DWARFS.” Coward-McCann. 1938. Accessed online: https://gutenberg.ca/ebooks/Gág -snow/Gág -snow-00-h-dir/Gág -snow-00-h.html Gág , Wanda. “Snippy and Snappy. Coward-McCann. 1931. Accessed online: https://gutenberg.ca/ebooks/Gág -snippy/Gág -snippy-00-h-dir/Gág -snippy-00-h.html Gregory, Alice. “Juicy As a Pear: Wanda Gág’s Delectable Books.” The New Yorker. April 24, 2014. https://www.newyorker.com/books/page-turner/juicy-as-a-pear-wanda-ggs-delectable-books?_sp=0d46b6ea-f03e-46b9-aa69-dd7bd3c6100b.1742826428861 Hurley, Beatrice J. “Wanda Gág - Artist, Author.” Elementary English, vol. 32, no. 6, 1955, pp. 347–54. JSTOR, http://www.jstor.org/stable/41384370 Keller, Sara. “Reciprocal Connections: Wanda Gág and her Hometown Community of new Ulm, Minnesota.” Kappa Omicron Nu. https://publications.kon.org/urc//v9/Interconnected-Through-Art/keller.pdf Popova, Maria. “Pioneering Early-Twentieth-Century Artist and Creative Entrepreneur Wanda Gág on Our Two Selves and How Love Lays Its Claim on Us.” The Marginalian. March 11, 2015. https://www.themarginalian.org/2015/03/11/wanda-Gág -growing-pains-me-myself/#:~:text=By%20Maria%20Popova,was%20already%20on%20her%20deathbed. Scott, Alma. “Wanda Gág : The Story of an Artist.” Kessinger Publishing. 2007. Showalter, Elaine. “These Modern Women: Autobiographical Essays from the Twenties.” Feminist Press at CUNY. 1989. “Wanda Gág.” Wanda Gág https://wandaGág house.org/wanda-Gág / Wigglesworth, Michael. “The Day of Doom.” Spiral Press. 1929. Accessed online: https://babel.hathitrust.org/cgi/pt?id=uva.x000889310&seq=9 Winnan, Audur H. “Wanda Gág .” University of Minnesota Press. 1993. See omnystudio.com/listener for privacy information.
As an artist and writer Wanda Gág is well known for her children’s books. But this first of two parts about her life covers her own unusual childhood, which went from quirky fun to intense hardship when her father died. Research: Anderson, Phil. "Gág, Wanda (1893–1946)." MNopedia, Minnesota Historical Society. http://www.mnopedia.org/person/g-g-wanda-1893-1946 Cox, Richard W. “Wanda Gág The Bite of the Picture Book.“ Minnesota History. Fall 1975. https://storage.googleapis.com/mnhs-org-support/mn_history_articles/44/v44i07p238-254.pdf?__hstc=98931905.4376bcd11fc21fde4cdd335d087cb15e.1742826273001.1742826273001.1742826273001.1&__hssc=98931905.1.1742826273001&__hsfp=979038277 Cox, Richard, and Julie L’Enfant. “Old World Symphony.” Minnesota History. Spring 1996. https://storage.googleapis.com/mnhs-org-support/mn_history_articles/55/v55i01p002-015.pdf?__hstc=98931905.4376bcd11fc21fde4cdd335d087cb15e.1742826273001.1742826273001.1742826273001.1&__hssc=98931905.1.1742826273001&__hsfp=979038277 Gág , Wanda. “Growing Pains.” Coward-McCann. 1940. https://ia801401.us.archive.org/10/items/in.ernet.dli.2015.88331/2015.88331.Growing-Pains-Diaries-And-Drawings-For-The-Years-1908-1917.pdf Gág , Wanda. “Millions of Cats.” Coward-McCann. 1928. https://www.google.com/books/edition/Millions_of_Cats/2YjWAAAAMAAJ?hl=en&gbpv=0 Gág , Wanda. “The Funny Thing.” Coward-McCann. 1991. https://www.google.com/books/edition/The_Funny_Thing/c1nhAAAAMAAJ?hl=en&gbpv=0 Gág , Wanda. “SNOW WHITE AND THE SEVEN DWARFS.” Coward-McCann. 1938. Accessed online: https://gutenberg.ca/ebooks/Gág -snow/Gág -snow-00-h-dir/Gág -snow-00-h.html Gág , Wanda. “Snippy and Snappy. Coward-McCann. 1931. Accessed online: https://gutenberg.ca/ebooks/Gág -snippy/Gág -snippy-00-h-dir/Gág -snippy-00-h.html Gregory, Alice. “Juicy As a Pear: Wanda Gág’s Delectable Books.” The New Yorker. April 24, 2014. https://www.newyorker.com/books/page-turner/juicy-as-a-pear-wanda-ggs-delectable-books?_sp=0d46b6ea-f03e-46b9-aa69-dd7bd3c6100b.1742826428861 Hurley, Beatrice J. “Wanda Gág - Artist, Author.” Elementary English, vol. 32, no. 6, 1955, pp. 347–54. JSTOR, http://www.jstor.org/stable/41384370 Keller, Sara. “Reciprocal Connections: Wanda Gág and her Hometown Community of new Ulm, Minnesota.” Kappa Omicron Nu. https://publications.kon.org/urc//v9/Interconnected-Through-Art/keller.pdf Popova, Maria. “Pioneering Early-Twentieth-Century Artist and Creative Entrepreneur Wanda Gág on Our Two Selves and How Love Lays Its Claim on Us.” The Marginalian. March 11, 2015. https://www.themarginalian.org/2015/03/11/wanda-Gág -growing-pains-me-myself/#:~:text=By%20Maria%20Popova,was%20already%20on%20her%20deathbed. Scott, Alma. “Wanda Gág : The Story of an Artist.” Kessinger Publishing. 2007. Showalter, Elaine. “These Modern Women: Autobiographical Essays from the Twenties.” Feminist Press at CUNY. 1989. “Wanda Gág.” Wanda Gág https://wandaGág house.org/wanda-Gág / Wigglesworth, Michael. “The Day of Doom.” Spiral Press. 1929. Accessed online: https://babel.hathitrust.org/cgi/pt?id=uva.x000889310&seq=9 Winnan, Audur H. “Wanda Gág .” University of Minnesota Press. 1993. See omnystudio.com/listener for privacy information.
Nous sommes aujourd'hui avec une figure singulière de la scène gastronomique parisienne. Véritable restaurateur au sens noble du terme, il a rafraîchi le style des cafés et bistrots parisiens. Notre invité est Charles Compagnon, le propriétaire des restaurants le Richer, le 52 et le Café Compagnon. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné d'Élisa Gautier, la fondatrice du restaurant Kiosk à Paris.À travers ce podcast et l'exemple original de Charles Compagnon, nous cherchons à mieux comprendre le métier de restaurateur. Très présent dans ses établissements, tel un aubergiste des temps modernes, Charles a su, au fil des années, créer des lieux vivants et avec une âme !Dans un 1er temps, Charles nous raconte son enfance entre Paris et le Cantal, où son grand père auvergnat lui transmet son amour du terroir. Enfant dissipé, sa mère l'oriente vers une école hôtelière. Au-delà de la cuisine et des bons produits, Charles se passionne pour le service et s'intéresse plus globalement à tous les métiers du restaurant. Ses premières expériences, notamment auprès de Jean-Louis Costes, confirment sa vocation : Charles sera restaurateur !Ensemble, nous retraçons ensuite l'ouverture de ses premiers restaurants. Les enjeux changent d'échelle : le restaurateur devient chef d'entreprise ! Sans fonds propres ni investisseurs, il nous explique comment il a réussi à racheter L'Office, l'un "des petits plus restaurants parisiens" comme il s'amuse à le rappeler. Il y crée un lieu à son image avec une cuisine exigeante mais accessible, un sourcing de qualité, et une carte des vins audacieuse. Les ouvertures se succèdent : le Richer, puis le 52. À chaque fois, Charles crée des brasseries repensées où il affine son concept de "brastronomie". Ces lieux sans réservation, ouverts du matin au soir, rencontrent un immense succès. Une nouvelle approche de la restauration naît, alliant cuisine de qualité, ambiance de bistrot et service flexible.Enfin, Charles nous raconte l'ouverture de ce qui deviendra son plus grand restaurant (et sa plus grande fierté) : le Café Compagnon. On découvre surtout une nouvelle facette du restaurateur.Sa curiosité sans limite l'a poussé à créer sa propre bière artisanale, à torréfier son café et même à acquérir des vignes. Pour lui, chaque étape de la production est un terrain d'expérimentation et de maîtrise. Son objectif : produire pour mieux comprendre, transmettre et créer du lien avec ses équipes et ses clients. Cette quête incessante de qualité et d'excellence se nourrit de rencontres avec des artisans passionnés, renforçant son approche unique de la restauration.Cet épisode a été enregistré avec la participation exceptionnelle d'Emmanuel Rubin et Nicolas Berger. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Leakhena, une enfant abandonnée au Cambodge et contrainte de survivre dans un environnement cruel, a vu sa vie radicalement transformée grâce à la rencontre providentielle avec Christian Des Pallières, un Français engagé dans l'aide aux enfants. Aujourd'hui, elle est directrice générale de l'association "Pour un sourire d'enfant", que son père adoptif a fondée pour sauver des générations entières d'enfants cambodgiens. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aucun parent ne veut que son enfant soit le bouc-émissaire de la cour de récré. Mais imagine-t-on aussi souvent qu'il pourrait être dans l'autre rôle, celui du harceleur ? Le voile se lève peu à peu au sujet du harcèlement et de plus en plus, des clés sont données aux parents pour réagir du mieux qu'ils peuvent lorsque leur enfant en est victime. Mais les ressources manquent pour réagir lorsque l'enfant capable d'humilier un autre élève, c'est le nôtre. Identifier son propre enfant dans ce rôle n'est déjà pas simple, mais une fois mis face aux faits, difficile de savoir comment réagir sans aggraver la situation. Est-ce que c'est quelque chose qu'on peut voir venir ? Est-ce qu'il y a un profil type d'enfant harceleur ? Est-ce qu'on peut vraiment le faire changer ?Dans cet épisode, Marine Revol échange avec Emmanuelle Piquet, chercheuse et thérapeute spécialiste du harcèlement en milieu scolaire, autrice de Manuel de survie face aux harceleurs publié au éditions des arènes. Ensemble, elles parlent de relation d'emprise, de plaisir et de honte, d'agresseurs-victimes, de boissons jetées sur un t-shirt et d'empathie.Pour aller plus loin : Les épisodes de Faites des Gosses “Mon enfant frappe, est-ce que c'est grave ?” et “Comment réagir quand on se moque de votre enfant ?” L'étude de l'Éducation Nationale sur le harcèlement scolaire (2023)Le Manuel d'action pour mettre fin aux violences sexistes et sexuelles de Caroline de Haas (éditions Robert Laffont)La série Adolescence sur NetflixL'article de Marine Revol Paroles de harceleurs, quand les ados racontent leurs dérives, paru dans Elle L'épisode Le harcèlement à l'école - podcast avec Benoît Galand des éditions RetzFaites des gosses est une production Louie Media, présentée par Marine Revol. Elle a écrit et tourné cet épisode. Il a été monté par Julie Deltheil-Tourrenc et réalisé par Anna Buy. La musique est de Jean Thévenin. La prise de son et le mix sont du studio La Fugitive. Elsa Berthault est en charge de la production. Pour avoir des news de Louie, des recos podcasts et culturelles, abonnez-vous à notre newsletter en cliquant ici. Et suivez Louie Media sur Instagram, Facebook, Twitter. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nous sommes aujourd'hui avec une figure singulière de la scène gastronomique parisienne. Véritable restaurateur au sens noble du terme, il a rafraîchi le style des cafés et bistrots parisiens. Notre invité est Charles Compagnon, le propriétaire des restaurants le Richer, le 52 et le Café Compagnon. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné d'Élisa Gautier, la fondatrice du restaurant Kiosk à Paris.Dans ce 1er chapitre, Charles nous raconte son enfance entre Paris et le Cantal, où son grand père auvergnat lui transmet son amour du terroir. Enfant dissipé, sa mère l'oriente vers une école hôtelière. Au-delà de la cuisine et des bons produits, Charles se passionne pour le service et s'intéresse plus globalement à tous les métiers du restaurant. Ses premières expériences, notamment auprès de Jean-Louis Costes, confirment sa vocation : Charles sera restaurateur ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:06:01 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Une frappe israélienne a mis à l'arrêt, dimanche, l'un des rares hôpitaux encore en fonction dans la bande de Gaza, provoquant selon l'OMS la mort d'une fillette, privée de soins. Israël affirme avoir ciblé un "centre de commandement" du Hamas, qui a rejeté cette allégation.
Radio Foot, 16h10-21h10 T.U, un invité exceptionnel, Youssou N'Dour, alors que vient de sortir l'album Éclairer le monde, et que le Dakarois sera en concert le 19 avril prochain dans la salle parisienne de l'Olympia avec le Super Étoile de Dakar. L'artiste et amateur de ballon rond éclairé se mue en consultant pour débattre avec nous de l'actu foot ! Liga 31e journée, Barcelone fait un pas de plus vers le titre à 7 journées de la finUn peu de réussite face à Leganés qui se bat pour rester en Liga, les Catalans sont sur tous les fronts. Effectif de qualité, vivier de jeunes talents, mais joueurs à ne pas lancer trop vite. Efficace et invaincu en 2025, le grand Barça de retour ?Le Real énervant et énervé, encore une victoire étriquée des Blancos, et un coup de sang de Mbappé. Si Camavinga s'est illustré par son but (décisif) face à Alavés, le Kyks ne s'est pas démarqué de la meilleure des façons, mettant une grosse semelle au milieu des « Gloriozas », Antonio Blanco. Le Bondynois a laissé ses partenaires à 10 après 30 minutes. À l'approche de ses 27 ans, le meilleur de l'attaquant est-il derrière lui ? La nouvelle génération (Doué, Yamal) est sous le feu des projecteurs, et s'illustre en Ligue des champions. Ligue 1 : à Rennes, le patron, c'est Habib Beye !Les Bretons ont giflé le Havre (5-1 dont 3 buts en un ¼ d'heure). L'ex-international sénégalais a sorti les Rouge et Noir d'une mauvaise passe cette saison, et se tourne vers le derby face à Nantes ce vendredi, qu'il faut absolument gagner. Ambitieux, où s'arrêtera l'ancien latéral des Lions ?► Avec Annie Gasnier et Youssou N'Dour : Patrick Juillard, Hervé Penot et Yoro Mangara. Technique/réalisation Laurent Salerno - David Fintzel/Pierre Guérin.
Radio Foot, 16h10-21h10 T.U, un invité exceptionnel, Youssou N'Dour, alors que vient de sortir l'album Éclairer le monde, et que le Dakarois sera en concert le 19 avril prochain dans la salle parisienne de l'Olympia avec le Super Étoile de Dakar. L'artiste et amateur de ballon rond éclairé se mue en consultant pour débattre avec nous de l'actu foot ! Liga 31e journée, Barcelone fait un pas de plus vers le titre à 7 journées de la finUn peu de réussite face à Leganés qui se bat pour rester en Liga, les Catalans sont sur tous les fronts. Effectif de qualité, vivier de jeunes talents, mais joueurs à ne pas lancer trop vite. Efficace et invaincu en 2025, le grand Barça de retour ?Le Real énervant et énervé, encore une victoire étriquée des Blancos, et un coup de sang de Mbappé. Si Camavinga s'est illustré par son but (décisif) face à Alavés, le Kyks ne s'est pas démarqué de la meilleure des façons, mettant une grosse semelle au milieu des « Gloriozas », Antonio Blanco. Le Bondynois a laissé ses partenaires à 10 après 30 minutes. À l'approche de ses 27 ans, le meilleur de l'attaquant est-il derrière lui ? La nouvelle génération (Doué, Yamal) est sous le feu des projecteurs, et s'illustre en Ligue des champions. Ligue 1 : à Rennes, le patron, c'est Habib Beye !Les Bretons ont giflé le Havre (5-1 dont 3 buts en un ¼ d'heure). L'ex-international sénégalais a sorti les Rouge et Noir d'une mauvaise passe cette saison, et se tourne vers le derby face à Nantes ce vendredi, qu'il faut absolument gagner. Ambitieux, où s'arrêtera l'ancien latéral des Lions ?► Avec Annie Gasnier et Youssou N'Dour : Patrick Juillard, Hervé Penot et Yoro Mangara. Technique/réalisation Laurent Salerno - David Fintzel/Pierre Guérin.
À demain avec Corentin !
Cet épisode est tiré de ma newsletter (à laquelle vous pouvez vous abonner ici bien sur et est disponible intégralement en vidéo sur la chaine Youtube :)La semaine dernière, je discutais avec un ami de longue date, père de deux garçons adolescents. La voix incertaine, il m'a confié : "Je ne sais plus quoi leur dire. Comment être un homme aujourd'hui ? Quels conseils leur donner quand moi-même je n'y comprends plus rien ?" Son désarroi m'a profondément touché, car il résonne avec une question que je me pose depuis l'adolescence : qu'est-ce qu'être un homme dans notre société ?Est-il encore possible d'incarner une masculinité qui ne soit ni toxique ni effacée ? Comment naviguer entre les attentes contradictoires qui bombardent les hommes quotidiennement ? Et surtout, pourquoi est-il devenu si difficile de simplement être soi-même ? Est-ce que cela signifie même quelque chose ?La confusion règne partout. La bouleversante série "Adolescence" sur Netflix nous plonge dans la réalité de jeunes garçons perdus, tiraillés entre les modèles masculinistes qui prolifèrent sur les réseaux sociaux et une société qui condamne - à juste titre - les comportements toxiques. Pendant ce temps, l'affaire Gérard Depardieu révèle nos incohérences collectives : comment comprendre qu'un comportement de prédateur puisse encore être défendu au nom du "génie artistique", y compris par des figures féminines respectées ? De manière anecdotique, j'écris cette newsletter alors que simultanément j'observe de jeunes adolescents simuler une bagarre et jouer à la loi du plus fort.Dans ma propre histoire, des femmes m'ont parfois qualifié de "trop sensible" ou "tellement fragile" pour avoir simplement exprimé mes ressentis avec vivacité. Ces expériences m'ont amené à m'interroger profondément : notre société sait-elle ce qu'elle attend des hommes ? Savons-nous, en tant qu'hommes, ce que nous voulons être ?Cette confusion n'est pas seulement théorique - elle se manifeste dans nos comportements quotidiens, dans nos relations, dans notre façon d'élever nos enfants. Elle a des conséquences réelles sur la santé mentale des hommes, sur les dynamiques de couple, sur l'éducation des garçons qui tentent désespérément de trouver des repères dans ce brouillard identitaire. Les modèles masculins manquent cruellement : les pères sont souvent absents, les films & séries sont caricaturaux et les algorithmes des réseaux sociaux avantagent les avis extrêmes.J'observe des hommes qui, comme des caméléons, changent de personnalité selon qu'ils cherchent à séduire, à impressionner leurs pairs masculins, ou à répondre aux attentes contradictoires de la société.La masculinité est devenue un champ de mines - un pas trop appuyé vers la virilité et vous êtes un dinosaure toxique; un pas trop léger et vous êtes invisible, insignifiant. Ce numéro d'équilibriste épuise des générations entières d'hommes qui ne savent plus qui ils sont censés être.Aujourd'hui, je plonge sans retenue dans cette question explosive : qu'est-ce qu'être un homme au XXIe siècle, quand personne – ni les hommes, ni les femmes, ni la société – ne semble capable de formuler une réponse cohérente ?Mon histoire d'homme un peu perduParadoxalement, pour un homme, parler de masculinité reste compliqué. On craint de dire une bêtise, de ne pas être légitime. J'avais d'ailleurs expliqué à Angelo Foley cette « peur d'être un homme » sur son podcast il y a quelques années. Mais aujourd'hui, je me sens plus légitime que jamais pour mettre les deux pieds dans le plat.Mon histoire personnelle offre peut-être quelques clés de compréhension. Enfant, j'avais un père pompier de Paris, musclé et "viril" – une sorte de super-héros. Mais un super-héros chroniquement absent, qui ne prenait pas de temps pour ses enfants. Commercial avec le Maghreb, il était souvent en voyage et par ailleurs, il ne nous a pas beaucoup accompagné, pas appris à faire du vélo, pas joué avec nous. Il était un excellent bricoleur mais chaque fois qu'on essayait de l'aider et d'être curieux, il nous rejetait en nous disant que nous étions des incapables…Ce n'était pas nécessairement méchant mais juste réaliste, on lui faisait perdre du temps, très basique.Si je partage cela, c'est parce que je ne crois pas être le seul homme à avoir eu un père absent et donc un manque d'amour inconscient et surtout un père aimant et gentil mais loin de la paternité idéale.Il nous a quitté il y a 9 ans et je n'ai pas eu l'occasion de parler de cela avec lui malheureusement.Il y a d'autres sujets que j'ai abordé avec lui, j'y reviendrais peut-être.En parallèle, ma mère avait arrêté de travailler pour s'occuper de mon frère et moi. J'ai passé de très nombreuses journées dans le jardin de la cité, à écouter les conversations de ma mère et ses amies pendant des années.C'est peut-être de là que vient mon appétence pour les femmes, les conversations profondes, et ma facilité à m'entendre avec elles.J'ai grandi avec une bande de garçons et adolescent, nous trainions et faisions les 400 coups et beaucoup de skateboard. Mais mon caractère s'est véritablement ancré vers 13-14 ans, quand je me suis lié d'amitié avec Émilie. Ma première meilleure amie.Nous nous écrivions, nous nous appelions jusqu'à rendre fous nos parents respectifs.Quand ils en avaient assez, j'allais dans la cabine téléphonique du quartier (ceux qui savent, savent…) pour poursuivre nos échanges. Cette relation – parfaitement platonique puisqu'elle était la petite amie de mon meilleur ami – avait une profondeur incomparable avec les discussions entre garçons. Elle a nourri en moi une sensibilité qui ne demandait qu'à éclore.Depuis lors, mes amitiés sont très majoritairement féminines. Elles représentent sans doute 90% de mon entourage proche.On qualifie la sensibilité, l'écoute, et la vulnérabilité de valeurs féminines, pourtant, elles ne sont pas des qualités genrées – elles sont simplement humaines. Marque de notre société, et de manière très curieuse, même aujourd'hui, je ressens le besoin de préciser que j'ai toujours été attiré sexuellement par les femmes. Comme si une petite voix m'imposait cette clarification, de peur que vous ne fassiez d'autres suppositions. Preuve que les préjugés ont la peau dure, même à l'intérieur de moi-même.J'ai conscience que c'est idiot mais j'ai choisi de vous partager de manière sincère ce que je ressens.En 2 mots, ma vie s'est construite sur des amitiés homme-femme authentiques. Contrairement à ceux qui doutent de leur possibilité, je trace une ligne claire dans mon esprit entre mes « amies » et mes « intérêts romantiques potentiels ». Cette sensibilité est peut-être la raison pour laquelle vous êtes majoritairement des femmes à suivre cette newsletter et mon podcast par ailleurs. La quête d'une masculinité authentiqueComme je l'ai décrit dans ma dernière newsletter, ces dernières années, j'ai travaillé sur ma «gentillesse » parfois excessive pour renforcer ce que l'on pourrait nommer ma « colonne masculine» : plus décisif, plus ancré, plus fort.Et d'ailleurs, je ne peux que constater que depuis que je vis à Lisbonne, je me suis lié d'amitié avec des hommes avec lesquels j'adore échanger. J'ai même créé un cercle d'hommes dans mon salon pour libérer une parole authentique entre nous – car, en vérité, les hommes se parlent rarement de cœur à cœur.Alors, parlons-nous franchement : c'est extrêmement compliqué d'être un homme aujourd'hui (je ne prétends pas que c'est simple d'être une femme, loin de là). En vérité, nous dansons tous ensemble une chorégraphie complexe de genre et d'identité. Mais cette réflexion se concentre spécifiquement sur la masculinité contemporaine.Je ne l'ai pas dit dans ma dernière newsletter mais ma « gentillesse » et mon côté « débonnaire» viennent partiellement d'un rejet du modèle masculin que j'observais autour de moi : mon grand-père, mes oncles, mon père….Mais ce faisant, comme pour beaucoup d'hommes, ma masculinité s'est construite en creux – par opposition plutôt que par affirmation.Mon ami Jerry Hyde que j'ai reçu sur Vlan avec sa femme Mai Hua, l'a judicieusement noté : une certaine masculinité misogyne a parfaitement compris la frustration des jeunes hommes d'aujourd'hui. L'absence de modèles masculins positifs a créé un vide facilement exploitable. On leur a fait croire que le féminisme les avait privés de leur héritage légitime, que les hommes étaient naturellement destinés à dominer, et qu'il fallait revenir aux anciennes normes.Cette rhétorique toxique, combinée au fait que dans les classes populaires, les jeunes femmes réussissent souvent mieux à l'école et trouvent des emplois mieux rémunérés, a privé de nombreux hommes de leur rôle traditionnel de « pourvoyeurs ». Résultat : de nombreux jeunes hommes adhèrent massivement à cette vision régressive.Plus inquiétant encore : certaines femmes adhèrent aussi à cette vision. Pourquoi ? Parce qu'au fond, elles non plus ne veulent pas d'un homme perçu comme faible, insipide, fade, glissant, trop conciliant ou constamment dans l'excuse.Il faut admettre que ce n'est pas très sexy. La misogynie est culturelle et ne dépend pas du genre – les femmes absorbent ces mêmes messages toxiques. Encore aujourd'hui, beaucoup de femmes se construisent aussi, entre autres, avec l'idée que l'homme doit pouvoir subvenir seul au besoin d'un foyer et doit « protéger », créant par là même une dépendance financière et donc une relation de pouvoir à l'avantage des hommes.Nous sommes loin de cette masculinité en creux.Et en comparaison, l'image de l'homme misogyne paraît claire et séduisante pour certaines : puissant, identifiable, riche, entouré de belles femmes, propriétaire de belles voitures etc…Pour des jeunes désorientés, anxieux, perdus, ou pour des personnes plus âgées élevées dans des visions dépassées, cette masculinité toxique devient malheureusement une option attractive. Nature ou culture : au-delà des clichésPour démêler ces questions complexes, j'ai voulu remonter à la source – au moment où la culture pesait moins lourd sur nos comportements. La préhistoire humaine s'étale sur 2,5 millions d'années et représente 99,8% de notre histoire, elle est donc constituée de multiples phases.Mais pour faire court, quand on interroge les experts, il leur est impossible de définir clairement des rôles genrés à cette époque. Les femmes chassaient vraisemblablement autant que les hommes. Et nos ancêtres n'avaient pas établi le rôle de l'homme dans la reproduction, ce qui empêchait tout système patriarcal structuré puisque l'homme n'avait, pour eux, aucun rôle dans la procréation.La sédentarité des femmes est en réalité apparue avec la fin du nomadisme et l'invention de l'agriculture, il y a seulement 10-15 000 ans. Quant à l'imagerie de la femme préhistorique restant dans la grotte et tirée par les cheveux par un homme des cavernes – elle a été créée au 19ème siècle et ne représente aucunement une réalité historique. Il s'agit simplement d'une projection d'une époque sur une autre.Pour aller plus loin, j'ai eu l'immense plaisir de recevoir l'un des primatologues les plus respectés au monde, Frans de Waal. Car au final, tout autant que nous sommes plus proches des humains préhistoriques qu'on aimerait le croire, nous sommes également tous des primates, très proches des grands singes. Ses conclusions sont éclairantes : la distinction entre sexe biologique et identité de genre est cruciale. Si une identité biologique existe, l'identité de genre est largement formée par l'imitation et l'apprentissage social. Les enfants observent et reproduisent les comportements associés à leur genre, ce qui active les centres de récompense du cerveau.Les différences physiologiques sont indéniables – cycles menstruels, gestation, allaitement sont exclusivement féminins. La conséquence principale est que les mâles ont tendance à considérer leur corps comme moins important. Mais la différence semble s'arrêter là.Contrairement aux idées reçues, « l'instinct maternel » tel qu'il est souvent conçu n'existe pas vraiment. Il y a une attirance des femelles vers les bébés, mais les compétences maternelles s'apprennent par l'observation. Quand une mère meurt, ce n'est pas une autre femelle qui prend le relai avec les bébés mais un mâle, qui développe alors dans son cerveau les même éléments qu'une femelle et qui ont trait au soin.A la naissance, les males sont un peu plus turbulents et plus actifs que les femelles mais encore une fois une partie de ce comportement est aussi généré par du mimétisme social pour répondre aux exigences du centre de récompenses de notre cerveau. De même, l'idée qu'un mâle cherche nécessairement de nombreux partenaires tandis qu'une femelle serait sélective est fausse. De Waal explique que les femelles primates sont également entreprenantes sexuellement et recherchent souvent de multiples partenaires.L'idée de la protection des femelles par les mâles est également une construction sociale. Bien que les mâles soient généralement plus grands chez de nombreuses espèces, cette différence est souvent liée à la compétition entre mâles plutôt qu'à la préférence des femelles. D'ailleurs, De Waal note que le dimorphisme sexuel (différence de taille) est relativement faible chez les humains, les chimpanzés et les bonobos comparativement à d'autres mammifères.Enfin, concernant les émotions, De Waal suggère que si leur intensité peut être similaire entre mâles et femelles, leur expression est fortement influencée par des règles culturelles. Les mâles, dans un contexte de compétition, cachent souvent leur vulnérabilité – non par nature, mais par construction sociale.Nous cherchons donc à opposer une réalité physiologique (les hommes et les femmes sont bien plus semblables qu'on veut nous le faire croire) à une réalité sociale – des millénaires de patriarcat. Mais dans le même temps, il est illusoire de penser que l'on puisse s'abstraire totalement de son contexte social.Les 3 grandes religions ont joué également un rôle dans la structuration du patriarcat évidemment mais je ne vais pas descendre dans l'histoire « récente » ici.Je ne crois pas aux hommes parfaitement déconstruits mais très souvent les femmes ne le sont pas plus.Au mieux, je crois que l'on peut s'éduquer sur le sujet et que nous pouvons observer le patriarcat dans nos pensées et développer suffisamment de conscience de soi pour prendre du recul.Et parfois, ça sort j'avoue, je dis une bêtise, ça m'échappe et je m'excuse.Une preuve simple si les expressions « ne fait pas ta meuf » ou « soit un mec » résonnent ou si quand vous pensez à un « care giver » vous pensez automatiquement à une femme ne serait-ce que 1 seconde dans votre cerveau, vous savez exactement ce à quoi je fais référence. Vers une masculinité réinventéeFace au retour en force d'une masculinité toxique (coucou Trump, Vance, Tate, Zuck, Bezos ou Musk…) et à la dérive de certains espaces (comme les communautés de musculation sur les réseaux sociaux qui glissent vers le masculinisme), il est essentiel de proposer une alternative.Comme me le faisait justement remarquer mon amie Mai Hua, également co-autrice avec Jerry du documentaire « make me a man » , en m'envoyant un réel Instagram, les hommes « gentils » utilisent parfois cette masculinité toxique à leur avantage : « je vais te défendre contre ces hommes ». Mais cette masculinité en creux n'est pas une solution viable, car elle suppose le masculinisme pour exister. Ces hommes restent, d'une certaine manière, passifs et complices.D'ailleurs, ils montent rarement au créneau quand ils en ont l'occasion.Il faut reconnaître qu'une société qui vénère la compétition, la domination et l'accumulation (de biens, de pouvoir, de notoriété) est fondamentalement patriarcale. Ensuite, il est crucial de comprendre qu'il existe des masculinités et des féminités plurielles – il n'y a pas une seule "bonne manière" d'être au monde. Personne n'a besoin de s'enfermer dans un carré minuscule défini par des stéréotypes étroits.La série « Adolescence » sur Netflix montre bien comment les hommes souffrent aussi du patriarcat. Aucune place n'est laissée à la vulnérabilité, considérée comme une faiblesse, ce qui entraîne une atrophie de la capacité à exprimer ses émotions. J'ai même observé que certains hommes n'arrivent pas à décrire ce qu'ils ressentent intérieurement – leur vocabulaire émotionnel se limitant souvent à la joie, la frustration et la colère.Ma conclusion personnelle est qu'on peut développer une masculinité posée et ancrée, qui ne soit ni toxique ni effacée. Cette masculinité équilibrée implique une intelligence émotionnelle développée, l'assurance de ses envies et points de vue, une évolution constante en tant qu'être humain (notamment en matière de sexualité, où l'homme croit devoir « savoir » et « dominer », alors que personne ne sait vraiment puisque seul le porno nous « éduque »), la capacité à reconnaître ses torts et à poser des limites claires.Comme le résume parfaitement Jerry : il s'agit simplement d'être un adulte. Cela implique de dialoguer avec d'autres hommes qui ont développé cette maturité émotionnelle (qui n'est malheureusement pas une question d'âge).Finalement, comme pour tout être humain, la tendresse est au fondement d'une masculinité saine. Être un homme suppose d'intégrer toutes les parties de soi – force et vulnérabilité, courage et sensibilité, indépendance et connexion.Pour revenir à la question initiale, le rôle du père n'est pas de faire de son fils un homme mais un être humain entier.D'ailleurs, la théoricienne féministe bell hooks nous offre ici une boussole précieuse.Dans son œuvre "La volonté de changer: Hommes, Masculinité, et Amour", elle soutient que le patriarcat blesse profondément les hommes en les privant de leur pleine humanité émotionnelle. Selon elle, les hommes souffrent d'une "blessure de l'âme" en étant conditionnés à réprimer leurs émotions et à éviter la vulnérabilité.Si je devais traduire ses théories en conseils pratiques pour mes semblables masculins, voici ce que je retiendrais :1. Reconnaître que notre capacité à aimer a été diminuée par le patriarcat - non pas pour nous victimiser, mais pour comprendre ce qui nous empêche d'être pleinement présents dans nos relations.2. Développer une conscience critique de la manière dont les médias et la culture façonnent nos idées de la masculinité, et oser questionner ces messages.3. Pratiquer activement la vulnérabilité - non comme une faiblesse, mais comme la plus grande force qui soit. Comme l'écrit hooks, "l'amour ne peut pas fleurir dans une culture de domination".4. Créer des espaces entre hommes où l'on peut partager ouvertement ses peurs, ses doutes et ses émotions sans jugement.5. Embrasser ce que hooks appelle une "éthique de l'amour" qui valorise la connexion, le soin des autres et la croissance personnelle au-delà des performances de virilité.Cette masculinité réinventée n'est pas un retour en arrière vers des archétypes dépassés, ni une négation de ce qui fait la spécificité masculine. C'est une proposition d'avenir, un équilibre dynamique qui répond aux besoins profonds des hommes tout en s'inscrivant dans une société qui aspire à l'égalité.Le temps est venu de dessiner ensemble ce que pourrait être cette masculinité du XXIe siècle – ni lavette, ni macho, mais pleinement humaine. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.