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Aujourd'hui, Flora Ghebali, Jérôme Marty et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Au Mexique, où plus de 120 000 personnes sont aujourd'hui portées disparues, la découverte d'un camp d'extermination tenu par un cartel a remis le sujet des disparitions forcées au centre des débats. Les familles accusent l'État mexicain d'inaction et sortent chercher elles-mêmes les restes de leurs proches disparus. De notre correspondante à Mexico, Machette et pioche en main, une trentaine de bénévoles s'alignent à l'entrée de l'Ajusco, une forêt de pins au sud de Mexico City. « On va commencer cette journée de recherche en invoquant la divinité chercheuse, qui marche à nos côtés. Que la lumière de ceux que nous cherchons illumine le chemin jusqu'à ce que nous les trouvions et nous les ramenions à la maison. »Parmi eux, Esteban Gallardo est vêtu d'un tee-shirt sur lequel est floquée une photo de sa sœur Pamela, disparue à l'âge de 23 ans. « Aujourd'hui, on fait une nouvelle journée de recherche afin de comprendre ce qu'il s'est passé, trouver un indice. Elle a disparu il y a sept ans justement ici dans l'Ajusco et nous n'avions pas encore eu l'opportunité de chercher dans cette zone précise de l'Ajusco. »À ses côtés, sa cousine donne les dernières directives aux bénévoles : « On va chercher des ossements. Si vous trouvez des vêtements, des bouteilles d'alcool vides... concentrez-vous sur cet endroit, car c'est probablement là où ils sont restés un moment et où ils ont pu tuer. »Les recherches vont durer quatre jours. La famille de Pamela accompagnée de bénévoles, de pompiers et d'anthropologues vont passer cette partie de la forêt au peigne fin. Cette fois, des membres du parquet spécialisé contre les disparitions forcées se sont joints à eux, mais Esteban Gallardo comme les autres familles de disparus ne leur font plus confiance : « Au-delà de me sentir abandonné et invisible, je me sens frustré. Ça me frustre de savoir que le parquet aurait pu déjà retrouver ma sœur et d'autres personnes avec toutes les informations et tous les éléments que les familles elles-mêmes trouvent et leur donne. »À quelques mètres de là, l'un des bénévoles met la main sur un os. L'anthropologue s'approche : « C'est animal. On le voit à l'épaisseur, c'est un os animal. »Plus de 120 000 personnes portées disparuesFausse alerte, les recherches continuent, il ne faut oublier aucun recoin du secteur désigné aujourd'hui, car demain, ce sera une autre zone de cette forêt de 1 000 hectares qui sera fouillée. Une quête sans fin qu'Esteban continue au prix de nombreux sacrifices : « Même si on a un travail, des activités, une vie… quand ces sessions de recherche s'organisent, on arrête tout pour venir. Avoir le moindre indice sur elle, savoir dans quelles conditions elle se trouve, ça nous permettrait d'avancer vers un possible deuil. Mais ne pas savoir ce qui lui est arrivé conditionne toutes nos actions, que ce soit dans la vie personnelle, familiale ou sociale. »Une situation ambiguë que vivent les familles des plus de 120 000 personnes portées disparues au Mexique à ce jour. Après la découverte d'un camp d'extermination dans l'ouest du pays, Claudia Sheinbaum a annoncé plusieurs mesures pour lutter contre les disparitions forcées, toutes jugées déjà existantes ou inutiles par les familles.À lire aussiMexique: découverte d'une fosse clandestine dans un ranch, l'enquête passe sous contrôle fédéral
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Éléonore Lemaire débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Travailler avec des influenceurs peut transformer votre marque… à condition de savoir comment s'y prendre ! C'est exactement ce que j'ai proposé aujourd'hui dans la leçon du jour avec Aurélie, qui est la fondatrice de la jolie marque Gingerly et qui se demandait comment exploser sur le digital.Dans cette vidéo, je partage toutes les clés indispensables pour réussir une campagne d'influence rentable et authentique. Vous apprendrez :✅ Comment identifier et sélectionner des influenceurs réellement pertinents pour votre marque.✅ Les meilleures techniques pour les approcher et susciter leur intérêt.✅ Les erreurs coûteuses à absolument éviter pour ne pas gaspiller votre budget.✅ Comment mesurer efficacement l'impact réel de vos partenariats.Découvrez comment transformer vos campagnes d'influence en un véritable levier de croissance. CHAPITRAGE00:00 – Introduction : Pourquoi l'influence est incontournable02:52 – Identifier l'influenceur idéal pour votre marque05:17 – Approcher et convaincre les influenceurs clés10:41 – Les erreurs fréquentes à éviter absolument13:35 – Analyser la rentabilité et l'efficacité d'une collaboration#influence #marketingdigital #stratégie #influenceursNotes et références de l'épisode Pour aller plus loin : La formation “Bâtir une communauté engagée sur les Réseaux Sociaux”La formation “Reprenez le contrôle de votre temps : faites plus en moins de temps”La formation “Avoir une communication puissante” Pour retrouver Aurélie : Sur son siteSur InstagramSur FacebookVous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Le président américain Donald Trump a réitéré mercredi devant son homologue sud-africain Cyril Ramaphosa, reçu à la Maison blanche, des accusations de persécution et de massacres de Blancs en Afrique du Sud, l'un des principaux points de contentieux entre leurs deux pays. Pretoria rejette les accusations selon lesquelles les Blancs sont spécifiquement visés de manière disproportionnée par des crimes. Le taux d'homicide reste élevé en Afrique du Sud, la grande majorité des victimes sont noires.
"Avoir le 8ème budget de Ligue 1 et se retrouver en barrage, après avoir si bien travaillé pendant des années, c'est que beaucoup de choses n'ont pas fonctionné. Il ne faut pas se cacher."Le procureur Duga' donne son avis sur la gestion du président du Stade de Reims cette saison.
Avoir des dents saines, cela passe par une bonne hygiène dentaire. Voici ce qu'il faut faire et ce qu'il faut éviter pour ne pas aller voir trop souvent le dentiste. Ecoutez Ça va Beaucoup Mieux avec Aline Perraudin du 21 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:07:03 - L'invité de "ici Maine" - Le Mans FC va changer de dimension lors de la saison 2025/2026 en passant du championnat de National à celui de Ligue 2. Le budget du club va donc devoir évoluer, dans un contexte de crise des droits TV. Éclairage avec Jean-Pascal Gayant, spécialiste de l'économie du sport.
durée : 00:12:54 - Poutine dit avoir eu une conversation "utile" avec Trump sur l'Ukraine
durée : 00:03:30 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Les Toffees ont remporté leur dernier match au Goodison Park 2-0, devant un public ému qui se retrouvera désormais dans un stade flambant neuf à quelques kilomètres de là. Le stade ne va pas être détruit mais va accueillir l'équipe féminine d'Everton.
(00:00:31) Y aura-t-il plus de blackouts électriques à cause des énergies renouvelables ? (00:07:30) Avoir des enfants coûte trop cher en Irlande (00 :11 :52) L'épigénétique montre que les traumatismes peuvent se transmettre sur des générations
Tous les soirs, à 19 heures, retrouvez les dernières informations de la rédaction.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Lucas exprime ses réticences à avoir des enfants pour des raisons financières et personnelles. Il souhaite se concentrer sur sa carrière et sa liberté individuelle malgré la pression sociale ressentie. Stéphane a réagi au témoignage de Lucas, car à 52 ans, il affirme être épanoui sans enfants. Cette saison, Joseph Agostini accueille les auditeurs le dimanche soir de 23h à 1h sur RTL au 09 69 39 10 11.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Suite au témoignage de Gwendoline, Alain témoigne de l'abus subi par son fils à 9 ans dans une colonie, et des difficultés rencontrées pour obtenir justice. Alain partage son expérience de soutien à son fils et les défis émotionnels qu'ils ont traversés ensemble. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les bonnes feuilles du livre-choc consacré à l'état de santé de l'ancien président replongent l'opposition dans le marasme politique. Son déclin cognitif, ses absences, l'acteur George Clooney qu'il n'a pas reconnu lors d'une soirée alors que les deux hommes se fréquentent depuis 20 ans, sa démarche chancelante, son futur fauteuil roulant… L'ouvrage des journalistes Alex Thompson (Axios) et Jake Tapper (CNN), à paraître le 20 mai, démontre une fois encore comment l'entourage de Biden a tout fait pour couvrir les affres du grand âge. Et à quel point le président sortant, en se retirant si tard de la course, a précipité la chute des démocrates à la dernière présidentielle. À la lumière de ces dernières révélations, POLITICO nous raconte que les cadres du parti n'ont qu'une phrase à la bouche, « il faut aller de l'avant ». Sauf que l'inventaire n'a pas été fait, et qu'il y a « encore un déni majeur au sein de notre formation à propos de l'ampleur de la défaite, soupire un élu du Massachussetts. Ceux qui veulent absolument passer à autre chose sont précisément ceux qui refusent encore d'accepter que nous avons perdu ».L'opposition reste aux prises avec ses questions existentielles malgré un agenda politique très chargé : parmi tant d'autres dossiers brûlants, cet échange tendu à la Chambre des Représentants hier, relaté par USA Today. La Commission de contrôle des services d'immigration a entendu le patron de l'agence ICE, le bras armé de la répression migratoire ordonnée par Donald Trump, qui veut expulser un million de personnes des États-Unis. Questionné par les parlementaires démocrates, Todd Lyons a fini par lâcher un chiffre : depuis l'investiture du président le 20 janvier, neuf migrants sont morts à la suite de leur placement en centre de rétention. L'administration Trump promet une enquête approfondie sur les causes de chacun de ces décès. La saison des décisions judiciaires commence aujourd'huiLa Cour Suprême se dépêche de statuer avant la pause estivale et il y a de lourds dossiers sur sa table. Peut-on interdire aux médecins de prescrire des traitements hormonaux aux mineurs qui entament une transition de genre ? Les mesures de vérification de l'âge des internautes sur les sites pornographiques sont-elles constitutionnelles ? Faut-il étendre l'usage des tests ADN aux condamnés à mort afin qu'ils puissent prouver leur innocence ? Liste quasiment exhaustive à lire dans The Hill. La plus haute juridiction américaine doit se pencher sur un minimum d'une vingtaine de procédures d'ici la fin du mois de juin. Les territoires perdus de la République d'HaïtiComme chaque jeudi, retour sur l'actualité haïtienne avec Frantz Duval, rédacteur en chef du Nouvelliste, le plus ancien quotidien de Port-au-Prince. Plongée en Une dans la commune de Mirebalais et tant d'autres territoires passés sous le contrôle des gangs armés. Situation observée de très près par la République dominicaine voisine. Dans son éditorial, Frantz Duval fait le récit de la réunion qui s'est déroulée, hier, entre l'actuel président dominicain, Luis Abinader, et ses prédécesseurs, sur fond de politique ultra-répressive envers les Haïtiens présents sur le territoire dominicain. Poison ou bénédiction ? Le rapprochement sino-colombien divise les éditorialistes La Colombie a bel et bien rejoint les nouvelles routes de la Soie, l'immense programme d'investissements porté par la Chine depuis une dizaine d'années. Pékin va soutenir l'économie colombienne en important datage de produits colombiens, et investir tous azimuts sur le sol colombien (infrastructures, santé, agro-industrie ou l'intelligence artificielle). El Tiempo y voit un choix « judicieux », mais attention, écrit le journal, « à la perception que pourraient avoir les États-Unis de ce texte signé avec Pékin. En pleine guerre commerciale, « le gouvernement Petro va devoir faire preuve de la plus grande sensibilité pour protéger les intérêts de la Colombie dans ses futurs rapports avec la Maison Blanche ».Pour le verre à moitié vide, lire la tribune explosive de Sofy Casas dans Semana. « Ce n'est pas une exagération, ce n'est pas de la rhétorique. C'est la réalité. Petro livre la Colombie à la Chine. Ce qui s'est déjà produit au Venezuela est sur le point de se répéter dans notre pays, avec le même scénario, les mêmes acteurs et la même tragédie. La Chine n'est pas un allié. C'est le propriétaire silencieux du Venezuela. La Chine a prêté plus de 60 milliards de dollars au Venezuela depuis 2007, non par générosité, mais pour le lier à une dette impayable, devenant ainsi le créancier, le protecteur et le marionnettiste du régime. » Or, poursuit Sofy Casas, le président colombien Gustavo Petro lui aussi « est allé mettre le pays en gage pour se débarrasser des États-Unis ». Selon elle, il y a désormais entre Pékin et Bogota « un alignement idéologique, la consolidation d'un modèle autoritaire soutenu par l'argent du régime chinois et un silence diplomatique complice ».Le procès historique de l'ancien président colombien Alvaro Uribe C'est le premier passage en jugement d'un ancien chef d'État en Colombie : Alvaro Uribe est poursuivi au pénal pour subornation de témoins. Et même si ses deux mandats sont déjà loin (de 2002 à 2010), il est encore aujourd'hui la figure tutélaire du camp conservateur, et l'un des hommes politiques les plus influents du pays. Son procès retransmis en direct par tous les médias provoque un vif débat et irrigue la vie quotidienne. Dossier signé Najet Benrabaa à retrouver dans l'édition du jour. L'actualité des Outre-mer avec nos confrères de la 1èreFusillades, exécutions en plein jour et en pleine rue, la violence semble avoir atteint un niveau inédit ces derniers temps en Martinique.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Près de vingt ans après les faits, le psychiatre Thierry Bonvalot se demande toujours ce qu'il aurait pu faire de plus pour mettre Joël Le Scouarnec hors d'état de nuire. « Un échec personnel dramatique », regrette-t-il encore. Un article d'Hugo Lemonnier publié mercredi 14 mai et lu par Jérémy Zylberberg. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous avez mille idées à la minute ? L'envie de tout lancer en même temps ? Rassurez-vous : vous n'êtes pas seul.J'étais comme vous. Et Sophia, mon invitée du jour, entrepreneure strasbourgeoise passionnée, l'est aussi.Quatre mois après l'ouverture de son espace bien-être, elle jongle déjà avec plusieurs activités… et un trop-plein d'idées.Mais comment savoir quelle direction prioriser sans renoncer à tout ?Comment éviter la dispersion tout en gardant intacte sa créativité ?Dans cette leçon, je partage avec elle la méthode que j'aurais choisie à sa place.Une stratégie concrète pour faire le tri, se recentrer, et surtout réussir, sans s'épuiser.Parce qu'il vaut parfois mieux faire peu, mais bien.Et que la vraie puissance naît de la clarté.Si cet épisode vous parle, je vous invite à le diffuser autour de vous : sur Instagram, LinkedIn, ou simplement à un ami entrepreneur qui en aurait besoin.Et bien sûr, à vous abonner au podcast pour ne rien manquer.Chapitrage : 00:00 – Introduction 03:07 – Présentation de Sophia04:16 – Multiplier les offres tue la lisibilité06:01 – Le piège de vouloir tout faire… tout de suite07:51 – Simplifier, clarifier, séquencer : la méthode09:11 – Trouver sa zone de génie : le vrai luxe de l'entrepreneurNotes et références de l'épisode Pour aller plus loin : La formation “Reprenez le contrôle de votre temps : faites plus en moins de temps” La formation “Avoir une communication puissante” Pour retrouver Sophia : Sur son site Sur InstagramVous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Le tribunal correctionnel de Paris a condamné Gérard Depardieu à 18 mois de prison avec sursis pour les agressions sexuelles de deux femmes sur le tournage du film « Les Volets verts » en 2021. La victimisation secondaire, liée à la stratégie de défense, est également reconnue. Un article de Marine Turchi, publié le 13 mai 2025, lu par Christine Pâris. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Jean-Loup Bonnamy débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Chaque jour aux côtés d'Estelle Denis, Charlotte Méritan, notre spécialiste RMC Conso, vous donne les bonnes astuces pour mieux consommer et faire des économies.
Chaque matin, Maurine nous dévoile des chiffres surprenants. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouvel épisode de podcast, je te parle honnêtement de comment avoir confiance en toi dans les moments de doute, de transition, de tristesse. Je te raconte quelques anecdotes comme quoi j'ai fait confiance à l'univers et ça m'a été bénéfique. Tu as un business en ligne et tu veux booster ta visibilité et tes revenus ?CANDIDATE A LA PROCHAINE PROMOTION DE SUCCESS STORY PRO : https://tally.so/r/3xdq9J Ou tu es créatrice de contenu et tu veux obtenir des collaborations rémunérées avec tes marques préférées ?MA FORMATION SUCCESS STORY CREATOR EST FAITE POUR TOI : https://www.mathildewod.fr/success-story-creatorMes réseaux sociaux :INSTAGRAM : @mathildewod TIKTOK : @mathildewod Contact pro : mathildewod@outlook.fr
Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs, sexo… En simultané sur RMC Story.
durée : 00:04:32 - Comme personne - Bahman Yazdan Panah aime relever les défis. Passionné de cinéma, ce jeune homme kurde a quitté son Iran natal il y a quatre ans. Avec une vision limitée à la moitié d'un oeil, il a traversé clandestinement l'Europe à pied. Réfugié en France, il est devenu documentariste et producteur de film.
La fumée blanche de la Chapelle Sixtine est sortie ce jeudi 8 mai 2025, pour annoncer l'élection du successeur au Pape François. Il s'agit de l'américain Robert Francis Prevost, qui a choisi comme nom Léon XIV. Cette saison dans "RTL Matin", la rédaction répond aux questions pas si bêtes qui nous passent par la tête. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comment réussir à émerger quand on a moins de moyens, moins de notoriété… et qu'on entre dans un marché saturé ?C'est la question que m'a posée Roxanne, fondatrice de la marque YOGASANA. Ensemble, on a exploré ce qui fait une vraie différenciation.Parce qu'on ne peut pas jouer sur tous les tableaux, mais on peut choisir le bon angle.Et c'est précisément ce que je m'efforce de transmettre : la différenciation n'est pas un luxe, c'est une nécessité.C'est ce qui permet à une jeune marque d'exister face à des géants déjà bien installés.Et maintenant… place à la leçon du jour.Notes et références de l'épisode Pour aller plus loin : La formation “Avoir une communication puissante”Pour retrouver Roxanne : Sur son site YOGASANASur InstagramChapitrage : 00:00 – Introduction 01:01 – Présentation de Roxanne et Yogasana02:50 – Les défis d'un modèle produit limité 04:15 – Rentabilité, ambitions & réflexion stratégique05:35 – Explorer une nouvelle offre différenciante 14:53 – Alignement personnel & limites du digital #StratégieDeMarque#PlateformeDeMarque#Positionnement#MarketingStratégique#Différenciation#AvantageConcurrentiel#IdentitéDeMarque#StratégieMarketing#EmergerSurLeMarché#SeDémarquer#PenseDifféremment#SortirDuLot#OserÊtreDifférent#MindsetDeLeader#RéussirAutrement#CroireEnSonProjet#LeadershipFéminin#DevenirLaRéférenceVous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, Joëlle Dago-Serry et Charles Consigny débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Dans le podcast « Ça peut vous arriver » sur RTL, Julien Courbet et son équipe distribuent conseils conso et astuces juridiques pour lutter contre les arnaques dans la bonne humeur. Ecoutez Ça peut vous arriver avec Julien Courbet du 07 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avoir une "bonne" mémoire, c'est en partie génétique. mais la bonne nouvelle, c'est qu'on peut l'entretenir et l'améliorer. Eclairage avec Mélanie Bieler, neuropsychologue au Centre Leenaards de la mémoire du CHUV. On écoute aussi toutes vos astuces pour renforcer nos mémoires. Spoiler: vous n'êtes pas seul·e·s à oublier un prénom qu'on vient de vous dire! Journaliste: Juliane Roncoroni Réalisation: David Chapuis Nous écrire ou nous proposer des questions: pointj@rts.ch ou +41 79 134 34 70
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 07/05/2025 (thème) Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Jérôme Marty et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
Au menu de la troisième heure des GG du mardi 6 mai 2025 : "RATP, 150 euros d'amende pour avoir transporté une plante" avec Barbara Lefebvre, enseignante et essayiste, Jérôme Marty, médecin généraliste, et Didier Giraud, agriculteur.
Jean-Christophe a appelé pour discuter des problèmes relationnels avec sa femme, survenus après ses cures de désintoxication alcoolique. Bien qu'il ait retrouvé un emploi et amélioré sa santé, son couple souffre d'un manque d'intimité, exacerbé par la présence de ses beaux-parents chez eux. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour plus d'informations : https://www.francaisauthentique.com/ne-pas-avoir-la-langue-dans-sa-poche
Alors que la paix entre Palestiniens et Israéliens n'a jamais semblé aussi lointaine, une grappe d'étudiants palestiniens a fait le choix de suivre un cursus d'« études israéliennes ». Au programme : cours d'hébreu, études de grands textes du judaïsme et de la littérature israélienne, histoire et sociologie d'Israël. La prestigieuse université de Birzeit, en bordure de Ramallah, affiche clairement ses objectifs : « Mieux connaître l'occupant » pour mieux le combattre sur le terrain des idées. De notre correspondante à Ramallah,C'est un cours d'hébreu... à la palestinienne. Il démarre par une distribution de baklawas. Grand sourire, une étudiante annonce ses fiançailles tout en promenant un plateau de pâtisseries. Gourmand, Esmat Mansour, le professeur, se sert tout en ne perdant pas de vue ses objectifs pédagogiques : « Mazel tov ! Mazel Tov ! » Les yeux rieurs encadrés de lunettes, il confie à voix basse : « L'hébreu rappelle de mauvais souvenirs aux étudiants. Pour eux, c'est la langue des checkpoints. Alors, j'essaie autant que je le peux de détendre l'atmosphère pendant le cours. Moi, j'adore l'hébreu et mon rôle, c'est de faire aimer cette langue à mes étudiants. Je leur dis souvent qu'en maîtrisant l'hébreu, ils vont gagner en force et en confiance en eux. Si tu ne sais pas t'exprimer en hébreu, les Israéliens te mépriseront. »L'hébreu, le quinquagénaire a eu tout le loisir de l'apprendre en prison où il a passé vingt années de sa vie pour participation au meurtre d'un Israélien établi dans une colonie. Il avait pour camarade de cellule un certain Yahya Sinwar, ancien numéro un du Hamas et instigateur des attaques du 7-Octobre qui ont fait basculer la région dans un chaos dont on ne voit plus la fin.Mais sur ce lourd passé, l'homme préfère se faire discret : « Mes étudiants sont curieux et veulent en savoir plus sur l'expérience de la prison, mais l'université n'est pas le lieu pour le faire. Ici, je ne parle que des bons aspects de la prison. Avoir pu apprendre l'hébreu est l'une de ces bonnes choses. »« C'est normal de vouloir en savoir plus sur les Israéliens »Lui qui dit croire désormais en une « solution politique » au conflit, prodigue la matière phare du cursus : l'hébreu à raison de neuf heures par semaine. Révisions du vocabulaire de base et apprentissage de quelques adages en hébreu, le cours se déroule dans une ambiance bon enfant teintée de salves d'humour noir. Après la lecture d'un texte évoquant la protection de la nature et des animaux, un étudiant lance, cynique : « Ils sont fantastiques, les Israéliens ! Ils font attention à tout, la nature, les animaux ! Sauf à nous ! Nous non, on ne compte pas ! Pourquoi ? Aucune idée ! ». Les rires fusent. « Les plus tragiques des désastres sont ceux qui provoquent des rires », soutient le poète palestinien Mohammed El-Kurd dans son recueil « Rifqa ». Ici, on rit beaucoup. Tout en rondeurs et sourires lui aussi, Rabih Bader, 27 ans, dit vouloir entamer un travail de recherche consacré à ce qu'il appelle la « judaïsation de l'histoire palestinienne » par les Israéliens. Impossible donc de faire l'impasse sur l'hébreu : « C'est normal de vouloir en savoir plus sur les Israéliens. Eux savent tout de nous. Ils ont de très bons départements d'études palestiniennes dans leurs universités. Ils étudient non seulement l'arabe, mais même les différents dialectes palestiniens. Ils sont super spécialisés, à nous d'en faire de même. » Oreilles dressées pour écouter les cours, plusieurs étudiants gardent un œil en permanence sur leurs smartphones. Les dernières informations sont égrenées à haute voix : arrestations, incursions de l'armée israélienne ou rumeurs de fuites de documents au sein du Shin Bet, l'appareil de renseignements israéliens, la salle de classe a aussi des airs de rédaction. On commente, on se perd en conjectures et souvent, on ironise, encore et encore, sur la situation. Un programme lancé il y a dix ansPour accéder à cette rieuse salle de classe, il en aura fallu de la patience. Ici comme dans beaucoup d'endroits de Cisjordanie occupée, la méfiance règne. Avant de nous autoriser à nous mêler à leurs étudiants, les responsables de l'université de Birzeit annoncent avoir fait « leur enquête » sur nous. Un mois et demi d'échanges d'e-mails, de messages WhatsApp, de smileys, de vœux pour l'Aïd, de rencontres et de tractations plus tard, les portes de ce programme académique inédit s'ouvrent enfin à notre micro.Sous un portrait de Shireen Abou Aqleh – ancienne étudiante et professeur à Birzeit, mais surtout journaliste star d'Al Jazeera abattue en plein reportage à Jénine par l'armée israélienne – Najat Abdulhaq, sémillante responsable du département de la communication de l'université explique sa prudence. Smartphone en main, elle montre des photos des différents raids de l'armée israélienne sur le campus. Les dizaines d'étudiants arrêtés, les salles de classes retournées et les drapeaux arrachés l'incitent à la prudence désormais. Dans ce contexte hautement explosif, comment étudier sereinement la société israélienne ? Quand ce programme a été lancé il y a dix ans, un dilemme s'est posé d'emblée : peut-on étudier la société israélienne tout en évitant la « normalisation » ? La solution est vite trouvée. Les seuls Israéliens autorisés à donner cours ici sont des Palestiniens, citoyens d'Israël, comme Areen Hawari, directrice d'un centre de recherches à Haïfa, en Israël. Petite, coupe au carré, elle confie que cette escapade académique hebdomadaire en Cisjordanie occupée est paradoxalement une bouffée d'air pour elle : « Je suis heureuse d'enseigner ici à Birzeit. Je suis palestinienne et cela fait partie de notre projet de libération. Oui, cela fait partie de notre projet de libération de pouvoir produire des études qui soient critiques du colonialisme d'un point de vue académique. Je suis très enthousiaste. » Composant 20% de la population israélienne, les Palestiniens d'Israël sont minoritaires. Présentés comme une cinquième colonne qui menace la sécurité de l'État hébreu, ces professeurs – malgré les checkpoints qu'ils doivent franchir pour venir enseigner en Cisjordanie occupée – trouvent ici paradoxalement un répit de quelques heures dans le climat de suspicion généralisée qui prédomine en Israël. « J'ai un passeport israélien, mais je me sens palestinienne et je porte le poids de la douleur des Palestiniens moi aussi. Notre souhait, c'est qu'Israël ne soit pas un État que pour les juifs, mais pour tous les citoyens. On veut un État démocratique », poursuit Areen Hawari. Combattre la colonisation par les armes du savoirUn département d'études israéliennes peut-il se concevoir sans professeurs israéliens juifs ? Pour Asma, étudiante aussi appliquée qu'impliquée, la question ne se pose pas : « On n'a pas de professeur juif effectivement, mais le problème ce n'est pas la confession en soi. On ne veut pas avoir de profs sionistes. Mais ça n'empêche pas qu'on les lise. On ne peut pas comprendre les Israéliens si on ne lit pas Theodor Herzl et d'autres penseurs du sionisme ». Le sionisme. Le terme revient beaucoup en cours. « Plus de terre, moins d'Arabes », lance une étudiante pour le définir. Une question survient alors : « Peut-on étudier un domaine que l'on n'aime pas ? » Sans circonvolutions, Asma répond avec l'aplomb des punchlines propres à sa génération : « On est un peu comme les médecins qui étudient le cancer. Les médecins n'aiment pas le cancer, mais ils l'étudient pour pouvoir le combattre. » Tous, ici, professeurs comme étudiants, ont l'impression de combattre la colonisation par les armes du savoir. Fondée à l'aube du XXe siècle, l'Université de Birzeit a une longue tradition d'engagement pour la cause palestinienne. Les Français l'ont découverte à la (dé)faveur du déplacement de Lionel Jospin sur le campus le 26 février 2000. Pris à partie par des étudiants scandalisés par ses propos sur le Hezbollah qu'il a qualifié de « terroriste », le Premier ministre français essuie jets de tracts et de pierres. La scène donne des sueurs froides à son personnel de sécurité et vient rappeler combien chaque mot est miné dans cette région du monde. Un programme financé par le Centre arabe de recherche et de sciences politiques de DohaUn quart de siècle plus tard, rien n'a changé. L'Orient reste plus que jamais « compliqué » et suscite l'intérêt redoublé de programmes de recherches du monde entier. À commencer par celui des riches pétromonarchies du Golfe désormais convaincues de la nécessité d'investir dans le savoir en plus de la pierre et des clubs de football européens. La petite trentaine d'étudiants qui suit le programme bénéficient ainsi d'une bourse financée par le Centre arabe de recherche et de sciences politiques de Doha. Un institut dirigé par l'intellectuel palestinien Azmi Bishara également citoyen d'Israël où il fut député. Recherche, journalisme, diplomatie, les secteurs en mesure d'accueillir ces rares étudiants palestiniens connaisseurs en profondeur de la société israélienne sont nombreux et stratégiques.Casquette vissée sur la tête, main qui caresse tantôt un chapelet tantôt une cigarette, Mohanad, le regard clair – lui aussi ancien prisonnier comme 40% des hommes palestiniens et dont le nom sera tu pour des raisons de sécurité – confie pourtant avoir du mal à savoir ce qu'il fera de son diplôme. « Tu sais, nous en Palestine, on ne sait plus se projeter. Là, je suis avec toi, mais demain qui sait où je serai ? J'ai été emprisonné deux fois. Je peux être emprisonné à nouveau à tout moment. Depuis le 7-Octobre, on parle même de nous faire partir d'ici de façon massive. C'est difficile de pouvoir réfléchir à l'avenir ». « L'impossible futur ; comment la colonisation israélienne sape les rêves d'avenir de la jeunesse palestinienne ». Un thème de recherche académique en soi…
Reporterre.net est un site d'information français en accès libre, sans abonnement, sans actionnaire, sans publicité. Il a été créé il y a 12 ans par Hervé Kempf, qui vient d'en transmettre la direction éditoriale à Amélie Mougey. Tous deux sont les invités de L'atelier des médias pour détailler cette transition, parler de leur modèle économique basé sur le don, de l'importance du journalisme indépendant et des projets de leur rédaction. Avec le départ à la retraite de son directeur de la rédaction historique, Hervé Kempf, et l'arrivée d'Amélie Mougey pour prendre sa suite, Reporterre lance un nouveau chapitre de son histoire que tous deux sont venus raconter sur RFI.Ils reviennent sur cette offre d'emploi publiée en septembre 2024 par la rédaction de Reporterre. Hervé Kempf explique cette démarche inhabituelle pour un poste de directeur de rédaction ; Amélie Mougey, précédemment rédactrice en chef de La revue dessinée pendant 8 ans, a vu l'offre d'emploi circuler, envoyée par des amis et collègues. En poste depuis avril, Amélie Mougey décrit Reporterre.net comme « le meilleur endroit pour les personnes qui ne sont pas satisfaites d'être dans le déni » face à la crise écologique, mais qui souhaitent aussi « préserver leur moral et leur santé mentale ». Elle explique que le site réussit à proposer un « décryptage lucide des enjeux, des mécanismes de destruction à l'œuvre » tout en montrant « ce qui frémit, ce qui bouillonne du côté de celles et ceux qui cherchent des solutions ».Un fonctionnement collaboratif et une culture du consensusAvec une équipe d'une trentaine de salariés dont 24 journalistes, Reporterre.net se distingue par son fonctionnement collaboratif. Hervé Kempf explique que l'équipe s'est constituée progressivement par « cooptation », basée sur le « feeling » et la « passion du journalisme ». Il souligne l'importance de l'intelligence collective dans les recrutements récents, effectués à plusieurs pour « croiser les expertises ». L'objectif est de conserver la culture de bienveillance et d'entente qui caractérise la rédaction.Amélie Mougey aborde avec humour sa position de « cheffe dans un média qui n'aime pas les chefs ». Elle voit son rôle comme « un poste de coordination et de facilitation » alors qu'il y a par ailleurs une rédaction en chef tournante.Le modèle économique basé sur le don, garant de l'indépendanceSans abonnement et sans publicité, Reporterre.net est en accès libre. Son fonctionnement repose presque exclusivement sur les dons de ses lecteurs. Hervé Kempf explique que ce choix, adopté rapidement après le lancement, visait l'indépendance : « La colonne vertébrale du journalisme, c'est l'indépendance. On ne peut pas faire du bon journalisme si on n'est pas indépendant. »Ce système, basé sur le don libre, est perçu par Amélie Mougey comme un « principe de solidarité qui est très beau et qui est très fort », rappelant le concept de « prix libre ». Elle apprécie le caractère « solidaire et équitable » du don, permettant à des personnes de différents moyens de contribuer. Hervé Kempf ajoute que donner à Reporterre.net, c'est aussi donner « pour que d'autres personnes qui n'ont pas les moyens de donner puissent aller voir » le contenu gratuit.Géré par l'association La Pile (L'Association pour une presse indépendante, libre et écologique), Reporterre.net a vu ses recettes issues des dons atteindre 3,5 millions d'euros en 2024, représentant 97 % de ses revenus. « L'écologie n'est pas une rubrique »Amélie Mougey insiste sur l'importance de « peser dans la bataille culturelle », notamment face au retour du climatoscepticisme dans certains médias. Il s'agit de « continuer à documenter ce qui a du sens », de « raconter le monde tel qu'il est et aussi tel qu'on aimerait qu'il soit ». C'est aussi une « bataille des imaginaires », une lutte « contre le fascisme, le racisme, contre ces idées rances qui reviennent, qui montent et qui sont terrifiantes » pour le vivant et la capacité humaine à vivre ensemble.L'écologie à Reporterre.net n'est pas traitée comme une rubrique isolée, mais connectée aux « enjeux sociaux, sociétaux, économiques ». Amélie Mougey prend l'exemple des migrations, directement liées aux conditions de vie dégradées par la crise écologique. Avoir signé ces derniers jours la Charte de Marseille sur l'information et les migrations témoigne de cette volonté de réfléchir à la manière de traiter ces sujets, d'éviter les stéréotypes et de montrer l'interconnexion des enjeux.Défendre la presse indépendante Hervé Kempf et Amélie Mougey mettent en avant l'importance de la collaboration entre médias indépendants. Reporterre, aux côtés d'autres titres comme Vert, Socialter, Climax, Silence, La Décroissance, L'âge de faire, StreetPress, Mediapart, Basta!, montre qu'« une presse indépendante, c'est possible ». L'objectif n'est pas de dominer, mais de contribuer à un « jardin vivant, vivace », où la diversité fait la richesse. Ces alliances permettent de « fonctionner peut-être pas toujours en symbiose mais au moins en collaboration, en coopération », de se renforcer mutuellement et de « construire des récits, des discours qui sont vrais, qui sont importants » et qui ont une « fonction politique » face aux discours de prédation ou d'exclusion.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comme toujours, nous parlerons de l'actualité dans la première partie de l'émission. Nous commencerons par discuter des élections fédérales canadiennes qui ont eu lieu lundi. La guerre commerciale menée par le président Trump et ses menaces sur une potentielle annexion du Canada ont dominé le débat électoral. Ensuite, nous parlerons de la hausse record des dépenses militaires en Europe, qui est principalement due aux menaces de la Russie et au possible retrait des États-Unis de l'OTAN. Dans notre section scientifique, nous aborderons une nouvelle étude qui révèle que les requins mordent principalement pour se défendre face aux humains. Pour terminer, nous féliciterons l'Université du Maryland qui a très bien choisi l'orateur de sa cérémonie de remise des diplômes de cette année : Kermit la Grenouille. Notre rubrique grammaticale comprendra de nombreux exemples sur le point de grammaire du jour: The Future Simple. Part III The Verbs of the Third Group (Lesson 1): Verbs of the 3rd group that form the future tense from the infinitive. Et notre dernière partie sera consacrée à l'expression française : Avoir du pain sur la planche. - Les libéraux se maintiennent au pouvoir au Canada face aux droits de douane et à la rhétorique de Trump - L'Europe augmente ses dépenses de défense dans un contexte d'inquiétude mondiale pour la sécurité - Une étude révèle que les requins mordent pour se défendre - Kermit la grenouille prononcera le discours d'ouverture de la cérémonie de remise des diplômes de l'université du Maryland - Un nouveau système de recrutement des professeurs apparaîtra en France dès l'année prochaine - La France se prépare pour ses prochains Jeux olympiques
Jean-Pierre Papin évoque ses regrets de ne pas avoir soulevé la Ligue des champions, en 93, avec l'OM.
Aujourd'hui, Etienne Liebig, Joëlle Dago-Serry et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
Créer sa marque, c'est un grand frissonOn a des idées plein la tête, des envies de beau, de fort, de marquant…Mais très vite, l'excitation laisse place au flou, aux doutes, à l'épuisement.Trop d'entrepreneurs se perdent dans ce faux perfectionnisme, ou dans un branding "joli", mais creux.Dans cet épisode, je partage avec vous les trois erreurs les plus fréquentes et souvent méconnues, qui empêchent une marque de décoller. Des erreurs que j'ai vues chez beaucoup d'entrepreneurs… et que j'ai parfois faites moi-même.Vous entendrez pourquoi chercher un branding parfait est contre-productif, en quoi se concentrer sur l'esthétique vous détourne de l'essentiel, et pourquoi l'audace (la vraie) est votre meilleur levier stratégique.Et si votre marque devenait enfin le prolongement juste, clair et sincère de ce que vous êtes profondément ?
Quand on évoque les grands explorateurs des cimes, le nom de Joseph Vallot ne revient pas toujours en premier. Et pourtant, cet homme du XIXe siècle fut un pionnier dans un domaine où peu osaient s'aventurer : la science en haute montagne. Naturaliste, géographe, alpiniste, astronome et même météorologue, Joseph Vallot incarne une figure exceptionnelle de la science pluridisciplinaire, menée au sommet. Littéralement.Né en 1854 à Lodève, dans l'Hérault, Vallot est fasciné dès son plus jeune âge par les montagnes. Mais au lieu de s'en contenter comme terrain de jeu sportif, il les considère comme un laboratoire à ciel ouvert. Son obsession : comprendre le fonctionnement de la nature dans les conditions extrêmes de l'altitude. Une idée audacieuse à une époque où la médecine, la physique ou la biologie ne s'exerçaient qu'en milieu tempéré.Il va donc réaliser un exploit scientifique et logistique inédit : installer un observatoire permanent sur le Mont Blanc, à plus de 4.300 mètres d'altitude. En 1890, après de multiples ascensions et de minutieux repérages, il fait bâtir le fameux Observatoire Vallot. Transporté à dos d'hommes, de mules et de traîneaux, le matériel est hissé à travers la neige et les crevasses. Une folie, pour certains. Une révolution, pour l'histoire de la science.À cet observatoire, Vallot passe de longues semaines, parfois seul, pour mener des études sur la respiration humaine, la composition de l'air, la météorologie, la glaciologie, et même l'astronomie. Il observe comment l'organisme s'adapte à l'altitude, mesure la baisse de la pression atmosphérique, étudie les mouvements des glaciers… et note tout avec rigueur. Ses carnets sont de véritables trésors scientifiques.Mais ce n'est pas tout : il invente aussi du matériel pour la haute montagne, conçoit des tentes adaptées aux expéditions, et développe des méthodes de relevés topographiques en altitude. Sa passion ne s'arrête jamais.Joseph Vallot était un esprit universel. À une époque où la spécialisation scientifique devenait la norme, lui choisissait la transversalité. Sa contribution majeure ? Avoir démontré que la haute montagne n'est pas un désert scientifique, mais un espace d'observation privilégié pour comprendre notre planète.Il meurt en 1925, mais son héritage perdure : son observatoire existe encore, utilisé aujourd'hui par des chercheurs du monde entier. Joseph Vallot, en somme, a hissé la science à des sommets… au sens propre comme au figuré. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
Olivier, Marpeau est gynécologue de profession et créateur du compte Instagram « Mon Gynéco » avec plus de 1 million de followers.Avoir 2 hommes qui parle de la santé des femmes et plus spécifiquement de la santé gynécologique, ca peut paraître étrange et pourtant je suis convaincu que les hommes devraient s'en soucier beaucoup plus.J'ai posé l'intégralité des questions que j'ai reçu suite à une story Instagram anodine - pourtant j'ai eu des centaines de questions!Avec Olivier, j'ai eu une conversation à la fois fluide, engagée et incroyablement nécessaire. Depuis plusieurs années, Olivier s'est donné pour mission de rendre la santé gynécologique plus accessible, plus compréhensible, et surtout moins taboue. Ce qui m'a particulièrement frappé chez lui, c'est son désir sincère de remettre du dialogue et de la pédagogie là où, souvent, il n'y a que silences et gêne.Dans cet épisode, nous avons parlé de ce que signifie être un homme dans un domaine encore très genré, et de ce que cela change dans l'écoute et la relation aux patientes. J'ai voulu comprendre avec lui pourquoi tant de femmes vivent avec des douleurs que l'on considère à tort comme normales, pourquoi certains gestes médicaux comme la pose de stérilet se font encore sans anesthésie, et comment l'endométriose peut rester invisible pendant des années.Nous avons aussi abordé la question de la contraception, de la fertilité, et de la congélation d'ovocytes, sujets qui soulèvent souvent plus de peurs que d'informations. J'ai questionné Olivier sur les limites du discours médical, sur les responsabilités qu'on fait peser (toujours) sur les femmes, et sur ce qu'il faudrait changer, concrètement, dans l'éducation à la santé.Ce qui ressort de cet échange, c'est qu'on ne peut plus se permettre d'ignorer la complexité des corps féminins, ni de continuer à invisibiliser leur souffrance. Et pour cela, il faut écouter, expliquer, transmettre. Olivier le fait avec douceur, rigueur et une vraie volonté de faire avancer les choses. C'est une conversation qui, je l'espère, fera bouger les lignes — et les consciences.`Citations marquantes« Les hommes n'ont aucune idée de ce que vivent les femmes au quotidien. »« Ce n'est pas en cachant les choses qu'on rassure les femmes, c'est en leur expliquant. »« On pose un stérilet sans anesthésie. Pourquoi ? Parce que la douleur des femmes est encore invisible. »« Beaucoup de femmes vivent avec des douleurs qu'on leur a dit normales... mais qui ne le sont pas. »« On devrait enseigner la fertilité à tous, pas seulement quand il est presque trop tard. »Questions structurées posées dans l'interviewPourquoi as-tu voulu créer le compte “Mon Gynéco” ?Qu'est-ce qui t'a le plus surpris en tant que gynécologue sur la santé des femmes ?Pourquoi les hommes sont-ils si peu informés ?Quels sont les tabous encore présents en gynécologie ?Comment expliquer qu'on pose un stérilet sans anesthésie ?Quelle est ta vision de l'éducation à la fertilité ?Pourquoi tant de femmes souffrent sans diagnostic pendant des années ?Que penses-tu du discours médical sur la contraception ?Quels sont les risques ou les réalités de la congélation d'ovocytes ?Que souhaiterais-tu dire à toutes les femmes qui hésitent à consulter ?Timestamps clés00:00 – Introduction de l'épisode et présentation d'Olivier04:12 – Pourquoi les hommes doivent comprendre la santé gynéco09:30 – La douleur féminine : une question négligée15:40 – Le tabou autour du stérilet et de la contraception22:05 – L'endométriose : symptômes, délais, souffrance invisible29:10 – La congélation d'ovocytes : explications claires et sans langue de bois34:45 – L'éducation sexuelle : un levier pour l'autonomie41:00 – Les consultations gynéco : ce qu'il faut vraiment savoir46:20 – Message d'Olivier pour les femmes (et les hommes) Suggestion d'autres épisodes à écouter : #297 Briser les tabous autour de la ménopause avec Davina Mc Call (https://audmns.com/wpkwLZi) #308 Libérer la parole sur la santé des femmes avec André Ulmann (https://audmns.com/hAQtMJz) #189 Les psychédéliques pour améliorer votre santé mentale? Avec Françoise Bourzat (https://audmns.com/tgOZoDG)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Olivier, Marpeau est gynécologue de profession et créateur du compte Instagram « Mon Gynéco » avec plus de 1 million de followers.Avoir 2 hommes qui parlent de la santé des femmes et plus spécifiquement de la santé gynécologique, ca peut paraître étrange et pourtant je suis convaincu que les hommes devraient s'en soucier beaucoup plus.J'ai posé l'intégralité des questions que j'ai reçue suite à une story Instagram anodine - pourtant j'ai eu des centaines de questions!Avec Olivier, j'ai eu une conversation à la fois fluide, engagée et incroyablement nécessaire. Depuis plusieurs années, Olivier s'est donné pour mission de rendre la santé gynécologique plus accessible, plus compréhensible, et surtout moins taboue. Ce qui m'a particulièrement frappé chez lui, c'est son désir sincère de remettre du dialogue et de la pédagogie là où, souvent, il n'y a que silences et gêne.Dans cet épisode, nous avons parlé de ce que signifie être un homme dans un domaine encore très genré, et de ce que cela change dans l'écoute et la relation aux patientes. J'ai voulu comprendre avec lui pourquoi tant de femmes vivent avec des douleurs que l'on considère à tort comme normales, pourquoi certains gestes médicaux comme la pose de stérilet se font encore sans anesthésie, et comment l'endométriose peut rester invisible pendant des années.Nous avons aussi abordé la question de la contraception, de la fertilité, et de la congélation d'ovocytes, sujets qui soulèvent souvent plus de peurs que d'informations. J'ai questionné Olivier sur les limites du discours médical, sur les responsabilités qu'on fait peser (toujours) sur les femmes, et sur ce qu'il faudrait changer, concrètement, dans l'éducation à la santé.Ce qui ressort de cet échange, c'est qu'on ne peut plus se permettre d'ignorer la complexité des corps féminins, ni de continuer à invisibiliser leur souffrance. Et pour cela, il faut écouter, expliquer, transmettre. Olivier le fait avec douceur, rigueur et une vraie volonté de faire avancer les choses. C'est une conversation qui, je l'espère, fera bouger les lignes — et les consciences.`Citations marquantes« Les hommes n'ont aucune idée de ce que vivent les femmes au quotidien. »« Ce n'est pas en cachant les choses qu'on rassure les femmes, c'est en leur expliquant. »« On pose un stérilet sans anesthésie. Pourquoi ? Parce que la douleur des femmes est encore invisible. »« Beaucoup de femmes vivent avec des douleurs qu'on leur a dit normales... mais qui ne le sont pas. »« On devrait enseigner la fertilité à tous, pas seulement quand il est presque trop tard. »Questions structurées posées dans l'interviewPourquoi as-tu voulu créer le compte “Mon Gynéco” ?Qu'est-ce qui t'a le plus surpris en tant que gynécologue sur la santé des femmes ?Pourquoi les hommes sont-ils si peu informés ?Quels sont les tabous encore présents en gynécologie ?Comment expliquer qu'on pose un stérilet sans anesthésie ?Quelle est ta vision de l'éducation à la fertilité ?Pourquoi tant de femmes souffrent sans diagnostic pendant des années ?Que penses-tu du discours médical sur la contraception ?Quels sont les risques ou les réalités de la congélation d'ovocytes ?Que souhaiterais-tu dire à toutes les femmes qui hésitent à consulter ?Timestamps clés00:00 – Introduction de l'épisode et présentation d'Olivier04:12 – Pourquoi les hommes doivent comprendre la santé gynéco09:30 – La douleur féminine : une question négligée15:40 – Le tabou autour du stérilet et de la contraception22:05 – L'endométriose : symptômes, délais, souffrance invisible29:10 – La congélation d'ovocytes : explications claires et sans langue de bois34:45 – L'éducation sexuelle : un levier pour l'autonomie41:00 – Les consultations gynéco : ce qu'il faut vraiment savoir46:20 – Message d'Olivier pour les femmes (et les hommes) Suggestion d'autres épisodes à écouter : #347 La gynécologie sans tabou avec Olivier Marpeau (Mongyneco) -partie 1 (https://audmns.com/tjfnTeq) #308 Libérer la parole sur la santé des femmes avec André Ulmann (https://audmns.com/hAQtMJz) #297 Briser les tabous autour de la ménopause avec Davina Mc Call (https://audmns.com/wpkwLZi)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.