Podcasts about avoir

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Les chemins de la philosophie
Avoir raison avec... Jacques Ellul 1/5 : Un penseur du 21ᵉ siècle perdu au 20ᵉ siècle

Les chemins de la philosophie

Play Episode Listen Later Aug 16, 2025 29:42


durée : 00:29:42 - Avoir raison avec... - par : Juliette Devaux - Comment penser les enjeux de l'ère moderne avec Jacques Ellul ? Il est un penseur iconoclaste et anticonformiste, dont l'acuité des réflexions nous éclaire aujourd'hui. Cet épisode analyse les interactions entre sa trajectoire biographique et l'évolution de sa pensée. - réalisation : Manoushak Fashahi, Margot Page - invités : Jérôme Ellul Compositeur, documentariste

Les chemins de la philosophie
Avoir raison avec... Jacques Ellul 2/5 : "Ce n'est pas la technique qui nous asservit mais le sacré transféré à la technique"

Les chemins de la philosophie

Play Episode Listen Later Aug 16, 2025 30:43


durée : 00:30:43 - Avoir raison avec... - par : Juliette Devaux - "Ce n'est pas la technique qui nous asservit mais le sacré transféré à la technique", écrit Jacques Ellul. Dans ses travaux sociologiques, il fustige moins les outils techniques en eux-mêmes que la place et la valeur qui leur est accordée collectivement. - réalisation : Manoushak Fashahi, Margot Page - invités : Hélène Tordjman Économiste, maîtresse de conférences à l'université Sorbonne Paris-Nord

Les chemins de la philosophie
Avoir raison avec... Jacques Ellul 3/5 : "La liberté chrétienne est une liberté de contestation”

Les chemins de la philosophie

Play Episode Listen Later Aug 16, 2025 31:22


durée : 00:31:22 - Avoir raison avec... - par : Juliette Devaux - Quelle valeur politique Jacques Ellul accorde-t-il à la croyance religieuse ? Converti au protestantisme à l'âge de 18 ans, il conçoit la foi chrétienne comme un moyen de s'octroyer un espace de liberté et d'opérer un recul critique pour échapper aux injonctions aliénantes de nos sociétés modernes. - réalisation : Manoushak Fashahi, Margot Page - invités : Frédéric Rognon Philosophe, théologien

Les chemins de la philosophie
Avoir raison avec... Jacques Ellul 4/5 : Un précurseur de l'écologie politique : "penser global, agir local" 

Les chemins de la philosophie

Play Episode Listen Later Aug 16, 2025 30:54


durée : 00:30:54 - Avoir raison avec... - par : Juliette Devaux - Jacques Ellul propose d'agir collectivement pour protéger l'environnement. Au-delà de ses nombreux écrits théoriques sur le sujet, il s'engage personnellement dans les années 70 contre la bétonnisation du littoral aquitain et s'inscrit dans la logique du "agir local, penser global". - réalisation : Margot Page, Manoushak Fashahi - invités : José Bové Militant, cofondateur de la Confédération paysanne, député européen de 2014 à 2019; Édouard Piely Journaliste

Les chemins de la philosophie
Avoir raison avec... Jacques Ellul 5/5 : Un révolutionnaire du quotidien "exister c'est résister"

Les chemins de la philosophie

Play Episode Listen Later Aug 16, 2025 30:34


durée : 00:30:34 - Avoir raison avec... - par : Juliette Devaux - “Exister c'est résister" : qu'est-ce que la "vraie" révolution ? Jacques Ellul rejette le grand projet révolutionnaire défendu par les intellectuels de son époque et appelle à une "révolution du quotidien". Quel est l'héritage de ce penseur iconoclaste auprès des jeunes chercheurs d'aujourd'hui ? - réalisation : Margot Page, Manoushak Fashahi - invités : Margaux Cassan Philosophe; Théo Lapière-Bourrély Etudiant-chercheur.

Le Cours de l'histoire
Avoir raison avec... Louise Weiss 1/5 : Louise Weiss, à la croisée des combats

Le Cours de l'histoire

Play Episode Listen Later Aug 16, 2025 28:55


durée : 00:28:55 - Avoir raison avec... - par : Xavier Mauduit - Féministe, en lutte pour le droit de vote des femmes, pour la paix, pour l'Europe, Louise Weiss est une militante du 20ᵉ siècle. Figure très médiatisée, journaliste, elle emprunte toutes les voies possibles pour mener à bien ses combats. - réalisation : Thomas Beau - invités : Yves Denéchère Professeur d'histoire contemporaine à l'Université d'Angers

Le Cours de l'histoire
Avoir raison avec... Louise Weiss 2/5 : Louise Weiss, "Madame serait-elle une suffragette ?"

Le Cours de l'histoire

Play Episode Listen Later Aug 16, 2025 28:43


durée : 00:28:43 - Avoir raison avec... - par : Xavier Mauduit - Louise Weiss s'empare de l'espace public et de la presse pour faire entendre les revendications de celles et ceux qui luttent en faveur du droit de vote des femmes. Il n'est accordé qu'en 1944, avec la première participation des Françaises aux élections municipales l'année suivante. - réalisation : Thomas Beau - invités : Anne-Sarah Bouglé-Moalic Historienne

Le Cours de l'histoire
Avoir raison avec... Louise Weiss 3/5 : Louise Weiss, une certaine idée du féminisme

Le Cours de l'histoire

Play Episode Listen Later Aug 16, 2025 28:45


durée : 00:28:45 - Avoir raison avec... - par : Xavier Mauduit - L'engagement de Louise Weiss en faveur du droit de vote des femmes s'inscrit dans des combats menés depuis le 19ᵉ siècle, notamment celui des suffragettes, mais quelle place Louise Weiss occupe-t-elle dans l'histoire des féminismes ? - réalisation : Thomas Beau - invités : Christine Bard Professeure à l'Université d'Angers, spécialiste de l'histoire des femmes et du genre

Le Cours de l'histoire
Avoir raison avec... Louise Weiss 4/5 : Louise Weiss, la vie comme un voyage

Le Cours de l'histoire

Play Episode Listen Later Aug 16, 2025 28:50


durée : 00:28:50 - Avoir raison avec... - par : Xavier Mauduit - De l'Alaska à la Syrie, les voyages sont omniprésents dans la vie de Louise Weiss. Journaliste et voyageuse jusqu'à ses 89 ans, Louise Weiss voit son militantisme, ainsi que sa conception de l'Europe, évoluer grâce à ses nombreux voyages. - réalisation : Thomas Beau - invités : Évelyne Winkler Autrice

Le Cours de l'histoire
Avoir raison avec... Louise Weiss 5/5 : Louise Weiss, l'Europe pour la paix

Le Cours de l'histoire

Play Episode Listen Later Aug 16, 2025 28:45


durée : 00:28:45 - Avoir raison avec... - par : Xavier Mauduit - Le 17 juillet 1979, puisque doyenne, Louise Weiss préside la séance constitutive du Parlement européen pour la première fois élu au suffrage universel. Son discours marque les esprits et demeure dans les mémoires. Louise Weiss est alors surnommée "la grand-mère de l'Europe". - réalisation : Thomas Beau - invités : Marion Gaillard Historienne, spécialiste des relations franco-allemandes et des questions européennes et maître de conférences à Sciences-Po Paris

French Podcast
News In Slow French #755- French Course with Current Events

French Podcast

Play Episode Listen Later Aug 15, 2025 6:12


La première partie de l'émission d'aujourd'hui sera consacrée à l'actualité. Nous commencerons par évoquer une rencontre très attendue entre les présidents russe et américain. La réunion aura lieu demain en Alaska, mais elle fait déjà beaucoup parler. Trump va-t-il se laisser manipuler par Poutine… une fois de plus ? Prend-il le risque de devenir un Neville Chamberlain face à un Poutine version Hitler ? Ensuite, direction le Moyen-Orient. À ce jour, 147 pays reconnaissent l'État de Palestine. Et pourtant, cette reconnaissance arrive bien trop tard, et reste largement insuffisante. Dans notre section science et technologie, nous évoquerons une étude alarmante sur le nombre croissant d'articles scientifiques frauduleux. Et pour conclure cette première partie de l'émission, nous analyserons une récente enquête de Gallup qui révèle une tendance mondiale encourageante : le bien-être est en hausse. Jamais autant de personnes ne se sont senties aussi épanouies dans leur vie. Sur 142 pays, la part de ceux qui se disent épanouis n'a cessé de croître ces dix dernières années, tandis que celle des personnes en souffrance est tombée à seulement 7 %.    Le reste de l'émission d'aujourd'hui sera consacré à la langue et à la culture françaises. La leçon de grammaire portera sur The imperfect tense - the verbs of the first group. Cette semaine nous parlerons du petit village de Coulonces en Normandie qui reçoit périodiquement une visite insolite : un chevalier en armure y apparaît et disparaît depuis deux ans. Nous terminerons avec l'expression Avoir le bras long. Elle nous permettra d'évoquer une page intéressante de l'histoire de France avec le destin contrarié de Nicolas Fouquet, le surintendant des Finances de Louis XIV. - Les relations entre Trump et Poutine : un remake du pacte Chamberlain/Hitler ? - Les intentions récentes de reconnaître la Palestine sont jugées insuffisantes - Une étude alerte sur le nombre énorme de fausses publications scientifiques - Le bien-être au niveau mondial est en hausse, sauf dans les pays occidentaux les plus riches - Un petit village de Normandie reçoit de nouveau la visite d'un chevalier en armure - L'histoire de Nicolas Fouquet, le ministre des Finances de Louis XIV

Les Grandes Gueules
Le patron de l'INA suspendu après avoir acheté de la cocaïne - 13/08

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Aug 13, 2025 8:20


A 10h, ce mercredi 13 août 2025, les GG : Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous uniques, tous unis", Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, et Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, débattent de : Le patron de l'INA suspendu après avoir acheté de la cocaïne.

Maurais Live
La droite doit avoir UNE VOIX À L'ASSNAT!

Maurais Live

Play Episode Listen Later Aug 13, 2025 14:29


Maurais Live
Est-ce que le PCQ devrait avoir UN CO-CHEF?

Maurais Live

Play Episode Listen Later Aug 12, 2025 16:41


7 milliards de voisins
À la fois canadienne, malgache et indienne... Que veut dire être métisse?

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Aug 11, 2025 48:30


Que ce soit en France, au Japon, aux États-Unis... partout autour du globe, la question du métissage suscite le débat, voire déchaine les passions. Pourtant, nos sociétés sont de plus en plus cosmopolites. Au Brésil, par exemple, la population métisse est devenue majoritaire, selon les chiffres du dernier recensement publié en 2022. Quant au Québec, 5% des nouveau-nés avaient un parent natif du Canada et l'autre de l'étranger en 1980 ; cette statistique est passée à 12% en 2023, selon le bilan démographique du Québec. Avoir des origines multiples n'a donc plus rien d'exceptionnel, mais l'identité, l'appartenance n'en sont pas moins des sujets d'actualité. À la fois pour ceux qui demandent « tu viens d'où ? » et pour ceux à qui s'adresse la question. Le besoin de mettre son interlocuteur dans une case semble encore bien présent. Mais pourquoi s'intéresser aux origines de son voisin ? Par curiosité, pour comprendre la différence ou pour l'exclure ? Et comment vivre ses identités multiples quand on est métis ? Cette émission est une rediffusion du 7 avril 2025. Avec Maïka Sondarjee, professeure en Développement international et Mondialisation à l'Université d'Ottawa au Canada. Autrice de Tu viens d'où – réflexions sur le métissage et les frontières ? (Éditions Lux, 2025). En fin d'émission, ♦ un nouvel épisode de notre série Le succès des repats réalisée par Charlie Dupiot. Aujourd'hui, le portrait de Tisya Mukuna, le café à la mode kinoise. Ils et elles sont originaires d'Afrique centrale et ont décidé de rentrer chez eux... C'est le moment du « Succès des Repats » ! Tisya Mukuna 32 ans, est née à Kinshasa. Elle a suivi l'essentiel de sa scolarité en France, entre la Normandie et Paris où elle a fait une école de commerce. Après un master en négociation des affaires en Chine, à Shanghai, elle a travaillé chez Microsoft, pour des agences de publicité ou encore une succursale de magasin bio. Il y a six ans, Tysia Mukuna décide de rentrer en République démocratique du Congo pour lancer sa marque de café, « La Kinoise ». Notre reporter Charlie Dupiot l'a rencontrée chez elle à l'automne 2024, dans son appartement de Kinshasa. ♦ un reportage de Tom Malki qui s'est rendu à l'exposition Game Story à Versailles en banlieue parisienne. L'exposition retrace 70 ans d'histoire du jeu vidéo. Une plongée dans l'histoire du jeu vidéo. L'exposition Game Story qui se tient jusqu'au 16 avril à Versailles, à l'ouest de Paris, vous propose de découvrir la plus grande collection de jeux vidéo et de consoles d'Europe et d'y jouer ! De quoi ravir les enfants, mais aussi les plus nostalgiques. Reportage de Tom Malki. Programmation musicale : ► Jëli – Amadeus feat. Waly B. Seck ► Ils me rient tous au nez – Theodora.

QuotiCast
To Key or not to Key

QuotiCast

Play Episode Listen Later Aug 11, 2025 12:41


Avoir les clés directement intégrées dans son smartphone, réel gain de temps ou juste un gadget geek de plus ? Je vous partage ma récente expérience sur ce point. Cet article To Key or not to Key

avoir quotigeek
RTL Matin
TOUR EIFFEL - Un parachutiste en garde à vue pour avoir sauté du monument, ce que l'on sait

RTL Matin

Play Episode Listen Later Aug 10, 2025 1:12


Deux comparses du parachutiste, qui ont escaladé l'édifice à ses côtés, sont également en garde à vue, samedi 9 août.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

ehoui!
134. Avoir 40 ans

ehoui!

Play Episode Listen Later Aug 7, 2025 11:00


Dans cet épisode très personnel, je te parle d'un sujet un peu différent : la fameuse "crise de la quarantaine".Est-ce une crise, un ras-le-bol, ou simplement un moment où nos envies changent ?Moi, en tout cas, je sens que quelque chose bouge. J'ai envie de ralentir, de revenir à l'essentiel, de me rapprocher des miens en France.Je te raconte ce que je ressens en ce moment, ce qui me traverse, et peut-être que toi aussi, tu t'y reconnaîtras.C'est un épisode sans plan, sans filtre, juste ma voix, mes pensées, et ce besoin de mettre des mots sur ce qu'on vit quand tout d'un coup… on se demande : Et maintenant, qu'est-ce que je veux vraiment ?Bonne écouteVirginie d'ehoui!----------------------------------------------------------------------------------Les 40 erreurs à NE PLUS faire, c'est gratuit et c'est ici.Tu veux enfin passer à la vitesse supérieure ? Prends des cours avec moi, c'est ici.Le club de lecture de roman policier, c'est ici.Un dollar fait la différence pour sauver les chiens et chats errants au Mexique, fais un don.

A suivre
Les vacances sa mère (1/4) : Souviens-toi, l'été dernier

A suivre

Play Episode Listen Later Aug 7, 2025 13:00


Ah les vacances ! Enfin, le moment de se reposer ! Pour tout le monde ? Pas vraiment. Dans une une étude Ifop datant de 2022, on apprenait qu'à la fin de leurs congés, les femmes sont 70% à se trouver se trouver finalement plus fatiguées qu'avant les vacances. Les hommes eux sont 57 % à partager ce ressenti. Et la réalité, c'est que les parents ne partent pas vraiment en vacances. Ils s'occupent juste de leurs enfants dans une ville différente. Ce qu'on devrait appeler la délocalisation parentale est donc globalement une arnaque. Vous croyez que vous partez en vacances, parce que factuellement vous allez dans un endroit super où il fait bon vivre. Un endroit où il y a parfois une piscine, la mer, la montagne, de belles balades à faire, des musées exceptionnels à visiter. Et vraiment, c'est merveilleux tout ça MAIS vous n'allez juste pas en profiter. Tout simplement parce que vous partez “en vacances” avec les personnes certes les plus mignonnes du mondes mais aussi : les pires pour en profiter. Crises, nuits agitées, machines à laver, charge mentale intacte, les vacances épuisent. Mais alors que faire face à ce constat : rêver d'autres ailleurs comme Renée Greusard ou épouser sagement la réalité comme son compagnon Clément ? C'est ce dilemme que la journaliste raconte dans "Les vacances sa mère", mais aussi tout ce qu'il implique comme réflexions sociétales.Description générale "Les vacances sa mère" est une série qui explore les difficultés de la parentalité particulièrement saillantes pendant les vacances, puisqu'elles n'offrent souvent aucune échappatoire.Bibliographie- "Les grandes oubliées : Pourquoi l'Histoire a effacé les femmes" de Titiou Lecoq- Éditions de l'Iconoclaste, 2021 "Avoir des enfants rend-il heureux ?" de Béatrice Kammerer- Sciences humaines 2021 "Le ménage : La fée, la sorcière et l'homme nouveau" de Christine Castelain-Meunier, Stock, 2013 Enregistrements Printemps 2025 Prise de son et montage Renée Greusard Réalisation Annabelle Brouard Mixage Arnaud Forest Illustration Malijo Production ARTE Radio

A suivre
Les vacances sa mère (2/4) : Requiem for a dream

A suivre

Play Episode Listen Later Aug 7, 2025 14:36


Ah les vacances ! Enfin, le moment de se reposer ! Pour tout le monde ? Pas vraiment. Dans une une étude Ifop datant de 2022, on apprenait qu'à la fin de leurs congés, les femmes sont 70% à se trouver se trouver finalement plus fatiguées qu'avant les vacances. Les hommes eux sont 57 % à partager ce ressenti. Et la réalité, c'est que les parents ne partent pas vraiment en vacances. Ils s'occupent juste de leurs enfants dans une ville différente. Ce qu'on devrait appeler la délocalisation parentale est donc globalement une arnaque. Vous croyez que vous partez en vacances, parce que factuellement vous allez dans un endroit super où il fait bon vivre. Un endroit où il y a parfois une piscine, la mer, la montagne, de belles balades à faire, des musées exceptionnels à visiter. Et vraiment, c'est merveilleux tout ça MAIS vous n'allez juste pas en profiter. Tout simplement parce que vous partez “en vacances” avec les personnes certes les plus mignonnes du mondes mais aussi : les pires pour en profiter. Crises, nuits agitées, machines à laver, charge mentale intacte, les vacances épuisent. Mais alors que faire face à ce constat : rêver d'autres ailleurs comme Renée Greusard ou épouser sagement la réalité comme son compagnon Clément ? C'est ce dilemme que la journaliste raconte dans "Les vacances sa mère", mais aussi tout ce qu'il implique comme réflexions sociétales.Description générale "Les vacances sa mère" est une série qui explore les difficultés de la parentalité particulièrement saillantes pendant les vacances, puisqu'elles n'offrent souvent aucune échappatoire.Bibliographie- "Les grandes oubliées : Pourquoi l'Histoire a effacé les femmes" de Titiou Lecoq- Éditions de l'Iconoclaste, 2021 "Avoir des enfants rend-il heureux ?" de Béatrice Kammerer- Sciences humaines 2021 "Le ménage : La fée, la sorcière et l'homme nouveau" de Christine Castelain-Meunier, Stock, 2013 Enregistrements Printemps 2025 Prise de son et montage Renée Greusard Réalisation Annabelle Brouard Mixage Arnaud Forest Illustration Malijo Production ARTE Radio

TheBBoost : Le podcast qui booste les entrepreneurs
06 AOÛT - Ma morning routine d'été : 3 étapes pour garder la clarté

TheBBoost : Le podcast qui booste les entrepreneurs

Play Episode Listen Later Aug 6, 2025 10:50


Avoir une morning routine quand on est entrepreneur est presque aussi vital que de manger ses 5 fruits et légumes. Dans cet épisode je vous dévoile ma routine matinale version CEO et ses 3 étapes pour garder clarté, focus et productivité tout au long de la journée. Je vous donne aussi les 2 questions essentielles que je me pose pour construire mes mornings routines à chaque saison.Retrouver mon template Notion d'organisation et de pilotage quotidien en rejoignant ma communauté VIBE : https://www.thebboost.fr/vibe-by-thebboost —————————————✨ [Quiz] Découvrez quel type d'entrepreneur vous êtes et quelle stratégie adopter, en fonction de votre personnalité

Le zoom de la rédaction
Plus de 500 magistrats continuent à exercer en France après avoir passé l'âge de la retraite

Le zoom de la rédaction

Play Episode Listen Later Aug 6, 2025 4:19


durée : 00:04:19 - Le Zoom de France Inter - [REDIFFUSION] Une fois passé l'âge de la retraite, les magistrats peuvent continuer à travailler l'équivalent d'un mi-temps jusqu'à 75 ans, une limite récemment repoussée. Ils sont plus de 500 vieux magistrats français à avoir fait le choix de continuer le travail. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

La libre antenne
La libre antenne - Pierre considère avoir réussi sa vie professionnelle et raté sa vie amoureuse

La libre antenne

Play Episode Listen Later Aug 6, 2025 11:26


Auditeurs : Adrien - 22h15-23h12 Adrien rencontre des difficultés pour s'intégrer dans la société avec son handicap.   Diane - 23h16-23h56 Diane est seule depuis 15 ans et vit mal sa solitude.   Pierre - 00h-00h27 Pierre considère avoir réussi sa vie professionnelle et raté sa vie amoureuse.   Miguel - 00h27-00h59 Miguel refuse de payer une amende qu'il considère comme injuste. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Avant J'étais Prof
Immersion Reconversion #5 - Avoir peur

Avant J'étais Prof

Play Episode Listen Later Aug 6, 2025 7:03


Bienvenue sur Avant j'étais prof, le podcast des enseignants en reconversion.Cet été, je vous embarque dans une série spéciale intitulée "Immersion Reconversion".Chaque mercredi, vous entendrez la voix de Maud, une auditrice du podcast qui s'est donné un an pour changer de métier et qui a accepté de tout documenter.Tout au long de l'année, elle m'a envoyé des notes vocales. Des petits bouts de vie, des réflexions à chaud, des moments de doute, d'euphorie, de ras-le-bol... Et vous allez pouvoir vivre cette reconversion de l'intérieur, semaine après semaine, comme elle et comme moi.Dans ce cinquième épisode, Maud est dans le creux de la vague. Elle se questionne sans cesse et subit les interrogations de son entourage. Elle ne sait plus ce qu'elle veut faire, comment le faire, et elle commence à se demander si elle va "réussir". Son départ en septembre la rend aussi heureuse qu'inquiète, alors elle compte toutes les "dernières fois".Bonne écoute et bel été !_____

Parlons-Nous
Couple : Après avoir pensé à le quitter, Zelda est retombée amoureuse de son mari et le soutient dans la maladie

Parlons-Nous

Play Episode Listen Later Aug 5, 2025 23:52


REDIFF - Zelda a pensé à un moment avoir une aventure avec un collègue. Mais elle a renoncée et est amoureuse de son mari comme jamais. Il vient d'apprendre qu'il est atteint d'un cancer et ils vivent cette épreuve à deux. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

La libre antenne
La libre antenne - Après avoir perdu son mari à cause de la maladie de Charcot, Nathalie milite pour la fin de vie

La libre antenne

Play Episode Listen Later Aug 5, 2025 69:55


Auditrices : - Après avoir perdu son mari à cause de la maladie de Charcot, Nathalie milite pour la fin de vie. - Émilie témoigne du harcèlement que subi son fils  sur les réseaux sociaux. - Atteint d'un cancer, Jeanine revient sur la fin de vie choisie par son père. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

SBS French - SBS en français
La Semaine Politique - YouTube désormais banni pour les moins de 16 ans en Australie, après avoir été exempté

SBS French - SBS en français

Play Episode Listen Later Aug 4, 2025 3:51


À compter de décembre 2025, l'Australie interdit aux moins de 16 ans de posséder un compte sur YouTube, en plus de TikTok, Instagram, Snapchat, Facebook et X. YouTube était initialement exempté pour sa « valeur éducative », mais le gouvernement a finalement décidé « qu'on ne pouvait plus ignorer les risques »

Podcast 168 heures
89. Structurer sa semaine pour avoir plus d'énergie et de résultats (les 5 clés) [Épisode bonus]

Podcast 168 heures

Play Episode Listen Later Aug 4, 2025 19:30


Vous sentez-vous parfois fatiguée, même les semaines où vous n'avez pas l'impression d'en faire trop? Cette fatigue invisible ne vient pas seulement de ce que vous faites… mais aussi de tout ce que vous ne faites pas, et que vous aimeriez faire. Dans cet épisode, je vous explique comment structurer votre semaine autour de votre énergie et de vos vraies priorités, plutôt que de subir une to-do list interminable. Je partage 5 clés concrètes pour planifier vos journées de façon alignée afin d'avancer vers vos objectifs avec résultats … tout en évitant de s'épuiser. Nous parlerons, entre autres, de vos tâches énergisantes et drainantes et de la puissance de travailler en synergie avec votre d'énergie naturelle. Oui, c'est possible de structurer sa semaine pour maximiser à la fois votre énergie et vos résultats! Cliquez sur « Écouter » pour découvrir comment. >> Le résumé de cet épisode se trouve ici. LIENS ET RESSOURCES PARTAGÉS DANS CET ÉPISODE Grand dévoilement de l'Agenda de La Planificatrice  Agenda de La Planificatrice  Épisode 25 : Journaling express  RESTONS EN CONTACT Infolettre éducative Instagram Facebook YouTube Pinterest TikTok

Productif au quotidien
Comment avoir plus d'énergie et en finir avec la fatigue (replay)

Productif au quotidien

Play Episode Listen Later Aug 4, 2025 34:37


Imagine avoir une énergie débordante chaque jour pour te concentrer sur tes tâches et activités les plus importantes!?Fini la fatigue et le manque d'énergie qui mènent à la procrastination.

Reportage International
Série «Dis-moi à quoi tu joues»: le Ngbaba en Centrafrique, «un jeu pour développer une forme de solidarité»

Reportage International

Play Episode Listen Later Aug 3, 2025 3:09


« Dis-moi à quel jeu tu joues, je te dirai qui tu es ». C'est une série spéciale de RFI à la découverte des jeux populaires à travers le monde, ces jeux qui, à travers les joueurs, parlent de la culture et de l'identité de chaque pays. Aujourd'hui, direction la Centrafrique, à la découverte du Ngbaba, un sport traditionnel très pratiqué dans le pays. Le Ngbaba en langue locale Sango est un mélange de golf, du tennis ou encore de baseball. Il se joue avec deux équipes qui s'affrontent sur un terrain plat en frappant un palet en caoutchouc avec des bâtons pour marquer le but. Aujourd'hui, il n'existe pas de fédération de Ngbaba en Centrafrique et ce jeu se pratique de manière artisanale avec des joueurs capables de transformer des objets recyclés ou des matériaux du quotidien pour pratiquer ce sport traditionnel. Reportage de Rolf Steve Domia-leu. Après avoir recyclé des objets dans les quartiers, un groupe de joueurs de Ngbaba se rassemblent à l'ombre d'un teck sur le terrain de l'université de Bangui. Avec application, chacun fabrique ses propres équipements à base d'objets collectés : babouches, bâtons, caoutchoucs et même de la farine de manioc pour délimiter le terrain. Bernardine Terrach est à pied d'œuvre : « On n'a pas besoin de déployer beaucoup d'efforts pour avoir les équipements. Il suffit seulement de couper les branches d'arbres. On utilise un couteau ou une machette pour découper les branches. On peut même ramasser les bâtons par terre lorsqu'ils traînent. Il n'y a pas de bâtons spécifiques pour pouvoir jouer le Ngbaba avec. Il suffit de choisir les branches d'arbres qui sont solides. Nous fabriquons le palet à base des tapettes qu'on peut recycler, découper en rondelles. » Aujourd'hui, le Ngbaba est un sport traditionnel uniquement pratiqué en Centrafrique. Sonek Langaté est organisateur de tournois. Grâce à ses recherches auprès d'historiens et de sociologues, il a compris l'essence du jeu : « Ce jeu était à l'époque un rite d'initiation avec des valeurs de l'inclusivité et de solidarité. Lorsqu'on lance le palet, on ne sait pas qui viendra jouer. Il suffit d'avoir ton bâton, tu rentres et tu joues avec tout le monde. À l'époque, ces rites consistaient à mettre les gens ensemble, pour pouvoir développer une forme de solidarité mécanique dans notre société. » Avoir une fédération de Ngbaba  Le Ngbaba est un jeu très physique qui nécessite aussi de la concentration et de l'intelligence. Debout à côté du terrain, David Louisant, l'un des joueurs, se prépare à faire son entrée : « C'est un jeu qui se pratique sur un terrain, un peu comme le football. Sauf qu'on ne le joue pas sur des gazons. Il faut un terrain en terre battue. On divise le terrain en deux, séparé par une ligne blanche. Et chaque équipe doit défendre son côté. Lorsqu'on lance le Ngbaba, ou le palet, tu dois tout faire pour que ça ne tombe pas dans ton camp. Tu dois faire de ton mieux pour le ramener dans le Camp adverse. Si ça tombe de ton côté, ça veut dire qu'on t'a marqué d'un point. » À chaque mouvement, course et frappe, la poussière envahit les lieux. À défaut d'une fédération, chaque arrondissement de Bangui dispose d'une association qui organise des rencontres inter-quartiers. Pour Sonek Langaté, il est temps de professionnaliser ce jeu : « On espère que nous aurons la fédération de Ngbaba cette année. Le vœu pieux que nous avons, c'est de faire en sorte que le Ngbaba soit considéré comme une discipline sportive à part entière pour essayer de pérenniser notre culture et traditions. C'est très important en termes de survie de notre culture. » Selon les historiens, le Ngbaba existait déjà à l'époque de l'Oubangui Chari, avant l'indépendance en 1960. Peut-il s'exporter à l'international ? Aujourd'hui, c'est le rêve de tous les joueurs.

L'info en intégrale - Europe 1
Pour lutter contre la fraude sociale, les caisses de la Sécurité sociale pourraient avoir accès au patrimoine des bénéficiaires

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Aug 3, 2025 14:50


Invités : - Georges Fenech, ancien magistrat et député honoraire du Rhône - Raphaël Stainville, directeur adjoint du JDD Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Reportage International
Avoir 25 ans à Bangalore: Brian, marié à son job dans la Silicon Valley indienne

Reportage International

Play Episode Listen Later Aug 1, 2025 2:44


Le pays le plus peuplé du monde, où près de 700 millions d'Indiens ont d'ailleurs moins de 25 ans. Nous sommes à Bangalore, la capitale technologique de l'Inde qui attire des jeunes talents de tout le pays comme Brian Britto, 25 ans. De notre correspondant à Bangalore, Brian est arrivé il y a deux mois, et il a commencé son travail il y a deux semaines. Un job dans la robotique. Un secteur crucial pour l'Inde, juge le jeune homme : « J'ai toujours été bon en bricolage, alors j'ai passé un diplôme d'ingénieur mécanicien. Nous sommes dans l'ère de l'intelligence artificielle et il faut s'adapter ! Bangalore vit des services, mais ces emplois risquent d'être remplacés. Pour que l'Inde reste dans la course, il faut miser sur l'industrie en utilisant la robotique. » Sur le sujet, Brian est inarrêtable. C'est pour suivre sa passion et trouver un emploi qu'il a quitté sa ville natale, à 350 kilomètres de là. « Je viens de Mangalore, avec un M ! C'est dans cette ville côtière que j'ai grandi, passionné de surf et de natation. L'endroit est relax, les gens doux, la cuisine délicieuse. Mais c'est une petite ville : y faire carrière est presque impossible. Alors, j'ai quitté Mangalore pour Bangalore. » À lire aussiBangalore, moteur de la révolution de l'IA en Inde L'ambition d'un rêve professionnel hors d'Inde L'entreprise de Brian forme des étudiants à la robotique. Depuis ses bureaux, on aperçoit le métro aérien qui surplombe les embouteillages légendaires de cette ville de 14 millions d'habitants. « On est à Rajajinagar, dans le vieux Bangalore. C'est un quartier qui déborde d'activités et de constructions. Venir au travail, c'est un défi quotidien avec cette circulation ! C'est pour ça que j'ai pris un studio à deux ou trois kilomètres d'ici. À Bangalore, il faut absolument vivre près de son boulot ! » Brian travaille dur, comme beaucoup de jeunes décidés à percer dans cette cité pleine d'opportunités, mais aussi de compétition : « Ma génération est ambitieuse, elle vise haut. C'est dur, mais si l'on se donne à 100 %, on peut réussir. C'est une époque de mutations : on tente de comprendre un monde instable, de se définir face aux traditions de nos parents comme le mariage. Moi, pour l'instant, je suis marié à mon travail ! » L'avenir, Brian le voit hors d'Inde, un pays qui fait face à la fuite de ses cerveaux : « J'ai envie de travailler ailleurs. Ma sœur est en Norvège et elle attend que je la rejoigne ! Avec mes compétences, je pourrais y entrer dans la construction navale ou l'industrie pétrolière. En tout cas, je veux explorer le monde, et peut-être revenir en Inde riche de ces expériences.  »

7 milliards de voisins
Avoir un enfant: qu'en pensent les jeunes Européens?

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Aug 1, 2025 48:30


Série spéciale Que pensent les jeunes ? Volet 5. Que pensent les jeunes Européens d'avoir un enfant ? Que pensent les jeunes du continent africain des métiers agricoles ? Peuvent-ils encore croire en la paix au Proche-Orient ? Toute la semaine, 8 milliards de voisins fait le tour de la planète pour comprendre les enjeux de société actuels du point de vue des jeunesses du monde.    «Tabou du siècle», «fléau», c'est de cette manière qu'Emmanuel Macron a voulu, en 2024, qualifier la chute de la natalité en France afin d'introduire son plan de «réarmement démographique». Des termes forts, alors qu'en Europe, les jeunes n'ont plus forcément la tête à avoir un ou des enfants : selon l'Office européen des statistiques, le taux de fécondité est descendu à 1,38 enfant par femme, bien en dessous du seuil de renouvellement des générations. Coût du logement, précarité de l'emploi, rythme de travail incompatible, manque de partage des tâches dans le couple, pour les jeunes, concilier vie professionnelle et vie personnelle est déjà un casse-tête. Au-delà de ces contraintes, les aspirations ont également changé. La maternité n'est plus forcément la voie choisie par les jeunes femmes qui ont tendance à davantage privilégier leur épanouissement professionnel. Socialement, il n'est plus aussi mal perçu de ne pas vouloir d'enfants en Europe. S'ajoute à cela le facteur climatique, une nouvelle dimension majeure qui alimente une forme d'éco-anxiété et accompagne l'émergence d'une «génération no kids». 37% des jeunes Français hésitent à avoir des enfants, et 74% jugent l'avenir effrayant en raison des inquiétudes grandissantes face au dérèglement climatique. Face à cette réticence chez les jeunes, la France et ses pays voisins adoptent des politiques natalistes, sous la forme d'allocations ou de réductions d'impôts. Mais la politique peut-elle réorienter le choix des jeunesses européennes ?    Avec :   • David Duhamel, économiste, enseignant à Sciences Po Paris et auteur de Un Monde sans enfants - le pire arrive... mais le meilleur peut suivre (Buchet.Chastel, 2024). Un reportage de Clémence Pénard, correspondante de RFI à Dublin en Irlande.  L'Irlande décroche un triste record : elle est le pays de l'Union européenne, où élever un enfant coûte le plus cher ! Et à l'échelle du continent, seuls la Suisse et le Royaume-Uni la devancent. Frais de garde exorbitants, équivalant à 40 % du revenu moyen, peu de congés parentaux ou mal rémunérés et quasiment pas d'allocations familiales. Fonder une famille en Irlande n'est plus un rêve, c'est un calcul. Et pour beaucoup, l'addition est tout simplement trop salée.  Un témoignage recueilli par Tom Malki. En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, Avoir un enfant : qu'en pensent les jeunes européens ?   Programmation musicale : ► Plus loin que soi - Oxmo Puccino ► No Panic - Burna Boy - Jul feat. Gims. 

La voix des relations - Saphy Urbano
Avoir des vraies amies, ça change la vie

La voix des relations - Saphy Urbano

Play Episode Listen Later Aug 1, 2025 21:25


Et si on arrêtait de banaliser l'amitié ?Dans cet épisode enregistré en plein air avec deux invitées inspirantes, on parle vrai.On explore ce que c'est qu'une amitié sincère, stable, fidèle. Et pourquoi on en a tous besoin.

7 milliards de voisins
Avoir un enfant: qu'en pensent les jeunes Européens?

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Aug 1, 2025 48:30


Série spéciale Que pensent les jeunes ? Volet 5. Que pensent les jeunes Européens d'avoir un enfant ? Que pensent les jeunes du continent africain des métiers agricoles ? Peuvent-ils encore croire en la paix au Proche-Orient ? Toute la semaine, 8 milliards de voisins fait le tour de la planète pour comprendre les enjeux de société actuels du point de vue des jeunesses du monde.    «Tabou du siècle», «fléau», c'est de cette manière qu'Emmanuel Macron a voulu, en 2024, qualifier la chute de la natalité en France afin d'introduire son plan de «réarmement démographique». Des termes forts, alors qu'en Europe, les jeunes n'ont plus forcément la tête à avoir un ou des enfants : selon l'Office européen des statistiques, le taux de fécondité est descendu à 1,38 enfant par femme, bien en dessous du seuil de renouvellement des générations. Coût du logement, précarité de l'emploi, rythme de travail incompatible, manque de partage des tâches dans le couple, pour les jeunes, concilier vie professionnelle et vie personnelle est déjà un casse-tête. Au-delà de ces contraintes, les aspirations ont également changé. La maternité n'est plus forcément la voie choisie par les jeunes femmes qui ont tendance à davantage privilégier leur épanouissement professionnel. Socialement, il n'est plus aussi mal perçu de ne pas vouloir d'enfants en Europe. S'ajoute à cela le facteur climatique, une nouvelle dimension majeure qui alimente une forme d'éco-anxiété et accompagne l'émergence d'une «génération no kids». 37% des jeunes Français hésitent à avoir des enfants, et 74% jugent l'avenir effrayant en raison des inquiétudes grandissantes face au dérèglement climatique. Face à cette réticence chez les jeunes, la France et ses pays voisins adoptent des politiques natalistes, sous la forme d'allocations ou de réductions d'impôts. Mais la politique peut-elle réorienter le choix des jeunesses européennes ?    Avec :   • David Duhamel, économiste, enseignant à Sciences Po Paris et auteur de Un Monde sans enfants - le pire arrive... mais le meilleur peut suivre (Buchet.Chastel, 2024). Un reportage de Clémence Pénard, correspondante de RFI à Dublin en Irlande.  L'Irlande décroche un triste record : elle est le pays de l'Union européenne, où élever un enfant coûte le plus cher ! Et à l'échelle du continent, seuls la Suisse et le Royaume-Uni la devancent. Frais de garde exorbitants, équivalant à 40 % du revenu moyen, peu de congés parentaux ou mal rémunérés et quasiment pas d'allocations familiales. Fonder une famille en Irlande n'est plus un rêve, c'est un calcul. Et pour beaucoup, l'addition est tout simplement trop salée.  Un témoignage recueilli par Tom Malki. En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, Avoir un enfant : qu'en pensent les jeunes européens ?   Programmation musicale : ► Plus loin que soi - Oxmo Puccino ► No Panic - Burna Boy - Jul feat. Gims. 

Podcast Audacieuse
Je vais avoir 30 ans et je me sens seule.

Podcast Audacieuse

Play Episode Listen Later Aug 1, 2025 15:35


A l'aube de mes 30 ans je ne me suis jamais sentie aussi seule, et je vous explique le pourquoi du comment. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Papa Phd Podcast
Pépite Papa PhD : Surmonter les rejets après la thèse avec Nathalie Nguyen-Quoc Ouellette

Papa Phd Podcast

Play Episode Listen Later Jul 31, 2025 10:22


Dans cette nouvelle Pépite Papa PhD, Nathalie Nguyen-Quoc Ouellette, astrophysicienne et communicatrice scientifique passionnée, nous raconte comment, après son doctorat, elle a osé sortir du parcours traditionnel pour se lancer dans la vulgarisation scientifique, surmontant de nombreux refus avant de trouver sa voie. Nathalie souligne l'importance de la résilience, de l'apprentissage face à l'adversité et du fait de suivre sa passion, même quand le chemin n'existe pas encore. Pour tous ceux qui hésitent à sortir des sentiers battus, son parcours montre que la curiosité et la persévérance ouvrent des portes insoupçonnées.   Nathalie Nguyen-Quoc Ouellette est une astrophysicienne passionnée par la communication scientifique. Après ses études doctorales, elle a reconnu que la voie académique traditionnelle n'était pas faite pour elle et a décidé de s'orienter vers des métiers de vulgarisation. Ne sachant pas précisément quels postes étaient accessibles à quelqu'un avec son parcours, elle a mené de nombreuses recherches, explorant principalement les domaines du journalisme scientifique et de l'éducation muséale. Cependant, elle s'est vite rendu compte que la plupart des offres dans les musées et centres de sciences étaient destinées à des profils moins avancés ou à des personnes issues de l'éducation. Malgré ce défi, Nathalie a persévéré pour trouver sa place et mettre ses compétences en astrophysique et en communication au service du grand public. Points à retenir : Persévérance face au rejet : Sortir du parcours académique traditionnel n'est pas toujours simple. Nathalie a essuyé de nombreux refus et a dû apprendre à rebondir, ce qui a enrichi son expérience et affiné son orientation professionnelle. La valeur des compétences transversales : Sortir du parcours académique traditionnel n'est pas toujours simple. Nathalie a essuyé de nombreux refus et a dû apprendre à rebondir, ce qui a enrichi son expérience et affiné son orientation professionnelle. L'importance des pratiques humaines dans le recrutement : Son expérience du côté candidat influence aujourd'hui son approche : elle tient à répondre personnellement à tous les stagiaires postulant dans son équipe – une belle leçon d'empathie et de respect pour les chercheurs d'emploi ! Pourquoi écouter cet épisode ? Un formidable message d'espoir et d'énergie pour tous ceux qui envisagent une carrière « au-delà de la thèse ». Que vous soyez jeune chercheur·e en quête d'inspiration ou simplement curieux·se du monde de la science… cet épisode est fait pour vous ! Envoie-nous tes commentaires : Pour entrer en contact avec nous et partager tes réflexions ou poser tes questions, laisse-nous un message vocal sur speakerpipe.com/papaphd. Nous aimons entendre nos auditeurs et tes retours sont précieux pour l'évolution du balado. Passe à l'écoute : Ne manque pas cet épisode captivant et suis “Au-delà de la thèse avec Papa PhD” sur ton application préférée pour ne jamais rater une occasion d'apprendre davantage sur la réalité du marché du travail après le doctorat. Écoute cette pépite maintenant et laisse-toi inspirer par le parcours de Nathalie! Liens de l'épisode Astro Panda | Site Web Institut iREx | Site Web Transcription de l'épisode David Mendes: Bienvenue sur cette nouvelle pépite Papa PhD. Dans ce nouvel épisode, je partage avec toi une partie de ma conversation avec Nathalie Nouyenne Kwakwellette, astrophysicienne et communicatrice scientifique passionnée où elle m'a raconté comment sa curiosité pour l'univers l'a mené à dépasser le parcours académique classique et à se tourner vers la vulgarisation scientifique. De ses débuts à Queen's University jusqu'à son rôle avec le télescope spatial James Webb, Nathalie partage son parcours, les défis rencontrés et l'importance de suivre ses passions même en dehors des sentiers battus. Un message inspirant si tu hésites à sortir du cadre traditionnel. Bonne écoute. Bienvenue sur Au-delà de la thèse avec papa PHT. Ton inspiration hebdomadaire pour le développement de carrière après le doctorat. Avec moi, David Mendes. David Mendes: Comment est-ce que tu as fait, tu as navigué vers tes premiers postes ou tes premières missions ou projets Est-ce que tu avais comme quelque chose en toi que un message particulier que tu voulais faire passer Dans ton coeur, on disait que le poste doc, il n'y est pas, est-ce qu'il y avait d'autres choses qui étaient là qui voulaient sortir Nathalie Ouellette: C'était un moment étrange parce que comme tu l'as dit, mon mon coeur n'était pas pour le poste doc et j'ai décidé à QSVC de faire de la communication sans tisser, mais lorsque j'ai pris cette décision, je ne savais pas vraiment c'était quoi les genres de poste qui existaient dans ce domaine pour quelqu'un avec un profil comme le mien. Donc, j'ai j'espère beaucoup de recherches pour trouver des postes qui pourraient correspondre à ce que j'avais en tête. Et puis je dirais qu'il y avait 2 grandes catégories que j'avais considérées, il y en a d'autres, mais comme le journalisme scientifique, mais je n'avais pas vraiment une formation en journalisme. C'était vraiment dans le monde de l'éducation muséale, donc dans les centres de sciences ou dans des musées. Donc, je cherchais pour des rôles là-dedans, mais beaucoup des rôles, c'était des rôles d'animation pour quelqu'un qui était cégep ou qui faisait son bac, pas nécessairement pour quelqu'un avec un doctorat. Et puis même que je devais, je pense que ça change aussi tranquillement pas vite, mais ils cherchaient beaucoup quelqu'un avec un profil en éducation ou en études muséales. Avoir un doctorat en sciences, en astrophysique, j'arrive, je dis, j'ai un doctorat en astrophysique. Eux, leur problème a l'impression que c'est peut-être, que cette personne-là ne va pas être capable d'expliquer quelque chose à même en trente-cinq ans ou quelqu'un du grand public, ils sont tellement canés dans une niche d'un sous-domaine, d'un sous-domaine d'assaut physique, ça va être difficile. Nathalie Ouellette: Donc, mon profil ne correspondait pas nécessairement à ce que eux recherchaient. Donc, j'ai dit, j'ai essayé beaucoup de rejets de ce côté-là et je n'étais pas habitué. J'ai eu une lancée dans ma carrière académique assez linéaire avant ce moment-là, ou si j'appliquais pour quelque chose, je le recevais. C'était rare pour moi de recevoir un nom. Donc, après mon doctorat, j'ai commencé à recevoir plein de noms, puis j'ai quand même dû enquêter, puis apprendre à encaisser des des rejets, donc ça, c'était, c'était intéressant. Néanmoins, il y avait quand même un autre, un autre profil de poste que j'ai trouvé, qui est vraiment un profil d'être le communicateur scientifique dans un institut de recherche. Et ça, je ne sais pas. Parce que ça souvent, ils cherchent quelqu'un qui a un profil scientifique de recherche, il y a un doctorat, parce que tu vas côtoyer des chercheurs au quotidien et tu prends leurs recherches et tu le traduis en quelque chose qui est accessible pour le grand public. Nathalie Ouellette: Donc là, j'ai eu plus de chance, j'ai passé des entrevues, j'ai trouvé ça peut-être même très intéressant, voir c'était quoi la diversité de ce genre de rôle qui existe de plus en plus souvent. J'étais très proche de d'obtenir le même rôle que j'ai maintenant pour le télescope spatial James Webb, mais aux États-Unis. Ah oui. J'étais très triste de ne pas l'avoir à l'époque, mais je suis contente de pouvoir faire la même chose au Canada maintenant. Donc, c'est c'était bien parti en fin de compte. Mais le premier, le premier poste que j'ai eu professionnel dans ce domaine-là, c'était dans un nouvel institut d'astroparticules qui commençait à l'époque à l'université Queen. Donc, je connaissais déjà bien le contexte de l'université et puis c'était un tout nouveau institut. C'est un sport, mais particulier aussi, mais je veux dire je connaissais assez la physique pour que ça fonctionne bien. Nathalie Ouellette: Tout nouveau comme institut, J'ai dû complètement bâtir tous les programmes. Donc, j'ai même dû créer des expositions muséales, puis je n'avais aucune idée qu'est-ce que je faisais. Donc, je me suis dit, je me suis dit, j'ai appris sur le terrain pendant que je le faisais, c'était fantastique, c'était une année très passive où j'ai appris énormément. Mais mon but, c'était toujours de revenir éventuellement à l'astronomie pure et à Montréal, j'espère que le poste que j'ai maintenant a été affiché au début de deux-mille-dix-huit, j'ai appliqué, je l'ai eu et j'ai eu la chance de revenir et de travailler pour le téléscope, ça vient de vous aussi, mais au Canada, à la place des États-Unis. David Mendes: Maintenant, j'ai une question, j'ai une question pour toi. Tu parlais d'essuyer beaucoup de noms de rejet, et ça, je pense que quand on sort d'un doctorat et qu'on va dans un autre domaine, ça va se passer, juste parce que en ce moment encore, il n'y a pas encore cette connaissance du côté du marché de l'emploi, de c'est quoi quelqu'un qui vient avec un doctorat, de quoi ils sont capables. En tout cas, en plus, il y a des préjugés par rapport à ça, mais je connais même des personnes qui ne donnaient pas 9 doctorats sur leur CV lorsqu'ils accélèrent dans certains domaines. David Mendes: Oui, ou à cause des préjugés, mais tu vois, ça illustre ce que je venais de dire. Maintenant, en pensant à ça, en pensant à toutes ces entrevues qui n'ont pas marché, je trouve ça important ce message de dire il faut être résilient envers les noms. Les noms ils vont venir, les rejets ils vont venir, mais est-ce que en regardant maintenant vers l'arrière, parce que je sais que je suis sûr que à l'époque c'est juste de trouver un nom c'était dur, on passe à la prochaine, mais en regardant en arrière, est-ce que chacune de ces conversations t'ont appris quelque chose et tu nous as déjà un peu dit qu'elles t'ont appris que, bon, mais ce type de poste-là, ils ne veulent pas quelqu'un avec ton profil, mais est-ce que tu penses quand même que tu as bâti un certain, un certain bagage qui t'a permis après de quand tu as trouvé le bon aiguillage de où aller, tu sais, est-ce que tout ce trajet de non, non, non, non, tu as quand même apporté quelque chose de positif dans tes premières conversations productives qui t'ont mené au premier oui. Nathalie Ouellette: Je pense que oui et je pense que c'est la première fois que je passe des des entrevues vraiment professionnelles et tu reçois pas nécessairement une liste des questions qui vont te poser. Donc ça m'a certainement appris à penser rapidement en moins fiable comme on dit en anglais. On a un peu cette expérience-là pendant par exemple un examen de doctorat de le can d'outils examen. Tu ne vois pas non plus une liste des questions que tu vas te poser à ce moment-là, mais c'est dans un autre contexte. Ça m'a aussi appliqué beaucoup sur comment fonctionnent ces différents investitures, même si je ne travaille pas dans un centre de sciences par exemple, je collabore avec des centres de science. Donc, penser ces processus d'entrevue ou même seulement lire les affichages pour ces postes-là. Je comprends un peu mieux comment ça fonctionne dans les musées. Donc, quand je collabore avec eux, je suis plus consciente de leur réalité. Donc, ça m'a donné un aperçu plus global du domaine en général, de la communication scientifique et de l'éducation informelle, même si je ne travaille pas dans tous les milieux de ce domaine-là. Ça, ça, j'ai trouvé ça vraiment, vraiment bien. Je dirais aussi que le oui, l'académique peut être très difficile, on ne se cache pas, le doctorat, ça peut être très pénible par moment, mais pour d'autres choses, on est quand même relativement noyé dans le sens que typiquement, si on applique pour quelque chose, on reçoit une réponse ou un directeur de recherche va nous expliquer pourquoi ce n'est pas un bon titre ou quelque chose comme ça. Mais c'est vraiment dur dans le privé, dans l'industrie. Tu lances ton TV dans un cours et puis les chansons que tu n'en prendrais plus jamais parler de ce poste-là, de cette compagnie-là. Il y a beaucoup plus de contacts un peu plus directs dans le milieu académique, je dirais. Et une chose que ça m'a appris, c'est que je veux vraiment à Xeney être le trou noir qui accepte des CV qui ne donnent plus jamais de réponse ou de même proaction à qui que ce soit. Nathalie Ouellette: Donc, par exemple, on a un programme de de stages d'été en direct. Et même si on reçoit cent-cinquante candidatures, je réponds que ça soit positif ou négatif. Je réponds à chaque personne pour dire malheureusement vous n'êtes pas accepté ou vous n'êtes pas accepté, mais c'est parce qu'il y avait tellement peu de place, mais vous avez un problème super intéressant, je m'encourage de réappliquer l'année prochaine. David Mendes: Merci d'avoir écouté ce nouvel épisode de la saison 6 d'au-delà de la thèse avec papa PHP. Tu as une question sur cette entrevue Tu veux laisser un commentaire sur le balado Tu veux recommander quelqu'un pour une autre entrevue Rends-toi sur speak pipe point com slash papa PHD et laisse-moi un message vocal. Clique sur le gros bouton enregistrer et laisse-moi un message de jusqu'à quatre-vingt-dix secondes. Je les écoute tous et je les considère tous pour passer sur des épisodes à venir. Encore une fois c'est speak pipe point com slash papa PHD. Bien d'entendre ta voix. Merci Nathalie ! Si cet entretien avec Nathalie Nguyen-Quoc Ouellette t'a plu, fais-lui en part en cliquant sur le lien ci-dessous et en lui laissant un message sur LinkedIn : Clique ici pour la remercier sur Linkedin ! Clique ici pour partager avec David le principal message que tu retiens de cet épisode ! Si tu trouves de la valeur dans le contenu que je t'apporte chaque semaine, clique sur l'un des boutons ci-dessous et renvoie-moi l'ascenceur  Don sur PayPal Deviens supporter sur Patreon ! 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Ça va Beaucoup Mieux
5 conseils pour nourrir votre microbiome intestinal et avoir un ventre plat

Ça va Beaucoup Mieux

Play Episode Listen Later Jul 31, 2025 3:00


Le cerveau de l'intestin joue un rôle prédominant dans votre bien-être. Emilie Steinbach vous explique comment favoriser sa diversité et sa richesse pour un meilleur confort digestif.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le Gratin par Pauline Laigneau
Comment créer une marque cohérente et mémorable ? #Leçon256

Le Gratin par Pauline Laigneau

Play Episode Listen Later Jul 30, 2025 26:21


Dans cette nouvelle leçon, j'accueille Victoire, fondatrice de la marque de bijoux MEORA Paris. Avec élégance et conviction, Victoire a fait le pari de bousculer les codes de la bijouterie fantaisie en y insufflant ce qu'on associe souvent à la haute joaillerie : du sens, de la durabilité et surtout de l'émotion.Mais comment réussir à faire passer ces messages subtils dans sa communication, notamment sur Instagram ?Comment ancrer sa marque dans un imaginaire fort, sans forcément passer par des mots ?Et comment rester cohérente tout en construisant une image de marque qui lui ressemble ?Dans cet échange, on parle plateforme de marque, persona, marketing émotionnel et cohérence visuelle. Une masterclass pour toutes celles et ceux qui veulent construire une marque qui touche et qui dure.CHAPITRAGE 00:00 – Introduction03:14 – Présentation de Victoire et de MEORA Paris05:35 – Donner une âme à une marque de bijoux fantaisie08:20 – Créer une image de marque cohérente sur Instagram11:00 – Comment faire passer une émotion sans écrire noir sur blanc ses valeurs14:00 – Définir un territoire de marque pour attirer les bons clients17:00 – Faut-il choisir un persona ou parler à tout le monde ?20:30 – Pourquoi les critères psychologiques comptent plus que l'âge23:00 – La cohérence : clef de la confiance client#PersonalBranding #ImageDeMarque #EntrepreneuriatCréatif #MarqueÉthique #BijouterieFantaisie #InstagramStrategy #Durabilité #CommunicationAuthentique #PlateformeDeMarque #PaulineLaigneauPodcast #LeçonsDuPodcast #MEORAParis #MarketingÉmotionnel #StorytellingMarque #CréatriceDeMarqueNotes et références de l'épisode Pour retrouver les formations Demian : La formation plateforme de marque : “Avoir une communication puissante” La formation persona : “Trouver efficacement ses clients”Pour retrouver Victoire Reyboubet et sa marque MEORA Paris : Sur son siteSur InstagramSur FacebookVous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.

Reportage International
Avoir 25 ans à Gaza: Bayan chante pour oublier le cauchemar

Reportage International

Play Episode Listen Later Jul 30, 2025 3:20


À Gaza, les universités et les écoles ont disparu, bombardées pendant plus de 21 mois par l'armée israélienne. Comment vivre quand on est un jeune homme, une jeune femme ? À quoi peut-on bien rêver dans ces conditions que même les adultes ne peuvent plus imaginer ? À quoi ressemble le quotidien ? De notre correspondant à Gaza, « Je m'appelle Bayan Zaqout et en ce moment, je recherche du réconfort et de la sécurité dans un endroit où même la paix n'existe pas. Je suis une jeune écrivaine, une poète, qui n'aspire à rien d'autre qu'à vivre normalement avec sa famille, tenter de survivre dans la bande de Gaza. » La jeune femme qui parle, Bayan Zaqout, rêvait de devenir écrivaine. Elle s'imaginait déjà publier des romans avec son nom sur la couverture. Elle aurait aussi aimé avoir un bureau indépendant, créatif, à côté, dans lequel elle travaillerait dans la communication. Mais aujourd'hui, Bayan, Gazaouie d'une vingtaine d'années, dit ne plus aspirer à rien. « Chaque jour, il y a des martyrs et des blessés. Donc maintenant, quand on me demande d'où je viens, je dis que je viens du pays du sang : de Gaza, de cet endroit digne, de ceux qui résistent encore. J'habitais dans des tours qui ont été les premières à être visé, au tout début de cette guerre. Depuis, je vis dans une tente de déplacés, juste en face de ce qui était tout pour nous, en face de notre maison où j'espérais être réunie avec ma famille. Désormais, mon seul souhait, chaque jour, c'est d'essayer de trouver du pain le matin, trouver de l'eau que l'on peut boire. Rien que cela, c'est très difficile. J'aspire uniquement à retrouver un semblant de vie quotidienne, la routine que j'avais avant. » Bayan en est consciente : elle n'a pas le même quotidien que les jeunes femmes de son âge, celles qui vivent dans d'autre pays. Elle est devenue la principale ressource financière de sa famille. Son père, qui avait un garage, a dû cesser son activité. Elle aide aussi sa mère à nettoyer la tente, faire la vaisselle, cuisiner. « J'essaie de contribuer à ma façon, même si ce n'est pas énorme. Car ici, même si tu travailles beaucoup, et peu importe combien tu gagnes, cela ne suffit même plus pour acheter les choses les plus basiques de la maison. J'aide aussi en essayant d'allumer des feux, mais dès que tu y touches, tu te sens toute noire, toute salie. Ici même l'air que l'on respire nous noircit. Alors oui, je travaille, mais j'allume aussi, je cuisine, pourquoi pas, mais ce n'est pas que moi. C'est le cas de toutes les jeunes femmes de mon âge à Gaza. Nous avons le rôle de femme et d'homme, on fait les deux à la fois. » Tous les soirs, quand elle peut, elle enseigne l'anglais à ses quatre plus jeunes frères. Le plus difficile, raconte Bayan, c'est quand elle a été séparée – plus tôt dans l'année – de ses deux frères aînés, elle dans le sud, eux dans le nord de Gaza. « Pendant quatre mois, nous n'avions aucune nouvelle. Je ne savais pas s'ils étaient vivants ou morts, s'ils allaient bien ou pas. Être séparé de tes frères avec qui tu as grandi, sans rien savoir d'eux, c'est une douleur indescriptible », confie-t-elle. Alors comme les jeunes filles de son âge, elle s'échappe en lisant, en allant sur Internet quand elle le peut. Et pour oublier qu'elle vit dans un cauchemar, dit-elle, Bayan chante. Surtout lorsqu'elle est face à la mer, sa dernière lueur d'espoir. À lire aussi«Je ne vois rien de l'aide qui arrive»: à Gaza, l'aide humanitaire revendue à prix d'or

Faites des gosses
Pourquoi fait-on un deuxième enfant ? [COUP DE ♥️]

Faites des gosses

Play Episode Listen Later Jul 29, 2025 28:32


REDIFFUSION. Cet été, Faites des gosses prend des vacances et vous propose de (re)découvrir certains de nos épisodes favoris. Bonne écoute !Lorsqu'on se représente une famille, on pense souvent à quatre personnes : deux parents et deux enfants. Mais pourquoi a-t-on en tête ce schéma classique ? Qu'est-ce qui pousse les parents à faire un deuxième enfant, ou au contraire à s'arrêter catégoriquement au premier ? Est-ce vraiment un choix conscient ? Est-ce qu'il existe un moment ou une configuration parfaite ? Dans cet épisode, Marine Revol interroge Arnaud Régnier-Loilier, sociologue spécialiste de la conjugalité et de la famille et auteur de Avoir des enfants en France. Désirs et réalités. Elle fait aussi entendre des témoignages de parents, notamment celui de l'humoriste Marine Léonardi et de la journaliste Johanna Luyssen pour essayer de mieux comprendre ce qui se joue dans les familles. Ensemble, ils et elles parlent du “pack de deux”, de dépression post-partum, de la peur de délaisser l'aîné, du niveau cachalot de la grossesse, d'équilibre au sein de la famille et de publicité pour la natalité envoyée par le gouvernement. Pour aller plus loin : Si je veux, le livre de Johanna Luyssen sur son expérience de la maternité solo aux éditions GrassetL'étude qui démontre les différences de résultats scolaires entre les enfants uniques et ceux qui ont des frères et/ou des soeursFaites des gosses est une production Louie Media, présentée par Marine Revol. Elle a écrit et tourné cet épisode. Il a été monté par Malou Ollivier et réalisé par Anna Buy. La musique est de Jean Thévenin. La prise de son et le mix sont du studio La Fugitive. Elsa Berthault est en charge de la production.Envoyez-nous vos questions, vos remarques et vos notes vocales à hello@louiemedia.comPour avoir des news de Louie, des recos podcasts et culturelles, abonnez-vous à notre newsletter en cliquant ici. Et suivez Louie Media sur Instagram, Facebook, Twitter.Vous souhaitez soutenir la création et la diffusion des projets de Louie Media ? Vous pouvez le faire via le Club Louie. Chaque participation est précieuse. Nous vous proposons un soutien sans engagement, annulable à tout moment, soit en une seule fois, soit de manière régulière. Au nom de toute l'équipe de Louie : MERCI !

Reportage International
Avoir 25 ans à Los Angeles: Justin, employé au Starbucks, confronté à la vie chère

Reportage International

Play Episode Listen Later Jul 29, 2025 2:40


Le comté de Los Angeles recense 1,2 million personnes âgées de 21 à 30 ans. Comme les autres générations, elles font face à un coût de la vie particulièrement élevé, 50% supérieur à la moyenne nationale pour un locataire. Rencontre avec Justin, 26 ans, dans un café du centre-ville de Los Angeles, tout près de chez lui.   À lire aussiMidterms 2026: comment Donald Trump tente d'empêcher la défaite annoncée

La libre antenne
La libre antenne - Après avoir partagé sa peine il y a trois ans à l'antenne, Jeanne souhaite aujourd'hui partager son bonheur

La libre antenne

Play Episode Listen Later Jul 29, 2025 20:10


Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Sana Blanger. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Reportage International
Avoir 25 ans à Pékin: Liu, livreur de repas au quotidien éreintant

Reportage International

Play Episode Listen Later Jul 28, 2025 2:46


Ils ont grandi dans une Chine en pleine mutation, entre promesses d'ascension sociale et réalité d'un marché du travail de plus en plus incertain. À 25 ans, que signifie « réussir sa vie » dans un pays où la pression sociale, la compétition et les inégalités pèsent lourd ? Rencontre à Pékin avec Liu, jeune livreur de repas pour la plateforme Meituan. Un quotidien éreintant, des rêves encore flous, et une volonté de s'en sortir — même sans plan tout tracé. De notre correspondante à Pékin, Tout de jaune vêtu, casque vissé sur la tête, Liu, livreur pour la plateforme Meituan, s'allume une cigarette. Il a à peine quelques minutes avant sa prochaine course. « C'est un job de transition parce qu'il n'y avait pas de bons emplois après la pandémie. Avec le ralentissement économique, j'ai commencé à livrer des repas comme solution temporaire », justifie-t-il. Chaque jour, Liu sillonne Pékin du matin au soir. Sous le soleil écrasant de l'été pékinois, le rythme est rude. « Je commence vers 7 heures et je termine vers 20 heures. C'est fatigant, mais pas insupportable. Il y a une pause d'une heure au milieu. Quand il n'y a pas de commande, on attend, on se repose. C'est un travail purement physique. On peut le faire facilement et les revenus sont relativement élevés. On s'y habitue, c'est juste un travail », explique-t-il, lui qui calcule ses dépenses avec précision. « C'est, en gros, comme un travail de migrant. Si j'effectue environ 40 livraisons par jour, le revenu mensuel tourne autour d'environ 12 000 yuans. Après les dépenses quotidiennes, je peux économiser la moitié de cela tous les mois », détaille-t-il. À lire aussiChine: le taux de chômage des jeunes au plus haut depuis le début de l'année Mais cette routine a ses limites, surtout avec l'âge. « Les jeunes choisissent ce travail soit pour rembourser leurs dettes, soit parce qu'ils ont fait faillite et essaient de s'en sortir grâce à ce travail. Mais ce travail ne vous apprend rien. Il ne vous permettra pas de subvenir à vos besoins quand vous serez vieux. Car quand vous vieillissez, vous ne pouvez tout simplement plus faire ce travail. Ils disent qu'ils proposent maintenant une assurance, mais celle-ci n'est pas très rassurante », confie-t-il. Liu pense à la suite, sans se presser. « Je vais essayer de trouver quelque chose de plus stable. J'ai travaillé en cuisine, alors je vais peut-être retenter ma chance dans la restauration. Ou alors, je retournerai dans ma ville natale pour m'occuper d'élevage, par exemple. Les jeunes ne veulent plus vraiment faire ce genre de travail, et les personnes plus âgées sont déjà trop âgées pour continuer, donc ces secteurs ont pratiquement perdu leur relève. Retourner chez moi pour prendre la relève de cette génération est une option à envisager. Le marché est déjà saturé. Les jeunes n'ont pas la possibilité de devenir riches du jour au lendemain. On peut gagner un peu d'argent, mais pas beaucoup », estime-t-il. Et son conseil, à ceux de sa génération ? « Concentrez-vous d'abord sur le présent. Soyez réaliste. Trouvez votre valeur. Puis réfléchissez à ce que vous pouvez apporter à la société. Ce n'est qu'alors, que ce soit en créant une entreprise ou en fournissant des efforts, que vous pourrez obtenir ce que vous souhaitez », répond-il. Avoir 25 ans en Chine aujourd'hui, c'est aussi chercher, à tâtons, sa voie dans un monde incertain. À lire aussiÀ Shanghai, la Chine pousse pour une gouvernance internationale de l'intelligence artificielle

Le journal de 18h00
Tarifs douaniers : l'Union européenne conteste avoir capitulé face à Donald Trump

Le journal de 18h00

Play Episode Listen Later Jul 28, 2025 15:08


durée : 00:15:08 - Journal de 18h - "Le meilleur accord possible dans des circonstances très difficiles", voilà comment la Commission européenne défend l'accord conclu avec les Etats-Unis. François Bayrou dénonce une "soumission" à Washington alors que les produits européens seront taxés à 15%. - invités : Gaïa Febvre Responsable des politiques internationales au Réseau Action Climat, en charge des négociations COP

TheBBoost : Le podcast qui booste les entrepreneurs
334. 8 habitudes qui sabotent votre business

TheBBoost : Le podcast qui booste les entrepreneurs

Play Episode Listen Later Jul 28, 2025 29:00


Vous travaillez dur, mais votre business ne décolle pas ? Vous avez l'impression de ne jamais en faire assez ?Et si au contraire le blocage ne venait pas de ce que vous ne faites pas... mais au contraire de ce que vous faites, chaque jour ?Dans cet épisode, on met les pieds dans le plat et on décortique les 8 habitudes quotidiennes qui sabotent la croissance d'un business. Même quand on ne s'en rend pas compte. Même quand on a l'impression de "tout faire comme il faut".Bonne écoute

Les journaux de France Culture
Tarifs douaniers : l'Union européenne conteste avoir capitulé face à Donald Trump

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Jul 28, 2025 15:08


durée : 00:15:08 - Journal de 18h - "Le meilleur accord possible dans des circonstances très difficiles", voilà comment la Commission européenne défend l'accord conclu avec les Etats-Unis. François Bayrou dénonce une "soumission" à Washington alors que les produits européens seront taxés à 15%. - invités : Gaïa Febvre Responsable des politiques internationales au Réseau Action Climat, en charge des négociations COP

Reportage International
Avoir 25 ans en Estonie: Mihkel, ingénieur dans une start-up de défense

Reportage International

Play Episode Listen Later Jul 27, 2025 2:22


À 25 ans, comment les jeunes voient-ils le monde du travail, l'entrepreneuriat ? Comment se projettent-ils dans l'avenir ? RFI est allé aux quatre coins de la planète pour sonder des jeunes nés en l'an 2000 sur leurs espoirs, mais aussi les difficultés qu'ils rencontrent dans leur quotidien. Aujourd'hui, direction l'Estonie à la rencontre de Mihkel, ingénieur dans une startup de la défense.  De notre envoyé spécial à Tallinn, Mikhel nous guide dans les locaux de sa start-up installée dans un grand bâtiment en lisière de forêt. La façade de l'immeuble est en bois. À l'étage, au-dessus de ses bureaux, une cuisine partagée et un sauna. « Le sauna, c'est vrai, c'est un peu cliché », s'en amuse-t-il. Travailler dans une start-up pourrait aussi relever du cliché tant elles sont nombreuses ici. L'Estonie est le pays d'Europe qui compte le plus de start-ups par habitants, plus d'un millier pour 1,4 million d'habitants. « Ici, beaucoup de jeunes étudient les nouvelles technologies très tôt. Dès le lycée ou la fac, on nous enseigne cette culture de l'entrepreneuriat. Cela fait maintenant deux ans que je travaille dans différentes start-ups. Le vrai boom, c'était surtout il y a cinq ans. Les choses ont un peu changé depuis le Covid, il y a moins de levées de fonds et trouver de l'argent devient un peu plus difficile », explique-t-il. Mais Mihkel ne se plaint pas. Sa start-up, Wayren, est spécialisée dans la cybersécurité. « Je suis ingénieur informatique, je dessine des composants électroniques. Aujourd'hui, les start-ups qui ont le vent en poupe, c'est dans la défense. C'est notre domaine, on est en pleine expansion », confie-t-il. Car en Estonie, l'invasion de l'Ukraine en février 2022 a ravivé les craintes d'une agression du grand voisin russe et rappelé l'urgence d'investir dans l'industrie militaire. L'année prochaine, le pays va consacrer plus de 5 % de son PIB à sa défense.  « La Russie n'a jamais été très amicale avec ses voisins. Ils ont occupé l'Estonie. Maintenant, vous avez Vladimir Poutine au pouvoir qui cherche à reconstruire l'empire russe. On verra bien ce qui arrivera, redoute le jeune homme, qui avoue néanmoins réussir à mener la vie assez normale d'un jeune homme de 25 ans. Je joue aux vidéos, je sors avec des amis, on va randonner. » Une vie normale, ou presque. « J'ai fait mon service militaire juste après le lycée, je suis réserviste. J'ai rejoint ensuite la Ligue de défense estonienne qui est une force de civil destinée à venir en aide à l'armée estonienne si besoin. Moi, je suis rattaché à la section cybersécurité. De grands exercices sont organisés, on appelle cela des hackathons. On se retrouve pour simuler des attaques numériques et y répondre. » Et si Mikhel ne croit pas à une guerre avec la Russie, il considère que cette option existe. « Nous devons donc être prêts », estime-t-il. À lire aussiL'Estonie, qui renforce sa défense face à la menace russe, reçoit le soutien des États-Unis

Les Nuits de France Culture
Gilles Vigneault, voix du Québec 2/2 : Gilles Vigneault : "Nous sentons tous le besoin de dire qu'on veut avoir un pays"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Jul 27, 2025 31:20


durée : 00:31:20 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Pourquoi les chanteurs québécois parlent-ils autant de leur pays ? Pour Gilles Vigneault, la réponse tient en une conviction profonde : "Nous sentons tous le besoin de dire qu'on veut avoir un pays." En 1971, le chanteur défend l'ancrage territorial de la chanson québécoise et son rôle politique. - réalisation : Emily Vallat - invités : Gilles Vigneault Poète, chanteur, auteur-compositeur