POPULARITY
Categories
Dans cette nouvelle leçon, j'accueille Victoire, fondatrice de la marque de bijoux MEORA Paris. Avec élégance et conviction, Victoire a fait le pari de bousculer les codes de la bijouterie fantaisie en y insufflant ce qu'on associe souvent à la haute joaillerie : du sens, de la durabilité et surtout de l'émotion.Mais comment réussir à faire passer ces messages subtils dans sa communication, notamment sur Instagram ?Comment ancrer sa marque dans un imaginaire fort, sans forcément passer par des mots ?Et comment rester cohérente tout en construisant une image de marque qui lui ressemble ?Dans cet échange, on parle plateforme de marque, persona, marketing émotionnel et cohérence visuelle. Une masterclass pour toutes celles et ceux qui veulent construire une marque qui touche et qui dure.CHAPITRAGE 00:00 – Introduction03:14 – Présentation de Victoire et de MEORA Paris05:35 – Donner une âme à une marque de bijoux fantaisie08:20 – Créer une image de marque cohérente sur Instagram11:00 – Comment faire passer une émotion sans écrire noir sur blanc ses valeurs14:00 – Définir un territoire de marque pour attirer les bons clients17:00 – Faut-il choisir un persona ou parler à tout le monde ?20:30 – Pourquoi les critères psychologiques comptent plus que l'âge23:00 – La cohérence : clef de la confiance client#PersonalBranding #ImageDeMarque #EntrepreneuriatCréatif #MarqueÉthique #BijouterieFantaisie #InstagramStrategy #Durabilité #CommunicationAuthentique #PlateformeDeMarque #PaulineLaigneauPodcast #LeçonsDuPodcast #MEORAParis #MarketingÉmotionnel #StorytellingMarque #CréatriceDeMarqueNotes et références de l'épisode Pour retrouver les formations Demian : La formation plateforme de marque : “Avoir une communication puissante” La formation persona : “Trouver efficacement ses clients”Pour retrouver Victoire Reyboubet et sa marque MEORA Paris : Sur son siteSur InstagramSur FacebookVous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
À Gaza, les universités et les écoles ont disparu, bombardées pendant plus de 21 mois par l'armée israélienne. Comment vivre quand on est un jeune homme, une jeune femme ? À quoi peut-on bien rêver dans ces conditions que même les adultes ne peuvent plus imaginer ? À quoi ressemble le quotidien ? De notre correspondant à Gaza, « Je m'appelle Bayan Zaqout et en ce moment, je recherche du réconfort et de la sécurité dans un endroit où même la paix n'existe pas. Je suis une jeune écrivaine, une poète, qui n'aspire à rien d'autre qu'à vivre normalement avec sa famille, tenter de survivre dans la bande de Gaza. » La jeune femme qui parle, Bayan Zaqout, rêvait de devenir écrivaine. Elle s'imaginait déjà publier des romans avec son nom sur la couverture. Elle aurait aussi aimé avoir un bureau indépendant, créatif, à côté, dans lequel elle travaillerait dans la communication. Mais aujourd'hui, Bayan, Gazaouie d'une vingtaine d'années, dit ne plus aspirer à rien. « Chaque jour, il y a des martyrs et des blessés. Donc maintenant, quand on me demande d'où je viens, je dis que je viens du pays du sang : de Gaza, de cet endroit digne, de ceux qui résistent encore. J'habitais dans des tours qui ont été les premières à être visé, au tout début de cette guerre. Depuis, je vis dans une tente de déplacés, juste en face de ce qui était tout pour nous, en face de notre maison où j'espérais être réunie avec ma famille. Désormais, mon seul souhait, chaque jour, c'est d'essayer de trouver du pain le matin, trouver de l'eau que l'on peut boire. Rien que cela, c'est très difficile. J'aspire uniquement à retrouver un semblant de vie quotidienne, la routine que j'avais avant. » Bayan en est consciente : elle n'a pas le même quotidien que les jeunes femmes de son âge, celles qui vivent dans d'autre pays. Elle est devenue la principale ressource financière de sa famille. Son père, qui avait un garage, a dû cesser son activité. Elle aide aussi sa mère à nettoyer la tente, faire la vaisselle, cuisiner. « J'essaie de contribuer à ma façon, même si ce n'est pas énorme. Car ici, même si tu travailles beaucoup, et peu importe combien tu gagnes, cela ne suffit même plus pour acheter les choses les plus basiques de la maison. J'aide aussi en essayant d'allumer des feux, mais dès que tu y touches, tu te sens toute noire, toute salie. Ici même l'air que l'on respire nous noircit. Alors oui, je travaille, mais j'allume aussi, je cuisine, pourquoi pas, mais ce n'est pas que moi. C'est le cas de toutes les jeunes femmes de mon âge à Gaza. Nous avons le rôle de femme et d'homme, on fait les deux à la fois. » Tous les soirs, quand elle peut, elle enseigne l'anglais à ses quatre plus jeunes frères. Le plus difficile, raconte Bayan, c'est quand elle a été séparée – plus tôt dans l'année – de ses deux frères aînés, elle dans le sud, eux dans le nord de Gaza. « Pendant quatre mois, nous n'avions aucune nouvelle. Je ne savais pas s'ils étaient vivants ou morts, s'ils allaient bien ou pas. Être séparé de tes frères avec qui tu as grandi, sans rien savoir d'eux, c'est une douleur indescriptible », confie-t-elle. Alors comme les jeunes filles de son âge, elle s'échappe en lisant, en allant sur Internet quand elle le peut. Et pour oublier qu'elle vit dans un cauchemar, dit-elle, Bayan chante. Surtout lorsqu'elle est face à la mer, sa dernière lueur d'espoir. À lire aussi«Je ne vois rien de l'aide qui arrive»: à Gaza, l'aide humanitaire revendue à prix d'or
REDIFFUSION. Cet été, Faites des gosses prend des vacances et vous propose de (re)découvrir certains de nos épisodes favoris. Bonne écoute !Lorsqu'on se représente une famille, on pense souvent à quatre personnes : deux parents et deux enfants. Mais pourquoi a-t-on en tête ce schéma classique ? Qu'est-ce qui pousse les parents à faire un deuxième enfant, ou au contraire à s'arrêter catégoriquement au premier ? Est-ce vraiment un choix conscient ? Est-ce qu'il existe un moment ou une configuration parfaite ? Dans cet épisode, Marine Revol interroge Arnaud Régnier-Loilier, sociologue spécialiste de la conjugalité et de la famille et auteur de Avoir des enfants en France. Désirs et réalités. Elle fait aussi entendre des témoignages de parents, notamment celui de l'humoriste Marine Léonardi et de la journaliste Johanna Luyssen pour essayer de mieux comprendre ce qui se joue dans les familles. Ensemble, ils et elles parlent du “pack de deux”, de dépression post-partum, de la peur de délaisser l'aîné, du niveau cachalot de la grossesse, d'équilibre au sein de la famille et de publicité pour la natalité envoyée par le gouvernement. Pour aller plus loin : Si je veux, le livre de Johanna Luyssen sur son expérience de la maternité solo aux éditions GrassetL'étude qui démontre les différences de résultats scolaires entre les enfants uniques et ceux qui ont des frères et/ou des soeursFaites des gosses est une production Louie Media, présentée par Marine Revol. Elle a écrit et tourné cet épisode. Il a été monté par Malou Ollivier et réalisé par Anna Buy. La musique est de Jean Thévenin. La prise de son et le mix sont du studio La Fugitive. Elsa Berthault est en charge de la production.Envoyez-nous vos questions, vos remarques et vos notes vocales à hello@louiemedia.comPour avoir des news de Louie, des recos podcasts et culturelles, abonnez-vous à notre newsletter en cliquant ici. Et suivez Louie Media sur Instagram, Facebook, Twitter.Vous souhaitez soutenir la création et la diffusion des projets de Louie Media ? Vous pouvez le faire via le Club Louie. Chaque participation est précieuse. Nous vous proposons un soutien sans engagement, annulable à tout moment, soit en une seule fois, soit de manière régulière. Au nom de toute l'équipe de Louie : MERCI !
Le comté de Los Angeles recense 1,2 million personnes âgées de 21 à 30 ans. Comme les autres générations, elles font face à un coût de la vie particulièrement élevé, 50% supérieur à la moyenne nationale pour un locataire. Rencontre avec Justin, 26 ans, dans un café du centre-ville de Los Angeles, tout près de chez lui. À lire aussiMidterms 2026: comment Donald Trump tente d'empêcher la défaite annoncée
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Sana Blanger. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mon étoile filante, si toi aussi, tu fais partie de la team “Je m'éparpille, j'essaie de me cadrer mais c'est galère”, arrête tout! J'ai trouvé dans la newsletter Freelance Cake, de Austin L. Church un conseil super malin qui peut t'aider à avancer, avec un max de cohérence, sans brider ta nature créative. Tu me diras si ça te parle autant qu'à moi? (Pour me répondre, envoie-moi un mp sur Linkedin
Le comté de Los Angeles recense 1,2 million personnes âgées de 21 à 30 ans. Comme les autres générations, elles font face à un coût de la vie particulièrement élevé, 50% supérieur à la moyenne nationale pour un locataire. Rencontre avec Justin, 26 ans, dans un café du centre-ville de Los Angeles, tout près de chez lui. À lire aussiMidterms 2026: comment Donald Trump tente d'empêcher la défaite annoncée
⚖️ Raphaëlle Petitperrin et Samuela Berdah - Juristes au CN D – Centre national de la danse.Toutes deux accompagnent au quotidien les danseureuses, chorégraphes, administrateurices, professeur.es et directeursrices d'école dans leurs questionnements juridiques et administratifs : contrat de travail, statut social, droit d'auteur, gestion de structure, conventions collectives. Rien ne leur échappe !Raphaëlle Petitperrin a d'abord exercé comme avocate en droit social avant de rejoindre le CN D, il y a plus de dix ans. Spectatrice de danse avant tout, sa première révélation artistique a eu lieu à l'adolescence avec "Fase" d'Anne Teresa De Keersmaeker. Depuis, elle met son expertise juridique au service du secteur chorégraphique, à travers des formations, des fiches pratiques et des accompagnements sur mesure.Samuela Berdah, quant à elle, a pratiqué la danse en amateur pendant vingt ans. Juriste au CN D, depuis 2003, elle a fait de la passerelle entre le droit et la danse sa mission de tous les jours. Son approche rigoureuse et ancrée dans le réel des professionnels en fait une ressource précieuse pour les artistes comme pour les structures de production et de diffusion.Un échange riche, concret et accessible pour mieux comprendre les enjeux légaux qui traversent la vie des danseureuses et des acteurices du secteur culturel.Que vous soyez artiste, porteureuse de projet ou simplement curieux.se des réalités qui structurent le monde de la danse, et que vous souhaitez comprendre le droit dans ces secteurs, cet épisode est fait pour vous !
Ils ont grandi dans une Chine en pleine mutation, entre promesses d'ascension sociale et réalité d'un marché du travail de plus en plus incertain. À 25 ans, que signifie « réussir sa vie » dans un pays où la pression sociale, la compétition et les inégalités pèsent lourd ? Rencontre à Pékin avec Liu, jeune livreur de repas pour la plateforme Meituan. Un quotidien éreintant, des rêves encore flous, et une volonté de s'en sortir — même sans plan tout tracé. De notre correspondante à Pékin, Tout de jaune vêtu, casque vissé sur la tête, Liu, livreur pour la plateforme Meituan, s'allume une cigarette. Il a à peine quelques minutes avant sa prochaine course. « C'est un job de transition parce qu'il n'y avait pas de bons emplois après la pandémie. Avec le ralentissement économique, j'ai commencé à livrer des repas comme solution temporaire », justifie-t-il. Chaque jour, Liu sillonne Pékin du matin au soir. Sous le soleil écrasant de l'été pékinois, le rythme est rude. « Je commence vers 7 heures et je termine vers 20 heures. C'est fatigant, mais pas insupportable. Il y a une pause d'une heure au milieu. Quand il n'y a pas de commande, on attend, on se repose. C'est un travail purement physique. On peut le faire facilement et les revenus sont relativement élevés. On s'y habitue, c'est juste un travail », explique-t-il, lui qui calcule ses dépenses avec précision. « C'est, en gros, comme un travail de migrant. Si j'effectue environ 40 livraisons par jour, le revenu mensuel tourne autour d'environ 12 000 yuans. Après les dépenses quotidiennes, je peux économiser la moitié de cela tous les mois », détaille-t-il. À lire aussiChine: le taux de chômage des jeunes au plus haut depuis le début de l'année Mais cette routine a ses limites, surtout avec l'âge. « Les jeunes choisissent ce travail soit pour rembourser leurs dettes, soit parce qu'ils ont fait faillite et essaient de s'en sortir grâce à ce travail. Mais ce travail ne vous apprend rien. Il ne vous permettra pas de subvenir à vos besoins quand vous serez vieux. Car quand vous vieillissez, vous ne pouvez tout simplement plus faire ce travail. Ils disent qu'ils proposent maintenant une assurance, mais celle-ci n'est pas très rassurante », confie-t-il. Liu pense à la suite, sans se presser. « Je vais essayer de trouver quelque chose de plus stable. J'ai travaillé en cuisine, alors je vais peut-être retenter ma chance dans la restauration. Ou alors, je retournerai dans ma ville natale pour m'occuper d'élevage, par exemple. Les jeunes ne veulent plus vraiment faire ce genre de travail, et les personnes plus âgées sont déjà trop âgées pour continuer, donc ces secteurs ont pratiquement perdu leur relève. Retourner chez moi pour prendre la relève de cette génération est une option à envisager. Le marché est déjà saturé. Les jeunes n'ont pas la possibilité de devenir riches du jour au lendemain. On peut gagner un peu d'argent, mais pas beaucoup », estime-t-il. Et son conseil, à ceux de sa génération ? « Concentrez-vous d'abord sur le présent. Soyez réaliste. Trouvez votre valeur. Puis réfléchissez à ce que vous pouvez apporter à la société. Ce n'est qu'alors, que ce soit en créant une entreprise ou en fournissant des efforts, que vous pourrez obtenir ce que vous souhaitez », répond-il. Avoir 25 ans en Chine aujourd'hui, c'est aussi chercher, à tâtons, sa voie dans un monde incertain. À lire aussiÀ Shanghai, la Chine pousse pour une gouvernance internationale de l'intelligence artificielle
durée : 00:15:08 - Journal de 18h - "Le meilleur accord possible dans des circonstances très difficiles", voilà comment la Commission européenne défend l'accord conclu avec les Etats-Unis. François Bayrou dénonce une "soumission" à Washington alors que les produits européens seront taxés à 15%. - invités : Gaïa Febvre Responsable des politiques internationales au Réseau Action Climat, en charge des négociations COP
Vous travaillez dur, mais votre business ne décolle pas ? Vous avez l'impression de ne jamais en faire assez ?Et si au contraire le blocage ne venait pas de ce que vous ne faites pas... mais au contraire de ce que vous faites, chaque jour ?Dans cet épisode, on met les pieds dans le plat et on décortique les 8 habitudes quotidiennes qui sabotent la croissance d'un business. Même quand on ne s'en rend pas compte. Même quand on a l'impression de "tout faire comme il faut".Bonne écoute
durée : 00:15:08 - Journal de 18h - "Le meilleur accord possible dans des circonstances très difficiles", voilà comment la Commission européenne défend l'accord conclu avec les Etats-Unis. François Bayrou dénonce une "soumission" à Washington alors que les produits européens seront taxés à 15%. - invités : Gaïa Febvre Responsable des politiques internationales au Réseau Action Climat, en charge des négociations COP
durée : 00:28:56 - Avoir raison avec... - par : Carla Michel - Si en Espagne la philosophe María Zambrano (1904-1991) est très étudiée, elle reste méconnue en France. Découvrons en cinq épisodes celle qui faisait de la vie même son matériau de pensée, portait l'Espagne dans ses entrailles alors qu'elle était exilée et glorifiait la forme poétique. - réalisation : Julie Beressi - invités : Camille Lacau St Guily Maîtresse de conférence à Sorbonne Université, Faculté de Lettres, à l'UFR d'Études Ibériques et Latino-américaines; Raphaël Estève Professeur des universités au département d'espagnol de l'Université Bordeaux Montaigne
Ils ont grandi dans une Chine en pleine mutation, entre promesses d'ascension sociale et réalité d'un marché du travail de plus en plus incertain. À 25 ans, que signifie « réussir sa vie » dans un pays où la pression sociale, la compétition et les inégalités pèsent lourd ? Rencontre à Pékin avec Liu, jeune livreur de repas pour la plateforme Meituan. Un quotidien éreintant, des rêves encore flous, et une volonté de s'en sortir — même sans plan tout tracé. De notre correspondante à Pékin, Tout de jaune vêtu, casque vissé sur la tête, Liu, livreur pour la plateforme Meituan, s'allume une cigarette. Il a à peine quelques minutes avant sa prochaine course. « C'est un job de transition parce qu'il n'y avait pas de bons emplois après la pandémie. Avec le ralentissement économique, j'ai commencé à livrer des repas comme solution temporaire », justifie-t-il. Chaque jour, Liu sillonne Pékin du matin au soir. Sous le soleil écrasant de l'été pékinois, le rythme est rude. « Je commence vers 7 heures et je termine vers 20 heures. C'est fatigant, mais pas insupportable. Il y a une pause d'une heure au milieu. Quand il n'y a pas de commande, on attend, on se repose. C'est un travail purement physique. On peut le faire facilement et les revenus sont relativement élevés. On s'y habitue, c'est juste un travail », explique-t-il, lui qui calcule ses dépenses avec précision. « C'est, en gros, comme un travail de migrant. Si j'effectue environ 40 livraisons par jour, le revenu mensuel tourne autour d'environ 12 000 yuans. Après les dépenses quotidiennes, je peux économiser la moitié de cela tous les mois », détaille-t-il. À lire aussiChine: le taux de chômage des jeunes au plus haut depuis le début de l'année Mais cette routine a ses limites, surtout avec l'âge. « Les jeunes choisissent ce travail soit pour rembourser leurs dettes, soit parce qu'ils ont fait faillite et essaient de s'en sortir grâce à ce travail. Mais ce travail ne vous apprend rien. Il ne vous permettra pas de subvenir à vos besoins quand vous serez vieux. Car quand vous vieillissez, vous ne pouvez tout simplement plus faire ce travail. Ils disent qu'ils proposent maintenant une assurance, mais celle-ci n'est pas très rassurante », confie-t-il. Liu pense à la suite, sans se presser. « Je vais essayer de trouver quelque chose de plus stable. J'ai travaillé en cuisine, alors je vais peut-être retenter ma chance dans la restauration. Ou alors, je retournerai dans ma ville natale pour m'occuper d'élevage, par exemple. Les jeunes ne veulent plus vraiment faire ce genre de travail, et les personnes plus âgées sont déjà trop âgées pour continuer, donc ces secteurs ont pratiquement perdu leur relève. Retourner chez moi pour prendre la relève de cette génération est une option à envisager. Le marché est déjà saturé. Les jeunes n'ont pas la possibilité de devenir riches du jour au lendemain. On peut gagner un peu d'argent, mais pas beaucoup », estime-t-il. Et son conseil, à ceux de sa génération ? « Concentrez-vous d'abord sur le présent. Soyez réaliste. Trouvez votre valeur. Puis réfléchissez à ce que vous pouvez apporter à la société. Ce n'est qu'alors, que ce soit en créant une entreprise ou en fournissant des efforts, que vous pourrez obtenir ce que vous souhaitez », répond-il. Avoir 25 ans en Chine aujourd'hui, c'est aussi chercher, à tâtons, sa voie dans un monde incertain. À lire aussiÀ Shanghai, la Chine pousse pour une gouvernance internationale de l'intelligence artificielle
➡️LISTE D'ATTENTE POUR LE MASTERMIND DE TINA ⬅️Au sujet de cet épisode :Tu culpabilises dès que tu prends une pause sur les réseaux ?Tu te dis que si tu ne postes pas régulièrement, personne ne viendra à tes cours ?Tu n'es pas seule. Et surtout : ce n'est pas vrai.Dans cet épisode, on vient remettre du souffle dans cette croyance que la visibilité constante est une condition pour réussir en tant que prof de yoga.On parle de :✨ la vraie origine de cette pression de poster tout le temps✨ ce que tes élèves attendent réellement de toi (spoiler : ce n'est pas une story par jour)✨ des exemples ultra concrets pour recycler ton quotidien en contenu simple et sincère✨ la différence entre être visible et créer du lien
Il va y avoir du sport ! Podcast économie et marchés Athymis Gestion en date du 28 juillet 2025 Ce podcast est fourni à titre d'information uniquement et ne constitue pas la base d'un contrat ou d'un engagement de quelque nature que ce soit. ATHYMIS GESTION n'accepte aucune responsabilité, directe ou indirecte, qui pourrait résulter de l'utilisation de toutes informations contenues dans ce podcast. Les informations, avis et évaluations qu'il contient reflètent un jugement au moment de sa publication et sont susceptibles d'être modifiés sans notification préalable. Ce podcast ne saurait être interprété comme étant un conseil juridique, réglementaire, fiscal, financier ou encore comptable. Avant d'investir, le souscripteur doit comprendre les risques et mérites financiers des services ou produits financiers considérés et consulter ses propres conseillers. Avant d'investir, il est recommandé de lire attentivement la documentation contractuelle et, en particulier, les prospectus qui décrivent en détail les droits et obligations des investisseurs ainsi que les risques liés à l'investissement dans de tels produits financiers. Nos fonds sont exposés aux risques suivants : Risque actions, Risque de marché, Risque lié à la gestion discrétionnaire, Risque de change, Risque de taux, Risque de crédit, Risque de perte en capital. Les performances et réalisations du passé ne constituent en rien une garantie pour des performances actuelles ou à venir. Image d'illustration créée par IA. ATHYMIS GESTION est une Société Anonyme, au capital de 528 867 Euros ayant son siège 10 rue Notre Dame de Lorette 75009 Paris, immatriculée sous le numéro 502 521 685 RCS Paris, agréée en tant que société de gestion de portefeuille par l'A.M.F. (Autorité des Marchés Financiers)
À 25 ans, comment les jeunes voient-ils le monde du travail, l'entrepreneuriat ? Comment se projettent-ils dans l'avenir ? RFI est allé aux quatre coins de la planète pour sonder des jeunes nés en l'an 2000 sur leurs espoirs, mais aussi les difficultés qu'ils rencontrent dans leur quotidien. Aujourd'hui, direction l'Estonie à la rencontre de Mihkel, ingénieur dans une startup de la défense. De notre envoyé spécial à Tallinn, Mikhel nous guide dans les locaux de sa start-up installée dans un grand bâtiment en lisière de forêt. La façade de l'immeuble est en bois. À l'étage, au-dessus de ses bureaux, une cuisine partagée et un sauna. « Le sauna, c'est vrai, c'est un peu cliché », s'en amuse-t-il. Travailler dans une start-up pourrait aussi relever du cliché tant elles sont nombreuses ici. L'Estonie est le pays d'Europe qui compte le plus de start-ups par habitants, plus d'un millier pour 1,4 million d'habitants. « Ici, beaucoup de jeunes étudient les nouvelles technologies très tôt. Dès le lycée ou la fac, on nous enseigne cette culture de l'entrepreneuriat. Cela fait maintenant deux ans que je travaille dans différentes start-ups. Le vrai boom, c'était surtout il y a cinq ans. Les choses ont un peu changé depuis le Covid, il y a moins de levées de fonds et trouver de l'argent devient un peu plus difficile », explique-t-il. Mais Mihkel ne se plaint pas. Sa start-up, Wayren, est spécialisée dans la cybersécurité. « Je suis ingénieur informatique, je dessine des composants électroniques. Aujourd'hui, les start-ups qui ont le vent en poupe, c'est dans la défense. C'est notre domaine, on est en pleine expansion », confie-t-il. Car en Estonie, l'invasion de l'Ukraine en février 2022 a ravivé les craintes d'une agression du grand voisin russe et rappelé l'urgence d'investir dans l'industrie militaire. L'année prochaine, le pays va consacrer plus de 5 % de son PIB à sa défense. « La Russie n'a jamais été très amicale avec ses voisins. Ils ont occupé l'Estonie. Maintenant, vous avez Vladimir Poutine au pouvoir qui cherche à reconstruire l'empire russe. On verra bien ce qui arrivera, redoute le jeune homme, qui avoue néanmoins réussir à mener la vie assez normale d'un jeune homme de 25 ans. Je joue aux vidéos, je sors avec des amis, on va randonner. » Une vie normale, ou presque. « J'ai fait mon service militaire juste après le lycée, je suis réserviste. J'ai rejoint ensuite la Ligue de défense estonienne qui est une force de civil destinée à venir en aide à l'armée estonienne si besoin. Moi, je suis rattaché à la section cybersécurité. De grands exercices sont organisés, on appelle cela des hackathons. On se retrouve pour simuler des attaques numériques et y répondre. » Et si Mikhel ne croit pas à une guerre avec la Russie, il considère que cette option existe. « Nous devons donc être prêts », estime-t-il. À lire aussiL'Estonie, qui renforce sa défense face à la menace russe, reçoit le soutien des États-Unis
durée : 00:31:20 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Pourquoi les chanteurs québécois parlent-ils autant de leur pays ? Pour Gilles Vigneault, la réponse tient en une conviction profonde : "Nous sentons tous le besoin de dire qu'on veut avoir un pays." En 1971, le chanteur défend l'ancrage territorial de la chanson québécoise et son rôle politique. - réalisation : Emily Vallat - invités : Gilles Vigneault Poète, chanteur, auteur-compositeur
À 25 ans, comment les jeunes voient-ils le monde du travail, l'entrepreneuriat ? Comment se projettent-ils dans l'avenir ? RFI est allé aux quatre coins de la planète pour sonder des jeunes nés en l'an 2000 sur leurs espoirs, mais aussi les difficultés qu'ils rencontrent dans leur quotidien. Aujourd'hui, direction l'Estonie à la rencontre de Mihkel, ingénieur dans une startup de la défense. De notre envoyé spécial à Tallinn, Mikhel nous guide dans les locaux de sa start-up installée dans un grand bâtiment en lisière de forêt. La façade de l'immeuble est en bois. À l'étage, au-dessus de ses bureaux, une cuisine partagée et un sauna. « Le sauna, c'est vrai, c'est un peu cliché », s'en amuse-t-il. Travailler dans une start-up pourrait aussi relever du cliché tant elles sont nombreuses ici. L'Estonie est le pays d'Europe qui compte le plus de start-ups par habitants, plus d'un millier pour 1,4 million d'habitants. « Ici, beaucoup de jeunes étudient les nouvelles technologies très tôt. Dès le lycée ou la fac, on nous enseigne cette culture de l'entrepreneuriat. Cela fait maintenant deux ans que je travaille dans différentes start-ups. Le vrai boom, c'était surtout il y a cinq ans. Les choses ont un peu changé depuis le Covid, il y a moins de levées de fonds et trouver de l'argent devient un peu plus difficile », explique-t-il. Mais Mihkel ne se plaint pas. Sa start-up, Wayren, est spécialisée dans la cybersécurité. « Je suis ingénieur informatique, je dessine des composants électroniques. Aujourd'hui, les start-ups qui ont le vent en poupe, c'est dans la défense. C'est notre domaine, on est en pleine expansion », confie-t-il. Car en Estonie, l'invasion de l'Ukraine en février 2022 a ravivé les craintes d'une agression du grand voisin russe et rappelé l'urgence d'investir dans l'industrie militaire. L'année prochaine, le pays va consacrer plus de 5 % de son PIB à sa défense. « La Russie n'a jamais été très amicale avec ses voisins. Ils ont occupé l'Estonie. Maintenant, vous avez Vladimir Poutine au pouvoir qui cherche à reconstruire l'empire russe. On verra bien ce qui arrivera, redoute le jeune homme, qui avoue néanmoins réussir à mener la vie assez normale d'un jeune homme de 25 ans. Je joue aux vidéos, je sors avec des amis, on va randonner. » Une vie normale, ou presque. « J'ai fait mon service militaire juste après le lycée, je suis réserviste. J'ai rejoint ensuite la Ligue de défense estonienne qui est une force de civil destinée à venir en aide à l'armée estonienne si besoin. Moi, je suis rattaché à la section cybersécurité. De grands exercices sont organisés, on appelle cela des hackathons. On se retrouve pour simuler des attaques numériques et y répondre. » Et si Mikhel ne croit pas à une guerre avec la Russie, il considère que cette option existe. « Nous devons donc être prêts », estime-t-il. À lire aussiL'Estonie, qui renforce sa défense face à la menace russe, reçoit le soutien des États-Unis
durée : 00:28:50 - Avoir raison avec... - par : Carla Michel - Si en Espagne la philosophe María Zambrano (1904-1991) est très étudiée, elle reste méconnue en France. Découvrons en cinq épisodes celle qui faisait de la vie même son matériau de pensée, portait l'Espagne dans ses entrailles alors qu'elle était exilée et glorifiait la forme poétique. - réalisation : Julie Beressi - invités : Camille Lacau St Guily Maîtresse de conférence à Sorbonne Université, Faculté de Lettres, à l'UFR d'Études Ibériques et Latino-américaines; Raphaël Estève Professeur des universités au département d'espagnol de l'Université Bordeaux Montaigne
durée : 00:28:51 - Avoir raison avec... - par : Carla Michel - Depuis que Platon en a fait la radicale critique, on peut penser que la poésie se tient à bonne distance de la philosophie. Pas pour María Zambrano qui agit comme une Don Quichotte, blâmant les "géants" de la philosophie qu'elle estime trop orgueilleux ! La poésie pourrait-elle tout changer ? - réalisation : Julie Beressi - invités : Camille Lacau St Guily Maîtresse de conférence à Sorbonne Université, Faculté de Lettres, à l'UFR d'Études Ibériques et Latino-américaines; Jean-Marc Sourdillon Professeur de lettres en classe préparatoire littéraire et poète
durée : 00:28:52 - Avoir raison avec... - par : Carla Michel - Outre le fait d'être l'une des rares femmes philosophes espagnoles du 20e siècle, María Zambrano, poussée à l'exil en janvier 1939 après la prise de Barcelone par Franco, est la seule à avoir pensé cet exil, qu'elle nomme "déprise", comme un processus de transformation, un lieu de révélations. - réalisation : Julie Beressi - invités : Eve Giustiniani Maîtresse de conférences en études hispaniques à l'Université Aix-Marseille
durée : 00:28:51 - Avoir raison avec... - par : Carla Michel - L'espérance naît de l'image de l'aurore, chère au cœur et à la pensée de la philosophe María Zambrano. Elle surgit du désespoir, et met en mouvement l'humain, le transcende. Elle est le moteur de l'histoire, mais surtout le moteur de María Zambrano, elle-même. - réalisation : Julie Beressi - invités : Elisabeth Bart Professeure de lettres et critique littéraire; Jean-Marc Sourdillon Professeur de lettres en classe préparatoire littéraire et poète
durée : 00:28:50 - Avoir raison avec... - par : Carla Michel - "Mon adolescence fut la politique, c'était ma manière de me sentir vivante", proclame María Zambrano. Elle est l'une des seules penseuses dans l'histoire de la philosophie à avoir pris au sérieux la démocratie, dont elle observe l'agonie en Europe depuis son exil dans les années 1940. - réalisation : Julie Beressi - invités : Manon Delobel Professeure de philosophie
Vingt-cinq ans, le travail et moi. Comment les jeunes voient-ils le monde du travail, l'entrepreneuriat ? Et comment se projettent-ils et elles dans l'avenir ? Alors que le Groenland cherche à diversifier son économie et à gagner en autonomie financière vis-à-vis de la tutelle danoise, rencontre avec Casper Møller, qui a lancé avec des amis son agence de voyage et veut que l'argent du tourisme bénéficie davantage à son île natale. Col roulé blanc cassé, cheveux impeccablement coiffés, nous rencontrons Casper Møller dans un café surchauffé d'un quartier industriel de la capitale du Groenland, Nuuk. Des groupes d'amis discutent aux tables d'à-côté. Au fond, par la fenêtre, on aperçoit le fjord et ses icebergs qui défilent le long de la côte. Casper travaille souvent ici, faute d'avoir pour l'instant un « vrai » bureau. Après la fin de ses études de commerce au Danemark, ce Groenlandais a fondé l'an dernier avec deux amis une entreprise de tourisme, Raw Arctic. Nouvelle liaison New York-Nuuk « Nous avons senti qu'il y avait un besoin et que c'était le bon moment, car un nouvel aéroport allait ouvrir en novembre (2024) », explique-t-il devant son smartphone et son ordinateur, une tasse à la main. L'aéroport international de Nuuk accueille même depuis juin cette année des vols directs depuis New York. Tandis que le nombre de visiteurs avait déjà bondi de 50% depuis 2018. De quoi porter la croissance de la toute jeune société de Casper et de ses amis. « Nous avons été en mesure de commencer à nous dégager un salaire, nous les cofondateurs. Et en comptant les employés, cet été nous serons 16 personnes », nous expliquait-il lors de notre rencontre au printemps. Le gouvernement actuel du Groenland, au pouvoir depuis mars, espère pour sa part doubler le nombre d'emplois dans le tourisme d'ici 2035. Chasse, pêche et vidéos L'agence propose des voyages en bateau dans les fjords, des séjours autour de la chasse au renne ou encore de la pêche à la mouche, pour de riches touristes. Cet après-midi-là, une fine neige s'abat en rafales sur la ville. Le temps est trop mauvais pour organiser une sortie : Casper et son associé Isak Brandt Hansen en profitent pour regarder une vidéo souvenir tournée par leur agence pour des clients venus quelques semaines plus tôt chasser le phoque dans le fjord de Nuuk. L'un des deux touristes vise, tire, sans succès. L'animal est reparti sain et sauf cette fois-ci. S'ensuit à l'image une journée de chasse au renne, au milieu d'images spectaculaires de fin d'hiver. Les images sont envoyées aux clients à l'issue de leur visite. Mieux répartir l'argent des croisiéristes En plus des séjours sur mesure, les fondateurs de la petite agence de voyage veulent se faire une place dans les services aux bateaux de croisières internationaux qui font escale au Groenland. « Avant d'arriver, les bateaux de croisières entrent en contact avec une agence de voyage et avec les petits bateaux, explique Casper. Quand on part en mer (dans des conditions difficiles, avec des blocs de glace), à la fin on ne reçoit même pas 30% du montant que les croisiéristes ont payé pour l'excursion. Ce n'est pas juste, estime-t-il. Donc, nous sommes en train de lancer une entreprise qui va regrouper dix propriétaires de petits bateaux, qui assumeront les mêmes risques, mais en gardant l'argent ici au Groenland. » Les réservations avec les bateaux de croisière se font souvent plus d'un an à l'avance. La jeune entreprise prévoit donc de travailler avec les croisiéristes dès l'an prochain. En réduisant les intermédiaires, les trois jeunes associés espèrent négocier de meilleurs tarifs pour les petits bateaux groenlandais. À lire aussiAvoir 25 ans à Varsovie: Aleksandra Bylina, consultante en développement durable
durée : 00:09:49 - L'invité de 7h50 - par : Simon Le Baron - La réalisatrice Prïncia Car était l'invitée de France Inter ce jeudi. Son premier long métrage, “Les filles désir”, est actuellement en salles. Il a été sélectionné à la Quinzaine des réalisateurs de Cannes. - invités : Prïncia Car - Prïncia Car : Réalisatrice française Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:09:49 - L'invité de 7h50 - par : Simon Le Baron - La réalisatrice Prïncia Car était l'invitée de France Inter ce jeudi. Son premier long métrage, “Les filles désir”, est actuellement en salles. Il a été sélectionné à la Quinzaine des réalisateurs de Cannes. - invités : Prïncia Car - Prïncia Car : Réalisatrice française Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Vingt-cinq ans, le travail et moi. RFI est allée aux quatre coins de la planète pour sonder des jeunes nés en l'an 2000 sur leur rapport au travail, leurs espoirs, mais aussi les difficultés qu'ils rencontrent dans leurs quotidiens. Aujourd'hui, direction la Pologne à la rencontre d'Aleksandra, consultante en développement durable. C'est au pied d'un imposant centre d'affaires de Varsovie qu'Aleksandra Bylina, 25 ans, nous a donné rendez-vous. Son bureau se trouve au 22e étage d'un building voisin. « Le domaine dans lequel je travaille est plutôt un marché de niche. J'ai toujours aimé la nature. Ma matière de prédilection à l'école était la géographie. Je l'ai choisie pour le Bac et poursuivie durant mes études. Mais c'était plus qu'une matière, plutôt une passion. Me promener dans le parc, admirer le vivant... Cela me manque en ville. Alors, je me suis dit : mon hobby pourrait devenir mon travail. » Construire pour l'avenir Avec son chignon châtain et ses yeux amande, Aleksandra est une jeune femme décidée. Elle le tient de son entourage familial. Varsovienne de naissance, c'est son père, artiste-peintre, qui lui aurait transmis son amour de la nature. De sa mère, elle pense avoir hérité la volonté d'agir. L'écologie et le développement durable sont devenus le cheval de bataille de la jeune Polonaise. Aujourd'hui, elle accompagne les entreprises. La spécialité d'Aleksandra : le bien-être au travail. « Tout n'est pas rose, loin de là. Mais ce sont les grands groupes qui doivent donner l'exemple. Le bien-être des collaborateurs doit être une préoccupation des dirigeants. Au même titre que l'impact sur la planète. Il s'agit de construire quelque chose pour l'avenir », estime la jeune consultante. Pour Aleksandra, l'équilibre entre sa vie personnelle et sa vie professionnelle est important : « Je travaille en mode hybride. Deux jours par semaine en présentiel et trois jours en télétravail. Chaque façon de travailler comporte des dangers et des avantages. L'important pour moi, c'est d'associer les deux. Les jeunes autour de moi pensent la même chose. » Des rêves à portée de main Déconnectée, Aleksandra ? La jeune femme se dit plutôt réaliste : « Quand je me mets à rêver à quelque chose, je veux y parvenir. Je partage cette sensibilité avec les autres jeunes de 25 ans. Quand j'aime quelque chose, que cela est bon pour moi et ne dérange pas les autres, alors pourquoi ne pas le faire. 25 ans, c'est l'âge charnière entre l'insouciance de la jeunesse et le monde des adultes avec ses responsabilités. Personnellement, je cherche plus de stabilité. Je suis en couple, je rêve d'avoir trois enfants. » La précarité des jeunes Mais la situation des jeunes reste très précaire. Et la guerre en Ukraine est toute proche : « Tout est devenu incertitude. Nous cherchons à nous raccrocher à la nature, à la famille, car le marché du travail n'offre aucune assurance », conclut notre interlocutrice. Aleksandra Bylina s'éloigne. Mais elle laisse un sentiment de confiance en soi qui fait du bien. À lire aussiAvoir 25 ans à Garoua, le coton comme horizon
25 ans, le travail et moi. Garoua, la capitale du Nord Cameroun, est également la capitale de la région cotonnière du pays. Ici, cette activité draine un grand nombre d'emplois et de ressources. Les autorités estiment que plus de deux millions de personnes vivent dans la région grâce au coton. Portrait d'Amadi Babil, jeune cotonculteur. Rassemblement de cotonculteurs d'une coopérative à Pitoa, localité située à une quinzaine de kilomètres de Garoua, au nord du Cameroun. Babil Amadi a répondu présent. À 25 ans, il possède une petite parcelle qu'il cultive lui-même. Une activité transmise de génération en génération. « Ce sont mes parents qui m'ont appris à cultiver le coton, explique-t-il. Cela fait environ six ans que je m'y suis mis. J'ai mon propre champ au pied de la montagne. » Le jeune homme est très timide. Il n'ose pas s'exprimer en français et préfère l'aide de quelqu'un pour traduire ses propos. Un professeur est présent et offre ses services. Amadi Babil a quitté l'école de manière précoce, comme beaucoup dans cette région rurale et chez les cultivateurs. « Je suis allée à l'école, mais j'ai dû arrêter, car ma famille n'avait plus les moyens », regrette-t-il. En plus du coton, il cultive des oignons, du maïs ou encore des arachides. « Mais la base, c'est le coton », insiste-t-il. Des rêves d'évolution Des passe-temps, il n'en a pas vraiment. « En dehors du champ, je fais aussi de la maçonnerie et d'autres petites activités pour subvenir aux besoins de ma famille », détaille Amadi Babil. Le jeune homme s'est marié il y a peu et a deux enfants. Il a construit sa maison lui-même et en est très fier. Malgré les difficultés qui entourent la culture du coton, Amadi Babil y trouve des avantages. « Ce qui me plaît avec cette culture, lors de la récolte, tu es payé cash et en une fois pour toute ta récolte », met-il en avant. À 25 ans, quand certains jeunes rêvent de notoriété, de carrière sportive ou de voyages, Babil Amadi a lui pour horizon le coton et sa société cotonnière, la Sodecoton : « Je rêve de devenir cadre à la Sodecoton, avoir un grand poste. Parce que je vois que les gens de la Sodecoton s'épanouissent et ça me fait envie ». Une activité qu'il espère transmettre à ses enfants. « Je veux que tous mes enfants apprennent et grandissent dans la culture du coton, puisque c'est très bénéfique. » Dans cette zone de l'extrême nord du pays, enclavée entre le Nigeria et le Tchad, fortement touchée par le chômage, il est difficile de rêver d'autre chose que de coton. À lire aussiLe coton camerounais sous pression malgré des bons rendements À écouter aussiGrand reportage: Cameroun, nuages sur l'or blanc À lire aussiCameroun: à Garoua, la réhabilitation du port fluvial vivement souhaitée
Avoir 25 ans en 2025. Comment les jeunes nés autour de l'an 2000 voient-ils le monde du travail, l'entrepreneuriat ? Et comment se projettent-ils dans l'avenir ? Pour ce deuxième épisode, direction Ciudad Juarez, à la frontière entre le Mexique et les États-Unis. Rencontre avec Luis, un jeune Mexicain qui la traverse illégalement toutes les semaines pour aller travailler au Texas. Ce n'est pas son vrai nom, mais pour préserver son anonymat, nous l'appellerons Luis. Nous le rencontrons au domicile de ses parents à Ciudad Juarez. De l'autre côté du fleuve Rio Grande, il y a El Paso, le Texas et le pays du dollar. Les deux villes-frontières sont reliées par le pont des Amériques. Luis connaît parfaitement le chemin : « Je traverse la frontière tous les week-ends pour aller travailler dans un genre de casino à El Paso, une salle de poker. Je m'occupe de l'argent, parfois je distribue les cartes. Je travaille trois jours : du jeudi au samedi ou du vendredi au dimanche. Et puis, je rentre au Mexique. Cela me permet d'aider mes parents à payer les factures. » « Chaque travailleur sans papiers a sa propre technique » Luis n'a pas pourtant pas de permis l'autorisant à travailler aux États-Unis. « Chaque travailleur sans papiers a sa propre technique. Moi, j'ai l'avantage d'avoir de la famille à El Paso, donc c'était facile de trouver un travail, d'avoir un endroit où dormir. Je traverse avec de la famille ou des amis, vers midi ou en début d'après-midi plutôt que tôt le matin. Donc, j'ai l'air de venir pour faire du tourisme ou du shopping. Traverser le week-end ? C'est très facile, ils ne soupçonnent rien. » Luis assure n'avoir jamais été interrogé en deux ans, pas même depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche. « J'aime bien Donald Trump, même si lui ne m'aime pas » Le président américain d'ailleurs, Luis l'apprécie plutôt : « Je sais que c'est bizarre, mais si vous me demandez si j'aime Trump : oui, je l'aime bien. L'économie se porte mieux quand il est au pouvoir. Je sais qu'il ne veut pas qu'on vienne travailler aux États-Unis, mais ce sont les immigrés qui font tourner son pays. Donc oui, je l'aime bien. Même si lui ne m'aime pas. » Mais n'allez pas croire qu'il rêve pour autant de s'installer aux États-Unis : « Je n'aime pas leur mode de vie. C'est travail, travail, travail. Ils ont tout ce qu'ils veulent, mais au final, ils ne font que travailler. Je me vois faire un ou deux ans de plus comme ça. Et puis, j'ouvrirai un business ici au Mexique, un food truck peut-être. » À lire aussiDe part et d'autre de la frontière, la vie chamboulée des Mexicains et des Américains
durée : 00:08:57 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Les Décraqués - Témoignages pour faits divers (1/2) Dans cet épisode, Françoise Treussard recueillait les témoignages étonnants de Patrice Delbourg, Gilbert Lascault, Jean-Bernard Pouy et Emmanuel Brouillard : beaucoup de fantaisie et d'humour pour témoigner du vol d'un tapis roulant. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Jean-Bernard Pouy Écrivain; Gilbert Lascault; Emmanuel Brouillard; Patrice Delbourg Écrivain; Patrice Minet Acteur, écrivain et homme de radio; Françoise Treussard
durée : 00:22:18 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Simon Le Baron - Entretien avec Ousmane Ndiaye, journaliste indépendant, ex-rédacteur en chef Afrique à TV5 monde et chef de rubrique Afrique à "Courrier international", et Nicolas Normand, ancien ambassadeur au Mali (2002-2006), Congo (2006-2009) et Sénégal (2010-2013). Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:28:34 - Avoir raison avec... - par : Marceau Vassy - Dépeinte à la fois dans sa beauté, sa poésie, mais aussi dans sa puissance et sa violence, la nature est un élément central dans l'œuvre de Jean Giono. Face à elle, les personnages de ses livres doivent trouver leur juste place, entre respect à son égard et nécessité d'imposer leur trace. - réalisation : Vanessa Nadjar - invités : Jean-Yves Laurichesse Ecrivain, professeur émérite de littérature française à l'université Toulouse Jean Jaurès; Marion Stoïchi Professeure de lettres, docteure en Langue et Littérature françaises
durée : 00:29:56 - Avoir raison avec... - par : Marceau Vassy - La figure du paysan est très présente dans l'œuvre de Jean Giono. Elle représente pour lui l'harmonie parfaite entre l'être humain et le monde vivant. Un mode de vie paysan qu'il oppose d'ailleurs à celui des grandes villes et à la modernité qui polluent pour Giono les sens et l'essence de l'Homme. - réalisation : Vanessa Nadjar - invités : Denis Labouret Professeur émérite à l'université Paris-Sorbonne, spécialiste de la littérature française des XXe et XXIe siècles; Romain de Becdelièvre Auteur, conseiller dramaturgique, producteur à France Culture
durée : 00:29:43 - Avoir raison avec... - par : Marceau Vassy - Jean Giono fut soldat durant la 1ʳᵉ Guerre mondiale. De son expérience des tranchées est né un pacifisme viscéral qu'on retrouve dans plusieurs de ses livres. Alors qu'aujourd'hui le spectre de la guerre refait surface en Europe, ce pan de l'œuvre de Giono résonne puissamment avec notre présent. - réalisation : Vanessa Nadjar - invités : Christian Morzewski Professeur de littérature à l'université d'Artois et président de l'Association Des Amis de Jean Giono
durée : 00:29:44 - Avoir raison avec... - par : Marceau Vassy - La Seconde Guerre mondiale marque une rupture dans l'œuvre de Jean Giono. Ses rêves de paix se sont brisés contre la réalité de l'Histoire et l'écrivain débute alors une nouvelle manière dans laquelle transparaît un certain désenchantement du monde ainsi qu'une noirceur plus prononcée. - réalisation : Vanessa Nadjar - invités : Laurent Fourcaut Agrégé de lettres classiques, professeur émérite à Paris-Sorbonne; Annabelle Marion Docteure en Histoire et sémiologie du texte et de l'image, chercheuse postdoctorale
durée : 00:29:42 - Avoir raison avec... - par : Marceau Vassy - Dans ce dernier épisode consacré à l'écrivain Jean Giono, retour sur deux notions qui parcourent l'entièreté de son œuvre et de sa vie : la question de la vérité, qui est toujours subjective pour Giono, et celle du réel qui ne l'intéresse pas. - réalisation : Vanessa Nadjar - invités : Sylvie Vignes Professeure de littérature française à l'université de Toulouse-Jean Jaurès; Anne-Aël Ropars Professeure agrégée de Lettres et docteure en langue et littérature françaises
durée : 00:22:18 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Simon Le Baron - Entretien avec Ousmane Ndiaye, journaliste indépendant, ex-rédacteur en chef Afrique à TV5 monde et chef de rubrique Afrique à "Courrier international", et Nicolas Normand, ancien ambassadeur au Mali (2002-2006), Congo (2006-2009) et Sénégal (2010-2013). Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
25 ans, le travail et moi. RFI est allé aux quatre coins de la planète pour sonder des jeunes nés en l'an 2000 sur leur rapport au travail, leurs espoirs et l'avenir de leur métier. Direction Abidjan, en Côte d'Ivoire : RFI a rencontré un jeune passionné de technologies, qui entend concilier écologie et économie. Et si les déchets avaient de la valeur ? C'est le pari qu'a fait Emmanuel Korekou, jeune développeur ivoirien de 25 ans, en imaginant Ecobin+, une poubelle connectée capable de faire du tri sélectif tout en récompensant les personnes qui participent à la collecte. Le concept est simple : grâce à des capteurs intégrés, la poubelle reconnaît automatiquement la nature des déchets – plastique, matière organique… – et ouvre le bac adapté au contenu. Connectée à une application mobile, Ecobin+, qui est doté d'un panneau solaire, permet aux utilisateurs de vendre les déchets collectés et ainsi de participer activement à l'économie circulaire. « L'idée, c'est de sensibiliser la population à la collecte et au recyclage, mais aussi de montrer que les ordures peuvent être une ressource », explique Emmanuel Korekou. De l'électronique à l'internet des objets Avant de se lancer dans ce projet, Emmanuel Korekou, qui « a grandi à Abidjan », évoluait dans le domaine de l'électronique. Désireux d'élargir ses compétences, il décide de se reconvertir et s'inscrit au Techlab d'Eranove Academy, un centre de formation spécialisé dans les technologies du futur basé dans le quartier du Plateau. C'est là qu'il se passionne pour l'internet des objets et le génie climatique, deux secteurs porteurs à l'heure de la transition écologique. Dans un espace de travail partagé flambant neuf, Emmanuel Korekou travaille aux côtés de jeunes développeurs et geeks ivoiriens. Ensemble, ils inventent, testent et rêvent de solutions technologiques adaptées aux réalités locales. Imaginer le numérique de demain Pour ce jeune entrepreneur, le futur du numérique s'écrit déjà. Interrogé sur ce que pourrait être son métier dans 25 ans, Emmanuel imagine un monde dans lequel l'ordinateur de bureau ne sera plus nécessaire. « L'ordinateur, on l'aura littéralement à portée de main. En se promenant en ville, on sera déjà en contact avec des machines intégrées partout autour de nous, un peu comme les smartphones aujourd'hui », confie-t-il. Et il n'est pas inquiet du développement de l'intelligence artificielle (IA). Au contraire : « Il ne faut pas en avoir peur. Les métiers ne vont pas disparaître, ils vont simplement évoluer. Un secrétaire, par exemple, pourra ajouter de nouvelles fonctions à son poste. On aura des développeurs spécialisés en intelligence artificielle, en scripts pour coder des IA, et bien d'autres. C'est une opportunité pour celles et ceux qui sauront s'adapter. » Croire en la créativité de la jeunesse ivoirienne Pour Emmanuel Korekou, l'entrepreneuriat technologique est l'un des moyens de répondre à la crise de l'emploi qui touche de nombreux jeunes en Côte d'Ivoire. « L'État ne peut pas tout faire. Il faut que chacun prenne les choses en main et crée son activité en fonction de ses compétences, estime-t-il le concepteur d'Ecobin+, en constatant que de plus en plus de jeunes se lancent dans l'univers des start-up et du numérique. Les choses bougent, et financièrement, des méthodes existent pour nous accompagner. Tout est réuni pour avancer. » Toujours avide de savoir, Emmanuel Korekou poursuit sa formation dans les domaines de la transition énergétique, du suivi et de l'évaluation de projets de développement et de machine learning (apprentissage automatique). À lire aussiCôte d'Ivoire: les acteurs de l'économie numérique mis en avant à l'Ivoire Tech Forum
REDIFF - Anne-France est née au sortir de la guerre et elle a été conditionnée à mener une vie corsetée, dans la norme de cette société patriarcale... Mais Anne-France, c'est aussi une affranchie, qui a tout fait pour se libérer de ce carcan et vivre à 200 à l'heure! Auteure du livre- "Roule ma poule" aux éditions Payot RivagesDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avoir la main verte, ce n'est pas donné à tout le monde ! Vous avez beau aimer de tout votre cœur vos plantes d'intérieur, elles n'arrivent pas à survivre chez vous plus de quelques mois. Même les cactus ne résistent pas ! C'est bien dommage, car les plantes possèdent de nombreuses vertus : elles diminuent la quantité de dioxyde de carbone, purifient votre air, réduisent la poussière, peuvent même atténuer les nuisances sonores…. et puis, elles sont tout de même très agréables et apaisantes à regarder. Comment sélectionner une plante en fonction de mon habitat ? Quelles sont les erreurs les plus fréquentes ? Comment savoir si une plante est morte ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Joanne Bourdin. À écouter aussi : Que changerait la reconnaissance de la Palestine ? Qu'est-ce que le gooning, cette technique de masturbation féminine ? Comment obtenir des billets de concerts pas chers ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. première diffusion le 20/06/2024 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Et si le bonheur n'était pas ce qu'on croit ?Dans cet épisode un peu particulier, j'ai réuni quatre penseurs majeurs : André Comte-Sponville, Frédéric Lenoir, Florence Servan-Schreiber et Thomas d'Ansembourg, pour explorer cette quête universelle sous des angles très différents.État passager ou chemin de vie ? Illusion ou construction ? Leurs réponses, parfois surprenantes, souvent lumineuses, pourraient bien changer votre regard sur ce que signifie vraiment “être heureux”.La suite dès lundi matin !Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
durée : 00:29:29 - Avoir raison avec... - par : Alexandre Morales - Éminente physicienne, Marie Curie a reçu le prix Nobel par deux fois. Toute sa vie, elle s'est engagée pour la science, en tant qu'elle émancipe, parce qu'elle est action, concrète et collective. - réalisation : Vanessa Nadjar - invités : Renaud Huynh Médiateur culturel et directeur du Musée Curie
durée : 00:29:33 - Avoir raison avec Elisée Reclus 2/5
durée : 00:29:40 - Avoir raison avec Elisée Reclus 3/5
durée : 00:30:33 - Avoir raison avec Elisée Reclus 4/5
durée : 00:31:05 - Avoir raison avec Elisée Reclus 5/5
durée : 00:30:02 - Avoir raison avec... - par : Alexandre Morales - En 1898, Marie et Pierre Curie découvrent le polonium et le radium, deux éléments chimiques jusque-là inconnus. Nouvel outil de recherche pour sonder la matière, la radioactivité a également des applications industrielles et médicales, notamment dans la lutte contre le cancer. - réalisation : Vanessa Nadjar - invités : Camilla Maiani Physicienne, responsable de la médiation au Musée Curie