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La guerre et l'amour sont des sujets éternels de romans : on le vérifiera encore une fois dans ce numéro de « Au bonheur des livres » qui accueille deux écrivains reconnus et personnalités passionnantes, Nathalie Azoulai et Pierre Assouline.La première raconte dans « Toutes les vies de Théo » (Ed. P.O.L) l'histoire d'un couple « mixte » (elle est juive et lui chrétien breton) que vont perturber les événements du 7 octobre et la situation de Gaza, soumettant chacun à la question de son identité. Nulle lourdeur cependant dans ce récit qui se confronte avec audace et humour au présent le plus brûlant…Pierre Assouline, quant à lui, nous parle également d'un couple, et de cette même question de l'identité juive en temps de guerre, mais cette fois en retournant en arrière, en Israël, à l'automne 1973, au moment de la guerre du Kippour. Le héros de « L'annonce » (Ed. Gallimard) est un jeune Français, sans doute proche de ce que fut l'auteur, qui va rencontrer une soldate Israélienne engagée dans la lutte pour son pays.Claire Chazal aura à cœur, en dialoguant avec ses invités, d'interroger alors le rapport particulier qu'ils entretiennent avec l'Histoire, une Histoire que nous continuons de vivre, au présent, et à laquelle ils nous font réfléchir par l'entremise la plus noble de la littérature. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les footballeurs parlent aux footballeurs ! « Rothen s'enflamme », le rendez-vous des passionnés du ballon rond revient pour une deuxième saison !
Dans ce podcast, Gabrielle de l'équipe Pipo & Lola, l'agence et studio audio à l'initiative de ce podcast, A TOI DE BOUGER, s'entretient avec le Professeur François Carré, cardiologue et médecin du sport, président du collectif "Pour une France en Forme". A TOI DE BOUGER a été créé dans le but de faire bouger les enfants et leur famille, grâce à des histoires immersives et ludiques.Notre chaîne de podcasts aux histoires pleines d'aventures sportives pour les enfants de 3 à 10 ans, a la chance d'être soutenue par ce collectif, "Pour une France en Forme", qui lutte au quotidien contre la sédentarité des françaises et des français.Découvrez dans cet échange captivant, un état des lieux de la sédentarité des plus jeunes aujourd'hui, l'impact que cela génère et les solutions possibles pour faire bouger davantage les enfants mais aussi les plus grands ! Nulle besoin de se lancer dans les pratiques sportives des plus complexes. Pour la santé physique et mentale des enfants mais aussi des parents, il suffit de pratiquer une activité physique régulière et quand on parle d'activité physique, on ne parle pas forcément de sport, mais simplement de bouger plus tous les jours. Grâce au témoignage du professeur François Carré qui œuvre depuis des années à réduire la sédentarité en France, vous comprendrez d'autant plus l'urgence sur cette question de santé publique et le pourquoi de notre démarche. Merci au professeur François Carré pour son expertise, son soutien et sa contribution au projet "A TOI DE BOUGER". Bonne écoute !Pour poursuivre cette belle aventure, "À toi de bouger !" à besoin de partenaires, de votre soutien et de vos écoutes ! N'hésitez pas à laisser une note et un commentaire pour continuer à nous faire connaître."À toi de bouger !" une bonne idée d'activité sportive, a réaliser en famille. Des histoires, des aventures, immersives et ludiques pour les enfants, à écouter sans modération.
⭐️ Dispo en format vidéo sur YouTube !!! ⭐️Récemment, je me suis heurtée à un sentiment que beaucoup de personnes ressentent et qui est mon plus grand frein à la création : la différence entre mon niveau et mes goûts ... Pour réussir à dépasser ça et réussir à créer en quantité à défaut d'avoir la qualité rêvé, j'ai décidé d'apprendre à être forte à être nulle. Et tout commence par filmer cet épisode de podcast !
Trouve ta zone de génie en 1h : https://cours.graouacademie.fr/cours-zone-de-genie-podcastMes accompagnements : https://graouacademie.fr/accompagnements/Instagram : https://www.instagram.com/jeremyguillaume/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après de grandes révélations et discussions avec Zénith - le maître informel de Nulle Part, notre duo d'aventuriers va se remettre de ses émotions et finaliser leur entente avec le fauve. Le repos qui pourrait en suivre sera cependant une occasion d'approfondir les motivations mutuelles de nos protagonistes qui ne sont pas au bout de leurs surprises ! Nulle part ne dort jamais... et eux non plus. ------------------------------------------------------------------------------------------- Merci à l'artiste Sacha Ravenda pour les sublimes illustrations de nos personnages! Pour voir son travail : https://linktr.ee/sacharavenda ------------------------------------------------------------------------------------------- Pour suivre Coup Critique : https://linktr.ee/coupcritique -------------------------------------------------------------------------------------------
durée : 00:59:29 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Dans "L'Éden à l'aube", l'écrivain Karim Kattan raconte l'histoire de deux Palestiniens qui découvrent ce que signifie "aimer" dans un territoire qui n'est pas vraiment le sien. - réalisation : Margot Page - invités : Karim Kattan Écrivain; Stéphanie Dujols Autrice et traductrice de littérature arabe contemporaine
En Guinée Conakry, c'est la première interview d'une autorité depuis la bousculade meurtrière qui a fait au moins 56 morts dimanche dernier à Nzérékoré. Ce matin, le Premier ministre Bah Oury s'exprime sur RFI. Il n'exclut pas un bilan plus lourd que les 56 morts annoncés officiellement. Et il annonce que, désormais, le nom du président de la transition, Mamadi Doumbouya, ne sera plus associé à une manifestation sportive, quelle qu'elle soit. Le Premier ministre Bah Oury, qui rentre de Nzérékoré et qui vient de présider un comité de crise à Conakry, répond en exclusivité aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Vous rentrez de Nzérékoré, qu'est-ce qui s'est passé pour qu'on en arrive à cette bousculade meurtrière ? Bah Oury : Vous savez, on ne peut pas dire exactement les circonstances qui ont amené à cela, mais il y a eu un arbitrage qui n'était pas du tout adéquat, qui a amené des frustrations et des colères. Et c'était un début d'un engrenage tragique. Et en plus dans un stade qui n'est pas aux normes, qui n'a qu'une seule ouverture. Et ça a tourné à cette tragédie macabre que nous déplorons.Est-ce que vous confirmez que l'un des deux ministres présents au match a voulu annuler la décision de l'arbitre sur ce carton rouge ? Bon, dans le contexte actuel, le ministre de la Justice, garde des Sceaux, a mis en place une commission d'enquête qui passera en revue tous les aspects du match pour situer les responsabilités.Je crois qu'il y avait deux ministres, c'est ça ? Dans les gradins ?C'est vrai, il y avait deux ministres, celui de l'Agriculture et celui des Sports.Est-ce que ces deux ministres ont été empêchés de quitter les lieux ? Et est-ce la raison pour laquelle les forces de l'ordre ont tiré des gaz lacrymogènes sur les supporteurs ? Je ne pense pas, mais les enquêtes nous permettront de nous édifier sur tout cela.Mais pourquoi les forces de sécurité ont-elles tiré des gaz lacrymogènes sur les supporteurs dans un endroit fermé ? C'est très dangereux…Vous savez, c'est tout à fait vrai ce que vous dites. Mais la bêtise humaine, la fatalité, parfois l'incompétence dans une ambiance de surexcitation et aussi d'impréparation… La mal gouvernance, elle est globale. C'est la raison pour laquelle le comité de crise qui a été institué s'est retrouvé tout à l'heure et il a été indiqué, premièrement, de ne plus utiliser, sauf accord formel, le nom et l'image du président de la République dans l'organisation de quelques activités sportives, quelles qu'elles soient. Deuxièmement, que toute manifestation, qu'elle soit festive ou autre, doit être dument encadrée. Et le dernier point, la commission d'enquête est totalement responsable et en toute indépendance pour mener les enquêtes aujourd'hui.Et si des responsabilités sont établies au niveau des autorités de Nzérékoré ou au niveau des autorités nationales, est-ce que ces personnes responsables seront traduites en justice ? Bien entendu, puisque l'intérêt de la commission d'enquête, c'est d'avoir la vérité sur cette affaire.Alors la vérité, c'est d'abord le bilan des victimes. Quel est le bilan des morts ? Bon, c'est vrai qu'il y a eu des personnes qui ont été amenées dans les hôpitaux et selon les sources hospitalières, il y a 56 morts, nous sommes à ce niveau-là. Toutefois, il faut que des enquêtes nous permettent de savoir : est-ce qu'il y a eu des personnes blessées ou mortes qui ont été soustraites du circuit des hôpitaux et qui pourraient se retrouver parmi le lot des victimes ? Quoi qu'il en soit, le gouvernement guinéen, à tous les niveaux, est soucieux d'avoir une idée claire de l'arithmétique des personnes qui sont décédées. Nulle intention de sous-estimer ou de surévaluer le nombre de morts.Le Collectif des organisations de défense des droits humains de la région de Nzérékoré a estimé le bilan à 135 morts. C'est un bilan qui vous paraît crédible ? Je pense qu'il est trop tôt pour se prononcer. Mais quoi qu'il en soit, on est tout à fait attentif à se dire qu'il y a eu trop de morts.Alors le match de dimanche dernier, c'était la finale d'un tournoi de football doté du trophée Mamadi Doumbouya, du nom du président de la transition. Est-ce que vous ne craignez pas que le drame de dimanche dernier ne casse la dynamique dont essayait de bénéficier le président de la transition ? C'est la raison pour laquelle, tout à l'heure, au niveau du comité de crise, il a été interdit de manière formelle d'utiliser le nom et l'image du président de la République dans le cadre d'activités qui n'auraient pas eu une autorisation formelle des services de la présidence.Et si, par exemple, il avait l'intention de se porter candidat [à la prochaine présidentielle], ça ne le fera pas changer d'avis ?Je pense que les deux sujets sont totalement différents. Il n'y a pas de lien de causalité entre la situation tragique qui s'est passée dimanche dernier à Nzérékoré et la façon du président de la République de penser sa mission et sa charge vis-à-vis du peuple de Guinée.
Så blev det december, og det betyder at vi i denne uges udsendelse er kommet i julestemning. Derfor prøver vi at kigge på nogle af de mest populære danske julesange gennem årene. Vi har tidligere lavet et afsnit med sange fra danske TV-julekalendere, men nu er det altså blevet tid til at tage fat i de helt traditionelle juleklassikere. Det bliver til masser af fantastiske julehits fra både MC Einar, Gasolin', Drengene Fra Angora, Søs Fenger og Thomas Helmig, Otto Brandenburg, Lukas Graham, Shu-bi-dua, Juice, S.O.A.P., Christina Undhjem & Remee, og minsandten om ikke også de kære Disneyland After Dark kigger forbi. Derudover prøver vi at blive klogere på hvilket julenummer Andy hører mest på herretoiletter, vi mindes julekalenderen med Poul & Nulle i hullet, vi overvejer om Gnags måske har inspireret selveste Steven Spielberg, vi printer A4-ark sammen med Johanne Møllehave, vi stiller spørgsmålstegn ved de nye Far Til Fire film, vi tager tilbage til Café Ketchup-tiden med Peter Asschenfeldt og så undrer vi os over, hvorfor der ikke kom en smuk juleduet mellem Axel Juhl-Jørgensen og Bøje Nielsen tilbage i slutfirserne. Playliste: Sheet Music Singer - Skiddy-Mer-Rink-A-Doo Otto Brandenburg med Spilopperne - Søren Banjomus Gasolin' - Endelig jul igen Shu-bi-dua - Rap jul Shu-bi-dua - Den himmelblå Gnags - Gnags' julesang Disneyland After Dark - Sad sad X-mas MC Einar - Jul det' cool Søs Fenger og Thomas Helmig - Når sneen falder Tommy Seeback & Annette Heick - Vi ønsker jer alle en glædelig jul Anne Linnet - Lille Messias Bossen & Bumsen - Op til jul Diskofil - Julebal i Nisseland You Know Who - Finally it's Christmas again Juice/S.O.A.P./Christina feat. Remee - Let love be love Drengene Fra Angora - Jul i Angora Lukas Graham - Here (for Christmas) The Raveonettes - The Christmas song
Le mythique groupe Les Deschiens se confesse sur les émissions cultes de Canal+ : des Guignols de l'info à Nulle part ailleurs, révélation et anecdotes croustillantes au programme ! Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes préférées.
Vous écoutez le podcast "Les interviews Histoire", notre émission hebdomadaire gratuite pour tous. Abonnez-vous à "Timeline 5.000 ans d'Histoire" et accédez à environ 350 podcasts d'1 heure pour seulement 2€ par mois sans Pub ! Avec une nouvelle émission chaque semaine : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Naissance de la liberté : une autre histoire du XVIIIe siècle.13 février 1689. Réunis au palais de Whitehall, les membres du Parlement d'Angleterre procèdent à l'intronisation de Guillaume d'Orange et de son épouse Marie. Une révolution est à l'œuvre : lue devant le couple princier, la Déclaration des droits réaffirme solennellement les privilèges parlementaires menacés par les empiètements de la prérogative royale. Appelé à séduire l'Europe des Lumières, le modèle politique anglais a vu le jour.4 juillet 1776. Par la voie de leurs représentants au Congrès de Philadelphie, les colons britanniques rompent les amarres avec la mère patrie. L'acte de naissance des États-Unis d'Amérique, la Déclaration d'indépendance, fait voler en éclats le modèle politique conçu sur les rives de la Tamise et pose les fondements de la république.Tournée contre l'absolutisme, cette nouvelle manière d'appréhender la chose publique a tôt fait de trouver des adeptes sur le Vieux Continent. " Nulle autorité politique qui, créée hier ou il y a mille ans, ne puisse être abrogée dans dix ans ou demain ", observe Denis Diderot. Un ordre immémorial vacille. Il ne tardera pas à trouver son nom de baptême : l'Ancien Régime. Edmond Dziembowski, notre invité par téléphone, en explore les soubresauts avec talent et livre une synthèse magistrale racontant cet autre Grand Siècle, celui des révolutions, qui prit source en Angleterre et s'acheva en France, en passant notamment par les États-Unis.
Le 30 septembre 2024 commençait le procès des “assistants parlementaires” du Rassemblement national. Accusées de détournement d'argent public, vingt-cinq personnes dont Marine Le Pen, sont soupçonnées d'avoir mis en place, entre 2004 et 2016, un « système de détournement » de l'argent versé par l'Union européenne (UE) destiné à l'embauche de collaborateurs parlementaires. Selon le réquisitoire des procureurs, la cheffe de file de l'extrême droite risque cinq ans de prison dont trois avec sursis, 300 000 euros d'amende et donc cinq ans d'inéligibilité avec exécution provisoire. Une menace qui détruirait ses ambitions présidentielles pour 2027. Invitée sur le plateau du JT de TF1 le vendredi 15 novembre 2024, la cheffe de file du RN a évoqué une “peine de mort politique”.Pour Alexis Corbières, invité des 4 vérités le 16 novembre 2024, il est hors de question que la fille de Jean-Marie Le Pen n'ait le droit à un traitement de faveur sous prétexte que onze millions de Français pourraient voter pour elle à la prochaine élection présidentielle. “Nulle ne peut se prévaloir d'un statut social particulier” face à la justice, rappelle le député de Seine-Saint-Denis. “Le problème de madame Le Pen, c'est qu'elle ne plaide pas son innocence”, exprime l'élu de gauche qui tient à ce que la présidente du groupe RN à l'Assemblée soit jugée sans traitement particulier. “C'est l'application de la loi qui a été évoqué dans le réquisitoire”, assure-t-il à Jeff Wittenberg. Un avis qui ne semble pas être complètement partagé par son ancien ami, Jean-Luc Mélanchon, qui a déclaré sur les réseaux sociaux : “Une peine d'inéligibilité ne doit pas être appliquée avant l'expiration de tous les recours prévus par la loi, sinon cela aggrave la crise politique.”De son côté, l'élu du 93 mentionne la possibilité de recours pour Marine Le Pen, tout en se demandant si cela serait judicieux que la décision de justice soit rendue seulement quelques mois avant les élections présidentielles. Pour lui, la temporalité longue des recours pourrait avoir “des conséquences politiques encore plus déflagratrices.” L'élu du groupe Écologiste et Social défend l'égalité de tous devant la loi : “Je ne suis pas pour qu'il y ait une espèce de caste présidentielle de certaines personnes qui disent ‘je suis candidat, je représente un certain nombre de voix donc la loi ne s'applique pas à moi'.” Il rappelle que, quoi qu'il arrive, le parti du Rassemblement national pourra être représenté aux élections. Face aux menaces des répercussions d'une peine d'inéligibilité de la cheffe de file du RN, le compagnon de Raquel Garrido conteste : “Une décision de justice doit-elle être rendue à l'aune des conséquences politiques qu'elle entraîne ? Ce serait fou !” Le procès dit des “assistants parlementaires” doit se dérouler jusqu'au 27 novembre 2024.La loi sur le budget 2025 renvoyée au SénatAlors que la loi sur le budget 2025 est discuté à l'Assemblée depuis le début du mois d'octobre 2024, celle-ci a finalement été rejetée le 12 novembre 2024 par une majorité de députés. Un échec pour le Nouveau Front populaire qui, grâce à une série de victoires sur les amendements, avait réussi à remanier le texte. “On pouvait dégager 58 milliards de recettes”, regrette Alexis Corbières qui pointe le fait que les débutés du Rassemblement national n'ont pas soutenu un texte s'en prenant aux plus riches. Le jeudi 14 novembre 2024, Michel Barnier a, quant à lui, évoqué la possibilité d'un 49.3 pour faire adopter cette loi sur le budget 2025.
Pour ce nouvel épisode, j'accueille au micro Louise pour parler de dyslexie. La dyslexie touche 5 à 10% de la population française, soit 3 à 6 millions de personnes. C'est un trouble de l'apprentissage qui affecte la lecture, l'écriture et parfois le langage.Louise nous raconte comment elle a grandi sans comprendre pourquoi lire et orthographier était si difficile pour elle, et si simple pour les autres. Une lenteur qui a mis à mal sa confiance en elle et ses capacités, jusqu'au diagnostic final posé à ses 30 ans.Vous écoutez En Crise, le podcast pour aider à remettre du sens quand il n'y en a plus.Merci Louise pour ta confiance. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:13:37 - L'INVITE franceinfo soir - A la veille du discours de politique générale du Premier ministre, le député et ancien ministre du Budget ne pense pas que de nouvelles contributions temporaires puissent améliorer les finances de l'Etat. Il demande des mesures structurelles.
C dans l'air du 28 septembre - Liban : Israël décapite le HezbollahHassan Nasrallah est mort. L'armée israélienne a annoncé avoir éliminé le tout puissant chef du Hezbollah lors d'un intense bombardement à Beyrouth la nuit dernière. Elle a affirmé sur X qu'il "ne serait plus en mesure de terroriser le monde". La milice chiite libanaise a confirmé aujourd'hui la mort de celui qui la dirigeait depuis 1992. Sa mort est un coup de tonnerre, mais ses conséquences restent encore incertaines. La réaction de l'Iran, principal soutient du Hezbollah, ne s'est pas faite attendre : "La ligne glorieuse du chef de la résistance, Hassan Nasrallah, se poursuivra", a affirmé Téhéran. Sa mort "rend le monde plus sûr", a pour sa part commenté l'armée israélienne.Pour parvenir à éliminer l'un de ses pires ennemis, l'Etat hébreu n'a fait de détail. La banlieue sud de Beyrouth, fief du Hezbollah, a été intensément bombardée.Dans la capitale du Liban, comme ailleurs dans le pays, les jours se suivent et se ressemblent, marquée par les nombreuses frappes de l'armée israélienne.Si Tsahal annonce prendre pour cible le centre de commandement de son ennemi et ses dépôts d'armes, les dommages sont très conséquents et le bilan humain est lourd. Les frappes israéliennes ont fait plus de 700 morts depuis lundi, selon un décompte des autorités libanaises. Sur place, les habitants ne peuvent que constater les dégâts. Face au péril, certains ont dû être déplacés. Ils n'ont pas de mot assez dur contre leur ennemi juré. Leur colère, immense, n'a d'égale que leur détresse alors que, comme à Gaza, ils estiment que la communauté internationale ferme les yeux.Qu'importe l'émotion suscitée. Pour le gouvernement de Benyamin Netanyahou, le coup porté au Hezbollah justifie la stratégie militaire employée. L'armée de l'Etat hébreu a tué la quasi-totalité des dirigeants politiques et militaires de son grand ennemi du Nord. Le Hezbollah est-il encore capable d'une réplique d'ampleur.On estime que le Hezbollah dispose de dizaines de milliers de combattants entraînés et armés. L'organisation a le soutien de l'Iran, qui la finance et qui l'arme de dizaines de milliers de roquettes. Mais que pèse militairement la milice aujourd'hui ?Nulle doute qu'elle est très affaiblie après la mort de celui qui était son chef charismatique depuis 1992. Il faisait l'objet d'un véritable culte de la personnalité parmi ses fidèles. Considéré comme l'homme le plus puissant du Liban, il vivait dans la clandestinité depuis des années.Pour les quelque 60 000 Israéliens évacuées de Galilée, au nord de leur pays, sa mort est une victoire. Ils ont quitté leur foyer sous la menace des tirs de roquettes du Hezbollah.Une équipe de C dans l'air s'est rendue dans un hôtel de Tel Aviv, où des déplacés soutiennent l'offensive en cours au Liban. Car l'Etat hébreu, en attaquant la milice libanaise, s'est donné pour mission de permettre leur retour en sécurité. Beaucoup d'entre eux, qu'ils aiment ou pas Netanyahou, le soutiennent dans sa stratégie d'aller jusqu'à l'éradication du Hezbollah, tout comme du Hamas. C'est pour eux une question de survie. Le traumatisme du 7 octobre est toujours présent.Quelles seront les conséquences de la mort d'Hassan Nasrallah ?Quelle est aujourd'hui la force militaire du Hezbollah ?Que pensent les Israéliens de l'offensive en cours au Liban ? Les experts :- Général Patrick DUTARTRE - Général de l'armée de l'Air et de l'Espace - Ancien pilote de chasse- Rym MOMTAZ - Chercheuse en géopolitique - Institut international pour les études stratégiques (IISS)- Soulayma MARDAM BEY - Journaliste – « L'Orient-Le jour »- Patricia ALLÉMONIÈRE - Ancienne grand reporter - Spécialiste des questions internationales - Auteure de « Au coeur du chaos »PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Jésus est en vous et avec vous
durée : 00:05:10 - Dans la playlist de France Inter - La santé mentale, on en parle beaucoup depuis le Covid, comme si la pandémie avait libéré la parole mais peu l'ont mise en chanson. Yoa, jeune chanteuse française prend le sujet à bras le corps.
durée : 02:25:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Eastwood par lui-même. En septembre 2000, le cinéaste Clint Eastwood se livre dans un entretien fleuve au micro de Nicolas Saada et Serge Toubiana dans l'émission "Radio Libre". Il raconte son enfance, ses influences et la façon dont il fabrique ses films. - invités : Clint Eastwood Acteur et réalisateur; Tonie Marshall; Claire Denis Réalisatrice; Olivier Assayas Réalisateur, scénariste
durée : 00:05:13 - Tanguy Pastureau maltraite l'info - par : Tanguy Pastureau - A la surprise de Tanguy même "Echappées Belles" sur France 5, une émission qu'on pourrait penser consensuelle, a été récemment visée par une polémique !
Invitée de Culture médias à l'occasion de sa série de concerts exceptionnels à l'occasion des 15 ans de la sortie de son premier album éponyme, Cœur de Pirate revient sur son expérience dans l'émission "Danse avec les stars".
La figure polarisante du Premier ministre Narendra Modi concentre l'attention, mais ce sont d'abord des députés locaux que les électeurs Indiens, environ un milliard, sont appelés à choisir. Une classe politique qui peine à se renouveler, même si des candidats plus jeunes tentent de rejoindre le Parlement. Ce fut l'irruption de Narendra Modi sur la scène politique nationale qui a poussé Tejasvi Surya, un des plus jeunes députés du pays lors des législatives de 2019, à s'engager. « La jeunesse indienne était frustrée du parti du Congrès, de nombreuses affaires de corruption avaient écorné l'image des politiciens. J'ai été séduit par Narendra Modi qui promettait de rompre avec ces pratiques et j'ai fait campagne pour lui à 23 ans », se souvient-il. Dix ans plus tard, Tejasvi Surya est une des étoiles montantes du BJP et se présente à nouveau dans la ville de Bangalore.À Calcutta, à 1 871 kilomètres de là, Saira Shah Halim s'est, elle aussi, engagée après l'élection de Narendra Modi, mais pas pour le soutenir. « J'ai grandi dans une famille de gauche où l'on parlait de politique dès le petit déjeuner ! Mon ADN est laïque et démocratique. Donc j'ai manifesté contre l'abolition de l'autonomie du Cachemire musulman ou les lois réservant la citoyenneté aux réfugiés non musulmans », déclare cette jeune militante avec fierté.À 45 ans, elle est candidate pour le Parti communiste indien marxiste et s'inquiète d'une dérive autoritaire du parti au pouvoir, menaçant la démocratie. Tejasvi Surya balaie ces craintes : « Nulle part, vous ne verrez autant de citoyens se passionner pour l'exercice démocratique comme en Inde. Vous me rencontrez dans le Karnataka, où le Parti du Congrès vient de renverser le BJP. La preuve d'un système multipartite en bonne santé ! »À lire aussiInde: tout savoir sur les élections législatives dans la plus grande démocratie du mondeSi l'étiquette politique joue un rôle, c'est d'abord dans leurs circonscriptions que les députés doivent parler aux électeurs. Saira Shah Halim veut améliorer le réseau sanitaire local et Tejasvi Surya vante, lui, son premier mandat : « Nous avons ouvert 100 kilomètres de lignes de métro pour endiguer les terribles embouteillages de Bangalore. Dans ma circonscription, 130 pharmacies vendent désormais des médicaments génériques accessibles à tous », énumère le jeune député.Les deux candidats s'accordent au moins sur une chose : le besoin de rajeunir le Parlement, où l'âge moyen des députés est de 54 ans. On y trouve par ailleurs seulement 77 femmes sur 573 sièges. « Je fais face à la misogynie, déplore Saira Shah Halim. Parce que je suis musulmane, certains pensent que je suis conservatrice et d'autres, au contraire, n'aiment pas que je porte un jean en tant que femme ! Mais ce n'est pas grave, les jeunes doivent s'imposer, en portant fort leurs convictions. » Les jeunes sont ceux qui votent le moins, d'autant qu'ils déménagent pour leurs études loin de leurs bureaux de vote. Ils perçoivent aussi les politiques comme des opportunistes. Le 4 juin, jour des résultats, après un mois et demi de vote réparti à travers tout le pays, Tejasvi Surya et Saira Shah Halim sauront s'ils intègrent le Parlement de New Delhi où ils auront, nul doute, des échanges animés ! À lire aussiÉlections en Inde: la bataille des minorités de l'Uttar Pradesh pour être représentées au Parlement
durée : 00:05:24 - Tanguy Pastureau maltraite l'info - par : Tanguy Pastureau - La Tchétchénie sera la prochaine destination vacances de Tanguy.
durée : 00:03:18 - Le Billet de Charline Vanhoenacker - par : Charline Vanhoenacker - Hier à l'Assemblée, Gabriel Attal a répondu seul, à la place des ministres, aux questions des députés. Il en sera ainsi pendant cinq semaines, voire plus si l'expérience est concluante.
durée : 00:03:18 - Le Billet de Charline Vanhoenacker - par : Charline Vanhoenacker - Hier à l'Assemblée, Gabriel Attal a répondu seul, à la place des ministres, aux questions des députés. Il en sera ainsi pendant cinq semaines, voire plus si l'expérience est concluante.
Rubrique:animaux Auteur: rachel-decarreau Lecture: Christiane-JehanneDurée: 40min Fichier: 38 Mo Résumé du livre audio: Très joli conte… Fantastique. Un éleveur et un propriétaire de chevaux de course font affaire quand apparaît un superbe cheval blanc… Magnifique histoire pour la protection animale. « — Vraiment heureux ? Heureux parce que tu donnes du bonheur aux autres ? Non, Sirrah. T'es-tu jamais inquiété d'autre chose que du bien-être matériel de ceux qui t'entourent ? Que sais-tu de leurs pensées, de leurs désirs intimes, ces désirs que ni l'argent, ni la gloire ne peuvent satisfaire ? Tes caresses ont-elles jamais été autre chose que de pauvres et futiles flatteries, vite exécutées, promptement oubliées ? Non, Sirrah, tu n'es pas heureux, pas vraiment heureux. Je vais t'apprendre le bonheur. Lorsque tu m'aimeras, enfin tu sauras rendre la vraie justice à tes chevaux, ces compagnons de ma galaxie d'Andromède ! — Je ne comprends rien à ton discours, Snow ! D'ailleurs est-ce raisonnable de parler avec toi ? Est-ce que je parle réellement ? Ne suis-je pas en plein rêve ? — Non, tu ne rêves pas, Sirrah ! Tu es bien en train de me chevaucher et je t'emmène… — Nulle part, Snow ! Maintenant, arrête-toi !… Oh… Oh !… — Non, tu n'es pas mon maître et ne le seras jamais, Sirrah. Tâche seulement de ne pas me perdre… — Snow ! Arrête ! Où vas-tu ? Snow !… » Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Christine Bravo pensait avoir une technique pour réussir facilement la table de 9. C'est raté ! Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.
Le Centre culturel Rapadou, établi à Carrefour-Feuilles en 2020, annonce le lancement de la deuxième édition de son festival de théâtre intitulé « Voix de rue ». Cette édition se tiendra à Port-au-Prince et à Jacmel du 12 au 17 mars 2024. La comédienne Katiana Milfort sera l'invitée d'honneur, et le thème de cette édition sera « Nulle part ». Invité : Wisvel Mondélice, responsable de communication du festival. Programmation musicale : - Zikiki Yizra'El & Madmix – Ouvè baryè a- Moonlight Benjamin – Haut là-haut.
Ce mardi 30 janvier, la croissance nulle au quatrième trimestre de la France sur l'année 2023, ainsi que la perspective d'une baisse de taux de la BCE après deux ans de resserrements monétaires, ont été abordées par Isabelle Job-Bazille, directrice des études économiques de Crédit-Agricole SA, Gaëlle Macke, directrice déléguée de la rédaction de Challenges, et Éric Chaney, conseiller économique de l'Institut Montaigne, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:03:44 - La chronique de Djamil le Shlag - par : Djamil Le Shlag - Djamil Le Shlag se désole de voir que les Français ne font plus confiance aux médias. L'occasion pour lui d'évoquer la question de la déontologie journalistique (que devrait bien se poser Pascal Praud), et son amour pour Mediapart.
durée : 00:29:00 - Poésie et ainsi de suite - par : Manou Farine - Au Québec on dit "l'île Moukmouk", en Italie "Canicatti", aux États-Unis "Kalamazoo", en Grèce "Kolopetinitsa", en Algérie "Bab-el-Oued"... Et si chaque langue et chaque société avaient leur Pétaouchnok ? Déconstruction des bouts du monde avec l'anthropologue Riccardo Ciavolella.
durée : 01:00:18 - Fictions / Théâtre et Cie - Le second volet de ce cycle au long cours, grand ensemble dramatique exclusivement composé de pièces de 30 minutes, en 3 mouvements, pour 3 interprètes.
durée : 01:00:18 - Fictions / Théâtre et Cie - Le second volet de ce cycle au long cours, grand ensemble dramatique exclusivement composé de pièces de 30 minutes, en 3 mouvements, pour 3 interprètes.
durée : 00:03:44 - La chronique de Djamil le Shlag - par : Djamil le Shlag - Djamil Le Shlag se désole de voir que les Français ne font plus confiance aux médias. L'occasion pour lui d'évoquer la question de la déontologie journalistique (que devrait bien se poser Pascal Praud), et son amour pour Mediapart.
Femmes des années -20.000 / Madame Sapiens #2 - (6/6) Quand on pense Préhistoire, on pense glace, forêt, savane, mammouth, grands fauves. Nous voyons aussi l'homme préhistorique tel qu'il a longtemps été décrit dans les livres d'Histoire : grand, musclé, hirsute, vêtu d'une simple peau de bête, brandissant une massue, et s'apprêtant à assommer un cerf. Nulle trace, dans cette vision stéréotypée, de la compagne de l'Homo Sapiens. Mais qui était-elle, cette femme de la Préhistoire ? Une créature fragile, harcelée par une ribambelle d'enfants, et soumise à la toute-puissance du chasseur ? Ou, au contraire, une femme libre, forte et pleinement intégrée dans le clan ? La femme a été naturellement oubliée du grand livre de la Préhistoire. Réduite au rang « d'éternelle mineure », la femme « pécheresse » était considérée par les hommes de la Troisième république comme dangereuse et pernicieuse. Cette créature diabolique devait être étroitement surveillée de sa naissance à sa mort, passant successivement de la tutelle de son père, de son mari et de ses fils. Les premiers préhistoriens sont alors persuadés que le monde fonctionnait déjà de cette manière au temps de nos ancêtres. Dans la société du XIXe siècle, les choses sont claires et nettes : la femme reste à la maison, ce sont les hommes qui jouent un rôle économique et social important. Donc, tout naturellement, on a pensé qu'il en allait de même au Paléolithique : l'homme chasseur qui fait avancer l'humanité, grâce à la chasse de grands mammifères, tandis que la femme, gardienne du foyer, s'occupe des enfants. Les recherches récentes viennent contredire les enseignements et les préjugés des préhistoriens du XIXe siècle. En s'appuyant sur les vestiges matériels, l'analyse des ossements et l'observation attentive des représentations sculptées ou pariétales, les chercheurs du XXIe siècle parviennent à dresser un portrait réaliste de la femme préhistorique. Soudain, elle reprend vie, devant leurs yeux, bien différente de la vision que l'on s'en faisait il n'y a pas si longtemps. Débarrassée des stéréotypes et des clichés, elle retrouve le pouvoir de la parole, et nous raconte sa véritable histoire.
Femmes des années -20.000 / Madame Sapiens #2 - (5/6) Quand on pense Préhistoire, on pense glace, forêt, savane, mammouth, grands fauves. Nous voyons aussi l'homme préhistorique tel qu'il a longtemps été décrit dans les livres d'Histoire : grand, musclé, hirsute, vêtu d'une simple peau de bête, brandissant une massue, et s'apprêtant à assommer un cerf. Nulle trace, dans cette vision stéréotypée, de la compagne de l'Homo Sapiens. Mais qui était-elle, cette femme de la Préhistoire ? Une créature fragile, harcelée par une ribambelle d'enfants, et soumise à la toute-puissance du chasseur ? Ou, au contraire, une femme libre, forte et pleinement intégrée dans le clan ? La femme a été naturellement oubliée du grand livre de la Préhistoire. Réduite au rang « d'éternelle mineure », la femme « pécheresse » était considérée par les hommes de la Troisième république comme dangereuse et pernicieuse. Cette créature diabolique devait être étroitement surveillée de sa naissance à sa mort, passant successivement de la tutelle de son père, de son mari et de ses fils. Les premiers préhistoriens sont alors persuadés que le monde fonctionnait déjà de cette manière au temps de nos ancêtres. Dans la société du XIXe siècle, les choses sont claires et nettes : la femme reste à la maison, ce sont les hommes qui jouent un rôle économique et social important. Donc, tout naturellement, on a pensé qu'il en allait de même au Paléolithique : l'homme chasseur qui fait avancer l'humanité, grâce à la chasse de grands mammifères, tandis que la femme, gardienne du foyer, s'occupe des enfants. Les recherches récentes viennent contredire les enseignements et les préjugés des préhistoriens du XIXe siècle. En s'appuyant sur les vestiges matériels, l'analyse des ossements et l'observation attentive des représentations sculptées ou pariétales, les chercheurs du XXIe siècle parviennent à dresser un portrait réaliste de la femme préhistorique. Soudain, elle reprend vie, devant leurs yeux, bien différente de la vision que l'on s'en faisait il n'y a pas si longtemps. Débarrassée des stéréotypes et des clichés, elle retrouve le pouvoir de la parole, et nous raconte sa véritable histoire.
durée : 00:03:46 - Le Regard culturel - par : Lucile Commeaux - Petite réflexion sur ce que la théorie du "regard masculin" fait à la critique de film, à l'occasion de la diffusion d'un documentaire américain intitulé "Brainswashed - le sexisme au cinéma".
Femmes des années -20.000 / Madame Sapiens #2 - (4/6) Quand on pense Préhistoire, on pense glace, forêt, savane, mammouth, grands fauves. Nous voyons aussi l'homme préhistorique tel qu'il a longtemps été décrit dans les livres d'Histoire : grand, musclé, hirsute, vêtu d'une simple peau de bête, brandissant une massue, et s'apprêtant à assommer un cerf. Nulle trace, dans cette vision stéréotypée, de la compagne de l'Homo Sapiens. Mais qui était-elle, cette femme de la Préhistoire ? Une créature fragile, harcelée par une ribambelle d'enfants, et soumise à la toute-puissance du chasseur ? Ou, au contraire, une femme libre, forte et pleinement intégrée dans le clan ? La femme a été naturellement oubliée du grand livre de la Préhistoire. Réduite au rang « d'éternelle mineure », la femme « pécheresse » était considérée par les hommes de la Troisième république comme dangereuse et pernicieuse. Cette créature diabolique devait être étroitement surveillée de sa naissance à sa mort, passant successivement de la tutelle de son père, de son mari et de ses fils. Les premiers préhistoriens sont alors persuadés que le monde fonctionnait déjà de cette manière au temps de nos ancêtres. Dans la société du XIXe siècle, les choses sont claires et nettes : la femme reste à la maison, ce sont les hommes qui jouent un rôle économique et social important. Donc, tout naturellement, on a pensé qu'il en allait de même au Paléolithique : l'homme chasseur qui fait avancer l'humanité, grâce à la chasse de grands mammifères, tandis que la femme, gardienne du foyer, s'occupe des enfants. Les recherches récentes viennent contredire les enseignements et les préjugés des préhistoriens du XIXe siècle. En s'appuyant sur les vestiges matériels, l'analyse des ossements et l'observation attentive des représentations sculptées ou pariétales, les chercheurs du XXIe siècle parviennent à dresser un portrait réaliste de la femme préhistorique. Soudain, elle reprend vie, devant leurs yeux, bien différente de la vision que l'on s'en faisait il n'y a pas si longtemps. Débarrassée des stéréotypes et des clichés, elle retrouve le pouvoir de la parole, et nous raconte sa véritable histoire.
Femmes des années -20.000 / Madame Sapiens #2 - (3/6) Quand on pense Préhistoire, on pense glace, forêt, savane, mammouth, grands fauves. Nous voyons aussi l'homme préhistorique tel qu'il a longtemps été décrit dans les livres d'Histoire : grand, musclé, hirsute, vêtu d'une simple peau de bête, brandissant une massue, et s'apprêtant à assommer un cerf. Nulle trace, dans cette vision stéréotypée, de la compagne de l'Homo Sapiens. Mais qui était-elle, cette femme de la Préhistoire ? Une créature fragile, harcelée par une ribambelle d'enfants, et soumise à la toute-puissance du chasseur ? Ou, au contraire, une femme libre, forte et pleinement intégrée dans le clan ? La femme a été naturellement oubliée du grand livre de la Préhistoire. Réduite au rang « d'éternelle mineure », la femme « pécheresse » était considérée par les hommes de la Troisième république comme dangereuse et pernicieuse. Cette créature diabolique devait être étroitement surveillée de sa naissance à sa mort, passant successivement de la tutelle de son père, de son mari et de ses fils. Les premiers préhistoriens sont alors persuadés que le monde fonctionnait déjà de cette manière au temps de nos ancêtres. Dans la société du XIXe siècle, les choses sont claires et nettes : la femme reste à la maison, ce sont les hommes qui jouent un rôle économique et social important. Donc, tout naturellement, on a pensé qu'il en allait de même au Paléolithique : l'homme chasseur qui fait avancer l'humanité, grâce à la chasse de grands mammifères, tandis que la femme, gardienne du foyer, s'occupe des enfants. Les recherches récentes viennent contredire les enseignements et les préjugés des préhistoriens du XIXe siècle. En s'appuyant sur les vestiges matériels, l'analyse des ossements et l'observation attentive des représentations sculptées ou pariétales, les chercheurs du XXIe siècle parviennent à dresser un portrait réaliste de la femme préhistorique. Soudain, elle reprend vie, devant leurs yeux, bien différente de la vision que l'on s'en faisait il n'y a pas si longtemps. Débarrassée des stéréotypes et des clichés, elle retrouve le pouvoir de la parole, et nous raconte sa véritable histoire.
Femmes des années -20.000 / Madame Sapiens #2 - (2/6) Quand on pense Préhistoire, on pense glace, forêt, savane, mammouth, grands fauves. Nous voyons aussi l'homme préhistorique tel qu'il a longtemps été décrit dans les livres d'Histoire : grand, musclé, hirsute, vêtu d'une simple peau de bête, brandissant une massue, et s'apprêtant à assommer un cerf. Nulle trace, dans cette vision stéréotypée, de la compagne de l'Homo Sapiens. Mais qui était-elle, cette femme de la Préhistoire ? Une créature fragile, harcelée par une ribambelle d'enfants, et soumise à la toute-puissance du chasseur ? Ou, au contraire, une femme libre, forte et pleinement intégrée dans le clan ? La femme a été naturellement oubliée du grand livre de la Préhistoire. Réduite au rang « d'éternelle mineure », la femme « pécheresse » était considérée par les hommes de la Troisième république comme dangereuse et pernicieuse. Cette créature diabolique devait être étroitement surveillée de sa naissance à sa mort, passant successivement de la tutelle de son père, de son mari et de ses fils. Les premiers préhistoriens sont alors persuadés que le monde fonctionnait déjà de cette manière au temps de nos ancêtres. Dans la société du XIXe siècle, les choses sont claires et nettes : la femme reste à la maison, ce sont les hommes qui jouent un rôle économique et social important. Donc, tout naturellement, on a pensé qu'il en allait de même au Paléolithique : l'homme chasseur qui fait avancer l'humanité, grâce à la chasse de grands mammifères, tandis que la femme, gardienne du foyer, s'occupe des enfants. Les recherches récentes viennent contredire les enseignements et les préjugés des préhistoriens du XIXe siècle. En s'appuyant sur les vestiges matériels, l'analyse des ossements et l'observation attentive des représentations sculptées ou pariétales, les chercheurs du XXIe siècle parviennent à dresser un portrait réaliste de la femme préhistorique. Soudain, elle reprend vie, devant leurs yeux, bien différente de la vision que l'on s'en faisait il n'y a pas si longtemps. Débarrassée des stéréotypes et des clichés, elle retrouve le pouvoir de la parole, et nous raconte sa véritable histoire.
Femmes des années -20.000 / Madame Sapiens #2 (1/6) Quand on pense Préhistoire, on pense glace, forêt, savane, mammouth, grands fauves. Nous voyons aussi l'homme préhistorique tel qu'il a longtemps été décrit dans les livres d'Histoire : grand, musclé, hirsute, vêtu d'une simple peau de bête, brandissant une massue, et s'apprêtant à assommer un cerf. Nulle trace, dans cette vision stéréotypée, de la compagne de l'Homo Sapiens. Mais qui était-elle, cette femme de la Préhistoire ? Une créature fragile, harcelée par une ribambelle d'enfants, et soumise à la toute-puissance du chasseur ? Ou, au contraire, une femme libre, forte et pleinement intégrée dans le clan ? La femme a été naturellement oubliée du grand livre de la Préhistoire. Réduite au rang « d'éternelle mineure », la femme « pécheresse » était considérée par les hommes de la Troisième république comme dangereuse et pernicieuse. Cette créature diabolique devait être étroitement surveillée de sa naissance à sa mort, passant successivement de la tutelle de son père, de son mari et de ses fils. Les premiers préhistoriens sont alors persuadés que le monde fonctionnait déjà de cette manière au temps de nos ancêtres. Dans la société du XIXe siècle, les choses sont claires et nettes : la femme reste à la maison, ce sont les hommes qui jouent un rôle économique et social important. Donc, tout naturellement, on a pensé qu'il en allait de même au Paléolithique : l'homme chasseur qui fait avancer l'humanité, grâce à la chasse de grands mammifères, tandis que la femme, gardienne du foyer, s'occupe des enfants. Les recherches récentes viennent contredire les enseignements et les préjugés des préhistoriens du XIXe siècle. En s'appuyant sur les vestiges matériels, l'analyse des ossements et l'observation attentive des représentations sculptées ou pariétales, les chercheurs du XXIe siècle parviennent à dresser un portrait réaliste de la femme préhistorique. Soudain, elle reprend vie, devant leurs yeux, bien différente de la vision que l'on s'en faisait il n'y a pas si longtemps. Débarrassée des stéréotypes et des clichés, elle retrouve le pouvoir de la parole, et nous raconte sa véritable histoire.
Femmes des années -20.000 / Madame Sapiens #2 Quand on pense Préhistoire, on pense glace, forêt, savane, mammouth, grands fauves. Nous voyons aussi l'homme préhistorique tel qu'il a longtemps été décrit dans les livres d'Histoire : grand, musclé, hirsute, vêtu d'une simple peau de bête, brandissant une massue, et s'apprêtant à assommer un cerf. Nulle trace, dans cette vision stéréotypée, de la compagne de l'Homo Sapiens. Mais qui était-elle, cette femme de la Préhistoire ? Une créature fragile, harcelée par une ribambelle d'enfants, et soumise à la toute-puissance du chasseur ? Ou, au contraire, une femme libre, forte et pleinement intégrée dans le clan ? La femme a été naturellement oubliée du grand livre de la Préhistoire. Réduite au rang « d'éternelle mineure », la femme « pécheresse » était considérée par les hommes de la Troisième république comme dangereuse et pernicieuse. Cette créature diabolique devait être étroitement surveillée de sa naissance à sa mort, passant successivement de la tutelle de son père, de son mari et de ses fils. Les premiers préhistoriens sont alors persuadés que le monde fonctionnait déjà de cette manière au temps de nos ancêtres. Dans la société du XIXe siècle, les choses sont claires et nettes : la femme reste à la maison, ce sont les hommes qui jouent un rôle économique et social important. Donc, tout naturellement, on a pensé qu'il en allait de même au Paléolithique : l'homme chasseur qui fait avancer l'humanité, grâce à la chasse de grands mammifères, tandis que la femme, gardienne du foyer, s'occupe des enfants. Les recherches récentes viennent contredire les enseignements et les préjugés des préhistoriens du XIXe siècle. En s'appuyant sur les vestiges matériels, l'analyse des ossements et l'observation attentive des représentations sculptées ou pariétales, les chercheurs du XXIe siècle parviennent à dresser un portrait réaliste de la femme préhistorique. Soudain, elle reprend vie, devant leurs yeux, bien différente de la vision que l'on s'en faisait il n'y a pas si longtemps. Débarrassée des stéréotypes et des clichés, elle retrouve le pouvoir de la parole, et nous raconte sa véritable histoire.
Quand on pense Préhistoire, on pense glace, forêt, savane, mammouth, grands fauves. Nous voyons aussi l'homme préhistorique tel qu'il a longtemps été décrit dans les livres d'Histoire : grand, musclé, hirsute, vêtu d'une simple peau de bête, brandissant une massue, et s'apprêtant à assommer un cerf. Nulle trace, dans cette vision stéréotypée, de la compagne de l'Homo Sapiens. Mais qui était-elle, cette femme de la Préhistoire ? Une créature fragile, harcelée par une ribambelle d'enfants, et soumise à la toute-puissance du chasseur ? Ou, au contraire, une femme libre, forte et pleinement intégrée dans le clan ? La femme a été naturellement oubliée du grand livre de la Préhistoire. Réduite au rang « d'éternelle mineure », la femme « pécheresse » était considérée par les hommes de la Troisième république comme dangereuse et pernicieuse. Cette créature diabolique devait être étroitement surveillée de sa naissance à sa mort, passant successivement de la tutelle de son père, de son mari et de ses fils. Les premiers préhistoriens sont alors persuadés que le monde fonctionnait déjà de cette manière au temps de nos ancêtres. Dans la société du XIXe siècle, les choses sont claires et nettes : la femme reste à la maison, ce sont les hommes qui jouent un rôle économique et social important. Donc, tout naturellement, on a pensé qu'il en allait de même au Paléolithique : l'homme chasseur qui fait avancer l'humanité, grâce à la chasse de grands mammifères, tandis que la femme, gardienne du foyer, s'occupe des enfants. Les recherches récentes viennent contredire les enseignements et les préjugés des préhistoriens du XIXe siècle. En s'appuyant sur les vestiges matériels, l'analyse des ossements et l'observation attentive des représentations sculptées ou pariétales, les chercheurs du XXIe siècle parviennent à dresser un portrait réaliste de la femme préhistorique. Soudain, elle reprend vie, devant leurs yeux, bien différente de la vision que l'on s'en faisait il n'y a pas si longtemps. Débarrassée des stéréotypes et des clichés, elle retrouve le pouvoir de la parole, et nous raconte sa véritable histoire...
Quand on pense Préhistoire, on pense glace, forêt, savane, mammouth, grands fauves. Nous voyons aussi l'homme préhistorique tel qu'il a longtemps été décrit dans les livres d'Histoire : grand, musclé, hirsute, vêtu d'une simple peau de bête, brandissant une massue, et s'apprêtant à assommer un cerf. Nulle trace, dans cette vision stéréotypée, de la compagne de l'Homo Sapiens. Mais qui était-elle, cette femme de la Préhistoire ? Une créature fragile, harcelée par une ribambelle d'enfants, et soumise à la toute-puissance du chasseur ? Ou, au contraire, une femme libre, forte et pleinement intégrée dans le clan ? La femme a été naturellement oubliée du grand livre de la Préhistoire. Réduite au rang « d'éternelle mineure », la femme « pécheresse » était considérée par les hommes de la Troisième république comme dangereuse et pernicieuse. Cette créature diabolique devait être étroitement surveillée de sa naissance à sa mort, passant successivement de la tutelle de son père, de son mari et de ses fils. Les premiers préhistoriens sont alors persuadés que le monde fonctionnait déjà de cette manière au temps de nos ancêtres. Dans la société du XIXe siècle, les choses sont claires et nettes : la femme reste à la maison, ce sont les hommes qui jouent un rôle économique et social important. Donc, tout naturellement, on a pensé qu'il en allait de même au Paléolithique : l'homme chasseur qui fait avancer l'humanité, grâce à la chasse de grands mammifères, tandis que la femme, gardienne du foyer, s'occupe des enfants. Les recherches récentes viennent contredire les enseignements et les préjugés des préhistoriens du XIXe siècle. En s'appuyant sur les vestiges matériels, l'analyse des ossements et l'observation attentive des représentations sculptées ou pariétales, les chercheurs du XXIe siècle parviennent à dresser un portrait réaliste de la femme préhistorique. Soudain, elle reprend vie, devant leurs yeux, bien différente de la vision que l'on s'en faisait il n'y a pas si longtemps. Débarrassée des stéréotypes et des clichés, elle retrouve le pouvoir de la parole, et nous raconte sa véritable histoire...
Quand on pense Préhistoire, on pense glace, forêt, savane, mammouth, grands fauves. Nous voyons aussi l'homme préhistorique tel qu'il a longtemps été décrit dans les livres d'Histoire : grand, musclé, hirsute, vêtu d'une simple peau de bête, brandissant une massue, et s'apprêtant à assommer un cerf. Nulle trace, dans cette vision stéréotypée, de la compagne de l'Homo Sapiens. Mais qui était-elle, cette femme de la Préhistoire ? Une créature fragile, harcelée par une ribambelle d'enfants, et soumise à la toute-puissance du chasseur ? Ou, au contraire, une femme libre, forte et pleinement intégrée dans le clan ? La femme a été naturellement oubliée du grand livre de la Préhistoire. Réduite au rang « d'éternelle mineure », la femme « pécheresse » était considérée par les hommes de la Troisième république comme dangereuse et pernicieuse. Cette créature diabolique devait être étroitement surveillée de sa naissance à sa mort, passant successivement de la tutelle de son père, de son mari et de ses fils. Les premiers préhistoriens sont alors persuadés que le monde fonctionnait déjà de cette manière au temps de nos ancêtres. Dans la société du XIXe siècle, les choses sont claires et nettes : la femme reste à la maison, ce sont les hommes qui jouent un rôle économique et social important. Donc, tout naturellement, on a pensé qu'il en allait de même au Paléolithique : l'homme chasseur qui fait avancer l'humanité, grâce à la chasse de grands mammifères, tandis que la femme, gardienne du foyer, s'occupe des enfants. Les recherches récentes viennent contredire les enseignements et les préjugés des préhistoriens du XIXe siècle. En s'appuyant sur les vestiges matériels, l'analyse des ossements et l'observation attentive des représentations sculptées ou pariétales, les chercheurs du XXIe siècle parviennent à dresser un portrait réaliste de la femme préhistorique. Soudain, elle reprend vie, devant leurs yeux, bien différente de la vision que l'on s'en faisait il n'y a pas si longtemps. Débarrassée des stéréotypes et des clichés, elle retrouve le pouvoir de la parole, et nous raconte sa véritable histoire...
Quand on pense Préhistoire, on pense glace, forêt, savane, mammouth, grands fauves. Nous voyons aussi l'homme préhistorique tel qu'il a longtemps été décrit dans les livres d'Histoire : grand, musclé, hirsute, vêtu d'une simple peau de bête, brandissant une massue, et s'apprêtant à assommer un cerf. Nulle trace, dans cette vision stéréotypée, de la compagne de l'Homo Sapiens. Mais qui était-elle, cette femme de la Préhistoire ? Une créature fragile, harcelée par une ribambelle d'enfants, et soumise à la toute-puissance du chasseur ? Ou, au contraire, une femme libre, forte et pleinement intégrée dans le clan ? La femme a été naturellement oubliée du grand livre de la Préhistoire. Réduite au rang « d'éternelle mineure », la femme « pécheresse » était considérée par les hommes de la Troisième république comme dangereuse et pernicieuse. Cette créature diabolique devait être étroitement surveillée de sa naissance à sa mort, passant successivement de la tutelle de son père, de son mari et de ses fils. Les premiers préhistoriens sont alors persuadés que le monde fonctionnait déjà de cette manière au temps de nos ancêtres. Dans la société du XIXe siècle, les choses sont claires et nettes : la femme reste à la maison, ce sont les hommes qui jouent un rôle économique et social important. Donc, tout naturellement, on a pensé qu'il en allait de même au Paléolithique : l'homme chasseur qui fait avancer l'humanité, grâce à la chasse de grands mammifères, tandis que la femme, gardienne du foyer, s'occupe des enfants. Les recherches récentes viennent contredire les enseignements et les préjugés des préhistoriens du XIXe siècle. En s'appuyant sur les vestiges matériels, l'analyse des ossements et l'observation attentive des représentations sculptées ou pariétales, les chercheurs du XXIe siècle parviennent à dresser un portrait réaliste de la femme préhistorique. Soudain, elle reprend vie, devant leurs yeux, bien différente de la vision que l'on s'en faisait il n'y a pas si longtemps. Débarrassée des stéréotypes et des clichés, elle retrouve le pouvoir de la parole, et nous raconte sa véritable histoire...
Quand on pense Préhistoire, on pense glace, forêt, savane, mammouth, grands fauves. Nous voyons aussi l'homme préhistorique tel qu'il a longtemps été décrit dans les livres d'Histoire : grand, musclé, hirsute, vêtu d'une simple peau de bête, brandissant une massue, et s'apprêtant à assommer un cerf. Nulle trace, dans cette vision stéréotypée, de la compagne de l'Homo Sapiens. Mais qui était-elle, cette femme de la Préhistoire ? Une créature fragile, harcelée par une ribambelle d'enfants, et soumise à la toute-puissance du chasseur ? Ou, au contraire, une femme libre, forte et pleinement intégrée dans le clan ? La femme a été naturellement oubliée du grand livre de la Préhistoire. Réduite au rang « d'éternelle mineure », la femme « pécheresse » était considérée par les hommes de la Troisième république comme dangereuse et pernicieuse. Cette créature diabolique devait être étroitement surveillée de sa naissance à sa mort, passant successivement de la tutelle de son père, de son mari et de ses fils. Les premiers préhistoriens sont alors persuadés que le monde fonctionnait déjà de cette manière au temps de nos ancêtres. Dans la société du XIXe siècle, les choses sont claires et nettes : la femme reste à la maison, ce sont les hommes qui jouent un rôle économique et social important. Donc, tout naturellement, on a pensé qu'il en allait de même au Paléolithique : l'homme chasseur qui fait avancer l'humanité, grâce à la chasse de grands mammifères, tandis que la femme, gardienne du foyer, s'occupe des enfants. Les recherches récentes viennent contredire les enseignements et les préjugés des préhistoriens du XIXe siècle. En s'appuyant sur les vestiges matériels, l'analyse des ossements et l'observation attentive des représentations sculptées ou pariétales, les chercheurs du XXIe siècle parviennent à dresser un portrait réaliste de la femme préhistorique. Soudain, elle reprend vie, devant leurs yeux, bien différente de la vision que l'on s'en faisait il n'y a pas si longtemps. Débarrassée des stéréotypes et des clichés, elle retrouve le pouvoir de la parole, et nous raconte sa véritable histoire...
Quand on pense Préhistoire, on pense glace, forêt, savane, mammouth, grands fauves. Nous voyons aussi l'homme préhistorique tel qu'il a longtemps été décrit dans les livres d'Histoire : grand, musclé, hirsute, vêtu d'une simple peau de bête, brandissant une massue, et s'apprêtant à assommer un cerf. Nulle trace, dans cette vision stéréotypée, de la compagne de l'Homo Sapiens. Mais qui était-elle, cette femme de la Préhistoire ? Une créature fragile, harcelée par une ribambelle d'enfants, et soumise à la toute-puissance du chasseur ? Ou, au contraire, une femme libre, forte et pleinement intégrée dans le clan ? La femme a été naturellement oubliée du grand livre de la Préhistoire. Réduite au rang « d'éternelle mineure », la femme « pécheresse » était considérée par les hommes de la Troisième république comme dangereuse et pernicieuse. Cette créature diabolique devait être étroitement surveillée de sa naissance à sa mort, passant successivement de la tutelle de son père, de son mari et de ses fils. Les premiers préhistoriens sont alors persuadés que le monde fonctionnait déjà de cette manière au temps de nos ancêtres. Dans la société du XIXe siècle, les choses sont claires et nettes : la femme reste à la maison, ce sont les hommes qui jouent un rôle économique et social important. Donc, tout naturellement, on a pensé qu'il en allait de même au Paléolithique : l'homme chasseur qui fait avancer l'humanité, grâce à la chasse de grands mammifères, tandis que la femme, gardienne du foyer, s'occupe des enfants. Les recherches récentes viennent contredire les enseignements et les préjugés des préhistoriens du XIXe siècle. En s'appuyant sur les vestiges matériels, l'analyse des ossements et l'observation attentive des représentations sculptées ou pariétales, les chercheurs du XXIe siècle parviennent à dresser un portrait réaliste de la femme préhistorique. Soudain, elle reprend vie, devant leurs yeux, bien différente de la vision que l'on s'en faisait il n'y a pas si longtemps. Débarrassée des stéréotypes et des clichés, elle retrouve le pouvoir de la parole, et nous raconte sa véritable histoire...
Quand on pense Préhistoire, on pense glace, forêt, savane, mammouth, grands fauves. Nous voyons aussi l'homme préhistorique tel qu'il a longtemps été décrit dans les livres d'Histoire : grand, musclé, hirsute, vêtu d'une simple peau de bête, brandissant une massue, et s'apprêtant à assommer un cerf. Nulle trace, dans cette vision stéréotypée, de la compagne de l'Homo Sapiens. Mais qui était-elle, cette femme de la Préhistoire ? Une créature fragile, harcelée par une ribambelle d'enfants, et soumise à la toute-puissance du chasseur ? Ou, au contraire, une femme libre, forte et pleinement intégrée dans le clan ? La femme a été naturellement oubliée du grand livre de la Préhistoire. Réduite au rang « d'éternelle mineure », la femme « pécheresse » était considérée par les hommes de la Troisième république comme dangereuse et pernicieuse. Cette créature diabolique devait être étroitement surveillée de sa naissance à sa mort, passant successivement de la tutelle de son père, de son mari et de ses fils. Les premiers préhistoriens sont alors persuadés que le monde fonctionnait déjà de cette manière au temps de nos ancêtres. Dans la société du XIXe siècle, les choses sont claires et nettes : la femme reste à la maison, ce sont les hommes qui jouent un rôle économique et social important. Donc, tout naturellement, on a pensé qu'il en allait de même au Paléolithique : l'homme chasseur qui fait avancer l'humanité, grâce à la chasse de grands mammifères, tandis que la femme, gardienne du foyer, s'occupe des enfants. Les recherches récentes viennent contredire les enseignements et les préjugés des préhistoriens du XIXe siècle. En s'appuyant sur les vestiges matériels, l'analyse des ossements et l'observation attentive des représentations sculptées ou pariétales, les chercheurs du XXIe siècle parviennent à dresser un portrait réaliste de la femme préhistorique. Soudain, elle reprend vie, devant leurs yeux, bien différente de la vision que l'on s'en faisait il n'y a pas si longtemps. Débarrassée des stéréotypes et des clichés, elle retrouve le pouvoir de la parole, et nous raconte sa véritable histoire...