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En octobre1651, la population de Montréal (alors Ville-Marie) ne comptait plus qu'une cinquantaine de personnes. Les raids iroquois se multipliaient, la survie de Ville-Marie ne tenait plus qu'à un fil. Deux ans plus tard, en novembre1653, une centaine de colons sont arrivés dans la colonie. L'historienne Catherine Ferland raconte comment la grande recrue a assuré l'avenir de Montréal.
Pendant longtemps, les Filles du roi ont été décrites comme des filles de joie. Pourtant, la réalité est tout autre. L'historienne Catherine Ferland explique pourquoi leur place dans l'imaginaire collectif de la Nouvelle-France est considérable.
Alors que le temps des sucres, ce moment de récolte de l'eau d'érable typiquement québécois, bat son plein, partons tout autour de Montréal et de cet arbre de vie et d'eau sucrée qui a façonné les paysages, la culture et le goût de la belle province. Au Québec, l'érable et son sirop sont un puissant symbole identitaire, que l'on retrouve à la fois dans l'assiette sur les pancakes, dans les magasins de souvenirs ou les forêts, mais surtout, dans les mémoires de chaque Québécois et Québécoise, qui vont toujours se rappeler ému.e.s de la fin de l'hiver et du printemps naissant, en famille, à la cabane à sucre. Le Canada a fait de la feuille d'érable son emblème national. Et au Québec, premier producteur de sirop d'érable au monde, c'est une réalité économique, culturelle et naturelle partout présente. Là-bas, on peut d'ailleurs parler de civilisation de l'érable, au même titre que l'olivier dans le bassin méditerranéen. Il faut dire que l'érable -et son sucre- raconte l'histoire du pays, le métissage entre la science des autochtones qui ont découvert la sève d'érable et les chaudrons des colons qui l'ont fait bouillir, sur l'exemple des autochtones. Il dit l'enracinement des hommes sur ces territoires aux hivers rigoureux que le sucre aidait à tenir. Il parle de la richesse et de la beauté des érablières, quelles que soient la saison et les couleurs. Il raconte le peuple et les repas roboratifs, le fragile équilibre aussi que l'on doit maintenir avec cette nature nourricière. Il s'exprime dans les villes, grâce à des chefs montréalais inventifs qui revendiquent la modernité de l'érable et le revisitent dans des mets délicats. Il se vit à travers le plaisir simple et partagé, de ce sucre au coin de la bouche. Un voyage de la bouche à l'oreille de Laure Allary et Céline Develay-Mazurelle. À voir. À visiter depuis Montréal- La Sucrerie de la Montagne : Situé à 30 minutes de Montréal, dans une vieille érablière d'environ 50 hectares, ce «Site du Patrimoine Québécois» est ouvert à l'année. Créée par Pierre Faucher, un personnage haut en couleurs de l'érable, cette sucrerie offre un voyage dans le passé des ancêtres canadiens et québécois, un certain goût de la tradition... forcément sucrée. - La Maison des Peuples Autochtones : Ce lieu multi-nations et situé hors réserve, à Mont Saint-Hilaire, a été fondé par André Michel, une figure de la cause autochtone, un artiste d'origine française. La Commission des lieux et monuments historiques du Canada a désigné La Maison des peuples autochtones et son érablière comme le lieu de référence national des produits de l'érable pour l'origine de l'acériculture. L'espace dédié à cette histoire est unique et précieux pour rappeler l'origine autochtone de l'érable et son sirop. - Le Domaine de 5 lots à Montréal : une boutique et un atelier de cuisine particulièrement chaleureux, comme sa créatrice Nathalie Simonneau, fille d'acériculteur et pâtissière pendant plus de 10 ans pour de grands hôtels et restaurants. Après quoi, elle a décidé de reprendre, en famille, l'érablière de ses parents et propose depuis ses produits artisanaux, tout en partageant dans des conférences gourmandes toutes les saveurs et toutes les histoires de l'érable... en ville. - Le Marché des Saveurs du Québec, situé au célèbre Marché Jean Talon à Montréal. Une super adresse pour tous ceux qui n'ont pas eu le temps de visiter des érablières ou petites exploitations artisanales loin de la ville, mais souhaitent repartir avec des produits du terroir et de qualité. - Le Marché Jean Talon de Montréal et la Librairie Gourmande :Pour faire le plein de recettes et de livres de recettes sur l'érable et ramener de belles cannes de sirop. Des producteurs vendent et partagent leur sirop dans le marché. - Le Restaurant Renoir où le chef français Olivier Perret, ambassadeur de l'érable revisite avec finesse l'érable dans ses menus. Une adresse haut de gamme, sise dans l'hôtel Sofitel de Montréal, en plein cœur de la ville. En savoir plus :- Sur la filière acéricole : la Fédération des Producteurs et Productrices Acéricoles du Québec- Sur les travaux menés par Christian Messier, scientifique québécois réputé, passionné d'érable et titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur la résilience des forêts face aux changements globaux, à l'Université du Québec en Outaouais- Sur les variations de l'érable dans l'assiette : «Incroyable Érable», un livre instructif et gourmand de Philippe Mollé - Sur l'histoire du temps des sucres : un article pour le Musée Mc Cord Stewart de l'historienne, spécialiste du patrimoine gastronomique du Québec Catherine Ferland. Diaporama
Alors que le temps des sucres, ce moment de récolte de l'eau d'érable typiquement québécois, bat son plein, partons tout autour de Montréal et de cet arbre de vie et d'eau sucrée qui a façonné les paysages, la culture et le goût de la belle province. Au Québec, l'érable et son sirop sont un puissant symbole identitaire, que l'on retrouve à la fois dans l'assiette sur les pancakes, dans les magasins de souvenirs ou les forêts, mais surtout, dans les mémoires de chaque Québécois et Québécoise, qui vont toujours se rappeler ému.e.s de la fin de l'hiver et du printemps naissant, en famille, à la cabane à sucre. Le Canada a fait de la feuille d'érable son emblème national. Et au Québec, premier producteur de sirop d'érable au monde, c'est une réalité économique, culturelle et naturelle partout présente. Là-bas, on peut d'ailleurs parler de civilisation de l'érable, au même titre que l'olivier dans le bassin méditerranéen. Il faut dire que l'érable -et son sucre- raconte l'histoire du pays, le métissage entre la science des autochtones qui ont découvert la sève d'érable et les chaudrons des colons qui l'ont fait bouillir, sur l'exemple des autochtones. Il dit l'enracinement des hommes sur ces territoires aux hivers rigoureux que le sucre aidait à tenir. Il parle de la richesse et de la beauté des érablières, quelles que soient la saison et les couleurs. Il raconte le peuple et les repas roboratifs, le fragile équilibre aussi que l'on doit maintenir avec cette nature nourricière. Il s'exprime dans les villes, grâce à des chefs montréalais inventifs qui revendiquent la modernité de l'érable et le revisitent dans des mets délicats. Il se vit à travers le plaisir simple et partagé, de ce sucre au coin de la bouche. Un voyage de la bouche à l'oreille de Laure Allary et Céline Develay-Mazurelle. À voir. À visiter depuis Montréal- La Sucrerie de la Montagne : Situé à 30 minutes de Montréal, dans une vieille érablière d'environ 50 hectares, ce «Site du Patrimoine Québécois» est ouvert à l'année. Créée par Pierre Faucher, un personnage haut en couleurs de l'érable, cette sucrerie offre un voyage dans le passé des ancêtres canadiens et québécois, un certain goût de la tradition... forcément sucrée. - La Maison des Peuples Autochtones : Ce lieu multi-nations et situé hors réserve, à Mont Saint-Hilaire, a été fondé par André Michel, une figure de la cause autochtone, un artiste d'origine française. La Commission des lieux et monuments historiques du Canada a désigné La Maison des peuples autochtones et son érablière comme le lieu de référence national des produits de l'érable pour l'origine de l'acériculture. L'espace dédié à cette histoire est unique et précieux pour rappeler l'origine autochtone de l'érable et son sirop. - Le Domaine de 5 lots à Montréal : une boutique et un atelier de cuisine particulièrement chaleureux, comme sa créatrice Nathalie Simonneau, fille d'acériculteur et pâtissière pendant plus de 10 ans pour de grands hôtels et restaurants. Après quoi, elle a décidé de reprendre, en famille, l'érablière de ses parents et propose depuis ses produits artisanaux, tout en partageant dans des conférences gourmandes toutes les saveurs et toutes les histoires de l'érable... en ville. - Le Marché des Saveurs du Québec, situé au célèbre Marché Jean Talon à Montréal. Une super adresse pour tous ceux qui n'ont pas eu le temps de visiter des érablières ou petites exploitations artisanales loin de la ville, mais souhaitent repartir avec des produits du terroir et de qualité. - Le Marché Jean Talon de Montréal et la Librairie Gourmande :Pour faire le plein de recettes et de livres de recettes sur l'érable et ramener de belles cannes de sirop. Des producteurs vendent et partagent leur sirop dans le marché. - Le Restaurant Renoir où le chef français Olivier Perret, ambassadeur de l'érable revisite avec finesse l'érable dans ses menus. Une adresse haut de gamme, sise dans l'hôtel Sofitel de Montréal, en plein cœur de la ville. En savoir plus :- Sur la filière acéricole : la Fédération des Producteurs et Productrices Acéricoles du Québec- Sur les travaux menés par Christian Messier, scientifique québécois réputé, passionné d'érable et titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur la résilience des forêts face aux changements globaux, à l'Université du Québec en Outaouais- Sur les variations de l'érable dans l'assiette : «Incroyable Érable», un livre instructif et gourmand de Philippe Mollé - Sur l'histoire du temps des sucres : un article pour le Musée Mc Cord Stewart de l'historienne, spécialiste du patrimoine gastronomique du Québec Catherine Ferland. Diaporama
La taverne était un refuge pour hommes, qui s'y retrouvaient entre amis pour discuter et se défouler, sans égard au langage ou à l'attitude. L'historienne Catherine Ferland nous parle de l'histoire des tavernes, de leurs débuts à leurs quasi-disparitions.
Au programme: Entrevues avec Simon Roy, Jean-François Laliberté, Catherine Ferland et Louise Portal. Les chroniques de Caroline Tellier, Karine Morin, Florence Aubé et la poésie de Mélanie Béliveau.
En tire, en sucre ou en simple sirop, le sirop d'érable est un précieux nectar canadien à valeur de trésor national. Maxime Coutié et son invitée, l'autrice et historienne Catherine Ferland, retracent ensemble l'histoire du sirop d'érable, autour duquel les générations se rassemblent, devenu un symbole national qui s'exporte partout dans le monde.
Une série de discussions avec les historiennes et les historiens qui s'impliquent dans l'espace public. Aujourd'hui, l'historienne Catherine Ferland. Une nouvelle série sur le balado de l'Histoire nous le dira où je me propose de discuter avec des historiennes et des historiens à propos de leur implication dans l'espace public. Comment se sont-ils intéressés à l'Histoire et comment se passent les formes de médiation et de transfert de connaissances dans différents médium. Les quatre premiers invités: Camille Robert, Éric Bédard, Webster et Catherine Ferland. Tout est déjà disponible et accessible, audio et vidéo (sur la chaîne secondaire « Pour la petite histoire »). N'hésitez pas à me proposer des noms pour les prochaines entrevues. Bonne écoute !
Une série de discussions avec les historiennes et les historiens qui s'impliquent dans l'espace public. Aujourd'hui, l'historienne Camille Robert. Pour en savoir plus: https://www.camille-robert.info Une nouvelle série sur le balado de l'Histoire nous le dira où je me propose de discuter avec des historiennes et des historiens à propos de leur implication dans l'espace public. Comment se sont-ils intéressés à l'Histoire et comment se passent les formes de médiation et de transfert de connaissances dans différents médium. Les quatre premiers invités: Camille Robert, Éric Bédard, Webster et Catherine Ferland. Tout est déjà disponible et accessible, audio et vidéo (sur la chaîne secondaire « Pour la petite histoire »). N'hésitez pas à me proposer des noms pour les prochaines entrevues. Bonne écoute !
Une série de discussions avec les historiennes et les historiens qui s'impliquent dans l'espace public. Aujourd'hui, l'historien Éric Bédard. Une nouvelle série sur le balado de l'Histoire nous le dira où je me propose de discuter avec des historiennes et des historiens à propos de leur implication dans l'espace public. Comment se sont-ils intéressés à l'Histoire et comment se passent les formes de médiation et de transfert de connaissances dans différents médium. Les quatre premiers invités: Camille Robert, Éric Bédard, Webster et Catherine Ferland. Tout est déjà disponible et accessible, audio et vidéo (sur la chaîne secondaire « Pour la petite histoire »). N'hésitez pas à me proposer des noms pour les prochaines entrevues. Bonne écoute !
Une série de discussions avec les historiennes et les historiens qui s'impliquent dans l'espace public. Aujourd'hui, le passionné d'Histoire Aly Ndiaye, alias Webster. Une nouvelle série sur le balado de l'Histoire nous le dira où je me propose de discuter avec des historiennes et des historiens à propos de leur implication dans l'espace public. Comment se sont-ils intéressés à l'Histoire et comment se passent les formes de médiation et de transfert de connaissances dans différents médium. Les quatre premiers invités: Camille Robert, Éric Bédard, Webster et Catherine Ferland. Tout est déjà disponible et accessible, audio et vidéo (sur la chaîne secondaire « Pour la petite histoire »). N'hésitez pas à me proposer des noms pour les prochaines entrevues. Bonne écoute !
On a tous déjà entendu parler d'Al Capone ou vu des films qui se déroulaient aux États-Unis, au cours des années 1920 dans le milieu des gangsters. Ces gens-là vont faire fortune dans le trafic d'alcool de contrebande, à une époque où il était interdit d'en produire, d'en vendre et d'en consommer. Pas de bière, pas de vin, pas de whisky : niet. On a appelé cette période s'étendant de 1919 à 1933 : l'époque de la prohibition. Script: Myriam Wojcik Montage: Jean-François Blais Pour soutenir financièrement la chaîne, trois choix: 1. https://www.youtube.com/channel/UCN4TCCaX-gqBNkrUqXdgGRA/join 2. Patreon: https://www.patreon.com/hndl 3. UTip: https://utip.io/lhistoirenousledira Avec: Laurent Turcot, professeur en histoire à l'Université du Québec à Trois-Rivières, Canada Abonnez-vous à ma chaine: https://www.youtube.com/c/LHistoirenousledira Facebook: https://www.facebook.com/histoirenousledira Instagram: https://www.instagram.com/turcotlaurent Les vidéos sont utilisées à des fins éducatives selon l'article 107 du Copyright Act de 1976 sur le Fair-Use. Pour aller plus loin: Mathieu Lapointe, Nettoyer Montréal, les campagnes de moralité publique, 1940-1954, Septentrion, 2014. "Loi concernant les liqueurs alcooliques", Statuts du Québec, 11 Geo. V, chap.24, février 1921. Marcel Martel, Une brève histoire du vice au Canada depuis 1500, PUL, 2015. Nicole Thivierge et Brigitte Gagnon, « L'est du Québec et la contrebande d'alcool », Cap-aux-Diamants, Numéro 28, hiver 1992, p.48-51. Catherine Ferland, « Bières, brasseurs et brasseries au Québec », L'Encyclopédie du patrimoine culturel de l'Amérique française. Nive Voisine, « L'apôtre de la croix noire : Charles Chiniquy », Cap-aux-Diamants, N.28, hiver 1992. André Martineau, Balado L'Histoire ne s'arrête pas là, Radio-Canada, 2019. https://la1ere.francetvinfo.fr/comment-saint-pierre-miquelon-est-devenu-eldorado-prohibition-decryptage-429021.html #histoire #documentaire
Injustice ou légitime compétition? À la toute dernière seconde, au 100 mètres féminin des Jeux olympiques de Los Angeles de 1932, l’Américaine Stella Walsh lui a ravi l’or, obligeant donc la Montréalaise à se contenter de l’argent. Quarante-huit ans plus tard, une autopsie révélerait un secret de Walsh qui a peut-être changé la donne. L’historienne Catherine Ferland raconte à Jacques Beauchamp comment Hilda Strike a tout de même laissé sa marque à une époque pleine de défis pour les femmes en sport.
Surplombant le cap Diamant depuis maintenant 125 ans, le Château Frontenac est une véritable icône de la ville de Québec et pour cause : selon la rumeur, le Château Frontenac serait l'un des bâtiments, voire LE bâtiment, le plus photographié au monde! La majesté de son architecture, le faste de sa décoration et la gastronomie de sa table ont fait de cet hôtel de luxe un lieu de rendez-vous pour de nombreuses personnalités à travers son histoire, qu'il s'agisse de têtes couronnées ou d'artistes populaires. Mais quelle histoire cachent ces murs? Qu'est-ce qui a motivé la construction d'un tel bâtiment à la fin du XIXe siècle? Laissez notre invitée de ce soir, l'historienne Catherine Ferland, retracer l'histoire de cette emblème de la ville de Québec, le Château Frontenac. Première diffusion le 12 décembre 2018 sur les ondes de CHYZ 94,3 (Université Laval)
Ce soir à l'émission, vous aurez l'occasion d'entendre les historiens Catherine Ferland et Dave Corriveau! Ceux-ci viendront nous entretenir d'un personnage légendaire qui a marqué l'imaginaire collectif québécois à travers les siècles : la désormais célèbre Corriveau! Cette femme a-t-elle réellement existé ou s'agit-il uniquement d'un personnage tout droit sorti de l'imaginaire? Pourquoi sa légende a-t-elle réussi à perdurer dans le temps pendant plus de deux siècles? Et quelle est la part du vrai et du faux dans toute cette histoire? Première diffusion le 1er août 2017 sur les ondes de CHYZ 94,3 (Université Laval)
Au programme: Les chroniques de Sylvain Descours, Raphaëlle B. Adam, Caroline Tellier et David Lessard-Gagnon. Entrevue avec l'autrice Catherine Ferland. Les nouveautés en librairie.
Tanya Lapointe présente le documentaire Lafortune en papier; Georges Privet dresse une liste de films accusés d'avoir falsifié l'histoire; Marie-Eve Bouthillier et le DrSteven Bellemare discutent du manque de ressources en santé; Catherine Ferland parle de son livre Les Biscuits Leclerc: une histoire de cœur et de pépites; Lesley Chesterman nous propose une recette de biscuits de Noël; Andréanne Plante fait le point sur la violence faite aux femmes en Colombie; et Danick Trottier revient sur la carrière de Frank Zappa.
Invitée : Catherine Ferland, docteure en histoire et spécialiste d’histoire alimentaire et culturelle Commissionné par Louis XIV et Colbert pour se rendre au Canada, Jean Talon débarque à Québec le 12 septembre 1665 en qualité d’intendant. Dans cette jeune colonie, tout est à faire et la tâche est colossale. Au cours ...
Au milieu du 19e siècle, ce prêtre charismatique a fait de la « tempérance » son cheval de bataille, à une époque où l’industrialisation à tout crin faisait effectivement des ravages sur le foie des ouvriers. Porte-voix des inquiétudes de l’Église à propos tout ce qui pouvait compromettre son influence, il attirait des foules de milliers de personnes avec ses sermons. Catherine Ferland, historienne, raconte à Jacques Beauchamp que s’il a obtenu des résultats probants dans sa croisade, cet orateur coloré a lui-même commis d’autres types de péchés.
Premier intendant à s’être donné la peine de se rendre dans la colonie française, il l’a organisée et structurée comme aucun autre en la peuplant et en développant ses industries. Cet administrateur né lui a ainsi donné, dès les années 1660, une brève et formidable impulsion qui ne reviendrait vraiment qu’aux 19e et 20e siècles. L’historienne Catherine Ferland décrit à Jacques Beauchamp comment, sous la gouverne de Jean Talon, la Nouvelle-France a plus que doublé de population pour ensuite voir, à son départ, son économie s’étioler.
C'est le jour de la marmotte aujourd'hui à La nature selon Boucar. On parle de ce rongeur dont sa capacité à hiberner a dû faire l'envie de bien des colons français qui ont appris à la dure comment composer avec les hivers rudes de la Nouvelle-France. Alors aujourd'hui à l'émission La marmotte et l'hivernation avec Jean Ferron, professeur à l'Université du Québec à Rimouski qui connaît très bien cet animal et pour la seconde partie, c'est l'historienne Catherine Ferland qui va nous en apprendre plus sur l'hivernation au temps de nos ancêtres ou des colons. Comment faisaient-ils pour s'alimenter, comment conserver les aliments à cette époque… En musique avec Sarahmée.
Our host Kylie Rogers-Strahan chats with our creative director, Tim Mulvaney, and our copywriter/digital specialist, Catherine Ferland, about the challenges and triumphs of juggling professional responsibilities with kids, home ownership, sleep and the other outside responsibilities that compete for our attention. For more, visit https://blohmcreative.com. Follow us on Facebook, Twitter, LinkedIn or Instagram. The post Netflix and just chilling out: Work-life balance @ BCP appeared first on Blohm Creative Partners.
Invitée : Catherine Ferland, docteure en histoire et spécialiste d'histoire alimentaire et culturelle Commissionné par Louis XIV et Colbert pour se rendre au Canada, Jean Talon débarque à Québec le 12 septembre 1665 en qualité d'intendant. Dans cette jeune colonie, tout est à faire et la tâche est colossale. Au cours de ses deux mandats, de 1665 à 1668 puis de 1670 à 1672, Talon s'attache à développer et à structurer la colonie, faisant venir des filles à marier, des hommes de métier, des an
What the career center will never tell you about how to survive (and thrive) during an internship. Our former digital marketing intern, Nareh Vartanian, chats about what she’s learned from interning at BCP while Kylie Rogers-Strahan and Catherine Ferland chat about their perspective from the other side. For more, visit https://blohmcreative.com. Follow us on Facebook, … Continued The post From The Green Couch – Episode 1 – How to be a Kick A** Intern appeared first on Blohm Creative Partners.
Bien plus qu'un hôtel, le Château Frontenac est devenu l'emblème de la ville de Québec. Comme tous les grands hôtels du monde, le Château Frontenac a su attirer au fil du temps son lot de célébrités et de personnalités politiques. Certains premiers ministres du Québec y ont même résidé. Mais plus encore, l'histoire du Château Frontenac est intimement liée au destin de Québec, et d'une certaine manière aussi à celui du monde libre grâce aux conférences historiques qui vont s'y tenir en 1943-44. Invitée : Catherine Ferland
Si le pont de glace a longtemps été considéré comme une bénédiction, c'est parce qu'il facilitait énormément la circulation d'une rive à l'autre du St-Laurent, à un point tel qu'à une certaine époque, il devenait carrément plus facile de traverser le fleuve l'hiver que l'été. Plus qu'une simple voie de communication, le pont de glace faisait aussi partie de notre mode de vie, et était même un lieu de sociabilité. Son histoire fait maintenant partie de ce que l'on appelle le patrimoine immatériel. L'historienne Catherine Ferland nous raconte l'histoire des ponts de glace.
Si le pont de glace a longtemps été considéré comme une bénédiction, c'est parce qu'il facilitait énormément la circulation d'une rive à l'autre du St-Laurent, à un point tel qu'à une certaine époque, il devenait carrément plus facile de traverser le fleuve l'hiver que l'été. Plus qu'une simple voie de communication, le pont de glace faisait aussi partie de notre mode de vie, et était même un lieu de sociabilité. Son histoire fait maintenant partie de ce que l'on appelle le patrimoine immatériel. L'historienne Catherine Ferland nous raconte l'histoire des ponts de glace.
L'historienne Catherine Ferland nous raconte l'histoire du champagne.
Adorée par les peintres et les poètes du 19e siècle, l'absinthe sera ensuite associée aux ravages de l'alcoolisme qui secoue la France de la fin du 19e siècle, ce qui conduira peu après à son interdiction totale. L'historienne Catherine Ferland nous raconte l'histoire de l'absinthe, dite "la fée verte".
Qu'est-ce qui appartient au mythe et qu'est-ce qui appartient à la réalité? L'historienne Catherine Ferland nous dresse un portrait de la relation des amérindiens avec l'alcool.