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Depuis la prise d'Uvira la semaine dernière par les rebelles du M23, soutenus par le Rwanda, Kigali est sous le feu des critiques. « "Les États-Unis sont profondément préoccupés et incroyablement déçus par la nouvelle flambée de la violence dans l'est de la RDC", s'est indigné Mike Waltz, l'ambassadeur américain auprès des Nations unies, rapporte Afrikarabia, site spécialisé sur la RDC. (…) En ligne de mire, le soutien actif du Rwanda aux rebelles, en matériel et en logistique. 5 000 à 7 000 soldats rwandais combattraient au Congo au début de décembre, selon Mike Waltz. Marco Rubio, le patron de la diplomatie américaine, a été encore plus clair sur les intentions de Washington, indiquant que "les États-Unis prendraient des mesures pour garantir le respect des engagements pris envers le président" Donald Trump. » Qui plus est, rapporte le site congolais Actualité CD, « le vice-secrétaire d'État américain Christopher Landau a qualifié l'offensive récente sur Uvira de "grave erreur", avertissant que "cela ne pourrait pas continuer" si le Rwanda "persistait à jouer les mêmes vieux jeux avec le M23" ». Les États-Unis furieux… La presse congolaise pointe du doigt le président rwandais : « Kagame a tourné Donald Trump en dérision : ses jours sont comptés », s'exclame La Tempête des Tropiques. Le quotidien kinois cite un officiel américain proche de la Maison Blanche qui accuse le chef de l'État rwandais d'avoir trahi la confiance des États-Unis et du président Trump : « dans un langage particulièrement offensif, il qualifie Paul Kagame de "criminel de guerre" incapable de tenir parole, et affirme que "le temps du dialogue est terminé" et qu'il est "temps pour Kagame de partir" ». Et « au-delà de l'attaque directe contre le président rwandais, note encore La Tempête des Tropiques, ce proche de la Maison Blanche lance un appel explicite aux militants pro-démocratie au Rwanda, les invitant à entrer en contact avec ses réseaux aux États-Unis, suggérant une volonté de soutenir ou structurer une opposition politique en exil. Cette sortie marque un changement notable de ton dans certains cercles américains, relève encore le quotidien kinois, alors que Kigali bénéficiait jusqu'ici d'une image relativement favorable auprès des partenaires occidentaux ». Le M23 va-t-il quitter Uvira ? Conséquence sans doute de toutes ces pressions : l'AFC-M23 a annoncé hier lundi qu'elle allait se retirer d'Uvira… La rébellion l'indique dans un communiqué repris notamment par le site congolais Actualité CD : « "malgré les provocations et abus persistants de la part des FARDC et de leurs alliés, l'AFC-M23 a décidé d'initier une mesure unilatérale de confiance afin de donner au processus de paix de Doha toutes les chances de réussir", affirme le mouvement, ajoutant qu'il "retirera unilatéralement ses forces de la ville d'Uvira, comme demandé par la médiation des États-Unis". La rébellion précise toutefois que ce "retrait est conditionné à des garanties de sécurité", appelant "les garants du processus de paix à assurer la gestion de la ville, notamment sa démilitarisation, la protection des civils et des infrastructures, ainsi que le contrôle du cessez-le-feu par le déploiement d'une force neutre" ». Alors le M23 va-t-il vraiment se retirer d'Uvira ? Le Rwanda va-t-il céder aux injonctions internationales, notamment américaines ? Difficile de répondre… À Kigali, le quotidien The New Times, proche du pouvoir, contre-attaque en affirmant que « la coalition de la RDC poursuit une campagne d'extermination ciblée contre les civils banyamulenge », ces Tutsis congolais qui vivent dans le Kivu. Le pouvoir rwandais avance régulièrement ce prétexte de défendre cette minorité ethnique d'origine rwandaise pour justifier sa présence militaire dans l'est de la RDC. Plus de 500 000 personnes déplacées En attendant, la crise humanitaire s'amplifie. « Selon l'Unicef, rapporte Afrik.com, plus de 500 000 personnes, dont plus de 100 000 enfants, ont été déplacées depuis le 1er décembre au Sud-Kivu. Et plus de 40 000 Congolais ont franchi la frontière vers le Burundi en seulement quatre jours. Au total, 5,3 millions de personnes sont déplacées à l'intérieur du pays et plus de 24 millions souffrent d'insécurité alimentaire ». Enfin, rapporte encore Afrik.com, « la ministre congolaise des Affaires étrangères, Thérèse Wagner, appelle le Conseil de sécurité de l'ONU à imposer des sanctions ciblées contre les responsables militaires et politiques de l'agression, à instaurer un embargo total sur les minerais exportés comme rwandais, et à révoquer le statut de contributeur de troupes du Rwanda aux opérations de paix. Et elle prévient : "soit l'ordre international accepte d'être ouvertement bafoué, soit ce Conseil assume ses responsabilités" ».
Depuis la prise d'Uvira la semaine dernière par les rebelles du M23, soutenus par le Rwanda, Kigali est sous le feu des critiques. « "Les États-Unis sont profondément préoccupés et incroyablement déçus par la nouvelle flambée de la violence dans l'est de la RDC", s'est indigné Mike Waltz, l'ambassadeur américain auprès des Nations unies, rapporte Afrikarabia, site spécialisé sur la RDC. (…) En ligne de mire, le soutien actif du Rwanda aux rebelles, en matériel et en logistique. 5 000 à 7 000 soldats rwandais combattraient au Congo au début de décembre, selon Mike Waltz. Marco Rubio, le patron de la diplomatie américaine, a été encore plus clair sur les intentions de Washington, indiquant que "les États-Unis prendraient des mesures pour garantir le respect des engagements pris envers le président" Donald Trump. » Qui plus est, rapporte le site congolais Actualité CD, « le vice-secrétaire d'État américain Christopher Landau a qualifié l'offensive récente sur Uvira de "grave erreur", avertissant que "cela ne pourrait pas continuer" si le Rwanda "persistait à jouer les mêmes vieux jeux avec le M23" ». Les États-Unis furieux… La presse congolaise pointe du doigt le président rwandais : « Kagame a tourné Donald Trump en dérision : ses jours sont comptés », s'exclame La Tempête des Tropiques. Le quotidien kinois cite un officiel américain proche de la Maison Blanche qui accuse le chef de l'État rwandais d'avoir trahi la confiance des États-Unis et du président Trump : « dans un langage particulièrement offensif, il qualifie Paul Kagame de "criminel de guerre" incapable de tenir parole, et affirme que "le temps du dialogue est terminé" et qu'il est "temps pour Kagame de partir" ». Et « au-delà de l'attaque directe contre le président rwandais, note encore La Tempête des Tropiques, ce proche de la Maison Blanche lance un appel explicite aux militants pro-démocratie au Rwanda, les invitant à entrer en contact avec ses réseaux aux États-Unis, suggérant une volonté de soutenir ou structurer une opposition politique en exil. Cette sortie marque un changement notable de ton dans certains cercles américains, relève encore le quotidien kinois, alors que Kigali bénéficiait jusqu'ici d'une image relativement favorable auprès des partenaires occidentaux ». Le M23 va-t-il quitter Uvira ? Conséquence sans doute de toutes ces pressions : l'AFC-M23 a annoncé hier lundi qu'elle allait se retirer d'Uvira… La rébellion l'indique dans un communiqué repris notamment par le site congolais Actualité CD : « "malgré les provocations et abus persistants de la part des FARDC et de leurs alliés, l'AFC-M23 a décidé d'initier une mesure unilatérale de confiance afin de donner au processus de paix de Doha toutes les chances de réussir", affirme le mouvement, ajoutant qu'il "retirera unilatéralement ses forces de la ville d'Uvira, comme demandé par la médiation des États-Unis". La rébellion précise toutefois que ce "retrait est conditionné à des garanties de sécurité", appelant "les garants du processus de paix à assurer la gestion de la ville, notamment sa démilitarisation, la protection des civils et des infrastructures, ainsi que le contrôle du cessez-le-feu par le déploiement d'une force neutre" ». Alors le M23 va-t-il vraiment se retirer d'Uvira ? Le Rwanda va-t-il céder aux injonctions internationales, notamment américaines ? Difficile de répondre… À Kigali, le quotidien The New Times, proche du pouvoir, contre-attaque en affirmant que « la coalition de la RDC poursuit une campagne d'extermination ciblée contre les civils banyamulenge », ces Tutsis congolais qui vivent dans le Kivu. Le pouvoir rwandais avance régulièrement ce prétexte de défendre cette minorité ethnique d'origine rwandaise pour justifier sa présence militaire dans l'est de la RDC. Plus de 500 000 personnes déplacées En attendant, la crise humanitaire s'amplifie. « Selon l'Unicef, rapporte Afrik.com, plus de 500 000 personnes, dont plus de 100 000 enfants, ont été déplacées depuis le 1er décembre au Sud-Kivu. Et plus de 40 000 Congolais ont franchi la frontière vers le Burundi en seulement quatre jours. Au total, 5,3 millions de personnes sont déplacées à l'intérieur du pays et plus de 24 millions souffrent d'insécurité alimentaire ». Enfin, rapporte encore Afrik.com, « la ministre congolaise des Affaires étrangères, Thérèse Wagner, appelle le Conseil de sécurité de l'ONU à imposer des sanctions ciblées contre les responsables militaires et politiques de l'agression, à instaurer un embargo total sur les minerais exportés comme rwandais, et à révoquer le statut de contributeur de troupes du Rwanda aux opérations de paix. Et elle prévient : "soit l'ordre international accepte d'être ouvertement bafoué, soit ce Conseil assume ses responsabilités" ».
La température d'une planète n'est pas due à un seul facteur, mais à un ensemble d'éléments physiques qui interagissent entre eux... Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
À Gaza, l'enclave palestinienne est frappée à son tour par la tempête Byron qui a déjà balayé la Grèce, la Turquie et Chypre. Au malheur de la guerre s'ajoute celui de la colère du ciel.Écoutez RTL autour du monde du 12 décembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
"Nous sommes frigorifiés, notre tente est inondée" : à Gaza, la tempête Byron plonge les déplacés dans une détresse absolueHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après l'occupation de la ville d'Uvira par les forces rebelles du M23, la presse congolaise s'en prend vertement au Rwanda : « Kigali poursuit sa folle aventure dans l'est de la République démocratique du Congo, dénonce La Tempête des Tropiques à Kinshasa, crachant ainsi sur la communauté internationale et sur les efforts diplomatiques consentis par les États-Unis et le Qatar. (…) Tout porte à croire que les rebelles auraient bénéficié de nouveaux renforts de l'armée rwandaise, avec pour objectif d'élargir le champ d'occupation, violant ainsi ouvertement l'Accord de paix signé le 4 décembre dernier, à Washington, en présence de Donald Trump et de plusieurs dirigeants de la région. » D'ailleurs, la communauté internationale hausse le ton également contre Kigali, relève le site congolais Actualité CD : aux États-Unis, « la majorité républicaine de la Commission des affaires étrangères de la Chambre des représentants a appelé hier à tenir “pleinement responsable“ le Rwanda des engagements pris avec la RDC lors de la signature des Accords de Washington la semaine dernière. “Ces engagements ne sont pas optionnels, et les États-Unis s'attendent à ce qu'ils soient appliqués“, a déclaré la commission, exhortant les dirigeants internationaux à “condamner sans réserve“ les actions de Kigali. (…) Plus tôt, rapporte encore Actualité CD, le Groupe de contact international pour les Grands Lacs – réunissant les États-Unis et l'Union européenne sous présidence allemande – s'est dit “profondément préoccupé“ par la nouvelle offensive du M23. » L'accord de paix piétiné… Pour les autorités congolaises, l'implication du Rwanda n'est plus à démontrer… « Aux yeux de Kinshasa, rapporte Le Monde Afrique, seul l'engagement de l'armée rwandaise a permis l'offensive sur Uvira. Lundi, le président congolais, Félix Tshisekedi, a accusé Kigali de “violer ses engagements“ pris à Washington. “Au lendemain même de la signature, des unités des forces de défense du Rwanda ont conduit et appuyé des attaques à l'arme lourde“, a-t-il dénoncé dans son discours annuel à la nation. Une très bonne source internationale au cœur du dossier, pointe encore Le Monde Afrique, affirme que l'ordre de l'assaut contre Uvira a été pris “au plus haut niveau de l'Etat rwandais avant même le 4 décembre“. Un autre interlocuteur note l'utilisation, ces derniers jours, sur le champ de bataille “de brouilleurs d'ondes de haute technologie, de lance-roquettes multiples, de mortiers de 120 mm guidés par GPS et de drones. Autant d'équipements et d'actions, ajoute-t-il, qui dépassent les capacités du M23“. » Qui plus est, croit savoir Le Monde Afrique, le dernier rapport des experts des Nations unies sur la RDC, qui sera publié prochainement, est accablant. Ce rapport « souligne en effet “la poursuite du déploiement de forces rwandaises au-delà de leurs frontières, le renforcement de leur présence au Nord et Sud-Kivu, positionnées sur les lignes de front et participant directement aux combats“. Les experts estiment qu'entre 6.000 et 7.000 militaires rwandais – “soit deux brigades et deux bataillons de forces spéciales“ – sont déployées dans les deux provinces. Kigali continue de nier sa présence en RDC, reconnaissant seulement l'existence de “mesures défensives“ sur sa frontière. » Des milliers de réfugiés… Conséquence de la chute d'Uvira : « le flot des déplacés submerge le Burundi » voisin… C'est ce que constate Le Journal de Kinshasa. « Des milliers de personnes ont franchi la frontière ces derniers jours, fuyant l'avancée des combattants de l'AFC-M23 à Uvira. Silhouettes courbées sous le poids de ballots précipités, ces civils cherchent un refuge immédiat. La frontière burundaise s'est rapidement transformée en un espace d'accueil, étroit mais vital. Sur place, l'urgence est totale. Les équipes du HCR et de l'Office national burundais de protection des réfugiés se mobilisent pour organiser les arrivées et protéger les déplacés. (…) La vie de milliers de personnes, soupire Le Journal de Kinshasa, dépend désormais de la capacité du Burundi à leur tendre la main. La réponse de la communauté internationale reste cruciale, alors que le monde risque de détourner le regard. » Tigri au Togo ? Enfin, les suites de la tentative de coup d'Etat au Bénin. D'après Jeune Afrique, « l'instigateur présumé du putsch, le lieutenant-colonel Pascal Tigri aurait trouvé refuge au Togo, à Lomé, en franchissant le fleuve Mono. Il aurait ensuite été hébergé dans le quartier de Lomé 2. » Toujours d'après Jeune Afrique, « Cotonou va demander son extradition. Contactée par le site panafricain, une source proche du président togolais Faure Gnassingbé dit ne pas être informée de cette situation. »
Après l'occupation de la ville d'Uvira par les forces rebelles du M23, la presse congolaise s'en prend vertement au Rwanda : « Kigali poursuit sa folle aventure dans l'est de la République démocratique du Congo, dénonce La Tempête des Tropiques à Kinshasa, crachant ainsi sur la communauté internationale et sur les efforts diplomatiques consentis par les États-Unis et le Qatar. (…) Tout porte à croire que les rebelles auraient bénéficié de nouveaux renforts de l'armée rwandaise, avec pour objectif d'élargir le champ d'occupation, violant ainsi ouvertement l'Accord de paix signé le 4 décembre dernier, à Washington, en présence de Donald Trump et de plusieurs dirigeants de la région. » D'ailleurs, la communauté internationale hausse le ton également contre Kigali, relève le site congolais Actualité CD : aux États-Unis, « la majorité républicaine de la Commission des affaires étrangères de la Chambre des représentants a appelé hier à tenir “pleinement responsable“ le Rwanda des engagements pris avec la RDC lors de la signature des Accords de Washington la semaine dernière. “Ces engagements ne sont pas optionnels, et les États-Unis s'attendent à ce qu'ils soient appliqués“, a déclaré la commission, exhortant les dirigeants internationaux à “condamner sans réserve“ les actions de Kigali. (…) Plus tôt, rapporte encore Actualité CD, le Groupe de contact international pour les Grands Lacs – réunissant les États-Unis et l'Union européenne sous présidence allemande – s'est dit “profondément préoccupé“ par la nouvelle offensive du M23. » L'accord de paix piétiné… Pour les autorités congolaises, l'implication du Rwanda n'est plus à démontrer… « Aux yeux de Kinshasa, rapporte Le Monde Afrique, seul l'engagement de l'armée rwandaise a permis l'offensive sur Uvira. Lundi, le président congolais, Félix Tshisekedi, a accusé Kigali de “violer ses engagements“ pris à Washington. “Au lendemain même de la signature, des unités des forces de défense du Rwanda ont conduit et appuyé des attaques à l'arme lourde“, a-t-il dénoncé dans son discours annuel à la nation. Une très bonne source internationale au cœur du dossier, pointe encore Le Monde Afrique, affirme que l'ordre de l'assaut contre Uvira a été pris “au plus haut niveau de l'Etat rwandais avant même le 4 décembre“. Un autre interlocuteur note l'utilisation, ces derniers jours, sur le champ de bataille “de brouilleurs d'ondes de haute technologie, de lance-roquettes multiples, de mortiers de 120 mm guidés par GPS et de drones. Autant d'équipements et d'actions, ajoute-t-il, qui dépassent les capacités du M23“. » Qui plus est, croit savoir Le Monde Afrique, le dernier rapport des experts des Nations unies sur la RDC, qui sera publié prochainement, est accablant. Ce rapport « souligne en effet “la poursuite du déploiement de forces rwandaises au-delà de leurs frontières, le renforcement de leur présence au Nord et Sud-Kivu, positionnées sur les lignes de front et participant directement aux combats“. Les experts estiment qu'entre 6.000 et 7.000 militaires rwandais – “soit deux brigades et deux bataillons de forces spéciales“ – sont déployées dans les deux provinces. Kigali continue de nier sa présence en RDC, reconnaissant seulement l'existence de “mesures défensives“ sur sa frontière. » Des milliers de réfugiés… Conséquence de la chute d'Uvira : « le flot des déplacés submerge le Burundi » voisin… C'est ce que constate Le Journal de Kinshasa. « Des milliers de personnes ont franchi la frontière ces derniers jours, fuyant l'avancée des combattants de l'AFC-M23 à Uvira. Silhouettes courbées sous le poids de ballots précipités, ces civils cherchent un refuge immédiat. La frontière burundaise s'est rapidement transformée en un espace d'accueil, étroit mais vital. Sur place, l'urgence est totale. Les équipes du HCR et de l'Office national burundais de protection des réfugiés se mobilisent pour organiser les arrivées et protéger les déplacés. (…) La vie de milliers de personnes, soupire Le Journal de Kinshasa, dépend désormais de la capacité du Burundi à leur tendre la main. La réponse de la communauté internationale reste cruciale, alors que le monde risque de détourner le regard. » Tigri au Togo ? Enfin, les suites de la tentative de coup d'Etat au Bénin. D'après Jeune Afrique, « l'instigateur présumé du putsch, le lieutenant-colonel Pascal Tigri aurait trouvé refuge au Togo, à Lomé, en franchissant le fleuve Mono. Il aurait ensuite été hébergé dans le quartier de Lomé 2. » Toujours d'après Jeune Afrique, « Cotonou va demander son extradition. Contactée par le site panafricain, une source proche du président togolais Faure Gnassingbé dit ne pas être informée de cette situation. »
Un échange intime avec Ingrid Laurenn Littré, Martiniquaise, Miss Monde Martinique 2009 et maman solo. Dans cet épisode, elle revient sur son enfance aux Antilles, l'exposition publique et le moment où elle décide d'autoriser son avocate Catherine Marcelin à écrire Ingrid Littré, sa vérité pour reprendre le contrôle de son histoire. On parle de résilience, vulnérabilité comme force, entrepreneuriat au quotidien, et fatigue derrière l'injonction à être « femme Potomitan ».Retrouver le livre Ingrid Littré, sa vérité.Suivre Ingrid sur Instagram : @ingridlaurenn.
Aujourd'hui, Bruno Poncet, cheminot, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, et Fatima Ait Bounoua, professeure de Français, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Lorsque les températures chutent, beaucoup constatent une augmentation nette de l'appétit. Une soupe plus copieuse, un plat chaud plus tôt que d'habitude, ou l'envie irrésistible d'un morceau de fromage : l'hiver semble réveiller une faim plus intense. Mais ce phénomène n'a rien de psychologique. Il repose sur plusieurs mécanismes biologiques profondément ancrés dans notre physiologie.D'abord, le froid oblige l'organisme à dépenser plus d'énergie pour maintenir sa température interne autour de 37°C. Cette régulation, appelée thermorégulation, mobilise une grande quantité de calories. Le simple fait de frissonner — contraction réflexe et rapide de certains muscles — peut multiplier par quatre ou cinq la dépense énergétique de base. Même sans frisson, le corps active la thermogenèse, c'est-à-dire la production de chaleur à partir des graisses brunes et blanches. Cette dépense supplémentaire crée un déficit énergétique que le cerveau cherche à compenser en augmentant la sensation de faim.À cela s'ajuste un second mécanisme hormonal. Le froid stimule la sécrétion de grelines, l'hormone de la faim produite dans l'estomac. Plus la température extérieure baisse, plus la production de ghréline augmente, signalant au cerveau qu'il est temps de manger pour soutenir la thermogenèse. En parallèle, la sécrétion de leptine, l'hormone de la satiété, diminue. Le cerveau perçoit donc un double signal : « tu consommes plus d'énergie » et « tu es moins rassasié ».L'effet psychologique du confort alimentaire amplifie encore le phénomène. Le froid active une zone du cerveau associée à la recherche de nourriture réconfortante, souvent riche en glucides et en lipides. Cette réaction a une origine évolutive : dans la nature, consommer des aliments denses en calories pendant les périodes froides augmentait les chances de survie. Aujourd'hui, notre environnement alimentaire change, mais notre câblage biologique reste identique.Enfin, il existe un facteur comportemental souvent sous-estimé : la baisse de luminosité en hiver perturbe la production de sérotonine, un neurotransmetteur qui influence l'humeur… et l'appétit. Pour rééquilibrer ce système, le cerveau peut encourager la consommation d'aliments sucrés, qui augmentent temporairement la production de sérotonine. D'où les envies hivernales de chocolat, pâtes ou pain chaud.En résumé, nous avons plus faim quand il fait froid parce que le corps dépense davantage de calories pour se réchauffer, que les hormones de la faim augmentent, et que notre cerveau cherche instinctivement des aliments riches en énergie pour maintenir l'équilibre thermique et émotionnel. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Souhaitons que la libération de Boualem Sansal et celle - espérée - de Christophe Gleizes soient l'occasion pour le pouvoir algérien d'ouvrir un nouveau chapitre dans sa relation avec la France.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:00 - Le vrai ou faux - La tempête Claudia balaye actuellement la France. Elle apporte avec elle du sable du Sahara. Certains internautes alertent sur les dangers liés à ce sable. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
« Après 17 jours d'âpres négociations à Dakar, le Sénégal, l'État le plus endetté d'Afrique, proche du défaut de paiement, n'est pas parvenu, la semaine dernière, à conclure un accord avec le FMI, le Fonds Monétaire International. Il y a pourtant urgence, s'exclame Le Monde Afrique. Étranglé par une crise de la dette, le Sénégal voit son économie tourner au ralenti depuis que l'institution monétaire a suspendu, en mai 2024, un prêt d'1,5 milliard d'euros. Cette décision avait suivi la révélation d'une dette cachée de près 7 milliards de dollars, imputée par les nouvelles autorités, au pouvoir depuis avril 2024, au régime précédent de Macky Sall. Éventée d'abord par le premier ministre, Ousmane Sonko, puis confirmée, en octobre 2024, par l'Inspection générale des finances, l'affaire a pris de l'ampleur quand la Cour des comptes a estimé, en février dernier, que les chiffres de la comptabilité publique étaient faux. » Les autorités au pouvoir depuis 2024 accusent donc le précédent gouvernement d'avoir dissimulé les vrais chiffres sur des indicateurs clefs comme la dette publique et le déficit budgétaire. Le poids de la dette Pour sa part, « le FMI a voulu se montrer plutôt rassurant », du moins en façade, pointe Jeune Afrique, en affirmant que le nouveau pouvoir « fait preuve d'un engagement fort en faveur de la transparence et des réformes, en prenant des mesures concrètes pour s'attaquer aux causes profondes de la dette cachée passée. » Toutefois, aucun accord n'a été signé donc entre l'institution financière internationale et le Sénégal. Et pendant ce temps, relève Afrik.com : « La dette dévore les ressources publiques. L'impact de cette spirale négative est directement ressenti dans le budget de l'État. Contraint d'emprunter à des taux plus coûteux, le service de la dette sénégalaise s'envole. Le pays devra mobiliser 30 % de ses ressources l'année prochaine simplement pour rembourser sa dette et ses intérêts. Ce montant représente quasiment l'équivalent des budgets nationaux de l'Éducation et de la Santé réunis. » Un sacrifice de deux ou trois ans… Face aux difficultés économiques, et afin de reprendre la main auprès des militants et sympathisants, le Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, a tenu un meeting samedi dernier à Dakar. « Un rassemblement pour montrer qu'il est toujours l'homme le plus populaire du pays, commente Jeune Afrique. (…) Et, comme on pouvait s'y attendre, Ousmane Sonko n'a pas fait dans la dentelle. Manches retroussées et notes en main, Ousmane Sonko a d'abord réclamé aux Sénégalais “un sacrifice de deux ou trois ans“ supplémentaires, avant de multiplier les diatribes contre l'opposition qui essaie de se remobiliser en tirant parti de la déception exprimée par certains, après dix-huit mois de gouvernance de son duo avec le président Bassirou Diomaye Faye. “Tous nos problèmes aujourd'hui viennent de l'APR, de son président et du régime passé. C'est un parti criminel qui doit être dissous pour haute trahison. Il a perdu toute légitimité dans ce pays“, a accusé le chef du gouvernement, qui a menacé de prison toute personne “qui nierait l'existence d'une dette cachée“. Un avertissement, note Jeune Afrique, à peine voilé en direction de l'ancien chef de l'État Macky Sall qui, ces derniers mois, mobilise communicants et avocats de renom pour contester la dissimulation d'une partie de la dette du pays sous son administration. » Contre-attaque de l'opposition Et l'opposition n'a pas tardé à réagir… « L'APR a vivement répliqué », relève le site Dakar Actu. « Accusant le Premier ministre de s'être livré à une “logorrhée infecte“, mêlant “mensonges, diffamations et révisionnisme historique“. (…) Le parti de Macky Sall s'est particulièrement insurgé contre l'allégation d'une supposée “dette cachée“ évoquée par Ousmane Sonko. » L'ancien ministre de l'Économie de Macky Sall, Doudou Ka, s'est également exprimé hier. Ses propos sont repris par Seneweb : « “la dette publique du Sénégal ne peut pas être cachée“, affirme-t-il. Il accuse les nouvelles autorités d'avoir intégré des éléments qui n'étaient pas auparavant comptabilisés dans la dette publique : comme les dettes issues d'opérations de trésorerie avec les banques locales, ou encore l'agrégation des dettes contingentes des sociétés nationales autonomes. » Alors qui a raison ? Qui a tort ? Ce qui est sûr, c'est que les difficultés économiques du Sénégal sont bien réelles et que les Sénégalais vont devoir se serrer la ceinture… La Tribune à Dakar affiche un certain pessimisme en Une : « bientôt d'énormes difficultés pour payer les salaires, reprise imminente des coupures d'électricité, impact immédiat sur les marchés et pression économique croissante sur les entrepreneurs locaux. » À lire aussiSénégal: à Dakar, le Pastef organise un meeting géant pour remobiliser ses militants
« Après 17 jours d'âpres négociations à Dakar, le Sénégal, l'État le plus endetté d'Afrique, proche du défaut de paiement, n'est pas parvenu, la semaine dernière, à conclure un accord avec le FMI, le Fonds Monétaire International. Il y a pourtant urgence, s'exclame Le Monde Afrique. Étranglé par une crise de la dette, le Sénégal voit son économie tourner au ralenti depuis que l'institution monétaire a suspendu, en mai 2024, un prêt d'1,5 milliard d'euros. Cette décision avait suivi la révélation d'une dette cachée de près 7 milliards de dollars, imputée par les nouvelles autorités, au pouvoir depuis avril 2024, au régime précédent de Macky Sall. Éventée d'abord par le premier ministre, Ousmane Sonko, puis confirmée, en octobre 2024, par l'Inspection générale des finances, l'affaire a pris de l'ampleur quand la Cour des comptes a estimé, en février dernier, que les chiffres de la comptabilité publique étaient faux. » Les autorités au pouvoir depuis 2024 accusent donc le précédent gouvernement d'avoir dissimulé les vrais chiffres sur des indicateurs clefs comme la dette publique et le déficit budgétaire. Le poids de la dette Pour sa part, « le FMI a voulu se montrer plutôt rassurant », du moins en façade, pointe Jeune Afrique, en affirmant que le nouveau pouvoir « fait preuve d'un engagement fort en faveur de la transparence et des réformes, en prenant des mesures concrètes pour s'attaquer aux causes profondes de la dette cachée passée. » Toutefois, aucun accord n'a été signé donc entre l'institution financière internationale et le Sénégal. Et pendant ce temps, relève Afrik.com : « La dette dévore les ressources publiques. L'impact de cette spirale négative est directement ressenti dans le budget de l'État. Contraint d'emprunter à des taux plus coûteux, le service de la dette sénégalaise s'envole. Le pays devra mobiliser 30 % de ses ressources l'année prochaine simplement pour rembourser sa dette et ses intérêts. Ce montant représente quasiment l'équivalent des budgets nationaux de l'Éducation et de la Santé réunis. » Un sacrifice de deux ou trois ans… Face aux difficultés économiques, et afin de reprendre la main auprès des militants et sympathisants, le Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, a tenu un meeting samedi dernier à Dakar. « Un rassemblement pour montrer qu'il est toujours l'homme le plus populaire du pays, commente Jeune Afrique. (…) Et, comme on pouvait s'y attendre, Ousmane Sonko n'a pas fait dans la dentelle. Manches retroussées et notes en main, Ousmane Sonko a d'abord réclamé aux Sénégalais “un sacrifice de deux ou trois ans“ supplémentaires, avant de multiplier les diatribes contre l'opposition qui essaie de se remobiliser en tirant parti de la déception exprimée par certains, après dix-huit mois de gouvernance de son duo avec le président Bassirou Diomaye Faye. “Tous nos problèmes aujourd'hui viennent de l'APR, de son président et du régime passé. C'est un parti criminel qui doit être dissous pour haute trahison. Il a perdu toute légitimité dans ce pays“, a accusé le chef du gouvernement, qui a menacé de prison toute personne “qui nierait l'existence d'une dette cachée“. Un avertissement, note Jeune Afrique, à peine voilé en direction de l'ancien chef de l'État Macky Sall qui, ces derniers mois, mobilise communicants et avocats de renom pour contester la dissimulation d'une partie de la dette du pays sous son administration. » Contre-attaque de l'opposition Et l'opposition n'a pas tardé à réagir… « L'APR a vivement répliqué », relève le site Dakar Actu. « Accusant le Premier ministre de s'être livré à une “logorrhée infecte“, mêlant “mensonges, diffamations et révisionnisme historique“. (…) Le parti de Macky Sall s'est particulièrement insurgé contre l'allégation d'une supposée “dette cachée“ évoquée par Ousmane Sonko. » L'ancien ministre de l'Économie de Macky Sall, Doudou Ka, s'est également exprimé hier. Ses propos sont repris par Seneweb : « “la dette publique du Sénégal ne peut pas être cachée“, affirme-t-il. Il accuse les nouvelles autorités d'avoir intégré des éléments qui n'étaient pas auparavant comptabilisés dans la dette publique : comme les dettes issues d'opérations de trésorerie avec les banques locales, ou encore l'agrégation des dettes contingentes des sociétés nationales autonomes. » Alors qui a raison ? Qui a tort ? Ce qui est sûr, c'est que les difficultés économiques du Sénégal sont bien réelles et que les Sénégalais vont devoir se serrer la ceinture… La Tribune à Dakar affiche un certain pessimisme en Une : « bientôt d'énormes difficultés pour payer les salaires, reprise imminente des coupures d'électricité, impact immédiat sur les marchés et pression économique croissante sur les entrepreneurs locaux. » À lire aussiSénégal: à Dakar, le Pastef organise un meeting géant pour remobiliser ses militants
C'est frappant de voir à travers la liste des livres vendus. Selon Ruth Elkrief, c'est une forme de baromètre de l'opinion. Cela nous en dit beaucoup sur le climat d'un pays. Ce qu'on y découvre n'est pas très surprenant : la polarisation de la société, la radicalisation des idées. Pascal Perri pense que la COP 30 sera quand même une bonne COP si on arrive à obtenir des réponses aux questions : comment préserver les océans et les forêts ? Et comment faire pour aider les pays du sud à affronter et à lutter contre le dérèglement climatique ? Tim Davie et Deborah Turness, directeurs à la BBC, ont démissionné après la révolution d'un montage trompeur de Donald Trump. Vu que c'est une chaîne de référence en matière d'information, Abnousse Shalmani dit que Donald Trump a raison et qu'il y avait vraiment une falsification. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Netanyahou face à la tempête : que cache son refus d’une enquête d’État ?Pourquoi Benyamin Netanyahou s’oppose-t-il à une commission d’enquête sur le 7 octobre ?Que redoute-t-il vraiment ?Et quelles tensions traversent aujourd’hui le sommet de l’armée israélienne ?
"Pascal Prong y a consacré une émission entière dans L'heure des Prong sur CNouilles". Le journaliste, représentant officiel de la France en Chine, raconte ce qui se passe chez nos amis chinois. Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mardi 4 novembre, Antoine Larigaudrie vous présente le placement à suivre dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Et si vos épreuves n'étaient pas là pour vous briser… mais pour vous propulser ?
Marschall Truchot, du lundi au jeudi de 17h à 19h avec Olivier Truchot & Alain Marschall. Deux heures pour faire un tour complet de l'actualité en présence d'invités pour expliquer et débattre sur les grands sujets qui ont marqué la journée.
Louis Amar vous raconte une histoire qui se déroule en ce moment même en Jamaïque : celle d'une tempête qui pourrait être la plus violente dans le pays depuis la création des suivis météorologiques. L'ouragan Mélissa, classé dans la catégorie la plus élevée, risquerait de toucher plus d'1 million de personnes…Tous les soirs du lundi au vendredi vers 19h20 sur France 5, Louis Amar vous raconte une des histoires qui a fait l'actualité dans sa “Story”.
Vendredi 24 octobre, la complaisance des marchés avant la tempête a été abordée par Patrice Gautry, chef économiste chez Union Bancaire Privée, Eric Bleines, directeur de la Gestion Actions de Swiss Life Gestion Privée, Valentine Ainouz, responsable de la stratégie taux chez Amundi Institute, et Virginie Robert, présidente de Constance Associés, reçus par Marc Fiorentino dans l'émission C'est Votre Argent sur BFM Business. Retrouvez l'émission le vendredi et réécoutez-la en podcast.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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À l'approche de la tempête Chenge, Mgr Michaël Durhône adresse un message de foi, d'espérance et de solidarité aux Agaléen by TOPFM MAURITIUS
Agalega en alerte : la tempête tropicale Chenge s'approche de l'île by TOPFM MAURITIUS
durée : 00:02:48 - L'info d'ici, ici Pays d'Auvergne - Dévastée par une tempête, le 27 août dernier, la Forêt des Colettes, dans l'Allier, est toujours défigurée. Deux mois après le sinistre, le chantier de nettoyage n'en est qu'à ses débuts, et déjà la menace d'un nouvel épisode de vents violents se profile. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez RTL Midi avec Amandine Bégot du 23 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Agaléga en alerte : la tempête Chenge ravive les souvenirs du cyclone Chido by TOPFM MAURITIUS
durée : 00:01:45 - L'info d'ici, ici Périgord Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Chroniqueurs : -Gauthier Le Bret -Eliot Deval -Georges Fenech -Caroline Ithurbide Invité : -Aleksandar Nikolic, Porte-Parole du RN et député européen Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce week-end, on a tous ressenti la même chose : la panique, la peur, la fatigue. Les cryptos ont vacillé, Bitcoin a chuté, les liquidations se sont enchaînées… bref, c'était encore une de ces périodes où le marché te teste jusqu'à la moelle. Et pourtant… c'est souvent dans ces moments-là que tout se joue.
Ce mardi 14 octobre, l'augmentation des défaillances d'entreprise, qui ont bondi de 7%, ainsi que l'obtention du prix Nobel d'économie et les leçons de Philippe Aghion pour l'économie française, ont été abordées par Mathieu Plane, directeur adjoint du département analyse et prévision de l'OFCE, Gilles Moëc, chef économiste du Groupe AXA, André Loesekrug-Pietri, président de Jedi (Joint European Disruptive Initiative), et Roland Gillet, professeur d'économie financière à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Le 29 août 2005, l'ouragan Katrina frappe la Nouvelle-Orléans avec une puissance dévastatrice. Malgré des alertes et une simulation prémonitoire un an plus tôt, l'État et les autorités locales sont mal préparés. Les digues cèdent, des quartiers entiers sont submergés, et 80 % de la ville se retrouve sous l'eau. Plus de 1 800 personnes meurent, des dizaines de milliers sont piégées. Le stade Superdome, refuge improvisé, devient un symbole du chaos et de l'abandon. La FEMA échoue à coordonner les secours, et les autorités locales se renvoient la faute. George W. Bush est critiqué pour son inertie. Entre pillages, pénuries et désinformation, la ville sombre. Katrina restera l'une des pires catastrophes naturelles de l'histoire américaine — et un désastre politique. Merci pour votre écoute Vous aimez l'Heure H, mais connaissez-vous La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiK , une version pour toute la famille.Retrouvez l'ensemble des épisodes de l'Heure H sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/22750 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : Un jour dans l'Histoire : https://audmns.com/gXJWXoQL'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvVous aimez les histoires racontées par Jean-Louis Lahaye ? Connaissez-vous ces podcast?Sous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppv36 Quai des orfèvres : https://audmns.com/eUxNxyFHistoire Criminelle, les enquêtes de Scotland Yard : https://audmns.com/ZuEwXVOUn Crime, une Histoire https://audmns.com/NIhhXpYN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La tempête Amy a provoqué des vents violents, des coupures d'électricité et deux décès en France, ainsi que des perturbations majeures.Traduction : Storm Amy unleashed severe winds, power outages and two deaths in France, along with major disruptions across Europe. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ce mardi 30 septembre, Antoine Larigaudrie a reçu Félix Baron, fondateur du club des Investisseurs Indépendants, et Chris?tian Fontaine, directeur de la rédaction Le Revenu, dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Invités : - Gilles Boutin, journaliste au Figaro Economie. - Hadrien Mathoux, directeur adjoint de la rédaction de Marianne. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:58:45 - Ils ont changé le monde - par : Isabelle Lasserre - Trente ans après leur entrée en vigueur, les accords de Schengen sont mis sous pression par la montée des discours souverainistes et la crise migratoire en Europe. Entre préservation du principe de libre-circulation et exigences sécuritaires, faut-il repenser l'espace Schengen et ses frontières ? - réalisation : Laure-Hélène Planchet - invités : Yves Bertoncini enseignant à l'ESCP Business school et au corps des mines. Consultant en affaires européennes, directeur de l'institut Jacques Delors de 2011 à 2017; Sylvie Goulard Ancienne Ministre de la défense.
durée : 00:58:45 - Ils ont changé le monde - par : Isabelle Lasserre - Trente ans après leur entrée en vigueur, les accords de Schengen sont mis sous pression par la montée des discours souverainistes et la crise migratoire en Europe. Entre préservation du principe de libre-circulation et exigences sécuritaires, faut-il repenser l'espace Schengen et ses frontières ? - réalisation : Laure-Hélène Planchet - invités : Yves Bertoncini enseignant à l'ESCP Business school et au corps des mines. Consultant en affaires européennes, directeur de l'institut Jacques Delors de 2011 à 2017; Sylvie Goulard Ancienne Ministre de la défense.
durée : 00:24:04 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Alexis Morel - Table ronde sur les maladies qui frappent les troupeaux d'élevage avec Barbara Dufour, professeure émérite à l'ENVA, Patrick Soury, secrétaire général de la FNO et éleveur de brebis en Charente, et Thomas Dantin, président de l'AFTAlp et éleveur producteur de lait à Meyrieux-Trouet en Savoie. - invités : Barbara Dufour, Patrick Soury, Thomas Dantin - Barbara Dufour : Vétérinaire, professeur émérite de maladies contagieuses et d'épidémiologie à l'École vétérinaire d'Alfort, Patrick Soury : Secrétaire général de la Fédération nationale ovine (FNO) et éleveur de brebis en Charente, Thomas Dantin : Président de L'Association des fromages traditionnels des Alpes savoyardes (AFTAlp) et éleveur producteur de lait à Meyrieux-Trouet en Savoie Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:24:04 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Alexis Morel - Table ronde sur les maladies qui frappent les troupeaux d'élevage avec Barbara Dufour, professeure émérite à l'ENVA, Patrick Soury, secrétaire général de la FNO et éleveur de brebis en Charente, et Thomas Dantin, président de l'AFTAlp et éleveur producteur de lait à Meyrieux-Trouet en Savoie. - invités : Barbara Dufour, Patrick Soury, Thomas Dantin - Barbara Dufour : Vétérinaire, professeur émérite de maladies contagieuses et d'épidémiologie à l'École vétérinaire d'Alfort, Patrick Soury : Secrétaire général de la Fédération nationale ovine (FNO) et éleveur de brebis en Charente, Thomas Dantin : Président de L'Association des fromages traditionnels des Alpes savoyardes (AFTAlp) et éleveur producteur de lait à Meyrieux-Trouet en Savoie Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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En 1774, alors qu'ils sont tout jeunes, Marie-Antoinette et Fersen se rencontrent lors d'un bal parisien : début d'amours magnifiques et tragiques… Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est à la fois un récit de voyage, un reportage journalistique et une analyse géopolitique. Avec L'Arbre et la Tempête, paru aux éditions Marchialy, le journaliste Quentin Muller nous dévoile les secrets de Socotra, cette île à la fois oubliée et convoitée à 300 km au large des côtes du Yémen. Une île qui se démarque par son paysage, sa langue, sa culture, surtout son histoire, mais qui n'échappe pas aux tumultes de la guerre civile. L'auteur y consacre une enquête fouillée, rythmée de ses rencontres avec les habitants et d'anecdotes locales avec, en fil rouge, l'histoire du Yémen. Le reste, c'est son auteur, Quentin Muller qui le raconte. À lire aussiThomas Juneau: au Yémen, «le conflit ne montre aucun signe d'apaisement»
Aujourd'hui, Bruno Poncet, Joëlle Dago-Serry et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
L'information fait les gros titres de la presse congolaise : le Garde des sceaux, Constant Mutamba, démissionne. Cette démission, pointe le site congolais Actualité CD, « fait suite à une série de controverses judiciaires et politiques qui ont ébranlé son mandat. Constant Mutamba avait suscité de grands espoirs lors de sa nomination en mai 2024, mais les récents scandales, notamment les accusations de détournement de fonds, ont précipité son départ. Ses ennuis ont pris une tournure décisive avec la levée de son immunité parlementaire par l'Assemblée nationale dimanche dernier, à la suite d'un réquisitoire du procureur général près la Cour de cassation. Accusé d'avoir détourné 19 millions de dollars dans un projet de construction de prison à Kisangani, il a également été visé pour outrage aux corps constitués après avoir dénoncé un prétendu complot politique contre lui. Ces accusations, combinées à l'interdiction de quitter Kinshasa et à la menace d'un mandat d'arrêt, ont rendu sa position intenable, le poussant à remettre sa démission. » Soupçons de corruption « La descente aux enfers se poursuit pour Mutamba », s'exclame Objectif Infos. « Le jeune ministre va sans détour passer du piédestal au banc des accusés. » « Le ministre de la Justice Constant Mutamba démissionne en pleine tempête judiciaire », lance le Journal de Kinshasa. « Ce nouvel épisode de la “Saga Mutamba” plonge une fois de plus le gouvernement congolais dans la tourmente, à quelques mois d'échéances politiques majeures. Alors que la présidence de Félix Tshisekedi tente de préserver sa stabilité, ce scandale met en lumière les fragilités persistantes du système politico-judiciaire en RDC. » « Constant Mutamba dans de sales draps ! », renchérit La Tempête des tropiques. « Pour les uns, cette affaire constitue une leçon pour certains responsables des institutions publiques qui gèrent les portefeuilles de l'Etat comme leurs boutiques. D'autres pensent qu'il s'agirait d'un règlement des comptes ourdi contre un ministre qui commençait à inquiéter certains magistrats véreux et de nombreux réseaux de malfaiteurs. Mais pour couper court à toutes les spéculations, la justice congolaise n'en sortira grandie que si le prévenu Constant Mutamba bénéficie d'un procès juste et équitable. » L'arroseur arrosé ? Jeune Afrique revient sur le parcours de ce jeune ministre de 37 ans : « Nommé Garde des sceaux en mai 2024, Constant Mutamba avait promis de réformer un système judiciaire qu'il qualifiait de “malade“, reprenant en cela les termes du président Tshisekedi. Il n'en aura pas eu le temps : malgré ses efforts pour échapper au couperet, affaires judiciaires et tensions politiques ont eu raison de lui. Ancien candidat à l'élection présidentielle de 2023, le fondateur du mouvement citoyen Nouvelle Génération pour l'émergence du Congo promettait de lutter contre la corruption et de promouvoir la transparence, avant que les soupçons de malversations financières ne viennent ternir son image. Il a tenté, en vain, de trouver une issue politique à ses déboires. (…) Constant Mutamba avait en effet publiquement dénoncé un “règlement de comptes“, précise Jeune Afrique, orchestré par des adversaires politiques, pointant du doigt des relations conflictuelles avec la Première ministre Judith Suminwa et le procureur général près la Cour de cassation, Firmin Mvonde, qu'il avait accusé de faire partie d'un “groupe de mafieux“ cherchant à l'humilier. Mais ces déclarations ont aggravé son cas. » En première ligne contre Kabila et le Rwanda Désormais, relève encore Jeune Afrique, « l'avenir du ministre déchu reste incertain, tout comme l'impact de cette affaire sur la dynamique politique congolaise. Constant Mutamba est en effet le ministre qui a ordonné la saisie des biens de l'ancien président Joseph Kabila et l'ouverture d'une enquête judiciaire contre ce dernier, accusé par Félix Tshisekedi d'être le “véritable patron“ de l'Alliance Fleuve Congo/M23, la rébellion soutenue par le Rwanda qui contrôle les villes de Goma et Bukavu, dans l'Est. » Qui plus est, note Actualité CD, « depuis la résurgence de la rébellion du M23, Constant Mutamba était en première ligne pour s'attaquer au Rwanda. Il avait été à la base de l'ouverture du procès public de Corneille Nangaa, leader politique de l'Alliance Fleuve Congo, ainsi que plusieurs de ses complices. (…) Constant Mutamba avait (aussi) promis une récompense à toute personne qui parviendrait à arrêter le président rwandais Paul Kagame qu'il qualifiait de “criminel de guerre“, suite à son soutien à la rébellion de l'AFC/M23. » D'ailleurs, relève encore Actualité CD, les autorités rwandaises « n'ont pas caché leur satisfaction face aux ennuis judiciaires de Mutamba. »
Pour plus d'informations : https://www.francaisauthentique.com/le-calme-avant-la-tempete