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Ne nous cachons pas derrière notre petit doigt : on aime tous ce petit frisson dans le dos, cette chair de poule quand on nous susurre à l'oreille une histoire de sorcière, de dame blanche ou d'esprit maléfique. Et pour ça, pas besoin d'aller bien loin…Dans ce nouvel épisode de Questions Voyage, Claire Rodineau, journaliste au Figaro, vous fait découvrir ses lieux animés favoris pendant la période d'Halloween.Questions Voyage, la chronique à glisser dans vos bagages… pour que voyager reste une partie de plaisir.Vous avez une question ? Le Figaro vous répond ! Contactez-nous à l'adresse mail suivante : redactionvoyage@lefigaro.frVous pouvez retrouver ce podcast sur lefigaro.fr, Apple Podcast, Spotify, Deezer, Amazon Music et toutes les plateformes d'écoute.Montage et mixage : Louis ChabainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, deux chroniqueurs présentent les infos indispensables à connaître en matière de culture : les dernières actus musique, les sorties littéraires ou cinéma, les nouvelles pièces de théâtre et les séries à ne pas manquer… C'est ici !
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Ils pensaient accueillir des réfugiés ukrainiens, ils se retrouvent avec une famille de Syriens. Les habitants de Paimpont, un village de Bretagne, vont faire face à cette situation déstabilisante. Voilà le point de départ du film Les Barbares, de Julie Delpy, une comédie piquante qui fait rire sur un sujet pourtant grave. RFI : Dans votre nouveau long métrage, vous traitez d'une situation a priori dramatique, à savoir l'accueil de réfugiés fuyant la guerre dans leur pays, mais sous la forme d'une comédie de mœurs. C'était un choix, la comédie, pour mieux faire passer des idées ?Julie Delpy : C'est-à-dire qu'il y a eu pas mal de films formidables sur les réfugiés. Mon approche, c'était plus d'avoir un regard sur le microcosme d'un petit village en France et sur notre réaction, à nous, en tant que Français, face à cette arrivée. Avec un éventail de réactions, qui vont de « bien intentionnées » à « mal intentionnées ». Je voulais donner un ton comique parce que, quelque part, je ne sais pas si je serais capable de faire un film dramatique sur ce sujet, qui me touche tellement que je pense que j'en deviendrais une loque humaine. Déjà, cela a été éprouvant de faire les interviews.Parce que vous êtes parties d'interviews de véritables réfugiés en Europe comme base de votre travail ?Voilà, mes coscénaristes m'ont rapporté tous ces documents. Eux ont été voir des associations, ils ont fait un travail de journaliste, pratiquement. C'était très intéressant d'apprendre toutes ces choses.La situation comique de départ, c'est ce petit village breton, Paimpont, qui pensait accueillir des Ukrainiens et qui se retrouve déstabilisé par l'arrivée d'une famille de migrants Syriens. C'est un peu, vous le disiez, une France en miniature, du maire qui parle comme Emmanuel Macron jusqu'à un membre du Conseil municipal, plombier d'extrême droite. Et puis votre personnage, à l'opposé, qui est une institutrice de gauche. Toutes les opinions, tout l'éventail est représenté.Voilà, et entre ces gens-là, il y en a pleins d'autres au milieu, qui sont bienveillants, pas bienveillants, qui étaient bienveillants au départ et qui deviennent moins bienveillants ensuite. Il y a tout le monde. Il y a aussi la transition, la transformation – qui se fait ici sur quelques semaines –, mais qui s'est passée en France dans ces dernières dizaines d'années. C'était essayer de recréer quelque chose, dans un contexte et un sujet très contenu, qui permettait d'explorer le sujet du racisme, du manque d'empathie et, en même temps, du trop-plein de vouloir aider aussi. Je pense que j'épargne personne dans le film. Et aussi de donner un point de vue aux réfugiés, car, eux aussi, ont leur point de vue sur la situation.Et alors, les « barbares » du titre, qui sont-ils ? Ce sont les autres, ceux qui ne parlent pas notre langue, pour reprendre l'étymologie de ce mot qui vient de la Grèce antique. Ou, au contraire, ce sont ceux qui refusent les étrangers par peur ?Pour moi, la barbarie, c'est le manque d'empathie face à l'autre, c'est la déshumanisation. Et la déshumanisation peut être celle d'une race par une autre, d'un genre par un autre, d'une idéologie par une autre, d'une religion par une autre. Elle existe sous plein de formes différentes. Elle s'est transformée, elle existe toujours, c'est en pleine forme d'ailleurs. À la base, il y a la version grecque des choses, c'est-à-dire un peuple sur un autre. Mais c'est une sorte de violence, une violence inacceptable.En même temps, le film est drôle, avec une note d'espoir. Ce n'est pas du tout un film désespéré.Ah oui, bien sûr ! Vous savez, nous vivons dans un monde tellement dur, triste et sans espoir en ce moment. Les gens se radicalisent dans tous les sens, ils vont aux extrêmes, dans les coins, et plus personne ne communique avec personne. Donc, je me suis dit, autant faire un film dans lequel les gens communiquent et qui finisse avec une lueur d'espoir.Les Barbares, de Julie Delpy, avec Sandrine Kiberlain, Laurent Lafitte, India Hair, distribué par le Pacte, 1h41. Sortie au cinéma le 18 septembre 2024.À écouter aussi«Les Barbares», une comédie irrésistible sur l'accueil des migrants
Ils pensaient accueillir des réfugiés ukrainiens, ils se retrouvent avec une famille de Syriens. Les habitants de Paimpont, un village de Bretagne, vont faire face à cette situation déstabilisante. Voilà le point de départ du film Les Barbares, de Julie Delpy, une comédie piquante qui fait rire sur un sujet pourtant grave. RFI : Dans votre nouveau long métrage, vous traitez d'une situation a priori dramatique, à savoir l'accueil de réfugiés fuyant la guerre dans leur pays, mais sous la forme d'une comédie de mœurs. C'était un choix, la comédie, pour mieux faire passer des idées ?Julie Delpy : C'est-à-dire qu'il y a eu pas mal de films formidables sur les réfugiés. Mon approche, c'était plus d'avoir un regard sur le microcosme d'un petit village en France et sur notre réaction, à nous, en tant que Français, face à cette arrivée. Avec un éventail de réactions, qui vont de « bien intentionnées » à « mal intentionnées ». Je voulais donner un ton comique parce que, quelque part, je ne sais pas si je serais capable de faire un film dramatique sur ce sujet, qui me touche tellement que je pense que j'en deviendrais une loque humaine. Déjà, cela a été éprouvant de faire les interviews.Parce que vous êtes parties d'interviews de véritables réfugiés en Europe comme base de votre travail ?Voilà, mes coscénaristes m'ont rapporté tous ces documents. Eux ont été voir des associations, ils ont fait un travail de journaliste, pratiquement. C'était très intéressant d'apprendre toutes ces choses.La situation comique de départ, c'est ce petit village breton, Paimpont, qui pensait accueillir des Ukrainiens et qui se retrouve déstabilisé par l'arrivée d'une famille de migrants Syriens. C'est un peu, vous le disiez, une France en miniature, du maire qui parle comme Emmanuel Macron jusqu'à un membre du Conseil municipal, plombier d'extrême droite. Et puis votre personnage, à l'opposé, qui est une institutrice de gauche. Toutes les opinions, tout l'éventail est représenté.Voilà, et entre ces gens-là, il y en a pleins d'autres au milieu, qui sont bienveillants, pas bienveillants, qui étaient bienveillants au départ et qui deviennent moins bienveillants ensuite. Il y a tout le monde. Il y a aussi la transition, la transformation – qui se fait ici sur quelques semaines –, mais qui s'est passée en France dans ces dernières dizaines d'années. C'était essayer de recréer quelque chose, dans un contexte et un sujet très contenu, qui permettait d'explorer le sujet du racisme, du manque d'empathie et, en même temps, du trop-plein de vouloir aider aussi. Je pense que j'épargne personne dans le film. Et aussi de donner un point de vue aux réfugiés, car, eux aussi, ont leur point de vue sur la situation.Et alors, les « barbares » du titre, qui sont-ils ? Ce sont les autres, ceux qui ne parlent pas notre langue, pour reprendre l'étymologie de ce mot qui vient de la Grèce antique. Ou, au contraire, ce sont ceux qui refusent les étrangers par peur ?Pour moi, la barbarie, c'est le manque d'empathie face à l'autre, c'est la déshumanisation. Et la déshumanisation peut être celle d'une race par une autre, d'un genre par un autre, d'une idéologie par une autre, d'une religion par une autre. Elle existe sous plein de formes différentes. Elle s'est transformée, elle existe toujours, c'est en pleine forme d'ailleurs. À la base, il y a la version grecque des choses, c'est-à-dire un peuple sur un autre. Mais c'est une sorte de violence, une violence inacceptable.En même temps, le film est drôle, avec une note d'espoir. Ce n'est pas du tout un film désespéré.Ah oui, bien sûr ! Vous savez, nous vivons dans un monde tellement dur, triste et sans espoir en ce moment. Les gens se radicalisent dans tous les sens, ils vont aux extrêmes, dans les coins, et plus personne ne communique avec personne. Donc, je me suis dit, autant faire un film dans lequel les gens communiquent et qui finisse avec une lueur d'espoir.Les Barbares, de Julie Delpy, avec Sandrine Kiberlain, Laurent Lafitte, India Hair, distribué par le Pacte, 1h41. Sortie au cinéma le 18 septembre 2024.À écouter aussi«Les Barbares», une comédie irrésistible sur l'accueil des migrants
durée : 02:03:29 - Musique matin du mardi 17 septembre 2024 - par : Jean-Baptiste Urbain - Avec son huitième long-métrage "Les Barbares", la réalisatrice et actrice se penche sur l'accueil d'une famille de réfugiés syriens dans un village breton. Une comédie grinçante scandée par des musiques de Mozart et Beethoven. Rencontre avec une artiste unique, également compositrice et chanteuse. - réalisé par : Margot Page
Entretien avec la réalisatrice Julie Delpy. À Paimpont, l'harmonie règne : parmi les habitants, il y a Joëlle – l'institutrice donneuse de leçons –, Anne – la propriétaire de la supérette portée sur l'apéro –, Hervé – le plombier alsacien plus breton que les Bretons –, ou encore Johnny – le garde-champêtre fan de… Johnny. Dans un grand élan de solidarité, ils acceptent avec enthousiasme de voter l'accueil de réfugiés ukrainiens. Sauf que les réfugiés qui débarquent ne sont pas ukrainiens… mais syriens ! Et certains, dans ce charmant petit village breton, ne voient pas l'arrivée de leurs nouveaux voisins d'un très bon œil. Alors, au bout du compte, c'est qui les barbares ?
durée : 00:59:30 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit - À partir du XIXe siècle, la forêt bretonne de Paimpont est identifiée à la légendaire Brocéliande. Du tombeau de Merlin au Val sans retour, comment la topographie légendaire de Brocéliande s'est-elle établie ? - invités : Calvez Marcel Professeur de sociologie à l'Université Rennes 2; Martin Aurell Professeur d'histoire médiévale à l'Université de Poitiers, spécialiste des Plantagenêts et de la légende arthurienne; Valérie Hannin Directrice de la rédaction du magazine L'Histoire
durée : 00:54:43 - LSD, la série documentaire - par : Perrine Kervran - Conflits d'usage en forêt de Paimpont entre propriétaires forestiers, touristes et habitants.
S'étendant sur 11 000 hectares, entre l'Ille-et-Vilaine et le Morbihan, la forêt de Brocéliande, aussi appelée forêt de Paimpont de manière plus administrative, est un formidable terrain pour ses promeneurs, mais aussi pour l'imagination. Mélange de bois, de landes, d'étangs, de traces historiques, voire préhistoriques, la forêt de Brocéliande a été le théâtre de nombreuses légendes. De quand date les premiers écrits sur cette forêt ? Quelles sont les légendes les plus connues autour de ce lieu ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant, vous savez - Culture". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Jonathan Aupart. A écouter aussi : Qu'est-ce que la nuit américaine au cinéma ? Comment la Vénus de Milo est-elle devenue une icône de beauté ? Quels sont ces films avec des scènes de sexe non simulées ? Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:59:23 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit - À partir du XIXe siècle, la forêt bretonne de Paimpont est identifiée à la légendaire Brocéliande. Du tombeau de Merlin au Val sans retour, comment la topographie légendaire de Brocéliande s'est-elle établie ? - invités : Calvez Marcel Professeur de sociologie à l'Université Rennes 2; Martin Aurell Professeur d'histoire médiévale à l'Université de Poitiers, spécialiste des Plantagenêts et de la légende arthurienne; Valérie Hannin Directrice de la rédaction du magazine L'Histoire
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durée : 00:59:08 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit - À partir du XIXe siècle, la forêt bretonne de Paimpont est identifiée à la légendaire Brocéliande. Du tombeau de Merlin au Val sans retour, comment la topographie légendaire de Brocéliande s'est-elle établie ? - invités : Calvez Marcel Professeur de sociologie à l'Université Rennes 2; Martin Aurell professeur à l'université de Poitiers; Valérie Hannin Directrice de la rédaction du magazine L'Histoire
://PLATFORM(rss_feej); :: FILE TRANSMISSION SUCCESSFUL. :: PODCUBE MODEL: Stylish Pointy Hat With Nine Stars v4. :: FILE INTEGRITY: 92%. :: ORIGIN: Paimpont Forest, France, June 23, 1261.
En l'absence d'Ugo, Inspiré de faits réels cède à la panique celtique. Ce mois-ci, Mathias reçoit Sylartichot pour une longue discussion sur Brocéliande de Doug Headline, un des films d'horreur français les plus mal-aimés des années 2000. Pourquoi tant de haine ? Comment est-on arrivé à un tel film ? Mathias donne des éléments de réponse en s'intéressant à la production mouvementée du long-métrage, et Sylar tente de ne pas se laisser emporter par le désespoir face à sa vision très gênante des Celtes et de l'archéologie. En fin d'émission, Sylar vous propose quelques recos : les travaux de l'historien Anatole Le Braz (particulièrement Magies de la Bretagne), le film The Green Knight de David Lowery et les séries Kaamelott, Brocéliande et - dans un autre registre - Undone. Mathias vous conseille bien évidemment de vos abonner à la chaîne YouTube de Sylartichot et de regarder sa vidéo sur la forêt de Paimpont, puis de revisiter la série Dolmen avec la série de vidéos de MrMeeea et Ginger Force. Et s'il vous reste du temps, tentez donc HPI avec Audrey Fleurot et Cédric Chevalme de Brocéliande ! Suivez Sylartichot sur YouTube : https://www.youtube.com/c/Sylartichot L'identité graphique du podcast est réalisée par Sax_illu et Rakun.kun. Mixage et montage réalisé par Mathias. Pour nous retrouver : Twitter : https://twitter.com/IFRpodcast Facebook : https://www.facebook.com/ifrpodcast/ Discord : https://discordapp.com/invite/3EThsvw "Come Play with Me" by Kevin MacLeod (incompetech.com). Licensed under Creative Commons: By Attribution 3.0 License.
La fontaine de Jouvence est, sous des noms divers, l'un des mythes les plus universels de l'humanité. En effet, elle traduit, dans toutes les cultures, une peur, celle de la vieillesse, qui débouche sur une mort inéluctable.Une tradition très ancienneLa fontaine de Jouvence était censée procurer la jeunesse à ceux qui buvaient son eau. Certaines traditions prétendaient même qu'elle les rendait immortels.On en trouve la trace dans la mythologie romaine. Le bain annuel qu'y prenait la déesse Junon, épouse de Zeus, lui redonnait une éternelle virginité.Certaines traditions religieuses mentionnent parfois une fontaine dont les eaux donneraient l'immortalité. C'est le cas de l'Islam, qui cite le cas d'un personnage du Coran lui devant son immortalité.On sait par ailleurs qu'Alexandre le Grand chercha en vain, toute sa vie, cette fontaine de Jouvence.La fontaine de BrocéliandeCertains récits situent la fontaine de Jouvence dans un lieu précis. C'est le cas de la légende du roi Arthur et de Merlin l'Enchanteur, qui parle d'une mystérieuse fontaine, dont les eaux couleraient non loin du tombeau du mage.Cette fontaine, située dans la forêt de Brocéliande, aujourd'hui Paimpont, en Bretagne, s'offre toujours au regard du visiteur. Si elle est réputée rajeunir ceux qui s'abreuvent de ses eaux, c'est peut-être en raison d'un usage local.Chaque année, en effet, les nouveau-nés étaient lavés dans la fontaine, appelée "jaouanc" en langue celtique, ce qui veut dire "jeunesse". Puis ils étaient inscrits sur un registre. Les parents qui ne pouvaient venir inscrivaient leurs enfants l'année suivante, mais avec un an de moins.Mais sachez qu'une autre fontaine est candidate: la fontaine de Ponce de LeonExplorateur espagnol et premier gouverneur de Porto Rico, en 1509, Juan Ponce de Leon est surtout connu pour avoir découvert la Floride.Et c'est au cours d'une de ses expéditions dans la région qu'il aurait découvert une fontaine de Jouvence. Il l'aurait recherchée depuis des années, notamment pour guérir de son impuissance. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
durée : 00:02:11 - Les Escapades de Pierrick Gavaud FB Armorique - Avec Pierrick Gavaud
Dans ce deuxième voyage en Bretagne Enchanteresse, nous accueillons Auriella Mabire, Herboriste. Passionnée par la forêt, elle grandit en infusant dans ses légendes. Après le bac elle se lance donc dans des études d'Herboristerie, le début d'une longue formation entre science (écoles de plantes), sciences humaines (Sorbone, EHESS) et conscience, entre la France et l'étranger où elle se familiarisera avec différentes techniques d'apprentissage et de cure. Elle pose finalement enfin ses valises à Paimpont, petit village au coeur de la forêt en 2018 et ouvre l'Herboristerie. Pour en savoir plus : https://herboristerie-broceliande.com/ https://www.facebook.com/EnBroceliande/ www.armelleberaudy.fr www.facebook.com/ifeelgood888 En vidéo sur : https://youtu.be/ECC7k9Md5iE Pour contribuer à votre podcast I Feel Good : https://www.helloasso.com/.../adhesion-membres-usagers
Dans ce deuxième voyage en Bretagne enchanteresse, nous accueillons Auriella Mabire qui rêvait d'être herboriste à Brocéliande quand elle était enfant. Passionnée par la forêt, elle grandit en infusant dans ses légendes. Après le bac elle se lance donc dans des études d'Herboristerie, le début d'une longue formation entre science (écoles de plantes), sciences humaines (Sorbone, EHESS) et conscience, entre la France et l'étranger où elle se familiarisera avec différentes techniques d'apprentissage et de cure. Elle pose finalement enfin ses valises à Paimpont, petit village au coeur de la forêt en 2018 et ouvre l'Herboristerie. Pour aller plus loin RV sur l page Facebook de l'émission : www.facebook.com/ifeelgood888 ou sur mon site internet www.armelleberaudy.fr Site d'Auriella Mabire, herboriste : https://herboristerie-broceliande.com Pour contribuer à votre podcast I Feel Good : https://www.helloasso.com/associations/guimik-gallery/adhesions/adhesion-membres-usagers
Invité : Mylène Gauter – Médiatrice scientifique pour la station biologique de Paimpont (35) En 2020, la Fête des Sciences en Brocéliande est maintenue et s’adaptera aux nouvelles règles sanitaires. Elle réunit plus de 10 partenaires pour proposer des rendez-vous gratuits – sur réservation – à destination de grands et petits. Cette 5ème édition aura […]
Interview/Invité. : Sebastien Moreau, Association La Plume et La Feuille 5ème édition du Festival Art & Nature « Forêts » Du 18 au 20 Septembre à PAIMPONT ! Nous avons reçu au micro de Timbre FM le Mercredi 09 Septembre 2020, Sebastien Moreau, qui fait partie de l’association La Plume et La Feuille, et qui a chaleureusement […]
Située dans la forêt de Paimpont, en Bretagne, la fontaine de Barenton est l'un des hauts lieux de la légende arthurienne. Réputée pour ses pouvoirs miraculeux, elle est aujourd'hui classée comme un "monument naturel", qui attire toujours les visiteurs épris de merveilleux... See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
durée : 00:03:02 - Les Escapades de Pierrick Gavaud FB Armorique
Here’s Moony’s pick for the season, please enjoy “The Serpent and the Mirror” by Paimpont. We have Canada on the line, but it’s not our usual Canadian. We have show notes, well some of us do. In the story we have Doctor Dumbledore working to find out what’s wrong with Harry P. We go through […]