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durée : 00:02:39 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - La France s'est classée en 7e position, samedi soir à l'Eurovision, après la prestation de Louane. Une nouvelle fois, la France ne remportera pas le concours... - réalisation : Félicie Faugère
durée : 00:02:39 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - La France s'est classée en 7e position, samedi soir à l'Eurovision, après la prestation de Louane. Une nouvelle fois, la France ne remportera pas le concours... - réalisation : Félicie Faugère
Les experts et journalistes de RFI répondent aussi à vos questions sur la dissolution des partis politiques au Mali et un nouvel appel d'offres sur les blocs pétroliers en RDC. Cameroun : pourquoi la production de coton chute ? Le pays présente les meilleurs rendements de coton du continent africain. Pourtant, les prévisions de la campagne 2024-2025 annoncent une baisse importante de la production, 290 000 tonnes contre 400 000 tonnes lors de la précédente campagne. Comment expliquer cette baisse conséquente ? Les cotonculteurs camerounais peuvent-ils espérer une compensation financière du gouvernement ?Avec Charlotte Cosset, journaliste au service économie de RFI. Mali : après la dissolution des partis politiques, quel avenir pour l'opposition ? Le général Assimi Goïta a signé le décret supprimant la Charte des partis politiques, entrainant la dissolution des 300 partis du pays. Comment les autorités de transition justifient-elles cette décision ? Désormais, comment l'opposition peut-elle s'organiser ? Quelle est la marge de manœuvre de la justice malienne ?Avec David Baché, journaliste au service Afrique de RFI. RDC : nouvel appel d'offres pour les blocs pétroliers Après l'échec de l'appel d'offres lancé en 2022, le gouvernement congolais vient d'ouvrir à l'exploration de 55 nouveaux blocs pétroliers. À l'époque, pourquoi les investisseurs avaient-ils été réticents ? Que proposent les autorités pour concilier exploitation pétrolière et prise en compte des enjeux environnementaux ?Avec Paulina Zidi, correspondante de RFI à Kinshasa. Sans oublier en fin d'émission la chronique « Un œil sur les réseaux » de Jessica Taieb. Au programme, les premiers pronostics pour le Ballon d'Or 2025 !
Ce samedi 17 mai 2025, c'est le Grand Concours de l'Eurovision avec Louane pour représenter nos couleurs françaises, avec le titre "Maman". On espère qu'elle va enfin vaincre le signe indien. Même si depuis 1977, la France a vraiment tout faux à l'Eurovision... Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Suède a déjà gagné 7 fois le concours (la dernière fois en 2023) et a fini des dizaines de fois dans le top 5. Et cette année encore les suédois sont donnés favoris avec le groupe KAJ et son titre "Bara Bada Bastu" ... Quel est le secret ?
Ce jeudi 15 mai, la position de la France en tant que pays européen le plus attractif pour les investissements étrangers, selon le baromètre EY, a été abordée par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce jeudi 15 mai, la position de la France en tant que pays européen le plus attractif pour les investissements étrangers, selon le baromètre EY, a été abordée par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:03:58 - Le Pourquoi du comment : philo - par : Frédéric Worms - La vérité n'est pas seulement un exercice intellectuel, mais un acte courageux confronté à des enjeux éthiques et politiques. Elle comporte des risques, notamment face au pouvoir. Comment assumer la vérité lorsqu'elle exige de dire ce qui fait peur ou déplaît ? - réalisation : Clotilde Pivin
durée : 00:03:52 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - L'Algérie et la France traversent depuis plus de neuf mois une crise diplomatique d'une gravité inédite, marquée ces derniers jours par une nouvelle série d'expulsions de fonctionnaires de part et d'autre. La diplomatie française peine à distinguer les contours d'une issue favorable.
durée : 00:14:27 - 100% ASNL - La saison exceptionnelle de l'ASNL est le fruit d'une résilience collective face à de nombreuses incertitudes, tant sur le plan du recrutement que de l'environnement du club. Avec un titre de champion et l'accession en Ligue 2, cette performance, méritée, ne doit pas être galvaudée.
Un nouvel épisode dans les tensions entre Paris et Alger. Le ministre des Affaires étrangères a annoncé ce mardi sur BFMTV l'expulsion de nouveaux diplomates algériens. Une mesure en réponse à la décision d'Alger de renvoyer de son sol 15 fonctionnaires français. Que s'est-il passé? Pourquoi cette nouvelle montée de tension entre les deux pays? On pose la question à Thierry Arnaud, éditorialiste politique internationale à BFMTV.
durée : 00:03:46 - Le Pourquoi du comment : philo - par : Frédéric Worms - La vérité ne se réduit pas aux passions, même si elle les déclenche souvent. Pour sortir des conflits et fonder la justice ou la science, il faut des critères communs. Chercher la vérité, est-ce défier les intérêts et survivre aux passions humaines ? - réalisation : Rafik Zénine
Ce mardi 13 mai, les raisons de la forte baisse des forfaits mobiles ont été abordées par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Les États-Unis et la Chine ont annoncé lundi suspendre pour trois mois la majeure partie des droits de douane prohibitifs qu'ils s'étaient mutuellement imposés. Cette suspension prendra effet à minuit dans la nuit de mardi à mercredi. Un retour à la raison pour ces deux nations qui avaient beaucoup trop à perdre.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mardi 13 mai, les raisons de la forte baisse des forfaits mobiles ont été abordées par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Les États-Unis et la Chine ont annoncé lundi suspendre pour trois mois la majeure partie des droits de douane prohibitifs qu'ils s'étaient mutuellement imposés. Cette suspension prendra effet à minuit dans la nuit de mardi à mercredi. Un retour à la raison pour ces deux nations qui avaient beaucoup trop à perdre.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:45 - Le Pourquoi du comment : philo - par : Frédéric Worms - Pourquoi la quête de vérité dérange-t-elle tant ? Socrate fut condamné non pour ses idées, mais pour avoir questionné les critères mêmes de la vérité. L'Apologie de Platon montre que chercher librement la vérité, sans prétendre la détenir, suffit parfois à déclencher passions et violences. - réalisation : Rafik Zénine
durée : 00:03:44 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - Les Kurdes tournent une page de leur Histoire. Le Parti des travailleurs a annoncé sa dissolution lundi 12 mai. C'est un succès pour le président turc mais il comporte des risques.
La maladie de La Peyronie est un trouble médical qui affecte le pénis et provoque une courbure anormale lors de l'érection. Cette affection, souvent source d'anxiété et de gêne, touche environ 1 homme sur 100, surtout après 40 ans, mais sa fréquence est probablement sous-estimée en raison du tabou qui l'entoure.Le nom de la maladie vient de François Gigot de La Peyronie, chirurgien du roi Louis XV, qui fut le premier à la décrire au XVIIIe siècle. Elle se caractérise par la formation de tissu cicatriciel, appelé plaque fibreuse, dans l'enveloppe du pénis, connue sous le nom de tunica albuginea.Comment cela fonctionne-t-il ?Le pénis est constitué de deux cylindres appelés corps caverneux, entourés par la tunica albuginea. Lors d'une érection, ces corps se remplissent de sang et s'élargissent, mais pour que le pénis se redresse correctement, la tunica doit rester souple et élastique.Dans la maladie de La Peyronie, des fibroses (zones de tissu durci) se forment dans cette enveloppe. Elles empêchent la tunica de s'étirer uniformément, ce qui entraîne une courbure, voire une déformation du pénis lors de l'érection. Plus la plaque est rigide ou étendue, plus la courbure est marquée.La direction de la courbure dépend de l'emplacement de la plaque :Si elle est sur la face supérieure : le pénis se courbe vers le haut.Si elle est sur le côté : il se penche latéralement.Dans de rares cas, la plaque se trouve tout autour, provoquant un rétrécissement en forme de "sablier".Quelles sont les causes ?La cause exacte reste inconnue, mais plusieurs facteurs de risque sont identifiés :Traumatismes répétés lors des rapports sexuels (même mineurs),Prédispositions génétiques,Maladies du tissu conjonctif, comme la maladie de Dupuytren (déformation de la main),Vieillissement naturel des tissus,Certaines carences en vitamines, comme la vitamine E, ont aussi été évoquées.Quelles sont les conséquences ?La maladie de La Peyronie peut provoquer :Douleurs lors de l'érection (surtout au début),Difficultés à avoir des rapports sexuels en raison de la déviation,Troubles de l'érection, dans environ 30 % des cas,Un impact psychologique important : honte, perte de confiance, dépression.Existe-t-il des traitements ?Oui, mais ils dépendent de la gravité. Les formes légères peuvent être surveillées. Des traitements médicamenteux, comme la collagénase, peuvent réduire la plaque. En cas de courbure sévère, une chirurgie correctrice est envisagée. Une prise en charge psychologique peut aussi être utile.En somme, la maladie de La Peyronie est une affection réelle, parfois handicapante, mais prise au sérieux par la médecine moderne, avec des options thérapeutiques disponibles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Il y a presque 31 ans, en mai 1992, un piège mortel se tendait sur le plus célèbre des juges antimafia, Giovanni Falcone. Pendant des semaines, la Cosa Nostra, la mafia sicilienne, a mis au point cette spectaculaire opération... Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La forteresse de Mimoyecques, située dans le Pas-de-Calais, fut construite par l'Allemagne nazie durant la Seconde Guerre mondiale dans le but de mener une attaque massive contre Londres. Ce site souterrain, dissimulé dans une colline près de la Manche, devait abriter une arme aussi redoutable que révolutionnaire : le canon V3. Contrairement aux V1 (missiles volants) et V2 (premiers missiles balistiques), le V3 était un supercanon conçu pour frapper la capitale britannique à très longue distance, sans possibilité de riposte.L'objectif stratégique de la forteresse était clair : infliger à Londres des bombardements constants, à raison de plusieurs centaines d'obus par jour, dans l'espoir de briser le moral de la population et de forcer le Royaume-Uni à capituler. Pour cela, les ingénieurs allemands développèrent un système complexe de canons à chambres multiples. Le principe consistait à utiliser une série de charges explosives réparties le long du tube du canon, qui s'enclenchaient en séquence pour accélérer progressivement un projectile de 140 kg. La portée estimée atteignait 165 kilomètres — suffisante pour toucher le cœur de Londres depuis Mimoyecques.Le site fut choisi pour sa proximité avec la côte anglaise et pour ses caractéristiques géologiques favorables : le sous-sol crayeux permettait le creusement de galeries profondes, à l'abri des bombardements. Plusieurs galeries inclinées furent creusées pour accueillir les tubes du V3, avec un réseau logistique impressionnant de bunkers, de casemates et de voies ferrées souterraines.Mais le projet prit du retard en raison de difficultés techniques. Les premiers tests révélèrent des problèmes de stabilité et de précision. Surtout, les Alliés furent rapidement alertés du danger que représentait Mimoyecques grâce à des photos aériennes et des informations fournies par la Résistance française. La Royal Air Force lança plusieurs bombardements en 1944, dont l'un particulièrement efficace le 6 juillet, utilisant les bombes "Tallboy", capables de pénétrer profondément dans le sol. Une frappe frappa directement un puits de lancement et tua de nombreux ouvriers allemands, compromettant gravement le projet.L'invasion de la Normandie, en juin 1944, scella définitivement le sort de Mimoyecques. Avant même d'être opérationnel, le site fut abandonné. Le V3 ne tirera jamais sur Londres.En résumé, la forteresse de Mimoyecques a menacé Londres car elle représentait une base de lancement pour une arme conçue spécifiquement pour bombarder la ville de manière continue. Elle incarne une des tentatives les plus ambitieuses de la guerre psychologique et technologique menée par le régime nazi. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans un relatif silence médiatique, la Chine vient d'accomplir une première mondiale majeure : le déploiement de la première constellation de satellites sur une orbite rétrograde lointaine (Distant Retrograde Orbit, ou DRO) entre la Terre et la Lune. Cette avancée technologique représente un tournant dans l'exploration de l'espace profond et annonce une redéfinition potentielle des stratégies de communication, de navigation et de soutien logistique pour les futures missions lunaires.Qu'est-ce qu'une orbite rétrograde lointaine ?Une orbite rétrograde lointaine est une trajectoire gravitationnelle stable qui entoure la Lune dans le sens opposé à sa rotation (d'où "rétrograde") et à une altitude très élevée, généralement située entre 60 000 et 70 000 kilomètres au-dessus de la surface lunaire. Cette orbite tire parti des équilibres gravitationnels complexes entre la Terre et la Lune, offrant une stabilité exceptionnelle avec peu de corrections nécessaires. Elle a été choisie par la NASA pour la future station spatiale lunaire Gateway, mais jusqu'à présent, aucun pays n'avait réussi à y déployer une constellation complète de satellites.C'est précisément ce que la Chine a accompli. Selon les informations fournies par l'agence spatiale chinoise (CNSA), plusieurs petits satellites ont été positionnés avec succès sur cette orbite au moyen d'une mission automatisée, conçue pour tester des capacités de communication, d'observation et de navigation dans un environnement cislunaire complexe. Les satellites peuvent se coordonner entre eux, former un maillage dynamique, et relayer des données vers la Terre et vers d'autres engins spatiaux.Techniquement, ce déploiement est une démonstration impressionnante de maîtrise de la mécanique orbitale et du contrôle autonome dans l'espace profond. Il pourrait permettre à la Chine d'assurer des liaisons stables et durables avec des missions habitées ou robotiques opérant à la surface de la Lune, ou même sur sa face cachée, où les communications directes avec la Terre sont impossibles.Au-delà de la prouesse technologique, cette mission marque l'entrée dans une nouvelle ère de l'exploration lunaire, dans laquelle les infrastructures orbitales joueront un rôle central. Les orbites rétrogrades lointaines pourraient devenir les futurs axes de circulation logistique pour les modules habités, les véhicules automatisés et les relais de communication.Alors que la NASA et l'ESA finalisent leurs plans pour Artemis et Gateway, la Chine prend une longueur d'avance discrète mais stratégique. Le déploiement de cette constellation sur orbite DRO ne vise pas seulement à soutenir des missions lunaires : il prépare le terrain pour une présence permanente dans l'espace cislunaire. Une étape de plus vers une colonisation rationnelle et géopolitiquement compétitive de notre satellite naturel. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Comment « Minecraft » a sauvé le studio Warner de la débâcle et pourquoi relance-t-il la mode des adaptations de jeux vidéo ? Comment Alain Chabat a réussi à se renouveler 22 ans après « Mission Cléopâtre » et trouvé le vrai secret de la potion magique ? Pourquoi « La chambre de Mariana » restera un film important dans la carrière de Mélanie Thierry ? Les découvertes musicales : Ed Sheeran - Old Phone Parcels – Yougotmefeeling Benee- A Minecraft Movie Soundtrack - Zero to Hero Avalon Emerson - On It Goes Merci pour votre écoute La semaine des 5 Heures, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 19h à 20h00 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de La semaine des 5 Heures avec les choix musicaux de Rudy dans leur intégralité sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/1451 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:22 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Pourquoi on transpire lorsqu'on a peur ? se demande Paulo, de Tours. Le docteur André-François Arcier s'est intéressé au trac des artistes, il lui répond. - réalisé par : Stéphanie TEXIER
Depuis plus de 80 ans, l'Inde et le Pakistan se disputent cette région située à l'Ouest de la chaîne de l'Himalaya. Mais pourquoi ces deux pays se battent-ils pour ces terres et pourquoi ce territoire s'appelle-t-il le Cachemire ? Vincent Serrano vous explique tout.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Toutes les réponses à tes questions ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Alors que la grève à la SNCF a débuté ce lundi, les perturbations devraient s'intensifier d'ici jeudi, au grand dam des voyageurs. Une colère d'autant plus compréhensible que le groupe ferroviaire, toujours largement subventionné par l'État malgré ses bénéfices récents, pèse lourd sur les finances publiques.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pourquoi la Bourse continue de monter, même quand tout semble aller mal ? Croissance molle, tensions géopolitiques, bénéfices en baisse… mais les indices tiennent.Et la réponse, elle tient peut-être en 4 lettres : BTFD (Buy The F**ing Dip*). Depuis la crise de 2008, les marchés nous ont habitués à des baisses courtes et des rebonds violents.Résultat : plus personne n'imagine un vrai marché baissier. Le réflexe "acheter la baisse" est devenu une stratégie par défaut… voire une religion.Je ne cherche pas à faire peur, juste à remettre un peu de lucidité là où l'euphorie domine !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que la grève à la SNCF a débuté ce lundi, les perturbations devraient s'intensifier d'ici jeudi, au grand dam des voyageurs. Une colère d'autant plus compréhensible que le groupe ferroviaire, toujours largement subventionné par l'État malgré ses bénéfices récents, pèse lourd sur les finances publiques.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:45 - Le Pourquoi du comment : philo - par : Frédéric Worms - À quoi sert la peur ? Pourquoi peut-elle nous égarer ? Comment distinguer les vrais dangers des illusions ? La raison suffit-elle à calmer nos peurs ou les amplifie-t-elle ? - réalisation : Rafik Zénine
Si tu observes attentivement la Joconde, le célèbre tableau de Léonard de Vinci exposé au Louvre, un détail intrigue immédiatement : elle n'a ni sourcils ni cils. Un visage d'une précision incroyable, un regard presque vivant… mais un front totalement nu. Comment expliquer cette absence ?Une mode de la Renaissance ?Pendant longtemps, on a pensé que l'absence de sourcils était simplement liée à la mode de l'époque. Au début du XVIe siècle, en Italie, certaines femmes aristocrates s'épilaient les sourcils (et parfois la racine des cheveux) pour dégager le front, considéré alors comme un signe de beauté et de noblesse. Selon cette hypothèse, Mona Lisa (ou Lisa Gherardini, si l'on en croit la thèse majoritaire) aurait pu suivre cette tendance esthétique.Mais cette explication ne tient pas totalement : d'autres portraits de femmes de la même époque montrent clairement des sourcils, même fins ou discrets. Et Léonard de Vinci, connu pour son obsession du réalisme, aurait-il vraiment volontairement omis un tel détail ?Une disparition progressiveL'explication la plus crédible aujourd'hui repose sur l'histoire matérielle du tableau. La Joconde a plus de 500 ans, et au fil des siècles, elle a été soumise à des restaurations, nettoyages et vernissages qui ont pu altérer les détails les plus fins.Une étude scientifique menée par le spécialiste Pascal Cotte, en 2004, à l'aide d'une technologie de réflectographie multispectrale, a révélé qu'à l'origine, Léonard avait bien peint des sourcils et des cils, très fins et délicats. Mais ces détails auraient disparu avec le temps, en raison de l'usure naturelle de la couche picturale ou de restaurations trop agressives. En somme, les sourcils étaient là, mais ils se sont effacés au fil des siècles.Un effet renforçant le mystèreL'absence de sourcils contribue aussi, paradoxalement, au mystère et à l'ambiguïté du visage de la Joconde. Son expression indéfinissable, ce mélange de sourire et de neutralité, est renforcé par ce manque de lignes faciales qui encadreraient normalement le regard. Ce flou contribue au caractère intemporel et énigmatique du tableau, qui fascine depuis des siècles.En résumé : la Joconde avait probablement des sourcils, peints avec la finesse propre à Léonard de Vinci. Mais le temps, les restaurations et les vernis les ont effacés. Ce détail oublié est devenu un élément clé de son mystère. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
S'il doit appeler au cours d'une conférence à la Sorbonne lundi les scientifiques du monde entier à venir ou revenir exercer en Europe, Emmanuel Macron se heurte à un problème. Celui, notamment, du faible investissement de la France dans sa recherche.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec la mort du pape François et les tractations qui vont aboutir à l'élection de son successeur, ce qui nous est donné de voir est une église catholique déployée sur tous les continents...▶ Soutenez Le Média :
S'il doit appeler au cours d'une conférence à la Sorbonne lundi les scientifiques du monde entier à venir ou revenir exercer en Europe, Emmanuel Macron se heurte à un problème. Celui, notamment, du faible investissement de la France dans sa recherche.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour écouter mon podcast Choses à Savoir Culture Générale:Apple Podcast:https://podcasts.apple.com/fr/podcast/choses-%C3%A0-savoir-culture-g%C3%A9n%C3%A9rale/id1048372492Spotify:https://open.spotify.com/show/3AL8eKPHOUINc6usVSbRo3?si=e794067703c14028----------------------------La température corporelle humaine "normale", établie à 37 °C par le médecin allemand Carl Wunderlich en 1851, n'est aujourd'hui plus d'actualité. Plusieurs études récentes confirment que cette valeur a progressivement diminué au fil des deux derniers siècles. En moyenne, les hommes modernes ont vu leur température chuter de 0,59 °C et les femmes de 0,32 °C. Ainsi aujourd'hui la température moyenne est aujourd'hui autour de 36,6 °C, voire un peu moins. Cette évolution, bien que surprenante à première vue, s'explique scientifiquement par des facteurs biologiques et environnementaux.L'une des hypothèses principales repose sur la baisse généralisée des niveaux d'inflammation chronique dans la population. En effet, au XIXe siècle, les infections bactériennes étaient beaucoup plus fréquentes (tuberculose, syphilis, maladies dentaires, etc.). Elles provoquaient des inflammations durables, stimulant le système immunitaire et augmentant la température de base du corps. Or, avec l'amélioration des conditions sanitaires, l'accès aux antibiotiques, à la vaccination et à une meilleure hygiène, le fardeau infectieux a nettement diminué.Une étude emblématique publiée en 2020 dans la revue eLife par le Pr. Julie Parsonnet et son équipe de l'université de Stanford a confirmé ce phénomène. En analysant plus de 677 000 données de température corporelle collectées aux États-Unis entre 1862 et 2017, les chercheurs ont observé une baisse constante de la température moyenne, décennie après décennie. Selon eux, la diminution de l'inflammation systémique et de l'activité du système immunitaire expliquerait en grande partie cette évolution.Mais ce n'est pas tout : notre mode de vie moderne joue aussi un rôle essentiel. Les êtres humains vivent aujourd'hui dans des environnements thermiquement plus stables et confortables, grâce au chauffage central et à la climatisation. Cette stabilité thermique réduit le besoin pour le corps de réguler activement sa température en produisant de la chaleur – un processus métabolique coûteux en énergie. Moins sollicité, le métabolisme de base ralentit, ce qui peut entraîner une baisse légère mais mesurable de la température corporelle.D'autres facteurs sont évoqués, comme la réduction de l'activité physique, l'évolution de la masse corporelle moyenne, ou encore les modifications de l'alimentation. L'ensemble de ces changements contribue à redéfinir la "norme" physiologique humaine.En somme, la baisse de notre température corporelle est le reflet d'une transformation profonde de notre santé, de notre environnement et de notre mode de vie. Elle ne témoigne pas d'un dysfonctionnement, mais plutôt d'une adaptation biologique à un monde moins hostile et plus maîtrisé. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:36:44 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Dans un récent rapport de l'Inspection générale des affaires sociales, les Français sont présentés comme les plus mauvais en termes de pratique managériale. La culture française est-elle inadaptée au management ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Danièle Linhart Sociologue, directrice de recherches émérite au CNRS; Frédéric Laloue inspecteur général des affaires sociales, co-auteur du rapport “Pratiques managériales dans les entreprises et politiques sociales en France : Les enseignements d'une comparaison internationale (Allemagne, Irlande, Italie, Suède) et de la recherche”
durée : 00:03:56 - Le Pourquoi du comment : philo - par : Frédéric Worms - Qu'est-ce que la justice et sur quels fondements repose-t-elle ? Où commence l'injustice ? Peut-on se faire justice soi-même ? La justice est-elle une affaire de proportion ? Pourquoi avons-nous besoin de tribunaux ? La justice a-t-elle des limites ? - réalisation : Riyad Cairat
Aujourd'hui, la Suisse est mondialement associée au chocolat de qualité. Pourtant, ce petit pays alpin ne cultive pas de cacao et n'a découvert le chocolat qu'assez tardivement dans son histoire. Alors comment expliquer qu'il soit devenu, au fil des siècles, l'un des berceaux du chocolat moderne ? La réponse se trouve dans un savant mélange d'innovation, d'industrie, de marketing… et de culture du goût.1. Une entrée tardive, mais décisiveLe chocolat arrive en Europe au XVIe siècle via l'Espagne, ramené par les conquistadors. Pendant longtemps, il est consommé sous forme de boisson amère, souvent épicée. Il faut attendre le XVIIIe siècle pour que le chocolat commence à se démocratiser et que les premiers artisans suisses s'y intéressent. La Suisse ne fait donc pas partie des pionniers du chocolat… mais elle va bientôt révolutionner sa fabrication.2. Des inventions suisses qui changent toutLe véritable tournant s'opère au XIXe siècle, lorsque les Suisses ne se contentent plus de transformer le cacao, mais inventent de nouvelles techniques qui vont redéfinir le chocolat.Tout commence en 1875, avec Daniel Peter, un chocolatier de Vevey, qui cherche à rendre le chocolat plus doux et plus accessible. À cette époque, le chocolat est encore amer et assez dur. Peter a l'idée d'y intégrer du lait condensé, un produit mis au point par son voisin et beau-frère, Henri Nestlé, pionnier de l'alimentation infantile. Cette alliance va donner naissance au premier chocolat au lait solide, plus onctueux, plus sucré, et immédiatement populaire. Ce type de chocolat devient rapidement la norme en Europe et conquiert le monde.Mais la texture du chocolat restait encore granuleuse. C'est là qu'intervient Rodolphe Lindt, chocolatier à Berne. En 1879, il invente la technique du conchage, un procédé qui consiste à malaxer lentement le chocolat pendant des heures dans une cuve chauffée. Ce processus, alors révolutionnaire, permet d'éliminer l'acidité résiduelle, de réduire la granulométrie des particules et d'ajouter du beurre de cacao pour obtenir une texture extrêmement lisse et fondante, jusqu'alors inconnue.Grâce à ces deux innovations – le chocolat au lait et le chocolat conché – la Suisse transforme un produit amer et rustique en une douceur raffinée et addictive. Elle impose une nouvelle norme de qualité, qui deviendra le modèle pour l'industrie chocolatière mondiale.3. Une industrie structurée et tournée vers l'exportTrès tôt, les chocolatiers suisses comprennent l'intérêt de l'industrialisation et de l'exportation. Des marques comme Cailler, Suchard, Toblerone, Nestlé ou Lindt se développent rapidement et partent à la conquête des marchés étrangers. Grâce à la qualité constante de leur production, à un emballage soigné et à une forte identité visuelle, ces marques s'imposent comme des références internationales.4. Un savoir-faire et une image soignéeEnfin, la Suisse a su cultiver une image d'excellence : propreté, précision, neutralité… Des valeurs que les marques suisses ont transposées au chocolat. Associée à des paysages alpins et à un art de vivre raffiné, la tablette suisse devient un symbole de qualité, de tradition et de fiabilité, renforcé par une réglementation stricte sur la pureté des produits.En résumé, la Suisse est devenue le pays du chocolat non pas grâce à ses plantations de cacao, mais grâce à des inventions décisives, une maîtrise industrielle hors pair, et une identité forte qui font encore aujourd'hui rayonner son chocolat dans le monde entier. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:39 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - Cinq mois après l'annulation du scrutin en raison de soupçons d'ingérence russe, une nouvelle élection présidentielle se tient dimanche 4 mai en Roumanie. L'ombre du président américain plane au-dessus de ce vote dans ce pays membre de l'UE et de l'OTAN.
durée : 00:03:25 - Le Pourquoi du comment : philo - par : Frédéric Worms - Pour coexister, faut-il "être raisonnable" ? La raison imposée n'est-elle pas frustrante ? Trop de raison, ou pas assez : selon Kant, c'est en la critiquant qu'on évite l'illusion, l'erreur… et les dérives qui menacent la paix entre les humains. - réalisation : Riyad Cairat
La température corporelle humaine "normale", établie à 37 °C par le médecin allemand Carl Wunderlich en 1851, n'est aujourd'hui plus d'actualité. Plusieurs études récentes confirment que cette valeur a progressivement diminué au fil des deux derniers siècles. En moyenne, les hommes modernes ont vu leur température chuter de 0,59 °C et les femmes de 0,32 °C. Ainsi aujourd'hui la température moyenne est aujourd'hui autour de 36,6 °C, voire un peu moins. Cette évolution, bien que surprenante à première vue, s'explique scientifiquement par des facteurs biologiques et environnementaux.L'une des hypothèses principales repose sur la baisse généralisée des niveaux d'inflammation chronique dans la population. En effet, au XIXe siècle, les infections bactériennes étaient beaucoup plus fréquentes (tuberculose, syphilis, maladies dentaires, etc.). Elles provoquaient des inflammations durables, stimulant le système immunitaire et augmentant la température de base du corps. Or, avec l'amélioration des conditions sanitaires, l'accès aux antibiotiques, à la vaccination et à une meilleure hygiène, le fardeau infectieux a nettement diminué.Une étude emblématique publiée en 2020 dans la revue eLife par le Pr. Julie Parsonnet et son équipe de l'université de Stanford a confirmé ce phénomène. En analysant plus de 677 000 données de température corporelle collectées aux États-Unis entre 1862 et 2017, les chercheurs ont observé une baisse constante de la température moyenne, décennie après décennie. Selon eux, la diminution de l'inflammation systémique et de l'activité du système immunitaire expliquerait en grande partie cette évolution.Mais ce n'est pas tout : notre mode de vie moderne joue aussi un rôle essentiel. Les êtres humains vivent aujourd'hui dans des environnements thermiquement plus stables et confortables, grâce au chauffage central et à la climatisation. Cette stabilité thermique réduit le besoin pour le corps de réguler activement sa température en produisant de la chaleur – un processus métabolique coûteux en énergie. Moins sollicité, le métabolisme de base ralentit, ce qui peut entraîner une baisse légère mais mesurable de la température corporelle.D'autres facteurs sont évoqués, comme la réduction de l'activité physique, l'évolution de la masse corporelle moyenne, ou encore les modifications de l'alimentation. L'ensemble de ces changements contribue à redéfinir la "norme" physiologique humaine.En somme, la baisse de notre température corporelle est le reflet d'une transformation profonde de notre santé, de notre environnement et de notre mode de vie. Elle ne témoigne pas d'un dysfonctionnement, mais plutôt d'une adaptation biologique à un monde moins hostile et plus maîtrisé. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
À première vue, La Liberté guidant le peuple d'Eugène Delacroix semble tout droit sortie de la Révolution française de 1789 : une femme aux seins nus brandit le drapeau tricolore, une foule en armes avance sur des cadavres, et l'ambiance est à l'insurrection. Beaucoup s'imaginent qu'il s'agit d'une représentation de la prise de la Bastille. Pourtant, ce tableau ne représente pas 1789. Il évoque un autre moment clé de l'histoire de France : les Trois Glorieuses, c'est-à-dire la révolution de juillet 1830.À cette époque, la France est sous la monarchie restaurée. Charles X, frère de Louis XVI, est au pouvoir, mais son autoritarisme croissant provoque la colère du peuple. En juillet 1830, il tente un passage en force en suspendant la liberté de la presse et en restreignant le droit de vote. En réaction, Paris se soulève pendant trois jours — du 27 au 29 juillet — et chasse le roi du pouvoir. Ces journées sont restées dans l'histoire sous le nom de « Trois Glorieuses ». Elles marquent la fin de la Restauration et l'avènement de la monarchie de Juillet, dirigée par Louis-Philippe.C'est cet événement que Delacroix a voulu immortaliser. Dans une lettre à son frère, il écrit : « J'ai entrepris un sujet moderne, une barricade. Et si je n'ai pas combattu pour mon pays, du moins peindrai-je pour lui. » Le peintre ne cherche donc pas à représenter une révolution passée, mais bien celle de son époque, qu'il transforme en une scène mythique et intemporelle.La femme centrale du tableau n'est pas une figure réelle, mais une allégorie de la Liberté, inspirée de l'Antiquité. Elle incarne l'élan populaire et révolutionnaire, avec ses attributs symboliques : bonnet phrygien, drapeau tricolore, démarche héroïque. Autour d'elle, on reconnaît des personnages issus de toutes les classes sociales : bourgeois, ouvriers, étudiants, mêlés dans une même lutte.Alors pourquoi la confusion persiste-t-elle avec 1789 ? Tout simplement parce que Delacroix a volontairement emprunté les codes visuels et émotionnels de la Révolution française. Il voulait inscrire 1830 dans une continuité révolutionnaire, évoquer une idée universelle de liberté et de soulèvement.En somme, La Liberté guidant le peuple n'est pas un tableau historique au sens strict, mais une œuvre symbolique, engagée, qui transcende l'actualité pour exalter l'esprit révolutionnaire. C'est cette ambiguïté entre histoire réelle et mythe républicain qui explique, encore aujourd'hui, les malentendus sur son véritable sujet. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Et quels acteurs attachants – comme Jim Sturgess – retrouve-t-on au générique ? Après plus de dix ans d'absence, le cinéaste Régis Wargnier réussit-il son retour avec « La réparation » ? « Septembre sans attendre », une romcom espagnole réussie ? Les découvertes musicales : Oscar Les Vacances - Soleil en vrai Peter Doherty - The Day The Baron Died Djo – Charlie's garden Vendredi sur Mer - Arrêter le temps feat. Sofiane Pamart Matmos - Changing States Merci pour votre écoute La semaine des 5 Heures, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 19h à 20h00 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de La semaine des 5 Heures avec les choix musicaux de Rudy dans leur intégralité sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/1451 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le nombre de cas de Méningite flambe en France. Selon les derniers chiffres de Santé publique France, les contaminations ont bondi de 10% en un an. Le ministère de la Santé a annoncé ce jeudi qu'il va falloir vacciner davantage. Pour les bébés jusqu'à 2 ans, ce sera même obligatoire. Les explications avec notre journaliste Santé Agathe Landais. Ecoutez Ca va beaucoup mieux avec Agathe Landais du 25 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:22 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - Selon le plan proposé par Donald Trump, la péninsule annexée par la Russie pourrait revenir dans le giron de Moscou. Une idée jugée inacceptable par l'Ukraine.
durée : 00:03:14 - Géopolitique - par : Pierre Haski - La Chine a finalement publié mardi un communiqué poli sur la mort du pape, avec un retard de 24 heures sur le reste du monde. C'est le signe de l'échec du pape François à normaliser les relations du Vatican avec Pékin comme il le souhaitait : il le vivait comme l'un de ses grands échecs.
durée : 00:03:38 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - Emmanuel Macron est en tournée dans l'océan Indien. Une zone dont l'importance géopolitique est souvent sous-estimée.
Au huitième mois d'une crise diplomatique d'une rare intensité entre Paris et Alger, les relations ne se sont toujours pas adoucies. Depuis qu'Emmanuel Macron a reconnu, en juillet 2024, la souveraineté du Maroc sur la Sahara occidental, rien ne va plus entre l'Algérie et l'ancien pays colonisateur. Le ton est ensuite monté d'un cran avec l'arrestation à Alger de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, notoirement critique envers le régime. Début 2025, les polémiques sur les ressortissants algériens expulsés de France, et que les autorités algériennes refusent de reprendre, ont crispé davantage de part et d'autre de la Méditerranée.Au mois de mars les deux présidents Macron et Tebboune ont tenté de renouer le dialogue, mais l'arrestation le 11 avril d'un agent consulaire algérien a ravivé les tensions. Code source fait le point avec Henri Vernet, journaliste au service politique du Parisien, et Joanna Blain, journaliste au service international.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Thibault Lambert, Clara Garnier-Amouroux, Pénélope Gualchierotti, Clémentine Spiler - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : LeFigaro, France Info, BFMTV, TF1. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'est un fait, il n'y a pas de cacaoyer en Suisse. Le pays n'est pas vraiment connu pour ses colonies, encore moins pour ses grands navigateurs... Alors comment le pays est-il devenu une référence en matière de chocolat ? Dans "Ah Ouais ?" cette semaine, Vincent Serrano répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.