Podcasts about syriens

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Konflikt
Från terror till statsbygge – ett år med Syriens nya ledning

Konflikt

Play Episode Listen Later Dec 12, 2025 55:55


För ett år sen tvingades den avskydde diktatorn Bashar al Assad till landsflykt i Ryssland. Hur mycket hopp ska sättas till den nya syriska ledningen? Lyssna på alla avsnitt i Sveriges Radios app. Frilansjournalisten Lina Malers besökte Damaskus i samband med firandet på årsdagen av Assadsfall och talade bland annat med Khalida och hennes son Muhammed som förlorat viktiga ungdomsår i fängelse under Assadregimen. Hon träffade också en ung svensksyrier som vi kallar Abdallah som återvänt till sitt gamla hemland för att hjälpa den nya syriska regeringen.Andra medverkande: Orwa Ajjoub, doktorand vid institutionen för Globala Politiska Studier vid Malmö universitet, Migrationsminister Johan Forsell och bistånds- och handelsminister Benjamin Dousa, Muayyad Al -Bunni, ekonom och exilsyrier verksam i Ungern och May Alekthyar, svensksyrier och ingenjör som varit med i Konflikt flera gånger tidigare och kommenterat utvecklingen i sitt gamla hemland.Programledare: Kajsa Boglindkajsa.boglind@sr.seReporter: Lina MalersProducent: Ulrika Bergqvist ulrika.bergqvist@sr.se

Accents d'Europe
La question du retour pour les réfugiés syriens en Europe

Accents d'Europe

Play Episode Listen Later Dec 10, 2025 19:30


Un an après la chute du régime du Bachar el-Assad en Syrie, quelles conséquences pour tous les Syriens qui avaient fui le régime ? Se posent-ils la question du retour ?  Selon les chiffres des Nations unies, 1,2 million de réfugiés ont déjà choisi de rentrer, tandis que près de deux millions qui étaient des déplacés internes ont pu retrouver leur région d'origine.   Pression allemande pour le retour En Allemagne où l'on trouve la plus grande communauté de réfugiés syriens d'Europe occidentale, près d'un million, le gouvernement de Friedrich Merz a pris une position très en rupture avec l'histoire récente. Sous la pression du parti d'extrême droite AFD, Berlin veut désormais inciter, voire même forcer les retours. La communauté installée depuis dix ans, avec parfois des enfants nés sur le sol allemand, a accueilli ces propos avec scepticisme et incompréhension. Reportage à  Berlin de Delphine Nerbollier.    La Turquie toujours pays d'accueil Et qu'en est-il en Turquie ? Le pays voisin de la Syrie, qui a accueilli de loin le plus grand nombre de réfugiés. Certes, les sentiments anti-migrants ont émergé dans la société, mais le gouvernement Erdogan ne renie pas son statut de pays d'accueil. Sa principale préoccupation reste la stabilité de l'autre côté de la frontière. D'autant que les réfugiés syriens sont aussi devenus essentiels à la bonne marche de l'économie. Depuis Ankara, les explications d'Anne Andlauer.     En Pologne, l'éducation à la santé ne passera pas par l'école...  Une nouvelle matière destinée à donner des connaissances de base aux élèves sur des thèmes aussi vastes que, le bien manger, l'activité physique, mais aussi la santé mentale, et l'éducation sexuelle fait désormais l'objet d'un boycott de la part des parents. 70% des familles ont désinscrit leur enfant de cette matière optionnelle. En cause, une campagne de l'Église qui a aussi été relayée par les politiques. Reportage à Varsovie d'Adrien Sarlat.     La chronique musique de Vincent Théval   L 'Islandaise Ólöf Arnalds  Heimurinn núna.

Accents d'Europe
La question du retour pour les réfugiés syriens en Europe

Accents d'Europe

Play Episode Listen Later Dec 10, 2025 19:30


Un an après la chute du régime du Bachar el-Assad en Syrie, quelles conséquences pour tous les Syriens qui avaient fui le régime ? Se posent-ils la question du retour ?  Selon les chiffres des Nations unies, 1,2 million de réfugiés ont déjà choisi de rentrer, tandis que près de deux millions qui étaient des déplacés internes ont pu retrouver leur région d'origine.   Pression allemande pour le retour En Allemagne où l'on trouve la plus grande communauté de réfugiés syriens d'Europe occidentale, près d'un million, le gouvernement de Friedrich Merz a pris une position très en rupture avec l'histoire récente. Sous la pression du parti d'extrême droite AFD, Berlin veut désormais inciter, voire même forcer les retours. La communauté installée depuis dix ans, avec parfois des enfants nés sur le sol allemand, a accueilli ces propos avec scepticisme et incompréhension. Reportage à  Berlin de Delphine Nerbollier.    La Turquie toujours pays d'accueil Et qu'en est-il en Turquie ? Le pays voisin de la Syrie, qui a accueilli de loin le plus grand nombre de réfugiés. Certes, les sentiments anti-migrants ont émergé dans la société, mais le gouvernement Erdogan ne renie pas son statut de pays d'accueil. Sa principale préoccupation reste la stabilité de l'autre côté de la frontière. D'autant que les réfugiés syriens sont aussi devenus essentiels à la bonne marche de l'économie. Depuis Ankara, les explications d'Anne Andlauer.     En Pologne, l'éducation à la santé ne passera pas par l'école...  Une nouvelle matière destinée à donner des connaissances de base aux élèves sur des thèmes aussi vastes que, le bien manger, l'activité physique, mais aussi la santé mentale, et l'éducation sexuelle fait désormais l'objet d'un boycott de la part des parents. 70% des familles ont désinscrit leur enfant de cette matière optionnelle. En cause, une campagne de l'Église qui a aussi été relayée par les politiques. Reportage à Varsovie d'Adrien Sarlat.     La chronique musique de Vincent Théval   L 'Islandaise Ólöf Arnalds  Heimurinn núna.

Les histoires de 28 Minutes
Au-delà du silence / Syrie : transition démocratique ou dérive autocratique ?

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Dec 9, 2025 46:19


L'émission 28 minutes du 09/12/2025 Surdité, fraternité et besoin d'être entendue : le combat de ManonDepuis plus de 25 ans, la réalisatrice et scénariste Dominique Fischbach documente la vie de Manon Altazin-Raimbault, première et unique femme sourde pilote d'avion en France, et de sa famille. Après trois documentaires qui racontent déjà l'handicap vécu par Manon, Dominique Fischbach revient avec "Elle entend pas la moto", prévu en salles le 10 décembre. Elle retrace l'histoire tourmentée de cette famille mêlant images d'archives et images filmées par la réalisatrice. Les deux femmes sont nos invitées ce soir. Syrie, un an après : transition démocratique ou dérive autocratique ?Il y a un an, en décembre 2024, le règne de la dynastie al-Assad, marqué par 14 ans de guerre civile et plus de cinquante ans d'oppression, a pris fin. À l'occasion de ce premier anniversaire, les Syriens sont descendus dans les rues de Damas. C'est en tenue militaire que le président par intérim Ahmed al-Charaa, autoproclamé en mars dernier, a pris la parole ce lundi 8 décembre pour exhorter son peuple à s'unir afin de rebâtir un pays. Il a évoqué “l'inauguration d'une aube radieuse basée sur la justice, la coexistence et la bienveillance”. Les premières élections législatives ont eu lieu en octobre dernier, mais sont jugées tronquées par de nombreux observateurs en raison de l'absence de vote des communautés druzes et kurdes. Les électeurs et les élus ont été, en partie, choisis par le pouvoir en place. Enfin, seulement deux Conseils des ministres ont été réunis depuis la constitution du gouvernement syrien.On en débat avec Agnès Levallois, présidente de l'IReMMO et spécialiste du Proche-Orient, Omar Youssef Souleimane, écrivain franco-syrien et Anthony Samrani, rédacteur en chef du quotidien libanais “L'Orient-Le Jour”.Enfin, Xavier Mauduit nous raconte une histoire de dinosaures après que la France a restitué des fossiles à la Mongolie au terme d'un long processus judiciaire. Marie Bonnisseau revient sur la nouvelle inauguration de la Vierge de la Macarena de Séville après un premier fiasco.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 9 décembre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio

Les histoires de 28 Minutes
[Débat] Syrie, un an après : transition démocratique ou dérive autocratique ?

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Dec 9, 2025 22:39


L'émission 28 minutes du 09/12/2025 Syrie, un an après : transition démocratique ou dérive autocratique ? Il y a un an, en décembre 2024, le règne de la dynastie al-Assad, marqué par 14 ans de guerre civile et plus de cinquante ans d'oppression, a pris fin. À l'occasion de ce premier anniversaire, les Syriens sont descendus dans les rues de Damas. C'est en tenue militaire que le président par intérim Ahmed al-Charaa, autoproclamé en mars dernier, a pris la parole ce lundi 8 décembre pour exhorter son peuple à s'unir afin de rebâtir un pays. Il a évoqué “l'inauguration d'une aube radieuse basée sur la justice, la coexistence et la bienveillance”. Les premières élections législatives ont eu lieu en octobre dernier, mais sont jugées tronquées par de nombreux observateurs en raison de l'absence de vote des communautés druzes et kurdes. Les électeurs et les élus ont été, en partie, choisis par le pouvoir en place. Enfin, seulement deux Conseils des ministres ont été réunis depuis la constitution du gouvernement syrien.On en débat avec Agnès Levallois, présidente de l'IReMMO et spécialiste du Proche-Orient, Omar Youssef Souleimane, écrivain franco-syrien et Anthony Samrani, rédacteur en chef du quotidien libanais “L'Orient-Le Jour”.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 9 décembre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio

Reportage France
En Guyane, les exilés d'Afrique du Nord coincés dans une grande précarité

Reportage France

Play Episode Listen Later Dec 9, 2025 2:34


Cela fait 10 ans que la France a rétabli les contrôles à ses frontières terrestres, en contradiction avec le principe de libre-circulation des personnes dans l'Union européenne.  Certains choisissent de rejoindre la France par les territoires d'Outre-mer, quitte à faire des milliers de kilomètres. En Guyane, département ultra-marin frontalier du Brésil, les Syriens, Afghans et Marocains comptaient parmi les cinq nationalités qui déposaient le plus de demandes de protection en 2024. Un long voyage coûteux, mais moins dangereux pour les familles ou les personnes vulnérables. Sauf qu'une fois sur place, le parcours du combattant commence. La préfecture de Cayenne est le deuxième guichet en termes de dépôts de demandes après Paris. Et les services sont extrêmement engorgés. Reportage de notre correspondante à Cayenne.  À lire aussiEn Guyane, les demandes d'asile ont été multipliées par trois à cause de l'afflux d'Haïtiens

Les matins
Les Syriens célèbrent le premier anniversaire de la chute du régime de Bachar el-Assad

Les matins

Play Episode Listen Later Dec 8, 2025 15:29


durée : 00:15:29 - Journal de 8 h - Il y a un an, le 8 décembre 2024, le régime de Bachar el-Assad était renversé par une coalition islamiste, après des décennies de règne du clan familial. Les Syriens célèbrent leur nouvelle liberté.

Les matins
Syrie, le retour après des années d'exil

Les matins

Play Episode Listen Later Dec 8, 2025 4:55


durée : 00:04:55 - Le Reportage de la rédaction - Un an après la chute de Bachar Al-Assad, le 8 décembre 2024, plus d'un million de Syriens sont rentrés au pays, surtout depuis la Turquie et le Liban. Entre espoir et difficultés, ils font face à l'immense défi de reconstruire une nation meurtrie.

Un jour dans le monde
Un an après la chute de Bachar al-Assad : émission spéciale à Damas

Un jour dans le monde

Play Episode Listen Later Dec 8, 2025 82:28


durée : 01:22:28 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - Bachar al-Assad a fui la Syrie il y a un an jour pour jour. Et en ce jour d'anniversaire, Un jour dans le monde est parti à la rencontre des Syriens pour deux heures d'émission spéciale mêlant reportages et discussions avec nos invités sur place. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Le journal de 8H00
Les Syriens célèbrent le premier anniversaire de la chute du régime de Bachar Al-Assad

Le journal de 8H00

Play Episode Listen Later Dec 8, 2025 15:29


durée : 00:15:29 - Journal de 8 h - Il y a un an, le 8 décembre 2024, le régime de Bachar Al-Assad était renversé par une coalition islamiste, après des décennies de règne du clan familial. Les Syriens célèbrent leur nouvelle liberté.

InterNational
Un an après la chute de Bachar al-Assad : émission spéciale à Damas

InterNational

Play Episode Listen Later Dec 8, 2025 82:28


durée : 01:22:28 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - Bachar al-Assad a fui la Syrie il y a un an jour pour jour. Et en ce jour d'anniversaire, Un jour dans le monde est parti à la rencontre des Syriens pour deux heures d'émission spéciale mêlant reportages et discussions avec nos invités sur place. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Les journaux de France Culture
Les Syriens célèbrent le premier anniversaire de la chute du régime de Bachar Al-Assad

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Dec 8, 2025 15:29


durée : 00:15:29 - Journal de 8 h - Il y a un an, le 8 décembre 2024, le régime de Bachar Al-Assad était renversé par une coalition islamiste, après des décennies de règne du clan familial. Les Syriens célèbrent leur nouvelle liberté.

Grand angle
Les jeunes Syriens entre envies de reconstruction et rêves de départ

Grand angle

Play Episode Listen Later Dec 8, 2025 2:23


durée : 00:02:23 - France Inter sur le terrain - Un an après la chute du régime de Bachar al-Assad, les jeunes reprennent peu à peu espoir. Autrefois considérés comme une génération "perdue", les 20-25 ans profitent d'une nouvelle liberté d'expression. Mais le marasme économique continue de pousser certains d'entre eux à l'extérieur du pays. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Le Reportage de la rédaction
Syrie, le retour après des années d'exil

Le Reportage de la rédaction

Play Episode Listen Later Dec 8, 2025 4:55


durée : 00:04:55 - Le Reportage de la rédaction - Un an après la chute de Bachar al-Assad, le 8 décembre 2024, plus d'un million de Syriens sont rentrés au pays, surtout depuis la Turquie et le Liban. Entre espoir et difficultés, ils font face à l'immense défi de reconstruire une nation meurtrie.

Invité du jour
L'après-Assad, promesse ou mirage ? Parlons-en avec A. Sarradin, A. Samrani et D. Alboz

Invité du jour

Play Episode Listen Later Dec 8, 2025 44:26


Il y a un an chutait la dynastie Assad en Syrie, après une offensive éclaire des combattants du groupe Hayat Tahrir al Cham (HTC). Nous nous souvenons de l'émotion et l'immense espoir des Syriens à l'époque, après plus de 50 ans de dictature. Mais où en est cette nouvelle Syrie aujourd'hui, un an après ? Parlons-en avec Arthur Sarradin, journaliste, Anthony Samrani, co-rédacteur en chef de L'Orient-Le Jour et Dana Alboz, correspondante de France 24 à Damas.

Reportage International
Syrie: un an après la chute de Bachar el-Assad, à Moadamiyeh, les expropriations divisent toujours

Reportage International

Play Episode Listen Later Dec 7, 2025 2:31


En Syrie, un an après la chute de la dictature de Bachar el-Assad, près de trois millions de familles déplacées par la guerre ont fait le choix de rentrer dans leur ville d'origine. À leur retour, nombre d'entre elles font face à des logements occupés et à des terres expropriées, le plus souvent par des familles alaouites, minorité accusée d'être liée au clan Assad. À Moadamiyeh, dans la Ghouta occidentale, ces expropriations participent à la montée des tensions communautaires. De notre envoyée spéciale à Damas, De l'autre côté d'un barbelé, deux hommes regardent les étendues de terres qui appartenaient autrefois à leurs grands-parents. Des terres expropriées il y a 40 ans par l'ancien régime Assad, avant d'accueillir la macabre prison de l'aéroport militaire de Mezzeh. « Ma plus grande blessure, c'est que mon frère et mon fils, qui étaient propriétaires de ces terres, y ont été emmenés, torturés, écrasés, puis tués. Tués sur leurs propres terres ! », raconte le premier. « Voler la terre d'un être humain, c'est comme voler son âme », renchérit le second. À (re)lire aussiBachar el-Assad amende une loi qui menaçait d'exproprier des millions de Syriens 83% des habitants expropriés de leurs terres À Moadamiyeh, ville historiquement révolutionnaire de Syrie, les expropriations auraient concerné, selon ses habitants, 83% des terres. À l'époque, elles visaient à loger des familles d'officiers du régime et à construire des infrastructures militaires. « Le régime a fait ça partout, tout autour de Damas. Pour que, si jamais une révolution éclate – comme ce fut le cas –, ils puissent nous assiéger », poursuit l'un de nos interlocuteurs. Au total, ces deux hommes affirment avoir été privés de 22 000 m², pour une valeur estimée, disent-ils, à près de 15 millions de dollars, soit plus de 12 millions d'euros. Une partie de ces terres est aujourd'hui recouverte par les maisons de tôle du quartier alaouite de Somoriyeh : « Le quartier commence au niveau de cette gare jusqu'à la route qui mène à Beyrouth, là-bas. Ce sont tous des partisans de l'ancien régime. À l'époque, ils arrêtaient les habitants de Moadamiyeh et de Daraya pour les ramener ici, les torturer, voire les tuer. » Tout autour du quartier, une clôture a été érigée il y a une dizaine de jours par les autorités. Officiellement, elle vise à séparer les familles alaouites des logements destinés aux nouveaux officiers. Une version à laquelle les habitants ne croient pas. « C'est une manière de nous compliquer la vie, pour qu'on quitte nos maisons par nous-mêmes », avance un habitant alaouite. À écouter aussiSyrie : après la chute de Bachar el-Assad, la difficile unification du pays « À l'époque du régime, personne ne nous réclamait ces terres ! » La plupart redoutent d'être délogés, voire de subir des représailles. « Cet été, des hommes sont venus en nous disant que ces terres appartenaient aux familles de Moadamiyeh. Ils criaient et essayaient de nous dégager. Ils avaient des armes et ils sont entrés dans nos maisons », raconte un second habitant. Ahmad – prénom d'emprunt –, âgé de 25 ans, affirme avoir été interpellé par la Sécurité générale : « Ils m'ont frappé avec des bâtons dans le dos et à la tête. » Sa mère, assise à ses côtés, se balance nerveusement sur sa chaise : « J'ai peur qu'ils me sortent de chez moi. Je n'ai pas d'autre maison. » À ses côtés, un vieil homme sort alors un document, se disant propriétaire de son logement depuis 40 ans. En réalité, sur la feuille, une décision non officielle d'un comité lié à l'ancien régime. « Je les ai achetées à un homme dans la rue qui disait vendre des terrains. Je ne comprends pas : à l'époque du régime, personne ne nous réclamait ces terres ​​​​​​​! », assure-t-il. Pour tenter d'apaiser les tensions, le gouverneur de Damas a assuré que personne ne serait expulsé tant qu'une solution de relogement n'aura pas été trouvée. À lire aussiSyrie: dans la ville frontalière d'Al-Hamidiyeh, des maisons détruites par les bulldozers israéliens

Géopolitique, le débat
Un an de pouvoir d'Ahmad Al-Charaa. Syrie, un pays en réanimation?

Géopolitique, le débat

Play Episode Listen Later Dec 7, 2025 48:27


Le 8 décembre 2024, il y a un an, Bachar al-Assad le dictateur syrien quittait Damas pour Moscou, après la prise de la capitale syrienne par les rebelles de Hayat Tahrir al Cham. Surnommé le «boucher de Damas», Bachar al-Assad dirigeait le pays depuis juillet 2000, succédant à son père Hafez al-Assad, dictateur non moins sanguinaire à la tête du pays depuis 1971. Un chapitre de plus d'un demi-siècle d'horreur, de massacres et d'oppressions se refermait pour le peuple syrien. Non sans séquelles.   À la surprise générale, l'opération des rebelles se déroula en un éclair. Il ne leur fallut pas plus de dix jours pour faire tomber le régime que l'on pensait inébranlable, après 12 années de guerre, plus de deux millions de morts, environ 500.000 disparus et 12 millions de Syriens déplacés à cause de la violence liée au conflit, soit la moitié de la population. Regard sur la Syrie du président Ahmad al-Charaa. Difficultés économiques et sociales, séparation des communautés, insécurité, les défis sont nombreux. Luttes internes, ingérences régionales, pression d'Israël. La Syrie reste un espace stratégique central pour les grandes puissances : sa position géographique, ses accès aux routes régionales, son rôle dans l'équilibre du Levant et les multiples présences militaires en font un territoire où intérêts géopolitiques et enjeux de sécurité internationale s'entrecroisent. Quelles perspectives démocratiques en Syrie, pays au centre des rivalités régionales ?  Invités : Fabrice Balanche, maître de conférences à l'Université Lyon 2, spécialiste du Moyen-Orient. «Les leçons de la crise syrienne», éd. Odile Jacob, ouvrage récompensé par le prix du livre Géopolitique. Hakim Khaldi du Département des Opérations de Médecins sans Frontières à Paris. Spécialiste du Moyen-Orient à MSF où il a effectué de nombreuses missions. «Carnets de bord. Dans la Syrie post-Assad», éd. L'Harmattan. 

Reportage international
Syrie: un an après la chute de Bachar el-Assad, à Moadamiyeh, les expropriations divisent toujours

Reportage international

Play Episode Listen Later Dec 7, 2025 2:31


En Syrie, un an après la chute de la dictature de Bachar el-Assad, près de trois millions de familles déplacées par la guerre ont fait le choix de rentrer dans leur ville d'origine. À leur retour, nombre d'entre elles font face à des logements occupés et à des terres expropriées, le plus souvent par des familles alaouites, minorité accusée d'être liée au clan Assad. À Moadamiyeh, dans la Ghouta occidentale, ces expropriations participent à la montée des tensions communautaires. De notre envoyée spéciale à Damas, De l'autre côté d'un barbelé, deux hommes regardent les étendues de terres qui appartenaient autrefois à leurs grands-parents. Des terres expropriées il y a 40 ans par l'ancien régime Assad, avant d'accueillir la macabre prison de l'aéroport militaire de Mezzeh. « Ma plus grande blessure, c'est que mon frère et mon fils, qui étaient propriétaires de ces terres, y ont été emmenés, torturés, écrasés, puis tués. Tués sur leurs propres terres ! », raconte le premier. « Voler la terre d'un être humain, c'est comme voler son âme », renchérit le second. À (re)lire aussiBachar el-Assad amende une loi qui menaçait d'exproprier des millions de Syriens 83% des habitants expropriés de leurs terres À Moadamiyeh, ville historiquement révolutionnaire de Syrie, les expropriations auraient concerné, selon ses habitants, 83% des terres. À l'époque, elles visaient à loger des familles d'officiers du régime et à construire des infrastructures militaires. « Le régime a fait ça partout, tout autour de Damas. Pour que, si jamais une révolution éclate – comme ce fut le cas –, ils puissent nous assiéger », poursuit l'un de nos interlocuteurs. Au total, ces deux hommes affirment avoir été privés de 22 000 m², pour une valeur estimée, disent-ils, à près de 15 millions de dollars, soit plus de 12 millions d'euros. Une partie de ces terres est aujourd'hui recouverte par les maisons de tôle du quartier alaouite de Somoriyeh : « Le quartier commence au niveau de cette gare jusqu'à la route qui mène à Beyrouth, là-bas. Ce sont tous des partisans de l'ancien régime. À l'époque, ils arrêtaient les habitants de Moadamiyeh et de Daraya pour les ramener ici, les torturer, voire les tuer. » Tout autour du quartier, une clôture a été érigée il y a une dizaine de jours par les autorités. Officiellement, elle vise à séparer les familles alaouites des logements destinés aux nouveaux officiers. Une version à laquelle les habitants ne croient pas. « C'est une manière de nous compliquer la vie, pour qu'on quitte nos maisons par nous-mêmes », avance un habitant alaouite. À écouter aussiSyrie : après la chute de Bachar el-Assad, la difficile unification du pays « À l'époque du régime, personne ne nous réclamait ces terres ! » La plupart redoutent d'être délogés, voire de subir des représailles. « Cet été, des hommes sont venus en nous disant que ces terres appartenaient aux familles de Moadamiyeh. Ils criaient et essayaient de nous dégager. Ils avaient des armes et ils sont entrés dans nos maisons », raconte un second habitant. Ahmad – prénom d'emprunt –, âgé de 25 ans, affirme avoir été interpellé par la Sécurité générale : « Ils m'ont frappé avec des bâtons dans le dos et à la tête. » Sa mère, assise à ses côtés, se balance nerveusement sur sa chaise : « J'ai peur qu'ils me sortent de chez moi. Je n'ai pas d'autre maison. » À ses côtés, un vieil homme sort alors un document, se disant propriétaire de son logement depuis 40 ans. En réalité, sur la feuille, une décision non officielle d'un comité lié à l'ancien régime. « Je les ai achetées à un homme dans la rue qui disait vendre des terrains. Je ne comprends pas : à l'époque du régime, personne ne nous réclamait ces terres ​​​​​​​! », assure-t-il. Pour tenter d'apaiser les tensions, le gouverneur de Damas a assuré que personne ne serait expulsé tant qu'une solution de relogement n'aura pas été trouvée. À lire aussiSyrie: dans la ville frontalière d'Al-Hamidiyeh, des maisons détruites par les bulldozers israéliens

Dans quel Monde on vit
« Comment ne pas célébrer la chute de Bachar Al-Assad ? » Wilson Fache nous écrit depuis Daraya

Dans quel Monde on vit

Play Episode Listen Later Dec 6, 2025 3:13


Il y a un an, le 8 décembre 2024, les Syriens apprenaient avec stupeur la chute de Bachar Al-Assad et de son régime. C'était la fin de 14 ans de guerre et d'une dictature longue d'un demi-siècle. Wilson Fache s'était rendu sur place juste après la fuite du despote, le voilà de retour en Syrie un an plus tard d'où il nous a écrit cette lettre. A Daraya, il a assisté à un concert inoubliable. Merci pour votre écoute Dans quel Monde on vit, c'est également en direct tous les samedi de 10h à 11h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Dans quel Monde on vit sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8524 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Hintergrund - Deutschlandfunk
Ein Jahr Assad-Sturz - Syriens Weg aus den Trümmern

Hintergrund - Deutschlandfunk

Play Episode Listen Later Dec 4, 2025 18:53


In Syrien läuft der Wiederaufbau nach dem Bürgerkrieg. Geflüchtete kehren zurück in zerstörte Städte. Doch nicht alle können sich das vorstellen. Denn auch nach Assads Sturz sind noch viele Probleme ungelöst und die Wirtschaft kommt nicht in Schwung. Osius, Anna; Behrendt, Moritz www.deutschlandfunk.de, Hintergrund

Reportage International
Syrie: le désespoir des femmes jihadistes qui ont quitté Al-Hol, «C'est pire que dans le camp»

Reportage International

Play Episode Listen Later Nov 21, 2025 2:59


Comment réintégrer, dans une Syrie toujours minée par les conflits, les familles soupçonnées d'accointances avec Daech, et recluses dans le camp d'Al-Hol depuis la défaite l'organisation terroriste, en 2019 ? Malgré les efforts des autorités kurdes pour vider le camp d'ici à la fin de l'année, il reste surpeuplé. Plus de 30 000 personnes, dont une majorité de Syriens, y vivent toujours. Si la transition politique en cours devait faciliter leur retour, seuls trois convois de Syriens ont quitté le camp depuis janvier. Parmi elles, plusieurs femmes qui ont pu bénéficier d'un des convois et quitté le camp en avril 2025.   De notre envoyé spécial à Deir Ezzor, Dans une région désertique et marginalisée, toujours marquée par l'influence de Daech, Khadija, la vingtaine, écarte le drap qui lui sert de porte. À l'intérieur, le sol est humide, trois matelas, quelques ustensiles de cuisine accrochés au mur. Elle s'excuse presque d'accueillir ainsi : « Ce n'est pas une maison, c'est une étable pour les animaux. Regarde, l'hiver, il pleut ici.  Mais nous n'avons pas le choix, il faut rester là. Pourtant, c'est pire que dans le camp. » Deux garçons se tiennent aux manches élimées de son niqab. Pour les protéger, elle s'était inscrite, pleine d'espoir, sur les listes de sortie du camp d'Al Hol, prison à ciel ouvert rongée par les épidémies et la faim. Veuve d'un combattant pakistanais de Daech, tué dans une frappe de la coalition, et rejetée par sa famille, Khadija n'est plus la bienvenue à Deir Ezzor : « Personne ne nous accepte ici, lorsque l'on marche dans la rue, les gens nous pointent du doigt, ils nous appellent les kidnappeurs de Daech. Nous sommes perçues comme des terroristes qui ont massacré et détruit, mais ça fait longtemps maintenant, il faudrait pouvoir tourner la page. » Difficile d'oublier dans la région de Deir Ezzor, largement détruite par la guerre et toujours marquée par des attaques régulières de cellules de l'État islamique. Une situation désespérée, qui alimente les regrets. Dans un soupir Khadija confesse qu'au moins, dans le camp, elle était parmi les siens : « Nous souhaiterions retourner dans le camp, là-bas, nous avions une tente et personne pour nous en chasser ou nous demander un loyer, nous recevions de l'eau, du pain, des aides, ici, je dois mendier pour un sac de pain, il n'y a pas de travail. On nous a dit que les ONG nous aideraient, mais elles ne font rien. » À lire aussiSyrie: les mines menacent le retour des déplacés à Deir Ezzor « Un jour, peut-être que nous pourrons vivre une vie normale » À quelques dizaines de kilomètres de là, dans le village de Maardin, un carrefour poussiéreux au bord de l'Euphrate, un centre social tente de soutenir ces femmes. Nous y rencontrons Nour, elle aussi revenue d'Al-Hol avec ses cinq enfants : « Un jour, peut-être que nous pourrons vivre une vie normale. Vous savez, mon fils ne savait même pas ce qu'était un arbre avant de quitter le camp. Alors pour le moment, le plus important, c'est de fournir une éducation à nos enfants. Ensuite, il faut trouver un travail, parce que nous sommes veuves, et nous ne pouvons pas subvenir aux besoins des petits, qui ont trop souffert. » Pour l'heure, si les enfants sont désormais scolarisés, les résultats du centre en matière d'insertion restent mitigés. Malgré les formations pour apprendre à ouvrir un petit commerce, aucune des quinze femmes présentes ce matin n'a encore réussi à lancer son activité. Coordinateur du projet, Mohammed reste confiant :  « Le centre aide déjà beaucoup à la réintégration, cela prend simplement du temps. Au début, il peut être un peu difficile pour la communauté de s'habituer de nouveau à ces familles. Mais finalement, elles sont d'ici, ce ne sont pas des étrangers. La période de Daech a été difficile pour tout le monde, mais les mentalités changent. » Si les mentalités changent, ces femmes que nous avons rencontrées ne comprennent pas toujours l'opprobre à laquelle elles sont désormais confrontées. À lire aussiSyrie: dans la province de Deir Ezzor, la résurgence du groupe État islamique

Reportage international
Syrie: le désespoir des femmes jihadistes qui ont quitté Al-Hol, «C'est pire que dans le camp»

Reportage international

Play Episode Listen Later Nov 21, 2025 2:59


Comment réintégrer, dans une Syrie toujours minée par les conflits, les familles soupçonnées d'accointances avec Daech, et recluses dans le camp d'Al-Hol depuis la défaite l'organisation terroriste, en 2019 ? Malgré les efforts des autorités kurdes pour vider le camp d'ici à la fin de l'année, il reste surpeuplé. Plus de 30 000 personnes, dont une majorité de Syriens, y vivent toujours. Si la transition politique en cours devait faciliter leur retour, seuls trois convois de Syriens ont quitté le camp depuis janvier. Parmi elles, plusieurs femmes qui ont pu bénéficier d'un des convois et quitté le camp en avril 2025.   De notre envoyé spécial à Deir Ezzor, Dans une région désertique et marginalisée, toujours marquée par l'influence de Daech, Khadija, la vingtaine, écarte le drap qui lui sert de porte. À l'intérieur, le sol est humide, trois matelas, quelques ustensiles de cuisine accrochés au mur. Elle s'excuse presque d'accueillir ainsi : « Ce n'est pas une maison, c'est une étable pour les animaux. Regarde, l'hiver, il pleut ici.  Mais nous n'avons pas le choix, il faut rester là. Pourtant, c'est pire que dans le camp. » Deux garçons se tiennent aux manches élimées de son niqab. Pour les protéger, elle s'était inscrite, pleine d'espoir, sur les listes de sortie du camp d'Al Hol, prison à ciel ouvert rongée par les épidémies et la faim. Veuve d'un combattant pakistanais de Daech, tué dans une frappe de la coalition, et rejetée par sa famille, Khadija n'est plus la bienvenue à Deir Ezzor : « Personne ne nous accepte ici, lorsque l'on marche dans la rue, les gens nous pointent du doigt, ils nous appellent les kidnappeurs de Daech. Nous sommes perçues comme des terroristes qui ont massacré et détruit, mais ça fait longtemps maintenant, il faudrait pouvoir tourner la page. » Difficile d'oublier dans la région de Deir Ezzor, largement détruite par la guerre et toujours marquée par des attaques régulières de cellules de l'État islamique. Une situation désespérée, qui alimente les regrets. Dans un soupir Khadija confesse qu'au moins, dans le camp, elle était parmi les siens : « Nous souhaiterions retourner dans le camp, là-bas, nous avions une tente et personne pour nous en chasser ou nous demander un loyer, nous recevions de l'eau, du pain, des aides, ici, je dois mendier pour un sac de pain, il n'y a pas de travail. On nous a dit que les ONG nous aideraient, mais elles ne font rien. » À lire aussiSyrie: les mines menacent le retour des déplacés à Deir Ezzor « Un jour, peut-être que nous pourrons vivre une vie normale » À quelques dizaines de kilomètres de là, dans le village de Maardin, un carrefour poussiéreux au bord de l'Euphrate, un centre social tente de soutenir ces femmes. Nous y rencontrons Nour, elle aussi revenue d'Al-Hol avec ses cinq enfants : « Un jour, peut-être que nous pourrons vivre une vie normale. Vous savez, mon fils ne savait même pas ce qu'était un arbre avant de quitter le camp. Alors pour le moment, le plus important, c'est de fournir une éducation à nos enfants. Ensuite, il faut trouver un travail, parce que nous sommes veuves, et nous ne pouvons pas subvenir aux besoins des petits, qui ont trop souffert. » Pour l'heure, si les enfants sont désormais scolarisés, les résultats du centre en matière d'insertion restent mitigés. Malgré les formations pour apprendre à ouvrir un petit commerce, aucune des quinze femmes présentes ce matin n'a encore réussi à lancer son activité. Coordinateur du projet, Mohammed reste confiant :  « Le centre aide déjà beaucoup à la réintégration, cela prend simplement du temps. Au début, il peut être un peu difficile pour la communauté de s'habituer de nouveau à ces familles. Mais finalement, elles sont d'ici, ce ne sont pas des étrangers. La période de Daech a été difficile pour tout le monde, mais les mentalités changent. » Si les mentalités changent, ces femmes que nous avons rencontrées ne comprennent pas toujours l'opprobre à laquelle elles sont désormais confrontées. À lire aussiSyrie: dans la province de Deir Ezzor, la résurgence du groupe État islamique

Morronrock Daily
14 november 2025 - Sluta va en tönt

Morronrock Daily

Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 55:36


Idag är det fredag! Linda berättar om att Donald Trump sprutat parfym på Syriens president och försökt sig på lite humor, något som studion tyckte var lite konstigt. Vi får såklart film och tv-serie tips med Jonna och dagen till ära gästar Ralf Gyllenhammar från mustasch i barn eller berusad med en story involverande sälar. Producent-Niclas har haft en incident gällande reflexer och därför hör vi med lyssnarna ifall de använder reflexer. Morronrock sänds vardagar mellan 5.30 - 9.00

RT DEUTSCH – Erfahre Mehr
Syriens Machthaber in Washington: Vom US-Gefangenenlager ins Weiße Haus

RT DEUTSCH – Erfahre Mehr

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 5:33


Die USA und die Golfstaaten setzen sich für die Rückkehr einer sunnitischen Herrschaft in Syrien ein, um den Einfluss Irans in der Levante zurückzudrängen. Durch die Aussetzung der Sanktionen gegen Syrien will Trump den syrischen Machthaber auf die Linie der US-Politik bringen. Eine Analyse des RT-Teams  

ETDPODCAST
USA verlängern Lockerungen bei Syrien-Sanktionen – Trump empfängt al-Scharaa | Nr. 8397

ETDPODCAST

Play Episode Listen Later Nov 11, 2025 2:45


US-Präsident Donald Trump hat Syriens Übergangspräsident Ahmed al-Scharaa am Montag im Weißen Haus empfangen. Das Gespräch fand abseits von Kameras statt.

Presseschau - Deutschlandfunk
11. November 2025 - Die internationale Presseschau

Presseschau - Deutschlandfunk

Play Episode Listen Later Nov 11, 2025 9:01


Themen sind die personellen Konsequenzen bei der britischen Rundfunkanstalt BBC nach einem fehlerhaften Bericht über Präsident Trump und das Einlenken einiger demokratischer Senatoren im US-Haushaltsstreit. Kommentiert wird auch der Besuch des früheren Dschihadisten und jetzigen Übergangspräsidenten Syriens, al-Scharaa, im Weißen Haus in Washington. www.deutschlandfunk.de, Internationale Presseschau

Accents d'Europe
L'Ukraine frappée au coeur de ses installations énergétiques

Accents d'Europe

Play Episode Listen Later Nov 11, 2025 19:30


En Ukraine, Moscou multiplie les bombardements sur les infrastructures énergétiques. À l'approche de l'hiver, la pression sur les habitants, souvent privés d'électricité, de chauffage ou de transport, est redoutable. Le week-end dernier, plus de 450 drones et 45 missiles ont été lancés. C'est à Kharkiv, dans le nord-est du pays, que notre correspondante Emmanuelle Chaze est allée à la rencontre des habitants pour savoir comment ils s'en sortent. La Chronique de The Conversation  On retrouve Gregory Rayko, responsable des pages internationales du média en ligne qui publie les meilleurs articles universitaires sur l'actualité. Deux articles ont retenu son attention, le goulag numérique en Russie et l'échec des campagnes dissuasives en Afrique, à destination des candidats à l'émigration.  Les Syriens en Europe face à la pression du retour  Et la nouvelle donne politique en Syrie, va-t-elle bouleverser la situation des quatre millions et demi de Syriens qui sont réfugiés à l'étranger ? Un million 600 000 d'entre eux ont déjà choisi de retourner au pays, pour la plupart en provenance de la Turquie voisine qui a assumé la plus grande part de l'accueil des réfugiés pendant la guerre. L'Europe, elle, arrive loin derrière, à l'exception de l'Allemagne qui a ouvert ses portes à environ 800 000 Syriens. Seuls quelques milliers d'entre eux ont choisi le retour, mais aujourd'hui, la plupart des pays européens pressent les Syriens de rentrer chez eux. Juliette Gheerbrant. En Autriche, la mode des «automatenshop» Le commerce en ligne, et les grands centres commerciaux en périphérie, ont littéralement vidé certains centres-villes. Mais en Autriche, on voit désormais fleurir de nouveaux commerces, les «automatenshop». Des échoppes de distributeurs automatiques qui suscitent la controverse même si elles ont trouvé une clientèle. À Vienne, Céline Béal.  

Accents d'Europe
L'Ukraine frappée au coeur de ses installations énergétiques

Accents d'Europe

Play Episode Listen Later Nov 11, 2025 19:30


En Ukraine, Moscou multiplie les bombardements sur les infrastructures énergétiques. À l'approche de l'hiver, la pression sur les habitants, souvent privés d'électricité, de chauffage ou de transport, est redoutable. Le week-end dernier, plus de 450 drones et 45 missiles ont été lancés. C'est à Kharkiv, dans le nord-est du pays, que notre correspondante Emmanuelle Chaze est allée à la rencontre des habitants pour savoir comment ils s'en sortent. La Chronique de The Conversation  On retrouve Gregory Rayko, responsable des pages internationales du média en ligne qui publie les meilleurs articles universitaires sur l'actualité. Deux articles ont retenu son attention, le goulag numérique en Russie et l'échec des campagnes dissuasives en Afrique, à destination des candidats à l'émigration.  Les Syriens en Europe face à la pression du retour  Et la nouvelle donne politique en Syrie, va-t-elle bouleverser la situation des quatre millions et demi de Syriens qui sont réfugiés à l'étranger ? Un million 600 000 d'entre eux ont déjà choisi de retourner au pays, pour la plupart en provenance de la Turquie voisine qui a assumé la plus grande part de l'accueil des réfugiés pendant la guerre. L'Europe, elle, arrive loin derrière, à l'exception de l'Allemagne qui a ouvert ses portes à environ 800 000 Syriens. Seuls quelques milliers d'entre eux ont choisi le retour, mais aujourd'hui, la plupart des pays européens pressent les Syriens de rentrer chez eux. Juliette Gheerbrant. En Autriche, la mode des «automatenshop» Le commerce en ligne, et les grands centres commerciaux en périphérie, ont littéralement vidé certains centres-villes. Mais en Autriche, on voit désormais fleurir de nouveaux commerces, les «automatenshop». Des échoppes de distributeurs automatiques qui suscitent la controverse même si elles ont trouvé une clientèle. À Vienne, Céline Béal.  

RADIO4 MORGEN
Tirsdag d. 11. november kl. 9-10

RADIO4 MORGEN

Play Episode Listen Later Nov 11, 2025 55:09


(02:00): Flere af landets kommuner sender gratis politikere til superligakampe. Medvirkende: Claus Behrendsen, byrådsmedlem i Vejle Kommune for Radikale Venstre (32:00): Donald Trump og Syriens præsident har haft møde i Det hvide hus. Medvirkende: Waleed Safi, journalist ved Weekendavisen (43:00): Dansk kunstner sender 6000 nøgne figurer af præsident Trump til klimatopmøde. Medvirkende: Jens Galschiøt, provokunstner Værter: Laura Lin & Peter Marstal See omnystudio.com/listener for privacy information.

Internationale Presseschau - Deutschlandfunk
11. November 2025 - Die internationale Presseschau

Internationale Presseschau - Deutschlandfunk

Play Episode Listen Later Nov 11, 2025 9:01


Themen sind die personellen Konsequenzen bei der britischen Rundfunkanstalt BBC nach einem fehlerhaften Bericht über Präsident Trump und das Einlenken einiger demokratischer Senatoren im US-Haushaltsstreit. Kommentiert wird auch der Besuch des früheren Dschihadisten und jetzigen Übergangspräsidenten Syriens, al-Scharaa, im Weißen Haus in Washington. www.deutschlandfunk.de, Internationale Presseschau

Tag für Tag Beiträge - Deutschlandfunk
Religiöse Minderheiten: Warum Drusen für das Schicksal Syriens entscheidend sind

Tag für Tag Beiträge - Deutschlandfunk

Play Episode Listen Later Nov 10, 2025 9:14


Sendker, Marion; Netjes, Rena www.deutschlandfunk.de, Tag für Tag

Das Interview von MDR AKTUELL
Trump empfängt Syriens Übergangspräsidenten al-Scharaa

Das Interview von MDR AKTUELL

Play Episode Listen Later Nov 10, 2025 5:26


Einst kämpfte er als Terrorist gegen die USA. Nun ist Ahmed al-Scharaa Syriens Übergangspräsident und wird von US-Präsident Donald Trump in Washington empfangen. Einschätzungen von ARD-Korrespondent Moritz Behrendt.

Langsam gesprochene Nachrichten | Deutsch lernen | Deutsche Welle
07.11.2025 – Langsam Gesprochene Nachrichten

Langsam gesprochene Nachrichten | Deutsch lernen | Deutsche Welle

Play Episode Listen Later Nov 7, 2025 8:29


07.11.2025 – Langsam Gesprochene Nachrichten – Trainiere dein Hörverstehen mit den Nachrichten der DW von Freitag – als Text und als verständlich gesprochene Audio-Datei.

Mit Herz und Haltung
Ronya Othmann: Syriens ungewisse Zukunft

Mit Herz und Haltung

Play Episode Listen Later Nov 6, 2025 39:15


Auch ein Jahr nach dem Zusammenbruch des Regimes von Baschar al-Assad ist die Zukunft Syriens keineswegs gewiss. Für einen Überblick über die komplexe Situation und einen Eindruck, wie sich die Situation vor Ort darstellt, sprechen wir in dieser Folge mit der Journalistin und Autorin Ronya Othmann.

Echo der Zeit
International: Syriens schwieriger Weg in die Zukunft

Echo der Zeit

Play Episode Listen Later Nov 2, 2025 26:16


Der Neuanfang in Syrien wird zur Herausforderung. Der Vielvölkerstaat ist geprägt von unterschiedlichen Ideologien, Erwartungen und Hoffnungen. Übergangspräsident Ahmad al-Sharaa stösst vor allem im kurdisch dominierten Nordosten des Landes auf viel Misstrauen. Knapp ein Jahr ist seit dem Sturz des syrischen Langzeitherrschers Bashar Al-Assad vergangen. Der Umsturz wurde nach dem zerstörerischen Bürgerkrieg auch in vielen westlichen Ländern euphorisch begrüsst. In Syrien selbst bleibt die Situation schwierig: Während Übergangspräsident Ahmad al-Sharaa in der Hauptstadt Damaskus von Anhängern euphorisch gefeiert wird, schlägt dem ehemaligen Islamistenführer im kurdisch geprägten Nordosten des Landes Skepsis entgegen. Das neue, versöhnliche Image, dass sich die Regierung geben will, kauft ihr dort niemand ab. Die Erinnerungen an die früheren Gräueltaten der Islamisten sind in der Region allgegenwärtig. Die Kurden haben im Gebiet östlich des Euphrats einen autonomen Verwaltungsapparat aufgebaut, setzen auf basisdemokratische Selbstverwaltung, mit sozialistischer und feministischer Ausprägung. Ihre Mentalität unterscheidet sich stark von jener der neuen Regierung um Al-Sharaa. Deren Pläne, die Verwaltungs- und Verteidigungsstruktur der Kurden in den syrischen Staat zu integrieren, stossen im kurdischen Gebiet auf Ablehnung. Wie also weiter in Syrien? Werden die einstigen Konfliktparteien zusammenfinden? Oder droht gar ein neuer Bürgerkrieg?

International
Zwischen Euphorie und Misstrauen: Syriens schwieriger Neuanfang

International

Play Episode Listen Later Oct 29, 2025 26:16


Der Neuanfang in Syrien wird zur Herausforderung. Der Vielvölkerstaat ist geprägt von unterschiedlichen Ideologien, Erwartungen und Hoffnungen. Übergangspräsident Ahmad al-Sharaa stösst vor allem im kurdisch dominierten Nordosten des Landes auf viel Misstrauen. Knapp ein Jahr ist seit dem Sturz des syrischen Langzeitherrschers Bashar Al-Assad vergangen. Der Umsturz wurde nach dem zerstörerischen Bürgerkrieg auch in vielen westlichen Ländern euphorisch begrüsst. In Syrien selbst bleibt die Situation schwierig: Während Übergangspräsident Ahmad al-Sharaa in der Hauptstadt Damaskus von Anhängern euphorisch gefeiert wird, schlägt dem ehemaligen Islamistenführer im kurdisch geprägten Nordosten des Landes Skepsis entgegen. Das neue, versöhnliche Image, dass sich die Regierung geben will, kauft ihr dort niemand ab. Die Erinnerungen an die früheren Gräueltaten der Islamisten sind in der Region allgegenwärtig. Die Kurden haben im Gebiet östlich des Euphrats einen autonomen Verwaltungsapparat aufgebaut, setzen auf basisdemokratische Selbstverwaltung, mit sozialistischer und feministischer Ausprägung. Ihre Mentalität unterscheidet sich stark von jener der neuen Regierung um Al-Sharaa. Deren Pläne, die Verwaltungs- und Verteidigungsstruktur der Kurden in den syrischen Staat zu integrieren, stossen im kurdischen Gebiet auf Ablehnung. Wie also weiter in Syrien? Werden die einstigen Konfliktparteien zusammenfinden? Oder droht gar ein neuer Bürgerkrieg?

Echo der Zeit
Was macht Syriens Übergangspräsident Al-Sharaa im Kreml?

Echo der Zeit

Play Episode Listen Later Oct 15, 2025 42:25


Der syrische Präsident Al-Sharaa ist derzeit zu Besuch im Kreml. Das ist aussergewöhnlich. Denn Putin unterstützte den ehemaligen Diktator Assad im Kampf gegen den heutigen Übergangspräsidenten. Nach dem Sturz des Langzeitherrscher gewährte ihm Putin Asyl. Alle Themen: (00:00) Intro und Schlagzeilen (01:25) Was macht Syriens Übergangspräsident Al-Sharaa im Kreml? (05:15) Nachrichtenübersicht (10:37) Jugendproteste von Madagaskar bis Nepal: ein globales Phänomen? (18:02) Den europäischen Natostaaten läuft die Zeit davon (23:05) Bezahlung pflegender Angehöriger soll bleiben (27:38) Proteststadt Genf: Pro-israelische Kundgebungen fast inexistent (33:11) Die Bilanz von Thierry Burkart (37:43) Juristischer Streit um «Säulirennen»

Table Today
Wie lange hält der Frieden in Nahost?

Table Today

Play Episode Listen Later Oct 13, 2025 25:54


Israel bereitet sich auf die Rückkehr der verbliebenen Geiseln aus der Gewalt der militant-islamistischen Hamas vor. Donald Trump hat sich auf den Weg nach Israel gemacht. Noch heute reist Trump weiter zu einem Gipfeltreffen in Ägypten.Zu der symbolischen Veranstaltung werden weitere Staats- und Regierungschefs erwartet. Auch Bundeskanzler Friedrich Merz wird dabei sein.[01:09]Andreas Gassen, der Chef der Kassenärztlichen Bundesvereinigung, fordert, dass Arbeitnehmer künftig erst ab dem vierten Krankheitstag eine Krankschreibung benötigen. So soll die Zahl der Arztbesuche reduziert werden – 100 Millionen Euro könnten so pro Jahr gespart werden, sagt Gassen.[06:35]Die Münchner Sicherheitskonferenz im Februar könnte sich zum bedeutendsten geopolitischen und sicherheitspolitischen Forum der Welt entwickeln. Markus Bickel, Redaktionsleiter des Security Table, spricht mit Benedikt Franke, dem CEO der Konferenz. Diesmal werden Vertreter von Syriens neuem Regime in München erwartet. Der türkische Präsident Erdoğan soll nach 17 Jahren erstmals bei der MSC sprechen.[09:49]Hier geht es zur Anmeldung für den Space.Table.Table.Briefings - For better informed decisions.Sie entscheiden besser, weil Sie besser informiert sind – das ist das Ziel von Table.Briefings. Wir verschaffen Ihnen mit jedem Professional Briefing, mit jeder Analyse und mit jedem Hintergrundstück einen Informationsvorsprung, am besten sogar einen Wettbewerbsvorteil. Table.Briefings bietet „Deep Journalism“, wir verbinden den Qualitätsanspruch von Leitmedien mit der Tiefenschärfe von Fachinformationen. Professional Briefings kostenlos kennenlernen: table.media/testenImpressum: https://table.media/impressumDatenschutz: https://table.media/datenschutzerklaerung Bei Interesse an Audio-Werbung in diesem Podcast melden Sie sich gerne bei Laurence Donath: laurence.donath@table.media Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.

Europe 1 - Hondelatte Raconte
[BONUS 2] - Haytham, histoire d'un enfant syrien

Europe 1 - Hondelatte Raconte

Play Episode Listen Later Oct 9, 2025 22:01


L'histoire vécue par de nombreux Syriens sous le régime d'Hafez El-Assad puis de son fils Bachar. Haytham, désormais réfugié en France, raconte la tentative de révolution syrienne et la guerre qui a suivi.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Tout un monde - La 1ere
Le pouvoir irrésistible de la religion aux Etats-Unis

Tout un monde - La 1ere

Play Episode Listen Later Oct 8, 2025 19:24


(00:00:38) Evangéliques et catholiques ensemble pour une théocratie populiste (00:06:38) La pop chrétienne pour convertir les masses (00:14:49) Quand les Syriens se font justice eux-mêmes

Echo der Zeit
Tote bei Angriff vor einer Synagoge in Manchester

Echo der Zeit

Play Episode Listen Later Oct 2, 2025 45:00


In Manchester in Grossbritannien sind bei einem Angriff vor einer Synagoge zwei Personen getötet worden. Auch der mutmassliche Angreifer ist tot, die Polizei soll ihn erschossen haben. Wie die Polizei mitteilte, fuhr Augenzeugenberichten zufolge ein Auto zunächst in eine Gruppe von Menschen. Weitere Themen: (00:00) Intro und Schlagzeilen (01:38) Tote bei Angriff vor einer Synagoge in Manchester (05:54) Nachrichtenübersicht (17:34) Westschweizer Politik weibelt für bessere Zugverbindungen (22:07) Monica Amgwerd gewinnt trotz verlorener Abstimmung (27:24) Schweiz fällt im Umgang mit Whistleblowern zurück (32:05) Trumps Rache an Ex-FBI-Direktor James Comey (39:09) Syriens erste Wahlen seit dem Sturz des Assad-Regimes

Her Går Det Godt
Hybridkrig Special 2.0 og vi er seks millioner droneeksperter – Her Går Det Godt

Her Går Det Godt

Play Episode Listen Later Sep 30, 2025 11:45


Langtrækkende angreb godkendt af Trump, 'kødfjæset' fra Rusland har tordnet hele weekenden mod Vesten, lad vær med at komme og græde, går-den-så-går-den-doktrinen, Hulubulu – Torsten Boom-Shackalack hvor er du henne? vanvittige dage der udspiller sig i kongeriget Danmark, golde marker og fiberforbundet droneteknik, The Four Amigos til pressemøde, jagerfly på vingerne over Bornholm, transponder-hokus-pokus og kortlægning af rækkevidden på dronerne, Hvem-ved-mest på vejene – og danskerne, #UgensComeback er Syriens nye præsident, Straight to jail med Pedro, Jimmy Kimmel tilbage med rekordseertal, deep dive i podcastmediet, i troede, vi var døde og borte – AGF helt til tops, danskerne prepper på livet løs, Pernille Rosenkrantz-Theil – vi glæder os til, at du sætter dig på posten, hudkorrektioner og indgreb efter Wegovy stiger og alle vil gerne have en genvej til resultaterne.Få 30 dages gratis prøveperiode (kan kun benyttes af nye Podimo-abonnenter)- http://podimo.dk/hgdg (99 kroner herefter)Værter: Esben Bjerre & Peter FalktoftRedigering: PodAmokKlip: PodAmokMusik: Her Går Det GodtInstagram:@hergaardetgodt@Peterfalktoft@Esbenbjerre

4x4 Podcast
Im 4. Anlauf: Der Eigenmietwert wird abgeschafft

4x4 Podcast

Play Episode Listen Later Sep 29, 2025 26:02


Mit fast 58 Prozent hat die Schweiz die Abschaffung des Eigenmietwerts gestern unerwartet deutlich angenommen. Frühere Versuche den Eigenmietwert abzuschaffen, waren gescheitert. Gründe für die jetzige Zustimmung sind die Ausgewogenheit der Vorlage und die vergleichsweise schwache Gegenkampagne. Weitere Themen: · Junge Lehrpersonen erhalten im Kanton Schwyz künftig einen höheren Einstiegslohn. Die entsprechende Gesetzesänderung wurde gestern angenommen. Bislang gehörte der Kanton Schwyt bei den Einstiegslöhnen zu den Schlusslichtern der Schweiz. · Am 6. Juni 2023 sprengten russische Soldaten den Kachowka Staudamm im Süden der Ukraine. Enorme Wassermassen brachen aus dem Damm. Wie ist die Lage heute, zwei Jahre nach der Katastrophe? · In Syrien läuft der Wiederaufbau. Seit dem Machtwechsel vor neun Monaten sind laut UNO etwa eine Million Geflüchtete ins Land zurückgekehrt. Zudem sind fast zwei Millionen Menschen, die innerhalb Syriens auf der Flucht waren, ebenfalls heimgekehrt.

Konflikt
Så gör Israel och Putin comeback i Syrien

Konflikt

Play Episode Listen Later Sep 26, 2025 55:45


Dragkampen om det nya Syrien pågår för fullt. Och en liten religiös minoritet har hamnat i fokus när Israel flyttar fram sina positioner. Lyssna på alla avsnitt i Sveriges Radio Play. I en drusisk stad i sydvästra Syrien vajar två israeliska flaggor. Sommaren 2025 blev en vändpunkt här då våld mellan druser och beduiner skördade omkring 1000 personers liv. Regeringsstyrkor som skulle stoppa våldet förvärrade det.Israel har länge odlat kontakten med den lilla religiösa minoriteten för att gynna sina egna intressen. Nu märks resultatet.Och i en annan del av landet, i hamnstaden Tartus, hoppas Ryssland få fotfäste igen. Där har ett ryskt hamnkontrakt tagits över av ett bolag från Förenade Arabemiraten. Men det finns tecken på att Putins män är på väg tillbaka. I höst planerar Syriens president Ahmed al-Sharaa en resa till Moskva.Medverkande: Asher Kaufman, professor i historia och fredskunskap vid Kroc Institutet i Notre Dame, USA, Muhammad al-Fayad, syrisk advokat och folkrättsaktivist, Rana Walid al-Towaresh, vars man nyligen greps av israelisk militär i södra Syrien, Muhammad Mazen Mriyoud, ledare för byn Jubata al-Khashab, Nabih Shahin, andlig ledare för druserna i byn Hader, Aron Lund, Syrienkännare och analytiker vid Totalförsvarets forskningsinstitut, Nikita Smagin, rysk analytiker, författare och Mellanösternexpert som skriver analyser för bland annat Carnegie Endowment, Youssef Arnous, hamnchef i staden Tartus, Kamal Shahin, undersökande journalist från Latakia. Reporter på plats i Syrien: Lina MalérsProgramledare: Viktor Löfgrenviktor.m.lofgren@sr.seProducent: Ulrika Bergqvistulrika.bergqvist@sr.seTekniker: Calle Hedlund och Rasmus Håkans.

La Story
Réfugiés syriens en Allemagne : l'odyssée de Mohamad Hadid - 2/2

La Story

Play Episode Listen Later Sep 17, 2025 18:11


Dix ans après l'accueil des réfugiés syriens, le correspondant des Echos à Berlin, Emmanuel Grasland, a recueilli leurs impressions et sentiments. Il rapporte au micro de Pierrick Fay pour « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », le témoignage de Mohamad Hadid, qui a fui les bombardements puis connu la faim à son arrivée en Allemagne mais qui a gardé une volonté indéfectible à maîtriser la langue et à acquérir la nationalité.Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastory« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en septembre 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invité : Emmanuel Grasland (correspondant des «Echos» à Berlin). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Ebrahim Noroozi / Ap / SIPA. Sons : Franziska Binder, RTBF Info, TV5 Monde. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

La Story
Allemagne : l'accueil des réfugiés syriens, entre espoirs et désillusions - 1/2

La Story

Play Episode Listen Later Sep 17, 2025 21:04


Dix ans après l'accueil des réfugiés syriens, l'Allemagne fait face à un bilan contrasté. Si la reconnaissance domine chez les réfugiés, le pays est divisé. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et son invité Emmanuel Grasland reviennent, en deux épisodes, sur cette page d'histoire.Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastory« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en septembre 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invité : Emmanuel Grasland (correspondant des « Echos » à Berlin). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Ebrahim Noroozi/Ap/SIPA. Sons : Ina, Welt, iTélé, Arte, Faz. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Reportage International
«Nous y arriverons»: en Allemagne, l'intégration des réfugiés progresse dans une société polarisée

Reportage International

Play Episode Listen Later Sep 4, 2025 2:38


Le 4 septembre 2015, dans un discours devenu historique, la chancelière Angela Merkel décidait de ne pas fermer la frontière entre l'Autriche et l'Allemagne. Près d'un million de migrants arriveront cette année-là. Dix ans plus tard, quel bilan tirer de cette vague migratoire sans précédent ? De notre correspondant à Berlin,  « Lorsque je me réveillais, ce matin-là, je ne me doutais pas encore que ce vendredi 4 septembre 2015 allait entrer dans l'histoire européenne », écrit Angela Merkel dans ses mémoires. Dix ans après, l'ex-chancelière défend sa décision humanitaire, mais ni en Allemagne, ni en Europe, on n'a fêté ce que d'aucuns ont appelé « the summer of migration ». En Allemagne, dans de nombreux pays voisins et au niveau européen, une politique plus dure est à l'ordre du jour. L'extrême droite hostile aux migrants remporte un peu partout des succès. Pour ces forces, la politique menée par Angela Merkel constitue un chiffon rouge. En Allemagne, l'ex-chancelière a focalisé l'hostilité, voire la haine de l'AfD, le parti d'extrême-droite qui séduit aujourd'hui un quart des électeurs dans les sondages. Les deux tiers des Allemands considèrent aujourd'hui qu'Angela Merkel est responsable par sa politique migratoire de cette montée en puissance de l'extrême droite.   À lire aussiL'Allemagne met fin à son soutien financier au sauvetage civil en mer Pourtant, rapidement après 2015, Berlin a « corrigé le tir » pour éviter d'avoir à affronter une vague migratoire qui a suscité des problèmes logistiques, financiers et d'intégration énormes. Le gouvernement Merkel a pris jusqu'au départ du pouvoir de la chancelière diverses mesures pour réduire les flux migratoires. Une politique poursuivie par le gouvernement du social-démocrate Olaf Scholz après 2021. Mais un vent mauvais souffle sur l'Allemagne et l'AfD impose son verbatim. Les autres partis réagissent, à commencer par les chrétiens-démocrates, qui, comme d'autres forces conservatrices en Europe, ont durci leurs positions, pensant par là affaiblir leur concurrence xénophobe sur leur aile droite. Friedrich Merz, l'adversaire de toujours d'Angela Merkel, a concentré l'hiver dernier la dernière ligne droite de sa campagne électorale sur la migration, notamment après des attaques meurtrières dues à des réfugiés arrivés durant la dernière décennie. Depuis le mois de mai et son arrivée au pouvoir, le nouveau chancelier, allié aux sociaux-démocrates, promeut une politique migratoire plus dure. Même si diverses mesures restent symboliques, il s'agit également de détricoter l'héritage de son ex-rivale Angela Merkel.   À lire aussiAllemagne : le gouvernement du chancelier Friedrich Merz resserre la vis sur l'immigration « Wir schaffen das ! » « Wir schaffen das ! », (« Nous y arriverons ! ») Sept Allemands sur dix critiquent cette fameuse déclaration de l'ex-chancelière sur l'accueil des réfugiés il y a dix ans et seulement un quart d'entre eux l'approuve toujours. Si l'intéressée, ces dernières semaines, a défendu sa décision et estimé que beaucoup avait été fait depuis, son successeur est clairement sur une autre ligne. « Nous avons, depuis quelques mois, trouvé en partie des solutions aux problèmes que nous traînons depuis dix ans. Il y a beaucoup de choses qui n'ont pas marché. Nous intégrons ceux qui y sont prêts, mais d'autres ne le sont pas et nous devons nous attaquer à ce problème », estimait récemment Friedrich Merz.  Le chancelier fait notamment référence à la criminalité et aux attaques commises par des migrants qui ont secoué le pays. Leur exploitation à des fins politiques par l'extrême droite est d'une efficacité redoutable, comme le montrent le succès de l'AfD sur les réseaux sociaux, ou encore les déclarations de responsables du mouvement à la tribune du Bundestag. Un discours de 2018 de la co-présidente de l'AfD, Alice Weidel, est resté dans les mémoires : « Des burkas, des filles qui portent le voile islamique, des hommes armés de couteaux que nous finançons et d'autres bons à rien ne sauverons pas notre croissance et notre système social. »  Fin 2015, quelques mois après l'arrivée de milliers de migrants, des agressions sexuelles contre plusieurs femmes lors de la Saint-Sylvestre à Cologne étaient venues ébranler l'image « peace and love » du « summer of migration », même si les auteurs de ces violences n'étaient pas, en majorité, des étrangers fraîchement arrivés en Allemagne.   À lire aussiLe nouveau gouvernement en Allemagne ordonne de refouler les demandeurs d'asile à la frontière   Certes, le nombre des délits rapportés à la population recule depuis les années 1990, mais les personnes étrangères ou d'origine étrangère sont sur-représentées dans les statistiques. Les experts expliquent que les migrants, souvent des hommes jeunes et citadins, sont issus des groupes où la criminalité en général est la plus forte. Il n'empêche que ces attaques meurtrières marquent l'opinion publique. Le sentiment d'insécurité des Allemands, comme on peut le voir dans les résultats des sondages réguliers, augmente.  L'extrême-droite dénonce également régulièrement le pourcentage élevé de migrants percevant l'aide sociale et qui n'ont parfois jamais travaillé. Cependant, l'intégration des arrivants de 2015 sur le marché du travail fonctionne mieux que lors de précédentes vagues migratoires et mieux que dans d'autres pays européens. Leur taux d'activité est similaire à celui de la population globale. Fin 2024, les deux tiers des personnes arrivées en 2015 disposaient d'un emploi, contre une moyenne de 70% en Allemagne. Des différences sensibles subsistent notamment entre le taux d'activité des hommes et des femmes (respectivement de 86% et 33%). Pour ces dernières, ce faible taux s'explique par des raisons culturelles, mais aussi par les difficultés pour la prise en charge des enfants en bas âge en Allemagne. Un problème qui concerne aussi la vague migratoire massive venue d'Ukraine en 2022, au sein de laquelle on trouve majoritairement des femmes avec des enfants.  À lire aussiLes projets anti-migrants de la droite allemande « Avec la montée de l'extrême droite, je suis inquiet pour l'avenir » Certains migrants arrivés en 2015 disposent d'emplois qualifiés, on estime ainsi à 5 000 le nombre de médecins syriens en Allemagne. Mais beaucoup occupent des emplois peu qualifiés dans la logistique, les transports, le nettoyage, le bâtiment ou la gastronomie. « Quand on regarde quels métiers ces exilés exercent, il ne s'agit pas de ceux dont on rêve, et souvent, ils ne correspondent pas à leurs qualifications. Ces emplois sont généralement mal payés », analyse le sociologue Jonas Wiedner.  Anas Modamani est un exemple d'intégration réussie. Pour le jeune Syrien de 28 ans, qui a obtenu la nationalité allemande et travaille comme vidéaste, Angela Merkel reste une idole. Le jeune homme ne savait pourtant pas qui était cette dame quand elle a débarqué il y a dix ans dans son foyer de réfugiés. Le selfie iconique qu'il fait alors avec la chancelière est entré dans l'histoire. Dans ses mémoires, Angela Merkel écrit sur ce cliché qui a suscité des commentaires haineux sur internet, y compris contre Anas Modamani : « Je n'arrive toujours pas à comprendre qu'on ait pu supposer qu'un visage aimable sur une photo suffirait à inciter des légions entières à fuir leur patrie ». Ce printemps, Anas Modamani a rencontré à nouveau Angela Merkel. Il reste reconnaissant, mais avec des bémols : « L'Allemagne m'a soutenu. J'aime ce pays où je suis chez moi aujourd'hui. Ici, j'ai eu toutes les options possibles pour mon développement personnel. Mais, avec la montée de l'extrême droite, je suis inquiet pour l'avenir. »  L'AfD, l'augmentation des actes xénophobes, l'absence de famille, la bureaucratie allemande, une langue difficile ou encore un sentiment d'exclusion suscitent aussi des déceptions et des désillusions. Si quatre réfugiés sur cinq s'estimaient bien accueillis en Allemagne en 2016, les deux tiers seulement tiraient le même bilan il y a deux ans.   Après la chute du régime de Bachar el-Assad, le nombre de Syriens prêts à rentrer dans leur pays reste limité. Anas Modamani s'y est rendu et a rencontré ses parents, il veut à l'avenir faire des allers et retours réguliers. Mais Berlin est sa nouvelle « Heimat » : « La majeure partie des Syriens que je connais ici ont un job, un appartement, gagnent en moyenne 2 000 euros par mois. S'ils retournent en Syrie, ils n'auront pas de toit sur la tête, ils auront peur en permanence et gagneront 200 euros par mois, sans électricité ni internet. En comparaison, la vie en Allemagne reste un paradis ».   Malgré le recul sensible de la culture de bienvenue, la célèbre « Willkommenskultur », un récent sondage montrait que 98% des réfugiés arrivés entre 2013 et 2019 veulent obtenir la nationalité allemande.    ► À lire aussi : Allemagne : à Berlin, les agressions contre les migrants ont doublé en un an

Accents d'Europe
Dix ans après, la difficile intégration des réfugiés syriens en Allemagne

Accents d'Europe

Play Episode Listen Later Sep 1, 2025 19:30


Ce sont des petites phrases qui sont rentrées dans la grande histoire... C'est le cas du fameux « Wir schaffen das », « Nous allons y arriver », lancé par la chancelière allemande Angela Merkerl, le 31 aout 2015, lors de l'arrivée d'un million de réfugiés syriens. Mais dix ans après, qu'en est-il de leur rêve d'intégration en Allemagne ? Le nouveau chancelier Friedrich Merz a rétabli les contrôles aux frontières et durci les conditions de naturalisation et de regroupement familial. Bref, autant de mesures pour barrer la route à l'extrême droite. Pourtant, plusieurs études le confirment, les migrants syriens ont relevé de nombreux défis. 64% d'entre eux ont un emploi. C'est le cas de ce jeune syrien au parcours exemplaire qu'a pu rencontrer notre correspondante Delphine Nerbollier. À lire aussi«Wir schaffen das»: dix ans plus tard, la politique migratoire d'Angela Merkel divise l'Allemagne Les contrôles aux frontières en Pologne L'Allemagne ferme désormais ses frontières et renvoie beaucoup de demandeurs d'asile ou de migrants vers la Pologne voisine. La Pologne qui a décidé au début de l'été de prendre, elle aussi, des mesures similaires. Trois ans après avoir ouvert les bras aux réfugiés ukrainiens, elle rétablit au début de l'été des contrôles stricts sur sa frontière avec l'Allemagne, mais aussi la Lituanie. On retrouve à Varsovie notre correspondant Adrien Sarlat. Un enfant sur cinq en décrochage scolaire en Sicile À Catane, à l'est de l'île, l'échec scolaire n'est pas étranger au risque de dérive mafieuse qui guette les enfants et à un environnement familial ponctué par les peines de prison. Pendant l'été et durant l'année scolaire, une association, la Fondation étoile polaire, relève le défi du soutien scolaire ou de l'aide éducative comme un projet global. C'est le reportage de Cécile Debarge. Des repas gratuits pour les enfants les plus pauvres au Royaume-Uni Et dans un pays aussi riche que le Royaume-Uni, sixième puissance économique mondiale, la pauvreté touche aussi quatre millions et demi d'enfants. Pour eux, un repas gratuit à l'école fait toute la différence. À tel point que pendant l'été, on parle désormais de « Holiday Hunger », « La faim pendant les vacances ». On retrouve à Londres notre correspondante Marie Billon. Le Holiday Hunger est clairement devenu un problème politique.

Reportage International
Fermiers et bergers syriens en première ligne face aux incursions israéliennes

Reportage International

Play Episode Listen Later Aug 21, 2025 2:34


En Syrie, les incursions israéliennes continuent près du plateau démilitarisé du Golan, où les troupes de Tsahal se sont déployées au lendemain de la chute du régime de Bachar el-Assad. Depuis, l'État hébreu cherche à étendre ses forces en Syrie. L'objectif officiel : démilitariser la zone et désarmer les populations locales, accusées d'être liées au Hezbollah ou au Hamas. Sur place, les agriculteurs et bergers syriens sont les premiers impactés. Arrestations arbitraires, dépossession des terres et monopolisation des principales ressources en eau. Conséquence : la production agricole baisse dans cette région, aussi surnommée le « grenier de la Syrie ». Avec, à terme, le risque de mettre en danger la sécurité alimentaire du pays. Reportage de notre correspondante en Syrie. À lire aussiComment Israël élargit sa zone occupée depuis le 7-Octobre et grignote du territoire syrien À lire aussiIsraël poursuit ses incursions dans les régions frontalières syriennes

P3 ID
Asma al-Assad – Mellanösterns Marie Antoinette

P3 ID

Play Episode Listen Later Aug 18, 2025 66:09


En gång i tiden hyllades Syriens första dam som en ros i öknen. 14 år senare befinner hon sig i exil misstänkt för krigsbrott. Nya avsnitt från P3 ID hittar du först i Sveriges Radio Play. Asma al-Assad växer upp i London och gör karriär i investment bank-världen innan hon gifter sig med Syriens president Bashar al-Assad. Som högutbildad, vältalig och stilmedveten första dam väcker hon snabbt uppmärksamhet. En modern kvinna i Chanel-dräkt och Louboutin-klackar för ett nytt Syrien, som charmar världens medier. Men när protester mot Assad-regimen utbryter och utvecklas till ett av världens blodigaste inbördeskrig förändras allt. I avsnittet medverkar Aron Lund, Mellanösternanalytiker på Totalförsvarets forskningsinstitut, FOI och journalisten Kassem Hamadé. Programledare och producent: Vendela LundbergAvsnittsförfattare och reporter: Sara OlssonTekniker: Fredrik NilssonAvsnittet gjordes våren/sommaren 2025 av produktionsbolaget DIST.Ljudklippen i programmen kommer från Sveriges Radio, BBC, NPR, Russia 24, Al Jazeera, CNN, Vice, Sky News.(I researchen har böckerna The New Lion of Damascus av David W. Lesch, Drömmen om Damaskus och Syrien brinner av Aron Lund varit till stor hjälp. )