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Depuis Berlin, il veille sur l'héritage d'un photographe qui n'a jamais cessé de troubler le regard.Matthias Harder dirige la Fondation Helmut Newton. Il en est aussi le curateur en chef. Nommé par Helmut quelques mois avant son décès, puis accompagné par le regard de June, il orchestre depuis des années les expositions, les publications, les archives - mais surtout, il façonne une mémoire vivante. Celle de Helmut Newton, bien sûr, mais aussi celle de June Newton, Photographe elle aussi. Plus discrète, mais tout aussi précise, sous le nom d'Alice Springs, elle a construit une œuvre à part entière.On s'est retrouvés à Arles, dans la cuisine de Julia de Bierre, fondatrice de la Galerie Huit. Loin des grandes institutions, on a parlé de photographie, de regard, de pouvoir, de tendresse aussi. Et de cette ligne fine entre fascination et inconfort. Une plongée lucide dans les coulisses de la photographie contemporaine, entre passion, responsabilité et mémoire.Dans cette conversation, nous parlons longuement de ce photographe qui a bousculé les codes, imposé une esthétique aussi radicale qu'irrévérencieuse, tout autant que de la présence fondamentale d'Alice Springs.Un échange amical et généreux. Et cette intimité particulière que seule la radio permet, quand la voix devient le lieu du partage.English version :From Berlin, he watches over the legacy of a photographer who never stopped unsettling the gaze.Matthias Harder is the director and chief curator of the Helmut Newton Foundation. Appointed by Helmut just a few months before his death, and later accompanied by June's sharp eye, he has been curating exhibitions, publications, and archives for years — but above all, he has been shaping a living memory.The memory of Helmut Newton, of course — but also that of June Newton, herself a photographer. More discreet, yet equally precise. Under the name Alice Springs, she built a body of work all her own.We met in Arles, in the kitchen of Julia de Bierre, founder of Galerie Huit. Far from the major institutions, we spoke about photography, about the gaze, about power — and tenderness, too. About that delicate line between fascination and discomfort.A clear-eyed dive into the backstage of contemporary photography, where passion, responsibility and memory intertwine.In this conversation, we speak at length about a photographer who broke all the rules and carved out a style both radical and irreverent — as well as about the essential presence of Alice Springs.A warm, generous exchange. And that special intimacy only radio can offer, when the voice becomes a space for sharing.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:51 - Journal de 8 h - Effacer l'identité ukrainienne en détruisant son patrimoine culturel. Une association française accuse la Russie et demande à la cour pénale internationale d'ouvrir une enquête.
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Les lunettes connectées de Snapchat s'apprêtent à franchir un nouveau cap. Antoine Gilbert, directeur du AR Studio chez Snap, présente les Spectacles nouvelle génération à réalité augmentée qui pourraient bien annoncer une révolution dans notre manière d'interagir avec le monde. On parle de :L'évolution des Spectacles depuis 2016 jusqu'aux modèles AR actuelsLes usages déjà expérimentés dans le jeu, l'éducation ou la cultureL'intégration de l'intelligence artificielle dans les lunettes et dans Lens StudioLa stratégie de Snap pour démocratiser la réalité augmentée d'ici 2026Les collaborations artistiques et culturelles portées par l'AR Studio de ParisDes lunettes qui ne nous coupent pas du monde, mais qui nous y connectent autrement.-----------
Emma, c'est un flou net. Une présence magnétique capturée dans un miroir usé.Il y a quelque chose de spectral dans cette image, comme si elle venait d'un autre temps. Un passé où l'on prenait encore le temps de se regarder. Cheveux clairs, presque délavés, regard direct mais inaccessible, Emma semble à la fois devant et derrière l'objectif. Elle tient son Mamiya RZ comme on tient une arme sacrée : avec assurance et intimité.Emma Picq est photographe. Mais ce serait trop simple de s'arrêter là.L'image chez elle est un territoire instable, une matière à éprouver, une manière de dire ce qui ne se dit pas. Elle capte la lumière lente, celle qui oblige à attendre, à respirer, à choisir. Ici, chaque photo est un engagement.Mais ce n'est pas tout. Emma est aussi la fondatrice de Borderlines Paper, un projet éditorial à part. Borderlines, c'est son espace de liberté. Une revue artisanale et indocile qu'elle construit image après image, dans le refus du bavardage visuel.Emma ne cherche pas à convaincre. Elle cherche à comprendre. Et c'est précisément ce qui rend sa parole précieuse.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une année sans concession.Pas de format.Pas de filtre.Pas de programme à vendre.Des voix. Entières.Pas retouchées.Pas marketées.Des silences qu'on laisse durer.Des regards qu'on devine derrière les mots.Ici, on ne meuble pas le vide.On l'écoute.TOKIO, ce n'est pas un média.C'est un refus.Le refus de parler vite. De parler fort. De parler pour rien.C'est un lieu.Pour ceux qui ne rentrent pas dans les cases.Pour ceux qui doutent, qui cherchent, qui racontent autrement.J'ai lancé ça seul.J'ai tenu seul.Mais je ne suis pas seul.Vous avez écouté. Vous avez relayé. Vous avez compris.Alors on continue.En marge. En ligne directe. En silence parfois.Une année sans concession.Une seule promesse :Ne jamais trahir ce qui nous lie.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:07:05 - La Cité internationale de la langue française transformée en résidence d'artistes dans le cadre de la France Music Week - par : Louis-Valentin Lopez - Concerts, résidence d'artistes, tapis rouge déroulé aux acteurs de la tech... La première édition de la "France Music Week" devait "replacer la France sur la carte mondiale de la musique". Reportage. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Des chercheurs du CNRS viennent de publier la deuxième édition du Dictionnaire comparé du droit du patrimoine culturel. Mille pages pour comprendre les nuances de ce vocabulaire évolutif et mobile pour comprendre comment on définit le patrimoine. Les conflits tuent les civils. On en parle moins, mais ils détruisent aussi les patrimoines culturels, des monuments parfois plurimillénaires. Mais comment définir le patrimoine culturel ? Quels sont les autres termes utilisés dans les autres pays ? Quelle est la différence entre bien culturel et patrimoine culturel ? Que veut dire «restitution». C'est en 1954 avec la signature de la Convention de la Haye qu'on a commencé à parler de protection des biens culturels en cas de conflit armé. En effet, de nombreux biens ont été détruits durant la Seconde Guerre mondiale. Avec ce dictionnaire, l'idée est de montrer que chaque mot pèse, que la précision du vocabulaire est essentielle. Les conceptions sont très différentes entre les États. On va observer des variations de vocabulaire qui vont dire des choses : la façon dont on conçoit le patrimoine. Les mots disent des choses : la façon de désigner va renseigner sur la conception développée. Marie Cornu Invitée : Marie Cornu, directrice de recherche CNRS, ISP (ENS Paris-Saclay, Université Paris Nanterre). Elle a codirigé le dictionnaire comparé du droit du patrimoine culturel (CNRS Éditions, 2025). Et Fabrice Virgili nous parlera du site Gaza Histoire qui répertorie le patrimoine de Gaza. Depuis un peu plus d'une année, un groupe de chercheuses et chercheurs en sciences humaines fait un inventaire du patrimoine bombardé de Gaza, car c'est une terre d'une richesse méconnue dont les sites témoignent de 4 000 ans d'histoire. Renseigner chacun de ces lieux est indispensable pour empêcher leur disparition et contribuer, le moment venu, à leur reconstruction. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Niamey, au Niger, où Bachir Gentil artiste, slameur, fondateur de l'association Arts et Racines nous présentera la troisième édition du Festival International Slam Ecolo (FISE) qui aura lieu dans la capitale nigérienne du 17 au 21 juin 2025. Cet événement allie art, slam et écologie et rassemble depuis trois ans des artistes et activistes de plusieurs pays autour des enjeux environnementaux. Le festival proposera trois grands concerts, deux compétitions : Slam Vert pour les artistes professionnels et un Kid Slam for Climate pour les enfants, mais aussi des conférences, un panel, quatre jours d'ateliers en techniques de récupération artistique. Les activités auront lieu à la Galerie Tawaydo, au Centre de Conférence Mahatma Gandhi, à l'Université Abdou Moumouni, au Rônier, au CCN, et dans plusieurs quartiers de Niamey. Programmation musicale : L'artiste Krisy avec le titre Jolie Niar.
Des chercheurs du CNRS viennent de publier la deuxième édition du Dictionnaire comparé du droit du patrimoine culturel. Mille pages pour comprendre les nuances de ce vocabulaire évolutif et mobile pour comprendre comment on définit le patrimoine. Les conflits tuent les civils. On en parle moins, mais ils détruisent aussi les patrimoines culturels, des monuments parfois plurimillénaires. Mais comment définir le patrimoine culturel ? Quels sont les autres termes utilisés dans les autres pays ? Quelle est la différence entre bien culturel et patrimoine culturel ? Que veut dire «restitution». C'est en 1954 avec la signature de la Convention de la Haye qu'on a commencé à parler de protection des biens culturels en cas de conflit armé. En effet, de nombreux biens ont été détruits durant la Seconde Guerre mondiale. Avec ce dictionnaire, l'idée est de montrer que chaque mot pèse, que la précision du vocabulaire est essentielle. Les conceptions sont très différentes entre les États. On va observer des variations de vocabulaire qui vont dire des choses : la façon dont on conçoit le patrimoine. Les mots disent des choses : la façon de désigner va renseigner sur la conception développée. Marie Cornu Invitée : Marie Cornu, directrice de recherche CNRS, ISP (ENS Paris-Saclay, Université Paris Nanterre). Elle a codirigé le dictionnaire comparé du droit du patrimoine culturel (CNRS Éditions, 2025). Et Fabrice Virgili nous parlera du site Gaza Histoire qui répertorie le patrimoine de Gaza. Depuis un peu plus d'une année, un groupe de chercheuses et chercheurs en sciences humaines fait un inventaire du patrimoine bombardé de Gaza, car c'est une terre d'une richesse méconnue dont les sites témoignent de 4 000 ans d'histoire. Renseigner chacun de ces lieux est indispensable pour empêcher leur disparition et contribuer, le moment venu, à leur reconstruction. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Niamey, au Niger, où Bachir Gentil artiste, slameur, fondateur de l'association Arts et Racines nous présentera la troisième édition du Festival International Slam Ecolo (FISE) qui aura lieu dans la capitale nigérienne du 17 au 21 juin 2025. Cet événement allie art, slam et écologie et rassemble depuis trois ans des artistes et activistes de plusieurs pays autour des enjeux environnementaux. Le festival proposera trois grands concerts, deux compétitions : Slam Vert pour les artistes professionnels et un Kid Slam for Climate pour les enfants, mais aussi des conférences, un panel, quatre jours d'ateliers en techniques de récupération artistique. Les activités auront lieu à la Galerie Tawaydo, au Centre de Conférence Mahatma Gandhi, à l'Université Abdou Moumouni, au Rônier, au CCN, et dans plusieurs quartiers de Niamey. Programmation musicale : L'artiste Krisy avec le titre Jolie Niar.
durée : 00:03:07 - L'info d'ici, ici Gascogne
durée : 00:03:00 - Course à pied - La Corrida de la Vierge dorée à Albert, un rendez-vous sportif et culturel
La Finlande a restitué le 13 mai dernier au Bénin un siège royal tripode nommé Kataklè. Un moment marquant que vous avez pu suivre sur les antennes de RFI. Ce que l'on sait moins, c'est que ce pays nordique dispose dans le pays d'un institut culturel, le seul sur le continent. Villa Karo, c'est son nom, est située en bord d'océan à Grand-Popo, à deux heures de route de Cotonou, juste à côté de la frontière togolaise. Cet institut fête en ce mois de mai 2025 ses 25 ans. Le lieu a su se faire une place. Il est aujourd'hui très apprécié des habitants. C'est un lieu à part que nous fait visiter en ce mercredi de mai, Kristiina Utriainen, une jeune finlandaise en stage ici depuis janvier : « On accueille des résidents du secteur de la culture et aussi des chercheurs. »Villa Karo, c'est d'abord une résidence pour artistes en recherche d'inspiration. Le projet est né il y a 25 ans, porté par un écrivain finlandais passionné par le voyage, Juha Vakkuri. Julia Ojanen est la directrice exécutive de l'institut : « Il est vraiment tombé amoureux de ce lieu. La paix, les cultures vaudoues qui sont très inspirantes. Il s'est dit "c'est ici que je vais rester pour le reste de mes jours et je vais emmener les autres écrivains ici à Grand-Popo et on va rester ensemble et on va faire notre travail". »La résidence est baptisée Karo en mémoire du fils du fondateur, disparu tragiquement. Au fil du temps, le lieu évolue pour se transformer en un grand centre culturel, financé aujourd'hui à 55 % par l'état finlandais : « On fait beaucoup de services, par exemple des ateliers aux enfants, une dizaine de concerts par an, on a deux musées, un ethnographique et un second d'art contemporain. On a 14 000 visiteurs par an, à peu près. »Des visiteurs qui viennent également assister à la projection de films ou participer à la création de spectacles. Des ateliers de lecture sont également proposés aux enfants et aux adolescents. Georgette Singbé est manager culturelle à la Villa : « Beaucoup n'ont pas accès aux manuels et au programme. La Villa Karo les achète et invite les encadrants de lecture à venir les aider à mieux comprendre les livres au programme. »Les enfants sont également initiés à la création : « À chaque fois que je viens ici, il y a toujours une répétition avec les enfants de Grand-Popo. Je suis sûre que beaucoup d'artistes vont émerger d'ici. »Sika da Silveira a noué un lien particulier avec ce lieu. Cette artiste plasticienne béninoise expose en ce moment dans un des musées : « Quand je suis là, je n'ai pas envie de partir parce que c'est inspirant. Il y a tout ce qu'il faut pour travailler sur place. La nature, le calme pour se ressourcer. »La résidence, elle, existe toujours. Elle s'ouvre désormais aux artistes ouest-africains. Objectif à terme, selon la directrice : accueillir autant d'artistes de Finlande qu'en provenance d'Afrique de l'Ouest.À lire aussiBénin : le «kataklè», 27e pièce du trésor royal d'Abomey, de retour 133 ans après avoir été pillé
Vendredi dernier, Donald Trump a brandi la menace de réimposer des droits de douane de 50 % sur plusieurs produits européens, à compter du 9 juillet prochain. Résultat : Ursula von der Leyen, jusqu'alors en retrait des négociations, a décroché son téléphone en moins de 48 heures. Trump a compris quelque chose de fondamental : l'Union européenne est lente, tandis que lui, avec une simple signature, peut bouleverser la donne du jour au lendemain — quitte à contourner la légalité alors que l'Europe, elle, respecte les règles. Il ne s'agit pas seulement d'un affrontement commercial, mais aussi d'un choc culturel. L'Europe croit encore à la diplomatie, à la réciprocité, au droit international. Elle construit des mécanismes, alors que Trump fabrique des rapports de force. Il ne cherche pas à négocier, il cherche à imposer. Mais il y a une vérité que Trump feint d'ignorer : malgré ses lenteurs, l'Europe reste le plus grand marché économique du monde. Une telle guerre commerciale serait une guerre fratricide. Les tarifs douaniers frapperaient des partenaires économiques étroitement imbriqués. Et si les Européens étaient si faibles, pourquoi Trump s'acharnerait-il autant à les faire plier ? Peut-être parce qu'il sait que, derrière une lenteur apparente, l'Europe sait encore résister — à sa manière. Mots-clés : Mars, Venus, Financial Times, construction, laborieux, bureaucratie, système, légalité, illégalité, loi, urgence économique, sanction, section 232, sécurité nationale, voiture européenne, honneur, faiblesse, mépris, tribunal, négociation, bras de fer, coût, cycle, représailles, rebalancement, ajustement, levier, inflation, croissance, élections de mi-mandat, Républicain --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankxDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
"Tu joues ou tu joues pas ?" de Greg Carette : L'attente très instrumentalisée autour de la sortie de GTA 6 (Grand Theft Auto), véritable phénomène culturel. Merci pour votre écoute Entrez sans Frapper c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes et les émission en version intégrale (avec la musique donc) de Entrez sans Frapper sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8521 Abonnez-vous également à la partie "Bagarre dans la discothèque" en suivant ce lien: https://audmns.com/HSfAmLDEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Vous pourriez également apprécier ces autres podcasts issus de notre large catalogue: Le voyage du Stradivarius Feuermann : https://audmns.com/rxPHqEENoir Jaune Rouge - Belgian Crime Story : https://feeds.audiomeans.fr/feed/6e3f3e0e-6d9e-4da7-99d5-f8c0833912c5.xmlLes Petits Papiers : https://audmns.com/tHQpfAm Des rencontres inspirantes avec des artistes de tous horizons. Galaxie BD: https://audmns.com/nyJXESu Notre podcast hebdomadaire autour du 9ème art.Nom: Van Hamme, Profession: Scénariste : https://audmns.com/ZAoAJZF Notre série à propos du créateur de XII et Thorgal. Franquin par Franquin : https://audmns.com/NjMxxMg Ecoutez la voix du créateur de Gaston (et de tant d'autres...) Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Maxime Aké, originaire de Côte d'Ivoire, partage son parcours d'immigration au Canada, depuis son expérience étudiante à Trois-Rivières jusqu'à la création de sa plateforme de e-commerce culturel. Il nous parle de ses premiers pas dans un nouveau pays, de ses intégrations académique et sociale, des défis de l'adaptation, du soutien familial, mais aussi de l'importance du réseau et de la persévérance.Au programme :Pourquoi Maxime a choisi le Canada après le MarocPourquoi Maxime a choisi le Canada après le MarocSon expérience à l'UQTR et son engagement associatif récompenséL'importance de sortir de sa zone de confort pour s'intégrerLa réalité du marché de l'emploi et le passage vers la résidence permanenteSon saut vers l'entrepreneuriat et la création de "Toutça" : une plateforme pour les produits culturels d'ici et d'ailleurs✨ Conseil clé : "Ta différence est ta force. Ose aller vers les autres, c'est comme ça qu'on s'intègre."Decouvrez la plateforme que Maxime a créé: Thoots, Plateforme de marché en ligne multivendeurs et transactionnelle, Thoots est un espace numérique de découverte dédié à la valorisation des produits agroalimentaires et artistiques provenant du Québec et de cultures diverses ayant élu domicile au Québec.✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨✨En tant que consultante Réglementée en Immigration Canadienne, Vous pouvez me retrouver aussi:Sur InstagramPar email: hello@movelaimmigration.caDurant une consultation strategiqueLes renseignements fournis dans ce podcast ne constituent pas et ne visent pas à constituer des conseils juridiques ; au contraire, tous les renseignements, le contenu et les documents disponibles dans les épisodes sont à des fins d'information générale seulement.Seul votre représentant légal peut vous donner l'assurance que les renseignements contenus dans les présentes – et votre interprétation de ceux-ci – sont applicables ou appropriés à votre situation particulière. L'utilisation et l'accès à ce podcast ou à l'un des liens ou ressources contenus dans le site ne créent pas de relation consultant-client entre l'auditeur, l'utilisateur ou le navigateur et les auteurs, contributeurs Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Entre deux terres, il a choisi de raconter.Il est né au cœur des Cévennes, dans une ville minière du Gard, mais son histoire commence ailleurs. À Tinghir, au sud-est du Maroc, dans une vallée qu'il n'a pas connue enfant, mais dont il portait déjà les contours en lui. Kamal Hachkar a grandi entre deux mondes. Et plutôt que de choisir, il a décidé d'en faire le fil conducteur de son travail.Historien de formation, cinéaste par nécessité, il a compris très tôt que l'Histoire ne suffit pas. Qu'il fallait aller chercher, rencontrer, creuser les silences, remettre en lumière ce que l'exil, le temps ou la peur avaient effacé. C'est ainsi qu'est né Tinghir-Jérusalem : d'un retour au pays, d'une question simple — que sont devenus les Juifs marocains qui vivaient ici ? — et d'une volonté, farouche, de tisser à nouveau ce qui fut brisé.Ce film, salué mais aussi critiqué, a réveillé des mémoires. On l'a accusé d'ouvrir des plaies, mais il n'a fait qu'y porter une lumière douce, patiente, humaine. Depuis, Kamal n'a jamais cessé de suivre cette ligne fragile entre les identités, les appartenances, les douleurs et les possibles.En 2019, il réalise Dans tes yeux, je vois mon pays, un film traversé par la musique, le retour et l'émotion pure. On y suit Neta Elkayam et Amit Haï Cohen, deux artistes israéliens d'origine marocaine, qui reviennent au Maroc pour faire résonner la langue, les chants, les gestes enfouis dans leur enfance. Le film est une déclaration d'amour à une culture vivante, une tentative poétique de recomposer les liens, au-delà de l'exil et de la politique.Ce n'est pas un film sur la nostalgie. C'est un film sur la promesse. Celle que la mémoire n'est pas une fin, mais un début. Que la création peut être un pont, qu'un chant peut encore réunir ce que les histoires officielles ont séparé.En décembre 2024, Kamal présentait ce film aux États-Unis, devant une salle pleine au cœur de la Nouvelle-Orléans. Preuve que ses récits trouvent écho bien au-delà des frontières. Parce qu'au fond, ils nous parlent tous. De ce qu'on perd. De ce qu'on cherche. De ce qu'on peut encore retrouver.Son cinéma est une traversée. Une manière d'habiter le monde avec plus de nuance, plus de lien. À une époque saturée de récits simplistes, Kamal Hachkar continue de tendre l'oreille. Et c'est pour ça qu'on l'écoute.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Interview avec Lola Bertrand de l'Orée 85 pour parler de la programmation et notamment de la deuxième édition du festival Raï de Femmes qui aura lieu le 23/24/25 mai.Réalisé en direct sur RBS le 15/05/25 avec Pierre Liermann
Partir vivre à l'étranger à 16 ans, qui plus est dans un pays à la culture totalement différente, ça donne quoi ? Chloé en a fait l'expérience en partant à Taïwan avec le Rotary club, plus précisément avec le Youth Exchange Program : Chloé a été accueillie dans une famille taïwanaise et ses parents ont accueilli un(e) jeune d'un autre pays que la France. Direction donc Taïwan après son année de terminale pour un véritable voyage culturel ! Pas stressée avant le départ, Chloé découvre rapidement les différences culturelles avec son pays d'origine : le bruit, les odeurs, les habitudes... Le plus dur pour elle ? la nourriture ! Mais elle ne se laisse pas abattre. Elle profite de son année pour découvrir le pays en long, en large et en travers : aussi bien les paysages que la vie au lycée. Et malgré les hauts, les bas et le choc culturel, elle en prend plein les yeux et crée des amitiés solides. Dans cet épisode Chloé nous raconte son quotidien à Taïwan, son immersion culturelle et ce que partir à 16 ans lui a apporté. On parle notamment de : - Rotary club : le fonctionnement- Gros choc culturel : France vs Taïwan- La vie quotidienne à Taïwan- Partir à 16 ans vs à 26 ans : quelles différences ? Bonne écoute ! Pour soutenir le podcast, abonnes toi et met une petite note :) Infos utiles :Le rotary club : https://www.rotary.org/frPour découvrir les coulisses du podcast : partir_podcastDisponible à l'écoute sur toutes les plateformes : https://smartlink.ausha.co/partirEt sur YoutubeSi cet épisode t'a plu, tu devrais aussi aimer :https://podcast.ausha.co/partir/slovaquie-1-an-d-immersion-en-campagne-slovaque-joannaHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, on explore les relations complexes entre santé mentale et multiculturalité. Comment la double culture influence-t-elle notre rapport aux soins psychiques ? Comment naviguer entre différentes visions du monde quand il s'agit de santé mentale ?Pour répondre à ces questions passionnantes, on accueille Josy et Raphaël, qui partagent leurs expériences personnelles en tant que personnes d'origines togolaises et indiennes.On aborde sans détour les défis spécifiques auxquels font face les personnes issues de cultures extra-européennes : les tabous familiaux, les différences de perception, mais aussi les ressources et les solutions qui émergent. De l'ethnopsychiatrie aux thérapies de groupe, en passant par l'art-thérapie, on explore les multiples chemins qui permettent de construire un rapport apaisé à sa santé mentale, tout en honorant ses racines culturelles.Bonne écoute !__________Un podcast écrit et réalisé par Anna Klarsfeld et Sylvain PinotMusique originale composée par Blasé en collaboration avec MickaëlProduit par La Maison PerchéeHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
⚡️Caio Rosa est une voix montante de la photographie contemporaine brésilienne.À travers une approche artistique profondément engagée, il offre une perspective singulière sur les identités afro-brésiliennes et les héritages culturels.Son travail mêle techniques photographiques traditionnelles et éléments graphiques – dessins, écrits, cartes affectives – pour inventer de nouvelles formes de représentation du corps et de la culture noire. Chaque image devient un espace de résistance et de réinvention, où l'intime dialogue avec le politique.Issu du quartier de Praça Seca à Rio de Janeiro, Caio puise dans son environnement et son héritage une matière vive, traversée de spiritualité. Il interroge les classifications imposées par les récits occidentaux, et tisse des liens entre mémoire, territoire et imagination.Artiste pluriel, il explore aussi la musique en tant que DJ, en particulier les rythmes sud-africains Gqom et Amapiano, prolongeant ainsi sa recherche esthétique dans le champ sonore.Caio est né à Rio de Janeiro. Il vit au Brésil.( Émission en anglais )⚡️Caio Rosa é uma voz emergente da fotografia contemporânea brasileira.Com uma abordagem artística profundamente comprometida, ele oferece uma perspectiva única sobre as identidades afro-brasileiras e os legados culturais.Seu trabalho combina técnicas fotográficas tradicionais com elementos gráficos — desenhos, textos, mapas afetivos — para inventar novas formas de representação do corpo e da cultura negra. Cada imagem se torna um espaço de resistência e reinvenção, onde o íntimo dialoga com o político.Nascido no bairro de Praça Seca, no Rio de Janeiro, Caio extrai de seu ambiente e de sua herança uma matéria viva, atravessada pela espiritualidade. Ele questiona as classificações impostas pelas narrativas ocidentais e entrelaça memória, território e imaginação.Artista plural, também explora a música como DJ, especialmente os ritmos sul-africanos Gqom e Amapiano, ampliando sua pesquisa estética para o campo sonoro.Caio nasceu no Rio de Janeiro. Vive e trabalha no Brasil.⚡️ Caio Rosa is a rising voice in contemporary Brazilian photography.Through a deeply committed artistic approach, he offers a unique perspective on Afro-Brazilian identities and cultural legacies.His work blends traditional photographic techniques with graphic elements—drawings, writings, affective maps—to invent new forms of representation for the Black body and culture. Each image becomes a space of resistance and reinvention, where the intimate dialogues with the political.Born in the neighborhood of Praça Seca in Rio de Janeiro, Caio draws from his surroundings and heritage a living material, imbued with spirituality. He questions the classifications imposed by Western narratives and weaves connections between memory, territory, and imagination.A multifaceted artist, he also explores music as a DJ, particularly the South African rhythms of Gqom and Amapiano, extending his aesthetic research into the sonic realm.Caio was born in Rio de Janeiro. He lives and works in Brazil.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Où il est entre autres question de : [00:00:00] Retrouvailles et reprise de quête annexe [00:26:12] Fausse arnaque téléphonique [00:49:36] Clair Obscur : Expedition 33 [02:09:00] Fantasy, de Yoann Kavege [02:22:52] Block Fortress 2 [02:38:16] Remerciements La page Patreon du Cosy Corner : https://www.patreon.com/lecosycorner -- Playlist -- - Via Luna - If You Can't Vibe Witch The Peter Criss Jazz, You Must Be Dead - Ezra Furman - Grand Mal - Deerhoof - Super Duper Rescue Heads ! - Lorien Testard - Sirène - Tisser la Beauté (Clair Obscur : Expedition 33 OST) - Mariah Carey - Fantasy - ALB - Thanks Obscur (Cosy Corner 162 Special Thanks)
Myriam Winkler, adjointe au maire en charge de la Culture à Dambach-la-Ville, nous présente les prochaines représentations proposées au sein de la commune. Le dimanche 11 mai, un concert autour de l'orgue Merklin sera proposé par Thibaut Metz, qui interprétera un programme varié. De la musique sera encore au rendez-vous le samedi 24 mai, avec l'Odyssée de Loupiot : un concert de chœur doublé d'un conte pour petits et grands. La saison culturelle du Foyer Culturel Georges Meyer s'achèvera finalement la semaine suivante, le samedi 31 mai. Lors de cette dernière date, le public pourra participer à la retransmission de l'opéra "Le Barbier de Séville". Retrouvez le programme complet du Foyer Culturel Georges Meyer sur le site internet dambach-la-ville.fr.Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, on reçoit Pascal Leblanc, journaliste à La Presse, passionné de rap et de culture hip-hop. On discute de son parcours, de son amour pour le Wu-Tang, de son rôle dans la mise en lumière du rap québécois dans les médias traditionnels, et de son podcast 10/10 avec DJ White Socks.Une conversation riche sur l'évolution des médias, les scènes locales, les enjeux de représentation, et la nécessité de soutenir les artistes d'ici.
A l'origine, conçue pour les hommes, sous la forme d'un pantacourt, la culotte a depuis rejoint le vestiaire féminin. Portée pour des raisons d'hygiène, sa fonction, sa forme, sa matière, sa couleur ont aussi largement évolué. En coton, en dentelle, gainante, sans couture, menstruelle, string, le choix varie selon les besoins de confort, les complexes et l'image que les femmes veulent renvoyer d'elles-mêmes. “Porter la culotte” n'a donc rien d'anodin ni même de futile pour les femmes qui font face à de nombreuses injonctions. Celles d'être féminine mais féministe, sportive mais gracieuse, mère mais femme aussi. Finalement qui choisit la culotte ? Celle qui la porte ou la société dans laquelle elle vit ? Avec :• Laetitia Gillard, autrice du livre Les Dessous de la culotte - Une autre histoire de notre intimité (Editions les Insolentes, 2025) illustré par Eloïse Gillard• Vanessa Causse, prévisionniste des tendances pour Eurovet, responsable du marketing créatif, de la prévision des tendances de la lingerie et du maillot de bain En fin d'émission, la rubrique Mondoblog chez les voisins avec Ines Emprin Programmation musicale :► Spirits In The Material World - Groundation ► On sera là - Roseline Layo et Angélique Kidjo
À l'origine, conçue pour les hommes, sous la forme d'un pantacourt, la culotte a depuis rejoint le vestiaire féminin. Portée pour des raisons d'hygiène, sa fonction, sa forme, sa matière, sa couleur ont aussi largement évolué. En coton, en dentelle, gainante, sans couture, menstruelle, string, le choix varie selon les besoins de confort, les complexes et l'image que les femmes veulent renvoyer d'elles-mêmes. «Porter la culotte» n'a donc rien d'anodin ni même de futile pour les femmes qui font face à de nombreuses injonctions. Celles d'être féminine mais féministe, sportive mais gracieuse, mère mais femme aussi. Finalement qui choisit la culotte ? Celle qui la porte ou la société dans laquelle elle vit ? Avec :• Laetitia Gillard, autrice du livre Les Dessous de la culotte - Une autre histoire de notre intimité (Editions les Insolentes, 2025) illustré par Eloïse Gillard• Vanessa Causse, prévisionniste des tendances pour Eurovet, responsable du marketing créatif, de la prévision des tendances de la lingerie et du maillot de bain. En fin d'émission, la rubrique Mondoblog chez les voisins avec Ines Emprin. Programmation musicale :► Spirits In The Material World - Groundation ► On sera là - Roseline Layo et Angélique Kidjo.
Vacances au Québec : est-ce que les différentes villes de la province réussissent à attirer les Québécois à l’aide du tourisme culturel ? Entrevue avec Geneviève Cantin, présidente-directrice générale de l’Alliance de l’industrie touristique du Québec. Abonnez-vous à QUB télé via https://www.tvaplus.ca/qub ou écoutez ce segment en balado via https://www.qub.ca/radio/balado/mario-dumont Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
"Un édito aiguisé d'Arthur Chevallier, chaque matin à 7h10. Un parti-pris assumé sur une question d'actualité. D'accord ou pas, vous ne resterez pas indifférent. La chronique qui permet de réfléchir et aide à forger son opinion chaque matin du lundi au vendredi sur RMC et RMC Story."
Tous les jours, du lundi au jeudi, la France bouge retrace une belle histoire entrepreneuriale.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'adoption de l'IA commence discrètement, par des usages ciblés, avant de transformer profondément les habitudes de travail. Ce n'est pas la technologie elle-même qui change les organisations, mais la manière dont elle reconfigure nos réflexes, nos standards, et nos modes de collaboration. La véritable valeur ne vient pas des modèles, mais de la mémoire d'entreprise qu'on leur transmet. Dans ce contexte, structurer, formaliser et partager le savoir devient un avantage stratégique décisif. Car sans contexte propre, l'automatisation ne clarifie rien — elle efface.Become a supporter of this podcast: https://www.spreaker.com/podcast/frenchweb-business--3299227/support.
durée : 00:10:21 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - Les députés Sandrine Rousseau et Erwan Balanant, présidente et rapporteur de la commission d'enquête sur les violences dans le secteur de la culture, étaient les invités de France Inter ce mercredi, à l'occasion de la présentation de leur rapport. - invités : Sandrine Rousseau, Erwan Balanant - Sandrine Rousseau : Économiste et femme politique française, Erwan Balanant : Député Modem du Finistère
durée : 00:10:21 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - Les députés Sandrine Rousseau et Erwan Balanant, présidente et rapporteur de la commission d'enquête sur les violences dans le secteur de la culture, étaient les invités de France Inter ce mercredi, à l'occasion de la présentation de leur rapport. - invités : Sandrine Rousseau, Erwan Balanant - Sandrine Rousseau : Économiste et femme politique française, Erwan Balanant : Député Modem du Finistère
Dans l'ouest de la Côte d'Ivoire, ils sont des symboles parmi les plus connus de la tradition yacouba. Quatre ponts de liane suspendus au-dessus du fleuve Cavally et qui attirent les visiteurs de toute la région. Mais ces structures réputées « magiques » sont menacées par la déforestation. Pour préserver cet héritage, la direction régionale du tourisme veut lancer des pépinières d'arbres à liane. RFI s'est rendu dans le village de Lieupleu pour tenter la traversée. À trois mètres au-dessus du fleuve, les aventuriers n'en mènent pas larges, sur l'enchevêtrement de branches qui grincent. Florence est institutrice, elle est venue avec sa famille jouer les Indiana Jones. « Ça fait peur, mais il y a beaucoup d'émotions. C'est émouvant de voir ce pont qui existe on ne sait pas comment », s'émerveille-t-elle.Lieupleu fait partie des quatre ponts de liane historiques de la région de Tonkpi, en Côte d'Ivoire. Les villageois les traversaient pour aller aux champs. Aujourd'hui, les touristes visitent chaque jour ces passerelles éphémères. « Quand le pont est emporté, les initiés appellent le griot qui nous dit d'aller chercher les lianes. », raconte Valère Gbah, l'un des guides locaux. Une puissance magique construirait ensuite les ponts en une nuit. Il est interdit de marcher dessus avec ses chaussures ou de mâcher un chewing-gum quand on traverse. Problème : les lianes sont de moins en moins disponibles, selon Valère Gbah. « Pas facile de chercher les lianes aujourd'hui. On a planté du café et du cacao », selon lui.Pour trouver les arbres à lianes, il faut faire 100 km jusque dans les pays voisins. « La déforestation est réelle. Elle est liée à la déforestation générale que connaît la Côte d'Ivoire. S'il n'y a pas de plante, il n'y a pas de pont, même avec de la bonne volonté », estime le docteur Doudjo Ouattara, biologiste forestier. Ce chercheur à l'université Nangui Abrogoua d'Abidjan veut sauvegarder les arbres à liane. « Il faut déjà faire l'inventaire des arbres utilisés par ces communautés, puis les introduire dans la nature et installer des pépinières », détaille-t-il. Un projet soutenu par la direction du tourisme de la région du Tonkpi.À lire aussiCôte d'Ivoire: la langue sokya sauvée par des missionnaires traducteurs [1/4]
Tu veux partir vivre à Séoul ou tu es tout simplement curieux(se) de la vraie vie là-bas ? Dans cette vidéo, je te raconte tout ce que j'aurais aimé savoir avant de partir en Corée du Sud :
Nouvelle semaine, nouveau sketch. Le choc culturel ? Elle connaît bien. Faites du bruit pour Sarah Lélé !Et pour ne pas manquer les prochains épisodes de Montreux Comedy Edition Audio, abonnez-vous sur vos plateformes de podcasts préférées !Envie d'assister au Montreux Comedy Festival 2025 ?
durée : 00:58:15 - Le Grand Reportage - par : Aurélie Kieffer - Au bout de trois ans d'invasion russe à grande échelle, le monde culturel en Ukraine se transforme à grande vitesse, multiplie les collaborations internationales et fait le point sur les actions entreprises pour lutter contre l'effacement culturel que promeut le Kremlin. - réalisation : Annie Brault - invités : Krista Pikkat Directrice de l'Entité Culture et Situations d'urgence, au sein du secteur de la culture à l'UNESCO
durée : 00:42:48 - Signes des temps - par : Marc Weitzmann - Du geste d'Elon Musk et de son soutien à l'extrême droite aux commémorations des quatre-vingt ans de la libération du camp d'Auschwitz en passant par Gaza : réflexion sur les enjeux et l'utilité de la mémoire collective. - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Simone Rodan-Benzaquen Directrice de l'American Jewish Committee en Europe et géopolitologue ; Catherine Chalier Philosophe, traductrice.
Le milieu des affaires prône un filet social pour les artistes. Entrevue avec Michel Leblanc, président de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Bienvenue dans un épisode Moment d'Expat, où je partage avec vous un extrait marquant d'un épisode passé. Aujourd'hui, je vous propose un extrait de mon échange avec Lucie, partie seule pour la première fois au Ghana. Dans cet épisode immersif, on entend dans un premier temps des vocaux envoyés lorsqu'elle était sur place et ensuite on échange ensemble sur un sujet précis alors que son expérience d'expatriation est sur le point de prendre fin. Le sujet que l'on vous propose c'est sur le Choc culturel lorsque l'on arrive à l'étranger. Ce moment de vie qui suit généralement la période que l'on appel Lune de miel. J'espère que cette thématique vous parlera et éveillera votre curiosité par aller écouter l'intégralité de cet épisode dont voici le lien : Les étapes émotionnelles de l'expatriation#chocculture #etapesemotionnelles #expatriation #afrique #ghana
Au Japon, les réveillons sont particulièrement festifs et arrosés en cette année 2024 grâce à l'Unesco, qui vient d'intégrer le processus traditionnel de fabrication du saké, l'alcool de riz, à sa liste du patrimoine culturel immatériel de l'humanité. Cette décision consacre une tradition qui remonte à l'ère impériale Muromachi – entre le XIVe et le XVIe siècle – et s'est transmise de générations en générations. Cette reconnaissance internationale est une bouée d'oxygène pour un secteur qui peine. Dans un pays où plus de 40% des moins de 30 ans ne boivent jamais d'alcool ou très rarement, on ne compte plus désormais que 700 petits producteurs de saké, cinq fois moins que dans les années 60. « Kanpaîîî !! » (« Santé !! » en japonais). Dans les bars à saké du centre-ville de Tokyo, la décision de l'Unesco d'intégrer le saké au patrimoine culturel immatériel de l'humanité met tout le monde en joie : « Cette consécration internationale est une si belle reconnaissance pour nos petits producteurs. Ça va les motiver comme jamais », souligne cet homme. « Le monde entier va découvrir nos si bons produits du terroir. C'est vraiment super », avance une Japonaise. « Je viens de Kôchi, une région réputée pour son saké. Cela me ferait trop plaisir s'il avait aussi du succès à l'étranger. Moi, en tout cas, pour sûr, je ne compte pas m'en priver », lâche-t-elle.« Moi, je suis originaire d'Okinawa, l'archipel tropical situé à 2 000 kilomètres d'ici. Quand j'ai le mal du pays, il suffit d'une coupe de notre saké local, l'awamori, pour avoir l'impression d'être de retour là-bas », confie une monsieur originaire de cette île au climat tropical.« Il n'y a pas un saké, en fait, il y en a des dizaines. Chacun a sa particularité et un goût singulier en fonction de la région dont il provient et du type de riz utilisé. Cette diversité est absolument passionnante », précise cette femme.Le saké tarde à conquérir les jeunes JaponaisShuso Imada dirige l'association regroupant les producteurs de saké. Il se frotte les mains : « En 2013, la tradition culinaire nippone a été inscrite dans la liste du patrimoine immatériel de l'humanité. Cette consécration a eu un effet spectaculaire. Aujourd'hui, à l'étranger, on dénombre trois fois plus de restaurants japonais qu'il y a dix ans, et depuis, les exportations de saké ont quadruplé. On peut donc vraiment dire que, tout comme notre patrimoine gastronomique, cette boisson a conquis le monde entier. Et ce nouveau coup de pouce de l'Unesco va sans doute encore accélérer cette tendance. »Pour autant, malgré ce succès à l'international, l'industrie du saké va mal : « Les Japonais en consomment quatre fois moins qu'il y a 50 ans, notamment parce que nos jeunes ne s'intéressent plus au saké. Pour eux, c'est un produit suranné, destiné surtout aux personnes âgées. Et puis, ce qu'ils adorent, ce sont les boissons légèrement alcoolisées. Or, le saké est assez fort, précise Shuso Imada. Malgré cette belle initiative de l'Unesco, l'avenir s'annonce assez sombre. Pour changer les choses, en fait, il faudrait un sursaut civique des Japonais eux-mêmes : une immense vague de fierté envers leur alcool national, qui est devenu si populaire à l'étranger. »Les professionnels du secteur demandent au gouvernement de mener des campagnes de promotion du saké, mais les autorités marchent sur des œufs. Il y a deux ans, affolé par la chute des recettes fiscales provenant des ventes d'alcool, le ministère des Finances avait lancé « Saké Viva », une campagne tonitruante qui avait tourné court, en raison d'un tollé d'anthologie de la part des addictologues notamment, car elle incitait les jeunes à s'enivrer davantage.À lire aussiUnesco: le «Nouvel an chinois» inscrit sur la liste du patrimoine culturel de l'humanité
Rencontre avec Raphael Coulhon, le nouvel attaché culturel à l'ambassade de France en Australie. Il nous parle des projets qu'il veut mettre en place.
Le henné vient d'intégrer la liste du patrimoine culturel immatériel de l'Unesco. La candidature du henné était portée par 16 pays arabes, du Moyen-Orient à l'Afrique du Nord. Parmi eux, le Maroc, où la tradition est toujours très forte. De notre correspondant à Casablanca,En périphérie de Casablanca, dans un quartier populaire, une famille célèbre aujourd'hui la circoncision de Souleymane, un bébé d'un an. « Là, je suis en train de préparer la table et l'endroit où on va faire le henné au petit. La circoncision a ses propres rituels », explique Khamissa. Elle est ce qu'on appelle une nekacha, littéralement une dessinatrice de henné. « Pour cette cérémonie, on fait simple. On met un peu de henné dans la paume de la main, on teint aussi les pieds, décrit la dessinatrice. C'est la même chose qu'on faisait avant pour le marié. Le henné, ce n'est pas réservé aux femmes pour le mariage. Même les hommes peuvent en mettre. C'est un symbole de joie pour tout le monde. »Les chants et les youyous emplissent le salon. Souleymane est un peu impressionné. Zakaria, son père, est lui-même un adepte du henné. Il a demandé à Khamissa de lui faire deux gros points sur les mains. Il laisse la pâte sécher longtemps pour obtenir la couleur la plus intense possible. « Mon fils, le pauvre, a mis le henné, du coup, je fais comme lui ! Il y en a qui n'aiment pas, mais à moi, cela me plaît, confie Zakaria. On continue à suivre les traditions. » « Le henné est toujours avec nous » Au Maroc, le henné accompagne toutes les étapes importantes de la vie. « De la naissance à la mort, s'exclame Khamissa. Dans certaines régions, quand il y a un décès, trois jours après l'enterrement, chaque personne met un peu de henné pour chasser la tristesse et permettre à la vie de poursuivre son cours. Le henné est toujours avec nous. »Alors cette inscription sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l'humanité est une excellente nouvelle. « Je suis très fière que cette pratique soit arrivée jusqu'à l'Unesco, se réjouit la dessinatrice. C'est quelque chose que j'espérais depuis longtemps. »Le henné est réputé pour ses vertus médicinales, antiseptiques et apaisantes pour la peau. Ce serait aussi une plante un peu magique. « Et voilà, Souleymane s'est calmé, remarque Khamissa. On lui a mis le henné et il a arrêté de pleurer. » À lire aussiLe henné intègre le patrimoine immatériel de l'UnescoÀ lire aussiNEWSLETTER RFI CULTURE : Ne manquez pas les meilleurs reportages et idées d'une actualité culturelle internationale qui n'oublie pas l'Afrique.
durée : 00:03:31 - Le Regard culturel - par : Lucile Commeaux
Valentine Sabouraud célèbre une victoire belge très sérieuse, puisqu'elle porte sur l'inscription de sa bière au patrimoine culturel et immatériel de l'humanité. Un grand jour, raconté avec les archives de l'Institut national de l'audiovisuel et d'Euronews.
durée : 02:29:24 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Avec Vincent Négri, chercheur à l'Institut de Sciences sociales du Politique au CNRS / Amine Benyamina, psychiatre-addictologue / Anna Colin Lebedev, maîtresse de conférences à Paris Nanterre, et Guillaume Lasconjarias, historien militaire, professeur associé à Sorbonne Université - réalisation : Félicie Faugère
durée : 00:03:18 - Le Regard culturel - par : Lucile Commeaux
✨ Pour plus d'infos sur mon kit de conversation, je t'invite à cliquer sur le lien suivant : https://passerelles.podia.com/histoires-d-apprenant-e Il est disponible dès maintenant pour un prix tout doux, 25 euros. Alors, profites-en ! ---- ✍️ Passerelles est maintenant sur YouTube : https://www.youtube.com/@passerelles Tu veux partager tes réflexions avec moi ? Tape "Passerelles" et le titre de cet épisode dans la barre de recherche sur YouTube pour le retrouver, et je te donne rendez-vous dans l'espace commentaires pour échanger ! ---- Bienvenue dans Passerelles, un podcast pensé pour éveiller la curiosité des apprenantes et des apprenants de français. Dans chaque épisode, je partage avec toi une question inspirée par les podcasts que j'écoute, par mes lectures. Et tout simplement par des choses qui m'ont marquée, qui m'ont étonnée récemment. J'ai eu envie de créer ce podcast pour transmettre des idées et encourager la conversation sur des sujets variés. Tu peux participer en t'abonnant à Passerelles, sur ton application de podcasts préférée. Je suis aussi sur Instagram : @frenchdiaries Merci pour ton écoute et à très vite ! ---- La question du jour : Qu'est-ce que tu as lu, écouté ou regardé récemment ? Et pourquoi ça t'a marqué.e ? La phrase à retenir : Même si certains détails semblent insignifiants, ils restent toujours associés à un moment, à un lieu ou à une personne qui a traversé notre vie. Ces détails, c'est ce qui reste de notre histoire commune. Résumé de l'épisode : Les lectures, les choses qu'on écoute/regarde et qui nous marquent, c'est un sujet que j'aime tout particulièrement. Je profite de la rentrée pour partager mon bilan culturel avec vous. Mais d'abord, un grand merci aux personnes qui se sont inscrites à mon nouveau programme, Histoires d'apprenant.e. Ce kit, c'est le compagnon idéal pour se remettre dans le bain en douceur à la fin de l'été. Ce n'est pas un atelier de conversation en direct sur Zoom. Mais c'était hyper important à mes yeux de garder un aspect interactif dans l'expérience que je vous propose. C'est pour ça que j'ai créé un formulaire que vous pouvez utiliser pour m'envoyer vos réponses aux questions, pour me raconter votre histoire. Pas de pression, le but, c'est simplement de partager. (03:16) Qu'est-ce que tu as lu ou regardé récemment ? C'est la question qu'on se pose aujourd'hui. Ensemble, (03:50) on parle d'abord d'un roman suédois, (09:34) puis d'une série française, (14:38) et enfin des détails qui retiennent notre attention. Bonne écoute ! Pour aller plus loin : Les premières pages du roman "Les détails" d'Ia Genberg (Éditions Le bruit du monde) Le premier épisode de la série d'Émilie Tronche, "Samuel", sur le compte Instagram d'ARTE à suivre ---- Crédit musique : Betty Dear + Taoudella by Blue Dot Sessions