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De Comédie Clubs en festivals, de soirées stand-up à l'École Nationale de l'Humour, une institution pionnière dans l'espace francophone, virée à Montréal où la blague et le rire sont au coin de la rue. Dans la cité cosmopolite et vibrante de Montréal, du quartier d'Hochelaga au Plateau-Mont-Royal en passant par le quartier de Verdun ou celui de la Petite Italie, il ne se passe pas un soir sans un spectacle d'humour, où le public vient rire et célébrer le rire ! C'est une industrie lourde de la ville et du Québec, et celui qui voyage à Montréal se doit de passer au moins un soir, par une stand-up ou un open-mic pour goûter aux blagues locales. Traditionnellement, le Québec est un «pays» de conteurs et d'oralité, que l'on doit notamment à la culture autochtone plurimillénaire et à l'histoire du peuple québécois. Et en trente ans, la plus grande ville francophone d'Amérique du Nord s'est imposée comme la plaque tournante des humoristes francophones mais aussi anglophones… Déjà, de longue date, Montréal est célèbre pour accueillir, à l'été, le plus grand festival d'humour : «Juste pour rire» qui, chaque année, rassemble des millions de spectateurs à travers ses shows et ses contenus télévisés, diffusés dans plus de 150 pays. Au départ uniquement francophone, ce festival créé en 1983 par Gilbert Bozon, qui a depuis démissionné, a connu une version anglophone «Just For Laughs», cofondé en 1985 par Andy Nulman. Ce dernier revendique d'ailleurs la contribution des communautés juives de la ville à son rang de capitale de l'humour. Un titre qu'elle n'a certainement pas volé et qui, là-bas, se vérifie et se vit, à la découverte d'une culture hybride, à la croisée de la stand-up américaine et des humours en tout genre. Autre fait important pour l'écosystème de l'humour à Montréal : en 1988, Louise Richer, directrice générale fondatrice de l'École Nationale de l'Humour, ouvre à Montréal la toute première école d'humour professionnelle et s'attache, avec ténacité, à faire reconnaître l'humour comme un art à part entière. 750 diplômés plus tard, sortis de l'école, ce laboratoire pionnier de formation en humour est connu dans tout l'espace francophone et chaque année, l'école reçoit des centaines de candidatures venus du Canada, mais aussi de France ou d'Afrique francophone. À l'initiative de Louise Richer, on trouve désormais aussi à Montréal, l'Observatoire de l'Humour, conçu comme un lieu d'échanges et de connaissances autour de l'humour francophone. Car aujourd'hui, l'humour, que l'écrivain Romain Gary désignait comme «l'arme des désarmés», sert largement la francophonie, sa diffusion, voire sa survie sur le continent américain comme dans le reste du monde. Le peuple québécois défend d'ailleurs largement cette idée d'une identité façonnée et racontée à travers l'humour et il se rend en masse aux spectacles comiques, qu'il vente ou qu'il neige. Exutoire populaire et rassembleur, l'humour à Montréal défend ainsi la langue française mais aussi une identité québécoise et montréalaise plurielle, sur une île de plus de 120 nationalités différentes. On y rit de la diversité et des différences et toute une scène queer ou féministe a vu le jour, la profession historiquement aux mains des hommes blancs s'étant largement féminisée et métissée. La culture des Premières Nations, où le rire est très important et se vit comme «un écran aux traumas coloniaux», a aussi marqué de son empreinte la société québécoise et son humour. Et chaque nouvelle communauté apporte sa pierre, son rire, à l'édifice. Un voyage sonore en deux épisodes de Laure Allary et Céline Develay-Mazurelle. Pour préparer votre voyage en mode humour : - Un article de Tourisme Montréal et un récit multimédia de Radio Canada sur l'apport de l'humour juif à Montréal - Un article de l'écrivain innu Michel Jean sur le rire au sein des Premières Nations - Le livre de référence du célèbre anthropologue Serge Bouchard «Le peuple rieur» sur les Innus - Le Festival Juste pour Rire qui se tient à la mi-juillet à Montréal - Le RDV populaire des «Lundis de l'humour» au Bar Le Jockey, animé par Lauriane Lalonde, avec Elisabeth Grondin à la chronique - Les incontournables Comédie Clubs Le Bordel ou Le Terminal qui, tous les jours, proposent des opens-mics et shows d'humour - Le circuit des bars comme Chez Roger qui, chaque lundi, propose des shows d'humour ou Chez Ernest qui, le dimanche, propose de l'impro et, le lundi, une soirée comedy club - Le «Couscous Comedy Show», l'évènement préféré de Boucar Diouf, humoriste d'origine sénégalaise et biologiste de formation qui a adopté, à sa manière, la culture québécoise. Boucar Diouf est notamment l'auteur du livre «Ce que la vie doit au rire», paru aux Éditions La Presse - Le Festival Afrikiri qui, depuis dix ans, met à l'honneur des humoristes de l'Afrique francophone - Pour ceux qui aiment «l'humour à saveur mangue-érable», allez-voir Garihanna Jean-Louis, humoriste québécoise et haïtienne, première femme noire diplômée de l'École Nationale de l'humour (ENH) - Pour en savoir plus sur le parcours de l'autrice en humour Suzanne Vallières-Nollet qui a gradué en 2024 de l'ENH - Le site de l'Observatoire de l'Humour, fondé en 2011. Un espace d'échanges et de connaissances interdisciplinaire sur l'humour francophone - Le site de l'École Nationale de l'humour, une école cofondée par Louise Richer en 1988, qui propose des formations à temps plein ou à temps partiel à tous les publics. Bientôt l'ENH va déménager dans le Quartier Latin à Montréal et aura certainement pignon sur rue…
De Comédie Clubs en festivals, de soirées stand-up à l'École Nationale de l'Humour, une institution pionnière dans l'espace francophone, virée à Montréal où la blague et le rire sont au coin de la rue. Dans la cité cosmopolite et vibrante de Montréal, du quartier d'Hochelaga au Plateau-Mont-Royal en passant par le quartier de Verdun ou celui de la Petite Italie, il ne se passe pas un soir sans un spectacle d'humour, où le public vient rire et célébrer le rire ! C'est une industrie lourde de la ville et du Québec, et celui qui voyage à Montréal se doit de passer au moins un soir, par une stand-up ou un open-mic pour goûter aux blagues locales. Traditionnellement, le Québec est un «pays» de conteurs et d'oralité, que l'on doit notamment à la culture autochtone plurimillénaire et à l'histoire du peuple québécois. Et en trente ans, la plus grande ville francophone d'Amérique du Nord s'est imposée comme la plaque tournante des humoristes francophones mais aussi anglophones… Déjà, de longue date, Montréal est célèbre pour accueillir, à l'été, le plus grand festival d'humour : «Juste pour rire» qui, chaque année, rassemble des millions de spectateurs à travers ses shows et ses contenus télévisés, diffusés dans plus de 150 pays. Au départ uniquement francophone, ce festival créé en 1983 par Gilbert Bozon, qui a depuis démissionné, a connu une version anglophone «Just For Laughs», cofondé en 1985 par Andy Nulman. Ce dernier revendique d'ailleurs la contribution des communautés juives de la ville à son rang de capitale de l'humour. Un titre qu'elle n'a certainement pas volé et qui, là-bas, se vérifie et se vit, à la découverte d'une culture hybride, à la croisée de la stand-up américaine et des humours en tout genre. Autre fait important pour l'écosystème de l'humour à Montréal : en 1988, Louise Richer, directrice générale fondatrice de l'École Nationale de l'Humour, ouvre à Montréal la toute première école d'humour professionnelle et s'attache, avec ténacité, à faire reconnaître l'humour comme un art à part entière. 750 diplômés plus tard, sortis de l'école, ce laboratoire pionnier de formation en humour est connu dans tout l'espace francophone et chaque année, l'école reçoit des centaines de candidatures venus du Canada, mais aussi de France ou d'Afrique francophone. À l'initiative de Louise Richer, on trouve désormais aussi à Montréal, l'Observatoire de l'Humour, conçu comme un lieu d'échanges et de connaissances autour de l'humour francophone. Car aujourd'hui, l'humour, que l'écrivain Romain Gary désignait comme «l'arme des désarmés», sert largement la francophonie, sa diffusion, voire sa survie sur le continent américain comme dans le reste du monde. Le peuple québécois défend d'ailleurs largement cette idée d'une identité façonnée et racontée à travers l'humour et il se rend en masse aux spectacles comiques, qu'il vente ou qu'il neige. Exutoire populaire et rassembleur, l'humour à Montréal défend ainsi la langue française mais aussi une identité québécoise et montréalaise plurielle, sur une île de plus de 120 nationalités différentes. On y rit de la diversité et des différences et toute une scène queer ou féministe a vu le jour, la profession historiquement aux mains des hommes blancs s'étant largement féminisée et métissée. La culture des Premières Nations, où le rire est très important et se vit comme «un écran aux traumas coloniaux», a aussi marqué de son empreinte la société québécoise et son humour. Et chaque nouvelle communauté apporte sa pierre, son rire, à l'édifice. Un voyage sonore en deux épisodes de Laure Allary et Céline Develay-Mazurelle. Pour préparer votre voyage en mode humour : - Un article de Tourisme Montréal et un récit multimédia de Radio Canada sur l'apport de l'humour juif à Montréal - Un article de l'écrivain innu Michel Jean sur le rire au sein des Premières Nations - Le livre de référence du célèbre anthropologue Serge Bouchard «Le peuple rieur» sur les Innus - Le Festival Juste pour Rire qui se tient à la mi-juillet à Montréal - Le RDV populaire des «Lundis de l'humour» au Bar Le Jockey, animé par Lauriane Lalonde, avec Elisabeth Grondin à la chronique - Les incontournables Comédie Clubs Le Bordel ou Le Terminal qui, tous les jours, proposent des opens-mics et shows d'humour - Le circuit des bars comme Chez Roger qui, chaque lundi, propose des shows d'humour ou Chez Ernest qui, le dimanche, propose de l'impro et, le lundi, une soirée comedy club - Le «Couscous Comedy Show», l'évènement préféré de Boucar Diouf, humoriste d'origine sénégalaise et biologiste de formation qui a adopté, à sa manière, la culture québécoise. Boucar Diouf est notamment l'auteur du livre «Ce que la vie doit au rire», paru aux Éditions La Presse - Le Festival Afrikiri qui, depuis dix ans, met à l'honneur des humoristes de l'Afrique francophone - Pour ceux qui aiment «l'humour à saveur mangue-érable», allez-voir Garihanna Jean-Louis, humoriste québécoise et haïtienne, première femme noire diplômée de l'École Nationale de l'humour (ENH) - Pour en savoir plus sur le parcours de l'autrice en humour Suzanne Vallières-Nollet qui a gradué en 2024 de l'ENH - Le site de l'Observatoire de l'Humour, fondé en 2011. Un espace d'échanges et de connaissances interdisciplinaire sur l'humour francophone - Le site de l'École Nationale de l'humour, une école cofondée par Louise Richer en 1988, qui propose des formations à temps plein ou à temps partiel à tous les publics. Bientôt l'ENH va déménager dans le Quartier Latin à Montréal et aura certainement pignon sur rue…
De Comédie Clubs en festivals, de soirées stand-up à l'École Nationale de l'Humour, une institution pionnière dans l'espace francophone, virée à Montréal où la blague et le rire sont au coin de la rue. Dans la cité cosmopolite et vibrante de Montréal, du quartier d'Hochelaga au Plateau-Mont-Royal en passant par le quartier de Verdun ou celui de la Petite Italie, il ne se passe pas un soir sans un spectacle d'humour, où le public vient rire et célébrer le rire ! C'est une industrie lourde de la ville et du Québec, et celui qui voyage à Montréal se doit de passer au moins un soir, par une stand-up ou un open-mic pour goûter aux blagues locales. Traditionnellement, le Québec est un «pays» de conteurs et d'oralité, que l'on doit notamment à la culture autochtone plurimillénaire et à l'histoire du peuple québécois. Et en trente ans, la plus grande ville francophone d'Amérique du Nord s'est imposée comme la plaque tournante des humoristes francophones mais aussi anglophones… Déjà, de longue date, Montréal est célèbre pour accueillir, à l'été, le plus grand festival d'humour : «Juste pour rire» qui, chaque année, rassemble des millions de spectateurs à travers ses shows et ses contenus télévisés, diffusés dans plus de 150 pays. Au départ uniquement francophone, ce festival créé en 1983 par Gilbert Bozon, qui a depuis démissionné, a connu une version anglophone «Just For Laughs», cofondé en 1985 par Andy Nulman. Ce dernier revendique d'ailleurs la contribution des communautés juives de la ville à son rang de capitale de l'humour. Un titre qu'elle n'a certainement pas volé et qui, là-bas, se vérifie et se vit, à la découverte d'une culture hybride, à la croisée de la stand-up américaine et des humours en tout genre. Autre fait important pour l'écosystème de l'humour à Montréal : en 1988, Louise Richer, directrice générale fondatrice de l'École Nationale de l'Humour, ouvre à Montréal la toute première école d'humour professionnelle et s'attache, avec ténacité, à faire reconnaître l'humour comme un art à part entière. 750 diplômés plus tard, sortis de l'école, ce laboratoire pionnier de formation en humour est connu dans tout l'espace francophone et chaque année, l'école reçoit des centaines de candidatures venus du Canada, mais aussi de France ou d'Afrique francophone. À l'initiative de Louise Richer, on trouve désormais aussi à Montréal, l'Observatoire de l'Humour, conçu comme un lieu d'échanges et de connaissances autour de l'humour francophone. Car aujourd'hui, l'humour, que l'écrivain Romain Gary désignait comme «l'arme des désarmés», sert largement la francophonie, sa diffusion, voire sa survie sur le continent américain comme dans le reste du monde. Le peuple québécois défend d'ailleurs largement cette idée d'une identité façonnée et racontée à travers l'humour et il se rend en masse aux spectacles comiques, qu'il vente ou qu'il neige. Exutoire populaire et rassembleur, l'humour à Montréal défend ainsi la langue française mais aussi une identité québécoise et montréalaise plurielle, sur une île de plus de 120 nationalités différentes. On y rit de la diversité et des différences et toute une scène queer ou féministe a vu le jour, la profession historiquement aux mains des hommes blancs s'étant largement féminisée et métissée. La culture des Premières Nations, où le rire est très important et se vit comme «un écran aux traumas coloniaux», a aussi marqué de son empreinte la société québécoise et son humour. Et chaque nouvelle communauté apporte sa pierre, son rire, à l'édifice. Un voyage sonore en deux épisodes de Laure Allary et Céline Develay-Mazurelle. Pour préparer votre voyage en mode humour : - Un article de Tourisme Montréal et un récit multimédia de Radio Canada sur l'apport de l'humour juif à Montréal - Un article de l'écrivain innu Michel Jean sur le rire au sein des Premières Nations - Le livre de référence du célèbre anthropologue Serge Bouchard «Le peuple rieur» sur les Innus - Le Festival Juste pour Rire qui se tient à la mi-juillet à Montréal - Le RDV populaire des «Lundis de l'humour» au Bar Le Jockey, animé par Lauriane Lalonde, avec Elisabeth Grondin à la chronique - Les incontournables Comédie Clubs Le Bordel ou Le Terminal qui, tous les jours, proposent des opens-mics et shows d'humour - Le circuit des bars comme Chez Roger qui, chaque lundi, propose des shows d'humour ou Chez Ernest qui, le dimanche, propose de l'impro et, le lundi, une soirée comedy club - Le «Couscous Comedy Show», l'évènement préféré de Boucar Diouf, humoriste d'origine sénégalaise et biologiste de formation qui a adopté, à sa manière, la culture québécoise. Boucar Diouf est notamment l'auteur du livre «Ce que la vie doit au rire», paru aux Éditions La Presse - Le Festival Afrikiri qui, depuis dix ans, met à l'honneur des humoristes de l'Afrique francophone - Pour ceux qui aiment «l'humour à saveur mangue-érable», allez-voir Garihanna Jean-Louis, humoriste québécoise et haïtienne, première femme noire diplômée de l'École Nationale de l'humour (ENH) - Pour en savoir plus sur le parcours de l'autrice en humour Suzanne Vallières-Nollet qui a gradué en 2024 de l'ENH - Le site de l'Observatoire de l'Humour, fondé en 2011. Un espace d'échanges et de connaissances interdisciplinaire sur l'humour francophone - Le site de l'École Nationale de l'humour, une école cofondée par Louise Richer en 1988, qui propose des formations à temps plein ou à temps partiel à tous les publics. Bientôt l'ENH va déménager dans le Quartier Latin à Montréal et aura certainement pignon sur rue…
De Comédie Clubs en festivals, de soirées stand-up à l'École Nationale de l'Humour, une institution pionnière dans l'espace francophone, virée à Montréal où la blague et le rire sont au coin de la rue. Dans la cité cosmopolite et vibrante de Montréal, du quartier d'Hochelaga au Plateau-Mont-Royal en passant par le quartier de Verdun ou celui de la Petite Italie, il ne se passe pas un soir sans un spectacle d'humour, où le public vient rire et célébrer le rire ! C'est une industrie lourde de la ville et du Québec, et celui qui voyage à Montréal se doit de passer au moins un soir, par une stand-up ou un open-mic pour goûter aux blagues locales. Traditionnellement, le Québec est un «pays» de conteurs et d'oralité, que l'on doit notamment à la culture autochtone plurimillénaire et à l'histoire du peuple québécois. Et en trente ans, la plus grande ville francophone d'Amérique du Nord s'est imposée comme la plaque tournante des humoristes francophones mais aussi anglophones… Déjà, de longue date, Montréal est célèbre pour accueillir, à l'été, le plus grand festival d'humour : «Juste pour rire» qui, chaque année, rassemble des millions de spectateurs à travers ses shows et ses contenus télévisés, diffusés dans plus de 150 pays. Au départ uniquement francophone, ce festival créé en 1983 par Gilbert Bozon, qui a depuis démissionné, a connu une version anglophone «Just For Laughs», cofondé en 1985 par Andy Nulman. Ce dernier revendique d'ailleurs la contribution des communautés juives de la ville à son rang de capitale de l'humour. Un titre qu'elle n'a certainement pas volé et qui, là-bas, se vérifie et se vit, à la découverte d'une culture hybride, à la croisée de la stand-up américaine et des humours en tout genre. Autre fait important pour l'écosystème de l'humour à Montréal : en 1988, Louise Richer, directrice générale fondatrice de l'École Nationale de l'Humour, ouvre à Montréal la toute première école d'humour professionnelle et s'attache, avec ténacité, à faire reconnaître l'humour comme un art à part entière. 750 diplômés plus tard, sortis de l'école, ce laboratoire pionnier de formation en humour est connu dans tout l'espace francophone et chaque année, l'école reçoit des centaines de candidatures venus du Canada, mais aussi de France ou d'Afrique francophone. À l'initiative de Louise Richer, on trouve désormais aussi à Montréal, l'Observatoire de l'Humour, conçu comme un lieu d'échanges et de connaissances autour de l'humour francophone. Car aujourd'hui, l'humour, que l'écrivain Romain Gary désignait comme «l'arme des désarmés», sert largement la francophonie, sa diffusion, voire sa survie sur le continent américain comme dans le reste du monde. Le peuple québécois défend d'ailleurs largement cette idée d'une identité façonnée et racontée à travers l'humour et il se rend en masse aux spectacles comiques, qu'il vente ou qu'il neige. Exutoire populaire et rassembleur, l'humour à Montréal défend ainsi la langue française mais aussi une identité québécoise et montréalaise plurielle, sur une île de plus de 120 nationalités différentes. On y rit de la diversité et des différences et toute une scène queer ou féministe a vu le jour, la profession historiquement aux mains des hommes blancs s'étant largement féminisée et métissée. La culture des Premières Nations, où le rire est très important et se vit comme «un écran aux traumas coloniaux», a aussi marqué de son empreinte la société québécoise et son humour. Et chaque nouvelle communauté apporte sa pierre, son rire, à l'édifice. Un voyage sonore en deux épisodes de Laure Allary et Céline Develay-Mazurelle. Pour préparer votre voyage en mode humour : - Un article de Tourisme Montréal et un récit multimédia de Radio Canada sur l'apport de l'humour juif à Montréal - Un article de l'écrivain innu Michel Jean sur le rire au sein des Premières Nations - Le livre de référence du célèbre anthropologue Serge Bouchard «Le peuple rieur» sur les Innus - Le Festival Juste pour Rire qui se tient à la mi-juillet à Montréal - Le RDV populaire des «Lundis de l'humour» au Bar Le Jockey, animé par Lauriane Lalonde, avec Elisabeth Grondin à la chronique - Les incontournables Comédie Clubs Le Bordel ou Le Terminal qui, tous les jours, proposent des opens-mics et shows d'humour - Le circuit des bars comme Chez Roger qui, chaque lundi, propose des shows d'humour ou Chez Ernest qui, le dimanche, propose de l'impro et, le lundi, une soirée comedy club - Le «Couscous Comedy Show», l'évènement préféré de Boucar Diouf, humoriste d'origine sénégalaise et biologiste de formation qui a adopté, à sa manière, la culture québécoise. Boucar Diouf est notamment l'auteur du livre «Ce que la vie doit au rire», paru aux Éditions La Presse - Le Festival Afrikiri qui, depuis dix ans, met à l'honneur des humoristes de l'Afrique francophone - Pour ceux qui aiment «l'humour à saveur mangue-érable», allez-voir Garihanna Jean-Louis, humoriste québécoise et haïtienne, première femme noire diplômée de l'École Nationale de l'humour (ENH) - Pour en savoir plus sur le parcours de l'autrice en humour Suzanne Vallières-Nollet qui a gradué en 2024 de l'ENH - Le site de l'Observatoire de l'Humour, fondé en 2011. Un espace d'échanges et de connaissances interdisciplinaire sur l'humour francophone - Le site de l'École Nationale de l'humour, une école cofondée par Louise Richer en 1988, qui propose des formations à temps plein ou à temps partiel à tous les publics. Bientôt l'ENH va déménager dans le Quartier Latin à Montréal et aura certainement pignon sur rue…
Deuxième meurtre en moins de 48 heures à Montréal. Des coups de feu tirés sur une pâtisserie dans la Petite-Italie. Un homme accusé d’être entré chez des femmes pour les agresser. Segment avec Maxime Deland, journaliste à l’agence QMI. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
La Ville veut une nouvelle piste cyclable sur la rue Saint-Zotique. Qu'en pensent les commerçants du coin? Entrevue avec Marco Miserendino, copropriétaire de la bijouterie italienne dans la Petite-Italie et vice-président de la Société de développement commercial Petite-italie Marché-Jean-Talon.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Gabriel Nadeau-Dubois s'inquiète pour l'environnement | La criminalité n'a aucun lien avec la race, selon Maria Mourani | Un nouveau sens unique sur la rue Saint-Zotique ne fait pas l'affaire des citoyens | Un employé de la ville a pris une photo de la plaque d'immatriculation de Sophie Durocher! Dans cet épisode intégral du 27 août, en entrevue : Gabriel Nadeau-Dubois, co-porte-parole de Québec solidaire Maria Mourani, Présidente de Mourani-Criminologie, criminologue et sociologue (Ph. D.) Luciano Racine, propriétaire d'immeubles commerciaux dans la Petite Italie. Aref Salem, chef de l'opposition officielle de la ville de Montréal. Mathieu Laneuville, directeur général et porte-parole de Réseau environnement. Normand Mousseau, professeur titulaire au département de physique de l'Université de Montréal et directeur scientifique de l'Institut de l'énergie Trottier. Une production QUB Août 2024Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Ça va mal dans la Petite Italie. Le projet visant à rendre la rue Saint-Zotique à sens unique révolte plusieurs commerçants et habitants du quartier, qui s'unissent pour dénoncer la situation et s'opposer à cette transformation. Entrevue avec Luciano Racine, propriétaire d'immeubles commerciaux dans la Petite Italie et avec Aref Salem, chef de l'opposition officielle de la ville de Montréal.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
La candidature retirée de la Ville de Montréal pour la Coupe du monde de soccer en 2026; la Petite-Italie, au-delà de l'Euro; le code QR pour encourager la vaccination; le projet de train à grande fréquence entre Québec, Montréal et Toronto; la leader inuit Mary Simon nommée gouverneure générale; et l'argent avec les ados comme sujet de discussion.
On vous propose une petite carte podcast de 5mn. Un reportage sur une ballade en région occitanie. Aujourd'hui découverte de Sète et de ses influences italiennes. Arrivés massivement dès la fin du XVIIIe siècle, les Italiens ont en effet laissé leur empreinte dans la cité portuaire. De la pêche à la gastronomie en passant par le dialecte, les italiens sont devenus des sétois et les sétois des italiens à la française. C'est ce que nous expliquent deux membres de la société d'études historique et scientifique de Sète et sa région.
Bon mardi! On continue dans notre déferlante semaine en compagnie de Guy, Alexandrine, Vanessa, Chuck et de notre invité Antoine Durocher! Au menu: Chuck prend BEAUCOUP de temps pour se lever le matin (genre BEAUCOUP!), Antoine adore la sérénité de la Petite Italie le matin, Vanessa s’est basée sur la seule et unique Anita Lachance pour ne pas faire d’erreur dans ses topos, Alexandrine rit beaucoup des gens ridicules sur Tik Tok et Guy nous parle de la saga Narcotik V CRA-Z-ONE. Un méchant bon show (sérieux). Antoine: http://bit.ly/2Gq0xHg Guy: http://bit.ly/2jYVN3K Alexandrine: http://bit.ly/34Rwzp6 Vanessa: http://goo.gl/bcRVA9 Chuck: http://bit.ly/2L45sBi iTunes (On vous adore quand vous nous laissez ★★★★★): http://goo.gl/n1411W YouTube: http://goo.gl/K2kKOo Google Play: http://goo.gl/KUTKG4 Spotify: http://goo.gl/QrK6Tv Twitter: http://twitter.com/lepbonheur Merci de nous suivre!
durée : 00:02:34 - Le plus beau village France Bleu Alsace - Saint Pantaléon, médecin, devenu très populaire à Venise
- Entrevue avec Elena Faita, propriétaire avec son frère de la Quincaillerie Dante dans la Petite-Italie et fondatrice de l’École Mezza Luna. Cette Chevalière de l’Ordre national du Québec est une figure incontournable de la scène culinaire montréalaise. - Entrevue avec André Faucher un ancien plombier qui sert avec sa femme et une poignée de bénévoles, du macaroni à la viande à plus de 200 sans-abris au centre-ville de Montréal et ce, chaque mercredi soir, depuis 16 ans ! - Entrevue avec Suzanne Duchesneau, présidente des Cercles de Fermières du Québec
Tour de table avec les chroniqueurs ; Le livre Pulsations, la petite histoire du beat:Entrevue avec Antoine Ouellette ; Gastronomie avec Philippe Mollé:La renaissance du Calvados ; Technologies avec André Mondoux:Les États, véritables pirates informatiques ; Cinéma avec Michel Coulombe:Thor Ragnarok, une superproduction dépoussiérée ; Cinéma plus avec Michel Coulombe:Le livre Le super-héros à l'écran ; Abeilles urbaines, bilan de la saison et hivernage:Entrevue avec Éric Duchemin ; Tour de table:Météo, sports, revue de presse et culture ; Russiagate, médias sociaux et propagande:Entrevue avec Julien Toureille ; Culture avec Francine Grimaldi:La pièce Les secrets de la Petite Italie ; Résumé des déclarations de la semaine ; Regard sur l'actualité avec Guillaume Bourgault Coté et Antoine Robitaille ; Billet de François Parenteau et mot de la fin
Tour de table avec les chroniqueurs ; Le livre Pulsations, la petite histoire du beat:Entrevue avec Antoine Ouellette ; Gastronomie avec Philippe Mollé:La renaissance du Calvados ; Technologies avec André Mondoux:Les États, véritables pirates informatiques ; Cinéma avec Michel Coulombe:Thor Ragnarok, une superproduction dépoussiérée ; Cinéma plus avec Michel Coulombe:Le livre Le super-héros à l'écran ; Abeilles urbaines, bilan de la saison et hivernage:Entrevue avec Éric Duchemin ; Tour de table:Météo, sports, revue de presse et culture ; Russiagate, médias sociaux et propagande:Entrevue avec Julien Toureille ; Culture avec Francine Grimaldi:La pièce Les secrets de la Petite Italie ; Résumé des déclarations de la semaine ; Regard sur l'actualité avec Guillaume Bourgault Coté et Antoine Robitaille ; Billet de François Parenteau et mot de la fin
Episode 6 looks at ways to care for the community and an individual by way of the stomach, and employing very different means to do so. First, we discuss the impact of one Montreal restaurant that's business relies heavily upon- but also gives back to- their neighbourhood. And then we talk to a woman who's Crohn's Disease diagnosis wound up leading her to her dream job and a healthier pattern of self-care. ^^^^^^^^^^^^^ THANKS! This week, we'd like to thank Nicole Turcotte, part owner of Montreal's Dinette Triple Crown (http://www.dinettetriplecrown.com/), for showing Jess around Parc de la Petite-Italie. Thanks also to Meghan Telpner (http://www.meghantelpner.com/) for being so candid about her story with us. Thanks, as ever, to Erik Betlem, Ken Stowar and Sam Petite and CIUT for the use of their recording facilities. And thanks very much to Chris Foster (www.chrisfoster.ca) for our Foodstuffs logo. Cheers! ^^^^^^^^^^^^^ Foodstuffs is a podcast about food and culture, and their intersections. It is the brainchild of Jessica Walker and Bryan Goman. Episodes released every second Wednesday. www.foodstuffs.life
Il y a quatre grands marchés publics à Montréal. Le Marché Jean-Talon est le plus grand d'entre eux et l'un des plus grands marchés ouverts d'Amérique du Nord. Situé au centre du quartier de la Petite Italie, le marché est ouvert toute l'année, même pendant les rudes hivers de Montréal. Et vous, vous êtes plutôt fruit ou légume ?
Des news, du feedback, une mini-balade dans la Petite Italie, des histoires de bidouillages videos et je vous cause aussi de musique.Pierre - www.lepcc.net - pjournel@gmail.com