Podcasts about terrorisme

intentional violence for political purposes

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terrorisme

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L'info en intégrale - Europe 1
Le journal de 6h30 du 10/08/2025

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Aug 10, 2025 12:15


Chaque jour, retrouvez le journal de 6h30 de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'info en intégrale - Europe 1
Le journal de 8h du 10/08/2025

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Aug 10, 2025 10:24


Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal - Europe 1
Le journal de 6h30 du 10/08/2025

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Aug 10, 2025 12:15


Chaque jour, retrouvez le journal de 6h30 de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal - Europe 1
Le journal de 8h du 10/08/2025

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Aug 10, 2025 10:24


Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal - Europe 1
Le journal de 12h30 du 10/08/2025

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Aug 10, 2025 22:22


Invités : - Christian Jeanjean, Maire de Palavas-les-Flots  - Jean-Éric Branaa, Essayiste et spécialiste des Etats-Unis  Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'info en intégrale - Europe 1
Le journal de 6h - 05/08/2025

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Aug 5, 2025 11:09


Chaque jour, retrouvez le journal de 6h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal - Europe 1
Le journal de 6h - 05/08/2025

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Aug 5, 2025 11:09


Chaque jour, retrouvez le journal de 6h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Enter
#1 - De grootste veiligheidsoperatie ooit

Enter

Play Episode Listen Later Aug 4, 2025 12:29


In de eerste aflevering van Enter over de NAVO-top spreken we met Pieter-Jaap Aalbersberg, de Nationaal Coördinator Terrorisme en Veiligheid (NCTV). We spreken hem een maand voor de top, hij is op dat moment coördinator van alle samenwerkingsverbanden rondom de top. De voorbereidingen zijn al een jaar in volle gang. Hoe kijkt hij vooruit naar dit evenement? Welke dreigingen ziet hij in het fysieke en digitale domein? Hoe worden risico's ingeschat en welke voorbereidingen zijn getroffen? Je hoort het in aflevering 1 van Enter over de NAVO-top. Over deze serieOp dinsdag 24 en woensdag 25 juni vond in Den Haag de NAVO-top plaats. Meer dan honderd wereldleiders en ministers kwamen bij elkaar om te praten over de veiligheid in de wereld. Bijna 6.000 delegatieleden reisden mee. En ruim 2.000 journalisten van over de hele wereld deden van de NAVO-top verslag. Er waren 27.000 agenten op de been, snelwegen en het luchtruim rond Den Haag werden afgesloten en er werden ook allerlei digitale maatregelen genomen. Het was de grootste veiligheidsoperatie in Nederland tot nu toe. In deze serie van Enter bespreken we de voorbereidingen van de digitale beveiliging van de NAVO-top, volgen we NCSC'ers op de werkvloer tijdens de top, blikken we terug op hoe het is gegaan en welke lessen zijn geleerd. Presentatie: Yasmine AbiadhGast: Pieter-Jaap Aalbersberg (NCTV)Redactie: NCSC & BKB Het CampagnebureauMontage en geluid: FC AfkickenLogo: Aron Vellekoop León

8.30 franceinfo:
La situation à Gaza, l'étudiante gazaouie accusée d'apologie du terrorisme, le retour de Boualem Bensaïd en Algérie et les droits de douane... Le 8h30 de Jean-Noël Barrot

8.30 franceinfo:

Play Episode Listen Later Aug 1, 2025 18:05


durée : 00:18:05 - 8h30 franceinfo - Jean-Noël Barrot, ministre de l'Europe et des Affaires étrangères, était l'invité du "8h30 franceinfo", vendredi 1er août. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Le journal - Europe 1
Le journal de 6h30 - 31/07/2025

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Jul 31, 2025 9:55


Dans cette édition :Une jeune femme palestinienne, bénéficiaire d'une bourse du ministère des Affaires étrangères pour étudier en France, est accusée d'apologie du terrorisme et d'antisémitisme, suscitant une polémique sur la diplomatie française.La consommation de cocaïne a fortement augmenté en France, entraînant une hausse des passages aux urgences et mettant en difficulté les services hospitaliers.Les forces de l'ordre font face à des violences lors d'interventions à Marseille, suscitant l'indignation et la remise en question de la sécurité dans certains quartiers.Le trophée de la Ligue des Champions du PSG est exposé au Parc des Princes, ravissant les supporters qui viennent l'admirer.Le nageur français Léon Marchand a battu le record du monde du 200 mètres 4 nages et disputera la finale mondiale de l'épreuve.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'info en intégrale - Europe 1
Le journal de 8h du 25/07/2025

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Jul 25, 2025 11:09


Dans cette édition :La France annonce la reconnaissance prochaine d'un État palestinien, suscitant de vives réactions en Israël et dans la classe politique française.Le terroriste pro-palestinien Georges Ibrahim Abdallah est libéré après plus de 40 ans de prison, provoquant l'indignation.De nouveaux détenus, dont l'ex-ennemi public numéro 1 Mohamed Amra, sont transférés dans la prison de haute sécurité de Vendin-le-Vieil, où les conditions de détention sont très strictes.Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau promet de durcir les sanctions contre les acheteurs et les vendeurs de mortiers d'artifice utilisés pour attaquer les forces de l'ordre.La gastronomie française est en danger selon des chefs célèbres, qui appellent les pouvoirs publics à la reconnaître comme une exception culturelle.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'info en intégrale - Europe 1
Le journal de 13h - 25/07/2025

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Jul 25, 2025 16:53


Dans cette édition :Emmanuel Macron annonce la reconnaissance de l'État de Palestine à l'ONU en septembre, une décision saluée par le Hamas mais condamnée par une grande partie de la classe politique française et par Israël et les États-Unis.Le terroriste et militant pro-palestinien Georges Ibrahim Abdallah est libéré ce matin après 40 années de prison, le parquet général de Paris s'est pourvu en cassation pour tenter de faire annuler cette décision.Un incendie d'origine criminelle s'est déclaré dans l'église Notre-Dame-des-Champs à Paris, c'est le deuxième incident en 48 heures dans cet édifice religieux.Plusieurs adolescents français de confession juive ont été expulsés d'un avion de la compagnie Vueling à l'aéroport de Valence, le commandant de bord a un passé trouble lié aux attentats du 11 septembre 2001.Le temps reste mitigé cet après-midi avec des éclaircies à l'ouest, des orages à l'est et des températures fraîches pour la saison.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'opinion de Nicolas Beytout
Emmanuel Macron reconnaît la Palestine : la prime aux terroristes

L'opinion de Nicolas Beytout

Play Episode Listen Later Jul 25, 2025 4:27


Carl Meeus revient sur l'annonce tonitruante d'Emmanuel Macron concernant la reconnaissance de l'État de Palestine. Il explique en quoi il s'agit d'un véritable tournant diplomatique pour la France, avec des conséquences potentiellement lourdes, notamment sur les relations avec Israël et la communauté juive française. L'analyse porte également sur les enjeux géopolitiques de cette décision et les défis qu'elle soulève, comme le rôle du Hamas et la capacité de l'Autorité palestinienne à s'imposer.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal - Europe 1
Le journal de 8h du 25/07/2025

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Jul 25, 2025 11:09


Dans cette édition :La France annonce la reconnaissance prochaine d'un État palestinien, suscitant de vives réactions en Israël et dans la classe politique française.Le terroriste pro-palestinien Georges Ibrahim Abdallah est libéré après plus de 40 ans de prison, provoquant l'indignation.De nouveaux détenus, dont l'ex-ennemi public numéro 1 Mohamed Amra, sont transférés dans la prison de haute sécurité de Vendin-le-Vieil, où les conditions de détention sont très strictes.Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau promet de durcir les sanctions contre les acheteurs et les vendeurs de mortiers d'artifice utilisés pour attaquer les forces de l'ordre.La gastronomie française est en danger selon des chefs célèbres, qui appellent les pouvoirs publics à la reconnaître comme une exception culturelle.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal - Europe 1
Le journal de 13h - 25/07/2025

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Jul 25, 2025 16:53


Dans cette édition :Emmanuel Macron annonce la reconnaissance de l'État de Palestine à l'ONU en septembre, une décision saluée par le Hamas mais condamnée par une grande partie de la classe politique française et par Israël et les États-Unis.Le terroriste et militant pro-palestinien Georges Ibrahim Abdallah est libéré ce matin après 40 années de prison, le parquet général de Paris s'est pourvu en cassation pour tenter de faire annuler cette décision.Un incendie d'origine criminelle s'est déclaré dans l'église Notre-Dame-des-Champs à Paris, c'est le deuxième incident en 48 heures dans cet édifice religieux.Plusieurs adolescents français de confession juive ont été expulsés d'un avion de la compagnie Vueling à l'aéroport de Valence, le commandant de bord a un passé trouble lié aux attentats du 11 septembre 2001.Le temps reste mitigé cet après-midi avec des éclaircies à l'ouest, des orages à l'est et des températures fraîches pour la saison.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Revue de presse Afrique
À la Une: les États-Unis main dans la main avec le Mali?

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jul 24, 2025 3:47


Un « dialogue franc et direct » : voilà comment L'Essor, quotidien proche du gouvernement, qualifie la visite du secrétaire d'État américain pour l'Afrique de l'Ouest William Stevens, présent à Bamako mardi 22 juillet. Au menu des échanges : la sécurité bien sûr, avec « une nouvelle vision et posture », à la fois « constructive et pragmatique », pour lutter contre les groupes armés, salue encore L'Essor. Et Aujourd'hui au Faso détaille : « concrètement, les États-Unis sont prêts à tarir les sources de financement du terrorisme, en bloquant les filières, et les comptes de ceux qui alimentent ces pratiques criminelles ». Washington pourrait même, espère le titre burkinabè, « mettre son Big Brother au service du Mali, pour étoffer son renseignement et le rendre plus percutant ».  À lire aussiMali: les États-Unis réaffirment leur engagement dans les domaines sécuritaires et économiques Des menaces sécuritaires de plus en plus diverses  Le Mali fait face à une « guerre hybride », pointe Le Matin, qui implique une approche « multidimensionnelle » dont, estime le journal, « une meilleure coordination entre les forces armées, les services de renseignement, et la police » ainsi que l'utilisation de technologies de pointe, et la mise sur pied d'« unités spécialisées en cyberdéfense et en guerre informationnelle ». Parmi les nouvelles menaces, il y a aussi, pointe Le Monde Afrique, les drones, dont l'utilisation « prend une ampleur sans précédent » au Mali et au Burkina Faso. Une « récente expertise » qui, signale le quotidien, permet « d'armer des appareils à bas coût ». D'après l'enquête du journal, les groupes terroristes « utilise[nt] des drones commerciaux (…) vendus entre 300 et 500 euros sur Internet et dans les magasins à Bamako et Ouagadougou ». Des « drones civils, utilisés, par exemple, par des photographes ou par le grand public ». Et un chercheur interrogé par le journal poursuit : « on y attache des grenades artisanales, c'est-à-dire des explosifs improvisés. Pour les déclencher, il suffit d'utiliser un téléphone portable connecté » et d'activer le mécanisme. Et cette méthode relativement récente est déjà prisée des groupes terroristes : Le Monde explique ainsi que d'après un récent rapport, « plus de 30 attaques confirmées impliquant des drones » ont été recensées depuis septembre 2023, dont 24 rien qu'entre mars et juin 2025. Dans ce contexte, les propositions américaines sont « alléchantes », reconnaît Aujourd'hui au Faso, et ont reçu une « oreille attentive », notamment de la part du ministre malien des Affaires étrangères Abdoulaye Diop, « qui a ainsi parlé de partenariat gagnant-gagnant », pointe le quotidien.  À lire aussiMali: attaques jihadistes près de Bamako, Mahou et Tessit, frappes de drone de l'armée près de Kidal L'enjeu des intérêts américains  L'Essor le dit lui-même : cette relation relancée devrait permettre le « souci [du] respect et [de l']intérêt mutuel ». Washington oublie rarement de tirer son épingle du jeu, rappelle Aujourd'hui au Faso, selon qui « avec Trump, tout part et finit en business : les intérêts de la grande Amérique ne sont pas loin ». Or, depuis la perte de leur base au Niger, Washington a perdu ses yeux dans la région… d'où ces négociations « pour obtenir de nouveau un tel observatoire sécuritaire ».  Et puis, il y a le volet économique, surtout connaissant « le sous-sol très riche » du Mali. L'Essor en a d'ailleurs conscience, lui qui parle de « l'aubaine » que représenterait, pour les États-Unis, une telle collaboration. Mieux vaut donc rester sur ses gardes : « il faudra lire entre les lignes, ausculter, jauger, (…) ce que le Sahel gagne à travers toutes ces affaires, avant leur concrétisation », prévient Aujourd'hui au Faso. D'autant que les domaines concernés restent encore flous : l'Essor se contente de mentionner « une variété de secteurs » dont le journal espère qu'elle « impactera directement l'investissement et le développement au Mali », sans plus de précisions.  Alors Le Matin appelle, lui aussi, à la prudence : même si les accords économiques et le soutien sécuritaire promis par les États-Unis sont tentants, « une indépendance économique relative [est] nécessaire pour éviter les pressions extérieures » et « limiter la dépendance aux puissances étrangères ». 

Revue de presse Afrique
À la Une: les États-Unis main dans la main avec le Mali?

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jul 24, 2025 3:47


Un « dialogue franc et direct » : voilà comment L'Essor, quotidien proche du gouvernement, qualifie la visite du secrétaire d'État américain pour l'Afrique de l'Ouest William Stevens, présent à Bamako mardi 22 juillet. Au menu des échanges : la sécurité bien sûr, avec « une nouvelle vision et posture », à la fois « constructive et pragmatique », pour lutter contre les groupes armés, salue encore L'Essor. Et Aujourd'hui au Faso détaille : « concrètement, les États-Unis sont prêts à tarir les sources de financement du terrorisme, en bloquant les filières, et les comptes de ceux qui alimentent ces pratiques criminelles ». Washington pourrait même, espère le titre burkinabè, « mettre son Big Brother au service du Mali, pour étoffer son renseignement et le rendre plus percutant ».  À lire aussiMali: les États-Unis réaffirment leur engagement dans les domaines sécuritaires et économiques Des menaces sécuritaires de plus en plus diverses  Le Mali fait face à une « guerre hybride », pointe Le Matin, qui implique une approche « multidimensionnelle » dont, estime le journal, « une meilleure coordination entre les forces armées, les services de renseignement, et la police » ainsi que l'utilisation de technologies de pointe, et la mise sur pied d'« unités spécialisées en cyberdéfense et en guerre informationnelle ». Parmi les nouvelles menaces, il y a aussi, pointe Le Monde Afrique, les drones, dont l'utilisation « prend une ampleur sans précédent » au Mali et au Burkina Faso. Une « récente expertise » qui, signale le quotidien, permet « d'armer des appareils à bas coût ». D'après l'enquête du journal, les groupes terroristes « utilise[nt] des drones commerciaux (…) vendus entre 300 et 500 euros sur Internet et dans les magasins à Bamako et Ouagadougou ». Des « drones civils, utilisés, par exemple, par des photographes ou par le grand public ». Et un chercheur interrogé par le journal poursuit : « on y attache des grenades artisanales, c'est-à-dire des explosifs improvisés. Pour les déclencher, il suffit d'utiliser un téléphone portable connecté » et d'activer le mécanisme. Et cette méthode relativement récente est déjà prisée des groupes terroristes : Le Monde explique ainsi que d'après un récent rapport, « plus de 30 attaques confirmées impliquant des drones » ont été recensées depuis septembre 2023, dont 24 rien qu'entre mars et juin 2025. Dans ce contexte, les propositions américaines sont « alléchantes », reconnaît Aujourd'hui au Faso, et ont reçu une « oreille attentive », notamment de la part du ministre malien des Affaires étrangères Abdoulaye Diop, « qui a ainsi parlé de partenariat gagnant-gagnant », pointe le quotidien.  À lire aussiMali: attaques jihadistes près de Bamako, Mahou et Tessit, frappes de drone de l'armée près de Kidal L'enjeu des intérêts américains  L'Essor le dit lui-même : cette relation relancée devrait permettre le « souci [du] respect et [de l']intérêt mutuel ». Washington oublie rarement de tirer son épingle du jeu, rappelle Aujourd'hui au Faso, selon qui « avec Trump, tout part et finit en business : les intérêts de la grande Amérique ne sont pas loin ». Or, depuis la perte de leur base au Niger, Washington a perdu ses yeux dans la région… d'où ces négociations « pour obtenir de nouveau un tel observatoire sécuritaire ».  Et puis, il y a le volet économique, surtout connaissant « le sous-sol très riche » du Mali. L'Essor en a d'ailleurs conscience, lui qui parle de « l'aubaine » que représenterait, pour les États-Unis, une telle collaboration. Mieux vaut donc rester sur ses gardes : « il faudra lire entre les lignes, ausculter, jauger, (…) ce que le Sahel gagne à travers toutes ces affaires, avant leur concrétisation », prévient Aujourd'hui au Faso. D'autant que les domaines concernés restent encore flous : l'Essor se contente de mentionner « une variété de secteurs » dont le journal espère qu'elle « impactera directement l'investissement et le développement au Mali », sans plus de précisions.  Alors Le Matin appelle, lui aussi, à la prudence : même si les accords économiques et le soutien sécuritaire promis par les États-Unis sont tentants, « une indépendance économique relative [est] nécessaire pour éviter les pressions extérieures » et « limiter la dépendance aux puissances étrangères ». 

Tout savoir en 24 minutes
Plusieurs pays demandent la fin du conflit à Gaza… mais pas les États-Unis!

Tout savoir en 24 minutes

Play Episode Listen Later Jul 21, 2025 15:01


- 25 pays, dont le Canada, appellent immédiatement à la fin du conflit à Gaza- Le père de la fillette québécoise retrouvée morte à NY est accusé - Terrorisme : pas de prison pour une montréalaise qui avait rejoint L’État Islamique - Une autre disparition pourrait être élucidée à Deux-Montagnes - Un AUTRE projet informatique explose au Québec - Trump souhaite le retour des INDIANS et des REDSKINS Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Moranville Ouellet. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Le journal - Europe 1
Le journal de 8h30 du 18/07/2025

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Jul 18, 2025 2:04


Résumé de l'actualité du jour : les mesures gouvernementales controversées, la libération de Georges Ibrahim Abdallah, le Tour de France et l'incendie dans le sud de la France.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Reportage International
Syrie: au camp d'Al-Hol, «il est urgent de trouver une solution»

Reportage International

Play Episode Listen Later Jul 15, 2025 2:45


En Syrie, 42 premières familles ont été évacuées du camp de Al-Hol, prison à ciel ouvert où s'entassent près de 30 000 familles suspectées d'être liées à l'État islamique. À l'heure où le groupe terroriste reprend du terrain en Syrie, le rapatriement de ces familles radicalisées est un enjeu de taille pour les nouvelles autorités de Damas. Un accord a été signé fin mai avec les autorités kurdes du Nord-Est, jusqu'ici en charge de ces familles.    De notre envoyée spéciale au camp d'Al-Hol,  Le pas lourd, Amina traîne ses trois fils sous un préfabriqué en taule. À l'intérieur, quatre tables, une liste de noms, et une association, chargée de faire sortir les 42 premières familles du camp d'Al-Hol. Un homme de l'association : « Quel est votre nom de famille ? Quelle est votre maladie ? Je dois vérifier votre identité ».  Amina, trente ans, a été emmenée ici en 2019. Arrêtés dans le réduit de Baghouz, le dernier bastion de l'État islamique, son mari était accusé d'avoir rejoint l'organisation terroriste. Six années plus tard, Amina et ses enfants sont autorisés à sortir... quitter Al-Hol, ses innombrables tentes et ses immenses grillages surmontés de barbelés. « Je suis triste, car je laisse derrière moi mes amis, ma famille. Et à la fois très heureuse parce que je pars là où je peux élever mes enfants en toute liberté », avoue-t-elle. Amina prend ses trois fils par le bras, fait un premier pas à l'extérieur, puis jette un dernier regard à ses amies. Elles sont toutes là, les mains fermement accrochées au grillage, les yeux remplis de larmes. Une femme du camp : « Personne ne veut rester dans ce camp. Regardez, même cette enfant veut partir, tout le monde veut partir. C'est de la détention, c'est pire qu'une prison ». Une autre femme du camp : « La situation est tellement grave ici. Il n'y a pas assez d'eau, de nourriture. Nous avons peur, nous sommes terrifiés, il n'y a aucune sécurité ». À lire aussiSyrie: plus de 200 Français liés à l'EI toujours dans l'attente d'une solution Arrivés dans le bus, les fils d'Amina s'entassent sur un seul siège. Le plus vieux avait un an lorsqu'ils sont arrivés dans le camp. « Ils vont enfin voir le monde extérieur, ils n'ont vu que les tentes ici… Depuis tout à l'heure, ils me demandent : "est-ce qu'il y a de l'eau à l'extérieur" ? "Les arbres, est-ce que nous devons les planter ou est-ce qu'ils poussent naturellement ?" », confie Amina. Près du bus défilent désormais les malades. Des vieillards estropiés, des corps décharnés, souvent trop maigres. Par endroits, trop gros. Déformés par une tumeur ou une blessure mal soignée. Seuls ces cas humanitaires graves ont été autorisés à sortir du camp. Leurs dossiers ont été soigneusement étudiés pour s'assurer qu'ils n'étaient plus radicalisés. Pour les autres, aucune procédure n'a encore été mise en place, explique Jihan Henan, directrice du camp. Jihan Henan : « Il est urgent de trouver une solution. Depuis toujours, le risque, c'est que ces personnes obtiennent des armes, tuent des gens. Avec les opérations de sécurité dans le camp, la situation a commencé à s'améliorer. Mais une fois, ils ont tout de même réussi à hisser un drapeau de l'État islamique sur le toit. En attendant, il existe des réseaux de passeurs qui font sortir ces familles, et cela a augmenté au cours des trois derniers mois. Certains ont pu sortir clandestinement à travers les clôtures, d'autres secrètement par des camions-citernes, d'autres encore grâce à de faux papiers ». Après 10 heures de bus, le retour dans la ville natale d'Amina se fera sans joie. Amina : « Nous sommes tristes, car il n'y a personne pour nous accueillir… » Il y avait déjà la violence psychologique, les corps défaits. Désormais, la solitude. Car revenir des camps de l'enfer, c'est aussi cela. Être affilié à jamais au califat. À lire aussiDans le Sud syrien, la crainte d'une résurgence du groupe État islamique

Le zoom de la rédaction
"Mon combat pour la justice", épisode 2 : Chantal Anglade face au terrorisme

Le zoom de la rédaction

Play Episode Listen Later Jul 15, 2025 4:05


durée : 00:04:05 - Le Zoom de France Inter - France Inter vous propose une série de portraits de citoyens "ordinaires" plongés dans un combat judiciaire, et qui y ont trouvé le sens de leur engagement. Ce matin, portrait de Chantal Anglade, une enseignante qui a accompagné ses élèves de lycée au procès de l'attentat contre Samuel Paty. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Reportage international
Syrie: au camp d'Al-Hol, «il est urgent de trouver une solution»

Reportage international

Play Episode Listen Later Jul 15, 2025 2:45


En Syrie, 42 premières familles ont été évacuées du camp de Al-Hol, prison à ciel ouvert où s'entassent près de 30 000 familles suspectées d'être liées à l'État islamique. À l'heure où le groupe terroriste reprend du terrain en Syrie, le rapatriement de ces familles radicalisées est un enjeu de taille pour les nouvelles autorités de Damas. Un accord a été signé fin mai avec les autorités kurdes du Nord-Est, jusqu'ici en charge de ces familles.    De notre envoyée spéciale au camp d'Al-Hol,  Le pas lourd, Amina traîne ses trois fils sous un préfabriqué en taule. À l'intérieur, quatre tables, une liste de noms, et une association, chargée de faire sortir les 42 premières familles du camp d'Al-Hol. Un homme de l'association : « Quel est votre nom de famille ? Quelle est votre maladie ? Je dois vérifier votre identité ».  Amina, trente ans, a été emmenée ici en 2019. Arrêtés dans le réduit de Baghouz, le dernier bastion de l'État islamique, son mari était accusé d'avoir rejoint l'organisation terroriste. Six années plus tard, Amina et ses enfants sont autorisés à sortir... quitter Al-Hol, ses innombrables tentes et ses immenses grillages surmontés de barbelés. « Je suis triste, car je laisse derrière moi mes amis, ma famille. Et à la fois très heureuse parce que je pars là où je peux élever mes enfants en toute liberté », avoue-t-elle. Amina prend ses trois fils par le bras, fait un premier pas à l'extérieur, puis jette un dernier regard à ses amies. Elles sont toutes là, les mains fermement accrochées au grillage, les yeux remplis de larmes. Une femme du camp : « Personne ne veut rester dans ce camp. Regardez, même cette enfant veut partir, tout le monde veut partir. C'est de la détention, c'est pire qu'une prison ». Une autre femme du camp : « La situation est tellement grave ici. Il n'y a pas assez d'eau, de nourriture. Nous avons peur, nous sommes terrifiés, il n'y a aucune sécurité ». À lire aussiSyrie: plus de 200 Français liés à l'EI toujours dans l'attente d'une solution Arrivés dans le bus, les fils d'Amina s'entassent sur un seul siège. Le plus vieux avait un an lorsqu'ils sont arrivés dans le camp. « Ils vont enfin voir le monde extérieur, ils n'ont vu que les tentes ici… Depuis tout à l'heure, ils me demandent : "est-ce qu'il y a de l'eau à l'extérieur" ? "Les arbres, est-ce que nous devons les planter ou est-ce qu'ils poussent naturellement ?" », confie Amina. Près du bus défilent désormais les malades. Des vieillards estropiés, des corps décharnés, souvent trop maigres. Par endroits, trop gros. Déformés par une tumeur ou une blessure mal soignée. Seuls ces cas humanitaires graves ont été autorisés à sortir du camp. Leurs dossiers ont été soigneusement étudiés pour s'assurer qu'ils n'étaient plus radicalisés. Pour les autres, aucune procédure n'a encore été mise en place, explique Jihan Henan, directrice du camp. Jihan Henan : « Il est urgent de trouver une solution. Depuis toujours, le risque, c'est que ces personnes obtiennent des armes, tuent des gens. Avec les opérations de sécurité dans le camp, la situation a commencé à s'améliorer. Mais une fois, ils ont tout de même réussi à hisser un drapeau de l'État islamique sur le toit. En attendant, il existe des réseaux de passeurs qui font sortir ces familles, et cela a augmenté au cours des trois derniers mois. Certains ont pu sortir clandestinement à travers les clôtures, d'autres secrètement par des camions-citernes, d'autres encore grâce à de faux papiers ». Après 10 heures de bus, le retour dans la ville natale d'Amina se fera sans joie. Amina : « Nous sommes tristes, car il n'y a personne pour nous accueillir… » Il y avait déjà la violence psychologique, les corps défaits. Désormais, la solitude. Car revenir des camps de l'enfer, c'est aussi cela. Être affilié à jamais au califat. À lire aussiDans le Sud syrien, la crainte d'une résurgence du groupe État islamique

L'info en intégrale - Europe 1
Discours aux armées : La France est-elle assez puissante pour faire face au terrorisme et aux défis mondiaux ?

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Jul 13, 2025 20:37


Invités : - Paul Melun, essayiste et écrivain et auteur de l'ouvrage « Et si le prochain président était un roi ? République ou monarchie, un match pour la démocratie" (Ed.Marueil). - Vincent Roy, essayiste et journaliste. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard
Punchline - Terrorisme : quelles menaces pèsent sur la France ?

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard

Play Episode Listen Later Jul 11, 2025 4:51


Invités : - Véronique Jacquier, journaliste - Georges Fenech, ancien magistrat - Bernard Cohen-Hadad, président du cercle de réflexion Etienne Marcel - Paul Sugy, journaliste - Loic Walder, délégué national UNSA Police Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C dans l'air
Laure Salmona - Masculinisme, Incel: des réseaux sociaux jusqu'au terrorisme

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jul 6, 2025 11:22


C dans l'air l'invitée du 5 juillet 2025 : Laure Salmona, cofondatrice de l'association Féministes contre le cyberharcèlement et autrice de "15 idées reçues sur les cyberviolences et le cyberharcèlement (éditions du Cavalier Bleu). PRÉSENTATION: MAYA LAUQUÉÀ Saint-Étienne, cette semaine, un lycéen de 18 ans a été arrêté après avoir projeté un attentat à motivation masculiniste. Il a été mis en examen pour association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste, une première en France dans le cadre d'une affiliation revendiquée à la mouvance dite « incel ». Acronyme de involuntary celibates (célibataires involontaires), ce courant rassemble des hommes qui attribuent leur isolement affectif à une prétendue injustice biologique. Selon cette vision, certains hommes seraient « génétiquement inférieurs », et cette frustration supposée légitimerait, dans ses formes les plus extrêmes, le recours à la violence à l'égard des femmes.Derrière cette affaire, toute une dynamique préoccupante est mise en lumière comme l'avait montrée la série Adolescence. Sur les réseaux sociaux, les discours sexistes, masculinistes et haineux s'étendent, incarnés par des influenceurs très suivis qui ciblent notamment les plus jeunes. Le rapport 2025 du Haut Conseil à l'Égalité alerte d'ailleurs sur une polarisation croissante autour des questions de genre — particulièrement marquée chez les plus jeunes. Laure Salmona viendra décrypter les ressorts de cette radicalisation en ligne, les mécanismes de diffusion de ces idées, et les enjeux politiques et éducatifs qu'ils soulèvent aujourd'hui. pour la comprendre et l'appréhender dans sa globalité. - Posez vos questions par écrit à l'émission quotidienne- Posez vos questions par vidéo à l'émission quotidienne- Mentions légales (RGPD)

Les Grandes Gueules
Masculinisme : le nouveau terrorisme - 03/07

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Jul 3, 2025 14:56


Pour débuter l'émission de ce jeudi 3 juillet 2025, les GG : Abel Boyi, éducateur et président de l'association Tous uniques tous unis, Barbara Lefebvre, enseignante et essayiste, et Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, débattent du sujet du jour : "Masculinisme : le nouveau terrorisme".

Revue de presse Afrique
À la Une: ces attaques au Mali que l'armée assure avoir repoussées

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jul 2, 2025 4:15


« 7 attaques coordonnées, plus de 80 terroristes neutralisés et un véritable arsenal de guerre récupéré », titre Maliweb... Des attaques qui ont visé les positions de l'armée dans les villes de Kayes, Nioro du Sahel et Niono, dans le sud du pays, le long des frontières sénégalaise et mauritanienne. Le Jnim, le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans, a revendiqué ces attaques. Des images montrent « des véhicules calcinés, des munitions saisies, des corps de terroristes entassés dans des pick-up et d'autres étalés en file indienne dans certaines localités », rapporte Maliweb. « À Kayes, c'est au cœur de l'appareil administratif régional que l'ennemi s'est attaqué », poursuit le site internet précisant que « la résidence du gouverneur et un commissariat ont été ciblés ». « L'armée malienne fait face, depuis plusieurs années, à une insécurité grandissante, malgré les promesses de stabilité formulées par les autorités de transition dirigées par le colonel Assimi Goïta », note de son côté, Afrik.com. Le site rappelle que le mois de juin a été « particulièrement sanglant ». « Des groupes armés ont attaqué les positions des Fama à Mahou, Tessit mais aussi à Tombouctou ». Des infrastructures militaires ont aussi été visées rappelle le média en ligne, ce qui montre « la capacité de nuisance et la mobilité des groupes jihadistes ». La région de Kayes est vitale pour l'économie malienne Le poste-frontière de Diboli, à la lisière du Sénégal, a aussi été attaqué, précise Le Monde qui cite un homme d'affaires bamakois pour qui, « les jihadistes veulent perturber le ravitaillement du Mali et une économie déjà fébrile ». Un couvre-feu de 30 jours a été décrété. Il interdit toute circulation de 21h à 6h du matin dans le territoire de Kayes. Ce qui « aura inévitablement des répercussions sur les activités économiques et commerciales transfrontalières » selon des transporteurs sénégalais interrogés par Dakaractu. En Algérie, quel espoir pour Boualem Sensal ? L'écrivain franco-algérien vient de voir sa condamnation à 5 ans de prison ferme confirmée en appel par la justice algérienne, notamment pour « atteinte à l'unité nationale » pour des propos sur l'appartenance de l'ouest algérien au Maroc. « Va-t-il rester en prison ou sera-t-il gracié le 5 juillet ? Le suspense va durer encore quelques jours », écrit Jeune Afrique qui envisage les différentes options possibles. Boualem Sensal peut se pourvoir en cassation. « Dans ce cas, l'écrivain resterait en prison. C'est le scénario noir qui ferait basculer la relation franco-algérienne dans la pire des situations », poursuit le magazine. Sa condamnation intervient « dans un contexte de vives tensions diplomatiques entre la France et l'Algérie », rappelle Afrik.com. « Ses proches et son avocat espèrent le convaincre de ne pas s'engager dans cette voie », rapporte le Monde. « Le gouvernement français, de son côté, a joué la carte de l'apaisement, (...) le ministre des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a rappelé une nouvelle fois le souhait de la France, d'un "geste d'humanité" au regard "de l'âge et de l'état de santé" de l'auteur de 80 ans, soigné pour un cancer de la prostate ». L'autre scénario tient donc à une grâce présidentielle qui pourrait lui être accordée le 5 juillet, à l'occasion de la fête de l'indépendance. « Sa condamnation définitive ce mardi 1er juillet peut, paradoxalement, ouvrir la voie vers une issue salutaire dont seul le président algérien Abdelmadjid Tebboune détient la clé », écrit le Point. « L'espoir d'une mesure humanitaire en faveur d'un écrivain âgé et malade. C'est ce qu'espèrent ses proches, ses amis… et ceux qui travaillent des deux côtés à sauver ce qui peut être sauvé des relations franco-algériennes », conclut le magazine. Au Sénégal, le concours du plus beau mouton du pays Organisé chaque année en périphérie de Dakar, « il rassemble les éleveurs les plus passionnés autour d'un seul objectif désigner la bête la plus majestueuse. Et comme chaque année, c'est un Ladoum qui a raflé les honneurs », précise le site. Une race « hors norme, synonyme d'élégance et de puissance, continue d'imposer son règne sur le monde de l'élevage sénégalais ». Pour la sixième fois, c'est Niang Ballo, qui a décroché le titre du plus beau mouton du Sénégal. Une « notoriété qui vaut de l'or, indique Afrik.com, certains spécimens peuvent ainsi se vendre à plusieurs millions de francs CFA ».

La Revue de Presse
Un journaliste sportif français condamné à 7 ans de prison ferme pour « apologie du terrorisme » en Algérie

La Revue de Presse

Play Episode Listen Later Jun 30, 2025 6:59


So Press et Reporters sans frontières ont annoncé, ce dimanche 29 juin, la condamnation de Christophe Gleizes, journaliste sportif français travaillant pour le groupe So Press, à sept ans de prison ferme en Algérie pour « apologie du terrorisme ». Il avait été arrêté en mai 2024 alors qu'il préparait un sujet sur le club de football de la Jeunesse Sportive de Kabylie. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

RTL Matin
TERRORISME - Charles Rodwell, député EPR, est l'invité de RTL Midi

RTL Matin

Play Episode Listen Later Jun 27, 2025 7:01


Comment améliorer la sécurité et mieux prévenir le risque d'attentat ? Une proposition de loi est déposée, avec un grand volet psychiatrique. Car après de nombreux drames, le même constat est fait : l'assaillant, déséquilibré souffre de troubles psychiatriques. Ces drames pourraient-ils être évités ? C'est la question que pose Charles Rodwell avec cette proposition de loi défendue à l'Assemblée. Écoutez le député Ensemble pour la République des Yvelines. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Vincent Parizot et Céline Landreau du 27 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'invité de RTL
TERRORISME - Charles Rodwell, député EPR, est l'invité de RTL Midi

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Jun 27, 2025 7:01


Comment améliorer la sécurité et mieux prévenir le risque d'attentat ? Une proposition de loi est déposée, avec un grand volet psychiatrique. Car après de nombreux drames, le même constat est fait : l'assaillant, déséquilibré souffre de troubles psychiatriques. Ces drames pourraient-ils être évités ? C'est la question que pose Charles Rodwell avec cette proposition de loi défendue à l'Assemblée. Écoutez le député Ensemble pour la République des Yvelines. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Vincent Parizot et Céline Landreau du 27 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher
Ép. 13/06 | Du bon français, ça déménage!

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher

Play Episode Listen Later Jun 13, 2025 45:34


On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher
Ép. 11/06 | Éduquer… de l'alcool au Québec libre!

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher

Play Episode Listen Later Jun 11, 2025 45:37


Éduc’alcool change. Club de lecture voilé. Un prof qui n’aime pas trop le Québec libre. La censure en humour. Dans cet épisode intégral du 11 juin, en entrevue : Geneviève Desautels, directrice générale d’Éduc’alcool Romain Gagnon, ingénieur, essayiste et auteur. Marie-Anne Alepin, présidente générale de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal. Une production QUB Juin 2025 Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher
Ép. 10/06 | Du Grand Prix au paradis, on se marie?

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher

Play Episode Listen Later Jun 10, 2025 45:31


Victor-Lévy Beaulieu parti. Régime d’union parentale. À la défense du Grand Prix à Montréal. Des étudiants américains très petits lapins. Dans cet épisode intégral du 10 juin, en entrevue : Yves Desgagnés, acteur, metteur en scène et réalisateur. Fabien Major, planificateur et chroniqueur financier. Vianney Godbout Lescouzères, ex restaurateur montréalais. Une production QUB Juin 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher
Ép. 09/06 | Santé! Nous sommes «céléblouis» par la SAQ qui coule

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher

Play Episode Listen Later Jun 9, 2025 45:32


Appels sur l'actualité
[Vos réactions] La Libre Antenne du 06 juin 2025

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Jun 6, 2025 20:00


Réagissez à l'actualité de votre choix avec Juan Gomez. RFI vous donne la parole. L'occasion d'aborder des thèmes qui ne font pas toujours la Une des médias français et internationaux.

Affaire suivante
[INÉDIT] Attaque à Condé-sur-Sarthe: comment les détenus radicalisés sont-ils pris en charge en prison?

Affaire suivante

Play Episode Listen Later Jun 6, 2025 16:07


Le procès de l'attaque à la prison de Condé-sur-Sarthe, en 2019, s'est ouvert ce lundi à Paris. Michaël Chiolo y est jugé pour "tentative d'assassinat en lien avec une entreprise terroriste", aux côtés de quatre complices présumés. Il avait attaqué deux surveillants pénitentiaires au nom de l'État islamique au sein même de la prison, puis s'était retranché dans une Unité de vie familiale pendant 10 heures, le 5 mars 2019. Déjà condamné à 30 ans de réclusion pour un violent cambriolage en 2012, Michaël Chiolo s'est radicalisé en détention. Il avait notamment noué une relation épistolaire avec Chérif Chekatt, le terroriste qui avait commis l'attentat au marché de Noël de Strasbourg, en décembre 2018.Comment les prisons prennent-elles en charge les détenus radicalisés? Comment les conditions de détention s'adaptent-elles à ce type de profil particulier?Ronald Guintrange et Elisa Fernandez, journaliste police-justice pour BFMTV.com, reçoivent Marc Hecker, chercheur, directeur adjoint de l'Ifri et auteur du livre "Daech au pays des merveilles", publié aux éditions Spinelle.

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher
Ép. 05/06 | Pour durer comme le country, ça prend de l'exercice physique!

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher

Play Episode Listen Later Jun 5, 2025 46:22


La musique country est intemporelle. Santé physique. Mode masculine au Québec. Bannir des livres. Dans cet épisode intégral du 5 juin, en entrevue : Paul Daraîche, auteur-compositeur-interprète Dr François Simard, cardiologue à l’Institut de cardiologie de Montréal/Centre ÉPIC & Sophie Tanguay, kinésiologue au Centre ÉPIC de l’Institut de cardiologie de Montréal. Une production QUB Juin 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Appels sur l'actualité
[Vos questions] Royaume-Uni : arrivée record de migrants en une seule journée

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Jun 4, 2025 19:30


Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur des attaques à Tombouctou revendiquées par le Jnim et l'élection d'un président conservateur en Pologne. Royaume-Uni : arrivée record de migrants en une seule journée   1 195 migrants sont arrivés samedi au Royaume-Uni à bord de 19 petites embarcations, un record pour une seule journée depuis 2022. Pourquoi les traversées de la Manche continuent d'augmenter malgré les dispositifs mis en place par les gouvernements français et britannique ? Londres évoque la création de centres de retour dans des pays tiers, que sait-on de ce projet ?Avec Louis Chahuneau, journaliste à Infomigrants. Mali : le Jnim intensifie ses attaques dans le nord du pays  À Tombouctou, le camp militaire, l'aéroport et plusieurs postes de contrôle ont été ciblés par le Jnim, le Groupe de soutien à l'Islam et aux musulmans, lié à al-Qaïda. Le groupe jihadiste affirme avoir fait « des dizaines de morts et de blessés », mais l'armée malienne n'a pas encore donné de bilan officiel. Pourquoi est-il si difficile d'obtenir des chiffres clairs ? Quelle stratégie les autorités maliennes envisagent-elles pour renforcer la sécurité dans les zones les plus touchées ?Avec David Baché, journaliste au service Afrique de RFI.   Présidentielle en Pologne : un revers pour l'Union européenne ?  Le candidat nationaliste et conservateur Karol Nawrocki a remporté l'élection présidentielle polonaise avec 50,89% des suffrages, à l'issue de résultats très serrés face à son rival, le maire de Varsovie, le libéral Rafal Trzaskowski. Pourquoi cette élection suscite-t-elle l'inquiétude de plusieurs pays de l'UE ?Avec Ulrich Bounat, analyste géopolitique, chercheur-associé chez Euro Créative.

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher
Ép. 04/06 | Combien de pourboire pour les fonctionnaires qui nuisent à Mario Pelchat?

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher

Play Episode Listen Later Jun 4, 2025 45:35


Boxe féminine. Mario Pelchat et les fonctionnaires. Pourboire. Subventions pour influenceurs. Dans cet épisode intégral du 4 juin, en entrevue : Katia Bissonnette, coach de boxe, responsable boxe à Équipe Québec et docteure en psychologie. Éric Duhaime, chef du Parti Conservateur du Québec et candidat dans Arthabaska. Pierre Moreau, président-directeur général du Groupe Restos Plaisirs. Une production QUB Juin 2025 Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Revue de presse Afrique
A la Une: le Mali toujours sous la menace terroriste

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jun 3, 2025 3:53


L'offensive terroriste s'est intensifiée ces dernières semaines au Mali. Le 23 mai : attaque du camp militaire de Dioura. Bilan 41 soldats tués. Il y a deux jours à Boulkessi, dans le centre du pays, un autre camp militaire a été la cible d'une attaque terroriste. Selon un communiqué de l'état-major des armées, cité par le site Bamada, « les FAMa, les Forces armées maliennes ont vigoureusement réagi à cette attaque avant de se replier ».Et puis hier matin à Tombouctou, poursuit Bamada, « les forces armées maliennes ont déjoué une tentative d'infiltration des combattants terroristes. L'État-major précise que les terroristes ont été vite mis en déroute par la promptitude des soldats maliens. Le bilan provisoire est de treize assaillants neutralisés, de l'armement, mais aussi des moyens roulants et effets divers récupérés. La situation est sous contrôle et le ratissage est en cours dans toute la ville, rassure la hiérarchie militaire ».Un État « en pleine reconstruction »Alors, « Dioura, Boulkessi, Tombouctou : l'armée malienne sur tous les fronts », s'exclame Sahel Tribune, autre site d'information. « La récente offensive terroriste, loin d'annoncer la défaite, révèle au contraire la dure réalité d'un État en pleine reconstruction, claironne Sahel Tribune. Les FAMa, attaquées sur plusieurs fronts, opposent désormais une riposte mieux structurée, avec l'appui de partenaires stratégiques non-alignés. Dans ce contexte de tumulte, la Transition conduite par le président Assimi Goïta n'entend céder ni un pouce de souveraineté ni un millimètre de terrain. (…) Certes, reconnait Sahel Tribune, des lacunes persistent : retards de renforts, faiblesses de communication tactique, dépendance aux appuis aériens. Mais ces défis sont désormais intégrés dans un programme de réforme militaire globale. (…) Oui, des violations ont été signalées, reconnait encore le site malien. Oui, des bavures sont à documenter. Mais ne nous y trompons pas : le Mali ne mène pas une guerre sale, il mène une guerre juste dans un environnement tordu. Là où les FAMa interviennent, c'est souvent pour libérer des localités entières d'un joug terroriste qui pille, viole, tue et impose sa loi moyenâgeuse ».Le site Mali Actu le reconnait également,« malgré les succès des FAMa, la situation sécuritaire est préoccupante. Un grand nombre d'attaques ciblent les forces armées dans le nord et le centre du Mali. La mobilisation des troupes et le soutien de la population locale sont essentiels pour maintenir la sécurité. (…) La persistance de ces efforts sera essentielle pour instaurer la paix et la stabilité à long terme au Mali ».Insécurité croissante…Voilà pour les médias maliens qui s'appuient sur les communiqués de l'armée et sur la parole officielle. Autre point de vue, celui du site Afrik.com qui décrit une situation beaucoup plus sombre : « au Mali, le groupe djihadiste JNIM, affilié à Al-Qaïda, a intensifié ses attaques contre l'armée et les civils. À Boulkessi et Dioura, des casernes ont été prises, causant des dizaines de morts. Le groupe impose aussi des blocus meurtriers à Diafarabé et Nouh Bozo, provoquant famine et détresse humanitaire. L'armée malienne, jugée lente et désorganisée, peine à réagir, affirme encore Afrik.com. La population, abandonnée, subit de plein fouet l'insécurité croissante et la violence des groupes armés ».Un sommet extraordinaire ?Ledjely en Guinée, fait remarquer que le Niger et le Burkina Faso ont aussi subi récemment des attaques terroristes meurtrières. Et pour ce qui est du Mali : « que les autorités militaires aient réussi ou non à déjouer les assauts contre le camp militaire et l'aéroport de Tombouctou n'est pas l'essentiel. Le véritable problème, c'est que des assaillants aient eu l'audace de lancer de telles offensives. C'est le symptôme d'une menace qui demeure ».Au Mali, mais aussi au Niger et au Burkina, donc,« les pertes humaines, civiles et militaires, se comptent par dizaines chaque semaine. Et après chaque drame, on assiste à un jeu puéril de communiqués entre autorités et groupes armés, chaque camp s'acharnant à revendiquer la victoire ».Et Ledjely d'appeler à la tenue d'un sommet extraordinaire afin de mieux lutter contre le djihadisme dans la bande sahélienne. « Pendant que le Mali, le Burkina Faso et le Niger se démènent comme ils peuvent, le reste du continent semble se croiser les bras, voire détourner le regard. Pourtant, ce danger-là est à la porte de chacun de nous ».

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher
Ép. 03/06 | Urgence, ou pas? Un chevalier sur le train vers Toronto

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher

Play Episode Listen Later Jun 3, 2025 45:31


Le Train Grande Vitesse | Michel Jean nommé Chevalier | Urgences et délai | Québécois en finale de la NBA Dans cet épisode intégral du 3 juin, en entrevue : Jean Mercier, professeur associé, Département de science politique à l’Université Laval. Michel Jean, écrivain. Renaud Brossard, vice-président communications à l’Institut économique de Montréal (IEDM). Une production QUB Juin 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher
Ép. 02/06 | Est-ce sage, un hot dog?

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher

Play Episode Listen Later Jun 2, 2025 45:35


Rapport du Comité de sages sur l’identité de genre. Humour. Pauvreté. Hot dog ou hamburger? Dans cet épisode intégral du 2 juin, en entrevue : Alexandra Houle, présidente du Réseau féministe Québécois Russel-Aurore Bouchard, historienne et écrivaine Guy Nantel, humoriste et auteur Audrey Renaud, directrice générale du Regroupement Partage Isabelle Huot, docteure en nutrition Une production QUB Juin 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher
Ép. 30/05 | Une baguette molle comme une coupe Longueuil!

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher

Play Episode Listen Later May 30, 2025 45:28


Baguette de Montréal. Grève en construction. Coupe Longueuil. Élimination des barrières commerciales. Dénatalité milléniale. Dans cet épisode intégral du 30 mai, en entrevue : Yanic Parent, courtier immobilier résidentiel Jean-Philippe Roy, fondateur du mouvement Québec Mulet Gabriel Giguère, analyste senior en politiques publiques à l’IEDM. Une production QUB Mai 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher
Ép. 28/05 | Aide à mourir ou aide à vivre? 2 parents par enfant et on pardonne le New Jersey!

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher

Play Episode Listen Later May 29, 2025 45:30


Aide à mourir en France. Touristes québécois aux États-Unis. Chronique Sac de Chips. 2 parents par enfant. Dans cet épisode intégral du 28 mai, en entrevue : Jonathan Marchand, défenseur des droits des personnes handicapées. Nicolle Dufour, représentante de la région du Jersey Cape pour le Canada Une production QUB Mai 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher
Ép. 27/05 | Des dignes soins, des animaux abandonnés et des immigrants francisés

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher

Play Episode Listen Later May 27, 2025 45:43


Fin de vie. Abandon d’animaux. Francisation. Le roi Charles. Dans cet épisode intégral du 27 mai, en entrevue : Olivier Teasdale, fils de Jacques Teasdale décédé en juillet 2024 Laurence Massé, directrice générale de la SPCA de Montréal. Tania Longpré, docteure en éducation, enseignante spécialiste en francisation. Une production QUB Mai 2025 Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Les Grandes Gueules
Panne électrique dans le Var : du terrorisme anarchiste ? - 26/05

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later May 26, 2025 11:37


A 10h, ce lundi 26 mai 2025, les GG : Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, Charles Consigny, avocat, et Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, débattent de : Panne électrique dans le Var, du terrorisme anarchiste ?

Les Grandes Gueules
Le coup de gueule du jour - Charles Consigny : "C'est du terrorisme. Ça mérite des sanctions très lourdes, comme celles qu'on applique aux terroristes islamistes" - 26/05

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later May 26, 2025 1:09


Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, Charles Consigny et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Invité Afrique
Jihadisme en Afrique de l'Ouest: dans la région, «il existe un risque d'effondrement d'un État»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later May 23, 2025 7:43


En cette année 2025, le péril jihadiste est en expansion dans les pays côtiers d'Afrique de l'Ouest, constate l'Institut de recherche stratégique (IRS), qui est basé en Côte d'Ivoire. Les groupes jihadistes redoublent d'inventivité pour exploiter les failles des États et tenter de s'infiltrer dans le nord de pays comme le Bénin et la Côte d'Ivoire, précise l'IRS, qui publie cette semaine trois rapports détaillés sur ce phénomène. Son directeur, Lassina Diarra, est l'invité de Christophe Boisbouvier. RFI : Plus de 100 personnes tuées en avril par les jihadistes dans le nord-est du Nigeria. 54 soldats tués le 17 avril par les jihadistes dans le nord du Bénin. Est-ce que le péril jihadiste est en expansion dans les pays côtiers d'Afrique de l'Ouest ?Lassina Diarra : Oui, nous avons noté que, depuis l'arrivée des régimes militaires, la situation sécuritaire se dégrade considérablement. Aujourd'hui, on est dans une situation extrêmement difficile et la situation est inquiétante. Nous voyons effectivement qu'il y a un risque d'effondrement d'un État sahélien, ce qui pourrait avoir des conséquences terribles sur les infrastructures sécuritaires, les politiques de sécurité des États du golfe de Guinée, dont certains commencent à être sous la pression des groupes terroristes.Est-ce à dire qu'il n'y a plus de coopération sécuritaire entre ces trois pays du Sahel et les pays côtiers ?Oui, la coopération est pour l'instant difficile, puisque la Cédéao n'arrive pas à incarner un leadership et l'initiative d'Accra, qui était aussi une réponse africaine face à la menace jihadiste, est totalement en panne actuellement. Il existe aussi des difficultés de coopération entre l'Alliance des États du Sahel, avec le Bénin, et aussi la Côte d'Ivoire. On est par conséquent dans un contexte où la coopération sécuritaire entre les États se trouve dans des situations particulièrement difficiles.Est-ce qu'il y a, au nord du Bénin, le risque que des jihadistes réussissent à établir un sanctuaire, comme il en existe au Burkina Faso ?Selon les statistiques, nous avons vu, de mai 2019 à mai 2025, qu'il y avait eu 808 incidents terroristes au Bénin. Ce qui est problématique actuellement, c'est qu'il y a un processus d'endogénéisation qui est très avancé au Bénin. Vous avez des communautés où vous avez des citoyens béninois qui participent effectivement à des attaques. Et le processus d'endogénéisation s'accommode à une dynamique de sanctuarisation.Le processus d'endogénéisation, cela signifie qu'il y a maintenant des citoyens béninois qui sont devenus jihadistes, c'est ça ?Oui, c'est ce que ça veut dire. Cela veut dire également clairement que la menace cesse d'être exogène, elle devient vraiment endogène.Et quelle est la réponse à ce phénomène ?Il y a la stratégie par le bas qui va consister à travailler significativement avec les communautés, avec les couches sociales et aussi avec une présence effective de l'État en termes d'infrastructures, en termes de sécurité et aussi en termes de justice sociale. Il faut aussi faire monter l'armée en puissance. Je crois bien qu'ils sont dans ces processus-là. Puis, il faut discuter avec le Burkina Faso et le Niger.Y a-t-il le même risque d'endogénéisation, c'est-à-dire d'enracinement, du terrorisme dans le nord de la Côte d'Ivoire ?Nous n'avons pas encore observé cela parce que les attaques que la Côte d'Ivoire a connues, quand on les analyse effectivement, c'était un objectif d'endogénéisation. Mais la capacité réactionnelle des forces ivoiriennes, et aussi du gouvernement ivoirien, alliant la sécurité opérationnelle aussi à la question sociale, a permis effectivement de mettre la Côte d'Ivoire à l'abri de ces phénomènes.Dans le rapport que vous avez publié cette semaine, vous écrivez que les groupes terroristes font preuve d'inventivité aux frontières.Ce que nous avons remarqué, c'est que les groupes terroristes s'adaptent et exploitent toutes les vulnérabilités. Des éléments des Forces de défense et de sécurité rackettent parfois des populations parce que celles-ci ne sont pas dans des situations totalement régulières. On peut prendre l'exemple des motos. Certaines populations ne disposent pas de papiers pour une moto. C'est ce qu'on appelle le contrat d'arrangement en quelque sorte. C'est ce que nous avons vu.Et en quoi ce racket de la part de certains agents facilite la propagande des jihadistes ?C'est à plusieurs niveaux. Premier niveau, cela coupe le service de renseignement, qui pourrait récolter des informations auprès de la population. celle-ci se trouve un peu dans des situations hésitantes à collaborer avec les Forces de défense et de sécurité. Pourtant, dans ce type de guerre, la collaboration est vraiment recommandée.Deuxième niveau, il y a des populations qui peuvent se sentir stigmatisées. Il y a donc un repli que les groupes terroristes peuvent éventuellement instrumentaliser.Il faut par conséquent une vraie stratégie contre l'infiltration du nord de la Côte d'Ivoire par ces groupes jihadistes ?Oui, je crois bien que la stratégie ivoirienne existe déjà. Ce qui serait intéressant, c'est de la réactualiser, de la réinterroger chaque fois que l'on constate l'évolution de la menace et la capacité des groupes à s'adapter.

Grand reportage
Organisation État islamique en RDC: la mécanique de la radicalité

Grand reportage

Play Episode Listen Later May 13, 2025 19:30


Depuis 2021, l'armée ougandaise a noué un partenariat avec la fondation Bridgeway. En plus des opérations militaires menées contre le groupe islamiste ADF, la fondation a mis en place un programme de réinsertion et de déradicalisation à destination de leurs anciens membres. Pour la première fois, en mars, les équipes ont ouvert leurs portes à RFI. Florence Morice a passé une semaine à l'intérieur du centre. Grand Reportage. En 2017, le groupe islamiste d'origine ougandaise ADF (Forces démocratiques alliées) a prêté allégeance à l'organisation État islamique. En mars 2025, Florence Morice, journaliste au service Afrique de RFI, a pu passer une semaine dans un centre de déradicalisation et de réinsertion d'anciens membres de ce groupe armé, l'un des plus mystérieux et meurtriers de l'est de la RDC. C'est la première fois que ce centre, géré par la fondation américaine Bridgeway et l'armée ougandaise, ouvre ses portes à une journaliste.Les témoignages exclusifs recueillis éclairent de l'intérieur le processus qui a conduit les ADF à s'allier à l'EI et ses conséquences. Un ancien commandant ADF, aujourd'hui repenti, témoigne. Il était aux premières loges de ce processus d'allégeance : « Quand le groupe a rejoint l'État islamique, les règles ont changé. Musa Seka Baluku [leader des ADF, NLDR] a commencé à faire référence à un homme qui lui donnait des instructions. Chaque commandant devait mener un certain nombre de raids, tuer des civils... Et ramener des photos, pour les envoyer comme preuve du travail accompli. »Contrer l'idéologie radicale propagée par les ADF n'est pas chose aisée. Notre deuxième Grand Reportage y est consacré. Pour justifier le recours à cette violence extrême, les ADF s'appuient sur une interprétation réductrice, déformée du Coran. Très peu en sortent indemnes, même lorsqu'ils ont été recrutés par la ruse… ou forcés. Issa, un jeune homme endoctriné dans son village aujourd'hui repenti, déplore : « Je me sens mal d'avoir été trompé et je me sens très mal quand je pense à ce qu'on a fait : avoir versé le sang de personnes innocentes. Pendant 6 ans, on m'a berné avec une vision fausse de ce qu'est le jihad. »

Grand reportage
Qui se cache derrière le groupe État islamique en Afrique centrale

Grand reportage

Play Episode Listen Later May 12, 2025 19:30


C'est l'un des groupes armés les plus meurtriers et les plus mystérieux de l'est de la RDC. Leur nom : les ADF, acronyme anglais désignant les Forces démocratiques alliées. Fondé il y a 30 ans par des Ougandais, le groupe se présente aujourd'hui comme la branche de l'État islamique en Afrique centrale, depuis que son chef a prêté allégeance au groupe terroriste en 2017. Nous nous sommes rendus à Kampala dans un centre de déradicalisation pour anciens combattants. Un centre qui a ouvert sa porte à un.e journaliste pour la première fois. « Qui se cache derrière le groupe État islamique en Afrique centrale », un Grand reportage de Florence Morice.