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Invités : -Martin Garagnon, porte-parole Ensemble pour la République -Arno Klarsfeld, avocat -Harold Hyman, journaliste international CNEWS -Alexandre Orlov, ancien ambassadeur de Russie en France Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:06:06 - La Revue de presse internationale - par : Juliette Micheneau - La présidente du Pérou a promulgué une loi d'amnistie pour abandonner toute poursuite contre les policiers, militaires ou membres de milices accusés de crimes commis entre 1980 et 2000, lors du conflit armé contre les guérillas de gauche. La Cour interaméricaine des droits de l'homme s'y oppose.
Une rencontre secrète a eu lieu, lundi 11 août, en Suisse, à Zurich, entre le chef de l'armée soudanaise, le général Abdel Fattah al-Burhan et l'émissaire américain pour l'Afrique, Massad Boulos. La rencontre a duré trois heures selon le gouvernement soudanais. Elle portait sur le plan américain pour un cessez-le-feu global au Soudan ainsi que sur l'acheminement d'une aide humanitaire, particulièrement vers el-Fasher, la capitale du Darfour nord assiégée par les paramilitaires des Forces de soutien rapide. Le chercheur Roland Marchal revient sur la position de la diplomatie américaine et sur ces nouveaux efforts pour tenter de négocier une sortie à la crise soudanaise. RFI : Qu'est-ce qu'on sait de ce plan pour un cessez-le-feu global qui aurait donc été proposé par les États-Unis lors de cette rencontre ? D'abord, les discussions ont eu lieu avec une seule des deux parties en l'occurrence avec le général al-Burhan, qui est le chef de l'armée soudanaise. On ne sait pas si d'autres discussions ont lieu parallèlement ou vont avoir lieu avec les Forces de soutien rapide commandées par le général Hemedti. Ce qu'on pense savoir, c'est que la diplomatie américaine s'efforce de faciliter l'accès humanitaire et qu'il y a à faire des deux côtés. C'est-à-dire que l'accès humanitaire est freiné tant du côté des RSF que du côté de l'armée soudanaise. Et donc il faut lever toute une série d'obstacles pseudo bureaucratiques pour permettre à l'aide d'arriver là où elle doit arriver. Le deuxième problème, c'est évidemment quel type de cessez-le-feu et de relance politique peut avoir lieu. Les renseignements qu'on a aujourd'hui sur la réunion ne permettent pas d'éclairer ça très bien. On sait que le général al-Burhan va sans doute défendre une exclusion totale des FSR et sans doute le jugement d'Hemedti et de tous ceux qui lui ont été le plus proche. Mais il est sûr que dans des discussions confidentielles, le général al-Burhan peut dessiner une voie qui n'a pas encore été empruntée jusqu'à présent. Et pourquoi a-t-il accepté cette fois-ci de rencontrer les Américains ? Est-ce que ça s'explique notamment par les avancées du coup des forces soudanaises sur le terrain ? Oui et non. Oui, évidemment, le gouvernement soudanais n'est plus dans la position de faiblesse dans laquelle il était il y a un an. Mais d'un autre côté aussi, il y a des critiques de plus en plus fortes qui sont exprimées vis-à-vis du général al-Burhan. Il y a des sanctions parce qu'apparemment, des armes chimiques auraient été utilisées par l'armée soudanaise contre les populations. Et puis d'autre part aussi parce que, au moins d'un point de vue militaire, on est tout à fait conscient que d'un côté comme de l'autre, il y a une escalade dans la technologie qui est utilisée et qu'il va falloir autre chose que simplement une supériorité militaire pour régler ce conflit. Et puis aussi, il y a une inquiétude, peut-être que le général al-Burhan a peut être une inquiétude vis-à-vis de ses propres troupes, le fait que le contrôle des milices est quand même difficile, et donc c'est peut-être aussi un bon moment pour lui d'essayer de marquer des points diplomatiquement en soulignant combien les preuves contre les Forces de soutien rapide sont multiples concernant l'assassinat de civils, des massacres de masse, etc. Mais est-ce qu'il n'y a pas des contreparties qui pourraient être demandées au général al-Burhan, comme par exemple son départ ou la mise en place d'un gouvernement civil ? On ne sait pas réellement quelle est l'expertise dont se prévaut l'envoyé américain Massad Boulos. Donc on ne sait pas si ce sont des discussions à haut vol, sans entrer dans des détails, ou si l'envoyé spécial américain a une vision extrêmement précise des forces en présence, se souvient qu'il y a des forces civiles qui se sont opposées à Omar el-Béchir en 2019, et également des forces civiles qui aspirent à gouverner, qui aspirent à un changement. Donc, la question est de savoir si les Américains vont se contenter finalement d'une négociation avec les deux parties armées, ou est-ce qu'ils iront beaucoup plus loin. Sur un véritable régime civil de transition qui inclura ou n'inclura pas des personnalités proches des deux parties combattantes aujourd'hui. Est-ce qu'avec ces discussions, on peut espérer que l'aide humanitaire circule mieux au Soudan et plus particulièrement vers El Fasher, la capitale du Darfour-Nord ? Du côté du gouvernement soudanais, les choses sont à la fois plus simples puisqu'il y a une autorité, il y a une chaîne de commandement et plus compliqué parce qu'il y a la chaîne de commandement de l'armée, mais il y a aussi beaucoup de milices qui sont sur les routes, qui ont leur propre check-point. C'est un véritable chemin kafkaïen pour obtenir toutes les autorisations pour les Nations unies de quitter Port-Soudan, où l'aide humanitaire arrive pour l'envoyer dans des lieux qui sont, il faut le rappeler, pour certains, contrôlés par le gouvernement, puis pour d'autres endroits qui sont plus sympathisantes des Forces de soutien rapide, et dans ce cas-là, il y a des oppositions très fortes qui se manifestent. L'envoyé spécial américain peut trouver des moyens et des arguments pour convaincre le général al-Burhan d'agir de façon un peu plus déterminée, de faire respecter la chaîne de commandement, puisqu'il prétend être le gouvernement. Ce sera sans doute beaucoup plus compliqué du point de vue des Forces de soutien rapide, dans la mesure où, s'il y a l'image d'un commandement central, il y a quand même une très grande faiblesse de la chaîne de commandement, ce qui fait que les milices sur le terrain peuvent établir des check-points et n'en ont rien à faire des papiers, fussent-ils signés par Hemedti ou son frère.
durée : 00:13:39 - La Question du jour - par : Julie Gacon - Les dirigeants d'Arménie et d'Azerbaïdjan vont signer vendredi un accord de paix "historique", sous l'égide des États-Unis. L'enjeu ? Mettre fin au conflit territorial qui oppose ces deux anciennes républiques soviétiques depuis des décennies, selon Donald Trump. - réalisation : Sam Baquiast - invités : Tigrane Yegavian Professeur de relations internationales à l'Institut Schiller, membre du comité de rédaction de la revue Conflit.
durée : 01:59:46 - Les Matins d'été - par : Julie Gacon, Sarah Masson - . - réalisation : Sam Baquiast - invités : Tigrane Yegavian Professeur de relations internationales à l'Institut Schiller, membre du comité de rédaction de la revue Conflit.; Arthur Guérin-Turcq Géographe, enseignant à Sorbonne-Université; Bruno Bouché Danseur, chorégraphe, et Directeur artistique du CCN, Ballet de l'Opéra national du Rhin
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Précédés de mois de tensions, les cinq jours de conflits armés entre la Thaïlande et le Cambodge fin juillet 2025 ont déplacé des centaines de milliers de personnes dans les provinces frontalières où se sont concentrés les affrontements. Selon les autorités cambodgiennes, au moins 700 000 travailleurs émigrés en Thaïlande seraient revenus au Cambodge depuis le début de la crise. Alors que les relations entre les deux pays sont au plus bas malgré le cessez-le-feu, les perspectives d'emplois semblent très incertaines pour ces travailleurs peu qualifiés, précaires et revenus à la hâte. De notre correspondante à Phnom Penh, Sur un chantier de la capitale Phnom Penh, Lors et Sanan s'estiment chanceux d'avoir pu retrouver un emploi. Fin juillet, ce couple d'ouvriers du bâtiment travaillait encore à Bangkok. Quand le conflit armé éclate entre la Thaïlande et le Cambodge, ils se sentent menacés. « D'autres travailleurs migrants nous ont prévenu qu'une bande d'une dizaine de Thaïlandais avaient cherché à les intimider. Et puis, ils sont venus nous trouver et ont demandé : " Eh toi ! Tu viens d'où ? "J'ai eu peur de me faire frapper si je leur disais que j'étais Cambodgien. Alors, j'ai répondu que je venais d'une province thaïlandaise et ça s'est arrêté là. » Au même moment, le couple est prévenu que leur famille restée au Cambodge doit évacuer le village en raison des affrontements : « Nous avions déjà peur ici. Et ma mère nous appelait tous les jours avec les enfants. Nous avons redouté que ce gang (thaïlandais) nous retrouve et nous cherche plus d'histoires. Alors, nous avons demandé notre salaire et nous sommes rentrés fin juillet. » Comme Lors et Sanan, au moins 700 000 travailleurs émigrés sont rentrés au Cambodge en raison du conflit. Jusqu'à présent, ils étaient près de 1,2 million Cambodgiens à travailler en Thaïlande, dont seulement une moitié en situation régulière. À lire aussiThaïlande-Cambodge: aux origines d'un vieux conflit frontalier « Choisir entre leur sécurité et leurs revenus » « On n'a jamais vu ça. Regardez ! » Khun Tharo est responsable de programme à Central, une ONG cambodgienne de défense des droits des travailleurs. Sur son ordinateur défilent les vidéos envoyées par leurs équipes déployées sur un poste frontalier : « Regardez ce qu'ils transportent : des matelas, des couvertures, leurs bébés sur leurs épaules, etc. On comprend qu'ils ne vont pas revenir avant un long moment. » La panique a poussé ces travailleurs à quitter leur emploi, quitte à se priver de tous revenus une fois au Cambodge : « Ils ont dû choisir entre leur sécurité et leurs revenus, explique Khun Tharo. S'ils n'avaient pas été confrontés à cette situation, ils seraient restés en Thaïlande où ils avaient un salaire régulier. Quand ils reviennent ici, ils ne savent pas s'ils pourront retrouver un travail ou combien de temps cela prendra. Ils s'inquiètent de savoir comment ils pourront subvenir aux besoins de leur famille ou rembourser leur emprunt. Le problème, c'est que je doute qu'il y ait assez d'emplois disponibles pour la masse de travailleurs qui sont revenus. » Malgré un cessez-le-feu le 29 juillet, ils sont encore nombreux à dire ne pas vouloir retourner en Thaïlande. Mais, même si les autorités cambodgiennes se mobilisent, le marché du travail risque de ne pas pouvoir absorber ces quelque 700 000 travailleurs supplémentaires issus de milieux précaires. Or, côté thaïlandais, les secteurs de la construction, du service, de la pêche, de l'agriculture ou encore de l'industrie alimentaire, des secteurs qui employaient cette main d'œuvre cambodgienne peu qualifiée, se confrontent à l'urgence de la remplacer. À lire aussiThaïlande-Cambodge: après les affrontements, l'angoisse des étudiants khmers restés à Bangkok
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Symbole des « Etats fantômes », la Palestine dispose de ses institutions et d'un large soutien populaire, mais reste privée de reconnaissance pleine et entière sur la scène internationale. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Kremlin a confirmé l'organisation d'un sommet bilatéral dans les prochains jours avec Donald Trump, qui attend une rencontre avec Vladimir Poutine depuis son retour à la Maison Blanche. Ce rendez-vous a été évoqué mercredi 6 août lors de l'entrevue à Moscou entre l'émissaire de Donald Trump, Steve Witkoff et le président russe. On en parle avec Florent Parmentier, secrétaire général de Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof), chercheur associé à l'Institut Jacques-Delors.
Autoproclamé indépendant de la Somalie depuis 1991, le Somaliland dispose de ses propres institutions, monnaie et gouvernement. Pourtant, il ne bénéficie d'aucune reconnaissance internationale, comme tout autre Etat fantôme. Son statut semble toutefois évoluer depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A la chute de l'URSS, le Haut-Karabagh s'est autoproclamé indépendant sous le nom de République d'Artsakh, sans jamais être reconnue internationalement… Un véritable Etat fantôme. Portée par une volonté profonde de préserver son identité arménienne, l'enclave a vu son destin basculer en 2023, lorsque l'Azerbaïdjan en a repris le contrôle par la force. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Coincée entre la Moldavie et l'Ukraine, cette enclave prorusse s'administre seule depuis plus de 30 ans. Non reconnue par la communauté internationale, dirigée par un clan d'oligarques, elle cultive une ambiance soviétique, entre nostalgie et isolement. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Palestine, Somaliland, Transnistrie, Haut-Karabagh… Ils ont une capitale, un gouvernement, parfois même une armée, mais ne figurent pas sur les cartes officielles. Appelés « Etats fantômes », ils illustrent les tensions entre légitimité politique, reconnaissance internationale et enjeux géostratégiques. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Sur sa page Facebook, la ministre déléguée au ministère de l'Égalité des genres, Anishta Babooram, avait publié le message suivant : « I have been bearing things for long enough… » Cette publication a provoqué une réaction de la ministre Arianne Navarre-Marie, qui a pris la parole dans une vidéo pour pointer du doigt l'attitude de la Junior Minister. En réponse, Anishta Babooram a affirmé que les propos de la ministre sont faux, tout en rappelant qu'elle est une élue du peuple. Cependant, elle a choisi de ne pas faire d'autres déclarations à ce stade, indiquant qu'elle préfère attendre la réunion prévue entre le Deputy Prime Minister Paul Bérenger et le Premier ministre, le Dr Navin Ramgoolam. Anishta Babooram a également précisé qu'Arianne Navarre-Marie lui aurait uniquement confié des tâches administratives, à savoir prendre des notes et contacter des personnes de sa circonscription rencontrant des difficultés avec les crèches.
Qu'elle passe par des paroles engagées, des prises de position publiques ou des performances symboliques, la musique devient parfois un véritable acte politique. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans les Balkans, plus précisément en Serbie, où des manifestations contre le régime se tiennent depuis plusieurs mois.. Que se passe-t-il exactement ? Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rien ne va plus entre Benjamin et sa famille depuis son coming out. À chaque évènement familial, il se sent pris dans une dynamique de contrôle et de jugement. Il exprime le besoin de s'éloigner pour préserver sa santé mentale et son couple. Durant le mois de juillet, en direct, Cécilia Commo accueille les auditeurs pour 2h d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
B'Tselem et Physicians for Humans Rights Israel (PHRI), deux organisations israéliennes de défense des droits humains, dénoncent les actions de leur gouvernement dans la bande de Gaza comme étant un « génocide ». Une prise de position symbolique, qui rejoint les accusations formulées par certains Etats au niveau international.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aucun groupe de ce nom n'existe, mais la justice russe a interdit le « mouvement international sataniste » mercredi 23 juillet. Une décision qui dissimule une propagande bien établie du Kremlin… Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la construction d'un méga-barrage controversé au Tibet et une décision de la Cour internationale de justice sur le dérèglement climatique. Conflit israélo-palestinien : pourquoi la France reconnaît l'État palestinien maintenant ? « Fidèle à son engagement historique pour une paix juste et durable au Proche-Orient, j'ai décidé que la France reconnaîtra l'État de Palestine », a écrit Emmanuel Macron sur X. Pourquoi prendre cette décision maintenant ? Conflit israélo-palestinien : que peut changer la reconnaissance de la Palestine par la France ? À Gaza, la famine sévit et l'aide humanitaire est toujours bloquée. Cette reconnaissance pourrait-elle renforcer la pression diplomatique sur Israël ? Reconnaissance de l'État de Palestine : quels autres pays pourraient imiter la France ? La France devient le 142è pays à reconnaître l'État de Palestine, selon un décompte de l'AFP. Cette décision pourrait-elle inciter d'autres pays européens à emboîter le pas d'Emmanuel Macron ? Avec Adel Bakawan, chercheur-associé à l'Ifri, directeur de l'Institut européen d'études du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord (Eismena). Chine : un méga-barrage lancé au cœur d'un désert géopolitique La Chine a lancé la construction du plus grand barrage hydroélectrique du monde sur le fleuve Yarlung Zangbo, au Tibet. Avec un coût estimé à plus de 165 milliards de dollars, ce projet est-il économiquement viable, ou est-ce avant tout un geste politique de puissance ? Pourquoi la construction de ce méga-barrage inquiète les pays voisins de la Chine ? Avec Clea Broadhurst, correspondante permanente de RFI à Pékin. Climat : vers une condamnation des États pollueurs ? Dans un avis historique, la Cour internationale de justice affirme que l'inaction climatique peut être jugée illégale, ouvrant la voie à d'éventuelles réparations. Quels types de « réparations » les États responsables pourraient-ils devoir verser aux pays victimes ? Que change concrètement l'avis de la CIJ sur la reconnaissance du changement climatique comme une « menace existentielle » pour l'humanité ? Avec Jeanne Richard, journaliste au service environnement-climat de RFI.
Chaque jour, retrouvez le journal de 12h30 de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Le Journal en français facile du vendredi 25 juillet 2025, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BsCc.A
Chaque jour, écoutez le Best-of de l'Afterfoot, sur RMC la radio du Sport !
Au sommaire de cette revue de presse : Le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, s'en prend au macronisme dans une interview.Les combats entre Druzes et Bédouins font 1265 morts en 10 jours à Soueïda en Syrie, dans un contexte de guérilla entre communautés où l'État hébreu s'est érigé en protecteur des Druzes.Des familles de victimes de meurtres irrésolus espèrent enfin connaître l'identité de l'assassin de leurs proches grâce à l'utilisation de la généalogie génétique dans les enquêtes.Une lycéenne brillante, accusée à tort d'avoir triché au bac de philosophie avec l'aide de l'intelligence artificielle, a finalement été innocentée et voit son baccalauréat validé avec mention.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Anne-Marie est confrontée à des tensions avec sa belle-fille, qu'elle perçoit comme dominatrice, ce qui affecte sa relation avec son fils. Elle ressent une forte identification avec la situation de son fils, qui lui rappelle sa propre histoire conjugale. Durant le mois de juillet, en direct, Cécilia Commo accueille les auditeurs pour 2h d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Georges Ibrahim Abdallah, l'un des plus anciens détenus de France, va sortir de prison après plus de 40 ans d'incarcération pour des actes terroristes dans les années 80, suscitant de vives réactions politiques.Le gouvernement propose la suppression de deux jours fériés et l'abandon de la cinquième semaine de congés payés, ce qui inquiète fortement les professionnels du tourisme.De violents affrontements ont lieu dans le sud de la Syrie, faisant près de 600 morts, dont la moitié de la communauté Druze, l'armée syrienne se retirant pour éviter une guerre ouverte avec Israël.Tadej Pogačar, le champion du monde slovène, remporte en solitaire la 12e étape du Tour de France et reprend le maillot jaune avec plus de 3 minutes d'avance sur son principal rival, Jonas Vingegaard.Une jeune fille de 11 ans est décédée noyée dans un étang lors d'une sortie organisée par un centre de loisirs, l'encadrement n'ayant pas pu la secourir à temps.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Israël a arrêté des dizaines d'agents qui travailleraient pour le compte de l'Iran. Une prison spéciale a été construite dans le nord du pays.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Ce mercredi 9 juillet, les opérations menées dans le port de Rotterdam pour recevoir des cargaisons militaires en prévision d'éventuels conflits avec Moscou ont été abordées par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:13:43 - La Question du jour - par : Astrid de Villaines - Il y a une semaine, le département de la Défense américain a annoncé avoir “mis en pause” des livraisons d'armes à destination de l'Ukraine. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Yohann Michel Analyste de recherche pour la défense et l'analyse militaire à l'IISS, The International Institute for Strategic Studies
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 4 juillet 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.Matthias Fekl, avocat et ancien ministre de l'Intérieur.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.C'EST NICOLAS QUI PAIE » : L'AMORCE D'UN CONFLIT INTERGÉNÉRATIONNELTravail, écologie, sexualité, politique, racisme, laïcité, tant autour des questions sociales que dans le champ des valeurs, tout séparerait les jeunes de leurs aînés. Les « boomers » auraient « cramé la caisse » et la planète. Leurs successeurs seraient paresseux, instables, égoïstes, trop radicaux. L'expression « OK, boomer », apparue en 2018 et largement répandue sur les réseaux sociaux, résume à elle seule ce « clash intergénérationnel ». En cause : la montée de l'individualisme, l'accélération des changements technologiques et l'inversion opérée dans la transmission traditionnelle des savoirs. Avec le Covid, la génération Z - née entre la fin des années 1990 et le début des années 2010 – se serait sentie sacrifiée pour protéger les boomers. La crise écologique a créé des éco-anxieux qui demandent des comptes. C'est sur le front des conditions économiques que les tensions sont les plus vives : dans un État consacrant plus de budget à la retraite (379 milliards d'euros en 2023, 13,4 % du PIB, selon le rapport du Conseil d'orientation des retraites) qu'à sa jeunesse (190 milliards d'euros pour l'éducation en 2023, 6,7 % du PIB), celle-ci est contrainte de composer avec un chômage structurel, des inégalités sociales croissantes et un État de moins en moins providence et protecteur, constate Salomé Saqué, dans son livre Sois jeune et tais-toi.Alors que la CFDT comme le Medef commencent à s'inquiéter d'un risque de conflit intergénérationnel, dans son rapport d'avril, la Cour des comptes a alerté sur la nécessité de veiller à l'équité intergénérationnelle des systèmes de retraites. Compte tenu du vieillissement de la population et de la baisse de la natalité, pour éviter que les écarts ne se creusent, la Cour note l'intérêt de mieux piloter le système global avec des clauses de revoyure. Le rapport entre actifs et retraités ne cesse de se dégrader : de trois actifs pour un retraité au début des années 1980, ce ratio est passé à 2,1 actifs pour un retraité en 2000 et à 1,7 cotisant pour un retraité en 2021. Il devrait encore décliner d'ici à 2050 pour passer à 1,5 cotisant pour un retraité. Dans un tel contexte, le système de retraites par répartition apparaît de moins en moins à même de générer un niveau de pensions suffisant.Depuis quelques mois, Nicolas, trente ans, un personnage fictif devenu un mème populaire sur les réseaux sociaux incarne le « ras-le-bol fiscal » d'une partie de la jeune génération. Notamment sur X et à droite, dès qu'un article de presse relaie une information impliquant une dépense de l'État, le commentaire surgit : « C'est Nicolas qui paie. » Nicolas (prénom le plus donné aux garçons en 1995) se veut emblématique de la génération des jeunes actifs trentenaires, supposés écrasés d'impôts pour financer les croisières de « Bernard et Chantal », retraités de 70 ans, et le RSA de « Karim », jeune immigré de 25 ans, autres personnages fictifs. « Il n'y a pas de caractère inédit concernant les contestations fiscales, souligne l'économiste Erwann Tison. Ce qui est nouveau, c'est le côté générationnel ».Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Début juin 2025, des document révélés par Complément d'enquête et Nouvel Obs révèlent des honoraires de presque 300 000 euros payés à Rachida Dati par GDF Suez alors qu' elle était eurodéputée. Un conflit d'intérêt c'est une situation dans laquelle une personne dépositaire de l'autorité publique ( donc un élu, un député…) a un intérêt privé qui interfère avec les intérêts publics. Qu'est-ce qu'un conflit d'intérêt ? Quelle est la différence avec une prise d'intérêt ? Qu'est-ce qui est vraiment reproché à Rachida Dati ? Écoutez la suite de cet épisode de Maintenant vous savez ! Un podcast Bababam Originals écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. À écouter ensuite : Qu'est-ce que la loi du mort-kilomètre ? Aide à mourir, euthanasie... Quels sont les mots pour comprendre le débat sur la fin de vie ? Qu'est-ce que l'“homonationalisme” ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Ce jeudi 26 juin, la rencontre entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky à La Haye pour parler du cessez-le-feu, qui semble hors de portée pour l'instant, a été abordée par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:38:54 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Les États-Unis ont frappé les sites nucléaires iraniens aux côtés d'Israël. Trump salue une opération décisive, Téhéran parle de crime et promet une riposte. Un nouveau seuil est franchi. - réalisation : François Richer - invités : Héloïse Fayet Chercheuse à l'Ifri (Institut français des relations internationales), spécialiste de la dissuasion nucléaire; Élie Fayad Co-rédacteur en chef du quotidien francophone libanais l'Orient-Le Jour
REDIFF - Sophie est séparée de son ex-mari depuis 7 ans. Malgré leur relation conflictuelle, ils restent en contact pour leurs enfants. Depuis, elle peine à refaire sa vie. Anne Marie a réagi au témoignage de Sophie car elle a réussi rebondir après une relation d'emprise. Sexualité, infidélités, coups de foudre, difficultés dans le couple... Au micro de Caroline Dublanche, les auditeurs confient leur vie amoureuse. RTL vous propose désormais de redécouvrir, tous les matins, un cas marquant ! Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Conflit entre Israël et l'Iran : derrière les bombes, il y a la cyber-guerre. Un groupe de hackers pro israélien vient de s'attaquer à une banque iranienne...Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans la nuit du 12 au 13 juin, l'aviation israélienne a lancé une série de frappes contre l'ennemi juré du pays : l'Iran, dirigé par le guide suprême Ali Khamenei. Celui qui promettait de détruire l'Etat hébreux d'ici 2040.À travers cette opération de grande ampleur, dans laquelle des sites stratégiques, des commandants mais aussi des scientifiques iraniens ont été tués, Israël cherche à mettre hors d'état de nuire son rival historique, qu'il soupçonne d'être en voie d'obtenir la bombe atomique. Depuis, les bombardements des deux côtés sont quotidiens. Pourquoi l'Etat d'Israël est-il passé à l'offensive ? Quelle est l'histoire des relations entre les deux pays ? Pourquoi sont-ils devenus ennemis ? Réponse, dans Code source aujourd'hui, avec trois journalistes du service international du Parisien : Ariane Riou, Robin Korda, et Charles de Saint Sauveur, chef de ce service. Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Thibault Lambert, Clémentine Spiler et Anaïs Godard - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol, Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : BFMTV, France Inter. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Donald Trump a quitté précipitamment le G7 au Canada pour se concentrer sur le dossier iranien, alors que les tensions entre Israël et l'Iran s'intensifient. Les frappes ont déjà causé plus de 225 morts côté iranien et 24 côté israélien. Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, estime que l'élimination de l'ayatollah Khamenei pourrait mettre fin au conflit. Ce dernier, qui dure depuis 46 ans, a été marqué par des opérations secrètes et la prise d'otages de 1979. Trump, de plus en plus menaçant, affirme savoir où se cache Khamenei, mais ne prévoit pas de l'éliminer pour le moment. Emmanuel Macron, resté au G7, craint les répercussions de la situation.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Donald Trump a quitté précipitamment le G7 au Canada pour se concentrer sur le dossier iranien, alors que les tensions entre Israël et l'Iran s'intensifient. Les frappes ont déjà causé plus de 225 morts côté iranien et 24 côté israélien. Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, estime que l'élimination de l'ayatollah Khamenei pourrait mettre fin au conflit. Ce dernier, qui dure depuis 46 ans, a été marqué par des opérations secrètes et la prise d'otages de 1979. Trump, de plus en plus menaçant, affirme savoir où se cache Khamenei, mais ne prévoit pas de l'éliminer pour le moment. Emmanuel Macron, resté au G7, craint les répercussions de la situation.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 16 juin 2025 : Guerre Israël-IranL'escalade se poursuit entre Israël et l'Iran. Tandis que l'armée israélienne affirme avoir détruit "un tiers" des lanceurs de missiles sol-sol iraniens et que ses frappes ont fait plus de 200 morts depuis vendredi, les missiles balistiques iraniens ont, dans le même temps, fait au moins 24 morts en Israël. Alors que chef du renseignement iranien a été tué ce week-end, le régime des mollah tente, de se protéger des ennemis de l'intérieur. La justice iranienne a annoncé avoir pendu lundi un homme arrêté en 2023 et reconnu coupable d'être un agent du Mossad. Pendant ce temps, la communauté internationale observe avec inquiétude ce nouveau conflit. L'Iran a demandé à ce que les Européens condamnent les attaques israéliennes. Donald Trump, lui, a appelé dimanche Vladimir Poutine pour aborder le sujet. C'est lors de cette conversation que le président russe s'est porté volontaire pour jouer le rôle de médiateur. Une proposition qui ne convient évidemment pas aux Européens : "La Russie n'a aucune crédibilité. (…) La Russie viole en permanence le droit international", a estimé le porte-parole de la Commission européenne, Anouar El Anouni.C'est dans ce contexte brûlant et hautement indécis que les Européens se retrouvent en Alberta (Canada) dès cet après-midi, et pour trois jours, pour le sommet du G7. Donald Trump sera attendu de pied ferme par ses homologues européens et canadien après des mois de guerre commerciale. Mais les discussions seront forcément perturbées par le nouveau conflit en Iran. Le président américain joue un jeu trouble, jugeant à la fois l'opération israélienne "excellente", tout en appelant l'Iran à conclure un accord avec lui sur le nucléaire "avant qu'il ne reste plus rien". Donald Trump a-t-il autorisé Israël a frappé ? Là encore, le doute subsiste. Le président américain était au courant des plans d'Israël, mais avait publiquement appelé les Israéliens à la retenue sous peine de "tout faire capoter". L'opération israélienne pourrait lui permettre de contraindre l'Iran à accepter un accord, même si l'Iran ne semble pour l'instant pas prête à négocier.Alors que les missiles israéliens pleuvent sur l'Iran, touchant même un hôpital dans l'ouest du pays, la famille de Cécile Kohler, otage française emprisonnée depuis plus de trois ans dans la prison d'Evin avec son compagnon Jacques Paris, craint le pire. "C'est un cauchemar depuis plus de trois ans. Et là, en deux jours, l'horreur et la terreur ont augmenté brutalement de plusieurs crans", a réagi Noémie Kohler, sœur de l'otage au micro de RTL. Face à cette situation, Emmanuel Macron s'est entretenu samedi avec son homologue iranien Massoud Pezeshkian : "Mon premier message a été d'exiger la libération immédiate de nos compatriotes Cécile Kohler et Jacques Paris", a-t-il ensuite écrit sur X. Noémie Kohler s'est félicité de l'engagement de l'Élysée sur le dossier mais craint désormais que la prison soit touchée par les bombardements. Selon elle, une frappe israélienne est récemment tombée à 2 kilomètres d'Evin.Jusqu'où peut aller l'escalade du conflit en Israël et l'Iran ? Que cherche vraiment Donald Trump à travers ses déclarations ? Et que vont devenir les deux otages français dans une Iran désormais en guerre ?LES EXPERTS :- Dominique MOÏSI - Géopolitologue - Conseiller spécial de l'Institut Montaigne- Peer DE JONG - Ancien colonel, spécialiste de géopolitique, vice-président de l'institut Thémis, auteur de Poutine, lord of war (éditions Mareuil)- Meriem AMELLAL - Journaliste spécialiste du Moyen-Orient - France 24- Alexandra SCHWARTZBROD - Directrice adjointe de la rédaction - Libération
C dans l'air du 16 juin 2025 : Guerre Israël-IranLES EXPERTS :- Dominique MOÏSI - Géopolitologue - Conseiller spécial de l'Institut Montaigne- Peer DE JONG - Ancien colonel, spécialiste de géopolitique, vice-président de l'institut Thémis, auteur de Poutine, lord of war (éditions Mareuil)- Meriem AMELLAL - Journaliste spécialiste du Moyen-Orient - France 24- Alexandra SCHWARTZBROD - Directrice adjointe de la rédaction - Libération
C dans l'air du 14 juin 2025 - Conflit Israël - Iran : un revers pour Trump ?LES EXPERTS :Vincent HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste les enjeux internationauxPatricia ALLÉMONIÈRE - Grand reporter, spécialiste des questions internationalesANNE TOULOUSE - Journaliste franco-américaineNICOLAS TENZER – Essayiste, spécialiste des relations internationales
C dans l'air du 14 juin 2025 - Conflit Israël - Iran : un revers pour Trump ?Il appelle l'Iran à « conclure un accord » sur son programme nucléaire « avant qu'il ne reste plus rien ». Donald Trump, en pleines négociations avec Téhéran, réagit prudemment aux récentes frappes israéliennes. La Maison-blanche parle d'« une action unilatérale » de l'Etat hébreu, et rappelle que les Etats-Unis n'étaient « pas impliqués » dans ces attaques.La réplique iranienne ne s'est en tout cas pas fait attendre, avec plusieurs missiles lancés sur Israël, causant des dégâts à Tel-Aviv. Mais cette guerre durera le temps qu'il faut a annoncé Benyamin Netanyahu, qui se félicite d'une « action nécessaire face à une menace existentielle ».De son côté, la communauté internationale joue à l'équilibriste. Si plusieurs leaders comme Macron soutiennent le « droit » de l'Etat hébreu « à se défendre », ils en appellent à la retenue et à la diplomatie.L'Amérique de Trump se retrouve donc face à une nouvelle guerre. Le président américain se voulait pourtant faiseur de paix, et promettait déjà de régler au plus vite deux autres conflits : celui en Ukraine, et celui à Gaza.Pendant ce temps, aux Etats-Unis, la colère monte chez les anti-Trump. Dans un contexte d'émeutes à Los Angeles, ils sont rassemblés dans des centaines de villes ce samedi. Ils protesteront contre les expulsions massives d'immigrés clandestins, mais aussi contre le coûteux défilé militaire qui a lieu aujourd'hui à Washington pour le 250è anniversaire de l'armée... et le 79è du président américain. Face à la contestation, Trump semble reculer sur certains points : il vient notamment de suspendre les raids contre les immigrés dans l'agriculture et l'hôtellerie.Alors, jusqu'où ira le conflit Israël – Iran ? S'agit-il d'un revers pour le président américain ? Trump est-il contraint de reculer sur sa politique anti-immigration ?LES EXPERTS :Vincent HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste les enjeux internationauxPatricia ALLÉMONIÈRE - Grand reporter, spécialiste des questions internationalesANNE TOULOUSE - Journaliste franco-américaineNICOLAS TENZER – Essayiste, spécialiste des relations internationales
Stéphane Bern raconte, à la veille de la visite d'État du président Macron sur le rocher, la crise diplomatique qui, en 1962, a opposé le Prince Rainier III au général De Gaulle dans un bras de fer qui a failli bien remettre en cause les liens historiques entre la France et la principauté… À quand remontent les toutes premières tensions qui opposent la France à Monaco ? Quelles ont été les conséquences de ce conflit ? Pourquoi la principauté de Monaco n'est-elle jamais devenue totalement indépendante ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Pierre Fabry, historien et auteur de "Histoire de Monaco" (Passés Composés). Au Cœur de l'Histoire est réalisée par Guillaume Vassseau. Rédaction en chef : Benjamin Delsol. Auteur du récit : Eloi Audoin-Rouzeau. Journaliste : Clara Leger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.