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Aujourd'hui dans cet épisode on va tenter de contrer la morosité qui s'associe au mois de novembre et au début de l'automne/ hiver avec quelques uns de mes conseils de bonne copine pour pas rester enfermés chez soi et déprimer parce que c'est pas ce qu'on veut ! Et cet épisode est en collaboration avec Avay & May, une marque de produits parfumés pour la maison made in Europe et qui sent vraiment incroyablement bon (pour de vrai de vrai, vous écouterez dans le podcast de toute façon j'en fais l'éloge, j'ai jamais senti de bougie qui embaumait autant mon appartement, je dis OUIIII) et pour vous faire plaisir à l'approche de Noël ils vous offrent une remise de -25€ avec mon code TYCIA sur le calendrier de l'avent qui est absolument ouf ce qui vous le fait à 104€ au lieu de 129€ ! Sachant qu'il a une valeur de plus de 250€ donc autant vous dire que si vous voulez votre stock de senteur pour l'année pour toute la maison, c'est le moment !Le lien vers le calendrier de l'avent Ava & May (et les autres produits de la marque) : https://world.ava-may.com/SVlgwiLe code a utiliser pour la promo est TYCIA. Je vous le présente un peu plus en détails en story ce lundi 6 novembre sur @tyciadchannel sur Instagram ! Que du love Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Hevkarê me Mevlüt Oğuz, bi beşa nû ya Derkenar ê de bi kurtî behsa Rojava û behsa dîrokçeya xebatên nivîskarî û weşangeriyê li Rojava kiriye û dûvre jî bi nivîskar û xwediyê Weşanxaneya AVAyê Şêrzad Besrawî re, li ser rewşa dawî ya weşangerî û nivîskariya li Rojava axivîye.
In Creating Magic in Trial, Randi McGinn gives you research ideas on how to create the illusion of pulling a rabbit out of your hat during trial.
In Connecting with the Jury, Nicholas Rowley shows you how Nick approaches cases and how you can use his methods to achieve outstanding results for your own clients.
In this recorded webinar, Patrick Malone introduces medical negligence attorneys to the core concepts from the Rules of the Road method that can improve every plaintiff's chances of winning these difficult cases.
In Jury Selection and Psychology, Lisa Blue reveals how you can prompt jurors to open up and talk honestly about their values during voir dire.
In Eric Olivers new series, The Persuaison Edge, he teaches you how to connect to the jury physically using mirroring and rapport.
Moe Levine talks about some of his case experiences.
Moe Levine talks about some of his case experiences.
David Markowitz reveals, there are three general skill sets you must develop to become a more successful advocate: carefully selecting what you will say, organizing your presentation, and delivering it effectively.
Patrick Malone gives advice from his new book Winning Medical Malpractice Cases.
In this podcast adapted from his new book, Patrick Malone introduces some key strategies for winning medical malpractice lawsuits.
Jim Perdue shows you how to craft a story with a strong beginning, memorable scenes, believable characters, a logical plot, vivid action, and a moving conclusion.
This video teaches your injured clients about the tricks played by defense doctors in their efforts to call into question your clients honesty, prevent them from obtaining the treatment they need, and destroy their insurance claim.
In this never before available video, Moe Levine give a fictional summation to the audience.
Moe Levine use a set of facts about an aspiring young actress injured in a car crash to ask for damages in this excerpt from the classic AAJ Education video series.
In this AAJ Education video series excerpt from Commanding the Courtroom, featuring AAJ trial masters Greg Cusimano and Jim Lees, share a couple secrets of running focus groups.
Aaron DeShaw describes what the Colossus program is and how it works, in this informative excerpt.
David Ball introduces the third edition of his Damages 3 audiobook.
In this excerpt, Eric Oliver discusses and demonstrates with audience members cutting edge principles for how all legal decision makers reach judgments and what you can do to influence their decision making process.
David A. Wenner explains how to identify the jury bias issues that you face and prepare your trial story accordingly.
Listen to the authors of Trial In Action discuss the art of psychodrama and its application to the practice of law on the Legal Talk Network
This lecture by Rick Friedman and Don Bauermeister focuses on why we should or should not take cases, the comparison disease, competition among trial lawyers, and identifying and improving your own strengths and weaknesses.
Dr. Michael Freeman explains how occupants can be injured in crashes with little or no vehicle damage. He discusses how to strike defense witnesses who rely upon junk science as the basis for their testimony.
In Deposition Techniques, David Markowitz shares with you important goals to accomplish, avoiding undesired results, question structure, how to deal with evasive and incomplete answers, defend depositions, and effectively use depositions at trial.
Une fois de plus, le rav Dynovisz va prendre des risques. Mais que voulez vous, on ne peut pas tenir un discours de combattant sans être sur le front de ses idées et idéaux. Et les planqués ne sont pas les bienvenus. Il faut que la vérité éclate enfin et comme dit l’adage, on ne fait d’omelettes sans casser des œufs ! Et le chef étoilé, rav Dynovisz va nous préparer dans ce cours qui n’est qu’une initiation, une omelette géante comme nous ne l’avons jamais goûté. Il est évident qu’après ce cours, certains d’entre nous diront : c’est vrai, c’est tellement évident, c’est si puissant. Sachons apprécier la force de l’analyse. Et oui, il fallait le dire et surtout, oser le dire ! Le Chem (nom représentant une certaine manifestation de D.) Elokim représente la dimension féminine et le Chem Avayé(nom représentant une certaine manifestation de D.) la dimension masculine. La dimension féminine te demande de respecter la stricte loi alors que la dimension masculine va au delà de l’acte et demande à l’homme de faire tout pour se surpasser. Le service Divin à l’intérieur des règles de la nature est extrêmement sécurisant. Le meilleur exemple est la montée en Israël. Sommes nous prêt à faire confiance à Avayé lors de l’Alya ou préférons nous servir Elokim en dehors de la terre dans un service plus tranquille mais illusoire. C’est Dur l’Alya et nous avons tous de bonnes raisons de préférer vivre dans le rêve : un jour, peut être mais ce n’est pas le moment. Et tout celui qui vit ainsi est attaché uniquement à la dimension féminine de D. C’est la mère qui console et non le père. Et le véritable soldat se bat contre lui-même et non contre les autres. Toutes les religions se décomposent en 2 grands modèles, celui qui voit en D. celui qui rassure, qui pardonne, le D. de la pitié et celui qui voit en D. la force et la victoire. Les modèles sont clairs, D. d’amour ou D. de guerre. Et ces 2 modèles ont bien évidemment un nom, à savoir le christianisme et l‘Islam (Alah Oukbar). Et suivant la religion, la place de la femme sera totalement différente. D’un coté, la femme se cache sous un voile (la femme n’a plus sa place) et de l’autre, la femme fait un enfant sans homme (l’homme n’a plus sa place). Le christianisme s’enracine uniquement dans la dimension Elokim et l’Islam s’enracine dans la dimension Avayé. Dans le monde chrétien, l’homme véritable, le symbole, le prêtre ne se marie pas (il a peur de la femme) et dans le monde de l’Islam, l’homme a plusieurs femmes (il soumet la femme). Il n’y a rien de péjoratif dans les propos du rav, il ne fait que constater à haute voix, une évidence tellement forte. Encore fallait il la déceler et savoir la présenter et surtout avoir le courage de l’affirmer. Il ne peut avoir de religion vraie sans une union entre Avayé et Elokim comme il ne peut exister d’enfant sans l’union entre un homme et une femme. Mais où doit se placer en théorie la Torah ? Il y a effectivement la dimension masculine en D. (force, combattant,…) et il y a aussi la dimension féminine (consolateur, pitié,…). Avayé Hou Aelokim !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! C’est la dimension du D. UN que nous devons retrouver. Cette phrase prononcée à Kippour est dite parce que nos fautes ont à priori disparu. C’est un très haut niveau. Et toutes les religions célibataires sont nées avec la faute d’Adam Arichone. A notre niveau, notre approche de D. peut ressembler soit à l’Islam soit au Christianisme. L’idolâtrie biblique est soit la dimension féminine soit la dimension masculine, elle est un service Divin incomplet. Et nous remarquons que l’idolâtrie dont parle toujours la Torah est l’idolâtrie féminine. La faute d’Israël est de chercher chez D. la dimension féminine et force est de remarquer l’attirance et la fascination de notre peuple vis-à-vis de l’occident. Et pourtant, nous n’avons jamais été attiré par les valeurs de l’Islam. Les idoles sont appelés dans la Torah Elokim Ahérim (autre D. , Autre Elokim). Mais comment, demande la Guémara, peut on donner un tel nom à l’idolâtrie ? Question très forte !!! La Torah veut nous faire comprendre l’origine de l’idolâtrie car la cause profonde est que l’homme ne cherche qu’un D. tranquille et non un D. de guerre. Autrement dit, un juif qui sert D. dans la tranquillité et le confort ne sert qu’Elokim et fait entrer en lui la source de l’idolâtrie. Le judaïsme sécurisant est le premier pas…vers l’idolâtrie. A force de s’installer dans un confort, l’homme perd sa relation avec la dimension masculine de D. et petit à petit, il va virer vers la dimension féminine de D. Il ne voit plus la dimension forte, il ne se dépasse plus, il n’a plus de père et il ne voit en D. que le bon D., celui qui sauve et quand tout va mal, il appelle sa maman ! Maman et mon D. se sont rejoint. On appelle D. que quand on a besoin de lui. Mais l’homme a besoin malgré tout d’un modèle fort ! Et qui va jouer le rôle du fort ? Béalim Véachtérot (les patrons et les riches) sont les noms de D. Et voila les modèles masculins : la force, la puissance et la richesse. On vénère les hommes qui ont le pouvoir de l’argent, les stars, ceux qui font le monde (ou croient le faire) ! Et comme par hasard, c’est le monde Chrétien qui a produit la puissance matérielle et pourtant, sa matrice est le D. féminin. La Nature a horreur du vide. Le modèle religieux passe par une…vierge. Mais où est le modèle fort ? Dans les banques et dans le pouvoir. …Wall Street ! La religion du tout amour a engendré la laïcité car elle est la réponse à un manque (ou est mon modèle de force ?). La révolution française a redonné le pouvoir à l’homme et est l’enfant légitime de la chrétienté. Tout a commencé chez nous ! Nous avons créé les premiers ce modèle du D. sauveur (quand ça va mal, on se retourne vers D. et quand tout va bien, on se tourne vers les puissants de ce monde). Voila tout le secret de l’idolâtrie d’Israël. Revenons maintenant à Iftah qui débarque dans une génération ou D. est devenu, à leurs yeux, une véritable maman. Guilad est une région qui était au départ la terre du roi Sihon et une partie d’Israël vit dans cette région. Le peuple d’Amon attaque sans arrêt les juifs qui y vivent en leur disant que ce n’est pas leur terre et il leur propose la Paix contre les territoires. No Comment !!! Le père d’Iftah s’appelait Guilad et sa mère était une prostitué (et la relation s’est faite hors mariage). Mais Guilad avait aussi une autre femme et de nombreux enfants. Chez nous, l’héritage va d’après la paternité et non d’après les lois du mariage. Mais ils vont chasser Guilad et se partager les biens du père. Cet enfant commence très mal dans la vie (père alcoolique et adultère, mère prostituée, mauvaise réputation). Iftah ira voir les juges de la ville qui le rejetteront. Iftah va quitter la ville et deviendra le chef d’une bande de voyou. Mais vous allez voir que cet enfant, contrairement à certains qui se servent du fait d’être mal né pour parasiter l’humanité, va sublimer ses épreuves.
La Torah n’est pas la pour nous raconter des histoires mais est porteuse d’enseignements. Sur 1000 ans d’histoire, nous ne connaissons qu’une vingtaine de prophètes et pourtant, il en a existé plusieurs milliers. Seuls les prophéties qui sont éternelles, seules les messages qui parlent à toutes les générations sont présentés par la Torah. L’histoire juive ne fonctionne pas comme les autres histoires. Quand Israël cherche à se rapprocher d’un peuple et de ses valeurs, celui-ci devient son ennemi. Et ce phénomène est tellement surnaturel et fréquent que nous devons apprendre, nous sommes forcés de tirer des leçons. Le territoire de Yéhouda, Béniamine et d’Ephraim est attaqué par ses ennemis et Israël, oppressé, va se retourner vers D. Et D. de leur répondre : Jusqu’à quand ce manège va-t-il se répéter ?...Cette fois ci, c’est fini, je ne me laisserais pas avoir ! Allez maintenant appeler les dieux que vous avez choisi afin qu’ils vous aident ! Israël va répondre : nous avons fauté, c’est vrai mais faisons un dernier essai ! D. va-t-il ‘se laisser faire’ une fois de plus ? Et oui, d’autant que le peuple va enlever tous les dieux étrangers qui étaient parmi eux et va se remettre à servir D. Le Maître du monde a ‘craqué’ de nouveau devant la souffrance d’Israël. Il semble que le Créateur plonge à chaque fois dans le système. Pourtant, c’est la première fois que D. réagit ainsi en disant au peuple Juif qu’il les abandonne et refuse de les aider. Et bien sur, Israël ne changera pas. Et D. va nous mettre entre les mains des philistins durant 40 ans. Mais pourquoi notre histoire se passe toujours sur un champ de bataille avec le Maître du monde? Pourquoi la Torah nous parle toujours de D. quand nous en avons besoin pour faire la guerre ? Pourquoi ne pas nous parler des moments de paix ? Quel est le message caché ? Iftah sera le premier juge qui sera confronté à ce dilemme : la paix en échange des territoires ! Ça vous rappelle quelque chose ? La Torah veut mettre en évidence que la relation profonde entre D. et Israël est une relation ou D. se présente comme un combattant. Et les générations qui vivent dans la paix et le confort vont jusqu’à oublier D. car la relation se limite à un échange religieux parsemé de prières et de service Divin. Mais alors, pour avoir une vraie relation avec D., faut-il fauter ? Pour nous connecter au Maître du monde, devons nous tomber systématiquement dans les travers de la faute? En réalité, il y a une chose malsaine dans l’installation. Il semble qu’il faille vivre dans la tension. Et Rachi de préciser qu’Israël ne se révolte contre D. que quand il….est rassasié. Mais comment Rachi peut il dire cela ? Lorsque tout va bien, nous perdons notre connexion avec D. . Quand tout va mal les hommes ne quittent D. que parce qu’ils ont l’impression que D. les a abandonné. La nuance est de taille ! Voila le message du Grand Rachi ! Israël ne fait jamais la guerre pour attaquer ou pour se venger mais uniquement pour se défendre (hagana) ! Existe-t-il dans l’histoire du monde et des nations un peuple capable de ne pas répondre aux attaques de ses anciens ‘amis ? Israël se défend mais ne se venge pas ! Quel Peuple ! Unique au monde ! Le champ de bataille du peuple juif est à l’intérieur de lui-même. Israël doit vivre une guerre intérieure avec ce mal qui l’habite et le combat extérieur n’est la que pour nous rappeler notre vocation, être des soldats de D. contre nous même, pour le bien absolu ! Chez nous, la guerre sainte se fait inspiré du livre saint à la main et sur le cœur. Nos combats sont vers nous pour nous bonifier. Nous sommes combatif à l’égard de notre mauvais penchant et défensif vis-à-vis de nos ennemis. Israël, tu es beau, Israël, tu es un peuple exceptionnel et c’est pour cela que D. est tant attaché à nous malgré tous nos défauts !!! Pourquoi dit on que les yeux de D. (Avayé et non Elokim) sont posés constamment sur la terre d’Israël ? La réponse est dans la question : Il y a 2 niveaux dans le service Divin, un selon les limites de la nature (Elokim) et un autre au dessus des limites du monde et de sa propre nature (Avayé). C’est pourquoi une lutte permanente nous est demandée ! Dans la mesure où nous devons vivre au delà de la nature, nous devons nous dépasser constamment et c’est donc….un combat énorme ! Nous ne parlons bien évidemment pas de nous dépasser par rapport à la faute. C’est tellement évident ! Nous parlons de nous lier à Avayé, c´est-à-dire de nous battre constamment pour vivre en étant une élite. Et ceci est valable uniquement pour le peuple juif en terre d’Israël. En dehors de la terre d’Israël, Dina Démalkhouta Dina (les limites de l’exil sont à respecter, nous devons composer avec les limites du pays dans lequel nous vivons si elles ne contredisant pas la Torah bien sur), un juif peut respecter la Torah à l’intérieur des limites de la nature. En Israël, nous devons vivre constamment au delà des limites. C’est le prix de l’élection sur la terre! Nous devons être plus fort que les contraintes de ce monde ! Et seul un héros peut arriver à ce niveau. Toute l’histoire d’Israël passe par cette notion. La seule relation véritable avec D. est à l’intérieur d’un combat permanent avec nos limites et les limites du monde. Et comme…par hasard, ce sont les territoires AU DELÀ du Jourdain qui seront revendiqués. Et pourquoi, au niveau des territoires, est le ‘au delà’ qui nous est demandé ?
William Barton, author of Recovering for Psychological Injuries, explains a few of his methods for direct examination.
In this clip, William Barton, author of the best selling book Recovering for Psychological Injuries, third edtion, describes his ideas on jury selection and psychology.
Pour vivre pendant 500 ans sans pouvoir concret et réel, cela suppose que le peuple Juif se trouvait à un niveau extrêmement élevé. Une des périodes les plus extraordinaires de notre histoire fut la période des juges. La Torah est un champ de mine pour ceux qui ne savent pas la lire et pour ceux qui ne possèdent pas les clefs. Ceux qui ont en une mauvaise lecture ou une lecture mal intentionné pourraient s’imaginer que le peuple élu a été abandonné au profit…d’autres peuples bien meilleurs. En réalité, nous payons le prix de l’élection. Nous avons accepté de vivre sous le regard intransigeant de D. qui exige beaucoup car il sait la grandeur de notre peuple. Imaginez, 500 ans de guerre pour un peuple sans Temple, sans pouvoir ni capitale et pourtant, le peuple d’Israël a traversé l’histoire en tenant la première place dans le monde. Verset 8 chapitre 2 : De même toute la génération qui connut Yéochoua a rejoint ses pères. Il se lève alors une nouvelle génération qui ne connaissait pas (qui n’avait pas expérimenté la relation avec) D. Avayé car ils sont nés après toutes les actions qu’a fait D. pour Israël. Comment pouvait il ne pas connaître D. ? N’étaient ils as eux même des élèves de la grande génération qui les a précédés ? En réalité, ils ne connaissaient pas le D. présent, acteur sur le terrain de l’histoire. Et Israël a commencé à s’engraisser (tout allait trop bien) et faire le mal aux yeux de D.(ils ont commencé à voir D. comme une histoire céleste en rendant D. une religion en le faisant sortir de l’histoire et en le laissant à la synagogue).Et ils ont servi les Béalim( ce nom va nous permettre de comprendre pourquoi Israël est devenu ‘idolâtre’). Baal est le patron, celui qui a le pouvoir. Israël a commencé à servir ceux qui dirigent et non plus CELUI QUI DIRIGE). Quand tout va bien, on en arrive facilement à en oublier qu’il y a un patron en haut et on se met à devenir dépendant des autres (patron, banquier, docteur, avocat, expert comptable,…bref il est facile de penser que tout ne dépend que de notre action ici bas). Ils ont abandonné D., le D. de leur père, le D. qui les a fait sortir d’Egypte (ils n’arrivaient plus à s’unir à un D. dont l’identité historique leur est étrangère) et ils ont servis d’autres D. (des peuples qui se trouvaient autour d’eux, ils se soumis aux patrons de la génération, ils étaient plus attachés au ‘dieu dollar’). Mais malgré ce vécu, la survie d’Israël est le garant de notre attachement à D. et de son attachement au peule d’Israel. Ils ont servis Baal (les patrons) et Achtérots (ceux qui donnent la richesse), le pouvoir de l’argent, ils se sont concentrés sur le business pour prospérer et réussir. Bref, ils ont suivi le cours naturel de l’existence mais ça a déplu fortement à D. qui les livrera dans les mains de persécuteurs (nos ennemis nous sont envoyés par D. pour nous redresser). Et il est écrit juste après que D. a vendu Israël dans les mains de ses ennemis. Il y a 2 aspects dans la réaction Divine, le donner et le vendu. Quand je donne, mon souci c’est l’autre et quand je vends, mon souci, c’est moi. Parfois, une génération faute et c’est l’autre qui reçoit. Il y a 2 temps, parfois D. donne sans voir le retour et parfois, il vend sans voir le bénéfice. Or, ces moments ne sont pas liés dans l’histoire. Et la suite au prochain épisode.
Robert Hall, noted wrongful death attorney and author of Grief and Loss: Identifying and Proving Damages in Wrongful Death Cases, comes a rare and special learning tool: a recording of a wrongful death summation delivered by Hall himself.
When we heard of another recent $90 million tobacco verdict that Eric Oliver (author of Persuasive Communication: Twenty-five Years of Teaching Lawyers and Facts Can't Speak for Themselves) consulted on, we decided to talk to him and find out how he keeps helping attorneys win. We invite you to listen in on our conversation and take a few pointers home from this free exchange of ideas.
In this clip, Rick Friedman, author of best selling books Rules of the Road and Polarizing the Case, explains how if we look at every part of the case-the good, the bad, and the ugly-we will come out on top.
Dr. Aaron DeShaw Esq. takes a detailed look into how cutting edge MRI imaging and how what seems like a simple neck injury can lead to symptoms as severe as blindness and death.
David Ball interviews Kentucky's Gary C. Johnson regarding his inspiring story of how he prevailed in a nearly impossible case.
In this video clip, Paul Luvera shares his unique wisdom and techniques on discovery and trial preparation, jury selection, opening statements, capturing jury interest in direct examination, cross examination, and closing statements.
In this video clip, Rick Friedman, one of America's leading trial lawyers, provides you with the keys to winning trials in a time of overwhelming jury bias.
David Ball along with Debra Miller and Artemis Malekpour show you how easy it is to run a successful focus group.
Listen to this 1966 recording of the legendary trial lawyer.
Don C. Keenan talks about his latest audiobook.
David Ball sets the scene for the case nobody thought was worth trying. Except Gary C. Johnson, that is.
Rick Friedman gives an overview of his winning ways.
Eric Oliver talks about the main topics in his book.