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durée : 00:11:47 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Trente ans après l'assassinat d'Yitzhak Rabin, la figure du Premier ministre israélien continue de hanter la vie politique du pays. Aujourd'hui, alors doivent se tenir des élections législatives en 2026, l'héritage de Rabin interroge : la voie qu'il a ouverte est-elle encore praticable ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Michael Darmon journaliste, essayiste, éditorialiste
durée : 00:05:07 - Journal de 10h - Il annonce briguer un nouveau mandat, mais la guerre à Gaza l'a politiquement affaibli.
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durée : 00:17:13 - L'invité de 8h20 - par : Ali Baddou, Marion L'hour - Wajdi Mouawad, auteur, comédien, dramaturge et Directeur du Théâtre National de la Colline, pour son livre "Jusqu'au bord de son ravin. Les verbes de l'écriture" (Seuil). - invités : Wajdi Mouawad - Wajdi Mouawad : Auteur, metteur en scène, comédien et directeur du théâtre national de la Colline Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C'est un article du Monde intitulé : « Le choc des Palestiniens renvoyés à Gaza après leur libération. » « Les centaines de Palestiniens relâchés dans le cadre de la première phase de l'accord Trump », précise le quotidien français, « ont découvert l'ampleur des destructions infligées à l'enclave côtière. Certains d'entre eux, croyant retrouver leurs proches, ont appris leur mort sous les bombardements ». Le Monde a ainsi pu joindre Haitham Salem, « qui se faisait une joie de retrouver son épouse et leurs trois enfants à Gaza (…) Mais à la descente du bus ramenant les prisonniers dans l'enclave, lundi dernier, Haitham a découvert que tous les quatre ont été tués le 9 septembre, dans un bombardement israélien. » « Vendredi », poursuit le Monde, « sa fille Layane aurait fêté ses deux ans. Il lui avait confectionné en prison un bracelet avec des morceaux de pain séché ». À lire aussiCessez-le-feu à Gaza: entre joie et déception, le retour de 88 détenus palestiniens à Ramallah Aspergés de gaz Également libéré, Anis Barhouma, 30 ans. « Au bout du fil », raconte le quotidien français, « sa voix chevrotante fait penser à celle d'une personne âgée. » Anis Barhouma parle de ses geôliers. « Ils nous disaient : « il n'y a plus de Gaza, c'est terminé. On a exterminé tout le monde. Ça nous terrorisait, on n'en dormait pas de la nuit ». Il raconte aussi les sévices : « ils se sont acharnés sur nous. Ils nous ont aspergés de gaz, même les vieux, puis ils nous ont laissé menottés au sol pendant des heures ». À lire aussiGaza: faim, entrave, torture... les otages du Hamas racontent leurs terribles conditions de détention Trente ans de prison À la Une également, l'épilogue provisoire, car un appel est en cours, d'un fait divers qui a passionné la France. Hier, Cédric Jubillar, accusé d'avoir tué son épouse en décembre 2020, a été condamné à 30 ans de prison. Pourtant, il n'a jamais avoué, et le corps de Delphine, sa femme, n'a jamais été retrouvé. Mais tout ou presque le désignait coupable. « Delphine », titre le Parisien, « l'histoire d'une disparition désormais reconnue comme un féminicide ». Maître Laurent de Caunes, avocat de l'un des frères de Delphine, exprime « le sentiment du devoir accompli », « Delphine est morte », dit-il, « c'est un drame, la condamnation de son meurtrier ne suscite aucune satisfaction, mais c'est l'ordre naturel des choses. Il a commis un crime, il faut qu'il le paie ». À lire aussiFrance: Cédric Jubillar condamné à 30 ans de réclusion pour le meurtre de son épouse Le Monde, de son côté, remarque « que la main de la cour et des jurés n'a pas tremblé ». « Ce verdict », ajoute le quotidien, dit « qu'au terme de quatre semaines de débats, une majorité d'au moins sept voix – sur les six jurés citoyens et les trois magistrats professionnels composant la cour - a considéré que l'affaire Jubillar n'était qu'un tragique, mais ordinaire meurtre conjugal de plus. Et qu'un faisceau d'indices peut constituer une preuve suffisante ». Une affaire qui n'est toutefois pas totalement close, car l'accusé a fait appel de son jugement. Deux millions d'emplois menacés « Un projet de loi américain sur les centres d'appels menace le boom de l'externalisation aux Philippines », nous apprend le South China Morning Post, selon lequel « près de 2 millions d'emplois philippins sont en jeu ». En effet, précise le quotidien anglophone, « les législateurs américains ont dévoilé en juillet un projet de loi (…) destiné à dissuader les entreprises américaines de délocaliser leurs activités de dépannage des clients ». Ainsi, « les entreprises américaines disposant de centres d'appels à l'étranger ne pourront plus bénéficier de subventions fédérales. » Toutefois, selon l'ambassadeur des Philippines à Washington, José Manuel Romualdez, « Manille travaille dur avec ses amis du Congrès américain pour exempter les Philippines des restrictions ». Mince espoir, donc, pour les Philippins qui travaillent dans les centres d'appel et dont la tâche est aussi menacée par l'intelligence artificielle. Autant dire que nombre d'entre eux sont assis sur un siège éjectable.
Les corps de plusieurs otages ont été restitués aujourd’hui — un épisode à la fois tragique et symbolique, dans un contexte de cessez-le-feu fragile. Le docteur Éric Setton, ancien commandant de l’unité 669, revient sur la complexité de ces opérations de restitution et sur ce qu’elles révèlent de la situation actuelle. See omnystudio.com/listener for privacy information.
C'était une journée historique pour le proche orient, une journée que n'attendaient peut être plus les proches des otages enlevés par le Hamas il y a plus de deux ans. Mais ce lundi, les vingt captifs encore en vie ont retrouvé leurs familles. Un retour obtenu en échange de la libération de plus de 1 900 prisonniers palestiniens. La journée aura aussi vu le président américain, Donald Trump, s'exprimer devant le parlement de l'Etat hébreu avant de filer en Egypte signer des accords de paix. A quoi ressemblait cette journée vue de l'intérieur ? Que sait-on des contours encore trop flous du plan de paix? Cécile Lemoine est notre correspondante à Jérusalem, on l'a appelée pour qu'elle nous raconte.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs La première phase de l'accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas a été respectée. Vingt otages israéliens vivants et quatre corps ont été rapatriés lundi 13 octobre de la bande de Gaza vers Israël. En échange, 1 968 prisonniers palestiniens ont été libérés, dont au moins 154 ont été forcés à l'exil. Un article de Gwenaelle Lenoir et Clothilde Mraffko, publié le 13 octobre 2025, lu par Jérémy Zylberberg. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Er is vreugde over de vrijlating van de Palestijnse en Israëlische gijzelaars; is een vrede in Gaza dan echt aanstaande? Maar aan de andere kant is er nog altijd het leed onder de Gazanen. Hoe ga je hier in de verslaggeving mee om? 'Het is een worsteling waar je als media mee zit', omschrijft Sofyan El Bouchtili (onderzoeksjournalist bij Investico) het. 'Wat ik positief vind, is dat het leed van Palestijnse en Israëlische gijzelaars niet tegenover elkaar wordt gezet, maar dat hun lot verbonden is.' Ook Arjen Fortuin (journalist bij NRC) ziet de dilemma's in de media. 'De vrijlating van de gijzelaars en gevangenen is belangrijk. Het is haast onvermijdelijk als je het goed wil laten zien, de genocide even uit beeld verdwijnt', aldus Fortuin. 'Dat is altijd naar en tragisch. Aan de andere kant hoop ik dat we dit niet zien als een afsluiting van het verhaal, maar verder kijken naar het bredere plaatje.'
C'était une journée historique pour le proche orient, une journée que n'attendaient peut être plus les proches des otages enlevés par le Hamas il y a plus de deux ans. Mais ce lundi, les vingt captifs encore en vie ont retrouvé leurs familles. Un retour obtenu en échange de la libération de plus de 1 900 prisonniers palestiniens. La journée aura aussi vu le président américain, Donald Trump, s'exprimer devant le parlement de l'Etat hébreu avant de filer en Egypte signer des accords de paix. A quoi ressemblait cette journée vue de l'intérieur ? Que sait-on des contours encore trop flous du plan de paix? Cécile Lemoine est notre correspondante à Jérusalem, on l'a appelée pour qu'elle nous raconte.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Vandaag heeft Hamas 20 Israëlische gijzelaars vrijgelaten in ruil voor bijna 2000 Palestijnen die vastzaten in Israëlische gevangenissen. Waarom is dat verschil in aantallen zo groot? Dat zoekt Dennis voor je uit.
Chaque jour, entre 9h et 10h, retrouvez Pascal Praud dans L'Heure des Pros en direct sur CNews et Europe 1. Ce lundi, il revient sur la libérations des otages israéliens détenus depouis 737 jours à Gaza et sur l'accueil en héros de Donald Trump. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le sort des otages a dominé la vie politique des deux dernières années en Israël. Les 20 derniers d'entre eux ont été libérés ce lundi, après 738 jours de captivité. Les dépouilles de 28 autres seront remises prochainement. C'est le soulagement pour les Israéliens. Mais sans cause commune pour unir le pays, est-ce que les divisions de la société vont ressurgir ? Qu'est-ce que le retour des otages peut changer en Israël ? Avec nos invités : Didier Billion, directeur adjoint de l'IRIS (Institut des relations internationales et stratégiques), spécialiste du Moyen-Orient, auteur de Géopolitique des mondes arabes (Eyrolles). Frédérique Misslin, journaliste à RFI, envoyée spéciale permanente à Jérusalem.
Après deux ans de guerre, Gaza n'est plus qu'un champ de ruines. Son économie s'est effondrée de plus de 80 %, la majorité de la population est au chômage et dépend de l'aide humanitaire. En Israël, la facture budgétaire de la guerre dépasse les 50 milliards de dollars, mais la résilience du pays reste étonnante. Entre ruines et rebond, le contraste est saisissant.
C'est l'histoire d'un immense soulagement et d'un retour tant attendu et espéré depuis 738 jours. Ce matin, les vingt derniers otages vivants détenus par le Hamas sont rentrés en Israël. Après des examens de santé, ces hommes âgés de 21 à 48 ans ont pu retrouver leur famille.Tous les soirs du lundi au vendredi vers 19h20 sur France 5, Louis Amar vous raconte une des histoires qui a fait l'actualité dans sa “Story”.
Israël en Hamas hebben een akkoord bereikt over de uitwisseling van gijzelaars en Palestijnse gevangenen, gecombineerd met een gedeeltelijke terugtrekking van het Israëlische leger uit Gaza. De deal, die vannacht door Donald Trump werd aangekondigd en inmiddels door beide partijen is bevestigd, wordt naar verwachting vandaag ondertekend in Sharm el Sheikh, waarna het Israëlische kabinet zich buigt over de definitieve invulling. De eerste fase van de overeenkomst voorziet in de vrijlating van alle gijzelaars en zo'n 2.000 Palestijnse gevangenen, maar experts benadrukken dat het totale vredesproces daarmee nog niet is afgerond.De vertrekkende Franse premier Sébastien Lecornu verwacht dat er binnen 48 uur een nieuwe premier kan worden aangesteld. De afgelopen twee dagen hield hij gesprekken met alle partijen in het parlement. En Lecornu is ervan overtuigd dat de politieke impasse kan worden opgelost zonder nieuwe verkiezingen.De Belastingdienst roept jongeren op om belastingaangifte te doen, omdat zij jaarlijks gemiddeld 580 euro laten liggen. Volgens directeur dienstverlening Björn Meijer zijn veel jongeren tussen 18 en 23 jaar zich niet bewust van hun recht op teruggave, ondanks dat de Belastingdienst dit jaar al 420.000 brieven heeft verstuurd. De dienst zet extra campagnes in om jongeren beter te informeren en richt zich daarvoor ook op sociale media.Deze omschrijving is met AI gemaakt en gecontroleerd door een BNR-redacteur.Over deze podcastIn Ochtendnieuws hoor je in 20 minuten het belangrijkste nieuws van de dag. Abonneer je op de podcast via bnr.nl/ochtendnieuws, de BNR-app, Spotify en Apple Podcasts. Of luister elke dag live via bnr.nl/live.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Les attaques du 7-Octobre et la guerre qui a suivi ont fait évoluer la société israélienne. Elle est plus conservatrice. Plus polarisée que jamais et radicale aussi. Reportage à Yeroham, dans le sud du pays, en plein désert du Néguev. De notre envoyée spéciale de retour de Yehoram, Si vous cherchez la ville de Yeroham, la blague locale dit : « C'est au bout du monde à gauche. ». Yehoram est une localité de 12 000 habitants construite au milieu du désert du Néguev, dans les années 1950. Elle est peuplée de descendants de juifs venus d'Afrique du Nord, un peu des pays de l'Est et aussi de populations bédouines. Aux dernières élections municipales, le parti de Benyamin Netanyahu a remporté la mise. Sur la place du centre-ville, Melloul un habitué du café, brosse un portrait plus qu'élogieux du Premier ministre israélien : « Nous avons un Premier ministre qui est fort, il est fort et nous transmet cette confiance en nous. » La maire de la ville a été élu avec les voix du parti d'extrême droite de Itamar Ben Gvir. Le ministre de la Sécurité était justement à Yehoram récemment et Melloul s'en souvient très bien : « Ben Gvir a fait le tour de la ville, il a vu la situation et a immédiatement autorisé les armes à feu. Les gens peuvent désormais acheter des armes. Alors, j'ai tout de suite soumis une demande et, bientôt, je recevrai une licence et un pistolet légal. C'est pour la légitime défense. Si, par malheur, il y a du terrorisme, alors je pourrais l'utiliser. » À lire aussiCe que le 7 octobre 2023 a changé Depuis le 7 octobre 2023, la société israélienne est devenue moins tolérante, plus conservatrice. Omer Yair le confirme, il est spécialiste de l'opinion à l'université de Haïfa : « On a vu un changement politique, idéologique, vers la droite, le conservatisme. Oui, c'est clair, ce changement a eu lieu après le 7-Octobre. Un accord de paix avec les Palestiniens ? La plupart des Israéliens sont de plus en plus sceptiques à ce sujet. En revanche, le soutien à un leader fort augmente. » La polarisation de la société israélienne, Avi, chef d'entreprise dans la tech, l'a constatée. Mais pour lui, ça ne date pas du 7-Octobre : « Les gens votent pour la communauté, la tribu à laquelle ils appartiennent. J'ai un ami, il est Bédouin et il m'explique qu'il a envie de voter pour le parti sioniste de gauche. Il me dit : " Je suis d'accord avec leur programme, mais je ne peux pas voter pour eux ". Et à la fin, il va voter pour un parti arabe et je crois que c'est la principale considération. » À lire aussiIsraël: Benyamin Netanyahu, fragilisé par les négociations de paix, tente de rebondir
Deux ans jour pour jour après les attaques du Hamas, leur rôle s'est accru considérablement : les colons harcèlent les Palestiniens vivant dans les villages voisins de Cisjordanie occupée et multiplient les exactions. Avec la complicité des autorités israéliennes qui y voient là un rempart contre la création d'un État palestinien. Jusqu'où le pouvoir des colons israéliens peut-il aller ? Que répond de la communauté internationale ? Pour en débattre : - Sylvaine Bulle, sociologue, chercheuse à l'École des Hautes Études en Sciences sociales, autrice du livre à paraître Israël après le 7 octobre une société fragmentée, éditions Presses universitaires de France - Shlomo Sand, historien, auteur du livre « Deux peuples pour un État ? », aux éditions du Seuil.
Ecoutez RTL Matin avec Thomas Sotto du 07 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Deux ans jour pour jour après les attaques du Hamas, leur rôle s'est accru considérablement : les colons harcèlent les Palestiniens vivant dans les villages voisins de Cisjordanie occupée et multiplient les exactions. Avec la complicité des autorités israéliennes qui y voient là un rempart contre la création d'un État palestinien. Jusqu'où le pouvoir des colons israéliens peut-il aller ? Que répond de la communauté internationale ? Pour en débattre : - Sylvaine Bulle, sociologue, chercheuse à l'École des Hautes Études en Sciences sociales, autrice du livre à paraître Israël après le 7 octobre une société fragmentée, éditions Presses universitaires de France - Shlomo Sand, historien, auteur du livre « Deux peuples pour un État ? », aux éditions du Seuil.
Les attaques du 7-Octobre et la guerre qui a suivi ont fait évoluer la société israélienne. Elle est plus conservatrice. Plus polarisée que jamais et radicale aussi. Reportage à Yeruham, dans le sud du pays, en plein désert du Néguev. De notre envoyée spéciale de retour de Yehuram, Si vous cherchez la ville de Yeruham, la blague locale dit : « C'est au bout du monde à gauche. ». Yehoram est une localité de 12 000 habitants construite au milieu du désert du Néguev, dans les années 1950. Elle est peuplée de descendants de juifs venus d'Afrique du Nord, un peu des pays de l'Est et aussi de populations bédouines. Aux dernières élections municipales, le parti de Benyamin Netanyahu a remporté la mise. Sur la place du centre-ville, Melloul un habitué du café, brosse un portrait plus qu'élogieux du Premier ministre israélien : « Nous avons un Premier ministre qui est fort, il est fort et nous transmet cette confiance en nous. » La maire de la ville a été élu avec les voix du parti d'extrême droite de Itamar Ben Gvir. Le ministre de la Sécurité était justement à Yehoram récemment et Melloul s'en souvient très bien : « Ben Gvir a fait le tour de la ville, il a vu la situation et a immédiatement autorisé les armes à feu. Les gens peuvent désormais acheter des armes. Alors, j'ai tout de suite soumis une demande et, bientôt, je recevrai une licence et un pistolet légal. C'est pour la légitime défense. Si, par malheur, il y a du terrorisme, alors je pourrais l'utiliser. » À lire aussiCe que le 7 octobre 2023 a changé Depuis le 7 octobre 2023, la société israélienne est devenue moins tolérante, plus conservatrice. Omer Yair le confirme, il est spécialiste de l'opinion à l'université Reichman à Herzliya : « On a vu un changement politique, idéologique, vers la droite, le conservatisme. Oui, c'est clair, ce changement a eu lieu après le 7-Octobre. Un accord de paix avec les Palestiniens ? La plupart des Israéliens sont de plus en plus sceptiques à ce sujet. En revanche, le soutien à un leader fort augmente. » La polarisation de la société israélienne, Avi, chef d'entreprise dans la tech, l'a constatée. Mais pour lui, ça ne date pas du 7-Octobre : « Les gens votent pour la communauté, la tribu à laquelle ils appartiennent. J'ai un ami, il est Bédouin et il m'explique qu'il a envie de voter pour le parti sioniste de gauche. Il me dit : " Je suis d'accord avec leur programme, mais je ne peux pas voter pour eux ". Et à la fin, il va voter pour un parti arabe et je crois que c'est la principale considération. » À lire aussiIsraël: Benyamin Netanyahu, fragilisé par les négociations de paix, tente de rebondir
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(02:17) Hoe begon de Hortus Botanicus in Leiden eigenlijk, en wat is er te zien? Prefect Barbara Gravendeel vertelt, vanuit de Clusius-tuin. (05:37) De Amerikaanse president Donald Trump presenteerde een nieuw vredesplan voor Israël en Palestina. Maar critici zien vooral een vaag plan dat opnieuw door grootmachten wordt opgelegd. Expert internationale betrekkingen en voormalig diplomaat Midden-Oosten Petra Stienen herkent het patroon en is te gast. (17:26) Op 29 oktober zijn de verkiezingen. In de ‘Politieke Tijdmachine' vragen we iedere week aan een andere gast: welke politicus uit het verleden verdient juist nu onze aandacht? Deze week vragen we dat aan Henk te Velde. Zijn keuze: Marga Klompé, die in 1956 de eerste vrouwelijke minister van Nederland werd. (25:02) In de Hortus Botanicus Leiden groeiden de allereerste Japanse planten in Europa. En dat kwam voornamelijk door één man: arts, avonturier en botanicus Philipp Franz von Siebold. Wie was hij? En wat bracht hij teweeg in zowel Japan als in Leiden? Te gast zijn hortulana Carla Teune en bekroond schrijfster Annejet van der Zijl. (43:42) Het is een van dé iconen van Ierland: Guinness. Over de geschiedenis van de dynastie achter dat merk, gaat de nieuwe Netflix-serie House of Guinness. In Britse kranten lezen we lovende recensies. Maar de Ieren zelf zijn niet zo blij. Waarom? Ierland-historicus Joost Augusteijn vertelt. (54:07) De hortus was de plek waar planten en zaden, die in alle uithoeken van de wereld gevonden werden, onderzocht en gekweekt werden. En daar zijn de kassen essentieel voor. Prefect Barbara Gravendeel vertelt. (57:15) Eeuwenlang werden in de Hortus in Leiden de planten en zaden vanuit alle uithoeken van de wereld verzameld. Maar achter die koloniale plantenjacht schuilde een verborgen werkelijkheid: het werk van talloze lokale plantenkenners in Indonesië. Historicus Fenneke Sysling onderzoekt de vergeten arbeid in het project Who did all the work? The hidden labour of colonial science en vertelt ons meer over de mensen achter de Europese botanici. (01:06:28) Stel je voor: je vader koopt in 1944 een boom in Palestina. Maar die boom blijkt onderdeel van een veel groter plan: bossen die niet alleen het land vergroenen, maar ook Palestijnen verdreven die er woonden? In de podcast Het Beloofde Bos gaat fotograaf Rachel Corner samen met podcastmaker Mandula van den Berg op zoek die ene boom die haar vader plantte. Rachel is te gast. (01:21:33) De Titanic blijft nog altijd tot de verbeelding spreken. Ook de kleding van de reizigers zit vol verhalen. De originele kostuums uit de film van 1997 zijn te zien in de tentoonstelling Titanic & Fashion van het kunstmuseum Den Haag. Kunsthistoricus en curator van de tentoonstelling Madelief Hohé is te gast. (01:32:05) Deze week komen de historische tips van Bart Funnekotter. Hij bespreekt twee historische boeken en een tentoonstelling: Infiltranten - Shaun Walker, De Hanze - Dick Harrison en The Grand Tour bestemming Italië - tentoonstelling Mauritshuis.
L'animateur télé Arthur, de son vrai nom Jacques Essebag, publie "J'ai perdu un bédouin dans Paris", chez Grasset le 7 octobre. Ecoutez Le journal inattendu avec Stéphane Boudsocq du 04 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:46:26 - Interception - par : Fabienne Sintes - Cet épisode d'Interception est un ascenseur émotionnel : il passe d'Israël, deux ans après le 07 octobre, au... ciel de l'Hérault strié d'éclairs. D'un groupe de footballeurs qui croyaient pouvoir s'entendre, à un homme en maillot de bain et chapeau de cow-boy qui court après les orages. - invités : Serge Zaka, Cécile BIDAULT, Thibault Lefèvre - Serge Zaka : Ingénieur agronome et docteur en agro-climatologie, Cécile Bidault : Journaliste à Radio France, Thibault Lefèvre : Journaliste à Radio France, correspondant permanent à Jérusalem - réalisé par : Lucie Lemarchand Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Verdient Donald Trump een Nobelprijs voor mogelijke vrede in Gaza? Waarom vieren christenen Israëlzondag? En staat de vrijheid van onderwijs terecht onder druk? In Dit is de Week gaan Mirjam Bikker, Ronit Palache en Andries Knevel in gesprek.
durée : 00:04:45 - Le Grand reportage de France Inter - Reportage en immersion dans l'équipe de foot du Bnei Sakhnin, seul club arabe israélien de première division. Depuis le 7 octobre 2003, ses joueurs subissent un racisme décomplexé à chaque match. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 23 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 23 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:23 - Le Reportage de la rédaction - La France s'apprête à reconnaître l'État de Palestine. Jour J à New York avec cette déclaration très attendue d'Emmanuel Macron et d'une dizaine d'autres dirigeants. En Israël, on prépare la riposte. L'État hébreu veut rendre impossible sur le terrain l'existence d'un État palestinien.
durée : 00:04:23 - Le Reportage de la rédaction - La France s'apprête à reconnaître l'État de Palestine. Jour J à New York avec cette déclaration très attendue d'Emmanuel Macron et d'une dizaine d'autres dirigeants. En Israël, on prépare la riposte. L'État hébreu veut rendre impossible sur le terrain l'existence d'un État palestinien.
Syrië en Israël staan aan de vooravond van een veiligheidsakkoord. Terwijl er enkele dagen geleden nog Israëlische aanvallen waren in Syrië, lijken de twee landen op het punt te staan om een deal te sluiten. Daarover Midden-Oosten deskundige en collega Abdou Bouzerda. (09:44) Californië als bakermat van verzet In Los Angeles is er elke dag wel een demonstratie tegen de regering Trump. Dat is niet zomaar- De President richt zijn pijlen graag op de Democratische staat. Bewoners pikken het niet en komen op allerlei mogelijke manieren in opstand. Is Californië de bakermat van verzet? Te gast is correspondent Mari Meyer. Presentatie: Laila Frank.
De Egyptische president Abdel-Fattah al-Sisi noemde het optreden van Israël vorige maand voor het eerst openlijk ‘genocide'. Zijn minister van Buitenlandse Zaken sprak zich enkele dagen geleden fel uit tegen de verdrijving van Palestijnen uit Gaza-Stad. Maar in diezelfde periode sloot Egypte ook een gasdeal van 35 miljard dollar met Israël. Hoe kan dat samen gaan? En wat betekent dit voor Egypte's rol als bemiddelaar in de oorlog én voor de stemming onder de Egyptische bevolking? Jan bespreekt het met egypte-expert Omar Ghaly.
Maarten van Rossum is oud-diplomaat en toponderhandelaar. Hij was gestationeerd in Afghanistan en Amerika en werkte aan Mark Rutte’s zijde als onderhandelaar. Gijs Groenteman en Van Rossum analyseren Rutte's optredens als Navo-baas, hoe wereldleiders zich tot elkaar verhouden en praten over wat 'goed onderhandelen' behelst.Presentatie: Gijs GroentemanRedactie en montage: Julia van AlemEindredactie: Corinne van DuinSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Vandaag dient de Franse premier Bayrou zijn ontslag in. De vertrekkende premier is het ook niet gelukt om de hoge staatsschuld terug te dringen. De kans op een zware economische crisis leidt tot sociale woede onder de Franse burgers. Dat laten ze morgen in een landelijke protestactie met stakingen zien. We praten verder met politicoloog en Frankrijkkenner Koen Damhuis van de Universiteit Utrecht. (11:23) Turkije en Israël op ramkoers in Syrië Syrië maakt zich op voor de eerste verkiezingen sinds de val van Assad. Intussen nemen de spanningen toe tussen Turkije en Israël. Tel Aviv versterkt de greep op het zuiden van het land en ziet de Turkse steun aan de nieuwe machthebbers in Damascus als een bedreiging. Zo dreigt Syrië uit te groeien tot een frontlinie tussen twee regionale grootmachten. Daarover Midden-Oostenkenner Abdou Bouzerda en Turkijekenner Cevahir Varan. Presentatie: Sophie Derkzen.
durée : 00:04:46 - Le Grand reportage de France Inter - À partir de ce mardi, 60.000 réservistes vont recevoir leur ordre de mobilisation et rejoindre 70.000 autres soldats déjà engagés pour occuper la ville de Gaza. En Israël, la société est divisée sur la stratégie jusqu'au-boutiste du gouvernement. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le Journal en français facile du mardi 26 août 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BxJB.A
C dans l'air l'invitée du 8 août avec Agnès Levallois, présidente de l'Institut de recherche et d'études Méditerranée Moyen-Orient (iReMMO) et auteure de Le Livre noir de Gaza (Seuil)Émission présentée par Salhia BrakhliaDans la nuit du 7 au 8 août 2025, le cabinet de sécurité israélien a approuvé un plan militaire pour prendre le contrôle de Gaza. Défendu par Benyamin Netanyahu, ce plan s'articule autour de cinq objectifs : désarmer le Hamas, libérer les otages, démilitariser le territoire, instaurer un contrôle sécuritaire israélien et mettre en place une administration civile indépendante, ni affiliée au Hamas, ni à l'Autorité palestinienne. L'opération débuterait par la ville de Gaza, où près d'un million de Palestiniens tentent encore de survivre. Le Hamas avertit que cette "aventure criminelle" coûtera cher à l'armée israélienne et entraînera le "sacrifice" des otages.L'annonce de ce plan a déclenché des réactions internationales fortes. L'ONU a demandé à le stopper "immédiatement". Le Royaume-Uni, la Turquie et la Chine dénoncent une escalade dangereuse et appellent à la retenue. L'Allemagne, pour sa part, suspend ses exportations d'armes susceptibles d'être utilisées dans la bande de Gaza. En Israël, la contestation gagne les plus hauts niveaux de l'appareil d'État. Près de 600 anciens hauts responsables, ex-chefs du Mossad, diplomates, généraux, lancent l'alerte : "Cette guerre a cessé d'être juste et fait perdre à Israël son identité."Ce tournant militaire interroge sur les véritables intentions de Benyamin Netanyahu, alors que plusieurs pays européens, dont la France, première à s'être engagée, s'apprêtent à reconnaître officiellement l'État de Palestine.Que sait-on précisément de ce plan ? Et qui peut encore freiner Benyamin Netanyahu ?Agnès Levallois, présidente de l'Institut de recherche et d'études Méditerranée Moyen-Orient, fera le point sur le projet de Benyamin Netanyahu, qui vise à prendre le contrôle de la ville de Gaza.