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Latifa Ibn Ziaten arrive en France en 1977. Cette mère de famille s'est battue pour que ses enfants réussissent. En 2012, Imad, son fils militaire, est assassiné par Mohamed Merah sur un parking à Toulouse.
Latifa Ibn Ziaten arrive en France en 1977. Cette mère de famille s'est battue pour que ses enfants réussissent. En 2012, Imad, son fils militaire, est assassiné par Mohamed Merah sur un parking à Toulouse.
Il y a 12 ans, jour pour jour, son fils militaire, Imad était tué à l'âge de 30 ans, assassiné à bout portant, par Mohammed Merah, parmi six autres victimes, dont trois enfants. Latifa Ibn Ziaten est présidente de l'association IMAD pour la Jeunesse et la Paix. Elle est engagée pour la promotion de la paix envers les jeunes.
Selon vous, l'islam est-il instrumentalisé en France ? Dites-nous en commentaire ! Son fils a été ass*ss*né en 2012 par Mohammed Merah. Depuis, elle milite auprès des jeunes pour lutter contre la radicalisation, le racisme et le communautarisme. Nous avons reçu Latifa Ibn Ziaten, Présidente de l'association IMAD Ibn Ziaten pour la Jeunesse et la Paix. Latifa Ibn Ziaten est la mère d'Imad, le parachutiste de l'armée française ass*ssiné par Merah à Toulouse en mars 2012. DANS CETTE INTERVIEW : 00:00 : Introduction 01: 14 : Vrai/Faux 02:06 : C'est important d'expliquer d'où l'on vient ? 04:27 : Comment favoriser l'intégration en France ? 07:23 : Où se passe la radicalisation ? 08:54 : À qui incombe la responsabilité ? 09:33: Les médias instrumentalisent-ils la religion ? 12:19 : Projet de loi immigration 14:49 : Quelles mesures pour lutter contre le racisme ? 16:12 : Cours d'empathie pour lutter contre le racisme ? 18:43 : Y a-t-il un choc des cultures ? 19:58 : Limites à la laïcité ? 24:27 : Surmonter la mort de son fils. 32:03 : Message à la jeunesse. 33:31 : Le mot de la fin. Le Crayon est sur tous les réseaux ! ► Instagram : https://www.instagram.com/lecrayonmedia/ ► Tiktok : https://www.tiktok.com/lecrayonmedia/ ► Facebook : https://www.facebook.com/lecrayonmedia/ ► Articles : https://lecrayon.kessel.media/ ► LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/le-crayon-politique/ ► Podcasts : https://podcasters.spotify.com/pod/show/le-crayon ► X : https://twitter.com/lecrayonmedia/ ► Notre site : https://www.lecrayongroupe.fr/
durée : 00:02:07 - Latifa Ibn Ziaten invitée au lycée Monge - La Chauvinière à Nantes
Depuis la mort du jeune Nahel, Latifa Ibn Ziaten multiplie les rencontres avec les jeunes, avec les parents. Jeudi dernier, elle a tenu à assister à la marche pour Nahel, à Nanterre qu'elle souhaitait digne. Mais le rassemblement s'est soldé par une série d'échauffourées. Latifa Ibn Ziaten a d'ailleurs dû être exfiltrée de la manifestation. Aujourd'hui, elle veut « essayer d'apaiser cette jeunesse » révoltée. Mais elle reconnait que c'est de plus en plus compliqué de maintenir le dialogue. Latifa Ibn Ziaten a perdu son fils Imad, en 2012. C'était l'un des militaires assassinés par Mohammed Merah. Depuis lors, elle est devenue une figure reconnue du dialogue. Apôtre inlassable de la nécessité de garder le contact avec la jeunesse des quartiers sensibles.
Présente à la marche pour Nahel, Latifa Ibn Ziaten, présidente de l'Association Imad Ibn Ziaten pour la jeunesse et la paix, décrit une jeunesse en fracture avec la société. Ecoutez RTL Evenement du 30 juin 2023 avec Yves Calvi.
Que ferais-tu si un terroriste tuait ton fils ? Voici Latifa Ibn Ziaten, mère d'Imad Ibn Ziaten, le militaire tué par Mohammed Merah à Toulouse, qui éduque à la paix et se bat pour les jeunes des quartiers. PS : Abonne-toi ! SOMMAIRE 00:00 Latifa Ibn Ziaten 01:00 Son fils Imad Ibn Ziaten 05:13 Sur le lieu du crime 13:26 Qui était Mohamed Merah ? 19:06 Les jeunes marginalisés 22:32 Les a-t-on abandonnés ? 23:47 Comment devient-on terroriste ? 26:10 Que dit-elle aux jeunes ? 31:54 Anecdotes de son impact 36:48 Prix international de la fraternité 38:26 Comment tu peux aider Latifa Ibn Ziaten ? DANS CET ÉPISODE ► L'association Imad : https://association-imad.fr
Que ferais-tu si un terroriste tuait ton fils ? Voici Latifa Ibn Ziaten, mère d'Imad Ibn Ziaten, le militaire tué par Mohammed Merah à Toulouse, qui éduque à la paix et se bat pour les jeunes des quartiers. PS : Abonne-toi ! SOMMAIRE 00:00 Latifa Ibn Ziaten 01:00 Son fils Imad Ibn Ziaten 05:13 Sur le lieu du crime 13:26 Qui était Mohamed Merah ? 19:06 Les jeunes marginalisés 22:32 Les a-t-on abandonnés ? 23:47 Comment devient-on terroriste ? 26:10 Que dit-elle aux jeunes ? 31:54 Anecdotes de son impact 36:48 Prix international de la fraternité 38:26 Comment tu peux aider Latifa Ibn Ziaten ? DANS CET ÉPISODE ► L'association Imad : https://association-imad.fr SI TU AS SOIF DE SENS ► Voici 50€ pour toi à investir dans l'agriculture de demain avec Miimosa avec le code PIERRE50 dès 200€ investis : https://bit.ly/PIERRE50 ► Toutes les plateformes où écouter Soif de Sens (Spotify, Apple Podcasts...) : bit.ly/soifdesens- ► Mes 3 livres "Changer le monde en 2 heures" : http://en2heures.fr
Toulouse 10 ans après : Latifa Ibn Ziaten est au micro de Ruy saada
Latifa Ibn Ziaten arrive en France en 1977. Cette mère de famille s'est battue pour que ses enfants réussissent. En 2012, Imad, son fils militaire, est assassiné par Mohamed Merah sur un parking à Toulouse.
Son fils a été tué par Mohamed Merah. Elle refuse de céder aux intimidations. Et porte une parole de paix et de dialogue au quotidien dans des établissements scolaires. LATIFA IBN ZIATEN Présidente de l'association IMAD Ibn Ziaten pour la Jeunesse et la Paix est l'invitée de Julien Sellier Ecoutez L'invité de RTL Soir avec Julien Sellier du 21 octobre 2021
Edmond Blattchen a, en même temps qu'il pensait Nom(s) de Dieu(x) pour la télévision, inventé un nouveau rituel d'investigation de l'autre. Il a reçu 200 invités pendant 22 ans, qui venaient munis d'une phrase, d'un objet et d'un pari pour écrire le titre de l'émission de la manière qui leur convenait le mieux. Aujourd'hui, Edmond Blattchen se soumet lui-même à cet exercice difficile dans une émission en 3 parties. Avec notamment des archives de Gabriel Ringlet, Christian Bobin et Latifa Ibn Ziaten. En partenariat avec la Sonuma. Réalisation Pascale Tison
Edmond Blattchen a, en même temps qu’il pensait Nom(s) de Dieu(x) pour la télévision, inventé un nouveau rituel d’investigation de l’autre. Il a reçu 200 invités pendant 22 ans, qui venaient munis d’une phrase, d’un objet et d’un pari pour écrire le titre de l’émission de la manière qui leur convenait le mieux. Aujourd’hui, Edmond Blattchen se soumet lui-même à cet exercice difficile dans une émission en 3 parties. C’est aussi l’occasion pour lui de revisiter les souvenirs de tel ou tel invité, du premier, Bernard-Henry Lévy , à la dernière, Latifa Ibn Ziaten. Car il nourrissait en amont une grande complicité avec chacun d’eux. Jacques Dochamps, le réalisateur de l’émission, évoque aussi ses souvenirs et ses partages. Il amena l’Orient à Edmond Blattchen, pétri de philosophie et de spiritualité occidentales. Autour de la table en verre, toujours présente dans le salon d’Edmond, vide sur le plateau et aujourd’hui recouverte de livres, fusèrent beaucoup de rires, celui de Christian Bobin et de Marguerite Barankitse. Des larmes parfois, celles de Latifa Ibn Ziaten qui évoque son fils assassiné par Mohamed Mera. Et un sens de l’écoute et du pardon qui nous rejoint tous. Retour sur de grandes heures de la télévision Réalisation: Pascale Tison.
Edmond Blattchen a, en même temps qu’il pensait Nom(s) de Dieu(x) pour la télévision, inventé un nouveau rituel d’investigation de l’autre. Il a reçu 200 invités pendant 22 ans, qui venaient munis d’une phrase, d’un objet et d’un pari pour écrire le titre de l’émission de la manière qui leur convenait le mieux. Aujourd’hui, Edmond Blattchen se soumet lui-même à cet exercice difficile dans une émission en 3 parties. C’est aussi l’occasion pour lui de revisiter les souvenirs de tel ou tel invité, du premier, Bernard-Henry Lévy , à la dernière, Latifa Ibn Ziaten. Jacques Dochamps, le réalisateur de l’émission, évoque aussi ses souvenirs et ses partages. Réalisation Pascale Tison, avec la Sonuma
Cette semaine LeChairman reçoit Latifa Ibn Ziaten. Rappel des faits : mars 2012, le terroriste Mohamed Merah abat de sang froid le militaire Imad Ibn Ziaten. Latifa, meurtrit, se lance alors dans un combat de toute une vie, rencontrer les jeunes et les sensibiliser. Cette femme forte au tempérament doux transpire la bienveillance et la sagesse. Le mot haine ne fait pas partie de son vocabulaire et le partage est son mot d'ordre. Couronnée du Zayed Award for Human Fraternity, cette mère engagée a pleins de projets en tête et compte bien faire résonner le nom de son fils en France et à l'étranger.
durée : 00:08:21 - L'invité de 6h20 - par : Mathilde MUNOS - Le Prix Zayed de la fraternité sera remis cette après-midi à Latifa Ibn Ziaten, mère d’Imad Ibn Ziaten, première victime de Mohammed Merah, et dirigeante de l’association "Imad, pour la jeunesse et pour la paix", qui oeuvre à la mise en place concrète du vivre-ensemble. Elle est l'invitée de Mathilde Munos.
durée : 02:00:07 - Le 5/7 - Le Prix Zayed de la fraternité sera remis cet après-midi à Latifa Ibn Ziaten – mlère d’Imad Ibn Ziaten, première victime de Mohammed Merah, et dirigeante de l’association « Imad, pour la jeunesse et pour la paix » qui a pour objectif d’œuvrer à la mise en place concrète du vivre-ensemble. Elle est l'invitée du 5/7
Le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, et la Française Latifa Ibn Ziaten ont reçu le Prix Zayed pour la fraternité humaine. Pour le Secrétaire général, ce prix est une reconnaissance du travail de l’ONU pour faire avancer la paix et la dignité humaine. Latifa Ibn Ziaten est la mère d’Imad, parachutiste de l’armée française assassiné par un terroriste à Toulouse en 2012.
Dans ce "Journal des médias", le CSA ne voit aucun manquement concernant un sketch de Canteloup qui avait fait grand bruit revenant sur un fait tragique : une attaque au couteau en Isère ayant fait deux morts, Canal + doit 40 millions d’euros au cinéma français pour les années 2017 et 2018 selon le Canard enchaîné. Téléfoot sera disponible le 17 août prochain et France 2 rediffuse un portrait exceptionnel de Latifa Ibn Ziaten dans Infrarouge.
Depuis la mort de son fils Imad, assassiné par Mohamed Merah le 11 mars 2012 à Toulouse, Latifa Ibn Ziaten ne cesse de transmettre un message de Paix et de Tolérance.
"Soyez fière de votre fils, lui a dit le procureur, c'était un vrai soldat, il a fait honneur à la France." Latifa Ibn Ziaten a vécu ce qui peut arriver de pire à une mère. Son fils Imad Ibn Ziaten, adjudant de l'armée française, a été froidement assassiné, première victime de la tuerie de Toulouse perpétrée par Mohammed Merah. C'était le 11 mars 2012, et depuis ce drame Latifa Ibn Ziaten ne cesse de parcourir la France pour transmettre, dans les écoles, les prisons et les centres sociaux, un message de paix et de tolérance. Elle a fondé l'association Imad pour la jeunesse et la paix, et livré son témoignage dans "Mort pour la France" (éd. Flammarion, 2013). En octobre 2017 est sorti en salles le film documentaire "Latifa, le cœur au combat", d'Olivier Peyon et Cyril Brody. Rencontre avec une mère, une femme, "une française marocaine musulmane" qui témoigne qu'il est possible de pratiquer sa foi dans la paix et le respect des valeurs républicaines. "Je dis à chaque famille : réveillez-vous ! La pauvreté n'a tué personne mais l'éducation est importante" Qui était Mohammed Merah ? Pour Latifa Ibn Ziaten, il n'était "pas musulman" ; Mohammed Merah n'était "pas humain" non plus. Seulement, "on ne naît pas terroriste", comme elle le dit. La conviction de cette femme née en 1960 au Maroc et qui a connu les difficultés de l'intégration, c'est que s'il avait été "bien aimé, bien éduqué", entouré par sa famille, Merah n'aurait sans doute pas fait ça. © Association Imad pour la jeunesse et la paix - Latifa Ibn Ziaten : "J'étais fière que mon fils soit militaire !" "Il était mal éduqué, mal orienté, mal cadré, il n'y avait que de la haine autour de lui, il a grandi dans la haine." Puis il y a eu cette "secte radicale" qui lui a "lavé le cerveau" jusqu'à l'inciter à tuer des innocents, des enfants. "Ce mois de mars 2012, Mohammed Merah a tué trois religions, il a touché l'islam, il a touché le christianisme, le judaïsme, il a fait l'amalgame, a sali le nom de l'islam, il a laissé la terreur, la souffrance et puis il est parti avec son mystère." ÉCOUTER ► Zarina Khan: "La foi ne peut exclure l'autre" Prévenir la radicalisation, le combat d'une mère L'une des préoccupations de l'association qu'a créée Latifa Ibn Ziaten c'est de comprendre pourquoi des jeunes se radicalisent, et comment prévenir cette radicalisation. Parmi les jeunes qu'elle rencontre dans les cités, certains "comme Merah", sont "abandonnés, fragiles, mal aimés : et voilà ce que ça donne". Aussi quand elle témoigne, la mère d'Imad entend-elle réveiller les parents. "La responsabilité vient aux parents, ce sont eux qui doivent les aimer, les protéger, les accompagner." Ne pas faire état par exemple devant eux de leurs difficultés de couple, d'argent, de logement... Mais leur dire : "Avance mon fils, aie confiance en toi, je voudrais que tu sois mieux que moi : c'est ça qui manque dans certaines familles malheureusement." Servir la République quand on est musulman Lors de ses différentes interventions dans des centres sociaux ou des écoles, il est arrivé que l'on reproche à Latifa Ibn Ziaten d'avoir laissé son fils s'engager dans l'armée française, au nom de la colonisation ou de la guerre d'Algérie. Mais elle répond : "J'étais fière que mon fils soit militaire !" Fière de le voir "amoureux de son pays" et désireux de "servir la République". "Les gens sont restés en arrière, aux problèmes de colonisation." Alors quoi, sous prétexte que l'on est arabe et musulman et français on ne peut pas être militaire ou policier ? "On ne mérite que le balai et les usines ?" ÉCOUTER ► Parents de double culture, comment transmettre ? Ghettoïsation et manque de mixité sociale Le combat de Latifa Ibn Ziaten, c'est de transmettre ce message : l'intégration s'apprend d'abord à la maison. Aux parents de dire à leurs enfants d'où ils viennent et de leur montrer qu'ils ont un avenir, et que grandir avec la double culture, c'est possible ! D'être "un moteur" pour leur enfant. "Je dis à chaque famille : réveillez-vous ! La pauvreté n'a tué personne mais l'éducation est importante." Pendant 25 ans, elle a travaillé dans un établissement scolaire. Les jeunes de banlieue comme on dit, elle sait quelles sont leurs difficultés. "Ce ghetto, je peux vous dire ça fait du mal, il n'y a pas de mixité sociale, ils sont entre eux, ils ne peuvent pas sentir qui est français." Or un enfant, "s'il n'est pas accompagné, s'il n'a pas un cadre, c'est rare qu'il puisse s'en sortir". Entretien réalisé en décembre 2017
As part of the BBC World Service’s Crossing Divides season, Outlook is looking back at some extraordinary personal stories of transcending boundaries and crossing divides. Latifa Ibn Ziaten, a Moroccan mother to five has been awarded the highest honour in France, the Legion of Honour, and has been nominated for a Nobel Peace Prize. Latifa's son, a French soldier, was murdered in Toulouse in 2012. Since then, Latifa has reached out to her ‘enemy’, working closely with people at risk of radicalisation in prisons and schools, and has convinced at least three young men not to go and fight in Syria. She spoke to Jo Fidgen. Photo: Latifa Ibn Ziaten Credit: Getty Images
Invités :Olivia Grégoire - Députée LREM de ParisDenis Olivennes - Président du conseil de surveillance de CMI FrancePierre Jacquemain - Rédacteur en chef de la revue Regards Arnaud Benedetti - Politologue Thèmes :1/ Édouard Philippe et l’acte 2 : faire du neuf avec du vieux ? 2/ Macron : un mea culpa et des inquiétudes sur l’avenir 3/ Grève des urgences : notre système de santé est-il malade ? 4/ Les Républicains : c’était mieux avant ? 5/ Retraites : on y verra plus clair en 2046 ! 6/ PMA : Les promesses n’engagent que ceux qui y croient ? 7/ Irresponsabilité pénale : 13 ans, l’âge de raison ? 8/ New-York Times : cachez ces caricatures que je ne saurais voir ! 9/ Latifa Ibn Ziaten : pourquoi tant de haine ? Incontournable émission de débat contradictoire, N'ayons pas peur des mots fait son retour sur l'antenne de LCP pour de nouvelles discussions sur les grands sujets à la Une de l'actualité. Chaque semaine, Valérie Brochard orchestre ce débat animé sur l'actualité entre 4 intervenants aux positions radicalement opposées. Combats de mots et batailles d'idées entre députés, experts, journalistes ou encore représentants de la société civile.Diffusion : le vendredi à 20h30Rediffusion : le samedi à 12h00Format : 87 minutesProduction : Caméra subjective / LCPPrésentation : Valérie BrochardProducteur : Alexandre AmielJournaliste : Clyde VachezÉdition : Éleonore PiccotPersonnels et moyens techniques : LCPDirection des contenus : Guilaine ChenuDirection de la rédaction : Delphine GouedartÀ voir et à revoir sur la page de l'émission sur LCP Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
La fondatrice et présidente de l'association "Imad, pour la jeunesse et pour la paix" était de passage à Lyon pour une conférence.
Sujets traités : inauguration de la Bibliothèque humaniste à Sélestat - attentats du 13 novembre : témoignage de Latifa Ibn Ziaten (mère de Imad, tombé sous les balles de Mohammed Meradh le 11 mars 2012 à Toulouse) à Mittelwihr - les grévistes de la faim contre le CGO reçu au parlement européen - Alsace nature : opposition au contournemnt de Châtenois
Sujets traités : inauguration de la Bibliothèque humaniste à Sélestat - attentats du 13 novembre : témoignage de Latifa Ibn Ziaten (mère de Imad, tombé sous les balles de Mohammed Meradh le 11 mars 2012 à Toulouse) à Mittelwihr - les grévistes de la faim contre le CGO reçu au parlement européen - Alsace nature : opposition au contournemnt de Châtenois
Au micro de Lauren Bastide, Latifa Ibn Ziaten explique pourquoi elle a accepté de tourner le documentaire « Latifa, le coeur au combat » (03:15), les valeurs transmises par sa grand-mère (08:50), son mariage à l'âge de 17 ans suivi de son déménagement en France, à Rouen (11:04), le lien très fort qui l'unissait à son fils Imad (21:02), les raisons qui l'ont poussée à lancer son association (26:00), son attachement au Maroc autant qu'à la France (31:43), le soutien très relatif que lui a apporté la République juste après la mort de son fils (36:13), sa difficulté à trouver du soutien et une réelle mobilisation malgré les nombreux prix qui lui sont décernés (50:18), les violences qu'elle subit à cause de son foulard (55:34).Latifa Ibn Ziaten est née le 1er janvier 1960 à Tétouan, au Maroc. Elle est l'héroïne d'un documentaire, « Latifa, le coeur au combat », réalisé par Olivier Peyon et Cyril Brody. Mariée à 17 ans, Latifa Ibn Ziaten quitte le Maroc pour s'installer en France en 1977 afin d'y travailler et d'y élever ses 5 enfants. Le 11 mars 2012, son fils Imad est assassiné par Mohammed Merah. Quelques mois plus tard, Latifa créé « l'association Imad Ibn Ziaten pour la jeunesse et pour la paix » et s'attèle à une tâche importante : rencontrer des jeunes des quartiers populaires, des lycéens, des détenus, entendre leur souffrance et leur parler des dangers de la radicalisation. Ses actions lui ont valu d'être décorée de nombreuses fois, notamment de la légion d'honneur, du Prix de la Tolérance Marcel Rudlojf, du Prix international Women of courage de Washington, ou encore du Prix de la Démocratie. En mars 2013, elle a publié un premier ouvrage : « Mort pour la France ».Pour faire un don à son association, cliquez iciCet épisode de La Poudre est rendu possible grâce au soutien d'Urban Massage, une application qui permet de commander un massage à domicile. Si vous commandez avec le code « La Poudre », vous bénéficierez de 20% de réduction sur votre massage. Mais il y a mieux : pour chaque massage commandé, un autre massage de 15 minutes sera offert à une ou un bénévole de la Maison des Femmes à Saint-Denis, un espace où toutes les femmes peuvent trouver un planning familial accessible, mais surtout un accueil à la fois médical, juridique, psychologique et social pour celles qui sont victimes de violences domestiques ou de mutilations sexuelles. C'est un lieu unique en France, et c'est grâce à ses 20 bénévoles permanent-e-s qu'il est ouvert au public chaque jour. Faire du bien à ceux qui font du bien aux autres, c'est carrément politique non ? La Poudre est une production Nouvelles Écoutes. Réalisation et générique : Aurore Meyer-Mahieu. Coordination : Zisla Tortello. Mixage : Laurie Galligani.
Wat doe je als je kind wordt vermoord door moslimterroristen? Je kunt verteerd raken door verdriet – maar je kunt ook in actie komen. Dat deed Latifa Ibn Ziaten. Haar zoon Imad werd in 2012 vermoord door terrorist Mohammed Merah. Die schoot in Toulouse en Montauban – uit naam van de islam – drie militairen en vier joden dood. Eén van de gedode militairen was de zoon van Latifa, die zelf Marokkaans is en moslim. Sindsdien reist Latifa scholen in alle achterstandswijken van Frankrijk af om jongeren te waarschuwen voor radicalisering, en om niet dezelfde weg als Mohamed Merah te bewandelen. Correspondent Frank Renout ging met haar mee naar een school in Créteil, een arme voorstad van Parijs.