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durée : 00:05:09 - Le journal ici Pays Basque de 12h Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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Le photojournaliste Guillaume Fauveau détient ce regard attentif, engagé et facétieux sur l'actualité et les enjeux contemporains du Pays Basque, allié à une démarche sensible s'adonnant au portrait comme à la photographie de paysages et d'atmosphères. Dans cette deuxième partie, Guillaume nous dévoile qu'il se bat contre le syndrome de l'imposteur mais à la fois il est très content ! Jatorria / source : Radiokultura
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Si vous êtes fan de déco et de seconde main, vous la connaissez très probablement sous le nom d'« une place pour chaque chose ». Et pour Caroline, chaque chose à une place, comme chacun d'entre nous dans nos vies. Et si parfois il est difficile de la trouver, les évènements extérieurs peuvent nous y amener. Dans cette conversation Caroline nous raconte les circonstances qui l'ont amenée à quitter son poste de directrice commerciale dans la mode pour revenir à ses amours d'enfance : la chine.Et si en 2021 elle se rapproche de l'océan, elle y trouve le réconfort par une nouvelle vie et un nouveau modèle pour son activité. On parle ici de (re)nouveau, d'élan, de communauté, et de générosité. Caroline se livre et partage également pour nous quelques exclusivités juste avant l'été.
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durée : 00:26:03 - Une culture théicole au Pays Basque - Stéphanie Ibargaray cultive du thé dans la vallée d'Arneguy, un projet né de sa passion découverte en Chine. Depuis 2021, elle produit des thés vert et noir de terroir, alliant techniques ancestrales et respect de l'environnement pour offrir un produit unique au Pays Basque. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le photojournaliste Guillaume Fauveau détient ce regard attentif, engagé et facétieux sur l'actualité et les enjeux contemporains du Pays Basque, allié à une démarche sensible s'adonnant au portrait comme à la photographie de paysages et d'atmosphères. Dans cette première partie, Guillaume nous raconte son parcours qui a démarré dans l'eau mais sans faire de vagues ! Jatorria / source : Radiokultura
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durée : 00:25:39 - Votre guide de l'été pour profiter du Pays Basque - Le nouveau guide de Romain Besnainou, Restaurants, Bars, Tapas de la Côte Basque, aux éditions Sud-Ouest, dévoile 64 adresses de restaurants, bars et tapas à travers le Pays Basque. Un voyage culinaire entre tradition et modernité, pour une expérience unique loin des sentiers battus. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:04:31 - Le journal ici Pays Basque de 12h Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:24:41 - Les saveurs du Pays Basque - Bienvenue chez vous ! Ce matin, nous partons à la découverte d'un incontournable du patrimoine gastronomique du Pays Basque : le gâteau basque de Bidarray. Une histoire passionnante, menée depuis 2022 par Isabelle Garbay. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:04:28 - Le journal ici Pays Basque de 12h
durée : 00:03:53 - La Chronique vin de Jérôme Gagnez - par : Jérôme Gagnez - Domaine phare de l'appellation Irouléguy, Arretxea produit les blancs parmi les plus enthousiasmants de cette appellation du Pays Basque. Jérôme Gagnez vous présente leur rosé qu'il tient en haute estime depuis de nombreuses années. Il était temps de vous en parler !
durée : 00:04:45 - Le journal ici Pays Basque de 12h
Pour souffler ses quarante bougies, le Musée de Pont-Aven en Bretagne convoque les sorcières. Elles sont au cœur d'une exposition foisonnante intitulée « Sorcières ! Fantasmes, savoirs, liberté ». Plus de 200 œuvres - peintures, sculptures, photographies et objets d'art, mais aussi extraits de littérature, de danse, de musique et de cinéma - explorent l'évolution de l'image de la sorcière au XIXe siècle : de la figure effrayante à la femme fatale, jusqu'à devenir un symbole d'indépendance, de connaissance et de résistance face à l'obscurantisme. L'exposition est à découvrir jusqu'au 16 novembre. Entourées de serpents, de chauves-souris et de chats noirs, ces sorcières aux nez crochus et chapeaux pointus, volant sur leurs balais, hantent notre imaginaire depuis le Moyen Âge. Sophie Kervran, conservatrice en chef du Musée de Pont-Aven, souhaite mettre en lumière la femme derrière cette allégorie du mal, de la mort, du vice et de la vieillesse : « Notre exposition se centre vraiment sur la vision qu'ont les artistes du XIXe siècle sur cette figure qui a connu un renversement notamment avec la parution de l'ouvrage de Jules Michelet, qui s'intitule "La Sorcière" en 1862 et qui, pour une fois, montre une sorcière jeune, une femme positive en osmose avec les éléments naturels ». « Dans la campagne, on n'est jamais savant sans être quelque part sorcier », disait George Sand, romancière éclairée et femme farouchement indépendante du XIXe siècle, évoquant ainsi les guérisseuses du village et leurs connaissances de la médecine alternative. Mais l'exposition débute bien avant : « Quand le visiteur entre dans notre exposition, il est confronté à un tableau assez inquiétant qui s'appelle "Victime" de Gustave Moreau où on voit une femme avec un poignard dans le flanc et qui nous montre nous d'un signe accusateur. Et dans une vitrine, on a mis en parallèle le "Malleus Maleficarum", le Marteau des Sorcières, qui a été écrit en 1486 par deux moines dominicains, des inquisiteurs qui est en fait un traité, un véritable best-seller qui indique comment chasser la sorcière - la chasse aux sorcières a eu lieu du 15e au 17e siècle -, comment les torturer pour leur extorquer des aveux ». On estime entre 60 000 à 90 000 personnes pendues ou brûlées pour sorcellerie, dont deux tiers de femmes - victimes de superstition, de règlement de comptes, de misogynie, rappelle la directrice de ce musée en Bretagne qui fait également un clin d'œil à son propre patrimoine : « C'est un tableau d'Edgard Maxence qui s'appelle "La légende bretonne". Et là, pas d'attribut de la sorcière, pas de balai, pas de chapeau pointu, même pas de chat noir. Mais cette femme qu'on reconnaît sorcière parce qu'elle a cette chevelure rousse - et on sait combien le roux était symbolique du diable. Et puis sous sa houppelande d'hermine, on aperçoit ses pieds. Mais est-ce que ce sont des poulaines, ces chaussures médiévales, ou est-ce que ce sont des pieds de bouc ? ». L'ambivalence est reine dans cette exposition aux visions tantôt cauchemardesques, tantôt enchanteresses, des visions masculines que l'exposition met en contrepoint avec une vingtaine d'œuvres d'artistes femmes d'aujourd'hui. Dans sa série « Innocente », Dalila Dalléas Bouzar, d'origine algérienne, montre des sorcières noires, nues, libérées. Sans oublier que le sous-titre « Fantasmes, savoirs, liberté » de l'exposition rend aussi un hommage discret au mouvement iranien « Femme, Vie, Liberté », un rappel que la chasse aux sorcières n'est pas totalement éradiqué dans ce monde. À lire aussi«Sorginak»: à la redécouverte des sorcières du Pays Basque
Pour souffler ses quarante bougies, le Musée de Pont-Aven en Bretagne convoque les sorcières. Elles sont au cœur d'une exposition foisonnante intitulée « Sorcières ! Fantasmes, savoirs, liberté ». Plus de 200 œuvres - peintures, sculptures, photographies et objets d'art, mais aussi extraits de littérature, de danse, de musique et de cinéma - explorent l'évolution de l'image de la sorcière au XIXe siècle : de la figure effrayante à la femme fatale, jusqu'à devenir un symbole d'indépendance, de connaissance et de résistance face à l'obscurantisme. L'exposition est à découvrir jusqu'au 16 novembre. Entourées de serpents, de chauves-souris et de chats noirs, ces sorcières aux nez crochus et chapeaux pointus, volant sur leurs balais, hantent notre imaginaire depuis le Moyen Âge. Sophie Kervran, conservatrice en chef du Musée de Pont-Aven, souhaite mettre en lumière la femme derrière cette allégorie du mal, de la mort, du vice et de la vieillesse : « Notre exposition se centre vraiment sur la vision qu'ont les artistes du XIXe siècle sur cette figure qui a connu un renversement notamment avec la parution de l'ouvrage de Jules Michelet, qui s'intitule "La Sorcière" en 1862 et qui, pour une fois, montre une sorcière jeune, une femme positive en osmose avec les éléments naturels ». « Dans la campagne, on n'est jamais savant sans être quelque part sorcier », disait George Sand, romancière éclairée et femme farouchement indépendante du XIXe siècle, évoquant ainsi les guérisseuses du village et leurs connaissances de la médecine alternative. Mais l'exposition débute bien avant : « Quand le visiteur entre dans notre exposition, il est confronté à un tableau assez inquiétant qui s'appelle "Victime" de Gustave Moreau où on voit une femme avec un poignard dans le flanc et qui nous montre nous d'un signe accusateur. Et dans une vitrine, on a mis en parallèle le "Malleus Maleficarum", le Marteau des Sorcières, qui a été écrit en 1486 par deux moines dominicains, des inquisiteurs qui est en fait un traité, un véritable best-seller qui indique comment chasser la sorcière - la chasse aux sorcières a eu lieu du 15e au 17e siècle -, comment les torturer pour leur extorquer des aveux ». On estime entre 60 000 à 90 000 personnes pendues ou brûlées pour sorcellerie, dont deux tiers de femmes - victimes de superstition, de règlement de comptes, de misogynie, rappelle la directrice de ce musée en Bretagne qui fait également un clin d'œil à son propre patrimoine : « C'est un tableau d'Edgard Maxence qui s'appelle "La légende bretonne". Et là, pas d'attribut de la sorcière, pas de balai, pas de chapeau pointu, même pas de chat noir. Mais cette femme qu'on reconnaît sorcière parce qu'elle a cette chevelure rousse - et on sait combien le roux était symbolique du diable. Et puis sous sa houppelande d'hermine, on aperçoit ses pieds. Mais est-ce que ce sont des poulaines, ces chaussures médiévales, ou est-ce que ce sont des pieds de bouc ? ». L'ambivalence est reine dans cette exposition aux visions tantôt cauchemardesques, tantôt enchanteresses, des visions masculines que l'exposition met en contrepoint avec une vingtaine d'œuvres d'artistes femmes d'aujourd'hui. Dans sa série « Innocente », Dalila Dalléas Bouzar, d'origine algérienne, montre des sorcières noires, nues, libérées. Sans oublier que le sous-titre « Fantasmes, savoirs, liberté » de l'exposition rend aussi un hommage discret au mouvement iranien « Femme, Vie, Liberté », un rappel que la chasse aux sorcières n'est pas totalement éradiqué dans ce monde. À lire aussi«Sorginak»: à la redécouverte des sorcières du Pays Basque
durée : 00:05:12 - Le journal ici Pays Basque de 12h
durée : 00:04:10 - Le journal ici Pays Basque de 12h
durée : 00:04:38 - Le journal ici Pays Basque de 12h
durée : 00:04:25 - Le journal ici Pays Basque de 12h
Blanche peint à l'aquarelle comme d'autres écrivent des poèmes : avec lenteur, précision, et une infinie sensibilité. Derrière L'eau bleue, elle explore les transparences, les paysages et les instants suspendus, depuis son atelier à quelques pas de l'océan et bordé de nature. Dans cet épisode, elle nous raconte son chemin vers l'aquarelle, la joie de transmettre cette technique exigeante mais douce, son rapport au vivant et à la lumière, ainsi que l'équilibre qu'elle cultive entre création, contemplation et ancrage.Une immersion délicate dans l'univers d'une artiste de l'Ouest qui célèbre la beauté du simple et du lent.
durée : 02:00:06 - Le 5/7 - par : Mathilde MUNOS, Amaury Bocher, Elise Amchin - A 5H45, Sylvain Dissard-Engrand, monteur-ajusteur aéronautique au Pays Basque est l'invité Déjà Debout. A 6h20, Gaëlle Cannat, infrimière libérale.
durée : 00:04:46 - Déjà debout - A 5h45, Sylvain Dissard-Engrand, monteur-ajusteur aéronautique en reconversion au Pays Basque, est l'invité Déjà Debout.
durée : 00:04:46 - Déjà debout - A 5h45, Sylvain Dissard-Engrand, monteur-ajusteur aéronautique en reconversion au Pays Basque, est l'invité Déjà Debout. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:24:11 - Cuisine de la Réunion, un délice ! - Les restaurants Wayo Wayo à Biarritz et Anglet révèlent les saveurs traditionnelles de la cuisine réunionnaise avec des plats comme le rougail saucisse et le poulet coco. Derrière ce succès, Joël Salle et ses associés mettent un point d'honneur à respecter l'authenticité des recettes.
durée : 00:04:46 - Déjà debout - A 5h45, Sylvain Dissard-Engrand, monteur-ajusteur aéronautique en reconversion au Pays Basque, est l'invité Déjà Debout.
durée : 00:04:31 - Le journal ici Pays Basque de 12h
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durée : 00:04:33 - Le journal ici Pays Basque de 12h
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durée : 00:04:29 - Le journal ici Pays Basque de 12h
Émission exceptionnelle ce jeudi sur RTL2 : Éric Jean-Jean a pris ses quartiers sur la plage de Bidart, face aux vagues et aux surfeurs, à deux pas de Biarritz. Lunettes de soleil sur le nez et micro à la main, il vous accueille depuis le plus beau studio du monde, en direct du Pays Basque, juste avant le Concert Très Très Privé RTL2 de Jean-Louis Aubert prévu ce soir à 21h. Une parenthèse pop rock iodée à ne pas manquer. Les classiques du jour : - The Clash "Rock The Casbah" - Kraftwerk "Radioactivity" Les nouveautés du jour : - Miley Cyrus "Easy Lover" - HAIM "Take Me Back" Le journal de la musique : - La guitare emblématique de "Retour vers le futur" activement recherchée par Gibson - Morten Harket d'a-ha révèle être atteint de la maladie de Parkinson - Sortie prochaine du documentaire "It's Never Over, Jeff Buckley" La cover : Lorde reprend "Take Me To The River" d'Al Green Le live du jour : No Doubt "Just a Girl" (Live in Tragic Kingdom, 1997) Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:22 - Le journal ici Pays Basque de 12h
durée : 00:04:44 - Le journal ici Pays Basque de 12h
Direction Salinas de Añana (Álava) dans la vallée du sel pour découvrir 2 jeunes chefs Jokin Loma y Belén Sandrin qui ont ouvert Palacio de Anana, un lieu unique dans une vallée unique à 35 km de Vitoria. Travail avec les produits au KM 0, dans le Pays Basque pour proposer une carte et une expérience unique aux gourmands. Rencontre dans ce podcast avec Jokin et Belen pour en découvrir plus sur eux.
Rencontre avec le directeur du Basque Culinary Center Joxe Mari Aizega pour parler de la journée à Gétaria, sa vision de la gastronomie, son futur, la vision de la cuisine en Pays Basque.
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durée : 00:04:26 - Le journal ici Pays Basque de 12h
durée : 00:04:57 - Le journal ici Pays Basque de 12h
durée : 00:04:24 - Le journal ici Pays Basque de 12h
durée : 00:04:37 - Le journal ici Pays Basque de 12h
Send us a textFabien is the founder and managing director of FAB, established in 2015. FAB specializes in insurance and offers a network of relocation experts, administrative support, and specialist partners to help people settle and thrive in France. With extensive experience handling visa applications, Fabien likes to be regarded as an "immigration GP." He also served on the board of URSSAF Aquitaine and CPAM "Pays Basque" for four years, giving him in-depth knowledge of the French system.https://www.fabexpat.com/https://www.fabfrenchinsurance.com/https://www.survivefrance.com/https://www.youtube.com/@fabexpatshttps://www.instagram.com/fabexpats/Support the show
Cédrick Hugues était au téléphone des Grosses Tètes ce 3 mars. Il souhaite jumeler deux villes : l'une au Pays Basque, Guiche, et l'autre au Quebec, Lorraine... De quoi faire rire les Grosses Têtes ! Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.