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Il était une fois Mounya, qui rêvait d'avoir une vie comme dans la série La Petite Maison dans la Prairie, calme et posée, en famille. C'était sans compter sur sa rencontre avec le futur père de son fils qui lui était plutôt câbler sur le film Les Infidèles… En effet après leur mariage, les tensions montent, Mounya est enceinte de quelques mois quand une nouvelle dispute éclate et que le futur papa ne revient pas pendant une semaine, le temps pour Mounya de comprendre qu'il voit quelqu'un d'autre.Si d'abord elle panique quand à la suite de sa maternité en solo, finalement lui réapparaît et Mounya lui rouvre son coeur. Puis ils partent s'installer au Luxembourg mais à peine sont-ils en train d'emménager que Mounya répond au téléphone de son mari et découvre qu'il a déjà une liaison avec une femme sur place.C'en est trop Mounya reprend ses clics et ses clacs, bébé sous le bras pour construire sa vie de famille monoparentale. Aujourd'hui son fils a dix-huit ans et elle nous raconte tout le chemin parcouru.Dans cet épisode, on parle de tourner les talons, et de tout reconstruire à zéro.Bonne écoute !----------------------------------------------Pour soutenir Hello Solos, il vous suffit de mettre cinq étoiles et un avis sur votre application podcast. Parlez-en aussi autour de vous !Rejoignez la communauté des mamans solos : @hello.solos Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode, nous explorons le pronom en et la construction ne…que à travers le thème des aliments. Apprenez à les utiliser dans des phrases simples et des situations de la vie quotidienne tout en enrichissant votre vocabulaire autour de la nourriture. Tu veux améliorer ton français ?Je t'aide à progresser avec mon programme "Learn French" :️Parler | Écouter | Lire | ✍️ ÉcrireDébutant à Pré-intermédiaire : Niveaux A1 / A2 / B1 Rejoins le programme !Réserve une session gratuite ici :https://calendly.com/davidalexandercantu Pas sûr ? Rejoins le groupe WhatsApp pour du contenu exclusifhttps://chat.whatsapp.com/EoTmoMqppBkCGT0Q02uCux Suis-moi aussi sur les réseaux: Instagram: https://www.instagram.com/davidalexandercantuTiktok: https://www.tiktok.com/@davidalexanderfrenchFacebook: https://www.facebook.com/davidalexandercantuLinkedin: https://www.linkedin.com/in/davidalexandercantu
Pour ce numéro de «Parlez moi d'histoire», Guillaume Perrault reçoit deux spécialistes du Canada et des grands explorateurs. Laurent Veyssière, conservateur général du patrimoine et historien spécialiste de l'histoire de la Nouvelle France. Dominique Le Brun, écrivain de marine, est l'auteur de «Grands marins, de Cartier à Charcot, la saga des explorateurs français».Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Philippe RocheChanteur, humoriste, imitateur, et performer vocal hors pair. Philippe Roche n'est pas un artiste comme les autres. Il commence très jeune à vivre la scène : chant, imitations, variété, opéra, jazz… Il apprend à manier sa voix avec passion, et très vite ce don de la voix devient aussi son outil comique. Son spectacle “Et Dieu créa… La voix” en est un excellent exemple : un spectacle musical-humoristique dans lequel il nous raconte l'histoire de la voix — du premier cri de l'homme jusqu'à aujourd'hui — en mêlant performances vocales impressionnantes, imitations bluffantes (Kendji, Grand Corps Malade, Maître Gims, Christophe Maé, etc.) et humour sincère. Et ce n'est pas tout : il est aussi dans une phase de création, testant du matériel nouveau, improvisant, accordant la place au public. Son spectacle “nouveau spectacle en rodage” le montre bien : Philippe Roche continue de creuser, de jouer avec sa voix, ses histoires, son vécu, en scène. Ce qui rend Philippe vraiment touchant ? C'est qu'il ne se contente pas d'amuser : il se livre. Il partage avec beaucoup de détails personnels, des morceaux de vie, des émotions vraies. On sent dans ses spectacles une générosité, une humanité qui prend aux tripes — comme son art. Et au final, on ressort de son spectacle non seulement divertis, mais aussi un peu transformés.Episode 44Production exécutive du podcast : yumeegoProduction éditoriale : Véronique BarbeDirection artistique du podcast : Alexandre BréalMontage/Mixage : Alexandre BréalAvec les voix de Véronique Barbe & William Piletsites web : www.lezardurire.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Retrouvez la synthèse des Championnats du Monde de Trail Court et long à Canfranc Pyrénéos (25-28 septembre)Les Mondiaux de trail 2024 dans les Pyrénées espagnoles, ont tenu toutes leurs promesses avec des courses intenses et un superbe bilan pour la France.
Vincent Edin a publié en 2023 l'essai “En finir avec les idées fausses propagées par l'extrême droite”, aux éditions de l'Atelier. Au micro de Fanny Giansetto, il explique en quoi l'extrême droite fait preuve d'une grande incohérence lorsqu'il s'agit de se positionner sur l'écologie, et notamment sur l'agriculture intensive. Entre éloge de la souveraineté alimentaire, défense des petits paysans et cadeaux aux industriels, le journaliste nous explique en quoi l'extrême droite fait passer ses propres intérêts politiques et électoraux avant l'intérêt de l'agriculture paysanne et responsable, malgré un discours ambigüe sur le sujet. Pour entendre Vincent Edin commenter l'actualité politique, philosopher sur l'engagement en journalisme et nous présenter sa propre relation à l'alimentation durable, écoutez l'épisode complet [#31 -Vincent Edin, journaliste et écrivain, passe sur le grill d'Écotable].*** Pour nous soutenir : - Abonnez-vous à notre podcast ; - Donnez votre avis en mettant des étoiles et des commentaires sur votre plateforme d'écoute préférée ; - Parlez d'Écotable et de son podcast autour de vous ; - Allez manger dans nos restaurants vertueux et délicieux ! *** Écotable est une entreprise dont la mission est d'accompagner les acteurs du secteur de la restauration dans leur transition écologique. Elle propose aux restaurateurs une palette d'outils sur la plateforme www.ecotable.fr/proÉcotable possède également un label qui identifie les restaurants écoresponsables dans toute la France sur le site www.ecotable.frRéalisation : Emma ForcadeHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l'heure où la conscience écologique nous chamboule tous, on ne cesse d'entendre qu'il ne faut plus prendre l'avion, que voyager en train est l'idéal, alors certes les émissions de CO2 sont plus basses mais est-ce que cela correspond à tout le monde ?Ressources de l'épisode : Je vous organise votre voyage ou je vous aide à le préparer :
#127 Kiffe ton dictionnaire amoureux du féminismeQu'est-ce qui rend le Dictionnaire amoureux du féminisme de Rokhaya Diallo essentiel ? Il est rare qu'un livre global sur le féminisme en France soit porté par une autrice noire, et c'est précisément ce qui le rend si précieux : il dépasse la seule question du genre pour aborder, de façon assumée, les enjeux d'intersectionnalité, de lutte contre le racisme, le classisme et autres oppressions, en mêlant entrées théoriques, portraits biographiques et références à la pop culture.Grace Ly questionne aussi Rokhaya Diallo sur la réception de ce livre et la place singulière qu'elle occupe dans l'espace médiatique français : souvent invitée à débattre pour « faire de la contradiction », mais rarement pour exposer sa pensée propre. Tokenisée, vous avez dit ? Cet épisode célèbre la parole féministe, libre et complexe de la co-fondatrice de Kiffe ta race.Le Dictionnaire amoureux du féminisme de Rokhaya Diallo est publiée aux éditions Plon.Références citées dans l'épisode :-Festival Atlantide à Nantes https://www.atlantide-festival.org/-Pop Women festival à Reims https://www.popwomenfestival.com/Émission produite par Rokhaya Diallo et Grace Ly. kiffetarace@kiffetarace.comSon & réalisation : Monsieur Yao pour L'Appart StudioGraphisme : Gwenn GLMDirection artistique : @argotmagazineHabillage sonore : Baptiste MayorazKiffe ta race est disponible gratuitement sur Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Amazon Music… Rejoignez nos communautés #Kiffetarace sur Youtube, Instagram, X, Facebook en vous abonnant à nos comptes. Donnez-nous de la force en semant le maximum d'étoiles et de commentaires sur les plateformes d'écoute et la Toile. Likez, partagez, nous sommes à l'écoute. Parlez de nous à vos proches, vos collègues et même vos ennemis ! Le bouche-à-oreille et la solidarité sont nos meilleures armes.Kiffe ta race saute à pieds joints dans les questions raciales en France depuis 2018. Nous tendons notre micro à des penseur.ses, chercheur.ses, artistes, activistes pour mettre l'antiracisme sur le devant de la scène. “Kiffer sa race” est une expression des années 90-2000 qui signifie “passer un bon moment”, nous l'employons ici avec malice et conscience du double sens :) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour ce nouvel épisode « Personnalité », nous sommes très heureux de recevoir le journaliste et essayiste Vincent Edin. En mai 2025, il a publié l'essai “Sauver l'information de l'emprise des milliardaires” aux éditions Payot, co-écrit avec Olivier Legrain. Il y critique l'accaparement de l'information par quelques grands fortunés à l'influence toujours plus grande sur les médias, les maisons d'éditions et les écoles de journalisme. Cet essai rappelle l'urgence de lutter contre ce qu'il considère comme un des plus grands dangers pour notre démocratie, en soutenant la presse indépendante. Dans cet épisode, Vincent Edin retrace son parcours de journaliste et nous livre son opinion sur ce qu'est l'engagement dans ce métier. Enregistré le 10 septembre 2025, jour de révolte citoyenne, ce commentateur assidu de l'actualité nous a livré sa lecture du climat politique actuel, son rapport à l'alimentation écoresponsable en tant que père ou encore du lien entre l'extrême droite et l'agriculture intensive. Bonne écoute ! Mentionnés dans cet épisode :Le Coin Pop, 24 rue du marché Popincourt, 75011 ParisL'avant-poste, 7 rue de la Fidélité, 75010 Paris FranceLa maison vide, Laurent Mauvignier (Éditions de minuit)La nuit au coeur, Nathacha Appanah (Gallimard) Le coût de la vie, Deborah Lévy (Éditions du Sous sol) C'est bio la France ! 40 ans de label AB, 40 portraits (Agence bio), co-écrit avec Bertrand Guillot Ecole de la Réparation avec Stéphanie Calvino (Antifashion)*** Pour nous soutenir : - Abonnez-vous à notre podcast ; - Donnez votre avis en mettant des étoiles et des commentaires sur votre plateforme d'écoute préférée ; - Parlez d'Écotable et de son podcast autour de vous ; - Allez manger dans nos restaurants vertueux et délicieux ! *** Écotable est une entreprise dont la mission est d'accompagner les acteurs du secteur de la restauration dans leur transition écologique. Elle propose aux restaurateurs une palette d'outils sur la plateforme www.ecotable.fr/proÉcotable possède également un label qui identifie les restaurants écoresponsables dans toute la France sur le site www.ecotable.frRéalisation : Emma ForcadeHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La fille de philippe vient d'avoir son permis : "parlez-nous de votre première voiture"
Manuela n'avait pas envie de devenir mère, elle voulait privilégier sa carrière dans la finance et comme souvent, une rencontre va tout changer. Elle se marie et s'ouvre à la perspective d'avoir un enfant mais pas plus. Une fois la décision prise, Manuela tombe rapidement enceinte et devient la maman d'un petit garçon, Harry. Contre toute attente elle se sent très épanouie dans ce nouveau rôle et ne s'attend pas à vivre la plus douloureuse épreuve de sa vie. Alors que son bébé a à peine deux mois de vie, elle le découvre inerte un matin dans son lit. Les secours arrivent rapidement et Manuela est persuadée que tout ira bien. Mais le coup de massue tombe, quand on lui annonce que son fils Harry ne se réveillera plus, victime de la mort subite du nourrisson.Si son mari craque immédiatement, il va falloir plus de temps à Manuela pour réaliser ce drame. Et le couple, plus soudé que jamais, se relève ensemble. Manuela devient par la suite la maman de deux autres enfants car cette terrible épreuve a aussi éveillé plus que jamais son désir de maternité. Bonne écoute !---------------------------------------------Pour soutenir HelloMammas, il vous suffit de mettre cinq étoiles et un avis sur votre application podcast. Parlez-en aussi autour de vous !Rejoins la communauté sur Instagram : @hello.mammas Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Si vous traversez un moment difficile, commencez une thérapie avec BetterHelp, le sponsor de cette vidéo.
Il était une fois Virginie, qui a démarré son conte de fée dès l'adolescence puis elle découvre sa grossesse surprise à dix-sept ans. Trois enfants plus tard, un mari qui travaille beaucoup et sa vie de mère au foyer, Virginie se sent très seule. Elle part souvent seule en vacances avec ses enfants et lors d'une de ces échappées, elle fait la rencontre d'un autre homme. Virginie comprend alors qu'elle n'est plus heureuse dans son couple et décide de trouver un boulot pour pouvoir divorcer.Divorce en cours, divorce très conflictuel, elle prend ses nouveaux repères puis fait la rencontre d'un homme charmant. Le couple décide d'avoir un enfant mais après son accouchement, Virginie découvre que le papa la trompe. La voilà pour la deuxième fois maman solo, elle doit alors retourner vivre chez ses parents, gérer tous les rendez-vous de suivi pour sa fille porteuse de trisomie 21 et c'est la descente aux enfers quand les services sociaux viennent sonner à sa porte et lui retirent la garde de sa fille.Dans cet épisode on parle de tendre un piège, de tomber dans un monde parallèle, et d'avoir l'élan pour partir.Bonne écoute !----------------------------------------------Pour soutenir Hello Solos, il vous suffit de mettre cinq étoiles et un avis sur votre application podcast. Parlez-en aussi autour de vous !Rejoignez la communauté des mamans solos : @hello.solos Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Comme disait le philosophe : "L'enfer, c'est les autres". Nous avons tous eu des collègues qui ont rendu notre quotidien un peu plus compliqué. Dans mon dernier épisode de Happy Work, je vous parle de ces fameux profils de collègues parfois difficiles à gérer et des solutions pour mieux travailler avec eux.
Les championnats du monde de trail court et long approchent à grands pas. Cette année, rendez-vous à Canfranc-Pirineos du 25 au 28 septembre en Espagne, avec environ 1700 athlètes et 70 pays attendus.Côté français, la sélection est dense et ambitieuse sur le trail court et le trail long. Sur le trail court, on retrouvera Thomas Cardin, champion d'Europe en grande forme, épaulé par Frédéric Tranchand, Sylvain Cachard, Thomas Butez, Johann Baujard et Pierre Galbourdin. Chez les femmes, Clémentine Geoffray championne du monde et d'Europe en titre mènera l'équipe, avec Lucille Germain, Emilie Menuet, Olivia Magnone et l'expérimentée Adeline Martin, déjà championne du monde en 2017.Cette année sur le trail long nous attendons un duel explosif entre la France et les États-Unis.Coté Français : Chez les hommes Vincent Bouillard, vainqueur de l'UTMB 2024, Benjamin Roubiol champion du monde en titre, Baptiste Chassagne 2ème de l'UTMB 2024, Louison Coiffet, Robin Juillaguet et Mathieu Delpeuch. Chez les femmes, Marion Delespierre championne du monde en titre, Anne-Lise Rousset 2ème de la hardrock 2023, Hillary Gerardi, Jennifer Lemoine, et Anne-Cécile Thévenot.Coté Américain : Sur le trail long hommes, des noms qui claquent : Jim Walmsley vainqueur de l'UTMB 2023, 4 fois vainqueur de la western states, Zach Miller 2ème de l'UTMB 2023, Adam Peterman, entourés de Tyler Green, Caleb Olson et Tracen Knopp.Chez les femmes, Katie Schide double vainqueur de l'UTMB, vainqueur de la hardrock 2025 et de la western 2024 mènera l'équipe américaine féminine, avec Jennifer Lichter, Allison Baca, Emily Schmitz, Klaire Rhodes et Shea Aquilano.Une confrontation de titans, entre la densité française et la puissance américaine, qui régnera sur les championnats du monde de trail de Canfranc-Pirineos 2025 ?
Pia MoustakiAujourd'hui, je vous présente Pia Moustaki : auteure-interprète, femme de culture, et gardienne d'un héritage riche et vivant.Pia est née à Paris, fille de Georges Moustaki, le célèbre « métèque », et de Yanick (Yanick Varech), poétesse bretonne. Elle grandit entre Orient et Occident, bercée par la poésie, la musique, les voyages — son père la fera voyager en tournée très jeune. Très tôt, Pia explore plusieurs métiers de l'ombre de la culture : costumière, assistante de production et de casting, voix-off pour documentaires, etc. Elle ne se contente pas de l'entourage artistique, elle se lance elle-même : elle écrit ses chansons, compose son propre univers. Parmi ses étapes marquantes :En 1979, elle chante pour la première fois sur disque en duo avec son père sur « Elle est elle ». En 1985, elle enregistre le 45 tours Watcha Watcha avec le compositeur malgache Roger Khâ, ce qui l'amène à tourner, notamment à Madagascar et en Bretagne. En 2000, elle collabore avec Vincent Sarciaux pour développer un nouveau répertoire, jouer sur scène, expérimenter. En 2009, paraît l'album Femme du Monde dont elle est l'auteure pour les textes ; plusieurs musiciens l'accompagnent. En 2012, elle et son père enregistrent ensemble une chanson, Sur un Air de Ressemblance, un moment unique professionnellement et personnellement. Et puis il y a "Fille de Métèque", son autobiographie (co-écrite avec Colette Ollivier-Chantrel), publiée chez Plon en 2019. Ce récit revient sur ses racines — grecque, bretonne — les grandes influences, les manques, les joies, mais aussi le métier, l'art, la mémoire de son père. Aujourd'hui, Pia Moustaki partage non seulement ses chansons, mais aussi sa voix à travers ce regard sur le passé, sur l'identité et sur l'art. Elle vit entre Saint-Malo et Paris, continue d'écrire, de chanter, et d'entretenir la mémoire artistique de son père tout en affirmant sa propre singularité.Mais vous allez en savoir encore dans ce potecast !Episode 43Production exécutive du podcast : yumeegoProduction éditoriale : Véronique BarbeDirection artistique du podcast : Alexandre BréalMontage/Mixage : Alexandre BréalAvec les voix de Véronique Barbe & William Piletsites web : www.lezardurire.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Éléphants, pigeons, sangliers et même chiens ont appris à se méfier de l'espèce humaine quand elle lui veut du mal. Parlez-vous l'éléphant ? Les éléphants, eux, reconnaissent les langues et dialectes humains. L'expérience a été menée au Kenya auprès de dizaines de troupeaux. On diffusait par haut-parleur des phrases du peuple des Massaï, et d'autres de l'ethnie des Kamba. Pas de changement notable de comportement avec les Kamba, pacifistes. En revanche, face aux voix des Massaï, les éléphants devenaient nerveux, avant de se regrouper, identifiant un danger, celui des Massaïs qui tuent régulièrement des pachydermes. Un éléphant se trompe rarement. À lire aussiLes barrissements des éléphants comparables à des noms pour se désigner, selon une récente étude Les pigeons, eux, gardent la mémoire des visages. C'est ce qu'ont montré deux chercheurs français. L'un, bienveillant, donnait à manger aux pigeons, alors que l'autre s'amusait à leur faire peur, à les chasser. Un mois plus tard, les deux scientifiques sont revenus. Les pigeons se sont tout de suite approchés du gentil, en évitant le méchant. La corneille, l'un des oiseaux les plus intelligents, est aussi capable de se souvenir de ceux qui leur font du mal, ou les dérangent, comme nous le racontait le biologiste Frédéric Jiguet, qui a l'habitude d'attraper des corneilles pour les baguer. « Je capture des corneilles, ici, au Jardin des plantes depuis quelques années, et des individus me reconnaissent et sonnent l'alarme auprès de leurs congénères pour signaler que le méchant monsieur est là, témoigne le chercheur au Museum national d'histoire naturelle. En 2020, on a eu un confinement assez long, je suis revenu début juin, avec un masque. J'étais à peine entré dans le jardin qu'une corneille donnait l'alerte à toutes les autres en disant : "Cette personne est là, elle est revenue !" » Il y a aussi le cas des Bernaches, des oies migratrices, qui comprennent très bien le sens d'un coup de fusil. On s'est aperçu qu'elles avaient appris à contourner les zones de chasse. C'est aussi pour éviter de croiser des humains que des mammifères sont devenus nocturnes, comme les cerfs, les sangliers. Un apprentissage collectif. Mais quand la chasse est interdite, on les voit plus souvent le jour. On termine avec une histoire de pizza et de chien, « le meilleur ami de l'homme ». Un chien agressif en présence de certains humains, mais pas tous, sans qu'on sache pourquoi. Jusqu'à ce qu'on comprenne que chaque personne à ses yeux indésirables venait de manger de la pizza. Les chiens sentent très bien les odeurs, et pas seulement celle de la mozzarella : leur odorat est 40 fois plus développé que le nôtre. Mais pourquoi une telle phobie de la pizza chez ce chien ? C'est un traumatisme lié à l'enfance ; le jeune chiot avait reçu un coup de pied d'un livreur de pizza. Et depuis, il associait l'odeur de la pizza à un danger. La question de la semaine
« »Cette année Les restos du cœur de la Charente fêtent leurs 40 ans et organisent la tournée des 40 ans et vous invitent à applaudir […]
Parlez-nous de la dernière chose qui vous a étonné
C'est le retour de Daniela Martins dans le podcast, trois ans après notre premier épisode (n°XXX) dans lequel elle nous racontait son parcours de maternité, les joies et les galères du quotidien. Que ce n'était que du bonheur… ou pas ! Daniela avait aussi évoqué sa propre enfance qui a été marquée par des violences physiques et psychologiques, et aujourd'hui elle a décidé de revenir plus en profondeur sur ce parcours difficile qui a marqué sa vie de femme et sa maternité.Comment elle s'est reconstruite après avoir traversé de nombreuses violences jusqu'à la rencontre avec le papa de ses enfants ? Comment elle essaie au quotidien de maîtriser sa propre colère pour ne pas reproduire un schéma violent envers ses propres enfants ? Pourquoi les violences subies dans son enfance ont continué à l'âge adulte sous d'autres formes ? Comment fait-elle la paix aujourd'hui avec son passé pour enfin se retrouver ?Un épisode doux et puissant qui montre toutes les conséquences qu'a la violence parentale sur une enfant qui voulait juste de l'amour.Bonne écoute !---------------------------------------------Pour soutenir HelloMammas, il vous suffit de mettre cinq étoiles et un avis sur votre application podcast. Parlez-en aussi autour de vous !Rejoins la communauté sur Instagram : @hello.mammas Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Il était une fois Émilie, jeune femme qui n'est pas spécialement attirée par la maternité et qui préfère privilégier sa carrière jusque'à ce qu'elle rencontre le père de ses futurs enfants. Lui, très sociable, aime faire la fête. Sauf que quand Émilie est enceinte, la fête bat toujours son plein et elle se sent vite très seule à tout porter. Alors après un temps de réflexion, surtout pour l'équilibre de ses enfants, elle décide de se séparer. La garde alternée s'installe mais la fête bat toujours son plein du côté du papa, l'alcoolisme et le danger s'installent alors Émilie n'a plus d'autre choix que de préserver ses enfants. Elle obtient leur garde exclusive.Et puis la fête s'arrête, le papa de ses enfants décède et Émilie doit alors gérer le deuil de ses enfants, la succession de la maison et l'ex belle-mère en colère. Là voilà maman solo à 100% oscillant entre sa vie de mère, sa vie de femme, installant petit à petit sa nouvelle carapace.Dans cet épisode on parle de nom de code, du sentiment de liberté qui s'effiloche et de devenir la mauvaise. Bonne écoute !----------------------------------------------Pour soutenir Hello Solos, il vous suffit de mettre cinq étoiles et un avis sur votre application podcast. Parlez-en aussi autour de vous !Rejoignez la communauté des mamans solos : @hello.solos Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
[Redif du 31/3/25] Au-delà du titre de l'épisode qui vise à faire réagir, quels liens peut-on faire entre notre foi en la Trinité et notre lecture de l'Ancien Testament ? C'est la thématique que nous abordons ce matin avec Pamphile Legba, sulpicien et doctorant en Ecriture sainte aux Facultés Loyola : nous revenons ainsi sur une conférence qu'il a donnée dans le cadre du cycle "s'initier à la théologie : Parlez-nous de la Trinité !".Page de Pamphile Legba sur le site des Facultés Loyola : https://www.loyolaparis.fr/enseignant/sonassoun-pamphile-leretour-legba/ Interview menée par Isabelle de La Garanderie, doctorante en théologie aux Facultés Loyola ParisEnregistrement et montage : Cyprien Rigolot. Musique : Improvisations au piano de Pascal Marsault Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quel homme était le noble prophète béni ?Le joyau de la Prophétie #33Émission live "Parlez-moi d'islam" du samedi 13 septembre 2025____________________________________________
Marc FraizeOn reçoit un humoriste à l'univers unique : Marc FraizeFormé très tôt au théâtre, il se passionne pour l'art de la scène et crée rapidement un personnage devenu culte : Monsieur Fraize, ce grand timide en pull rouge, décalé et maladroit, qui fait rire autant par ses silences que par ses mots. Ce personnage atypique, il l'a rodé dans les cafés-théâtres, avant de s'imposer sur les scènes nationales, puis à l'Olympia, et même au cinéma.On l'a vu dans plusieurs films de Michel Hazanavicius ou Pierre Salvadori, mais aussi dans des comédies populaires où son jeu subtil apporte toujours une touche singulière. À la télévision, il participe à de nombreuses émissions humoristiques et festivals, comme Montreux, où son style absurde et poétique séduit aussi bien les spectateurs que les professionnels.Aujourd'hui, Marc Fraize continue de tourner avec ses spectacles, toujours en explorant ce mélange rare de tendresse, d'humour et de malaise joyeux, qui fait de lui un artiste à part dans le paysage comique français. Bref, un vrai créateur d'univers, qu'on est ravi d'accueillir dans ce podcast !Episode 42Production exécutive du podcast : yumeegoProduction éditoriale : Véronique BarbeDirection artistique du podcast : Alexandre BréalMontage/Mixage : Alexandre BréalAvec les voix de Véronique Barbe & William Piletsites web : www.lezardurire.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet extrait de l'épisode [We are the champions #1: Sezono, Prix du restaurant végétal], Fanny Giansetto parle végétarisme et engagement écologique avec Ai Loan Dupuis, fondatrice de Sezono.Lauréat du prix du Restaurant Végétal lors du Palmarès Écotable 2025, Sezono est un restaurant et traiteur bio, local, de saison et zéro déchet. Pour Ai Loan Dupuis, réduire ou arrêter la consommation de viande est l'enjeu écologique numéro un. C'est pourquoi elle a décidé de placer le légume au cœur de ses menus. Pour en apprendre plus sur le projet de Sezono et sur l'engagement d'Ai Loan pour une cuisine plus végétale, retrouvez l'épisode complet sur toutes les plateformes d'écoute ! *** Pour nous soutenir : - Abonnez-vous à notre podcast ; - Donnez votre avis en mettant des étoiles et des commentaires sur votre plateforme d'écoute préférée ; - Parlez d'Écotable et de son podcast autour de vous ; - Allez manger dans nos restaurants vertueux et délicieux ! *** Écotable est une entreprise dont la mission est d'accompagner les acteurs du secteur de la restauration dans leur transition écologique. Elle propose aux restaurateurs une palette d'outils sur la plateforme www.ecotable.fr/proÉcotable possède également un label qui identifie les restaurants écoresponsables dans toute la France sur le site www.ecotable.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Parlez-en à vos parents, grands-parents, en 1965, ils ne sont pas allés voir que Sean Connery alias James Bond, les Beatles, John Wayne et Omar Sharif. Non, ils sont comme un spectateur sur cinq, allés voir au moins un film avec Louis de Funès. Un acteur qui a bien changé de registre car figurez-vous que l'année précédente, l'ORTF, l'unique chaîne de télé a diffusé une quinzaine de films avec lui, dont certains où il tient, déjà, le premier rôle. Mais ce n'est pas celui qui, métamorphosé, explose à l'écran : nerveux, roublard, vaniteux, ignoble avec ses subalternes et larvaire devant les plus grands que lui. Un personnage qu'il a développé en interprétant au théâtre le rôle de Bertrand Barnier dans la pièce Oscar, et qui lui a valu une première consécration. Tout Paris, toute la France et la Belgique ont couru voir cette comédie, attendant la fameuse tirade du nez dont tout le monde parle. Il y a eu, bien sûr, des tests, des répétitions, mises au point au cinéma, comme dans Des pissenlits par la racine, Carambolages, Faites sauter la banque ou encore Pouic Pouic, qui au début des années 60 font des succès mais se noient partie du flux de films qui nourrit la programmation de milliers de salles depuis la fin de la guerre. Des cinémas de 2000 places où on entre sans savoir le film qu'on va voir, avec un premier long métrage, des actualités et un dessin animé, avant le grand film.C'est totalement incompréhensible et pourtant qui alors pour remarquer dans le jeu de Louis de Funès autre chose que des grimaces. Car on n'a jamais vu ça, un premier rôle qui utilise autant les mimiques que la parole, … et puis ses colères ! Les gens finissent d'ailleurs par y croire. Il est comme ça dans la vie. Et la rumeur court, dans les milieux du théâtre et du cinéma, comme quoi, Louis de Funès serait colérique, qu'il s'emporterait sur ses partenaires et les techniciens. De Funès s'en amuse mais ne contredit pas, il laisse la rumeur devenir sa réputation. Il se confiera un jour à une journaliste en disant : on dit que je brouiller avec tout le monde. Ça fait tellement peur à la troupe que tous jouent sans rigoler et c'est tant mieux. C'est le public qui doit rire, pas nous. Et comme je suis moi-même rieur et qu'il ne faut pas me pousser, faire régner la terreur est le seul truc que j'ai trouvé pour faire rire le public sérieusement.Et puis c'est pour cela que tout le monde s'est pressé en salles en cette année 1965, pour ces colères tellement spectaculaires qu'elles en deviennent irrésistiblement drôles. Cruchot, Saroyan et Juve, flic ou voyou, ont imprimé sur la pellicule une image tellement forte que soixante ans après, ils restent les seuls personnages du cinéma des années 60 à être toujours diffusés sur une chaîne généraliste en prime time avec la certitude que le lendemain, ils figureront en tête du box-office. Comme les Rolling Stones, finalement, pour qui l'année 1965 a aussi été celle de la révélation, du phénomène.
Dans cet épisode, Florence reçoit Lionel Pioline, triple champion du monde de trampoline dans les années 80 et aujourd'hui président du Pôle France trampoline d'Antibes. Plongez dans son parcours exceptionnel et découvrez son rôle clé dans l'organisation de la Coupe du Monde de trampoline qui se tient à Antibes du 3 au 5 octobre 2025. Les questions abordées
Est-ce que tout le monde est riche ? Combien ça rapporte d'être serveur dans un restaurant ? Ressources de l'épisode :
#126 Musulman•es de France : le soupçon permanent ? En mai 2025, le rapport "Frères musulmans et islamisme politique en France" fait couler beaucoup d'encre. Présenté comme la preuve d'une inquiétante gangrène mais aussi critiqué pour son manque de rigueur, il semble comme tant de commentateurs, analyser les pratiques les plus anodines de l'islam comme des signaux de proximité avec des mouvements extrémistes.Parallèlement toute personnalité publique ouvertement musulmane et critique de l'islamophobie encourt le risque d'être accusée de proximité d'un islam dit « politique » dont on a du mal à dessiner les contours. C'est un régime de suspicion qui semble assimiler une frange de plus en plus large des musulman•es à un mouvement global qui menacerait les civilisations européennes. Qu'est ce qui constitue donc ce « problème musulman » ?Rokhaya Diallo et Grace Ly reçoivent Hamza Esmili, socio-anthropologue du religieux et chercheur à l'Université libre de Bruxelles (Belgique), auteur du livre « La cité des musulmans, une piété indésirable » paru aux éditions Amsterdam.Références citées dans l'épisode :«Djihad judiciaire»: l'inquiétante stratégie d'intimidation des islamistes - Le Figaro- février 2024Audition de Hakim El Karoui par la commission des lois du Sénat mars 2021https://www.youtube.com/watch?v=FJzGYMKm-8A Huffington Post, octobre 2019https://www.tf1.fr/tmc/quotidien-avec-yann-barthes/videos/a-bas-le-voile-le-discours-choc-de-bruno-retailleau-lors-du-meeting-pour-la-republique-contre-lislamisme-78466039.html Bruneau Retailleau sur Quotidien, mars 2025Émission produite par Rokhaya Diallo et Grace Ly. kiffetarace@kiffetarace.comSon & réalisation : Monsieur Yao pour L'Appart StudioGraphisme : Gwenn GLMDirection artistique : @argotmagazineHabillage sonore : Baptiste MayorazKiffe ta race est disponible gratuitement sur Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Amazon Music… Rejoignez nos communautés #Kiffetarace sur Youtube, Instagram, X, Facebook en vous abonnant à nos comptes. Donnez-nous de la force en semant le maximum d'étoiles et de commentaires sur les plateformes d'écoute et la Toile. Likez, partagez, nous sommes à l'écoute. Parlez de nous à vos proches, vos collègues et même vos ennemis ! Le bouche-à-oreille et la solidarité sont nos meilleures armes.Kiffe ta race saute à pieds joints dans les questions raciales en France depuis 2018. Nous tendons notre micro à des penseur.ses, chercheur.ses, artistes, activistes pour mettre l'antiracisme sur le devant de la scène. “Kiffer sa race” est une expression des années 90-2000 qui signifie “passer un bon moment”, nous l'employons ici avec malice et conscience du double sens :) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour ce premier épisode de We are the champions, hors-série qui présente les lauréats du Palmarès Écotable 2025, nous sommes très heureux de recevoir Ai Loan Dupuis, fondatrice et cheffe du restaurant végétal Sezono, situé dans le 10ème arrondissement de Paris.Après un début de carrière en cabinets de conseil, Ai Loan s'est formée à l'école Ferrandi pour réaliser son rêve : mêler cuisine et écologie. Ainsi est né Sezono, restaurant et traiteur bio, local, de saison, zéro déchet et où le légume est roi. Reconversion, équilibre entre gestion d'un restaurant et maternité, cuisine végétarienne, engagement écologique… L'histoire d'Ai Loan inspire et incite à remettre en question nos choix d'alimentation sans renoncer à la gourmandise. Pour cela, un seul mot à retenir : le légume. Bonne écoute ! Cité dans cet épisode :La Caverne, ferme urbaine à Paris (18ème)*** Pour nous soutenir : - Abonnez-vous à notre podcast ; - Donnez votre avis en mettant des étoiles et des commentaires sur votre plateforme d'écoute préférée ; - Parlez d'Écotable et de son podcast autour de vous ; - Allez manger dans nos restaurants vertueux et délicieux ! *** Écotable est une entreprise dont la mission est d'accompagner les acteurs du secteur de la restauration dans leur transition écologique. Elle propose aux restaurateurs une palette d'outils sur la plateforme www.ecotable.fr/proÉcotable possède également un label qui identifie les restaurants écoresponsables dans toute la France sur le site www.ecotable.frRéalisation : Lucie Jannon et Emma ForcadeHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Plus jeune Lou ne se projetait pas du tout dans le mariage et si elle souhaitait devenir mère, elle se serait sûrement tourner vers l'adoption. Non pour elle ce qui comptait avant tout c'était sa carrière, les voyages, et surtout elle n'avait pas connu de modèle de couples heureux. Et puis une rencontre va tout changer, celle du grand amour. Si ce n'était pas du tout ce que Lou avait prévu, elle se laisse porter par cette belle histoire, se marie et devient maman d'une petite fille. Lou décide de mettre de côté sa carrière pour se concentrer sur sa maternité. Les premiers mois, elle est dans l'hyper contrôle, ne laisse jamais sa fille à personne, elle veut que tout soit parfait et se perd dans ce tourbillon. Elle qui adorait travailler, qui adorait faire du sport, elle n'arrive plus à se reconnecter à celle qu'elle était et sombre dans la dépression post-partum.Heureusement Lou fait la rencontre d'une super sage-femme à la PMI qui va lui donner de précieux conseils. Petit à petit elle réussit à se reconnecter à elle grâce au sport et à la cuisine, nouvelle passion dont elle a fait son métier.Bonne écoute !---------------------------------------------Pour soutenir HelloMammas, il vous suffit de mettre cinq étoiles et un avis sur votre application podcast. Parlez-en aussi autour de vous !Rejoins la communauté sur Instagram : @hello.mammas Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Il était une fois Marie, qui préférait construire sa carrière plutôt qu'une famille mais une appli de rencontres va tout bouleverser. Elle qui sort d'une période douloureuse après avoir eu un cancer du sein, fait la rencontre d'un homme charmant et c'est le coup de foudre. Leur relation va vite et Marie qui pensait ne pas pouvoir avoir d'enfant découvre sa grossesse. Ensemble ils décident d'avoir ce bébé et Marie quitte tout pour s'installer avec lui, à deux heures de chez elle.C'est là que les disputes, les violences verbales et le contrôle se révèlent. Marie va passer toute sa grossesse à subir les humeurs changeantes du futur papa qui la met régulièrement à la porte de chez eux. Jusqu'à la fois de trop où elle décide de partir pour de bon… ou presque.Dans cet épisode on parle de remonter à la surface, de faire du bon bouleau et de pouvoir décider d'être maman solo.Bonne écoute !----------------------------------------------Pour soutenir Hello Solos, il vous suffit de mettre cinq étoiles et un avis sur votre application podcast. Parlez-en aussi autour de vous !Rejoignez la communauté des mamans solos : @hello.solos Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La fin de la mission prophétiqueLe joyau de la Prophétie #32Émission live "Parlez-moi d'islam" du samedi 6 septembre 2025____________________________________________
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur, Charles Consigny, avocat, et Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Juliette s'est toujours imaginée mariée, mère de deux enfants, dans un pavillon avec un chien, bien rangée dans son métier. Vous l'aurez compris le bon gros cliché ! Mais elle réalise que cette vie très cadrée ne la rend pas heureuse, et quitte son job confortable pour devenir comédienne. Et c'est vers ses trente ans qu'elle ressent l'envie viscérale d'avoir un bébé.Après quelques examens et une opération des kystes, Juliette tombe enceinte et devient maman d'un petit garçon. Aujourd'hui son fils a douze ans alors on revient ensemble sur son parcours de maternité, sur les injonctions qui pèsent sur les mères, du partage des tâches, de faire chambre à part, du couple qui dure et de la vie de comédienne quand on est mère.On parle aussi de la quarantaine, cet âge charnière pour les femmes qui ont beaucoup de pression quant à leur fertilité, et pour Juliette la question d'avoir un deuxième enfant quand le tic tac de l'horloge biologique sonne de plus en plus fort.Bonne écoute !---------------------------------------------Pour soutenir HelloMammas, il vous suffit de mettre cinq étoiles et un avis sur votre application podcast. Parlez-en aussi autour de vous !Rejoins la communauté sur Instagram : @hello.mammas Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Il était une fois Virginie, qui a toujours rêvé de vivre un conte de fée, comme ses parents ensemble depuis leur adolescence. Mais après quelques relations longues et ex pervers narcissique, Virginie n'a plus confiance en elle et fait une dépression. Persuadée d'être nulle dans tout ce qu'elle fait et de ne pas mériter l'amour avec un grand A. Alors c'est au fur et à mesure de séances de psy que Virginie comprend que ce n'est pas d'un homme dont elle a besoin mais de devenir mère. Et une fois qu'elle a remonté la pente, elle démarre un parcours de PMA en France et tout se passe assez rapidement.Depuis neuf mois, Virginie est maman solo d'une petite fille et sa maternité lui a redonné confiance en elle. Elle a trouvé son rythme en tant qu'infirmière qui travaille de nuit et peut-être même qu'elle a retrouvé l'amour…Dans cet épisode on parle de voir les autres avancer, d'avoir une crèche ouverte 24h/24 et de ne pas avoir peur d'élever un enfant toute seule.Bonne écoute !----------------------------------------------Pour soutenir Hello Solos, il vous suffit de mettre cinq étoiles et un avis sur votre application podcast. Parlez-en aussi autour de vous !Rejoignez la communauté des mamans solos : @hello.solos Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le pèlerinage d'adieu du Prophète béniLe joyau de la Prophétie #31Émission live "Parlez-moi d'islam" du samedi 30 août 2025____________________________________________
#125 Les manifestations du racisme anti-asiatique en France, de la « blague » raciste, les discriminations au travail aux expressions les plus tragiques, nous rappellent que ce racisme n'est pas isolé mais structurel dans notre société. Pourquoi les stéréotypes racistes du « péril jaune » aux ravages de la colonisation perdurent dans le traitement médiatique et les productions culturelles ? Comment dépasser le mythe de la « minorité modèle » et reconnaître la pluralité des communautés, des luttes et des engagements ?Avec notre invitée Linh-Lan Dao, journaliste et autrice de l'essai Vous les Asiates.Références citées dans l'épisode :- Article dans Libération sur le Comité France-Chine du MEDEF : https://www.liberation.fr/societe/police-justice/accusations-de-harcelement-et-de-racisme-au-comite-france-chine-affilie-au-medef-jamais-je-nai-connu-un-tel-environnement-toxique-20240110_XELGD26DPFFPJLHZDJ2ZJ5XOO4/- Proposition de loi portant reconnaissance de la Nation envers les rapatriés d'Indochine https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/17/dossiers/reconnaissance_nation_rapatries_indochine_17- Le film Allée des Jasmins, de Stéphane Ly-Cuong https://www.respiroproductions.com/film/allee-des-jasmins- Le podcast Vietnam-sur-Lot, de Alix DouartÉmission produite par Rokhaya Diallo et Grace Ly. kiffetarace@kiffetarace.comSon & réalisation : Monsieur Yao pour L'Appart StudioGraphisme : Gwenn GLMDirection artistique : @argotmagazineHabillage sonore : Baptiste MayorazKiffe ta race est disponible gratuitement sur Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Amazon Music… Rejoignez nos communautés #Kiffetarace sur Youtube, Instagram, X, Facebook en vous abonnant à nos comptes. Donnez-nous de la force en semant le maximum d'étoiles et de commentaires sur les plateformes d'écoute et la Toile. Likez, partagez, nous sommes à l'écoute. Parlez de nous à vos proches, vos collègues et même vos ennemis ! Le bouche-à-oreille et la solidarité sont nos meilleures armes.Kiffe ta race saute à pieds joints dans les questions raciales en France depuis 2018. Nous tendons notre micro à des penseur.ses, chercheur.ses, artistes, activistes pour mettre l'antiracisme sur le devant de la scène. “Kiffer sa race” est une expression des années 90-2000 qui signifie “passer un bon moment”, nous l'employons ici avec malice et conscience du double sens :) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Êtes-vous certain de maîtriser la langue française ? Règles de grammaire étonnantes, abus de langage, vocabulaire mal employé, origine insoupçonnée d'expressions... vous allez être surpris ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
À l'occasion de la deuxième édition du Palmarès Écotable, Laurène Petit, co-secrétaire générale de la Communauté Écotable, et 4 invités ont pris le micro pour discuter d'agriculture, de gastronomie et de politique. Coup de gueule, appels à mobilisation et chiffres à l'appui : on peut dire qu'ils ont mis les pieds dans le plat, et n'y sont pas allés avec le dos de la cuillère !Le dernier relayeur à passer au micro de Laurène est Jean-Hugues Bretin, Fondateur de l'application Raisin, qui permet de retrouver les endroits qui servent et produisent du vin naturel. C'est donc en parlant de vin, de bière et de gastronomie engagée que Jean-Hugues est venu clôturer ce marathon d'interviews en beauté !Pour en savoir plus sur Raisin et son fondateur, n'hésitez pas à aller écouter l'épisode de podcast qui lui est dédié : https://audmns.com/zrkGPGW
Dans le cadre de notre semaine spéciale de replay [L'envers du verre], (re)écoutez l'épisode [#42 - Quels sont les impacts de notre consommation de thé ? avec Pierre Lebrun].Au niveau mondial, 25 000 tasses de thé sont consommées chaque seconde, soit 2,16 milliards de tasses par jour, ce qui en fait la deuxième boisson la plus consommée au monde, après l'eau. En France, deux tiers de la population en boit régulièrement. Thé vert, blanc ou noir, en sachet ou en vrac, en infusion ou en recette : le thé se décline en goût et en utilisation et se consomme tout au long de la journée.Or, en tant que produit exotique, sa consommation a des impacts aussi bien environnementaux que sociaux. Originaire d'Asie, le thé pousse essentiellement en Chine mais aussi en Inde, au Kenya ou au Sri Lanka. Impact carbone, déforestation, utilisation de pesticides, conditions de travail, surproduction : les enjeux autour de ce produit, consommé quotidiennement, sont nombreux. Est-il encore raisonnable de boire du thé ? Peut-on le consommer de manière écoresponsable ? Pour décrypter les enjeux autour du thé Fanny Giansetto reçoit, dans cet épisode, Pierre Lebrun, fondateur du Parti du thé.
Dans le cadre de notre semaine spéciale de replay [L'envers du verre], (re)écoutez l'épisode [#16 - Vous avez dit "vin nature" ? Avec Céline Maguet].Le vin nature fait l'objet de nombreux stéréotypes. Le premier stéréotype est celui du goût. Le vin nature ne serait pas un grand vin. Il serait trop fluctuant, trop vivant, parfois même pétillant. Un autre stéréotype est celui de son cahier des charges : il serait trop opaque, voire même inexistant. Ce qui est sure est que le vin nature a la cote. On le trouve aujourd'hui un peu partout. Alors que faut-il exactement entendre par « vin nature » ? Comment s'y retrouver ? Pour en parler, Fanny Giansetto a eu l'honneur d'accueillir Céline Maguet. Céline est journaliste. Elle est aussi la cofondatrice de l'agence Soif qui a pour ambition de faire boire aux festivaliers du bon vin, nature et en vrac, c'est-à-dire à la tireuse.
Dans le cadre de notre semaine spéciale de replay [L'envers du verre], (re)écoutez l'épisode [#47 - Kefir, Kombucha : faut-il croire au miracle des boissons fermentées ? avec Pierre Faudot].Les boissons fermentées comme le kéfir ou le kombucha ont la cote. Et de fait, on leur prête 1001 vertus: Elles seraient bonnes pour l'immunité , riches en vitamines et minéraux, très savoureuses…Mais que sont-elles vraiment? D'où viennent-elles? Peut-on les consommer sans risque, même lorsqu'elles sont fabriquées à la maison? Faut-il les intégrer dans notre quotidien et en faire notre ami détox après les fêtes?Pour décrypter les vertus et les interrogations que soulèvent le Kombucha et le Kefir, Fanny Giansetto interview Pierre Faudot dit Bel, co-fondateur de l'entreprise Archipel qui fabrique un kombucha 100% français et est l'auteur du passionnant livre Kefir & kombucha. L'atelier de polyfermentation.
La dernière expédition du prophète béniLe joyau de la Prophétie #30Émission live "Parlez-moi d'islam" du samedi 16 août 2025____________________________________________
Les derniers combats contre le polythéismeLe joyau de la Prophétie #29Émission live "Parlez-moi d'islam" du samedi 9 août 2025____________________________________________
Depuis quelques années, les ouvrages qui préconisent de révolutionner les relations amoureuses entre femmes et hommes se multiplient. Questionner la domination masculine voire sortir de l'hétérosexualité semble être devenu la recette miracle pour contrecarrer des relations trop souvent violentes. Pourtant ces réflexions ne semblent concerner qu'une faible proportion des femmes, particulièrement privilégiées et exclure les femmes que non-blanches, pauvres et/ou handicapées. La grande révolution romantique est-elle si révolutionnaire que ça ?Pour répondre à cette question nous avons invité Christelle Murhula journaliste et autrice du livre « Amours silenciées » paru aux éditions Daronne.Émission produite par Rokhaya Diallo et Grace Ly. kiffetarace@kiffetarace.comSon & réalisation : Monsieur Yao pour L'Appart StudioGraphisme : Gwenn GLMDirection artistique : @argotmagazineHabillage sonore : Baptiste MayorazKiffe ta race est disponible gratuitement sur Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Amazon Music… Rejoignez nos communautés #Kiffetarace sur Youtube, Instagram, X, Facebook en vous abonnant à nos comptes. Donnez-nous de la force en semant le maximum d'étoiles et de commentaires sur les plateformes d'écoute et la Toile. Likez, partagez, nous sommes à l'écoute. Parlez de nous à vos proches, vos collègues et même vos ennemis ! Le bouche-à-oreille et la solidarité sont nos meilleures armes.Kiffe ta race saute à pieds joints dans les questions raciales en France depuis 2018. Nous tendons notre micro à des penseur.ses, chercheur.ses, artistes, activistes pour mettre l'antiracisme sur le devant de la scène. “Kiffer sa race” est une expression des années 90-2000 qui signifie “passer un bon moment”, nous l'employons ici avec malice et conscience du double sens :) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
De Stokely Carmichael, figure des luttes noires du XXème siècle, on connaît surtout le combat aux États-Unis, comme dirigeant des Black Panther. On sait moins qu'en 1968, Carmichael a rejoint la Guinée avec son épouse, la chanteuse sud-africaine Miriam Makeba. Il est alors devenu un proche collaborateur du président ghanéen en exil Kwame Nkrumah et s'est engagé aux côtés de la révolution guinéenne. Bokar Ture, fils de Stokely Carmichael, a accordé un entretien à RFI : il raconte les années africaines de la vie de son père. RFI : Votre père a été un acteur important des luttes noires du XXème siècle. Aux États-Unis, où il a été l'un des responsables des Black Panther… mais aussi dans son parcours transatlantique puisqu'il vient s'installer en 1968 en Guinée. Parlez-nous d'abord de lui. D'où vient-il ? Comment est née cette conscience militante noire ? Bokar Ture : Kwame Ture est né Stokely Carmichael à Trinidad et Tobago, connu aussi en français comme Trinité-et-Tobago, en 1941. Il immigre plus tard aux États-Unis pour retrouver sa mère -donc ma grand-mère- qui y était déjà installée quelques années plus tôt. Elle avait pu avoir sa nationalité américaine parce qu'elle était née à Panama. Comment a commencé cette conscience ? Déjà, il avait un penchant politique très tôt. Il y a une de ses tantes qui racontait une anecdote : quand il était jeune, il la poussait à aller voter pour un syndicaliste à l'île de Trinidad. Et au lycée, aux États-Unis, il fréquentait déjà des groupes gauchistes. Un de ses amis de classe était le fils du président du Parti communiste américain dans les années 1952. Et donc, très tôt, il a pu découvrir les discours marxistes. Et bien sûr, il vivait au sud du Bronx, à côté de Harlem. Et la 125e rue de Harlem est une rue reconnue pour des discours politiques de tout genre, de différents groupes. Il a été l'un de ceux qui ont travaillé l'idée de Black Power. Il a même coécrit, en 1967 avec Charles Hamilton, un ouvrage qui le théorise, intitulé Black Power, the politics of Liberation in America. Effectivement, le concept de Black Power existait avant. Il y avait un livre qui s'appelait Black Power par Richard Wright, qui a été écrit pendant les années 1950 et qui était un ouvrage dédié à Kwame Nkrumah. Mais personne n'a rendu l'idée de Black Power aussi populaire que Kwame Ture - Stokely Carmichael à l'époque. Notamment durant une marche contre la peur au sud des États-Unis, aux côtés de Martin Luther King, où il disait, plus ou moins : « On est fatigué de mendier notre liberté, comme on l'a fait ces dernières années dans les droits civiques. Maintenant, ce qu'on va faire, c'est de demander le Black Power », le pouvoir noir, qui était un appel à une autodétermination en termes de structures politiques et économiques pour les personnes noires descendantes d'africains aux États-Unis. En 1968, votre père épouse une première femme, la chanteuse sud-africaine Miriam Makeba. Au-delà de la relation amoureuse qui s'est nouée entre eux, cette union reflète-t-elle aussi une pensée de votre père, de plus en plus tournée vers l'Afrique et vers le panafricanisme à cette époque ? Ce n'est pas un tournant, c'est une continuité. Kwame Ture a toujours été Africain dans l'âme. Il vient d'un milieu où l'Afrique est centrale dans l'identité noire. Bien avant qu'il ne se marie avec Miriam Makeba. On le voit dans des photos au début des années 1960 avec ses camarades où il est en tenue africaine. Il se sentait toujours africain. Pour lui, être noir et africain, il ne voyait pas de distinction et toute sa vie était ainsi. Quand il a marié Tantie Miriam, comme je l'appelle, c'était juste une continuité. Après aussi, ma mère, Marlyatou Barry, qui était aussi une Guinéenne. C'était juste une continuité de sa façon de vivre. Comment se fait concrètement la connexion entre votre père et le premier responsable guinéen, Ahmed Sékou Touré ? Stokely Carmichael, à l'époque, faisait une tournée mondiale et il a rencontré Shirley Graham Du Bois, qui était la veuve de W.E.B Du Bois, qui est aussi une légende de l'histoire de la lutte antiraciste et du développement du panafricanisme. Elle a invité Stokely Carmichael à venir en Guinée pour une conférence du Parti démocratique de Guinée pour rencontrer Kwame Nkrumah et Sékou Touré. Quand il est venu, il a rencontré les deux présidents. Il avait déjà beaucoup entendu parler de Kwame Nkrumah, parce que mon grand-père a travaillé dans un bateau un moment. Il est parti au Ghana et quand il est revenu à New York, il expliquait que c'était la première fois qu'il avait vu une nation noire, indépendante, avec sa propre armée, un président, etc. et il expliquait ceci à un jeune Stokely Carmichael. Cela a vraiment marqué sa pensée. Quelques années plus tard, ils se voient face à face avec Kwame Nkrumah. Après la conférence, en quittant la Guinée, il part dire au revoir à Sékou Touré, qui lui dit : « Écoute, mon fils. Ici, c'est chez toi, tu peux revenir quand tu veux. C'est ta maison. » Il part voir Kwame Nkrumah qui lui dit « Écoute, moi, je cherche un secrétaire politique, donc si ça t'intéresse, tu es toujours le bienvenu. » Un an et demi plus tard, deux ans pratiquement, il était de retour avec sa nouvelle épouse, Miriam Makeba. Qu'est ce qui fait qu'il vient s'installer à Conakry à cette époque ? Pour lui, c'était le coin le plus révolutionnaire en Afrique. Lumumba a été assassiné très tôt donc il n'y avait plus le Congo. Après, il y a eu le coup d'État contre Kwame Nkrumah en 1966. Modibo Keïta en 1968. Quand lui est arrivé, le seul autre pays, c'était la Tanzanie, mais qui était beaucoup moins radicale. Donc il a choisi la Guinée. C'était le pays qui s'alignait le plus avec sa pensée du pouvoir noir à l'échelle mondiale. Il est aussi menacé aux États-Unis. C'est aussi pour cela qu'il quitte les États-Unis ? De toute façon, mon père était prêt à se martyriser. Il a vu Malcolm X tué, il a vu Martin Luther King tué et les agences voulaient sa tête. Il a échappé à pas mal d'attentats. Mais ce n'était pas la raison centrale. Déjà, il y avait l'invitation. Ensuite, il ne voyait pas les États-Unis comme le centre de cette lutte à laquelle il a dédié sa vie. Il voyait l'Afrique comme étant une partie essentielle. Pour lui, en venant en Guinée, il rejoignait l'Afrique, il rejoignait la révolution africaine qui pouvait donner la dignité à tout le peuple noir à travers le monde. Diriez-vous qu'il y a un vrai projet politique international derrière cette volonté de s'installer en Guinée ? Il a toujours eu ce projet. Quand il parlait de Black Power, déjà, dans le livre dont vous avez parlé, il parlait aussi des colonies en Afrique. Dans Black Power, lui et Charles Hamilton faisaient le parallèle entre la situation que vivaient les Afro-Américains aux États-Unis et la situation que vivaient les Africains en Afrique et aux Caraïbes aussi. Il faisait ce parallèle. Dans sa tête, c'était quelque chose qui était un combat international dès le début. Quelles sont les idées sur lesquelles votre père, Stokely Carmichael – Kwame Ture, une fois qu'il change de nom – et Ahmed Sékou Touré se retrouvaient ? On parle de personnes qui avaient la même vision d'une Afrique unie, une Afrique libre où il n'y a pas d'inégalités. Ils étaient tous deux penchés vers des idées socialistes. Ils étaient totalement alignés idéologiquement. Sékou Touré était un de ses mentors, une de ces personnes qui l'ont formé dans cette idéologie. Ils se retrouvent dans l'idée, qui est défendue par Ahmed Sékou Touré à l'époque, d'authenticité africaine ? À 100 %. Et il s'intègre à 100 %. Je peux vous dire que moi, par exemple, j'ai très peu de souvenirs de mon père en habit occidental. Il s'habillait en tenue africaine, cousue en Afrique. Il s'est enraciné dans la population africaine. Ce qui était quand même unique parce que tout le monde était tourné vers une façon de vivre occidentale. Et lui non, il voulait se réapproprier son héritage culturel. Et la volonté de promouvoir les cultures africaines, de leur donner leur vraie place ? C'est exactement cela, revaloriser la culture africaine, la culture noire, se réapproprier celle-ci. Et ne pas avoir de complexes vis-à-vis des cultures européennes, dominantes et autres. Depuis le début de cet entretien, on joue avec deux noms pour parler de votre père, Stokely Carmichael, Kwame Ture. À un moment donné de sa vie, il décide de passer du nom de Stokely Carmichael à celui de Kwame Ture. C'est une démarche qui dit aussi beaucoup de choses sur le lien qu'il a avec Kwame Nkrumah et Ahmed Sékou Touré. Effectivement. Il y avait un précédent aux États-Unis. Il y avait pas mal d'Afro-Américains, notamment dans son milieu révolutionnaire, qui changeaient de nom. Notamment Malcolm X, Mohamed Ali. Bien sûr, le nom est inspiré de Kwame Nkrumah et de Sékou Touré. L'anecdote, c'est qu'il était en Tanzanie lors d'un entretien radio. Après l'entretien, apparemment, un vieil homme venu à pied d'un village lointain est venu le voir et lui a dit : « Écoute mon fils, j'ai vraiment aimé ton entretien. Mais il y a une chose : ton nom sonne un peu bizarre, un peu féminin, il faut le changer ». Il a alors pris le nom de Kwame Nkrumah et de Sékou Touré. Lorsqu'il venait l'annoncer à Sékou Touré et lui dire : « J'ai pris le prénom de Kwame », Sékou Touré lui a répondu : « C'est bien, parce qu'à chaque fois que nous avons des débats, tu prends toujours son parti. » Il lui a répondu : « Mais j'ai pris le nom Touré comme nom de famille. ». Ce qui était approprié, car c'étaient ses deux mentors. À lire aussiKwame Ture, le destin hors du commun d'un Black Panther parti s'installer en Guinée [1/2] Comment est-ce que vous décririez les liens qu'il entretenait avec Kwame Nkrumah et Ahmed Sékou Touré ? En Kwame Nkrumah, il voyait un symbole de cette lutte. Il était prêt à le suivre. Il a mené quelques opérations au Ghana pour essayer de voir s'il pouvait réinstaurer Kwame Nkrumah au pouvoir. Il était très proche de lui. Et Sékou Touré était comme un père pour lui. En 1970, votre père vit l'un des moments charnières de l'histoire de la Première République guinéenne, à savoir l'attaque contre Conakry du 22 novembre 1970. Savez-vous comment il a vécu ces journées ? Je sais qu'il était un participant dans l'action de repousser les troupes portugaises. Il était armé ce jour et a dû utiliser son arme. Selon ce que j'ai appris, il était un des premiers à alerter les autorités, y compris le président, du fait qu'il y avait une attaque qui venait. Ca tirait sur sa case, donc il devait quitter sa maison. Lui et Miriam Makeba ont dû se réfugier quelque part d'autre où il l'a laissée et lui est ressorti pour aider à défendre la ville. Cette opération conjointe de militaires portugais et de rebelles guinéens a conduit à la plus grande vague d'arrestations en Guinée de toute la Première République. La vie du pays va être rythmée pendant de longs mois par des confessions publiques de personnes présentées comme les complices d'un « complot impérialiste » aux ramifications tentaculaires. Comment est-ce que votre père se positionnait par rapport à cette thèse du complot permanent contre la Guinée ? Et plus généralement, quel regard portait-il sur l'État policier qu'était aussi devenu la Guinée de cette époque ? C'est quelque chose de très complexe et malheureusement, la Guinée ne s'est toujours pas réconciliée avec ce passé et les positions sont assez ancrées. Maintenant, si on parle de Kwame Ture précisément, pour lui, c'était un régime panafricaniste, le seul régime panafricaniste radical. Et malgré toutes ses erreurs, c'était celui qui pouvait tenir jusqu'au bout cette conviction qu'il avait lui-même. Il était totalement d'accord avec le fait qu'il fallait conserver ce régime pour qu'il ne bascule pas dans un régime néocolonialiste. À tout prix ? À tout prix. En 1974, il y a un autre évènement important pour l'Afrique et plus généralement pour le monde noir, c'est le combat en Afrique, à Kinshasa, entre Mohamed Ali et George Foreman. Dans un livre de mémoires, votre père indique qu'il a été invité par Mohamed Ali lui-même à venir à Kinshasa pour le combat. Est-ce que vous savez ce que représentait cet affrontement pour votre père ? Mohamed Ali était son ami. Il y avait ce symbole de Mohamed Ali qui représentait l'Africain fier et George Foreman qui était un peu l'opposé de cela. Mais après, il a rencontré George Foreman et il disait que George Foreman l'avait séduit avec son charme, l'a embrassé et tout. Je pense qu'au-delà du symbolique, mon père était beaucoup plus intéressé par ce qui se passait au Congo démocratique, c'est-à-dire le Zaïre à l'époque, et le fait que c'était sous le régime de Mobutu Sese Seko, auquel il était farouchement opposé par ce qu'il représentait en termes de corruption et d'alignement avec les puissances coloniales. Qui sont de manière générale les acteurs politiques qui fréquentaient le salon de votre père dans ces années 1970 et au début des années 1980, pendant la Première République en Guinée ? On parle d'un melting pot qui ne dit pas son nom. Que ce soit des artistes - Miriam Makeba et Nina Simone, qui était une de ses amies très proches - ou des activistes de partout dans le monde. Qui venaient à Conakry et qui venaient le rencontrer ? Qui venaient à Conakry ou qui y vivaient. Parce que vous savez qu'à une époque, Conakry était un centre du monde noir où on conciliait l'art, les mouvements de libération, etc. Il y avait un grand nombre de personnes qui y vivaient, comme Amilcar Cabral, comme Kwame Nkrumahn, avant même il y avait Félix-Roland Moumié du Cameroun, pour ce qui est de la politique. Concernant les arts et la littérature, il y avait Ousmane Sembène qui y vivait, il y avait Maryse Condé qui y vivait. C'était vraiment un centre… et il se retrouve chez lui avec toutes ces personnes, plus ou moins de différentes sphères. Moi, je peux raconter avoir vu des activistes exilés sud-africains, Tsietsi Mashinini, qui a commencé la révolte estudiantine de Soweto, qui était parmi d'autres exilés sud-africains. Il y avait beaucoup d'Afro-Américains, bien sûr, des Black Panthers exilés. Il y avait la diplomatie guinéenne, des diplomates de pays gauchistes et souverainistes, il y avait tout un monde. Mais aussi, il faut savoir que Kwame Ture était vraiment penché vers la masse, la masse populaire. Donc autour de tout ça, on voit un chef villageois qui est assis ou on voit la personne déshéritée du quartier qui est là, assise, qui peut recevoir un repas. Parce que notre maison était comme un centre communautaire pour la jeunesse du quartier. Il amenait tous les enfants du quartier à la plage chaque dimanche. Puis se retrouvait peut-être un mardi à saluer un chef d'État. Puis avait une conférence avec un groupe communautaire. Moi, j'ai vu tout cela dans cette maison. C'était quelque chose de magique. Il recevait où, justement ? Dans son salon, dans son bureau ? Y avait-il un rituel autour de la réception de ses amis politiques ? Déjà, il avait une véranda où il était assis… parce que c'était un bibliophile. Il lisait beaucoup, il écrivait beaucoup. Il ne lisait pas pour le plaisir, mais il lisait pour ses conférences. Après, il y a des gens qui venaient pour le rencontrer. Je sais qu'il y a eu Charles Taylor qui était venu de nulle part pour le rencontrer. C'était vraiment un melting pot. À cette époque, votre père continue aussi ses voyages et ses tournées, il n'est pas tout le temps à Conakry ? Il était très organisé. Sur toutes ses photos, il écrivait les dates et les lieux. On se demande comment il pouvait parcourir toutes ces distances en si peu de temps. Un jour, on le voit au Connecticut. Le lendemain, on le voit à Paris, banni, chassé. En Angleterre, peut-être, d'où il est banni et chassé. Parce que c'était très compliqué pour lui d'avoir accès a beaucoup de pays. Après, on le voit en Californie... Il était partout. Sékou Touré disparaît en 1984. Mais votre père continue, lui, son engagement pour ses idées au sein du Parti démocratique de Guinée. Qu'est-ce qui a marqué ces années de militantisme politique sous Lansana Conté ? Le contexte a vraiment changé ! Et c'est là que l'on voit vraiment les convictions de l'homme. Parce que, du jour au lendemain, tout a changé. Il a été arrêté par le régime de Lansana Conté. Donc, il a perdu les privilèges qu'il avait, bien sûr, où il connaissait le président et était sous sa tutelle. Mais malgré cela, il a décidé de rester en Guinée. La moitié de sa vie guinéenne, quinze ans, s'est passée ainsi. Il a décidé malgré tout de rester en Guinée, d'être actif dans la vie politique guinéenne et la vie sociale de la Guinée. … Et de rester fidèle à ses convictions. Exactement. Vous êtes à l'époque enfant. Quel souvenir est-ce que vous gardez de ces années, de votre maison à Conakry, de ceux qui y passaient ? Quelle était l'ambiance ? Vous disiez tout à l'heure que tout le quartier se retrouvait chez vous… C'est cela. Mon père était d'une gentillesse rare, d'un altruisme qu'on ne retrouve pas très souvent. Donc effectivement, c'était pour moi quelque chose de très formateur. Comment quelqu'un peut traiter un chef d'État avec le même respect qu'il traite la personne la plus déshéritée du quartier. Et toutes ces personnes pouvaient se retrouver chez lui, devant lui, avec le même respect, ou peut-être même le déshérité avec un peu plus d'amour. Vous appelez régulièrement les Guinéens à se souvenir de votre père, Stokely Carmichael / Kwame Ture. Avez-vous le sentiment que son histoire a été oubliée en Guinée ? Je parle de manière générale. Il y a une politique de mémoire en Guinée qui doit être améliorée. Stokely Carmichael est un pont unique entre l'Afrique et l'Amérique. On parle d'un personnage qui a passé la moitié de sa vie en Guinée. À ce stade, l'État guinéen n'a pas fait une seule initiative pour se réapproprier de l'héritage de cette personnalité. Donc il y a un vrai chantier ? Il y a un chantier. Une dernière question plus personnelle. Quel père a été Stokely Carmichael ? Quelle image retenez-vous de lui ? Un père adorable, d'une gentillesse rarissime, qui m'a beaucoup appris, que j'ai profondément aimé. Quelqu'un qui était attaché à tout ce qui est beau dans le monde, à commencer par les enfants. ►A lire pour aller plus loin : BERTHO Elara, Un couple panafricain, Editions Rot-Bo-Krik, 2025 À (ré)écouterElara Bertho: «Replacer Conakry au centre des imaginaires, c'était un peu l'idée de cet ouvrage»
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