POPULARITY
Categories
En cette fin de semaine, se referme la Conférence pour le Climat, la COP30 de Belém au Brésil, aux portes de la gigantesque forêt amazonienne. Nous avons proposé 4 Grands Reportages de Lucile Gimberg sur l'Amazonie brésilienne, un sur l'Amazonie péruvienne avec Martin Chabal et un en vis-à-vis du Brésil sur ce poumon vert de l'Afrique, le Bassin du Congo parcouru par Rolf Stève Domia-Leu. Nous commençons par ce Bassin du Congo et sa forêt, et finissons aux côtés de Lucile Gimberg. République centrafricaine: la Basse-Lobaye un trésor de biodiversité en péril En République centrafricaine, au cœur du Bassin du Congo... La Basse-Lobaye est une réserve de près de 3 000 kilomètres carrés : un véritable joyau de biodiversité, recouvert en grande partie par une forêt tropicale humide. Mais ce trésor naturel est aujourd'hui fragilisé. La Basse-Lobaye, tout comme l'ensemble du Bassin du Congo, fait face à de grands défis environnementaux : déforestation, exploitation minière, changement climatique… Surnommé le «poumon de l'Afrique», ce vaste ensemble forestier joue pourtant un rôle vital dans la régulation du climat mondial : il stocke le carbone, purifie l'air et protège la vie. Un Grand reportage de Rolf Stève Domia-Leu qui s'entretient avec Jacques Allix. Amazonie 4/4: les défis autour des concessions forestières durables Dernier épisode de notre série exceptionnelle de Grands Reportages en Amazonie à l'occasion de la COP30 sur le climat qui doit se terminer, cette fin de semaine, au Brésil. Nous partons dans le Para, l'un des États brésiliens les plus touchés par la déforestation. Dans l'ouest du Para, la forêt est encore préservée… Pour tenter de la conserver, le gouvernement brésilien autorise des entreprises privées à exploiter des parcelles de forêts publiques, à condition qu'elles en fassent un usage raisonné et durable. Comment extraire du bois sans détruire la forêt ? Et comment les populations locales voient ces activités économiques en développement ? Un Grand reportage de Lucile Gimberg qui s'entretient avec Jacques Allix.
Nous sommes à Belém en Amazonie pour la COP30, le bon endroit pour parler du rôle des forêts tropicales dans la régulation du climat. Comment les protéger en harmonie avec ceux qui y vivent ? Nous sommes dans le nord du Brésil à Belém, en direct du Centre de presse de la COP30. Cette 30ème conférence des Nations unies se déroule dans le plus grand bassin forestier du monde : en Amazonie ! Le Brésil abrite 60% de cette forêt tropicale. Le président Lula s'est engagé à éradiquer la déforestation d'ici 2030. Si elle est en recul pour la quatrième année consécutive, le pari est audacieux dans un pays où l'agriculture qui grignote les forêts représente plus de la moitié des exportations et 20% des emplois. Mais c'est un sujet qui nous concerne tous, car l'ensemble des forêts tropicales de l'Amazonie à l'Indonésie en passant par le Bassin du Congo sont des écosystèmes vitaux pour l'équilibre du monde. Mais comment les préserver sans nuire aux populations qui y vivent ? Le sujet a été débattu pendant des heures de conférences et de négociations ici à Belém. Nous allons vous donner un aperçu de la complexité de la réponse avec nos invités... Avec Christiane Taubira, nouvelle présidente de la Chaire José Bonifácio de l'Université de São Paulo au Brésil, elle présente lors de cette COP30 ses activités de recherche sur le thème «Sociétés amazoniennes : réalités plurielles, destin commun ?» Catherine Aubertin, économiste de l'environnement et directrice de recherche à l'Institut de recherche pour le développement Bonaventure Bondo, chargé de campagne Forêts à Greenpeace Afrique. Musiques diffusées pendant l'émission Vital Farias - Saga da Amazônia Dona Onete - No meio do Pitiu.
Nous sommes à Belém en Amazonie pour la COP30, le bon endroit pour parler du rôle des forêts tropicales dans la régulation du climat. Comment les protéger en harmonie avec ceux qui y vivent ? Nous sommes dans le nord du Brésil à Belém, en direct du Centre de presse de la COP30. Cette 30ème conférence des Nations unies se déroule dans le plus grand bassin forestier du monde : en Amazonie ! Le Brésil abrite 60% de cette forêt tropicale. Le président Lula s'est engagé à éradiquer la déforestation d'ici 2030. Si elle est en recul pour la quatrième année consécutive, le pari est audacieux dans un pays où l'agriculture qui grignote les forêts représente plus de la moitié des exportations et 20% des emplois. Mais c'est un sujet qui nous concerne tous, car l'ensemble des forêts tropicales de l'Amazonie à l'Indonésie en passant par le Bassin du Congo sont des écosystèmes vitaux pour l'équilibre du monde. Mais comment les préserver sans nuire aux populations qui y vivent ? Le sujet a été débattu pendant des heures de conférences et de négociations ici à Belém. Nous allons vous donner un aperçu de la complexité de la réponse avec nos invités... Avec Christiane Taubira, nouvelle présidente de la Chaire José Bonifácio de l'Université de São Paulo au Brésil, elle présente lors de cette COP30 ses activités de recherche sur le thème «Sociétés amazoniennes : réalités plurielles, destin commun ?» Catherine Aubertin, économiste de l'environnement et directrice de recherche à l'Institut de recherche pour le développement Bonaventure Bondo, chargé de campagne Forêts à Greenpeace Afrique. Musiques diffusées pendant l'émission Vital Farias - Saga da Amazônia Dona Onete - No meio do Pitiu.
Rappels des Jared Davidson et Joshua Roy chez les CanadiensNCAA : Le duel Gavin McKenna contre Michael HageAvant-goût du Défi des espoirs LCH/États-UnisLNH : Artem Levshunov et Noah Ostlund
Sites internet : https://www.levaudreuil.fr/ https://www.actionlogement.fr/
En République centrafricaine, au cœur du Bassin du Congo... La Basse-Lobaye est une réserve de près de 3 000 kilomètres carrés : un véritable joyau de biodiversité, recouvert en grande partie par une forêt tropicale humide. Mais ce trésor naturel est aujourd'hui fragilisé. La Basse-Lobaye, tout comme l'ensemble du Bassin du Congo, fait face à de grands défis environnementaux : déforestation, exploitation minière, changement climatique… Surnommé le «poumon de l'Afrique», ce vaste ensemble forestier joue pourtant un rôle vital dans la régulation du climat mondial : il stocke le carbone, purifie l'air et protège la vie. «République centrafricaine: la Basse-Lobaye un trésor de biodiversité en péril», un Grand reportage de Rolf Stève Domia-Leu.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l'occasion de la COP30, la caravane fluviale Iaraçu remonte le fleuve Amazone de Manaus à Belém avec, à son bord, des spécialistes des forêts tropicales. Une formidable aventure scientifique pour échanger entre experts et avec les communautés locales sur les meilleurs stratégies pour préserver l'Amazonie, les forêts du Bassin du Congo et d'Asie du Sud-Est. Après huit jours de navigation sur les eaux tumultueuses de l'Amazone, la caravane fluviale Iaraçu est arrivée à Belém en Amazonie brésilienne. Parti de Manaus, le 28 novembre, ce bateau bleu et blanc à trois étages a embarqué à son bord une vingtaine de scientifiques, venus partager leurs savoirs entre eux et avec les communautés locales au rythme des escales. Nous avons eu la chance de vivre cette aventure organisée par l'IRD, l'Ambassade de France au Brésil et le Centre franco-brésilien de la biodiversité en Amazonie. Chaque matin, en ouvrant la porte de notre cabine, le spectacle était magique. La forêt amazonienne défilait sur les rives ponctuées de maisons colorées sur pilotis. L'Amazonie impressionne par son immensité : 4 millions de km² répartis sur neuf pays, soit l'équivalent de la superficie de l'Europe. Elle émerveille aussi par sa biodiversité exceptionnelle, avec près de 120 000 espèces animales et plus de 40 000 espèces végétales recensées. Mais les forêts du Bassin du Congo et de Papouasie-Nouvelle-Guinée possèdent, elles aussi, une extraordinaire diversité de vie, tout aussi précieuse et spectaculaire. Les stratégies à défendre à la COP 30 pour protéger l'ensemble de ces forêts tropicales étaient au cœur de nombreuses discussions à bord. Embarquez avec nous, nous vous emmenons partager ces échanges qui nous concernent tous. → Le journal de bord Iaraçu. Avec : Laurent Durieux, géographe coordinateur IRD de l'initiative One Forest vision Raphaël Tshimanga Muamba, professeur d'hydrologie à l'Université de Kinshasa co-président de l'initiative Science pour le bassin du Congo Nicolas Barbier, directeur de recherche à l'IRD en écologie tropicale Géraldine Derroire, écologue, spécialiste des forêts tropicales au Cirad Claudio Almeida, coordinateur du programme de monitoring de l'Amazonie et d'autres écosystèmes brésiliens à l'INPE Jean-Michel Martinez, directeur de recherche en hydrologie et télédétection à l'IRD. Musiques diffusées pendant l'émission - BVDC II String Band - Blue Mountain - Greenpeace Brasil - Canção pra Amazônia - Music of the Ituri Forest - Lukembi and Voice - Nilson Chaves - Tres violeiros - Orquestra Brasileira de Música Jamaicana - Ondde é que eu vou parar - Umbanda musicians at Cabocla Yacira - Lembrai, O Lembrai - Combo Cordeiro - Palácio dos Bares.
À l'occasion de la COP30, la caravane fluviale Iaraçu remonte le fleuve Amazone de Manaus à Belém avec, à son bord, des spécialistes des forêts tropicales. Une formidable aventure scientifique pour échanger entre experts et avec les communautés locales sur les meilleurs stratégies pour préserver l'Amazonie, les forêts du Bassin du Congo et d'Asie du Sud-Est. Après huit jours de navigation sur les eaux tumultueuses de l'Amazone, la caravane fluviale Iaraçu est arrivée à Belém en Amazonie brésilienne. Parti de Manaus, le 28 novembre, ce bateau bleu et blanc à trois étages a embarqué à son bord une vingtaine de scientifiques, venus partager leurs savoirs entre eux et avec les communautés locales au rythme des escales. Nous avons eu la chance de vivre cette aventure organisée par l'IRD, l'Ambassade de France au Brésil et le Centre franco-brésilien de la biodiversité en Amazonie. Chaque matin, en ouvrant la porte de notre cabine, le spectacle était magique. La forêt amazonienne défilait sur les rives ponctuées de maisons colorées sur pilotis. L'Amazonie impressionne par son immensité : 4 millions de km² répartis sur neuf pays, soit l'équivalent de la superficie de l'Europe. Elle émerveille aussi par sa biodiversité exceptionnelle, avec près de 120 000 espèces animales et plus de 40 000 espèces végétales recensées. Mais les forêts du Bassin du Congo et de Papouasie-Nouvelle-Guinée possèdent, elles aussi, une extraordinaire diversité de vie, tout aussi précieuse et spectaculaire. Les stratégies à défendre à la COP 30 pour protéger l'ensemble de ces forêts tropicales étaient au cœur de nombreuses discussions à bord. Embarquez avec nous, nous vous emmenons partager ces échanges qui nous concernent tous. → Le journal de bord Iaraçu. Avec : Laurent Durieux, géographe coordinateur IRD de l'initiative One Forest vision Raphaël Tshimanga Muamba, professeur d'hydrologie à l'Université de Kinshasa co-président de l'initiative Science pour le bassin du Congo Nicolas Barbier, directeur de recherche à l'IRD en écologie tropicale Géraldine Derroire, écologue, spécialiste des forêts tropicales au Cirad Claudio Almeida, coordinateur du programme de monitoring de l'Amazonie et d'autres écosystèmes brésiliens à l'INPE Jean-Michel Martinez, directeur de recherche en hydrologie et télédétection à l'IRD. Musiques diffusées pendant l'émission - BVDC II String Band - Blue Mountain - Greenpeace Brasil - Canção pra Amazônia - Music of the Ituri Forest - Lukembi and Voice - Nilson Chaves - Tres violeiros - Orquestra Brasileira de Música Jamaicana - Ondde é que eu vou parar - Umbanda musicians at Cabocla Yacira - Lembrai, O Lembrai - Combo Cordeiro - Palácio dos Bares.
Dans le sud-ouest du pays, au cœur du bassin du Congo. Une région verdoyante, considérée comme le deuxième plus grand massif forestier tropical au monde, véritable poumon vert du continent africain. Cette forêt joue un rôle essentiel : elle régule le climat, abrite une biodiversité exceptionnelle, et fait vivre des millions de personnes. Mais aujourd'hui, cet écosystème unique est en danger. Exploitation forestière, agriculture extensive, braconnage. Faute d'activités génératrices de revenus, de nombreuses communautés se tournent vers l'exploitation intensive de la forêt. Résultat : la déforestation s'accélère, le climat se dérègle, les saisons changent, et les produits de cueillette disparaissent peu à peu À lire aussiRDC : au coeur de la déforestation
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
El tercer martes de cada mes, hay una cita exclusiva con la música venezolana en un péniche al borde de la Villette, en el noreste de París. Reportaje de Mariana Rivera Ramírez para RFI A orillas de la red fluvial parisina, diversas péniches —pequeños barcos, tipo crucero— forman parte del paisaje de la ciudad. Al menos una decena de estas barcazas, ancladas en las cuencas y canales del distrito XIX de París, suelen estar reservadas para proyectos artísticos: desde incubadoras culturales, cine, teatro y otras artes escénicas. Pero, una de ellas, es realmente especial para la comunidad venezolana: la Péniche Anako. En este barquito amarrado a la dársena del Bassin de la Villette, músicos y personas amantes de los ritmos tradicionales de la patria de Bolívar, se reúnen, cada mes, para armar la denominada Parranda Vénézuélienne. Una pareja de con una larga y reconocida trayectoria en la música tradicional venezolana, es la artífice de este encuentro musical: Cristobal Sotony Hayley Soto. Ella es cantante, se encarga de la programación de los conciertos y de la curaduría de los artistas. “Se nos ocurrió que podía ser este este formato: hacer un concierto de 45 minutos y después que la gente en general, no solamente los alumnos, sino otras personas, pudieran integrarse y hacer música venezolana”, explica Hayley. Leer tambiénMontevideo retumba en París con los tambores del candombe Su esposo, Cristóbal, es un franco-venezolano que nació y creció en París, a los 20 años se fue a vivir a Caracas, la capital de la tierra de su padre; él es multiinstrumentista y ahí desarrolló una prolífica carrera como mandolinista y como maestro de música tradicional. Años después, a su regreso a tierras francesas, fundó la Asociación Sonar en París para darle continuidad a su labor de enseñanza y difusión de las músicas tradicionales. Sonar es el preámbulo de la Parranda Vénézuélienne. “Ahora somos varios los que damos clases en el local nuestro, organizamos hace más de 20 años un curso de verano. Todos los años son más o menos unos 30, 40 alumnos que pasan una semana…Y eso es música de las 09:00 hasta las 23:00 de la noche mínimo”, detalla Cristóbal. Semillas venezolanas en la capital francesa El curso intensivo anual de la Asociación Sonar, que se realiza a las afueras de París, es un punto de convergencia para la música tradicional venezolana en este lado del mundo y todo un semillero de proyectos musicales. De ahí surgió el Collectif Bululú, un grupo que toca y expone variedad de ritmos venezolanos en París. Sus integrantes son cuatro jóvenes de Venezuela y dos franceses, quienes son alineación fija en las jam de las parrandas. La venezolana Rossmary Rangel, canta y toca la tambora y la bandola en el Colectivo, pero también tiene su proyecto propio como flautista, con el cual presentó su nuevo disco “Guayayo Project” en la Parranda del pasado mes de junio. “Vengo de otro mundo que es el mundo de las orquestas”, cuenta la artista a RFI, en medio de un ensayo que tuvo junto a sus colegas de Bululú en una sala de la Asociación Sonar en París, previo a ese espectáculo. La música popular es pan de cada día de las y los venezolanos, sin importar la escuela musical donde se aprenda. “Ya tú ves orquestas de cuatro, orquestas de mandolina, arpa, maracas (…) Entonces, no hay una cuestión de que la música popular esté alejada o que sea para un grupo específico de gente. Aquí nosotros hemos cultivado esa tradición desde muy pequeños… Yo crecí incluso tocando música un poco más académica en formación, pero siendo música venezolana”, agrega Rangel. El Sistema de Orquestas venezolano sin duda ha sido ejemplar y un gran promotor de la cultura musical del país. Se trata de un programa social, educativo y cultural, fundado por el maestro José Antonio Abreu en 1975. Este modelo, reconocido mundialmente, ha impactado la vida de miles de jóvenes, como fue el caso de Rossmary. “En todas las casas usualmente hay un cuatro” Más allá de la música formal, la música tradicional es una vena que atraviesa la idiosincrasia de este país suramericano. Muchas de las festividades venezolanas están asociadas a celebraciones católicas y suelen estar acompañadas con ritmos tradicionales. En diciembre, por ejemplo, cuando las familias se reúnen a cocinar hallacas, las gaitas, las parrandas y los aguinaldos son tan esenciales como los ingredientes mismos de ese platillo navideño. Dariana López, la cantante, compositora y cuatrista del grupo, recalca que “Venezuela es un país que en donde la música tiene como una plaza muy importante en la vida diaria, mucha gente canta y toca sin ser forzosamente músico profesional (...) en todas las casas usualmente hay un cuatro. El cuatro es el instrumento tradicional por excelencia de Venezuela”. Leer tambiénEn París, tras la huella de la zampoña Esa pequeña guitarra de cuatro cuerdas es por tanto, infaltable en las parrandas y de ahí se van sumando todos los demás “desde mandolinas, maracas, bajo, contrabajo, guitarra… Una variedad de instrumentos tradicionales venezolanos: las maracas, la bandola… cantidad de instrumentos de percusión, detalla Daniel Uzcategui, el cuatrista principal y arreglista del Colectivo Bululú. Para formar parte de la programación de la Parranda, cada proyecto debe tener un mínimo de madurez musical y cumplir con el requisito indispensable: hacer música venezolana. “Que además no es tan conocida, digamos, como otras músicas como la música brasileña, por ejemplo, como la misma música colombiana que tienen más espacios donde se hacen en diferentes sitios. Hay muchas ruedas de samba, hay muchas ruedas de cumbia, pero parrandas venezolanas por el momento hay solo una”, recalca López. Esa exclusividad de la que habla Dariana, es la que hace tan especial la cita musical en la péniche, pues más allá de ser un lugar de encuentro para la comunidad venezolana, es una fiesta de ritmos y un punto de convergencia multicultural. La Parranda intenta abarcar el diverso y rico abanico de géneros musicales que tiene Venezuela. “Por supuesto, se hace mucho joropo llanero, que es como el más conocido, que involucra el arpa y algunas veces la bandola. Está el merengue venezolano que digamos que eso no va a faltar nunca (...) es como que un género muy característico de Venezuela”, ejemplifica López. “La música no la define el pasaporte” La cosmopolita París, sin duda es cómplice de todo ello. Ofrece un escenario idóneo para el público de distintas edades y procedencias. Anabel es venezolana y visita, desde Panamá, a su hija Eliana que está radicada en Francia. Ella asegura que la música tradicional es lo que te conecta con tu identidad: “Me ha hecho regresar a un pasado que dejé en mi país”, comenta tras asistir a la Parranda Venezolana. Para algunas personas locales ya es una cita habitual en la capital francesa. Francis, un músico francés enamorado de la música venezolana, acude todos los meses con su guitarra a la Parranda: “soy guitarrista y puedo tocar esas cosas que yo tocaba hace muchos años”. Brillitte, también francesa, es otra asistente ferviente: “Encontré al maestro Cristóbal Soto y empecé a tocar cuatro (...) y realmente es una fecha que no podemos faltar. Cada mes hay que venir porque es un momento único de música”. La paradoja de la música es que por un lado refuerza la identidad de una nación pero, al mismo tiempo, difumina las fronteras, porque como dice Cristóbal: “La música no la define el pasaporte, la define las ganas y el conocimiento del estudiarla, trabajarla, practicarla y compartirla”. Ese sentimiento lo comparte Daniel, desde su experiencia en el Colectivo Bululú: “se elimina ese límite entre el que es venezolano y el que es francés, y es como que se te olvida cuando estás tocando. Cuando yo estoy tocando con Adrien, cuando yo estoy tocando con Juliette, cuando yo estoy tocando con Marina, con Dariana, no pienso que Juliette es venezolana o francesa. Es como un sitio donde esa barrera, como geográfica, de un pasaporte se borra”. Ese impulso por compartir la música es lo que ha mantenido a Cristóbal y a Hayley constantes con su proyecto pedagógico de transmisión de las músicas tradicionales, por más de 20 años en este lado del Atlántico. “Es que está viva en nosotros. Es parte de nuestras vidas (...) No hay ninguna meta otra que disfrutar de eso que conocemos y que nos gusta compartir, reflexiona el maestro Cristóba Tras cinco años en París, esa vitalidad también atraviesa a Dariana. Cada vez que toca, las montañas de su natal Mérida, se sienten más cerca: “Hacer música tradicional venezolana aquí es una manera también que me permite seguir conectando con eso que dejé allá, ¿no? Gracias a la música tradicional venezolana, yo he creado esta red que me hace seguir sintiéndome en casa”. La Péniche Anako es administrada por una asociación de armenios y gracias a la alianza con la Asociación Sonar, esta fiesta musical venezolana ya es una cita fija en la agenda mensual desde hace más de una década. Cada tercer martes del mes La Parranda Venezolana resuena al borde de la Villette y es una parada obligatoria para músicos, personas curiosas y amantes de las músicas latinoamericanas.
El tercer martes de cada mes, hay una cita exclusiva con la música venezolana en un péniche al borde de la Villette, en el noreste de París. Reportaje de Mariana Rivera Ramírez para RFI A orillas de la red fluvial parisina, diversas péniches —pequeños barcos, tipo crucero— forman parte del paisaje de la ciudad. Al menos una decena de estas barcazas, ancladas en las cuencas y canales del distrito XIX de París, suelen estar reservadas para proyectos artísticos: desde incubadoras culturales, cine, teatro y otras artes escénicas. Pero, una de ellas, es realmente especial para la comunidad venezolana: la Péniche Anako. En este barquito amarrado a la dársena del Bassin de la Villette, músicos y personas amantes de los ritmos tradicionales de la patria de Bolívar, se reúnen, cada mes, para armar la denominada Parranda Vénézuélienne. Una pareja de con una larga y reconocida trayectoria en la música tradicional venezolana, es la artífice de este encuentro musical: Cristobal Sotony Hayley Soto. Ella es cantante, se encarga de la programación de los conciertos y de la curaduría de los artistas. “Se nos ocurrió que podía ser este este formato: hacer un concierto de 45 minutos y después que la gente en general, no solamente los alumnos, sino otras personas, pudieran integrarse y hacer música venezolana”, explica Hayley. Leer tambiénMontevideo retumba en París con los tambores del candombe Su esposo, Cristóbal, es un franco-venezolano que nació y creció en París, a los 20 años se fue a vivir a Caracas, la capital de la tierra de su padre; él es multiinstrumentista y ahí desarrolló una prolífica carrera como mandolinista y como maestro de música tradicional. Años después, a su regreso a tierras francesas, fundó la Asociación Sonar en París para darle continuidad a su labor de enseñanza y difusión de las músicas tradicionales. Sonar es el preámbulo de la Parranda Vénézuélienne. “Ahora somos varios los que damos clases en el local nuestro, organizamos hace más de 20 años un curso de verano. Todos los años son más o menos unos 30, 40 alumnos que pasan una semana…Y eso es música de las 09:00 hasta las 23:00 de la noche mínimo”, detalla Cristóbal. Semillas venezolanas en la capital francesa El curso intensivo anual de la Asociación Sonar, que se realiza a las afueras de París, es un punto de convergencia para la música tradicional venezolana en este lado del mundo y todo un semillero de proyectos musicales. De ahí surgió el Collectif Bululú, un grupo que toca y expone variedad de ritmos venezolanos en París. Sus integrantes son cuatro jóvenes de Venezuela y dos franceses, quienes son alineación fija en las jam de las parrandas. La venezolana Rossmary Rangel, canta y toca la tambora y la bandola en el Colectivo, pero también tiene su proyecto propio como flautista, con el cual presentó su nuevo disco “Guayayo Project” en la Parranda del pasado mes de junio. “Vengo de otro mundo que es el mundo de las orquestas”, cuenta la artista a RFI, en medio de un ensayo que tuvo junto a sus colegas de Bululú en una sala de la Asociación Sonar en París, previo a ese espectáculo. La música popular es pan de cada día de las y los venezolanos, sin importar la escuela musical donde se aprenda. “Ya tú ves orquestas de cuatro, orquestas de mandolina, arpa, maracas (…) Entonces, no hay una cuestión de que la música popular esté alejada o que sea para un grupo específico de gente. Aquí nosotros hemos cultivado esa tradición desde muy pequeños… Yo crecí incluso tocando música un poco más académica en formación, pero siendo música venezolana”, agrega Rangel. El Sistema de Orquestas venezolano sin duda ha sido ejemplar y un gran promotor de la cultura musical del país. Se trata de un programa social, educativo y cultural, fundado por el maestro José Antonio Abreu en 1975. Este modelo, reconocido mundialmente, ha impactado la vida de miles de jóvenes, como fue el caso de Rossmary. “En todas las casas usualmente hay un cuatro” Más allá de la música formal, la música tradicional es una vena que atraviesa la idiosincrasia de este país suramericano. Muchas de las festividades venezolanas están asociadas a celebraciones católicas y suelen estar acompañadas con ritmos tradicionales. En diciembre, por ejemplo, cuando las familias se reúnen a cocinar hallacas, las gaitas, las parrandas y los aguinaldos son tan esenciales como los ingredientes mismos de ese platillo navideño. Dariana López, la cantante, compositora y cuatrista del grupo, recalca que “Venezuela es un país que en donde la música tiene como una plaza muy importante en la vida diaria, mucha gente canta y toca sin ser forzosamente músico profesional (...) en todas las casas usualmente hay un cuatro. El cuatro es el instrumento tradicional por excelencia de Venezuela”. Leer tambiénEn París, tras la huella de la zampoña Esa pequeña guitarra de cuatro cuerdas es por tanto, infaltable en las parrandas y de ahí se van sumando todos los demás “desde mandolinas, maracas, bajo, contrabajo, guitarra… Una variedad de instrumentos tradicionales venezolanos: las maracas, la bandola… cantidad de instrumentos de percusión, detalla Daniel Uzcategui, el cuatrista principal y arreglista del Colectivo Bululú. Para formar parte de la programación de la Parranda, cada proyecto debe tener un mínimo de madurez musical y cumplir con el requisito indispensable: hacer música venezolana. “Que además no es tan conocida, digamos, como otras músicas como la música brasileña, por ejemplo, como la misma música colombiana que tienen más espacios donde se hacen en diferentes sitios. Hay muchas ruedas de samba, hay muchas ruedas de cumbia, pero parrandas venezolanas por el momento hay solo una”, recalca López. Esa exclusividad de la que habla Dariana, es la que hace tan especial la cita musical en la péniche, pues más allá de ser un lugar de encuentro para la comunidad venezolana, es una fiesta de ritmos y un punto de convergencia multicultural. La Parranda intenta abarcar el diverso y rico abanico de géneros musicales que tiene Venezuela. “Por supuesto, se hace mucho joropo llanero, que es como el más conocido, que involucra el arpa y algunas veces la bandola. Está el merengue venezolano que digamos que eso no va a faltar nunca (...) es como que un género muy característico de Venezuela”, ejemplifica López. “La música no la define el pasaporte” La cosmopolita París, sin duda es cómplice de todo ello. Ofrece un escenario idóneo para el público de distintas edades y procedencias. Anabel es venezolana y visita, desde Panamá, a su hija Eliana que está radicada en Francia. Ella asegura que la música tradicional es lo que te conecta con tu identidad: “Me ha hecho regresar a un pasado que dejé en mi país”, comenta tras asistir a la Parranda Venezolana. Para algunas personas locales ya es una cita habitual en la capital francesa. Francis, un músico francés enamorado de la música venezolana, acude todos los meses con su guitarra a la Parranda: “soy guitarrista y puedo tocar esas cosas que yo tocaba hace muchos años”. Brillitte, también francesa, es otra asistente ferviente: “Encontré al maestro Cristóbal Soto y empecé a tocar cuatro (...) y realmente es una fecha que no podemos faltar. Cada mes hay que venir porque es un momento único de música”. La paradoja de la música es que por un lado refuerza la identidad de una nación pero, al mismo tiempo, difumina las fronteras, porque como dice Cristóbal: “La música no la define el pasaporte, la define las ganas y el conocimiento del estudiarla, trabajarla, practicarla y compartirla”. Ese sentimiento lo comparte Daniel, desde su experiencia en el Colectivo Bululú: “se elimina ese límite entre el que es venezolano y el que es francés, y es como que se te olvida cuando estás tocando. Cuando yo estoy tocando con Adrien, cuando yo estoy tocando con Juliette, cuando yo estoy tocando con Marina, con Dariana, no pienso que Juliette es venezolana o francesa. Es como un sitio donde esa barrera, como geográfica, de un pasaporte se borra”. Ese impulso por compartir la música es lo que ha mantenido a Cristóbal y a Hayley constantes con su proyecto pedagógico de transmisión de las músicas tradicionales, por más de 20 años en este lado del Atlántico. “Es que está viva en nosotros. Es parte de nuestras vidas (...) No hay ninguna meta otra que disfrutar de eso que conocemos y que nos gusta compartir, reflexiona el maestro Cristóba Tras cinco años en París, esa vitalidad también atraviesa a Dariana. Cada vez que toca, las montañas de su natal Mérida, se sienten más cerca: “Hacer música tradicional venezolana aquí es una manera también que me permite seguir conectando con eso que dejé allá, ¿no? Gracias a la música tradicional venezolana, yo he creado esta red que me hace seguir sintiéndome en casa”. La Péniche Anako es administrada por una asociación de armenios y gracias a la alianza con la Asociación Sonar, esta fiesta musical venezolana ya es una cita fija en la agenda mensual desde hace más de una década. Cada tercer martes del mes La Parranda Venezolana resuena al borde de la Villette y es una parada obligatoria para músicos, personas curiosas y amantes de las músicas latinoamericanas.
durée : 00:33:18 - A la découverte du Bassin Versant de la Dore dans le Parc Livradois Forez - A la découverte de la Dore, une rivière au cœur du Parc Naturel du Livradois Forez Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Stray Casts Outdoor Cartoon Television Bass Fishing Talk Show
This is the October 8, 2025 Stray Casts Live, Tonight, all things Chicago Bassin. Featuring Bassmaster Legend Woo Daves, BASS Legend Craig Lamb, and the South Shore Bass Open Champ Tyler and Scott Christy #fishing #podcast #bassmaster
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un naufrage en maillot moulant!
Antoine et Grégoire cartonnent sur les réseaux. Leur groupe Saults cumule des millions de vues et ils aimeraient revenir en concert sur le Bassin. crédit photo Mateo Marie Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Sensibilisation et inclusion : l'APDH place les personnes sourdes au cœur des débats lors d'une table ronde à Beau Bassin ce samedi by TOPFM MAURITIUS
Connaissez vous le rugby fauteuil ? Direction la ville de Biganos pour venir à la rencontre Les Aigles de Biganos !Hier sur la radio des Essentiels du Bassin, Christelle Perez nous présentait les actualités du club comme l'ouverture d'une section jeune mixte, l'équipe senior qui devient l'équipe réserve de Aingirak Euskadi et les prochains matchs. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rémi Castillo reçoit Rémi Cubié, Thélem assurances Gujan-Mestras et Clément Carrade Litha Espresso, une marque de café écoresponsable et Au fil du Vin 33, à l'occasion des rencontres des Essentiels du Bassin. Clément Carrade a présenté son activité et Rémi Cubié a souligné l'importance de la proximité, de la convivialité et il a évoqué également l'activité de Hola Paella, qui a animé ces rencontres autour d'une paella.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
SSR Week 2025 : la mairie de Beau-Bassin/Rose-Hill commémore le 125ᵉ anniversaire de naissance de Sir Seewoosagur Ramgoolam by TOPFM MAURITIUS
Le Club Abysse Modélisme Brumath organise son exposition pluridisciplinaire de modélisme au Centre Culturel Bernard Schreiner à Brumath les 20 et 21 septembre 2025. Venez découvrir nos différents stands de modélisme (naval, aérien, ferroviaire, camions), de maquettisme varié, de figurines et de loisirs créatifs. Les enfants pourront apprendre à piloter un bateau sur notre bassin et recevoir le diplôme de navigateur en herbe ! L'entrée est libre et un service de restauration et de buvette sera à votre disposition. Écoutez Francis, vice-Président de l'association, nous présenter l'événementDates et horaires : Samedi 20 septembre de 14h à 18h - Dimanche 21 septembre de 10h à 18hDémonstration de modèles réduits en tout genre (Bateaux-trains-voitures-avions loisirs créatifs etc…), Animation plieur de ballons tatouage fictif pour enfant, Bassin de navigation avec initiation pour les enfants, Petite restauration et buvettehttps://www.abyssemodelismebrumath.com/ Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:10:11 - Les lieux à ne pas manquer - par : David ABITTAN - De belles villas éclectiques du 19e siècle, des huitres omniprésentes depuis 150 ans, un fleuve qui est là depuis toujours, et une baleine qui réapparait chaque été depuis 14 ans… Mais d'abord, une question : comment tout cela a commencé ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:54:06 - Où est-ce que tu vas pour les vacances ? - par : David ABITTAN - Aujourd'hui, cap sur la côte Atlantique ! On explore les villas éclectiques de la ville d'hiver à Arcachon, on part à la rencontre des ostréiculteurs sur les ports du bassin, et on découvre un fleuve discret mais essentiel, la Leyre, qui façonne la biodiversité des environs. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:39 - Couleurs coton à Arès - C'est l'un des plus beaux marchés du Bassin d'Arcachon ! Vous cherchez une robe, un pantalon, un sac de plage ou un chemisier élégant pour cet été ? A Arès, sur la place Weiss chaque mardi de 8h à 13h, Florence déballe ses créations (vêtements et accessoires de mode) de la marque Couleurs coton. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Bonjour à tous et bienvenue sur DM&V ! Aujourd'hui, et pour le dernier épisode de la saison, je reçois un invité que vous connaissez bien pour la plupart, étant déjà venu dans l'émission en 2024, juste avant la première édition du Time Fest. Il s'agit de Georges Brunet, CEO et propriétaire de ZRC, une marque dont je vous parle régulièrement. Dans cet épisode passionnant, Georges revient avec une sincérité et une transparence rares sur les moments clés de la renaissance de ZRC depuis maintenant 10 ans. Qu'il s'agisse des épreuves difficiles ou encore des victoires. Ensuite, Georges nous fait le plaisir de nous ouvrir sa fantastique collection de pièces historiques, pour enchainer en toute logique sur les nouveautés 2025/2026...nous gratifiant au passages de quelques infos exclusives très intéressantes ! Ambassadeurs de la marque, anecdotes, projets...tout y passe, sans oublier le déballage de matériel vintage de plongée professionnel. Bref, un moment d'échange en toute simplicité dans ce cadre idyllique et authentique, au cœur du port ostréicole de Larros à Gujan-Mestras, au cœur du Bassin d'Arcachon. J'en profite d'ailleurs pour remercier l'équipe des Huitres Papillons de nous avoir permis ce tournage en leur terrasse. Si vous passez par là, une dégustation s'impose ! Plus d'infos sur huitrepapillon.fr Bonne écoute ! - Pour rejoindre Le Cercle, le groupe Whatsapp que j'ai créé pour tous les passionnés, c'est ici : https://chat.whatsapp.com/F96PntzE9C5GVqxFC7xpBX - Pour écouter ou réécouter l'épisode de Podcast #83 avec Georges Brunet : https://smartlink.ausha.co/des-montres-et-vous/83-georges-brunet-ceo-de-zrc-raconte-en-exclu-le-retour-de-la-grands-fonds - Pour voir l'épisode court tourné en 2024 sur les nouveautés : https://youtu.be/qTPX5Jfl108?si=rYXi8TZgOckP9Gxw Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En bon enfant du Bassin d'Arcachon, Patrice est fils d'ostréiculteur ! Très énergique, il teste divers sports, dont le foot et l'athlétisme, avant de s'essayer au rugby et de parapher sa première licence à Gujan Mestras !Rapidement sollicité par de grosses écuries, il s'engage en 1980, pour le CA Bègles avec qui il découvrira le meilleur niveau Français. Sélectionné par ailleurs dans les équipes de France jeune, il quitte la Gironde 2 ans plus tard pour rejoindre la région dans laquelle il construira sa vie : le Pays Basque.En 1982, le voici donc débarquant du côté de l'Aviron Bayonnais, récent finaliste de première division. Dès l'année suivante, il honorera ses premières sélections avec le XV de France, participant entre autres aux 2 premières Coupes du Monde, en 1987 et 1991.Dix ans après son arrivée à Bayonne, il effectue un saut de puce pour rejoindre Biarritz, et son ami Serge Blanco.Retraité des terrains en 1997, Patrice devient rapidement entraineur et participe à forger l'immense Biarritz Olympique des années 2000. Pour cause, ils décrocheront notamment 3 boucliers de Brennus et un Challenge Européen.Fin 2011, il devient entraineur du XV de France pendant 4 ans, puis sélectionneur du Portugal. Il est d'ailleurs le grand architecte de l'épopée Lusitanienne lors du Mondial 2023.Mais résumer la vie de Patrice au rugby serait bien réducteur : il a en effet accompli une très belle carrière dans l'assurance et a fondé l'association Chrysalide, en soutien aux enfants en situation de handicap. Toujours très actif, il a aussi une vie de famille accomplie et des journées à 100 à l'heure.Cette rencontre avec Patrice était tout simplement passionnante ! Prenez le temps, je vous garantis que vous allez vous régaler !Bonne écoute !-----------------------------
Frank talks about catching bass in hot water. CHECK OUT LURENET.COM AND USE CODE "BTL25" AT CHECKOUT FOR 15% OFF ALL REGULARLY PRICED ITEMS: https://www.lurenet.com/CHECK OUT THE DEEP DIVE APP:Deep Dive: The Ultimate Bass Fishing App
durée : 00:43:07 - Questions du soir d'été - par : Mattéo Caranta - Le secteur culturel dénonce la baisse du budget qui lui est consacré tant à l'échelle nationale que régionale. Cette émission fait le point sur le financement de la culture et sur les évolutions à venir. - réalisation : François Richer, Vivian Lecuivre - invités : Vincent Guillon codirecteur de l'Observatoire des politiques culturelles de Grenoble et professeur associé à Sciences Po Grenoble; Alexandre Thébault conseiller délégué à la culture et au patrimoine de la région Pays de la Loire; Sandrine Mini Directrice de Scène Nationale de Sète et du Bassin de Thau, membre du bureau du Syndéac
durée : 00:43:07 - Questions du soir d'été - par : Mattéo Caranta - Le secteur culturel dénonce la baisse du budget qui lui est consacré tant à l'échelle nationale que régionale. Cette émission fait le point sur le financement de la culture et sur les évolutions à venir. - réalisation : François Richer, Vivian Lecuivre - invités : Vincent Guillon codirecteur de l'Observatoire des politiques culturelles de Grenoble et professeur associé à Sciences Po Grenoble; Alexandre Thébault conseiller délégué à la culture et au patrimoine de la région Pays de la Loire; Sandrine Mini Directrice de Scène Nationale de Sète et du Bassin de Thau, membre du bureau du Syndéac
Send us a textIn this episode we have a discussion on summertime bassin and some of the things to look for. We also have a great tackle talk as well as a little tournament talk. George and I break down a fishing trip we took and Nick shares some great information a a fishing trip. Support the showwww.facebook.com/susquehannafishingtacklewww.instagram.com/sfttackle/For all your tackle needs www.SFTTackle.com
It's been nearly a year since we said, "Bonjour!" to the Paris 2024 Olympics and Paralympics, so what's been happening in Paris since the cauldron went out? Let's take a look at the initial legacy of these Games! We look at the money, initial economic impact, audience figures, building legacies, and elements of the Games that are still impacting Paris. If you're interested in training in the sport climbing warm-up gym, check out Le B.O.S.E.. If you want to swim like an Olympian, the newly-built (and very gorgeous) Centre Aquatique Olympique is now open for swimming and so much more. Le Prisme has opened in Bobigny to provide another workout facility that includes accessible training--and para sport research. Paris also leveraged the Games to rejuvenate some areas of the city. If you're in Paris on July 20 and want to see how that process is coming along, check out the Olympic Heritage Grand Walk, which goes from Parc de la Villette to the Bassin de la Maltournee in Saint-Denis. It's a free day-long adventure with plenty of surprises planned. Register here. Cleaning up the Seine was another major project, and on July 26, the first anniversary of the Olympics, the city will host a big water festival along the Seine, including a free open-air karaoke session on the Place du Chatelet. Plus, we revisit moments that really stick out to us as the legacy of Paris 2024 starts to take shape in our memories. What moments from Paris 2024 stick out in your heads a year later? How do you think the legacy of these Games is shaping up? Will they be among the greatest Games of all time? Will they be an economic boon to the city and country? Let us know! Don't forget! Our 400th episode party is coming up on Monday, July 14 from 8 to 10pm Eastern. Hope to see you there! For a transcript of this episode, please visit http://flamealivepod.com. Thanks so much for listening, and until next time, keep the flame alive! *** Keep the Flame Alive: The Olympics and Paralympics Fan Podcast with hosts Jill Jaracz & Alison Brown. New episodes released every week and daily during the Olympics and Paralympics. Support the show: http://flamealivepod.com/support Bookshop.org store: https://bookshop.org/shop/flamealivepod Become a patron and get bonus content: http://www.patreon.com/flamealivepod Buy merch here: https://flamealivepod.dashery.com Hang out with us online: Facebook: https://www.facebook.com/flamealivepod Insta: http://www.instagram.com/flamealivepod Facebook Group: hhttps://www.facebook.com/groups/flamealivepod Newsletter: Sign up at https://flamealivepod.substack.com/subscribe VM/Text: (208) FLAME-IT / (208) 352-6348
La forêt du Bassin du Congo couvre 180 millions d'hectares et s'étale sur six pays d'Afrique centrale. Premier puits de carbone au monde avec la forêt amazonienne, elle aussi est victime d'une importante déforestation. Or les attaques contre la nature ont de graves impacts sur les populations locales, sur les femmes en particulier. Co-fondatrice de l'APADIME, l'Action pour la Protection en Afrique des Déplacés Internes et des Migrants Environnementaux, Estelle Lobé s'est engagée autant pour la forêt de son enfance que pour défendre les populations qui souffrent de la surexploitation de l'environnement.
Pour sa troisième saison, Arnaud Demanche vient tous les matins à 8h20 pour poser son oeil sur l'actualité du jour. Cinq minutes de rire, pour se réveiller avec le sourire !
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur le départ de Wagner du Mali, la fin d'une coopération économique entre le Congo et le Rwanda et l'utilisation des drones par Boko Haram. Manche : la police française va-t-elle arrêter les embarcations de migrants une fois en mer ? Face à l'arrivée record de migrants sur les côtes britanniques, la France envisage désormais d'intercepter les bateaux, en pleine mer, qui traversent la Manche. Pourquoi les autorités françaises n'appliquaient-elles pas ces mesures jusqu'à maintenant ? Avec Charlotte Boitiaux journaliste à Infomigrants. Mali : Africa Corps prend la suite de Wagner Plus de trois ans après son arrivée au Mali, le groupe paramilitaire Wagner s'est officiellement retiré du pays. Les mercenaires russes sont remplacés par l'Africa Corps, qui dépend directement du ministère russe de la Défense. Quelle est la différence entre les deux organisations ? S'agit-il d'un simple changement d'uniformes ? Avec Dimitri Zufferey, membre du collectif All Eyes On Wagner. Congo-Brazzaville : les autorités suspendent l'attribution de terres au Rwanda Le gouvernement de la République du Congo a annoncé l'annulation des contrats de location de terres à des entreprises à capitaux rwandais signés en 2022. Comment expliquer cette décision ? Quelles étaient les spécificités de ces contrats controversés ? Avec Paul Lorgerie, journaliste au service Afrique de RFI. Bassin du lac Tchad : les drones de Boko Haram Dans son rapport semestriel, le représentant spécial du secrétaire général des Nations unies pour l'Afrique centrale, Abdou Abarry, dénonce les attaques de drones chargés d'explosifs par Boko Haram. Comment les jihadistes se procurent-ils ces drones ? Que sait-on de leur puissance de frappe ? Avec Seidik Abba, président du Centre international de réflexions et d'études sur le Sahel. Auteur de Voyage au coeur de Boko Haram: Enquête sur le djihad en Afrique subsaharienne (éditions L'Harmattan).
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la flottille humanitaire pour Gaza, la grève des joueurs centrafricains et l'utilisation des drones par Boko Haram. Israël : Benyamin Netanyahu collabore avec un groupe armé anti-Hamas Les autorités israéliennes ont reconnu fournir des armes à un groupe palestinien de la bande de Gaza hostile au Hamas et impliqué dans des activités criminelles. En agissant ainsi, Benyamin Netanyahu respecte-t-il la loi israélienne ? Quelles peuvent être les conséquences sur les négociations pour un cessez-le-feu ? Avec Sami Boukhelifa, correspondant permanent de RFI à Jérusalem. Flottille pour Gaza : Israël a-t-il violé le droit international ? La marine israélienne a intercepté dans les eaux internationales le voilier humanitaire « Madleen » qui naviguait en direction de Gaza pour tenter de briser le blocus de l'enclave palestinienne. Cette arrestation respecte-t-elle le droit international ? Quel sort pour les Français qui n'ont pas encore été expulsés d'Israël ? Avec Benjamin Fiorini, maître de conférences à Paris 8, secrétaire général de l'Association des Juristes pour le Respect du Droit international (JURDI). Centrafrique : bras de fer entre le ministre des Sports et la Fédération de Football Prévu ce lundi 9 juin au Grand Stade de Casablanca, le match amical entre la Tunisie et la Centrafrique n'a finalement pas eu lieu. En cause : la grève des joueurs centrafricains pour exiger des primes. Pourquoi la Fédération refuse-t-elle de verser les primes ? L'annulation du match peut-elle entraîner des sanctions à l'encontre des joueurs ? Avec Rolf-Steve Domia-Leu, correspondant de RFI à Bangui. Bassin du Lac Tchad : les drones de Boko Haram Dans son rapport semestriel, le représentant spécial du secrétaire général des Nations unies pour l'Afrique centrale, Abdou Abarry, dénonce les attaques de drones chargés d'explosifs par Boko Haram. Comment les jihadistes se procurent-ils ces drones ? Que sait-on de leur puissance de frappe ? Avec Marc-Antoine Pérouse de Montclos, directeur de recherches à l'Institut de recherche pour le développement, spécialiste des conflits armés des pays africains anglophones.
Au Congo-Brazzaville, le premier congrès des peuples autochtones et des populations locales des bassins forestiers se tient cette semaine du 26 au 30 mai à Brazzaville. Dirigeants autochtones, représentants de communautés et défenseurs de l'environnement sont déterminés à défendre les écosystèmes forestiers les plus vitaux de la planète. L'événement vise à obtenir une déclaration commune en amont de la COP30, prévue à Belém, au Brésil, au mois de novembre. Bonaventure Bondo, chargé de campagne Forêts pour le bassin du Congo à Greenpeace Afrique répond aux questions d'Alexandra Brangeon. RFI : Le premier Congrès des peuples autochtones issus des trois grands bassins forestiers de la planète, c'est-à-dire Amazone, Bornéo, Mékong et Bassin du Congo, s'est ouvert cette semaine à Brazzaville. Alors quand on parle des populations autochtones du Bassin du Congo, de qui s'agit-il exactement ? Bonaventure Bondo : Ces termes renvoient d'emblée aux communautés pygmées - même si le mot pygmées est en train de disparaître - qui vivent dans la forêt ou qui développent le lien étroit avec les forêts tropicales.Dans quels pays ?Ces communautés sont réparties dans presque tous les pays du Bassin du Congo. EnRDC, nous avons les Twa et les Aka. De même pour la République du Congo. Au Cameroun, nous avons les Baka qui s'étendent aussi au niveau du Cameroun et de la Guinée équatoriale.Alors ces populations, qu'elles soient de la RDC, de Centrafrique, partagent les mêmes problématiques, la reconnaissance de leurs terres ancestrales ? Oui, ils font face aux mêmes défis, surtout liés à la reconnaissance de leurs terroirs ancestraux. Parce qu'ils sont les premiers habitants, ils sont les détenteurs de ces forêts sur les plans traditionnels et avec l'expansion du développement, axé sur le néocolonialisme, dans le Bassin du Congo, notamment l'exploitation industrielle du bois, le développement de l'agriculture industrielle aussi avec la plantation de palmiers à huile, ces communautés ont été plusieurs fois exposées à certains abus liés à la violation de leurs droits, à l'accaparement de leurs terres. Et dès lors, ils ont commencé à relever cette nécessité pour eux d'être reconnus, d'avoir une reconnaissance légale sur leurs terres et d'avoir une reconnaissance aussi légale à gérer leurs terres comme ils le font depuis des années.Le premier pays à prendre cette décision a été le Congo-Brazzaville et ensuite la République démocratique du Congo avec sa loi sur la promotion et la protection des peuples autochtones pygmées. Il y a un peu d'avancées, mais il y a encore beaucoup à faire pour que nous puissions arriver à sécuriser légalement les terroirs de communautés locales partout dans le Bassin du Congo.Concrètement, quelles sont leurs revendications ? Ils revendiquent la reconnaissance de leurs terres, leur prise en compte dans le processus de décision, parce qu'ils sont pour la plupart du temps mis de côté lorsqu'il faut décider de l'avenir de leurs terres, que ce soit dans les projets d'exploitation du pétrole, d'exploitation des mines, d'exploitation du bois. Ils sont souvent mis de côté. Ils revendiquent aussi d'être associés, de prendre part aux instances de prise de décisions dans la gouvernance des ressources naturelles sur leurs terres.À lire aussiCongo-B: une ONG publie une enquête inquiétante sur l'exploitation pétrolière et minièreAlors, la ministre congolaise de l'Économie forestière Rosalie Matondo a regretté que moins d'1 % des financements disponibles ne leur parviennent. Et que, malgré leur expertise, ils sont peu impliqués dans les programmes de développement durable. Pourquoi est-ce le cas ? Le fait qu'ils sont toujours mis de côté se justifie par le fait qu'ils n'ont pas de capacités nécessaires, ils n'ont pas de connaissances, ils n'ont pas de compétences. Ce qui est vraiment faux. Ce que les communautés sont en train de revendiquer maintenant, c'est de dire, qu'ils ont aussi dans leur façon de faire les choses grâce aux savoirs traditionnels et connaissances endogènes, des initiatives très prometteuses, des initiatives très louables, qu'ils mettent en œuvre pour protéger les forêts. Et ces initiatives ou ces efforts doivent effectivement être reconnus à leur juste valeur pour qu'ils puissent aussi bénéficier de cette confiance. Il y a d'abord un problème de confiance dans la distribution des fonds. Il faut que les communautés autochtones aujourd'hui puissent être reconnues, capables de bien gérer ces fonds et de bien continuer à développer leurs initiatives. Et c'est vraiment la question qui est au cœur du débat, pour voir comment est-ce que dans tous les mécanismes financiers qui existent, qu'il y ait une part allouée directement aux communautés locales.Alors, justement, votre organisation Greenpeace a mis sur pied un projet Forest Solution pour voir comment rehausser le travail de ces communautés dans la préservation des forêts. L'objectif, effectivement, c'est promouvoir les initiatives locales dans la protection de nos forêts, mais non seulement le promouvoir, mais aussi pousser en sorte que les communautés locales puissent avoir accès aux connaissances, aux informations et à un partage d'expériences entre les autres peuples autochtones des autres bassins tropicaux qui sont, selon les constats, beaucoup plus avancés. Et à travers ces projets, nous voulons vraiment faire en sorte que ces communautés soient connectées, puissent partager l'expérience pour construire des recommandations fortes et communes, pour faire bouger les lignes dans les instances décisionnelles aux niveaux national, régional et international.Quand vous dites, ce sont les premiers gardiens des forêts qu'ils protègent depuis des générations. Est-ce que vous pouvez me donner un exemple concret ? L'expertise aujourd'hui qui est louable, c'est la foresterie communautaire que nous sommes en train de cibler comme l'une des solutions aux forêts. Dans ce processus, les communautés ont droit à avoir des titres, des concessions sur leurs forêts et aussi ont droit de développer des activités à caractère économique dans leur concession.Ils exploitent les concessions à leur manière de façon durable, pour à la fois protéger les forêts, conserver la biodiversité et aussi améliorer leurs conditions de vie socio-économique.À lire aussiCongo-B: premier congrès mondial des peuples autochtones des grands bassins forestiers
Note aux auditrices et auditeurs : nous préparons pour l'été un “Tour de France des bonnes idées”. Si vous avez autour de vous des projets constructifs qui méritent d'être connus sur la nature, l'éducation, la culture… la lutte contre la polarisation, les déserts médicaux et les problèmes de transport…(la liste n'est pas restrictive) écrivez-nous à podcast@afp.com ou laissez-nous un message sur Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Notes sur l'épisodeVu de l'espace, c'est une coulée verte, qui sépare l'Afrique en deux, une ceinture luxuriante, qui s'étend sur 4 millions de kilomètres carrés, plus de six fois la France. Les forêts du bassin du Congo, à cheval sur six pays ( Cameroun, République centrafricaine, République démocratique du Congo, la République du Congo, Guinée équatoriale et Gabon) sont aujourd'hui le dernier grand puits de carbone forestier. En leur sein s'épanouit une riche biodiversité, des grands et petits singes, des buffles, des éléphants… et un bon millier d'espèces d'oiseaux. Et bien sûr les dizaines de millions d'humains qui en vivent...Sur le Fil a souhaité vous en parler après la publication par l'observatoire Global Forest Watch, d'un rapport qui souligne un niveau de destruction sans précédent des forêts tropicales, accélérée notamment par de grands incendies.Les forêts tropicales d'Asie du Sud-Est rejettent déjà plus de CO2 qu'elles n'en absorbent, tandis que l'Amazonie serait sur le point de basculer en déficit. Restent donc les forêts du bassin du Congo… avec 600 millions de tonnes de CO2 absorbées chaque année soit presque deux fois les émissions de la France en 2023, autour de 373 millions de tonnes.Mais la déforestation galope aussi dans le bassin du Congo… même si on est encore à temps d'inverser la tendance. En faisant évoluer les pratiques agricoles qui menacent la forêt, ou encore en veillant à ce que l'exploitation forestière ou minière ne soit pas destructrice..Pour en parler, Sur le Fil a invité l'économiste Alain Karsenty, l'ingénieur forestier Paolo Cerutti, installé dans la région depuis 22 ans, ainsi que notre correspondant à Brazaville Laudes Martial Mbon.Réalisation et présentation : Michaëla Cancela-KiefferEnregistrements de terrain: AFPTVSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les autorités françaises ont inauguré un immense bassin de stockage d'eau destiné à aider à nettoyer la Seine, qui sera le lieu des épreuves de natation en eau libre lors des Jeux de Paris.Traduction :French officials have inaugurated a huge water storage basin meant to help clean up the River Seine, set to be the venue for marathon swimming at the Paris Games. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Les autorités françaises ont inauguré un immense bassin de stockage d'eau destiné à aider à nettoyer la Seine, qui sera le lieu des épreuves de natation en eau libre lors des Jeux de Paris.Traduction :French officials have inaugurated a huge water storage basin meant to help clean up the River Seine, set to be the venue for marathon swimming at the Paris Games. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Joëlle Dago-Serry et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Joëlle Dago-Serry et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Jen Rubin and Ian Bassin discuss the current state of democracy in the U.S., focusing on the upcoming election, the myth of illegal voting, the integrity of the electoral process, and the role of the Supreme Court. He emphasizes the need for reforms to strengthen democracy, including addressing the filibuster and exploring innovative voting systems. Bassin also highlights the importance of community and collective action in overcoming the challenges facing democracy today.